les gens avec lesquels on ne partage rien
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paela
Granny
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les gens avec lesquels on ne partage rien
Ce sont les gens avec qui je ne partage rien qui viennent vers moi. Ce sont ceux-là qui à la pause cigarette vont venir me parler de la pluie et du beau temps ou de la rage de dents de petit dernier Ça ne me dérange pas 5 minutes mais chaque jour bof bof. Évidemment les gens avec qui je suis susceptible d'avoir de vrais échanges ne viennent pas vers moi, et moi j'ose pas trop m'immiscer (manque de confiance). Au final j'ai le choix entre des conversations sans intérêt pour moi ou rester seule . De plus vu de l'extérieur je semble intégrée à ce groupe donc pourquoi les autres viendraient-ils vers moi ?
Je suis nulle en relations sociales :s
Je suis nulle en relations sociales :s
Invité- Invité
Granny- Messages : 584
Date d'inscription : 06/01/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Et je peux ajouter que je suis trop gentille ! La personne que personne ne veut fréquenter car bizarre ou sent mauvais ou quart monde bah moi je vais être polie avec et lui dire bonjour. Résultat je deviens une amie potentielle donc la personne ne me lâche plus :s
L'année passée j'ai du carrément aller expliquer à un groupe de connaissances qui me fuyait sans que j'en vois la raison que non machine n'était pas mon amie mais que simplement elle me suivait partout même aux toilettes !
A présent je suis froide puisque c'est comme ça que ça fonctionne (enfin je crois^^)
L'année passée j'ai du carrément aller expliquer à un groupe de connaissances qui me fuyait sans que j'en vois la raison que non machine n'était pas mon amie mais que simplement elle me suivait partout même aux toilettes !
A présent je suis froide puisque c'est comme ça que ça fonctionne (enfin je crois^^)
Invité- Invité
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Dans tous les cas, il faut se lancer! Ca demande peut etre un effort, mais il y a peu à perdre. Si les personnes avec qui tu es susceptible d'avoir de vrais échange te rejettent, tu pourras tout de meme remettre en cause leur ouverture d'esprit. Bien sur, cela demande une confiance en soi assez grande pour comprendre qu'il n'y a peu de raisons que des personnes qu'on apprécie réellement et qui sont aptes à nous apprécier réellement nous rejettent.
Aussi, pourquoi ne pas lancer la conversation sur d'autre sujet avec les gens qui viennent vers toi? Qui sait, peut-etre que tu découvriras des personnes intéressantes qui n'attendaient que ça. Commencer petit à petit pour ne pas susciter un rejet me semble etre une bonne idée.
Mais bon après si c'est des personnes qui paraissent vraiment pas intéressantes faut pas forcer non plus...
J'avais tendance (je le fais encore u peu mais beaucoup moins) à vite trouver une personne "conne", c'est à dire égocentrique -et en cherchant d'autre défauts que je pouvais donner à de ces personnes je me rends compte que celui là ressortais souvent, mais ce n'st pas un joli défaut-, arrogante, hypocrite. Bien que j'aie assez tot remarqué que je faisais ça, j'ai continué à le faire chaque année, notamment avec une nouvelle classe. En fait, tout le monde a plusieurs défauts qui peuvent nous déplaire, mais lorsqu'on apprend à connaitre les gens,pour la plupart d'entre eux, on trouve leurs qualités et on peut les apprécier pour elles.
Aussi, pourquoi ne pas lancer la conversation sur d'autre sujet avec les gens qui viennent vers toi? Qui sait, peut-etre que tu découvriras des personnes intéressantes qui n'attendaient que ça. Commencer petit à petit pour ne pas susciter un rejet me semble etre une bonne idée.
Mais bon après si c'est des personnes qui paraissent vraiment pas intéressantes faut pas forcer non plus...
J'avais tendance (je le fais encore u peu mais beaucoup moins) à vite trouver une personne "conne", c'est à dire égocentrique -et en cherchant d'autre défauts que je pouvais donner à de ces personnes je me rends compte que celui là ressortais souvent, mais ce n'st pas un joli défaut-, arrogante, hypocrite. Bien que j'aie assez tot remarqué que je faisais ça, j'ai continué à le faire chaque année, notamment avec une nouvelle classe. En fait, tout le monde a plusieurs défauts qui peuvent nous déplaire, mais lorsqu'on apprend à connaitre les gens,pour la plupart d'entre eux, on trouve leurs qualités et on peut les apprécier pour elles.
paela- Messages : 2689
Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 31
Localisation : Bordeaux
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Bien sur chacun a des qualités. C'est mon principe de départ. Simplement à force d'être accueillante je me retrouve au milieu des gens qui parlent de cul, de foot ou de leur môme.. Ca m'intéresse modérément voire pas du tout ^^
Je me vois mal leur dire "tiens avez-vous lu le dernier de Paul Auster?"
