Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :)

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Message par Invité Dim 18 Oct 2015 - 13:51


Mes sages 101 (sans un dalle ma tien mais tiens le bien ? tiens le bien ? mais le mal ?)


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Message par Invité Sam 24 Oct 2015 - 18:49

Décompacter, 

en fait ça serait des cons avec qui on aurait pacté, mal pacté et donc ensuite on décompacte, comme on dissocierait des bouteilles dans d'un pack de laids ?

je pense que cette découverte a plus d'impact qu'elle n'en a l'air en fait, (surtout si c'est ajouté à d'autres choses de chiant...), elle te met si tu les lis plein d'infos en plus dans le cerveau, du coup ça ramé, mouliné.

tu as une vie et on vient t'ajouter plein de données qu'il faut analyser, vérifier, et des infos qui te donne le sentiment que tu as plein de problèmes, alors tu te décortiques dans tous les sens, tu cherches.

Pour peu qu'une personne en plus te fasse chercher, je n'avais jamais autant cherché et perdu de ma magie de faire des choses sans que je sache d'où elles viennent, c'était drôle, et non pas bionique, 

c'était joli, humain, et non pas, non pas je ne sais pas quoi. 

t'ajouter plein d'autres dossiers où il faut classer des choses dont peut être tu te serviras jamais, je n'avais jamais fonctionné comme cela, et je n'ai pas aimé du tout.

la surdouance c'est vraiment bien un truc de psy. quelque chose qui doit te gâcher le fait de chercher et vivre les choses par toi même (sauf si médical évidemment),

mon problème c'était pas moi, c'était pas des autres, c'était le problème que je posais à certains autres,

si j'étais psy j'apprendrai, j'aiderai à vivre avec les autres, mais pas comme les autres.

quelle drôle de vie j'aurai eu si j'avais été détectée, je me connais, on m'aurait encastrée dans plein d'étiquettes, on aurait enfermé mes facettes, ça aurait pété. j'aurai voulu du coup débordé encore plus.

on dit un zébre, quoi qu'on fasse, un zébre dans une savane, ça restera toujours un zébre, avec une vie de zébre.

j'ai eu des vives émotions je pense parce qu'on m'a démarqué un jour. 

ben quoi c'est bien de faire le caméléon, moi ça m'a fait plein de souvenirs.

Ben oui je suis comme ça et donc ? effectivement s'adapter parfois pour que ça roule, ok, mais tout le temps et à tout le monde, un enfer.

je suis différente, ah bon, et tous les autres sont pareils ? ah bon. première nouvelle. je pense que chacun a un parcours plus ou moins similaire et commencé plus ou moi jeune.

il suffit de s'expliquer, une fois, pas dix, si c'est admis tant mieux, si non tant pis. et l'histoire du QI, alors il était où mon QI ? puisqu'il n'est pas détecté ? 

quand tu prends connaissance des autres pensées, et de la pensée générale pour que tout le monde aille un peu près dans le bon sens, après tu développes la tienne en fonction de et tu adaptes ce que tu dis et tu fais en fonction de. et le restant du temps tu fais ce que tu veux.

si j'avais du écouter toutes les personnes qui m'ont dit : fais pas çi ou ça, j'aurai rien fait. et je ne pense pas que cela est à voir avec les régles, puisque majorité de personnes penser normo et surtout parce que ça les arrange, ça les rassure, ne les respecte parfois même pas.

en plus il était dit dans un des bouquins, qu'arrivé un certain age, les deux pensées se rejoignent lorsque les personnes ont un vécu, certaines n'en auront jamais car ils ne prendront jamais de risques et ne souhaitent pas en prendre.

je ne me vois pas du tout dire à quelqu'un : bon tu es différent. la grosse accusation. ça me donnerait l'impression de l'exclure.

je crois que je ne suis pas d'accord non plus avec l'idée qu'il existe des psys spéciaux surdoués. un bon psy sympa qui a entendu un jour parler de la surdouance... ne va pas décortiquer à sa place un surdoué mais va plutôt lui donner quelques clés, quelques outils. 

et un surdoué ça trotte tout seul et ça trottera sûrement moins mentalement si ça ne doit pas trotter sur tout et en même temps.

j'ai trotté dans la vie, dehors, et qu'est ce que l'air ça fait du bien et qu'est ce que l'observation sur le terrain est efficace.

alors les gens ? comment ça marche ces trucs ? allons donc nous poser avec un stylo et une feuille afin d'étudier ce phénomène.

j'ai découvert que je n'ai pas trouvé le mode d'emploi de la vie, parce qu'il n'existe pas Smile au moins j'aurai eu un mystère parmi d'autres à élucider.

sur doué ça voudrait des compétences, des expériences supplémentaires mais pas toutes. si tu les as pourquoi les creuser ? ça fait perdre du temps pour bosser les compétences et vivre des expériences.

je crois à la résilience, je crois au fait de pouvoir mettre de coté des choses, se libérer l'esprit, faire des dossiers hiérarchisés de choses à chercher et pas tout le temps et surtout se ménager des pauses.

se faire des plannings de choses agréables, qui sait même des plannings d'émotions, j'aime bien les choses drôles et décalées. 

qu'est ce que tu fais ce weekend ? j'émotionne dimanche entre 15h et 17h ? et toi ?

si on m'a qualifiée toute ma vie de phénomène c'est bien pour ça. 

sinon j'aurai été qualifiée de çi ou ça avec tendance ça, mixant parfois avec ci, et avec plutôt un profil truc mais à tendance bidule quand il pleut mais pas tout le temps car si la pluie est fine ça peut s'avérer différent, mais c'est pas sûr, il peut y avoir un élément perturbateur qui soit venu influencer la conjoncture

(c'est dur à dire ! là tu as déjà perdu 50 personnes dans la salle qui en plus vont prendre des efferalgans en rentrant Smile

on m'a toujours appelée par mon prénom : "euh c'est untel.

mais tu as vu ce qu'elle a fait ? ben oui c'est untel. et t'as entendu ce qu'elle a dit ? ben oui c'est untel.

et c'est ça qui est drôle. la surprise, le mystère.

est ce que tu as des souvenirs du genre : oui mais moi faut me pratiquer avant de me connaître ? et des réponses d'un homme du genre : comment ça te pratiquer ?......

c'est ça qui est drôle.

j'ai croisé mon monsieur "chapeau" pour ceux qui ont pu me lire un jour, cela qui pouvait mettre deux heures à faire deux cents mètres, je peux me moquer, j'ai fait pareil.

et bien il court avec ses sacs en revenant de ses courses et ça me met dans une joie d'enfer.

le voir ne même plus regarder autour de lui, ni où il marche, ni qui arrive, se mettre dans le train de la vie

je nage comme une nulle, on dirait même pas un canard, c'est pire, et alors ? je suis allée nager quand même, à ma façon, ma façon c'est moi, c'est mon mode, mon style, ma marque de fabrique.

en fait chacun a ses autres, et chacun s'incruste ou pas dans les autoroutes, j'ai fait les deux, je fais les deux, parfois je regarde passer les voitures, et parfois je m'y mêle.

j'ai appris sur le tas et on a appris sur moi. curieusement. c'est fou ce que l'on m'a dit merci, tu m'as aidée, tu m'as montré, tu m'as expliqué, ponctué de "t'es dingue" il est vrai, ou d'autres choses et alors ? ça passe.

et surtout répercuter et communiquer, bien sûr pas avec tout le monde, tout le monde est le toxique de quelqu'un.

se remplir la tête de choses pour se défendre, s'imposer, je connais tellement de personnes qui ont voulu se démarquer sans jamais y arriver, et semble t il j'ai démarqué de suite.

sur la présentation : évidemment balancer tout le package de suite, ça, c'est pas une bonne idée, tout vivre avec une personne sans elle d'abord non plus.

la surdouance c'est personnel. si je fais voir un film, j'ai pas besoin que la personne à coté ressente pareil, l'important est que je ressente moi.

"mais t'es con ou bien" c'est drôle à dire. 

on va me reprocher quoi maintenant ? de décompacter dans tous les sens ? après m'être marrée dans tous les sens ? 

un surdoué il a compris des trucs et il va de l'avant et vite. et d'autres n'ont pas compris et va autrement, et bien chacun va.

si tu veux pas te heurter au cadre, apprends les tous mais restes dedans, tu vas voir c'est drôle.

est ce que j'ai été bizarre en montrant un cormoran à une gamine et sa maman tout à l'heure ? 

je ne sais pas mais j'ai passé un bon moment.

alors pourquoi je suis là à écrire ? parce que tout le monde n'aime pas écrire et ne sait d'ailleurs.

tu devrais écrire un livre. ouais peut être bien. si ça me prends. mais si j'avais écrit des bouquins, ça m'aurait servi à quoi pour avoir des interactions toute seule chez moi à écrire mes bouquins ?

pousser le monde, avant qu'il ne vous pousse, faites le reculer. fixez vous même pas d'objectifs, faîtes ce que vous avez envie. c'est ça qui débloque.

la norme c'est cool je trouve c'est comme un baromètre pour savoir où tu en es, si tu dépasses.

et puis la peur de soi surtout. qu'est ce que j'ai du pousser les gens à qui j'ai fait peur. en fait peur, leur peur. pas la mienne.

l'intensité, alors l'intensité, ce truc merveilleux, cette capacité à appuyer sur les choses. je pense qu'un surdoué a une capacité à faire rêver les autres, à les aider mais il doit s'économiser et ne pas s'oublier.

il a la capacité d'aller dans le bonheur à fond aussi bien que dans le triste. il faut juste équilibrer.

quand tu n'auras pas ton ménage pendant un long temps, rassures toi, tu te mettras à organiser la question. lorsque tu te seras pris un gadin, tu te relèveras et tu iras en prendre un autre.

tout ça ça s'appelle la vie, savoir que tu dois mettre des majuscules et ne pas en mettre, .....

je me poste, je me relis et si je m'aime et m'inspire, je reviens rajouter.


Dernière édition par six s'if le Sam 24 Oct 2015 - 19:05, édité 1 fois (Raison : j'ai fait des fautes, je les laisse, tu as déjà visualiser de corriger chaque mot de la bouche de quelqu'un avec un stylo rouge pour voir l'effet que ça lui fait ? :))

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Message par Invité Sam 24 Oct 2015 - 20:01

J’avais jamais raconté les choses qui clochent.


Je me suis retrouvée à déborder chez un surdoué et j’ai pas aimé. J’ai trouvé intéressant d’aller remuer le passé parfois pour voir les schémas quand les mêmes se présenter mais sinon… le passé….

Je crois que je me suis mis des murs parce qu’on m’a mis des murs. Ne pas les briser pour aller constater qu’on n’est peut être pas si grave, qu’on craint pas tant que ça.
Sauf pour des personnes. J’ai un rendez vous lundi qui m’ennuie, alors je me suis fait un programme pour le weekend et surtout l’oublier.

Un psy c’est bien quand tu as un problème, mais sinon… non à mon avis.

Combien des personnes m’ont dit : « va voir un psy ? », je me suis posée pour faire un tour de moi vite fait, et de l’autre, pour vérifier et hop on passe à autre chose.

On peut être stressant pour d’autres parce que ils n’ont pas envie de se prendre la tête ou de se poser sur des problèmes, ou c’est pas leur moment.

J’aime bien me dire que je suis un drôle de truc. Dis un truc et vois ce que ça fait et essaies le sur plusieurs personnes. Fais un truc et vois ce que ça fait.

Choisis un truc et mets y à fond pour changer la société, un bout mais te déprimes pas à vouloir tout changer. Sinon tu vas t’écrouler. Sous le poids.

Si j’avais renié le cadre, j’aurai du être le cadre et ça fait beaucoup de boulot, ça n’a pas l’air comme ça.

J’aime bien être imparfaite, j’aime bien dire « oh et puis merde » construis toi une base, et avances et ta base elle va s’alimenter au fur et à mesure et ne vis pas forcément tout tout de suite. Fous toi des fois la paix. J’avais des trucs que j’appelais mes crises, je les ai identifiées et je les ai isolés. Comme ça des choses ne durent pas tout le temps. Sinon c’est fatiguant.

Un normo pensant :

c’est chiant parfois. Un surdoué aussi. Mais ça peut être drôle. Tu peux transformer ça en drôle.
 
Prendre du recul régulièrement est important. Je sors d’un truc où je n’ai pu en prendre et je confirme.

Et l’auto dérision 

c’est super important l’auto dérision. Ça détend en plus.
Qu’est ce que j’ai pu reconnaître comme choses ici. Du coup j’ai le cerveau qui a carburé à fond. Avoir plein de sujets à la fois chouette, ceux des autres quand c’est pas ton moment, euh.

L’auto saboteur interne

S’incruster selon sa force des phrases en tête, tu peux y arriver, tu vas y arriver, tu peux le faire, tu vas le faire. Tu vas faire semblant de le faire parce que merde des fois c’est drôle de pas le faire.
 
Le boulot

J’ai eu la chance d’avoir un boulot, que j’ai encore mais je vais faire une pause. Etre une pièce d’un truc qu’est ce que ça repose. Et qu’est ce que cela permet de se trouver. Ça fait un peu comme tu sais le labyrinthe à la foire ? les miroirs. Tu t’en prends un, tu changes ta route, tu t’en prends un autre, tu rechanges ta route.
 
La vieillesse

Alors comment ça va être ce truc ? bon on va faire des plans, des schémas, on va aller se renseigner et voir ça et là. Comment ça va se passer ? ben je vais aller demander ? ne penses pas avoir la primeur de ces questions. Tout le monde y pense. Y’a ceux qui vont au bout, et ceux qui évitent. Evidemment si tu forces quelqu’un à penser ce qu’il veut pas penser maintenant tu peux te gratter.
 
Le bénévolat

Alors là J oui mais où ? quand ? quoi ? comment ? ben non, tu te promènes et si tu vois de la lumière qui te plait t’y vas. Si tu le sens t’y vas aussi.

Les portes

Tu enfonceras pas les portes de quelqu’un mais il pourra enfoncer les tiennes.
 
Le forum

Ah les forums alors c’est quoi ce truc ? d’accord y’a ton fil, des cases, whaou punaise et puis y’a des gens derrière. 

c’est comme la vie quoi. Sauf que dans la vie tu ne peux pas appuyer parfois sur off de ton pc pour dire : punaise lui il me …….. ou alors mais pourquoi il veut pas comprendre.
 
Les normo pensants

C’est un truc comme toi au fond. Faut comprendre le fonctionnement de différence de base et sinon c’est pareil, il a un vécu, dont il veut pas forcément parler. 

Alors que toi tu t’étalerais bien, on ,'est pas bien là ? on a tout le temps. Ben non parce que lui il fait ses trucs tous les jours, toi t’as des rituels, lui il a une vie en gros qui n’est faite que de ça. et puis il a ses obligations. toutes celles que toi tu vires ou tu résous plus vite.

