Lexique jamais achevé
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Shadow Boxeur
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Re: Lexique jamais achevé
@Amocore
Je te répondrai sur la culpabilité, et l'honneur parce que cela me semble lié.
Le temps de modérer mes propos.
Je crois juste savoir que derrière chaque culpabilité se cache un coupable.
Certains coupables ne sont jamais jugés et leur culpabilité reste entière, capable de. .., et peut se transmettre. Reste vivante.
D'autres, non coupables, peuvent se voir hériter ou affublé d'une culpabilité. A laquelle ils tenteront d'échapper toute leur vie. Se fuyant ou se détruisant, se condamnant, sauf a peut être un jour se trouver face au coupable pour faire jugement.
D'autres encore chercheront des coupables a leurs douleurs qui ne sont plus sujettes a aucun jugement, l'honneur ayant été tué par la raison, et créeront de nouvelles culpabilités, bien malgré eux et dans la souffrance, qui alimenteront le fleuve turpide incessant de culpabilité.
Comment s'appelait ce jeu déjà, gamins ?
Ah oui. ..cluedo.
Un corps. Un meurtre.
Donc une culpabilité a élucider.
Réunir les indices par élimination.
Bonne fin de cluedo Amo !
Moi je dirais mlle Rose avec un couteau dans la bibliothèque. Pour éliminer cette option.
Je sur sûr que c'est pas mlle Rose mais faut être scientifique et procéder pas a pas avec raison.
Éliminer le faux pour savoir le vrai. ...c'est une façon de voir et de savoir.
Je suis content d'avoir par les hasards de la vie découvert d'autres façons de voir et penser.
Non exclusives.
Je te répondrai sur la culpabilité, et l'honneur parce que cela me semble lié.
Le temps de modérer mes propos.
Je crois juste savoir que derrière chaque culpabilité se cache un coupable.
Certains coupables ne sont jamais jugés et leur culpabilité reste entière, capable de. .., et peut se transmettre. Reste vivante.
D'autres, non coupables, peuvent se voir hériter ou affublé d'une culpabilité. A laquelle ils tenteront d'échapper toute leur vie. Se fuyant ou se détruisant, se condamnant, sauf a peut être un jour se trouver face au coupable pour faire jugement.
D'autres encore chercheront des coupables a leurs douleurs qui ne sont plus sujettes a aucun jugement, l'honneur ayant été tué par la raison, et créeront de nouvelles culpabilités, bien malgré eux et dans la souffrance, qui alimenteront le fleuve turpide incessant de culpabilité.
Comment s'appelait ce jeu déjà, gamins ?
Ah oui. ..cluedo.
Un corps. Un meurtre.
Donc une culpabilité a élucider.
Réunir les indices par élimination.
Bonne fin de cluedo Amo !
Moi je dirais mlle Rose avec un couteau dans la bibliothèque. Pour éliminer cette option.
Je sur sûr que c'est pas mlle Rose mais faut être scientifique et procéder pas a pas avec raison.
Éliminer le faux pour savoir le vrai. ...c'est une façon de voir et de savoir.
Je suis content d'avoir par les hasards de la vie découvert d'autres façons de voir et penser.
Non exclusives.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Re: Lexique jamais achevé
NÉCROLOGIE. Aujourd'hui.
Non, pas de nécrologie.
Juste pour dire que je, Shadow Boxer, va disparaître.
Que cela n'a rien à voir avec les échanges que j'ai pu avoir sur ZC, ou avec la modération.
Bonne continuation !
Je vais nettoyer autant que je peux quelques fils de Shadow Boxer, merci à la modération si elle le peut de finir le ménage.
Si un autre Shadow vient un jour, ce ne sera pas moi.
Non, pas de nécrologie.
Juste pour dire que je, Shadow Boxer, va disparaître.
Que cela n'a rien à voir avec les échanges que j'ai pu avoir sur ZC, ou avec la modération.
Bonne continuation !
Je vais nettoyer autant que je peux quelques fils de Shadow Boxer, merci à la modération si elle le peut de finir le ménage.
Si un autre Shadow vient un jour, ce ne sera pas moi.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
C'était un plaisir, Shadow Boxeur.
Peut-être que nos chemins se recroiseront en un certain point.
Peut-être que nos chemins se recroiseront en un certain point.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
DÉTENTION PROVISOIRE. Aujourd'hui.
J'ai été condamné, je suis peut-être allé un peu vite.
J'ai pour l'instant été jugé coupable.
Je suis actuellement en détention provisoire.
La peine et son aménagement n'ont pas encore été prononcés par le juge.
L'effacement de mon fil a été la première mesure suspensive pour faire disparaître l'attentat à la pudeur dont je suis coupable.
J'aurai le temps de réfléchir à cette culpabilité.
J'ai été condamné, je suis peut-être allé un peu vite.
J'ai pour l'instant été jugé coupable.
Je suis actuellement en détention provisoire.
La peine et son aménagement n'ont pas encore été prononcés par le juge.
L'effacement de mon fil a été la première mesure suspensive pour faire disparaître l'attentat à la pudeur dont je suis coupable.
J'aurai le temps de réfléchir à cette culpabilité.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Hello early bird,
Ca m'est pénible de te lire. Je suis révoltée. Je ne ferai pas de grève de la faim pour l'exprimer car je finirais tellement fine que je pourrais traverser les murs.
Tu es au plus près de mon récit, l'as-tu vraiment lu ? M'as-tu vraiment suivi dans cette aventure ?
Tu es le premier à m'avoir demandé si j'avais bien emmenagé pourtant je n'en suis pas sûre.
Mais il y a des expériences qui ne peuvent pas être substituées par l'expérience d'autrui.
Tiens nous au courant.
Merci d'être encore là.
Ca m'est pénible de te lire. Je suis révoltée. Je ne ferai pas de grève de la faim pour l'exprimer car je finirais tellement fine que je pourrais traverser les murs.
Tu es au plus près de mon récit, l'as-tu vraiment lu ? M'as-tu vraiment suivi dans cette aventure ?
Tu es le premier à m'avoir demandé si j'avais bien emmenagé pourtant je n'en suis pas sûre.
Mais il y a des expériences qui ne peuvent pas être substituées par l'expérience d'autrui.
Tiens nous au courant.
Merci d'être encore là.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
CULPABILITÉ. NON DIT. MÉTAPHYSIQUE. Hier, aujourd'hui, demain.
Je n'ai pas encore "cristallisé" mes idées sur la culpabilité. Un nuage de mots importants. Il doit encore manquer quelque chose.
Néanmoins...un petit bout de mes pensées...au matin.
Libres pensées dénuées de toute valeur rationnelle. Par économie, je n'écris pas à chaque fois "je pense que", "j'imagine que", "je soupçonne que". Aucun je sais autre que celui que je connais intérieurement, à ce jour.
La culpabilité peut être un non dit.
Au passé, d'un acte coupable dont la culpabilité de l'auteur n'a pas été prononcée. Un dit en acte dans l'espace, non dit en parole dans le temps.
Au présent, d'une culpabilité qui ne dit pas son nom, et reste contenue en acte, non dite dans des des actes qui se produisent, la disent en acte sans pouvoir dire son nom. Contenue car elle ne se dit pas, ou contenue car elle ne se manifeste pas, pas toujours.
Au futur ? reste la possibilité qu'elle demeure un non dit en acte, peut-être parce qu'elle aura été dite en mots. Ou qu'elle se manifeste en acte, restant non dite en mots, non jugée, non accessible au jugement.
Culpabilité non dite.
Le non dit est un sujet métaphysique.
Le dit, aussitôt l'instant de sa naissance passée devient un objet, possiblement inscrit dans une mémoire ou gravé dans la pierre. Qui peut obéir aux lois physiques, circuler dans l'espace et le temps avec leurs lois physiques.
Le non dit reste un sujet vivant et particulier.
Qui circule dans l'espace et le temps en en défiant les lois physiques, ou obéissant à d'autres lois, métaphysiques.
Le "je t'aime" qui n'a pas été dit sur un quai d'embarquement habitera en permanence, simultanément les deux protagonistes de ce couple. Instantanément, il pourra à l'occasion occuper simultanément leurs pensées, en deux endroits du globe différents, et d'une certaine façon les relier, de deux façons différentes, dans deux états différents.
Et s'il n'est jamais dit, leur survivre et devenir éternel.
D'une certaine façon, le non dit peut se transmettre je crois, de générations en générations. En creux, dans les interstices du dit entre parent et enfant, entre les lignes de l'attachement et de l'éducation, de l'individualisation.
Et donc la culpabilité.
Dans mon cas, cela m'éclaire puissamment ce matin sur une raison unitaire, raison à toutes mes dimensions physiques, présente dans tous mes actes, actualisée à chaque instant, raison métaphysique, depuis quarante ans, non dite.
Une mère qui a porté la culpabilité d'un garçon manqué, celle de son père sans enfant mâle, garçon manqué/manquant à ses parents en quittant la tradition familiale. Qui en a fait un garçon manqué. Celle de sa mère, peut-être qui n'a pas donné d'enfant mâle et laissé faire cette éducation de garçon manqué. Ma mère qui a toujours été "attirée" par les garçons/enfants manqués (grands malades, orphelins, enfants de la DDASS. Qui a manqué à voir ce qui est arrivé à son garçon.
Un père qui a porté la culpabilité d'un père éjecté, par sa mère et son bel américain dont elle gardait plus ou moins le secret. Et d'un garçon manqué par son père, garçon venu après un aîné mort en bas âge, garçon peut-être manqué pour son père par un doute sur sa paternité. Devenu père éjecté de son rôle de père avec ses enfants par son épouse, éjecté par ses enfants plus tard, à différents degrés.
Des culpabilités de garçon manqué et de père éjecté, transmises peut-être à un adolescent et fusionnées dans une culpabilité d'homme invisible, garçon qui n'est pas devenu homme. Aggravée, la synchronicité de ces culpabilités est troublante, par la rencontre avec des garçons manqués aux pères éjectés, qui l'ont considéré comme un homme invisible, ce qui permettait de le violer, ou leur part d'humanité devenant invisible les autorisant à violer. Ces culpabilités non dites devaient peut-être se rencontrer, où quand par hasard elles se sont rencontrées, elles se sont dites en actes, car se rencontrant, se présentant, s'actualisant dans le même ici et maintenant.
Toujours est-il que culpabilité de l'homme invisible, de garçon manqué et de père éjecté ont marqué chacune des grandes conneries que j'ai pu faire depuis 40 ans, sans se dire.
Mêmes dites aujourd'hui, même si leur non dit ne manque plus, elles continuent d'agir si je n'y prend garde, dans des actes manqués.
Celle du garçon manqué, je crois l’avoir à peu près dite avec ma mère, il reste à dire avec mon « fils ».
Celle du père éjecté, elle s’est en partie dite quand ma fille cadette est venue vivre avec moi après que j’aie été éjecté dans un divorce. Elle ne s’est pas encore dite avec mon père que j’ai éjecté.
Celle de l’homme invisible…elle demande encore beaucoup de travail je crois…preuve en est s’il en fallait encore, mon effacement impulsif de ce fil. C’est celle là qui s’est manifestée de la façon la plus visible dans la vie réelle avec mes « crises ».
Derrière ses 3 non dits, s'actualise encore un dit de mon attachement au monde et aux autres, qui en est bien la synthèse active.
Dans lequel je réalise encore bien des actes manqués.
Culpabilité me semble un mot intéressant.
