Impossibilité d'étudier

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Bonsoir Truc et bienvenue !

J'ai maintenant 23 ans et seul le bac (mention très bien certes, mais comme cela parait loin et ridicule face à mes lacunes actuelles) à mon actif. J'ai arrêté les études il y a 6 mois, études qui me menaient d'échec en échec. Je ne suis plus capable de lire, de mémoriser, de synthétiser me semble-t-il. Plus les années passent, plus je panique, un cercle vicieux d'une cruauté équivalente à son implacable simplicité.

J'ai arrêté les études avant l'obtention du master, après avoir redoublé la dernière année car je ne venais même plus en cours.
J'étais paniqué à l'idée de rencontrer mes profs, de voir mes camarades.

De plus en plus il me semble que je suis une débile profonde ayant surcompensé...

J'ai eu très souvent la même réflexion.

Je recherche des "zèbres" ayant expérimenté ces moments douloureux et s'en étant sortis, j'ai besoin de solutions

J'ai échoué vis-à-vis de moi-même donc je n'ai pas de solutions.

Sache juste que ton post me parle beaucoup.
Bon courage à toi

Un ami a montré un jour son schéma du cadre de vie...


Un cercle existait, au sein duquel tout se faisait. Tout se décidait dedans, tout se voyait là, tout s'étudiait là. Il y a fait des croix dedans, pour montrer les gens qui y pérégrinaient.

Puis il a dessiné des croix cette fois-ci en-dehors du cercle. Et il a dit que ces gens-là étaient capables de "sortir" du cadre, de ne pas en être prisonniers. Qu'ils avaient cette liberté, tandis que ceux qui vivent "dans le cadre", eux, ne peuvent pas en sortir, ils n'en ont même pas conscience.

Je lui ai dit alors, que ce n'était pas forcément une liberté, puisque tout se décidait justement "dans le cadre" et que si l'on était en-dehors, on avait bien envie de pouvoir y rentrer. Mais qu'on ne pouvait pas tous y aller. Que c'était donc compliqué à vivre, être tenu à l'écart de ce cercle "normal", de ne pas pouvoir en comprendre les règles, ou de ne pas pouvoir agir dedans (puisqu'on n'y est pas).
C'était une douleur.
Je me sentais incapable de pouvoir rentrer dedans. Donc j'avais opté pour me faire un très beau cadre extérieur à celui qui était normalisé, puisque j'y étais. Mais que c'était parfois difficile quand il me fallait faire le lien avec ce cadre classique.



Il a alors terminé avec ce qui me parut très beau.
Il a dit que justement, ces gens-là, hors-cadre, avaient ensuite le pouvoir de faire rêver ceux qui sont prisonniers du cadre classique. Ou de leur vendre leur rêve pour en vivre. Donc plus besoin de "vouloir ou pouvoir rentrer dedans"... C'était l'inverse. ^^
Vendre ou partager ce que toi tu crées, ce que tu fais, ce que tu es.

Et non pas l'inverse. Ne pas chercher à entrer toi, si ça ne marche pas. Mais exister dans ton monde, et l'ouvrir à ceux qui le souhaitent. Créer dedans ta propre façon d'être, de vivre, de travailler.

Cher Truc,
ne panique pas. J'ai connu aussi cela, et je vis très bien !

J'ai fait 3 années de fac, dans 3 domaines différents.

Je me suis ennuyée à mourir les 2 premières années et j'ai donc laissé tomber car ça me gonflait, en plus de ne pas être ce que je souhaitais vraiment (j'étudiais les langues alors que je suis née pour faire de l'animalier). Malgré des partiels qui plafonnaient à 19/20.

