L'amour dans un lys noir
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L'amour dans un lys noir
Comme un cercueil volant dans l’espace
Des lueurs d’étoiles de glace naviguant dans les yeux
Fièvres sombres immense regard noir
Etre perdu sur astéroïde en dérive
Serpents malades habillant le corps
Regarde cette poudre d’étoile argentée
Tu y goûte et cette saveur d’épice
Caressant tes joues
Effleurant tes paupières avec tendresse
Cocon d’épines douces absorbé de noir
Ces boules de larmes non déversées
Ici on meurt
C’est la nuit et c’est doux
Fièvres sombres ainsi il faut s’habituer
A marcher pour activer la faim
Désir ainsi voici tes lèvres
Voici une aile qui caresse ton visage
Courbé comme une pupille sous ce toit rose fait de paupière
Il faut s’habituer à mourir
Pour fondre comme un rapace sous les ailes douces de la nuit
Ici il fait nuit
Et nos regards de chair
S’entrecroisent avec ceux de l’infini
Rapides et fins
Doux et soyeux
Ici on meurt
Et nos os se transforment en pétales
Pour exploser en bouquet vers la voûte nocturne
Nous ne savons plus pourquoi nous pleurons
Mais c’est juste de l’amour qui passe
Assois-le dans ta paume
Et essaie encore d’aimer
Avec autant d’amour en toi
Allonge-le dans tes bras
Et souffre encore de ne pouvoir le donner
Marche marche encore l’affamé
Il n’y a plus que la vie que tu puisses aimer
Tes fièvres et tes nuits
Tes soleils nocturnes et ton chaos
Pleure pleure encore
Voilà ce que c’est que de ne plus savoir aimer
Marche marche encore celui qui aime
Et qui apprend de plus en plus à aimer
Des lueurs d’étoiles de glace naviguant dans les yeux
Fièvres sombres immense regard noir
Etre perdu sur astéroïde en dérive
Serpents malades habillant le corps
Regarde cette poudre d’étoile argentée
Tu y goûte et cette saveur d’épice
Caressant tes joues
Effleurant tes paupières avec tendresse
Cocon d’épines douces absorbé de noir
Ces boules de larmes non déversées
Ici on meurt
C’est la nuit et c’est doux
Fièvres sombres ainsi il faut s’habituer
A marcher pour activer la faim
Désir ainsi voici tes lèvres
Voici une aile qui caresse ton visage
Courbé comme une pupille sous ce toit rose fait de paupière
Il faut s’habituer à mourir
Pour fondre comme un rapace sous les ailes douces de la nuit
Ici il fait nuit
Et nos regards de chair
S’entrecroisent avec ceux de l’infini
Rapides et fins
Doux et soyeux
Ici on meurt
Et nos os se transforment en pétales
Pour exploser en bouquet vers la voûte nocturne
Nous ne savons plus pourquoi nous pleurons
Mais c’est juste de l’amour qui passe
Assois-le dans ta paume
Et essaie encore d’aimer
Avec autant d’amour en toi
Allonge-le dans tes bras
Et souffre encore de ne pouvoir le donner
Marche marche encore l’affamé
Il n’y a plus que la vie que tu puisses aimer
Tes fièvres et tes nuits
Tes soleils nocturnes et ton chaos
Pleure pleure encore
Voilà ce que c’est que de ne plus savoir aimer
Marche marche encore celui qui aime
Et qui apprend de plus en plus à aimer
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: L'amour dans un lys noir
Une aube de colère contenue c’est juste un autre minuit
Le noir est mon zénith les voiles chutent contre le cœur
Que nos histoires en cumulus de laineux vent sombre et maudit
Se déroulent comme coule un fleuve aux pourpres et grises saveurs
Je rentrerai contre le vent le vent lointaine
Une statue qui chute une foudre d’argent
Contre mes joues viendra se muer en fontaine
A rendre fou de l’amour et la Terre le premier serment
Cris balayant en muettes vasques
Les statues de pierre au souffle tremblant
Car au bout de leurs lèvres pas un souffle n’a sa trace
Au midi de minuit où mourut cet enfant
Dans le clair de la nuit treize années en arrière
Les gifles du vent nocturne sonnent comme des serments
Griffe des vents et la lune peau de cache-misère
C’était les pleurs qui tombaient nus en vagues de frissons
La lune est noire comme le dernier violon nocturne
Le coeur bat en griffes à juste se laisser aimer
Quand le cœur est griffé frôle une douce amertume
Qui en dernière valse sur mes lèvres s’est brisée
