qu'est-ce qui vous tire vers le haut?

Et comment vous créez vous les conditions nécessaires à vous élever?

Je ne cherche pas à aller vers le haut, mais de l'avant...

élever, comme un élevage ? Comme être bien élevé ?
Me réaliser plus que m'élever.

Merci pour vos réponses. Eude, je me retrouve dans vos post, l'incapacité à bosser à l'extérieur en plus.
Mais aussi, le fait que je ne me sente pas "fière" de mes différences, qui m'éloignent des aures, alors que je voudrais m'en rapprocher, pour, comme vous le dites, me sentir reconnue...et m'oxygéner, simplement.
Bon courage pour cette journée.

A vous tous, qu'est-ce qui vous passionne, et surtout, pourquoi?

Siamois,

Elever, élévation, tendre vers, propulsion...

Foi, espoir et résilience.

Eude, plutôt que le yoyo je préfère le trampoline. Plus tu descends plus tu rebondiras haut
Je me passionne pour le t'aï-chi-chuan. Insondable.

Dameauxcles, une allusion à l'épée ton pseudo ?

Eude, regarde mon site perso si ça te branche

Siamois,
à l'épée, aux clés et à la dame.

Dameauxcles

Et quand on est tellement mal que la foi n'est plus qu'intellectualisée?

Parfois, tenir debout, ne pas sombrer face aux évènements, cela parait insignifiant et c'est pourtant une grande élévation spirituelle.

Eude, plutôt que le yoyo je préfère le trampoline. Plus tu descends plus tu rebondiras haut

Siamoi93, tu mérites à être connu!!!


Mon plaisir du jour, le fait que ma rectrice se fasse dégommer. Moi aussi je suis précepteur.

Sélénité,
étant "zèbre", l'émotionnel et l'instinctif sont totalement indissociables de mon intelligence, même quand je suis au plus mal. Les choses ne sont jamais "qu'intellectuelles".

, et

sélénite a écrit:Dameauxcles

Et quand on est tellement mal que la foi n'est plus qu'intellectualisée?

Je ne suis pas Dameauxcles mais mon expérience perso, en pareil cas, est qu'à force de s'abandonner à la présence de Dieu, on finit par la retrouver, la ressentir de nouveau. Il est toujours là, lui, c'est nous qui ne savons, parfois, plus le voir ni l'entendre.
Je sais que les périodes d'aridité peuvent être longues. Il nous faut alors réviser notre façon de chercher.

Ce qui m'élève et me pousse en avant, c'est simplement la foi en la vie.

Je sais qu'elle m'a apportée des difficultés, mais également d'immenses joies. Je sais que l'avenir sera de même. Alors quand ça ne va pas, je me répète comme un mantra "un jour où l'autre, ça finira par passer".

Sinon dans l'immédiat, je m'investis à fond dans tout ce que je fais. Le sport tous les jours, la nature idem, apprendre une langue,...tous ces petits défis quotidiens qui me poussent en avant.

ce qui m'élève, c'est l'enthousiasme, mais pour avoir celui -ci je m'autosuffis rarement sur la durée, hélas, il faut souvent que ce soit parce que je rencontre des gens passionnants, passionnés .. ça peut donc venir d'une envie de découvrir des choses, des gens, bref lorsque ma curiosité est en éveil ... et elle l'est toujours plus ou moins par nature, sauf quand des soucis , des cogitations stériles (en général des problèmes relationnels) lui coupent les ailes.
j'avoue qu'en ce moment je me sens régulièrement empêtrée et freinée, j'envisage pour cela de me remettre aux études "officielles", là où je les avais arrêtées,reprendre ma licence de philo par correspondance, tout bêtement, histoire de me donner une contrainte qui ne laisserait pas de place aux aléas relationnels et me permettrait d'entretenir a minima ce besoin d'apprendre et d'approfondir les choses

Debout à 5 heures, comme tous les jours ou presque. Pour écrire, écrire, écrire...