La 3ème année, j'ai tenté la fac de biologie pour me rapprocher de l'animalier. Et là j'ai découvert que mon VRAI but était d'élever des animaux, de les "soigner" (dans le sens "prendre soin", pas "guérir) physiquement, d'être en contact avec eux...et non de les étudier froidement depuis le prisme de la zoologie ou de l'éthologie.
Du coup, impossible de retenir le moindre cours, car ce que j'apprenais ne m'intéressait pas ! Impossible d'apprendre par cœur comme je le faisais autrefois, et encore moins de synthétiser. Mon esprit était bloqué par la démotivation.

Au final j'ai laissé tomber la fac et je me suis investie dans le bénévolat, les stages, et j'ai fait une formation professionnelle en alternance. J'ai appris les cours avec une facilité déconcertante, je me suis éclatée dans les projets proposés par nos profs, et j'ai eu mon diplôme haut la main ! Diplôme qui est niveau Bac d'ailleurs, comme quoi on peut être Zèbre et épanoui(e) sans être Bac + 10 !


Bref, je crois que ce qui est en cause, c'est peut-être que tu as mal ciblé tes buts. Qu'est-ce que tu veux VRAIMENT faire de ta vie ? Qu'est-ce qui te rend heureux(se) ? C'est ça qu'il faut viser comme but, pas le fait d'arriver à l'âge de 25 ans avec X diplômes. Ce ne sont que des bouts de papier.
Crois-moi, j'ai mis longtemps à comprendre et à accepter que les hautes études m'ennuyaient, qu'elles n'étaient pas pour moi et que je ne gâchais pas mon surdon pour autant. C'est peut-être aussi ton cas !

Petit plus: mon compagnon est surdoué, en doctorat...et s'éclate dans son domaine lui aussi ! Ca ne lui pose aucun problème que je n'ai pas le même niveau d'études, il m'a toujours encouragée et est très fier de ce que j'ai accompli. Le bonheur ne réside pas dans le fait d'avoir des diplômes; ce sont au contraire les diplômes qui peuvent (ou pas !) nous aider à atteindre des objectifs qui nous rendront heureux. Bref il faut étudier pour atteindre ses objectifs, et non pas avoir pour objectif d'étudier !

Truc a écrit:

L'impossibilité d'étudier, d'entreprendre, de réussir.

J'ai maintenant 23 ans et seul le bac

Bonsoir Truc,

Je passe te laisser un mot d'encouragement et quelques pistes qui, j'espère, pourront t'aider.

Pour renouer avec l'apprentissage je crois que :

- tu ne dois pas dans un premier temps repartir sur des études longues mais envisager une formation relativement courte (qui t'intéresse bien entendu) quitte, à l'issue, à repartir sur un cursus plus long ;

- tu devais avoir une passion que tu as peut-être mise de côté, dessin, musique, lecture... Il est nécessaire de la retrouver un peu chaque jour même si c'est 10 mn au départ ;

- Tu dois te poser, faire un état des lieux. Te demander comment tu vois ta vie, ce que tu aimerais en faire. Observer, noter sur un calepin ce qui t'a plu dans ta journée, un peu comme un journal de bord qui va te servir à te retrouver.

Sois rassurée, ton intelligence est toujours là, elle s'est juste mise en pause

paoline a écrit:
Sois rassurée, ton intelligence est toujours là, elle s'est juste mise en pause

Pour avoir vécu une situation comparable à celle de Truc, j'aurais plutôt tendance à dire que son intelligence n'est pas en "pause", mais qu'il essaye de la faire rentrer dans un moule pour laquelle elle n'est pas conçue.

Je comprends totalement ta situation Truc
Moi aussi je n'ai que le Bac (avec 10,05) et j'ai tenté une année de Fac en Lettres et une en Bio avant d'abandonner.

Je crois qu'ils ne faut pas se focaliser sur les études, le système éducatif est programmé pour la moyenne nationale. Il ne peut pas convenir à tout le monde.
Ma solution ? Se mettre en mode Batman .
Trouvé un boulot (basique) pour mieux s'intégrer dans la société, et du coup mieux se consacrer d'un autre côté à nos passions sans avoir aucune contrainte (si ce n'est temporelle).

