46 winters Yangue star planete Mars

vu que ça manque de vie sauvage, ici, je change de peau.
Moi mon animal fétiche ( pas celui de shamanisme, là je suis mama Bear, c'est pas très sexy, mais le sexy en shamanisme, ben, c'est comme euh, je sais pas la bienveillance, ça touche pas tout le monde selon le contexte), c'est le caracal.
Alors, j'ai bien gardé les images pour nous reconnaître, moi, toi mon amoureux, my cub.
alors voilà, tu me reconnaîtras fastoche:


Pis pour la suite, tu as le choix, trouve les images qui correspondent:
1. sanctifiée par l'art contemporain et une taxidermie des vides organiques. Si, j'ai le droit, j'ai été modèle, muse il y a longtemps. Appelle moi Dora Maar. Nan.Nuche. J'en veux pas pour chéri de Pablo. L'est pas gentil ac les filles.
2. toi, mon amour. Tu déchires grave. Putain, grave de grave.Et ton musc, je me roulerais dedans.J'ai le droit de te sauter dessus?dessous ?
3. mon fils. Encore un corps trahissant l'enfance, le regard en métamorphose préadolescente.
4. je fais les courses. Chu partie achter du pâté de truffe à Uccen.Oui,il m'arrive de me faire mater dans la rue.T'as vu comment qchu gaulée ? Selon l'humeur, je souris ma ratte et remercie si c'est un peu élégant, ou je lâche les sacs,me retourne et viens me planter devant pour intelligibilité franche du propos en face quand  le discours susurré entre hommes m'objectise.
5. PUTAIN QUAND C EST QUE TU LA RANGES TA CHAMBRE AAAAAAAH!!!! J EN AI MARRE DE TON BORDEL !!(pardon mon chaton, c'est pas toi, c'est moi, parfois je pars un peu trop fort, je m'excuse, j'ai aucune excuse,pardon je t'aime )
6. Nan, Mohammed, on joue pas au double kick rotatif dans la face de Kevin. Me dis pas que celle-là, tu l'as jamais entendue, sinon REGARDE MOI BIEN DANS LES YEUX ( ta matinée, c'est dans ma classe que tu la passes, ça te fais envie ? Non. Alors va t'exciser. T'excuser  ah merde merde t'es pas obligé de répéter tout ce que je dis à tes parents)[url=https://servimg.com/view/19706295/71][/url]
[url=https://servimg.com/view/19706295/71][/url]

pis comme chu surdouée ben moi je sais bien ranger les images sauf la dernière.
C'est un effet de style. C'est comme éradiquer les lupi apprivoisés.

En fait c'est complètement le Kawai mon post.
Je m'autopunis?

Et maintenant un peu de musique avec Alein Souchong.
Nan, un peu de culture classique avec Jean Du Cubi.
je sais pas bien ranger. Quelqu'un peut m'aider?
y a quelqu'un? pu personne?
AAAAAhhh.... ça finit comme ça:

Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.

Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.

Aaaah... je sais pas bien copier non pu. C'est quoi double puni?
pleurer en regardant passer une élégante en hiver.

pis plein de fautes aussi.
Que fait Manu?
Je pense honnêtement ne pas être très fine du bulbe, aussi, en mon statut primesautier de jouvencelle du pass étage HP, ayant soufflé depuis peu les un an de ma présence sporadique sur ce forum, non geek, encore mal identifiée et très mouvante, Je me permets de m'adresser à la hiérarchie:admin, modo, conseillers.
j'aurais quelques questions concernant le site, parce qu'il y a ici des éléments que je ne comprends pas. Manque de culture et d'expérience.
Mes questions sont peut être naïves ou manquent d'intérêt, mais, comme par def, j'ai besoin de comprendre, d'autres utilisateurs aussi potentiellement,je proposais de les poster ici.Je suis un cumul d'incultures, je peux donc représenter plein de profils différents.
Que cet espace, non privé, semi public, puisse devenir aussi un lieu d'échange, ou un point référençant une autre page de débat me semble un option.
Je n'ai pas lancé de fil, car cela m'eut semblé irrespectueux, je suis d'accord et serais heureuse que cela le devienne, si vous trouvez cela pertinent pour la santé du site.

