Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
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Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Bonjour à tous,
J'entame ici mon premier post hors présentation sur ce forum parce que j'ai la volonté sincère de ne plus me laisser abattre par mes émotions négatives, et de m'épanouir sans concession.
Parallèlement à ma supposée zébritude qui en est probablement l'origine, je souffre vraisemblablement de maniaco-dépression. Comme vous le savez sûrement, cela se caractérise par des aléas émotionnels me faisant passer d'un état euphorique à une souffrance profonde, sans forcément qu'il n'y ait de raison factuelle évidente. Je parle de ça, parce que je ne sais pas si c'est lié à mon problème, mais je le soupçonne.
Depuis six mois, je suis en couple avec un non-zèbre. Un pas du tout zèbre même ! Bien que ce soit une personne intelligente, cultivée, bosseuse, il n'est pas guidé par ses émotions. Il parvient assez aisément -plus que moi en tout cas- à gérer ses problèmes et ses humeurs. En amour, nous fonctionnons vraiment différemment : il construit les choses sur la durée, les sentiments se développent au fur et à mesure, alors que de mon côté tout est très intuitif, je m'attache très vite et sait dès les débuts si je vais ou non tomber amoureuse. Malgré tout, il y a quelques temps il m'a dit qu'il m'aimait et mes "récepteurs sensoriels" particulièrement développés me laissent à penser qu'il est sincère, et qu'effectivement, c'est sérieux entre nous. On discute beaucoup, je lui ai parlé de mon passé et de la surdouance. Il comprend rationnellement, mais a du mal à l'intégrer dans le ressenti, puisque ce sont des choses qui lui sont parfaitement étrangères.
Bref, on a appris et on apprend encore aujourd'hui à se connaître et à évoluer ensemble malgré nos différences. Néanmoins, j'ai des angoisses récurrentes. Habituée à des relations passionnelles, tourmentées, toujours dans le mélo-drame et l'exacerbation des sentiments, il m'arrive très souvent d'avoir peur que ses sentiments ne soient pas ceux que j'espère, tout simplement parce qu'il ne les exprime pas de la même manière. J'ai cet idéal en amour de gestes permanents et un peu exceptionnels pour prouver son amour à l'autre, des choses qui peuvent être simples dans leur mise en place mais suffisamment inattendues pour qu'elles réjouissent mon cœur. Or, chez lui, ce n'est pas du tout une évidence ... il n'est juste ... pas comme ça ! Enfin, c'est ce que je me dis dans mes moments de lucidité.
Je n'arrive pas à m'empêcher d'angoisser, de redouter de ne pas être la bonne, d'imaginer que ces choses qu'il n'arrive pas à faire pour moi, ou à me dire, il les aurait faites pour une autre. Ou pour son ex à laquelle je n'arrive pas à ne pas me comparer et à côté de laquelle je me sens profondément nulle. Je me dis, pour résumer : "Et si tout ça n'était pas dû à nos différences, mais juste au fait qu'il ne m'aime pas vraiment ?". Ça me fait terriblement souffrir, et lui aussi indirectement parce qu'il n'aime pas me voir malheureuse.
Je suis complètement perdue entre mon cerveau rationnel, logique, celui qui aimerait que j'aie plus de détachement, de confiance en moi et d'indépendance, et ce satané cerveau qui ressent tout puissance mille et qui m'empêche de combattre une espèce d'ombre démoniaque qui s'empare de tout mon être (au point de m'en rendre malade physiquement, ça fait plusieurs jours que je n'arrive plus à m'alimenter). Et si j'ai autant de doute, c'est parce que mon cerveau émotionnel, malgré les phases paranoïaques et les exagérations qui arrivent parfois, est la plupart du temps dans le vrai. Il me permet de lire, décrypter, comprendre les gens rapidement sous des aspects dont eux-mêmes n'ont pas conscience, d'anticiper des situations, de deviner des choses ... du coup j'ai toujours la crainte de me tromper en pensant "tu fantasmes cette fois" alors que j'ai si souvent été dans le vrai grâce à ces récepteurs sensoriels.
Pour revenir à l'intro, cette angoisse a surgi brutalement il y a quelques jours, et je me demande si je ne suis pas tout simplement dans une rechute maniaco-dépressive, c'est-à-dire que je retombe dans la phase dépressive. Et du coup, je me demande si je n'essaie pas de rationaliser mon malêtre en essayant de le justifier par des pseudo-doutes sur sa sincérité, alors que dans le fond j'ai réellement confiance en lui. Je me demande si je ne suis pas dupée, trompée par des émotions factices, par le manque de confiance en moi ...
