Je mets mes souliers en sortant...
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Je mets mes souliers en sortant...
Bonjour à tous,
Je suis nouveau
Bonne journée/soirée !
Je suis nouveau
Bonne journée/soirée !
Dernière édition par Zebran le Mer 12 Déc 2012 - 19:56, édité 2 fois (Raison : Les espiègles me traquent...)
Invité- Invité
Re: Je mets mes souliers en sortant...
You're welcome
gwennhadu- Messages : 102
Date d'inscription : 09/10/2012
Age : 41
Localisation : Brest meum'
kim meyrink- Messages : 118
Date d'inscription : 04/08/2012
Localisation : sud de la france
nid_d'abeille- Messages : 428
Date d'inscription : 08/03/2012
Age : 32
Localisation : Marne
Réponse à vous et à Théodicée.
Théodicée, je choisis de te répondre à ce message : https://www.zebrascrossing.net/t7531p720-je-retire-mes-chaussures-en-entrant#356962
Il appert que c'est moi (le scribe de Zebran) qui doit vous ouvrir les yeux, donc je le ferai.
Préalablement, sache que ni le contenu, ni le contenant ne pourraient me pousser à te répondre.
Comme, je le disais bien avant, ils sont puants, humains...donc ne m'intéressent point.
Détrompe-toi, personne n'a jamais vu Zebran en réel véritablement, sauf à qui il a donné le droit.
Une personne. Spéciale. Ici. (D'une beauté naturelle, d'un caractère artistique. Zebran était un Homme).
Elle a calmé l'une de ses douleurs terrestres.
J'aimerais te dire en plus que Zebran ne satisferai point tes fantasmes, Théodicée, car il est Misogyne . Misanthrope.
[Comme disait Gustave Faubert dans ses lettres à Louise Colet, "Une femme ne devrait pas être faite que pour le lit." Que chercheriez-vous à être d'autres sinon séductrice ? ].
Vous m'en donnerez la nouvelle dans votre vieillesse.
Aïe, aïe, aïe, si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! (Vous ne voyez pas plus loin que vos nez).
D’une part, il faut savoir également que très peu de femmes ont subjugué Zebran. Vraiment un minimum, dans son imperfection.
Et celles qui sont arrivées l'ont marqué jusqu'à sa disparition.
(Les femmes qui m’ont vraiment aimé ont toutes eu plus de quarante ans. J’ai évité de les toucher par respect pour ma mère. De vraies femmes. Elles ont vu l’invisible. Dommage que je ne partageais pas leur amour ; encore pire leur désir.)
[Je suis navré pour vous les jeunes ; vous êtes méprisables. Vos immaturités me dégoutent]
D’autre part, j’ai tout un agenda rempli pour une année. Que m’apporteraient vos rencontres ?
Un défoulement ? Un divertissement ? Quid ? Quid ?
La bibliothèque de la faculté ferme à 22 heures. Je n’ai donc pas de temps à perdre.-
Le caractère anthropologique de Zebran l'a poussé à vous approcher. Vous ne l'aviez pas ébahi, ni impressionné.
Car vous aviez répondu exactement à ses attentes. Vous aviez fait honnêtement ce qu'il attendait de vous.
Aucun de vous n'a essayé de surpasser la conscience humaine. Vous ne pouviez faire autrement. Vous n'êtes pas élu.
Vous aviez donné à Zebran la possibilité de vous dominer psychiquement, vous aviez fait de lui un dieu.
Car, il a su contrôler vos émotions (peur, doute, pulsion...). Involontairement.-
Pour vous montrer comment vous êtes pénibles, sans force, dépourvus de tout sens de la réalité, aveuglés...
Combien de fois a-t-il expliqué que les mots n'ont pas de sens ?
Combien de fois a-t-il dit que ce ne sont point les mots qui font l'effet mais l'image qu'on leur donne ?
Les mots : vos œillères.
Une seule personne, anonyme, a eu la chance de comprendre la recherche du partage de Zebran derrière ses mots.
J'ai également un énorme respect, dans mes voyages, pour l'entité qui s'appelait Horacle, sans oublier Foreigner, Pieyre.
Sinon, vous autres pensent que je serais une marionnette qui voudrait vous faire danser.
J’ai aimé vos danses nonobstant leur insignifiance.
Lire tous mes messages pour essayer de me comprendre. C’est là que vous vous trompez.
Freud était un fou, il le restera dans sa tombe.
On ne peut donc prétendre avoir une idée d’un être sans avoir eu un vécu similaire de lui.
C’est ainsi que je décante les miens de vous.
Finalement j'aimerais te dire Théodicée que je ne suis ni un alcolo, ni fumeur, ni drogueur, ni dragueur, je n'ai point de dossier, je ne cherche jamais à séduire...Je suis MOI IRL ; hyper calme. Claustrophobe, je mourais après quelques heures dans une cellule.
Qui serait plus malade entre toi et moi ?
Si vous voudriez me suivre, sachant que je suis en haut ; du coup vous risqueriez de tomber dans un égout. Puisque vous ne pourriez regarder devant vous et me regarder au-dessus de votre tête simultanément.
