Le doute m'habite !!!

Voilà, je ne m’étends pas sur ma vie comme sur mon hamac, quoique... on peut lire énormément de chose me concernant ici bas...

Actuellement, j'oscille entre crises et bonheurs.
Des crises et des bonheurs complètements éloignés les uns des autres.
Des choses qui ne peuvent pas se concilier.

Soit, je résous ma crise et alors mon bonheur deviendra une crise, soit je garde ma crise et mon bonheur perdura.

Oui encore un qui ne voit que le verre à moitié vide ou plein et qui ne se dit pas que sans verre, ben y'aurait pas d'eau, de vin ou autre dedans et que donc, pas de problème...

Bref, ma question est là.
Un épanouissement personnel vaut-il tous les amours du monde ?

J'ai une passion qui en ce moment me déborde et qui est reconnue par des pairs.
On me trouve un talent et surtout on m'incite à l'exposer.
Ces gens qui m’incitent à produire, créer des choses ont un intérêt qui est d'ordre vénal selon moi.
Mais ils ont des scrupules moraux (pas tous) et ils me disent de faire attention à ce que je fais sans comprendre que l'un et l'autre, ma vie et le fait de créer des choses, sont liées.
Que seul le jour ou je mourrai, j'arrêterai cela.

Soit je développe plus encore cette passion et je continue à m'enfermer sur moi.
Soit je retrouve une vie 'sociale' plus normalisée et je laisse filer cette opportunité.
Soit je tente le coup, ce que je fais mais je vais y laisser des plumes que cela fonctionne ou non pour moi.

Et si tu ne vis pas cette passion qui t'anime, ne risques tu pas d'y laisser des plumes aussi? je ne sais pas trop de quoi il s'agit, mais n'est-il pas possible de la vivre tout en gardant un pieds de temps à autre dans une vie "sociale", comme une bouffée d'oxygène ou marquer un temps de pause pour mieux s'y replonger ensuite. Est-ce absorbant au point d'être totalement replié sur soi sous peine de perdre ce qui alimente ta créativité?

Mis en pate a écrit:Un épanouissement personnel vaut-il tous les amours du monde ?

Non, s'en est juste une condition sine qua non. Et il n'y a même pas besoin d'être pleinement épanouit, juste suffisamment pour Vivre. (Bien sûr, plus on est épanouit, mieux s'est !)
C'est un peu comme si tu demandais si un repas complet c'est fromage ou dessert ...

On peu manger sans appétit comme on peu vivre sans appétit Foreigner.

En quoi exactement cette passion et une vie sociale "normale" sont des objectifs anti-corrélés ?

Et pendant que j'y suis, si c'est vraiment anti-corrélé, tu as juste à te balader sur le front pareto.

Optimiser mes actions en minimisant les contraintes...
L'heuristique ressemble a une promenade balnéaire si l'on fait fi des deux tenants.

J'extrapole mon probléme.
Si je me lance comme on me le propose dans ma passion, mes relations sociales vont devenir fragmentées.
Un jour à Lyon, un autre à Paris, un autre à Lille.
Beaucoup de travail, peu de temps pour le reste.
la vie sociale "normale" comme je l'entends est une vide vie de sédentaire pas de nomade.
Hors là, c'est dans le nomadisme que je m'installe.

Dis moi comment monter une vie de famille stable dans ce sens ?
Comment faire pour que les gens proches comprennent que tes productions ne sont pas toi, ta pensée profonde?
Moauis, le choix en fait est idiot, je me rends compte en écrivant ici qu'il va se faire de lui même et que comme d'habitude, je n'aurai pas trop mon mot à dire dans cela...

Est-ce trop indiscret de te demander quelques précisions sur cette passion ?

Mis En Pate Ugly Brat a écrit:Voilà, je ne m’étends pas sur ma vie comme sur mon hamac, quoique... on peut lire énormément de chose me concernant ici bas...

Actuellement, j'oscille entre crises et bonheurs.
Des crises et des bonheurs complètements éloignés les uns des autres.
Des choses qui ne peuvent pas se concilier.

Soit, je résous ma crise et alors mon bonheur deviendra une crise, soit je garde ma crise et mon bonheur perdura.

Oui encore un qui ne voit que le verre à moitié vide ou plein et qui ne se dit pas que sans verre, ben y'aurait pas d'eau, de vin ou autre dedans et que donc, pas de problème...

Bref, ma question est là.
Un épanouissement personnel vaut-il tous les amours du monde ?

Je pense que l'amour de soi et l'épanouissement personnel est la base de tous les amours du monde

J'ai une passion qui en ce moment me déborde et qui est reconnue par des pairs.
On me trouve un talent et surtout on m'incite à l'exposer.
Ces gens qui m’incitent à produire, créer des choses ont un intérêt qui est d'ordre vénal selon moi.
Mais ils ont des scrupules moraux (pas tous) et ils me disent de faire attention à ce que je fais sans comprendre que l'un et l'autre, ma vie et le fait de créer des choses, sont liées.
Que seul le jour ou je mourrai, j'arrêterai cela.

Soit je développe plus encore cette passion et je continue à m'enfermer sur moi.
Soit je retrouve une vie 'sociale' plus normalisée et je laisse filer cette opportunité.
Soit je tente le coup, ce que je fais mais je vais y laisser des plumes que cela fonctionne ou non pour moi.

j'espère que tu as sorti le mode "pâte à crêpes" et boîte à oeufs...