C'est surtout ça que jai appris : ne pas faire de sa passion sa profession, mais jongler avec les deux en toute liberté

AlessB, on peut aussi faire de sa passion sa profession, mais il ne faut pas hésiter à sortir des sentiers battus pour réaliser ce rêve (passer par la porte du bénévolat, trouver un contrat d'insertion et monter ensuite en grade, faire une formation professionnelle...)

Je suis d'accord, mais tu ne pourras jamais t'exprimer pleinement. Il y aura toujours des règles professionnelles à respecter, une hiérarchie...
Une passion ne doit souffrir d'aucune limite dans la mesure du possible.

Lorsqu'on fait de sa passion son boulot, le sens que l'on donne alors à son travail peut transcender les contraintes, règles et hiérarchies. S'adonner à une passion "sans aucune contrainte", d'ailleurs, qu'est-ce que ça signifie ? Cela risque d'enfermer dans un système où l'on s'adonne à une activité pour soi et pour soi seul, sans que jamais il en sorte rien vers l'extérieur; un cercle refermé sur soi-même et verrouillé.

Oui, c'est ça une passion, pour soi-même

Ben une passion par et pour soi-même, coupé du monde extérieur, sous des allures de liberté, ça s'asphyxie en moins de deux, parole !

Pourquoi coupée du monde extérieur ?
Juste réceptif, sans donner, à sens unique.
Et je renvoi, canalyse vers mon centre d'intérêt (après transformation). Le flux est constant, bien huilé, contrôlé, complet. Pas d'asphyxie

En quoi consiste cette passion ?

La science-fiction et l'imaginaire en général (écriture, lecture, cinéma, comics)
Mais on s'éloigne du sujet

Concernant les études, ce n'est pas tout le monde qui est fait pour ça. Mais hélàs c'est plus qu'un atout majeur pour trouver un travail après.
Si ça ne tenait qu'à moi il faudrait supprimer l'école et instaurer un nouveau moyen d'éducation marié au service militaire.
Après tout, on peut très bien s'instruire tout seul

Bonjour Truc

je dois t avouer que ta presentation m a beaucoup emue.
Je suis bien plus agée que toi ( bon pas le double non plus).. et je suis dans le meme etat..Ok c est pas tres positif comme message..MAIS

Ca fait que 2/3 mois que je me pose la question de ma douance ( je savais que j etais intelligente mais je comprenais pas en quoi ca pourrait avoir des consequences " negatives" sur ma vie, au contraire c etait plutot sujet à culpabliser, un de plus...

je crois que tu arrives a l age ou tu te demandes ce que tu vas faire de ta vie, que tu regarde les autres entrer ds le monde pro et j ai l impression que pour tout le monde c est une des pires periodes parce que la, clairement le message c est: tu dois rentrer dans le moule pour survivre, t es adulte maintenant, fini les conneries!!
et c est que depuis 2 mois que je me rends compte que pour faire plaisir a tout le monde j essayais desesperemment d entrer ds un moule carré et etroit... alors que je suis une enorme etoile toute ronde!

et la faut que je dise à kara stephanie que sa tres belle histoire du cercle et des croix à l exterieur c est terriblement poetique, tellement vrai ca m arracherai prersque des larme tellement ca me parle..

Parce que en tant que Fée ma mission est de faire rêver les autres, de les faire lever les yeux vers la lumière, qu'ils la voient aussi et s'arretent quelques instant dans leur vie pour...vivre, ressentir , en profiter.
bref merci a toi pour ce moment de poésie

Quant_à truc, rassure toi, cet espèce de burn out on la tous plus ou moins eu, a se dire qu on tiendra jamais a vivre comme tout le monde... alors bha j ai pas encore trouve la solution mais je sais qu aujourd hui avec le net, y a plein plein de trucs possible sur le fait de s exprimer clairement librement de dire tout ce qu on a a dire et c est deja tellement super bien

respire
sourit
ta vie va être belle parce qu elle sera différente des autres
La Fée...


deit: au fait truc, ton avatar... ma scotchée! quelle puissance se degage de ce bout de statue! c est quelle oeuvre d art?

