NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
De mon coté j'avais adoré une phrase d'un Musulman qui disait:
"Toute personne a conscience dans sa vie d'être parvenu à un certain point. La mystique commence avec la conscience que ce point se situe sur une ligne". Magnifique vraiment...
Le mysticisme athée n'est pas un mysticisme, c'est simplement une dimension sapientielle. Je crains beaucoup la récupération des vocabulaires à laquelle se livre le "Monde" comme pour atténuer à terme les singularités qu'à tort, il craint de la part des mystiques au sens originel du terme...
Déjà la naissance constitue un commencement, n'est-ce pas ?
"Toute personne a conscience dans sa vie d'être parvenu à un certain point. La mystique commence avec la conscience que ce point se situe sur une ligne". Magnifique vraiment...
Le mysticisme athée n'est pas un mysticisme, c'est simplement une dimension sapientielle. Je crains beaucoup la récupération des vocabulaires à laquelle se livre le "Monde" comme pour atténuer à terme les singularités qu'à tort, il craint de la part des mystiques au sens originel du terme...
Je m'étonne de lire une affirmation si définitive sous ta plume !Le voyageur en question est sur une voie circulaire, sans commencement ni fin.
Déjà la naissance constitue un commencement, n'est-ce pas ?
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Le voyageur qui marche, c'est à dire qui se meut sur une voie infinie, si on lui demande d'où il vient, il répond: " de la voie", et si on lui demande où il va, il répond "vers la voie", venant de la voie. Et c'est ainsi qu'une voie infinie est appelé le lieu du voyageur "
Inscription trouvée sans nom d'auteur, nul ne sait d'où ni à quelle époque.
Inscription trouvée sans nom d'auteur, nul ne sait d'où ni à quelle époque.
Philin (varna)- Messages : 783
Date d'inscription : 09/01/2012
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Localisation : Toulouse
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
J'ai trouvé cet extrait sur le dos de la couverture d'un très très bon livre (dont je parle plus haut, et je me flatte au passage d'une certaine cohérence qui semble échapper au grand nombre...):
Jean-Claude Renard "Le lieu du voyageur notes sur le mystère" au seuil.
Extrait attribué au même endroit à Nicolas de Cuse.
Au passage encore, j'ai observé au travers de mes lectures qu'il y a une espèce de transversabilité des textes mystiques, où fréquemment on attribue tel texte indifféremment à l'un ou aux autres.
On a déjà ensemble parlé de Nicolas il m'en souvient. Je m'étais mis en peine à cette époque de télécharger quelque texte, qui m'a assez vite lassé d'ailleurs. Il s'agissait "de la docte ignorance".
Avoue, au moins à moi, qu'en lisant "Comment savoir c'est ignorer" tu as tressailli !
Petite pique de l'auteur :
Jean-Claude Renard "Le lieu du voyageur notes sur le mystère" au seuil.
Extrait attribué au même endroit à Nicolas de Cuse.
Au passage encore, j'ai observé au travers de mes lectures qu'il y a une espèce de transversabilité des textes mystiques, où fréquemment on attribue tel texte indifféremment à l'un ou aux autres.
On a déjà ensemble parlé de Nicolas il m'en souvient. Je m'étais mis en peine à cette époque de télécharger quelque texte, qui m'a assez vite lassé d'ailleurs. Il s'agissait "de la docte ignorance".
Avoue, au moins à moi, qu'en lisant "Comment savoir c'est ignorer" tu as tressailli !
Petite pique de l'auteur :
Cherchons maintenant ce que veut dire Martianus, lorsqu'il nous apprend que la philosophie qui voulait s'élever à la compréhension de cette trinité a vomi cercles et sphères.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
J'avoue ... ne pas avoir lu ce livre, bien que prévu au mouvement de mes yeux. -lol)
En te lisant, je pensais à te proposer de lire ça :
http://www.actu-philosophia.com/spip.php?article77
En te lisant, je pensais à te proposer de lire ça :
http://www.actu-philosophia.com/spip.php?article77
Philin (varna)- Messages : 783
Date d'inscription : 09/01/2012
Age : 66
Localisation : Toulouse
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Intéressant... Tu n'as pas peur d'un coté "gadget " ?
Les sophismata "listés" en somme par l'auteur sous forme de stemma risquent de ne devenir qu'un cabinet des curiosités linguistiques, non ?
Il y a encore une réflexion due à un Musulman - mais qui aurait put être donnée par un représentant d'une autre religion pour le coup - qui dit qu'il est un seuil que la raison ne saurait franchir devant les paradoxes du mystère, devant lesquels elle éprouve une angoisse métaphysique car elle atteint ses limites sans pouvoir se projeter plus loin, et dont seul le sacrifice de l'intellect lui permet(trait) de franchir la frontière (par la "foi" donc, mais une foi dans le vide total, sans arguments, dénuée de tout appui et de toute certitude, fut-ce t-elle une certitude passée.)
Or la citation attribuée à Nicolas de Cuse relève d'un tel paradoxisme. Je craindrais donc pour finir que le travail de Alain de Libéra relève simplement d'un travail de compilation augmenté de quelques complexifications à la mode universitaire.
Des koans zen Européens médiévaux ?
Hum, pas mal... Cette continuité qui n'est (ne serait) donc pas qu'historique trouverait sa source dans la structure mentale même des auteurs, la structure mentale universelle des hommes ? Il n'y aurait pas que la transmission, mais bien une redécouverte personnalisée d'une structure sous-jacente, et continue, qui aurait sa source (pour moi) dans la structure même de la conscience humaine...
Alors, si l'on veut reciter Foucault Après Alain de Libera, peut-on considérer que le "champ de présence" soit en réalité un reflet de la structure interne de la conscience humaine ?
Quoi qu'il en soit merci de me détourner des questions "passionnelles" qui précédaient...
Les sophismata "listés" en somme par l'auteur sous forme de stemma risquent de ne devenir qu'un cabinet des curiosités linguistiques, non ?
Il y a encore une réflexion due à un Musulman - mais qui aurait put être donnée par un représentant d'une autre religion pour le coup - qui dit qu'il est un seuil que la raison ne saurait franchir devant les paradoxes du mystère, devant lesquels elle éprouve une angoisse métaphysique car elle atteint ses limites sans pouvoir se projeter plus loin, et dont seul le sacrifice de l'intellect lui permet(trait) de franchir la frontière (par la "foi" donc, mais une foi dans le vide total, sans arguments, dénuée de tout appui et de toute certitude, fut-ce t-elle une certitude passée.)
Bergson en parle dans l'évolution créatrice assez joliment.Ce dépassement de la raison, le cardinal de Cues l'appelle la « transomption ». On arrive à la transomption en allant au bout des ressources de la raison.
Or la citation attribuée à Nicolas de Cuse relève d'un tel paradoxisme. Je craindrais donc pour finir que le travail de Alain de Libéra relève simplement d'un travail de compilation augmenté de quelques complexifications à la mode universitaire.
Des koans zen Européens médiévaux ?
J’ai depuis longtemps renoncé au fait que quelque chose (idée, concept, problème) « viendrait de » quelque chose d’autre ou d’antérieur : c’est là une vision, me semble-t-il, simpliste. Je pense plutôt qu’une même structure de problèmes et de questionnements (une même épistémè, au sens, pour le coup, foucaldien du terme) subsiste en se déformant petit à petit, certaines places étant investies par de nouveaux acteurs, d’autres se mettant à fonctionner ensemble, alors que ce n’était pas le cas auparavant, etc.
Hum, pas mal... Cette continuité qui n'est (ne serait) donc pas qu'historique trouverait sa source dans la structure mentale même des auteurs, la structure mentale universelle des hommes ? Il n'y aurait pas que la transmission, mais bien une redécouverte personnalisée d'une structure sous-jacente, et continue, qui aurait sa source (pour moi) dans la structure même de la conscience humaine...
Alors, si l'on veut reciter Foucault Après Alain de Libera, peut-on considérer que le "champ de présence" soit en réalité un reflet de la structure interne de la conscience humaine ?
Quoi qu'il en soit merci de me détourner des questions "passionnelles" qui précédaient...
Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 29 Mar 2012 - 10:33, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
- Spoiler:
- Philin (varna) a écrit:J'avoue ... ne pas avoir lu ce livre, bien que prévu au mouvement de mes yeux. -lol)
En te lisant, je pensais à te proposer de lire ça :
http://www.actu-philosophia.com/spip.php?article77
Marrant, je viens de l'acheter
Merci pour le lien.
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Eh eh, tu as justement pointé le passage auquel je pensais en te lisant parler de transversalité ... !
Tu sais, moi l'archéologie c'est un peu ma passion. Même qui paraît qu'en connaissant le passé on peut prévoir l'avenir :-)
D'ailleurs dans l'archéologie de notre égo de tout à l'heure, je crois bien qu'il est question de découvrir l'invention d'un coupable sans lequel il n'y a pas de Loi. A croire que le péché originel est né en même temps que celle-ci, pour les besoins de SA cause.
Il paraît même que Dieu a créé l'homme ... (oups) et en plus ... à son image ! Mais alors image renversée je suppose. Tout s'explique ! Bon, c'est où le chemin déjà ? -lol))
Tu sais, moi l'archéologie c'est un peu ma passion. Même qui paraît qu'en connaissant le passé on peut prévoir l'avenir :-)
D'ailleurs dans l'archéologie de notre égo de tout à l'heure, je crois bien qu'il est question de découvrir l'invention d'un coupable sans lequel il n'y a pas de Loi. A croire que le péché originel est né en même temps que celle-ci, pour les besoins de SA cause.
Il paraît même que Dieu a créé l'homme ... (oups) et en plus ... à son image ! Mais alors image renversée je suppose. Tout s'explique ! Bon, c'est où le chemin déjà ? -lol))
Philin (varna)- Messages : 783
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Localisation : Toulouse
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Salut toi. Bienvenue dans le merdier !
Et donc la philosophie est une exploration de la conscience par elle-même.
Et donc le concept de nescience rendrait compte de la transomption.
Pour connaître donc il faut se briser aux limites pour pouvoir savoir.
Franchir la frontière de la raison et accepter de basculer nu dans l'inconnu.
Pour moi, c'est là que commence la foi, cette refonte du contenu mental.
Et donc la philosophie est une exploration de la conscience par elle-même.
Et donc le concept de nescience rendrait compte de la transomption.
Pour connaître donc il faut se briser aux limites pour pouvoir savoir.
Franchir la frontière de la raison et accepter de basculer nu dans l'inconnu.
Pour moi, c'est là que commence la foi, cette refonte du contenu mental.
Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 29 Mar 2012 - 10:41, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:Salut toi. Bienvenue dans le merdier !
Thanks. Mais je ne vais pas participer, je lis, j'essaie de comprendre, mais pour l'instant dans les "disputes" (puisque nous donnons dans le médiéval, donnons à ce terme son sens médiéval ) des derniers jours je vois plus psychologie que débat d'idées... Je veux bien admettre, au vu de ma démarche actuelle, qu'il s'agit de ma part de projections... Mais mais mais...
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Il y a les deux.
Il y a d'un coté des "hérissonneries" dont j'ai exprimé mon désir de les dépasser - en passant à autre chose, cela dès avant-hier, et le coté intéressant: les réflexions et les "débats" à proprement parler.
