Concernant le sommeil
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Re: Concernant le sommeil
Après, il y a d'autres principes :
Ne pas passer de temps dans sa chambre dans la journée,
Repas... légers le soir, je vois d'ici les gourmands
Le sport : excitant en fin de journée c'est vrai. J'ai abandonné le badminton à minuit (impossible de m'endormir après)
Ne pas passer de temps dans sa chambre dans la journée,
Repas... légers le soir, je vois d'ici les gourmands
Le sport : excitant en fin de journée c'est vrai. J'ai abandonné le badminton à minuit (impossible de m'endormir après)
Invité- Invité
Re: Concernant le sommeil
Le badminton à minuit ??? J'hallucine
Et serait-il possible que les difficultés de s'endormir soient dues à des difficultés à "lâcher prise", ou à "se laisser aller" ?
Je parle de la capacité à - par exemple - glander sans culpabiliser ni angoisser, capacité à se laisser aller au plaisir sans s'auto-juger négativement...
Et serait-il possible que les difficultés de s'endormir soient dues à des difficultés à "lâcher prise", ou à "se laisser aller" ?
Je parle de la capacité à - par exemple - glander sans culpabiliser ni angoisser, capacité à se laisser aller au plaisir sans s'auto-juger négativement...
Fofie- Messages : 317
Date d'inscription : 15/11/2012
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Re: Concernant le sommeil
il faut effectivement éviter une activité physique après 22h (quand je faisais du basket jusqu'à 22h30, je ne m'endormais jamais avant minuit et la semaine était bouzillée). Seule la natation semble être plutôt relaxante. La luminothérapie, je pratique l'hiver avec un lampe (20 minutes le matin devant mon petit dej) car je suis sensible au manque de lumière. Il y a le fait que je soigne une hypothyroidie qui faisait que je me sentais moins bien l'hiver. Donc je ne peux pas dire si ça marche, on verra sur le long terme mais je pense que la somme de toutes petites évolutions dans son environnement peut compenser le manque de sommeil que nous subissons quand on a besoin de plus d e9h de sommeil par nuit.
nikoku74- Messages : 1431
Date d'inscription : 22/06/2012
Age : 49
Localisation : Loire
Re: Concernant le sommeil
Ca me ressemble tout ça. J'ai besoin de lumière et de 9h de sommeil aussi ! Et je pense aussi que c'est un ensemble de plusieurs choses qui peut perturber le sommeil. Je ne souffre pas d'insomnies mais j'ai le sommeil agité. Surtout si je manque de sommeil. Mais aussi si j'ai évoqué des choses sensibles dans la journée : par des discussions, la télé ou un bouquin.
Depuis que je suis à la campagne, j'ai une vie cool et bien réglée et je dors mieux. Quand je marche, aussi. Mais je vais pas me priver de lecture et de télé. J'ai vu 2 reportages super intéressants hier soir sur la 8. C'est pas bon, les sujets étaient durs et ça me bouffe mon temps de sommeil. Mais si j'enlève ça, et que je ne parle plus du passé, il va me rester plus que les fleurs et les pitits oiseaux. Mais c'est sûr, je dormirai bien.
Depuis que je suis à la campagne, j'ai une vie cool et bien réglée et je dors mieux. Quand je marche, aussi. Mais je vais pas me priver de lecture et de télé. J'ai vu 2 reportages super intéressants hier soir sur la 8. C'est pas bon, les sujets étaient durs et ça me bouffe mon temps de sommeil. Mais si j'enlève ça, et que je ne parle plus du passé, il va me rester plus que les fleurs et les pitits oiseaux. Mais c'est sûr, je dormirai bien.
Fofie- Messages : 317
Date d'inscription : 15/11/2012
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Re: Concernant le sommeil
c'est vrai, quand on est gros dormeur et qu'on s'écoute on ne regarde aucun film car on aurait besoin de se coucher à 22h15. ça aurait été dommage dimanche soir de se priver du chef-d’œuvre "unglorious basterds"...
nikoku74- Messages : 1431
Date d'inscription : 22/06/2012
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Re: Concernant le sommeil
Ouais, tout à fait. Ah si on pouvait se passer de dormir, on en ferait des choses. Y'a des gens qui s'ennuient, je sais pas comment ils font mais ils s'ennuiraient encore plus... mais moi non, purée. (enfin je dis ça mais j'en sais rien en fait)
Fofie- Messages : 317
Date d'inscription : 15/11/2012
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Re: Concernant le sommeil
Tiens tiens, c'est "marrant", moi qui pensais ne pas avoir de souvenirs de la maternelle, à présent que j'ai lu vos commentaires, je me souviens très nettement, d'être à tel endroit dans la classe, en train de regarder les couvertures posées ici et là... Et je suis vraiment dans l'incompréhension (pourquoi dormir? Et quelque chose du genre: " je comprends pas pourquoi je dois faire semblant") et l'angoisse (je ne sais pas pourquoi).
