Quelle couleur sous les rayures ?
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Tokamak- Messages : 3004
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Tokamak- Messages : 3004
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Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
- Tokamak a écrit : Salut à toutes et à tous,Lucide de mon état depuis quelques années, après avoir eu entre les mains le livre de Jeanne Siaud-Facchin "L'adulte surdoué", je me cherche encore. En outre cette oeuvre fut une révélation, enfin des réponses à ces myriades de questions, à un certain malaise, à ce sentiment de se sentir si différent, si incompris, cette inadaptabilité au cursus scolaire classique, etc.--------------------------------------------------------------------------------------------
Puis cette information que le cerveau du surdoué n'est en rien "meilleur" que celui d'un non surdoué, juste qu'il ne fonctionne pas de la même manière, dans les grandes lignes. Je n'ai pas passé le cap du test, et à vrai dire je n'en ai rien à faire, un jour qui sait. Est-ce important selon vous ? Ou une simple curiosité ?
En aparté je m'intéresse à tout ou presque, surtout les sciences en général, thèmes de prédilection, ayant conscience d'avoir raté mon parcours professionnel jusque-là. Puis reprendre les cours, les exams à bientôt 40 ans hum, ce dont j'aurais besoin est un bon coup de pied au cul.
Bref, ravi d'être là avec vous, en espérant évoluer à bon escient.Hello, bienvenue ici
J'espère que tu as trouvé réponses à tes questions ? et je pense aussi que le test du "coup de pied au luc" est le seul test valable dans la vie
Le luc étant l'épicentre qui permet de resituer "where is my mind ?", c'est mathématique.
Il paraîtrait d'ailleurs que JSF en bonne maîtresse en Joie et Science Fiction a prévu de sortir un deuxième volume avec fond musical accompagné des Pixies intitulé "where is ma map mind" ?
40 ans c'est le bon age chez les hommes pour commencer à faire des choses plus concrêtes, ça a été prouvé scientifiquement, c'est justement l'âge où ils commencent à sortir de l'adolescence, enfin à en sortir plus souvent et plus régulièrement, les chercheurs sont plutôt optimistes confère les deux conclusions de leurs travaux de recherche.- Spoiler:
Donc encore plus lucide sur ton état ? es tu devenu extra lucide et sur plusieurs états ?et tu gères mieux ou tes symptômes et pathologies se sont aggravé(e)s depuis la fréquentation de ce forum ? D'ailleurs en as tu découvert de nouveaux ? nouvelles ?
tu as un chat ? As tu un animal totem ? Plutôt fanta ?
ou Orangina rouge ?
Pour le reste je ne peux te parler de douance, je ne suis pas testée et je suis là depuis 2013 incognito...
Merci de ne pas me dénoncer à l'insu de mon plein gré
Ps : Wonderland, c'est le pays où vivent les piles ? c'est bien ça ?
ou celui de wonder woman ?
C'est curieux qu'il y ait toujours des man dans les no man land pour dire que c'est un no man land, la science est un puits de connaissances et de mystères avec ou sans caramel toujours à remettre en question et en perspective...
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
https://www.lesechos.fr/01/05/2015/lesechos.fr/02141608527_mon-donut-dans-l-espace--.htm
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
.oO( mais où veut-elle en venir... )Oo.
Tokamak- Messages : 3004
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Tokamak- Messages : 3004
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Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
Dernière édition par I am so sure le Ven 29 Sep 2017 - 20:49, édité 1 fois
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
"Tu pouvais te dire qu’il était fou. Mais ce n’était pas si simple. Quand un type te raconte avec une précision absolue quelle odeur il y a sur Bertham Street, l’été, quand la pluie vient juste de s’arrêter, tu ne peux pas te dire qu’il est fou pour la seule et stupide raison qu’il n’est jamais allé sur Bertham Street. Lui, dans les yeux de quelqu’un, dans les paroles de quelqu’un, cet air-là, l’air de Bertham Street, il l’avait respiré, vraiment. À sa manière, mais vraiment. Le monde, il ne l’avait peut-être jamais vu. Mais ça faisait vingt-sept ans que le monde y passait, sur ce bateau : et ça faisait vingt-sept ans que Novecento, sur ce bateau, le guettait. Et lui volait son âme."