Les intellectuels sont rejetés de toute façon..
Heureusement que j'ai mon monde intérieur et quelques copines de qualité avec qui parler un peu. JE suis moins gentille de toute façon.
Je me vois mal leur dire "tiens avez-vous lu le dernier de Paul Auster?"
Les intellectuels sont rejetés de toute façon..
Heureusement que j'ai mon monde intérieur et quelques copines de qualité avec qui parler un peu. JE suis moins gentille de toute façon.
Invité- Invité
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Tu me fais penser à cet horrible jojo qui passait toujours en fin de soirée et autour duquel se formait un groupe de mecs pour rire grassement à ses bonnes blagues salaces.
C'est le moment que je choisissais pour m'éclipser.
C'est le moment que je choisissais pour m'éclipser.
Granny- Messages : 584
Date d'inscription : 06/01/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
les gens avec qui je ne partage rien, je ne leur parle plus, juste un minimum de respect et puis stop car en général on a rien en commun ; c'est dur de dire ça, mais je m'ennuie avec eux. Et puis les gens qui ne reflète pas un minimum d'amour pour autrui, je les évite aussi... et oui le surdoué est un dépendant affectif alors s'il n'y a pas un brin de feeling, de sentiments, d'affections, d'empathie, la mayonnaise de prend pas.
line- Messages : 84
Date d'inscription : 01/04/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
J'ai le même problème parce que je parle à tout le monde
J'aime bien les gens mais bon je reconnais que tu as raison des fois, c'est terriblement ennuyeux (mais j'ai plusieurs stratagèmes pour les éviter quand je n'ai tout simplement pas envie de parler, la reine de la feinte c'est moi)
Bon le point positif, c'est que ça occupe la journée aussi de leur parler, et on est pas à l'abri d'une bonne surprise.
J'aime bien les gens mais bon je reconnais que tu as raison des fois, c'est terriblement ennuyeux (mais j'ai plusieurs stratagèmes pour les éviter quand je n'ai tout simplement pas envie de parler, la reine de la feinte c'est moi)
Bon le point positif, c'est que ça occupe la journée aussi de leur parler, et on est pas à l'abri d'une bonne surprise.
Joanita- Messages : 68
Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 34
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Moi aussi, je suis plutôt ouverte et vais vers les gens (je trouve que c'est plus agréable que de rester dans son coin).
Par contre, souvent, je n'ai rien à dire ou plutôt, au bout d'un moment (quelques minutes), je m'ennuie et finis par décrocher. C'est dur de ne pas montrer son exaspération.
Sinon, le pire, c'est que j'ai un collègue avec qui je dois manger quasiment tous les midis (il fait partie de mon groupe), collègue qui croit que je suis une de ses meilleures collègues (au point de dire que je suis une de ses amies) mais je n'ai rien à lui dire, il ne m'apporte rien et je dépéris à l'idée de déjeuner avec lui quand les autres collègues sont absents ou en vacances. Je fais semblant, je fais semblant d'être intéressée par ce qu'il dit (les problèmes de son gamin, de son boulot, ses problèmes etc) mais ça vole pas haut du tout. J'ai peur de craquer et d'être ignoble avec lui.
Vous y arrivez, vous, à ne paas craquer ? quels sont vos stratagèmes ? Souvent, je dis que j'ai un truc urgent à faire ou que je dois y aller...
Sinon, je n'ai pas lu le dernier bouquin de Paul Auster Je ne lis plus trop en ce moment (problème occulaire, je fatigue vite). Je crois que j'ai besoin de vacances.
Par contre, souvent, je n'ai rien à dire ou plutôt, au bout d'un moment (quelques minutes), je m'ennuie et finis par décrocher. C'est dur de ne pas montrer son exaspération.
