besoin de dire l'indicible

Je suis sur l'iPhone.

Je voulais dire à mettre en relation. Relater veut dire rapporter. On peut pas toujours se baser sur les racines. On devrait parler latin.

ok, c'est bien clair. mais j'ai reçu un coup de fil entre temps
donc
nous ne sommes pas objet mais fréquence, onde?

Alors, nous ne serions pas sujet?
ça m'ennuie un peu.

Je verrais bien :
nous sommes sujets.
et la relation est fréquence : objet

encore croisement de post
c'est cela, nous allons parler Latin, ce sera très chic.

bon, c'est bien la meme origine, donc c'est plus simple.
tu vois que l'origine est importante!
avoir relation c'est bien avoir à relater.
bref, tu le savais sans le savoir.

je resume :
nous sommes bien sujet, et ça j'y tiens beaucoup.
irreductiblement, sujet
inaliénablement sujet (meme si toi et moi on est alien)
et je ne laisse personne me dire que je suis objet (et toi?)
ou que je ne suis rien, meme quantique, meme cantique.
je pense donc je suis,
c'est pas moi qui l'ai inventé

mais sans relation (objet) ça ne sert pas d'etre.

Bon, tout cela ne nous avance guère mais au moins qu'on ai les bons vocables (ça me rassure) zut coup de fil

c'était la mère infanticide, le COUP de fil, elle veux absolument me faire un cadeau pour Noel, ça lui ferait bien plaisir.
A defaut de m'integrer à la famille ce jour là.

bref, j'ai l'habitude, chaque année...elle me fait le meme ciné pervers

Je me permets de rebondir:


Si, je suis un objet, un pauvre tas de particules qui sert à rien tant que j'ai pas sauvé le monde.

Je pense donc j'existe un peu socialement. Faut pas se laisser emporter par les pseudo-grands de ce monde. Il faut tout casser, tout remettre en question, pour ne pas se faire berner. Les beaux parleurs n'ont souvent rien dans le crâne. Je pense donc je suis, "c'est périmé". Et y a bien sûr le "je suis un substrat qui me permet de penser" ou "je suis donc je pense". Les deux sont vrais.

Oui, nous serions fréquences et pas objet. Ça fait bizarre hein? Et pourtant, on voit bien des objets partout. Je ne sais plus quoi penser. Il faut un temps d'adaptation de pensée, d'esprit-critique.

non, je suis un sujet car sauver le monde est la seule raison de mon tas de parti-cule (non, je ne vais rester calme et respirer)
il faut d'abord lire Shakespeare avant de citer (or je n'ai pas lu et je le ferais)
cependant, il m'inspire confiance, j'ai vu une Pièce.
mais j'imagine que tu l'a lu et c'est périmé.
Alors, je veux bien connaitre le sens que tu donne à ce mot.
je suis bien désolé pour toi de te penser substrat, je n'ai pas sensation de substrat en echangeant sur ce fil avec toi.
Pas du tout.
qsdfghjklm qsdfghjk (vague rouges signifie colere)

j'ai oublié de contester encore ton "oui, nous serions...."
mais tu l'as conteste toi meme par le choix du mode.

merci de me laisser déborder ma colère, mais...........................

a plus tard.

es tu faché Magox?

j'espere que non :
ce ne sont que des "conversations enflammées"
je n'ai de l'agressivité qu'envers moi m'aimepastoutlesjours

C'est moi qui devrait etre à l'hosto, n'oublies que je suis follofficielle.
Bises Magox

non, pas fâché du tout.

Un poème.

Je ne sais pas d'où vient ma folie.
Pourquoi donc suis-je devenu fou?
Qu'ai-je à faire sur Terre si je suis fou?
Les fous sont-ils à interner? En tout cas, ils sont au lit.

À quoi servent les fous?
Pourquoi ne pas les massacrer?
S'ils répandent leurs conneries partout?
Non, franchement, ils sont sacrés.

Mes idées suicidaires sont devenues plus qu'hebdomadaires
Elles sont libératrices, c'est une porte de sortie
Je crois que je vais faire une connerie
Tant pis pour toi Thomas, t'avais qu'à rien faire.

Je ne sais pas si je peux parler du suicide ici
Peut-être cela me ferait-il du bien, je n'en sais rien
J'ai l'impression d'avoir tout raté, mais j'en suis ici
Je préfèrerais avoir tout raté en fait, ç'aurait été plus précis

En attendant de reprendre mes études, et ma formation de reiki
pour laquelle je n'aurai jamais de clientèle
vu qu'en France personne ne sait de quoi il s'agit
je m'emmerde à penser ma patientèle

ah! j'attendais.