Quoique cette approche ne soit pas rationnelle, et métaphysique.
Honneur aussi, mais c’est un autre sujet. Face métaphysique, non physique et unitaire, endroit ou envers de la culpabilité.
Honneur qui a été, à bien y regarder, ma façon de vivre, ma béquille, avec ces culpabilités.
Réflexions à poursuivre. Intuitions non rationnelles plutôt, comme chaque petit matin après qu'un truc ait tourné dans mes pensées la nuit.
Je n'ai pas encore "cristallisé" mes idées sur la culpabilité. Un nuage de mots importants. Il doit encore manquer quelque chose.
Néanmoins...un petit bout de mes pensées...au matin.
Libres pensées dénuées de toute valeur rationnelle. Par économie, je n'écris pas à chaque fois "je pense que", "j'imagine que", "je soupçonne que". Aucun je sais autre que celui que je connais intérieurement, à ce jour.
La culpabilité peut être un non dit.
Au passé, d'un acte coupable dont la culpabilité de l'auteur n'a pas été prononcée. Un dit en acte dans l'espace, non dit en parole dans le temps.
Au présent, d'une culpabilité qui ne dit pas son nom, et reste contenue en acte, non dite dans des des actes qui se produisent, la disent en acte sans pouvoir dire son nom. Contenue car elle ne se dit pas, ou contenue car elle ne se manifeste pas, pas toujours.
Au futur ? reste la possibilité qu'elle demeure un non dit en acte, peut-être parce qu'elle aura été dite en mots. Ou qu'elle se manifeste en acte, restant non dite en mots, non jugée, non accessible au jugement.
Culpabilité non dite.
Le non dit est un sujet métaphysique.
Le dit, aussitôt l'instant de sa naissance passée devient un objet, possiblement inscrit dans une mémoire ou gravé dans la pierre. Qui peut obéir aux lois physiques, circuler dans l'espace et le temps avec leurs lois physiques.
Le non dit reste un sujet vivant et particulier.
Qui circule dans l'espace et le temps en en défiant les lois physiques, ou obéissant à d'autres lois, métaphysiques.
Le "je t'aime" qui n'a pas été dit sur un quai d'embarquement habitera en permanence, simultanément les deux protagonistes de ce couple. Instantanément, il pourra à l'occasion occuper simultanément leurs pensées, en deux endroits du globe différents, et d'une certaine façon les relier, de deux façons différentes, dans deux états différents.
Et s'il n'est jamais dit, leur survivre et devenir éternel.
D'une certaine façon, le non dit peut se transmettre je crois, de générations en générations. En creux, dans les interstices du dit entre parent et enfant, entre les lignes de l'attachement et de l'éducation, de l'individualisation.
Et donc la culpabilité.
Dans mon cas, cela m'éclaire puissamment ce matin sur une raison unitaire, raison à toutes mes dimensions physiques, présente dans tous mes actes, actualisée à chaque instant, raison métaphysique, depuis quarante ans, non dite.
Une mère qui a porté la culpabilité d'un garçon manqué, celle de son père sans enfant mâle, garçon manqué/manquant à ses parents en quittant la tradition familiale. Qui en a fait un garçon manqué. Celle de sa mère, peut-être qui n'a pas donné d'enfant mâle et laissé faire cette éducation de garçon manqué. Ma mère qui a toujours été "attirée" par les garçons/enfants manqués (grands malades, orphelins, enfants de la DDASS. Qui a manqué à voir ce qui est arrivé à son garçon.
Un père qui a porté la culpabilité d'un père éjecté, par sa mère et son bel américain dont elle gardait plus ou moins le secret. Et d'un garçon manqué par son père, garçon venu après un aîné mort en bas âge, garçon peut-être manqué pour son père par un doute sur sa paternité. Devenu père éjecté de son rôle de père avec ses enfants par son épouse, éjecté par ses enfants plus tard, à différents degrés.
Des culpabilités de garçon manqué et de père éjecté, transmises peut-être à un adolescent et fusionnées dans une culpabilité d'homme invisible, garçon qui n'est pas devenu homme. Aggravée, la synchronicité de ces culpabilités est troublante, par la rencontre avec des garçons manqués aux pères éjectés, qui l'ont considéré comme un homme invisible, ce qui permettait de le violer, ou leur part d'humanité devenant invisible les autorisant à violer. Ces culpabilités non dites devaient peut-être se rencontrer, où quand par hasard elles se sont rencontrées, elles se sont dites en actes, car se rencontrant, se présentant, s'actualisant dans le même ici et maintenant.
Toujours est-il que culpabilité de l'homme invisible, de garçon manqué et de père éjecté ont marqué chacune des grandes conneries que j'ai pu faire depuis 40 ans, sans se dire.
Mêmes dites aujourd'hui, même si leur non dit ne manque plus, elles continuent d'agir si je n'y prend garde, dans des actes manqués.
Celle du garçon manqué, je crois l’avoir à peu près dite avec ma mère, il reste à dire avec mon « fils ».
Celle du père éjecté, elle s’est en partie dite quand ma fille cadette est venue vivre avec moi après que j’aie été éjecté dans un divorce. Elle ne s’est pas encore dite avec mon père que j’ai éjecté.
Celle de l’homme invisible…elle demande encore beaucoup de travail je crois…preuve en est s’il en fallait encore, mon effacement impulsif de ce fil. C’est celle là qui s’est manifestée de la façon la plus visible dans la vie réelle avec mes « crises ».
Derrière ses 3 non dits, s'actualise encore un dit de mon attachement au monde et aux autres, qui en est bien la synthèse active.
Dans lequel je réalise encore bien des actes manqués.
Culpabilité me semble un mot intéressant.
Quoique cette approche ne soit pas rationnelle, et métaphysique.
Honneur aussi, mais c’est un autre sujet. Face métaphysique, non physique et unitaire, endroit ou envers de la culpabilité.
Honneur qui a été, à bien y regarder, ma façon de vivre, ma béquille, avec ces culpabilités.
Réflexions à poursuivre. Intuitions non rationnelles plutôt, comme chaque petit matin après qu'un truc ait tourné dans mes pensées la nuit.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Ah oui, nous sommes en plein dans le transgénérationnel. Tu lies à culpabilité étroitement au non-dit. Il y a le cas d'une culpabilité exprimée aussi.
Qui répond à cette culpabilité ? La rédemption ? Le pardon ? Le pardon de soi ? Comment la rendre possible ?
Je ne pense pas que le "je t'aime" non dit soit source de culpabilité, mais de remords, de regrets ? Quelle différence entre les trois ?
Il y a aussi à différentier culpabilité saine et malsaine. Se sentir coupable d'avoir fait quelque chose de moralement répréhensible est une bonne chose, c'est personnellement ce sentiment qui m'a rongé alors que je n'étais pas en adéquation avec mes valeurs qui m'a poussé à changer radicalement.
Ce dont tu décris dans ton histoire familial relève d'après moi plutôt la culpabilité malsaine, voire la honte. La différence entre les deux siège dans l'action et l'être. La honte est plus corrossive car elle attaque dans l'être, ça n'est plus "avoir fait quelque chose de regrettable" mais "être quelqu'un de mauvais". On échappe difficilement à la honte, sauf les psychopathes et autres démons qui la déchargent et la transfèrent massivement sur leur cible.
Donc l'honneur répond logiquement plus à la honte. La réhabilitation à la culpabilité.
Merci pour ta réflexion et ton invitation dans ce nouveau champ de l'héritage émotionnel.
Qui répond à cette culpabilité ? La rédemption ? Le pardon ? Le pardon de soi ? Comment la rendre possible ?
Je ne pense pas que le "je t'aime" non dit soit source de culpabilité, mais de remords, de regrets ? Quelle différence entre les trois ?
Il y a aussi à différentier culpabilité saine et malsaine. Se sentir coupable d'avoir fait quelque chose de moralement répréhensible est une bonne chose, c'est personnellement ce sentiment qui m'a rongé alors que je n'étais pas en adéquation avec mes valeurs qui m'a poussé à changer radicalement.
Ce dont tu décris dans ton histoire familial relève d'après moi plutôt la culpabilité malsaine, voire la honte. La différence entre les deux siège dans l'action et l'être. La honte est plus corrossive car elle attaque dans l'être, ça n'est plus "avoir fait quelque chose de regrettable" mais "être quelqu'un de mauvais". On échappe difficilement à la honte, sauf les psychopathes et autres démons qui la déchargent et la transfèrent massivement sur leur cible.
Donc l'honneur répond logiquement plus à la honte. La réhabilitation à la culpabilité.
Merci pour ta réflexion et ton invitation dans ce nouveau champ de l'héritage émotionnel.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Tu as raison Amo. Culpabilité et honte peuvent être deux sujets distincts, et appeler des réflexions dans chaque champ.
Mon approche hors sujet comme d'hab, est une culpabilité et une honte particulières.
Dans le sens avec l'idée de culpabilité non dite, que c'est a la fois une culpabilité et une honte(qu'elle se dit en honte si l'on veut, la culpabilité bien dissimulée).
Et de pouvoir penser aux origines avec le non dit et le dit.
Et chercher l'origine de la honte.
C'est un cas particulier, qui ne recouvre pas toutes les formes de culpabilité et de honte.
Cible sur une culpabilité non dite, que je connais intimement.
Faudrait que je réfléchisse plus large un jour, mais je vais déjà essayer de m'occuper de mon cas !
Sujet qui m'intéresse, je veux dire le plus large, pour d'autres personnes que mon petit ego sur dimensionné autour de moi
Mon approche hors sujet comme d'hab, est une culpabilité et une honte particulières.
Dans le sens avec l'idée de culpabilité non dite, que c'est a la fois une culpabilité et une honte(qu'elle se dit en honte si l'on veut, la culpabilité bien dissimulée).
Et de pouvoir penser aux origines avec le non dit et le dit.
Et chercher l'origine de la honte.
C'est un cas particulier, qui ne recouvre pas toutes les formes de culpabilité et de honte.
Cible sur une culpabilité non dite, que je connais intimement.
Faudrait que je réfléchisse plus large un jour, mais je vais déjà essayer de m'occuper de mon cas !
Sujet qui m'intéresse, je veux dire le plus large, pour d'autres personnes que mon petit ego sur dimensionné autour de moi
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Je ne trouve pas que ce soit hors sujet mais bien à propos, on va dire que tu te saisis du thème librement et d'une façon focalisée avec un angle d'attaque surprenant. C'était un sujet libre. Voilà ce que j'aurais mis sur ta copie si j'avais été ta prof.
En fait, c'est très bien de commencer la révolution par soi, il me semble avoir emprunté cette idée de la bouche d'un grand révolutionnaire pacificiste
Petit ego surdimensionné ? N'est-ce pas choupi ? Je qualifierais le mien de géant ego compacté à paillettes, forcément faut que ça brille bling bling.
Une fois que tu auras fini sur ce thème, pourras-tu traiter la résilience ? Je suis sympa, je te donne la semaine. Vendredi 18 heures sans faute, heure du soleil marseillais.
En fait, c'est très bien de commencer la révolution par soi, il me semble avoir emprunté cette idée de la bouche d'un grand révolutionnaire pacificiste
Petit ego surdimensionné ? N'est-ce pas choupi ? Je qualifierais le mien de géant ego compacté à paillettes, forcément faut que ça brille bling bling.