"Il jouait je ne sais quelle diable de musique, petite, mais... belle. Pas de trucage, c’était vraiment lui qui jouait, c’étaient ses mains à lui, sur ce clavier, Dieu sait comment. Et il fallait entendre ce qui en sortait. Il y avait une dame, en robe de chambre, rose, avec des espèces de pinces dans les cheveux... le genre bourrée de fric, si vous voyez ce que je veux dire, une Américaine mariée avec un assureur... eh bien, elle avait de grosses larmes, ça coulait sur sa crème de nuit, elle regardait et elle pleurait, elle ne pouvait plus s’arrêter. Quand elle vit le commandant à côté d’elle, bouillant de surprise, mais bouillant, littéralement, quand elle le vit à côté d’elle, avec un reniflement, la grosse dame riche, je veux dire, elle montra le piano et en reniflant, elle demanda : « S’appelle comment ?
— Novecento.
— Pas la chanson, le petit garçon."
"Un jour, j’ai demandé à Novecento à quoi diable il pensait quand il jouait, et ce qu’il regardait, les yeux toujours droit devant lui, où il s’en allait, finalement, dans sa tête, pendant que ses mains se promenaient toutes seules sur les touches. Et il m’a répondu : «Aujourd’hui je suis allé dans un pays très beau, les femmes avaient des cheveux parfumés, il y avait de la lumière partout et c’était plein de tigres. »
Il voyageait, quoi.
Et chaque fois il allait dans un endroit différent : en plein centre de Londres, dans un train au milieu de la campagne, sur une montagne si haute que la neige t’arrivait à la taille, ou dans la plus grande église du monde, à compter les colonnes et regarder les crucifix bien en face. Il voyageait. Le plus difficile à comprendre, c’était comment il pouvait savoir à quoi ça ressemblait, une église, et la neige, et les tigres et... je veux dire, il n’en était jamais descendu, de ce bateau, pas une seule fois, c’était pas une blague, c’était absolument vrai. Jamais descendu, pas une fois. Et toutes ces choses-là, pourtant, c’était comme s’il les avait vues. Novecento, tu lui disais « Une fois j’ai été à Paris », et il te demandait si tu avais vu les jardins de machin-truc, ou si tu avais dîné à tel endroit, il savait tout, il te disait : « Ce que j’aime, là-bas, c’est attendre le coucher du soleil en me baladant sur le Pont-Neuf, et quand les péniches passent, m’arrêter et les regarder d’en haut, et leur faire un signe de la main.
— Mais tu y es déjà allé, à Paris, Novecento ?
— Non.
— Alors...
— C’est-à-dire... si.
— Comment ça, si ?
— Paris. »
"Il l’était vraiment, le plus grand. Nous, on jouait de la musique, lui c’était autre chose. Lui, il jouait ? quelque chose qui n’existait pas avant que lui ne se mette à jouer, okay ? Quelque chose qui n’existait nulle part. Et quand il quittait son piano, ça n’existait plus... ça n’était plus là, définitivement."
"Imagine, maintenant : un piano. Les touches ont un début. Et les touches ont une fin. Toi, tu sais qu'il y en a quatre-vingt-huit, là-dessus personne peut te rouler. Elles sont pas infinies, elles. Mais toi, tu es infini, et sur ces touches, la musique que tu peux jouer elle est infinie. Elles, elles sont quatre-vingt-huit. Toi, tu es infini. Voilà ce qui me plaît. Ca, c'est quelque chose qu'on peut vivre. Mais si tu/
Mais si je monte sur cette passerelle, et que devant moi/
Mais si je monte sur cette passerelle et que devant moi se déroule un clavier de millions de touches, des millions, des millions et des milliards/
Des millions et des milliards de touches, qui ne finissent jamais, c'est la vérité vraie qu'elles ne finissent jamais, et ce clavier-là, il est infini, alors/
Sur ce clavier-là, il n'y a aucune musique que tu puisses jouer. Tu n'es pas assis sur le bon tabouret : ce piano-là, c'est Dieu qui y joue/
Nom d'un chien, mais tu les as seulement vues, ces rues?
Rien qu'en rues, il y en avait des milliers, comment vous faites là-bas pour en choisir une/
Pour choisir une femme/
Une maison, une terre qui soit la vôtre, un paysage à regarder, une manière de mourir/
Tout ce monde, là/
Ce monde collé à toi, et tu ne sais même pas où il finit/
Jusqu'où il y en a/
Vous n'avez pas peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser? D'y vivre.../
Moi, j'y suis né, sur ce bateau. Et le monde y passait, mais par deux mille personnes à la fois. Et les désirs, il y en avait aussi, mais pas plus que ce qui pouvait tenir entre la proue et la poupe. Tu jouais ton bonheur, sur un clavier qui n'était pas infini.