Tu as vu des fous, très fous ou pas assez fous, aujourd'hui?
bon, ils sont au lit

Te suicider?
et moi?

c'est sur que tu t'emmerde à penser ta patientèle, c'est un coup à ne pas
reprendre ta formation.
merci d'etre revenu vivant

je suis pas assez clair quand je parle.

je vais commencer une formation de reiki, enfin, si Dieu le permet.

ok,
reprendre les études
commencer le riki, si Dieu le permet (de toute façon s'Il ne permet pas, c'est qu'Il a ses raisons que ta raison n'a pas)

C'est sur que tu serais plus à ta place qu'à l'hosto.
enfin! il faut bien se soigner jusqu'au bout (mais pas plus)

Je vais tenter de reprendre le fil du devenir du bébé rescapé de l'infanticide
titre :
LA TENDRE ENFANCE

Je disais plus haut : c'est à ce seins là qu'il boit et sa bouche s'en approche avec terreur.
La mére s'en rend compte, à chaque tétée son crime lui reviens en pleine figure, furieuse elle écourte la tétée.
L'enfant n'est jamais rassasiée, mais n'y tiens pas, bien sur.

l'enfant ne suce plus son pouce, car retiré pour l'etouffement;
elle suppose dans son petit cerveau un lien entre sucer son pouce et l'agression.
"Nathalie est le seul de mes enfants à n'avoir pas sucé son pouce"
tu m'étonne

l'enfant ne dors plus non plus car dormir représente le danger d'etre a nouveau étouffée;
un systeme de sommeil-éveillé se met en place.
épuisant mais rassurant.
VIGILANCE permanente. PEUR PERMANENTE

tendre, tendre enfance.
la tendre enfance, c'était la tendre enfance.

P.S. : je raconterais brievement l'enfant un autre jour.
Fatigue, c'est la fatigue

magox,
tu reviens sur le fil de chtarbée?
ou tu m'a définitivement abandonnée?
Si tu n'es plus mon complice, que va t il m'arriver ?

me faire dévorer par le grand méchant loup

je suis là mais je suis fatigué
la soirée au sous-bock m'a demandé
je m'en vais rejoindre Morphée
afin de lui demander

tout plein de belles choses....

T'es tu reveillé?
as tu fait de beaux rèves?

douceur
banale

toujours,
j'associe toujours,

j'en ai parlé plus haut, j'ai relu aujourd'hui.
je ne vois pas d'issue,
je me voile la face,
ce n'est plus "si bon"
C'est odieu

je veux retrouver ma douceur, la science et ses électrochocs m'ont ravi ma douceur.
la vie et ses chocs mon ravi ma douceur?

J'ai si peu de souvenir de ma douceur,
a vrai dire c'est ce qu'ils appelaient ma folie,
ma douceur.

j'aime bien ta dernière phrase.

Comment vivre sans folie? sans passion quoi...

impossible, possible, impossible, possible, impossible, possible, possible, impossible, possible, impossible,possible, impossible,possible, impossible, possible, impossible

possible,
dis magox, on est toujours complice?

La complicité est une félicité
À partager avec laïcité
Je la crois plus fréquente dans les cités
Et c'est une de leurs spécificités

Jamel Debbouze, philosophe des banlieues
Jamel Debbouze, amoureux de nos lieux

Jamel ou un gros pot de miel
Jamel ou le sauvé du Ciel

Jamel Debbouze et toute la famille Debbouze
Jamel Debbouze et toute sa famille debout

allez, allez debout djamel, jamel, jamais javel, ja aime,
d'ja rasta faille aie, ouille, houille, mine de plomb.

Non, mais là, ça ne va pas du tout, magox,

ce topic perd toute crédibilité,
il s'agissait d'une auto- analyse pour sauver follo
des tourments inhérents à sa condition de victime désignée
par une fée penchée dés la maternité sur son berceau minier
pour faire du bébé une bombe dégoupillée
qu'il faut attachée si on veux l'electrochoquée,
afin qu'elle ne soit plus jamais choquée, toquée
et qu'elle ne dise la vérité du bébé
étouffé pour échapper à la réalité
de sa féminité encensée par les fils de la mère amoureux de la malice aiguisée afin de se venger

je t'aime.

