Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
IL ETAIT UNE FOI j'ai dit !!!
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
ça va mieux. Mon taux de cafetière dans le sang est retombé
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
ça m'a ouvert l'appétit !!!
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moi aussi j'ai la dalle!
Au menu, tisane et tartine confiture mirabelle maison
Miaaaaaaaaaam
Au menu, tisane et tartine confiture mirabelle maison
Miaaaaaaaaaam
ADR- Messages : 953
Date d'inscription : 17/06/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
Dernière édition par où-est-la-question le Lun 18 Jan 2016 - 10:33, édité 1 fois
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
où-est-la-question a écrit:
sermon des fous
(dial avec mon Nhomme , ou , pourquoi on s'aime "par intérêt ??"...)
https://www.dailymotion.com/video/x2v7js_sermon-des-fous-2e-partie_news
exceptionnellement drôle !! ton nhomme (sic) est un vrai philosophe de la vie. et crois moi il te "cloue le bec" (resic) par deux fois en te disant de 1 qu'il t'admire et de 2 par sa conclusion "je m'en fous" !! à vous entendre, on sent que vous vous aimez beaucoup et ça fait du bien. plus que ton discours ce qu'il doit aimer chez toi ce sont toutes les attentions que tu dois lui porter et réciproquement. merci pour le partage !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
Dernière édition par où-est-la-question le Lun 18 Jan 2016 - 10:34, édité 1 fois
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
Dernière édition par où-est-la-question le Lun 18 Jan 2016 - 10:34, édité 1 fois
ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Yoho, j'ai trouvé une autre question à lui poser, mais là faut filmer, faut garder la trace.
Chéri, crois-tu que je comprenne tout ce que tu dis ?
Chéri, crois-tu que je comprenne tout ce que tu dis ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je vous découpe une tartine, j'ai onze pages Word à caser, entièrement dédiée à La-Question.
Car ton interrogation m'intéresse.
Je voudrais te préciser ce que je veux dire par intérêt.
Aucune connotation péjorative, aucun jugement de valeur, rien à voir avec l'usure.
Faire les choses par intérêt c'est faire les choses qui vous font du bien, d'une manière ou d'une autre. Dans le cas présent, je ne veux rien dire d'autre. C'est au sens de faire les choses pour son bien-être. Se prendre la fessée d'un sadique, si tu es maso, tu le fais dans ton intérêt. Accessoirement, le sadique y trouve son compte.
Je vais garder la formule du bien-être, je serais peut-être plus précis.
Il est à peu près convenu que les hommes expriment clairement ce qu'ils pensent leur procurer du bien-être. Je dis bien qu'ils pensent, parce qu'il n'est pas rare que ce qu'ils recherchent ne soit pas dans leur intérêt en fin de compte.
Par exemple, bosser beaucoup pour avoir du flouze, ils peuvent penser qu'ils y gagnent en bien-être, mais c'est loin d'être si simple.
Je pense que les femmes font pareil. Elles recherchent ce qu'elles pensent leur apporter du bien-être, elles suivent leur intérêt. La encore elles peuvent se tromper. Elles sont folles du beau gosse et seraient peut-être bien plus heureuses avec le type quelconque qu'elles ne calculent même pas.
Ma mini-thèse du moment, mon histoire d'intérêt, vient du décalage entre ce qui procure du bien-être aux femmes et ce qu'elles déclarent. Disons que ce décalage est beaucoup plus important que chez les hommes.
Il est bien rare que, si un homme aime bricoler, il présente cette activité à sa femme comme une corvée. Une contrainte qu'il accepte de subir uniquement parce qu'il adore sa femme et qu'il est prêt à s'imposer ça pour lui faire plaisir. Il va plutôt la revendiquer. Il va réclamer sur le temps conjugal du temps passé à l'établi.
Or, les femmes font souvent l'inverse. Il y a plein d'activités qu'elles adorent, et les présentent comme des corvées pénibles. Il ne s'agit pas d'un temps qu'elles s'accordent, il s'agit d'une contrainte consentie par amour. Et les deux motivations qu'elles invoquent pour s'astreindre à ces taches sont l'amour et le dévouement à sa famille.
Et à force d'entendre cela, je crois que beaucoup d'hommes sont convaincus que si leurs femmes font ce qu'elles font c'est par soumission au sentiment amoureux ou qu'elles acceptent ces taches uniquement pour leur faire plaisir. L'idée qu'elles accomplissent ces taches dans leur intérêt, parce qu'elles aiment ça, parce que ça leur procure du bien-être, finit par disparaître complètement du logos.
Et on en arrive à cette absurdité selon laquelle rien de ce que fait une femme n'est fait pour elle, pour son intérêt à elle, parce qu'elle aime ça. Et cette absurdité est admise par la majorité des hommes. On pourrait trouver choquant qu'ils s'en accommodent. Les femmes nous déclarent égoïstes et ça semble leur suffire.
Car ton interrogation m'intéresse.
Je voudrais te préciser ce que je veux dire par intérêt.
Aucune connotation péjorative, aucun jugement de valeur, rien à voir avec l'usure.
Faire les choses par intérêt c'est faire les choses qui vous font du bien, d'une manière ou d'une autre. Dans le cas présent, je ne veux rien dire d'autre. C'est au sens de faire les choses pour son bien-être. Se prendre la fessée d'un sadique, si tu es maso, tu le fais dans ton intérêt. Accessoirement, le sadique y trouve son compte.