Je veux bien accord ou refus ici, public ou MP.
Merci de votre lecture. bisous

EN cas DE SURvol RAPiDE De CEtTE PAgE
MERcI De LIRe Le messAGE PRECeDENT

qui a fondé ZC?
Qui a rédigé la charte?a t elle été rédigée d'une traite ou a t elle subi des modifications par avenants?
comment l'équipe de modérateurs, admin, conseiller s'est elle constituée?
y a t il turn over? élections?

Salutations distinguées
merci de vos réponses

Gente dame, si vous désirez une réponse à vos dernières interrogations, j'ai vu qu'il y avait un fil spécifique consacré aux demandes à la modération (ici). Y poster pourrait être le moyen le plus rapide d'obtenir satisfaction, me semble-t-il
(just my 2 € cents).

Un petit morceau pour la route...


Happy Saturday !

bonjour Mr Merlin
cheers for directions!

méditation hier soir.
brouillonne. Mais quand même: au milieu d'un paysage mental chaotique, des murs et piliers qui s'effondrent, et cette phrase
                                    
                                  thought is vacuity.

Dense et lourd dans l'absence.
Je me suis sentie mal quand l'outlaw m'a tancée.Mais il avait raison.
Retiens.

                                      Le manger calice, la chair nectar.J'ai les canines propres.

                     
                               le soleil est si noir qu'on voit les étoiles, la lune si claire qu'elle me tord le ventre.

c'est pas Eluard qui disait à peu près
tu me manques tellement que je ne sais plus si c'est toi ou moi qui est absent
je veux pas lui manquer de respect c'est juste que je nous cherche jusque sous les racines
hulule je? feule je? tweete je

je t'en prie

Envoie moi une abeille chargée de ta salive

Ah. Si t'as jamais vu ce clip, c'est une ode à ta rareté.

Hey!


come and play!

ah, et le gars qui te ressemble vaguement là, il s'appelle Rauf Yasit.
C'est mon ex.
Hum.Hein? Je mens?
La nuit je mens effrontément.

Une descente sur la mer d'argent, l'autoroute de Cassis.
Une vision d'Eden.

Je devais aller à la montagne sacrée me perdre dans les hauteurs et m'assoir dans les herbes sèches.

Milieu d'après midi,Pamplemousse.
Sur toute l'étendue de la falaise, pulvérisée sur plusieurs mètres par les vagues, il n'y a qu'un homme et son chien qui regardent la houle, et partent.Je sors mes tarots. Les réponses sont nettes, tranchantes pour certaines.
La tension redescend. J'avais besoin de savoir.
Je m'installe en tailleur sur mon tapis, me couvre au maximum.
La mer, lourde, puissante, s'écrase en jeyser dans les enfractuosités des blocs, laissant une bruine salée porter par le vent.
Aucune de ces explosions marines au relief n'est identique, pourtant les cycles se répètent sans fin, creux et pleins, pleins qui se creusent pour accueillir la prochaine masse, pâle copie du courant, plus profond et puissant, qui l'emmène. Creux qui gonflent jusqu'apogée, pour s'ouvrir à nouveau.
Le soleil disparaissait derrière les pins. J'ai remballé ; et suis retournée à la voiture.
Tout semble se mettre en place.
Mon ange gardien s'est invité à diner ce soir. C'était bon de le revoir.
C'était bon aussi de vider mon coeur et de voir que je m'emprisonnais.
C'est mon dealer d'épiphanies, par sa seule présence.
Après yoga en matinée, 2e séance de méditation.
J'ai pété les scores.Et pas fini mon boulot.Ben tant pis. J'échange pas.


Trop belle descente, cette journée.

Quand mon ange allait passer la porte, nous nous sommes serrés une dernière fois, et avons inspiré ensemble. C'était magnifique.
J'ai gardé une heure au moins cette chaleur accrue sur la poitrine de ce contact.
Sitting on the zafu, i conveyed some energy in the palm of my hands, breathed out the heat out of a ping pong size ball, and exhaled it deeper and bigger.
It had the size of an ostrich egg, i could feel its edges.

Game over. work tomorrow.
Back to the matrix.

