Enfer Séphire
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Enfer Séphire
Je m'en vais le long des côtes
Parcourir les ombres et les nuages
Ils n'ont que la peine pour seul hôte
Ô qu'il est doux de vivre en cage
Odeurs floues et écumes de sang
Celui d'un ange; on l'a torturé
Bouton de rose au creux des flancs
C'est bien l'amour que l'on a tué
Je sens les larmes, et qu'elles sont belles
Ces dames au charme
De la grise hirondelle
Viens avec moi, bloc blanc de larmes
Nourris toi de moi, et viendra la peine
Et la peine est douce, et l'heure est sereine
Nous avançons vite, et nous gardons nos armes
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: Enfer Séphire
J'aimerai tant retrouver mon monde
J'aimerai tant reposséder cette planète
Je veux encore mes trésors
Je veux encore mon cœur
Je veux encore mes flamboyances
Je veux encore ma douceur
Je veux encore mon rire
Je veux encore être l'enfant qui court
Je veux être le vent qui court
J'aimerai retrouver mon âme
J'aimerai encore vivre sur les montagnes blanches
où a neigé la lumière
Je veux sentir la joie qui m'époumone
Mon rire qui rise en écho ses longues lamelles d'or sur vos visages
Eclats de vos joies
Eclats de vos sourires
Je voudrai tant pouvoir aimer comme j'ai aimé
Comme j'ai aimé vos âmes
Mon amour
Où est mon amour
J'aimerai tant reposséder cette planète
Je veux encore mes trésors
Je veux encore mon cœur
Je veux encore mes flamboyances
Je veux encore ma douceur
Je veux encore mon rire
Je veux encore être l'enfant qui court
Je veux être le vent qui court
J'aimerai retrouver mon âme
J'aimerai encore vivre sur les montagnes blanches
où a neigé la lumière
Je veux sentir la joie qui m'époumone
Mon rire qui rise en écho ses longues lamelles d'or sur vos visages
Eclats de vos joies
Eclats de vos sourires
Je voudrai tant pouvoir aimer comme j'ai aimé
Comme j'ai aimé vos âmes
Mon amour
Où est mon amour
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: Enfer Séphire
Roche au cœur de brume il y la rosée grise des matins en pleurs
Les baisers de minuit nostalgie la douleur a-t-elle une sœur
Tu t’appelai crépuscule les sourires sont ils électriques
Quand ils ferment les yeux traçant d’un trait bleu unique
Un sentiment comme un pétale une rose d’un velours sentimental
Un chant tracé de fumée du lierre noir comme un souffle qu’on étale
Tu t’appelai nostalgie ta sœur était la douleur
Il y a des époques passées qui nous peignent le cœur
Comme une peau touchée dans le silence sous un voile noir de brume
La fumée a t-elle une sœur dont les pleurs seraient l’écume
Vois le vin qui s’étale au velouté comme un froissement
La nostalgie a-t-elle une fille c’est le murmure lointain du vent
Passent les aigles irradiés par le sang des lys nocturnes
Comme des fleurs foudroyées par le plus pur éclat de lune
Velours de lune poudre aux senteurs violentes
Les filles des fleurs de lune sont d’une beauté sanglante
On les appelle courtisanes elles s’humilient dans le noir
Sous le repli d’une vague c’est un geyser que l’on peut voir
Il y a des sources sous les roches à la fraîcheur bleue comme une source
Bois donc le fruit des roches et verses tes larmes sur ta couche
Nostalgie que tu es belle tu te ferai musique
Au goût de mûre au goût de noix traçant la senteur symphonique
De nostalgie de nuages en flammes au feu comme une rosée
Fermes les yeux bois donc la flamme qui coule en fleuve
Comme une comète animée
La nostalgie est la senteur d’un bois de rose parfumé
Et pars lointain, ô aventurier des comètes !
Les secrets des fleurs du ciel demandent tous à être trouvés
Les baisers de minuit nostalgie la douleur a-t-elle une sœur
Tu t’appelai crépuscule les sourires sont ils électriques
Quand ils ferment les yeux traçant d’un trait bleu unique
Un sentiment comme un pétale une rose d’un velours sentimental
Un chant tracé de fumée du lierre noir comme un souffle qu’on étale
Tu t’appelai nostalgie ta sœur était la douleur
Il y a des époques passées qui nous peignent le cœur
Comme une peau touchée dans le silence sous un voile noir de brume
La fumée a t-elle une sœur dont les pleurs seraient l’écume
Vois le vin qui s’étale au velouté comme un froissement
La nostalgie a-t-elle une fille c’est le murmure lointain du vent
Passent les aigles irradiés par le sang des lys nocturnes
Comme des fleurs foudroyées par le plus pur éclat de lune
Velours de lune poudre aux senteurs violentes
Les filles des fleurs de lune sont d’une beauté sanglante
On les appelle courtisanes elles s’humilient dans le noir
Sous le repli d’une vague c’est un geyser que l’on peut voir
Il y a des sources sous les roches à la fraîcheur bleue comme une source
Bois donc le fruit des roches et verses tes larmes sur ta couche
Nostalgie que tu es belle tu te ferai musique
Au goût de mûre au goût de noix traçant la senteur symphonique
De nostalgie de nuages en flammes au feu comme une rosée
Fermes les yeux bois donc la flamme qui coule en fleuve
Comme une comète animée
La nostalgie est la senteur d’un bois de rose parfumé
Et pars lointain, ô aventurier des comètes !
Les secrets des fleurs du ciel demandent tous à être trouvés
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
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