Les crises de nerfs, pour une fois, je ne les inaugure pas mais les subis ! Et ça, c'est vraiment pour moi un grand pas de franchi...D'autre part, non, je n'y vois pas psychologie, mais confusion Babélienne (Ou Babélique on s'en fout) des langues.
Je trouve qu'il y a quelque chose d'irrationnel (et donc d'impardonnable ? ) dans les protections que l'on érige précipitamment en face d'une parole qui déloge nos peurs les plus intimes et instinctives. Du coup, le réflexe empêche et la réception et la compréhension du peu qui est reçu. Mais je dois dire que je n'y peux rien. Je suis innocent des maux dont on m'affuble. je plaide non coupable !
Bon, je m'attends à priori que les sujets qui fâchent puissent être accueillis ici différemment de la manière dont ils le sont ailleurs, mais apparemment, je suis un peu trop candide.
Il y a d'un coté des "hérissonneries" dont j'ai exprimé mon désir de les dépasser - en passant à autre chose, cela dès avant-hier, et le coté intéressant: les réflexions et les "débats" à proprement parler.
Les crises de nerfs, pour une fois, je ne les inaugure pas mais les subis ! Et ça, c'est vraiment pour moi un grand pas de franchi...D'autre part, non, je n'y vois pas psychologie, mais confusion Babélienne (Ou Babélique on s'en fout) des langues.
Je trouve qu'il y a quelque chose d'irrationnel (et donc d'impardonnable ? ) dans les protections que l'on érige précipitamment en face d'une parole qui déloge nos peurs les plus intimes et instinctives. Du coup, le réflexe empêche et la réception et la compréhension du peu qui est reçu. Mais je dois dire que je n'y peux rien. Je suis innocent des maux dont on m'affuble. je plaide non coupable !
Bon, je m'attends à priori que les sujets qui fâchent puissent être accueillis ici différemment de la manière dont ils le sont ailleurs, mais apparemment, je suis un peu trop candide.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
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Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Pas sûr de t'avoir compris : Mjöllnir fait une crise de nerfs ??? Tu devrais réécouter ses loooooooooooolllll si c'est vraiment ce que tu penses
Quant à Babel, si cela ne relève que du sacré, de la Chute, effectivement on ne peut que rester seul avec sa foi. Tu sais bien que j'ai déjà fait quelques efforts de traductions, l'émotionnel aidant, entre zèbres aux propos a priori fort divergents... Je persiste à croire que c'est possible, rejoignant ce qui est écrit plus haut (une universalité de la conscience humaine, sans préjuger de son origine, sans prétention à entendre un Esprit Saint qui seul serait capable d'un en-deça du langage par trop humain... Disant cela, je ne parle que de moi, un peu trop relatif à ton goût ? ).
NB : J'efface si tu te sens attaqué, ce n'est aucunement le propos, mais je n'arrive pas à exprimer sans risquer de te chatouiller, et d'entendre un tu quoque mi fili
Quant à Babel, si cela ne relève que du sacré, de la Chute, effectivement on ne peut que rester seul avec sa foi. Tu sais bien que j'ai déjà fait quelques efforts de traductions, l'émotionnel aidant, entre zèbres aux propos a priori fort divergents... Je persiste à croire que c'est possible, rejoignant ce qui est écrit plus haut (une universalité de la conscience humaine, sans préjuger de son origine, sans prétention à entendre un Esprit Saint qui seul serait capable d'un en-deça du langage par trop humain... Disant cela, je ne parle que de moi, un peu trop relatif à ton goût ? ).
NB : J'efface si tu te sens attaqué, ce n'est aucunement le propos, mais je n'arrive pas à exprimer sans risquer de te chatouiller, et d'entendre un tu quoque mi fili
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Les Loool ne sont pas les mots que je lis ni surtout ceux qui me dérangent. Ce que je reçois - et après tout peut-être à tort - c'est un ensemble de soupçons, fondés dieu sait sur quoi, dont le principal revient comme un leitmotiv qui finit par se contredire lui-même à savoir que je ne supporterais pas la différence, que je serais intolérant, et que je voudrais imposer mes vues , ce que je traduis ainsi : toute affirmation imposant un rapport de force, je sais que je suis sur ce point plutôt accrocheur et que j'ai de la conversation... Donc si l'on a fini par émasculer le langage au point de confondre la virilité dans la défense d'un point de vue (ce que ça n'est d'ailleurs pas mais bon) avec de la violence, c'est sûr qu'on aurait aussi bien fait de se faire couper la langue...Je ne suis pas homme à dire amen à tout sous prétexte d'une courtoisie de salon, surtout quand je perçois sous l'apparence des mots un enjeu un peu plus important que les seuls courbettes d'une bienséance qui n'a pas sa place dans le sujet qui nous intéresse.
Je te propose donc de TOUT relire, cette présentation comme celle qui l'a précédée, dont tu trouveras le lien en tête de ce fil, pour avoir cette vision globale, que moi j'ai, et tu constateras qu'on y trouve plus j'espère que des affirmations qui n'inspirent que des lool.
J'ajoute que personne n'est obligé de choisir quelque "camp" que ce soit ! Cette division à l'origine n'étant pas de mon fait, sauf à considérer que l'expression d'une foi justifie des manœuvres d'ostracisme plus ou moins directes, ce qui de la part de quelqu'un d'intelligent à de quoi laisser rêveur, j'ai bien assez des imbéciles pour ça.
Je te propose donc de TOUT relire, cette présentation comme celle qui l'a précédée, dont tu trouveras le lien en tête de ce fil, pour avoir cette vision globale, que moi j'ai, et tu constateras qu'on y trouve plus j'espère que des affirmations qui n'inspirent que des lool.
J'ajoute que personne n'est obligé de choisir quelque "camp" que ce soit ! Cette division à l'origine n'étant pas de mon fait, sauf à considérer que l'expression d'une foi justifie des manœuvres d'ostracisme plus ou moins directes, ce qui de la part de quelqu'un d'intelligent à de quoi laisser rêveur, j'ai bien assez des imbéciles pour ça.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
je rappelle; bordel de merde que sentant se profiler une tension, j'ai pris l'initiative de me faire auto-bannir une semaine pour laisser la rivière transporter les impuretés ailleurs, semaine pendant laquelle au passage je me suis fais chier comme un rat mort, pour être accueilli dès mon retour par des insinuations débiles et mal argumentées. Donc comme je suis, bon dieu, pour la troisième fois passé à autre chose y compris ce matin, pour dégonfler ce putain de soufflet, sans parvenir à m'extirper de ces mêmes insinuations, je considérerais désormais vos interventions comme du simple flood.
Messieurs, la messe est dite.
Allez "commérer" ailleurs.
La seule personne qui a manœuvré intelligemment de puis des lustres sur ce fil, c'est philin.
Tout commence, le 27 mars, à 16h10 Il n'y a qu'un malentendu dans les termes. Or, après que j'ai explicité ce que j'entendais par "à son insu", phrase qui a provoqué des cris scandalisés de vierge effarouchée - n'étant pas comprise - est devenu quasiment dogmatique le fait que je n'écoute pas, ne respecte pas les différences, interprète, (comme si j'étais le seul !) prends une mauvaise voie - et que sais-je encore, et ça va comme ça de la page 21 à la 26 ! Presque comme un robot... De quoi en avoir un peu raz le cul quand même...Donc tout ça en fait m'emmerde profondément, il n'y a pas de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre (ou même qui ne le peut) j'en ai marre de devoir sur mon fil être constamment obligé d'être sur la défensive juste par que j'ai émis une opinion ! Parce qu'à la date et à l'heure susdite, je n'ai pas fais autre chose ! ( A noter au passage qu'ours, lui a bien compris ce que je voulais dire)
Médecin guéris toi toi-même !
Cela dit, si je vous emmerde tant que ça, je peux me faire encore bannir une semaine...
Messieurs, la messe est dite.
Allez "commérer" ailleurs.
La seule personne qui a manœuvré intelligemment de puis des lustres sur ce fil, c'est philin.
Tout commence, le 27 mars, à 16h10 Il n'y a qu'un malentendu dans les termes. Or, après que j'ai explicité ce que j'entendais par "à son insu", phrase qui a provoqué des cris scandalisés de vierge effarouchée - n'étant pas comprise - est devenu quasiment dogmatique le fait que je n'écoute pas, ne respecte pas les différences, interprète, (comme si j'étais le seul !) prends une mauvaise voie - et que sais-je encore, et ça va comme ça de la page 21 à la 26 ! Presque comme un robot... De quoi en avoir un peu raz le cul quand même...Donc tout ça en fait m'emmerde profondément, il n'y a pas de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre (ou même qui ne le peut) j'en ai marre de devoir sur mon fil être constamment obligé d'être sur la défensive juste par que j'ai émis une opinion ! Parce qu'à la date et à l'heure susdite, je n'ai pas fais autre chose ! ( A noter au passage qu'ours, lui a bien compris ce que je voulais dire)
Médecin guéris toi toi-même !
Cela dit, si je vous emmerde tant que ça, je peux me faire encore bannir une semaine...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
En guise de conclusion:
j'admets, contrairement à ce qui m'est reproché, qu'on ne partage ni mes opinions, ni ma façon de les défendre. Mais dans ce cas, plutôt que de rabâcher sans cesse les mêmes insinuations (méfiates les mecs) fondées sur la thématique d'un refus d'écouter, d'être ouvert, et de respecter dieu sait quoi chez dieu sait qui de manière obsessionnelle on allait voir ailleurs si j'y suis, selon moi, ça serait au moins pour une fois le mérite d'être logique !
Personne n'est obligé, que je sache, de lire ce fil ! Si vraiment j'ai toutes les "qualités" qu'on me prête, que venez-vous faire ici ? L'abjecte personne que je suis mérite le silence gêné qu'on a devant les pitreries ridicules d'un sot qui s'excite tout seul dans son coin n'est-ce pas ? Et bien qu'attendez-vous pour aller vous amuser ailleurs ?
Je pense que Mjöllnir est totalement dans l'erreur, et sur sa façon d'appréhender les choses, ce dont au fond peu me chaut, mais aussi sur ce qu'il croit comprendre de moi, ce qui déjà m'embête un peu plus. Cela dit c'est son droit. Je m'en fous à vrai dire. Par contre que je ne puisse plus venir sur ce fil sans avoir à me fader ses sempiternelles rengaines dès le matin commence à me courir. Je vis vraiment cela comme un harcèlement, ce qui en matière de respect de l'autre laisse pour le moins à désirer...
Donc, communication breakdown. Et ce n'est pas de mon initiative.
(j'avais cru comprendre d'ailleurs que le susdit Mjöllnir avant l'intention de se retirer sensiblement du forum, ce qui m'avait fait de la peine, au temps où on avait encore des choses à nous dire, de là à penser qu'il ne vient que pour me harceler, il n'y a qu'un pas...)
Si je savais comment rajouter "No flood" sur le titre de mon fil, il y a longtemps que je l'aurais fait.
Pour ceux qui croient qu'aimer et être gentil sont des synonymes: Ils se trompent; l'amour a des exigences, et la gentillesse des intérêts. je n'ai jamais été "gentil", et je n'ai aucune intention de le devenir. N'importe qui sait lire s'en apercevra.