Une fois que tu auras fini sur ce thème, pourras-tu traiter la résilience ? Je suis sympa, je te donne la semaine. Vendredi 18 heures sans faute, heure du soleil marseillais.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
INTUITION. CULPABILITÉ. RÉSILIENCE. Chantier en cours.
Avertissement : tout ce qui suit n'est pas rationnel, comme ce fil d'ailleurs. C'est intuitif. Juste pour ne pas faire perdre son temps à un lecteur en quête de rationalité.
Intuitif : je prends un mot ou une question, et je laisse se former un nuage d'idées autour (bon, j'ai péché, certaines de ces idées doivent venir de mes rares lectures de savoirs rationnels). Au bout d'un moment, de façon intuitive, le nuage se critallise et une idée apparaît centrale, reliant tous les concepts du nuage. Une intuition, une hypothèse. Et si l'on considérait que ? Fiction, hors-sujet. Et on déroule de cette hypothèse ses conséquences.
Jeu de mots, sur ce fil pour explorer certains maux.
Quand je suis taquin et si je ne saute pas sur une autre intuition, une fois cela fait, je vais chercher si, dans l'immense réservoir des savoirs rationnels, des connaissances établies peuvent valider ou invalider cette intuition et les conséquences qui en découlent. En général, c'est plutôt riche comme liens entre une intuition et savoirs rationnels, et cela permet d'amender, retravailler, améliorer l'intuition.
Donc culpabilité au départ.
Intuition, hypothèse : et si la culpabilité était fondamentalement un "non" dit par le verdict "coupable/non coupable" dans l'espace, mais un non-dit, un non dicible dans le temps. Je ne redéveloppe pas ici.
Maintenant résiliance.
Comme j'ai jusqu'à vendredi, je prends mon temps. Le nuage de mots se forme et va s'épaissir.
Mais intuition déjà. Elle changera peut-être d'ici vendredi.
Et si la culpabilité était un métacontrat social ?
Contrat : résilier, résiliation, résilience....et résiliance, mot qui n'existe pas
Social : interférer, inter-ferrés, interférence, inter-faire, inter-fairance...mots qui n'existent pas.
Contrat : quelqu'un dit non...coupable. Un dit "non".
Société, sociabilité, sociabilisation : des culpabilités non-dîtes ? Je resterai sur ce sujet en lien avec la résilience.
Et bien d'autres mots encore autour de tout cela.
Mais vous avez l'essentiel, le premier cercle de mots (à l'heure où j'écris, demain est un autre jour) pour y penser, pardon, intuiter et créer une fiction de mots sur des maux bien réels, encore parfois énigmatiques et sans raisons.
A vendredi !
Je passe sur l'intuition d'un contrat métaphysique de culpabilité des sociétés occidentales. ...il a déjà été écrit bien assez de savoirs sur cela. Pour sinon confirmer, au moins ne pas totalement invalider cette intuition.Le contrat est peut être mort....résilié. ..mais pas convaincu, intuitivement
Avertissement : tout ce qui suit n'est pas rationnel, comme ce fil d'ailleurs. C'est intuitif. Juste pour ne pas faire perdre son temps à un lecteur en quête de rationalité.
Intuitif : je prends un mot ou une question, et je laisse se former un nuage d'idées autour (bon, j'ai péché, certaines de ces idées doivent venir de mes rares lectures de savoirs rationnels). Au bout d'un moment, de façon intuitive, le nuage se critallise et une idée apparaît centrale, reliant tous les concepts du nuage. Une intuition, une hypothèse. Et si l'on considérait que ? Fiction, hors-sujet. Et on déroule de cette hypothèse ses conséquences.
Jeu de mots, sur ce fil pour explorer certains maux.
Quand je suis taquin et si je ne saute pas sur une autre intuition, une fois cela fait, je vais chercher si, dans l'immense réservoir des savoirs rationnels, des connaissances établies peuvent valider ou invalider cette intuition et les conséquences qui en découlent. En général, c'est plutôt riche comme liens entre une intuition et savoirs rationnels, et cela permet d'amender, retravailler, améliorer l'intuition.
Donc culpabilité au départ.
Intuition, hypothèse : et si la culpabilité était fondamentalement un "non" dit par le verdict "coupable/non coupable" dans l'espace, mais un non-dit, un non dicible dans le temps. Je ne redéveloppe pas ici.
Maintenant résiliance.
Comme j'ai jusqu'à vendredi, je prends mon temps. Le nuage de mots se forme et va s'épaissir.
Mais intuition déjà. Elle changera peut-être d'ici vendredi.
Et si la culpabilité était un métacontrat social ?
Contrat : résilier, résiliation, résilience....et résiliance, mot qui n'existe pas
Social : interférer, inter-ferrés, interférence, inter-faire, inter-fairance...mots qui n'existent pas.
Contrat : quelqu'un dit non...coupable. Un dit "non".
Société, sociabilité, sociabilisation : des culpabilités non-dîtes ? Je resterai sur ce sujet en lien avec la résilience.
Et bien d'autres mots encore autour de tout cela.
Mais vous avez l'essentiel, le premier cercle de mots (à l'heure où j'écris, demain est un autre jour) pour y penser, pardon, intuiter et créer une fiction de mots sur des maux bien réels, encore parfois énigmatiques et sans raisons.
A vendredi !
Je passe sur l'intuition d'un contrat métaphysique de culpabilité des sociétés occidentales. ...il a déjà été écrit bien assez de savoirs sur cela. Pour sinon confirmer, au moins ne pas totalement invalider cette intuition.Le contrat est peut être mort....résilié. ..mais pas convaincu, intuitivement
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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Re: Lexique jamais achevé
ANALOGIE.
Petite digression (quoi que ?) :
"Penser l'histoire croisée entre empirie et réflexivité."
https://www.cairn.info/revue-annales-2003-1-page-7.htm
Un accusé condamné (ou seulement damné si non condamné) et une victime...et si c'était une histoire croisée de / avec la culpabilité ?
Manière, occasion de penser la tête perdue dans les nuages.
Petite digression (quoi que ?) :
"Penser l'histoire croisée entre empirie et réflexivité."
https://www.cairn.info/revue-annales-2003-1-page-7.htm
Un accusé condamné (ou seulement damné si non condamné) et une victime...et si c'était une histoire croisée de / avec la culpabilité ?
Manière, occasion de penser la tête perdue dans les nuages.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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Re: Lexique jamais achevé
LIBRE ERRANCE EN DES LIBÉRATIONS.
Libre bouillon de mots, en cours de mijotage, sans encore tous les ingrédients.
Jouons avec les mots en imaginant, tout cela n’est qu’imagination, que la culpabilité constitue un métacontrat social.
Métacontrat dans le sens où la culpabilité envahit ou se retrouve dans l’ensemble des contrats sociaux, des contrats de comportement. Existe-t-il un seul champ des comportements sociaux, ou relationnels, où votre culpabilité, la culpabilité ne soit pas présente ? Acheter, aimer, apprendre, …
Métacontrat dans le sens où ce contrat n’est pas physique. La culpabilité n’est pas un objet physique, dicible physiquement autrement que par la parole de sujets. Elle ne se pèse pas, ne se mesure pas, ne se voit pas, ne s’entend pas, n’a pas d’odeur.
Dès lors que j’imagine un contrat, peuvent s’imaginer des contractants.
Contractants d’une culpabilité guère décontractante avouons-le, peu propice à la décontraction dans les relations sociales, ni dans une société de manière plus générale.
Des contractants, contre actant dans leurs histoires, leurs relations qui se croisent, de quels types ?
Un actant de culpabilité, culpabilité dite en acte, de nature autodidacte à faire subir. Un auto dit d’acte se disant non coupable, sa culpabilité encore non dite.
Un actuant de culpabilité, support d’un acte le tuant, espèce d’acteur soumis à l’actualisation d’une culpabilité qui ne dit pas encore son nom, ni n’entend de non. Qu’il s’agisse du non interne de l’actant ou externe de l’actuant.
Ce non, ce/se dire non pourrait être le pivot, l’objet, de ce métacontrat social, contrat social de culpabilité non dite, qui ne doit pas se dire en actes.
Et peut-être alors son acteur principal, dont le rôle est de pouvoir vivre non coupable, tantôt actant, tantôt actuant, selon la nature du drame qui se joue.
Un contrat qui fixe quand il faut dire non à une culpabilité qui pourrait, voudrait, se dire en actes. Des nons sont dit à certains actes.
Mais comme dans tout contrat, il y a des non-dits.
Et des entorses au contrat, des en torts se disant en actes, dans leurs torts se contre actants, restant des soit-disant s’ils perdurent non-dits, dans les termes du contrat,
ne permettant jamais de trouver le terme de ce soi disant qui battra sa coulpe pourtant vide, se contractant dans une culpabilité non dite toujours renouvelée.
Alors vient peut-être le temps de résilier ce contrat.
Libre bouillon de mots, en cours de mijotage, sans encore tous les ingrédients.
Jouons avec les mots en imaginant, tout cela n’est qu’imagination, que la culpabilité constitue un métacontrat social.
Métacontrat dans le sens où la culpabilité envahit ou se retrouve dans l’ensemble des contrats sociaux, des contrats de comportement. Existe-t-il un seul champ des comportements sociaux, ou relationnels, où votre culpabilité, la culpabilité ne soit pas présente ? Acheter, aimer, apprendre, …
Métacontrat dans le sens où ce contrat n’est pas physique. La culpabilité n’est pas un objet physique, dicible physiquement autrement que par la parole de sujets. Elle ne se pèse pas, ne se mesure pas, ne se voit pas, ne s’entend pas, n’a pas d’odeur.
Dès lors que j’imagine un contrat, peuvent s’imaginer des contractants.
Contractants d’une culpabilité guère décontractante avouons-le, peu propice à la décontraction dans les relations sociales, ni dans une société de manière plus générale.
Des contractants, contre actant dans leurs histoires, leurs relations qui se croisent, de quels types ?
Un actant de culpabilité, culpabilité dite en acte, de nature autodidacte à faire subir. Un auto dit d’acte se disant non coupable, sa culpabilité encore non dite.
Un actuant de culpabilité, support d’un acte le tuant, espèce d’acteur soumis à l’actualisation d’une culpabilité qui ne dit pas encore son nom, ni n’entend de non. Qu’il s’agisse du non interne de l’actant ou externe de l’actuant.
Ce non, ce/se dire non pourrait être le pivot, l’objet, de ce métacontrat social, contrat social de culpabilité non dite, qui ne doit pas se dire en actes.
Et peut-être alors son acteur principal, dont le rôle est de pouvoir vivre non coupable, tantôt actant, tantôt actuant, selon la nature du drame qui se joue.
Un contrat qui fixe quand il faut dire non à une culpabilité qui pourrait, voudrait, se dire en actes. Des nons sont dit à certains actes.
Mais comme dans tout contrat, il y a des non-dits.
Et des entorses au contrat, des en torts se disant en actes, dans leurs torts se contre actants, restant des soit-disant s’ils perdurent non-dits, dans les termes du contrat,
ne permettant jamais de trouver le terme de ce soi disant qui battra sa coulpe pourtant vide, se contractant dans une culpabilité non dite toujours renouvelée.
Alors vient peut-être le temps de résilier ce contrat.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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Re: Lexique jamais achevé
BROUILLON DE BOUILLON, suite éphémère.
Deux contractants d’un métacontrat social de non culpabilité.
Parent, enfant, par exemple.
Avec une entorse invisible à ce métacontrat, une culpabilité non dite.
