Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
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Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Le précédent sujet ayant été modéré, je vous demande de vous modérer vous-même pour que celui-ci ne soit pas modéré à son tour par une personne chargée de la modération.
J'ai beaucoup apprécié vos réflexions sur le précédent sujet.
Je pense très sincèrement qu'être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à apprendre, et donc à faire.
Vos avis, expériences ou trucs et astuces ?
Je retourne méditer.
J'ai beaucoup apprécié vos réflexions sur le précédent sujet.
Je pense très sincèrement qu'être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à apprendre, et donc à faire.
Vos avis, expériences ou trucs et astuces ?
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Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
- anecdote:
- Salut,
Pas encore de réponses pour le moment...
Dans un épisode de X-Files, Mulder est confrontée à une situation loufoque : un génie lui propose de faire trois vœux, mais ce génie prend tout au pied de la lettre. Mulder souhaite la paix sur la Terre, il sort dans la rue et constate que le génie a fait disparaître toute trace de vie, la ville est déserte et silencieuse, en paix.Jérémy34 a écrit:Le précédent sujet ayant été modéré, je vous demande de vous modérer vous-même pour que celui-ci ne soit pas modéré à son tour par une personne chargée de la modération.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Bonjour Jérémy ( oh un voisin du sud :-) ).
Eh bien j'aurais tendance à aller dans ton sens concernant ton affirmation, étant donné mon expérience perso.
Mais je voulais te demander; est-ce que tu te considères ainsi ou bien est-ce ce qu'on t'a renvoyé ?
Quant à ma petite personne, ma vie, hum c'est probablement pas mal dans le genre pour illustrer ton sujet mais là tout de suite j'ai un
peu la flemme .
Eh bien j'aurais tendance à aller dans ton sens concernant ton affirmation, étant donné mon expérience perso.
Mais je voulais te demander; est-ce que tu te considères ainsi ou bien est-ce ce qu'on t'a renvoyé ?
Quant à ma petite personne, ma vie, hum c'est probablement pas mal dans le genre pour illustrer ton sujet mais là tout de suite j'ai un
peu la flemme .
Fredocondatomag- Messages : 19
Date d'inscription : 20/11/2020
Age : 45
Localisation : Millau
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Jérémy34 a écrit:Le précédent sujet ayant été modéré, je vous demande de vous modérer vous-même pour que celui-ci ne soit pas modéré à son tour par une personne chargée de la modération.
Ouvrir un topic ainsi, si c'est pas de la provoc de base, tssss...
J'ai bien envie de signaler ton message, 'spèce de troll-feeder !
En tout cas, ne compte pas sur moi pour digresser éhontément : "droit au but !", telle est ma devise.
Charv- Messages : 2388
Date d'inscription : 15/04/2018
Age : 47
Localisation : Lyon
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
La question est peut être "se renie t'on en partie en cherchant à être facile à vivre", et "se moque-t-on de l'autre ou le méprise-t-on lorsque l'on cherche uniquement à être facile à vivre"
Je suppose que le débat ne s'arrête pas à la stricte question posée, mais est aussi "être facile à vivre est-ce un objectif universel"
A moins que le sous entendu parte de l'idée reçue que ce qui est facile est forcément moins bénéfique que ce qui est difficile.
Je suppose que le débat ne s'arrête pas à la stricte question posée, mais est aussi "être facile à vivre est-ce un objectif universel"
A moins que le sous entendu parte de l'idée reçue que ce qui est facile est forcément moins bénéfique que ce qui est difficile.
bepo- Messages : 2704
Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 54
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Je pose cette quesaffirmation parce que je ne peux probablement pas compter sur plus de doigts que ceux de mes deux mains le nombre de personnes faciles à vivre que j'ai rencontré en 39 ans... ce qui en dit long ! Mais je n'ai peut-être pas fréquenté les lieux où sont ces personnes... s'il y a des lieux où sont ces personnes...
Et oui, Charv, c'est à moitié trollesque et à moitié honnête.
Et Fredo, je n'ai aucune réponse à te donner. Je n'en ai aucune idée, je suppose que cela dépendrait de chaque personne à qui tu poserais cette question.
Je retourne méditer.
Et oui, Charv, c'est à moitié trollesque et à moitié honnête.
Et Fredo, je n'ai aucune réponse à te donner. Je n'en ai aucune idée, je suppose que cela dépendrait de chaque personne à qui tu poserais cette question.
Je retourne méditer.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ne pas se poser cette question est ce qui est le plus difficile à faire. Mais une grande économie de questions insolubles. La vie facile serait, j'imagine, plate et vide à la fois. Non-conflictuelle, toujours positivée et sans profondeur.
Facile à vivre, l'expression est bizarre, à la réflexion. Peut-on vivre facilement quelqu'un ?
Facile à vivre, l'expression est bizarre, à la réflexion. Peut-on vivre facilement quelqu'un ?
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Facile à vivre, oui, mais combien de temps ?
Facile à vivre, la personne que tu discutationnes deux heures, mais facile à vivre la même personne si tu vis avec plusieurs jours ?
On parle de facile à vivre dans quel contexte ?
J'imagine, j'avais un prof de français que je trouvais très intéressant, mais il était craint des lycéens... Du point de vue de nombre de lycéens, ce type hantait leurs rêves, mais le même type selon d'autres personnes (genre wam), c'est une crème, pis avec sa famille et ses amis, peut-être qu'il montre d'autres aspects de sa personnalité... (comme pas mal de monde... on n'est pas les mêmes avec des potes ou quand on visite une agence des PTT....)
Facile à vivre, la personne que tu discutationnes deux heures, mais facile à vivre la même personne si tu vis avec plusieurs jours ?
On parle de facile à vivre dans quel contexte ?
J'imagine, j'avais un prof de français que je trouvais très intéressant, mais il était craint des lycéens... Du point de vue de nombre de lycéens, ce type hantait leurs rêves, mais le même type selon d'autres personnes (genre wam), c'est une crème, pis avec sa famille et ses amis, peut-être qu'il montre d'autres aspects de sa personnalité... (comme pas mal de monde... on n'est pas les mêmes avec des potes ou quand on visite une agence des PTT....)
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Moi je suis super facile à vivre. Tant qu’on me fait pas chier.
Et je trouve ça facile.
Surtout quand on vit seul.
Et je trouve ça facile.
Surtout quand on vit seul.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
T'as fini de parler à ma place?Chuna a écrit:Moi je suis super facile à vivre. Tant qu’on me fait pas chier.