Avez-vous vécu quelque chose de similaire ? Comment faîtes-vous pour gérer ces émotions envahissantes et destructrices ?
J'entame ici mon premier post hors présentation sur ce forum parce que j'ai la volonté sincère de ne plus me laisser abattre par mes émotions négatives, et de m'épanouir sans concession.
Parallèlement à ma supposée zébritude qui en est probablement l'origine, je souffre vraisemblablement de maniaco-dépression. Comme vous le savez sûrement, cela se caractérise par des aléas émotionnels me faisant passer d'un état euphorique à une souffrance profonde, sans forcément qu'il n'y ait de raison factuelle évidente. Je parle de ça, parce que je ne sais pas si c'est lié à mon problème, mais je le soupçonne.
Depuis six mois, je suis en couple avec un non-zèbre. Un pas du tout zèbre même ! Bien que ce soit une personne intelligente, cultivée, bosseuse, il n'est pas guidé par ses émotions. Il parvient assez aisément -plus que moi en tout cas- à gérer ses problèmes et ses humeurs. En amour, nous fonctionnons vraiment différemment : il construit les choses sur la durée, les sentiments se développent au fur et à mesure, alors que de mon côté tout est très intuitif, je m'attache très vite et sait dès les débuts si je vais ou non tomber amoureuse. Malgré tout, il y a quelques temps il m'a dit qu'il m'aimait et mes "récepteurs sensoriels" particulièrement développés me laissent à penser qu'il est sincère, et qu'effectivement, c'est sérieux entre nous. On discute beaucoup, je lui ai parlé de mon passé et de la surdouance. Il comprend rationnellement, mais a du mal à l'intégrer dans le ressenti, puisque ce sont des choses qui lui sont parfaitement étrangères.
Bref, on a appris et on apprend encore aujourd'hui à se connaître et à évoluer ensemble malgré nos différences. Néanmoins, j'ai des angoisses récurrentes. Habituée à des relations passionnelles, tourmentées, toujours dans le mélo-drame et l'exacerbation des sentiments, il m'arrive très souvent d'avoir peur que ses sentiments ne soient pas ceux que j'espère, tout simplement parce qu'il ne les exprime pas de la même manière. J'ai cet idéal en amour de gestes permanents et un peu exceptionnels pour prouver son amour à l'autre, des choses qui peuvent être simples dans leur mise en place mais suffisamment inattendues pour qu'elles réjouissent mon cœur. Or, chez lui, ce n'est pas du tout une évidence ... il n'est juste ... pas comme ça ! Enfin, c'est ce que je me dis dans mes moments de lucidité.
Je n'arrive pas à m'empêcher d'angoisser, de redouter de ne pas être la bonne, d'imaginer que ces choses qu'il n'arrive pas à faire pour moi, ou à me dire, il les aurait faites pour une autre. Ou pour son ex à laquelle je n'arrive pas à ne pas me comparer et à côté de laquelle je me sens profondément nulle. Je me dis, pour résumer : "Et si tout ça n'était pas dû à nos différences, mais juste au fait qu'il ne m'aime pas vraiment ?". Ça me fait terriblement souffrir, et lui aussi indirectement parce qu'il n'aime pas me voir malheureuse.
Je suis complètement perdue entre mon cerveau rationnel, logique, celui qui aimerait que j'aie plus de détachement, de confiance en moi et d'indépendance, et ce satané cerveau qui ressent tout puissance mille et qui m'empêche de combattre une espèce d'ombre démoniaque qui s'empare de tout mon être (au point de m'en rendre malade physiquement, ça fait plusieurs jours que je n'arrive plus à m'alimenter). Et si j'ai autant de doute, c'est parce que mon cerveau émotionnel, malgré les phases paranoïaques et les exagérations qui arrivent parfois, est la plupart du temps dans le vrai. Il me permet de lire, décrypter, comprendre les gens rapidement sous des aspects dont eux-mêmes n'ont pas conscience, d'anticiper des situations, de deviner des choses ... du coup j'ai toujours la crainte de me tromper en pensant "tu fantasmes cette fois" alors que j'ai si souvent été dans le vrai grâce à ces récepteurs sensoriels.
Pour revenir à l'intro, cette angoisse a surgi brutalement il y a quelques jours, et je me demande si je ne suis pas tout simplement dans une rechute maniaco-dépressive, c'est-à-dire que je retombe dans la phase dépressive. Et du coup, je me demande si je n'essaie pas de rationaliser mon malêtre en essayant de le justifier par des pseudo-doutes sur sa sincérité, alors que dans le fond j'ai réellement confiance en lui. Je me demande si je ne suis pas dupée, trompée par des émotions factices, par le manque de confiance en moi ...
