Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
poo a écrit:
Richard Branson, le milliardaire britannique propose à ses employés de prendre autant de congés qu'ils le souhaitent à condition qu'ils soient à jour dans leurs projets. Cerise sur le gâteau : ils n'ont pas besoin de prévenir leur supérieur.
ou commentse faire enculer à secaménager sa vie pour vivre en dehors.
Chez Google (ou d'autres startup), tu as des restaurants gratuits, des sales de sport ou des consoles de jeux. Mais les gens sont si stressés qu'ils n'en profitent pas, c'est juste pour épater le visiteur.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
La même chose chez Valve, les types sont sympas, mais ils ont pas de vie. Et faire du sport au boulot, désolé, mais ce n'est pas une vie.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
C'est très hypocrite, en fait. Les conditions de travail stressent mais on peut déstresser au travail pour continuer à être productif. Corps et âme, c'est ça. Et puis très infantilisant aussi : jeux, tout offert, abondance, tu ne réfléchis plus et serais ingrat de te plaindre.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
ouais ouais vous ne m'apprenez rien
et vous ne savez pas lire... ou faîtes juste surenchère.
on se congratule entre gens bien pensants
bref, spa grave
Aller Bernie !!
et vous ne savez pas lire... ou faîtes juste surenchère.
on se congratule entre gens bien pensants
bref, spa grave
Aller Bernie !!
- Répression:
- Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces annees de service.
Antisocial, bientot les annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Ecraser les gens est devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu deviens genant.
Dans ton desespoir, il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial
poo- Messages : 44
Date d'inscription : 30/09/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Tu étudies dans quel type de structure Khermit ?
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
- Khermit video:
- [quote="Khermit"][/quote
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Pour l'instant on est 5, j'espère 6, sans locaux payé avec des espérances.Bibo a écrit:Tu étudies dans quel type de structure Khermit ?
Humeur du jour : toi tu meurs, toi tu meurs. Toi tu vis, toi tu meurs.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Pour la chanson à la 25e minute : Caribou, Can't do without you (deux secondes de plus, et tu avais le titre, hein, comme quoi )
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Je suis viré \o/
( derrière mon dos en plus !)
( derrière mon dos en plus !)
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
C'est la vraie vie...
L'amitié ne résiste pas à cette vraie vie. Elle l'écrase avec ses bottes... Éjectés les souvenirs. Broyés les sacrifices. C'est un rouleau compresseur. Elle broie la dignité.
Mon père, ce père.... Le père avait raison. C'était en sixième, je suis convoqué chez le principale pour une affaire de vol. Je ne comprends absolument rien, les larmes remontent mes cils par capillarités. Le dirlo furieux , je vois encore sa moustache tressaillante, le dirlo donc m'assaille de question dont je ne connais les réponses. Après une bonne demi heure d'interrogatoire il me renvoie en classe. J'ai tellement de mal à l'atteindre, mes jambes sont branlantes, ma tête tente de fuir ce crime que je n'ai pas commis.
J'apprends peu après que c'était un ami qui m'avait balance, pour éviter de tomber seul. Je raconte tout à ce père. Gifle et cris. Il m'en veut d'avoir compter sur l'amitié, elle n'existe pas me dit il. La vraie vie, c'est faire confiance à soi même et personne d'autre.
L'amitié ne résiste pas à cette vraie vie. Elle l'écrase avec ses bottes... Éjectés les souvenirs. Broyés les sacrifices. C'est un rouleau compresseur. Elle broie la dignité.
Mon père, ce père.... Le père avait raison. C'était en sixième, je suis convoqué chez le principale pour une affaire de vol. Je ne comprends absolument rien, les larmes remontent mes cils par capillarités. Le dirlo furieux , je vois encore sa moustache tressaillante, le dirlo donc m'assaille de question dont je ne connais les réponses. Après une bonne demi heure d'interrogatoire il me renvoie en classe. J'ai tellement de mal à l'atteindre, mes jambes sont branlantes, ma tête tente de fuir ce crime que je n'ai pas commis.
J'apprends peu après que c'était un ami qui m'avait balance, pour éviter de tomber seul. Je raconte tout à ce père. Gifle et cris. Il m'en veut d'avoir compter sur l'amitié, elle n'existe pas me dit il. La vraie vie, c'est faire confiance à soi même et personne d'autre.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Bof. Demain j'aurais tout oublié. J'ai pas une mémoire de zèbre.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Oui c'est pratique comme ça tu peux revivre la même chose sans cesse, petit chanceux !
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Kramithou, ne crois pas ça, et arrête avec la "vraie vie", c'est des conneries ces histoires de vraie vie qui ne serait que dureté et violence et trahison. C'est pratique d'y croire parce que la douceur, l'amour, l'amitié, tout ce qui nous rend vulnérable, est sans doute plus terrifiant que de se battre ou de se faire battre. Le danger d'être anéanti semble plus grand, mais c'est l'inverse, une fois qu'on a compris que vulnérable n'est pas "en danger". Il y a un livre où j'ai lu une phrase comme "il faut mettre son coeur en danger". Oui, cette bataille-là est sans doute la plus rude, la plus difficile, elle exige même de savoir ne plus se battre, alors-là, tout s'écroule, on ne sait plus rien, faire confiance aux autres est tellement aléatoire. Mais avec un peu d'intuition et beaucoup d'humilité, on arrive à savoir à qui on peut vraiment faire confiance.