Je vais garder la formule du bien-être, je serais peut-être plus précis.
Il est à peu près convenu que les hommes expriment clairement ce qu'ils pensent leur procurer du bien-être. Je dis bien qu'ils pensent, parce qu'il n'est pas rare que ce qu'ils recherchent ne soit pas dans leur intérêt en fin de compte.
Par exemple, bosser beaucoup pour avoir du flouze, ils peuvent penser qu'ils y gagnent en bien-être, mais c'est loin d'être si simple.
Je pense que les femmes font pareil. Elles recherchent ce qu'elles pensent leur apporter du bien-être, elles suivent leur intérêt. La encore elles peuvent se tromper. Elles sont folles du beau gosse et seraient peut-être bien plus heureuses avec le type quelconque qu'elles ne calculent même pas.
Ma mini-thèse du moment, mon histoire d'intérêt, vient du décalage entre ce qui procure du bien-être aux femmes et ce qu'elles déclarent. Disons que ce décalage est beaucoup plus important que chez les hommes.
Il est bien rare que, si un homme aime bricoler, il présente cette activité à sa femme comme une corvée. Une contrainte qu'il accepte de subir uniquement parce qu'il adore sa femme et qu'il est prêt à s'imposer ça pour lui faire plaisir. Il va plutôt la revendiquer. Il va réclamer sur le temps conjugal du temps passé à l'établi.
Or, les femmes font souvent l'inverse. Il y a plein d'activités qu'elles adorent, et les présentent comme des corvées pénibles. Il ne s'agit pas d'un temps qu'elles s'accordent, il s'agit d'une contrainte consentie par amour. Et les deux motivations qu'elles invoquent pour s'astreindre à ces taches sont l'amour et le dévouement à sa famille.
Et à force d'entendre cela, je crois que beaucoup d'hommes sont convaincus que si leurs femmes font ce qu'elles font c'est par soumission au sentiment amoureux ou qu'elles acceptent ces taches uniquement pour leur faire plaisir. L'idée qu'elles accomplissent ces taches dans leur intérêt, parce qu'elles aiment ça, parce que ça leur procure du bien-être, finit par disparaître complètement du logos.
Et on en arrive à cette absurdité selon laquelle rien de ce que fait une femme n'est fait pour elle, pour son intérêt à elle, parce qu'elle aime ça. Et cette absurdité est admise par la majorité des hommes. On pourrait trouver choquant qu'ils s'en accommodent. Les femmes nous déclarent égoïstes et ça semble leur suffire.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si je vivais avec un pote qui passait son temps à se casser le cul pour moi, je finirais par me sentir très mal à l'aise. J'aurais envie de lui demander de m'oublier un peu et d'aller jouer ailleurs.
Pour en revenir au bref dialogue avec ton conjoint, il était évident qu'il ne pouvait pas se sentir autorisé à remettre cela en cause. Tout ce que tu fais tu le fais par amour. Que tu puisses le faire parce que c'est ton intérêt, parce que ça te fait du bien, parce que ça te fait plaisir, tout cela, pourtant si évident, si nécessaire à ton bien-être, les hommes ne le voient pas.
En tout cas, ils n'aiment pas le penser.
Là où ça devient complètement loufoque c'est que si on pousse le raisonnement jusqu'au bout, si tu fais des tas de choses pour lui, si tu l'inclues dans ta vie, tout ça sans y trouver ton intérêt, c'est qu'il doit disposer d'un truc magique vachement unique, d'un don caché merveilleux, quelque chose qui te met les doigts en éventail rien qu'à le regarder.
Mais là faudrait croire à la magie. C'est quand même plus simple de penser que la présence d'un homme te procure du bien-être, surtout sa présence à lui. Ça me parait un signe de bonne santé mentale que de choisir ce qui te fait du bien. Si tu t'occupes de lui c'est que tu y trouves ton compte. Ce qui me parait absolument normal et même indispensable à ton bien-être. Et c'est cette évidence que les hommes ne voient pas. Pas toujours.
J'ai parfois tenté de le faire sentir aux plus sensibles.
Dés que j'aborde le sujet, en y allant sur la pointe des pieds, quand je tente de leur faire comprendre que leur femme n'est pas télécommandée par l'amour et l'altruisme, mais qu'elle assure son propre bien-être, cela semble les effrayer. Je n'ai même jamais pu leur poser la question finale : ça te pose problème de savoir que ta femme recherche son bien-être ? Ça te pose problème qu'elle se soucie de ses intérêts ?
C'est choquant, je trouve, qu'un homme refuse d'entendre que sa femme soit soucieuse de son propre intérêt à elle.
C'est l'effroi que je lis sur leurs visages. Comme si je prétendrais que leur femme est un monstre froid et calculateur.
Sur un plan humain normal, il est heureux que ton conjoint ait répondu négativement à la question de savoir si tu vivais avec lui par intérêt.
La formulation est bâtarde. Faire quelque chose « par intérêt » ça sous-entend un coté sournois, malveillant.
Et pourtant, quoi de plus sain, de plus physiologique, de plus nécessaire, que de vivre selon ses propres intérêts ?