C'est ça que j'ai appris, moi. La terre, c'est un trop long voyage. Une femme trop belle. Un parfum trop fort. Une musique que je ne sais pas jouer. Pardonnez-moi. Mais je ne descendrai pas."
"À présent, personne n’est obligé de le croire, et pour être exact, je n’y croirais pas moi-même si on me le racontait, mais la vérité vraie c’est que ce piano commença à glisser, sur le parquet de la salle de bal, et nous derrière lui, avec Novecento qui jouait, sans détacher son regard des touches, il avait l’air ailleurs, et le piano suivait les vagues, il s’en allait d’un côté, revenait de l’autre, puis tournait sur lui-même, et filait droit sur les baies vitrées, puis, à un cheveu de la vitre, il s’arrêtait et recommençait à glisser doucement dans l’autre sens, je veux dire, c’était comme si l’Océan le berçait, et nous avec, moi j’y comprenais rien, et Novecento, lui, il jouait, il continuait à jouer, et c’était clair que ce piano, il se contentait pas de jouer dessus mais qu’il le conduisait, vous comprenez ?, avec les touches, avec les notes, je sais pas avec quoi, mais il le conduisait où il voulait, ce piano, c’était absurde mais n’empêche. Et pendant qu’on voltigeait entre les tables, en frôlant les lampadaires et les fauteuils, j’ai compris, à ce moment-là, que ce qu’on faisait, ce qu’on était en train de faire, c’était danser avec l’Océan, nous et lui, des danseurs fous, et parfaits, emportés dans une valse lente, sur le parquet doré de la nuit. Oh yes."
Extraits de Novecento : pianiste, d'Alessandro Baricco.
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Tokamak a écrit:@Stauk
Vsauce est le nom de la chaîne YT ce n'est pas choisi par hasard (et comme si le gars avait que ça à faire de tester tous les mots qui précèdent;) et tu peux essayer avec d'autres exemples ça fonctionne aussi. Idem pour les séquences de protéines, les récepteurs immunitaires, la magnitude des tremblements de terre, etc etc etc (à 3:13). Vsauce est plutôt une chaîne YT dite "sérieuse" (regarde ce que fait le gars c'est pas mal) et il n'y a pas d'actions en bourse "Loi de Zipf", personne n'a rien à gagner dans l'affaire. Il y a parfois des choses qui paraissent invraisemblables j'en conviens mais c'est ainsi.
J'aurais également osé espérer obtenir ton avis objectif (donc sans a priori) sur ce sujet via les éléments postés (aucun lien, c'est le mot "invraisemblable" qui m'a fait tilt).
https://www.zebrascrossing.net/t31575p325-l-intelligence-est-elle-propre-a-l-homme#1323998
Hello, bon je ne sais pas trop où répondre, alors je te réponds ici.
Je n'ai pas d'avis objectif sur la question, en toute objectivité.
Enfin .. je sais pas si j'ai bien compris de quoi on parle d'ailleurs, on parle d'ovnis ? (ou alors c'était mon avis sur l'autre vidéo qui était solicité, celle de la corrélation du rangs des mots ?)
A part dans des domaines où il existe un moyen de simuler quelque chose, ou à défaut de mesurer un phénomène, je ne crois pas en l'objectivité. Ici je ne vois pas trop sur quelle simulation ou quelle mesure reproductible on pourrait s'accorder.
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
´lut, si après analyse (?) des éléments tu ne sais même pas de quoi il est question... tant pis.
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Tokamak a écrit:´lut, si après analyse (?) des éléments tu ne sais même pas de quoi il est question... tant pis.
Bah j'ai regardé un peu, hein.
J'ai vu pizzagate (sur un autre fil), j'ai vu CIA, témoignages, des reportages tout ça.
C'est vrai que du coup je ne suis pas entré dans les détails, étant donné que j'ai déjà été confronté à des preuves similaires, et à moins que ça ne soit super obviously un fake, auquel cas j'imagine que tu ne me demanderais pas mon avis, y a pas en général trop de moyen de conclure. Par contre faut jamais sous estimer la propention de certains à monter des canulars, parfois vachement fouillés.