Texto ce matin. Mon ange aussi a gardé sur la poitrine la trace Farenheit de nos partages de souffle quand il a quitté mon antre.
Lui à l'église, moi en méditation à nouveau, âpre fil de méandres, on a pas les mêmes chemins, mais on s'aime de lumière.Les repas sont des offrandes, cela faisait du bien de reprendre nos rituels.
Il sait que mon temple sera toujours shelter. Cela m'honore.

Sinon, j'ai eu confirm de ce que je subodorais de mon flair de caracal: Yasit est gay.
Dans ma prochaine vie, moi aussi je veux être une oie pédé, pour avoir un beau mec intelligent sensible, créatif et fun.

Eté 2002.
J'ai mis à gauche tous mes salaires pour partir.
Mon amie s'appelle alors Requin Rouge. Ce sera l'Indonésie. Bali pour commencer, sac à dos Mc Gyver, Lonely Planet, 18 kg de pas mal géré pour un mois et demi.

Bali dans les terres. Temples de jungle, Pura Kehen, je suis en plein fantasme, au pied du banyan de 500 ans au moins qui s'étale en méduse entre ciel et terre. Il n'y a personne,ça exude de spiritualité du fond des âges ici.
Puis en passant par la montagne,Gunung Kawi , lieu de pèlerinage du XIe s.
Dans l'espace des pèlerins, creusé à même la roche, entrailles vêtues de mousse, des reliefs d'offrandes sur soie jaune, de l'encens éteint.
Il y a au creux de ce vallon des âmes, un filet de rivière qui chute doucement de plusieurs mètres. Je m'attarde, je n'arrive pas à quitter ce lieu de culte troglodyte,vieille de millénaire, je suis peu à peu et de plus en plus intensément déchirée de toutes les douleurs de l'humanité, je pleure, et marche jusqu'à la chute à laquelle j'offre ma tête.
L'Indonésie m'a brûlée au fer. Le retour en France est une épreuve, je me saoule de Sabilulungan,la tête à l'envers, j'entre dans la stabilité professionnelle avec en tête des palmiers lents dans la brise, le poisson grillé mangé sur la plage, se pâmer devant le coucher d'un soleil géant et rouge embrasant au loin le Mont Agung.
Gili Air.Quelques kms2 de terre mangée par la mer, peuplée de vaches, varans, touristes et locaux.
y a rien à faire à Gili air. Rien. Je me découvre d'une lenteur absolue, sans besoins.
Notre paillote de bois, commodités rudimentaires,que nous partageons un peu avec la faune locale de lézards et insectes, quasi nudité. Le reste du monde si loin qu'il n'existe plus.

putain ce que je fais comme répétitiions... J'écris trop vite, j'ai toujours peur de perdre un peu de fil, je dis ce que je ne devrais pas, une claque, repars aussi sec. Quand est ce que je serai adulte?
Breathe.

Mon prof de perf en yoga disait qu'on passe son temps à s'excuser de n'être que.
Il disait "every time you're about to apologise, repeat aloud:
" I'm so fucking sexy".
Well, here you are. I so am.

J'ai essayé le "I 'm so fucking

, j'ai l'oeil du tigre...

Puis je baisse lentement les yeux et je suis un peu mort de rire.

Je compte bien porter le kilt sous peu, quand j'aurais pris l'habitude de repasser au moins une chemise, car faut une cravate

Je dessine super bien les clitoris  en coupe

t'as vu comme c'est dur de dire "I'm so fucking sexy" et y croire??
Ah nan, moi je pensais pas au kilt, mais à la jupe porte feuille très près des hanches, longue et droite, tissu épais mat, noir, gris foncé, bordeaux maxi. Pas de chemise classique au dessus. Un kimono peut être, un col lâche, ou près du corps col V.
bijoux très bienvenus.Kohl aux yeux aussi. Plus même.

C'est bien pour le clito. Moi j'ai pas encore tout bien retenu. Comme quoi, la culture a la peau dure.
C'est bien parce que tu pourras éduquer autour de toi au respect de la différence, et à la connection avec l'unité anatomique qui rassemble.
c'est tout bénef pour les générations futures.

La génération future j'ai donné, et je vous annonce qu'elle sera pire.