Pour l'instant on pourrait n'y voir qu'un sens aiguë de la négociation, l'art de savoir se mettre en valeur, présenter ce qui vous fait plaisir comme une contrainte consentie pour faire plaisir à monsieur. Tout se négocie. Je cuisine, je reste à la maison, je m'occupe des enfants, je fais l'amour, tout ça me coûte, tout ça me pèse, mais je le fais pour toi, parce que je t'aime mon amour, toi le seul, toi l'unique, je suis folle de t'aimer, mais je n'y peux rien.
Pour en revenir au bref dialogue avec ton conjoint, il était évident qu'il ne pouvait pas se sentir autorisé à remettre cela en cause. Tout ce que tu fais tu le fais par amour. Que tu puisses le faire parce que c'est ton intérêt, parce que ça te fait du bien, parce que ça te fait plaisir, tout cela, pourtant si évident, si nécessaire à ton bien-être, les hommes ne le voient pas.
En tout cas, ils n'aiment pas le penser.
Là où ça devient complètement loufoque c'est que si on pousse le raisonnement jusqu'au bout, si tu fais des tas de choses pour lui, si tu l'inclues dans ta vie, tout ça sans y trouver ton intérêt, c'est qu'il doit disposer d'un truc magique vachement unique, d'un don caché merveilleux, quelque chose qui te met les doigts en éventail rien qu'à le regarder.
Mais là faudrait croire à la magie. C'est quand même plus simple de penser que la présence d'un homme te procure du bien-être, surtout sa présence à lui. Ça me parait un signe de bonne santé mentale que de choisir ce qui te fait du bien. Si tu t'occupes de lui c'est que tu y trouves ton compte. Ce qui me parait absolument normal et même indispensable à ton bien-être. Et c'est cette évidence que les hommes ne voient pas. Pas toujours.
J'ai parfois tenté de le faire sentir aux plus sensibles.
Dés que j'aborde le sujet, en y allant sur la pointe des pieds, quand je tente de leur faire comprendre que leur femme n'est pas télécommandée par l'amour et l'altruisme, mais qu'elle assure son propre bien-être, cela semble les effrayer. Je n'ai même jamais pu leur poser la question finale : ça te pose problème de savoir que ta femme recherche son bien-être ? Ça te pose problème qu'elle se soucie de ses intérêts ?
C'est choquant, je trouve, qu'un homme refuse d'entendre que sa femme soit soucieuse de son propre intérêt à elle.
C'est l'effroi que je lis sur leurs visages. Comme si je prétendrais que leur femme est un monstre froid et calculateur.
Sur un plan humain normal, il est heureux que ton conjoint ait répondu négativement à la question de savoir si tu vivais avec lui par intérêt.
La formulation est bâtarde. Faire quelque chose « par intérêt » ça sous-entend un coté sournois, malveillant.
Et pourtant, quoi de plus sain, de plus physiologique, de plus nécessaire, que de vivre selon ses propres intérêts ?
Pour l'instant on pourrait n'y voir qu'un sens aiguë de la négociation, l'art de savoir se mettre en valeur, présenter ce qui vous fait plaisir comme une contrainte consentie pour faire plaisir à monsieur. Tout se négocie. Je cuisine, je reste à la maison, je m'occupe des enfants, je fais l'amour, tout ça me coûte, tout ça me pèse, mais je le fais pour toi, parce que je t'aime mon amour, toi le seul, toi l'unique, je suis folle de t'aimer, mais je n'y peux rien.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Jusque là tout va bien. Aucun problème. Les femmes sont plus malines, ce n'est pas un scoop. En plus, les hommes semblent se satisfaire de cet état. Donc, tout va bien dans le meilleur des mondes possibles. Madame fait ce qui lui plait, Monsieur est convaincu qu'elle le fait par amour pour lui. Cool, tout le monde est heureux. Good game.
Prenons l'exemple d'une femme qui aime faire la cuisine et s'occuper de ses enfants. Ça existe. Claude Lévi-Strauss en a croisé quelques exemplaires lors de ses voyages en Papouasie Nouvelle-Guinée. Comme quoi, parfois, les tropiques, c'est pas triste.
Pour bien se vendre, ces femmes primitives utilisent des stratagèmes sournois. Elles demandent à leur conjoint de s'occuper des enfants ou de la cuisine, un jour, à l'improviste. Tout le jeu va être de lui faire comprendre qu'il est absolument nul dans ces domaines, et que, ah la la, heureusement qu'elles sont là pour s'en occuper.
Tout le monde est content.
Madame reste seule maîtresse à bord de SA cuisine, et seule maîtresse de SES enfants.
Et le mec est super heureux d'échapper à ce qui pour lui est une corvée. Il est super heureux d'avoir trouvé une femme qui sache le faire, vachement dévouée et tout. Que ferais-je sans toi qui vins à ma rencontre, que serais-je sans toi que ce balbutiement ?
Et comme pour lui ce sont des corvées, il ne peut pas imaginer une seule seconde que madame y trouve son compte, son intérêt. Il a l'impression d'avoir fait une super bonne affaire. Thanks God, I've got the One. Et en plus elle m'aime. Mais qu'ai-je fait pour mériter ce bonheur ?