Faut pas non plus sous estimer la possibilité de témoignages sincères, troublant, et néanmoins sans corrélation avec la réalité : on l'observe en pariticuler chez les policiers qui récoltent des témoignages, avec parfois des différences énormes entre ce que les corrélations entre témoignages permettent de déduire, et ce que les témoignages individuels racontent.
Donc le plus souvent, il n'y a pas de possibilité de conclure, à moins qu'il n'existe quelque chose de vraiment très substantiel. Des millions de témoignages précis, ou une possibilité de reproduire les phénomènes. Ou a contrario des moyens de prouver qu'il y a des incohérences qui sont accablantes.
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
C'est sur le fil en question que tu aurais dû poster la première réponse. Puis (si je puis me permettre) quand je lis des généralités pareilles "oh on sait pas trop des fois il peut y avoir des canulars...". La question n'est pas là (et bien sûr il existe aussi des canulars qui le nie ?) je vais pas reprendre ici ce que j'ai écrit là-bas. Rien qu'avec cet exemple, les gamins à l'école... j'aimerais juste stp que tu expliques (sur le fil adéquat) si selon toi ils ont inventé cette histoire, ou s'ils ont été victimes d'hallucinations collectives.
Alors selon toi les professeurs et les enfants auraient-ils monté un canular ? Idem pour les militaires. Quoi j'te mets au pied du mur ? Ce sont les éléments que je pointe du doigt, depuis le début, et ça tricote sans jamais ô grand jamais (oser) s'intéresser de près ou de loin aux-dits éléments. Comme s'ils n'existaient pas, aussi comme les dizaines de vidéos infra-rouge des navettes orbitales STS, et tout le reste. Des canulars... emballé c'est pesé. Je fais pas mon caca nerveux, j'espérais naïvement pouvoir obtenir autre chose (et je dis pas ça que pour toi). Ce slogan "ils sont où les THQI ?", non ça ne vous effleure pas le moins du monde. Tout là-dedans est tout ce qu'il y a de plus... "normal".
Alors selon toi les professeurs et les enfants auraient-ils monté un canular ? Idem pour les militaires. Quoi j'te mets au pied du mur ? Ce sont les éléments que je pointe du doigt, depuis le début, et ça tricote sans jamais ô grand jamais (oser) s'intéresser de près ou de loin aux-dits éléments. Comme s'ils n'existaient pas, aussi comme les dizaines de vidéos infra-rouge des navettes orbitales STS, et tout le reste. Des canulars... emballé c'est pesé. Je fais pas mon caca nerveux, j'espérais naïvement pouvoir obtenir autre chose (et je dis pas ça que pour toi). Ce slogan "ils sont où les THQI ?", non ça ne vous effleure pas le moins du monde. Tout là-dedans est tout ce qu'il y a de plus... "normal".
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Ce qu'il y a de fondemental, c'est que je ne crois pas à la nécessité des croyances. La réalité n'a pas systématiquement besoin que j'y adhère pour exister. Je ne comprends pas du tout cette attitude qui consiste à croire ou ne pas croire, je suis tout à fait content et satisfait de connaître le monde immédiat, tel que je l'expérimente personnellement.
Bien sûr enquêter est parfois amusant, et parfois même "utile", dans le sens que ça peut avertir d'un danger. Mais même s'il y a un danger, surtout à grande échelle, ce n'est pas systématiquement la meilleure façon de travailler à l'éviter que de diffuser des informations peu précises à tous le monde : les gens réagissent de façon émotionnelle. Les avions n'ont jamais eu besoin que j'y crois pour voler, si il y a des aliens, ou d'autres choses susceptibles de surprendre l'opinion publique, ces phénomènes n'ont pas besoin ni que j'y adhère, ni que j'y crois, ni même que j'en informe ma famille et mes amis pour exister.
Alors bien sûr que si je pouvais avoir accès à une information privilégiée dans le domaine, mettons qu'un alien vienne sonner à ma porte et me distribue un tract ou quelque chose, je me sentirais ébranlé dans mon quotidien, je passerais de "peut-être" à "quasi-certitude". Néanmoins j'imagine que si ça n'arrive qu'une fois, et que le tract est en papier tout à fait ordinaire, au final la vie que je mène actuellement reprendra le dessus. Savoir que des aliens ont peut être envahi un lointain pays africain où je ne mettrais jamais les pieds, c'est pas dans mes priorités pour le moment. J'ai déjà pas mal à faire à déméler les scandales financiers, et j'admets que souvent je préfère faire l'autruche pour des raisons pratiques.