Moi j'ai l'oeil de taupe

Pire ou mieux pourvu qu'elle soit

un oeil du tigre et un oeil de la taupe, c'est pratique pour capter les tableaux impressionnistes

Ps: je n'ai droit qu'à un smaillelaid avec mon pourriphone

Un kimono mais complet

Je le sent pas la jupe portefeuille

Je plaisantais à propos d'anatomie, j'ai toujours été mauvais en dessin biologique, par contre j'ai un très bon sens de l'orientation...

Je suis sexy dans mes yeux, parfois

Si je me le répète, j'y crois,

Honnêtement, je suis vintage

Être sexy, et si sage,

C'est dommage

Dodo mage

un autre clip dont j'aime l'esthétique; ça date un peu. Mais c'est beau et la musique puissante.
Fais moi découvrir qui m'envole.

c'est un peu un killer Butler dans 300.

j'écris vraiment comme une merde parfois...

Sâdhanâ a écrit:j'écris vraiment comme une merde parfois...

Non,et au pire,serait-ce grave?

hey copain, always here for a nice word, hey? 
 

Dans ses yeux, il y avait toute la beauté du monde. A 70 ans à peu près, les mots qui peuplent sa bouche sont "extraordinaire", "magnifique", célèbre encore, après la disparition de sa femme en janvier.
Je ne l'avais pas vu depuis 20 ans. Il n'avait pas changé. Il était perdu.
Dans l'église du village, lieu de rassemblement des proches et de leur amour, il a lu la lettre qu'il lui avait écrite après qu'elle soit partie dans ses bras.
L'amour qu'il lui portait n'avait pas pris une ride après 50 ans de vie commune, leurs drames, exigences d'évolution personnelle, questions existentielles, mais surtout cet appétit de vivre et de s'émerveiller.Ensemble. A célébrer tous les jours leur vitalité d'union.
Hier, à peine arrivé chez moi, il expliquait à un jeune couple italo/ brésilien l'importance de mai 68 avant la récupération bourgeoise, la Commune, les manifs, la liberté, la fraternité.
Tu es la fille que je n'ai pas eu, dit-il.
Déjà quand tu avais 20 ans.je n'ai pas osé te le dire à l'époque.
Oui, je prends ouvert.Partages, oui.Oui et encore oui.
Je l'ai serré sur mon coeur quand les larmes débordaient, l'ai nourri de chaleur.
Je l'ai encore embrassé quand il est remonté dans le train.

Texto de S.
Vjaying "Lesborama" au Mucem, maître de conf Nathalie Magnan.
Je suis à peu près inculte sur les théories du genre. Merci à Feal, ici. ( comment vas tu, jeune ami?). Magnan est une ref.
S. déteste l'art contemporain. Qu'elle me propose le Mucem est une surprise.
Sur place, des garçonnes, des étudiants, autres.Des conformismes vestimentaires, capillaires, là aussi.
Mais la soirée commence par des films estudiantins, à l'intérêt relatif.
Tous attendent le collage de cette rétrospective, génèse 1995.
Mais vu qu'on commence à se faire chier, on part à la recherche d'un bar à vin.
L'amour unique est une construction sociétale et économique, dit -elle.
Je ne peux tout partager avec une seule personne.Je ne suis plus désirante, je déconstruis tout ça,dit-elle.
Elle avait turned down deux filles super, leur expliquant son positionnement.Mais s'était engagée dans ces traductions à faire pour un magazine libertaire allemand installé,pas un fanzine pourri double photocop, et puis celles pour un film anarchiste, en alllemand et en anglais.
Je suis trop contente, j'ai appris tard à me servir de mes mains. Mais en fait, alors que je pensais ne rien savoir faire, je me découvre compétente dans pas mal de domaines. Engagement désirant encore, elle ne s'en rend pas compte. S., ma caution politique, rigole-je.
Michel, S, deux positionnements apparemment contradictoires mais que je sens complémentaires.



Tu as été gavée petite,en famille, à l'école, d'images de princesses attendant leur prince, avec une ribambelle africaine d'enfants gages de bonheur, reprend S.
Passive, désirable,"pure", qui n'existe que dans cette attente.
L'arrivée de l'élu, enchaine je mentalement, c'est la fin.
Alors que l'aventure commence, avec la quête d'équilibre de toutes nos facettes. S.il m'a fallu longtemps pour l'apprivoiser.
Tu sais, dit elle,je te remercie de t'être accrochée, j'étais prête à terre brûler, c'est grâce à toi qu'on est encore là.