(je ne sais ce qui m'a inspiré, mais faut que je classe, que je trie, que je modifie, que je fasse un plan, que je range. 

si je copie ces deux posts et que je les modifie au fur et à mesure, ça va me faire un fil énorme grossissant de jour en jour. ça ne va pas. faut que je réfléchisse mais carré vers des buts. 


sinon ça fait trop de sujets. ça fait tout un forum et toute ma vie complète, en plus celle que j'aurai pas, celle que j'aurai, celle que j'ai eu, celle que j'ai pas eue. faut que je trouve le concept de mon fil. sinon je vais en fonction des pensées des autres ou alors je réfléchis à fonction de leurs pensées.








qu'est ce que j'ai envie de te dire ? c'est quoi ma trame ? à moi ? maintenant ? je crois que quand on m'a bousculé mon programme (sans déconner ? t'as eu un programme ? oh mon ........ quelle horreur) on a bougé tous mes cubes et ça s'est plus emboîté du tout. free lance pour remplir mon cahier de texte. tu sais les deux premières pages quasi. celle où tu mets tes cours. mardi : anglais à 10 heures, bon alors du coup à 09h tel bistrot baby et discuter, donc avant faut que je prévois d'aller chercher mon petit pain au chocolat.








et là j'ai encore plein d'idées qui me viennent en vrac. ça part partout mais cool et doucement. en fait faut pas utiliser toutes ses pensées. y'a celles qu'il faut laisser filer pour vivre et pas laisser filer sa vie. je vais me relire demain.








comme quoi en fait on peut parler de soi en généralité, comme quoi je suis générale aussi en fait lol. c'est pour ça que je me suis mise à faire des mails que je ne reconnais plus. y'avait plus de modèles. y'avait du moi dérangé, perturbé, déhierachisée (j'adore dire ce mot particulièrement ici). j'ai pensé à plein de réactions de personnes d'avance et je suis morte de rire Smile








rire c'est important. 


un fil de présentation c'est aussi en fait le fil de sa pensée, de ce qu'on fait, de ce que l'on a dire. quand je poste de la musique en fait, si je visualise, ça veut dire que parfois j'ai parlé à quelqu'un en lui balançant une chanson ect.








on est donc aussi des enquiquineurs (oui je vais pas assumer ça toute seule donc je mets "on") on veut partager ce que l'on veut, quand on veut mais on se plaint aussi de pas pouvoir partager Smile 








je me demande de quelle idée à la base ce forum est parti, je vais peut être bien allée demander à la modo. ou alors je place un wiki ? 








Forum





[ltr]
Le mot forum (prononciation /fo.ʁɔm/) désigne en français diverses choses.
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Sommaire

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  • 1 Nom commun



    • 1.1 Antiquité romaine


    • 1.2 Actuellement




  • 2 Culture


  • 3 Toponymes



    • 3.1 Antiquité romaine


    • 3.2 Autres




  • 4 Partis politiques


  • 5 Autres


  • 6 Notes et références




[ltr]

Nom commun[modifier | modifier le code]



Antiquité romaine[modifier | modifier le code]


Historiquement, dans la Rome antique, le mot latin forum désignait
[/ltr]





  • d'une manière générique la place publique d'échange forum (au pluriel fora),


  • de façon plus précise, le vieux forum républicain de Rome ou forum romanum, auxquels furent adjoints les fora impériaux.




[ltr]Il désignait aussi le centre géométrique commercial, social, administratif, religieux et politique : dans chaque ville, il était le centre géométrique. [/ltr]


[ltr]Autour du forum, étaient placés des bâtiments administratifs et religieux entourés de colonnades et portiques. [/ltr]
[ltr]Ce lieu, décoré par un grand nombre de statues de personnalités remarquables, connaissait une vive affluence, car les habitants venaient célébrer des cérémonies, assister aux sacrifices ainsi que discuter, flâner et acheter diverses choses dans les boutiques à disposition.


Actuellement[modifier | modifier le code]


[/ltr]
Sur les autres projets Wikimedia :


  • forum, sur le Wiktionnaire



[ltr]Au sens moderne, en français, « forum » peut désigner :[/ltr]





  • une place réservée aux piétons ;


  • une réunion avec débat autour d'un thème ;


  • en informatique, forum (sens provenant du latin et de l'anglais) est un espace virtuel qui permet de discuter librement sur plusieurs sujets divers ;


  • en science politique, un espace de négociation et d'échange sur un thème précis et entre différents acteurs (ex. : forum social).



[ltr]

Culture[modifier | modifier le code]



[/ltr]

  • Forum, un film de Mireille Dansereau


  • Forum, une radio régionale française


  • Forum, une émission d'actualité et de débats de la radio suisse romande La Première


  • Le théâtre forum, une technique de théâtre



[ltr]

Toponymes[modifier | modifier le code]



Antiquité romaine[modifier | modifier le code]


Seuls les forums de la ville de Rome portent des noms particuliers :
[/ltr]





  • Le Forum Romain, le plus ancien et un des plus grands sites archéologiques de Rome


  • Le Forum Boarium, ou marché aux bœufs


  • Le Forum de César, le premier des forums impériaux de Rome


  • Le Forum d'Auguste


  • Le Forum de la Paix, ou forum de Vespasien


  • Le forum de Nerva


  • Le Forum de Trajan, forum impérial dans sa forme la plus achevée







[ltr]


Autres[modifier | modifier le code]



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  • Le Forum des Halles, à Paris


  • Le Forum commercial, à Bayonne


  • Le Forum de Montréal, une salle omnisports de Montréal maintenant transformée en centre commercial et salles de cinémas.


  • Le Forum d'Alger, place piétonne équipée d'une tribune et d'un balcon, d'où a commencé l'insurrection du 13 mai 1958 et d'où le Général de Gaulle a prononcé le 4 juin son célèbre discours Je vous ai compris.


  • Le Forum Fribourg


  • Le Forum de Liège, salle de spectacle de style Art Déco.



[ltr]

Partis politiques[modifier | modifier le code]


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  • Forum des républicains sociaux, un parti politique français


  • Forum civique, un parti politique de l'ancienne Tchécoslovaquie



[ltr]

Autres[modifier | modifier le code]


[/ltr]



  • Forum économique mondial


  • Forum social mondial, un forum altermondialiste




[ltr]oui

placer "romantique" à la fin de ces deux posts aujourd'hui ça me va bien.
[/ltr]


Dernière édition par six s'if le Dim 8 Nov 2015 - 15:38, édité 2 fois (Raison : le bleu en copier coller tu peux semble t il mais sinon c'est la couleur réservée aux modérateurs.)

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Message par Invité Mer 28 Oct 2015 - 20:16



Je me relis Smile re lies Smile but not lies

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Message par Invité Sam 31 Oct 2015 - 19:23

six s'if a écrit:
La vraie liberté consiste à réaliser et accepter le fait qu'il n'existe pas de réponse parfaite. 

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Message par Invité Mer 4 Nov 2015 - 19:57

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Ecrire sur tout, écrire surtout Smile

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Message par Invité Jeu 5 Nov 2015 - 12:39



Faut synthétiser pour avoir la soul saveur

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Message par Invité Dim 8 Nov 2015 - 10:54

21-Identification et colère
Par Pippa-67 dans Accueil le 15 Juillet 2014 à 12:18
S'identifier aux autres, faire partie d'un groupe est inné à l'être humain et aussi la règle de la société, même dans une société où l'individualisme est exacerbé. Mais pour l'adolescent et l'adulte zapar, être différent le coupe souvent du reste du monde, ce qui est particulièrement dur pour un jeune qui cherche ses marques. Quand j'ai lu ce passage dans le livre, j'ai aussi pensé aux jeunes enfants qui sont en avance sur les autres et j'ai eu l'idée qu'il faudrait leur donner la possibilité de s'organiser en Club des Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 X_Ckt0jVc78-y41vHewvPxB9MPI@250x363Cinq (cf. Enid Blyton, Bibliothèque Rose de mon enfance) avec des missions d'enquête dans leurs domaines d'intérêt et un travail de tentative de vulgarisation pour les autres enfants. Les surdoués doivent faire d'énormes efforts pour s'adapter, et pourtant, à tout âge, comme les autres, ils ont besoin du groupe, de la communauté pour se construire. S'il ne sont pas compris et acceptés, certains peuvent se replier sur eux-mêmes. Un diagnostic précoce semble incontournable pour éviter le pire et favoriser un développement optimal.
Quand on n'est jamais reconnu pour ce que l'on fait, ce que l'on est, ce qui est indéniablement mon cas et celui d'un certain nombre d'adolescents, on a du mal à s'intégrer et à construire son identité, à faire confiance. Les troubles de l'estime de soi sont quasi systématiques pour le jeune et la colère du surdoué est dominante en cette période de croissance, une colère envers la terre entière, colère d'être différent, colère de ne pas réussir comme on voudrait, colère de se sentir incompris, colère envers le système, les normes, contre la vie qui nous contraint d'exister... On dirait que l'auteur parle de moi, je suis encore au stade de l'adolescence.
Mais à quoi ça sert de penser, penser, penser, quand ça ne mène à rien? Pour l'adolescent surdoué, penser est un danger, donc il fait semblant d'oublier les questions et les réponses, sur soi, sur les autres, sur le monde et la résistance à la thérapie est importante, l'accompagnement donc fort délicat, les psychologues que j'ai rencontrés n'arrivaient pas à suivre. J'étais choquée lorsqu'à 34 ans, on m'a dit qu'il faudrait que je mette mon intelligence en veilleuse pour trouver un mari!!! Avec mon fort caractère, il n'en était évidemment pas question. Les adolescents, dans la forme extrême, ont la phobie scolaire, les adultes la phobie sociale.

http://surdouee-haut-potentiel.eklablog.net/21-identification-et-colere-a108568402


Extrapolation mentale d'une conversation qui aurait pu être : 

- Alors tu aurais été une zapart mais au milieu des autres ? c'est totalement contradictoire.

- Euh je sais pas je m'en fous en fait. il n'y a eu que les autres pour le regarder ou le remarquer.

- Pourquoi ? toi tu n'as rien vu ? 

- euh ben non, j'ai pas pensé à me préoccuper de cela en fait, j'ai vécu Smile je n'ai pas jugé utile sauf quand c'était dans mon intérêt d'accorder beaucoup d'importance à ce qui ne m'en ont pas accordé, ni perdu beaucoup de temps à tenter de créer du lien avec des personnes qui n'en souhaitaient pas ou avec qui c'était compliqué, conflictuel, toxique.

- ah, et du coup aujourd'hui, à ce stade tu fais quel bilan ? 

- et bien je referai tout pareil mais encore mieux et plus vite.

- alors d'après toi, les étapes de la vie ne seraient pas un éternel recommencement ?, la vie ne serait pas quelque chose qui tourne en boucle ? 

- euh, ben non, puisqu'il y a d'ailleurs des étapes, un début, une fin, des variantes à chaque age, des environnements différents, ect, et des personne différentes, plein.

- ah, et sinon, comment tu vis ? comment as tu vécu ? quel sens as tu donné à ta vie ?

- eu whaou, ça c'est de la question de plus haut volée que : vais je m'acheter des truffes chez Jeff cette semaine ? et en ferais je d'abord une pyramide pour en faire des photos. je vis et j'ai toujours vécu en fonction de la fin, donc à l'envers, en fonction de la fin de la vie, de la fin de la semaine, de la fin de tout.

- ah et c'est à dire ?

- c'est à dire en me demandant à quoi je vais bien pouvoir penser si je suis hospitalisée, à l'hospice ? ou si je suis coincée quelque part ou si il y a des choses que je ne peux plus faire, du coup j'aurai la tête pleine de tout ce que j'aurai vécu.

- ah et donc tu peux dire que tu as été heureuse et que tu l'es ? 

- euh, j'en sais rien, je ne me pose pas la question. je me suis demandée à des points d'étapes fixés par moi même ce que j'aurai voulu avoir fait, me dire que j'avais fait et je l'ai fait.

- ah, mais donc parfois tu parles un peu je trouve comme si tu allais mourir demain je trouve.

- ah bon, tiens possible, ça doit être quand je fais justement le bilan d'un point d'étape ? peut être.

- et sinon t'as jamais peur de rien ?

- ben non puisque j'ai plein de points d'étapes de la vie dans la tête et pour ceux pour lesquels je n'ai pas de points d'étapes, d'échéances, de cadres ni de références, je vais les chercher, les regarder, les approcher comme ça je les mets dans ma banque d'images, ça m'évite d'en avoir des catastrophiques, des flippantes, des inconnues.

- ah, et sinon comment ça va ? 

- ben écoutes c'est dimanche. j'ai fait mon petit point du samedi en briefing rapide avec moi même pour faire le bilan de la semaine et je vais bien voir au fil de ma journée comment ça va se passer. en tout cas c'est sûr je vais faire ci ou ça et puis aussi ci et ça et forcément ça.

- whaou punaise ça a l'air super chiant et lourd comme programme ? tu te prends bien la tête non ?

- ben écoutes c'est selon. est ce que tu organises ta journée pour avoir des trucs chouettes le soir à passer ? de façon à avoir des belles images à te repasser ? ou est ce que tu passes ta journée bêtement ou à fond la caisse pour n'avoir aucun équilibre de positif et négatif à avoir dans ta besace ? pour pouvoir jouer avec ton mental ? si il n'est pas rangé, organisé à la base, comment t'arrives à trier ? ça fait du boulot d'être constamment dans l'organisation.

- ah ouais vu comme ça, évidemment, je te vois moins cruche.

- et bien écoutes je ne savais pas que tu me voyais comme ça, je suis heureuse de l'apprendre et si ça t'a soulagé de me l'indiquer, tu m'en vois ravie Smile bon dimanche à toi aussi Smile

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Message par offset Dim 8 Nov 2015 - 11:29

Ce que j'aime sur ce fil, c'est qu'il y a toujours à lire, on ne s’ennuie pas  Very Happy

Bon dimanche Pour Toi
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Message par Invité Dim 8 Nov 2015 - 11:40

offset a écrit:Ce que j'aime sur ce fil, c'est qu'il y a toujours à lire, on ne s’ennuie pas  Very Happy

Bon dimanche Pour Toi

Merci, pourtant j'ai l'impression de ne pas écrire beaucoup. sinon j'ai un mode "radio" ça peut durer jusqu'au bout de la nuit et de la vie.

