NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:Doom, qui ici même alors que je n'ai pas réagis ailleurs aujourd'hui, alors même qu'on semble ouvrir des fils juste pour ma gueule (merci, c'est me faire trop d'honneur...) est venu me relancer ?
Alors là, c 'est l'hôpital qui se fout de la charité, à en juger par les fils "Test de quoi?" et celui sur l'intelligence dont je n'ai pas retenu le nom, que tu as ouverts ce matin et qui, disons le clairement, étaient sans doute plutôt ciblés
Parce qu'en effet; ça
Fata Morgana a écrit:Un test de QI ne mesure visiblement que la puissance du moteur, mais certainement pas l'intelligence du pilote ! Attention danger public !
Ce n'est absolument pas une attaque déguisée en rapport avec les évènements d'hier
Tout ça est d'un ridicule.
Amuse toi bien Fata, si ce n'est pas nous que tu as dans le pif, de toute façon, ça finira bien par être quelqu'un d'autre.
Teotl- Messages : 866
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 22 Déc 2011 - 9:39, édité 2 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata a écrit:
Je t'écouterai quand tu seras majeur .
Faut qu'elle se fasse opérer en plus ? ^^
FunkyKyu- Messages : 1111
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 22 Déc 2011 - 9:40, édité 3 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
- Spoiler:
Apparemment, oui
Ping pong...
Ok, j'ai hésité pour mes deux précédents posts.
J'intuitais qu'ils pouvaient être mal perçus.
Je tentais simplement un peu d'humour lourdingue, c'est mon pêché mignon.
Je repasserai, éventuellement, si j'ai l'impression d'avoir quelque chose de pertinent à dire.
Mes excuses Fata, je ne souhaitais pas blesser.
Dernière édition par FunkyKyu le Mar 20 Déc 2011 - 19:54, édité 1 fois
FunkyKyu- Messages : 1111
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Localisation : Sur un caillou flottant
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:Je t'écouterai quand tu seras majeur .
ahahah... désolée mais celle là elle est bonne ^^
Clemelle- Messages : 986
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 22 Déc 2011 - 9:40, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:Singe au féminin, c'est guenon n'est-ce pas ?
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Hoo que non !Fata Morgana a écrit:Singe au féminin, c'est guenon n'est-ce pas ?
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 22 Déc 2011 - 9:40, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
^H
Dernière édition par maxstrom le Mer 21 Déc 2011 - 20:16, édité 1 fois
maxstrom- Messages : 9
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 22 Déc 2011 - 9:40, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
why did the zebra cross the road ?
maxstrom- Messages : 9
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Fata Morgana- Messages : 20818
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Et pis les psys...
Ah vraiment le rythme qu'il est heurté ! Vous voici déjà passés à autre chose et on n'a pas commencé à installer une pensée. Ma pensée qui va d'un pas lourd et continu devrait soudain(s) voleter et rester inentamée ? Impossible, Amis, serrons le fond du problème ! Quel problème ? Mais tout est problème et tout est énigme mais déjà vous êtes passés à autre chose! Je suis assis là tout à ma perplexité :
« untel a dit, tel autre a dit... » Déjà ailleurs, voletant, ils rient, comme si l'énigme qui a été soulevée prêtait à rire ! Alors je fais ce que j'ai toujours fait : je quitte la salle. Je rompt. Le silence alentour est pareil à une houppelande qui m'entoure, mon esprit alors est ceint d'une profondeur résonnante et d'un suspens. Je respire à nouveau. Je me lave de tous ces mots dans la nuit silencieuse en m'éloignant des ris qui montent de la salle principale. Enveloppé par le silence je retrouve ma respiration, je retrouve la proximité de l'espace et des étoiles. Ils vont croire que je suis dédaigneux. On dirait des enfants. Non la vie pour eux n'est pas un théâtre où se joue des drames, où se déroulent des scènes mystérieuses, où finalement chaque parole comporte une puissance initiatique. Ils volettent ces veinards, se font d'amicales bourrades. Heurtés leurs gestes... Je me replie, il ne faut pas qu'on me touche...L'horreur de la "bise" ! Une bise oui, un vent glacé sur moi !!!
Je me retire dans la chambre et m'allonge sur le lit pour reprendre haleine. Je m'ablue dans le silence. Toute cette profondeur que je ressens, cette latence du mystère, c'est mon élément vital, mon air. Ils sont contents et joueurs, ils disent des choses sans fond comme on jouerait à tire-moi la barbichette, des choses qui m'abîment au fin fond de ma pensée, et sans lien passent à une autre phrase, et tout cela me survolte, il faut que je m'y arrête, mais eux non, ils jouent à se tirer la barbichette. On passe d'une activité à l'autre sans approfondir. On suit la montre. Mais je n'ai pas fini moi ! J'ai encore mille remarques à faire, mille pages du mille-feuille à tourner...
Je dois partir et ressouffler. Me virginiser à l'écart pour pouvoir revenir. Ah ! Je suis heurté en entrant dans la pièce ! Qui parle de quoi ? A quelle guirlande de parole rattacher ma pensée ? Hum, aucune: ils organisent un «truc». Mais alors à qui dire toutes mes pensées, pourquoi rester en plan ? Je ne veux pas FAIRE ! Je veux encore être ! Mais non, on déplace des chaises et des tables, on est là comme dans un couloir dans lequel des serviteurs courent. Et ma réflexion, et ses suites ? Que puis-je en faire ? Je n'ai plus d'interlocuteur. Personne donc n'a vu combien c'était important, qu'on n'avait fait que poser le cadre et au moment de le remplir, hop, ils ont oublié, ils volettent déjà ailleurs ! Je souris des lèvres et je grogne en dedans. Non, là, personne à qui parler. Ils sont occupés ! Occupés à des trois fois rien qui nous prive de dires ! De communication !
Je me rembobine dans mon silence et subi ce qui fait leur joie : rester au niveau des formes.
Je veux partir. Retrouver mon rythme, ce pas continu, sans heurt, de ma pensée qui tourne page après page ses pages. Je compte les angles des fenêtres, les vitres, les pieds de chaises. On me dit: " c'était intéressant hein ? - Quoi donc ? (Il y a 48 trous sur le lutrin qui porte les partitions).