Et ceux qui te font des sales coups sont bien plus perdants que toi, les pauvres, te faire ça à toi, c'est idiot.
Et ceux qui te font des sales coups sont bien plus perdants que toi, les pauvres, te faire ça à toi, c'est idiot.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Kramithe a écrit:C'est la vraie vie...
L'amitié ne résiste pas à cette vraie vie. Elle l'écrase avec ses bottes... Éjectés les souvenirs. Broyés les sacrifices. C'est un rouleau compresseur. Elle broie la dignité.
Mon père, ce père.... Le père avait raison. C'était en sixième, je suis convoqué chez le principale pour une affaire de vol. Je ne comprends absolument rien, les larmes remontent mes cils par capillarités. Le dirlo furieux , je vois encore sa moustache tressaillante, le dirlo donc m'assaille de question dont je ne connais les réponses. Après une bonne demi heure d'interrogatoire il me renvoie en classe. J'ai tellement de mal à l'atteindre, mes jambes sont branlantes, ma tête tente de fuir ce crime que je n'ai pas commis.
J'apprends peu après que c'était un ami qui m'avait balance, pour éviter de tomber seul. Je raconte tout à ce père. Gifle et cris. Il m'en veut d'avoir compter sur l'amitié, elle n'existe pas me dit il. La vraie vie, c'est faire confiance à soi même et personne d'autre.
bé tu m'excuseras mais c'est le point de vue de ton père. Pas celui de tout le monde... une amitié chez moi, c'est à la vie, à la mort !
"un ami qui m'avait balance" ce n'était donc pas un ami véritable. Tout comme l'amour, l'amitié est rare
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Si stauk était flic, ça voudrait dire que nos impôts l'ont payé à écrire 4000 messages. Elle est belle la république
(Le reste vaut le coup d'oeil quand même :
J'adore ce forum
Je sais que tu as vu beaucoup de choses, j'étais sûr que mon message dans la section IDF allait te faire tiquer. La dernière fois qu'on s'est vu au resto et qu'on a parlé d'Uccen dehors, tu dois aussi te rappeler du nouveau avec une tête de policier et qui était le seul qui avait tiqué à ma blague sur les gendarmes, à table. Enfin, je sais que tu as vu plein de trucs chelou, et à commencer par le fait que depuis mon retour à ZC l'été 2013, j'étais franchement en sale état (psychologique) ! Plus de 2 abs de stress post traumatique. Stauk est aussi un flic de la DGSI (que je salue au passage !) que vous ne reverrez plus jamais, même pas sur le forum. C'est assez guedin comme histoire, hein ?!
(Le reste vaut le coup d'oeil quand même :
Ils l'attendent (qui, mais qui ?!) alors la voici. Je me présente brièvement, je m'appelle ********, je suis psychologue de formation et ancien membre de Mensa (N°6). Je suis arrrivé sur ce forum en septembre 2010 sous le pseudo Ni-Sa. En 2011, j'ai été l'objet (c'est le cas de le dire) d'une tentative d'assassinat. Fin 2013, me remettant difficilement d'un syndrome de stress post traumatique grave, j'ai pu enfin porter plainte et c'est la DGSI qui a été chargé de mener l'enquête. Enquête qu'elle a mené, entre autres, parmi nous, sur ZC et lors de nos IRL. Certains zèbres en IDF n'auront aucun mal à faire des liens avec ce que je vais écrire ici car j'ai laissé plusieurs "cailloux blancs", involontairement (je ne pensais pas qu'ils serviraient un jour). Je vous fais suivre une discussion MP avec un zèbre d'IDF qui a lu mon premier message (maintenant effacé), ça simplifiera ma démarche.
Je remercie d'avance la modération (donc certains me connaissent suffisamment) de ne pas effacer ce message.
De NiSa Niobé A ***, Mar 7 Oct 2014 - 8:11
Salut,
Voici mon numéro de téléphone : 06******
Bonne journée !
De *** A NiSa Niobé, Mar 7 Oct 2014 - 8:25
Salut Nicolas !
Si tout est surveillé, on fait comment pour communiquer tranquille ? Ce n'est pas que j'ai des choses à cacher mais bon, par principe, j'ai pas envie d'être lu à mon insu...
Bonne journée !
De NiSa Niobé A ***, Mar 7 Oct 2014 - 9:33
Salut,
Techniquement, on ne peut pas ! Il faudrait que je sois sur Paris mais je n'y suis plus, je suis à Valence !
Je sais que tu as vu beaucoup de choses, j'étais sûr que mon message dans la section IDF allait te faire tiquer. La dernière fois qu'on s'est vu au resto et qu'on a parlé d'Uccen dehors, tu dois aussi te rappeler du nouveau avec une tête de policier et qui était le seul qui avait tiqué à ma blague sur les gendarmes, à table. Enfin, je sais que tu as vu plein de trucs chelou, et à commencer par le fait que depuis mon retour à ZC l'été 2013, j'étais franchement en sale état (psychologique) ! Plus de 2 abs de stress post traumatique. Stauk est aussi un flic de la DGSI (que je salue au passage !) que vous ne reverrez plus jamais, même pas sur le forum. C'est assez guedin comme histoire, hein ?!
