Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
tu peux étayer ton pr*****, y'a du boulot...
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
je peux pas le dire ici... mais je te donne deux indices :
l'un a rapport avec la main
l'autre avec la miche
l'un a rapport avec la main
l'autre avec la miche
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Et le tout un pain au chocolat ?
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Je suis enfin heureux comme un goret dans une déchetterie. Les pièces se mettent en place... Je suis pris à mon master ce qui donnera à mon C.V une couleur unique et je commence à faire de la recherche bibliographique pour ma thèse d'exercice ( pour les curieux l'épistémologie de la pharmacologie). Ma tutrice est tellement contente de moi ( cette excitation avant les résultats ) qu'elle est prête à me laisser signer le papier de septembre si j'fais pas d'la merde d'ici là.
J'ai enfin trouvé un domaine qui me transporte et me fascine hors du boulot. Coté humain, ça se passe beaucoup mieux. Les femmes ? De la rigolade, je commence à apprécier ses sourires radieux quand je demande un numéro, à jouer avec ect.
Et puis surtout, l'estime de soi est en train de monter comme jamais... Après une soirée avec un groupe où j'ai brisé le tabou fondateur et on m'a démoli, avec mon père qui prend tout mal et surtout ma présence... Ben, je suis arrivé à un stade où mon bonheur est devenu indépendant de ce que peut penser l'Autre.
C'était dur, mais j'ai dépassé la limite de la pensée gangrénée. Me voilà libre, enfin.
J'ai réinvesti aussi le corps, ce territoire que j'ai laissé trop longtemps en jachère. Encore un petit effort pour devenir républicain (on annexe pas une colonie d'un claquement de doigt).
Mais je suis sur la bonne voie.
Qu'est ce qu'il me reste ? Boarf, trois fois rien, aider une pote à détruire une assoc' que je pouvais pas encaisser (même s'ils faisaent de bonne fête) et continuer mes études comme si de rien n'était. Ah oui, et m'acheter un chat aussi...
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
indispensable le chat
Très heureuse de voir que tu vas bien!!
Très heureuse de voir que tu vas bien!!
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
On n'achète pas les chats
C't'idée de ouf. Le chat vient à toi, ce n'est pas toi qui décides.
Et sinon, félicitations. Pour tout
C't'idée de ouf. Le chat vient à toi, ce n'est pas toi qui décides.
Et sinon, félicitations. Pour tout
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
oregon a écrit:On n'achète pas les chats
C'idée de ouf. Le chat vient à toi, ce n'est pas toi qui décides.
Compris Bast !
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Birthwock a écrit: Ah oui, et m'acheter un chat aussi...
Ah ouais d'accord...
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
En voyant tantôt ces nuages assombrissant le ciel, et cette pluie drue qui lave Paris de ses habitants, je me suis retrouvé soudain seul dans ce lieu et mon âme. Ces gouttes qui s'écrasent sur l'asphalte dans une mare d'eau noirâtre m'ont rappelé la fugacité de ma triste vie. Ces chutes silencieuses vers leur fin me posent une question. Une seule question essentielle qui me taraude le bide depuis l'aube, ne quittant pas un seul instant mon esprit : putain je suis obligé d'aller bosser demain ? C'est férié merde... :-/
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Patate a écrit:Free !! Tu me retires les mots du clavier
...
Alors comme toi Free, je n'écoute plus la Radio (sauf FIP ^^)
j'ai l'impression que nous sommes d'accord sur le fond; mais bon fallait que tu défendes l'illusion de ta boutique. Ceci dit, il ne me semble pas que les illusions et autres placébos soient un bon pari de moyen terme, dans une vie. Sauf s'ils sont utilisés comme tels, auxquels cas ce ne sont plus vraiment des illusions, et on retombe sur Spino et spinard ..
Mermet est un flic comme les autres, on s'en fiche qu'il fasse partie de ceux qui ont le costard marqué "gentil".
'pas une raison pour fermer une des rares dernières émissions comme dit,
avec des "morceaux de subversivité" dedans...
à l'époque où j'étais vivant, j'ai démarché la radio, pour me rendre compte que les syndicats en interne sont tout aussi soumis (à l'opportunisme) que n'importe quel CE de n'importe quelle boîte privée, et j'y inclus la SNCF.
Je m'étais aussi renseigné sur l'existence d'association de défense de la radio publique. Il n'y en a jamais eu (sauf 3 péquenots qui avaient tenté un plan com bidon). C'est ce jour là que je suis mort une neuvième fois, j'ai compris que ce monde à la tronche de Nicolas Hollande, comportait une part de zombification sociale, de corruption éthique qui feraient pâlir les écuries d'Elide...
Un monde de bons petits soldats républicains, en somme.
"Et ta république, moi, j'la tringle", comme dirait l'aut' bobo alcoolo, là - le Renaud/Renard..
Free- Messages : 1257
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ça fait longtemps Free.... Ava ?