Le noir est mon zénith les voiles chutent contre le cœur
Que nos histoires en cumulus de laineux vent sombre et maudit
Se déroulent comme coule un fleuve aux pourpres et grises saveurs
Je rentrerai contre le vent le vent lointaine
Une statue qui chute une foudre d’argent
Contre mes joues viendra se muer en fontaine
A rendre fou de l’amour et la Terre le premier serment
Cris balayant en muettes vasques
Les statues de pierre au souffle tremblant
Car au bout de leurs lèvres pas un souffle n’a sa trace
Au midi de minuit où mourut cet enfant
Dans le clair de la nuit treize années en arrière
Les gifles du vent nocturne sonnent comme des serments
Griffe des vents et la lune peau de cache-misère
C’était les pleurs qui tombaient nus en vagues de frissons
La lune est noire comme le dernier violon nocturne
Le coeur bat en griffes à juste se laisser aimer
Quand le cœur est griffé frôle une douce amertume
Qui en dernière valse sur mes lèvres s’est brisée
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: L'amour dans un lys noir
Les pétales noirs des espérances
Font éclore la rose du silence
Sur les brumes des mots maudits
Les battements de cœur ne sont plus interdits
Sur la rivière de la malchance
On chute on danse dans le silence
Parcelles humaines récupérées
C’est presque comme un parfum de lait
Feu d’artifices de pétales
Bouquet de roses bleues qui s’installe
Soleil diamant dans la poitrine
Le phare bleuté au loin culmine
Douceur et joie comme l’Eté
Roses roses retrouvées
Brasier du sang vient tout peindre
De tes larmes et de tes rêves de laine
Que le froid cela à tout craindre
Un océan bleu saphir coule dans les veines
Le cœur constant bleu combattant
La rose du silence et de l’espérance
Je me noie dedans
Font éclore la rose du silence
Sur les brumes des mots maudits
Les battements de cœur ne sont plus interdits
Sur la rivière de la malchance
On chute on danse dans le silence
Parcelles humaines récupérées
C’est presque comme un parfum de lait
Feu d’artifices de pétales
Bouquet de roses bleues qui s’installe
Soleil diamant dans la poitrine
Le phare bleuté au loin culmine
Douceur et joie comme l’Eté
Roses roses retrouvées
Brasier du sang vient tout peindre
De tes larmes et de tes rêves de laine
Que le froid cela à tout craindre
Un océan bleu saphir coule dans les veines
Le cœur constant bleu combattant
La rose du silence et de l’espérance
Je me noie dedans
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: L'amour dans un lys noir
Les reflets froids du fleuve qui stagnait
La douce fraîcheur de la nuit
L’amour avait coulé comme un chant dans le noir
Les écrillaillements avaient fait du fragile une préciosité
Et les oiseaux roses montaient vers le ciel
Une couleur jaune semblait être toute la voûte
Par terre des rocs de métal
Qui fait tinter le ciel noir avec le métal du sol
Tous les cris secrets avaient révélé leur chant et leur humanité
Œufs d’humanités ouverts comme des fleurs fracassées de cris de tristesse
Les parchemins premiers étaient de nature affective et longévitive
O cris éteints silences charnus et secs sous la rosée
Le ciel miroite tant de clameur et de froid
Culture parmis les vents vie de toutes les saisons ô mémoires
L’affect est précieux et le monde lui appartient
Même les odeurs par ici ne mentent pas
Et que de légendes accrochées au temps filtrent par le temps
Histoire voici tes coutures ton sol et ton présent
Culture tu ne démordras pas de ton existence première et dernière
Cœur tu te réchauffes
Et les odeurs et l’atmosphère ne mentent pas
Et attestent de toute magie des temps présents ici
Culture oiseau de gloire aigle noir qui prend son envol
Culture et télégraphie dans le cœur et tricot laines du cœur qui filent
Le silence et les bruits et la musique sont des offrandes
Dans le temps ancré depuis bien longtemps ici
Et couve les plumes dormantes de la nidification des devenirs
La vie revient le cœur se porte comme un pourpoint
Et l’histoire flotte même dans la nuit
Où tous les écrous tournent et l’horloge tique et taque car le temps persiste
Et le monde continue
La douce fraîcheur de la nuit
