Une Zèbre qui s'ignorait! =D

Looool

Personne ne sait que tu n'as ni travaillé ni révisé. Donc ... keep cool

Ha! Ouii d'accord. Je pensais à la "science infuse" en fait.

C'est plus comme avant. Avant, j'allais plus ou moins en cours, j'avais des restes. Avant, c'était de la culture G. Avant, j'avais l'illusion d'être encore un peu dedans.

Mais oui, tu as raison. Je vais lire deux ou trois bricoles.

Je reste zen. Je l'ai déjà raté avant d'écrire une ligne. Je n'ai pas rendu le fameux devoir. Donc, je le prends plus comme une "prise de température" avant le grand final des rattrapages.

Peu m'importe. Je compte prendre une pause dans les études.

voilà. Un banc test. Y aller à reculons ne sert à rien, plus à se meurtrir qu'autre chose.

Quand l'envie reviendra, il sera temps de faire. Il n'est pas question de trop tôt ou trop tard, il est sans doute plus important d'être en adéquation avec ce que tu veux être ... que de te plier à ce que tu te sens en incontournable obligation de faire

L'incontournable obligation : exceller
ou...



foirer ma vie. Pas de nuance de gris. Quoique je fasse, je me sens coincée, prise au piège.

L'envie est là, mes livres qui prennent la poussière, c'est mortifère. L'inhibition intellectuelle ou comment la machine se retourne contre elle-même. C'est laid.

Mais j'y crois, en un avenir radieux. J'ai trouvé une des racines de mon perfectionnisme tyrannique qui m'empêche de vivre. Je le tiens, j'espère, par le bon bout. L'assouplir, faire qu'il me desserve.

Attention de ne pas faire comme Icare en essayant de trop t'approcher du soleil ...

La vérité en serait la blessure la plus proche.

Quelle vérité ? Celle qu'il faut parfois se plier au système et parfois non ? Que notre liberté a un prix ? Qu'être déçu de ne pas trouver sa voie à l'instant ne préjuge en rien que l'on ne la trouvera pas par après ?

Wah. Si on m'avait dit ça plus tôt, je les aurais fait mes devoirs, et avec plaisir =)

Ben, je suis encore dans le système. Et je pense avoir trouvé ma voie.

Il y a juste un truc en moi qui m'empêche d'avant, qui me met des bâtons dans les roues. D'où les gémissements. Mais, j'ai évité le pire. La guerre de Corée.

*d'avancer

Beau lapsus, je me régale. Je suis en plein dedans justement, le passé.

Ou la guerre de tranchées ...

Spoiler:

Haa j'y avais pas pensé. Ca y ressemblerait... Avec le no man's land au milieu...

Spoiler:

Bon ... alors ... deux possibilités majoritairement :

• Ou se frayer un passage à la mitrailleuse et au char d'assaut,
  
• Ou signer un armistice.

Quelle est la solution qui te parait être la moins couteuse en énergie ?

J'ai fait ça, la première. Où ça m'a mené!

C'est drôle ça, surtout que je le sais que c'est ce que je dois faire. Mais je l'avais pas vu sous cet angle. Celui d'une enfant intérieur qui se débat, qui survit comme elle peut, défiante.

La première étape d'une addiction est de reconnaître qu'on est impuissant face à elle. Rendre les armes, et capituler.

Qui a parlé de capituler ? J'ai mis armistice (Convention signée par plusieurs gouvernements mettant fin à des hostilités entre armées en temps de guerre).

Une pause à durée indéterminée, qui permet de reconstituer ses forces ou de chercher un moyen de contourner les difficultés ...

L'énergie que tu mettais là peut sans doute trouver à s'exercer ailleurs, et à ton profit cette fois ...

Oui, en fait, c'est ce que j'ai fait en partant le premier semestre en Angleterre, sachant pertinemment que j'allais sécher les cours =)

Donc il y a tiraillement entre ta volonté de gravir une pente, et ton refus de la gravir à la manière dont on te le demande ?

J'apprécie énormément la précision "à la manière dont on me le demande". Ca change presque tout.

Ca change oui ...

Histoire de ne pas perdre le fil, je viens te faire un ptit coucou ici!