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Archibald Archibaldovitch a écrit:Ça fait longtemps Free.... Ava ?
define Ava
alors ça y'es tu as ton étoile d'esclave de luxe ?
tu vas pouvoir bénéficier des avantages corporatistes des "fields negros", comme disait Malcom ?
ces questions rhétoriques ne font en fait que te renvoyer la question: que fait la vie ?
je veux dire la vraie, celle en dehors de l'esclavage matérialiste..
"tant qu'y aura d'la Haine dans mes s'ringues, je ne chanterai que pour les dingues.."
Free- Messages : 1257
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Tu veux une réponse sérieuse ?Free a écrit:Archibald Archibaldovitch a écrit:Ça fait longtemps Free.... Ava ?
define Ava
alors ça y'es tu as ton étoile d'esclave de luxe ?
tu vas pouvoir bénéficier des avantages corporatistes des "fields negros", comme disait Malcom ?
ces questions rhétoriques ne font en fait que te renvoyer la question: que fait la vie ?
je veux dire la vraie, celle en dehors de l'esclavage matérialiste..
"tant qu'y aura d'la Haine dans mes s'ringues, je ne chanterai que pour les dingues.."
Eh bien je suis arrivé à un stade où j'ai accepté la réalité toute entière. Cela ne m'empêche nullement d'avoir mon corps qui crie de temps à autre "merde" mais néanmoins, j'accepte une grande partie de ce qui existe et c'est en cela que je me permets d'agir. D'agir beaucoup plus, en étant détaché des conséquences heureuses ou fâcheuses (ce qui est peut être pas si vrai, je reste tributaire des bonnes nouvelles).
Je suis aussi arrivé à la conclusion que je n'étais décidément pas zèbre. J'aime la lenteur, le temps de la réflexion, le beauté du ralenti. Mon présent s'est allongé si tu vois ce que je veux dire. Elle n'est plus frénétique, à la recherche d'une conclusion qui fermerait la parenthèse. Alors c'est peut être encore une illusion, celle de prendre le temps de construire du parfait, mais pour le moment c'est la notion de plaisir intrinsèque de vivre et de penser qui l'emporte (ce qui dans un certain sens reste la construction du parfait... mais je m'égare).
Mais bon, le fait d'avoir arrêté à fumer doit avoir aidé. Je sens toutes les odeurs, c'est dingue... comment j'ai pu vivre sans sentir tout cela :/
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
(Free, revenant sur mes phrases méchantes je te dis au moins mon profond sentiment partagé que chantait l'autre alcoolo)
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
@- Uččen - : t'inquiètes, on va pas "se coller au cul pour une photo" pour autant
ta sympathique réponse me fait penser au film "Tigre et Dragon";
- il y a une scène où le héros confie à l'héroïne que durant une séance de méditation, il a atteint une sorte niveau de plénitude que ses maîtres spirituels ne lui avaient jamais décrit. Bref, il avait atteint le "Détachement". Et le problème de ce niveau de sagesse, c'est qu'il s'y sentait seul.
c'est vrai quoi, à quoi ça sert d'être enfin détaché de tout, de fusionner avec l'ultime zénitude du tao ?
et là, il propose à la meuf un plan zénitude à deux;
bon moi j'aurai branché "Zhang Ziyi", mais bon il devait avoir la quéquête (spirituelle) qui collait moins alors il a choisit Michelle Yeoh - ça s'défend ! (d'un point de vue de gros spaghetti à boulettes, s'entend^^).
Archibald Archibaldovitch a écrit:
D'agir beaucoup plus, en étant détaché des conséquences heureuses ou fâcheuses (ce qui est peut être pas si vrai, je reste tributaire des bonnes nouvelles).
...
Alors c'est peut être encore une illusion, celle de prendre le temps de construire du parfait, mais pour le moment c'est la notion de plaisir intrinsèque de vivre et de penser qui l'emporte (ce qui dans un certain sens reste la construction du parfait... mais je m'égare).
ta sympathique réponse me fait penser au film "Tigre et Dragon";
- il y a une scène où le héros confie à l'héroïne que durant une séance de méditation, il a atteint une sorte niveau de plénitude que ses maîtres spirituels ne lui avaient jamais décrit. Bref, il avait atteint le "Détachement". Et le problème de ce niveau de sagesse, c'est qu'il s'y sentait seul.
c'est vrai quoi, à quoi ça sert d'être enfin détaché de tout, de fusionner avec l'ultime zénitude du tao ?
et là, il propose à la meuf un plan zénitude à deux;
bon moi j'aurai branché "Zhang Ziyi", mais bon il devait avoir la quéquête (spirituelle) qui collait moins alors il a choisit Michelle Yeoh - ça s'défend ! (d'un point de vue de gros spaghetti à boulettes, s'entend^^).