Tout ce que ces femmes leur demanderont à l'avenir c'est de faire l'intérim auprès des enfants ou dans la cuisine de temps en temps. Elles iront jusqu'à applaudir l'exploit, c'est merveilleux chéri, tu vois, quand tu veux, tu peux faire une fois de temps en temps ce que je fais tous les jours les doigts dans le nez. C'est bien, tu dois être fatigué de tous ces efforts, va t'asseoir dans le canapé, je t'amène une bière.
Jusque là tout va bien, tout est super équilibré, tout le monde est heureux, madame fait ce qui lui plait et monsieur est super content que madame, par amour et grandeur d'âme croit-il, se tape les corvées. Relation win-win. My Lord, never fix when it works. Le mec est convaincu d'avoir fait l'affaire du siècle. TVB.
Monsieur pense que madame fait tout ça, propulsée par une force magique, dont il a entendu parlé, l'Amour. De temps en temps, madame vérifie juste s'il adhère au principe : « tu m'aimes, chérie ? ». Putain, tu parles si je t'aime, change rien, je ne sais pas à quoi ressemble ce truc qui motive les bonnes femmes, mais surtout, surtout, ne change rien, laisse-toi guidée par la Force de l'Amour, c'est pur bien ce truc. Tout baigne.
Il est convaincu, il est conditionné, il a fini par admettre l'existence d'une force supranaturelle qui pousse les femmes à se dévouer à leurs enfants et à leurs conjoints. Ces petits êtres fragiles sont victimes d'un envoûtement qui les transforment en nourrice, en femme de ménage, en amante. C'est magique. Alors il aurait un peu tendance à en profiter. Je peux y aller, elle m'aime. Roule, Raoul.
Il y croit vraiment ce con. Il finit par admettre qu'il vit auprès d'un être humain dont l'essence même du bien-être est de privilégier ses intérêts à lui. Je sais, c'est gros, et pourtant il y croit.
Il a réussi à chasser totalement de son champ de compréhension que Madame fait les choses uniquement à condition d'y trouver son intérêt, son bien-être à elle.
Avouez ! Faut quand même pas être malin quand même !
Ou alors quand tout va bien on ne réfléchit pas, on ne veut surtout pas réfléchir.
Et on oublie la règle première des enchères sur e-bay : « si ça parait trop beau pour être vrai, c'est que c'est trop beau pour être vrai ».
Prenons l'exemple d'une femme qui aime faire la cuisine et s'occuper de ses enfants. Ça existe. Claude Lévi-Strauss en a croisé quelques exemplaires lors de ses voyages en Papouasie Nouvelle-Guinée. Comme quoi, parfois, les tropiques, c'est pas triste.
Pour bien se vendre, ces femmes primitives utilisent des stratagèmes sournois. Elles demandent à leur conjoint de s'occuper des enfants ou de la cuisine, un jour, à l'improviste. Tout le jeu va être de lui faire comprendre qu'il est absolument nul dans ces domaines, et que, ah la la, heureusement qu'elles sont là pour s'en occuper.
Tout le monde est content.
Madame reste seule maîtresse à bord de SA cuisine, et seule maîtresse de SES enfants.
Et le mec est super heureux d'échapper à ce qui pour lui est une corvée. Il est super heureux d'avoir trouvé une femme qui sache le faire, vachement dévouée et tout. Que ferais-je sans toi qui vins à ma rencontre, que serais-je sans toi que ce balbutiement ?
Et comme pour lui ce sont des corvées, il ne peut pas imaginer une seule seconde que madame y trouve son compte, son intérêt. Il a l'impression d'avoir fait une super bonne affaire. Thanks God, I've got the One. Et en plus elle m'aime. Mais qu'ai-je fait pour mériter ce bonheur ?
Tout ce que ces femmes leur demanderont à l'avenir c'est de faire l'intérim auprès des enfants ou dans la cuisine de temps en temps. Elles iront jusqu'à applaudir l'exploit, c'est merveilleux chéri, tu vois, quand tu veux, tu peux faire une fois de temps en temps ce que je fais tous les jours les doigts dans le nez. C'est bien, tu dois être fatigué de tous ces efforts, va t'asseoir dans le canapé, je t'amène une bière.
Jusque là tout va bien, tout est super équilibré, tout le monde est heureux, madame fait ce qui lui plait et monsieur est super content que madame, par amour et grandeur d'âme croit-il, se tape les corvées. Relation win-win. My Lord, never fix when it works. Le mec est convaincu d'avoir fait l'affaire du siècle. TVB.
Monsieur pense que madame fait tout ça, propulsée par une force magique, dont il a entendu parlé, l'Amour. De temps en temps, madame vérifie juste s'il adhère au principe : « tu m'aimes, chérie ? ». Putain, tu parles si je t'aime, change rien, je ne sais pas à quoi ressemble ce truc qui motive les bonnes femmes, mais surtout, surtout, ne change rien, laisse-toi guidée par la Force de l'Amour, c'est pur bien ce truc. Tout baigne.
Il est convaincu, il est conditionné, il a fini par admettre l'existence d'une force supranaturelle qui pousse les femmes à se dévouer à leurs enfants et à leurs conjoints. Ces petits êtres fragiles sont victimes d'un envoûtement qui les transforment en nourrice, en femme de ménage, en amante. C'est magique. Alors il aurait un peu tendance à en profiter. Je peux y aller, elle m'aime. Roule, Raoul.