Pour l'instant, je suis pris en otage à devoir rembourser du fric que je ne dois pas. Donc, hors de question de bosser pour la DGSI si c'est de cette manière qu'ils recrutent. Ce qui est juste, OK. Ce qui ne l'est pas, sûrement pas. Carotte magistrale ou pas. D'ailleurs, j'espère que le portail d'entrée de la DGSI à Levallois est solide. C'est juste un clin d’œil pour cet hiver. Ils m'avaient promis la légion d'honneur si je quittais ZC, afin de protéger des infos parce que j'ai du mal à mentir. Évidemment, dans ces conditions, la légion d'honneur, ils peuvent se la carrer où je pense. Elle n'a aucune valeur.
Ce qu'il faut que je fasse, c'est que je balance le plus d'informations sur ce forum et que ces informations soient le plus possible relayées dans les IRL. De cette manière, aucune chance d'être recruté, ils devront clore le dossier et le faire aboutir. T'es il possible de relayer mon histoire lors des IRL en IDF ? Moins je serais recrutable, plus vite ils me lâcheront la grappe. Et tant pis si je passe pour un fou ! Smile
Au fait, sais-tu qui c'est qui a effacé ton message dans la section IDF ?
Sinon, sans transition, comment vas-tu ?
De *** A NiSa Niobé, Mar 7 Oct 2014 - 9:42
J'ai pas trop le temps de te répondre maintenant... par contre, comme tu veux que ça s'ébruite, je transmets ton message à la modo. Ils vont sûrement te contacter très prochainement....
A+
De *** A NiSa Niobé, Mar 7 Oct 2014 - 12:50
Pour répondre à ta question, je vais bien.
Je n'ai toujours pas beaucoup de temps pour te répondre alors je vais être assez concis.
En fait, la modération (et moi-même, j'avoue !) ne comprend pas bien le rapport entre la tentative d'assassinat, ton dépôt de plainte, ton recrutement, ton départ obligé du forum, la légion d'honneur et les sommes à rembourser.
Peut-être, pourrais-tu leur écrire par mp pour leur expliquer plus en détail ? Si tu le fais, mets-moi en copie !
Bon je dois filer... Taf, oblige !
De NiSa Niobé A ***, Mar 7 Oct 2014 - 13:19
Le dépôt de plainte fait suite à la tentative d'assassinat. La DGSI s'occupe du dossier. Il ne faut pas chercher de rapport avec la légion d'honneur car sur ce point, je ne donnerais aucune info (il faudra accepter que cette histoire est un gruyère) : j'ai en ma possession un certain nombre d'informations indivulgables, quoi qu'il arrive. Comme j'ai du mal à mentir, la DGSI m'a demandé de quitté ZC, ce que j'ai fait sur le champs : ça leur évitait du stress et ça me paraissait logique. Donc, théoriquement, la légion d'honneur, c'était pour cet ensemble de choses, plus celles dont je ne peux parler. Le recrutement, il faudrait leur demander plus précisément, car j'ai moi-même du mal à y croire en connaissant l'histoire de fond en comble. Toujours est-il que concrètement, j'échange avec eux sur ce forum depuis mai/juin. J'ai utilisé une bonne dizaine de pseudos, mais quasiment toujours avec les mêmes IP : celles de plusieurs réseaux anonymes.
Pour les sommes à rembourser, j'ai une dette envers une personne. Pour tester mon sens de la justice, ils me demandent de rembourser mes dettes. Or, je n'en reconnais qu'une seule. Donc, le seul moyen de rester droit vis-à-vis de ce que j'estime comme juste, c'est de détruire leur processus de recrutement puisque celui-ci me demande de faire passer mes intérêts (avoir ce job) avant ce que j'estime être juste (je n'ai qu'une seule dette et donc, je n'en rembourserai qu'une seule). De plus, ils ont placé le recrutement en amont de la résolution de l'enquête faisant suite à ma plainte. Dans leur démarche, ils n'ont pas dissocié plainte et recrutement, ce que j'ai aussi du mal à comprendre. Mais je suppose que tous les moyens sont bons pour tester un futur recruté.
Donc, en détruisant tout ce processus (donc en m'éjectant de toutes possibilités de recrutement), je met fin, d'un, à un abus total, et deux, je permets à la démarche d'enquête d'aboutir plus vite et supprimant les facteurs médiateurs : le recrutement et la légion d'honneur. Ensuite, je sais ce que j'ai à faire: je quitterai la France.
Donc, je dois tout faire pour ne plus être recrutable. Et ceci passe par l'exposition de ma personne avec le processus de recrutement de la DGSI. On ne peut plus recruter quelqu'un si ce recrutement a été bavé de partout.