Dernière édition par Free le Ven 15 Aoû 2014 - 18:16, édité 1 fois
Free- Messages : 1257
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Localisation : Tardis.XLII
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Free a écrit:@- Uččen - : t'inquiètes, on va pas "se coller au cul pour une photo" pour autantArchibald Archibaldovitch a écrit:
D'agir beaucoup plus, en étant détaché des conséquences heureuses ou fâcheuses (ce qui est peut être pas si vrai, je reste tributaire des bonnes nouvelles).
...
Alors c'est peut être encore une illusion, celle de prendre le temps de construire du parfait, mais pour le moment c'est la notion de plaisir intrinsèque de vivre et de penser qui l'emporte (ce qui dans un certain sens reste la construction du parfait... mais je m'égare).
ta sympathique réponse me fait penser au film "Tigre et Dragon";
- il y a une scène ou le héros confie à l'héroïne que durant une scène de méditation, il a atteint une sorte niveau de plénitude que ses maîtres spirituels ne lui avaient jamais décris. Bref, il avait atteint le "Détachement". Et le problème de ce niveau de sagesse, c'est qu'il s'y sentait seul.
c'est vrai quoi, à quoi ça sert d'être enfin détaché de tout, de fusionner avec l'ultime zénitude du tao ?
et là, il propose à la meuf un plan zénitude à deux;
bon moi j'aurai branché "Zhang Ziyi", mais bon il devait avoir la quéquête (spirituelle) qui collait moins alors il a choisit Michelle Yeoh - ça s'défend ! (d'un point de vue de gros spaghetti à boulettes, s'entends^^).
Non mais les asiat ils veulent du détachement dans l'immobilise. Je suis un homme de mon temps, je crois au détachement dans le mouvement (ce qui permet de s'intégrer à la société en plus).
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
il me semble que ça dépend des voix du Tao (j'y connais rien)
mais bon à l'époque j'étais tombé sur différents textes qui expliquaient bien que le fait de vouloir l'immobilisme, c'était justement ne pas se détacher:
tu es (aussi) un humain, ben tu fais avec, tu suis le mouvement d'intégration, ça fait partie du détachement;
sans pour autant céder aux diverses sirènes de cette dynamique, ce qui est très subversif (et là tu as la story-line de Kung-Fu, p'tit scarabé^^).
pour rester dans les nouilles, ça me donne une piste (en fer) de pkoi les ricains ont deux cm de moins en moy. que les français
pour les quelques contemporains d'asie que j'ai pu fréquenter sur place, la plupart vivent bien le fait de s'intégrer, mais je comprends ce que tu veux dire: ils bossent souvent surtout ce qu'il faut pour survivre et n'en font guère plus.. sauf les dominants sociaux, bien entendu;
c pas pour rien si l'asie a connu d'immenses grèves ces 10 dernières années...
mais bon à l'époque j'étais tombé sur différents textes qui expliquaient bien que le fait de vouloir l'immobilisme, c'était justement ne pas se détacher:
tu es (aussi) un humain, ben tu fais avec, tu suis le mouvement d'intégration, ça fait partie du détachement;
sans pour autant céder aux diverses sirènes de cette dynamique, ce qui est très subversif (et là tu as la story-line de Kung-Fu, p'tit scarabé^^).
pour rester dans les nouilles, ça me donne une piste (en fer) de pkoi les ricains ont deux cm de moins en moy. que les français
pour les quelques contemporains d'asie que j'ai pu fréquenter sur place, la plupart vivent bien le fait de s'intégrer, mais je comprends ce que tu veux dire: ils bossent souvent surtout ce qu'il faut pour survivre et n'en font guère plus.. sauf les dominants sociaux, bien entendu;
c pas pour rien si l'asie a connu d'immenses grèves ces 10 dernières années...
Free- Messages : 1257
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
C'est pas que je suis humain, c'est que je suis une pute de parvenu.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Free a écrit:
tu es (aussi) un humain, ben tu fais avec, tu suis le mouvement d'intégration, ça fait partie du détachement;
Archibald Archibaldovitch a écrit:C'est pas que je suis humain, c'est que je suis une pute de parvenu.
mon "tu" était générique ;
mais oui, si tu ne te contentes pas juste de ce qu'il est raisonnable/prudent de commencer à construire socialement,
selon l'adage "à Rome commençons par une petite tente romaine, on verra après si on plie bagage ou pas",
mais que tu te complais avec paresse au confortable matérialisme, en bon petit hollandiste individualiste pantouflard ... et en y ajoutant un zest d'ascension matérialiste pour tromper l'ennui d'une telle vacuité... (élitisme, qd tu nous tiens..)
alors, je suppose que ta description contient plus de pertinence qu'il ne serait diplomate d'admettre
ceci dit, comme dirait ma tante:
pas de rêve de gloire ! une péripatéticienne a plus de dignité que cela !