RonaldMcDonald- Messages : 11616
Date d'inscription : 15/01/2019
Age : 48
Localisation : loin de chez moi, dans un petit coin de paradis
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Chuna a écrit:Moi je suis super facile
J'aurais d'abord pas cru, mais depuis que je te vois réclamer des patins...
Charv- Messages : 2388
Date d'inscription : 15/04/2018
Age : 47
Localisation : Lyon
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
La question subséquente: est-ce que quand on est facile à vivre avec soi-même, on le devient automatiquement pour les autres?
Histoire de ne pas jeter l’énergie par la fenêtre…
Histoire de ne pas jeter l’énergie par la fenêtre…
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
En fait, je crois que la personne qui désigne une autre de facile à vivre, elle va probablement attribuer cette qualité en fonction de la capacité de l’autre à respecter ses propres besoins. Et ça, ça pue.
Quelqu’un qui se fout du bordel va me trouver facile à vivre. Sinon, je suis une vraie plaie. Pourtant je vais m’adapter à bien des demandes et exigences.
Du coup, facile à vivre, ça me parait peu clair comme qualificatif.
Quelqu’un qui se fout du bordel va me trouver facile à vivre. Sinon, je suis une vraie plaie. Pourtant je vais m’adapter à bien des demandes et exigences.
Du coup, facile à vivre, ça me parait peu clair comme qualificatif.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ouais, ça fait très erreur fondamentale d’attribution.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ça ne veut rien dire « être facile à vivre »…
Pour qu’une cohabitation fonctionne, faut déjà pas être l’un sur l’autre et se compléter sur de nombreux points.
Si tu ne trouves personne qui soit facile à vivre selon ton appréciation, c’est aussi à toi de te remettre en question. Tu choisis de cohabiter sur quels critères? faut revoir ta copie je dirais, mieux apprendre à connaître l’autre avant de vivre ensemble. Y’a pas de secret…
Pour qu’une cohabitation fonctionne, faut déjà pas être l’un sur l’autre et se compléter sur de nombreux points.
Si tu ne trouves personne qui soit facile à vivre selon ton appréciation, c’est aussi à toi de te remettre en question. Tu choisis de cohabiter sur quels critères? faut revoir ta copie je dirais, mieux apprendre à connaître l’autre avant de vivre ensemble. Y’a pas de secret…
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Voilà. Ite missa est.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Chers tous, l'expression mot à mot vous fait tromper, crois-je, et partir sur le sujet de la cohabitation pour qu'est-ce qu'il y a "vivre" dans "facile à vivre", alors que "facile à vivre" signifie avenant, sociable, agréable, etc.
"Facile à vivre" n'est pas "facile à vivre Avec".
Si l'auteur du sujet veut bien préciser sa pensée, ce serait bien. Je sais qu'il ne faut pas fauter, mais j'ai rien compris du sujet lui-même.
"Facile à vivre" n'est pas "facile à vivre Avec".
Si l'auteur du sujet veut bien préciser sa pensée, ce serait bien. Je sais qu'il ne faut pas fauter, mais j'ai rien compris du sujet lui-même.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Vous faîtes très probablement fausse route, mais il y a un peu de vrai dans vos propos, ceci étant dit je ne suis pas certain que ce soit une qualité ou un défaut même si cela peut être interprété de cette façon. Non, juste être facile à vivre, sans conflit intempestif avec tout et surtout n'importe quoi. Bref, des personnes rares dont les affects ne dirigent pas tant la vie que dans la moyenne des gens qui souffrent en se faisant en permanence mener par le bout des émotions et qui en oublient très probablement leur raison le temps que ça passe. De très rares personnes qui ont peut-être compris quelque chose que beaucoup trop d'autres personnes beaucoup moins rares ne peuvent pas comprendre à cet instant, et peut-être ne comprendront jamais... Je ne fais pas partie de ces personnes rares, mais je cherche à en faire partie, par la pratique et peut-être avec l'âge, d'ailleurs... Ces personnes qui dialoguent, en lieu et temps où tellement d'autres discutent et débattent : savoir qui a raison et qui a tort, et le pourquoi de la raison et le pourquoi du tort tue, etc... Je cherche l'art d'être facile à vivre, parce que le temps est compté.
P.S. : Intéressant, Grom, nous avons tous deux compris que c'était le moment propice pour préciser la question. Et les propos de votre message me semblent pertinents.
Pour tenter de reformuler, je dirais : "Vivre facilement sa/la vie, est-ce ce qu'il y a de plus difficile ? Selon vous ?"
P.S. : Intéressant, Grom, nous avons tous deux compris que c'était le moment propice pour préciser la question. Et les propos de votre message me semblent pertinents.
Pour tenter de reformuler, je dirais : "Vivre facilement sa/la vie, est-ce ce qu'il y a de plus difficile ? Selon vous ?"
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
- suggestion irréaliste pour la blague:
Deviens ENFP :wiki a écrit:Les ENFP sont les initiateurs du changement. Ils perçoivent facilement les possibilités d'une situation donnée et stimulent les autres grâce à leur enthousiasme contagieux. Ils préfèrent le début d'un projet ou d'une relation, et sont infatigables lorsqu'il s'agit de trouver de nouveaux intérêts ou projets. Les ENFP sont capables d'anticiper les besoins des autres et de leur offrir l'aide dont ils ont besoin. Ils apportent de la joie et de l'énergie dans tous les aspects de leur vie, et brillent du mieux qu'ils peuvent dans les situations fluides, mouvantes, au sein desquelles ils peuvent exprimer leur créativité et leur charisme. Ils ont tendance à idéaliser les gens et peuvent se sentir déçus lorsque la réalité échoue à répondre à leurs attentes ; les situations les plus frustrantes, pour eux, sont celles où il est nécessaire de porter un long suivi sur un projet précis ou de porter une grande attention aux détails.
D'après David Keirsey, les ENFP constituent le type MBTI le plus tourné vers l'innovation. Ils sont optimistes, enthousiastes, vivaces. Pourvus d'un flair puissant, ils partagent leurs expériences avec les autres, espérant révéler ainsi quelque vérité universelle ou gagner autrui à leur cause. Adaptés aux possibilités nouvelles, ils « scannent » leur environnement, réceptifs aux émotions, besoins et motivations des autres. Cette sensitivité entre parfois en conflit avec leur quête d'authenticité personnelle. Spontanés et enthousiastes, ils amènent les autres à eux, lesquels trouvent leur compagnie agréable[8]. Ils sont tournés vers l'extérieur et possèdent le don de percer intuitivement la personnalité de quelqu'un d'autre, sa manière de penser, ses aspirations et ses buts, après très peu de temps passé à son contact.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Tu veux vivre avec un robot, c’est ça ?