Invisible hors de ces deux contre actants, parent, enfant, les contractant dans leurs histoires, leurs drames, qui se sont croisés à un moment, à un endroit dans un acte coupable.
Dès lors ne vivant que dans leurs mondes, sans dehors.
Liés par cette culpabilité non dite.
L’un avec la culpabilité non-dite de n’avoir su dire non à son acte coupable aux termes du contrat.
L’autre, subissant l’acte, son non dit, n’ayant pas été entendu, respecté dans le cadre du contrat.
Non dite, cette culpabilité va les maintenir reliés, sans juge ni jugement possible.
Sans mise à mort de cette culpabilité qui n’est déjà plus vivante, hors de l’ici et maintenant de l’acte coupable.
De l’acte coupable non jugé naît une culpabilité qui n’est plus tout à fait vivante, sans mise à mort pourtant.
Cela me fait penser à une torture.
Chacun des contractants de cette culpabilité non dite poursuit sa vie, suivant leurs chemins respectifs dans l’espace et dans le temps.
Reliés par cette culpabilité non dite, qu’ils vivent séparément.
Une sorte de contrat personnel, cette fois. De torture qui perdure, pour l’un comme pour l’autre, sous des formes différentes.
Des décontractants existent, de multiples formes pour atténuer les douleurs de la torture.
Cela peut aider à la résilience des contractants. A retrouver leur forme originelle avant que ce à quoi il aurait fallu dire non ne se produise.
Mais comment dé-contracter ce contrat personnel ? Le résilier.
Cette culpabilité non dite n’est plus située ici et maintenant, mais dans des espaces et des temps distincts sans plus de synchronicité.
Elle n’est plus seulement un moment, mais devient une histoire. Deux histoires, relatives l’une à l’autre.
Relatives, mais plus en relation parfois.
Dès lors sans plus de relation, comment résilier ce contrat.
Un contrat tenace, résilient. Notamment je crois ces contrats parents-enfants.
Dès lors, devenir soi résilient ? Est-ce la question ? Toute la question ou une part seulement ? Ce résiliant-là résidant là ici et maintenant, me fait penser à resident evil.
Mais l’autre résilience, celle du contrat ?
Celle-ci éveille plus ma curiosité.
La résilience est je crois une capacité, et se niche alors ici et maintenant, et seulement ici et maintenant.
Dès lors, ce métacontrat de culpabilité non dite m’apparaît d’une totale résilience.
Car il n’œuvre pas ici et maintenant, mais dans plusieurs temps et plusieurs espaces.
Avec une culpabilité non dite, qui au fil de son histoire peut s’être autonomisée dans ces espaces métaphysiques, faits de plusieurs temps et plusieurs espaces dont la synchronicité n’est pas celle du réel.
Mais elle est pourtant une réalité.
Dès lors encore, peut-être parler de résiliance de ce contrat.
Mot qui n’existe pas, mais qui signifierait sa capacité à être résilié.
Dans un double sens analogique proche de ce -ance de l’inductance et de la conductance.
Conductance : inverse de la résistance d’un conducteur.
Inductances propres et mutuelles.
Capacité à être résilié qui résiderait dans une recherche pour inverser la résistance du métacontrat et modifier le sens du phénomène d’induction mutuelle des contractants.
Induction mutuelle qui survit à leur séparation physique dans l’espace et même leur séparation dans le temps par la mort de l’un des deux.
Résiliance donc…
Qui sait, résilier une alliance ancienne pour une nouvelle, mais alliance de quoi ?
Peut-être une alliance de phénomènes en soi, de phénomènes d’induction.
Deux contractants d’un métacontrat social de non culpabilité.
Parent, enfant, par exemple.
Avec une entorse invisible à ce métacontrat, une culpabilité non dite.
Invisible hors de ces deux contre actants, parent, enfant, les contractant dans leurs histoires, leurs drames, qui se sont croisés à un moment, à un endroit dans un acte coupable.
Dès lors ne vivant que dans leurs mondes, sans dehors.
Liés par cette culpabilité non dite.
L’un avec la culpabilité non-dite de n’avoir su dire non à son acte coupable aux termes du contrat.
L’autre, subissant l’acte, son non dit, n’ayant pas été entendu, respecté dans le cadre du contrat.
Non dite, cette culpabilité va les maintenir reliés, sans juge ni jugement possible.
Sans mise à mort de cette culpabilité qui n’est déjà plus vivante, hors de l’ici et maintenant de l’acte coupable.
De l’acte coupable non jugé naît une culpabilité qui n’est plus tout à fait vivante, sans mise à mort pourtant.
Cela me fait penser à une torture.
Chacun des contractants de cette culpabilité non dite poursuit sa vie, suivant leurs chemins respectifs dans l’espace et dans le temps.
Reliés par cette culpabilité non dite, qu’ils vivent séparément.
Une sorte de contrat personnel, cette fois. De torture qui perdure, pour l’un comme pour l’autre, sous des formes différentes.
Des décontractants existent, de multiples formes pour atténuer les douleurs de la torture.
Cela peut aider à la résilience des contractants. A retrouver leur forme originelle avant que ce à quoi il aurait fallu dire non ne se produise.
Mais comment dé-contracter ce contrat personnel ? Le résilier.
Cette culpabilité non dite n’est plus située ici et maintenant, mais dans des espaces et des temps distincts sans plus de synchronicité.
Elle n’est plus seulement un moment, mais devient une histoire. Deux histoires, relatives l’une à l’autre.
Relatives, mais plus en relation parfois.
Dès lors sans plus de relation, comment résilier ce contrat.
Un contrat tenace, résilient. Notamment je crois ces contrats parents-enfants.
Dès lors, devenir soi résilient ? Est-ce la question ? Toute la question ou une part seulement ? Ce résiliant-là résidant là ici et maintenant, me fait penser à resident evil.
Mais l’autre résilience, celle du contrat ?
Celle-ci éveille plus ma curiosité.
La résilience est je crois une capacité, et se niche alors ici et maintenant, et seulement ici et maintenant.
Dès lors, ce métacontrat de culpabilité non dite m’apparaît d’une totale résilience.
Car il n’œuvre pas ici et maintenant, mais dans plusieurs temps et plusieurs espaces.
Avec une culpabilité non dite, qui au fil de son histoire peut s’être autonomisée dans ces espaces métaphysiques, faits de plusieurs temps et plusieurs espaces dont la synchronicité n’est pas celle du réel.
Mais elle est pourtant une réalité.
Dès lors encore, peut-être parler de résiliance de ce contrat.
Mot qui n’existe pas, mais qui signifierait sa capacité à être résilié.
Dans un double sens analogique proche de ce -ance de l’inductance et de la conductance.
Conductance : inverse de la résistance d’un conducteur.
Inductances propres et mutuelles.
Capacité à être résilié qui résiderait dans une recherche pour inverser la résistance du métacontrat et modifier le sens du phénomène d’induction mutuelle des contractants.
Induction mutuelle qui survit à leur séparation physique dans l’espace et même leur séparation dans le temps par la mort de l’un des deux.
Résiliance donc…
Qui sait, résilier une alliance ancienne pour une nouvelle, mais alliance de quoi ?
Peut-être une alliance de phénomènes en soi, de phénomènes d’induction.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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Re: Lexique jamais achevé
BROUILLON DE BOUILLON, suite éphémère, ACTES DE NAISSANCES
« Après la naissance, tout n’est qu’après-coup. L’ontogenèse ne fait que reprendre les étapes de la phylogenèse (Ferenczi, 1929). Chaque période nouvelle de la vie n’est que le résumé des chapitres précédents. Pour l’être humain, sa vie aérienne n’est que la reprise de sa vie aquatique. »
In : https://www.cairn.info/revue-la-psychiatrie-de-l-enfant-2007-2-page-405.htm
Ontogénèse, phylogénèse, chercher l’acte de naissance de la culpabilité non dite ? La part non dite dans l’acte de naissance de cette culpabilité ? (différent de l’acte de cette culpabilité)
Dans quelles eaux ?
Des mots…des maux…après coups
« Après la naissance, tout n’est qu’après-coup. L’ontogenèse ne fait que reprendre les étapes de la phylogenèse (Ferenczi, 1929). Chaque période nouvelle de la vie n’est que le résumé des chapitres précédents. Pour l’être humain, sa vie aérienne n’est que la reprise de sa vie aquatique. »
In : https://www.cairn.info/revue-la-psychiatrie-de-l-enfant-2007-2-page-405.htm
Ontogénèse, phylogénèse, chercher l’acte de naissance de la culpabilité non dite ? La part non dite dans l’acte de naissance de cette culpabilité ? (différent de l’acte de cette culpabilité)
Dans quelles eaux ?
Des mots…des maux…après coups
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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Re: Lexique jamais achevé
En fait il y a de la raison dans l'intuition, c'est devenu un sujet de recherche en neurosciences. Je n'arrive pas à trouver d'article scientifique gratuit en français sur la question à part l'exemple des joueurs de shogi, ceux qui utilisent leur intuition sont meilleurs.
L'intuition se baserait sur l'expertise, elle balaierait un grand nombre de cas dans les souvenirs à grande vitesse pour trouver la bonne réponse. Elle est plus puissante car elle passe par l'inconscient.
Je n'ai plus le chiffre exact de la différence de traitement de la masse d'informations simultanément de l'inconscient par rapport au conscient, mais je me souviens qu'il le balade.
L'intuition est liée à l'intelligence. Les Z sont plus intuitifs, n'est-ce pas, d'où leur mode de pensée divergent et plus performant.
Quand je suis arrivée sur ZC avec mes questions, on m'a conseillé un psychiatre TH, qui a été le premier à me dire que je l'étais aussi et quand je lui ai demandé pourquoi, il m'a dit, à un moment la pensée en arborescence typique du Z s'efface totalement et tu décoches ta flèche vers la solution.
Il y a un TH sur ZC qui m'avait dit qu'on qualifiait de "fulgurances" ses intuitions.
J'ai trouvé des articles de Sciences et Vie sur le sujet (si le journal de vulgarisation de la Science le dit c'est que c'est bon hahaha) et l'idée serait que l'intuition trouve la solution et le mental rationnel la démontre.
Einstein lui-même a dit : le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un fidèle serviteur.
Si Einstein l'a dit, le prophète de la Science alors bon pouet pouet camembert les moutons dogmatiques.
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/intuition-le-cerveau-en-roue-libre_104367
Je prêche dans la même paroisse.
L'intuition se baserait sur l'expertise, elle balaierait un grand nombre de cas dans les souvenirs à grande vitesse pour trouver la bonne réponse. Elle est plus puissante car elle passe par l'inconscient.
Je n'ai plus le chiffre exact de la différence de traitement de la masse d'informations simultanément de l'inconscient par rapport au conscient, mais je me souviens qu'il le balade.
L'intuition est liée à l'intelligence. Les Z sont plus intuitifs, n'est-ce pas, d'où leur mode de pensée divergent et plus performant.
Quand je suis arrivée sur ZC avec mes questions, on m'a conseillé un psychiatre TH, qui a été le premier à me dire que je l'étais aussi et quand je lui ai demandé pourquoi, il m'a dit, à un moment la pensée en arborescence typique du Z s'efface totalement et tu décoches ta flèche vers la solution.
Il y a un TH sur ZC qui m'avait dit qu'on qualifiait de "fulgurances" ses intuitions.
J'ai trouvé des articles de Sciences et Vie sur le sujet (si le journal de vulgarisation de la Science le dit c'est que c'est bon hahaha) et l'idée serait que l'intuition trouve la solution et le mental rationnel la démontre.