Heureusement que des personnes ont une vie plus remplie, programmée, ect que la mienne pour me recadrer Smile sur les trucs que je dois faire et que j'aime pas faire, je pousse, je pousse, jusqu'à entendre : bon écoutes.... et là ça veut dire qu'on est enfin dans l'échange et qu'on n'a pas la même vie ou la même longueur d'onde Smile

bon dimanche à toi aussi. tiens aller m'acheter des fleurs bonne idée ça. est ce que j'ai besoin de fleurs ? non mais ça sent bon. et puis c'est joli, 

(si on veut bien pousser là pensée uniquement jusque là sinon évidemment on peut dériver sur le gros pavé de la nuisance qu'on provoque aux abeilles qui ne pourront pas butiner dessus, mais bon je peux m'occuper du monde entier le dimanche toute seule et en une seule journée, alors je fragmente, je distribue mentalement le boulot de chacun Smile

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Message par Numero6 Dim 8 Nov 2015 - 11:42

69 - DimUp et Porte-Jarretelles
Par Ulla-3615 dans Accueil le 15 Juillet 2014 à 12:18

The Bell Curve et les Belles Courbes.

Les moins de 2 % de la population féminine du Cantal du Haut adeptes du porte-jarretelle ont appris à dissimuler leur tendance sous-vestimentaire. Confirmer l'usage de cet ustensile désuet provoque des réactions de défense trop fréquentes. D'une simple déclaration d'inclinaison dans la parure, c'est l'accusation de renoncement à l'inutile qui pointe, la soumission au règne de l'utilitaire et du confortable.
Comme il y a 150 ans, les jarretelles sont condamnées à rester masquées.

Les 2 % de l'autre extrémité de la courbe, adeptes du DimUp du Cantal du Bas bénéficient de commentaires moins définitifs. L'objet est plus commun, plus actuel, moins sujet à l’opprobre, moins caution à la suspicion de soumission à l'imaginaire masculin. Sa tendance naturelle à se transformer en bouloche à chevilles le décrédibilise suffisamment pour l'exclure de l'orgueil du raffinement. M'enfin ça fait quand même salope !
Notre époque de grande liberté, d'esprit, sexuelle, idéologique, pornographique, a réussi l'exploit de transformer une paire de hautes chaussettes transparentes en un symbole vachement créniosse.

Les 96 % de barelegs du milieu de la courbe de Gauss se déclarent tolérantes vis-à-vis des 4 % sus-cités, c'est-à-dire heureuses de ne pas en faire partie. La majorité d'entre elles avouent posséder dans son cercle d'amie une de ces S... endimanchées.

Une analyse fractionnaire multi-variante réalisée sur une population significative de 11 Cantalaises du Centre, Riquet et al. (2014) parue dans Nylon magazine a permis de conclure à l'incompatibilité entre les 2 % de chaque extrémité de la courbe. Selon le Pr Yves Riquet il existerait une incompatibilité auto-immune entre le porte-jarretelles et le DimUp. Nous lui laissons la responsabilité de sa conclusion " une jarretelle sur la bande d'un DimUp, putain, ça craint ! "
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Message par offset Dim 8 Nov 2015 - 11:51

Very Happy

Numero6, sois sage


Bises à vous deux
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Message par Invité Dim 8 Nov 2015 - 12:02

Attention, 

alerte AFP, 

The Number 6 vient de poster sur mon fil. 

J'ai vérifié deux fois.

Je vais m'évanouir et je reviens lire. 

(Notez l'heure, la date, 

c'est pour moi une consécration, l'aboutissement de 4 années de forum ect ect ect.

- ah bon toi tu lis juste 69, ça te fait quelque chose ? un coté "nounouille" peut être ?

- non, non, tu sais moi je fonctionne en concept pas en forceps. et je prends du recul quand on m'en..... voit des mots Smile et surtout de Number 6.

oh la vache ça m'émeut Smile

Mais je vais m'en remettre, 

soyons désinvoltes, faisons l'air de rien genre ça me touche même pas Smile

- tu seras la première nana non touchée par un 69, ça c'est du concept Smile

- et sinon alors dans un 69 ? tu peux faire le 9 des fois ? ou tu es condamné au 6 à vie ? hein ? on ne se pose pas ce genre de questions en numéro logis ? on devrait non ?

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Message par Invité Dim 8 Nov 2015 - 15:27

La vie est toujours aussi corrosive


Par Jean Michel le mercredi 13 mai 2015, 11:24
Bien que la vie soit un peu plus douce grâce à ma compagne, elle reste ce qu'elle est



Il y a des choses dans la vie qu'on ne peut pas comprendre, il faut lâcher prise pour les expérimenter et après seulement on peut décortiquer l'expérience pour pouvoir en comprendre le fonctionnement... et encore, c'est pas certain. Or, j'ai horreur de lâcher prise et de vivre simplement les choses, mon cerveau a un besoin impérieux de comprendre, et c'est presque impossible sur le long terme de fonctionner autrement, juste dans le lâcher prise.

Je ne comprends pas comment font les gens pour ne jamais se poser de questions et vivre simplement. Vivre, c'est se laisser vivre. Mais pour moi, vivre, c'est comprendre, avoir conscience des choses. 



Or, si je veux vivre (selon le premier sens et qui est, semble-t-il, le plus courant), il me faut abandonner dans un premier temps la compréhension. Mais puisque vivre c'est comprendre selon moi, alors vivre comme tout le monde c'est mourir à moi-même, renoncer à ma nature profonde (au moins dans un premier temps) et fondamentalement me renier. Donc si je veux vivre, je dois mourir (symboliquement parlant). Vivre, c'est prendre le risque de subir sans comprendre.

Il y a tellement de choses fondamentales dans la vie qui me semblent être un non sens.





Tout est difficile et compliqué, la vie de couple, la vie parentale, la vie professionnelle, même les relations avec les amis peuvent être problématiques. Il y a des matins où dès le réveil j'ai envie d'hurler. J'ai l'impression de n'être fondamentalement pas fait pour vivre dans cet environnement. Grâce à ma compagne, je suis sorti de ma période de stase (ma bulle de jeux vidéo) et j'ai commencé à vivre. Mais comme c'est dur parfois !
En tant qu'asperger on est comme un bâteau qui prend l'eau. 



Nous, on est le navigateur avec son bateau, et la route à suivre c'est la vie. Quand on est jeune, ça peut encore passer, mais plus le temps passe, plus l'eau s'engouffre dans la câle et passé la quarantaine, on a trop d'eau à écoper pour pouvoir poursuivre sa route, et une fois qu'on a suffisament écopé l'eau pour poursuivre la route, on n'a plus la force de continuer à naviguer. Voilà, j'ai l'impression de conduire un navire qui prend continuellement l'eau. 


Tout ce qui fait entrer en jeu une interaction sociale me pose problème, surtout si elle est intensive, et ce avec qui que ce soit, même les personnes qui me sont les plus proches et les plus chères. Je ne sais jamais ce que j'aurais de mieux à faire, j'ai l'impression de tâtonner comme si j'étais aveugle, d'être sans cesse maladroit et d'avoir loupé quelque chose. Heureusement, les relations avec mes proches sont aussi réconfortantes. Du coup, la fatigue fait place au réconfort de la proximité de l'autre. Mais bon, je sais que je n'aurais jamais l'esprit tranquille, il y aura toujours un doute quelque part, une question sans réponse, qui laisseront un goût amer à ma vie.
Je ne me souviens pas m'être déjà senti autant handicapé, malade, et étranger à ce monde. Je me demande parfois si je ne serais pas quand même capable de travailler, mais quand je vois que je passe toute mon énergie à vivre, tout simplement, alors la question ne se pose même plus.


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La vie est vraiment pleine de surprises !


Par Jean Michel le vendredi 8 mai 2015, 23:53


Depuis peu de temps, qui me semble être une éternité, je suis en couple avec une jeune femme que je soupçonne d'être asperger. C'est parce qu'elle se pose la question elle-même que nous avons eu l'occasion de faire connaissance via les réseaux sociaux. 


Nous habitons à 720 km à vol d'oiseau. Moi qui ne quitte jamais ma ville, il ne m'a fallu qu'une journée pour prendre la décision d'aller la voir, ce que j'ai fait sans peine, le coeur léger, avec 8 heures de train, les grandes gares, la grande ville. J’essaie de monter la voir 5 à 10 jours par mois quand c'est possible. Nous passons donc plus de temps à distance qu'à proximité. Je sais que j'avais dit que le célibat était le meilleur choix pour un asperger, et je pense qu'effectivement, au moins pour un temps, c'est une très bonne chose d'apprendre à "être un bon compagnon pour soi-même", pour reprendre une expression de Jacques Salomé. 


Mais bon, il y a des choses qu'on ne commande pas et c'est pour moi le début d'une longue aventure intérieure.

Je n'aurais pas pensé que ça serait si dur de s'ouvrir à l'amour. Au début tout semblait couler de source, ce qui nous a beaucoup encouragé à croire que nous sommes fait l'un pour l'autre. Et puis rapidement nous avons commencé à ne plus toujours nous comprendre sur certains points, ce qui est normal, après tout on est pas des clones ! 



Aujourd'hui, nous devons nous retrouver nous-mêmes en profitant des longs moments où nous sommes séparés, pour mieux se retrouver l'un l'autre, en évitant la fusion. Mais le problème c'est que je préfère encore que ça soit dur parfois à ses côtés, plutôt que de vivre loin d'elle et je ne suis pas particulièrement heureux d'avoir à rentrer chez moi pour retrouver mes habitudes. Je me rends compte que je n'ai pas grand chose à retrouver de ma vie d'avant. Le problème, c'est que même si elle me plaisais cette vie solitaire, elle me semble vide aujourd'hui, et je me contentais de bien peu en fin de compte. J'attendais la mort en quelque sorte, et elle m'a ouvert à la vie. Dans mes 10-15 heures de jeux vidéos par jour, je m'essayais à la vie, comme on trempe son pied dans l'eau pour voir si elle n'est pas trop froide. 


Et là, je suis tombé dans l'eau en tombant amoureux. Maintenant, il faut vivre pour de vrai ! J'ai beau être amoureux, je n'en demeure pas moins asperger


Et la vie de couple, c'est une relation sociale. Les difficultés à exprimer ce que je ressens, mon besoin de dire des choses avec des mots là où il faudrait vivre les choses en silence, ma difficulté à percevoir ses émotions à elle, à ne pas comprendre que mes paroles peuvent être désagréables, où ma tendance à être trop directif et à vouloir qu'on fasse les choses à ma manière sont toujours là comme ça le serait avec n'importe qui.

Et puis il y a les émotions, ces merveilleuses et terribles émotions. Le sentiment d'absence d'espace et de temps à ses côtés est quelque chose de vraiment extraordinaire, mais en même temps la colère envahissante qui m'envahit lorsqu'on ne se comprend pas, ou qu'elle me parle un peu durement, ou qu'elle agit d'une façon que je n'arrive pas à comprendre malgré ses explications, est là aussi. 



Ouvrir la porte aux émotions positives, c'est aussi ouvrir la porte aux négatives. La colère, la frustration, la déception, le découragement, tout a pris une ampleur démesurée et il faut les affronter aussi, en même temps que la grandeur de l'amour et de l'attachement. En maîtrisant ces émotions négatives, je maîtrise du même coup les positives. J'ai l'impression d'être un peu moins amoureux "tout feu tout flamme" qu'au début, mais en même temps mes sentiments et mon attachement gagnent en profondeur, et ils s'enracinent en moi. 


Je pourrais croire qu'elle m'a déçu, mais en fait ce sont mes illusions qui m'ont déçues. Elle, elle est devenue intrigante, passionnante, et je comprends que je ne l'ai jamais autant aimé qu'aujourd'hui où j'ai vu plusieurs de ses défauts, des défauts qui me sont parfois très pénibles sur le moment, mais qui m'amusent beaucoup avec le recul. J'aime sa personnalité, en partie parce qu'elle m'échappe complètement ! 


Cette relation est parfois épuisante, car cela me force à aller au delà de moi-même, à devoir rapidement comprendre des problèmes et à y trouver le plus rapidement des solutions, dans l'acceptation que l'autre peut avoir un rôle à jouer dans ma vie. Je dois composer avec elle, il faut se synchroniser, et ce n'est pas évident déjà pour la plupart des gens, mais pour les aspergers c'est vraiment la misère. 


C'est la première fois de ma vie que je me sens dépassé dans une relation. Pourtant toutes les autres ont échouées, ça veut bien dire que j'étais déjà dépassé sans m'en rendre compte. Mais là, j'en ai conscience. Conscience d'être indélicat, déplacé, maladroit, perdu et parfois si peu sûr de moi. Et moi qui croyais être raffiné ! j'ai l'impression d'être un gros bourru.

Le monde des sensations physiques, auquel je m'étais quasiment totalement soustrait depuis plus d'un an, offre aussi une expérience déstabilisante. Je ne me suis jamais senti aussi peu humain. Je ne sais pas trop la limite des choses. J'ai mes limites et je m'ouvre à d'autres choses, d'autres expériences, d'autres ressentis. Je laisse prise à mon corps sur mon esprit alors que ça a toujours été fortement l'inverse. 



Et là, je me demande jusqu'où je dois m'ouvrir. Je sais que je "conscientise" trop, que je "mentalise" trop, et qu'il faut juste vivre l’expérience telle qu'elle est, mais mon cerveau essai toujours de reprendre le dessus. Pas évident pour moi ! 


Instinctivement, je vais essayer, par mon expérience, de comprendre aussi le monde qui m'entoure et les comportements des gens, jusqu'à l'overdose, jusqu'à en être presque dégoûté par mon propre corps et la vie physique en général, me faisant ressentir un profond malaise, même physiquement. Je prends conscience aussi que depuis toujours je n'ai cessé de me malmener, soit pour être à la hauteur des attentes des autres, soit pour comprendre le monde qui m'entoure et répondre aux questions qui me hantent.



J'ai l'impression qu'il y a des pans entiers de mon existence dont j'ignore tout. C'est facile d'avoir de l'assurance et une bonne estime de soi quand on est isolé, mais quand on est face à quelqu'un avec qui on partage tout son être, c'est un vrai défi à relever. Dès les premières difficultés je pensais tout arrêter, mais j'étais déjà trop attaché pour pouvoir supporter réellement une séparation, 



et puis j'ai pris goût... à la vie en fait, à ses hauts et à ses bas, aux incertitudes, à l'obligation de vivre l'instant présent sans se poser de questions, 


car les réponses ne viennent plus de la réflexion intense et de l'observation, mais simplement du fait de vivre les choses comme elles viennent, en sachant qu'avec le temps, les choses se mettront en place toute seule. 


Il faut apprendre à faire confiance à la vie, à lâcher prise, à accepter de n'être qu'un maillon de l'univers et qu'on ne peut pas tout comprendre. 


Ça semble être contre nature pour moi, mais c'est la vie, et j'en tire une belle leçon !