#SassyVanityBitching [insert relevant degree level]
et puis la lucidité n'est pas une excuse
parodiant Chichi en un sang glauque
Free- Messages : 1257
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Localisation : Tardis.XLII
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
A un congrès d'émancipation de la femme :
La première à prendre la parole est allemande :
- Bonjour, mon nom est Birgit, et j'ai avisé mon mari : Helmut, prépare le dîner ! Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais au bout du 3ème, Helmut me prépara le dîner. APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Italienne :
- Bonjour, je m'appelle Isabella, et j'ai dit à mon mari : Luigi, à partir de demain tu nettoies toi même la maison. Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, Luigi avait passé l'aspirateur. APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Algérienne :
- Bonjour, mon nom est Yasmina et j'ai dit à mon mari : Mohamed, repasse le linge, fainéant !!!! Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, j'ai commencé à revoir un peu de l'œil gauche !
La première à prendre la parole est allemande :
- Bonjour, mon nom est Birgit, et j'ai avisé mon mari : Helmut, prépare le dîner ! Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais au bout du 3ème, Helmut me prépara le dîner. APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Italienne :
- Bonjour, je m'appelle Isabella, et j'ai dit à mon mari : Luigi, à partir de demain tu nettoies toi même la maison. Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, Luigi avait passé l'aspirateur. APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Algérienne :
- Bonjour, mon nom est Yasmina et j'ai dit à mon mari : Mohamed, repasse le linge, fainéant !!!! Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, j'ai commencé à revoir un peu de l'œil gauche !
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Merci j'ai souri.
J'en avais un peu besoin, on m'a un peu forcé à faire le point. Quand je fais le compte, ado je me suis cru schizoïde, puis asperger, j'ai cru avoir une partie zèbre quoi que cela voulait dire ...
Et puis au final. Rien. Je dois pas être fait du même bois que les autres. Même mon psy ne trouve rien, il comprend pas quel est mon problème avec les autres. Ça restera un grand mystère j'ai l'impression. Du coup si j'en tire les conclusion, j'ai plus rien à faire ici, dans tous le sens du ici. Autant devenir un vagabond ou marin, mais c'est la mauvaise époque pour ça.
J'en avais un peu besoin, on m'a un peu forcé à faire le point. Quand je fais le compte, ado je me suis cru schizoïde, puis asperger, j'ai cru avoir une partie zèbre quoi que cela voulait dire ...
Et puis au final. Rien. Je dois pas être fait du même bois que les autres. Même mon psy ne trouve rien, il comprend pas quel est mon problème avec les autres. Ça restera un grand mystère j'ai l'impression. Du coup si j'en tire les conclusion, j'ai plus rien à faire ici, dans tous le sens du ici. Autant devenir un vagabond ou marin, mais c'est la mauvaise époque pour ça.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ah mince t'étais là pour trouver un sens à ta vie ou partager avec des qui seraient comme toi ?
Merde alors...
Tu veux pas juste poser des crottes comme tout le monde ?
(enfin tout le monde qui compte)
Merde alors...
Tu veux pas juste poser des crottes comme tout le monde ?
(enfin tout le monde qui compte)
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Un sens ? Non où tu as lu ça ?
Je sais pas, ça t'a jamais frappé de voir que les vieux basané arrivent à communiquer avec tout le monde de manière fluide, alors que nous autres les blancs ou les blanchis la communication est mécanique ?
Je sais pas, ça t'a jamais frappé de voir que les vieux basané arrivent à communiquer avec tout le monde de manière fluide, alors que nous autres les blancs ou les blanchis la communication est mécanique ?
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Bah désolé pour le sens, pour te comprendre alors, et sinon laisse on s'en fout.
Si tu pouvais arrêter avec tes histoires de blancs/ blanchitude...
Mais je vois très bien ce que tu veux dire.
Disons que c'est aussi question de génération, d'expérience de la vie,
d'instruction, éducation (car sans tous avoir été à l'école ou avoir bénéficié d'études longues,
ils avaient une leçon de vie de la part des anciens, et la vie était sociale, on vivait en groupe, et la vie était orale, on restait pas cloîtré, à balbutier dans son coin ses non-dits...cependant aurais-tu aimé vivre ainsi, sans trop de secret, sans réelle possibilité de solitude) et c'était le pendant en France, où beaucoup ont fait leurs classes au sein du petit peuple, les vieux français qui ne sont pas de la haute ont aussi un peu cette gouaille, mais c'est vrai que souvent je suis frappé par la fluidité, la vivacité, l'intelligence, la mémoire, la sagacité des vieux nord-africains, d'un côté comme l'autre de la Méditerranée, quand les nouvelles générations confinent trop souvent à l'âne bâté (produits d'une politique qui y trouve son compte).
Si tu pouvais arrêter avec tes histoires de blancs/ blanchitude...
Mais je vois très bien ce que tu veux dire.