AlessB a écrit:Je suis d'accord, mais tu ne pourras jamais t'exprimer pleinement. Il y aura toujours des règles professionnelles à respecter, une hiérarchie...
Une passion ne doit souffrir d'aucune limite dans la mesure du possible.

Ta passion souffrira de contraintes, même si elle reste un hobby ! Faut arrêter de rêver et redescendre sur Terre...Que ce soit le temps dont tu dispose, ta vie professionnelle, ton âge, tes moyens financiers, les enfants, ton niveau d'énergie...il y aura toujours quelque chose pour intervenir. On ne vit jamais de passion et d'eau fraîche. Désolée de détruire tes douces illusions...
Des gens qui vivent de leur passion, j'en connais beaucoup dans mon milieu: soigneurs animaliers, éleveurs, vétos...Ils vivent leur passion à la ville comme à la maison. Et OUI, avec de la persévérance, on peut petit à petit s'affranchir de certaines contraintes, par exemple en montant son affaire ou en devenant soi-même un professionnel très reconnu et respecté. Cela demande juste beaucoup de travail.

Ben pour l'instant tout va bien, je suis sur mon petit nuage alors

AlessB a écrit:La science-fiction et l'imaginaire en général (écriture, lecture, cinéma, comics)

Non, c'était pour illustrer ce que je voulais dire, au lieu de raisonner à vide. Suppose que tu te mettes à écrire des nouvelles, romans ou BD de SF, sans jamais te poser la contrainte de les publier, donc, sans jamais savoir ce que les autres en pensent, ce sera l'asphyxie, parce que rien ne te fera progresser, aucun échange ne t'enrichira. Et puis, on en a vite marre de créer uniquement pour soi sans jamais rien montrer, rien échanger avec les autres. Ou alors, il faut une solide dose d'auto-satisfaction pour pouvoir, enfermé à vie dans sa bulle, contempler son oeuvre que jamais personne n'a vue en la jugeant géniale.

Mais dès que tu te proposeras, pour échapper à cela, de les soumettre à l'extérieur, tu auras des contraintes de délai, de forme, tout ce qui permet l'acceptation d'une oeuvre par un public.
Si tu veux en vivre, ces contraintes seront, évidemment, multipliées par mille, je ne te fais pas de dessin.
Mais si ce n'est pas de ça que tu vis, alors tu auras la contrainte de n'avoir que peu de temps à y consacrer. "Vivre sa passion sans aucune contrainte", ce n'est qu'une figure de style, en tout cas avec celle-là. C'est ce que t'a dit Moonlight avant moi, d'ailleurs...

Et pourtant je vois bien que je progresse, en suivant mes critères. En lisant des oeuvres variées je remarque les différences, j'apprends et je m'améliore. Demandez l'avis des autres ? Ca ne sera que subjectif (même venant de professionnels) et comme il s'agit d'un travail personnel cela s'opposera au but recherché.
Et lorsque je serai pleinement satisfait je publierai, à compte d'auteur bien sûr, sans devoir subir des mofdifications de l'éditeur.
Que le public l'accepte ou pas...

Truc, ton message m'interpelle parce que je suis dans une même phase que toi. Durant des années, j'ai mémorisé, sans m'en rendre compte et sans trop le vouloir, puisque je ne faisais que lire les feuilles de théories/exercices quelques minutes avant les épreuves et que je m'en sortais avec d'excellentes notes. En 2007-2008, j'ai subi une lourde intervention chirurgicale qui me faisait pas mal manquer les cours et avec des profs qui n'étaient pas compréhensifs (philosophie, français et chimie), mes notes ont fait une chute vertigineuse. Je passais de 5 sur 6 à des 3,5 sur 6, sachant que la moyenne au post-obligatoire en Suisse est fixée à 4. Deux mois avant les examens finaux, j'ai tout arrêté, trop usée mentalement. J'ai choisi de doubler pour pouvoir récupérer l'énergie gaspillée à me battre contre des personnes qui ne s'intéressaient qu'à leur propre personne et autant dire que l'année suivante, j'ai eu des profs bien plus humains, mes résultats sont remontés en conséquence. J'ai pu finir l'année, sans trop forcer, avec une mention (moyenne annuelle à 5 sur 6).