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Le Mythe médical (mis à jour)


Par Jean Michel le samedi 28 février 2015, 23:51


Bon, je vais un peu mettre les pieds dans le plat mais je trouve de plus en plus que la psychiatrie c'est de la foutaise. Le nombre d'erreurs de diagnostic, surtout en matière d'autisme (particulièrement Asperger) mais aussi indirectement en ce qui concerne certaines psychoses (un asperger diagnostiqué schizophrène me laisse à penser que le psychiatre qui a fait le diagnostic ne connaît bien ni l'un ni l'autre), ne me permet plus d'avoir confiance et de dire aux gens "va voir un psychiatre, lui il saura te dire ce que tu as". Une erreur médicale, ça peut toujours arriver, mais là c'est presque devenu la règle ! À l'heure actuelle en France je ne connais qu'un seul spécialiste qui en vaille vraiment la peine.

Alors concrètement, les psychiatres sont capables de quoi ? Quelles sont leurs compétences ? De quel droit s'arrogent-ils le monopole des diagnostics d'aspergers alors que bon nombre de psychologues sont bien plus compétents qu'eux dans ce domaine ? Ils n'ont aucune excuse pour justifier leur ignorance à notre sujet. Internet, les conférences, les colloques et les aspergers eux mêmes parlent du SA, il suffit de s'intéresser à son boulot, c'est pas très compliqué. Tous les aspergers et tous les parents le font, pourquoi pas eux ?


Je ne parlerai même pas ici de l'école psychédélique... pardon, psychanalytique, dont les croyances moyen-âgeuses ne méritent même pas d'être soulignées, leur équilibre psychique étant à mes yeux fortement remis en question.


Je rappelle souvent que l'homosexualité était consignée dans le DSM jusqu'en 1990. Ça veut dire que si vous étiez homosexuel en 1989 vous étiez malade, qu'il fallait vous faire suivre, et qu'après vous ne l'étiez plus (c'est ça le miracle de la psychiatrie : pour guérir les gens après des années d'absence de résultat, il suffit de supprimer une rubrique du DSM). 



C'est le SA qui a pris la relève dans le DSM dans le milieu des années 1990. Avant, un asperger n'était pas malade, et maintenant il l'est ? Jusqu'à quand ? Jusqu'à ce qu'un mouvement d’Asperger se constitue en lobby pour faire pression afin d'obtenir le droit d'exister comme on est 


Ce n'est pas le SA qui nous pose problème, c'est quelques comportements, quelques tendances naturelles, qui rendent notre vie parfois plus difficile et qui se réduisent de beaucoup ou s'aggravent selon la façon qu'on a de s'accepter soi-même. Mais si nous trouvions autour de nous un regard bienveillant, ça serait déjà 90% de handicap en moins.

Beaucoup de psychiatres n'ont aucune sensibilité face aux aspergers et se cachent donc, faute de mieux, derrière des tests techniques qu'ils ne maîtrisent pas forcément, négligeant ainsi l'approche humaine pourtant essentielle, même pour nous, ma conviction, c'est que les aspergers entre eux se reconnaissent très bien. Il n'y a pas cette tension, ce malaise qu'il y a avec des neurotypiques, aussi gentils et compréhensifs soient-ils. 



Quand je vais voir mes amis neurotypiques, ou quand je les appelle au téléphone, mes jambes se crispent, je me tords les doigts, mon corps est sous tension


C'est ridicule parce que ce sont des proches, je sais, mais c'est comme ça ! 


Avec les aspergers, c'est détendu, on se sent sur la même longueur d'onde, le courant passe tout de suite comme par magie. Ça, c'est un fait que j'ai maintes fois remarqué et qui m'a été confirmé aussi par d'autres. Ça doit être assez semblable à un étranger qui ne maîtrise pas bien la langue du pays dans lequel il se trouve, et qui est content de retrouver ses compatriotes exilés comme lui.



Alors j'en tire les conclusions qui s'imposent : les aspergers savent mieux se reconnaître entre eux que les psys ne savent les diagnostiquer, et la parole d'un groupe d'aspergers au sujet d'une personne vaut bien mieux que ce qu'en dit un psy (même si c'est juste à titre indicatif, car rien ne remplace la conviction profonde de la personne concernée), sauf si ce psy est lui même validé par les aspergers. La position dominante de la psychiatrie dans ce domaine n'a donc pas lieu d'être. Il ne suffit pas de s'appeler "Centre Expert Asperger" pour s'imposer, encore faut-il faire ses preuves. 



Nous, nous n'avons pas à faire nos preuves, nous avons 30, 40, 50 ans d'expérience de l'autisme (expérience pratique). La question est de savoir si on va continuer encore longtemps à croire ce qu'on nous a inculqué, qu'un autre serait mieux placé que nous pour déterminer qui nous sommes et qu'on ne devrait pas s'auto-diagnostiquer (ce qui est faux pour quasiment tous les aspergers que je connais, qui sont capables d'une analyse d'une rare lucidité sur ce qu'ils vivent) ou si on va enfin s'affranchir de cette domination infantilisante pour réfléchir par nous-mêmes et croire en nous.

Il existe majoritairement, selon moi, deux types d'aspergers : les surdoués, et les non-surdoués. Les surdoués compensent, donc sont plus difficiles à identifier, notamment s'il s'agit de femmes. Autant dire que si vous êtes une femme asperger surdouée et que vous arrivez à obtenir un diagnostic d'asperger, il faudra aussi jouer au loto car vous êtes probablement dans une période de chance !


Souvent, le problème se pose pour les Aspergers surdoués (qui compensent), ou les surdoués aspergers (majoritairement surdoués mais avec une nette tendance asperger qui peut leur poser problème*).


Parfois j'entends dire "j'ai été recalé au diagnostic". Entre nous on appelle ça, de temps en temps, un "diplôme d'asperger"



J'ai réfléchi à ça cette nuit, et je me disais qu'un diplôme donne le droit d'exercer une activité, et un diagnostic donne le droit d'exister. Alors oui, je connais des gens, que je sais être aspergers, qui sont recalés par des "spécialistes de l'autisme" (de l'autisme oui, mais du Syndrome d'Asperger ?) alors que bien souvent ils arrivent là en en sachant plus qu'eux sur le SA !

Donc si votre "rencontre" avec le Syndrome d'Asperger a été une véritable révélation qui a changé votre vie, et que vous avez été diagnostiqué "anxieux généralisé, bipolaires, borderline, ou schizo-atypique, voire même schizophrène" (la j'avoue qu'ils font fort) sachez que c'est très bon signe, vous êtes probablement vraiment asperger ! 



Car ce sont les diagnostics que j'entends le plus souvent chez mes contacts aspergers, qui finissent par être diagnostiqués au bout de la troisième ou quatrième tentative et achèvent ainsi leur quête du Graal.

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Et vous, qui dites vous que vous êtes ?


Par Jean Michel le jeudi 7 août 2014, 23:50




Cela fait un moment que je n'ai pas écrit ici, car j'ai l'impression d'avoir fait le tour de tout ce que j'avais à dire. J'ai écris ce blog pour garder un témoignage de cette période de transition qui a marqué ma vie, pour passer de la période d'ignorance de soi à la période de connaissance de soi, libératrice.



Asperger, pour moi, aujourd'hui, ne nécessite plus vraiment un débat, et je me demande même s'il faut vraiment en faire un combat, dans le sens où c'est une histoire personnelle, et non pas publique, et qu'il faut que les aspergers se réapproprient leur façon d'être. 



Ça n'empêche pas qu'il faut les aider à s'assumer pour qu'ils ne souffrent plus (et les aspergers entre eux sont les mieux placés pour apporter cette aide), en les aidant à se connaître, à se comprendre eux-mêmes et à s'accepter, et même mieux encore, à s'apprécier comme ils sont. 


On a tord de penser que c'est un problème de société. La façon de faire de la société n'arrange rien, bien évidemment, mais elle n'est pas responsable de tout. Je suis persuadé que les aspergers ont tout ce qu'il faut entre les mains pour pouvoir trouver leur place dans la société, à leur manière. 


Mais comment être aimé, quand on ne s'aime pas soi-même ? Comment être apprécié si on ne s'assume pas ? Comment être compris, si on ne se comprend pas ? Une fois que le travail de compréhension a été fait, il n'y a plus grand chose à dire. Le temps où je me présentais comme asperger est révolu. Aujourd'hui je suis moi. Asperger, bien sûr, c'est évident, mais c'est moi avant tout.

Je comprends un peu mieux les gens qui me disaient qu'il ne voulaient pas que je m'enferme dans une étiquette. Ce qu'ils n'ont pas compris, c'est que pendant un temps, j'en ai eu besoin, pour trouver mes repères, pour me définir, pour savoir qui j'étais, car quand on fonctionne autant à contre courant, ça n'est pas évident de pouvoir se deviner. 



Je garde quand même cette étiquette comme un joker à sortir en cas de situation difficile. Si on ne me comprends pas, ou si je réagis mal à quelque chose, je peux expliquer que je suis asperger et en quoi cela consiste, ça m'évitera d'être harcelé. 


Mais j'aime aussi les défis et je ne veux pas en rester là. Ce n'est pas pour autant que je vais à nouveau tenter de vivre des choses pour lesquelles je ne suis pas fait (la vie de couple par exemple, qui ne me fait pas envie et qui ne me manque plus), mais j'apprécie, dans une certaine mesure, d'être provoqué, d'être attiré sur un terrain que je ne maîtrise pas, d'être ébranlé momentanément dans mon fonctionnement, histoire de voir le monde un peu autrement, juste pour un temps, comme de petites escapades hors de mon monde intérieur si riche.

J'ai découvert aussi que j'avais des gens formidables autour de moi, qui sont capables de tout entendre sans me juger, et qui m'apprécient vraiment pour mon originalité. 



Ceux qui n'ont pas pu entendre se sont écarté d'eux-mêmes, et ce n'est peut-être pas plus mal. Il fallait pour cela que je cesse de me cacher et que je me dévoile comme je suis.

Le plus grand ennemi des aspergers, c'est leur peur d'être eux-mêmes, qui les empêche d'accepter le fait qu'ils sont hors du commun, et personne ne peux changer ça à part eux-mêmes. 



Une fois qu'on a fait le pas, qu'on a montré qu'on s'assume comme on est, beaucoup de choses rentrent dans l'ordre et on fini par être respecté.

Un jour viendra, j'espère (mais c'est pas pour demain), où on aura plus besoin de diagnostic, ni de reconnaissance de handicap (on a juste besoin d'une reconnaissance de différence, c'est tout), chacun sachant pour lui-même s'il est asperger ou pas, et comment orienter sa vie en fonction de ça. Vouloir un diagnostic et une reconnaissance de handicap ne doit pas être une fin en soi 



(c'est juste pratique dans la société actuelle, mais ce n'est pas idéal), et il est d'ailleurs étonnant qu'on rappelle sans cesse qu'être asperger n'est pas une maladie, tout en envoyant systématiquement les gens se faire diagnostiquer ! 


Voilà, ça faisait un petit moment que j'avais envie de le dire, c'est fait !
Je conseille souvent aux adultes qui se demandent s'ils sont asperger ou pas, de tenter le coup. Quel est le risque après tout ? Personne ne peut vivre comme un asperger sans l'être vraiment. Au moins, en essayant, on est fixé. Il n'y a de toute façon aucun "risque" de le devenir, car on l'est, ou on l'est pas. Soit c'est une façon d'être qui nous correspond, et en essayant, c'est libérateur, soit ça ne nous correspond pas et on s'en trouve très mal.

Et pour les proches des personnes qui s'interrogent : laissez-les vivre leur expérience. 



Si ça apporte quelque chose à quelqu'un de se dire "je suis asperger", alors c'est plutôt positif ! Et si vous, ça vous gène, parce que vous y perdez quelques chose (ce que je peux comprendre car la vie peut radicalement changer), alors dite le simplement, exprimez ce qui vous trouble. 


Si votre conjoint se renferme sur lui-même parce qu'il est obsédé par la question du syndrome d'Asperger, dite lui qu'il vous manque, plutôt que de saper le travail de découverte qu'il est en train de faire sur lui-même en utilisant vos doutes comme moyen détourné de rétablir une situation qui vous convenait mieux avant. Et s'il se trompe, ça aura au moins permis d'éliminer une hypothèse, et donc de faire avancer les choses.

Alors ne vous demandez plus si vous êtes asperger ou pas. 



Vivez-le, et l'expérience vous le dira. Tergiverser en attendant un rendez-vous chez un psychiatre ne fera pas forcément avancer les choses, parce que même après, j'en connais certains qui ont encore des doutes, parce que "peut-être que le psy n'y connais rien" et puis "sur tel détail ça ne me correspond pas", etc. N'attendez pas des autres qu'ils vous disent qui vous êtes. Vous seul le savez. 


Asperger n'est qu'un mot qui définit une façon d'être, qui explique des particularités sans avoir à en dresser laborieusement toute la liste (qui est très longue), c'est juste une facilité pour expliquer, pas une facilité pour le vivre. Et se présenter comme asperger diagnostiqué avec une reconnaissance de handicap, c'est encore une manière de s'excuser d'exister. 


Et il y a mille manières d'être asperger, puisque c'est un spectre autistique, donc vous trouverez toujours une différence avec un autre asperger qui pourra vous faire douter.

Et si moi j'ai eu besoin d'un diagnostic pour faire toute cette démarche, dont ce blog est le témoignage, c'est parce que personne ne m'avait dit ce que j'ai écris ici. Et maintenant, il est temps que les choses avancent, parce... que je supporte pas quand ça stagne !



http://temoignage-asperger.devezeaud.eu/


Dernière édition par six s'if le Dim 8 Nov 2015 - 15:31, édité 1 fois (Raison : spéciale dédicace à ces deux jeunes avec qui j'ai échangé qui passeront du coup par ici. on s'apprend plus à être qu'à s'expliquer....)

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Message par Invité Lun 9 Nov 2015 - 12:02




alors il me dit j'adore la musique
alors je lui dis et ça ?
et pendant trois bonnes minutes il me répète : 
mais en fait quand est ce qu'il chante ?

un petit surnom ? euh je te vois bien en David Gaga Ane plutôt Smile

on dirait que je te saoule ?


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Message par Invité Lun 9 Nov 2015 - 12:40

Numero6 a écrit:69 - DimUp et Porte-Jarretelles
Par Ulla-3615 dans Accueil le 15 Juillet 2014 à 12:18

The Bell Curve et les Belles Courbes.

Les moins de 2 % de la population féminine du Cantal du Haut adeptes du porte-jarretelle ont appris à dissimuler leur tendance sous-vestimentaire. Confirmer l'usage de cet ustensile désuet provoque des réactions de défense trop fréquentes. D'une simple déclaration d'inclinaison dans la parure, c'est l'accusation de renoncement à l'inutile qui pointe, la soumission au règne de l'utilitaire et du confortable.
Comme il y a 150 ans, les jarretelles sont condamnées à rester masquées.