Avez-vous vécu quelque chose de similaire ? Comment faîtes-vous pour gérer ces émotions envahissantes et destructrices ?
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Ce que tu racontes résonne beaucoup avec ce que j'ai pu vivre dans le passé.
Aussi je ne parlerais pas de maniaco dépression (qui aujourd'hui porte la dénomination de bipolarité) car il s'agit de quelque chose de différent de ce que tu décris. Tes "symptômes" semblent plus proches de la cyclothymie (changement d'humeur rapide). J'ai également pensé être borderline un temps à cause de cette forte labilité émotionnelle dont tu parles , mais aucun spécialiste n'a jamais posé ni même suggéré ce diagnostic. Maintenant, le premier réflexe face à l'hyperémotivité c'est de ne surtout pas... faire blocage ! Une émotion à laquelle on tente de résister, persistera. Une émotion dont on tente de se rendre maître nous réduira en esclavage.
Et chaque fois que tu culpabilises d'être ainsi, récapitule tous les contrepoints positifs. La richesse à laquelle tu as accès, une source de créativité, l'authenticité de ta personnalité (tu ne tentes pas de te cacher), un don pour aider les autres à éclairer leurs propres états émotionnels et entrer en empathie... Il y en a beaucoup !
Par ailleurs j'avais peu ou prou la même vision des choses en amour et les mêmes craintes. J'ai poussé des personnes à faire des choses qu'elles n'auraient jamais faites, pour être sûre d'être spéciale à leurs yeux... Tout cela pour me rendre compte au final que c'est moi qui voulais me prouver que je les aimais... ce qui n'était pas le cas, donc je projetais cette crainte sur eux. Au final j'ai blessé inutilement des personnes qui ne fonctionnaient simplement pas comme moi.
Mais tout ça est encore lié à l'émotivité, car étant des êtres qui s'identifient à nos émotions (quand je dis nous je ne parle pas forcément de zèbres, loin s'en faut), nous nous sentons en vie (et aimés) en fonction de l'intensité ressentie. Or il faut comprendre que d'une part, ce n'est pas le langage qu'utilisent tous les autres pour communiquer leur amour. Mais qu'en plus cette recherche d'intensité à tout prix nous fait plus souffrir qu'autre chose car nous fuyons un manque, ou la sensation de vide. Et pour en revenir à ce que je disais précédemment, le plus nous fuirons, le plus nous répéterons des schémas dysfonctionnels...
Aussi je ne parlerais pas de maniaco dépression (qui aujourd'hui porte la dénomination de bipolarité) car il s'agit de quelque chose de différent de ce que tu décris. Tes "symptômes" semblent plus proches de la cyclothymie (changement d'humeur rapide). J'ai également pensé être borderline un temps à cause de cette forte labilité émotionnelle dont tu parles , mais aucun spécialiste n'a jamais posé ni même suggéré ce diagnostic. Maintenant, le premier réflexe face à l'hyperémotivité c'est de ne surtout pas... faire blocage ! Une émotion à laquelle on tente de résister, persistera. Une émotion dont on tente de se rendre maître nous réduira en esclavage.
Et chaque fois que tu culpabilises d'être ainsi, récapitule tous les contrepoints positifs. La richesse à laquelle tu as accès, une source de créativité, l'authenticité de ta personnalité (tu ne tentes pas de te cacher), un don pour aider les autres à éclairer leurs propres états émotionnels et entrer en empathie... Il y en a beaucoup !
Par ailleurs j'avais peu ou prou la même vision des choses en amour et les mêmes craintes. J'ai poussé des personnes à faire des choses qu'elles n'auraient jamais faites, pour être sûre d'être spéciale à leurs yeux... Tout cela pour me rendre compte au final que c'est moi qui voulais me prouver que je les aimais... ce qui n'était pas le cas, donc je projetais cette crainte sur eux. Au final j'ai blessé inutilement des personnes qui ne fonctionnaient simplement pas comme moi.
Mais tout ça est encore lié à l'émotivité, car étant des êtres qui s'identifient à nos émotions (quand je dis nous je ne parle pas forcément de zèbres, loin s'en faut), nous nous sentons en vie (et aimés) en fonction de l'intensité ressentie. Or il faut comprendre que d'une part, ce n'est pas le langage qu'utilisent tous les autres pour communiquer leur amour. Mais qu'en plus cette recherche d'intensité à tout prix nous fait plus souffrir qu'autre chose car nous fuyons un manque, ou la sensation de vide. Et pour en revenir à ce que je disais précédemment, le plus nous fuirons, le plus nous répéterons des schémas dysfonctionnels...