Sinon, le pire, c'est que j'ai un collègue avec qui je dois manger quasiment tous les midis (il fait partie de mon groupe), collègue qui croit que je suis une de ses meilleures collègues (au point de dire que je suis une de ses amies) mais je n'ai rien à lui dire, il ne m'apporte rien et je dépéris à l'idée de déjeuner avec lui quand les autres collègues sont absents ou en vacances. Je fais semblant, je fais semblant d'être intéressée par ce qu'il dit (les problèmes de son gamin, de son boulot, ses problèmes etc) mais ça vole pas haut du tout. J'ai peur de craquer et d'être ignoble avec lui.
Vous y arrivez, vous, à ne paas craquer ? quels sont vos stratagèmes ? Souvent, je dis que j'ai un truc urgent à faire ou que je dois y aller...
Sinon, je n'ai pas lu le dernier bouquin de Paul Auster Je ne lis plus trop en ce moment (problème occulaire, je fatigue vite). Je crois que j'ai besoin de vacances.
alty- Messages : 48
Date d'inscription : 12/06/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
— oser aller vers les personnes qui peuvent nous nourrir et nous faire grandir ;
— savoir éconduire respectueusement et fermement les personnes qu'on ne souhaite pas fréquenter.
— savoir éconduire respectueusement et fermement les personnes qu'on ne souhaite pas fréquenter.
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
alty a écrit:Sinon, le pire, c'est que j'ai un collègue avec qui je dois manger quasiment tous les midis (il fait partie de mon groupe), collègue qui croit que je suis une de ses meilleures collègues (au point de dire que je suis une de ses amies) mais je n'ai rien à lui dire, il ne m'apporte rien et je dépéris à l'idée de déjeuner avec lui quand les autres collègues sont absents ou en vacances. Je fais semblant, je fais semblant d'être intéressée par ce qu'il dit (les problèmes de son gamin, de son boulot, ses problèmes etc) mais ça vole pas haut du tout. J'ai peur de craquer et d'être ignoble avec lui. .
J'ai eu des relations comme ça à un moment... et surtout une en particulier, poussée à bout, et assez "toxique", comme on dit.
Je crois que tôt ou tard, on finit par craquer parce qu'on est à bout de motifs pour s'esquiver, parce qu'on ne peut plus se voir dans la glace d'être aussi faux, parce qu'on en peut plus de faire semblant... C'est d'autant plus difficile que c'est ton collègue, fais attention à ne pas t'oublier dans cette histoire et à rester toi (dans une certaine mesure)
Bon, ce n'est que ma modeste expérience de petit vermicelle
Joanita- Messages : 68
Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 34
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Pour ma part, je me suis souvent ennuyée côté relationnel au boulot, mais en cherchant bien, en osant un peu, on trouve toujours 1ou 2 personnes avec qui on peut avoir des affinités, mais cela demande qq efforts de base.
Et puis, perso, je me dis que j'ai déjà des amis et que ce qui me lie au boulot, c'est un contrat de travail, je ne suis pas là pour élargir mon cercle d'amis ou de copains.
J'ai toujours éviter les repas avec les collègues (qui souvent ne parlent QUE du boulot, quand moi, j'ai envie de m'en décrocher pendant 1h ou 2), je passe pour qqun de froid et de distant et ça donne un avantage, ça laisse à l'écart, d'emblée, ceux qui se fient aux apparences !!!
Cela fait un tri naturel qui me facilite l'approche, ensuite, de ceux qui ne sont pas rebutés par mon attitude réservée, pour ne pas dire froide.
Et puis, perso, je me dis que j'ai déjà des amis et que ce qui me lie au boulot, c'est un contrat de travail, je ne suis pas là pour élargir mon cercle d'amis ou de copains.
J'ai toujours éviter les repas avec les collègues (qui souvent ne parlent QUE du boulot, quand moi, j'ai envie de m'en décrocher pendant 1h ou 2), je passe pour qqun de froid et de distant et ça donne un avantage, ça laisse à l'écart, d'emblée, ceux qui se fient aux apparences !!!
Cela fait un tri naturel qui me facilite l'approche, ensuite, de ceux qui ne sont pas rebutés par mon attitude réservée, pour ne pas dire froide.
Licorne- Messages : 30
Date d'inscription : 10/06/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
alty a écrit:Moi aussi, je suis plutôt ouverte et vais vers les gens (je trouve que c'est plus agréable que de rester dans son coin).
Par contre, souvent, je n'ai rien à dire ou plutôt, au bout d'un moment (quelques minutes), je m'ennuie et finis par décrocher. C'est dur de ne pas montrer son exaspération.