J'interprète ? Oui, je vois les pensées tordues arriver de loin...Entende qui a des oreilles pour ça.
j'admets, contrairement à ce qui m'est reproché, qu'on ne partage ni mes opinions, ni ma façon de les défendre. Mais dans ce cas, plutôt que de rabâcher sans cesse les mêmes insinuations (méfiates les mecs) fondées sur la thématique d'un refus d'écouter, d'être ouvert, et de respecter dieu sait quoi chez dieu sait qui de manière obsessionnelle on allait voir ailleurs si j'y suis, selon moi, ça serait au moins pour une fois le mérite d'être logique !
Personne n'est obligé, que je sache, de lire ce fil ! Si vraiment j'ai toutes les "qualités" qu'on me prête, que venez-vous faire ici ? L'abjecte personne que je suis mérite le silence gêné qu'on a devant les pitreries ridicules d'un sot qui s'excite tout seul dans son coin n'est-ce pas ? Et bien qu'attendez-vous pour aller vous amuser ailleurs ?
Je pense que Mjöllnir est totalement dans l'erreur, et sur sa façon d'appréhender les choses, ce dont au fond peu me chaut, mais aussi sur ce qu'il croit comprendre de moi, ce qui déjà m'embête un peu plus. Cela dit c'est son droit. Je m'en fous à vrai dire. Par contre que je ne puisse plus venir sur ce fil sans avoir à me fader ses sempiternelles rengaines dès le matin commence à me courir. Je vis vraiment cela comme un harcèlement, ce qui en matière de respect de l'autre laisse pour le moins à désirer...
Donc, communication breakdown. Et ce n'est pas de mon initiative.
(j'avais cru comprendre d'ailleurs que le susdit Mjöllnir avant l'intention de se retirer sensiblement du forum, ce qui m'avait fait de la peine, au temps où on avait encore des choses à nous dire, de là à penser qu'il ne vient que pour me harceler, il n'y a qu'un pas...)
Si je savais comment rajouter "No flood" sur le titre de mon fil, il y a longtemps que je l'aurais fait.
Pour ceux qui croient qu'aimer et être gentil sont des synonymes: Ils se trompent; l'amour a des exigences, et la gentillesse des intérêts. je n'ai jamais été "gentil", et je n'ai aucune intention de le devenir. N'importe qui sait lire s'en apercevra.
J'interprète ? Oui, je vois les pensées tordues arriver de loin...Entende qui a des oreilles pour ça.
NO FLOOD
Dernière édition par Fata Morgana le Jeu 29 Mar 2012 - 13:48, édité 3 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Qu'on se le répète, qu'on se le dise et qu'on se passe le mot : JAMAIS je n'édulcorerai la parole que je porte, ni pour complaire à des causeurs, ni pour satisfaire à des copinages puérils. Cette parole est un vin sublime, mais qui devient infect quand on le coupe avec la limonade attiédie des minauderies humaines.
C'est toujours une bonne idée de venir me chercher des noises, ça me donne l'occasion de changer de style...
je trouve à priori tout le monde sympa, jusqu'à ce qu'il m'ait prouvé le contraire; c'est fait. Basta.C'est toujours une bonne idée de venir me chercher des noises, ça me donne l'occasion de changer de style...
Slam.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je relis. Je ressens l'impression d'une reptation ophidienne et l'aspect diluant de certaines insinuations...
Il y a un je ne sais quoi de malsain que je n'aime pas là-dedans. Je veux dire dans les propos faussement doucereux de Mjöllnir. Non que je lui en veuille de ne pas "penser" comme moi, puisque ici, il ne s'agit pas vraiment de "pensée" mais d'une distillation inquiétante:
par Mjöllnir le Mar 27 Mar 2012 - 15:48 :
Tu oublies un peu vite qu'en-dehors de toi-même, existent les autres. Quelle place ont-ils dans ton système ?
par Mjöllnir le Mar 27 Mar 2012 - 16:08 :
Fata écrit : "Et s'il est une issue, m'est avis qu'elle est dans le service d'autrui, y compris à son insu."
Mjöllnir, ex-Martin commente :MON DIEU !!!
Fata répond: "Je suis artiste, je partage mon art dans lequel j'essaie de mettre de l'espoir : je "sers".
Un banal esprit dans la moyenne comprendrait, ou alors je crève des plafonds, que les mots "service" et "insu" ici n'impliquent aucun calcul ou manipulation - ce qui ne me viendrait pas à l'idée d'ailleurs, mais apparemment, cette innocence des intentions n'est pas partagée.
je continue par une plaisanterie:
Fata : "Nous allons devoir reprendre la définition de tous les termes du lexique !"
Qui ne fait rire que moi semble t-il:
Mjöllnir :
Autre petite alerte :
du coté de ceux qui savent, et qui même savent nos travers, sans se douter une seconde de la failliabilité de leur propre assertion !
S'ensuivent 6 ou 7 posts entre Ours et moi, duquel n'est retenu à la fin, alors qu'on le croyait parti, de la part de Mjöllnir que ce seul aspect :
3 "
Ça sent vraiment l'envie de communiquer ! 1) D'abord ce n'est pas mon interprétation, mais mon vécu. Et j'aimerais savoir qui pourrait prétendre savoir mieux que moi en quoi il consiste...
2) Ne rien faire, laisser faire, grâce à une tolérance qui n'est qu'une indifférence égoïste, qui essaye en plus de passer pour vertu, plutôt que de se laisser toucher, d'aimer, d'aider, voilà ce conseil qui si elle l'avait suivi, une mère Térésa, (au même titre que la compagnie de pompiers du coin d'ailleurs) aurait laissé crever des gosses par souci de ne pas se positionner en "supérieur !" Pensée ridicule, absurde, et particulièrement éclairante dans son classicisme glacé, qui correspond exactement aux propos obscènes de la droite sur les "assistés" - qui le sont parce qu'on leur a dérobé leurs droits dans la plupart des cas.
Louche philosophiquement moralement spirituellement et politiquement, cette tirade trahit une ignorance profonde de la nature essentielle de l'amour: " L'amour est le désir de faire du bien aux autres". Qu'il faille le répéter ne laisse de me surprendre.
3 ) "Je ne suis heureux QUE si je rends les autres heureux". Je n'ai écris QUE nulle part, et deuxièmement, qu'est -ce que ça a de si scandaleux si précisément mon bonheur consiste (rait) à faire celui des autres ? N'est-ce pas un peu plus souhaitable que l'inverse qui consiste à le faire à leurs dépens, par exemple en me foutant comme d'une guigne de leur bonheur s'il entame le mien au point que je fais passer un égocentrisme éhonté pour une vertu de tolérance, et en osant en plus affirmer en plus que ce serait pour ne pas leur être supérieur ? Ma foi, si le mot hypocrisie a été inventé, c'est sûrement pour ce genre de cas de figure...
4)
Ce chemin là, que Mjöllnir me souhaite, je le vomis. Parce que je préfère souffrir en aimant que me baver sur le bide en étant devenu totalement insensible...
Je laisse à la sagacité de chacun le soin de juger des implications et des conclusions qui s'imposent au terme de ce bref exposé. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que comme orientation morale, intellectuelle, spirituelle, une telle attitude ne devrait pas aller sans susciter de prudentes inquiétudes quant à la mentalité de leur auteur.
je laisse chacun libre de continuer le travail esquissé ici.
je ne suis pas commode, et je peux tout à fait continuer sur cette lancée, si on m'y provoque.
Mais il ne sera pas dit que de telles insinuations grimées en conseils de sage resteront sans réponse. j'ai consacré ma vie à penser, ce n'est pas pour me taire le moment venu.
Cette clarification me semblait nécessaire. maintenant que je l'ai faite, je tourne définitivement cette page, en espérant enfin trouver quelqu'un qui me comprenne, mordel de berde !
Il y a un je ne sais quoi de malsain que je n'aime pas là-dedans. Je veux dire dans les propos faussement doucereux de Mjöllnir. Non que je lui en veuille de ne pas "penser" comme moi, puisque ici, il ne s'agit pas vraiment de "pensée" mais d'une distillation inquiétante:
par Mjöllnir le Mar 27 Mar 2012 - 15:48 :
Ah ! Intéressant, mais alors, plutôt que de laisser les choses dans cet état d'inachèvement, pourquoi ne pas plutôt nous éclairer de tes lumières en remplaçant ces points de suspension par du concret ?La plupart du temps quand on ne trouve pas l'issue ... c'est qu'on ne la cherche pas au bon endroit ...
Car enfin ta remarque implique bel et bien que toi, la réponse, tu la connais.Parce que je ne cherche plus la justification de mon bonheur à l'extérieur de moi-même. Et, pour faire cela, j'ai accepté de rentrer en moi comprendre ce qui me blessait venant du dehors, et la totale relativité de ces sensations. C'est vraiment le chemin que je te souhaite de faire, et tu ne peux le faire que seul.
Tu oublies un peu vite qu'en-dehors de toi-même, existent les autres. Quelle place ont-ils dans ton système ?
par Mjöllnir le Mar 27 Mar 2012 - 16:08 :
Fata écrit : "Et s'il est une issue, m'est avis qu'elle est dans le service d'autrui, y compris à son insu."
Mjöllnir, ex-Martin commente :MON DIEU !!!
Ah bon ? Et lesquels ? S'il est vrai que détachée d'un contexte la phrase que j'ai écrite peut être ambigüe, je prends la peine par la suite d'expliquer le sens que je lui donne :Combien ce type de phrase à-t-il provoqué de malheurs dans l'histoire de l'homme !!!
Fata répond: "Je suis artiste, je partage mon art dans lequel j'essaie de mettre de l'espoir : je "sers".
Un banal esprit dans la moyenne comprendrait, ou alors je crève des plafonds, que les mots "service" et "insu" ici n'impliquent aucun calcul ou manipulation - ce qui ne me viendrait pas à l'idée d'ailleurs, mais apparemment, cette innocence des intentions n'est pas partagée.
je continue par une plaisanterie:
Fata : "Nous allons devoir reprendre la définition de tous les termes du lexique !"
Qui ne fait rire que moi semble t-il:
Mjöllnir :
je dois donc admettre, et comprendre, que chaque personne ne parle que sa propre langue et que l'incommunicabilité humaine est totale et absolue... Ou bien comprendre que je n'admettrais pas que quelqu'un ait un autre "lexique", ce qui est démenti par le fait que j'ai fourni un exemple de ce que j'entendais pas "servir à l'insu". D'où peut venir la conclusion que je refuse à la subjectivité de chacun d'interpréter différemment certains mots ou certaines tournures ? de nulle part !Ou bien admettre que tu puisse comprendre que les autres en aient un différent, auquel ils tiennent tout autant que tu tiens au tien. Et commencer alors à en établir un commun et partagé.
Là semble être la sortie que vous cherchez, ours et toi ... accepter d'être faillibles comme les autres ...