Disons que c'est aussi question de génération, d'expérience de la vie,
d'instruction, éducation (car sans tous avoir été à l'école ou avoir bénéficié d'études longues,
ils avaient une leçon de vie de la part des anciens, et la vie était sociale, on vivait en groupe, et la vie était orale, on restait pas cloîtré, à balbutier dans son coin ses non-dits...cependant aurais-tu aimé vivre ainsi, sans trop de secret, sans réelle possibilité de solitude) et c'était le pendant en France, où beaucoup ont fait leurs classes au sein du petit peuple, les vieux français qui ne sont pas de la haute ont aussi un peu cette gouaille, mais c'est vrai que souvent je suis frappé par la fluidité, la vivacité, l'intelligence, la mémoire, la sagacité des vieux nord-africains, d'un côté comme l'autre de la Méditerranée, quand les nouvelles générations confinent trop souvent à l'âne bâté (produits d'une politique qui y trouve son compte).
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Jeune génération je ne sais pas...
Et puis certains, je dirais même tous ont des leçons de vie à partager. Et pourtant on ressent encore le cliquetis de la machine.
EN tout cas merci, c'était donc pas une divagation.
Et puis certains, je dirais même tous ont des leçons de vie à partager. Et pourtant on ressent encore le cliquetis de la machine.
EN tout cas merci, c'était donc pas une divagation.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Nan, sans parler de ceux que l'on peut croiser ici ou ailleurs,
j'en vois assez souvent qui dénotent, aux mêmes postes, que leurs équivalents "français", africains, antillais...
Distance et amusement vis à vis de la fonction occupée, accomplie bien comme il faut mais sans plainte ou ennui ou respect sacerdotal, humour en prime, énergie manifeste, passion et verve communicante quand les autres ronchonnent ou s'enkystent en larves sans intérêt.
Les jeunes ont la communication plus facile que ceux qui l'ont mécanique,
mais ça ne vole pas haut majoritairement.
Bon après faut s'arrêter on va venir parler de racisme, préjugés bla bla..
j'en vois assez souvent qui dénotent, aux mêmes postes, que leurs équivalents "français", africains, antillais...
Distance et amusement vis à vis de la fonction occupée, accomplie bien comme il faut mais sans plainte ou ennui ou respect sacerdotal, humour en prime, énergie manifeste, passion et verve communicante quand les autres ronchonnent ou s'enkystent en larves sans intérêt.
Les jeunes ont la communication plus facile que ceux qui l'ont mécanique,
mais ça ne vole pas haut majoritairement.
Bon après faut s'arrêter on va venir parler de racisme, préjugés bla bla..
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
caracol(e) a écrit:Mais bon,le fait d'avoir arrêté à fumer doit avoir aidé. Je sens toutes les odeurs, c'est dingue... comment j'ai pu vivre sans sentir tout cela :/
(j'ai lu le reste mais enfin, ceci reste le plus important - sauf la métaphore de Free s'appuyant sur le film de Tigre et Dragon ^^ ) : bravo ! t'es prêt maintenant pour le masque / foulard / bidule au choix pour éviter de trop te laisser submerger par le monde olfactif ;-)
Zwischending- Messages : 889
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Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ahah non mais ça va. À part l'odeur de la gerbe et des égouts le reste me dérange pas trop.
Je sais pas si tu as vu mais la rue des rosiers devient piquante, un journaliste anglais s'est fait agressé là bas, parce qu'il portait un foulard palestinien et même chose à barbes parce qu'il portait une kippa ( ça c'est du journalisme total).
Je sais pas si tu as vu mais la rue des rosiers devient piquante, un journaliste anglais s'est fait agressé là bas, parce qu'il portait un foulard palestinien et même chose à barbes parce qu'il portait une kippa ( ça c'est du journalisme total).
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Invité a écrit:En soi j'aime pas parler de mes problèmes. Mais au final ça me bouffe depuis des années avec les zèbres, les non zèbres, les sorciers, les moldus et ta mère. Ça serait un peu flou parce que j'ai élaboré tout ça ce matin, alors m'en demandez pas trop aujourd'hui.
Quand je suis avec quelqu'un, je suis sur deux modes : Le mode cognitif si il y a un problème urgent à résoudre donc on va dire 10 % du temps, et intuitif pour tout le reste (90 % du temps).
Autrement dit, lors d'une interaction avec une personne je ne réfléchis pas je fonce tête baissée. Et tant mieux parce que si je me mets en mode cognitif je reste dans mon monde intérieur, et je n'en ressors uniquement pour donner une réponse sèche. Ce qui est chiant pour tout le monde, me donne l'air arrogant méchant et sûrement plein d'autres adjectifs dégueulasses.
Mais j'ai beau être intuitif avec les autres, je n'ai jamais ce que je souhaite. Jamais. Jamais parce que sur le moment, je m'oublie un peu, donc je ne sais pas trop ce dont j'ai besoin, sur le coup je m'amuse, j'expérimente, mais c'est tout.