Einstein lui-même a dit : le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un fidèle serviteur.
Si Einstein l'a dit, le prophète de la Science alors bon pouet pouet camembert les moutons dogmatiques.
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/intuition-le-cerveau-en-roue-libre_104367
Je prêche dans la même paroisse.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Parfois ça me saoule d'écrire pour expliquer.
Quand tout tient sur une feuille A4.....
Je la posterai demain.
A partir de la j'irai lire un peu de tout ce qui s'est dit et écrit de grands penseurs sur ces sujets, pour valider ou invalider.
Sans ironie aucune, tout cela se nourrit de ce que j'ai déjà pu lire au hasard de mes curiosités, et n'est donc pas totalement hors sol.
Juste je retiens pas ce que je lis. ...je l'absorbe.
Aller mettre des références autorisées, validant ou invalidant, c'est juste laborieux et pas très amusant dans mes jeux de mots.
Car tout cela ne reste qu'un je jeu.
Un loisir créatif pour ainsi dire.
Quand tout tient sur une feuille A4.....
Je la posterai demain.
A partir de la j'irai lire un peu de tout ce qui s'est dit et écrit de grands penseurs sur ces sujets, pour valider ou invalider.
Sans ironie aucune, tout cela se nourrit de ce que j'ai déjà pu lire au hasard de mes curiosités, et n'est donc pas totalement hors sol.
Juste je retiens pas ce que je lis. ...je l'absorbe.
Aller mettre des références autorisées, validant ou invalidant, c'est juste laborieux et pas très amusant dans mes jeux de mots.
Car tout cela ne reste qu'un je jeu.
Un loisir créatif pour ainsi dire.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
C'est un truc qui m'amuse dans les pseudos tests de qi
Quand j'ai pas la réponse dans la seconde
De "débrancher" le conscient pour laisser faire l'inconscient
Faut être au calme et c'est une gymnastique particulière de "débrancher" le conscient
Mais qu'est ce que les résultats me font rire.
Sans que ce soit du hasard.
Ou alors faut que je joue au loto. ...je gagne toujours a ces pseudo tests.
Intellect, intelligence, intuition, tout ça me semble bien raccourci en une seule et même chose abusivement, mesurée par un quotient.
Mais bon....j'ai pas été au de briefing de mon seul et unique test. ...il doit me manquer des éléments de compréhension.
Quand j'ai pas la réponse dans la seconde
De "débrancher" le conscient pour laisser faire l'inconscient
Faut être au calme et c'est une gymnastique particulière de "débrancher" le conscient
Mais qu'est ce que les résultats me font rire.
Sans que ce soit du hasard.
Ou alors faut que je joue au loto. ...je gagne toujours a ces pseudo tests.
Intellect, intelligence, intuition, tout ça me semble bien raccourci en une seule et même chose abusivement, mesurée par un quotient.
Mais bon....j'ai pas été au de briefing de mon seul et unique test. ...il doit me manquer des éléments de compréhension.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
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Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
MES HORLAS. Demain.
Voilà donc ce que je tire de ces inspirations sur la culpabilité et la résilience.
Peut-être rédigerai-je celà.
Mais un bon graphique vaut mieux que de longs discours.
Et donc, qu'est-ce que je crois en comprendre ?
Que cette culpabilité non-dite est un Horla.
Elle se manifeste ici et maintenant en certains phénomènes.
Mais elle n'est pas là.
Elle est dans un espace-temps qui lui est propre.
Contracté voilà longtemps, ailleurs.
Un trou noir en expansion.
Dur, dur, la chasse aux fantômes dans le noir.
Et cette culpabilité non-dite est métarésiliente.
Si ma résilience a pu être utile, elle n'y change rien.
Dès lors, comment s'attaquer à ce métacontrat ?
En allant chercher les Horlas qui se manifeste ici et maintenant, ont pu aller se nicher dans tous les contrats du métacontrat.
Tous ses avenants, qui font advenir des culpabilités non coupables.
Pour faire acte de résiliation en résiliance.
En les dédisant, pas en les condamnant.
Dans mon cas par exemple, avec l'homme invisible qui constitue le coeur du métacontrat de culpabilité contracté voilà longtemps, ailleurs.
Je suis l'homme invisible avec les médecins.
Cela je peux le dédire, demain.
Etc, etc...
Voilà donc ce que je tire de ces inspirations sur la culpabilité et la résilience.
Peut-être rédigerai-je celà.
Mais un bon graphique vaut mieux que de longs discours.
Et donc, qu'est-ce que je crois en comprendre ?
Que cette culpabilité non-dite est un Horla.
Elle se manifeste ici et maintenant en certains phénomènes.
Mais elle n'est pas là.
Elle est dans un espace-temps qui lui est propre.
Contracté voilà longtemps, ailleurs.
Un trou noir en expansion.
Dur, dur, la chasse aux fantômes dans le noir.
Et cette culpabilité non-dite est métarésiliente.
Si ma résilience a pu être utile, elle n'y change rien.
Dès lors, comment s'attaquer à ce métacontrat ?
En allant chercher les Horlas qui se manifeste ici et maintenant, ont pu aller se nicher dans tous les contrats du métacontrat.
Tous ses avenants, qui font advenir des culpabilités non coupables.
Pour faire acte de résiliation en résiliance.
En les dédisant, pas en les condamnant.
Dans mon cas par exemple, avec l'homme invisible qui constitue le coeur du métacontrat de culpabilité contracté voilà longtemps, ailleurs.
Je suis l'homme invisible avec les médecins.
Cela je peux le dédire, demain.
Etc, etc...
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
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Re: Lexique jamais achevé
Good morning Gaski,
Comme j'ai souri en voyant ton schéma. Le post que je ne t'ai pas posté hier. Te partager que l'expérience de l'écriture m'est tout autant frustrante, car plate, linéaire, mais en réalité tout est interconnecté, je le visualise en mindmap.
Intéressant ce croisement, je parle de contrat sur l'Astéroïde.
Tu définis tes termes et les déroules, mais pas le Horla. Pourquoi ? Tu mets du méta partout d'un coup, pourquoi ? Pourquoi l'attaquer ce métacontrat ? Lisons ses termes, il y a bien une clause quelque part... Que dit-il ? Quelle fonction, quelle contrepartie ?
Je crois que j'apprécie d'autant plus ta compagnie depuis que tu as failli partir. Eh ouiiiiiiiii
Comme j'ai souri en voyant ton schéma. Le post que je ne t'ai pas posté hier. Te partager que l'expérience de l'écriture m'est tout autant frustrante, car plate, linéaire, mais en réalité tout est interconnecté, je le visualise en mindmap.
Intéressant ce croisement, je parle de contrat sur l'Astéroïde.
Tu définis tes termes et les déroules, mais pas le Horla. Pourquoi ? Tu mets du méta partout d'un coup, pourquoi ? Pourquoi l'attaquer ce métacontrat ? Lisons ses termes, il y a bien une clause quelque part... Que dit-il ? Quelle fonction, quelle contrepartie ?
Je crois que j'apprécie d'autant plus ta compagnie depuis que tu as failli partir. Eh ouiiiiiiiii
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
METAMANDALA. Si j'ai pas la flemme.
Maintenant, je pourrais revenir à mes 3 Mandalas qui forment l’hyper tore de mon trou noir.
Mandala je veux : être l'homme invisible. Philogenèse.
Mandala je ne dois pas : père éjecté. Genèse.
Mandala équilibre : garçon manqué. Ontogenèse.
J'imagine...
Suites aux prochains épisodes.
Pour lire ce métacontrat.
Méta, qui est maître de tous mes autres contrats sociaux, qui n'en sont que des avenants spécifiques.
Maintenant, je pourrais revenir à mes 3 Mandalas qui forment l’hyper tore de mon trou noir.
Mandala je veux : être l'homme invisible. Philogenèse.
Mandala je ne dois pas : père éjecté. Genèse.
Mandala équilibre : garçon manqué. Ontogenèse.
J'imagine...
Suites aux prochains épisodes.
Pour lire ce métacontrat.
Méta, qui est maître de tous mes autres contrats sociaux, qui n'en sont que des avenants spécifiques.
Dernière édition par Shadow Boxeur le Jeu 18 Aoû 2022 - 8:07, édité 1 fois (Raison : Ajout contrat)
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
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Re: Lexique jamais achevé
- divagation:
J'apprécie l'allégorie de la caverne. Je l’apprécie d'autant plus que je pense qu'un humain lambda se ressent prisonnier de son ontologie, qu'il ne perçoit en son moi intime que les reflets d'un extérieur dont le fluctuant est l'essence même, et que la lumière projetée sur son existence - cette lumière qui agite ses ombres intérieures - n'est que le désir né de l'angoisse du vide. Les ingrédients du mythe platonicien sont en nous, inutile d'aller les chercher au dehors.
Comment s'inventer par la peur de vivre là où il suffirait de meubler l'instant présent...
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Re: Lexique jamais achevé
hum a écrit:sincèrement je pars trop loin du genre "est ce le facteur des rêves d'Amocore il est premier ??"
Ravie de te voir par ici.
Je n'ai pas compris ta question. Haha le facteur est juste le messager, je ne pense pas qu'il soit important, même si c'est son insistance malsaine qui m'avait décidé à ne pas lui ouvrir, l'essentiel réside dans le fait d'avoir vu le contenu avant sans faire de lien et les conséquences de refuser le colis juste après. C'est le sel de ma vie.
Nos écrits te font "exploser le cerveau" ? C'est-à-dire ? Ca te fait te questionner ? Douter ? Angoisser ?
Ton inconscient veut rimer ? Rime alors !! Le mien ne rime pas, j'ai abandonné, ça n'est pas pour moi, mais il prose fort fort hahaha
Non je ne pense pas que tu sois bête. Je me suis trouvée archi conne toute ma vie, aujourd'hui encore car je pense toujours que c'est plus complexe que ça ne l'est en général et du coup je ne comprends pas, je ne vois pas l'évidence et je pars dans des embrouillades sans fin qui me font des noeuds au cerveau. C'est plutôt signe d'un esprit branché sur la complexité : )
Et bien sûr que tu n'as pas d'autres choix que de lire et expérimenter le monde qu'à travers tes lunettes, ton prisme... c'est notre condition à tous. Sauf si tu atteint le Samadhi mais ça c'est encore autre chose.
Bon courage pour tes exams ! Ne lâche rien !
@ Gaski : elle est où ma copie ? Tu vas biiiiien ? J'entends les cigales d'ici, ne nous éparpillons pas.
Dernière édition par Amocore le Ven 19 Aoû 2022 - 23:55, édité 2 fois
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Re: Lexique jamais achevé
Do Ma me fait complètement triper. Il est un univers à lui tout seul, je ressens l'infini de l'espace sur son fil. Il m'a aussi appris à surmonter la peur du ridicule et a libéré ma parole, à oser dire des choses choquantes, à contre-sens de la pensée mainstream, à juste exposer ma vision du monde sans gêne, juste la montrer. Il est fortiche.
Concernant mon récit, il y a des références que je tais sciemment, en fait je base toute l'histoire d'amour sur un paradigme que je laisse à peine transparaître et qui remonte à la surface de plus en plus donc c'est tout à fait normal de pas capter, je pose les pièces du puzzle au fur et à mesure comme je peux.