Invité- Invité
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Alors, juste une petite précision pour dire que ce n'est pas moi qui ai posé le diagnostic, mais des psychiatres (il était question de bipolarité en effet). Mais c'était plus des hypothèses qui semblaient très probables, qui n'ont jamais été pleinement vérifiées.
Après, je me retrouve dans ce que tu dis, dans le fait que plus on essaye de refouler, plus c'est intense. D'ailleurs quand j'en parle avec mon compagnon en général ça va beaucoup mieux, mais sans être jamais à 100% réglé. J'ai beau chercher le positif, le négatif a toujours le dessus et me rend incapable de faire quoi que ce soit :/
Je me rends compte aussi que j'ai déjà vécu le fait de vouloir pousser des gens "à bout" pour me rendre compte qu'en fait, c'est moi qui doutais. Mais dans la situation actuelle, je tiens véritablement à lui, j'éprouve des sentiments très forts et la seule idée de le perdre me rend folle. C'est pour ça que ça me tracasse autant d'ailleurs !
Après, je me retrouve dans ce que tu dis, dans le fait que plus on essaye de refouler, plus c'est intense. D'ailleurs quand j'en parle avec mon compagnon en général ça va beaucoup mieux, mais sans être jamais à 100% réglé. J'ai beau chercher le positif, le négatif a toujours le dessus et me rend incapable de faire quoi que ce soit :/
Je me rends compte aussi que j'ai déjà vécu le fait de vouloir pousser des gens "à bout" pour me rendre compte qu'en fait, c'est moi qui doutais. Mais dans la situation actuelle, je tiens véritablement à lui, j'éprouve des sentiments très forts et la seule idée de le perdre me rend folle. C'est pour ça que ça me tracasse autant d'ailleurs !
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Bonjour,
j'ai ce problème là aussi mais moi c'est parce que je sais que je suis profondément amoureuse de cet homme là et que si il me quittais je serais folle de chagrin . De là je me fais des scénarios etc bref... Depuis un certain temps ,il me faisait remarquer que j’étais devenu lunatique et cela allais de travers.On a même failli se séparé!
j’étais Pleine de joie et d'amour et soudain grand moment de doute de question etc qui faisait penser à de la dépression.
pour combattre cela on a adopter une nouvelle technique qui marche bien.
D'abord prend toi au moins deux heures par semaine (pas de suite) ou tu prend un temps a toi,seule , pour lire des textes que tu aime et réfléchir dessus. Pour ma part je prend souvent des textes de saint augustin qui parle souvent du couple , de l'amour etc...
c'est reposant et a l'occasion je les relis avec mon amoureux.
Ensuite écrit dans un agenda ,a la date de chaque jour, ce qui ce passe , tes sentiments , tes réflexions sur vous deux et permet a ton chéri de le lire de temps en temps,par exemple quand il ne comprend pas des réactions que tu as eu , mais sans toi . Je fais cela avec mon copain et sa évite pas mal d'affrontement et de dispute!
car ainsi il comprend comment je pense et ce qui peut me blesser et agit selon. Enfin parle lui de tes doutes et dit lui clairement et compréhensible ce dont tu as besoin et ce que tu ressent mais dis le lui a un moment ou vous proche physiquement . Par exemple ce que tu lui dira comme un ressentis , il pourra le prendre comme un reproche si tu lui dis au téléphone alors que si tu es en train de lui faire un câlin et que tu lui dit au creux de l'oreille il va tous de suite bien le prendre!
Toutes ces preuves dont tu as besoin lui aussi en as envies mais il ne le dit pas ou pas de façon compréhensible pour nous autres , zèbre!
Voila c'est tout ce que j'applique dans mon couple et sa marche bien car après 1 an de relation en tant que petite amie je suis aujourd'hui officiellement sa future épouse!
j'ai ce problème là aussi mais moi c'est parce que je sais que je suis profondément amoureuse de cet homme là et que si il me quittais je serais folle de chagrin . De là je me fais des scénarios etc bref... Depuis un certain temps ,il me faisait remarquer que j’étais devenu lunatique et cela allais de travers.On a même failli se séparé!
j’étais Pleine de joie et d'amour et soudain grand moment de doute de question etc qui faisait penser à de la dépression.
pour combattre cela on a adopter une nouvelle technique qui marche bien.
D'abord prend toi au moins deux heures par semaine (pas de suite) ou tu prend un temps a toi,seule , pour lire des textes que tu aime et réfléchir dessus. Pour ma part je prend souvent des textes de saint augustin qui parle souvent du couple , de l'amour etc...
c'est reposant et a l'occasion je les relis avec mon amoureux.