Par conséquent, on a beau m'apprécié j'ai beau touché du doigt ce que je souhaite dans la relation avec une personne, je ne le tiens jamais. Parce que l'autre de son coté, il s'est déjà fait une idée de moi, et c'est généralement rarement (pour ne pas dire jamais :p ) la même idée que je me suis faite de notre relation. Non parce qu'en plus de ça, je suis un peu lent à la détente. On me présente une personne, pour moi ce n'est qu'un tas de viande. Et il me faut, je sais pas moi... bien un bon mois pour que je me fasse une idée complète et détaillée de cette personne. Alors que l'autre en 3 ms il sait déjà à quoi il va me faire travailler...
Alors malin, j'ai expérimenté le "je prends ce dont j'ai besoin. Conan c'est moi". Ca marche une semaine. La personne n'a pas dit non parce qu'elle était un peu étonnée, et pouf, elle fuit parce que quand même il y a incompatibilité du cadre hé ho, j'ai pas signé pour ça.
Du coup en soi, je n'ai pas d'ami, que des connaissances avec qui échanger des anecdotes et trois blagues carambar. Pas non plus de relation intime, parce que même si j'ai une facilité déconcertante à toucher l'âme des gens c'est pas une donnée suffisante. J'ai pas de confident, parce que si c'est un gars c'est "ho allons ! Je suis pas payday" ! si c'est une meuf la voilà en train de tomber amoureuse/où croit que je suis dans une phase romantique, ou alors si c'est un zèbre c'est un peu "je m'en fous Gaston". J'ai de l'affection à donner et personne n'en veut. Alors ado j'ai essayé de tout canaliser sur une personne et .... mauvaise idée, alors jeune adulte j'ai essayé de faire gicler sur tout le monde... et tout le monde la recrache.
J'ai pas de solution. Enfin si, j'ai des solutions. Truc tout con : Je veux séduire une fille, on me demande comment faire, là maintenant à froid je sais exactement quoi faire. Je suis devant elle, mais j'oublie complètement d'où je viens, pourquoi je viens et qu'est ce que je fous là...
Il m'est même arrivé un jour d'aller chez un pote pour lui demander des fiches. J'y vais. On discute. Et dans les transports en rentrant je me rends compte que j'ai complètement oublié ces fiches. Complètement. Je suis devant quelqu'un homme, femme, enfant, je deviens éthéré. La bonne nouvelle étant que quand je suis malade, je guéris momentanément en présence de quelqu'un.
La seule façon de retenir ce que je fous là devant cette personne, c'est en mode cognitif. Alors, c'est magnifique pour le travail. J'arrive, je résous le problème du groupe en 10 minutes top chrono en comptant le temps d'évacuer la contre argumentation et de convaincre le sceptique là bas et hop. C'est cool. Mais les relations humaines c'est pas ça. J'ai déjà essayé for fun d'essayer de convaincre froidement et je peux vous assurer que ça ne marche pas.
Et le pire.. LE PIRE ! C'est que bon, je vous raconte tout ça, ça se voit que je suis un gros loser. Ben non, pas aux yeux des gens. Pour eux, je suis un tombeur de nenette, j'ai plein d'ami; on me cire les pompes, on me cajole, je suis un peu le gars extra et mystérieux qui est bien entouré. C'est une mascarade continuelle.
Je suis en Enfer. Il n'y a pas de flamme, la douche est fonctionnelle, j'ai un lit propre, on s'occupe bien de moi, mais j'ai une soif et une faim qui me taraudent depuis une éternité alors que la rivière et le pommier sont là, à ma vue mais hors de portée de la bouche.
Je ne remercie pas la personne qui a remonté ce fil...
Depuis cet aprem je me demande ce qui a véritablement changé depuis un an, j'ai même pas pu profiter des gardiens de la galaxie (qui est le fdp qui a inventé la 3D ?).
Au final j'aurai pu encore écrire la même chose. A ceci près qu'entre temps j'ai appris à agir, à être dans l'action. C'est que le bonhomme est rentré dans le beau monde. Je croyais fermement que pour sentir la fraîcheur d'une rivière il fallait se jeter à l'eau et aller chez le coiffeur comme les vrais gens ! Et bien même là... Au mieux on se retrouve au centre d'un cyclone, on voit le monde tourbillonner, se déchirer sous nos yeux. Mais là à mes pieds, pas un pet de vent. Rien. Sucez votre doigt et levez le, v'voyez ?
On oublie cette faim en marchant ou en riant au choix. Mais elle est toujours là cette crampe. Aller au devant des personnes ne change rien, à part avoir l'ivresse de s'oublier (parfois s'oublier en parlant de soi...). Les mecs se cognent contre des murs, à chercher leur identité, une étiquette à se coller au front. A comment vivre, ils comprennent de quelle manière vivre au lieu de comment y parvenir. Peuvent pas vous répondre. Certains potos se marient, font des gosses, montent des boites, trompent leur nana, se tapent avec la poliss ou se noient. A chacun sa manière de fuir. Mais pour la réponse, vous pouvez aller vous faire enculer.