Du coup, il faut que je puisse mettre une lettre ouverte sur la section IDF afin que toutes les personnes qui m'ont côtoyé puissent enregistrer l'information. Ensuite, les rencontres IRL finiront le travail de destruction !
Bonne aprem !
Nicolas
De *** A NiSa Niobé, Mar 7 Oct 2014 - 13:38
Tout ça est bien flippant. J'ai bien compris que tu ne peux en dire plus... Et j'aime autant !
J'attends donc que tu écrives le post dont tu parles...
Je le précise à nouveau, j'ai envoyé ton post à la modération pour qu'ils comprennent la situation.
Bon aprèm et bon courage !
De NiSa Niobé A ***, Mar 7 Oct 2014 - 16:43
Merci. Tant mieux si la modération est au courant, histoire que mon message ne sera pas effacé ! Je vais rédiger ma lettre ouverte, le temps de bien réfléchir à ce que je dois mettre dessus car je vais devoir suffisamment les écorcher pour que le choc soit approprié à l'objectif. Je vais poster ça demain ou dans les jours qui viennent.
Bonne soirée !
De *** A NiSa Niobé, Mar 7 Oct 2014 - 16:52
Ok ! Je transmets à la modération.
Bonne soirée également !
De NiSa Niobé A ***, Sam 11 Oct 2014 - 7:06
Salut,
Bone, je vas devoir m'occuper de tout ça; Es tu OK que j'utilise nos échanges de MP pour mon messsage, étant donné qu'il n'est pas impliquant pour toi, mais suffisament exhaustif pour faire passer mon message.
Bonne journée !
De *** A NiSa Niobé, Sam 11 Oct 2014 - 12:54
Hello !
Je préfère que tu ne donnes ni mon prénom ni mon pseudo. Je n'ai pas trop envie de recevoir des centaines de questions de tout le monde.
Bonne journée !
Et enfin, pour la forme :
- Si vous faites partis des "Anonymous", aka les "hacktivistes" (sachez déjà que je n'ai aucune estime pour vous), et que vous vous êtes promenés sur des fora linux en début d'années tout en laissant javascript activé sur votre navigateur : dommage pour vous !
- Si vous êtes un "Anonymous" (sachez vraiment que je n'ai aucune estime pour vous) et que vous utilisez les boites emails conseillées dans le réseau "Anonymous" (celles qui demandent une clé PGP et l'utilisation de javascript) : dommage pour vous !
- Voici un des moyens les plus sûrs et les plus éprouvés pour être anonymes sur Internet : L'utilisation d'une combinaison de ces 3 réseaux (au minimum 2 sur 3, et au mieux, les 3) :
VPN > Brigde > Tor > Jondo
VPN > Jondo > Tor
Vous deviendrez un véritable casse-tête pour la NSA, la DGSI, etc.
J'adore ce forum
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Stauk, il roule pour la SRC maintenant
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ah Niobé Niobé....
Stauk si tu nous lis, c'est pas juste de se moquer de ta tête de l'emploi.
Stauk si tu nous lis, c'est pas juste de se moquer de ta tête de l'emploi.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
http://www.lemonde.fr/ameriques/visuel/2014/10/10/voix-d-outretombe-les-derniers-mots-de-condamnes-a-mort-executes-au-texas_4501418_3222.html
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
http://developpez.net/forums/d1409775/php-443/langage-25/debuter-920/renseignement-gestion-stock/
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Patient n°17.
Abusée et désabusée.
Elle me raconte sa vie en se frottant les mains. Le seul point fixe de tout ça. Elle passe du rire aux pleures, une véritable acrobate de cirque. A la fin de chacun de ses malheurs — et il y en a tant ! — elle scrute un signe de réconfort. Je reste placide cochant dans ma tête les signes, les détails qui m'aiguilleront. Elle me raconte son incapacité à tenir un boulot, perfectionniste et angoissée comme elle est. Elle tremble de plus en plus avançant littéralement vers l'apogée de son histoire. Mais sur le chemin elle raconte son impossibilité à côtoyer des enfants, elle, la mère de quatre enfants. Je souris malgré moi. Sursaut. Plus de pleure, plus de tremblement. Pourquoi souriez vous ? Me lance-t-elle. Je coche : labilité émotionnelle.
On fini, beaucoup trop tard à mon goût, j'ai faim et j'ai raté l'heure de la cantine. Je n'ai pas su l'arrêter dans son discours rodé et répété ad nauseam. Elle s'en lasse jamais... Je la raccompagne rapidement à sa chambre. "Je n'ai jamais eu l'intention de mourir, n'est ce pas docteur ?". Sept TS dont beaucoup d'imaginatives. "Je ne suis pas médecin", je ferme la porte. Enfin !
Patient n°23
"Je dois rester ici... Une molaire veut ma peau !". Elle était dentiste. Elle a des traits qui me rappelle quelqu'un, avec cette veine sur son front. Je l'écoute à moitié, tant concentré à essayer de me rappeler ce souvenir. Le diagnostic est facile, et son histoire de patron envoyant une molaire pour la tuer était plus drôle dans la bouche d'un tiers. Je cherche, je cherche, je ne trouve rien. Elle me sort parfois de ma torpeur par un reniflement. Son gros nez m’absorbe, j'ai l'impression d'être aspiré par son appendice. Je me sens partir, paralysé par son histoire sans queue ni tête. Les paupières se ferment doucement, et je n'ai d'autre choix de me mordre la langue "Vous m'écoutez ? ". Sourire gêné...