Autant que je m'en souvienne, je n'ai jamais aimé dormir (source d'angoisses +++) et encore moins les siestes! Je me souviens avoir toujours répété à ma mère: je n'arrive pas à me reposer (en avais-je seulement le besoin? Et l'envie?).
Au fond, je ne suis pas sûre, mais je pense que tout simplement, je pensais tellement que me coucher, à fortiori pour une sieste, c'était un calvaire dont je ne comprenais pas bien l'intérêt. Car le sommeil de manière générale et les siestes en particulier, ont toujours été associés à une profonde angoisse.
Sinon, je suis insomniaque depuis l'âge d'environ 8 ans. Pour ma mère, ce serait depuis un décès dans la famille. Pour moi, je n'y ai jamais vu un quelconque lien... Et je me demande si ce n'est pas parce qu'inconsciemment, j'ai senti que le problème à l'origine de mon insomnie chronique était déjà présent avant mais enfoui, caché et peut-être moindre (d'autant que je dormais dans la même chambre que mon frère avant 8 ans et donc, difficile de trop bouger, etc... même si j'ai souvenir que je me retournais pas mal et que j'embêtais mon frère).
Par rapport à ce que j'ai mis plus haut, j'aurais tendance à penser que mon insomnie (liée à des problèmes d'endormissement) est liée à l'angoisse plutôt... Cependant, tyuip, tu m'offres (et sans doute à d'autres) une piste de réflexion intéressante!
Sinon, je viens de penser que si j'ai du mal à m'endormir, à dormir tout court... c'est peut-être car je ne le veux pas (je déteste le sommeil, enfin, moins adulte, je réussis à dormir un peu mieux), tout simplement... En grandissant, j'ai appris à mieux dormir je ne sais trop comment (peut-être par l'abrutissement: tv, séries+++ et se coucher très tard) et au final, ça ne me réjouit pas forcément même si c'est appréciable d'être moins à côté de ses pompes... Le fait est que je réalise que j'aime penser! Et penser, je le fais tellement le soir, la nuit! Du coup, dormir, c'est me nier...
D'autre part, pour reprendre ma dernière phrase, je me demande si, du coup, cet état d'hyperexcitabilité du soir et de la nuit ( et également lié au fait que j'aime le sombre, la nuit, le noir... ) n'est pas lié au moment où je peux être moi, tout simplement...? C'est-à-dire, imaginons deux secondes que je sois zèbre (ce que j'ai bien du mal à vraiment penser même si...), il se peut que je fasse tellement semblant toute la journée (rôle d'imposteur, fonction de mimétisme) que les vannes s'ouvrent le soir et hop, le naturel revient au galop comme une espèce de flot avec l'énergie du barrage qui produit l'électricité...
Je n'ai pu trop ces états d'hyperexcitabilité (mais je pense toujours énormément) mais j'en ai eu un très fort récemment ( qui m'a fait replongé dans mon enfance) et force est de constater que ça fait du bien... je me sens bien, je me sens moi, tout part en vrac, les pensées fusent, mais ça n'est pas angoissant, c'est juste là... c'est juste moi qui fonctionne en mode ultra rapide, ultra excitée, ultra tout... (il faut savoir que je suis probablement en dépression ou quelque chose qui y ressemble d'où certains paradoxes et le fait que j'ai perdu de cette hyperexcitabilité, par nécessité: tension +++, l'impression de paraître folle...)
Finalement, je pense à un truc, là, tout de suite: et si l'angoisse que l'on met parfois sur la peur de ne pas s'endormir n'était en fait qu'une peur de se confronter à son réel moi (Self) quand la lumière aveuglante vient à baisser, qu'il n'y a plus personne, juste nous, notre réalité...? L'angoisse, c'est peut-être tout simplement la perception inconsciente (qui devient alors consciente) de ce décalage avec les autres et donc, d'une prise de conscience de son refoulement, de ses travers, etc...? Je précise que j'envisage cette prise de conscience globale de manière plus ou moins consciente voire carrément inconsciente (d'où une angoisse difficilement maitrisable)?
En tout cas, je finirai par dire une chose à propos de l'hyperexcitabilité et du "trop penser". L'hyperexcitabilité (liée à la pensée, entre autre) me comble, le "trop penser" m'angoisse et me rend chèvre (tout en nourrissant l'hyperexcitabilité). Je voulais juste préciser car je pense que l'amalgame est peut-être parfois fait entre les deux et la source de la gêne parfois mal identifiée...