Il y croit vraiment ce con. Il finit par admettre qu'il vit auprès d'un être humain dont l'essence même du bien-être est de privilégier ses intérêts à lui. Je sais, c'est gros, et pourtant il y croit.
Il a réussi à chasser totalement de son champ de compréhension que Madame fait les choses uniquement à condition d'y trouver son intérêt, son bien-être à elle.
Avouez ! Faut quand même pas être malin quand même !
Ou alors quand tout va bien on ne réfléchit pas, on ne veut surtout pas réfléchir.
Et on oublie la règle première des enchères sur e-bay : « si ça parait trop beau pour être vrai, c'est que c'est trop beau pour être vrai ».
Dernière édition par Numero6 le Mar 5 Jan 2016 - 18:27, édité 2 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Certains hommes n'ouvrent les yeux qu'une fois divorcés, bien étrillés par l'avocat de madame et tout le système judiciaire qui protège cette pauvre petite chose fragile qu'on appelle une femme, si précieuse parce qu'elle seule peut garantir la survie de la progéniture.
M'font pitié.
Ils croyaient quoi les pépères ? Que leur petit outillage provoquait de telles extases que madame ne pourrait jamais s'en passer ? Qu'ils étaient si merveilleux qu'ils pouvaient se dispenser d'entendre tous les messages d'avertissement de madame ? Que l'amour, cette maladie merveilleuse contractée par leur femme à leur contact, allait continuer à leur profiter indéfiniment ?
Au moment du divorce il redécouvre que madame défend ses intérêts, son bien-être à elle. Ce qui me tue c'est qu'ils ont l'air de considérer ça comme une injustice, comme si c'était une trahison que madame pense à elle.
- Mais enfin, bibiche, tu m'aimes, non ? Tu m'aurais menti, salope ?
Ben ducon, bien sur qu'elle défend ses intérêts, évidemment, abrruuttiiiiiii.
Et là, je peux te dire qu'elle a renoncé à croire que tu pouvais représenter son intérêt à elle, tu as épuisé ses dernières ressources. Elle en est au stade où elle se demande comment elle a pu supporter autant d'années un abruti pareil. Putain, je vais le saigner à blanc ce con, il mérite pas mieux, moi qui lui ai consacré « les plus belles années de ma vie » (comprenez : les années où j'étais encore bankable).
Bon déjà ça commence à ne plus être drôle, cette histoire. Quand je dis qu'ils me font pitié, ils me font vraiment pitié, c'est de la véritable compassion, je les plains, ils n'ont pas l'air du tout outillés pour surmonter l'épreuve. Ils reniflent les vestiges de ce bonheur enfoui. Ils s'inscrivent dans des clubs de discussion pour tenter de se reviliriser auprès d'autres rejetés. Certains finissent SDF, ils se terminent à l'alcool. Beaucoup de suicides, des vrais, pas des suicides pour crier son mal de vivre à la face du monde, non, boum sous le métro, bang, la balle dans la tête. Chéérriiiieee, reviens, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je ne peux pas vivre sans toi.
Et puis un homme c'est fort, un homme c'est viril, ça ne se plaint pas, ça ne va pas voir un psy.
Quand je vous dis qu'ils me font pitié, c'est sincère. Les plus grands sportifs, les managers de haut vol, tous les mecs les plus forts se font aider, parce qu'ils ne peuvent pas tout savoir ou pour améliorer leurs performances.
Mais non, ces abrutis pensent que ça fait pédé de prendre un anti-dépresseur.
C'est vachement plus malin de se foutre en l'air, ça madame, ça fait viril. Dernière surcompensation. L'ultime. On veut jouer à l'homme, alors on joue sa vie à la roulette russe.
Mais putain qu'ils sont cons ! Didiou !
Ils se décident à se réveiller quand leur valeur marchande auprès de madame se situe entre le tampon usagé et le gravier au fond du soulier.
M'font pitié.
Ils croyaient quoi les pépères ? Que leur petit outillage provoquait de telles extases que madame ne pourrait jamais s'en passer ? Qu'ils étaient si merveilleux qu'ils pouvaient se dispenser d'entendre tous les messages d'avertissement de madame ? Que l'amour, cette maladie merveilleuse contractée par leur femme à leur contact, allait continuer à leur profiter indéfiniment ?
Au moment du divorce il redécouvre que madame défend ses intérêts, son bien-être à elle. Ce qui me tue c'est qu'ils ont l'air de considérer ça comme une injustice, comme si c'était une trahison que madame pense à elle.
- Mais enfin, bibiche, tu m'aimes, non ? Tu m'aurais menti, salope ?
Ben ducon, bien sur qu'elle défend ses intérêts, évidemment, abrruuttiiiiiii.
Et là, je peux te dire qu'elle a renoncé à croire que tu pouvais représenter son intérêt à elle, tu as épuisé ses dernières ressources. Elle en est au stade où elle se demande comment elle a pu supporter autant d'années un abruti pareil. Putain, je vais le saigner à blanc ce con, il mérite pas mieux, moi qui lui ai consacré « les plus belles années de ma vie » (comprenez : les années où j'étais encore bankable).