Je succombe peu à peu à sa musique dentaire, je sens mon lourd corps tomber de la chaise. Elle n'a pas de lettre de licenciement, qu'est ce qu'elle me fait chier avec son histoire de patron...
C. Putain c'est elle ! Ca y'est, je peux l'écouter.
Abusée et désabusée.
Elle me raconte sa vie en se frottant les mains. Le seul point fixe de tout ça. Elle passe du rire aux pleures, une véritable acrobate de cirque. A la fin de chacun de ses malheurs — et il y en a tant ! — elle scrute un signe de réconfort. Je reste placide cochant dans ma tête les signes, les détails qui m'aiguilleront. Elle me raconte son incapacité à tenir un boulot, perfectionniste et angoissée comme elle est. Elle tremble de plus en plus avançant littéralement vers l'apogée de son histoire. Mais sur le chemin elle raconte son impossibilité à côtoyer des enfants, elle, la mère de quatre enfants. Je souris malgré moi. Sursaut. Plus de pleure, plus de tremblement. Pourquoi souriez vous ? Me lance-t-elle. Je coche : labilité émotionnelle.
On fini, beaucoup trop tard à mon goût, j'ai faim et j'ai raté l'heure de la cantine. Je n'ai pas su l'arrêter dans son discours rodé et répété ad nauseam. Elle s'en lasse jamais... Je la raccompagne rapidement à sa chambre. "Je n'ai jamais eu l'intention de mourir, n'est ce pas docteur ?". Sept TS dont beaucoup d'imaginatives. "Je ne suis pas médecin", je ferme la porte. Enfin !
Patient n°23
"Je dois rester ici... Une molaire veut ma peau !". Elle était dentiste. Elle a des traits qui me rappelle quelqu'un, avec cette veine sur son front. Je l'écoute à moitié, tant concentré à essayer de me rappeler ce souvenir. Le diagnostic est facile, et son histoire de patron envoyant une molaire pour la tuer était plus drôle dans la bouche d'un tiers. Je cherche, je cherche, je ne trouve rien. Elle me sort parfois de ma torpeur par un reniflement. Son gros nez m’absorbe, j'ai l'impression d'être aspiré par son appendice. Je me sens partir, paralysé par son histoire sans queue ni tête. Les paupières se ferment doucement, et je n'ai d'autre choix de me mordre la langue "Vous m'écoutez ? ". Sourire gêné...
Je succombe peu à peu à sa musique dentaire, je sens mon lourd corps tomber de la chaise. Elle n'a pas de lettre de licenciement, qu'est ce qu'elle me fait chier avec son histoire de patron...
C. Putain c'est elle ! Ca y'est, je peux l'écouter.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
pour info
les dentistes dingues peuvent être en fait victimes d'intoxication au mercure et sont soignés en psychiatrie pour de mauvaises raisons.
qq études sont en bas de page de l'article:
http://www.bastamag.net/Le-mercure-dentaire-un
les dentistes dingues peuvent être en fait victimes d'intoxication au mercure et sont soignés en psychiatrie pour de mauvaises raisons.
qq études sont en bas de page de l'article:
http://www.bastamag.net/Le-mercure-dentaire-un
unbeldi- Messages : 335
Date d'inscription : 11/02/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Faut être dingue pour mettre ses doigts dans des bouches puantes de toute façon.
Enfin, ça, les autres cavités, le corps, écouter des "gens" raconter leur vie,
au lieu de nous faire croire qu'ils ont la vocation, le sacerdoce, faudrait juste se dire ce sont des tordus, de suite on pige.
Enfin, ça, les autres cavités, le corps, écouter des "gens" raconter leur vie,
au lieu de nous faire croire qu'ils ont la vocation, le sacerdoce, faudrait juste se dire ce sont des tordus, de suite on pige.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Patient n°18
On l'appelle Trisonaurus dans le service.
Je feuillette absent son dossier, tout heureux. Non pas à cause de lui, mais c'est mon humeur du moment. Ca parle d'un vieux trisomique que personne ne veut. Ni son tuteur, ni les centres spécialisés. Il hébergeait ici avant même que le ciment des murs soit sec, mais personne ne sait précisément ce qu'il foutait là.
Pendant des années il ne faisait que déambuler dans les couloirs à faire le cochon. Ça le faisait rire, il lui en faisait peu. Puis peu à peu il a dépassé un autre stade de l'humanité : Ce qui était aussi drôle c'était de frapper les passants. Alors on l'a attaché, petit à petit. Un jour. Puis deux. Pour lui apprendre un peu la vie, vous voyez ? Il continuait de plus belle à frapper les gens. C'était toujours aussi drôle.
Alors on le laissait attacher tout en le sédatant.
Aujourd'hui cela faisait un mois qu'il était contentionné, ou qu'il était menotté, ça dépendait des points de vu. Heureusement que les parents s'en foutaient, sinon c'était un procès dans le cul.