Sinon, le pire, c'est que j'ai un collègue avec qui je dois manger quasiment tous les midis (il fait partie de mon groupe), collègue qui croit que je suis une de ses meilleures collègues (au point de dire que je suis une de ses amies) mais je n'ai rien à lui dire, il ne m'apporte rien et je dépéris à l'idée de déjeuner avec lui quand les autres collègues sont absents ou en vacances. Je fais semblant, je fais semblant d'être intéressée par ce qu'il dit (les problèmes de son gamin, de son boulot, ses problèmes etc) mais ça vole pas haut du tout. J'ai peur de craquer et d'être ignoble avec lui.
Vous y arrivez, vous, à ne paas craquer ? quels sont vos stratagèmes ? Souvent, je dis que j'ai un truc urgent à faire ou que je dois y aller...
Je comprends le côté "exaspération".....
Es-tu vraiment obligée de manger avec lui chaque fois ??
Côté stratagème..... combien de fois suis-je allée à la machine à café quand les autres n'y sont plus... ça évite le risque de me montrer agacée, c'est fatalement pris pour du mépris !
Bon après c'est sûr qu'il faut assumer de passer pour une personne non sociable, mais comme les gens ont toujours à redire, quoiqu'on fasse, autant faire ce qui nous convient !
C'est dur de trouver un juste milieu pour ne pas se mettre à dos les uns et les autres tout en préservant un peu notre être profond !
Licorne- Messages : 30
Date d'inscription : 10/06/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
alty a écrit:Moi aussi, je suis plutôt ouverte et vais vers les gens (je trouve que c'est plus agréable que de rester dans son coin).
Par contre, souvent, je n'ai rien à dire ou plutôt, au bout d'un moment (quelques minutes), je m'ennuie et finis par décrocher. C'est dur de ne pas montrer son exaspération.
Sinon, le pire, c'est que j'ai un collègue avec qui je dois manger quasiment tous les midis (il fait partie de mon groupe), collègue qui croit que je suis une de ses meilleures collègues (au point de dire que je suis une de ses amies) mais je n'ai rien à lui dire, il ne m'apporte rien et je dépéris à l'idée de déjeuner avec lui quand les autres collègues sont absents ou en vacances. Je fais semblant, je fais semblant d'être intéressée par ce qu'il dit (les problèmes de son gamin, de son boulot, ses problèmes etc) mais ça vole pas haut du tout. J'ai peur de craquer et d'être ignoble avec lui.
Vous y arrivez, vous, à ne paas craquer ? quels sont vos stratagèmes ? Souvent, je dis que j'ai un truc urgent à faire ou que je dois y aller...
Sinon, je n'ai pas lu le dernier bouquin de Paul Auster Je ne lis plus trop en ce moment (problème occulaire, je fatigue vite). Je crois que j'ai besoin de vacances.
J'ai eu ce souci avec une fille qui me collait littéralement, jusqu'aux toilettes lors d'une formation pro. Elle était mal intégrée et comme je suis gentille et empathique et que le groupe la rejetait bien entendu j'avais mis un point d'honneur à être polie et gentille avec elle. J'étais devenue sa meilleure amie. J'étouffais et le reste du groupe m'a rejeté avec elle.
Pour m'en sortir, j'ai été trouvé le groupe un midi un jour où elle était absente et j'en ai parlé, j'ai dit que leur rejet me faisait du mal etc, et j'ai expliqué où j'en étais avec cette fille. Du coup j'ai eu le soutien des autres, par ex on avait l'habitude de s'asseoir plus ou moins aux mêmes places chaque jour, et bien qqu'un a changé avec moi pour m'isoler d'elle.. De mon côté j'avais pris le pli de l'aider quand elle ne s'en sortais pas et elle avait pris le pli de ne plus faire grand chose.. Je me suis fait violence et j'ai arrêté de m'investir et de donner.
Mais dur dur ce genre de situation, je suis tjs étonnée de voir comment des personnes peuvent venir me sucer le sang sans se dire que peut-être ça va me géner.
Pour les midis moi je mangeais dans mon bureau ou dehors et toujours seule
On avait un réfectoire horrible qui me coupait l'appétit, et puis les collègues viennent voir dans ton assiette ce que tu manges etc.
On a eu un gars collant et pénible comme ça aussi, perso je ne lui répondais pas, je ne relançais jamais la conversation (l'histoire avec la fille m'a un peu servi de leçon ). Idem je suis pressée. . Tu ne peux pas déjeuner dehors quand il est le seul présent ? Changer un peu les habitudes ? Manger parfois avec d'autres ?