Par petits bouts :
- me baigner la tête vide au réveil dans le chant des oiseaux

Fusain a écrit:Je ne cherche pas à aller vers le haut, mais de l'avant...

Moi j'ai besoin de trucs qui me tires vers le haut pour rester en surface, car c'est une fois en surface que je peux nager pour aller vers l'avant. Si je me laisser couler, je bois la tasse...

Ce qui me maintiens en surface, je l'avoue, c'est la reconnaissance que l'on me donne grâce à ce que j'ai réalisé jusqu'ici. Dans mon boulot, j'ai la liberté de réaliser les objectifs à atteindre comme je l'entend, en accord avec mon fonctionnement à moi. Et en plus, ces objectifs sont en cohésion avec mes idéaux. Cette liberté là fait que je suis prête à faire énormément d'effort en dehors (=socialement), pour les autres, ceux qui fonctionnent différemment de moi, je suis beaucoup plus prête à prendre sur moi, à faire des compromis qui prennent en compte leur fonctionnement à eux, alors que je ne le faisais pas lorsque j'étais plus jeune.

@Misenpate. Il ne fait aucun doute que Siamois gagne à être connu. Je n'avais pas encore trouvé l'endroit pour le dire, je surveillais l'opportunité .

C'est périlleux, car on est à la merci de ceux qui aspirent notre énergie en nous promettant cette reconnaissance tout en reculant sans cesse la ligne d'arrivée.

L'ascenseur ?



l'humour ;-)
et les zamis.
parceque sinon se raconter une blague à soi-même c'est pas drole.

Pour moi le voyage se situe plus à la verticale qu'à l'horizontale. C'est à dire que j'effectue un déplacement depuis un quartier pauvre campagnard de ma naissance jusqu'à mon but, un quartier citadin, intellectuel et aisé où je souhaite plus tard passer mes vieux jours. Chacun ses goûts. Pour y parvenir, j'applique en permanence deux méthodes.

La première, c'est d'utiliser mon énergie à construire et non à détruire. Je ne me venge donc pas, même si j'en ai parfois envie car il s'agit pour l'instant toujours de broutilles, et je laisse les gens que je trouve antipathiques en compagnie d'eux-même et de leurs semblables. Cela m'économise : je m'écarte d'eux au lieu de me fatiguer à lutter et dans un même mouvement, il n'est pas rare qu'ils me poussent là où je ne serais jamais allée ce qui m'apporte beaucoup en général.

La deuxième méthode est de me laisser aller ni à la stagnation ni à la régression, c'est à dire que je veille à rester en perpétuelle adaptation. Pour cela, j'élabore et réalise toujours de nouveaux projets, ce qui rend ma vie passionnante bien qu'assez solitaire. Je m'applique aussi à approfondir pour les observer en détail beaucoup de sujets qui me déroutent complètement au premier abord. Notamment des correspondances suivies avec des gens qui ne partagent pas mes opinions. Cela s'entend évidemment si ces personnages ont quelque chose à dire. Je ne perds en aucun cas mon temps avec des gens creux ou des projets qui ne m'élèveraient pas vers le haut.
Depuis un demi-siècle, ces deux méthodes me réussissent parfaitement à condition qu'elles aillent toujours de pair : elles conviennent à mon tempérament et me permet de profiter pleinement de la vastitude du monde et de mon monde.

marie a écrit:Pour moi le voyage se situe plus à la verticale qu'à l'horizontale. C'est à dire que j'effectue un déplacement depuis un quartier pauvre campagnard de ma naissance jusqu'à mon but, un quartier citadin, intellectuel et aisé où je souhaite plus tard passer mes vieux jours. Chacun ses goûts.

Je suis pareil en quelque sorte, j'était pas riche financièrement petit chez mes parent. Mais j'était riche dans mon monde intérieur et je ne manquai de rien matériellement bien au contraire. mes parent voulais s'élever financiérement et ils on rehussi mais manque le petit truc qui fait la différence.
J'ai connu les deux extrême de la société dans ma jeunesse. Les premier on rien a perdre à part leur honneur et les autres rien à prouvé. Les deux on des personne très intelligente dans leur genre. Elle ont surtous leur propre moral et un esprit d'antraide au membre inteligent qui leur peuvent les sauver un jours.
Les idiots étaient au milieux.