On dirait que tu veux juste qqn qui arrête de te casser les couilles pour des broutilles.
On dirait que tu veux juste qqn qui arrête de te casser les couilles pour des broutilles.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
(Edit : j'ai posté avant que Jeremy n'envoie son dernier message, du coup j'ai lu la suite... Précision donc, pour poursuivre la blague : je suis ENFP, of course. Et violemment...)
Grom, je n'arrive pas à saisir la nuance que tu cherches à établir (vraiment). Etre avenant, agréable, sociable, ça implique bien d'être quelqu'un avec on peut vivre facilement, non ? Certes, ça élargit la notion de cohabitation vers "passer une soirée ensemble", partager les mêmes bancs d'école ou d'open space, aller en colonie de vacances... m'enfin, c'est juste une question d'échelle ou de densité, non ?
Possible, certes. Mais spontanément (sans doute en tant qu'extraverti, et qui a passé beaucoup de temps en collectivité, ou en colloc, ou en vie commune, certes), je vois surtout que les personnes ayant l'expérience de ces fonctionnements seront généralement beaucoup plus faciles à vivre que d'autres qui n'ont jamais quitté leur grotte. L'expérience, l'expérience et l'expérience, ça aide à savoir quand proposer popote commune, soirée karaoké, ou fermer sa gueule, je trouve. Quelle que soit la promiscuité concernée. Du coup, non, ça ne me semble pas spécialement nauséabond, pour moi ça friserait même la non-question (bon, ok, j'exagère pour frimer, mais honnêtement, si on me dit que demain je vais vivre dans une grande maison avec 6 personnes, ça me botterait plutôt, comme perspective. Moyennant de pouvoir ménager son quant-à-soi, évidemment.
Ce qui me poserait davantage question, c'est : aimez-vous ça ? En avez-vous envie ? Si partager un espace (et / ou des activités) avec un/des autre(s) vous saoûle a priori, là, ok, c'est mal parti. Mais avec un peu de motiv et d'assertivité / cnv, il ne me semble pas sorcier de s'y faire, et de s'y améliorer.
Ayant dit cela, s'il s'agissait de relation amoureuse, et ME concernant, sans être totalement bloqué là-dedans, je préfèrerais pourtant 1000 fois désormais la politique du chacun chez soi... et le plus souvent possible l'un chez l'autre ! (j'ai vécu les 2 schémas, et chacun plusieurs fois, je précise) Mais pas pour des raisons de cohabitation, ou de "vivre avec" : pour des raisons de désir.
Cela étant, être "l'un sur l'autre" le plus souvent possible, ça peut aussi arrondir bien desventres angles...
Grom, je n'arrive pas à saisir la nuance que tu cherches à établir (vraiment). Etre avenant, agréable, sociable, ça implique bien d'être quelqu'un avec on peut vivre facilement, non ? Certes, ça élargit la notion de cohabitation vers "passer une soirée ensemble", partager les mêmes bancs d'école ou d'open space, aller en colonie de vacances... m'enfin, c'est juste une question d'échelle ou de densité, non ?
Chuna a écrit:En fait, je crois que la personne qui désigne une autre de facile à vivre, elle va probablement attribuer cette qualité en fonction de la capacité de l’autre à respecter ses propres besoins. Et ça, ça pue.
Possible, certes. Mais spontanément (sans doute en tant qu'extraverti, et qui a passé beaucoup de temps en collectivité, ou en colloc, ou en vie commune, certes), je vois surtout que les personnes ayant l'expérience de ces fonctionnements seront généralement beaucoup plus faciles à vivre que d'autres qui n'ont jamais quitté leur grotte. L'expérience, l'expérience et l'expérience, ça aide à savoir quand proposer popote commune, soirée karaoké, ou fermer sa gueule, je trouve. Quelle que soit la promiscuité concernée. Du coup, non, ça ne me semble pas spécialement nauséabond, pour moi ça friserait même la non-question (bon, ok, j'exagère pour frimer, mais honnêtement, si on me dit que demain je vais vivre dans une grande maison avec 6 personnes, ça me botterait plutôt, comme perspective. Moyennant de pouvoir ménager son quant-à-soi, évidemment.
Ce qui me poserait davantage question, c'est : aimez-vous ça ? En avez-vous envie ? Si partager un espace (et / ou des activités) avec un/des autre(s) vous saoûle a priori, là, ok, c'est mal parti. Mais avec un peu de motiv et d'assertivité / cnv, il ne me semble pas sorcier de s'y faire, et de s'y améliorer.
Ayant dit cela, s'il s'agissait de relation amoureuse, et ME concernant, sans être totalement bloqué là-dedans, je préfèrerais pourtant 1000 fois désormais la politique du chacun chez soi... et le plus souvent possible l'un chez l'autre ! (j'ai vécu les 2 schémas, et chacun plusieurs fois, je précise) Mais pas pour des raisons de cohabitation, ou de "vivre avec" : pour des raisons de désir.
Cela étant, être "l'un sur l'autre" le plus souvent possible, ça peut aussi arrondir bien des
Dernière édition par Charv le Jeu 6 Jan 2022 - 23:25, édité 2 fois
Charv- Messages : 2388
Date d'inscription : 15/04/2018
Age : 47
Localisation : Lyon
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Il ne parle pas de cohabitation, mais de façon d'être : à la cool avec les autres, et liant, si j'ai bien compris.My_illusion a écrit:Tu veux vivre avec un robot, c’est ça ?
On dirait que tu veux juste qqn qui arrête de te casser les couilles pour des broutilles.
Pour moi, et par là je veux dire que c'est l'idée que j'en ai et à la rigueur c'est pas grave si c'est vrai que dans ma tête , quelqu'un de facile à vivre, quelqu'un qui est lui-même une espèce de lubrifiant des relations sociales, c'est une sorte de mentaliste naturel (comme la série, évidemment), un ENFP, quoi : la personne sait limite lire dans les esprits, saisit l'ambiance en deux secondes et cela où qu'elle soit, etc.Charv a écrit:Grom, je n'arrive pas à saisir la nuance que tu cherches à établir (vraiment). Etre avenant, agréable, sociable, ça implique bien d'être quelqu'un avec on peut vivre facilement, non ? Certes, ça élargit la notion de cohabitation vers "passer une soirée ensemble", partager les mêmes bancs d'école ou d'open space, aller en colonie de vacances... m'enfin, c'est juste une question d'échelle ou de densité, non ?
Ta question est de savoir si la distinction est pertinente, eh bien, oui, car la personne liante et toussa est peut-être quelqu'un qui laisse traîner ses slips, laisse des paquets vides dans les placards, range le tube de harissa à côté du dentifrice, et j'en passe...