J'attendais donc la doc pour la visite, le sourire aux lèvres. Elle m'appelle et on rentre tout deux dans sa chambre. Une grosse boule de graisse était posée sur le lit, avec deux trous vitreux ressortant d'un appendice chevelu. Trisonaurus. Son odeur d’escarre colonisait l'air libre et sa bite flasque se posait triomphalement au centre du lit.
Il perçoit un mouvement dans la chambre, je ne suis même pas certain que c'était nous. Il s'écrie, pleurnichant sans larmes "j'veux voir pôpa môman". La doc essaye de lui expliquer tant bien que mal qu'ici c'est la civilisation et qu'en civilisation on ne tape pas les gens. "J'veux voir pôpa môman", a priori il en a rien à foutre de la civilisation.
Le monologue médical se poursuit, sans conclusion. Les yeux vitreux me perçoivent et lancent à quelqu'un derrière moi "Comment va ? " Je lui réponds. Il répète. Ce petit jeu continue un bon moment, je suis aussi joueur. Et par un moment de lucidité je comprends enfin qu'il ne disait pas "Comment va" mais "Comment t'appelle ?". "Khermit, et vous ? " " ******". Effectivement je vouvoie les handicapés, c'est mon coté progressiste. Tenant sa réponse, il se rendort, épuisé par tant d'information.
On ferme la porte derrière nous, y'a le café qui nous attend.
On l'appelle Trisonaurus dans le service.
Je feuillette absent son dossier, tout heureux. Non pas à cause de lui, mais c'est mon humeur du moment. Ca parle d'un vieux trisomique que personne ne veut. Ni son tuteur, ni les centres spécialisés. Il hébergeait ici avant même que le ciment des murs soit sec, mais personne ne sait précisément ce qu'il foutait là.
Pendant des années il ne faisait que déambuler dans les couloirs à faire le cochon. Ça le faisait rire, il lui en faisait peu. Puis peu à peu il a dépassé un autre stade de l'humanité : Ce qui était aussi drôle c'était de frapper les passants. Alors on l'a attaché, petit à petit. Un jour. Puis deux. Pour lui apprendre un peu la vie, vous voyez ? Il continuait de plus belle à frapper les gens. C'était toujours aussi drôle.
Alors on le laissait attacher tout en le sédatant.
Aujourd'hui cela faisait un mois qu'il était contentionné, ou qu'il était menotté, ça dépendait des points de vu. Heureusement que les parents s'en foutaient, sinon c'était un procès dans le cul.
J'attendais donc la doc pour la visite, le sourire aux lèvres. Elle m'appelle et on rentre tout deux dans sa chambre. Une grosse boule de graisse était posée sur le lit, avec deux trous vitreux ressortant d'un appendice chevelu. Trisonaurus. Son odeur d’escarre colonisait l'air libre et sa bite flasque se posait triomphalement au centre du lit.
Il perçoit un mouvement dans la chambre, je ne suis même pas certain que c'était nous. Il s'écrie, pleurnichant sans larmes "j'veux voir pôpa môman". La doc essaye de lui expliquer tant bien que mal qu'ici c'est la civilisation et qu'en civilisation on ne tape pas les gens. "J'veux voir pôpa môman", a priori il en a rien à foutre de la civilisation.
Le monologue médical se poursuit, sans conclusion. Les yeux vitreux me perçoivent et lancent à quelqu'un derrière moi "Comment va ? " Je lui réponds. Il répète. Ce petit jeu continue un bon moment, je suis aussi joueur. Et par un moment de lucidité je comprends enfin qu'il ne disait pas "Comment va" mais "Comment t'appelle ?". "Khermit, et vous ? " " ******". Effectivement je vouvoie les handicapés, c'est mon coté progressiste. Tenant sa réponse, il se rendort, épuisé par tant d'information.
On ferme la porte derrière nous, y'a le café qui nous attend.
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Vous êtes si beau karmitouille, un jour vous trouverez l'ame soeur
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
(Non mais je vous rassure, pour moi il chante yoghourt).
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Tu viens d'égratigner gravement l'aura de l'une de mes idoles, je n'oublierai pas
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
david50 a écrit:
Tu viens d'égratigner gravement l'aura de l'une de mes idoles, je n'oublierai pas
Pour être libre faut savoir déboulonner ses idoles :p
-----------------------------------------------
Une femme m'attend dans la salle. Je jette un coup d’œil sur sa silhouette difforme, et me voilà de mauvaise humeur. Malgré tout je prends le temps avant de m’asseoir d'admirer sa peau boueuse formant de ci de là des plaques verdâtres. S'en émane une odeur si caractéristique. De quoi ? Mon infini connaissance hésite, rien ne me vient. Faut se faire à l'idée, il y a des jours sans.
Dans son coin, elle se tient à la manière des petites filles, comme si elle venait de faire une bêtise, toute immobile, puis me lance un salut sournois auquel je réponds par un sourire. Elle ne m'aime pas, signe que l'entretien se passera rapidement.