« untel a dit, tel autre a dit... » Déjà ailleurs, voletant, ils rient, comme si l'énigme qui a été soulevée prêtait à rire ! Alors je fais ce que j'ai toujours fait : je quitte la salle. Je rompt. Le silence alentour est pareil à une houppelande qui m'entoure, mon esprit alors est ceint d'une profondeur résonnante et d'un suspens. Je respire à nouveau. Je me lave de tous ces mots dans la nuit silencieuse en m'éloignant des ris qui montent de la salle principale. Enveloppé par le silence je retrouve ma respiration, je retrouve la proximité de l'espace et des étoiles. Ils vont croire que je suis dédaigneux. On dirait des enfants. Non la vie pour eux n'est pas un théâtre où se joue des drames, où se déroulent des scènes mystérieuses, où finalement chaque parole comporte une puissance initiatique. Ils volettent ces veinards, se font d'amicales bourrades. Heurtés leurs gestes... Je me replie, il ne faut pas qu'on me touche...L'horreur de la "bise" ! Une bise oui, un vent glacé sur moi !!!
Je me retire dans la chambre et m'allonge sur le lit pour reprendre haleine. Je m'ablue dans le silence. Toute cette profondeur que je ressens, cette latence du mystère, c'est mon élément vital, mon air. Ils sont contents et joueurs, ils disent des choses sans fond comme on jouerait à tire-moi la barbichette, des choses qui m'abîment au fin fond de ma pensée, et sans lien passent à une autre phrase, et tout cela me survolte, il faut que je m'y arrête, mais eux non, ils jouent à se tirer la barbichette. On passe d'une activité à l'autre sans approfondir. On suit la montre. Mais je n'ai pas fini moi ! J'ai encore mille remarques à faire, mille pages du mille-feuille à tourner...
Je dois partir et ressouffler. Me virginiser à l'écart pour pouvoir revenir. Ah ! Je suis heurté en entrant dans la pièce ! Qui parle de quoi ? A quelle guirlande de parole rattacher ma pensée ? Hum, aucune: ils organisent un «truc». Mais alors à qui dire toutes mes pensées, pourquoi rester en plan ? Je ne veux pas FAIRE ! Je veux encore être ! Mais non, on déplace des chaises et des tables, on est là comme dans un couloir dans lequel des serviteurs courent. Et ma réflexion, et ses suites ? Que puis-je en faire ? Je n'ai plus d'interlocuteur. Personne donc n'a vu combien c'était important, qu'on n'avait fait que poser le cadre et au moment de le remplir, hop, ils ont oublié, ils volettent déjà ailleurs ! Je souris des lèvres et je grogne en dedans. Non, là, personne à qui parler. Ils sont occupés ! Occupés à des trois fois rien qui nous prive de dires ! De communication !
Je me rembobine dans mon silence et subi ce qui fait leur joie : rester au niveau des formes.
Je veux partir. Retrouver mon rythme, ce pas continu, sans heurt, de ma pensée qui tourne page après page ses pages. Je compte les angles des fenêtres, les vitres, les pieds de chaises. On me dit: " c'était intéressant hein ? - Quoi donc ? (Il y a 48 trous sur le lutrin qui porte les partitions).
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Contente de te lire à nouveau.
Elléane- Messages : 359
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Merci Elleane.
Écouter pour dire.
Tu ne communiques pas quand ton langage demeure au stade de monologue énoncé à voix haute !
On ne parle pas pour soi. Il faut trouver la plate-forme commune de langage afin de pouvoir nous entendre. Trouver une tonique sur laquelle broder nos dits. Sans quoi je suis face à une improvisation de musique contemporaine dont je ne comprends ni le commencement, ni la fin, ni le déroulement, dont je ne comprends pas la logique. Je ne dois pas être uniquement sur un mode allusif: mes allusions n'étant pas celles des autres nous serions comme deux sourds à vouloir ne communiquer que de soi à soi. Alors oui la concision est une politesse, oui l'effort de s'entendre sur le sens de nos mots est le préalable à tout échange fécond.
Je ne pars pas du principe que tous ont connu mes traumas et lu les mêmes livres que moi !
Je les respecte !
Je prends en compte notre altérité et j'établis notre relation sur les éléments qui nous sont communs. En un mot, je communique.
Rien n'oblige mon interlocuteur à avoir lu Aristote, ou Freud ou Einstein. Mais je peux relayer et retranscrire dans la langue du tiers leurs intuition en un langage actualisé. Je ne peux en aucun cas dire si d'abord je n'ai pas écouté, car alors l'autoréférance de mes dires laissera l'autre à distance. Il assistera impuissant à un débat mené dans une langue étrangère, d'une culture étrangère. Si je ne sais pas ce que peut concevoir celui à qui je parle, je ne fais que parler seul, agiter mon menton devant une personne qui n'écoute qu'une succession de phonèmes sans qu'elle ait les moyens de les relier entre eux. Je parle alors tout seul à voix haute comme un ivrogne. Pourquoi serais-je un parangon de communication qui devrait inévitablement être entendu du dedans quand le dedans de l'autre est différent du mien ? Pourquoi devrait-il connaître d'emblée mes rêves et les cauchemars, mes livres, mes joies et mes peines ?
Nous devons nous présenter. Nous devons savoir dire « Je ne comprends pas» et poliment demander «me comprends-tu ? Sinon chacun continuera de délirer au fond de son bocal sans qu'aucun échange fécond n'ait lieu.
Écouter pour dire.
Tu ne communiques pas quand ton langage demeure au stade de monologue énoncé à voix haute !
On ne parle pas pour soi. Il faut trouver la plate-forme commune de langage afin de pouvoir nous entendre. Trouver une tonique sur laquelle broder nos dits. Sans quoi je suis face à une improvisation de musique contemporaine dont je ne comprends ni le commencement, ni la fin, ni le déroulement, dont je ne comprends pas la logique. Je ne dois pas être uniquement sur un mode allusif: mes allusions n'étant pas celles des autres nous serions comme deux sourds à vouloir ne communiquer que de soi à soi. Alors oui la concision est une politesse, oui l'effort de s'entendre sur le sens de nos mots est le préalable à tout échange fécond.
Je ne pars pas du principe que tous ont connu mes traumas et lu les mêmes livres que moi !
Je les respecte !