Autant que je m'en souvienne, je n'ai jamais aimé dormir (source d'angoisses +++) et encore moins les siestes! Je me souviens avoir toujours répété à ma mère: je n'arrive pas à me reposer (en avais-je seulement le besoin? Et l'envie?).
Au fond, je ne suis pas sûre, mais je pense que tout simplement, je pensais tellement que me coucher, à fortiori pour une sieste, c'était un calvaire dont je ne comprenais pas bien l'intérêt. Car le sommeil de manière générale et les siestes en particulier, ont toujours été associés à une profonde angoisse.
Sinon, je suis insomniaque depuis l'âge d'environ 8 ans. Pour ma mère, ce serait depuis un décès dans la famille. Pour moi, je n'y ai jamais vu un quelconque lien... Et je me demande si ce n'est pas parce qu'inconsciemment, j'ai senti que le problème à l'origine de mon insomnie chronique était déjà présent avant mais enfoui, caché et peut-être moindre (d'autant que je dormais dans la même chambre que mon frère avant 8 ans et donc, difficile de trop bouger, etc... même si j'ai souvenir que je me retournais pas mal et que j'embêtais mon frère).
Je n'ai jamais envisagé l'insomnie comme une censure... c'est intéressant! L'inconscient/le refoulement peut être tellement fourbe ou intelligent (c'est selon)...tyuip a écrit:J'en viens parfois à penser que c'est une manière semi inconsciente de me "censurer". Ben oui, quand on est KO, on est vachement moins zèbre... !
Par rapport à ce que j'ai mis plus haut, j'aurais tendance à penser que mon insomnie (liée à des problèmes d'endormissement) est liée à l'angoisse plutôt... Cependant, tyuip, tu m'offres (et sans doute à d'autres) une piste de réflexion intéressante!
Sinon, je viens de penser que si j'ai du mal à m'endormir, à dormir tout court... c'est peut-être car je ne le veux pas (je déteste le sommeil, enfin, moins adulte, je réussis à dormir un peu mieux), tout simplement... En grandissant, j'ai appris à mieux dormir je ne sais trop comment (peut-être par l'abrutissement: tv, séries+++ et se coucher très tard) et au final, ça ne me réjouit pas forcément même si c'est appréciable d'être moins à côté de ses pompes... Le fait est que je réalise que j'aime penser! Et penser, je le fais tellement le soir, la nuit! Du coup, dormir, c'est me nier...
D'autre part, pour reprendre ma dernière phrase, je me demande si, du coup, cet état d'hyperexcitabilité du soir et de la nuit ( et également lié au fait que j'aime le sombre, la nuit, le noir... ) n'est pas lié au moment où je peux être moi, tout simplement...? C'est-à-dire, imaginons deux secondes que je sois zèbre (ce que j'ai bien du mal à vraiment penser même si...), il se peut que je fasse tellement semblant toute la journée (rôle d'imposteur, fonction de mimétisme) que les vannes s'ouvrent le soir et hop, le naturel revient au galop comme une espèce de flot avec l'énergie du barrage qui produit l'électricité...
Je n'ai pu trop ces états d'hyperexcitabilité (mais je pense toujours énormément) mais j'en ai eu un très fort récemment ( qui m'a fait replongé dans mon enfance) et force est de constater que ça fait du bien... je me sens bien, je me sens moi, tout part en vrac, les pensées fusent, mais ça n'est pas angoissant, c'est juste là... c'est juste moi qui fonctionne en mode ultra rapide, ultra excitée, ultra tout... (il faut savoir que je suis probablement en dépression ou quelque chose qui y ressemble d'où certains paradoxes et le fait que j'ai perdu de cette hyperexcitabilité, par nécessité: tension +++, l'impression de paraître folle...)
Finalement, je pense à un truc, là, tout de suite: et si l'angoisse que l'on met parfois sur la peur de ne pas s'endormir n'était en fait qu'une peur de se confronter à son réel moi (Self) quand la lumière aveuglante vient à baisser, qu'il n'y a plus personne, juste nous, notre réalité...? L'angoisse, c'est peut-être tout simplement la perception inconsciente (qui devient alors consciente) de ce décalage avec les autres et donc, d'une prise de conscience de son refoulement, de ses travers, etc...? Je précise que j'envisage cette prise de conscience globale de manière plus ou moins consciente voire carrément inconsciente (d'où une angoisse difficilement maitrisable)?