Si tu me demandes entre la transparence vis à vis de l'existence de visiteurs de l'espace, et la transparence vis à vis des flux financiers et des deals internationnaux illégaux ce qui me semble le plus urgent sur ma liste des enquêtes à mener, je répondrais aujourd'hui sans hésiter que la seconde catégorie permettrait d'améliorer nos chances de survie en tant qu'espèce bien plus sûrement qu'une enquête de difficulté comparable sur le premier sujet. Tu parles de THQI, comme si THQI signifiait "qui voient les choses du même point de vue que moi". Je ne comprends pas cette attitude; Aujourd'hui je ne comprendrais même pas l'attitude qui consisterait à espérer que THQI corresponde à "avoir un avis cohérent et bien construit, être capable de prendre du recul vis à vis des émotions, et de modéliser avec finesse le comportement et les règles du monde qui nous environne".
D'ailleurs je ne me considère pas comme THQI, ni même comme HQI ou quoi, je suis particulier, j'ai des intérêts pour des choses, une façon de fonctionner, et je ne me retrouve pas particulièrement dans l'ensemble non filtré de la population HQI. J'imagine que ça ne répondra pas vraiment à ton attente, mais c'est ma position.
Bien sûr enquêter est parfois amusant, et parfois même "utile", dans le sens que ça peut avertir d'un danger. Mais même s'il y a un danger, surtout à grande échelle, ce n'est pas systématiquement la meilleure façon de travailler à l'éviter que de diffuser des informations peu précises à tous le monde : les gens réagissent de façon émotionnelle. Les avions n'ont jamais eu besoin que j'y crois pour voler, si il y a des aliens, ou d'autres choses susceptibles de surprendre l'opinion publique, ces phénomènes n'ont pas besoin ni que j'y adhère, ni que j'y crois, ni même que j'en informe ma famille et mes amis pour exister.
Alors bien sûr que si je pouvais avoir accès à une information privilégiée dans le domaine, mettons qu'un alien vienne sonner à ma porte et me distribue un tract ou quelque chose, je me sentirais ébranlé dans mon quotidien, je passerais de "peut-être" à "quasi-certitude". Néanmoins j'imagine que si ça n'arrive qu'une fois, et que le tract est en papier tout à fait ordinaire, au final la vie que je mène actuellement reprendra le dessus. Savoir que des aliens ont peut être envahi un lointain pays africain où je ne mettrais jamais les pieds, c'est pas dans mes priorités pour le moment. J'ai déjà pas mal à faire à déméler les scandales financiers, et j'admets que souvent je préfère faire l'autruche pour des raisons pratiques.
Si tu me demandes entre la transparence vis à vis de l'existence de visiteurs de l'espace, et la transparence vis à vis des flux financiers et des deals internationnaux illégaux ce qui me semble le plus urgent sur ma liste des enquêtes à mener, je répondrais aujourd'hui sans hésiter que la seconde catégorie permettrait d'améliorer nos chances de survie en tant qu'espèce bien plus sûrement qu'une enquête de difficulté comparable sur le premier sujet. Tu parles de THQI, comme si THQI signifiait "qui voient les choses du même point de vue que moi". Je ne comprends pas cette attitude; Aujourd'hui je ne comprendrais même pas l'attitude qui consisterait à espérer que THQI corresponde à "avoir un avis cohérent et bien construit, être capable de prendre du recul vis à vis des émotions, et de modéliser avec finesse le comportement et les règles du monde qui nous environne".
D'ailleurs je ne me considère pas comme THQI, ni même comme HQI ou quoi, je suis particulier, j'ai des intérêts pour des choses, une façon de fonctionner, et je ne me retrouve pas particulièrement dans l'ensemble non filtré de la population HQI. J'imagine que ça ne répondra pas vraiment à ton attente, mais c'est ma position.
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- hors sujet:
Qui parle de "croyances" à part toi ?
Et bis repetita (décidément) pas un mot sur les éléments (!!!)
Et si tu dois répondre (ou pas) merci de t'exprimer sur le fil dédié.