Je suis un constructeur , j'ai vue tant de monde qui aime détruire, des personne qui se prénne pour des intelectuelle qui sont bien loin de la réalité et qui assasine leur semblable au non d'une égalité improbable.

Alors j'ai commencé a construire dans tous les sens. Construire mon enrichissement intelectuel, financier , moral et à reconstruire tous autour de moi.
J'ai donc aider mes parents en tous point et je suis partie construire de mon coté.
Construire un avenir en faisant des études payé par mes soins après des années de labeur, construire un amours, construire une famille, construire un foyer , construire une image d'homme juste , reconstruire une vielle maison, reconstruire un vieux bateau.

Pendant ce temps là , comme celas demande beaucoup d’effort on oublie de détruire , surtout sa propre vie.

Monter c'est un peut le propre d'un garçon d’ascenseur comme Spirou.
Démarrer comme liftier à l’hôtel moustique et finir à champignac dans un château entre deux escale autour du monde.

réponse à Spirou : tu as vraiment bien choisi ton avatar j'admire. Moi, le camion cross me va aussi. Mais je serais totalement incapable de le conduire, lol et je ne lui ressemble pas d'aspect. Comme j'admire beaucoup les gens qui conduisent ces engins, j'en ai pris l'avatar. J'aime bien aussi le contraste de la création humaine riche sur le désert. Ca ne plaît pas à tout le monde et il ne faudrait pas qu'il y ait des camions cross partout et tout le temps, mais à moi ça me plaît beaucoup de les voir, à condition qu'ils soient menés de main de maître. Dans mon monde à moi, je suis en phase avec ce que tu dis et je comprends très bien. Mais nous n'avons pas eu le même chemin... heureusement que des chemins comme les nôtres ne sont pas très fréquents, ni tous semblables ! Pourtant ils sont intéressants à vivre, même s'ils sont difficiles. Nous suscitons le mépris, puis la jalousie... et puis nous finissons par nous améliorer, c'est comme ça. Un monde extrême en fait. Nous n'avons pas choisi, mais nous sommes heureux de notre chemin. Un peu solitaire, le chemin... mais bof, plus on monte et plus ça va mieux, alors, pourquoi s'en priver ? Je te souhaite bonne route.

Autre petit bout :
la Vie
je parle pas de ce que je vis, mais de la Vie en moi : elle m'élève parce qu'elle me force à vivre à sa hauteur, donc à changer ma vie, sinon je meurs

Ouha, j'arrive trop tard. J'aurais dit la même chose que Mag !

Ascenseur ! ascenseur !

ben quoi,
on m'a dit d'apeller l'ascenseur, je l'apelle...

:-D

Moi, j'aime avoir un (ou des) objectif(s) dans la vie. Atteindre l'herbe d'un autre jardin qui sera sûrement plus verte que celle de celui que j'ai actuellement.

Sans objectif je désespère.

l'amour........le meilleur des trampoline (quand partagé!)

J'aurai presque envie de répondre rien ou en tous cas pas grand chose si ce n'est une toute petite question simple, toute bête, insolente même : "Qu'est-ce qui m'en empêche ?".

La curiosité est décidément une bien vilaine qualité.

Pour répondre je distingue trois points (on y reconnaîtra les trois facultés qui me paraissent les plus éminentes : le courage, la lucidité et la créativité) :

1. un élément de confiance en soi a priori, qui fait fi des interrogations qui pourraient nous plomber (c'est notamment la question de Foreigner);
2. la prise en compte objective de ce qu'on est capable de faire, parce qu'on l'a déjà fait avec succès, notamment en nous comparant avec les autres (« je me compare, je me console »);
3. la mise en place d'une organisation dans notre travail, d'une structure qui nous cadre tout en nous rendant plus libres.

