le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
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Fab. Fabrice
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Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Question mobilité, je suis passé à 0 => Garde alterné des enfants. Recherches les CEO un peu charismatique ayant fais leurs études ailleurs que X, HEC ou Centrale. Sinon tu colles les neuronnes à Fleury
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Unefois a écrit:Recherches les CEO un peu charismatique ayant fais leurs études ailleurs que X, HEC ou Centrale.
Ça me fait penser au CEO de ma boite actuelle, le bonhomme a fait HEC et Polytechnique, il a probablement des capacités mais il est formaté à un point ... Incapable de penser par lui même.
Mindview- Messages : 660
Date d'inscription : 25/03/2016
Age : 40
Localisation : Montpellier
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Elon Musk
Dixit un de mes meilleurs potes, qui était CEO de l'une de ses trois boites : "Ce type est un génie. Il est fou à lier, mais c'est un génie."
Après mon autre pote qui est actuellement chez Tesla me dit que ses cousins sont des mongoles. Et il leur a filé les rênes d'un paquet de trucs.
Dixit un de mes meilleurs potes, qui était CEO de l'une de ses trois boites : "Ce type est un génie. Il est fou à lier, mais c'est un génie."
Après mon autre pote qui est actuellement chez Tesla me dit que ses cousins sont des mongoles. Et il leur a filé les rênes d'un paquet de trucs.
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Mindview a écrit:Unefois a écrit:Recherches les CEO un peu charismatique ayant fais leurs études ailleurs que X, HEC ou Centrale.
Ça me fait penser au CEO de ma boite actuelle, le bonhomme a fait HEC et Polytechnique, il a probablement des capacités mais il est formaté à un point ... Incapable de penser par lui même.
Quoique je connaisse au moins un centralien franchement en marge...
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
davidabricot a écrit:Si c'est que ça, tu peux survivre. Moi on m'a rien dit pendant 2 ans, on a commencé à me refiler toutes les merdes qui arrivaient, on a acclamé mon travail. Puis on m'a muté en Pologne... pour m'occuper de fournisseur français... Et juste après j'apprends que la chef me considère "dangereux" pour l'organisation car pas comme les autres. Bien plus performant, mais que ce n'est pas la performance qui compte, mais la capacité à se lisser.
typique, le zebre est utilisé et jeté quand il derange l'organisation, ce qui finit par arriver logiquement. sois zebre mais cache ces rayures
davidabricot a écrit:
Tout simplement car je faisais passer les autres pour des moins bon. Alors que j'avais fait exprès de paraître extravagant et je faisait transpirer ma façon de travailler qui était différente. J'ai tout fait pour ne pas être comparable aux autres, pour proposer un style qui ne nous mettais pas en compétition. Malgré tout, la chef qui n'avait pas envie de cheffer, a choisit l'option la plus simple, ne pas gérer, et m'envoyer en Pologne. Ce que j'ai refusé, donc dehors!
belle mise au placard !
zebrepat- Messages : 619
Date d'inscription : 26/03/2016
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Bah j'y suis habitué. Pourtant cette fois, j'étais intégré, un bon relationnel. Mes collègues appréciaient mes qualité, j'appréciais les leur. Et on était dans un style tellement différant, qu'il y avait du respect mutuel et pas de coup bas ou de compétition. Ma manager a un frère zèbre donc m'avait identifié et savait géré. Bref le truc parfait.
Sauf au niveau de la N+2... Comme quoi, même quand tout va bien à 99%, le 1% restant peut, par pondération, se retrouver extrêmement important.
Le pire c'est que la N+2 m'a clairement expliqué, qu'elle cherchait un clone. Du genre le type à qui tu peux dire d'aller 2 semaines en Russie, voire 6 mois en Corée. Et qui s'exécutera en se rendant compte de son exploitation qu'au bout de 6 ans de service. Elle avait peur aussi que je fouine, compare mon salaire au marché, soit démarché par un tiers, ou retourne ma compétence contre l'entreprise (en outre c'est ce que j'ai fait pour sortir d'une main de maître). Bref du gâchis.
C'est pour ça, salariat ou entrepreneuriat, peu importe. C'est surtout la chance ou non de croiser dans la vie des gens biens. C'est pareil pour des voisins par exemple, ou la belle famille, ou les collègues...
Sauf au niveau de la N+2... Comme quoi, même quand tout va bien à 99%, le 1% restant peut, par pondération, se retrouver extrêmement important.