Édition : moment vantardise (ah bon, on est un jour qui finit en di ?? - ah, la paix !) : étant un INFP, je fais partie de ce type qui comprend les meilleurs "écouteurs", le super-pouvoir des ENFP, je l'ai en option, sauf qu'un INFP, c'est mille fois plus casse-bonbon si tu contreviens à l'une de ses valeurs phare.
Dernière édition par Grom le Jeu 6 Jan 2022 - 23:33, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Jeremy: Non. Tu fais très probablement fausse route mais il y a un peu de vrai dans tes propos.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Une blague que je trouve intéressante, Grom. Merci de l'avoir partagée.
Mais en même temps, en y pensant, il y a toujours un "Mais..." et je n'arrive pas à cerner ce qui le fait surgir et où ce "Mais..." m'emmène...
Une sorte de "C'est facile, c'est bien, c'est agréable, mais..." Serait-ce un ou des besoins ? Pourtant j'ai compris par la CNV qu'il reste un gouffre entre la parole et le langage, que quelque chose dans le langage ne suffit pas... enrichir la connaissance, le savoir et le langage mène à plus de précision sans pour autant cerner véritablement ce qui m'anime... ce qui nous anime.
Donc selon vous, p2m, être facile à vivre n'est pas ce qui est le plus difficile à faire ?
Et Charv, je trouve vos arguments très intéressants...
Mais en même temps, en y pensant, il y a toujours un "Mais..." et je n'arrive pas à cerner ce qui le fait surgir et où ce "Mais..." m'emmène...
Une sorte de "C'est facile, c'est bien, c'est agréable, mais..." Serait-ce un ou des besoins ? Pourtant j'ai compris par la CNV qu'il reste un gouffre entre la parole et le langage, que quelque chose dans le langage ne suffit pas... enrichir la connaissance, le savoir et le langage mène à plus de précision sans pour autant cerner véritablement ce qui m'anime... ce qui nous anime.
Donc selon vous, p2m, être facile à vivre n'est pas ce qui est le plus difficile à faire ?
Et Charv, je trouve vos arguments très intéressants...
Dernière édition par Jérémy34 le Jeu 6 Jan 2022 - 23:32, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ben je ne sais pas, justement.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Et oui, Grom, vous avez à peu près cerné l'idée que j'avais en posant la première question-titre du sujet...
"Mais..." c'est un peu plus complexe... parce que c'est souvent un peu plus complexe... Et c'est la raison pour laquelle je pose la question...
"Être facile à vivre, est-ce ce qu'il y a de plus difficile à faire ?"
Cela implique aussi les relations sans s'y contraindre.
Est-ce donc une saisie d'opinion qui blesse ? Un ego qui ne peut s'empêcher ? Ou un ou des besoins ? Ou alors est-ce le langage ? Ou "simplement" l'altérité qui pose problème ? "L'enfer, c'est les autres", comme dirait je ne sais plus qui ?
Pourtant il y en a pour qui les autres ne posent pas tant de problèmes puisque faciles à vivre...
Et dans les situations courantes, c'est pareil... sans forcément impliquer les autres...
"Mais..." c'est un peu plus complexe... parce que c'est souvent un peu plus complexe... Et c'est la raison pour laquelle je pose la question...
"Être facile à vivre, est-ce ce qu'il y a de plus difficile à faire ?"
Cela implique aussi les relations sans s'y contraindre.
Est-ce donc une saisie d'opinion qui blesse ? Un ego qui ne peut s'empêcher ? Ou un ou des besoins ? Ou alors est-ce le langage ? Ou "simplement" l'altérité qui pose problème ? "L'enfer, c'est les autres", comme dirait je ne sais plus qui ?
Pourtant il y en a pour qui les autres ne posent pas tant de problèmes puisque faciles à vivre...
Et dans les situations courantes, c'est pareil... sans forcément impliquer les autres...
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Grom a écrit:
... est peut-être quelqu'un qui laisse traîner ses slips, laisse des paquets vides dans les placards, range le tube de harissa à côté du dentifrice, et j'en passe...
Ah d'accord. Eh bien, selon moi, c'est exactement ça, le talent social dont je cause : laisser trainer slips et paquets vides, ET faire que l'autre nous trouve toujours charmant !
Grom a écrit:
ENFP, je l'ai en option, sauf qu'un INFP, c'est mille fois plus casse-bonbon si tu contreviens à l'une de ses valeurs phare.
J'ai trouvé hier soir quelqu'un de plus têtu, maniaque et chipoteur que moi (bon, ok, pas sûr, mais tu y as mis de la bonne volonté), crois-moi, ça m'a fait chaud au coeur...
Charv- Messages : 2388
Date d'inscription : 15/04/2018
Age : 47
Localisation : Lyon
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Mon ex disait que c’était ma plus grande qualité mais ça ne l’a pas empêché de se barrer avec une casse-couilles.
Et en plus, je suis ENFP.
Bref, être facile à vivre/ ENFP ne paie pas, les hommes préfèrent les chieuses.
CQFD
… Mais j’y travaille… je me suis inscrite sur « copines de voyage » … problème réglé
Et en plus, je suis ENFP.
Bref, être facile à vivre/ ENFP ne paie pas, les hommes préfèrent les chieuses.
CQFD
… Mais j’y travaille… je me suis inscrite sur « copines de voyage » … problème réglé
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
- HS à charv:
- Charv a écrit:
J'ai trouvé hier soir quelqu'un de plus têtu, maniaque et chipoteur que moi (bon, ok, pas sûr, mais tu y as mis de la bonne volonté), crois-moi, ça m'a fait chaud au coeur...Grom a écrit:[...]un INFP, c'est mille fois plus casse-bonbon si tu contreviens à l'une de ses valeurs phare.
Je raconte ma vie pour préciser, parce qu'hier, c'était de l'amusement, tu avais toujours affaire à un INFP, point du tout agacé, notre échange était amusant pour moi aussi Quand je sature et que ma patience est à zéro, je suis silencieux, je recharge mes batteries, il n'y a plus que le bruit des mouettes que je laisse passer (pour ceux qui voit dans Scrubs la scène du vide parfait ), plus loin si je sature plus fort parce que la situation ne s'est pas améliorée, je dis beaucoup de gros mots, et pareil qu'en phase une, je m'isole... si on ne me fiche toujours pas la paix, je deviens un INFP en mode "evil", c'est-à-dire un ESTJ avec une fonction Te en excès (cela implique qu'à cette étape, c'est le pétage de plomb et les actions sans le bouton stop nulle part).
Le côté maniaque et chipoteur vient du Ti (fonction cognitive du MBTI) très fort qui va avec ma condition de proche d'autiste et de mes TOCs.