Je prends en compte notre altérité et j'établis notre relation sur les éléments qui nous sont communs. En un mot, je communique.
Rien n'oblige mon interlocuteur à avoir lu Aristote, ou Freud ou Einstein. Mais je peux relayer et retranscrire dans la langue du tiers leurs intuition en un langage actualisé. Je ne peux en aucun cas dire si d'abord je n'ai pas écouté, car alors l'autoréférance de mes dires laissera l'autre à distance. Il assistera impuissant à un débat mené dans une langue étrangère, d'une culture étrangère. Si je ne sais pas ce que peut concevoir celui à qui je parle, je ne fais que parler seul, agiter mon menton devant une personne qui n'écoute qu'une succession de phonèmes sans qu'elle ait les moyens de les relier entre eux. Je parle alors tout seul à voix haute comme un ivrogne. Pourquoi serais-je un parangon de communication qui devrait inévitablement être entendu du dedans quand le dedans de l'autre est différent du mien ? Pourquoi devrait-il connaître d'emblée mes rêves et les cauchemars, mes livres, mes joies et mes peines ?
Nous devons nous présenter. Nous devons savoir dire « Je ne comprends pas» et poliment demander «me comprends-tu ? Sinon chacun continuera de délirer au fond de son bocal sans qu'aucun échange fécond n'ait lieu.
______________________________________________________________________________________
Et bien je borne la musique à n'être en définitive qu'un excitateur d'émotions.
-
Ralentir. Revenir sur ses pas. Cartographier les raccourcis. Souffler. Ne pas attraper à la fois toutes les branches qui se présentent. Coller au texte. Se discipliner. Voilà notre matériel de secours dans la communication. Passer le mors aux dents, oui, c'est vrai, mais pour fondre à la fin dans la même joie. Se donner les moyens de se dire de telle manière qu'on est compris, cela s'appelle travailler.
-
Comment représenter une globalité à un auditeur pour lequel tout est séquencé ?
Prendre du champ, mais petit à petit, expliquer les «reliaisons», éloigner la caméra lentement du tableau pour que le grain serré du prime abord prenne sens et forme.
-
L'intérêt du zèbre n'est pas de toujours contempler sa zébritude et d'en faire son thème fétiche, mais d'utiliser ces caractéristiques pour manigancer en vue... de l'émerveillement commun ! Deux zèbres qui ne parlent entre eux que d'histoires de zèbres, ce n'est pas être différent en quoi que ce soit de qui que ce soit. Mais parler ensemble d'un sujet philosophique, artistique, scientifique à la manière des zèbres, voilà notre prérogative. Parlons de nos lectures !
-
Parler plusieurs langues, mais pas forcément étrangères. Comme disait l'apôtre Paul ; être Juif avec les Juifs et Grec avec les Grecs, ça, nous pouvons le faire !
Dernière édition par (((d[-_-]b))) le Lun 2 Jan 2012 - 12:44, édité 3 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je comprends bien ta demande.
Il ne me suffit pas à moi non plus de lire, mais communiquer sur ton mode n'est pas et ne sera jamais à ma portée. si encore j'avais 20 ans, j'aurais du temps et de l'espoir. J'ai presque ton âge, et n'ai rien fait d'autre dans ma vie que parer à l'urgence, celle d'élever mes enfants qui m'ont accaparée toute entière, non qu'ils me réclamaient autant, mais parce que je voulais faire ce "métier" du mieux que je pouvais, n'en ayant pas d'autre. le reste du temps et une fois toutes les tâches ménagères accomplies, mais sans cesse renouvelées, je me suis un peu réalisée par le bricolage, le jardinage, la décoration. Des tâches qui avaient pour but initial d'améliorer le confort de vie de la maisonnée, mais sur le plan personnel, tous ces travaux m'ont permis de réaliser, de créer sans toutefois avoir de compte à rendre à un jury. Sans cette pression, j'ai pu.
Bref, toute la partie intellectuelle pure était en sommeil, mais voilà que je redécouvre le plaisir de lire, de butiner partout où je peux les opinions des autres, les faire miennes ou pas et ça m'intéresse au plus haut point, moi qui ait tant souffert de ne pouvoir communiquer ou débattre aprce que l'entourage n 'était pas prêt à m'entendre, n'avait rien à m'apporter, trop occupé à se tenir la barbichette.
D'une certaine manière, ça m'arrangeait, puisque si je suis restée curieuse et avide de nourriture intellectuelle, je suis quasi vierge de références et d'idées propres. Voila pourquoi je me contente de m'abreuver et de m'extasier sur tes écrits notamment, mais bien d'autres aussi, Néanmoins incapable de participer réellement.
Je comprends que je t'apparaisse inintéressante, mais est-ce que ça m'ôte le droit de te lire ? Non, bien sûr, je ne spolie personne. Je ne galvaude pas non plus tes débats en n'y participant pas, alors autorise moi à te remercier brièvement et sans plus. Nul doute que tu trouveras ici du répondant, je peux par conséquent, m'enrichir à votre contact, et vous admirer pour le contenu de vos posts et pour la forme que vous y mettez. Cela ravit mon sens de l'esthétique.
je continuerai donc de m'asseoir à votre table, les oreilles grandes ouvertes, un sourire aux lèvres, pour mon plus grand bien.
Enfin, si je ne suis pas trop encombrante, d'accord ?
Il ne me suffit pas à moi non plus de lire, mais communiquer sur ton mode n'est pas et ne sera jamais à ma portée. si encore j'avais 20 ans, j'aurais du temps et de l'espoir. J'ai presque ton âge, et n'ai rien fait d'autre dans ma vie que parer à l'urgence, celle d'élever mes enfants qui m'ont accaparée toute entière, non qu'ils me réclamaient autant, mais parce que je voulais faire ce "métier" du mieux que je pouvais, n'en ayant pas d'autre. le reste du temps et une fois toutes les tâches ménagères accomplies, mais sans cesse renouvelées, je me suis un peu réalisée par le bricolage, le jardinage, la décoration. Des tâches qui avaient pour but initial d'améliorer le confort de vie de la maisonnée, mais sur le plan personnel, tous ces travaux m'ont permis de réaliser, de créer sans toutefois avoir de compte à rendre à un jury. Sans cette pression, j'ai pu.