Les 2 % de l'autre extrémité de la courbe, adeptes du DimUp du Cantal du Bas bénéficient de commentaires moins définitifs. L'objet est plus commun, plus actuel, moins sujet à l’opprobre, moins caution à la suspicion de soumission à l'imaginaire masculin. Sa tendance naturelle à se transformer en bouloche à chevilles le décrédibilise suffisamment pour l'exclure de l'orgueil du raffinement. M'enfin ça fait quand même salope !
Notre époque de grande liberté, d'esprit, sexuelle, idéologique, pornographique, a réussi l'exploit de transformer une paire de hautes chaussettes transparentes en un symbole vachement créniosse.

Les 96 % de barelegs du milieu de la courbe de Gauss se déclarent tolérantes vis-à-vis des 4 % sus-cités, c'est-à-dire heureuses de ne pas en faire partie. La majorité d'entre elles avouent posséder dans son cercle d'amie une de ces S... endimanchées.

Une analyse fractionnaire multi-variante réalisée sur une population significative de 11 Cantalaises du Centre, Riquet et al. (2014) parue dans Nylon magazine a permis de conclure à l'incompatibilité entre les 2 % de chaque extrémité de la courbe. Selon le Pr Yves Riquet il existerait une incompatibilité auto-immune entre le porte-jarretelles et le DimUp. Nous lui laissons la responsabilité de sa conclusion " une jarretelle sur la bande d'un DimUp, putain, ça craint ! "





papapapapapapa 
oui, 
tu es ma paire ?

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Message par Numero6 Lun 9 Nov 2015 - 14:09

Quand je pense que ce petit bijou de musique de Lalo Schifrin pour le film The Fox a traversé les années sans prendre une ride...
C'était troublant de constater que trois notes d'une Pub puisse inspirer autant de musiciens, l'occasion de passer du vulgaire au délicat.

Parce que, quand même, en regardant les premières pubs pour collants qui relièrent cette musique à la marque DIM, ils étaient quand même à chier ces collants. Rien que les couleurs... je pense qu'ils ont inventé le LSD pour supporter des trucs pareils.



Après la sublimissime PUB pour les premiers DimUP (à plumetis) qui orna mon horloge franc-comtoise pendant des années,

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il fallut se taper l’inénarrable connasse des années 2000, sorte de travelo déguisé en femme, aussi féminine que Teddy Riner les jours de finale, tentant de retrouver les codes d'un passé enfoui au travers d'accessoires modes, j'ai nommé Daphné Burkï, qui est à la grâce ce que la musique militaire est à la musique. On dirait Clint Eastwood qu'aurait forcé sur le gloss.


D'ailleurs notez que la musique de Lalo Schifrin est tout de suite coupée. Trop légère, trop fine, trop délicate pour ces cuissots endimanchés. La légèreté qui assassine la cellulite pseudo-intello et faussement décontractée.


J'ai arrêté les anti-dépresseurs depuis un bon moment, je crois venu le temps de passer à l'acide.
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Message par Invité Lun 9 Nov 2015 - 15:05



Là où va le fox......



il y a Ca trie Annie, à fond dans mon terrier. 

et comme on dit que les terriers seront les premiers.



"Une personne vous suit toute la journée, en mode psychopathe, en vous expliquant qu'est ce qu'il a pu réaliser dans sa vie? vous avez l'impression qu'il vous suit, jusqu'à même vous espionner? vous avez l'impression de plus pouvoir respirer quand il est dans les parages, vous êtes en face d'une menace de type C.O.L.L.A.N.T. Ne vous inquiétez pas, j'ai la solution!"




papapa papapa
oui
tu m'aimes ou tu m'avdores ?

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merci d'être velu......



Wink

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Message par Invité Lun 9 Nov 2015 - 15:26

si je dois être Roux casse ? je dois entre ou sortir du front ?

avec toutes ces allers et venues, je suis perdue Smile je vais essayer de me faufiler pour mire trouver Smile

changes pas de cible, 
sur mes bas j'ai pas les fléchettes,
le meilleur des endroits, c'est quand même parfois bien à l'envers et deviser juste.



une mise aux poings ? une miso point Smile god 0 win 1

balle au centre

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Message par Invité Mar 10 Nov 2015 - 11:53

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89criture_automatique

L’écriture automatique est un mode d'écriture dans lequel n'interviennent ni la conscience ni la volonté1.
Ce processus a au moins quatre champs d'application différents : littérature, psychologie, peinture, parapsychologie ou autohypnose.
En tant que phénomène spirite, l'écriture automatique est appelée psychographie.

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Sommaire







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  • 1Origines
  • 2Littérature

    • 2.1Surréalisme
    • 2.2Manuels d'apprentissage notables


  • 3Peinture
  • 4Psychologie
  • 5Parapsychologie ou autohypnose

    • 5.1Spiritisme


  • 6Notes et références
  • 7Annexes

    • 7.1Articles connexes
    • 7.2Liens externes





Origines[modifier | modifier le code]

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
L'écriture automatique était une pratique spirite déjà rapportée par Hippolyte Taine dans la préface de la troisième édition de son ouvrageDe l'intelligence paru en 1878 : « Il y a une personne qui, en causant, en chantant, écrit sans regarder son papier des phrases suivies et même des pages entières, sans avoir conscience de ce qu'elle écrit. À mes yeux, sa sincérité est parfaite ; or, elle déclare qu'au bout de sa page, elle n'a aucune idée de ce qu'elle a tracé sur le papier. Quand elle le lit, elle en est étonnée, parfois alarmée... Certainement on constate ici un dédoublement du moi, la présence simultanée de deux séries d'idées parallèles et indépendantes, de deux centres d'actions, ou, si l'on veut, de deux personnes morales juxtaposées dans le même cerveau ; chacune a une œuvre, et une œuvre différente, l'une sur la scène et l'autre dans la coulisse. ».

Littérature[modifier | modifier le code]

Surréalisme[modifier | modifier le code]

L’écriture automatique a été utilisée par les surréalistes comme un mode de création littéraire, permettant de s'émanciper de l'étroitesse de la pensée régie par la raison. Ce point est caractéristique du mouvement surréaliste. C’est au terme d’une quête sur la nature de l’inspiration poétique qu’André Breton formalisa cette technique appliquée à la création littéraire. Elle consiste à écrire le plus rapidement possible, sans contrôle de la raison, sans préoccupations esthétique ou morale, voire sans aucun souci de cohérence grammaticale ou de respect du vocabulaire. L’état nécessaire à la bonne réalisation est un état de lâcher-prise, entre le sommeil et le réveil (proche d’un état hypnotique).
Le premier ouvrage écrit avec cette méthode a été Les Champs magnétiques d’André Breton et Philippe Soupault, publié en 1919. Il fut le point de départ du mouvement surréaliste. L'une des premières présentations d'écriture automatique est S'il vous plaît, des mêmes, le 27 mars 1920, dans un spectacle donné par les futurs surréalistes en réaction contre Dada, dans la salle Berlioz de la Maison de l'Œuvre2.
L'invention du « cadavre exquis » par les surréalistes s'inscrit dans la même lignée d'une création littéraire libérée des entraves de la raison.
Définition de l'écriture automatique par André Breton dans le premier Manifeste du surréalisme (1924) : « Placez-vous dans l'état le plus passif ou réceptif que vous pourrez... écrivez-vite sans sujet préconçu, assez vite pour ne pas vous retenir et ne pas être tenté de vous relire ».
L’écriture automatique occupa une place fondamentale dans le surréalisme, mais il ne s’y réduit pas. Faisant le bilan des activités surréalistes en 1933, Breton regrettait que cette découverte n’ait pas été mieux exploitée en ces termes : « l’histoire de l’écriture automatique dans le surréalisme est celle d’une infortune continue ».
L’écriture automatique trouve un équivalent graphique dans la technique dite du frottage, inventée par Max Ernst en 1925 : elle consiste à laisser courir une mine de crayon à papier sur une feuille posée sur une surface quelconque (parquet ou autre texture), ce qui fait apparaître des figures plus ou moins imaginaires.

Manuels d'apprentissage notables[modifier | modifier le code]


  • Cours d'écriture automatique, Bernard Baudoin, éditions de Vecchi, 1998, (ISBN 2-7328-1892-5).

  • L'écriture automatique, Bernard Baudoin, éditions de Vecchi, 2004, (ISBN 2-7328-3465-3).

  • L'écriture automatique, Marguerite Bevilacqua, éditions Trajectoire, 2000, (ISBN 2-84197-153-8).

  • L'écriture "automatique"... Les lois de l'amour, Marcelle Corriveau, (ISBN 2-9807971-0-3).


Peinture[modifier | modifier le code]

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Paul Klee, Veste rouge (1938), collection de l'état fédéral de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, basée à Dusseldorf.

Les membres de la tribu Hill Korwa de l'Inde profonde de Chhattisgarh, ont appris dans les villages que respect et pouvoir sont liés à l’habileté à écrire. Pour les Hill Korwa, l’écriture n’est pas un outil pour communiquer, mais une pure magie qui donne pouvoir3. Mais les Hill Korwa parlent un dialecte sans écriture!
Voici ce qu’en dit Jagdish Swaminathan dans son catalogue pour l’exposition des œuvres des Hill Korwa « The Magical Script »4 du musée de Bharat Bhavan (Bhopal, Madhya Pradesh) en 1985 : « la première chose que l’on voit dans ces dessins, c’est leur caractère calligraphique, comme si ce n’était pas un dessin mais une écriture. Mais les Hill Korwa n’ont pas de documents écrits ; ils sont illettrés […] Quand on regarde ces dessins on pense tout de suite aux œuvres de Paul Klee ». Ils écrivent vite, très vite, note Swaminathan dans son catalogue. Comme ils marchent. Les Hill Korwa marchent facilement 40 km par jour, avec une vitesse infernale.

Mark Tobey (peintre américain) peint en Angleterre, en novembre ou décembre 1935, plusieurs toiles (« Broadway », « Welcome Hero », « Broadway Norm ») dans une « écriture blanche » (« White writing ») qui sera la caractéristique essentielle de son œuvre et qui, selon les critiques, aura une influence décisive sur l'itinéraire de Jackson Pollock.
Sur Cy Twombly (peintre, dessinateur, sculpteur et photographe américain), Pierre Restany, critique d'art contemporain, écrit : « Son graphisme, est poésie, reportage, geste furtif, défoulement sexuel, écriture automatique, affirmation de soi, et refus aussi… il n’y a ni syntaxe ni logique, mais un frémissement de l’être, un murmure qui va jusqu’au fond des choses. »

Psychologie[modifier | modifier le code]

Le procédé d'écriture automatique occupe une place importante dans les premières recherches de Pierre Janet. Dans son ouvrageL'Automatisme psychologique5, il expose une méthode d'exploration qu'il utilisera fréquemment avec ses patientes pour comprendre au-delà des actes manifestés de façon subsconsciente, les images et les sensations que ceux-ci renferment : « Allons plus loin, si nous ne voulons pas la faire parler sans qu'elle le sache, nous pouvons du moins la faire écrire ; je lui mets un crayon dans la main droite et la main serre le crayon, comme nous le savons ; mais, au lieu de diriger la main et de lui faire tracer une lettre qu'elle répétera indéfiniment, je pose une question : " Quel âge avez vous ? Dans quelle ville sommes-nous ici ?... etc. ", et voici la main qui s'agite et écrit la réponse sur le papier, sans que, pendant ce temps, Léonie se soit arrêtée de parler d'autres choses. Je lui ai fait faire ainsi des opérations arithmétiques par écrit, qui furent assez correctes ; je lui ai fait écrire des réponses assez longues qui manifestaient évidemment une intelligence assez développée. »
Par l'écriture automatique, Janet parvient à mettre en évidence l'existence de sensations et de perceptions traitées seulement au niveau subconscient. Ainsi chez des sujets hystériques souffrant d'anesthésie, une sensation de pincement du bras par exemple, est ressentie au niveau subconscient alors même que le sujet conscient poursuit sa conversation avec d'autres personnes sans aucune réaction semblant ainsi ne rien percevoir. Pour Janet l'écriture automatique, ainsi que d'autres procédés utilisés par les spirites, relève d'un processus de désagrégation psychologique.

Parapsychologie ou autohypnose[modifier | modifier le code]

Les parapsychologues envisagent avec cette technique l’intervention du paranormal comme effet de la dissociation psychique du sujet introduit dans une nouvelle dimension. Certains auteurs prétendent pouvoir écrire en se reliant aux annales akashiques.
Les hypnotiseurs détaillent avec précision le même phénomène qui est induit par une autohypnose67.

Spiritisme[modifier | modifier le code]

Les spirites considèrent que l’écriture automatique représente un moyen de communication avec des esprits désincarnés. Ils appellent cette méthode « psychographie »8.

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ation.



oui mais lequel ?

RÉALISATION : Pour une trentaine de biscuits (plus ou moins selon leur taille !)
200g de farine type 55
175g de beurre pommade
70g de sucre glace
30g de blanc d'oeuf 
1/8 de teaspoon de sel (une belle pincée)
2 teaspoons de vanille liquide (ou mieux, les graines d'une demi-gousse)
+  éventuellement 150g de chocolat noir pour la déco (celui que vous préférez)

Préchauffez le four à 160° chaleur tournante.

Cette recette m'a été inspirée par celle de Pierre Hermé dans le magnifique livre "Cuisinez comme un Chef" (Larousse). 

Commencez par crémer 70g de sucre glace, 175g de beurre pommade, 2 teaspoons de vanille liquide et 1/8 de teaspoon de sel à vitesse max, pendant 3 minutes :

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Le mélange doit blanchir et devenir crémeux :

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Ajouter 30g de blanc d'oeuf et fouettez encore une minute à vitesse max :

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Le mélange va s'aérer :

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Ajoutez maintenant 200g de farine, et ne travaillez plus au batteur. C'estavec une maryse qu'il va falloir l'incorporer, mais sans insister surtout !

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Il ne faut surtout pas trop travailler la pâte après l'ajout de farine, car cela jouera sur la texture finale. Elle ne sera pas aussi croustillante et sablée si vous la travaillez trop.