Jérémy34 a écrit:Et oui, Grom, vous avez à peu près cerné l'idée que j'avais en posant la première question-titre du sujet...
"Mais..." c'est un peu plus complexe... parce que c'est souvent un peu plus complexe... Et c'est la raison pour laquelle je pose la question...
"Être facile à vivre, est-ce ce qu'il y a de plus difficile à faire ?"
Cela implique aussi les relations sans s'y contraindre.
Est-ce donc une saisie d'opinion qui blesse ? Un ego qui ne peut s'empêcher ? Ou un ou des besoins ? Ou alors est-ce le langage ? Ou "simplement" l'altérité qui pose problème ? "L'enfer, c'est les autres", comme dirait je ne sais plus qui ?
Pourtant il y en a pour qui les autres ne posent pas tant de problèmes puisque faciles à vivre...
Et dans les situations courantes, c'est pareil... sans forcément impliquer les autres...
En fait, tu te désespères de manquer d'intelligence interpersonnelle et d'intelligence pratique ?
Cela parait simple chez d'autres (tu répètes x fois "facile à vivre") vu de ta fenêtre, et tu te demandes pourquoi ce qui semble naturel à pas mal de monde ne l'est pas pour toi ?
Tu es sûr que tu veux dire "facile à vivre" ? Je m'explique : quasi tous les intervenants du sujet sont partis sur l'idée de parler de cohabitation parce qu'ils en flashé sur le vivre de facile à vivre ; je me demande si toi ta fixette ne porte pas sur le facile : Ta question, c'est pourquoi c'est difficile de faire facile, me dis-je. Sinon, à mon idée, tu ne mêlerais pas les "situations courantes" à cet assortiment de capacités que tu imagines chez ceux que tu appelles les "faciles à vivre".
Bon, j'y vais carrément à tâtons, je cherche les vraies précisions dans tes phrases (et je ne les trouve pas, car tu répètes inlassablement "facile à vivre", et le tout est flou, à mes yeux).
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Veux-tu dire "Être facile à vivre, est-ce ce qu'il y a de plus difficile à faire ?" ou "Vivre facilement, est-ce ce qu'il y a de plus difficile ?"
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
—> échanger, passer du temps avec un robot rendrait les échanges plus faciles.
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Il y a beaucoup de pistes dans ce passage : des pistes pour comprendre les liens logiques que tu établis.Jérémy34 a écrit:Non, juste être facile à vivre, sans conflit intempestif avec tout et surtout n'importe quoi. Bref, des personnes rares dont les affects ne dirigent pas tant la vie que dans la moyenne des gens qui souffrent en se faisant en permanence mener par le bout des émotions et qui en oublient très probablement leur raison le temps que ça passe.
Je ne comprends pas trop pourquoi tu dis que les personnes qui ne sont pas en conflit tout le temps sont rares. Ce n'est pas ma perception, mais je ne sais pas précisément ce que tu veux dire par "sans conflit intempestif avec tout et surtout n'importe quoi". (on peut être en conflit avec des choses ?)
Les pistes que je remarque : pour toi, le cœur du problème qui t'occupe, c'est le détournement de l'attention par des troubles émotionnels. Ces troubles émotionnels détournent ceux qui ne sont pas parmi les "faciles à vivre" de leur raison.
Ça me fait penser à ce bouquin que j'ai lu sur l'attention, dans lequel il est dit que les deux grandes sources de distraction de l'attention active sont les stimuli sensoriels et les stimuli à forte charge émotionnelle.
Par exemple, si quelqu'un a pour objectif de calculer quelque chose, s'il est perturbé par des bruits ou encore si quelque chose le met en colère, il risque de perdre sa concentration.
Comme tu décris le problème de cette façon, faut-il comprendre que d'après toi, ce sont tes troubles émotionnels qui te détournent de ta raison et t'empêchent d'être de ceux qui sont "faciles à vivre" ?
Dans le passage que je cite, cela me surprend que tu mettes la raison si haut comme si c'était l'outil qui permet de diriger sa vie et d'être sans trouble. Cette séparation nette entre raison et passion me fait penser à des conceptions/systèmes philosophiques comme le stoïcisme ou le bouddhisme.
La raison, dans la vie de tous les jours, sert-elle tant que cela, au point qu'il faille garder toujours la tête froide comme Spock ?
J'en doute beaucoup.
Je doute beaucoup également qu'il existe tant de monde qui subirait en permanence des vagues d'états émotionnels qui les priveraient de leur raison, de leur jugement. Déjà, c'est plutôt quand on examine sa situation (avec sa raison, donc) qu'on trouve à se plaindre de notre sort (à raison ou à tort), pas quand notre esprit est sans cesse pris ailleurs, mené par le bout du nez (par le bout des émotions, selon ton expression).
Ah, ça me revient ! : cette idée que chacun vit sous l'eau, pris dans le tumulte et oublie que c'est de l'eau :
- vidéo:
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Grom a écrit:En fait, tu te désespères de manquer d'intelligence interpersonnelle et d'intelligence pratique ?
C'est un aspect qui me semble ressortir aussi. Dans le "facile à vivre", je perçois surtout une question sur les relations aux autres : comment être en bonne relation, sans conflits excessif. Comment apprendre l'art d'être en bonne relation.
Mais à mes yeux, ni la vie, ni les relations qu'on a avec nos semblables ne peuvent être, ou ne devraient être faciles. Si facile veut dire sans effort, sans contrainte. Quelles que soient les relations, ou notre vie, on peut s'attendre à un moment ou à un autre à des difficultés, des contraintes, ou des tempêtes. Ça demande du boulot, la volonté de se connaître, de comprendre, de faire des ajustements et surtout de faire des choix. Et ce sera différent à chaque relation, quelle qu'elle soit.
Par exemple : on me dit parfois que je m'enflamme vite, et c'est vrai. Il y a des situations où j'explose plus vite que je ne peux réfléchir, donc choisir mes mots ou une attitude plus distanciée.
En même temps, ma solution n'est pas d'être plus facile à vivre, ce qui voudrait dire me réfréner, ou me renier. J'ai des opinions construites et affirmées, ce qui peut passer pour de l'arrogance ou de l'autoritarisme, et créer des tensions. J'en suis consciente. Je travaille surtout à reconnaître les situations qui me posent problème et à déterminer dans quelle mesure je peux changer ma façon d'agir, si la relation m'importe, et jusqu'où je suis prête à le faire. Je peux aussi choisir d'éviter telle situation, ou au pire, telle personne si vraiment les antagonismes me semblent irréductibles. Autrement dit, je choisis de travailler sur ce que je peux changer (moi, ma relation aux autres), et j'essaie de déterminer ce qui est de ma responsabilité (de moi envers moi, et de moi envers les autres), ce qui ne dépend pas de moi, ou encore ce que je préfère éviter car trop énergivore ou sans intérêt à mes yeux.