(Je déteste faire de longues phrases pour me faire comprendre)
Théodicée, tu ne m'intéresseras jamais si tu n'as rien d'autres qu'une femme.
(Femme, tu fleuris le jour, tu dessèches la nuit).
Le désir charnel ne me nourrit point. C’est en revanche un calvaire.
Qu'as-tu d'autres ? Que crées-tu ?
Tes phrases mensongères ne sont pas nouvelles ! Tu n'inventes rien.
Par conséquent, tu ne sauras jamais remplir mon manque humain.
En revanche, The Rebirth est votre ami et il vous tolère car, il aura besoin de vos votes à l'avenir pour vous sortir des ornières.
Meilleurs Vœux Humains !
(Je cherche à m'adapter à vos mœurs néanmoins).
Il appert que c'est moi (le scribe de Zebran) qui doit vous ouvrir les yeux, donc je le ferai.
Préalablement, sache que ni le contenu, ni le contenant ne pourraient me pousser à te répondre.
Comme, je le disais bien avant, ils sont puants, humains...donc ne m'intéressent point.
Détrompe-toi, personne n'a jamais vu Zebran en réel véritablement, sauf à qui il a donné le droit.
Une personne. Spéciale. Ici. (D'une beauté naturelle, d'un caractère artistique. Zebran était un Homme).
Elle a calmé l'une de ses douleurs terrestres.
J'aimerais te dire en plus que Zebran ne satisferai point tes fantasmes, Théodicée, car il est Misogyne . Misanthrope.
[Comme disait Gustave Faubert dans ses lettres à Louise Colet, "Une femme ne devrait pas être faite que pour le lit." Que chercheriez-vous à être d'autres sinon séductrice ? ].
Vous m'en donnerez la nouvelle dans votre vieillesse.
Aïe, aïe, aïe, si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! (Vous ne voyez pas plus loin que vos nez).
D’une part, il faut savoir également que très peu de femmes ont subjugué Zebran. Vraiment un minimum, dans son imperfection.
Et celles qui sont arrivées l'ont marqué jusqu'à sa disparition.
(Les femmes qui m’ont vraiment aimé ont toutes eu plus de quarante ans. J’ai évité de les toucher par respect pour ma mère. De vraies femmes. Elles ont vu l’invisible. Dommage que je ne partageais pas leur amour ; encore pire leur désir.)
[Je suis navré pour vous les jeunes ; vous êtes méprisables. Vos immaturités me dégoutent]
D’autre part, j’ai tout un agenda rempli pour une année. Que m’apporteraient vos rencontres ?
Un défoulement ? Un divertissement ? Quid ? Quid ?
La bibliothèque de la faculté ferme à 22 heures. Je n’ai donc pas de temps à perdre.-
Le caractère anthropologique de Zebran l'a poussé à vous approcher. Vous ne l'aviez pas ébahi, ni impressionné.
Car vous aviez répondu exactement à ses attentes. Vous aviez fait honnêtement ce qu'il attendait de vous.
Aucun de vous n'a essayé de surpasser la conscience humaine. Vous ne pouviez faire autrement. Vous n'êtes pas élu.
Vous aviez donné à Zebran la possibilité de vous dominer psychiquement, vous aviez fait de lui un dieu.
Car, il a su contrôler vos émotions (peur, doute, pulsion...). Involontairement.-
Pour vous montrer comment vous êtes pénibles, sans force, dépourvus de tout sens de la réalité, aveuglés...
Combien de fois a-t-il expliqué que les mots n'ont pas de sens ?
Combien de fois a-t-il dit que ce ne sont point les mots qui font l'effet mais l'image qu'on leur donne ?
Les mots : vos œillères.
Une seule personne, anonyme, a eu la chance de comprendre la recherche du partage de Zebran derrière ses mots.
J'ai également un énorme respect, dans mes voyages, pour l'entité qui s'appelait Horacle, sans oublier Foreigner, Pieyre.
Sinon, vous autres pensent que je serais une marionnette qui voudrait vous faire danser.
J’ai aimé vos danses nonobstant leur insignifiance.
Lire tous mes messages pour essayer de me comprendre. C’est là que vous vous trompez.
Freud était un fou, il le restera dans sa tombe.
On ne peut donc prétendre avoir une idée d’un être sans avoir eu un vécu similaire de lui.
C’est ainsi que je décante les miens de vous.
Finalement j'aimerais te dire Théodicée que je ne suis ni un alcolo, ni fumeur, ni drogueur, ni dragueur, je n'ai point de dossier, je ne cherche jamais à séduire...Je suis MOI IRL ; hyper calme. Claustrophobe, je mourais après quelques heures dans une cellule.
Qui serait plus malade entre toi et moi ?
Si vous voudriez me suivre, sachant que je suis en haut ; du coup vous risqueriez de tomber dans un égout. Puisque vous ne pourriez regarder devant vous et me regarder au-dessus de votre tête simultanément.
(Je déteste faire de longues phrases pour me faire comprendre)
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