Brrrbrrr

Tartinage sur le noeud toujours aussi mystérieux qui coince presque tout dans ma petite vie égocentrique...

Bref, j'ai un exam demain! c'est toujours un plaisir de discuter avec toi. Dommage que je ne vole pas si haut héhé

Bonne nuit Qilin et coucou à Steph' la planteuse de roses aussi =)

Bonne nuit Amovible

Salut Amovible

Cela fait un moment que je ne t'avais pas adressé un bonjour. Réparé

If it's not broke, don't fix it! (So, don't worry).

En cours (d'anglais), l'horreur. Mais, j'y suis!

J'ai envoyé ma demande d'adhésion à MENSA aussi. Vive la vie.

Super

Et j'aime bien ton humour

L'après-midi est bien entamée, et j'ai un article de deux pages à rendre pour demain. Je n'ai pas écrit un traite mot.

Mais ça commence à s'assouplir : il y a deux semaines, j'ai réussi à rendre un commentaire de 5 pages (!!), la mort dans l'âme, certes. L'écorchure, de ne pas l'avoir structuré, ni conclu.

Alors, je ne paniquerai pas!! L'angoisse tapie qui n'attend que ça, pour me sauter au cou. L'inhibition intellectuelle. Et puis l'évitement délibéré de mes livres.

Je lisais tout à l'heure dans le livre génial de mister Blain que justement l'inoccupation était un moment privilégié dans le processus créatif :

il a été remarqué des hauts niveaux de créativité pendant des activités semi-automatiques [...] qui laissent un degré de liberté pour provoquer des connexions au-dessous du seuil de l'intention consciente. Il est donc important de laisser le problème à faible ébullition et être sous le seuil de la conscience pendant un moment.

J'irai donc, fredonnant un petit air, aller voir au parc, ce sentiment introjecté ces derniers jours, celui qu'aurait un jardin après la pluie.

Voilà !!!

c'est une habitude que j'ai prise il y a maintenant bien longtemps que de laisser mes mécanismes sous-jacent faire le travail à ma place. Un peu comme une tâche de fond dans un ordinateur.

Je demande à mon conscient de " ramasser " les données, puis ensuite leur assemblage se fait. Vouloir forcer ou contrôler cette étape coute parfois beaucoup plus d'énergie que nécessaire.

Amitiés

Exact Mjöllnir!

Le souci, c'est que cette phase a l'air sans fin!

En continuant ma lecture hier, j'ai relevé une citation de Thomas Edison sur le génie "1% d'inspiration, 99% de transpiration" à propos du temps d'élaboration.

Pour moi, ce serait plutôt l'inverse =)

J'allonge ce que j’appelais "la phase préparatoire", celle du champs des possibles, des idées folles et fugaces.

J'ai attendu l'insight hier, à la place, je me suis fait recrutée par un club d'athlétisme haha

Bon, je retrouve aux champs, mais pas pour gambader =/

La suite:

Deux semaines à plancher sur mon article. J'ai voulu abandonné plusieurs fois, j'ai obtenu un ultime délai.

Le déclic, après plusieurs jours obsédée par les "analogies fluides" que produiraient le cerveau créatif des surdoués.

Je suis si proche du but. Juste un peu de sueur alors.

Et puis hier, j'étais à la terrasse du café du coin. Les sportifs du parc passaient par là. Ils m'ont salué chaleureusement. Comme si on l'avait déjà fait, courir ensemble.

Tu peux y arriver, j'en suis sûre! N'abandonne pas la course sur les dernières mètres...

J'en suis à la dernière ligne droite, la rédaction, la structuration (là où j'ai le plus de mal).

Je vois les progrès, le lâcher-prise, le goût à l'effort intellectuel qui revient (car j'aime ça finalement, le sujet me passionne).

Merci Fleur bleue pour ton soutien!

Spoiler:

Jeudi, je suis à la première communion de mes petites sœurs en Allemagne, en fait. Mais la semaine prochaine!

Ach du hast so viele Glück!!

Ich vermisse Deutschland, krass!