Le degré d'implication n'est pas le même dans toutes les relations : ça va d'indifférent, ce qui suppose a minima respect et politesse, à toutes les gradations d'attachement affectif. La difficulté relationnelle est inversement proportionnelle, sinon, ce serait moins drôle. L'enjeu pour moi est de faire la différence entre ce me nourrit et ce qui m'amène à des impasses.
Bien sûr, il y a des relations qui semblent évidentes, faciles. Il y a une part de mystère. Mais je suis convaincue qu'à un moment ou à un autre, il va se poser des difficultés, des conflits, et que c'est normal. C'est dans la façon d'aborder les conflits et de chercher à les résoudre, ou pas, qu'on se connaît le mieux et qu'on connaît le mieux les autres.
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Jérémy34 a écrit:Pour tenter de reformuler, je dirais : "Vivre facilement sa/la vie, est-ce ce qu'il y a de plus difficile ? Selon vous ?"
oké, c'est plus clair pour moi.
et dans ce cas là, d'un point de vue personnel, la réponse est oui, c'est ce qui m'est le plus difficile ^^
Non, juste être facile à vivre, sans conflit intempestif avec tout et surtout n'importe quoi.
Si on s'arrête là, par rapport aux autres, on peut être facile à vivre car on se soumet et on fait le dos rond. Et à l'intérieur, on subit, et pour soi-même, ça peut être un calvaire.
Bref, des personnes rares dont les affects ne dirigent pas tant la vie que dans la moyenne des gens qui souffrent en se faisant en permanence mener par le bout des émotions et qui en oublient très probablement leur raison le temps que ça passe.
En fait, c'est pas parce qu'on a des émotions qu'on les laisse diriger notre vie...
De très rares personnes qui ont peut-être compris quelque chose que beaucoup trop d'autres personnes beaucoup moins rares ne peuvent pas comprendre à cet instant, et peut-être ne comprendront jamais...
En fait, je crois qu'on peut comprendre les choses, les tenants et les aboutissants, les conséquences des actes, les sous entendus, le tout en ressentant très fortement des émotions à l'intérieur.
Du coup, je crois qu'on peut subir ses affects, qu'ils peuvent faire souffrir, sans forcément qu'on les écoute pour prendre des décisions. Dans un sens, être raisonnable pour choisir un moins pire, mais avoir du mal intérieurement à dépasser les conséquences émotionnelles qui vont avec.
Je dis souvent que ma tête sait mais que mon coeur ne veut pas. Je peux moduler mes actes, et de l'extérieur ne pas sembler subir de conflit, alors qu'en fait à l'intérieur c'est le bordel. Que je garde pour moi, pour éviter d'emmerder l'autre avec mes émotions qui sont corrélées à mon passé et non à la situation.
Du coup, ça peut donner l'impression que je suis facile à vivre ^^ (à fréquenter, je ne vais pas chercher ou entretenir un conflit, du moins IRL), mais au dedans, c'est pas si simple. Et je peux choisir une voie qui me sera douloureuse mais moins que celle que les émotions auraient choisies.
Je suppose que certaines personnes sont capables de moduler leurs ressentis, de trouver la paix intérieure avec beaucoup de travail... ou pas.
Ces personnes qui dialoguent, en lieu et temps où tellement d'autres discutent et débattent : savoir qui a raison et qui a tort, et le pourquoi de la raison et le pourquoi du tort tue, etc...
ça aussi ça me semble trompeur. On peut discuter parce que trouille du conflit et pas parce qu'on s'en tape d'avoir raison. Dans le sens dont tu parles, je pense que tu veux dire une personne qui a une bonne estime d'elle et qui n'a pas besoin d'être reconnue dans ses connaissances et ses idées.
Bref, en fait, la personne que tu décris, ça me semble être un condensé de qualités, je suppose qu'on peut y arriver, en bossant beaucoup de choses pour certains pour qui ces qualités ne sont pas innées ; j'en fais partie ^^ et du coup c'est dur et long et avec des progrès généralement médiocres, je suppose que ça dépend d'où on part, donc de son tempérament et de son vécu.
Chuna- Messages : 22222
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
C’est fou qu’on en soit encore à opposer raison et émotions. L’émotion n’a pas de contenu cognitif même si elle y est corrélée. Donc pour moi “se faire mener par le bout des émotions” n’a pas de sens dans le sens où elle ne dicte pas un comportement.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ben moi je trouve pas ça fou, mais en effet c'est probablement très mal mal dit, on gagnerait à parler de système 1 et système 2...
Il y a quand même beaucoup de gens qui réagissent de manière épidermique car une situation les ramène à un vécu et les émotions fortes on va dire, et qui vont passer à côté de choses intéressantes à cause de ça.
Il y a quand même beaucoup de gens qui réagissent de manière épidermique car une situation les ramène à un vécu et les émotions fortes on va dire, et qui vont passer à côté de choses intéressantes à cause de ça.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Ce que je veux dire: Cette idée qu’il y aurait moyen de se libérer totalement des émotions en s’appuyant uniquement sur sa raison implique pour moi que “la raison aurait toujours raison”. Que dans une situation donnée il y aurait toujours un BON choix à faire. Une sorte d’absolu du bien et du mal. Alors qu’une décision, vu notre carence en omniscience se fait sur un ressenti.
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
D’accord. Et oui, c’est pas possible. Mais probablement possible de vivre moins mal les désagréables
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
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Localisation : Landes
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
p2m a écrit:Ce que je veux dire: Cette idée qu’il y aurait moyen de se libérer totalement des émotions en s’appuyant uniquement sur sa raison implique pour moi que “la raison aurait toujours raison”. Que dans une situation donnée il y aurait toujours un BON choix à faire. Une sorte d’absolu du bien et du mal. Alors qu’une décision, vu notre carence en omniscience se fait sur un ressenti.
Nietzsche a écrit:238.