Du point 1 au point 3, ou de façon plus transversale, je crois qu'il faut distinguer la motivation de l'instant et celle de la durée. La liberté, la joie et le désir d'excellence peuvent nous animer immédiatement mais elles peuvent aussi se conquérir. On peut prendre plaisir à exister ici et maintenant comme à déployer son activité selon des œuvres.

J'aime bien aussi l'image de Waka. Il faut veiller à se maintenir à la surface, comme une bouée qui est portée et qui émerge, plutôt que se laisser couler comme un boulet ou s'élever comme un ballon sans penser qu'on retombera. Avec un peu plus de force, on peut aussi vivre comme un dauphin, qui connaît et la surface et le fond de la mer sans être empêché de s'élever parfois dans l'air.

Pieyre a écrit:3. la mise en place d'une organisation dans notre travail, d'une structure qui nous cadre tout en nous rendant plus libres.
..//..
Il faut veiller à se maintenir à la surface, comme une bouée qui est portée et qui émerge, plutôt que se laisser couler comme un boulet ou s'élever comme un ballon sans penser qu'on retombera. Avec un peu plus de force, on peut aussi vivre comme un dauphin, qui connaît et la surface et le fond de la mer sans être empêché de s'élever parfois dans l'air.

Ce que tu écris là me rappelle un de ces moments de ma vie, quand l'ambition de réussir à me placer dans la société me taraude, ou j'ai décidé que la première entreprise à créer c'était moi, et où je suis allée à la Fnac éplucher les bouquins aux rayons "gestion organisation" (ça m'a changé des rayons psy et éso )
j'ai (entre autre) retenu "La statégie du Dauphin"
http://strategie-systemique.blogspot.fr/2007/10/comment-utiliser-la-stratgie-du-dauphin.html
avec ses images allégoriques sur le bassin où s'ébattent les carpes, les carpes pseudo éclairées et les requins, le Dauphin est le seul à entrer et sortir à volonté, son chalenge c'est jouer !
une courbe de gauss montre l'évolution des différentes stratégies des uns et des autres au fur et à mesure de la progression de la volonté d'entreprendre, et il y a dans ce livre un certains nombre d'exercices qui m'ont bien dynamisé... ma dynamique de l'époque !

Malheureusement (ou heureusement va savoir...) autour de moi que des requins et des carpes, et moi carpe pseudo éclairée
http://ceclair.fr/la-strategie-du-dauphin-la-carpe-pseudo-eclairee
je n'ai pu jouer comme le Dauphin longtemps... juste le temps de réussir mon premier chalenge et de sauter en dehors du bassin... si j'avais su alors mes zèbrures autrement que par ma vie, j'aurai joué autrement...

Chère Mag, je ne peut résister à l'envie de te saluer. Et bien bas.

Cette force tranquille, discrète presque.
Ce mot juste car vécu à défaut d'être impulsif.
Cette main discrète, sortie de nulle part, qui glisse silencieusement pour nous soutenir ou nous guider sans même qu'on ait senti qu'elle nous a touché.
Ce côté imperturbablement avenant qui semble ne connaitre que le sourire comme moyen d'expression des peines et difficultés que l'on peut deviner.
Cet attendrissant petit éclat de stupidité aussi ; qui semble t'avoir fait passer à côté de l'idée pourtant élémentaire que l'on pouvait également baisser les bras ...

Tu me fais beaucoup penser à une grande dame dont mot d'ordre était "Yalla !" ...

Toute mon admiration Mag.

Après la stupeur de te lire, après avoir laisser un grand frisson dans mon corps se répandre, après avoir appelé mon Pote en Ciel pour lui offrir tes mots, respiré, pleuré, passé l'aspirateur au plafond de ma chambre sans pitié pour les araignées et leurs toiles, étirant mon corps au maximum, je peux maintenant t'écrire que c'est la plus belle chose sur moi que tu m'offre là à lire et que le petit bonhomme jaune et sa rose ben c'était cette image que j'avais enfant à Paris la nuit quand je devais passer à travers les rixes au couteau, ou les ratonnades, une sorte de dessin animé qui s'était faite dans mon imaginaire, c'était un petit chinois souriant avec sa fleur il traversait les bagarres sans recevoir un coup saluant tout le monde avec son sourire comme font si bien les asiatiques…

tu viens de me tirer vers le haut comme jamais j'aurais cru ça possible en ce moment
merci
Foreigner

n'oublie pas que ce que tu admire en moi c'est parceque tu l'a en toi, sinon tu "re-co-naitrais" pas !