Ensuite, je m'adresse à un public que je considère néophyte et je l'immerge directement dans un monde qui lui est inconnu, avec un référentiel étranger, le dépaysement est voulu et j'espère provoquer cet effet. Pour ceux qui s'y connaissent, je suis une petite amatrice hahaha il y en a une d'experte qui m'a écrit sur le forum, je suis loin derrière, je commence à peine à entrer dans la spiritualité en fait. Et j'invite le lecteur à me suivre dans mes découvertes, aventures, rencontres.
Donc c'est normal et je n'attends pas de mon lecteur d'avoir le bagage de connaissances pour me lire, à l'inverse.
Pour les private jokes sur le fil de l'Astéroïde eh bien je m'adresse directement à ma muse, et le lecteur qui passe par là est juste le témoin de messages poétiques d'une amoureuse transie qui détourne l'expéditeur, rien de plus.
Merci pour ton retour, je me rends compte que je reste trop subtile. C'est difficile pour moi d'être claire et explicite, je suis beaucoup dans le sous-entendu.
J'espère avoir répondu à ta question et t'avoir rassurée.
@Gaski : j'ai envahi ton fil, désolée. Pour te donner un coup de pouce : en utilisant le préfixe méta, j'ai pensé à métacognition, penser sur ses propres pensées.
Que nous dit le dictionnaire ?
Du grec ancien μετά, metá (« au-delà, après »). C'est-à-dire : « tout ce qui suit, ce qui change, ce qui participe de ». Et même, au figuré : « ce qui dépasse, englobe ».
Préfixe
méta- \me.ta\
Idée de transcendance.
Métaphysique.
Idée de niveau supérieur.
Métadonnée.
Idée de but.
(Médecine) (Pathologie) Idée de cause, de changement, de déplacement.
(Anatomie) Arrière.
Le métathorax des insectes.
(Anatomie) Milieu.
Le métacarpe de la main.
Idée d’autoréférence réflexive.
Un métalivre.
Métalangage.
De quel méta tu parles ? Quel métal étudie hum ? Quelle métamorphose ? Quelle métaphore ? Quelle métallurgie ?
Bienvenue hum, on va s'exploser le cerveau tous ensemble, ça va être génial. Mais d'abord toi aussi vas étudier.
Concernant mon récit, il y a des références que je tais sciemment, en fait je base toute l'histoire d'amour sur un paradigme que je laisse à peine transparaître et qui remonte à la surface de plus en plus donc c'est tout à fait normal de pas capter, je pose les pièces du puzzle au fur et à mesure comme je peux.
Ensuite, je m'adresse à un public que je considère néophyte et je l'immerge directement dans un monde qui lui est inconnu, avec un référentiel étranger, le dépaysement est voulu et j'espère provoquer cet effet. Pour ceux qui s'y connaissent, je suis une petite amatrice hahaha il y en a une d'experte qui m'a écrit sur le forum, je suis loin derrière, je commence à peine à entrer dans la spiritualité en fait. Et j'invite le lecteur à me suivre dans mes découvertes, aventures, rencontres.
Donc c'est normal et je n'attends pas de mon lecteur d'avoir le bagage de connaissances pour me lire, à l'inverse.
Pour les private jokes sur le fil de l'Astéroïde eh bien je m'adresse directement à ma muse, et le lecteur qui passe par là est juste le témoin de messages poétiques d'une amoureuse transie qui détourne l'expéditeur, rien de plus.
Merci pour ton retour, je me rends compte que je reste trop subtile. C'est difficile pour moi d'être claire et explicite, je suis beaucoup dans le sous-entendu.
J'espère avoir répondu à ta question et t'avoir rassurée.
@Gaski : j'ai envahi ton fil, désolée. Pour te donner un coup de pouce : en utilisant le préfixe méta, j'ai pensé à métacognition, penser sur ses propres pensées.
Que nous dit le dictionnaire ?
Du grec ancien μετά, metá (« au-delà, après »). C'est-à-dire : « tout ce qui suit, ce qui change, ce qui participe de ». Et même, au figuré : « ce qui dépasse, englobe ».
Préfixe
méta- \me.ta\
Idée de transcendance.
Métaphysique.
Idée de niveau supérieur.
Métadonnée.
Idée de but.
(Médecine) (Pathologie) Idée de cause, de changement, de déplacement.
(Anatomie) Arrière.
Le métathorax des insectes.
(Anatomie) Milieu.
Le métacarpe de la main.
Idée d’autoréférence réflexive.
Un métalivre.
Métalangage.
De quel méta tu parles ? Quel métal étudie hum ? Quelle métamorphose ? Quelle métaphore ? Quelle métallurgie ?
Bienvenue hum, on va s'exploser le cerveau tous ensemble, ça va être génial. Mais d'abord toi aussi vas étudier.
Dernière édition par Amocore le Ven 19 Aoû 2022 - 23:50, édité 1 fois (Raison : Rajout réflexion méta)
Invité- Invité
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
J'adore les connexions inter-fils, créons du lien.
Oui quand Do Ma fait des maths, alors comment dire ? Déjà que j'ai du mal à le comprendre en général hahaha
ooooh excellente ta référence du facteur premier ! J'avoue t'es partie loin, j'aurais pas pu deviner le clin d'oeil facteur / facteur premier. Ouiiii jouons jouons jouons ! C'est quand que tu te crées ton fil ?
Alors j'arrête de faire ma maline à vous dire de faire vos devoirs, j'ai séché à fond sur le fil des travaux pratiques du Mandala et j'ai mes recherches à faire. J'en suis au Monomythe : voyage du héros de Joseph Campbell.
Gaski t'as le droit de me chasser si je squatte trop, certains ne l'ont pas
Oui quand Do Ma fait des maths, alors comment dire ? Déjà que j'ai du mal à le comprendre en général hahaha
ooooh excellente ta référence du facteur premier ! J'avoue t'es partie loin, j'aurais pas pu deviner le clin d'oeil facteur / facteur premier. Ouiiii jouons jouons jouons ! C'est quand que tu te crées ton fil ?
Alors j'arrête de faire ma maline à vous dire de faire vos devoirs, j'ai séché à fond sur le fil des travaux pratiques du Mandala et j'ai mes recherches à faire. J'en suis au Monomythe : voyage du héros de Joseph Campbell.
Gaski t'as le droit de me chasser si je squatte trop, certains ne l'ont pas
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
HOMMAGE. L'ACTUEL ET LE VIRTUEL.
Etat de sidération ce matin.
Hier je suis allé dans ma petite librairie fétiche, je la connais depuis tout gamin, et elle est toujours là.
Je cherchais un bouquin que je n'ai pas trouvé.
Mais on ressort pas d'une librairie sans un bouquin.
Ce matin, je lis un chapitre inédit de DELEUZE dans Dialogues Gilles DELEUZE, Claire PARNET aux éditions Flammarion, Champs.
J'aurai beau chercher à expliquer comment j'ai construit mes Mandalas, jamais je ne trouverai un concentré absolu tel que ce que je viens de lire.
6 pages, courtes, denses.
Cela devient de plus en plus rare, de lire de tels concentrés.
De DELEUZE, je n'ai vraiment que MILLE PLATEAUX, voilà très longtemps.
Je veux dire, lire, mot à mot.
Le reste, j'en ai lu une petite partie, en diagonale, ou lecture rapide.
Ces 6 pages expliquent avec une précision absolue les idées, intuitions qui se cachent derrière mes Mandalas.
L'actuel au centre dans le cercle jaune, le virtuel autour. L'éphémère, les cristaux de mémoire dans ces 12 pierres à deux faces que j'utilise.
Merci monsieur DELEUZE. Voilà 27 ans, vous m'avez éclairé aujourd'hui sur ce que j'ai trafiqué avec mes Mandalas.
Sidération. Je n'ai pas d'autre mot.
Etat de sidération ce matin.
Hier je suis allé dans ma petite librairie fétiche, je la connais depuis tout gamin, et elle est toujours là.
Je cherchais un bouquin que je n'ai pas trouvé.
Mais on ressort pas d'une librairie sans un bouquin.
Ce matin, je lis un chapitre inédit de DELEUZE dans Dialogues Gilles DELEUZE, Claire PARNET aux éditions Flammarion, Champs.
J'aurai beau chercher à expliquer comment j'ai construit mes Mandalas, jamais je ne trouverai un concentré absolu tel que ce que je viens de lire.
6 pages, courtes, denses.
Cela devient de plus en plus rare, de lire de tels concentrés.
De DELEUZE, je n'ai vraiment que MILLE PLATEAUX, voilà très longtemps.
Je veux dire, lire, mot à mot.
Le reste, j'en ai lu une petite partie, en diagonale, ou lecture rapide.
Ces 6 pages expliquent avec une précision absolue les idées, intuitions qui se cachent derrière mes Mandalas.
L'actuel au centre dans le cercle jaune, le virtuel autour. L'éphémère, les cristaux de mémoire dans ces 12 pierres à deux faces que j'utilise.
Merci monsieur DELEUZE. Voilà 27 ans, vous m'avez éclairé aujourd'hui sur ce que j'ai trafiqué avec mes Mandalas.
Sidération. Je n'ai pas d'autre mot.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
@Amo, @Hum, et qui veut
je réfléchirai au méta....c'est un vrai sujet....
Méta-stase me semble un truc un creuser...parmi d'autres.
@Amo, t'auras pas ta copie, t'es trop distraite et bavarde au fond de la classe Mandala !
Et j'ai rendu ma copie, m'dame ! Bon, ok, c'était juste une feuille, mais y'a tout dessus !
@Hum, je cherche, j'ai dû zapper une toute petite présentation pour savoir, imaginer de quel univers tu viens. Mais bienvenue.
@Ludion, j'ai exploré les ombres de ma caverne, pour chercher quels monstres pouvaient les projeter dans cette caverne, avec quelle lumière, venue d'où ? Pas inutile, pour moi, pour en sortir plus assuré, avec des fantômes désormais cantonnés aux murs de cette caverne.
je réfléchirai au méta....c'est un vrai sujet....
Méta-stase me semble un truc un creuser...parmi d'autres.
@Amo, t'auras pas ta copie, t'es trop distraite et bavarde au fond de la classe Mandala !
Et j'ai rendu ma copie, m'dame ! Bon, ok, c'était juste une feuille, mais y'a tout dessus !
@Hum, je cherche, j'ai dû zapper une toute petite présentation pour savoir, imaginer de quel univers tu viens. Mais bienvenue.
@Ludion, j'ai exploré les ombres de ma caverne, pour chercher quels monstres pouvaient les projeter dans cette caverne, avec quelle lumière, venue d'où ? Pas inutile, pour moi, pour en sortir plus assuré, avec des fantômes désormais cantonnés aux murs de cette caverne.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Hey Gaski,
J'ai rien compris aux concepts d'objects actuels et virtuels. Deleuze me dépasse complètement. Je n'ai pas fait l'effort de comprendre pour être totalement honnête. Tu peux nous expliquer ta prise de conscience avec le Mandala ?
Oh ta copie était le schéma ? Tu nous expliques la mécanique ?
Oui trop bavarde, Do Ma est encore plus bavard haha, en attendant je me disperse et je n'avance pas dans l'écriture.
Posons les termes de base :
J'ai rien compris aux concepts d'objects actuels et virtuels. Deleuze me dépasse complètement. Je n'ai pas fait l'effort de comprendre pour être totalement honnête. Tu peux nous expliquer ta prise de conscience avec le Mandala ?