Pourquoi tout se réduisait à du cabotinage. — La psychologie rudimentaire qui ne comptait que les moments conscients dans l’homme en tant que causes), qui considérait la conscience comme un attribut de l’âme, qui cherchait une volonté (c.-à-d. une intention) derrière toute action - cette psychologie aurait pu répondre simplement, en premier lieu : Que veut l’homme ? Réponse : le bonheur (on n’osait pas dire la " puissance " : c’eût été immoral) ; — par conséquent, il y a dans toute action de l’homme une intention d’atteindre par elle le bonheur. En deuxième lieu : si l’homme n’atteint pas effectivement le bonheur, à quoi cela tient-il ? Aux méprises qu’il commet en ce qui concerne les moyens. — Quel est infailliblement le moyen pour arriver au bonheur ? Réponse : la vertu. — Pourquoi la vertu ? — Parce qu’elle est la sagesse la plus haute et parce que la sagesse rend impossible la faute qui consiste à se tromper dans les moyens ; en tant que raison la vertu est le chemin du bonheur. La dialectique est l’occupation continuelle de la vertu, parce qu’elle exclut tout trouble de l’intellect, toutes les passions.
De fait, l’homme ne veut pas le " bonheur ". La joie est un sentiment de puissance : lorsque l’on exclut les passions, on exclut les conditions qui provoquent au plus haut degré le sentiment de puissance, par conséquent la joie. La sagesse la plus haute est un état froid et clair qui est loin de provoquer ce sentiment de bonheur qu’apporte avec elle toute espèce d’ivresse...
Les philosophes antiques combattent tout ce qui grise, tout ce qui entrave la froideur et la neutralité de la conscience... En s’appuyant sur leur fausse hypothèse ils étaient conséquents : ils considéraient la conscience comme l’état élevé, l’état supérieur, la condition de la perfection, — tandis qu’en réalité c’est le contraire qui est vrai...
Pour autant qu’une chose est voulue, qu’une chose est sue il n’y a pas de perfection dans l’action, dans quelque ordre que soit celle-ci. Les philosophes anciens étaient les plus grands bousilleurs dans la pratique, parce que théoriquement ils s’étaient condamnés au bousillage... En pratique, tout revenait à du cabotinage, — et celui qui s’apercevait de la trame, Pyrrhon par exemple, jugeait comme tout le monde, c’est-à-dire que, pour ce qui est de la bonté et de l’équité, les " petites gens " sont bien supérieures aux philosophes.
Toutes les natures profondes de l’antiquité ont regardé avec dégoût les philosophes de la vertu : on voyait en eux des querelleurs et des cabotins. (Jugement porté sur Platon par Epicure, par Pyrrhon.) Résultat : Dans la pratique de la vie, dans la patience, la bonté et l’aide mutuelle les petites gens leur sont supérieurs ( - c’est à peu près le jugement que revendiquent Dostoïevski et Tolstoï pour leurs moujiks), ils sont animés d’une plus grande philosophie dans la pratique de la vie, ils ont une façon plus courageuse d’en finir avec ce qui est nécessaire...
https://fr.wikisource.org/wiki/La_Volont%C3%A9_de_puissance/Livre_deuxi%C3%A8me
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Oui, et en bonne relation avec soi-même aussi, puisque l'auteur du fil semble poursuivi par l' "autre" même quand il est seul ("Et dans les situations courantes, c'est pareil... sans forcément impliquer les autres...", dit Jérémy34).Plouffe a écrit:C'est un aspect qui me semble ressortir aussi. Dans le "facile à vivre", je perçois surtout une question sur les relations aux autres : comment être en bonne relation, sans conflits excessif. Comment apprendre l'art d'être en bonne relation.Grom a écrit:En fait, tu te désespères de manquer d'intelligence interpersonnelle et d'intelligence pratique ?
C'est bien dit, et cela poursuit ton idée qu'il s'agit d'un "art". L'intelligence émotionnelle, effectivement, ce n'est pas un état acquis pour de bon (on serait "facile à vivre" de nature sinon (pourquoi pas, mais c'est un peu creux, cela ne dit rien des mécanismes à l'œuvre chez quelqu'un d'habile en intelligence émotionnelle (qui comprend l'intelligence interpersonnelle))), cela semble être un ensemble de "compétences" :Plouffe a écrit:Mais à mes yeux, ni la vie, ni les relations qu'on a avec nos semblables ne peuvent être, ou ne devraient être faciles. Si facile veut dire sans effort, sans contrainte. Quelles que soient les relations, ou notre vie, on peut s'attendre à un moment ou à un autre à des difficultés, des contraintes, ou des tempêtes. Ça demande du boulot, la volonté de se connaître, de comprendre, de faire des ajustements et surtout de faire des choix. Et ce sera différent à chaque relation, quelle qu'elle soit.
Daniel Goleman dans le livre L’intelligence émotionnelle a écrit:Solvey rassemble les formes d’intelligence personnelle proposées par Gardner dans une définition de base de l'intelligence émotionnelle, qu'il répartit en cinq domaines principaux :
1. La connaissance des émotions. La conscience de soi -le fait de pouvoir identifier ses émotions - est la clé de voute de l'intelligence émotionnelle.[...]
2. La maîtrise de ses émotions. La capacité d'adapter ses sentiments à chaque situation dépends de la conscience de soi. [...] Ceux qui la possèdent supportent incomparablement mieux les revers et les contrariétés que leur réserve la vie.
3. L'automotivation. [...] il faut savoir canaliser ses émotions pour se concentrer, se maîtriser et s'automotiver. [...]
4. La perception des émotions d'autrui. L'empathie, une autre faculté fondée sur la conscience de soi, constitue l'élément fondamental de l'intelligence interpersonnelle.
5. La maîtrise des relations humaines. Savoir entretenir de bonnes relations avec les autres, c'est en grande partie savoir gérer leurs émotions.
J'aime bien cette idée que l'intelligence émotionnelle demande un effort, que cela se travaille, mais qu'il faut être assez lucide pour ne pas vouloir être faux pour plaire à tout le monde. Il y a des relations qui valent un peu d'effort pour qu'on les entretiennent (si elles ne sont pas tout à fait "évidentes"), mais, je suis bien d'accord, avec certaines personnes il vaut mieux constater l'incompatibilité de caractères.Plouffe a écrit:Par exemple : on me dit parfois que je m'enflamme vite, et c'est vrai. Il y a des situations où j'explose plus vite que je ne peux réfléchir, donc choisir mes mots ou une attitude plus distanciée.
En même temps, ma solution n'est pas d'être plus facile à vivre, ce qui voudrait dire me réfréner, ou me renier. J'ai des opinions construites et affirmées, ce qui peut passer pour de l'arrogance ou de l'autoritarisme, et créer des tensions. J'en suis consciente. Je travaille surtout à reconnaître les situations qui me posent problème et à déterminer dans quelle mesure je peux changer ma façon d'agir, si la relation m'importe, et jusqu'où je suis prête à le faire. Je peux aussi choisir d'éviter telle situation, ou au pire, telle personne si vraiment les antagonismes me semblent irréductibles. Autrement dit, je choisis de travailler sur ce que je peux changer (moi, ma relation aux autres), et j'essaie de déterminer ce qui est de ma responsabilité (de moi envers moi, et de moi envers les autres), ce qui ne dépend pas de moi, ou encore ce que je préfère éviter car trop énergivore ou sans intérêt à mes yeux.