et au sujet de baisser les bras bien sur que je sais le faire, et que j'en connais l'envie, mais baisser le coeur ça jamais, alors le reste suit… tout bêtement
c'est malin maintenant j'ose plus revenir sur le forum …
même poster ça j'ose pas…

allez copié collé et hop
mais j'ai besoin de vous faire un gros hugh à toi et à tous ici
:hugh:

Merci Mag !
J'étais occupé ailleurs, mais c'est très bien ainsi. Je n'aurais pas mieux dit que Foreigner, et ç'aurait été dommage. Ce qu'il a écrit, je ne m'en étais rendu compte que de façon incomplète; j'en ai bien peur.

Sur la stratégie du dauphin, c'est très intéressant. Ce qui est drôle, c'est qu'on définisse une carpe pseudo-éclairée mais pas un requin pseudo-éclairé. Certes les requins sont moins nombreux que les carpes, mais il faudrait y voir de plus près.

"Ne jamais baisser le cœur" ...

Magnifique ! Extraordinaire. Admirable !
Cinq mots que je cherchais depuis tant d'années ...
Moi qui me débat si souvent, empêtré dans des limbes de périphrase, pour péniblement n'arriver qu'à exprimer approximativement cette simple pensée.

Aussi dois-je te remercier comme il se doit, c'est à dire de la meilleure façon que je connaisse : Ces mots je les fais miens ; non pour les garder mai pour m'en servir.
Merci.

Ne jamais baisser le cœur !


PS : T'ai-je déjà dit que tu étais vraiment une grande Dame ?
Bon, j'arrête avant qu'on se mettent à chialer ...

http://www.linternaute.com/nature-animaux/poisson/dossier/grb.shtml
Requin-calin

(...)
(Musique, RFM)

sélénite a écrit:Et comment vous créez vous les conditions nécessaires à vous élever?

Le très haut. Y'a pas de conditions.


Cyrille

La musique qui me prend aux tripes. Cela me permet de ne pas penser à des choses "trop sérieuses et concrètes". Cela me permet de rêver, de m'évader, me rappeler que j'ai (j'avais) des rêves, que j'ai envie d'avancer. Bref de me mettre dans un état d'esprit positif tout en restant dans l'émotion, intense.

Un réel ras le bol ou une vraie colère. Ca me pousse à prendre des décisions, à aller de l'avant. Ca m'a permis de changer de boulot, de lieu de vie, ...

Les amis, les sorties et les voyages. Pour faire autre chose, me sortir un peu de mon mode "zébré". Revenir à la réalité. Quand je reviens d'un long voyage, je me sens toujours comme transformée. Je fais plus attention aux petites choses agréables de la vie. Ca ne dure pas toujours longtemps mais c'est déjà ça.

Bonjour Sélénite,
En fait la réponse que tu cherches est dans la formulation de ta question: c'est nous qui créons les conditions nécessaires à ce qu'on désire, comme de s'élever par exemple.
Alors vas-y, crée
Moi c'ke j'aime le plus c'est quand je fais ça tout le temps, même si ce n'est qu'en pensées. Je crée donc je suis
Mais j'aime bien aussi quand je crée pas parce que ce simple fait me fait me rappeler que c'ke j'préfère c'est quand je crée.....
Bizzzz

Ce forum et l'énergie qu'il dégage.

La pensée qu'un jour peut-être je serai heureuse.

La pensée que j'aimerai avoir des enfants.

La pensée que si je m'en vais, je ferai de la peine à des gens qui m'aiment.

La gravité de Zoltar 7, my homeworld...

La représentation positive