Oh ta copie était le schéma ? Tu nous expliques la mécanique ?
Oui trop bavarde, Do Ma est encore plus bavard haha, en attendant je me disperse et je n'avance pas dans l'écriture.
Posons les termes de base :
L’image actuelle, nous dit Gilles Deleuze, a une image virtuelle qui lui correspond comme un double ou un reflet. En termes bergsoniens, l’objet réel se réfléchit dans une image en miroir comme dans l’objet virtuel qui, de son côté et en même temps enveloppe ou réfléchit le réel : il y a une « coalescence » entre les deux. Des circuits de plus en plus vastes peuvent ainsi se développer, correspondant à des couches de plus en plus profondes de la réalité, à des niveaux de plus en plus hauts de la mémoire ou de la pensée. Le circuit le plus resserré de l’image actuelle et de son image virtuelle porte l’ensemble, et sert de limite intérieure. Le « point d’indiscernabilité » des images de la perception, du souvenir, du réel et de l’imaginaire, du physique et du mental, est constitué par le plus petit cercle, c’est-à-dire la coalescence de l’image actuelle et de l’image virtuelle.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Je voulais te partager ce court-métrage. Je n'aime pas la façon théatralisée dont c'est joué mais quelle magnifique chevelure rousse elle a ! J'ai pensé à tes rêves éveillés avec la fameuse porte.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
SOIGNEUR
J'ai l'impression d'avoir subi les assauts de la vie depuis quarante ans les poings levés.
Sans jamais avoir choisi mes combats.
Ni rejoint le coin du soigneur.
L'impression de ne pas avoir vécu, de ne pas avoir eu de vie.
Pourtant elle a été bien remplie, animée, chaotique.
Blessante surtout.
Rejoindre le coin du soigneur et choisir mes combats demain .
Je vais devoir y réfléchir.
Ou plutôt arrêter de réfléchir et agir avec tout ce que j'ai en tête.
Prendre soin. Soin de soi même.
Mêmeté et ipséité.
Sortir des fleuves d'addictions en trouvant une berge où s'arrimer.
Retrouver l'in-quiétude de la vie, le bon manque de quiétude non dit dans l'a-diction qui fait agir et sortir des addictions anesthésiantes.
Il y a deux fils qui ne se sont pas encore touchés.
Les chercher, les raccorder.
Pour renouer pardons et promesses, dans une intimité de soi renouvelée, dont il faudra prendre soin.
Du boulot en perspective.
Beaucoup de nouveaux champs a explorer, a cultiver.
(Note : rien a voir avec le care....)
J'ai l'impression d'avoir subi les assauts de la vie depuis quarante ans les poings levés.
Sans jamais avoir choisi mes combats.
Ni rejoint le coin du soigneur.
L'impression de ne pas avoir vécu, de ne pas avoir eu de vie.
Pourtant elle a été bien remplie, animée, chaotique.
Blessante surtout.
Rejoindre le coin du soigneur et choisir mes combats demain .
Je vais devoir y réfléchir.
Ou plutôt arrêter de réfléchir et agir avec tout ce que j'ai en tête.
Prendre soin. Soin de soi même.
Mêmeté et ipséité.
Sortir des fleuves d'addictions en trouvant une berge où s'arrimer.
Retrouver l'in-quiétude de la vie, le bon manque de quiétude non dit dans l'a-diction qui fait agir et sortir des addictions anesthésiantes.
Il y a deux fils qui ne se sont pas encore touchés.
Les chercher, les raccorder.
Pour renouer pardons et promesses, dans une intimité de soi renouvelée, dont il faudra prendre soin.
Du boulot en perspective.
Beaucoup de nouveaux champs a explorer, a cultiver.
(Note : rien a voir avec le care....)
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
EXISTER. MEMOIRE TRAUMATIQUE.
DISSOCIATION.
Il est compliqué d'exister au sens plein avec une mémoire traumatique.
Je n'y connais pas grand chose sinon d'expérience.
Ce n'est pas de l'amnésie. La mémoire existe mais inaccessible, dissociée de la mémoire accessible.
Vous ne connaissez, ne comprenez votre propre visage.
Les autres ne peuvent vous reconnaître entièrement.
Difficile d'exister sans se reconnaître dans le visage d'un Autre, en soi. De ne pouvoir être reconnu par l'Autre.
Soigner les blessures sorties de 40 ans sans existence.
Commencer a exister déjà passé un demi siècle. ..
Ça va être chaud si je dois repasser par tous les stades de développement.
Crise d'ado d'ici 15 ans. ..ça me fera 66 balais. ...
DISSOCIATION.
Il est compliqué d'exister au sens plein avec une mémoire traumatique.
Je n'y connais pas grand chose sinon d'expérience.
Ce n'est pas de l'amnésie. La mémoire existe mais inaccessible, dissociée de la mémoire accessible.
Vous ne connaissez, ne comprenez votre propre visage.
Les autres ne peuvent vous reconnaître entièrement.
Difficile d'exister sans se reconnaître dans le visage d'un Autre, en soi. De ne pouvoir être reconnu par l'Autre.
Soigner les blessures sorties de 40 ans sans existence.
Commencer a exister déjà passé un demi siècle. ..
Ça va être chaud si je dois repasser par tous les stades de développement.
Crise d'ado d'ici 15 ans. ..ça me fera 66 balais. ...
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
ADDICT
Si l'alcool est le symptôme de l'addition, le sujet, quelle est l'addiction , son objet.
Derrière les pierres, totems, gibets de torture par des bourreaux en a-diction, qu'on ne sait dire. ...quelle est cette addiction ?
Addiction a la patience dans le silence, dans l'attente d'une souffrance a venir, dans l'absence d'existence propre. Dans l'attente d'une souffrance oubliée, enkystee dans une mémoire traumatique, aussi.
Pardon impossible et promesse de souffrance renouvelée.
Je me suis bien battu pour aller chercher la mémoire traumatique.
Reste la promesse de souffrance enkystee a transformer, renouveler en une autre promesse existentielle.
Lexique toujours renouvelé peut être demain.
Faut que j'arrête pour aujourd'hui.
Ça déborde d'idées, d'intuitions.
Et les rêves qui vont revenir, je le sens.
J'en ai fait un puissant. Cela faisait longtemps.
Une nouvelle séquence s'ouvre, je le sens.
Laisser faire.
Si l'alcool est le symptôme de l'addition, le sujet, quelle est l'addiction , son objet.
Derrière les pierres, totems, gibets de torture par des bourreaux en a-diction, qu'on ne sait dire. ...quelle est cette addiction ?
Addiction a la patience dans le silence, dans l'attente d'une souffrance a venir, dans l'absence d'existence propre. Dans l'attente d'une souffrance oubliée, enkystee dans une mémoire traumatique, aussi.
Pardon impossible et promesse de souffrance renouvelée.
Je me suis bien battu pour aller chercher la mémoire traumatique.
Reste la promesse de souffrance enkystee a transformer, renouveler en une autre promesse existentielle.
Lexique toujours renouvelé peut être demain.
Faut que j'arrête pour aujourd'hui.
Ça déborde d'idées, d'intuitions.
Et les rêves qui vont revenir, je le sens.
J'en ai fait un puissant. Cela faisait longtemps.
Une nouvelle séquence s'ouvre, je le sens.
Laisser faire.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Dans un livre ou dans des fils complexes, dans l'addiction a l'écriture, se laisser surprendre a lire et a découvrir ce qui était resté tu, non révélé, dans les a-dictions.
Se découvrir dans tous les sens.
Se découvrir en donnant a voir ses addictions.
Se découvrir soi, en découvrant ces a-dictions passées qui s'écrivent au présent et s'inventent; se réinventent dans une narration présente et future jamais imaginée, planifiée.
J'ai un peu trop tendance a croire dans le pouvoir des mots, du langage. Un pouvoir performatif.
Le propre de l'homme paraît il, le langage.
Mais pour quoi faire ? Pour quelle fonction proprement humaine ?
Promettre. Peut être.
Se découvrir dans tous les sens.
Se découvrir en donnant a voir ses addictions.
Se découvrir soi, en découvrant ces a-dictions passées qui s'écrivent au présent et s'inventent; se réinventent dans une narration présente et future jamais imaginée, planifiée.
J'ai un peu trop tendance a croire dans le pouvoir des mots, du langage. Un pouvoir performatif.
Le propre de l'homme paraît il, le langage.
Mais pour quoi faire ? Pour quelle fonction proprement humaine ?
Promettre. Peut être.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
J'arrête, retour au monde réel.
Compliqué de donner le coeur de dizaines et dizaines de pages écrites par ailleurs.
Compliqué de donner le coeur de dizaines et dizaines de pages écrites par ailleurs.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
La poïétique.
A explorer.
Ça rejoint mes intuitions du moment.
A explorer.
Ça rejoint mes intuitions du moment.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
Welcome back Gaski, ravie de te lire !
La même impression, terrible injustice de la vie. En apparence seulement. En grattant, avec les ongles et sur le papier, en le faisant devant vous, je me rends compte que j'ai vécu, j'ai sacrément vécu et j'y mets un sens profond petit à petit, il s'épaissit, il prend forme, le processus est sublime. Continuons à gratter.
Je prends ton mot addiction, je vais le traiter aussi. J'aime l'idée d'a-diction, c'est exactement cela, un symptôme du non-dit (on en revient toujours au même point central ou c'est moi qui fais une fixette ?).
Peut-on explorer ce pouvoir du langage ? J'avais commencé à lire sur le Logos mais pas sûre que tu veuilles aller dans cette direction.
L'impression de ne pas avoir vécu, de ne pas avoir eu de vie.
Pourtant elle a été bien remplie, animée, chaotique.
Blessante surtout.
La même impression, terrible injustice de la vie. En apparence seulement. En grattant, avec les ongles et sur le papier, en le faisant devant vous, je me rends compte que j'ai vécu, j'ai sacrément vécu et j'y mets un sens profond petit à petit, il s'épaissit, il prend forme, le processus est sublime. Continuons à gratter.
Je prends ton mot addiction, je vais le traiter aussi. J'aime l'idée d'a-diction, c'est exactement cela, un symptôme du non-dit (on en revient toujours au même point central ou c'est moi qui fais une fixette ?).
J'ai un peu trop tendance a croire dans le pouvoir des mots, du langage. Un pouvoir performatif.
Le propre de l'homme paraît il, le langage.
Mais pour quoi faire ? Pour quelle fonction proprement humaine ?
Promettre. Peut être.
Peut-on explorer ce pouvoir du langage ? J'avais commencé à lire sur le Logos mais pas sûre que tu veuilles aller dans cette direction.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Des altérations de soi à la désaltération inscrite en moi.
Ou les des-altérations du « sois alcoolique ! »
A venir...altérités alter-natives...
Ou les des-altérations du « sois alcoolique ! »
A venir...altérités alter-natives...
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
.Suppression du message par l'auteur.
.
.
Dernière édition par gattopardo le Lun 19 Sep 2022 - 14:13, édité 1 fois
gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Lexique jamais achevé
gattopardo a écrit:.
.... et si tu revenais sur terre?
gattopardo, les pieds sur terre et la tête dans les étoiles
.
Si tu as vraiment la tête dans les étoiles, pourquoi vouloir le faire revenir sur Terre ?
Qu'est-ce qui te dérange tant dans son positionnement ?
Avec ton injonction, tu as l'air de mieux savoir. Explique-toi.
Eclaire-nous, montre-nous que ta tête n'est pas dans des vessies.