Bon déjà ça commence à ne plus être drôle, cette histoire. Quand je dis qu'ils me font pitié, ils me font vraiment pitié, c'est de la véritable compassion, je les plains, ils n'ont pas l'air du tout outillés pour surmonter l'épreuve. Ils reniflent les vestiges de ce bonheur enfoui. Ils s'inscrivent dans des clubs de discussion pour tenter de se reviliriser auprès d'autres rejetés. Certains finissent SDF, ils se terminent à l'alcool. Beaucoup de suicides, des vrais, pas des suicides pour crier son mal de vivre à la face du monde, non, boum sous le métro, bang, la balle dans la tête. Chéérriiiieee, reviens, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je ne peux pas vivre sans toi.
Et puis un homme c'est fort, un homme c'est viril, ça ne se plaint pas, ça ne va pas voir un psy.
Quand je vous dis qu'ils me font pitié, c'est sincère. Les plus grands sportifs, les managers de haut vol, tous les mecs les plus forts se font aider, parce qu'ils ne peuvent pas tout savoir ou pour améliorer leurs performances.
Mais non, ces abrutis pensent que ça fait pédé de prendre un anti-dépresseur.
C'est vachement plus malin de se foutre en l'air, ça madame, ça fait viril. Dernière surcompensation. L'ultime. On veut jouer à l'homme, alors on joue sa vie à la roulette russe.
Mais putain qu'ils sont cons ! Didiou !
Ils se décident à se réveiller quand leur valeur marchande auprès de madame se situe entre le tampon usagé et le gravier au fond du soulier.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et là je vous parle de la situation la plus commune. Par souci de simplification j'écarte les exceptions. Je ne mentionne pas celles qui choisissent leur conjoint parce qu'il a un job rémunérateur, un accès à un milieu social supérieur, une voiture coûteuse, une position de leader naturel, qu'il est plus grand ou plus intelligent qu'elle, non, il ne s'agit que de poussières statistiques. Il n'y aucun intérêt à débattre sur des cas aussi exceptionnels que la petite salope qui plaque son mec au QI deux fois supérieur au sien, une fois épuisées les ressources de son compte en banque et de son carnet d'adresse. Ces situations sont trop rares pour mériter l'attention.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moi, j'ai un défaut de fabrication. A la base, je n'ai pas du être câblé comme il fallait à la naissance. Depuis toujours je considère que les femmes agissent dans leur intérêt, pour leur bien-être. Et tant mieux si mon bien-être correspond au leur, ça, c'est du bol, de la chance, du pur hasard.
Jamais je n'ai pu considérer crédible que la moitié de l'humanité renonce à ses propres intérêts. Je trouve ça tellement absurde, pathologique, révoltant.
On a bien cherché à me faire croire à cette histoire d'oppression. Je trouvais que pour des opprimées elles avaient plutôt le sourire quand il s'agissait de régner dans leurs cuisines ou de pouponner. Si seulement je pouvais rencontrer un jour une femme qui soit autant émue par ma bite que par une portée de chatons ! Je crois que je peux attendre longtemps.
Je ne sais pas le résumer autrement que par : « c'est pas logique ». Je ne vois pas comment ça peut exister. Je ne vois pas comment un être humain pourrait renoncer définitivement à son bien-être au profit d'un autre, comme ça, juste pour le fun, pour obéir à ses hormones ou à la société, cette salope de société.
Cela n'a, pour moi, absolument aucun sens. Ce serait comme renoncer à respirer, uriner ou se distraire, on ne peut pas vivre comme ça. Voilà, c'est juste impossible.
C'est pas humain.
Une fois que la lucidité s'impose, par simple logique, on passe à l'observation. De quelle manière défendent-elles leurs intérêts ?
Jamais je n'ai pu considérer crédible que la moitié de l'humanité renonce à ses propres intérêts. Je trouve ça tellement absurde, pathologique, révoltant.
On a bien cherché à me faire croire à cette histoire d'oppression. Je trouvais que pour des opprimées elles avaient plutôt le sourire quand il s'agissait de régner dans leurs cuisines ou de pouponner. Si seulement je pouvais rencontrer un jour une femme qui soit autant émue par ma bite que par une portée de chatons ! Je crois que je peux attendre longtemps.
Je ne sais pas le résumer autrement que par : « c'est pas logique ». Je ne vois pas comment ça peut exister. Je ne vois pas comment un être humain pourrait renoncer définitivement à son bien-être au profit d'un autre, comme ça, juste pour le fun, pour obéir à ses hormones ou à la société, cette salope de société.
Cela n'a, pour moi, absolument aucun sens. Ce serait comme renoncer à respirer, uriner ou se distraire, on ne peut pas vivre comme ça. Voilà, c'est juste impossible.
C'est pas humain.
Une fois que la lucidité s'impose, par simple logique, on passe à l'observation. De quelle manière défendent-elles leurs intérêts ?
Dernière édition par Numero6 le Mar 5 Jan 2016 - 18:32, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et c'est là qu'on commence à se fendre la gueule, parce que tous les moyens sont bons.
Ça commence par la tromperie badine, l'apparence.
J'avais été frappé du manque d'attrait du corps féminin brut de décoffrage. A loilpé, l'homme et la femme cotes à cotes sur le même cliché, ben, heu, la différence en termes d'attrait n'est pas flagrante, je dirais même qu'en comparaison, je trouve le corps féminin un peu lourdingue, je sais pas, je crois que l'impression de centre de gravité plus proche du sol, provoquée par les hanches et les cuisses plus marquées, y participe.