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Déposez une poche pâtissière munie d'une douille cannelée (la mienne fait9mm de diamètre) à l'intérieur d'un verre doseur, qui vous servira de support, car, contrairement aux vrais pâtissiers, nous on n'a que deux bras.
Remplissez la poche avec la pâte, en vous aidant d'une maryse, que vous raclerez bien à chaque fois sur le rebord du verre :

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A l'aide d'une corne (ou d'une large spatule), raclez bien toute la pâte, enchassant les bulles d'air :
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Déposez un peu de pâte à chaque coin d'une plaque à pâtisserie, et déposez dessus une feuille de papier sulfurisé, qui restera ainsi bien en place
Pochez les biscuits sur la plaque. Normalement il faut faire des W, comme ça :

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Mais vous pouvez aussi faire des zigouigouis  :


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Ou même des cercles :


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Enfournez pour environ 15mn (temps de cuisson pour des biscuits d'une taille de 6cm sur 4cm). Ce temps cuisson sera à adapter en fonction de la taille. 
Inutile de réfrigérer avant, la forme ne disparaîtra pas à la cuisson.
A force de faire des essais, j'ai fini par comprendre que la cuisson aussi jouait un rôle essentiel ici, et que le secret de la réussite était très simple : les biscuits doivent être assez blancs, et doivent vous paraître crus à la sortie du four. En fait on ne doit pas pouvoir les manipuler tout de suite, sinon cela signifie qu'ils sont trop cuits ! C'est simplement au bout de 5mn que vous pourrez les manipuler sans qu'ils ne se cassent : il faut laisser un peu de temps au beurre pour figer. 
Si vos biscuits sont trop cuits, ils seront durs et vous n'aurez jamais cette texture sableuse et fondante. 

Laissez-les refroidir sur une grille dès la sortie du four, en les faisant glisser, car, comme je viens de l'expliquer, on ne peut pas les manipuler chauds.

Voici exactement comme ils doivent être à la sortie du four :

(Après avoir testé différentes formes, j'ai préféré opter pour les zigouigouis...)


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Si vous souhaitez ajouter une petite touche chocolatée, lorsque les biscuits sont bien froids, faites fondre 100g de chocolat pendant 4mn au micro-ondes à 400W, et trempez à chaque fois une moitié de biscuit. Je les incline bien dans le récipient pour ne pas qu'il y ait de chocolat en dessous. 
J'ai utilisé du Valrhona, qui a une superbe fluidité. Si vous utilisez un autre chocolat, vous pourrez éventuellement ajouter une petite cuillère d'huile (pépins de raisin ou tournesol) si sa fluidité ne vous convient pas.

Déposez-les sprits sur du papier sulfurisé le temps que le chocolat cristallise (évitez cette recette en été !) :
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Les sprits se conservent plusieurs jours dans une boite hermétique.


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Certains écrivent "spritz" (avec un z), mais, quitte à plagier Delacre, autant l'écrire comme lui...

Remarques :
- Merci à Maria qui a donné une super astuce dans les commentaires : vous divisez la pâte en deux, vous ajoutez un peu de cacao dans une moitié, et vous mettez chaque pâte dans la poche à douille : vous obtenez des sprits bicolores !
Mais si vous souhaitez les faire entièrement au cacao, je pense qu'il vaut mieux diminuer la dose de farine (de la même quantité que celle du cacao) sinon la pâte sera trop compacte.
- Avec ces quantités il faudra dresser deux plaques : laissez la seconde au réfrigérateur pendant que la première cuit. Attention : le temps de cuisson de la seconde plaque est toujours plus court, car le four est plus chaud. Surveillez bien la fin de cuisson.

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Message par Invité Mer 11 Nov 2015 - 23:45

https://www.dailymotion.com/video/x3d14h8_le-discours-de-ce-jeune-homme-en-phase-terminale-d-un-cancer_lifestyle

(09/11/2015)

ça me remet les idées en place sur mon socle.

ça fait aussi partie de mon vécu pour l'un de mes très proches il y a longtemps. je ne sais pas si ce type d'expériences aide dans la vie ou n'aide pas au contraire. en fait je ne me suis pas posée plus que ça la question.

comme on m'a dit ce que l'on pouvait ressentir dans ce type de "situation" et j'ai pris, plein d'infos.  

aller mesurer si ça peut m'avoir fait parfois vriller plus fort ou mieux tenir dans d'autres événements ? euh ?

être émue, avoir de la compassion, mais s'arrêter à la borne de l'empathie. qui ne sert à rien. je ne connais pas ce garçon et mon empathie ne lui servirait à rien.

par contre je suis admirative du cran. et on a pu être admirative du cran que j'avais eu alors que je ne le vivais pas moi même mais au plus proche, au très proche. 

peut être que ça fait comme d'autres choses basculer dans un autre univers, un monde parallèle pendant une année et demi en suspens..... 

alors peut être que ça donne envie d'avoir les pieds bien sur terre.

ça déséquilibre aussi, pourquoi ? comment ? ben parce que, c'est comme ça. aucune formule mathématique n'y aurait rien changé.

tu te mets dans la bulle de ce qui t'arrive et tu le vis. 

est ce que j'étais plus sensible avant ? est ce que je l'ai été plus après ? 

euh et ça va changer quoi ? ben rien.

cela dit c'est peut être parce que cette maladie est très anarchiste et ingérable que ....je ne sais pas, je ne sais pas tout. et au fond c'est très bien comme ça.

se protéger. se doudouiller. je suis pas surdouée, je suis une douce douille Wink

je ne vois pas l’intérêt de se torturer encore plus que certaines choses torturent.

la personne auprès de qui j'ai vécu cette maladie m'avait dit : tu verras, ton univers va s'écrouler d'un seul coup, et il te faudra te mettre en "pilotage automatique".

ça a dit m'apprendre qui c'est à plus m'attacher à des choses en "dur". on m'avait dit : j'aimerais pas être à ta place et je répondais : ben de toute façon tu peux pas.

ça fait 20 ans. (whaou je rajeunis pas en fait). des personnes autour de moi y pensent régulièrement et dans le mauvais sens. j'y pense dans le bon.

ça ne sert à rien de se faire plus de mal si ça fait mal.

s'arrêter au "détail" et ne pas le franchir. et classer ses souvenirs.

alors souvent aux questions : "pourquoi" ? "comment" ? je réponds. "parce que" et sinon je passe beaucoup de temps à répondre aux questions qui ont des réponses.

je n'ai rien contre la psychologie qui fait avancer, aller mieux, celles qui creusent dans le machin du bidule du truc pour savoir si ça rentre dans le bazar, euh....

si tu ne me lis pas uniquement parce que tu t'ennuies, bonne nuit Smile 

dans la vie tout passe Smile et parfois faut juste laisser le temps. et si dans ta tête c'est la fête ou la mauvaise fête, laisses passer... ça passe. tout passe.

(sauf évidemment tout ce qui se soigne chez son médécin)

sunny la vie a le sens qu'on le donne. chacun a son parcours et sa direction.  sentir les choses arriver ne les empêchent pas, c'est pour toutes ces choses que j'ai les avis que j'ai. se remplir pour affronter la vie et s'y confronter avec réalisme même si parfois c'est complexe. pousser son esprit dans ce sens pour le plus souvent possible en paix.sunny

il est des moments où le milieu bouge. le meilleur est d'avoir la meilleure boite aux outils possible pour parer un problème de chasse d'eau.  tongue

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Message par Invité Mer 11 Nov 2015 - 23:47

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la vie c'est un peu comme un skate et parfois je suis un lapin crétin Smile

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Message par Invité Jeu 12 Nov 2015 - 11:20

en fait c'est cé phallique Smile Téfal hic, en fait t'as un problème avec tes plaques chauffantes ? non non c'est phallique, alors c'est contradictoire, si c'est phallique tu ne devrais pas avoir la mie graine.

Les 10 Choses Pour Lesquelles Vous Devez Absolument Arrêter De Vous Faire du Souci.


STOP : arrêtez de vous faire du souci pour tout et pour rien ! 


Quand on se fait du souci, cela part d'un bon sentiment. 




À la base, on s'inquiète pour quelque chose ou quelqu'un. 


Mais c'est un sentiment qui peut vite devenir angoissant — et nous rendre constamment stressé. 


Est-ce que vous aussi, vous traînez ce lourd fardeau mental ? 


Vous ne savez plus comment vous en débarrasser ? Pour mener une vie sereine, 


voici les 10 choses pour lesquelles il faut arrêter de se faire du souci. 


1. Ce que pensent les autres Soyez vous-même. Faites les choses à votre propre manière. Soyez fou ! Faites ce que bon vous semble, mais sans prendre en compte ce que peuvent en penser les autres. 


Après tout, il s'agit de VOTRE vie, de VOS décisions et de VOS choix.  Porter jugement sur les autres est un comportement naturel chez les humains — mais ça ne veut pas dire que cela doit vous affecter ! La seule personne qui puisse vraiment vous définir est vous-même. Laissez les autres perdre leur temps à vous juger, si ça les amuse. Quand vous vous souciez de ce que racontent les autres, vous vivez votre vie en fonction de LEURS attentes, et non pas des VÔTRES !    


2. Les erreurs du passé 


On a tous fait une grosse bêtise au moins une fois dans sa vie. D'ailleurs, commettre des erreurs fait partie de la vie. Mais cela ne signifie pas qu'il faut être trop dur avec soi-même. Acceptez cette vérité : on ne peut pas réussir à chaque fois. Cela fait partie de la condition humaine. Alors, soyez plus indulgent avec vous-même et apprenez à vous pardonner plus souvent. 


3. L'échec L'échec. Pour beaucoup de personnes, ce mot a beaucoup de poids. C'est une notion qu'elles craignent. Mais pourquoi ? Cela dépend totalement de la manière dont on perçoit l'échec. Si pour vous « j'ai subi un échec » est synonyme de « je ne suis pas parfait », c'est très simple : vous ne trouverez jamais le bonheur.  Une manière bien plus saine de définir l'échec est de l'associer à l'abandon. Si vous n'avez pas abandonné, ce n'est pas un échec. 


Dites-vous que l'échec fait partie de la courbe d'apprentissage. Qu'il fait partie d'un procédé d'essais et d'erreurs. C'est alors que vous comprendrez que l'échec est votre ami — car c'est une étape vers la réussite ! 


4. Ce que vous ne possédez pas Par défaut, on a tendance à désirer ce que l'on n'a pas, au lieu de se satisfaire de ce que l'on a.  Cette manière de penser ne vous aidera pas à devenir insouciant. Si on se concentre sur ce que l'on n'a pas, on aura toujours le sentiment d'être privé de quelque chose. 


À quoi bon penser de cette manière ? Mieux vaut mettre en valeur ce que l'on a ! 


Pourquoi se torturer l'esprit en pensant à toutes ces choses que l'on ne possède pas ? Libérez-vous de cette manière de penser, car elle ne génère aucun aspect positif. Essayez plutôt l'exercice suivant : rédigez une liste de toutes les choses dans votre vie pour lesquelles vous êtes reconnaissant. Vous vous rendrez vite compte que l'on n'a rien à vous envier. Dites-vous une fois pour toutes qu'il y a toujours des personnes qui possèdent plus de choses que vous. Tout comme il y a des personnes qui possèdent moins de choses que vous.  Ce que vous avez est suffisant, non ? 


5. Se préoccuper des incertitudes 


On peut devenir fou quand on se soucie de ce qui POURRAIT se passer dans le futur.  Personne ne peut prédire l'avenir. Même Madame Irma ! :-) Par conséquent, se faire du souci à propos de quelque chose dont l'issue n'est pas certaine ne sert strictement à rien — sauf se torturer ! En plus, quand on se fait de souci inutilement, on gaspille son énergie et on perd de vue ses objectifs. Notre conseil : confrontez vos inquiétudes directement.  Si le problème peut être résolu dès maintenant, alors foncez ! Mais s'il n'y a rien à faire pour le moment, mettez le problème de côté et allez plutôt vous amuser ! Mieux vaut gérer le problème au moment propice que de perdre son temps à se faire du souci. 


6. Attendre un événement pour être heureux 


Attendre un événement pour être heureux est dangereux. Cela équivaut à mettre sa vie en suspens jusqu'à ce que l'événement se produise peut-être. Mettre sa vie en attente est un risque énorme, et c'est surtout passer à côté de plein moments de bonheur. Vous feriez mieux de vivre l'instant présent et de ne plus penser à ce que serait votre bonheur dans un futur hypothétique.  Prenez la décision d'être heureux MAINTENANT, aujourd'hui. Dites-vous que le bonheur n'est pas une destination, mais plutôt un moyen de transport !  


7. Les regrets Les regrets font partie de la vie. 


On ne peut pas défaire ce qui a été fait.  Le mieux est d'approcher nos regrets d'un point de vue philosophique. Quelles leçons avez-vous tirées de vos erreurs ?  Si vous avez appris à ne jamais répéter une erreur (ou de l'approcher d'une manière différente), alors le résultat est positif. Apprenez à accepter ce qui est. Faites preuve de tolérance à l'égard de l'erreur humaine. Et enfin : passez à autre chose !  


8. Le rejet 


Certaines personnes appréhendent tellement le rejet qu'elles choisissent de rester dans une zone de confort, sans s'aventurer dans la vraie intimité. Essayez d'avoir le coeur sur la main, exposez-vous, soyez vulnérable.  Le plus vous essayez de cacher et contourner vos craintes, le plus elles vont prendre d'ampleur. 


Prouvez-vous à vous-même que vous êtes capable d'exprimer vos émotions et d'en assumer les conséquences. C'est comme ça que vous allez conquérir votre peur du rejet et faire un pas de plus vers l'insouciance. Et si le résultat n'est pas ce à quoi vous vous attendiez ? Vous vous rendrez vite compte que ce n'est pas aussi grave que vous le pensiez — et que vous allez même pouvoir gérer le rejet ! Essayez d'avoir la peau dure, d'être plus courageux, et de percevoir la vie pour ce qu'elle est : une aventure. 


9. Les attentes de la société 


À en croire la société, si on veut être apprécié de tous,  il faut être : mince, beau, riche, influent, etc.  C'est du grand n'importe quoi ! Quand on aime et que l'on assume qui on est, on n'a pas besoin de se justifier auprès de qui que ce soit.   N'adhérez pas aux images que projettent constamment les médias. Ces images sont souvent retouchées, pour nous faire croire que l'on doit tous être parfaits. Essayez de ne pas prendre ces images à cœur — même si on peut (discutablement) argumenter qu'elles sont agréables à regarder.  N'oubliez jamais que ces images sont tellement remaniées qu'elles ne représentent pas la réalité. Notre conseil : aimez-vous comme vous êtes, même avec vos petites imperfections :-) L'acceptation de soi est l'acceptation de la liberté.  


10. Être « bon » 


On vit dans une société qui privilégie la compétitivité. C'est normal si, parfois, on ne se sent pas à la hauteur d'une tâche ou d'un objectif. C'est aussi normal et, même, sain de rechercher l'amélioration et l'épanouissement personnels. En revanche, cette initiative devient malsaine quand on a l'impression de ne pas être « assez bon ». 


Il faut TOUJOURS défier cette manière de penser. Que signifie vraiment « bon » ? Où est le règlement international qui stipule quand on est « bon » ou pas ? Vous êtes heureux avec qui vous êtes, où vous êtes dans la vie et le chemin que vous avez parcouru ? Félicitations, car ce sont les seules critères qui déterminent si vous êtes « bon » ! Conclusion On a tous tendance à se faire des soucis inutiles. 