Sinon vas jouer ailleurs, laisse-nous kiffer l'infini du cosmos.
Hum. Ceci étant dit, reprenons.
Donc Gaski, je te disais qu'on est synchro dans nos sujets et qu'on se répond sur nos fils. Maintenant que j'ai fait mon coming out, je serai ravie d'échanger sur le sujet avec toi. J'ai traîné longuement avec des pros en la matière.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Tu fais partie des membres du forum que j'apprécie de lire, je me permets de t'en faire part afin de t'en remercier également.
L'effet-mère- Messages : 2515
Date d'inscription : 03/02/2022
Re: Lexique jamais achevé
Quelques mots épars avant de me lancer sur la bouteille...de désaltérations en mes altérations, en manques
De leurs souvenirs d'années hantises
Quels sous-venir en tisent
Tus les a-ment hier maux-dits
Dans les braises de leur foyer ici
Sur des vagues a l'âme surnage
Un vague abond d'âge en a-bondage
Dans ce Moi ne gyrovague
D'en ce nous qui ne mais-dit vague
Un nous de silence mais dit
Qui ne médit vagues
Vagues à l'âme
Aux boues des larmes
En armes eurent une soif au désert
A Soi faits réduits des hères
Jamais des altérés sans des raisons
En quête de désaltération
D'alitées rations
En a-litération
Sonnent des allitérations d'instance
Vois-y elle en ses a-sonnances
De leurs souvenirs d'années hantises
Quels sous-venir en tisent
Tus les a-ment hier maux-dits
Dans les braises de leur foyer ici
Sur des vagues a l'âme surnage
Un vague abond d'âge en a-bondage
Dans ce Moi ne gyrovague
D'en ce nous qui ne mais-dit vague
Un nous de silence mais dit
Qui ne médit vagues
Vagues à l'âme
Aux boues des larmes
En armes eurent une soif au désert
A Soi faits réduits des hères
Jamais des altérés sans des raisons
En quête de désaltération
D'alitées rations
En a-litération
Sonnent des allitérations d'instance
Vois-y elle en ses a-sonnances
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
@Amo
Je vais réfléchir a l'alcoolisme
A ma façon. ...la tête ailleurs. ....
J'y pense, comme ça, en un phénomène détaché de l'alcool.
La réponse aujourd'hui, en créant un manque plus qu'en y répondant, pour faire taire un autre manque. ...plus profond.
Je n'ai pas les idées claires encore.
Mais j'y pense a ma façon.
Peut on être alcoolique de pierres. ...
Je vois, je sens plutôt, un phénomène bien particulier dans l'alcoolisme, une addiction spécifique, pas celle de la drogue.
Une a diction, le dire d'un silence, d'une absence, d'un manque. ....bien plus facile a dire ainsi dans l'ivresse qu'au fond de soi.
Le fond d'un verre. ...c'est du connu. ....du concret. ..qu'on peut recouvrir et cacher, faire disparaître d'une nouvelle rasade.
J'en sais rien.
J'écrirai a ma façon.
C'est encore de cette façon que je m'explore le mieux. ...quitte a rester dans les étoiles et pas sur terre.
Mais qu'on se rassure. ...j'ai un corps sur terre. ...c'est un autre sujet comment j'en prend soin. ...pour moi, pour ceux qui me sont chers.
Dépravation.
Un mot encore a explorer.
Salut Amo
A te lire.
Et Gatopardo aussi qui se fait discret en ses poèmes de jeune-vieux sans âge.
Comme d'autres, dont je partage peut être moins le langage mais lis avec attention, intérêt et curiosité.
Je vais réfléchir a l'alcoolisme
A ma façon. ...la tête ailleurs. ....
J'y pense, comme ça, en un phénomène détaché de l'alcool.
La réponse aujourd'hui, en créant un manque plus qu'en y répondant, pour faire taire un autre manque. ...plus profond.
Je n'ai pas les idées claires encore.
Mais j'y pense a ma façon.
Peut on être alcoolique de pierres. ...
Je vois, je sens plutôt, un phénomène bien particulier dans l'alcoolisme, une addiction spécifique, pas celle de la drogue.
Une a diction, le dire d'un silence, d'une absence, d'un manque. ....bien plus facile a dire ainsi dans l'ivresse qu'au fond de soi.
Le fond d'un verre. ...c'est du connu. ....du concret. ..qu'on peut recouvrir et cacher, faire disparaître d'une nouvelle rasade.
J'en sais rien.
J'écrirai a ma façon.
C'est encore de cette façon que je m'explore le mieux. ...quitte a rester dans les étoiles et pas sur terre.
Mais qu'on se rassure. ...j'ai un corps sur terre. ...c'est un autre sujet comment j'en prend soin. ...pour moi, pour ceux qui me sont chers.
Dépravation.
Un mot encore a explorer.
Salut Amo
A te lire.
Et Gatopardo aussi qui se fait discret en ses poèmes de jeune-vieux sans âge.
Comme d'autres, dont je partage peut être moins le langage mais lis avec attention, intérêt et curiosité.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
Date d'inscription : 22/04/2022
Age : 53
Localisation : Marseille
Re: Lexique jamais achevé
.Suppression du message par l'auteur.
Dernière édition par gattopardo le Lun 19 Sep 2022 - 14:13, édité 1 fois
gattopardo- Messages : 877
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : le petit royaume d'à côté
Re: Lexique jamais achevé
gattopardo a écrit:.
@la cantonade,
ce sujet se trouve dans la section "Présentations", tout public.
Si on souhaite l'intimité, le choix ne manque pas, ailleurs.
gattopardo, soyons précis
.
@ au canto dans ton
Je reste là, keskiya
Tu n'as pas répondu à mes questions : moi je dis, du vent.
@Gaski : sorry de la pollution, je te répondrai après un peu de repos. Par pitié, du répit.
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
Je ne sais pas quoi en penser de tout ça. Ce positionnement/comportement ne me convient pas car il ne me ressemble pas, d'aller me chahuter comme ça, ça ne vaut pas le coup et je suis trop sensible. Je vais continuer à expérimenter. D'habitude j'ignore mais je sors de mes habitudes.
gattopardo je te souhaite ce que je me souhaite : paix paix paix et restons-en là.
Gaski, heureusement que je me suis bien débloquée, tes poèmes sont d'un autre niveau, ils me font me sentir toute petite. Gaski et ton phrasé, ta capacité à jouer avec les mots, les échos, tu m'apprendras un jour ?
Bien sûr que toutes les addictions sont différentes sur la forme, dans l'école que j'ai suivi, elles se traitent avec les mêmes procédés, mais il y a une différence de taille, nous faisons la différence entre les addictions avec abstinence totale (alcool, drogue, jeux d'argent, jeux vidéos, prostituées..) et les addictions qui demandent à trouver un équilibre (nourriture, dépendance affective et sexuelle, argent, travail..). La seconde catégorie est beaucoup plus délicate à traiter évidemment. Il s'agit de trouver ses propres balises pour quadriller le terrain, voir clairement où s'arrête l'abstinence et où commence la compulsion.
C'est aussi un ressenti dans l'énergie, le même acte pourra être une expérience qui régénère ou détruit (manger par exemple). Est-ce pour nourrir son corps ou anesthésier une peine ?
La philosophie est la suivante : l'addiction est polymorphe, elle mute, elle prend différentes expressions et formes, elle peut être différente dans le temps ou d'une personne à une autre mais son essence reste la même, elle est une maladie spirituelle.
Elle est un moyen egotique de gérer sa souffrance qui prend racine dans les traumas de l'enfance et reste entretenue par les travers des défauts de caractère. C'est une refonte totale qui doit s'opérer pour espérer une abstinence et un équilibre à long terme.
Oui tu parles de manque et il fait écho au vide que j'ai évoqué sur l'Astéroïde, c'est un manque d'amour terrible, plus accentué chez les gens atteints de dépendance de par les carences dans l'enfance... mais je pense qu'il est universel.
Il y a différentes fraternités selon la forme de l'addiction pour que chacun s'y retrouve mais c'est la même progression pour tous.
En espérant avoir répondu à ta question.
La fin est proche, qu'allons-nous devenir ? Où partirons-nous ?
gattopardo je te souhaite ce que je me souhaite : paix paix paix et restons-en là.
Gaski, heureusement que je me suis bien débloquée, tes poèmes sont d'un autre niveau, ils me font me sentir toute petite. Gaski et ton phrasé, ta capacité à jouer avec les mots, les échos, tu m'apprendras un jour ?
Bien sûr que toutes les addictions sont différentes sur la forme, dans l'école que j'ai suivi, elles se traitent avec les mêmes procédés, mais il y a une différence de taille, nous faisons la différence entre les addictions avec abstinence totale (alcool, drogue, jeux d'argent, jeux vidéos, prostituées..) et les addictions qui demandent à trouver un équilibre (nourriture, dépendance affective et sexuelle, argent, travail..). La seconde catégorie est beaucoup plus délicate à traiter évidemment. Il s'agit de trouver ses propres balises pour quadriller le terrain, voir clairement où s'arrête l'abstinence et où commence la compulsion.
C'est aussi un ressenti dans l'énergie, le même acte pourra être une expérience qui régénère ou détruit (manger par exemple). Est-ce pour nourrir son corps ou anesthésier une peine ?
La philosophie est la suivante : l'addiction est polymorphe, elle mute, elle prend différentes expressions et formes, elle peut être différente dans le temps ou d'une personne à une autre mais son essence reste la même, elle est une maladie spirituelle.
Elle est un moyen egotique de gérer sa souffrance qui prend racine dans les traumas de l'enfance et reste entretenue par les travers des défauts de caractère. C'est une refonte totale qui doit s'opérer pour espérer une abstinence et un équilibre à long terme.
Oui tu parles de manque et il fait écho au vide que j'ai évoqué sur l'Astéroïde, c'est un manque d'amour terrible, plus accentué chez les gens atteints de dépendance de par les carences dans l'enfance... mais je pense qu'il est universel.
Il y a différentes fraternités selon la forme de l'addiction pour que chacun s'y retrouve mais c'est la même progression pour tous.
En espérant avoir répondu à ta question.
La fin est proche, qu'allons-nous devenir ? Où partirons-nous ?
Invité- Invité
Re: Lexique jamais achevé
A-DICTION
Je me dis ce matin que dans mes addictions, je devrais chercher ce que je me refuse a entendre.
Imposant une a-diction d'une certaine façon, a quelque chose qui veut se dire mais n'est pas entendu.
Relire mes textes, mes comportements et non pas chercher ce que j'ai écrit, mais ce que je n'ai pas entendu de ce que j'écrivais ou disais ou faisais.
Retour sur terre.
Ça va être compliqué de faire cela.
Je ne sais pas trop comment je vais m'y prendre pour le faire. Et que ça aille vite.
Évidemment. ...faut que ça aille vite.
Je me dis ce matin que dans mes addictions, je devrais chercher ce que je me refuse a entendre.
Imposant une a-diction d'une certaine façon, a quelque chose qui veut se dire mais n'est pas entendu.
Relire mes textes, mes comportements et non pas chercher ce que j'ai écrit, mais ce que je n'ai pas entendu de ce que j'écrivais ou disais ou faisais.
Retour sur terre.
Ça va être compliqué de faire cela.
Je ne sais pas trop comment je vais m'y prendre pour le faire. Et que ça aille vite.
Évidemment. ...faut que ça aille vite.
Shadow Boxeur- Messages : 1530
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