Ich freue mich für dich. Geniess mal =)

=)

Sérieux? Euh... Je sais pas quoi dire, en fait, j'en reste sans voix. Non mais, franchement...

Spoiler:

Merci Fleur bleue

A demain =)

Sublimation

Le printemps est bien entamé, je ne peux plus le nier. Ce matin-là, il était là, réveillé. Mon bleu à l'âme. La vacuité d'un espace laissé vide. Les souvenirs remontent.

Je me repasse ces relations spéciales en revue : est-ce celui-là qui me fait cet effet-là? Celui-ci peut-être? Pendant des jours, des nuits, la question de sa couleur comme trame de fond d'un printemps si différent.

Ce dimanche-ci, j'ai dit que j'aurais mieux fait d'aller au musée. J'étais d'humeur exécrable, et je ne voulais pas faire d'efforts. J'ai fini mon thé d'une traite, leur ai souri, d'un sourire forcé, presque méchant, et m'en suis allée.

Une rue, une seconde, Beaubourg était là, massif, qui m'ouvrait grand ses bras. J'étais pressée, agitation nerveuse.

En haut des escaliers, je suis tombée nez à nez avec de grandes toiles. Le doux, l'apaisant, le méditatif Miro. Les souvenirs affluent. J'ai hoché la tête en continuant ma quête.

A l'autre bout, l'électrique, le provocateur IKB d'Yves Klein. L'outre-mer puissant. J'étais toute émoustillée.

Mais alors, pourquoi ce cri sourd? Désœuvrement.

Son nom en grandes lettres, une salle rien que pour lui! Quelques petits tableaux, et pas les meilleurs. Des découpages/collages de la fin de sa vie. Rien que ça. En m'approchant, j'ai tout de même souri. Je le savais bien. Soulagement extatique. C'est celui-ci.

En sortant du musée, les rayons ont disparus. Les lampadaires allumés, les lumières de la ville.

J'ai un bleu à l'âme. D'un bleu Matisse.

Tu as du talent. Très beaux textes.

J'ai un bleu à l'âme. D'un bleu Matisse.

Oh ma choupinette !
Ce que je lis est si triste mais aussi si fort ...

Rien de tel que le chocolat pour remonter le moral

J'ai vraiment bien accroché avec toi, dès le 1er regard
Vivement qu'on se revoit !

Merci =)

Arg, mon tél a buggé alors que j'allais poster ma réponse
Je la réécrirais un peu plus tard

Pacifier le pacifique à coup de bombe H et penser ensuite que chaque Homme à une capacité d'abstraction en lui aussi énorme qu'un coucher de soleil dans la baie d'Osaka.
Poussons, poussons des wagons au fond de la mine.
Elle est trouée de toute part et on espère qu'elle va céder.
On a trop tiré sur la veine.
Comme une cigarette en fin de vie tous cela part en fumée.
Aspire l'aspirante comme elle prétends être la prétendante.

Je suis un vieux morceau de pétrole que l'on mâche et que l'on jette dans la rue une fois qu'il a perdu sa saveur.
Allez, allez, allez.
Les boyaux de la mine passent sous le Grand temple.
Trois secondes et la mèche de la dynamite arrivera à terme.
Am
Stram
Gram.

Deux bises pour toi vu que tu n'en donnes qu'une.

Désolée bichette mais là ... chui un peu anéantie donc ma réponse ne sera pas pour ce soir.

Je ne sais pas quant on se reverra mais je te recontacterais.
Parole !
Et chez moi elle est sacrée

Je t'embrasse très très fort

Je vais me terrer un peu là

Avant d'y aller, car ça m'a trotté dans la tête depuis hier ...

Ce sketch me fait penser à notre rencontre
Désolée mais j'ai pas trouvé mieux côté qualité ...


Et comme c'est une belle chanson, la voici en entier

Je te lis ma belle, même si pas la force de répondre ...

Tu sais ce qu'on dit, c'est pas parce que tu ne vois pas l'ange qu'il ne veille pas sur toi

J'pense que tu vas aimer.


Il fait beau, si j'étais une femme je serai enrobé.
C'est à dire que je sortirai dans la rue une robe en fleur sur le corps et des fleurs plein le cœur.