La méditation apporte calme et sérénité
surtout aux bébés comme follo
il suffit de s'y laisser aller
pour dire BARREZ-VOUS aux soucis mentaux

La rebelle follo n'est, à ce qu'il est possible
qu'à quelques pas de mot de dire plus d'indicibles
Elle doit se livrer totalement et exactement
pour que Dieu l'aide totalement, en la vidant.

c'est déjà bien en tout cas follo, mais tu "dois" détailler chaque fait et geste sur une feuille, sans forcément publier.

Ou sinon, tu peux aller t'acheter un croissant.

Dis, magox, c'est toi Dieu?

Je vais aller acheter un croissant.

je sais que j'ai baclé, papa Thomas mais ce n'est ni le jour ni l'heure.

Et je te croyais week-end.
je t'aime

La mere-enfant, ma mere enfant a épousé son prince charmant.
Absolument charmant, mais

cavalier
pour le moins

Oui, il a fallu cravacher dur, ça tombe bien il y a une proie facile "pas dans le ventre, les garçons, on ne tape pas dans le ventre d'une fille"
ouf, merci maman.

Bon, allez, on s'en fou de tout ça, je ne vais pas reprendre l'analyse à zero.
Equitation,week-end concours, soirs manège. (tiens! le revoila), jeudi carrière moustique loin la bas obstacle la butte, -refus- moustique pourquoi?
chute
rien
plus rien
neant
j'entends
vas rentrez moustique dans son boxe, Nathalie


en ôtant mes bottes dans la sellerie j'ai repris conscience, je me suis réveillé.

Magox, c'était pour te faire un cadeau.

magox ne reviendra plus, c'est le coté éphémère de ce site qui est le plus séduisant, plus que la virtualité.
on joue à colin maillard et hop, on passe à autre chose.
C'est stimulant.

Bilan.
que du bonheur :
le piano et l'amour sont les gagnants.
Une inflation du moi conséquente, que j’accueille avec révérence.
Et magox sur sa lancée, le curseur dans les aigus.
on est toujours gagnant. de tout coté.

Je suis une bonne ame.

E. déclare à qui veux l'entendre bouche bé. : Pour aimer N. il faut etre intelligent.
(autocongratulation)
Pour discerner qu'elle peux aller jusqu'a se laisser censurer. se censurer.

Et,
j'étouffe, je manque d'air, manque d'air libre

magox,
je veux t'encenser, te faire valoir et continuer à délirer avec toi, c'était bien reviens.
(3 posts, je met le paquet)

je reprend le fil de l'indicible,

j'ai dit plus haut qu'un systeme de sommeil-eveillé s'est mis en place très tôt: dès la maternité, dès l’étouffement.
J'en ai donner un épisode avec la chute de cheval.
Personne ne peut s’apercevoir que je dors, puisque je parle et agi malgré tout. (j'arrive à dire "je", VICTOIRE)

La nuit la mère-infanticide dort du "sommeil du juste"

je (jubilatoire ce je) peux donc vivre ma vie sans danger.
je circule donc dans la maison, sans allumer les lumières, inutile je me déplace parfaitement dans l'obscurité et sans bruit, il s'agit de ne pas réveillé la furie.
Mais, j'ai un allié : Ch. lui, m'entend parfaitement et garde le secret. (il est inquiet pour moi, il à 13 ans, catalogué dyslexique, école spécialisé directeur pédophile, Ch. est tres beau garçon mais fiche des gnons à qui approche, pas de souci, reprenons)
Jusqu'au petit matin, (11 ans) ou mes tribulations nocturnes m'ont commandé de me jeter par la fenetre, mais aussi,
de me raccrocher inextremis a la barre métallique, crochet du volet.
Et c'est suspendue là, que la fratrie atterrée me découvre.

Non, je ne dormais plus ce matin là. je voulais mourir, rien de bien original, et j'ai changé d'avis. c'est tout.

Mais, Ch. crache le morceau :

"je l'entend souvent la nuit, elle marche, se frappe la tète contre le mur"
!!!!!!!!


Merci, Ch; mais je ne te crois pas.
j'ai tort.
Je sais maintenant que tu disais vrai.

magox,

j'ai besoin de toi

j'ai eut de ses nouvelles sur un autre fil, je crois qu'il vaux mieux que je commence sans lui l'indicble

Ou en est cette salle gosse qui se tape la tete contre les mur.
Elle va pas nous lacher avec sa douceur. cette garce
si elle l'ouvre encore je lui éclate la tète contre le mur.

m'en fou, je me suis exercé toute les nuits, tu peux taper,
je suis partie,
loin,
la-bas,
loin
je suis si bien,
la,
la les bruits sont sourds,
c'est le caisson d'isolation sensoriel,
le refuge,
c'est l'uterus de maman,
c'est avant
avant

belle est ta souffrance
magnifique est ton errance
très beaux sont tes écrits
sans doute plus que des cris

follofficielle se livre sans tabou
un jour elle en viendra à bout
de toute cette putain de vie
qui fait qu'elle se sent en vie

un peu de respect pour elle je vous prie
personne ne saurait décrire telle qu'elle décrit
sa vie, son âme, ses ébats, ses débris
qui la rendent vraiment inouïe

Vous me vouliez au bord du suicide, mon ami?
Alors, je m'inquiète pour vous?