En tout cas, je finirai par dire une chose à propos de l'hyperexcitabilité et du "trop penser". L'hyperexcitabilité (liée à la pensée, entre autre) me comble, le "trop penser" m'angoisse et me rend chèvre (tout en nourrissant l'hyperexcitabilité). Je voulais juste préciser car je pense que l'amalgame est peut-être parfois fait entre les deux et la source de la gêne parfois mal identifiée...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
Moi je suis un petit - tout petit - dormeur, parfois parce que ça "tournicote" là-dedans, aussi parce que je n'arrive pas à me coucher. Comme si j'avais besoin de temps mort en solo, une bonne dose chaque jour, que je m'octroie plutôt la nuit d'ailleurs...
Et puis une ou deux nuits blanches par semaine en moyenne. J'en arrive à croire que c'est physiologique.
Et puis une ou deux nuits blanches par semaine en moyenne. J'en arrive à croire que c'est physiologique.
Bird- Messages : 1603
Date d'inscription : 15/04/2011
Re: Concernant le sommeil
Bird a écrit:Moi je suis un petit - tout petit - dormeur, parfois parce que ça "tournicote" là-dedans, aussi parce que je n'arrive pas à me coucher. Comme si j'avais besoin de temps mort en solo, une bonne dose chaque jour, que je m'octroie plutôt la nuit d'ailleurs...
Et puis une ou deux nuits blanches par semaine en moyenne. J'en arrive à croire que c'est physiologique.
A la base, je suis pareil sauf qu'en grandissant, j'ai appris à mieux dormir en me couchant ultra crevée ou autre... Pour les nuits blanches, c'est pareil, mais c'est pareil, avant, c'était pire: du genre 4-5 nuits blanches par semaine.
Comme toi, c'est à se demander si ça n'est pas physiologique ( ça commence quand même tout petit...).
"Comme si j'avais besoin de temps mort en solo, une bonne dose chaque jour, que je m'octroie plutôt la nuit d'ailleurs..." => Ta phrase me parle totalement! Et c'est là où je me me demande: pourquoi? D'où l'hypothèse que peut-être ce besoin de temps solo est un besoin "viscéral" d'enfin être soi (possible seulement seul lorsqu'il y a inadaptation sociale).
Par exemple, j'écrivais à balle le soir ou je lisais, lisais, lisais: les autres enfants, ils ne faisaient pas cela (la majorité - elle regarde la tv, fait des caprices lol, etc...). D'ailleurs, je me rends compte que je n'ai jamais été à l'aise avec ça... C'est dingue, je n'avais pris conscience de ça mais si, écrire, ça me gêne un peu... je veux dire, d'avoir cette capacité! Et pourtant, écrire, c'est ma vie... Peut-être parce que là encore, je fais ce que je veux, je suis moi, je suis libre, pas d'entraves comme on peut en avoir socialement...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
Je m'endors facilement mais éveil systématique entre 3-4h (ça dépend de l'heure de mon coucher je tente de ne pas dépasser minuit et je n'y arrive pas tjs). Résultat je tourne et pense jusque vers 7-8 h et là si je me rendors jusqu'au réveil (en sursaut car alors je dors ) à 9h00.
Test de sommeil fait : pas concluant selon moi car j'ai dormi 2h30 mais sans apnées ni somnambulisme avec des cycles normaux donc pour le spécialiste tout va bien.
Quelqu’un a t il un truc ? (à tout hasard).
Je ne me fatigue sans doute pas assez la journée.
Le médecin me propose à nouveau la mélatonine (mais pas très tentée).
Je sais que ce qui se passe c'est un micro réveil 'normal' mais hop directement je pense, et là c'est fichu, je ne dors plus .. (Ceci dit parfois j'ai des idées ou je programme ma journée du lendemain, lol).
Test de sommeil fait : pas concluant selon moi car j'ai dormi 2h30 mais sans apnées ni somnambulisme avec des cycles normaux donc pour le spécialiste tout va bien.
Quelqu’un a t il un truc ? (à tout hasard).
Je ne me fatigue sans doute pas assez la journée.
Le médecin me propose à nouveau la mélatonine (mais pas très tentée).
Je sais que ce qui se passe c'est un micro réveil 'normal' mais hop directement je pense, et là c'est fichu, je ne dors plus .. (Ceci dit parfois j'ai des idées ou je programme ma journée du lendemain, lol).
cramique- Messages : 308
Date d'inscription : 11/08/2012
Localisation : Bruxelles
Re: Concernant le sommeil
Cramique, je le redis mais le problème majeur, c'est peut-être d'AIMER "trop" penser... A mon avis, le problème est là!