Le pire c'est que la N+2 m'a clairement expliqué, qu'elle cherchait un clone. Du genre le type à qui tu peux dire d'aller 2 semaines en Russie, voire 6 mois en Corée. Et qui s'exécutera en se rendant compte de son exploitation qu'au bout de 6 ans de service. Elle avait peur aussi que je fouine, compare mon salaire au marché, soit démarché par un tiers, ou retourne ma compétence contre l'entreprise (en outre c'est ce que j'ai fait pour sortir d'une main de maître). Bref du gâchis.
C'est pour ça, salariat ou entrepreneuriat, peu importe. C'est surtout la chance ou non de croiser dans la vie des gens biens. C'est pareil pour des voisins par exemple, ou la belle famille, ou les collègues...
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
davidabricot a écrit:Bah j'y suis habitué. Pourtant cette fois, j'étais intégré, un bon relationnel. Mes collègues appréciaient mes qualité, j'appréciais les leur. Et on était dans un style tellement différant, qu'il y avait du respect mutuel et pas de coup bas ou de compétition. Ma manager a un frère zèbre donc m'avait identifié et savait géré. Bref le truc parfait.
Sauf au niveau de la N+2... Comme quoi, même quand tout va bien à 99%, le 1% restant peut, par pondération, se retrouver extrêmement important.
Le pire c'est que la N+2 m'a clairement expliqué, qu'elle cherchait un clone. Du genre le type à qui tu peux dire d'aller 2 semaines en Russie, voire 6 mois en Corée. Et qui s'exécutera en se rendant compte de son exploitation qu'au bout de 6 ans de service. Elle avait peur aussi que je fouine, compare mon salaire au marché, soit démarché par un tiers, ou retourne ma compétence contre l'entreprise (en outre c'est ce que j'ai fait pour sortir d'une main de maître). Bref du gâchis.
C'est pour ça, salariat ou entrepreneuriat, peu importe. C'est surtout la chance ou non de croiser dans la vie des gens biens. C'est pareil pour des voisins par exemple, ou la belle famille, ou les collègues...
le zebre est caricaturé, mais le probleme n'est pas la, soi-disant il sait pas travailler en groupe, s'integrer etc. cela peut arriver comme tous les individus mais en pratique le probleme est pas vraiment la
Il y a une dimension sociologique et politique evidente a la douance, systématiquement niée par les spécialistes de la douance
Apparemment deja dans les sociétés primitives le zebre était detecté tot et on avait compris qu'il pouvait remettre en cause l'organisation sociale et on en faisait un sorcier ou grand pretre
zebrepat- Messages : 619
Date d'inscription : 26/03/2016
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Je suis d'accord. Dans l'entreprise on aura 2 visions, celle où on détecte les gens à potentiels et cherche à les placer là où il faut, histoire de maximiser leur potentiel.
Et puis il y a l'entreprise qui compte dans ses rangs des gens médiocres, qui pensent à leur intérêt avant celui du groupe. Et ce sont eux qui éliminent tous les dangers. Et préfèrent s'entourer de gens obéissants, même si la compétence n'est pas au rendez-vous (dans les grands groupes, la compétence ne sert à rien). Et je trouve qu'en France, la mentalité + la génération qui a actuellement 45 - 55 ans, poussent plutôt dans le sens des intérêts personnels.
On a également peur de la jeunesse en France. Il fut un temps où on propulsait les jeunes, où on les formait, considérant que c'est entre 18 et 40 ans que l'on réfléchit vite, que l'on s'investi, que l'on a envie de changer les choses, d'avancer. Hors qu'est-ce qu'on voit? Les "vieux" se cramponnent à leur siège, exhortant la jeunesse à une fausse patience qui n'a que pour but l'atteinte de la péremption du plein potentiel. On écarte soigneusement les bons éléments dans bien des cas.
Car l'entreprise n'aime ni la réussite, ni la créativité, ni l'audace. Je pense que la plupart des réussites françaises, n'auraient pas vu le jour à notre époque. Les entreprises deviennent vérolées alors qu'elles sont nées par cet audace et cette créativité qu'elles écartent aujourd'hui.
Et puis il y a l'entreprise qui compte dans ses rangs des gens médiocres, qui pensent à leur intérêt avant celui du groupe. Et ce sont eux qui éliminent tous les dangers. Et préfèrent s'entourer de gens obéissants, même si la compétence n'est pas au rendez-vous (dans les grands groupes, la compétence ne sert à rien). Et je trouve qu'en France, la mentalité + la génération qui a actuellement 45 - 55 ans, poussent plutôt dans le sens des intérêts personnels.