Votre vocabulaire vous trahi

je n'ai pas honte de me trahir
ce qui est à l'intérieur faut-il bien sortir
pour faire place à de nouvelles visions
et ensuite si possible, moins passer pour un con

je vous veux en vie libre et forte
mais si, sur votre fil, je frappe à la mauvaise porte
je m'en vais de ce pas vous laisser tranquille
afin que votre thérapie puisse vous être utile

pourquoi frapperiez vous à la mauvaise porte, chacun peux venir se ressourcer ici, mais laissez vos
"de toute cette putain"
ici, ces dames n'ont pas place : la gratuité est de mise.

Ainsi, peut etre, que
" passer pour un con" qui ne me parait pas judicieux, non plus.

Je vous remercie : je suis toujours en vie, libre et forte.
Bonne-journée mon ami

magox reviens, je ne peux pas me passer de toi, je ne suis plus libre, ni forte, (mais quand meme toujours un peu l'ego en inflation)

magox, notre amour va dompter la souffrance

en vers,

qu'ils soit alexandrin ou en prose.
J'aime tant la prose Alexandrine.

Une soufrance en vers :
n'est plus


et il n'y a qu' "un" magox

Je me suis laissée dire que j'étais bien patiente avec magox.
Je ne le regrette pas, j'ai vraiment bien fait.
La patience est décidément une belle vertu

je reprend mon fil, je ne sais plus ou d'ailleurs,
je suis sortie de mes remparts, j'ai pris un bain de foule.
J'ai horreur de la foule.
Décembre.
le feu et la musique
j'aime tant ma solitude au milieu des miens.
Nul besoin de parler, ils savent
Je ne me voile pas la face
et c'est bon.

merci de ne pas réagir

changement de stratégie.
ambiance oblige.
me voila seule, seule tout à coup de hargne

stop Rachmanino,
je fait hurler Barbara, mon guide spirituelle(pfff).
Et "quiconque" ne se risque pas à m'adresser la parole.
je "etais " très franche.

cinglante?
trop franche?
non, plus rien de tout ça, j'ai été franche et le ton était dans la bonne nuance.

bravo follof, tu l'as ta liberté

La foule.

La foule, c'est comme la houle
On y vient, on y trace, sa route
La foule, c'est sûr, ça saoule
On en revient, tout de même, somme toute

La foule, ça sert à rien, alors
prendre un bain, pourquoi dehors?
La foule, c'est comme un rien d'efforts
On se laisse porter, son corps

La foule, c'est l'énergie du tout
On se risque, à y faire, du tout au tout
La foule, c'est l'égrégore de l'humain
Alors, on y trouve rarement de copain sinon rien

La foule, c'est comme des nuages
Nul doute qu'il faut se taper le virage
La foule, c'est pas sauvage
Sauf le 6 mai, ça faisait ravage

La foule, au fond, on l'aime bien
Y a du social, du divers, du club, un rien
La foule, on y trouve aussi que du bien
Ouvrez les yeux, parfois c'est trop bien

La foule, c'est l'ironie de l'humain
ça sert à rien de se tenir la main
on y danse, on y rêve, de demain
bien pour rester en vie, à fins.

magox bienvenue,
Tu m'a l'air couvert d'or et de lumière.

magox est de retour

magox est de retour, mon ambulance, magox est de retour

je t'aime

Bonsoir j'ai envie de dire "à tous les deux",
J'ai aussi envie de vous dire que je viens vous lire régulièrement
Je pense à vous deux
Bonne continuation

magox, vire ce voyeur, stp

Magox, vite, viens sauver Follof' : je continue de lire vos poèmes, c'est i-nad-mi-ssible !
Ma soeur jumelle de ZC (on s'est inscrites le 18 octobre toutes les deux) j'en rajoute : je suis même allée voir tes oeuvres sut ton blog. J'en ai un souvenir très coloré.
Hasta luego