Autre petite alerte :
D'une pierre deux coups: Ours et moi-même sommes des ignorants qui s'estiment infaillibles, et refusent d'admettre que ce n'est pas le cas. D'où peut venir cette assertion ? Mystère. Et d'autre part l'auteur quant à lui ne se prive pas de recourir à sa propre infaillibilité, puisqu'il est FORCÉMENTêtre faillibles comme les autres
du coté de ceux qui savent, et qui même savent nos travers, sans se douter une seconde de la failliabilité de leur propre assertion !
S'ensuivent 6 ou 7 posts entre Ours et moi, duquel n'est retenu à la fin, alors qu'on le croyait parti, de la part de Mjöllnir que ce seul aspect :
1) "Quand face au normaux-pensant nous sentons une mise à l'écart" ... Mon cher Fata ... c'est ton interprétation.
2 "Nous pouvons attacher notre attention à leurs fragilités, à leurs besoins, à la beauté de leur vulnérabilité.". Bien sur, mais de quel droit ? N'est-ce pas là nous juger supérieurs à eux ?
3 "
4)Maintenant voilà ce que je ressens de tes écrits : "Je ne suis heureux que si je rend les autres heureux, et je me plains s'ils n'acceptent pas le bonheur que je leur tend. Donc j'en suis malheureux. Et j'insiste encore plus ..."
5 )Cercle vicieux, Fata ... cercle qui omet une chose à mon sens : La liberté à l’autodétermination des uns et des autres.
Je me sens bien, de mieux en mieux ... parce que je ne cherche plus la justification de mon bonheur à l'extérieur de moi-même. Et, pour faire cela, j'ai accepté de rentrer en moi comprendre ce qui me blessait venant du dehors, et la totale relativité de ces sensations. C'est vraiment le chemin que je te souhaite de faire, et tu ne peux le faire que seul.
Ça sent vraiment l'envie de communiquer ! 1) D'abord ce n'est pas mon interprétation, mais mon vécu. Et j'aimerais savoir qui pourrait prétendre savoir mieux que moi en quoi il consiste...
2) Ne rien faire, laisser faire, grâce à une tolérance qui n'est qu'une indifférence égoïste, qui essaye en plus de passer pour vertu, plutôt que de se laisser toucher, d'aimer, d'aider, voilà ce conseil qui si elle l'avait suivi, une mère Térésa, (au même titre que la compagnie de pompiers du coin d'ailleurs) aurait laissé crever des gosses par souci de ne pas se positionner en "supérieur !" Pensée ridicule, absurde, et particulièrement éclairante dans son classicisme glacé, qui correspond exactement aux propos obscènes de la droite sur les "assistés" - qui le sont parce qu'on leur a dérobé leurs droits dans la plupart des cas.
Louche philosophiquement moralement spirituellement et politiquement, cette tirade trahit une ignorance profonde de la nature essentielle de l'amour: " L'amour est le désir de faire du bien aux autres". Qu'il faille le répéter ne laisse de me surprendre.
3 ) "Je ne suis heureux QUE si je rends les autres heureux". Je n'ai écris QUE nulle part, et deuxièmement, qu'est -ce que ça a de si scandaleux si précisément mon bonheur consiste (rait) à faire celui des autres ? N'est-ce pas un peu plus souhaitable que l'inverse qui consiste à le faire à leurs dépens, par exemple en me foutant comme d'une guigne de leur bonheur s'il entame le mien au point que je fais passer un égocentrisme éhonté pour une vertu de tolérance, et en osant en plus affirmer en plus que ce serait pour ne pas leur être supérieur ? Ma foi, si le mot hypocrisie a été inventé, c'est sûrement pour ce genre de cas de figure...
4)
D'abord, Quel livre la respecte ? Stricto sensu, il devrait être interdit de poser une affirmation ou d'émettre le moindre point de vue au risque d'influencer quelqu'un ! Pardonne-moi mais j'ai quand même l'impression qu'avec ceux qui ne sont pas d'accord avec toi, tu as la plus grande des peines à accepter leur auto-détermination, l'ensemble de ces posts en témoigne constamment. L'autodétermination ? Le droit en somme de crever librement mais en fermant sa gueule, les pleurs, ça m'empêche de dormir ? On hésite simplement entre Mitt Romney et Santorum devant ce nouvel aveu de parfaite indifférence glacée drapée dans la défense larmoyante d'une auto-détermination (quel terme) qui en réalité n'existe nulle part ! Comme si nos vies n'étaient pas sous la constante emprise du sort et des lois, des manœuvres politiciennes, des devoirs qu'on exige de nous et des traumas et des tares physiques qui nous accablent ! N'importe quoi !La liberté à l'autodétermination des autres.
Outre que l'on vient de voir que la parfaite indifférence envers autrui nous épargne en effet de chercher notre bonheur en dehors de nous-mêmes, parce qu'on préfère laisser crever plutôt que d'être un tant soit peu dérangé par ces emmerdeurs qui ont besoin d'aide, on rend caduque (on les nie) leurs plaintes qui ne sont que "relatives", c'est à dire inexistantes et indignes que notre majesté s'en dérange; à moins que ça ne lui rapporte quelque chose...parce que je ne cherche plus la justification de mon bonheur à l'extérieur de moi-même. Et, pour faire cela, j'ai accepté de rentrer en moi comprendre ce qui me blessait venant du dehors, et la totale relativité de ces sensations. C'est vraiment le chemin que je te souhaite de faire, et tu ne peux le faire que seul.
Ce chemin là, que Mjöllnir me souhaite, je le vomis. Parce que je préfère souffrir en aimant que me baver sur le bide en étant devenu totalement insensible...
Je laisse à la sagacité de chacun le soin de juger des implications et des conclusions qui s'imposent au terme de ce bref exposé. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que comme orientation morale, intellectuelle, spirituelle, une telle attitude ne devrait pas aller sans susciter de prudentes inquiétudes quant à la mentalité de leur auteur.
je laisse chacun libre de continuer le travail esquissé ici.
je ne suis pas commode, et je peux tout à fait continuer sur cette lancée, si on m'y provoque.
Mais il ne sera pas dit que de telles insinuations grimées en conseils de sage resteront sans réponse. j'ai consacré ma vie à penser, ce n'est pas pour me taire le moment venu.
Cette clarification me semblait nécessaire. maintenant que je l'ai faite, je tourne définitivement cette page, en espérant enfin trouver quelqu'un qui me comprenne, mordel de berde !
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Mes convictions ne sont qu'un vocabulaire, une lecture, un champ lexical. Il est inepte d'y voir quoi que ce soit de contraignant, pourvu qu'on se montre capable d'y répondre !
Je SUIS mes conceptions, elles ne sont pas comme une sacoche que je porterais en bandoulière et dans laquelle je puiserais pour faire la causette. Sans doute y a t-il dedans des choses erronées, déformées, même si je travaille à peaufiner cette pensée (qui n'est pas que cela) depuis des décennies, j'ai forcément laissé passer des choses. Pourtant ce n'est pas cela qui en est la définition. Ce n'est pas par ses seuls défauts qu'on définit un fait, et encore moins une pensée, et encore moins un homme ! Ce serait une scélératesse.
Je ne suis pas schizophrène, il n'y a pas de rupture entre ce que je pense et ce que je suis. Dialoguer, c'est s'adapter, c'est controverser qui est un refus d'adaptation et de dialogue. Il y a des chochottes, je le sais bien qui ne supportent plus la moindre remarque sans partir en courant et en bêlant, les jupes relevées; je ne m'adresse pas à ces saintes nitouches. Je m'adresse à qui cherche et lutte pour le sens. Et ces questions ont un prix, un prix humain en cela qu'elles tendant à isoler celui qui mène cette lutte. Parce qu'une conviction forte se présente avec force, non pas celle d'une brute, mais celle d'un cœur vigoureux et qui ne vacille pas au moindre coup de vent adverse. Je crois. Ce fait entraîne une multitude d'implications, intellectuelles, morales, sociales. Quand je dis "Je crois", je ne dis pas "Crois !" Ce n'est pas un mot que j'aboie ! Mais je dis "je crois" avec la force de la plus entière sincérité et la vigueur de ce qu'il convient d'appeler de l'amour ! Et ces deux choses ne sont en rien comparables. Or voilà que l'on veut me faire passer de celui qui dis: " Je crois ! " à celui qui dit : "Crois !" De la passion à l'injonction; c'est foncièrement malhonnête. Et faux de surcroît. Je n'accepte pas qu'on cherche à me faire rentrer dans un vocabulaire qui n'est pas le mien pour me le reprocher ensuite ! Cela aussi doit être dit. Ci fait.
A moi de convertir ma pénible empathie en amour ! C'est quand même plus facile quand on part de quelque chose plutôt que de rien. Mais justifier une indifférence glacée présentée sous les atours d'une soi-disant "auto-détermination" et d'un prétendu refus de supériorité n'est ni aimant, ni surtout, et c'est ce qui nous intéresse ici, empathique...Qu'on en tire les conclusions qu'on voudra.
Je SUIS mes conceptions, elles ne sont pas comme une sacoche que je porterais en bandoulière et dans laquelle je puiserais pour faire la causette. Sans doute y a t-il dedans des choses erronées, déformées, même si je travaille à peaufiner cette pensée (qui n'est pas que cela) depuis des décennies, j'ai forcément laissé passer des choses. Pourtant ce n'est pas cela qui en est la définition. Ce n'est pas par ses seuls défauts qu'on définit un fait, et encore moins une pensée, et encore moins un homme ! Ce serait une scélératesse.
Je ne suis pas schizophrène, il n'y a pas de rupture entre ce que je pense et ce que je suis. Dialoguer, c'est s'adapter, c'est controverser qui est un refus d'adaptation et de dialogue. Il y a des chochottes, je le sais bien qui ne supportent plus la moindre remarque sans partir en courant et en bêlant, les jupes relevées; je ne m'adresse pas à ces saintes nitouches. Je m'adresse à qui cherche et lutte pour le sens. Et ces questions ont un prix, un prix humain en cela qu'elles tendant à isoler celui qui mène cette lutte. Parce qu'une conviction forte se présente avec force, non pas celle d'une brute, mais celle d'un cœur vigoureux et qui ne vacille pas au moindre coup de vent adverse. Je crois. Ce fait entraîne une multitude d'implications, intellectuelles, morales, sociales. Quand je dis "Je crois", je ne dis pas "Crois !" Ce n'est pas un mot que j'aboie ! Mais je dis "je crois" avec la force de la plus entière sincérité et la vigueur de ce qu'il convient d'appeler de l'amour ! Et ces deux choses ne sont en rien comparables. Or voilà que l'on veut me faire passer de celui qui dis: " Je crois ! " à celui qui dit : "Crois !" De la passion à l'injonction; c'est foncièrement malhonnête. Et faux de surcroît. Je n'accepte pas qu'on cherche à me faire rentrer dans un vocabulaire qui n'est pas le mien pour me le reprocher ensuite ! Cela aussi doit être dit. Ci fait.
A moi de convertir ma pénible empathie en amour ! C'est quand même plus facile quand on part de quelque chose plutôt que de rien. Mais justifier une indifférence glacée présentée sous les atours d'une soi-disant "auto-détermination" et d'un prétendu refus de supériorité n'est ni aimant, ni surtout, et c'est ce qui nous intéresse ici, empathique...Qu'on en tire les conclusions qu'on voudra.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Décidément dormir est un luxe. Il y faudrait trois pieds de sensemilla...