Ensuite écrit dans un agenda ,a la date de chaque jour, ce qui ce passe , tes sentiments , tes réflexions sur vous deux et permet a ton chéri de le lire de temps en temps,par exemple quand il ne comprend pas des réactions que tu as eu , mais sans toi . Je fais cela avec mon copain et sa évite pas mal d'affrontement et de dispute!
car ainsi il comprend comment je pense et ce qui peut me blesser et agit selon. Enfin parle lui de tes doutes et dit lui clairement et compréhensible ce dont tu as besoin et ce que tu ressent mais dis le lui a un moment ou vous proche physiquement . Par exemple ce que tu lui dira comme un ressentis , il pourra le prendre comme un reproche si tu lui dis au téléphone alors que si tu es en train de lui faire un câlin et que tu lui dit au creux de l'oreille il va tous de suite bien le prendre!
Toutes ces preuves dont tu as besoin lui aussi en as envies mais il ne le dit pas ou pas de façon compréhensible pour nous autres , zèbre!
Voila c'est tout ce que j'applique dans mon couple et sa marche bien car après 1 an de relation en tant que petite amie je suis aujourd'hui officiellement sa future épouse!
ahlora- Messages : 10
Date d'inscription : 09/10/2013
Age : 30
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
ahlora a écrit:Bonjour,
j'ai ce problème là aussi mais moi c'est parce que je sais que je suis profondément amoureuse de cet homme là et que si il me quittais je serais folle de chagrin . De là je me fais des scénarios etc bref... Depuis un certain temps ,il me faisait remarquer que j’étais devenu lunatique et cela allais de travers.On a même failli se séparé!
j’étais Pleine de joie et d'amour et soudain grand moment de doute de question etc qui faisait penser à de la dépression.
pour combattre cela on a adopter une nouvelle technique qui marche bien.
D'abord prend toi au moins deux heures par semaine (pas de suite) ou tu prend un temps a toi,seule , pour lire des textes que tu aime et réfléchir dessus. Pour ma part je prend souvent des textes de saint augustin qui parle souvent du couple , de l'amour etc...
c'est reposant et a l'occasion je les relis avec mon amoureux.
Ensuite écrit dans un agenda ,a la date de chaque jour, ce qui ce passe , tes sentiments , tes réflexions sur vous deux et permet a ton chéri de le lire de temps en temps,par exemple quand il ne comprend pas des réactions que tu as eu , mais sans toi . Je fais cela avec mon copain et sa évite pas mal d'affrontement et de dispute!
car ainsi il comprend comment je pense et ce qui peut me blesser et agit selon. Enfin parle lui de tes doutes et dit lui clairement et compréhensible ce dont tu as besoin et ce que tu ressent mais dis le lui a un moment ou vous proche physiquement . Par exemple ce que tu lui dira comme un ressentis , il pourra le prendre comme un reproche si tu lui dis au téléphone alors que si tu es en train de lui faire un câlin et que tu lui dit au creux de l'oreille il va tous de suite bien le prendre!
Toutes ces preuves dont tu as besoin lui aussi en as envies mais il ne le dit pas ou pas de façon compréhensible pour nous autres , zèbre!
Voila c'est tout ce que j'applique dans mon couple et sa marche bien car après 1 an de relation en tant que petite amie je suis aujourd'hui officiellement sa future épouse!
Je suis contente de pouvoir lire des témoignages comme ça, je me sens moins seule et je peux me convaincre que tout n'est pas perdu !
Je pense que comme tu l'exprimes, je dois réussir à me détacher émotionnellement et prendre plus de temps pour moi, pour mes passions, pour rencontrer du monde.
Enfin la situation s'est quand même améliorée, on discute beaucoup, on est de plus en plus proches et je crois qu'il commence à me comprendre (et vice versa).
En tout cas j'espère que votre couple durera et que vous serez très heureux
gahan a écrit:quel age as tu ?
22 ans
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Lilyh a écrit:
on discute beaucoup, on est de plus en plus proches et je crois qu'il commence à me comprendre (et vice versa).
Tu es sur la bonne voie. Echanger en toute sincérité et ne pas avoir peur de lui montrer qui tu es vraiment, profondément.
Après, tu risques de te retrouver dans une situation où tu tiens tellement à lui et tu as peur de la séparation que tu risques de l'étouffer un peu. C'est très difficile à intégrer, je sais, mais lui laisser aussi un peu d'air et ne pas avoir peur de l'avenir serait peut-être un aspect sur lequel travailler un peu dans votre couple.