On a également peur de la jeunesse en France. Il fut un temps où on propulsait les jeunes, où on les formait, considérant que c'est entre 18 et 40 ans que l'on réfléchit vite, que l'on s'investi, que l'on a envie de changer les choses, d'avancer. Hors qu'est-ce qu'on voit? Les "vieux" se cramponnent à leur siège, exhortant la jeunesse à une fausse patience qui n'a que pour but l'atteinte de la péremption du plein potentiel. On écarte soigneusement les bons éléments dans bien des cas.
Car l'entreprise n'aime ni la réussite, ni la créativité, ni l'audace. Je pense que la plupart des réussites françaises, n'auraient pas vu le jour à notre époque. Les entreprises deviennent vérolées alors qu'elles sont nées par cet audace et cette créativité qu'elles écartent aujourd'hui.
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
davidabricot a écrit:Je suis d'accord. Dans l'entreprise on aura 2 visions, celle où on détecte les gens à potentiels et cherche à les placer là où il faut, histoire de maximiser leur potentiel.
Et puis il y a l'entreprise qui compte dans ses rangs des gens médiocres, qui pensent à leur intérêt avant celui du groupe. Et ce sont eux qui éliminent tous les dangers. Et préfèrent s'entourer de gens obéissants, même si la compétence n'est pas au rendez-vous (dans les grands groupes, la compétence ne sert à rien). Et je trouve qu'en France, la mentalité + la génération qui a actuellement 45 - 55 ans, poussent plutôt dans le sens des intérêts personnels.
On a également peur de la jeunesse en France. Il fut un temps où on propulsait les jeunes, où on les formait, considérant que c'est entre 18 et 40 ans que l'on réfléchit vite, que l'on s'investi, que l'on a envie de changer les choses, d'avancer. Hors qu'est-ce qu'on voit? Les "vieux" se cramponnent à leur siège, exhortant la jeunesse à une fausse patience qui n'a que pour but l'atteinte de la péremption du plein potentiel. On écarte soigneusement les bons éléments dans bien des cas.
Car l'entreprise n'aime ni la réussite, ni la créativité, ni l'audace. Je pense que la plupart des réussites françaises, n'auraient pas vu le jour à notre époque. Les entreprises deviennent vérolées alors qu'elles sont nées par cet audace et cette créativité qu'elles écartent aujourd'hui.
assez d'accord avec ca en tout cas pour les grandes entreprises et je parle de vecu, 20 ans de carriere
En grande entreprise combien de feignasses , d'incompétents, sans aucun charisme ou relationnel et meme destestés universellement (dixit tout le monde, consensus generalisé) mais simplement avec le pouvoir ou un poste subalterne avec appui politique bien placé. Et le pouvoir impose le respect...
Mon chef m'a meme parfois averti a l'avance. Le gars dans la structure a l'etranger est totalement incompetent mais il a des appuis hauts placés donc tu fais semblant de rien et tu ne remets rien en cause...
Dans les petites entreprises j'ai deja moins vu ca, car il peuvent pas se permettre de payer des incompétents totaux et la structure hierarchique est moins imposante pour des raisons evidentes. Dans une PME, il est facile d'aller voir le patron pour discuter, dans une grande entreprise, impensable...
zebrepat- Messages : 619
Date d'inscription : 26/03/2016
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Ma seule expérience en PME, je suis parti au bout de 2 mois, en disant au patron que j'avais un emploi fictif, ce qui était vrai. Il déléguait la gestion au commercial, qui régnait sur son monde tel un tyran. Et personne n'osait parler franchement au patron, que l'on voyait rarement. Il m'a adoré et a compris qu'il s'était fait dupé. Le commercial a pas du passer un bon moment...
Mais en 2 mois je n'ai vu que guerres politiques, quête du pouvoir, etc... pire qu'en grand groupe. Si cet aspect est présent évidemment dans les groupe, j'y ai trouvé du réconfort auprès de grands spécialistes d'un domaine pointu, qui ne peuvent quasiment exister que dans de telles entreprises (à cause des moyens nécessaires). J'ai adopté le même comportement qu'eux. Et j'ai eu accès à des supers projets, en retrait du train train quotidien. J'avais un outil de production incroyable et j'ai appris comme jamais. Revers de la médaille, j'ai montré malgré moi mon plein potentiel. Et la suite a été décrite plus haut.
Mais autrement, le grand groupe pour travailler sur ma spécialité à fond, je signe à en raturer la page. Enfn, en dehors des paramètres collègues, manager, éthique, etc...
Mais en 2 mois je n'ai vu que guerres politiques, quête du pouvoir, etc... pire qu'en grand groupe. Si cet aspect est présent évidemment dans les groupe, j'y ai trouvé du réconfort auprès de grands spécialistes d'un domaine pointu, qui ne peuvent quasiment exister que dans de telles entreprises (à cause des moyens nécessaires). J'ai adopté le même comportement qu'eux. Et j'ai eu accès à des supers projets, en retrait du train train quotidien. J'avais un outil de production incroyable et j'ai appris comme jamais. Revers de la médaille, j'ai montré malgré moi mon plein potentiel. Et la suite a été décrite plus haut.