La solution voudrait alors que l'on trouve des moments propices dans la journée où l'on puisse être seul et penser penser penser... la difficulté vient du fait que c'est très peu possible et que la nuit, dans son essence, favorise aisément cela (on est seul, on est caché dans le noir = on fait ce que l'on veut/ notre esprit fait ce qu'il veut).
Bon, ce que je dis n'aide peut-être pas beaucoup mais je me dis que trouver la réelle cause d'un mauvais sommeil est un bon préambule!
Ton problème est manifestement de trop penser: d'un, soit tu n'arrives pas à ne plus penser (mais certains ici y arrivent très bien), ou de deux, tu n'arrives pas à envisager de ne plus penser (même si c'est juste pour la nuit) car tu aimes trop ça ou tu en as besoin...
La solution voudrait alors que l'on trouve des moments propices dans la journée où l'on puisse être seul et penser penser penser... la difficulté vient du fait que c'est très peu possible et que la nuit, dans son essence, favorise aisément cela (on est seul, on est caché dans le noir = on fait ce que l'on veut/ notre esprit fait ce qu'il veut).
Bon, ce que je dis n'aide peut-être pas beaucoup mais je me dis que trouver la réelle cause d'un mauvais sommeil est un bon préambule!
Ton problème est manifestement de trop penser: d'un, soit tu n'arrives pas à ne plus penser (mais certains ici y arrivent très bien), ou de deux, tu n'arrives pas à envisager de ne plus penser (même si c'est juste pour la nuit) car tu aimes trop ça ou tu en as besoin...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
J'aime penser, réfléchir, mais pas trop penser malgré moi !
Pour ce que tu disais plus haut sur le temps de solitude nécessaire, c'est peut-être pour compenser les efforts d'adaptation au quotidien, qui sont tellement ancrés que je n'en avais aucune conscience avant d'avoir les éléments pour ne serait-ce qu'en faire le constat .
Pour ce que tu disais plus haut sur le temps de solitude nécessaire, c'est peut-être pour compenser les efforts d'adaptation au quotidien, qui sont tellement ancrés que je n'en avais aucune conscience avant d'avoir les éléments pour ne serait-ce qu'en faire le constat .
Bird- Messages : 1603
Date d'inscription : 15/04/2011
Re: Concernant le sommeil
Bird a écrit:
Pour ce que tu disais plus haut sur le temps de solitude nécessaire, c'est peut-être pour compenser les efforts d'adaptation au quotidien, qui sont tellement ancrés que je n'en avais aucune conscience avant d'avoir les éléments pour ne serait-ce qu'en faire le constat .
Oui, c'est exactement ma pensée en tout cas! Pour moi, je considère que le soir, c'est une phase de repos (que l'on recherche)... au fond, si on pense "trop" (selon sa façon de voir les choses), c'est parce qu'on le veut bien, quoiqu'on en dise (pour moi, le fait que certains ici dorment très bien malgré qu'ils pensent "trop" prouvent qu'ils contrôlent les choses et donc, que c'est possible de penser moins et de mieux dormir)...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
Je ne travaille pas pour le moment et j'ai beaucoup de temps pour penser, rêver, lire, etc la journée. Le soir j'arrête le petit vélo et je m'endors. C'est quand je suis entre deux phases de sommeil, à moitié endormie, et donc sans contrôle, que je pense. Ensuite j'ai beau penser "dors" c'est trop tard. Marrant parce qu'avant je moulinais plus en journée et même avec des journées dures psychologiquement, je dormais très bien.
Mais ce que tu dis est juste : certains y arrivent. La solution est en nous.
Mais ce que tu dis est juste : certains y arrivent. La solution est en nous.
cramique- Messages : 308
Date d'inscription : 11/08/2012
Localisation : Bruxelles
Re: Concernant le sommeil
Quelques conseils pratiques pour arrêter le petit vélo (qui m'évoque plutôt un 4x4 par moments...) ?cramique a écrit:Le soir j'arrête le petit vélo et je m'endors (...) La solution est en nous.
Je suis preneur !
Bird- Messages : 1603
Date d'inscription : 15/04/2011
Re: Concernant le sommeil
Essayer de manière générale d'avoir une vie en accord avec soi-même (évite pas mal de rumination) Quand je bossais je pensais boulot jusque dans mon lit
Ce que je fais pour le moment : mise en place de rituels de couchers : arrêt des activités intenses vers 22h, pas de lecture intellectuelle, éviter l'ordinateur. Du coup j'ai comme un sas de décompression avant dodo, j'ai le temps de me calmer et de me vider la tête (en général je regarde un film ou un DVD à la télé ou je lis un livre sans prise de tête - mais la télé sidère donc pour moi ça fonctionne mieux.