L’amour avait coulé comme un chant dans le noir
Les écrillaillements avaient fait du fragile une préciosité
Et les oiseaux roses montaient vers le ciel
Une couleur jaune semblait être toute la voûte
Par terre des rocs de métal
Qui fait tinter le ciel noir avec le métal du sol
Tous les cris secrets avaient révélé leur chant et leur humanité
Œufs d’humanités ouverts comme des fleurs fracassées de cris de tristesse
Les parchemins premiers étaient de nature affective et longévitive
O cris éteints silences charnus et secs sous la rosée
Le ciel miroite tant de clameur et de froid
Culture parmis les vents vie de toutes les saisons ô mémoires
L’affect est précieux et le monde lui appartient
Même les odeurs par ici ne mentent pas
Et que de légendes accrochées au temps filtrent par le temps
Histoire voici tes coutures ton sol et ton présent
Culture tu ne démordras pas de ton existence première et dernière
Cœur tu te réchauffes
Et les odeurs et l’atmosphère ne mentent pas
Et attestent de toute magie des temps présents ici
Culture oiseau de gloire aigle noir qui prend son envol
Culture et télégraphie dans le cœur et tricot laines du cœur qui filent
Le silence et les bruits et la musique sont des offrandes
Dans le temps ancré depuis bien longtemps ici
Et couve les plumes dormantes de la nidification des devenirs
La vie revient le cœur se porte comme un pourpoint
Et l’histoire flotte même dans la nuit
Où tous les écrous tournent et l’horloge tique et taque car le temps persiste
Et le monde continue
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: L'amour dans un lys noir
Les voiles noirs et bleu
Là des brises de tempêtes
Eteignaient les feux
Nuit où croulent les fêtes
Sombre laurier sur un mur vide
Histoire d’insomnies envoûtées
Que veux-tu ton cœur si livide
S’est trempé dans le laurier
Imprégné d’un sang de soleil et de nuit
On ferma les fenêtres à minuit et à l’aube
Il tomba de la poudre du cacao et des jours mauves
Dans la cour désertique des hallalis
On cria silencieux dans la soirée
A perdre Irina en Sicile ô aimée
A sembler comme aujourd’hui une fenêtre d’ombre
A quatorze ans ô qu’on aime l’âme et l’œil sombre
Comme on tombe dans la journée
Les yeux ouverts de dix nuits de poussière
Il y avait un lac à l’intérieur du miroir glacé
Et c’est de l’eau où bougent les doigts ô noble misère
Courant d’air musical à la vue
Comme une chevelure qui ondule
Cœur partant pour un ciel si haute catapulte
Où l’on sait que vent qui roule a été su
Vision désert beauté des parterres et de la lumière
Ô son qui tremble comme une larme
Par delà les vents veillée d’armes
Où sont passés les combats et le gel de la verrière
Ce qu’on fait des pétales tombés on les récolte
Dans un tonneau dans la main pour tout souffler
Mémoire et mots comme des dessins gardés
Et peu de choses c’est la poudre fine que l’on garde et colporte
Là des brises de tempêtes
Eteignaient les feux
Nuit où croulent les fêtes
Sombre laurier sur un mur vide
Histoire d’insomnies envoûtées
Que veux-tu ton cœur si livide
S’est trempé dans le laurier
Imprégné d’un sang de soleil et de nuit
On ferma les fenêtres à minuit et à l’aube
Il tomba de la poudre du cacao et des jours mauves
Dans la cour désertique des hallalis
On cria silencieux dans la soirée
A perdre Irina en Sicile ô aimée
A sembler comme aujourd’hui une fenêtre d’ombre
A quatorze ans ô qu’on aime l’âme et l’œil sombre
Comme on tombe dans la journée
Les yeux ouverts de dix nuits de poussière
Il y avait un lac à l’intérieur du miroir glacé
Et c’est de l’eau où bougent les doigts ô noble misère
Courant d’air musical à la vue
Comme une chevelure qui ondule
Cœur partant pour un ciel si haute catapulte
Où l’on sait que vent qui roule a été su
Vision désert beauté des parterres et de la lumière
Ô son qui tremble comme une larme
Par delà les vents veillée d’armes
Où sont passés les combats et le gel de la verrière
Ce qu’on fait des pétales tombés on les récolte
Dans un tonneau dans la main pour tout souffler
Mémoire et mots comme des dessins gardés
Et peu de choses c’est la poudre fine que l’on garde et colporte