Et si c'est pour parler d'autre chose que l'analyse des éléments ça ne m'intéresse pas, le tricot non merci.
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Stauk a écrit:Ce qu'il y a de fondemental, c'est que je ne crois pas à la nécessité des croyances. La réalité n'a pas systématiquement besoin que j'y adhère pour exister. Je ne comprends pas du tout cette attitude qui consiste à croire ou ne pas croire, je suis tout à fait content et satisfait de connaître le monde immédiat, tel que je l'expérimente personnellement.
Fondamental !
Si je pouvais, je la mettrais en rouge celle là.
Elle fait du bien
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
"Ainsi parlait Zarathoustra"
- Spoiler:
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Où justement pas tout dépend de comment a été posé à la base le panier pour le
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Où l'on voit l'importance des premières lignes.
De la notion des distances et d'une bonne gestion de l'espace en toutes circonsdouances
Et on a intérêt à respecter la charte du carnavaleux aussi On nous opprime, partout
De la notion des distances et d'une bonne gestion de l'espace en toutes circonsdouances
Et on a intérêt à respecter la charte du carnavaleux aussi On nous opprime, partout
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
- Spoiler:
--------------------------------------------------
http://phototheoria.ch/up/analyse_film_codes.pdf
-------------------------------------------------------A propos du FABULEUX DESTIN D'AMELIE POULAIN: Une analyse intéressante--------------------------------------------------------------------
Le texte suivant a été rédigé par Jean-François Vézina, psychologue et psychothérapeute. Il a été publié dans le magazine Cerveau et Psycho numéro 14. Il propose une interprétation nouvelle et simple du chef-d'oeuvre absolu de Jean-Pierre Jeunet.
Amélie Poulain ou la quête de l'identité
Qui n'a jamais souhaité être compris? Etre apprécié pour ce qu'il est, et non pour une image artificielle, conforme aux exigences de son milieu social ou professionnel? Or ces images trompeuses qu'on peut regretter se constituent nécessairement: au travail, en soirée, même avec nos proches, nous cherchons à nous présenter sous un jour favorable, ou à répondre aux attentes d'autrui. Avec autant plus de force que nous manquons de confiance en nous-mêmes. Comment découvrir et accepter son vrai visage?
Cette question, qui préoccupe philosphes et psychologues, est au coeur du film Le fabuleux destin d'Amélie Poulain, sorti sur les écrans en 2001. Ce film retrace l'histoire d'une jeune femme qui prend subitement conscience qu'elle s'est longtemps cachée derrière de multiples masques, craignant de révéler aux autres qui elle est. Cette histoire est chargée de concepts clés de la psychologie, notamment de la notion de faux self, ou de faux soi, introduit par le pédiatre anglais Donald Winnicott dans les années 1950. Rappelons en quelques lignes l'histoire d'Amélie Poulain. Ayant vécu entre une mère perpétuellement alitée, et un père accaparé par sa profession de médecin, Amélie a été privée du regard de ses parents, condamnée à se construire toute seule. Dès lors, le regard des autres lui manque. Son père, ne lui accordant quelque attention que lors des rares examens médicaux qu'il lui consacrait, ne lui a pas offert ce "reflet" nécessaire à la construction de sa personnalité: Amélie ne sait pas comment elle est perçue par ceux qui comptent pour elle, et en vient à croire que quelque chose "ne fonctionne pas bien" en elle. Il est assez facile de conclure que les enfants comme Amélie qui n'ont pas été assez regardés par leurs parents éprouveront plus tard un besoin excessif d'être regardés par les autres. Et pour séduire, ils dissimuleront leur véritable identité.
Ainsi, en manque d'attention, n'ayant pas été assez regardée par ses parents, Amélie enfouit une partie de son enfance en un lieu secret, au plus profond d'elle-même. Cette intimité n'est connue que d'elle seule. Le reste, l'image qu'elle donne aux autres, est artificiel: Amélie se compose un rôle de fille modèle responsable de sa mère, car, si on ne lui a pas assez prêté attention, c'est qu'elle a été une mauvaise fille, pense-t-elle. Elle se sent aussi l'obligation de pousser son père à voyager, lui qui n'aime pas bouger. Ainsi, Amélie évolue dans une logique dite de suradaptation, combinant oubli de soi et souci perpétuel de pallier les défaillances de son entourage en voulant aussi démêler les imbroglios de la vie des autres. Tout cela l'éloigne de sa vraie personnalité, de son vrai self. L'image qu'elle montre aux autres est un faux self conçu uniquement pour répondre à ce qu'elle croit être les exigences d'autrui.