Ces soucis ne font que créer de la tristesse et de la souffrance. Maintenant que vous avez découvert les 10 choses qu'il faut arrêter de faire, on vous encourage à les retirer de votre liste de soucis dès maintenant ! :-) On espère que cela va vous aider. Peut-être que vous connaissez d'autres choses qu'il faut arrêter de faire ? N'hésitez pas à partager vos commentaires. 


On a hâte de vous lire ! :-)


Source : Comment-Economiser.fr | http://www.comment-economiser.fr/arretez-de-vous-faire-du-souci.html




13 Choses Que Les Personnes Fortes Mentalement Ne Font Jamais.


Les personnes qui sont fortes mentalement ont de bonnes habitudes. Elles savent comment gérer leurs émotions, leurs pensées et modifier leurs comportements de manière à augmenter leur chance de réussite dans la vie. 


Découvrez la liste des 13 choses que les personnes fortes mentalement ne font jamais, pour que vous aussi puissiez les éviter.  


1. Elles ne perdent pas de temps à se plaindre Les personnes fortes mentalement ne pleurent pas sur leur sort ni ne se plaignent de la manière dont on les a traitées. Au lieu de se plaindre, elles prennent leurs responsabilités et savent que la vie est parfois injuste et difficile.  


2. Elles ne se laissent pas contrôler 


Les personnes fortes mentalement ne se laissent pas contrôler par quelqu'un d'autre, et elles ne se laissent pas manipuler par une autre personne. Vous ne les entendrez jamais dire « Mon boss me plombe le moral ». Pourquoi ? Parce qu'elles savent que ce sont elles-mêmes qui contrôlent leurs propres émotions et que ce sont elles qui choisissent la manière dont elles réagissent.   


3. Elles ne craignent pas les changements 


Les personnes fortes mentalement n'essaient pas d'éviter les changements. Au contraire, elles accueillent les changements à bras ouverts et se font un devoir d'être malléables dans ce genre de situation. Elles comprennent que le changement est inévitable et ont confiance en leurs capacités d'adaptation.  


4. Elles ne gaspillent pas leur énergie sur ce qui est hors de leur contrôle Vous n'entendrez jamais une personne mentalement forte se plaindre d'un embouteillage ou d'une valise perdue. Elles vont plutôt choisir de concentrer leur énergie mentale sur les choses de la vie qu'elles peuvent contrôler. Et, elles savent que parfois la seule chose qu'elles peuvent contrôler est leur comportement et leur manière d'être.  


5. Elles ne cherchent pas à plaire à tout le monde 


Les personnes fortes mentalement reconnaissent qu'elles n'ont pas besoin de plaire à tout le monde, tout le temps. Elles savent dire « Non » et élever leur voix quand c'est nécessaire. Elles aspirent à être justes et bienveillantes mais n'auront pas de souci à contrarier quelqu'un si c'est nécessaire. 


6. Elles n'ont pas peur de prendre des risques calculés 


Elles ne prennent pas de risques imprudents ou irréfléchis, mais n'ont pas de souci à prendre des risques calculés. Les personnes fortes mentalement prennent le temps de peser le pour et le contre avant de prendre une décision importante. Et, elles ont pleinement conscience des risques potentiels encourus avant de choisir telle ou telle action.   


7. Elles ne s'accrochent pas au passé 


Les personnes fortes mentalement ne vivent pas dans le passé et n'ont pas de regrets. Au lieu de ça, elles assument leur histoire et sont capables de parler des leçons qu'elles en ont tirées. 


Néanmoins, elles ne s'attardent pas à revivre sans cesse leurs mauvaises expériences ou à fantasmer sur leurs heures de gloire. À la place, elles préfèrent vivre dans le présent et planifier pour le futur.  


8. Elles ne répètent pas sans cesse les mêmes erreurs 


Les personnes fortes mentalement assument pleinement la responsabilité de leurs actions et apprennent de leurs erreurs. Par conséquent, elles ne répètent pas sans cesse les mêmes erreurs. Au lieu de ça, elles passent à autre chose et se servent de leur erreurs pour prendre de meilleurs décisions dans le futur.  


9. Elles ne sont pas jalouses du succès des autres Les personnes fortes mentalement savent apprécier et célébrer la réussite des autres. Elles ne sont pas jalouses et ne ressentent pas d'injustice si d'autres les surpassent. Au lieu de ça, elles savent que la réussite est le résultat d'un gros travail. C'est pour ça qu'elles sont prêtes à travailler aussi dur vers leurs propres réussites.  


10. Elles n'abandonnent pas après le premier échec 


Les personnes fortes mentalement ne perçoivent pas un échec comme une bonne raison pour abandonner. Au lieu de ça, elles utilisent ces échecs comme une opportunité de s'améliorer et d'apprendre. Elles sont prêtes à essayer autant de fois qu'il faut pour réussir. 


11. Elles ne craignent pas les moments de solitude 


Les personnes fortes mentalement tolèrent les moment de solitude et n'ont pas peur du silence. Elles n'ont pas peur d'être seules avec leurs pensées et savent utiliser leurs temps morts de manière productive. Elles apprécient leur propre compagnie et n'ont pas besoin d'être tout le temps accompagnées pour se divertir. Au lieu de ça, elles sont heureuses — même quand elles sont seules.  


12. Elles n'estiment pas que le monde leur soit redevable 


Pour les personnes fortes mentalement, aucun droit ne leur est naturellement acquis. Elles ne sont pas nées avec l'idée que les gens leur doivent quelque chose ou que les autres doivent s'occuper d'elles. Au lieu de ça, elles cherchent à réussir par elle-même sans l'aide de personne. 


13. Elles ne s'attendent pas à un réussir tout de suite Que ça soit pour un projet professionnel ou travailler sur leur état de santé, les personnes fortes mentalement ne s'attendent pas à réussir tout de suite. Au lieu de ça, elles utilisent leurs compétences et leur temps du mieux possible, tout en sachant que le succès prend du temps. 

Source : Comment-Economiser.fr | http://www.comment-economiser.fr/personnes-mentalement-fortes.html




- Allo ? 
- oui bonjour
- je voudrais les renseignements pour pouvoir m'abonner.
- vous souhaitez muscler quoi ? 
- euh ma bi........ mes fess....... mon va........ euh mon mental. 
- si je vous mets un coach vous serez un apprenti sage ? 
- euh ça dépend, j'aime bien apprendre et pas à tort et à travers (encore qu'à travers parfois c'est sympa, bref)
- il faudra bien faire tout ce qu'il dit
- euh là non, il est là pour me transmettre des techniques pas pour faire les choses à ma place.


c'est phallique, t'as pas de l'aspirine ?


et dire que pendant ce temps là, d'autres mènent des combats pour une T.V.A Smile.


Bon en route je vais faire une manif, y'a plus d'encre dans mon tampon : peace and love.


slogan : 


non à l'exploitation du tampon encreur Smile 
laissez moi la liberté de m'ancrer où je veux et dans la couleur que je veux. 
combattons camarade, la vie ne tient qu'à un fil et s'il le faut nous combattrons jusqu'au sang, hausse en ti mètre Smile


Abaisses ta libido Smile Abaisses ta tension Smile ah baisses tout court Smile

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Message par Invité Jeu 12 Nov 2015 - 11:25

et sinon comment on désencombre ? 


ben en remplissant beaucoup plus....

vois tu le verre à moitié plein ou à moitié vide ? ben je sais pas où est le verre mais je vais chercher le carafon.

nananana nananan nananna Smile



Bon tu la craches ta Valda ? 
Peux pas j'ai pas fini mon Malabar Smile

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Message par Invité Sam 14 Nov 2015 - 22:16



Piqué dans un post d'"offset"

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Message par Invité Dim 15 Nov 2015 - 14:01

[size=35]Comment entamer la conversation quand vous n'avez rien à dire

Entamer la conversation pour apprendre à connaître quelqu'un ou rompre un silence pesant peut se révéler très stressant. Surtout si vous n’avez rien à dire. Pour remédier à la situation, utilisez les conseils présents dans cet article.


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Étapes



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[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 670px-Introduce_Yourself_FR_678
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Présentez-vous si nécessaire. Si vous ne connaissez pas la personne, briser la glace est très simple : ayez l'air abordable, dites votre nom à la personne, tendez votre main et souriez.


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[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 670px-Remark_on_the_location
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Appuyez-vous sur l’endroit ou l'occasion. Regardez autour de vous et voyez s'il y a quelque chose d’intéressant à souligner. Voici quelques exemples de commentaires relatifs à des lieux ou des occasions : « C'est une salle magnifique ! » ; « Ce restaurant est incroyable ! » ; « J'adore cette vue ! » ; ou « Beau chien ! ».

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Posez une question ouverte. La plupart des gens aiment parler d'eux-mêmes, il vous faut donc trouver un sujet pour les « lancer ». Une question ouverte exige une réponse plus fournie qu'un simple « Oui » ou « Non ». Les questions ouvertes ont tendance à commencer par qui, quand, quoi, pourquoi, où et comment, alors que des questions fermées ont tendance à commencer par un verbe.

  • Voici des exemples de questions fermées : « Aimez-vous les livres ?» ; « Avez-vous été à l'université ? » ; « Le printemps est-il votre saison préférée » ; « Est-ce que je vous dérange ? » ; et « Venez-vous souvent ici ? ».
  • Voici des exemples de questions ouvertes : « Quel genre de livres aimez-vous ? » ; « Qu'avez-vous étudié à l'université ? » ; « Quelle est votre saison préférée ? Pourquoi ? » ; « Que faites-vous en ce moment ? » ; et « Où est votre bar préféré ? ».


[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 670px-Combine_general_remarks_w_open-ended_questions_FR_470
[size=43]4[/size]
Apprenez à combiner les remarques générales avec des questions ouvertes.Étant donné que l’un ou l'autre de ces éléments pourrait être maladroit ou hors de propos tout seul, combinez-les pour un effet maximum. Par exemple :

  • « C'est un beau sac à main, où l'avez-vous acheté ? » Cela permet à la propriétaire du sac de parler du jour où elle est allée faire du shopping et de toutes ces choses drôles qui sont arrivées, par opposition à : « J'aime votre sac à main ! » ; « Merci. » (fin de la conversation).
  • « Quel incroyable buffet ! Quel est votre plat préféré ? » Demander une opinion est particulièrement utile, car elle peut être suivie par la question ouverte classique : « Pourquoi ? »
  • « Fantastique congrès ! Lequel des conférenciers est votre préféré ? »
  • « J'aime votre costume. Quels sont vos films de science-fiction préférés ? »


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Entretenez la conversation en bavardant. Cela permet de maintenir la conversation légère et simple, ce qui est particulièrement utile pour les personnes qui en sont encore au stade d'apprendre à mieux se connaître. Bavardez pour établir un rapport et trouver des points communs plutôt que de vous monter l'un contre l'autre pour un argument où vous vous tiendrez tête.

  • Bavarder englobe des sujets tels que votre blog ou site web, l'achat d'une voiture neuve, les rénovations de votre maison, le prix remporté par vos enfants dans un concours d'art, vos plans pour les vacances, votre jardin nouvellement planté, un bon livre que vous venez de lire, etc.
  • Bavarder exclut des sujets tels que la politique, la religion, l'arrêt du nucléaire, ou une critique de quiconque, surtout pas l'hôte de l'évènement auquel vous êtes tous les deux présents.
  • Bien que parler de la météo soit cliché, s'il y a quelque chose d'inhabituel à ce niveau-là, vous tenez un bon sujet de conversation.


[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 670px-Synchronize
[size=43]6[/size]
Synchronisez. Une fois que votre interlocuteur commence à parler, suivez son signal pour poursuivre la conversation en douceur. Utilisez l'écoute active afin de refléter ce qu'il dit et de résumer ses sentiments éventuels.

  • Prononcez le prénom de la personne de temps en temps. Non seulement cela vous aidera à vous en souvenir, mais c'est un signe chaleureux de respect mutuel et d'appréciation.
  • Offrez des retours encourageants. Vous n'avez même pas besoin d’ouvrir la bouche la plupart du temps. Vous pouvez simplement hocher de la tête, dire «Ha-ha » ou « Oh » ou « Hmm », soupirer, grogner de façon conviviale, et faire de courtes déclarations encourageantes comme : « Vraiment ? » ; « Bon sang ! » ; « Qu'avez-vous fait/dit alors ? » ; et « C'est incroyable ! » ; etc.
  • Gardez votre langage corporel ouvert et réceptif. Acquiescez, établissez un réel contact visuel occasionnellement, mais sans fixer, et penchez-vous en direction de la personne. Placez votre main sur votre cœur de temps en temps, et touchez même la personne sur le bras si vous êtes quelqu'un de tactile.
  • Gardez de bonnes pensées à l'esprit. Restez intéressé par la personne et centré sur elle. Restez curieux plutôt que de vous renfermer sur vous-même. Notez chaque fois qu'une similitude ou un objectif commun surgit dans la conversation pour vous rappeler de l'intérêt de poursuivre la communication avec cette personne.
  • Souriez beaucoup et riez quand la personne fait un commentaire drôle. Ne forcez pas le rire, car c'est embarrassant plus qu’autre chose, souriez et hochez de la tête à la place.


[*][size=43]7[/size]
Utilisez des mots d'ordre sensoriel. Comme par exemple « Voir », « Imaginer », « Sentir », « Dire », « Sens », etc., qui encouragent la personne à continuer de dépeindre une image descriptive dans le cadre de ses propos. Par exemple :

  • Où vous voyez-vous dans un an ?
  • Racontez-moi la fois où votre patron a vendu votre voiture sans s'en rendre compte.
  • Quel est votre sentiment sur les fluctuations actuelles des marchés boursiers ?
  • Que pensez-vous des nouveaux plans pour la rénovation du centre-ville ?
  • Qu'imaginez-vous qu'il pensait quand il a demandé un salaire plus élevé que celui du patron ?


[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 630px-Start-a-Conversation-When-You-Have-Nothing-to-Talk-About-Step-8

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Soyez conscient de votre monologue intérieur. Quand vous sentez soudainement que vous n'êtes pas en mesure d'engager la conversation avec une personne, il est probable que vous vous dites des choses négatives. Vous avez peut-être peur d'être ennuyeux, pas assez bon, trop peu important, intrusif, gaspillant le temps de la personne, etc. Vous pourriez également vous inquiéter de ce que la personne pense de vous, ce qui vous rend finalement bouche-bée. Se sentir embarrassé au cours d’une conversation n'est pas inhabituel, mais c'est improductif. Essayez de garder à l'esprit que tout le monde a ces doutes de temps en temps, mais qu'il est essentiel de les surmonter afin de s'engager dans des relations humaines.

  • Rassurez-vous sur le fait que l'autre personne ne vous juge pas. Même si c'est le cas, pensez « Et alors ? » et ne lui donnez pas la main mise sur votre vie.