Bref, toute la partie intellectuelle pure était en sommeil, mais voilà que je redécouvre le plaisir de lire, de butiner partout où je peux les opinions des autres, les faire miennes ou pas et ça m'intéresse au plus haut point, moi qui ait tant souffert de ne pouvoir communiquer ou débattre aprce que l'entourage n 'était pas prêt à m'entendre, n'avait rien à m'apporter, trop occupé à se tenir la barbichette.
D'une certaine manière, ça m'arrangeait, puisque si je suis restée curieuse et avide de nourriture intellectuelle, je suis quasi vierge de références et d'idées propres. Voila pourquoi je me contente de m'abreuver et de m'extasier sur tes écrits notamment, mais bien d'autres aussi, Néanmoins incapable de participer réellement.
Je comprends que je t'apparaisse inintéressante, mais est-ce que ça m'ôte le droit de te lire ? Non, bien sûr, je ne spolie personne. Je ne galvaude pas non plus tes débats en n'y participant pas, alors autorise moi à te remercier brièvement et sans plus. Nul doute que tu trouveras ici du répondant, je peux par conséquent, m'enrichir à votre contact, et vous admirer pour le contenu de vos posts et pour la forme que vous y mettez. Cela ravit mon sens de l'esthétique.
je continuerai donc de m'asseoir à votre table, les oreilles grandes ouvertes, un sourire aux lèvres, pour mon plus grand bien.
Enfin, si je ne suis pas trop encombrante, d'accord ?
Elléane- Messages : 359
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata, pas très cool de m'avoir confié à Mjöll' pendant tes vacances
Elléane : M'enfin ! Parle, écris, comme par exemple juste ce que tu viens de dire là... (Mais tu peux continuer à sourire )
Elléane : M'enfin ! Parle, écris, comme par exemple juste ce que tu viens de dire là... (Mais tu peux continuer à sourire )
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata, pas très cool de m'avoir confié à Mjöll' pendant tes vacances
Tu survivras !
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Enfin, si je ne suis pas trop encombrante, d'accord ?
Certes non ! Prends place. Installe-toi, et ce qui apparait là comme dits, contemplons-le ensemble: nous sommes dans le public, et non pas sur l'estrade !
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Merci, sinon, je peux encore glisser doucement dans mon fauteuil de manière à ne laisser paraître que me tête, mais je ne sais pas si je tiendrai la posture longtemps
Elléane- Messages : 359
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Droite et digne ! Voilà qui convient.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Le tuteur qui me tient droite est fait de ce que j'ai réalisé concrétement et des valeurs qui me sont chères et en vertu desquelles je tâche de ne pas démériter.
Je comprends que tu ne puisses te satisfaire de mes applaudissements.
Tout comme je regrette de jouer du piano ou de montrer mes peintures à des gens qui s'extasient sans ajouter quelque critique que ce soit et ne se rendent compte, ni de mes failles techniques, ni de mes dispositions particulières. Soit on encense et ça me fait mal, soit on ignore et ça me fait mal aussi.
Je reste donc sur ma faim, n'ayant pas eu de vrai échange.
Qu'on n'ait rien d'autre à entendre que clap-clap est frustrant.
Heureusement tout de même que tous les gens qui se rendent au spactacle ne déboulent pas dans les loges pour donner leur avis. Les critiques sont là pour ça, et les spectateurs bien que passifs, sont là pour jouir du spectacle.
Je comprends que tu ne puisses te satisfaire de mes applaudissements.
Tout comme je regrette de jouer du piano ou de montrer mes peintures à des gens qui s'extasient sans ajouter quelque critique que ce soit et ne se rendent compte, ni de mes failles techniques, ni de mes dispositions particulières. Soit on encense et ça me fait mal, soit on ignore et ça me fait mal aussi.
Je reste donc sur ma faim, n'ayant pas eu de vrai échange.
Qu'on n'ait rien d'autre à entendre que clap-clap est frustrant.
Heureusement tout de même que tous les gens qui se rendent au spactacle ne déboulent pas dans les loges pour donner leur avis. Les critiques sont là pour ça, et les spectateurs bien que passifs, sont là pour jouir du spectacle.
Elléane- Messages : 359
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Soit on encense et ça me fait mal, soit on ignore et ça me fait mal aussi.
Oui, ça je comprends très bien !
Mélange lucidité, perfectionnisme et le résultat, c'est ça...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Et décidément ce n'est pas l'excellence de nos vérités qui acte le surdon, mais l'excellence de la communication.
Puisque tout est dans tout, on s'en fout de ta vérité ! Ce qui nous intéresse, c'est le chemin qui relie les choses entre elles. Dis-moi par où tu passes, je te dirais comment arriver chez moi...
Puisque tout est dans tout, on s'en fout de ta vérité ! Ce qui nous intéresse, c'est le chemin qui relie les choses entre elles. Dis-moi par où tu passes, je te dirais comment arriver chez moi...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
La terreur de faire partie de...Ne rentrer dans aucun rang. Refuznik. Pouvoir changer. La définition bloque toute évolution, position est négation. Dé-finir.
Ne pas être estampillé. Sans cocarde ni nombre. Refus des notes. Refus d'être numérisé. Ne pas être costumé. Ne pas porter la laisse d'une cravate. Insoumis.
Être aux prises avec soi. Être le seul à être soi. Dé-appartenir. Sans papiers. Sans coups de tampons. Sans tatouages. Demeurer fidèle à soi-même. Savoir que ce n'est là qu'un passage. Être prêt à partir. Ne pas regarder en arrière. Être son propre guide. Tracer son chemin de son propre pas. Savoir se défaire. Assumer son identité. Ne faire que passer. Pouvoir changer de route et de nom. De tribu.
D'hémisphère...
Ne pas se laisser imposer un nom. Non-identifié. Libre.
Pourquoi mettre le vent en bouteille ? En liste ? En nombres ? En cases ? En cage ?
La définition, parce qu'elle prétend épuiser ton mystère, te tue.
Ne pas être estampillé. Sans cocarde ni nombre. Refus des notes. Refus d'être numérisé. Ne pas être costumé. Ne pas porter la laisse d'une cravate. Insoumis.