cracocrac- Messages : 101
Date d'inscription : 08/03/2017
Age : 44
Localisation : Région parisienne
Re: L'amour dans un lys noir
J’ai vu ton amour fleurir dans une vallée noire
Avec le parfum de la glace sur le visage
Les corbeaux et les pies périssaient accrochées là
Comme dans un tableau terrible où on entendait le vent souffler
Ô terrible piano noir dans un murmure
On avait enfermé un baiser dans un mur de pierre
Et le monde s’enfuyait sous les coups du bois des galères
J’ai tenté de prendre par la main une note fatiguée
Au creux du bois et de la pierre il y avait une fleur de cristal
Et la fumée du breuvage immense un lac aux senteurs de bitume
Ta main s’est transformée en aile de cygne
Il y avait tout le quartier d’ombre mangé de lune
Tu t’es brisé comme un jeu de domino sur le sol
Et chaque cri était une larme qu’on ne voyait plus
Donne donc du cœur pour un horizon de poussière
Il y a bien des gens qui prendraient tes baisers pour des lueurs
J’ai vu naître un serpent d’or dans mon épaule
Et il parlai la langue des rubis et rêvait d’une forêt de saules
Ô douce comptine des jeunes filles tendres
Tu nous donnais des bonbons de cœur du rire à vendre
On cueillait le rire sur une belle peau au vent
Qui repartait l’âme pendue à la mort et le cœur en sang
Ô rivière noire du déchirement tu accouches de la vie et de la joie murmurée
Où il pleut des complaintes et des bouches hésitantes
Qui disent au silence il y a la paix qui hante
Et au cœur mangé par l’amour vert pomme
La mort ô douce rengaine vient à l’heure qui sonne
Colère des nuits poudrées
Tu ne sens pas le long cri d’horreur qui git dehors
J’ai froid ma douce âme on crucifie ta chair
Tu te reposeras longuement ici car c’était temps de guerre
On a besoin des cœurs sanglants et des beaux yeux floutés
Rengaine de l’amour dont la belle mort s’est poudrée
Pardon encore douce âme le miroir s’efface
Il y a trois doigts qui jouent ta main ton bras ton visage
Recontemple toi ici dans un miroir plus sage
La colère convient à tous en ces temps de ruine
Dans la misère et la beauté ton âme reste sublime
Avec le parfum de la glace sur le visage
Les corbeaux et les pies périssaient accrochées là
Comme dans un tableau terrible où on entendait le vent souffler
Ô terrible piano noir dans un murmure
On avait enfermé un baiser dans un mur de pierre
Et le monde s’enfuyait sous les coups du bois des galères
J’ai tenté de prendre par la main une note fatiguée
Au creux du bois et de la pierre il y avait une fleur de cristal
Et la fumée du breuvage immense un lac aux senteurs de bitume
Ta main s’est transformée en aile de cygne
Il y avait tout le quartier d’ombre mangé de lune
Tu t’es brisé comme un jeu de domino sur le sol
Et chaque cri était une larme qu’on ne voyait plus
Donne donc du cœur pour un horizon de poussière
Il y a bien des gens qui prendraient tes baisers pour des lueurs
J’ai vu naître un serpent d’or dans mon épaule
Et il parlai la langue des rubis et rêvait d’une forêt de saules
Ô douce comptine des jeunes filles tendres
Tu nous donnais des bonbons de cœur du rire à vendre
On cueillait le rire sur une belle peau au vent
Qui repartait l’âme pendue à la mort et le cœur en sang
Ô rivière noire du déchirement tu accouches de la vie et de la joie murmurée
Où il pleut des complaintes et des bouches hésitantes
Qui disent au silence il y a la paix qui hante
Et au cœur mangé par l’amour vert pomme
La mort ô douce rengaine vient à l’heure qui sonne
Colère des nuits poudrées
Tu ne sens pas le long cri d’horreur qui git dehors
J’ai froid ma douce âme on crucifie ta chair
Tu te reposeras longuement ici car c’était temps de guerre
On a besoin des cœurs sanglants et des beaux yeux floutés
Rengaine de l’amour dont la belle mort s’est poudrée
Pardon encore douce âme le miroir s’efface
Il y a trois doigts qui jouent ta main ton bras ton visage
Recontemple toi ici dans un miroir plus sage
La colère convient à tous en ces temps de ruine
Dans la misère et la beauté ton âme reste sublime
cracocrac- Messages : 101
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