Sinon :une séance de la relaxation
Remarque bien qu'avant c'était l'inverse : je m’endormais super tard voire pas du tout et je dormais jusqu'au matin une fois endormie.
Ce que je fais pour le moment : mise en place de rituels de couchers : arrêt des activités intenses vers 22h, pas de lecture intellectuelle, éviter l'ordinateur. Du coup j'ai comme un sas de décompression avant dodo, j'ai le temps de me calmer et de me vider la tête (en général je regarde un film ou un DVD à la télé ou je lis un livre sans prise de tête - mais la télé sidère donc pour moi ça fonctionne mieux.
Sinon :une séance de la relaxation
Remarque bien qu'avant c'était l'inverse : je m’endormais super tard voire pas du tout et je dormais jusqu'au matin une fois endormie.
cramique- Messages : 308
Date d'inscription : 11/08/2012
Localisation : Bruxelles
Re: Concernant le sommeil
Cela m'arrive tout le temps: boulot, études... et le soir, c'est l'apothéose! Non contente de stresser toute la journée, je stress encore le soir en retournant le tout 10 000 fois dans ma tête (de manière non volontaire)!cramique a écrit:Essayer de manière générale d'avoir une vie en accord avec soi-même (évite pas mal de rumination) Quand je bossais je pensais boulot jusque dans mon lit
Faudrait que j'essaie!cramique a écrit:Ce que je fais pour le moment : mise en place de rituels de couchers : arrêt des activités intenses vers 22h, pas de lecture intellectuelle, éviter l'ordinateur.
Sinon, perso, je dors mieux lorsque je regarde la tv (ça doit m'abrutir): je crois que je pense moins quand je regarde la tv et que, comme c'est moins intellectuel que la lecture, ça passe mieux... (pas tout le temps, ça dépend de ce que l'on regarde)
Sinon, je regarde des vidéos de massage sur youtube ou j'écoute de la musique de relaxation... Cela me détend énormément même si j'ai quand même bien du mal à arrêter de penser... D'autant que je regarde/ écoute tout ça sur le pc, et du coup, je suis tentée d'y faire autre chose avant de dormir...
Il y a un lien qui a été mis je ne sais plus où sur ce forum où j'ai pu trouver une musique de relaxation (enfin, ça sert à l'hypnose) et franchement, entendre une voix douce et tout, oh lala, ça m'endort pas mal quand même, je vous conseille d'écouter ce genre de choses! Rien de tel pour, au moins, se calmer (à défaut de dormir)...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
Oui la relaxation fonctionne bien. Le plus dur est de prendre la décision de stopper toute activité pour se relaxer. Ce que je n'arrive pas à faire en pleine nuit (pas envie de sortir du lit, d'attraper les écouteurs, qu'on me parle, etc : je ne suis pas assez éveillée )
La télé sidère. Une personne ici a lancé le sujet, sur base d'un livre qui vient de sortir. En résumé très rapide la télé empêche de penser et t'empêche de prendre l'initiative de la couper. Le sachant, j'en joue pour ne plus penser
Le pc a comme problème que l'écran que tu fixes éclaire aussi fort que la lumière naturelle (je tiens ça de la spécialiste du sommeil), ce que ne fait pas la télé ( et la télé on n'est pas collé à l'écran non plus). Face au pc ton cerveau reste en mode veille. Si tu te couches directement après il y a de fortes chances de ne pas t'endormir de suite.
Sinon depuis que je fais des techniques corporelles (sophrologie, shiatsu, massages, relaxation) je me sens moins un cerveau unique qui pense mais plus un cerveau ET un corps, et c'est apaisant.
Je vais aussi essayer l'activité physique (mais je dois me motiver :p )
La télé sidère. Une personne ici a lancé le sujet, sur base d'un livre qui vient de sortir. En résumé très rapide la télé empêche de penser et t'empêche de prendre l'initiative de la couper. Le sachant, j'en joue pour ne plus penser
Le pc a comme problème que l'écran que tu fixes éclaire aussi fort que la lumière naturelle (je tiens ça de la spécialiste du sommeil), ce que ne fait pas la télé ( et la télé on n'est pas collé à l'écran non plus). Face au pc ton cerveau reste en mode veille. Si tu te couches directement après il y a de fortes chances de ne pas t'endormir de suite.
Sinon depuis que je fais des techniques corporelles (sophrologie, shiatsu, massages, relaxation) je me sens moins un cerveau unique qui pense mais plus un cerveau ET un corps, et c'est apaisant.