Maintenant, je suis en apprentissage, puisque mon hypersensibilité ne m'a pas permis d'entrer dans les écoles que je visais (infirmière et assistante socio-éducative) et depuis la rentrée, dans certaines branches, j'ai l'impression d'avoir tout oublier, comme en anglais. Je me laisse trop envahir par le stress en ayant changé de niveau et n'ayant eu aucune information sur ce que je devais apprendre pour ne pas avoir de retard. En maths aussi, ce que je fais, c'est du déjà-vu, mais il m'arrive de faire des erreurs de débutante alors que j'ai appris bien plus dur (on étudie les inéquations linéaires avec les demi-plans alors que j'ai étudié les courbes exponentielles, logarithmes etc...).

Peut-être que c'est pareil pour toi, Truc, tu stresses trop, tu ne parviens plus à le gérer et tu te fais dépasser par le système scolaire qui en plus, ne t'intéresse pas. Quand j'ai doublé ma dernière année d'ECG, mon prof de chimie a réussi à me rendre la passion pour cette branche que son prédécesseur m'avait fait perdre. Ce que je trouvais insurmontable comme la chimie organique la première fois que j'ai fait ma dernière année, en doublant et avec un prof dont le contact passait bien, j'arrivais les yeux fermés.

Cette année, je sais que mes profs et l'école surtout, je ne la porte pas dans mon cœur et que c'est en train de me jouer de mauvais tours, et j'ai du mal à avoir un objectif si ce n'est celui d'envoyer tout balader. J'essaie de prendre ça comme un jeu, d'ailleurs, l'année dernière, c'est ce qui m'a fait tenir, parce que ma classe était une bande d'abrutis finis (sur 21 élèves, 3 ont arrêté en milieu d'année et au moins 7 n'étaient pas promus, bien sûr, ils passaient le plus clair de leur temps à faire des conneries en cours) et l'ambiance qui régnait durant les cours étaient tout simplement insupportable.

Pour retrouver la capacité à assimiler, essaie de trouver ce qui te ferait plaisir à apprendre, de voir ça un peu comme un jeu et surtout, de t'entourer de personnes avec qui le courant passe bien, avec qui tu as du plaisir à partager tes connaissances. L'année passée, mes meilleures moyennes et mes meilleures notes aux examens finaux en ayant manqué tout un mois de cours, je les ai eues dans les branches dans lesquelles, je m'entendais le mieux avec les enseignants, dont un avec qui on s'amusait presque à chaque fois à se lancer des petites vannes gentilles.

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Bonjour Truc !
Je débarque un peu tard, mais j'espère que, si tu repasses par ici, ce que j'ai à dire pourra t'aider, ou au pire te donner un peu d'espoir.
Mon frère a 24 ans, je ne sais pas s'il est zèbre, mais je pense bien que oui, en tout cas il est passé par les mêmes difficultés que toi.
Après son bac, prépa médecine, c'était sa vocation. Après un échec, il retente une deuxième année, sent qu'il va de nouveau échouer et sombre dans la dépression. L'année suivante, il essaie de se lancer dans le droit. Deux échecs consécutifs. Il trouve enfin, suite à cela, une voie d'étude alternative plus adaptée...et redouble.
Bref, à 24 ans, mon frère est enfin en deuxième année, il s'est relevé, il s'est battu, ça a été douloureux, tu peux me croire... Mais il est en train de réussir. Ne pas se laisser abattre, tu es encore maître de ton avenir.