Sinon, je vous souhaite plein de succès à toi et à ahlora.
zeagle bel- Messages : 35
Date d'inscription : 26/08/2014
Age : 57
Localisation : Belgique
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
J'ai ressenti ça effectivement. Du coup c'est un principe que je me suis fixée dès le départ de ne jamais être envahissante, ne surtout pas l'empêcher d'avoir ses activités et ses amis de son côté (et réciproquement). Je ne pense pas avec ma mentalité pouvoir vraiment l'étouffer ou l'enfermer dans notre relation, j'aurais plutôt tendance à me renfermer toute seule.
Par contre ces crises d'angoisse et de perte d'estime si elles deviennent trop fréquentes pourraient devenir très néfastes et peser sur nous même si j'essayais de les garder pour moi (ce que j'ai tendance à faire pour éviter de l'agacer, mais c'est stupide), et c'est pour ça que je suis ici et que je cherche des solutions pour y remédier !
Par contre ces crises d'angoisse et de perte d'estime si elles deviennent trop fréquentes pourraient devenir très néfastes et peser sur nous même si j'essayais de les garder pour moi (ce que j'ai tendance à faire pour éviter de l'agacer, mais c'est stupide), et c'est pour ça que je suis ici et que je cherche des solutions pour y remédier !
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Je ne puis que partager ici. Je ne sais toujours pas comment bien faire par rapport à cela… et pourtant j'ai plus du double de ton âge et une plus longue expérience (en temps). Je viens de fêter mes 10 ans de mariage, mais je suis en couple depuis bien plus longtemps.
Mes angoisses me semblent toujours difficiles et délicates à négocier. J'en parle, mais des fois, je vois bien que cela devient trop envahissant.
Un truc tout simple: 9 pour 1. 9 mots gentils, cadeaux, baiser, etc. pour 1 couac. Ca parait beaucoup, mais c'est le ratio qui permet de faire durer l'amour dans le couple. Penses-y!
Mes angoisses me semblent toujours difficiles et délicates à négocier. J'en parle, mais des fois, je vois bien que cela devient trop envahissant.
Un truc tout simple: 9 pour 1. 9 mots gentils, cadeaux, baiser, etc. pour 1 couac. Ca parait beaucoup, mais c'est le ratio qui permet de faire durer l'amour dans le couple. Penses-y!
zeagle bel- Messages : 35
Date d'inscription : 26/08/2014
Age : 57
Localisation : Belgique
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
J'aime beaucoup le concept du 9 pour 1 tiens
Dans une certaine mesure, j'ai l'impression de l'appliquer inconsciemment mais j'y penserai davantage
Dans une certaine mesure, j'ai l'impression de l'appliquer inconsciemment mais j'y penserai davantage
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
vous pensez vraiment que tous les zèbres sont guidés principalement par leurs émotions ?!
sinon, cette histoire de bipolarité m'interpelle. Puis-je te demander quel traitement tu prends ?
merci en tout cas à tou(te)s pour vos témoignages.
sinon, cette histoire de bipolarité m'interpelle. Puis-je te demander quel traitement tu prends ?
merci en tout cas à tou(te)s pour vos témoignages.
ISIS75- Messages : 2947
Date d'inscription : 28/01/2014
Localisation : Paris
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Oh la Hola....
Qu'il est facile de se croire malade... qu'il est facile, et je dis cela avec tristesse et vécu, de poser des mots comme bipolaire, borderline, maniaco-depressifs, pour expliquer des choses... qui n'en sont pas.
J'ai une amie bipolaire. Vraie. Que j'ai sauvé du suicide à une époque... et qui délirait GRAVE... elle va très bien aujourd'hui...
A un moment, quand j'allais tres mal, je me suis crue borderline... car, et c'était vrai, en profonde détresse j'agissais comme une borderline
Quand je suis stressée, ou chagrine, ou que quelquechose me turlupine.. je peux agir comme une maniaco-depressive...
Car nous avosn tous en nous le pire et le meilleur. Mais se dire "je suis borderline", ou autre, c'est se condamner... car on en sort pas, cette étiquette est un boulet.
Non, vous etes, nous sommes (je suis récemment diagnostiquée alors encore un peu dans le recul) des zebres
Non nous ne sommes pas "guidés" par nos émotions, la preuve, le cerveau fonctionne a FOND
et parce qu'il fonctionne a FOND
les émotions aussi
Le zebre, c'est comme le changement climatique, ca varie plus haut, plus fort, de manière plus imprévu.. et c'est tout. Et il faut gérer cela nous, et ceux qui nous entourent.