Visuellement je préfère nettement les petits culs. Manuellement, du « plein la main comme on aime », c'est l'extase.
Par chance, on a inventé des tas de trucs pour donner au corps féminin un attrait artificiel, mais, oh oui, dieu que cette arnaque est plaisante. Voilà de quoi se motiver l'imagination et se régaler la rétine.
Quand une femme se précipite le matin dans la salle de bain pour se pomponner, ce n'est pas de la pudeur ou de la coquetterie, c'est que pendant ce laps de temps, elle est à découvert, exposée au regard de l'ennemi sans son camouflage.
Tout à fait personnellement, de toutes les arnaques c'est celle dont j'adore être la victime. J'adore toutes les ruses employées par les femmes pour faire oublier le modèle d'origine. Des artifices, je n'en ai jamais assez. Je prends tout. Je rame beaucoup quand il s'agit de trous au niveau des genoux ou d'énormes écrase-merdes en guise d'escarpins, là, quand même, j'atteins mes limites en terme d'émerveillement. Mais globalement j'adore me faire arnaquer par ces falbalas. Plaisir des yeux.
On pourrait enchaîner, au choix, sur le plaisir sexuel.
« Une femme honnête ne prend pas de plaisir ». C'est possible, c'est possible, je n'écarte aucune hypothèse. Je penserais plutôt que, pour la plupart des femmes, ça ne leur fait pas grand-chose. Ce n'est qu'un moyen parmi d'autre de se faire plaisir, loin derrière l'ouverture des soldes où une truffe à la fraise.
Alors que pour le mec, c'est tout un bigntz. En plus, il ne lui faut pas grand-chose pour devenir dingue. La vue d'une petite culotte, des genoux un peu trop écartés, une simple photo, et zou, son système glandulaire se met en surchauffe.
Quel merveilleux terrain d'échange ! Pour monsieur un truc essentiel, pour madame un truc qui vaut pas grand-chose. Que madame peut monnayer comme un truc essentiel auprès de monsieur.
Cette arnaque me plait bien aussi. Du moment que je peux négocier, je me fous du prix à payer. Rhaaaa, lovely.
Ça commence par la tromperie badine, l'apparence.
J'avais été frappé du manque d'attrait du corps féminin brut de décoffrage. A loilpé, l'homme et la femme cotes à cotes sur le même cliché, ben, heu, la différence en termes d'attrait n'est pas flagrante, je dirais même qu'en comparaison, je trouve le corps féminin un peu lourdingue, je sais pas, je crois que l'impression de centre de gravité plus proche du sol, provoquée par les hanches et les cuisses plus marquées, y participe.
Visuellement je préfère nettement les petits culs. Manuellement, du « plein la main comme on aime », c'est l'extase.
Par chance, on a inventé des tas de trucs pour donner au corps féminin un attrait artificiel, mais, oh oui, dieu que cette arnaque est plaisante. Voilà de quoi se motiver l'imagination et se régaler la rétine.
Quand une femme se précipite le matin dans la salle de bain pour se pomponner, ce n'est pas de la pudeur ou de la coquetterie, c'est que pendant ce laps de temps, elle est à découvert, exposée au regard de l'ennemi sans son camouflage.
Tout à fait personnellement, de toutes les arnaques c'est celle dont j'adore être la victime. J'adore toutes les ruses employées par les femmes pour faire oublier le modèle d'origine. Des artifices, je n'en ai jamais assez. Je prends tout. Je rame beaucoup quand il s'agit de trous au niveau des genoux ou d'énormes écrase-merdes en guise d'escarpins, là, quand même, j'atteins mes limites en terme d'émerveillement. Mais globalement j'adore me faire arnaquer par ces falbalas. Plaisir des yeux.
On pourrait enchaîner, au choix, sur le plaisir sexuel.
« Une femme honnête ne prend pas de plaisir ». C'est possible, c'est possible, je n'écarte aucune hypothèse. Je penserais plutôt que, pour la plupart des femmes, ça ne leur fait pas grand-chose. Ce n'est qu'un moyen parmi d'autre de se faire plaisir, loin derrière l'ouverture des soldes où une truffe à la fraise.
Alors que pour le mec, c'est tout un bigntz. En plus, il ne lui faut pas grand-chose pour devenir dingue. La vue d'une petite culotte, des genoux un peu trop écartés, une simple photo, et zou, son système glandulaire se met en surchauffe.
Quel merveilleux terrain d'échange ! Pour monsieur un truc essentiel, pour madame un truc qui vaut pas grand-chose. Que madame peut monnayer comme un truc essentiel auprès de monsieur.
Cette arnaque me plait bien aussi. Du moment que je peux négocier, je me fous du prix à payer. Rhaaaa, lovely.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mais de toutes les arnaques, celle qui n'est jamais passée, c'est précisément celle d'agir sans se soucier de son intérêt.
Celle-là dépasse mon entendement. Sûrement parce que pour celle-là, je ne vois pas où est mon intérêt.
Mettons que j'épouse une papou, une qui adore avoir des enfants et faire la cuisine. Mettons que, mettant en pratique des millénaires de malice féminine, elle souhaite me faire croire qu'elle se livre à ses plaisirs favoris non pas pour elle, non, mais poussée par une force mystérieuse qui l'amène à se sacrifier pour moi. Par amour, parce que c'est une tradition dans sa tribu papoue, parce que les patriarches leur imposent cette éducation, toussa.