La solution se dessine peu à peu, éliminant les options une par une il reste plus grand'chose faut dire. S'occuper. Ouaip. J'ai pas mieux.
PS: Non mais ça va hein, la beta de pillars of eternity vient de sortir et ça nixamère.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
J'ai un de mes meilleurs potes (enfin, meilleur pote, on s'adore mais on se voit pas, s'écrit pas, communique pas, c'est assez platonique comme relation potesque) qui est comme toi vu de l'extérieur... du coup, te lire me donne l'impression de mieux comprendre ce qui pourrait bien se passer à l'intérieur. C'est cool.
Waka- Messages : 3452
Date d'inscription : 06/11/2011
Age : 40
Localisation : A l'ouest mais au Sud.
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
le comment y parvenir, c'est la quête de puissance ? Spinoza encore ?
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Free a écrit:le comment y parvenir, c'est la quête de puissance ? Spinoza encore ?
J'allais te répondre non. Puis hier j'ai maté un docu sur la guerre froide. Et au final ça m'a donné plein d'idée. Donc je te répondrais : Y'a moyen.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Coucou AA
C'est qui l'homme sur ta photo de profil ?
C'est qui l'homme sur ta photo de profil ?
Bacha Posh- Messages : 568
Date d'inscription : 21/06/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Jas a écrit:Coucou AA
C'est qui l'homme sur ta photo de profil ?
L'homme qui a fait que tu as pu naître.
Le vice-amiral Vasili Alexandrovich Arkhipov
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Mouai, je pense quand même que j'y serais arrivée sans lui mais bon... Merci de me l'avoir fait connaître !
Bacha Posh- Messages : 568
Date d'inscription : 21/06/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Bonne idée de confier des ogives à des colériques.Commander Vadim Pavlovich Orlov, a participant in the events, presents them less dramatically, saying that Captain Savitsky had merely lost his temper, but eventually calmed down
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Dernière édition par Jas le Jeu 21 Aoû 2014 - 15:26, édité 1 fois
Bacha Posh- Messages : 568
Date d'inscription : 21/06/2014
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Pas grand chose.
Ça me rappelle ma rencontre d'un médecin tibétain en Chine qui faisait sortir des éclairs de ses doigts. J'ai jamais si comment il faisait.
Ça me rappelle ma rencontre d'un médecin tibétain en Chine qui faisait sortir des éclairs de ses doigts. J'ai jamais si comment il faisait.
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Comme ca m'énerve ses gens qui te posent une question mais ne savent pas écouter toutes les réponses .... Nom de dieu..
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
je fais trois kilotonnes de précautions oratoires qui prévoient les objections,
et c'est jamais pris en compte, tu penses bien, on est tellement habitué à chercher la faiblesse chez l'autre,
on est de bons petits rats à l'agressivité canine bien dressée
du coup, je répète, répète...
comme le mec qui me demande ce que j'entends pas chaos alors que je l'ai défini 2 posts plus haut.
mais comme je suis fainéant, alors je fais semblant de refuser de répondre à nouveau,
en me promettant de ne plus faire que des réponses lapidaires.
et puis je me retrouve à faire des parenthèses, de la taille d'un roman, bonnes à s'poiler
VDM
et c'est jamais pris en compte, tu penses bien, on est tellement habitué à chercher la faiblesse chez l'autre,
on est de bons petits rats à l'agressivité canine bien dressée
du coup, je répète, répète...
comme le mec qui me demande ce que j'entends pas chaos alors que je l'ai défini 2 posts plus haut.
- Spoiler:
- (même si me reposer la question à ce moment là m'aurait souvent permis de rebondir, comme de préciser un peu cette part d'irréductible chaos - mais si, le chaos: cette part d'inextricable-complexité-d'imprévisions-imprévisibles-imprédictibles-interactions-entropiques qui, à chaque fois que l'on tente de les résoudre, se complexifient, sur d'autres aspects de l'ensemble conceptuel des phénomènes-jamais-totalement-isolés observés)
mais comme je suis fainéant, alors je fais semblant de refuser de répondre à nouveau,
en me promettant de ne plus faire que des réponses lapidaires.
et puis je me retrouve à faire des parenthèses, de la taille d'un roman, bonnes à s'poiler
VDM
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Archibald Archibaldovitch a écrit:
Je suis enfin heureux comme un goret dans une déchetterie.
LOL !
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
J'viens d'avoir un flash...
Je me demandais pendant ma pause qui n'en finissait pas, pourquoi dans ces moments d'insouciance Carmen se frayait toujours un chemin à travers ma gorge. Je veux dire, c'est étrange que spontanément ça soit cet opéra qui me vient à l'esprit alors que ça doit faire des années que je ne l'écoute plus. Et de fil en aiguille sans que je sache pourquoi je pense à Sandrine.