Être aux prises avec soi. Être le seul à être soi. Dé-appartenir. Sans papiers. Sans coups de tampons. Sans tatouages. Demeurer fidèle à soi-même. Savoir que ce n'est là qu'un passage. Être prêt à partir. Ne pas regarder en arrière. Être son propre guide. Tracer son chemin de son propre pas. Savoir se défaire. Assumer son identité. Ne faire que passer. Pouvoir changer de route et de nom. De tribu.
D'hémisphère...
Ne pas se laisser imposer un nom. Non-identifié. Libre.
Pourquoi mettre le vent en bouteille ? En liste ? En nombres ? En cases ? En cage ?
La définition, parce qu'elle prétend épuiser ton mystère, te tue.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je suis malheureux. N'en déplaise. Ce n'est pas que les "autres " sont ceci cela, et moi ceci cela, c'est que le contact produit des distorsions. J'étais ces jours avec des "gens". j'étais meneur. Oui mais j'étais blessé souvent. Par des allusions involontaires de "leur" part. "Leurs" rythmes. "Ils" n'adhèrent pas, volettent. je mets mon esprit en action pour décrire quelque chose mais quand ça devient intéressant "ils" sont distraient par un chocolat, un chien qui passe, une lumière qui s'éteint. Mon paquet me reste sur les bras. "Ils" ont perdu le fil que j'avais patiemment tressé.
Alors je sors, je marche dehors dans la nuit et je ne comprends pas où la rupture a eu lieu. Je me trouve inintéressant, je "leur" en veux de cette rupture de communication que je vis comme une fin de non-recevoir. On aurait pu toucher du doigt la joie. "Ils" préfèrent une distraction, une futilité les absorbe. je m'éloigne du groupe et m'enfonce dans la campagne et le silence de la nuit. Le silence me lave, il me semble curatif. j'essaie de comprendre. Quand je reviens il y a des éclats de voix, mais le fil des discussions m'échappe, je suis dans un autre débat. Une phrase attrapée au vol résonne en moi et je vois les liens qui se font en un éclair d'elle à mille lectures, intuitions, souvenirs, mille extensions. Mille discussions potentielles. Je reste accoudé à une commode les yeux dans le vague, mais les rires et les échanges me dérangent, ce bruit de fond me disperse. j'ai envie d'écrire mais les pensées fusent et je n'ai pas le temps de trouver lunettes papiers stylo. Et à quoi bon ? Qui lira ? Je m'assied à l'écart, dans un coin. Tout le monde est debout et discute, travail, bouffe, relations, enfin rien dont on puisse dire. Alors quand les "gens" se rapprochent de moi je les fais rire. Obtenir un "sacré fata" c'est mieux que rien, même si le pendant du succès c'est: "il est quand même un peu zinzin ce fata !" Je m'ennuie et n'essaie plus depuis longtemps de "les" imiter.
Mes livres me manquent. L'ambiance studieuse...Profonde.
Où en est la physique, et les mystères du monde où en sont-ils ? Avec qui parler des joies de l'intelligence partagée ? Des rencontres (trop rares encore) entre zèbres ?
Je "les" aime pour eux-mêmes. Mais sur le plan purement humain, nous ne sommes pas du tout du même monde. Voilà qui est cruel. Voilà ce que furent les "fêtes" pour moi. Le désert continu.
Pendant un moment il y a eu le thème de l'accueil.
Moi j'ai donc écris ça :
Alors je sors, je marche dehors dans la nuit et je ne comprends pas où la rupture a eu lieu. Je me trouve inintéressant, je "leur" en veux de cette rupture de communication que je vis comme une fin de non-recevoir. On aurait pu toucher du doigt la joie. "Ils" préfèrent une distraction, une futilité les absorbe. je m'éloigne du groupe et m'enfonce dans la campagne et le silence de la nuit. Le silence me lave, il me semble curatif. j'essaie de comprendre. Quand je reviens il y a des éclats de voix, mais le fil des discussions m'échappe, je suis dans un autre débat. Une phrase attrapée au vol résonne en moi et je vois les liens qui se font en un éclair d'elle à mille lectures, intuitions, souvenirs, mille extensions. Mille discussions potentielles. Je reste accoudé à une commode les yeux dans le vague, mais les rires et les échanges me dérangent, ce bruit de fond me disperse. j'ai envie d'écrire mais les pensées fusent et je n'ai pas le temps de trouver lunettes papiers stylo. Et à quoi bon ? Qui lira ? Je m'assied à l'écart, dans un coin. Tout le monde est debout et discute, travail, bouffe, relations, enfin rien dont on puisse dire. Alors quand les "gens" se rapprochent de moi je les fais rire. Obtenir un "sacré fata" c'est mieux que rien, même si le pendant du succès c'est: "il est quand même un peu zinzin ce fata !" Je m'ennuie et n'essaie plus depuis longtemps de "les" imiter.
Mes livres me manquent. L'ambiance studieuse...Profonde.
Où en est la physique, et les mystères du monde où en sont-ils ? Avec qui parler des joies de l'intelligence partagée ? Des rencontres (trop rares encore) entre zèbres ?
Je "les" aime pour eux-mêmes. Mais sur le plan purement humain, nous ne sommes pas du tout du même monde. Voilà qui est cruel. Voilà ce que furent les "fêtes" pour moi. Le désert continu.
Pendant un moment il y a eu le thème de l'accueil.
Moi j'ai donc écris ça :
"Une voix chemine de toi à moi et d'entre nous une clarté est émise.
La radiance d'un verbe pareil à du pain entredonné.
Je perçois en moi ton cœur.
la fragilité offerte que tu livres ouvre en moi une tendresse.
Je résonne, nous consonons, nous entendant.
Sur notre tonique commune nous brodons nos paroles,
Entretissons notre histoire.
Nos feux en commun
nous entréclairent."
La radiance d'un verbe pareil à du pain entredonné.
Je perçois en moi ton cœur.
la fragilité offerte que tu livres ouvre en moi une tendresse.
Je résonne, nous consonons, nous entendant.
Sur notre tonique commune nous brodons nos paroles,
Entretissons notre histoire.
Nos feux en commun
nous entréclairent."
Ils ont oublié de le lire...
Vous êtes zèbres ? Alors dîtes-moi: Ce petit texte, cet instantané est-il si chiant et con que ça ?
Est-il même possible que je sois trop félé y compris même pour cette nef des
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Quand je veux faire une chose (et penser c'est faire) je dois arrêter de faire cette chose et cette chose se fait.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
chiant et con, non.
trop fêlé, non.