Alors dans mon lit je repensais à toutes les fois que des... gens, se sont cru fondés à s'essuyer les godasses sur ma gueule. Ça doit être la lumière qui les attire.
La dernière fois, à part aujourd'hui, mais ça c'est de la gnognotte, c'était mon crétin de demi-frère. Il est plein aux as et a je ne sais combien de bagnoles, un camping car deux motos et un bateau. Et l'arrogance de parvenu qui va avec...Ce qui n'empêche que quand nous nous voyiions, c'était quasiment toujours nous qui faisions le déplacement; bref. La dernière fois j'étais dans des dispositions différentes vu que je m'étais pris dans le désordre Arielle Adda, Siaud facchin, millêtre et quelques rendez-vous psys dans les dents. je ne vous fais pas un dessin. Or mes yeux se sont comme ouverts, ainsi que mes oreilles que j'ai fort grandes. je me suis aperçu que sous couvert de plaisanterie bon enfant, il n'arrêtait pas de nous juger , ma fille (testée zébrette de la meilleure eau) ma femme et moi, en lançant des trucs du genre: "Ah ah ! ils font comme ci, Ah ah, ils font comme ça !"... Bon, c'est mon frangin, c'est de l'humour que je me dis. Oui mais voilà que le lendemain à table, il me pose une question, à laquelle je réponds, et il me lance: " C'est bien des trucs pour ceux qui ont rien à foutre ça ! Avant de hurler furax: " Vous êtes manipulés ! Vous êtes manipulés !" Bon, je demande quand même par qui, mais l'incantation continue: " Vous êtes manipulés, gnagnagna". Il se lève de table en braillant comme un cochon.
J'ai réalisé depuis, à la fin d'une séance avec ma nouvelle psy, que je désire désormais- non, exige - du respect.
Pas un de ces nigauds qui me font la leçon et se croient en mesure de me faire la leçon n'auraient été foutus de supporter une heure ce que j'ai supporté pendant vingt ans. Pour ne pas dire cinquante !
Voilà les faits. J'en ai marre que des tas de n'importe qui viennent me saouler avec leurs "conseils" à la con et leurs crises de nerfs hystériques. Ces gens se font une obsession névrotique (se faisaient) de m'agonir de leurs opinions me concernant. Qu'ils les gardent, ça leur fera de la lecture pour l'hiver et à moi, des vacances !
Mais maintenant on serait bien inspiré de ne pas venir me baver sur les pompes, parce que je ne me laisserais - plus jamais - faire. Je dis des conneries, parfois, j'en fais sûrement, mais le premier plouc qui s'avise à me prodiguer sa science, je lui flanque un coup de pied sous la queue.
Bon, j'ai dû me rendre à l'évidence, mon frère est un (°|°) et il m'en veut vraiment beaucoup de ne pas lui ressembler. Cela dit ce n'est pas le seul.
Je me doute qu'après mon coup de gueule d'aujourd'hui, ça a dû grincer des dents dans les chaumières et les mp par la même occasion. Alors voilà : quiconque aurait dit du mal de moi dans mon dos est un menteur et de pauvres manipulés ceux qui l'aurait cru. je n'ai aucun signe ni aucune preuve que cela ait eu lieu, et d'ailleurs, je m'en fous. Mais je n'en retire pas pour autant ma phrase, par rapport aux tentations des grincheux ou des jaloux, ça pourrait s'avérer prophylactique.
Il me souvient que lorsque je suis arrivé ici, tremblant et incertain, il y avait un certain Lanza. Il manifestait par ses écrits une certaine rupture avec un entourage néfaste suite à sa prise de conscience et en ce temps là je trouvais ses positions tranchées exagérées. Les faits lui donnent raison. Le pourcentage de crétins qui nous entoure est tel qu'il vaut mieux être tout de suite sur la défensive, et rompre sans appel à la première alerte.
Lanza, merci !
En bon surdoué bisounours, en plus d'être aimant, ce qui est un devoir pour tout homme digne de ce nom, on n'insistera jamais assez sur ce point, j'étais en plus gentil. Grossière erreur ! Avec un Qi du double et demi (oui je sais je pousse, ça fait au bas mot 250... : ) de son interlocuteur, un type gentil est forcément aux yeux de ce dernier un niais inoffensif.
Ah oui ? Et bien c'est ce qu'on va voir !
Alors dans mon lit je repensais à toutes les fois que des... gens, se sont cru fondés à s'essuyer les godasses sur ma gueule. Ça doit être la lumière qui les attire.
La dernière fois, à part aujourd'hui, mais ça c'est de la gnognotte, c'était mon crétin de demi-frère. Il est plein aux as et a je ne sais combien de bagnoles, un camping car deux motos et un bateau. Et l'arrogance de parvenu qui va avec...Ce qui n'empêche que quand nous nous voyiions, c'était quasiment toujours nous qui faisions le déplacement; bref. La dernière fois j'étais dans des dispositions différentes vu que je m'étais pris dans le désordre Arielle Adda, Siaud facchin, millêtre et quelques rendez-vous psys dans les dents. je ne vous fais pas un dessin. Or mes yeux se sont comme ouverts, ainsi que mes oreilles que j'ai fort grandes. je me suis aperçu que sous couvert de plaisanterie bon enfant, il n'arrêtait pas de nous juger , ma fille (testée zébrette de la meilleure eau) ma femme et moi, en lançant des trucs du genre: "Ah ah ! ils font comme ci, Ah ah, ils font comme ça !"... Bon, c'est mon frangin, c'est de l'humour que je me dis. Oui mais voilà que le lendemain à table, il me pose une question, à laquelle je réponds, et il me lance: " C'est bien des trucs pour ceux qui ont rien à foutre ça ! Avant de hurler furax: " Vous êtes manipulés ! Vous êtes manipulés !" Bon, je demande quand même par qui, mais l'incantation continue: " Vous êtes manipulés, gnagnagna". Il se lève de table en braillant comme un cochon.
J'ai réalisé depuis, à la fin d'une séance avec ma nouvelle psy, que je désire désormais- non, exige - du respect.
Pas un de ces nigauds qui me font la leçon et se croient en mesure de me faire la leçon n'auraient été foutus de supporter une heure ce que j'ai supporté pendant vingt ans. Pour ne pas dire cinquante !
Voilà les faits. J'en ai marre que des tas de n'importe qui viennent me saouler avec leurs "conseils" à la con et leurs crises de nerfs hystériques. Ces gens se font une obsession névrotique (se faisaient) de m'agonir de leurs opinions me concernant. Qu'ils les gardent, ça leur fera de la lecture pour l'hiver et à moi, des vacances !
Mais maintenant on serait bien inspiré de ne pas venir me baver sur les pompes, parce que je ne me laisserais - plus jamais - faire. Je dis des conneries, parfois, j'en fais sûrement, mais le premier plouc qui s'avise à me prodiguer sa science, je lui flanque un coup de pied sous la queue.
Bon, j'ai dû me rendre à l'évidence, mon frère est un (°|°) et il m'en veut vraiment beaucoup de ne pas lui ressembler. Cela dit ce n'est pas le seul.
Je me doute qu'après mon coup de gueule d'aujourd'hui, ça a dû grincer des dents dans les chaumières et les mp par la même occasion. Alors voilà : quiconque aurait dit du mal de moi dans mon dos est un menteur et de pauvres manipulés ceux qui l'aurait cru. je n'ai aucun signe ni aucune preuve que cela ait eu lieu, et d'ailleurs, je m'en fous. Mais je n'en retire pas pour autant ma phrase, par rapport aux tentations des grincheux ou des jaloux, ça pourrait s'avérer prophylactique.
Il me souvient que lorsque je suis arrivé ici, tremblant et incertain, il y avait un certain Lanza. Il manifestait par ses écrits une certaine rupture avec un entourage néfaste suite à sa prise de conscience et en ce temps là je trouvais ses positions tranchées exagérées. Les faits lui donnent raison. Le pourcentage de crétins qui nous entoure est tel qu'il vaut mieux être tout de suite sur la défensive, et rompre sans appel à la première alerte.
Lanza, merci !
En bon surdoué bisounours, en plus d'être aimant, ce qui est un devoir pour tout homme digne de ce nom, on n'insistera jamais assez sur ce point, j'étais en plus gentil. Grossière erreur ! Avec un Qi du double et demi (oui je sais je pousse, ça fait au bas mot 250... : ) de son interlocuteur, un type gentil est forcément aux yeux de ce dernier un niais inoffensif.
Ah oui ? Et bien c'est ce qu'on va voir !
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Moui. Pardonnons plutôt...
Dernière édition par Fata Morgana le Ven 30 Mar 2012 - 14:02, édité 1 fois
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Si tu interroges sincèrement ta vie et le monde au sujet du bonheur, cette sirène toujours reconnue d'abord par son absence, avec persévérance, sois-en certain, il viendra assurément le moment où tu devras plier devant le mystère.
Mourir sans ça, c'est avoir vécu pour rien.
Quand au « bien-être », c'est le bonheur selon les marchands. Du toc pour exciter les gogos et faire reluire les adolescents prolongés.
Et finalement dans le consensus ramolli que nous impose une société toujours plus veule et malodorante, l'audace de prendre la parole, même si elle doit se heurter à la foule des pisse-froid et des radoteurs de la médiocrité nationale t'apportera sans aucun doute plus de satisfaction que de te fondre dans le moule étroit et difforme de la norme imposé par ses mornes séides. Je pense qu'un homme, quelque soit son genre, a le devoir un jour d'accoucher de la parole qu'il porte, fusse t-elle insupportable aux moutons mités d'un système fabriqué pour des demeurés par des brutes.
Texte censuré par l'auteur, qui était un peu sur les nerfs...
Qui a dit que les surdoués sont "trop tout "?
Mourir sans ça, c'est avoir vécu pour rien.
Quand au « bien-être », c'est le bonheur selon les marchands. Du toc pour exciter les gogos et faire reluire les adolescents prolongés.
Et finalement dans le consensus ramolli que nous impose une société toujours plus veule et malodorante, l'audace de prendre la parole, même si elle doit se heurter à la foule des pisse-froid et des radoteurs de la médiocrité nationale t'apportera sans aucun doute plus de satisfaction que de te fondre dans le moule étroit et difforme de la norme imposé par ses mornes séides. Je pense qu'un homme, quelque soit son genre, a le devoir un jour d'accoucher de la parole qu'il porte, fusse t-elle insupportable aux moutons mités d'un système fabriqué pour des demeurés par des brutes.
Texte censuré par l'auteur, qui était un peu sur les nerfs...
Qui a dit que les surdoués sont "trop tout "?
Dernière édition par Fata Morgana le Ven 30 Mar 2012 - 14:03, édité 1 fois
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Baghee- Messages : 174
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Sans commentaires ça reste abstrait.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Cela n'appelait pas de commentaire...
Relisant tout le fil depuis le 27, découvrant ton histoire, poussant intérieurement ce cri de capitulation, espérant le feu qui me fera vomir l'amertume, l'amour qui anéantira la peur...
Et puis tes derniers messages... J'avais cette image et cette pensée: Pierre tu es Pierre !!