Je trouve que la pause déjeuner est importante et ne doit pas devenir source de stress.
Invité- Invité
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Licorne a écrit:Pour ma part, je me suis souvent ennuyée côté relationnel au boulot, mais en cherchant bien, en osant un peu, on trouve toujours 1ou 2 personnes avec qui on peut avoir des affinités, mais cela demande qq efforts de base.
Et puis, perso, je me dis que j'ai déjà des amis et que ce qui me lie au boulot, c'est un contrat de travail, je ne suis pas là pour élargir mon cercle d'amis ou de copains.
J'ai toujours éviter les repas avec les collègues (qui souvent ne parlent QUE du boulot, quand moi, j'ai envie de m'en décrocher pendant 1h ou 2), je passe pour qqun de froid et de distant et ça donne un avantage, ça laisse à l'écart, d'emblée, ceux qui se fient aux apparences !!!
Cela fait un tri naturel qui me facilite l'approche, ensuite, de ceux qui ne sont pas rebutés par mon attitude réservée, pour ne pas dire froide.
Je suis de ton avis et je m'efforce de placer directement mes limites à présent. Avant je socialisais avec tous, y compris les vulgaires, etc. Le soucis c’est qu'alors les gens intéressants te classent un peu dans le groupe
Ce qui se passe aussi c'est que je n'ai rien à faire des titres et des diplômes, je suis aussi bien "copine" avec la nettoyeuse qu'avec le bac + 7. Je switche, je m'adapte, je m'intéresse facilement aux autres. Mais bcp de gens ont du mal avec ça et restent dans "leur" classe.
Il n'est pas question de me faire des amis au boulot. A mon boulot les rapports sont plus affectifs que hiérarchiques (en gros on fait plaisir au copain/maitresse/frère plutôt qu'obéir aux ordres de la hiérarchie, du coup c'est le berdol) et j'ai dit plus d'une fois que je ne place pas de sentiments ou d'affections dans mes rapports collégiaux. Cela ne veut pas dire que je suis froide ou lointaine. Bref je ne sais pas si je suis bien claire...Cela ne me convient pas de mélanger sentimental/professionnel/amitiés. Même si j'ai une amie que j'ai rencontré à un ancien boulot qui est devenue une amie parce qu'on partage des choses autres que le travail.
Idem comme j'avais un poste clé on ne me parlait que du boulot et de mon supérieur, y compris aux repas ou dans le métro. Jamais moyen de se poser, d'avoir une conversation différente.. Résultat je fuyais ou m'enfermais.
Ca me rassure de lire que vous êtes confronté à cela aussi..
augenblick résume bien la position à avoir je pense..
Invité- Invité
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
Pas facile de déjeuner avec d'autres collègues quand on sent, aussi, le rejet de la part des autres collègues du service. Pas évident du tout. Donc je reste dans le groupe qui veut bien m'accueillir et m'accepte. En fait, dans ce groupe, je ne m'entends bien qu'avec deux collègues dont un qui part à la fin du mois. Dommage. Je la regretterai. L'autre, en principe, il devrait partir en même temps que moi (si j'arrive à avoir ma promotion) donc je n'aurai pas trop de problèmes.
Je n'arriverai pas à dire au collègue qui m'exaspère plus que tout : stop. Je lui ai déjà dit que nous n'étions que collègues, pas amis. rien n'y fait. Je pense que je vais craquer mais j'essaie de tenir bon pour qu'on évite de dire que je le fais exprès. Vous n'avez pas idée du nombre de collègues qui m'ont rejetées et qui ne me parlent plus (ou alors s'ils le font, je vous dis pas les critiques dans le dos qu'on me rapporte bien sûr).
Il y a un autre collègue avec qui je m'entends très bien mais c'est un de mes supérieurs hiérarchiques donc ça fausse un peu la donne, je suis dans une entreprise où on ne déjeune pas avec son chef. D'ailleurs, je la soupçonne d'être zèbre, je trouve qu'elle fonctionne un peu beaucoup comme moi. Je n'ai pas besoin d'expliquer les choses comme avec les autres, y compris les autres chefs, avec elle, tout est plus simple dans le travail.
En attendant, je suis coincée dans mon groupe en partie déprimant pour le déjeuner. Sinon, j'ai interdit de parler boulot le midi... cette règle a fini par être acceptée sauf que le collègue, lui, nous parle de choses terriblement niaises (enfin à mes yeux, les autres semblent apprécier).