Mais autrement, le grand groupe pour travailler sur ma spécialité à fond, je signe à en raturer la page. Enfn, en dehors des paramètres collègues, manager, éthique, etc...
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
ce qui me choque fondamentalement c'est a quoi se casser le c* a faire des etudes brillantes pour terminer dans ses strctures ou la qualité, la competence la rigueur etc est pas valorisée et l'apparence, le fayotage, la politique le sont beaucoup plus
pour les specialistes de la douance, c'est de la faute du surdoué, il n'a qu'a s'adapter et apprendre a faire de la politique. Ouais, sauf que certaines caracteristiques du surdon ca va pas bien avec (notion de justice, empathie etc)
On parle meme pas de domaines de commercial mais de domaines techniques
Car on presente toujours le zebre comme ratant souvent ses etudes, meme les specialistes de la douance. Ca semble etre une fable selon les chiffres, beaucoup reussissent tres bien, la majorité meme.
Les profs renforcent ca aussi. en derniere année d'inge dans un semainaire, les profs nous avaient dit "vous etes l'elite de la nation et ne devez pas travailler pour n'importe quelle entreprise et n'importe quel salaire" en nous indiquant quelque TGEs de grand groupes (et meme le salaire qu'on devait exiger !). Je m'en rappelle encore
Je connais pas mal d'inge, statisticiens, informaticiens au chomage dans mes potes et connaissances, certains inge qui ont terminé a bosser en info en SSII (boites de negriers) etc
zebrepat- Messages : 619
Date d'inscription : 26/03/2016
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Moi je suis partisan de la résistance, je refuse d'accepter un travail contradictoire à mes valeurs, ou accepter quelque chose d'alimentaire. Car pour moi compromettre ses valeurs est la pire chose que je puisse faire. Néanmoins c'est loin d'être évident et je suis jeune. Je peux comprendre que certains baissent les bras, n'osent plus, se sentent fatigués.
J'ai aussi eu droit à l'élite de la nation, à cela près que je m'était déjà aperçu de la supercherie. Du moins je le supposais et ce fut confirmé par les premiers stages. La compétence est fortement appréciée et reconnue de manière limitée dans le temps (stagiaire, intérimaire, CDD), car le coup de main est en général au delà du prix, et il y a peu de risque puisque la personne ne reste pas.
Pour un anniversaire des gens vont acheter du champagne, pour la semaine ils se contenteront d'un vin de table. Il en va de même pour les entreprises, qui fonctionnent par one-shot. Pour lancer des projets on met les moyens, pour les faire tourner, on prend un clone.
J'ai aussi eu droit à l'élite de la nation, à cela près que je m'était déjà aperçu de la supercherie. Du moins je le supposais et ce fut confirmé par les premiers stages. La compétence est fortement appréciée et reconnue de manière limitée dans le temps (stagiaire, intérimaire, CDD), car le coup de main est en général au delà du prix, et il y a peu de risque puisque la personne ne reste pas.
Pour un anniversaire des gens vont acheter du champagne, pour la semaine ils se contenteront d'un vin de table. Il en va de même pour les entreprises, qui fonctionnent par one-shot. Pour lancer des projets on met les moyens, pour les faire tourner, on prend un clone.
Invité- Invité
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
davidabricot a écrit:Car pour moi compromettre ses valeurs est la pire chose que je puisse faire.
Mindview- Messages : 660
Date d'inscription : 25/03/2016
Age : 40
Localisation : Montpellier
Re: le salariat, vaste foutage de g* pour un zebre ?
Tout à fait, ne JAMAIS jamais compromettre ses valeurs. J'ai pas envie de vivre autrement. Les valeurs nous définissent, les compromettre, c'est le suicide de son humanité. Enfin, de mon point de vue.
"Le courage, c’est d’aimer la vie et de regarder la mort d’un regard tranquille ; c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel ; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle récompense réserve à notre effort l’univers profond, ni s’il lui réserve une récompense. Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques."
Comment renier ses valeurs lorsque l'on adhère à cela?
Voila, merci Mindview!
"Le courage, c’est d’aimer la vie et de regarder la mort d’un regard tranquille ; c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel ; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle récompense réserve à notre effort l’univers profond, ni s’il lui réserve une récompense. Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques."
Comment renier ses valeurs lorsque l'on adhère à cela?
Voila, merci Mindview!
Invité- Invité
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