Comme j'avais la flemme de chercher, pour simplifier j'ai donné une référence de ce qui m'habitait.
Relisant tout le fil depuis le 27, découvrant ton histoire, poussant intérieurement ce cri de capitulation, espérant le feu qui me fera vomir l'amertume, l'amour qui anéantira la peur...
Et puis tes derniers messages... J'avais cette image et cette pensée: Pierre tu es Pierre !!
Comme j'avais la flemme de chercher, pour simplifier j'ai donné une référence de ce qui m'habitait.
Baghee- Messages : 174
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Tu as bien fait.
je pousse parfois de grands coups de gueule, c'est vrai, mais heureusement pour moi, j'ignore la rancune et pratique le pardon.
Mais il arrive que la cocotte-minute s'emballe. On m'a bercé un peu trop près du mur je pense et finalement, c'est déjà en soi un miracle que je sois arrivé jusque là.
Cela dit je ne dis pas qu'il ne reste pas de la route, mais c'est vrai aussi je suis parti de très loin.
Merci pour ta confiance.
J'ai donné mon témoignage page 24, ça pourrait t'intéresser, toi singulièrement.
je pousse parfois de grands coups de gueule, c'est vrai, mais heureusement pour moi, j'ignore la rancune et pratique le pardon.
Mais il arrive que la cocotte-minute s'emballe. On m'a bercé un peu trop près du mur je pense et finalement, c'est déjà en soi un miracle que je sois arrivé jusque là.
Cela dit je ne dis pas qu'il ne reste pas de la route, mais c'est vrai aussi je suis parti de très loin.
Merci pour ta confiance.
J'ai donné mon témoignage page 24, ça pourrait t'intéresser, toi singulièrement.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Tous ces échos !
C'est sans doute cela l'arborescence, quand les paroles suscitent tans de paroles satellites , quand chacune invoque toutes les autres, ouvrant un réseau de relations et de parallélismes, lançant un rayon plus évasé dans la cache au trésor de notre esprit...
Hier je suis allé dans la rue, et j'étais là aux aguets, avec le sentiment d'une étrangeté profonde, avec l'impression d'être un être dense et presque menaçant, pire qu'un étranger, à une distance incroyable, et percevant les choses comme au travers d'un hublot. Ma solitude me collait à la peau, tout le brouhaha alentour ne me parvenant que comme une musique d'ambiance. Je baissais les yeux vers le sol, mais mes perceptions étaient survoltées. Toujours quand je sors m'accompagne cette impression de comparaître...J'ai dis à ma femme: parce que j'analyse tout, traduit tout, retranscrit tout, pense tout rien ne me parvient sans que ma réflexion ne l'ait "oxydé", je suis incapable de connaître le premier degré, le contact direct, d'être là tout entier, d'être présent vraiment, incapable d'être spontané. Je ne sais pas être là. Je porte en moi un abîme depuis le fond duquel j'observe plus que je ne vois les éléments du monde qui m'entourent.
Le loueur de vidéo m'a regardé dans les yeux, c'était horrible. Je l'ai regardé et c'est tout comme si j'avais lu tout son contenu psychique de l'instant de ce seul regard.
Je ne regarde jamais ou presque les gens en face, j'aurais l'impression de les violer.
C'est sans doute cela l'arborescence, quand les paroles suscitent tans de paroles satellites , quand chacune invoque toutes les autres, ouvrant un réseau de relations et de parallélismes, lançant un rayon plus évasé dans la cache au trésor de notre esprit...
Hier je suis allé dans la rue, et j'étais là aux aguets, avec le sentiment d'une étrangeté profonde, avec l'impression d'être un être dense et presque menaçant, pire qu'un étranger, à une distance incroyable, et percevant les choses comme au travers d'un hublot. Ma solitude me collait à la peau, tout le brouhaha alentour ne me parvenant que comme une musique d'ambiance. Je baissais les yeux vers le sol, mais mes perceptions étaient survoltées. Toujours quand je sors m'accompagne cette impression de comparaître...J'ai dis à ma femme: parce que j'analyse tout, traduit tout, retranscrit tout, pense tout rien ne me parvient sans que ma réflexion ne l'ait "oxydé", je suis incapable de connaître le premier degré, le contact direct, d'être là tout entier, d'être présent vraiment, incapable d'être spontané. Je ne sais pas être là. Je porte en moi un abîme depuis le fond duquel j'observe plus que je ne vois les éléments du monde qui m'entourent.
Le loueur de vidéo m'a regardé dans les yeux, c'était horrible. Je l'ai regardé et c'est tout comme si j'avais lu tout son contenu psychique de l'instant de ce seul regard.
Je ne regarde jamais ou presque les gens en face, j'aurais l'impression de les violer.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Quand je sais que des connaissances même amicale doivent passer chez moi le soir, dès le matin, je ne sais plus quoi faire. Je me sens piégé. Je me sens mal. Je cherche ce que devra être mon attitude, mais je ne comprends pas le mot "être naturel". Je m'imagine hébété et les bras ballants, incapables de réagir, rougissant. j'imagine leurs regards sur mon antre et tout ce qu'ils pourraient déduire de moi en observant mes affaires, et je ne le supporte pas. Je cherche des idées de coups de téléphone à passer pour annuler le rendez-vous, ou pour m'en aller. De toute la journée je ne peux rien commencer, j'ai la pression, j'ai l'impression que je vais devoir comparaître. Je suis nerveux et agressif. Irritable, instable.
Je VEUX être seul !
Pourtant les gens sont enchantés, ils m'adorent ! Ils ne perçoivent absolument rien de ce qu'il m'en a coûté. Il suffit que je parle pour que tous les soupçons soient levés; et on se quitte tard, car ils sont bien.
Et ce cauchemar de l'attente recommencera la prochaine fois...
Je VEUX être seul !
Pourtant les gens sont enchantés, ils m'adorent ! Ils ne perçoivent absolument rien de ce qu'il m'en a coûté. Il suffit que je parle pour que tous les soupçons soient levés; et on se quitte tard, car ils sont bien.
Et ce cauchemar de l'attente recommencera la prochaine fois...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Pourquoi ne pas en faire une pièce de théâtre ?... Prévoir un scénario qui, bien que "faux", te permettrait de contrôler un peu mieux ce qui va se passer ? En tout cas, la projection anticipée de ce qui va se passer ?...
Saphodane- Messages : 3002
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Malheureusement l'anticipation est anxieuse. Il n'y a qu'une fois où en parlant je me montre tel que je suis que je me sens bien. Mais pour le reste, les conventions, les attitudes "normales", impossible de m'y faire...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Pourquoi tant de tensions hors de la solitude ?
N'y a t il pas tension même dans une supposée solitude ?
Il y a toujours une incroyable contradiction entre la sagesse que tu sembles contenir, et l'impossibilité d'en faire part ouvertement, sans angoisses et de manière ouverte.
J'ai longtemps essayé de penser Dieu en ta compagnie et toujours je me suis senti refoulé, parce que je ne rentrais pas dans ta structure symbolique, sémantique, parce que ma foi prenait une autre forme. Sommes nous de ce fait dans l'impossibilité de penser et de parler de cette essence qui dépasse les mots ? trouver des mots hors de nos systêmes et dont la neutralité apaiserait nos pseudo défenses ?
Peut être qu'en se formalisant un peu moins on peut détendre sa structure, gagner en flexibilité et accorder nos violons. Pour ce qui s'agit d'être ou non là; sur un forum la parole est toujours désincarnée, elle n'est qu'un fragment d'être, les interprétations sont plus arbitraires, et le temps de leur analyse tronque la fluidité et la simplicité du message pour ce qu'il est..
bise.
N'y a t il pas tension même dans une supposée solitude ?
Il y a toujours une incroyable contradiction entre la sagesse que tu sembles contenir, et l'impossibilité d'en faire part ouvertement, sans angoisses et de manière ouverte.
J'ai longtemps essayé de penser Dieu en ta compagnie et toujours je me suis senti refoulé, parce que je ne rentrais pas dans ta structure symbolique, sémantique, parce que ma foi prenait une autre forme. Sommes nous de ce fait dans l'impossibilité de penser et de parler de cette essence qui dépasse les mots ? trouver des mots hors de nos systêmes et dont la neutralité apaiserait nos pseudo défenses ?
Peut être qu'en se formalisant un peu moins on peut détendre sa structure, gagner en flexibilité et accorder nos violons. Pour ce qui s'agit d'être ou non là; sur un forum la parole est toujours désincarnée, elle n'est qu'un fragment d'être, les interprétations sont plus arbitraires, et le temps de leur analyse tronque la fluidité et la simplicité du message pour ce qu'il est..
bise.
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Sans doute, mais quand je l'ai fais de manière ouverte, je me suis fait voler dans les plumes...et l'impossibilité d'en faire part ouvertement, sans angoisses et de manière ouverte.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:Martin, soit je réponds phrase pour phrase, (et dieu sait que j'aurais des choses à dire ! On en ferait un catéchisme de base...) et ça relancera le "débat" jusqu'à la saint glinglin, soit je ne réponds pas. Je choisis cette seconde option. Pour tout dire je ne pense pas qu'on arrivera à quoi que ce soit.
"Les voies du seigneur sont impénétrables", comme je te l'ai déjà dis, n'est qu'un adage populaire fataliste qui ne vient pas des Écritures.T'excite donc pas ! Dans la mesure où IL nous l'a dit lui-même je ne vois pas où est le problème !L'orgueil de l'homme dans sa magnificence, dans sa plus sublime expression. Prétendre savoir, lui la créature, ce que son créateur a prévu pour être rejoint.
j'ai l'impression que les gens te reprochent certaines de tes positions, assez rigides notament celles concernant le rapport à la bible qui agit comme un filtre, celle ci faisant foi (et par conséquent fermant la porte aux non chrétiens qui auraient eux aussi une foi, paradoxal non ?) ou la distinction entre un et l'unique (par exemple, la bible serait une voie, mais pas la seule, elle serait la voix de sages mais pas de dieu etc.. ce sont des choses qui méritent d'être discutées non pas dans un but agressif, car ça ne remet aucune foi en question, mais le support de celle ci et donc accepter l'ouverture aux autres fois provenant d'autres outils e sagesse..)
les mots, les termes sont souvent, voire toujours sources d'incompréhensions, mais zut, je n'aime pas me dire que le silence et le brouaha sont les deux seules alternatives...ça m'attriste.
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Les choses sont beaucoup plus compliquées que cela.
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
je sais. mais apprécier les choses en fragments permet d'en relativiser l'importance, les noeuds ou les cuisances.
et puis soutenir la complexité pour le mur qu'elle semble être a ses limites non ?
et puis soutenir la complexité pour le mur qu'elle semble être a ses limites non ?
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/04/03/un-tunisien-handicape-a-80-apres-une-agression-en-prison-menace-d-expulsion_1679933_3224.html#xtor=RSS-3208
Suivez mon regard...
Suivez mon regard...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Double nuit avec tout son acide.
J'ai mes marques de crocs et je ne dois pas mordre.
Je m'extirpe du monde jour à jour et avec délectation.
La fin comme un essor.
Une longue prise d'élan.
Laisser si peu, les cendres d'une ombre à peine.
Une voix est venue et elle portait mon nom.