Mensonge. Sur son ton de voix d'abord, faussement dépressif, faussement lent. Il suffit de la titiller pour qu'elle reprenne une tonalité normale. Mais elle me ment aussi sur le reste. Sur ses habits pauvrement sexy, la raison de sa présence et ses mimiques. Deux minutes, et j'ai envie d'en finir, j'ai la nausée.
Son dossier... m'a déjà donné le tournis. Je déteste les états-limites, mais elle, elle... surpasse mes pires craintes. La femme devant moi est une suite d'immondice cristallisée en forme humaine.
J'ai habituellement un bon contact avec les prostituées. Mais aujourd'hui c'est au dessus de mes forces. C'est une pute comme on en fait presque plus, travaillant dès l'âge de six ans. Moi à cette âge j'étais certes sur le trottoirs, mais à jouer aux foot, un autre sport.
Je me reprends au milieu des bobards. Je dois trouver son identité ou au moins son pays d'origine. Elle ment toujours. Elle ne s'en rappelle plus, ne voit dans ses souvenirs que des hommes et la rue. Elle ment. Obligé. Je la cuisine en la brusquant et je suis particulièrement bon là dedans. Mon coté pragmatique sûrement. Elle ment moins. Bingo ! Pas de justificatifs, son mac les a, et les a peut être jeté. Me vient l'idée de le contacter, sait-on jamais et cela ne nous coûte rien, et puis je n'ai pas d'autres solutions sous la main.. C'est qu'on deviendrait un peu con devant ce genre de cas.
Saloperie de pute... Elle me met dans une situation inconfortable. J'ai une mission à faire et elle m'aide pas. Sa vie ne m'aide pas. Enfin j'veux dire l'aider, elle. On se comprend...
Ça a duré dix minutes. Dix putains de minutes. Je sors et j'en allume une, histoire de chasser l'air vicié qu'elle dégageait. La feuille que j'ai gâché n'est pas exploitable. La moitié est faux, l'autre moitié est ignoble et pourtant je dois faire un compte rendu d'ici une heure... Fumer me calme en occupant mes mains. Cela laisse mon regard divaguer. J'adore ce genre d'hôpitaux. Réellement. Il y a un charme qu'on ne retrouve nulle part ailleurs. Ce sont des petite villes ancienne dans la grande ville nouvelle. Un pied à l'intérieur et on a l'impression d'être revenu au XIXe. Gardant nos chemins, des statues mythologiques trônent sur les places. Derrière ces nus de bronze bravant le vent, on se sent en sécurité. Quant aux arbres, beaucoup sont des espèces protégées, eux.
Ils sont cinq, dont ma chef. Une grosse mama adorable. Dès qu'on la voit, on a envie de lui faire un câlin, de la pétrir de toute part pour en faire jaillir sa générosité. Elle explique le cas et me passe la parole. J'explique le cas. Et je passe la parole. L'assistance sociale explique le cas puis se tait. Silence. Le grand manitou lève le nez de son portable et nous toisant avec dédain "On a donc tout essayer ? ". On est affirmatif. "Elle est stabilisée ?". Hésitant sur le sens de la question, on reste affirmatif, après tout c'est sûrement la bonne réponse. Il chasse une mouche invisible de ses pattes poilues et nous gratifie de son sourire professorale. Prix de l'hospitalisation, acceptation de la réalité, en somme, on a fait ce qu'on a pu. La mama baisse ses yeux vers ses nichons. Cette fois-là ils ne seront d'aucune utilité.
Je ferme la salle de réunion sur la conclusion : elle sort jeudi. Et, alors même que je tourne la clef celle-ci m'ouvre enfin à mes souvenirs.
Le macchabée. Elle sentait le macchabée, c'est vrai...
Dernière édition par Kramithe le Mar 4 Nov 2014 - 22:40, édité 2 fois
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Docteur Destouches... bingo, bingo et bingo.
Foutrement bon à lire.
Foutrement bon à lire.
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Putain les mecs...
Que de la gueule, genre on est PDG d'un labo zorzor...
Pour planter le décors : on a une molécule qui a déjà son autorisation pour le cancer du poumon. Le but de cet exercice c'est de faire comme si on était une entreprise pendant 6 mois qui voudrait avoir une autorisation pour une maladie orpheline à la con.
Ce qu'ils ont décide ? " ouai Ben on va faire cette molécule UNIQUEMENT pour la maladie orpheline" au lieu de faire une extension d'AMM qui serait rentable ( c'est à dire qu'on aurait pu faire comme si la molécule avait comme première indication le cancer, puis on demande un élargissement pour la maladie orpheline). Comme si dans la vie réelle un seul labo ira dépenser des milliards pour 1000 pèquenauds...
Et les mecs... Me demandent de faire des études d'épidémio pour réduire encore le nombre de patients potentiels.
Putain les gars, c'est moi qui veut aller dans le public, et pourtant j'ai plus la notion de rentabilité qu'eux
Que de la gueule, genre on est PDG d'un labo zorzor...
Pour planter le décors : on a une molécule qui a déjà son autorisation pour le cancer du poumon. Le but de cet exercice c'est de faire comme si on était une entreprise pendant 6 mois qui voudrait avoir une autorisation pour une maladie orpheline à la con.