Mais tu dis "on" aurait pu toucher la joie. Qui te dit qu'ils ont besoin de toi pour toucher la joie qui leur convient? Qui te dit qu'ils ne l'ont pas touchée en regardant simplement ce chien passer. Qui les remplit à leur "échelle", par rapport à leurs besoins.
Ce besoin est pour moi avant tout ton besoin et ton besoin ils ne peuvent fondamentalement pas le comprendre. Ou son comblement est en dehors de leur portée.
Moi, pour verser dans le pathos, j'ai miraculeusement échappé aux obligations sociales de fin d'année grâce à une déprime monstre qui m'a cloué au sol pendant dix jours.(dix jours de solitude qué pied!) Je ne me rendais pas compte que les larmes pouvaient couler aussi longtemps.
Et assez bizarrement, intérieurement je n'étais pas vraiment mal. Juste une sensation de besoin de me vider de quelquechose, d'enlever une vieille peau(désolé pour toutes les vieilles peaux qui nous écoutent, je n'ai finalement pas demandé de rançon), et le soulagement que cela sorte. Une espèce de légèreté inextinguible était en moi regardant cette lourdeur sortante d'un oeil bienveillant.
trop fêlé, non.
Mais tu dis "on" aurait pu toucher la joie. Qui te dit qu'ils ont besoin de toi pour toucher la joie qui leur convient? Qui te dit qu'ils ne l'ont pas touchée en regardant simplement ce chien passer. Qui les remplit à leur "échelle", par rapport à leurs besoins.
Ce besoin est pour moi avant tout ton besoin et ton besoin ils ne peuvent fondamentalement pas le comprendre. Ou son comblement est en dehors de leur portée.
Moi, pour verser dans le pathos, j'ai miraculeusement échappé aux obligations sociales de fin d'année grâce à une déprime monstre qui m'a cloué au sol pendant dix jours.(dix jours de solitude qué pied!) Je ne me rendais pas compte que les larmes pouvaient couler aussi longtemps.
Et assez bizarrement, intérieurement je n'étais pas vraiment mal. Juste une sensation de besoin de me vider de quelquechose, d'enlever une vieille peau(désolé pour toutes les vieilles peaux qui nous écoutent, je n'ai finalement pas demandé de rançon), et le soulagement que cela sorte. Une espèce de légèreté inextinguible était en moi regardant cette lourdeur sortante d'un oeil bienveillant.
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je veux tout ça voir. Peut-on s'apaiser quand on aspire ? La stabilité existe t-elle ou bien sommes-nous des équilibristes ? Ce n'est pas ce que je pense, c'est comment je fusionne avec le penser. j'ai touché du doigt de manière nouvelle cette ancienne solitude et j'ai appris qu'elle est infrangible. Je suis un divers-gens et dit vers gens m'est impossible. Il n'y a personne ici. Quoi de plus triste qu'un vide paradis ?
Je suis isolément recroquevillé sourire aux lèvres sur une chaise à l'écart dans la sphère de mes pensées et je regarde sur l'écran de mes pupilles s'animer la compagnie insoucieuse et c'est en une toute autre langue qu'elle exprime de toutes autres choses. Alors je fais - physiquement aussi en quittant la pièce souvent - l'aller-retour entre eux et moi. Eux parce que je ne veux pas les blesser et moi parce que je dois reprendre mon souffle à la surface. C'est ingérable.
La communion c'est l'émerveillement partagé, mais ce qui m'émerveille leur est semble t-il invisible. peut-être ne voient-ils pas la pensée de derrière et du coup sont -ils simplement en face de faits bruts ? Mais où sont les faits ? il n'y a à perte de vue que des concepts éloquents et la parole pour la nature c'est simplement de se montrer: il y faut des exégètes.
La solitude de frémir dans une autre vibration, sur un autre fréquence. Je m'isole pour être moi.
Je suis isolément recroquevillé sourire aux lèvres sur une chaise à l'écart dans la sphère de mes pensées et je regarde sur l'écran de mes pupilles s'animer la compagnie insoucieuse et c'est en une toute autre langue qu'elle exprime de toutes autres choses. Alors je fais - physiquement aussi en quittant la pièce souvent - l'aller-retour entre eux et moi. Eux parce que je ne veux pas les blesser et moi parce que je dois reprendre mon souffle à la surface. C'est ingérable.
La communion c'est l'émerveillement partagé, mais ce qui m'émerveille leur est semble t-il invisible. peut-être ne voient-ils pas la pensée de derrière et du coup sont -ils simplement en face de faits bruts ? Mais où sont les faits ? il n'y a à perte de vue que des concepts éloquents et la parole pour la nature c'est simplement de se montrer: il y faut des exégètes.
La solitude de frémir dans une autre vibration, sur un autre fréquence. Je m'isole pour être moi.
Dernière édition par Pecari Grégaire le Mar 3 Jan 2012 - 13:04, édité 3 fois (Raison : sans faute, c'est pour moi politesse.)
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Ah zut P2m on a posté ensemble.
Parce que déjà, ils la cherchaient encore ailleurs ?Qui te dit qu'ils ont besoin de toi pour toucher la joie qui leur convient ?
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
ailleurs qu'où?
la joie est partout, non?
la joie est partout, non?
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Qu'où elle demeure.
j'ai écrit LA joie. Nous étions dans un consensus, entre croyants. "Joie" est de même nature entre nous.
j'ai écrit LA joie. Nous étions dans un consensus, entre croyants. "Joie" est de même nature entre nous.
Dernière édition par Pecari Grégaire le Mar 3 Jan 2012 - 13:21, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
tu veux dire où toi tu la trouves?
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Où NOUS la cherchons. Nous étions entre croyants. Pour eux comme pour moi elle porte le même nom.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
ok ok mais pour moi c'est lié au fait que tu voulais qu'ils suivent ton chemin pour y accéder et que donc tu n'étais pas dans la joie. Pour moi on ne peut en même temps vouloir et être dans la joie.(et il n'y a qu'en étant dans la joie qu'on la promeut.)Pecari Grégaire a écrit:j'ai écrit LA joie. Nous étions dans un consensus, entre croyants. "Joie" est de même nature entre nous.