Une voix à ne pas pouvoir se taire.
Puis il y a les postillons des teignes.
Seules à ronger leur vide.
Sans voix, sans voie.
la bâle du monde.
J'ai mes marques de crocs et je ne dois pas mordre.
Je m'extirpe du monde jour à jour et avec délectation.
La fin comme un essor.
Une longue prise d'élan.
Laisser si peu, les cendres d'une ombre à peine.
Une voix est venue et elle portait mon nom.
Une voix à ne pas pouvoir se taire.
Puis il y a les postillons des teignes.
Seules à ronger leur vide.
Sans voix, sans voie.
la bâle du monde.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
La seule chose finalement que j'attends de la vie, c'est l'extase.
Je cherche une oasis, errant en des lieux arides. Un fluide qui ranimerait mon cœur. J'attends. J'attends comme au chevet du monde, un signe de vie.
Quand la vie va t-elle enfin commencer ? Depuis toujours j'ai ce sentiment d'être en de-ça de ma vie.
Je veux attraper le pompom. Quelque chose qui me mobilise et m'entraîne.
Enfant, j'attendais: ça commence quand ?
Enfant j'attendais le partage, mais je devais aller dans les intérêts des autres. Enfant déjà oui j'étais seul.
Je vis peut-être à l'interface de deux mondes. Je ne suis pas tout à fait né.
La brutalité du monde, enfant, m'a terrifié. je me sentais déporté dans un champ de bataille.
Je découvrais un monde sans amour. C'est à dire un monde en réalité où la vie est impossible.
Je découvrais qu'à mes émerveillements répondaient des aboiements.
Qu'à mes intérêts répondait l'indifférence.
Je suis assis sur le bord de la piste en attendant qu'on vienne m'inviter à la danse.
A ma manière j'attends le prince charmant !
Mais rien ne dit que ce prince ne soit qu'une personne.
Enfant je voulais voyager dans le cosmos, découvrir des mondes où la vie est possible.
J'avais lu un livre de science fiction qui s'intitulait "Brang"
Des égarés du cosmos découvraient une planète paradisiaque, et c'est là que je voulais vivre.
Et aujourd'hui encore je cherche mon monde.
Je rêvais de vivre nu parmi les animaux. D'être leur ami. Comme un enfant sauvage.
Quelque chose chez l'homme me parait torde, vicié, dangereux.
Avez-vous déjà vu comment se consume du papier d'Arménie ?
Ces petits traits de feu qui gagnent du terrain et grignotent la feuille lentement.
Ainsi peu à peu un certain amour grignote mon cœur
comme si je voulais partir en fumée, m'échapper comme une fumée.
Sans doute retrouve t-on un équivalent humain des trois états de l'eau;
liquide solide gazeux.
Les liquides collent trop au monde, à la terre,
les solides résistent à toutes les avances amicales,
les gazeux sont trop abstraits, évaporés.
Alors il faut chercher du coté d'un état plasmatique.
Oui cela ressemble à un pur délire.
Mais où sont ces personnes avec lesquelles nous pourrions transvaser notre vie intérieure, de qui nous recevrions la leur ?
Où sont les personnes avec lesquelles vivre quelque chose de communiel ?
Comment activer la bonne polarité ?
Je ne sais pas pourquoi je me sens toujours à la marge.
Comme si tout me lassait, comme si j'en avais trop vu ?
Quelqu'un à prendre par la main pour lui faire visiter mon univers ?
Où les sources ont la fraicheur de la menthe et où l'aurore parait clairement une promesse ?
Je cherche l'harmonie - la vraie.
Ce qui n'est plus, ce qui se dérobe...
Suis-je derrière un voile impondérable, invisible, mais qui m'isole
de l'être et de la vie ?
Quand j'étais jeune, il fallait absolument savoir démonter et remonter une mobylette...C'était la condition pour avoir des copains normaux. Et moi j'étais là à penser et à écouter des disques et à chercher un autre monde. A écrire des poésies, à dessiner. A devenir le créateur d'un monde où la vie soit possible. Je pensais: comment est-on heureux ? Comment font-ils, eux pour ne pas souffrir de tout cela, de cet avenir qu'on compromet pour eux ? Où est la sagesse ? Où sont les mystères ? Où est l'endroit de la vie quand je suis coincé dans cet envers ? Pourquoi veut-on m'adapter de force à un monde qui est raté ? Qui est moche, qui est condamné ? Où est ma place ? Pourquoi dois-je faire semblant pour avoir des "amis ?" Pourquoi suis-je le seul à percevoir qu'on ne peut pas continuer comme ça ? Que la pente de l'histoire mène au gouffre ? Que la pente de l'industrie mène à la peste et au poison ? Que la pente de cette vie mène au désespoir ?
Pourquoi me garder 8 heures par jour dans une classe (rien que le nom, être "classé") à écouter des propagandistes sourcilleux, à étouffer loin des fleurs et des prés, pour me (dé) former de manière à ce que calibré enfin je prenne ma place dans les rouages de cette machinerie industrio-sociale ? Je suffoquais. J'avais à faire. Je voulais comprendre et contempler les beaux mystères du monde et de la vie. Pas aligner des opérations. Je ne comprenais pas les consignes, ni elles-mêmes, ni les raisons pour lesquelles ces consignes allaient toujours dans le même sens: disparaître pour produire. Être object- tif, sans être. De quoi vraiment se glorifient-ils quand on voit les ravages de leurs pensées et de leur logique dans un monde souillé et enlaidi par la convoitise ? Ils ont même mis des moteurs dans le ciel ! C'est à cela que vous voulez m'intégrer ? Non !
Mon âme en moi était blues. Je portais un cri, un déchirement. Et soudain il eut fallu qu'au son de la cloche je devienne automatiquement un parfait petit soldat écervelé d'un monde en ruines, "pour mon avenir ?" Je n'ai pas pu. J'ai choisi d'être moi-même. Le péril de continuer dans la logique même de mon être.
A douze ou treize ans j'avais déjà dû affronter le MONSTRE: seul face à la gueule béante de l'absurde dont Sartre a osé faire une leçon universitaire ! Ce monstre de cruauté glacée qui dissout toutes vos moelles quand il ouvre sa gueule devant vous en ruinant tout espoir. A douze ans, j'étais seul face à l'horreur métaphysique. Cette mort vécue vif...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Nous sommes égaux en droits. La personne est inaliénable, tout autant que l'est sa liberté. Cet espacé est sacré.
Cependant les positions émises par les uns et les autres ne sont pas égales, ni en valeur, ni en portée.
Il y a là un espace de débat. J'affirme une position. Ce n'est pas une agression, c'est une position. Cette position se défend et je la défends, ce n'est ni une agression ni un déni. Je suis dans un espace de communication dans lequel je ME dis et dans lequel je PEUX affirmer. Je ne suis pas dans un espace laïc, neutre, dans lequel ne règne comme type de relation que les relations purement administratives. Je pose une affirmation. Il en est conclu que je nie toutes les autres positions, et que donc prendre position est forcément un geste de rejet. Je ne rejette personne, mais je pose une affirmation. On me le reproche. Je manquerais d'ouverture. Il faudrait ne rien poser. Être indifféremment accueillant à tout sans distinction pour être considéré comme "ouvert". Il faudrait pour cela que je n'ai pas d'avis, ni ne défende cette position. Que je ne dise rien. Que je me taise. Que ma singularité disparaisse au profit d'un "amen" dit à tout. Dire, c'est discriminer. Discriminer est compris comme intolérance. Rien de ce que je dis dès lors n'est autre chose que de l'intolérance vis à vis d'un avis différent. Cependant ma position elle aussi est niée. C'est aussi une intolérance.
Il ne reste plus qu'à parler de la pluie et du beau temps. Ne pas être. Rester évasif, et en même temps, le plus "lisse" le plus indifférent possible pour ne pas poser, c'est à dire discriminer.
Dans ces conditions il n'y a plus de dialogue qu'entre des personnes qui n'ont rien à se dire.
C'est totalement inhibiteur et totalement absurde. C'est là un système de censure pervers.
Toutes les choses ne sont pas une même chose. L'avis d'un oriental sur la vie N'EST PAS L'AVIS d'un occidental. Tout ne se vaut pas. Tout ne part ni n'arrive de et au même endroit. Une comparaison est possible, une discrimination et un choix.
Et on en arrive à me dire que dire, c'est mé-dire.
Parce que j'affirme, je serai rejetant, et étant rejeté, il est normal que l'on me rejette.
Encore une de ces bonne action de rejet "au nom du bien"; au nom de l'ouverture, porte close !
Cependant les positions émises par les uns et les autres ne sont pas égales, ni en valeur, ni en portée.
Il y a là un espace de débat. J'affirme une position. Ce n'est pas une agression, c'est une position. Cette position se défend et je la défends, ce n'est ni une agression ni un déni. Je suis dans un espace de communication dans lequel je ME dis et dans lequel je PEUX affirmer. Je ne suis pas dans un espace laïc, neutre, dans lequel ne règne comme type de relation que les relations purement administratives. Je pose une affirmation. Il en est conclu que je nie toutes les autres positions, et que donc prendre position est forcément un geste de rejet. Je ne rejette personne, mais je pose une affirmation. On me le reproche. Je manquerais d'ouverture. Il faudrait ne rien poser. Être indifféremment accueillant à tout sans distinction pour être considéré comme "ouvert". Il faudrait pour cela que je n'ai pas d'avis, ni ne défende cette position. Que je ne dise rien. Que je me taise. Que ma singularité disparaisse au profit d'un "amen" dit à tout. Dire, c'est discriminer. Discriminer est compris comme intolérance. Rien de ce que je dis dès lors n'est autre chose que de l'intolérance vis à vis d'un avis différent. Cependant ma position elle aussi est niée. C'est aussi une intolérance.
Il ne reste plus qu'à parler de la pluie et du beau temps. Ne pas être. Rester évasif, et en même temps, le plus "lisse" le plus indifférent possible pour ne pas poser, c'est à dire discriminer.
Dans ces conditions il n'y a plus de dialogue qu'entre des personnes qui n'ont rien à se dire.
C'est totalement inhibiteur et totalement absurde. C'est là un système de censure pervers.
Toutes les choses ne sont pas une même chose. L'avis d'un oriental sur la vie N'EST PAS L'AVIS d'un occidental. Tout ne se vaut pas. Tout ne part ni n'arrive de et au même endroit. Une comparaison est possible, une discrimination et un choix.
Et on en arrive à me dire que dire, c'est mé-dire.
Parce que j'affirme, je serai rejetant, et étant rejeté, il est normal que l'on me rejette.
Encore une de ces bonne action de rejet "au nom du bien"; au nom de l'ouverture, porte close !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
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Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Ça devient impressionnant ...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
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Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Juste pour se faire du bien:
Baghee- Messages : 174
Date d'inscription : 22/02/2012
Age : 52
Localisation : Savoie
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Purée !
C'est juste énorme ! Quel flair...Merci pour la référence !
C'est juste énorme ! Quel flair...Merci pour la référence !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
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Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Alors on choisit d'interpréter mes remarques comme si elles étaient dues à des blessures d'enfance.