Je vais aussi essayer l'activité physique (mais je dois me motiver :p )
cramique- Messages : 308
Date d'inscription : 11/08/2012
Localisation : Bruxelles
Re: Concernant le sommeil
cramique a écrit:
La télé sidère. Une personne ici a lancé le sujet, sur base d'un livre qui vient de sortir. En résumé très rapide la télé empêche de penser et t'empêche de prendre l'initiative de la couper. Le sachant, j'en joue pour ne plus penser
Faut que je lise ça! Il se trouve qu'enfant, je ne regardais pas la tv et n'en éprouvait pas l'intérêt et puis, à l'adolescence, j'y étais pendue! Et je piquais des crises si on me dérangeait...
Sinon, pour le reste, je ne sais que te dire... pour ma part, je veux faire du sport pour une raison esthétique mais aussi de forme, seulement, le sport m'énerve (dans le sens, ça me rend hyperexcitable -plus que d'habitude) alors... c'est pas terrible!
En tout cas, essaie quelque chose de soft si ça ne te tente pas: marche rapide avec une amie, nage...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Concernant le sommeil
Oh je me souviens aussi des séances de sieste de la maternelle ! D'une en particulier : une adulte a dit à un enfant de mettre sa main devant la bouche. C'était sûrement quelqu'un qui avait toussé ou baillé, mais je l'ignorais. J'ai juste entendu qu'il fallait mettre sa main "dans" sa bouche et j'ai passé toute la sieste avec mes 4 doigts dans la bouche. Autrement, j'ai le souvenir de m'être demandé pourquoi on dormait. Non pas parce que je ne pouvais pas dormir, vu que je pouvais. Mais juste pourquoi on dormait !^^CarpeDiem a écrit:Tiens tiens, c'est "marrant", moi qui pensais ne pas avoir de souvenirs de la maternelle, à présent que j'ai lu vos commentaires, je me souviens très nettement, d'être à tel endroit dans la classe, en train de regarder les couvertures posées ici et là... Et je suis vraiment dans l'incompréhension (pourquoi dormir? Et quelque chose du genre: " je comprends pas pourquoi je dois faire semblant") et l'angoisse (je ne sais pas pourquoi).
C'est ce qui arrive aux zébrés qui ne travaillent pas, je pense. J'ai eu cette période-là aussi, de lire, écrire, dessiner, peindre le soir, voire la nuit. J'étais complètement décalée. Je m'endormais difficilement. Je croyais que c'était parce que je cogitais trop, mais en fait j'avais une mauvaise hygiène de vie. Je vois la différence aujourd'hui, je me lève à 5h20, je pars à 6h20 pour marcher 25mn pour aller au train (je marche exprès), et c'est mon seul train, je n'ai pas le choix de l'horaire. Le soir je descend du train à 17h30, j'arrive chez moi à pied à 18h10 (ce n'est pas la même gare). Forcément, je suis crevée le soir.^^CarpeDiem a écrit:Sinon, je viens de penser que si j'ai du mal à m'endormir, à dormir tout court... c'est peut-être car je ne le veux pas (je déteste le sommeil, enfin, moins adulte, je réussis à dormir un peu mieux), tout simplement... En grandissant, j'ai appris à mieux dormir je ne sais trop comment (peut-être par l'abrutissement: tv, séries+++ et se coucher très tard) et au final, ça ne me réjouit pas forcément même si c'est appréciable d'être moins à côté de ses pompes... Le fait est que je réalise que j'aime penser! Et penser, je le fais tellement le soir, la nuit! Du coup, dormir, c'est me nier...
Il y a des gens qui angoissent à l'idée de rester seul avec eux-mêmes.CarpeDiem a écrit:Finalement, je pense à un truc, là, tout de suite: et si l'angoisse que l'on met parfois sur la peur de ne pas s'endormir n'était en fait qu'une peur de se confronter à son réel moi (Self) quand la lumière aveuglante vient à baisser, qu'il n'y a plus personne, juste nous, notre réalité...? L'angoisse, c'est peut-être tout simplement la perception inconsciente (qui devient alors consciente) de ce décalage avec les autres et donc, d'une prise de conscience de son refoulement, de ses travers, etc...? Je précise que j'envisage cette prise de conscience globale de manière plus ou moins consciente voire carrément inconsciente (d'où une angoisse difficilement maitrisable)?
D'après ce que j'ai lu, la plupart du temps ce serait des personnes qui se connaissent mal, ou à faible estime d'eux-mêmes. C'est tout ce dont je me souvienne à ce propos...