DECULPABILISER
DEMYSTIFIER
SE BASER SUR LES FAITS... et pas les concepts
Je ne dis pas qu'il ne puisse pas y avoir de zebres borderline/MD/bipolaire, voire schzizophrenes, pervers narcissiques, meurtriers, sociopathes... mais pour un vrai diasgnostic, il te faut un psy zebre, un psy qui sache faire la différence entre ce qui est de l'ordre de la pathologie et ce qui est simplement amplifié par la douance.. DEmande plusieurs diagnostics
Ce qui est sur, c'est qu'à la base il te faut déjà gérer ton angoisse... angoisse qui te pousse a vouloir mettre un diagnostic sur ce que tu vis... mais pas forcément le bon... il y a des trucs, j'ai eu un psy super pour cela... travaille sur l'angoisse.. apaisée, tu verras plus clair.
Mon doudou n'est pas un zebre... mais il a étudié le cas, car 2 petits enfants récemment diagnostiqués HP... et cela a changé notre relation (et moi diagnostiquée peu avant.. le hasard fait bien les choses parfois) Lui aussi en a pris plein a gueule de mes coups d'angoisse, de peur de l'abandon, de pessimisme, de nihilisme... mais c'est un homme tellement généreux et tellement fort qu'il sait mettre des barrières et surtout, il me dit stop. Ou il ne dit rien.. et la je sais que je suis allée trop loin ou que c'est du n'importe quoi.. puis il me dit "ma puce, c'est juste un de tes moments de doute"... et un bisou... et c'est reparti.. et voila.. bon, j'ai honte, je voudrais ne pas en arriver la, mais chaque fois il est la... il revient.. et moi j'apprends a LE connaître et a LE respecter plutôt que de me focaliser sur mes variations d'humeur ou mes délires d'abandon et tutti quanti... parce que je veux qu'il reste la, j'ai besoin de son regard patient et tendre... et du coup les moments d'angoisse et de crainte semblent s'espacer. Avec d'autres aussi (ma maman!)
Apprenez a ceux qui vous entourent a vous connaître, et apprenez a les connaître... donnez leur les clés de votre bien-être (si je suis en pétard, il faut oser me prendre dans les bras, et c'est fini... simple non? chuuut.. je l'ai pas dit a mon patron ;-). Comme je l'ai lu plus haut, discutez, écrivez, revenez sur les couacs pour apprendre et faire différemment la prochaine fois
C'est cela aimer, n'est-ce pas?
Qu'il est facile de se croire malade... qu'il est facile, et je dis cela avec tristesse et vécu, de poser des mots comme bipolaire, borderline, maniaco-depressifs, pour expliquer des choses... qui n'en sont pas.
J'ai une amie bipolaire. Vraie. Que j'ai sauvé du suicide à une époque... et qui délirait GRAVE... elle va très bien aujourd'hui...
A un moment, quand j'allais tres mal, je me suis crue borderline... car, et c'était vrai, en profonde détresse j'agissais comme une borderline
Quand je suis stressée, ou chagrine, ou que quelquechose me turlupine.. je peux agir comme une maniaco-depressive...
Car nous avosn tous en nous le pire et le meilleur. Mais se dire "je suis borderline", ou autre, c'est se condamner... car on en sort pas, cette étiquette est un boulet.
Non, vous etes, nous sommes (je suis récemment diagnostiquée alors encore un peu dans le recul) des zebres
Non nous ne sommes pas "guidés" par nos émotions, la preuve, le cerveau fonctionne a FOND
et parce qu'il fonctionne a FOND
les émotions aussi
Le zebre, c'est comme le changement climatique, ca varie plus haut, plus fort, de manière plus imprévu.. et c'est tout. Et il faut gérer cela nous, et ceux qui nous entourent.
DECULPABILISER
DEMYSTIFIER
SE BASER SUR LES FAITS... et pas les concepts
Je ne dis pas qu'il ne puisse pas y avoir de zebres borderline/MD/bipolaire, voire schzizophrenes, pervers narcissiques, meurtriers, sociopathes... mais pour un vrai diasgnostic, il te faut un psy zebre, un psy qui sache faire la différence entre ce qui est de l'ordre de la pathologie et ce qui est simplement amplifié par la douance.. DEmande plusieurs diagnostics
Ce qui est sur, c'est qu'à la base il te faut déjà gérer ton angoisse... angoisse qui te pousse a vouloir mettre un diagnostic sur ce que tu vis... mais pas forcément le bon... il y a des trucs, j'ai eu un psy super pour cela... travaille sur l'angoisse.. apaisée, tu verras plus clair.