Où ai-je fais la moindre référence à ceci, et quel rapport avec le fait de défendre un point de vue et contester le droit que l'on se donne de me rejeter (et plutôt ce que je dis que ce que je suis) en m'accusant de rejet ? C'est commode, quoi qu'un peu lourdingue quand même...
Oui, mais tout cela n'est qu'un tissu de spéculations grâce auxquelles on cherche à se donner le beau rôle, et au passage, avec un peu de cette hypocrisie somme toute conventionnelle qui consiste une fois de plus à laisser entendre que je m'exprime comme malade - puisque influencé par des blessures passées... J'apprécie l'élégance de la méthode. Je suis assez habitué à ce genre de soupçons, puisqu'ils me furent accolés dès l'enfance pour justifier une exclusion systématique de ma famille et du foyer.
Méfiez-vous de ce que vous dites, tout pourra être retenu contre vous les amis !
Position est négation. Cette espèce d'évidence est difficile à contredire. Bien malin qui voudrait en faire l'économie sans en arriver purement et simplement au choix d'un mutisme total... j'ai déjà, en vain, pris la peine ailleurs d'expliquer en quoi je n'avais pas de raison de mettre n'importe quelle eau dans mon nectar pour complaire à la pensée unique, qui veut en somme que tout ce qui n'est pas fade inepte mais poli et impersonnel est considéré comme insupportable.
J'ai des convictions, mais à quoi serviraient-elles si je ne savais pas les partager et les défendre ? Et j'observe qu'à défaut de contredire les idées - je sais que ce n'est pas facile, même pour des surdoués - on préfère jeter de manière subreptice l'anathème sur leur auteur. Aveu d'impuissance et refus manifeste de la différence que l'on prétend défendre par ailleurs. Inquiétante méthode. En quoi ma pensée est-elle fausse ? C'est là moi que j'attends des arguments, et en quoi de fait celles qui en diffèrent sont-elles justes ? N'y a t-il pas là un vaste champ d'échanges possibles ?
Je m'identifie à ce que je vis. Mon expérience est à la fois spirituelle, intellectuelle, morale et sensorielle. Pourquoi dès lors devrais-je la nier sous prétexte que ça agace ? De plus, puisqu'il n'est pas en mon pouvoir d'imposer cette expérience dont je ne suis pas la source, de quoi a t-on donc peur ? Je le dis sans circonlocutions : je préfère m'occuper à un psychodrame que de procrastiner.
Jusque là, je me considère comme l'offensé, et ce ne sont pas les échos qui me parviennent qui vont faire évoluer mon point de vue !
Donc méfiez-vous, tous, de moi !
Le qu'en dira t-on en effet l'affirme sans le moindre doute que je suis intolérant, fermé aux autres, prosélyte, entêté, victime de mon passé, et par conséquent en aucun cas crédible. Forts de ces renseignements, vous seriez, à en croire les subtiles allusions dont je suis l'objet, bien inspirés de me battre froid. Ça donnera à tel ou tel la satisfaction de croire qu'il a eu raison de mes affirmations, à bon compte, mais parfois l'animosité instinctive se contente de peu.
Tout cela ce n'est qu'enfantillages puérils. Je préfère m'intéresser à autre chose, je m'ennuie déjà.
Où ai-je fais la moindre référence à ceci, et quel rapport avec le fait de défendre un point de vue et contester le droit que l'on se donne de me rejeter (et plutôt ce que je dis que ce que je suis) en m'accusant de rejet ? C'est commode, quoi qu'un peu lourdingue quand même...
Oui, mais tout cela n'est qu'un tissu de spéculations grâce auxquelles on cherche à se donner le beau rôle, et au passage, avec un peu de cette hypocrisie somme toute conventionnelle qui consiste une fois de plus à laisser entendre que je m'exprime comme malade - puisque influencé par des blessures passées... J'apprécie l'élégance de la méthode. Je suis assez habitué à ce genre de soupçons, puisqu'ils me furent accolés dès l'enfance pour justifier une exclusion systématique de ma famille et du foyer.
Méfiez-vous de ce que vous dites, tout pourra être retenu contre vous les amis !
Position est négation. Cette espèce d'évidence est difficile à contredire. Bien malin qui voudrait en faire l'économie sans en arriver purement et simplement au choix d'un mutisme total... j'ai déjà, en vain, pris la peine ailleurs d'expliquer en quoi je n'avais pas de raison de mettre n'importe quelle eau dans mon nectar pour complaire à la pensée unique, qui veut en somme que tout ce qui n'est pas fade inepte mais poli et impersonnel est considéré comme insupportable.
J'ai des convictions, mais à quoi serviraient-elles si je ne savais pas les partager et les défendre ? Et j'observe qu'à défaut de contredire les idées - je sais que ce n'est pas facile, même pour des surdoués - on préfère jeter de manière subreptice l'anathème sur leur auteur. Aveu d'impuissance et refus manifeste de la différence que l'on prétend défendre par ailleurs. Inquiétante méthode. En quoi ma pensée est-elle fausse ? C'est là moi que j'attends des arguments, et en quoi de fait celles qui en diffèrent sont-elles justes ? N'y a t-il pas là un vaste champ d'échanges possibles ?
Je m'identifie à ce que je vis. Mon expérience est à la fois spirituelle, intellectuelle, morale et sensorielle. Pourquoi dès lors devrais-je la nier sous prétexte que ça agace ? De plus, puisqu'il n'est pas en mon pouvoir d'imposer cette expérience dont je ne suis pas la source, de quoi a t-on donc peur ? Je le dis sans circonlocutions : je préfère m'occuper à un psychodrame que de procrastiner.
Jusque là, je me considère comme l'offensé, et ce ne sont pas les échos qui me parviennent qui vont faire évoluer mon point de vue !
Donc méfiez-vous, tous, de moi !
Le qu'en dira t-on en effet l'affirme sans le moindre doute que je suis intolérant, fermé aux autres, prosélyte, entêté, victime de mon passé, et par conséquent en aucun cas crédible. Forts de ces renseignements, vous seriez, à en croire les subtiles allusions dont je suis l'objet, bien inspirés de me battre froid. Ça donnera à tel ou tel la satisfaction de croire qu'il a eu raison de mes affirmations, à bon compte, mais parfois l'animosité instinctive se contente de peu.
Tout cela ce n'est qu'enfantillages puérils. Je préfère m'intéresser à autre chose, je m'ennuie déjà.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Allons allons, pas de quoi fouetter un chat, ou pire, être frappé d'horreur ! je n'ai annoncé que je sache aucun génocide, ni aucune prise de pouvoir cléricale sur les institutions du pays, ni condamné qui que ce soit à la question devant je ne sais quel tribunal de l'inquisition !
Qu'ai-je dis ? On peut le relire en amont. Je ne l'ai pas effacé. C'est là. C'est OUVERT. Précisément tout a consisté à dire, et s'est borné à cela. Je n'ai pointé personne du doigt, je veux dire à la base. Je n'ai pas revêtu la robe du procureur. Mais j'ai affirmé que toutes les expériences ne se comparent pas et que j'ai des raisons fondées d'assurer de la véracité de propos tenus par de très grands personnages avant moi.
je sais, après trente ans d'expérience que la vérité pique les yeux ! Je sais que le sujet est brûlant. Je sais que les dénégations sont séculaires, qu'elles sont passée par la persécution ici et la récupération par là. Les moqueries, les négations et les persiflages. C'était au programme, il n'est que de lire pour s'apercevoir que les résistances instinctives accompagnent toujours l'affirmation de la foi. Que c'est même là un signe de la fidélité qu'on lui apporte !
Du coup, depuis mes premiers pas sur le net fin eighties, suite à un propos que j'avais tenu sur le contenu de ma foi, un bloggeur assez suivi avait mis mon pseudo accompagné du compliment suivant:
"Petit anus de bénitier". Cet intitulé est resté fort longtemps, cela se compte en années. Ce genre de blagues s'est renouvelé ailleurs. Voilà de quoi rendre sourcilleux. Je le suis. Pour autant je ne suis pas prêt à taire ce que je vis pour faire plaisir.
Violence ou ruse, tous les moyens sont bons.
Qu'ai-je dis ? On peut le relire en amont. Je ne l'ai pas effacé. C'est là. C'est OUVERT. Précisément tout a consisté à dire, et s'est borné à cela. Je n'ai pointé personne du doigt, je veux dire à la base. Je n'ai pas revêtu la robe du procureur. Mais j'ai affirmé que toutes les expériences ne se comparent pas et que j'ai des raisons fondées d'assurer de la véracité de propos tenus par de très grands personnages avant moi.
je sais, après trente ans d'expérience que la vérité pique les yeux ! Je sais que le sujet est brûlant. Je sais que les dénégations sont séculaires, qu'elles sont passée par la persécution ici et la récupération par là. Les moqueries, les négations et les persiflages. C'était au programme, il n'est que de lire pour s'apercevoir que les résistances instinctives accompagnent toujours l'affirmation de la foi. Que c'est même là un signe de la fidélité qu'on lui apporte !
Du coup, depuis mes premiers pas sur le net fin eighties, suite à un propos que j'avais tenu sur le contenu de ma foi, un bloggeur assez suivi avait mis mon pseudo accompagné du compliment suivant:
"Petit anus de bénitier". Cet intitulé est resté fort longtemps, cela se compte en années. Ce genre de blagues s'est renouvelé ailleurs. Voilà de quoi rendre sourcilleux. Je le suis. Pour autant je ne suis pas prêt à taire ce que je vis pour faire plaisir.
Violence ou ruse, tous les moyens sont bons.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Je ne peux, pour ma part, que conseiller la lecture d'un livre de Raoul Vanegeim qui s'intitule "Rien n'est sacré, tout peut se dire".
Il est le chef de fil des situationnistes. Comme quoi j'ai les idées larges pour quelqu'un qui a les idées courtes !
Il est le chef de fil des situationnistes. Comme quoi j'ai les idées larges pour quelqu'un qui a les idées courtes !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Fata Morgana a écrit:J'ai des convictions, mais à quoi serviraient-elles si je ne savais pas les partager et les défendre ?
Tiens, oui, ça me rappelle quelque chose que j'ai dit ailleurs. Les convictions ne servent à rien si on ne les défend pas.Donc méfiez-vous, tous, de moi !
Et puis quoi, encore ?
Invité- Invité
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
C'était manière de dire...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Moi tu me fais penser à mon père, par beaucoup d'aspects, en fait. Et ça éveille des impressions bizarres. Faudrait vraiment qu'on papote un jour en vrai.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
lol !
Je te plains !!!
Je te plains !!!
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Tu crois pas si bien dire... Et j'suis très sérieuse.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
J'ai une fille qui a 4/5 ans de moins que toi, et elle n'échangerait pas un baril de son père contre 20 d'un autre. Outre la complicité entre zèbres, qu'est-ce qu'on peut se marrer !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: NO FLOOD l'antre à fata (un beau merdier entre nous soit dit...)
Heu, juste pour préciser, il n'était nullement question de remplacer mon père par quelqu'un d'autre, hein ! oO (ça va pas la tête ?!)
Je dis simplement que j'ai l'impression que vos histoires sont très semblables dans leur horreur. C'tout.
Je dis simplement que j'ai l'impression que vos histoires sont très semblables dans leur horreur. C'tout.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
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