Le vrai self d'Amélie, son intimité cachée, prend la forme d'une boîte aux trésors, qu'elle trouve dans le creux d'un mur de son appartement, et qui contient quelques vieilles figurines de cyclistes en étain et des timbres-poste. Devant ce symbole de l'intimité de l'enfance, Amélie s'interroge: l'intimité vaut-elle la peine d'être cultivée, retrouvée, appréciée? La boîte lui offre l'occasion de répondre à cette question: elle décide de retrouver son propriétaire, et d'observer ses réactions. S'il bondit de joie, cela prouvera le prix de l'intimité oubliée, du vrai self. S'il reste indifférent, c'est que ces bribes du passé ne sont qu'une trace éphémère à laquelle il est inutile d'accorder de l'importance.
Les masques de la persona
Au moment de voir rejaillir son enfance, l'homme est submergé par un flot d'émotions. Profondément bouleversé, il ira jusqu'à renouveler son existence en changeant de conduite, renouant par exemple des liens avec un fils oublié, et rétablissant la "vérité" de son existence.
Pour Amélie, c'est décidé. L'épreuve de la boîte est le signe que l'intimité et le vrai self sont des trésors qu'il faut retrouver. Dès lors, elle accepte d'établir un contact sincère avec l'homme qu'elle désire (ce qui lui était impossible tant qu'elle n'affichait que son faux self), et les personnages qui l'entourent agissent également en accord avec leur "vérité": son père, notamment, prend enfin la décision de partir en voyage.
LE concept de faux self a été exprimé à travers une autre image: la notion de persona, proposée par le psychiatre Carl Gustav Jung. La persona est tout ce que les autres croient que nous sommes, mais que nous ne sommes pas réellement. Dans la mythologie grecque, la persona était le masque qu'utilisaient les comédiens afin de faire résonner leur voix dans l'amphithéâtre, ce qui permettait au public d'identifier leurs rôles. Psychologiquement, il s'agit des adaptations qui nous permettent de nous faire entendre dans la société. Le masque social nous permet de nous adapter au monde.
La persona d'Amélie s'incarne dans son dévouement aux autres; elle est symbolisée par la fonctionde serveuse qu'elle occupe dans un petit bistrot de Paris, et par le masque de Zorro qu'elle porte dans une scène du film. C'est avec ce masque qu'elle se révèle pour la première fois à Nino, l'homme qu'elle aime. Elle incarne une personnalité prise au piège de son faux self et de cette persona qui l'empêche d'être elle-même.
Apparemment autonome et bien adaptée socialement, Amélie vit seule dans un petit appartement de Montmatre. Comme beaucoup de personnes empêtrées dans un faux self, elle fait de l'"évitement affectif". Elle a peur de se montrer au grand jour, syndrome révélé de façon saisissante lorsqu'elle s'effondre en une flaque d'eau quand vient le temps d'approcher l'homme de sa vie.
La quête d'Amélie Poulain, celle d'une relation sentimentale réussie et d'un rapport serein à ses proches, consistera à prendre confiance en sa valeur, valeur méconnue par ses parents. Dans le film, la transition difficile du faux self vers la réalité s'accomplit à travers un personnage, un homme qui se révélera être un réparateur de photomaton, symboliquement, un révélateur d'identité.
Chacun peut-il trouver l'équivalent de ce révélateur d'identité? Des circonstances favorables, un événement impromptu, un désir d'établir des liens nouveaux avec un proche, peuvent y contribuer. Mais s'il est si difficile d'offrir aux autres son intimité, c'est également parce que l'on prend le risque de briser son image, même si elle est fausse: cela suppose d'accepter ses limites.
Le fabuleux destin d'Amélie Poulain a réconforté les spectateurs en leur montrant que la restauration du soi était possible. C'est sans doute la clé de son succès. Le film révélait aussi que, derrières des existences apparemment bien réglées, se dissimule une forme d'ignorance de ses vrais besoins. Pour offrir à autrui son vrai self, possible ingrédient d'une relation épanouissante, encore faut-il sortir de sa cachette et affronter ce faux self et cette persona qui inhibent la spontanéité.
http://amblin7.skyrock.com/384203560-A-propos-du-FABULEUX-DESTIN-D-AMELIE-POULAIN-Une-analyse-interessante.html
Noel, approchant, doit on craindre une recrudescence de vidéos sur les théories du complot du faux elfe ?