Au début, j'avais lu "j'écrivais à la balle le soir où je lisais" ! Je me demandais "c'est quoi cette activité qui consiste à écrire à la balle en lisant ??"CarpeDiem a écrit:Par exemple, j'écrivais à balle le soir ou je lisais, lisais, lisais: les autres enfants, ils ne faisaient pas cela (la majorité - elle regarde la tv, fait des caprices lol, etc...). D'ailleurs, je me rends compte que je n'ai jamais été à l'aise avec ça... C'est dingue, je n'avais pris conscience de ça mais si, écrire, ça me gêne un peu... je veux dire, d'avoir cette capacité! Et pourtant, écrire, c'est ma vie... Peut-être parce que là encore, je fais ce que je veux, je suis moi, je suis libre, pas d'entraves comme on peut en avoir socialement...
Tim Guénard, qui a écrit 4 livres je crois, s'est carrément isolé dans le désert pour écrire son 2ème ou 3ème (je ne sais plus).
Alors ça, c'est très intéressant, car je n'y regarde justement que des choses pas sérieuses : séries TV comiques (Malcolm, H, Desperates Housewives), Les enfants de la télé ou Touche pas à mon poste, etc. Des films, aussi. Exception : J'irai dormir chez vous, que je classe dans les trucs sérieux. Cela dit, le matin je me réveille avec les trucs pas sérieux aussi.cramique a écrit:La télé sidère. Une personne ici a lancé le sujet, sur base d'un livre qui vient de sortir. En résumé très rapide la télé empêche de penser et t'empêche de prendre l'initiative de la couper. Le sachant, j'en joue pour ne plus penser
Je me demande si je ne fais pas un rejet des sujets sérieux à la télé, en fait. Car je m'aperçois que j'aime choisir mes moments d'intérêt pour les choses sérieuses, ainsi que les sujets. Et c'est en lisant qu'on peut le faire.
En écrivant ce post, je réfléchis en même temps (vaut mieux^^) et j'ai l'impression que ce qui me permet de m'endormir facilement, hormis que je sois fatiguée, c'est aussi de me sentir libre vis-à-vis de la réflexion et de l'information. Je m'explique : à partir du moment où je choisis quand je penserai à un truc sérieux (puisqu'à ce moment-là ce sera par le biais d'un livre, ou d'un article internet, par conséquent ce sera au moment où je l'aurai choisi), sachant aussi que je prends plaisir à faire ce que j'ai envie de faire depuis que je le fais après les corvées (un jour j'ai lu que qqn a dit qu'on n'était vraiment libre que si on faisait les loisirs après le travail, et je peux vous dire qu'effectivement on ne l'apprécie pas de la même façon), eh bien du coup, peut-être qu'au moment où j'ai décidé de dormir, mon cerveau m'obéit.
Moi qui n'aime que la piscine et le ping-pong, en cette période d'hiver j'ai découvert qu'on peut ressentir un réel plaisir à marcher dans le froid.cramique a écrit:Je vais aussi essayer l'activité physique (mais je dois me motiver :p
Fofie- Messages : 317
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Localisation : Langon, près de Redon (35)
Re: Concernant le sommeil
Hello,Fofie a écrit:Le badminton à minuit ??? J'hallucine
Et serait-il possible que les difficultés de s'endormir soient dues à des difficultés à "lâcher prise", ou à "se laisser aller" ?
Je parle de la capacité à - par exemple - glander sans culpabiliser ni angoisser, capacité à se laisser aller au plaisir sans s'auto-juger négativement...
Petit up sur ce post. J'ai plus ou moins le même problème que vous. Sauf que quand je me prive de sommeil, au lieu d'être abrutie - et même si objectivement je le suis physiquement - j'ai l'impression d'avoir les idées plus claires. J'ai comme des "illuminations". Je COMPREND d'où viennent mes problèmes, quoi faire pour les résoudre. Et donc je ne veux pas m'endormir. Mais à un moment je m'endors tout de même ...
Et le matin, gros sommeil ou pas, je suis toujours dans le paté total (avec des pb par rapport à mes rêves, mais ça c'est autre chose encore), et j'ai l'impression que je n'ai les idées claires qu'à partir de 14h environ.
Je pense qu'en ce qui me concerne, je ne suis tout simplement "pas tranquille". Quelque chose m'angoisse, et je n'arriverai pas à dormir sur mes deux oreilles tant que ça ne sera pas réglé.
Il faut aussi peut-être - je parle pour moi - avoir le courage de lacher prise et de faire les choses au bon moment, quand elles peuvent l'être.
Est-ce que ça vous parle ?
Avez-vous connaissance de fils sur le sujet de la capacité à "glander" sans culpabiliser etc ... ? (comme en parlait Fofie, j'ai trouvé ça très juste)
Peruenio essere- Messages : 70
Date d'inscription : 15/01/2013
Localisation : Grenoble
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