Sandrine avait 7 ans, on était voisin de table. J'ai ce souvenir assez précis... on est au printemps et la prof nous fait un cours assommant alors même que le soleil nous dictait de dormir. Je décide donc de lutter comme un vrai bonhomme contre Morphée et je m'amuse avec cette équerre qui reflète la lumière. Je dessine sur les murs comme un Picasso en herbe, la lumière virevolte et je me demande à cet instant si d'autres la voyaient tout comme moi. Alors je dessine aussi sur la prof... J'écris mon nom sur sa robe j'effleure ses joues, et puis j'attaque ses yeux. Elle m'engueule, je boude.
Sandrine est à coté de moi, elle gloussait innocemment de ma connerie. Comment dire, j'ai pas souvenir qu'elle était une flèche, on faisait la compétition de qui aura le plus de bons points. Elle me battait mais c'était parce que c'était une fille et qu'elle travaillait dur.
Elle était blonde, avec des yeux verts et quand elle réfléchissait elle fronçait légèrement les sourcils, un peu comme quand on fait caca. Moi à l'époque j'aimais la bagarre et les figurines de guerre. J'voulais être avec les autres garçons dans la classe (notamment deux qui avaient pas mal de culture pour leur âge) mais on m'a mis avec cette fille...
Et au final, je crois que si j'ai dû un jour de ma vie connaitre l'amour c'était bien avec elle. Elle me posait toujours des questions, connaissaient plein de jeu. Elle sentait quand je m'ennuyais et dès cet instant elle me proposait de jouer ou de dessiner pour elle, alors même que parfois elle avait pas fini son exercice. Qu'on s'occupait tant de moi ça faisait bizarre, je dirais même des frissons dans tout mon corps. Elle était dans son monde, pas vraiment copine avec les autres filles, pas vraiment là, mais toujours ce regard de concentration en fronçant les sourcils pour pousser le caca. J'aimais beaucoup ses cheveux, le jaune me fascinait, on avait pas de pareil dans toute la famille ! Elle est resté 3 mois je crois bien.
Voilà. Maintenant je suis certain d'où vient ma disposition à être attiré par les blondasses. Une bonne chose de faite !
Je me demandais pendant ma pause qui n'en finissait pas, pourquoi dans ces moments d'insouciance Carmen se frayait toujours un chemin à travers ma gorge. Je veux dire, c'est étrange que spontanément ça soit cet opéra qui me vient à l'esprit alors que ça doit faire des années que je ne l'écoute plus. Et de fil en aiguille sans que je sache pourquoi je pense à Sandrine.
Sandrine avait 7 ans, on était voisin de table. J'ai ce souvenir assez précis... on est au printemps et la prof nous fait un cours assommant alors même que le soleil nous dictait de dormir. Je décide donc de lutter comme un vrai bonhomme contre Morphée et je m'amuse avec cette équerre qui reflète la lumière. Je dessine sur les murs comme un Picasso en herbe, la lumière virevolte et je me demande à cet instant si d'autres la voyaient tout comme moi. Alors je dessine aussi sur la prof... J'écris mon nom sur sa robe j'effleure ses joues, et puis j'attaque ses yeux. Elle m'engueule, je boude.
Sandrine est à coté de moi, elle gloussait innocemment de ma connerie. Comment dire, j'ai pas souvenir qu'elle était une flèche, on faisait la compétition de qui aura le plus de bons points. Elle me battait mais c'était parce que c'était une fille et qu'elle travaillait dur.
Elle était blonde, avec des yeux verts et quand elle réfléchissait elle fronçait légèrement les sourcils, un peu comme quand on fait caca. Moi à l'époque j'aimais la bagarre et les figurines de guerre. J'voulais être avec les autres garçons dans la classe (notamment deux qui avaient pas mal de culture pour leur âge) mais on m'a mis avec cette fille...
Et au final, je crois que si j'ai dû un jour de ma vie connaitre l'amour c'était bien avec elle. Elle me posait toujours des questions, connaissaient plein de jeu. Elle sentait quand je m'ennuyais et dès cet instant elle me proposait de jouer ou de dessiner pour elle, alors même que parfois elle avait pas fini son exercice. Qu'on s'occupait tant de moi ça faisait bizarre, je dirais même des frissons dans tout mon corps. Elle était dans son monde, pas vraiment copine avec les autres filles, pas vraiment là, mais toujours ce regard de concentration en fronçant les sourcils pour pousser le caca. J'aimais beaucoup ses cheveux, le jaune me fascinait, on avait pas de pareil dans toute la famille ! Elle est resté 3 mois je crois bien.
Voilà. Maintenant je suis certain d'où vient ma disposition à être attiré par les blondasses. Une bonne chose de faite !
Invité- Invité
Re: Spinozisme pratique : Le féminisme dans une ambulance.
Ouais...
On compatit.
(euh nan en fait bien fait pour toi)
On compatit.
(euh nan en fait bien fait pour toi)
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