Ce qu'ils ont décide ? " ouai Ben on va faire cette molécule UNIQUEMENT pour la maladie orpheline" au lieu de faire une extension d'AMM qui serait rentable ( c'est à dire qu'on aurait pu faire comme si la molécule avait comme première indication le cancer, puis on demande un élargissement pour la maladie orpheline). Comme si dans la vie réelle un seul labo ira dépenser des milliards pour 1000 pèquenauds...
Et les mecs... Me demandent de faire des études d'épidémio pour réduire encore le nombre de patients potentiels.
Putain les gars, c'est moi qui veut aller dans le public, et pourtant j'ai plus la notion de rentabilité qu'eux
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Putain, comment que tu causes ! Et pis on comprend rien, je croyais que tu t'étais fait virer ?
Quoi qu'il en soit, ou bien ce labo a une crise de philanthropie aiguë, soit il y a autre chose qui n'apparaît pas... Quand ça ne semble pas logique c'est que la logique n'est pas celle qu'on croit (oui, je me répète, je suis une vieille chouette, alors je peux).
Quoi qu'il en soit, ou bien ce labo a une crise de philanthropie aiguë, soit il y a autre chose qui n'apparaît pas... Quand ça ne semble pas logique c'est que la logique n'est pas celle qu'on croit (oui, je me répète, je suis une vieille chouette, alors je peux).
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
là c'est pour du faux. C'est un exercice pour la fac. Mais dans notre jury y'aura des types de l'has...( haute autorité de santé).
PS: du coup ceux que j'appelle PDG sont juste des étudiants. Du coup, je suis invirable sur ce projet
PS: du coup ceux que j'appelle PDG sont juste des étudiants. Du coup, je suis invirable sur ce projet
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ah, moi qui imaginais déjà gros scandale, corruption et prévarication, je suis déçue
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Kramithe a écrit: J'adore ce genre d'hôpitaux. Réellement. Il y a un charme qu'on ne retrouve nulle part ailleurs. Ce sont des petite villes ancienne dans la grande ville nouvelle. Un pied à l'intérieur et on a l'impression d'être revenu au XIXe.
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Kramithe, j'adore ton style d'écriture.
Ça fera de supers nouvelles à la Edgar Poe
Ça fera de supers nouvelles à la Edgar Poe
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Passe cela à un patient en phase terminale.
Et dis lui, c'est Mis en pate qui offre la musique...
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
https://fr.news.yahoo.com/pauvres-pauvres-moins-moins-visibles-selon-rapport-054031565.html
"Autre précarité silencieuse: les hommes seuls. Jeunes, migrants, grands exclus ou pères célibataires, ce sont ceux qui ont le moins de revenus, avec en moyenne 437 euros par mois. 28% n'ont aucune ressource.
Ils sont particulièrement victimes du mal-logement. Près de la moitié ne vivent pas chez eux mais chez un proche, en centre d'hébergement, en squat ou à la rue. "Dans l'accès au logement, la priorité est donnée aux femmes et aux enfants", souligne Bernard Thibaud."
Mais ça ne vaut pas 10h d'harcèlement de rue sur une bourgeoise new yorkaise
"Autre précarité silencieuse: les hommes seuls. Jeunes, migrants, grands exclus ou pères célibataires, ce sont ceux qui ont le moins de revenus, avec en moyenne 437 euros par mois. 28% n'ont aucune ressource.
Ils sont particulièrement victimes du mal-logement. Près de la moitié ne vivent pas chez eux mais chez un proche, en centre d'hébergement, en squat ou à la rue. "Dans l'accès au logement, la priorité est donnée aux femmes et aux enfants", souligne Bernard Thibaud."
Mais ça ne vaut pas 10h d'harcèlement de rue sur une bourgeoise new yorkaise
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Aujourd'hui j'ai mal aux dents, mais ce n'est pas grave, je pourrais être séropositif
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Il dit qu'il voit pas le rapport.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Faut chercher, ce n'est pas trop dur.
Si j'avais voulus être clair je l'aurais été , tout comme toi le ninja!
Si j'avais voulus être clair je l'aurais été , tout comme toi le ninja!
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
on ne met pas les dents !
http://www.cosmopolitan.fr/,reussir-une-fellation-on-ne-met-pas-les-dents,2510859,1626673,4
Ainsi, en 1971 sort le disque aux influences glam, Hunky Dory, avec un David Bowie aux apparences toujours aussi féminines et les cheveux teints en rouge. Puis, début 1972, alors que son épouse Angela Barnett vient de mettre au monde son premier enfant, il déclare être homosexuel.
Quel enfoiré.
http://www.cosmopolitan.fr/,reussir-une-fellation-on-ne-met-pas-les-dents,2510859,1626673,4
Ainsi, en 1971 sort le disque aux influences glam, Hunky Dory, avec un David Bowie aux apparences toujours aussi féminines et les cheveux teints en rouge. Puis, début 1972, alors que son épouse Angela Barnett vient de mettre au monde son premier enfant, il déclare être homosexuel.
Quel enfoiré.
Invité- Invité
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