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Le rythme régulier d'un moteur puissant qui fluidifie le contact avec l'environnement, le décor qui défile à la fois uniforme et varié. Puissant moteur qui ronfle et berce, et la sensation d'une continuité vigilante...
Quel repos que de rouler très vite dans un bolide !
Être constamment porté en avant, et du coup ne plus penser, n'être au fond plus que corps, veille ordonnée, cadrée et physiquement dénervé...
Voilà encore ce qu'il me faudrait: une Bugatti Veyron sur une piste à 350 kilomêtres heure... le vrai repos.
Quel repos que de rouler très vite dans un bolide !
Être constamment porté en avant, et du coup ne plus penser, n'être au fond plus que corps, veille ordonnée, cadrée et physiquement dénervé...
Voilà encore ce qu'il me faudrait: une Bugatti Veyron sur une piste à 350 kilomêtres heure... le vrai repos.
Dernière édition par Pecari Grégaire le Mar 3 Jan 2012 - 13:30, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je sais que c'est ce que tu pensais. Je ne pense pas être totalitaire.tu voulais qu'ils suivent ton chemin
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
c'est pas ce que je voulais dire. Et si c'est ça la "totalitarité", j'en suis régulièrement...
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
C'est juste que j'étais seul au milieu de tous ces "frères" et que j'essaie de voir comment, par quel mode et de quelle sorte de solitude il s'agit. Le fait est là que les fonctionnements diffèrent tellement que leur évidente gentillesse et leur accueil chaleureux ne compensent pas cette stase de solitude qui est comme une "blues nostalgie." Personne n'a tort ou raison, mais pour accepter il faut comprendre.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Comprendre cette solitude est pour moi impossible parce que ce sentiment de solitude vient du fonctionnement même du mental, de l'intellect.(qui sépare entre "moi" et les autres) C'est donc une caractéristique qui lui est inextricablement liée et qui ne peut donc être vue par lui, donc ne peut être comprise. Il n'y a que la conscience qui se détache de la compréhension qui peut embrasser cette solitude fondamentale, la guérir.
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Comprendre sert à se réconcilier avec soi-même. La possibilité de découplage ne fait aucun doute à mes yeux. Juste pour mieux gérer, peut-être juste pour éviter des situations similaires. Si encore c'étaient des étrangers avec lesquels je n'ai pas de point commun, mais là, je connais certains depuis longtemps, on a des valeurs à peu près fondées sur la même chose; rien n'y fait, je suis ailleurs, ils sont ailleurs, ça ne coïncide pas. Sur le plan affectif il n'y a pas de problème, mais en réalité c'est l'échange qui devient impossible, les mêmes mots n'ont pas la même portée, n'ont pas la même ligne de fuite. Enfin bref...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
La pensée de derrière; la pensée derrière la pensée de derrière, et derrière et encore et encore. La pensée globale gobe, la pensée arborée. Il y a arborescence des branches, mais aussi des racines !
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
"Compétition, compétitivité, travail, défi, entreprise, croissance", tout le lexique de la secte, je le vomis.
Une idée fausse de l'homme engendre une société écologiquement parlant non viable. Cette propagande débile et débilitante ne sert à rien, ne vaut rien, ne véhicule que du vent et des foutaises, entraîne les peuples à plus de bêtise, d'illusions et de songe-creux. J'exècre cette merderie généralisée. Ces troupeaux de cravatés qui récitent leurs paquenôtres imbéciles sur les estrades et les écrans peuvent invoquer leurs divinités de pacotille à longueur d'année, ils n'arriveront à rien. Ils sont has been et nuls, impuissants et écervelés, manipulés et stupides.
Tout ce qui se fait d'intéressant se fait en-dehors du système. Le système, c'est le parasite, l'écueil, l'échouage, la folie ressassée. Toute cette rhétorique d'aliénés cravatés vaut peanuts, n'est qu'une plastification de l'âme vraiment humaine, une espèce de positivisme à front bas, un hymne à l'ignorance et une machinerie suicidaire. Il n'y a de futur que dans le déboulonnement de ce temple du crétinisme collectif.
Une idée fausse de l'homme engendre une société écologiquement parlant non viable. Cette propagande débile et débilitante ne sert à rien, ne vaut rien, ne véhicule que du vent et des foutaises, entraîne les peuples à plus de bêtise, d'illusions et de songe-creux. J'exècre cette merderie généralisée. Ces troupeaux de cravatés qui récitent leurs paquenôtres imbéciles sur les estrades et les écrans peuvent invoquer leurs divinités de pacotille à longueur d'année, ils n'arriveront à rien. Ils sont has been et nuls, impuissants et écervelés, manipulés et stupides.
Tout ce qui se fait d'intéressant se fait en-dehors du système. Le système, c'est le parasite, l'écueil, l'échouage, la folie ressassée. Toute cette rhétorique d'aliénés cravatés vaut peanuts, n'est qu'une plastification de l'âme vraiment humaine, une espèce de positivisme à front bas, un hymne à l'ignorance et une machinerie suicidaire. Il n'y a de futur que dans le déboulonnement de ce temple du crétinisme collectif.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Celui-là pense sans cesse et s'offusque de ne pouvoir penser tout à la fois.
Il n'a pas de repos. Il lui faut une saisie totale et définitive du monde et de lui-même qui seule lui octroierait enfin le repos.
Et puisqu'il cherche ce repos, il n'a jamais de repos, sa recherche de la paix lui ôte toute paix.
Il n'a pas de repos. Il lui faut une saisie totale et définitive du monde et de lui-même qui seule lui octroierait enfin le repos.
Et puisqu'il cherche ce repos, il n'a jamais de repos, sa recherche de la paix lui ôte toute paix.
Celui-là ne peut concevoir rien qui soit indépendant. Tout est lié, tout est en interaction. Tout communique. Ce réseau infini de chemins qui se croisent et se recoupent forme ce treillis mental dans lequel il se promène. Cette résille serrée est formée de vocables. Des concepts font naitre des concepts et ces concepts contiennent des concepts de manière fractale, holographique. Il file. Toute son action est de filer. Mais quelle substance file t-il ?
Pour lui, quand il dit, ce qu'il veut dire est toujours encore et déjà ailleurs.
Tout est l'enveloppe d'autre chose, et toute chose enveloppe autre chose.