Dernière édition par I am so sure le Jeu 2 Nov 2017 - 1:47, édité 1 fois
Tokamak- Messages : 3004
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Tokamak- Messages : 3004
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Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Non parce que le "oui mais" du dit doué, on n'en pouvait plus, c'est le "même si" qui régnera désormais sur le monde.
Bonne année oui, mais soyons précis...
Bonne année oui, mais soyons précis...
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
DINGUE !!!!!
Un truc de ouf comme on ne sait en jouer qu'en approchant de la Belgique...
Maintenant, moi, chuis près de la Catalogne. C'est..... Ils sont moins drôles que les madrilènes.
Un truc de ouf comme on ne sait en jouer qu'en approchant de la Belgique...
Maintenant, moi, chuis près de la Catalogne. C'est..... Ils sont moins drôles que les madrilènes.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
http://anti-deprime.com/2018/01/16/declencher-secretion-docytocine-etre-plus-heureux-1/
J'ai un don je sais aussi tôt dit ocytocine ...et du coup le générique démarre en automatique...
Mais alors le gars ou la nana qui pense avoir inventer l'eau chaude ? il/elle ocytocine a l'insu de son plein gré ? c'est la spirale imprévue et in controllable ?
Je vois des kinders partout ? suis je médium ? non je suis devant mon frigo
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Ou bien sera-ce le "en même temps" ?
T'as l'air fan des Pixies. Andalusia, c'était pour me rapprocher de Madrid ?
Ouaip, Pixies : béton.
Mon fils fan faisait alors des études à Lille et j'étais allé à un concert (début des années 2000).
Ginzhu, aussi, belge.
Bon, j'ai l'eau chaude.
A part ça, que d'ale (ale, comme bière; j'ai aussi.)
Ca se prend pas en cachets ou en sirop, l'ocytocine ?
Paske sinon, c'est trop duuuur.
Y'a aussi "aussitôt, oscillo". Marche pas pour ma grippe.
T'as l'air fan des Pixies. Andalusia, c'était pour me rapprocher de Madrid ?
Ouaip, Pixies : béton.
Mon fils fan faisait alors des études à Lille et j'étais allé à un concert (début des années 2000).
Ginzhu, aussi, belge.
Bon, j'ai l'eau chaude.
A part ça, que d'ale (ale, comme bière; j'ai aussi.)
Ca se prend pas en cachets ou en sirop, l'ocytocine ?
Paske sinon, c'est trop duuuur.
Y'a aussi "aussitôt, oscillo". Marche pas pour ma grippe.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
coucou tu l’as fais avec quoi ton dessin?
jtrouve coule
jtrouve coule
Invité- Invité
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
´lut, pour l’image c’est du dessin numérique (avec trois logiciels à deux balles) transféré sur toile via la toile, et sur plexi j’imagine un meilleur résultat. Si t’aimes bien alors développe stp, un regard vierge et extérieur, comment tu la comprends cette « oeuvre » ? Ô.o
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
les formes je trouve ça harmonieux
il y a bcp de détails mais ça va bien ensemble
je préfères les couleurs moins vives mais c’est une question de goût
je cherche pas vraiment à comprendre c’est un rond avec des jolis trucs dedans
ça fait penser à l’infini
il y a bcp de détails mais ça va bien ensemble
je préfères les couleurs moins vives mais c’est une question de goût
je cherche pas vraiment à comprendre c’est un rond avec des jolis trucs dedans
ça fait penser à l’infini
Invité- Invité
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
et à la dualité y a un coté qui est pluss comme ca alors que l autre il est plusse comme ca
Invité- Invité
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
Le yin et le yang dans l’oeuvre c’est pas faux, mais dis t’as un oeil de lynx !
Sinon c’était quoi ton ancien pseudo ?
Sinon c’était quoi ton ancien pseudo ?
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: Quelle couleur sous les rayures ?
c'est ironique?
c'est privé
mais c est moi le premier a t avoir dit bienvenue
c'est privé
mais c est moi le premier a t avoir dit bienvenue
Invité- Invité
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