Le degré d'implication n'est pas le même dans toutes les relations : ça va d'indifférent, ce qui suppose a minima respect et politesse, à toutes les gradations d'attachement affectif. La difficulté relationnelle est inversement proportionnelle, sinon, ce serait moins drôle. L'enjeu pour moi est de faire la différence entre ce me nourrit et ce qui m'amène à des impasses.
Bien sûr, il y a des relations qui semblent évidentes, faciles. Il y a une part de mystère. Mais je suis convaincue qu'à un moment ou à un autre, il va se poser des difficultés, des conflits, et que c'est normal. C'est dans la façon d'aborder les conflits et de chercher à les résoudre, ou pas, qu'on se connaît le mieux et qu'on connaît le mieux les autres.
Dernière édition par Grom le Sam 8 Jan 2022 - 2:40, édité 2 fois (Raison : J'avais foiré l'œuf dans l'eau)
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Par rapport au texte de Nietzsche
Je suis sceptique. Encore une fois, je ne vois pas une vertu absolue. Qui ne dépendrait pas du contexte. Ça me fait penser à cette histoire des loups. Je ne crois pas que la volonté aie pour ascendant un principe. Vouloir nourrir une vertu revient pour moi à vouloir influer sur l’image qu’on a de soi. Ce qui n’a pas grand chose à voir avec le désir qui jaillit des tripes. Qui se précipite en volonté. Qui va créer ce sentiment d’expansion, de puissance qui crée la joie. Mais je loupe(huhu) peut-être qqch…
Je suis sceptique. Encore une fois, je ne vois pas une vertu absolue. Qui ne dépendrait pas du contexte. Ça me fait penser à cette histoire des loups. Je ne crois pas que la volonté aie pour ascendant un principe. Vouloir nourrir une vertu revient pour moi à vouloir influer sur l’image qu’on a de soi. Ce qui n’a pas grand chose à voir avec le désir qui jaillit des tripes. Qui se précipite en volonté. Qui va créer ce sentiment d’expansion, de puissance qui crée la joie. Mais je loupe(huhu) peut-être qqch…
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
- à p2m:
J'avoue que j'ai rien compris à ce que tu dis làp2m a écrit:Par rapport au texte de Nietzsche
Je suis sceptique. Encore une fois, je ne vois pas une vertu absolue. Qui ne dépendrait pas du contexte. Ça me fait penser à cette histoire des loups. Je ne crois pas que la volonté aie pour ascendant un principe. Vouloir nourrir une vertu revient pour moi à vouloir influer sur l’image qu’on a de soi. Ce qui n’a pas grand chose à voir avec le désir qui jaillit des tripes. Qui se précipite en volonté. Qui va créer ce sentiment d’expansion, de puissance qui crée la joie. Mais je loupe(huhu) peut-être qqch…
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Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
- Grom:
- je vais réfléchir pour essayer de pondre un truc plus précis
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
C'est en fait probablement un art de vivre, un art d'être.
Je vous remercie de vos messages que j'ai lus et que je vais relire, et de vos partages, cela alimentera mes réflexions pendant quelques temps, je pense que je vous aime un peu plus... sommes-nous dans le bon forum ?
Avec un remerciement "consciemment égoïste" à vous, Grom.
Si vous avez d'autres avis, analyses, partages, expériences, réflexions, trucs et astuces, merci.
Beaucoup d'informations, je re tourne méditer.
Je vous remercie de vos messages que j'ai lus et que je vais relire, et de vos partages, cela alimentera mes réflexions pendant quelques temps, je pense que je vous aime un peu plus... sommes-nous dans le bon forum ?
Avec un remerciement "consciemment égoïste" à vous, Grom.
Si vous avez d'autres avis, analyses, partages, expériences, réflexions, trucs et astuces, merci.
- Oldelaf chante:
- Palmashow chante:
Beaucoup d'informations, je re tourne méditer.
Dernière édition par Jérémy34 le Ven 7 Jan 2022 - 23:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Invité a écrit:@jeremy34, si je puis me permettre, si tu veux qu'émerge une réelle discussion, il faut nous en donner un peu plus.
comment comprendre tes attentes, ou tu veux en venir si tu nous en dis si peu ?
nous souhaitons volontiers en discuter, mais vu d'ici c'est un peu flou.
https://www.zebrascrossing.net/t34022-des-necessites-d-etre-et-d-exister#1389439
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Bon, j'imagine que tu t'arrêtes là, Jérémy34, que tu pars méditer et que ta réflexion sur le sujet (toujours pas explicité) est finie... alors que le sujet a été avorté avant la fécondation de l'œuf... Ok.
C'est vrai que t'es pas facile à vivre
Tu es ISFP ?
C'est vrai que t'es pas facile à vivre
Tu es ISFP ?
Invité- Invité
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Grom a écrit:Bon, j'imagine que tu t'arrêtes là, Jérémy34, que tu pars méditer et que ta réflexion sur le sujet (toujours pas explicité) est finie... alors que le sujet a été avorté avant la fécondation de l'œuf... Ok.
C'est vrai que t'es pas facile à vivre
Tu es ISFP ?
J'ai fait le test, (nettement) plus pour répondre à votre question que par curiosité, et le résultat du test affirme selon les questions posées et les réponses données (en honnêteté analytique de l'instant) que je ne suis pas ISFP, ni ENFP.
Vous, qui vous considérez INFP, donc qui vous identifiez à un résultat de test de personnalité, c'est votre choix, je le respecte, ce n'est pas mon choix, et je le respecte aussi.
Ceci étant dit, j'avoue que le résultat du test me concernant raisonne de façon suffisamment pertinente pour être intéressant, et cela je l'accorde volontiers.
Dernière édition par Jérémy34 le Sam 8 Jan 2022 - 11:59, édité 5 fois
Invité- Invité
Charv- Messages : 2388
Date d'inscription : 15/04/2018
Age : 47
Localisation : Lyon
Re: Être facile à vivre est ce qui est le plus difficile à faire ?
Une façon gentille de dire que je suis un benêt, et je le respecte aussi.Jérémy34 a écrit:Vous, qui vous considérez INFP, donc qui vous identifiez à un résultat de test de personnalité, c'est votre choix, je le respecte, ce n'est pas mon choix, et je le respecte aussi.
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