Je n'arriverai pas à dire au collègue qui m'exaspère plus que tout : stop. Je lui ai déjà dit que nous n'étions que collègues, pas amis. rien n'y fait. Je pense que je vais craquer mais j'essaie de tenir bon pour qu'on évite de dire que je le fais exprès. Vous n'avez pas idée du nombre de collègues qui m'ont rejetées et qui ne me parlent plus (ou alors s'ils le font, je vous dis pas les critiques dans le dos qu'on me rapporte bien sûr).
Il y a un autre collègue avec qui je m'entends très bien mais c'est un de mes supérieurs hiérarchiques donc ça fausse un peu la donne, je suis dans une entreprise où on ne déjeune pas avec son chef. D'ailleurs, je la soupçonne d'être zèbre, je trouve qu'elle fonctionne un peu beaucoup comme moi. Je n'ai pas besoin d'expliquer les choses comme avec les autres, y compris les autres chefs, avec elle, tout est plus simple dans le travail.
En attendant, je suis coincée dans mon groupe en partie déprimant pour le déjeuner. Sinon, j'ai interdit de parler boulot le midi... cette règle a fini par être acceptée sauf que le collègue, lui, nous parle de choses terriblement niaises (enfin à mes yeux, les autres semblent apprécier).
alty- Messages : 48
Date d'inscription : 12/06/2011
Re: les gens avec lesquels on ne partage rien
alty a écrit:Pas facile de déjeuner avec d'autres collègues quand on sent, aussi, le rejet de la part des autres collègues du service. Pas évident du tout. Donc je reste dans le groupe qui veut bien m'accueillir et m'accepte. En fait, dans ce groupe, je ne m'entends bien qu'avec deux collègues dont un qui part à la fin du mois. Dommage. Je la regretterai. L'autre, en principe, il devrait partir en même temps que moi (si j'arrive à avoir ma promotion) donc je n'aurai pas trop de problèmes.
Je n'arriverai pas à dire au collègue qui m'exaspère plus que tout : stop. Je lui ai déjà dit que nous n'étions que collègues, pas amis. rien n'y fait. Je pense que je vais craquer mais j'essaie de tenir bon pour qu'on évite de dire que je le fais exprès. Vous n'avez pas idée du nombre de collègues qui m'ont rejetées et qui ne me parlent plus (ou alors s'ils le font, je vous dis pas les critiques dans le dos qu'on me rapporte bien sûr).
Il y a un autre collègue avec qui je m'entends très bien mais c'est un de mes supérieurs hiérarchiques donc ça fausse un peu la donne, je suis dans une entreprise où on ne déjeune pas avec son chef. D'ailleurs, je la soupçonne d'être zèbre, je trouve qu'elle fonctionne un peu beaucoup comme moi. Je n'ai pas besoin d'expliquer les choses comme avec les autres, y compris les autres chefs, avec elle, tout est plus simple dans le travail.
En attendant, je suis coincée dans mon groupe en partie déprimant pour le déjeuner. Sinon, j'ai interdit de parler boulot le midi... cette règle a fini par être acceptée sauf que le collègue, lui, nous parle de choses terriblement niaises (enfin à mes yeux, les autres semblent apprécier).
En fait tu focalises un peu sur lui.. (Je te comprends)
J'ai mangé seule au travail et ça n'a pas été joyeux tous les midis surtout quand on voit les groupes se former. Mon lieu de travail est dans un beau cadre donc dès qu'il fait beau je mangeais dehors. Mais la plupart de mes collègues viennent de province et font train métro boulot et retour et n'ont jamais mis un pied en dehors de ce chemin. Donc si je proposais d'aller dehors personne ne me suivait (ou alors le nase qui a envie de draguer et qui va gâcher le repas !).
Je te comprends mais j'ai dépassé ce cap du "je me tais, je subis car ouf ici on m'accepte." Tu as de la valeur entourée ou pas, et peut-être que d'autres pensent la même chose sur cette personne.
Je ne me sentais pas du tout intégrée et à présent je me rends compte que j'ai acquis la sympathie de plein de gens et pas spécialement des collègues proches.
Et si tu dis que ta fin de mission est proche alors vise l'avenir, tu rencontreras d'autres personnes. Et ne part il pas bientôt en vacances que ça t'en fasse ?
As-tu essayé de lancer tes propres sujets de conversation d'un niveau un peu plus élevé ?
Plein de courage
Invité- Invité
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