Ce que je pense est une partie de ce qui SE pense.
Ce que je veux dire, les mots le défigure, car le halo émotionnel qui accompagne les mots que j'utilise, aux yeux de mon interlocuteur, diffère du mien.
Je ne fais que supposer quand je m'exprime que le contenu mental et émotionnel de mon interlocuteur a à voir avec le mien. Mais je ne puis transmettre que les mots, non leurs couleurs, non leur halo.
Il me faut avoir un aperçu des halos dans lesquels mon interlocuteur perçoit les mots que j'utilise. En un mot je dois le (re) connaitre.
Je dis que l'incompréhension n'est pas une fatalité.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Il y a - le désir d'une circulation de verbes entre nous,
Il y a - le désir de mise en abymes,
Il y a - le désir d'une ouverture, d'un élargissement de conscience,
Il y a - le désir d'un milieu verbal qui nous soit commun,
Il y a - au fond de tout dire le "dieu" de la communication : la communion,
Il y a - en définitive à devenir un seul cœur,
Il y a - posé devant nous l'objet ou le sujet de contemplation réunissant,
Il y a - à sacrifier quelques raideurs et attentes de notre part afin de communiquer dans un même discours,
Il y a - un désir d'être commun !
Il y a - en somme à l'apex de chaque mot échangé, le désir de ne plus être seul.
"Viens voir !". Voyons ensemble ! C'est être ensemble que le vu octroie, et non le seul témoignage des sens partagé.
L'objet ou le sujet con-templé est seulement un vecteur de communion.
Ce qui cause la division, c'est ce qui était fait pour être unissant.
L'objet mis devant nous NOUS mire.
Mais le sujet central de notre regard commun, c'est bien le nous.
Je te vois en ce que je contemple ce que tu contemples me mire à tes yeux.
Allons-nous nous battre pour des épluchures ? Allons-nous manquer le fond pour la forme ?
Jusqu'où suis-je prêt à aller pour te rencontrer ?
Pour Nous rencontrer ?
Plaçonsentre nous devant nous une fleur. L'attention partagée créera t-elle une autre entité ?
Toi, moi, la fleur - ET NOUS. Le nous transmute la fleur. L'attention conjointe à transmuté les moi.
Métamorphose. Nous AVEC la fleur non pas ENTRE nous, mais EN nous, sommes devenus une entité élargie. Voilà comment ce matin selon mon humeur du 06/01/2012 je parle de communication.
Je t'invite de venir.
(Fata, peux mieux faire...)
Il y a - le désir de mise en abymes,
Il y a - le désir d'une ouverture, d'un élargissement de conscience,
Il y a - le désir d'un milieu verbal qui nous soit commun,
Il y a - au fond de tout dire le "dieu" de la communication : la communion,
Il y a - en définitive à devenir un seul cœur,
Il y a - posé devant nous l'objet ou le sujet de contemplation réunissant,
Il y a - à sacrifier quelques raideurs et attentes de notre part afin de communiquer dans un même discours,
Il y a - un désir d'être commun !
Il y a - en somme à l'apex de chaque mot échangé, le désir de ne plus être seul.
"Viens voir !". Voyons ensemble ! C'est être ensemble que le vu octroie, et non le seul témoignage des sens partagé.
L'objet ou le sujet con-templé est seulement un vecteur de communion.
Ce qui cause la division, c'est ce qui était fait pour être unissant.
L'objet mis devant nous NOUS mire.
Mais le sujet central de notre regard commun, c'est bien le nous.
Je te vois en ce que je contemple ce que tu contemples me mire à tes yeux.
Allons-nous nous battre pour des épluchures ? Allons-nous manquer le fond pour la forme ?
Jusqu'où suis-je prêt à aller pour te rencontrer ?
Pour Nous rencontrer ?
Plaçons
Toi, moi, la fleur - ET NOUS. Le nous transmute la fleur. L'attention conjointe à transmuté les moi.
Métamorphose. Nous AVEC la fleur non pas ENTRE nous, mais EN nous, sommes devenus une entité élargie. Voilà comment ce matin selon mon humeur du 06/01/2012 je parle de communication.
Je t'invite de venir.
(Fata, peux mieux faire...)
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Suite de ce qui précède.
Nous nous rencontrons en passant par l'objet.
N'y a t-il pas un gémellité parfaite entre communication réussie et bonheur ?
Nous voulons attirer autrui dans notre monde intérieur.
Et cela passe par un vecteur extérieur.
Mettre souvent la pensée sur pause. S'attendre.
Nous ne voulons plus être à l'autre la rivière de Narcisse.
Là dans ce qui s'éprouve de toi à moi
nous éperdre.
Entre nous une Babel effondrée.
La langue devenue confusive.
Nous nous rencontrons en passant par l'objet.
N'y a t-il pas un gémellité parfaite entre communication réussie et bonheur ?
Nous voulons attirer autrui dans notre monde intérieur.
Et cela passe par un vecteur extérieur.
Mettre souvent la pensée sur pause. S'attendre.
Nous ne voulons plus être à l'autre la rivière de Narcisse.
Là dans ce qui s'éprouve de toi à moi
nous éperdre.
Entre nous une Babel effondrée.
La langue devenue confusive.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je te lis Fata, chaque mot, chaque phrase,il ya des échos intérieurs en moi, pouvons nous seulement entrer dans l'intime sphère d'autrui? Certes non, les affects, le passé, les joies, les déceptions, de toute vie, je te lis, et me tais, car tout cela me renvoie à d'anciennes blessures, mais je veux lire, car la richese de l'homme est dans ses failles, disait je ne sais plus qui,saches que je partage des visions de la société avec toi, sans te connaître, mon parcours est mien, ton parcours est tien, nos parcours ici sont nôtres, sur ce forum, que voudrions nous finalement? Nous comprendre! Partager notre amour de la Vérité, mais quelle est -elle? Chacun a sa vérité, son être -en -soi, qui peut s'arroger le droit de plonger en toi? si ce n'est toi Même? Il ya les mots, que nous jettons,que nous voudrions voir rattrapés au vol par d'autres, il ya les étreintes, il ya les rires, les pleurs, les regards, il ya simplement de vouloir être aimé pour soi...je vais fumer dehors, les larmes me viennent...
themistocle- Messages : 206
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Fata Morgana- Messages : 20818
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