Mon doudou n'est pas un zebre... mais il a étudié le cas, car 2 petits enfants récemment diagnostiqués HP... et cela a changé notre relation (et moi diagnostiquée peu avant.. le hasard fait bien les choses parfois) Lui aussi en a pris plein a gueule de mes coups d'angoisse, de peur de l'abandon, de pessimisme, de nihilisme... mais c'est un homme tellement généreux et tellement fort qu'il sait mettre des barrières et surtout, il me dit stop. Ou il ne dit rien.. et la je sais que je suis allée trop loin ou que c'est du n'importe quoi.. puis il me dit "ma puce, c'est juste un de tes moments de doute"... et un bisou... et c'est reparti.. et voila.. bon, j'ai honte, je voudrais ne pas en arriver la, mais chaque fois il est la... il revient.. et moi j'apprends a LE connaître et a LE respecter plutôt que de me focaliser sur mes variations d'humeur ou mes délires d'abandon et tutti quanti... parce que je veux qu'il reste la, j'ai besoin de son regard patient et tendre... et du coup les moments d'angoisse et de crainte semblent s'espacer. Avec d'autres aussi (ma maman!)
Apprenez a ceux qui vous entourent a vous connaître, et apprenez a les connaître... donnez leur les clés de votre bien-être (si je suis en pétard, il faut oser me prendre dans les bras, et c'est fini... simple non? chuuut.. je l'ai pas dit a mon patron ;-). Comme je l'ai lu plus haut, discutez, écrivez, revenez sur les couacs pour apprendre et faire différemment la prochaine fois
C'est cela aimer, n'est-ce pas?
Pawnee- Messages : 62
Date d'inscription : 27/07/2014
Age : 58
Localisation : Hyperespace
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
Pawnee a écrit:Oh la Hola....
Qu'il est facile de se croire malade... qu'il est facile, et je dis cela avec tristesse et vécu, de poser des mots comme bipolaire, borderline, maniaco-depressifs, pour expliquer des choses... qui n'en sont pas.
J'ai une amie bipolaire. Vraie. Que j'ai sauvé du suicide à une époque... et qui délirait GRAVE... elle va très bien aujourd'hui...
A un moment, quand j'allais tres mal, je me suis crue borderline... car, et c'était vrai, en profonde détresse j'agissais comme une borderline
Quand je suis stressée, ou chagrine, ou que quelquechose me turlupine.. je peux agir comme une maniaco-depressive...
Car nous avosn tous en nous le pire et le meilleur. Mais se dire "je suis borderline", ou autre, c'est se condamner... car on en sort pas, cette étiquette est un boulet.
Hum, si c'est à moi que tu t'adresses, je vais me répéter : je ne me suis pas auto-diagnostiquée, loin de là.
Et je sais aussi de quoi je parle puisque ça a longtemps été un de mes sujets d'étude favoris, avant même qu'on ne me diagnostique.
Je comprends la réticence, le scepticisme, je sais combien il est facile et tentant de se dire x ou y sur internet en ayant lu deux ou trois articles mais ... que dire de plus ? J'ai volontairement passé sous silence une partie de ma vie dans ma présentation parce que je ne me sens pas de tout révéler à des personnes qui me sont pour l'instant inconnues, aussi je n'ai aucune preuve factuelle de ce que j'avance, uniquement ma parole. Et encore, elle ne vaut pas grand chose, étant donné que même ce genre de diagnostics n'est pas toujours certain à 100%, alors peut-être que j'avance dans l'erreur depuis le début, et les médecins aussi ... mais j'en doute.
Du coup, je n'essaie pas de mettre tout ce qui m'arrive sur le compte de ci ou ça, j'essaie justement d'analyser et comprendre l'origine véritable de ces maux. Je sais de quoi je souffre, j'ai fait un travail énorme déjà ces dernières années, mais ça ne partira pas comme ça, maintenant j'essaie juste de faire le tri pour ne pas paniquer et appréhender une rechute quand ce n'est peut-être pas le cas.
Enfin, ceci mis à part, il est vrai que je dois travailler sur cette angoisse. Je continue à beaucoup discuter avec lui et il commence à trouver les mots pour me canaliser, je crois. C'est encourageant pour la suite
Lilyh- Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2014
Re: Relation Zèbre / Non-Zèbre et conflits internes
L'essentiel me semble-t-il est d'avancer pas a pas et surtout de ne pas s'arrêter, même si parfois on ralentit... chaque chemin est unique... et ne jamais désespérer, les solutions arrivent, elles sont souvent obscures mais ton instinct de survie et d'actualisation (pour citer Cyrulnik) te poussent à rechercher le meilleur... a batailler pour ta survie et la recherche de ton bien être. Oh oui on se dit parfois ce n'est pas juste, pourquoi moi, mais bon, pas le choix, alors ...
Alors bon courage...
Alors bon courage...
Pawnee- Messages : 62
Date d'inscription : 27/07/2014
Age : 58
Localisation : Hyperespace
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