Je me rappelle de ce film, "The Square". Les filles avec lesquelles j'étai allée voir ce film en étaient ressorties ecoeurées, des spectateurs avaient quitté la salle avant la fin.
Oui, ce film était nihiliste, froid, sans concessions.Attaquant l'ordre bourgeois, la mise en pratique sociale de théories humanistes dans les cercles gratin très fermés de l'art contemporain, un échec violent. Un monde violent.
" C'est trop", disait l'une. Le réel n'est pas si noir. A la sortie du cinéma, sur la crasse de la Canebière tardive, pourtant, des hommes ivres et sans racines fouillent les reliefs de la société de consommation, des femmes aussi, proies aggressives de la nuit,conspuations diurnes des passants, couvertes de plaies.
J'ai une fois assisté à une rixe entre SDF, d'une violence soudaine et extrême.bien plus froide que dans les bidonvilles de Dehli.
Si, le réel est d'une violence inouïe, échappant à l'humanité, au sens.
La fiction est une tentative de faire sens. D'organiser le monde.
Mais le réel n'est pas modélisable.
J'ai arrêté de lire vraiment il y a longtemps, aussi ma culture littéraire est un peu très en friche dans un petit coin.
A partir de ce terreau, je sens que peu de  fictions ( à part chez Woolf peut être) n'a rendu à ce jour le choc de la réalité sensorielle , relationnelle, intra et interpersonnelle humaine.
C'est un chaos imprévisible et permanent au sein duquel on danse parfois avec grâce, à d'autres en se heurtant à soi, au monde.
Le réel n'est pas théorisable, modélisable, quelques soient les cases étouffantes, de plus en plus étroites que notre société construit.
On peut s'approcher d'un lambeau de sens éphémère ou plus pérenne, sans que la bascule ne soit prévisible ni dans son apparition ni dans sa durée.
Il n'y a que dans les grands cycles de l'univers que l'on trouve ce qui se rapproche d'une théorie vérifiable.

pas encore lancé des poèmes sous les essuie glaces.
I had promised.Lapin d'Alice.

I'm so fuckin sexy.

humanity is inhuman.

Le roi Gilgamesh fut un souverain sanguinaire il y a 2600 ans, jusqu'au jour où rentrant de guerre à Uruk, sa capitale, il s'apprêtait comme le veut la coutume,à déflorer une prêtresse vierge.
Inanna Ishtar, déesse de l'amour, de la fertilité et de la guerre,lointaine ancêtre d'Aphrodite, lui apparut, et voulut le séduire, mais il l'éconduit au vu du statut peu enviable qu'elle réservait selon lui, à ses conquêtes.
Offenser la déesse le conduisit à cata, le point de départ de son épopée, dont il revint tel un Christ, transformé dans son coeur, pour être le seigneur juste de son peuple, conduisant sa cité à prospérité.
Dans ce récit, le plus vieux du monde gravé sur tablette, on retrouve le Déluge biblique, qui aurait réellement eu lieu, noyant Uruk sous une épaisse couche de sédiments de l'Euphrate, du Tigre et d'un 3e fleuve.

On retrouve l'initiation par la solitude dans le désert.
Ce reportage d'Arte est passionant. J'avais envie de le partager avec toi.

et la musique qui va avec, mais pas à 200 ans près, c'est pas là dessus que Gilgamesh "honorait" ses prêtresses.

ben tiens donc, ça faisait longtemps...
aujourd'hui en classe j'ai fait n'imp comme d'hab.
On a conjugué au futur Gaudin se brosse ac des oursins.
Pis j'ai dessiné un lapin-cheval, à ne pas confondre ac l'âne.
y a des noms d'asanas comme ça, qui me laissent songeuse...

ah ouais.... imparable.

t'as pas trouvé d'asana correspondante?
en ce moment je travaille the dragon fly, la libellule, passke j'ai cru comprendre que mes pondaisons anglophones étaient parfois ostracisantes.Elle est un peu hard celle là, mais je pense que dans un mois ou deux, je devrais la monter correc.