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Répondez de manière délicate à quelqu'un qui reste maladroit ou mal à l'aise en votre présence. Si votre interlocuteur apparaît renfermé et indifférent à la conversation, n'insistez pas trop. Essayez encore un peu avant de prendre la décision de passer à autre chose.

  • Gardez vos questions non-invasives, et assurez-vous de ne pas poser de questions auxquelles la personne préférerait ne pas répondre. Certains individus peuvent être très mal à l'aise à discuter d’éléments touchant leur personne. Exemples : le poids, le manque de diplôme ou de qualification, l'absence d'un amour dans sa vie, etc. Essayez d'être aussi délicat que possible à son égard même si vous ne la connaissez pas encore vraiment.
  • Ne posez pas trop de questions si votre partenaire de conversation continue d'apparaître indifférent.


[*]Bord(elle) de journal (yeah) le flux des flux, posée à la cafét de la gare. Game over... the rainbow :) - Page 3 670px-Maintain_the_equilibrium_FR_876
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Maintenez l'équilibre. En tant que personne ayant engagé la conversation, la responsabilité vous incombe de maintenir l'élan. Que se passe-t-il donc quand votre interlocuteur commence à pratiquer l'écoute active et à vous poser à son tour des questions ouvertes ? Vous disposez de plusieurs options :

  • Profitez de l’occasion offerte par la personne pour commencer à parler de vous-même. Tout en évitant de trop le faire. N'oubliez pas de garder la personne engagée avec des questions ouvertes et l'écoute active à la fin de vos propos.
  • Détournez la conversation si vous préférez ne pas en être le centre d'intérêt. Dites quelque chose comme : « Eh bien, j'aime les livres de Harry Potter, et j'ai particulièrement aimé le dernier. Mais vous ne voulez pas m'écouter parler de moi toute la nuit ! Quels étaient vos moments préférés de la série Harry Potter ? »
  • Répondez à une question par une question. Par exemple, vous pourriez répondre à « Comment avez-vous réussi à sortir si tôt ? » avec « Eh bien, comment avez-vous fait vous ? » Souvent, la personne sera tellement tentée de vous raconter son côté de l'histoire qu'elle oubliera vous avoir posé la question en premier !


[*][size=43]11[/size]
Entraînez-vous à entamer des conversations. Vous pouvez vous sentir un peu maladroit au début, mais avec la pratique, il peut devenir facile de démarrer de bonnes conversations. Chaque fois que vous vous trouvez dans une situation où vous êtes appelé à converser avec d'autres, considérez la chose comme une partie de votre entraînement en cours, et notez vos progrès à chaque fois que vous essayez.


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Conseils




  • Parlez avec clarté et confiance. Si vous marmonnez, cela rend la conversation beaucoup plus difficile.
  • Détendez-vous. Il y a des chances que tout ce dont vous pouvez bavarder avec quelqu'un s'envolera très vite de son esprit. Il suffit de dire tout ce qui vous passe par la tête, tant que ce n'est pas offensant ou vraiment bizarre (à moins, bien sûr, que la personne avec qui vous tentez de converser aime les choses bizarres).
  • Ne soyez pas ennuyeux ! N'oubliez pas de varier vos propos et de faire un commentaire drôle de temps en temps.
  • Si vous êtes timide, il est utile d'avoir pensé à un sujet ou deux à l'avance dont vous vous sentez à l'aise pour parler.
  • Gardez en mémoire certaines choses amusantes que vous avez vues ou entendues tout au long de la journée. Par exemple, une parole drôle prononcée par quelqu'un, une activité amusante que vous avez pratiquée avec vos amis ou n'importe quoi d'intéressant. Cela peut constituer un sujet de conversation.
  • Pour briser la glace, un compliment est toujours bon.
  • Essayez de sourire souvent et d'être positif, ça aide vraiment.
  • Il vous aidera de regarder la télévision, d'écouter des émissions de radio et ou de lire beaucoup (journaux, magazines, et/ou livres). Vous aurez ainsi une idée de ce qui se passe dans le monde.
  • Suivez votre interlocuteur dans la conversation. S’il semble intéressé, poursuivez. S'il regarde par contre une horloge ou une montre, ou pire, recherche une stratégie pour s’éclipser, alors la conversation dure depuis trop longtemps.
  • Rappelez-vous, peu importe à qui vous parlez, vous avez toujours quelque chose en commun. Nous devons tous composer avec la météo, nous apprécions tous la bonne nourriture et nous aimons tous rire. En cas de doute, il suffit de lui demander les raisons de sa présence. Par exemple, si vous rencontrez la personne à un arrêt de bus, demandez-lui où elle va. Si elle n'est pas de la ville, interrogez-la sur sa vie là où elle habite.



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  • Faites usage de « S'il vous plaît », « Puis-je », « Merci », « Pourriez-vous » quand quelqu'un est gentil avec vous et lorsque vous voulez quelque chose. Être poli montre de la maturité et de l'intelligence.
  • Rappelez-vous que tout le monde ne souhaite pas discuter. Si la personne présente des signes de malaise ou perd de l'intérêt pour la conversation, vous ne devriez pas la déranger plus longtemps.
  • Faites attention si vous utilisez des tonnes de « Euh… ». Cela pourrait rendre la personne à qui vous parlez mal à l'aise ou obligée de dire quelque chose. Au lieu de cela, parlez lentement et faites des pauses. Cela créera un peu de tension et rendra votre tout nouvel « ami » plus investi dans votre conversation.
  • N'agissez jamais avec arrogance et ne prétendez jamais tout savoir lorsque vous discutez avec les gens.
  • Ne faites jamais de commentaires négatifs sur la personne avec qui vous parlez ou quelqu'un d'autre, car vous ne savez pas s'il y a un attachement personnel à l’individu que vous critiquez.
  • N'interrompez jamais une conversation entre deux ou plusieurs personnes. Attendez qu’elle se termine et dites alors quelque chose. La courtoisie est toujours de bon ton.
  • Ne soyez pas trop invasif avec vos questions.
  • Ne vous découragez jamais quand votre partenaire de discussion semble peu intéressé, qui sait, peut-être que la prochaine personne partage vos centres d’intérêt.
  • Ne jurez pas, n'insultez pas, ne méprisez pas, n'utilisez pas d'orientations raciales, religieuses, sexuelles, et encore moins d'insultes sexistes en public. Jamais au grand jamais.
  • Ne parlez jamais de votre situation financière en présence de votre nouvel « ami », surtout quand vous rencontrez une personne suceptible de devenir votre conjoint.

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Message par Invité Dim 15 Nov 2015 - 23:09




Mais moi j'y vais (me coucher). 

Je vous souhaite la nuit la plus douce possible.

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Message par Invité Mar 17 Nov 2015 - 13:09

Elle : ben qu'est ce que tu fous avec ta collègue et ton tampon usagé devant le camion ? t'étais pas avec ton mari ? logiquement ?

L'autre elle : ben ils ont dit que pour donner son sang il fallait devenir homo Wink et comme on a un petit pain au chocolat gratuit ..... après....

Elle : j'étais sûre que tu avais un don....


Dernière édition par six s'if le Mar 17 Nov 2015 - 13:12, édité 1 fois (Raison : si je trouve celui ou celle qui utilise mon pseudo derrière mon dos....)

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Message par Invité Dim 22 Nov 2015 - 2:18

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ce film me fichait la trouille et ça marche encore des années après.



se répéter les choses c'est important sinon on finirait par les oublier.

Déjà que tout le monde les oublie.

Et sinon quoi d'autre ? le champignon nucléaire n'est effectivement pas une plante.

et pour le forum ? je ne comprends pas que le concept de message n'est pas été repris pour les mails, depuis que je poste ici je n'aime plus mails.

et sinon ? je remarque que j'accepte plus facilement de régler les problèmes que je me cause plutôt que de devoir régler ceux qu'on m'impose.

Je me fais encore plus une raison sur le fait de n'être pas comprise et à part. et je me confirme que l'on n'empêche rien. A savoir d'ailleurs si on doit empêcher quoi que ce soit. ou laisser se dérouler les choses.

la vie reste néanmoins : on naît, on meurt, il faut faire des choses chouettes entre les deux.

et un maximum.

mais sans trop se fatiguer. toujours trouver ou aller vers le juste milieu entre deux extrêmes.

je n'ai pas aimé le nombrilisme du tout. ça m'a rendue très triste et encore parfois de ne plus pouvoir faire du lien entre les gens. parfois des choix s'imposent.

sur l'isolement je pense que c'est le lot de chacun quoi qu'il soit. on est toujours plus ou moins seul avec soi même. 

mais on va tous plus ou moins dans la même direction. 

je retrouve mes concepts persos et des brides de mon fonctionnement.

gérer les extrapolations mentales, gérer les peurs d'anticipations, retrouver le plaisir des surprises. des bonnes curieusement dans ce contexte, penser au contexte mais lâcher prise pour mieux y penser.

je crois que je n'avais jamais vécu le fait d'avancer sans revenir à la base. je pense de même non plus n'avoir jamais vécu en avançant vers une nouvelle base.

retrouver des moments de paix mentale. avec soi même, sans personne. c'est la chose la plus géniale au monde. 

j'aime cette capacité à pouvoir dans les moments intenses pouvoir m'arrêter à une chose bête, simple, mignonne, pleine de vie et l'étirer dans tous les sens.

arrêter le temps. le figer. faire le calme autour. n'importe où, n'importe quand. 

je suis contente d'avoir rencontré un jour une personne comme moi dans qui parfois je peux tout mettre. 

tu n'as jamais cette idée très péteuse après coup de te dire : punaise c'est super mignon ce que je viens de dire.

l'auto satisfaction, loto satisfaction, le seul jeu où tu gagnes toujours.

je me souviens que j'avais trouvé un truc pour m'endormir, j'avais décidé que le soir tout était possible.

c'est joli je trouve de dire : je mets dans toi et hop je m'endors.

eh oui madame délègue tous les problèmes du monde avant d'aller se coucher. ce fut nouveau.

j'adore être un truc complexe même si des fois ça me gonfle. vivre parfois les choses de l'intérieur et parfois avec du recul.

toute expérience est bonne à prendre. mais tout n'es pas à réfléchir.

arrêt fléchir, inspiration, expiration.

je me souviendrais d'avoir dit un jour : tu sais je suis un truc bizarre.

comme dire je suis comme ça et avoir en réponse : mais comment ça comme ça.  Arrow

en rire. 

marrant que tout puisse se placer dans un fou rire, l'absurdité du monde parfois. 

essayer de comprendre à l'instant T sur plusieurs niveaux et avec différents paramètres alors que les choses auront déjà changé demain ou pas.

je me demande si on n'arrête pas de se sentir vide à partir du moment où on arrête d'essayer de se remplir, qui n'essaie pas de se remplir n'est pas vide

apprendre à aimer tout. ses joies, ses peines, ses malheurs, son vécu, un tout, un rien.

être perfectible c'est tout de même chouette comme truc. s'auto appliquer l'effet mickey l'ange.

s'arrêter parfois souvent au point où ça rassure, l'identifier, pour se foutre la paix, ne pas relancer la boucle. attendre.

se mettre en mode "ourson cajoline" et s'envelopper dans sa serviette. baisser sa tension, baisser son attention, se laisser porter.

se dire qu'on sera vigilant, ne pas se laisser envahir par de mauvais sentiments, par la peine, pas trop. refuser. chasser, dépolluer, poser la limite là tout de suite avant.

ne pas oublier de se faire plaisir et de se rappeler les plaisirs.

ne pas être parfait, être perfectible.

j'aime bien mes pâtes, j'aime bien m'épater.

ouvrir les bonnes boites, les boites positives et ne pas se laisser aspirer par le néant.

s'accepter tel quel. ranger, déranger, ranger déranger. dé rangé. des rangées.

et pourquoi faire ? ah mince ça je ne sais pas je n'ai pas pensé à le demander.

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Message par Invité Dim 22 Nov 2015 - 16:45

J'aime beaucoup l'énergie de ce fil.
Merci pour cela.

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Message par Invité Dim 22 Nov 2015 - 17:09

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comme disait l'oncle du père du frère de la soeur du pompier qui habitait près de chez la boulangère en face du PMU : 

"quitte à avoir le béret, autant l'avoir nice Wink


(malheureusement l'homme n'est pas toujours fourni avec le béret, au pire en prendre un avec une cagoule et avoir beaucoup d'imagination Smile)

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Message par Invité Dim 22 Nov 2015 - 17:28

Spoiler:

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Dernière édition par Bérénice le Dim 22 Nov 2015 - 17:32, édité 2 fois

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Message par Invité Lun 23 Nov 2015 - 14:16

Depeche AFP

Les événements récents ont permis à beaucoup de parvenir à faire leur coming out concernant leur homosexualité. 

Nous leur en souhaitons des conséquences très profondes Smile et qu'ils soient reconnus comme des princes jusqu'au palais, euh palais (oui mais dans quel sens ? ben dans celui où tu sais te montrer aussi bête que celui que tu critiques Wink)

Pour se sentir allégé, l'important c'est de décharger, chacun son camion Smile

L'intelligence peut rapidement changer d'endroit en fonction du fait que tu regardes de par en haut ou par en bas Smile

Quel est la différence entre un surdoué et un coton tige ? parfois aucune Smile

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Message par Invité Lun 23 Nov 2015 - 14:19

Bérénice a écrit:Winner
Happy 45 ans.

Merci  Very Happy

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Message par Invité Lun 23 Nov 2015 - 19:40

- l'hypersensibilité en fait ça sera la différence entre le supermarché de quartier et le gros mammouth.

- donc plus tu accumules de vécu et de ressentis, plus tu te rapproches du mammouth en fait.

- qu'en penses tu ? 

- ça tombe bien, les noix de cajou y sont moins chères.

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Message par Invité Mar 24 Nov 2015 - 1:06

Je n'ai donc déjà plus 45 ans, 

En fait ça a passé vite. 

je m'en vais de ce pas, fidèle à mon organisation, passer ma première nuit de 46 ans.

Eh oui je me prépare toujours à l'avance Smile

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Message par Invité Mar 24 Nov 2015 - 12:05

je suis d'excellente humeur Smile

chouette chouette, de plus ça fout souvent d'autres personnes de mauvaise humeur Smile

c'est involontaire mais du coup ça me met encore plus la patate Smile 

ça faisait hyper longtemps que je n'avais pas eu cette sensation que pourtant je remettais en route régulièrement de tout vider pour avoir le plaisir de tout remplir ou d'attendre de pouvoir le faire. 

tiens soyons fous je vais commencer par ma baignoire Smile un classique mais bien pratique Smile 

la vie est un grand n'importe quoi. tant mieux j'adore ça Smile

mode n'importe nawak mais avec mon anorak Smile

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