Putain, déjà, ça sent l'arnaque à mort. C'est ça ma biche, raconte-moi comment tu te sacrifies pour moi, comment tu mets tes besoins et ton bien-être au placard, vaincue par ce magnétisme qu'irradie ma personne qui te pousse à la dévotion. Mon alarme « elle me prend pour un con », je l'ai débranchée depuis longtemps, elle n'arrêtait pas de sonner.
Tu vends ta soupe, très bien, logique, tu cherches à faire fructifier ton attirance pour les enfants et la cuisine, normal, c'est de bonne guerre, jusque là tu n'as enfreint aucune loi.
T'es juste en train de me prendre pour un con, mais jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas interdit.
Donc, je suis censé croire à une force magique qui te pousse à agir contre ton intérêt personnel ? C'est cela, oui. La société ne te laisse pas le choix ? bien sur bichette, qui pourrait en douter. Tu te sacrifies ? mais chérie, j'en suis absolument convaincue, c'est très bien d'ailleurs, surtout ne change pas, ça me va parfaitement. Tout ton être est emportée par une force inconnue qui te pousse à faire ce que tu ne ferais pas normalement ? Comment tu dis que ça s'appelle ? L'Amour ? Putain, ça fait peur ton truc, heureusement que ça ne touche que les femmes. Tu me vois, moi, contraint à faire pour toi ce qui irait à l'encontre de mes intérêts si j'étais contaminé ? Je l'ai échappé belle, pff...
« Et toi, chéri, tu m'aimes ? »
Nom de dieu ! Je pensais pas qu'elle oserait ! Mais si, elles osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !
Au niveau arnaque, au-dessus tu fais de la politique ! Tu es capable de faire croire à la populace que tu te bats pour elle et pas pour les ors de la République, les jolies secrétaires et les limousines de fonction.
Là, t'es mure, tu peux tout oser.
Si le pigeon ne se relève pas de son coma, pousse les feux, déclenche la post-combustion, le tue pas quand même, il est là pour servir.
Permettez-moi d'exposer mon ressenti. Si je me trouve bien avec une femme, c'est que j'y trouve mon compte, mon intérêt personnel. Elle est jolie, elle se pomponne merveilleusement, elle cuisine bien, elle saura s'occuper de mes enfants, sa conversation me remplit de joie et d'étonnement. Bref, le top du top, c'est cette fantastique sensation de se sentir bien avec elle.
L'amour, niveau concept, je situe ça entre l'existence de Dieu et la théorie unifiée de la Physique. J'en ai entendu parler, j'envisage sa présence dans une dimension extra-terrestre, je ne peux démontrer son absence. Et je m'en fous. Tout ce que je sais c'est que je me sens bien avec ma papou. Le reste...
Celle-là dépasse mon entendement. Sûrement parce que pour celle-là, je ne vois pas où est mon intérêt.
Mettons que j'épouse une papou, une qui adore avoir des enfants et faire la cuisine. Mettons que, mettant en pratique des millénaires de malice féminine, elle souhaite me faire croire qu'elle se livre à ses plaisirs favoris non pas pour elle, non, mais poussée par une force mystérieuse qui l'amène à se sacrifier pour moi. Par amour, parce que c'est une tradition dans sa tribu papoue, parce que les patriarches leur imposent cette éducation, toussa.
Putain, déjà, ça sent l'arnaque à mort. C'est ça ma biche, raconte-moi comment tu te sacrifies pour moi, comment tu mets tes besoins et ton bien-être au placard, vaincue par ce magnétisme qu'irradie ma personne qui te pousse à la dévotion. Mon alarme « elle me prend pour un con », je l'ai débranchée depuis longtemps, elle n'arrêtait pas de sonner.
Tu vends ta soupe, très bien, logique, tu cherches à faire fructifier ton attirance pour les enfants et la cuisine, normal, c'est de bonne guerre, jusque là tu n'as enfreint aucune loi.
T'es juste en train de me prendre pour un con, mais jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas interdit.
Donc, je suis censé croire à une force magique qui te pousse à agir contre ton intérêt personnel ? C'est cela, oui. La société ne te laisse pas le choix ? bien sur bichette, qui pourrait en douter. Tu te sacrifies ? mais chérie, j'en suis absolument convaincue, c'est très bien d'ailleurs, surtout ne change pas, ça me va parfaitement. Tout ton être est emportée par une force inconnue qui te pousse à faire ce que tu ne ferais pas normalement ? Comment tu dis que ça s'appelle ? L'Amour ? Putain, ça fait peur ton truc, heureusement que ça ne touche que les femmes. Tu me vois, moi, contraint à faire pour toi ce qui irait à l'encontre de mes intérêts si j'étais contaminé ? Je l'ai échappé belle, pff...
« Et toi, chéri, tu m'aimes ? »
Nom de dieu ! Je pensais pas qu'elle oserait ! Mais si, elles osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !
Au niveau arnaque, au-dessus tu fais de la politique ! Tu es capable de faire croire à la populace que tu te bats pour elle et pas pour les ors de la République, les jolies secrétaires et les limousines de fonction.
Là, t'es mure, tu peux tout oser.
Si le pigeon ne se relève pas de son coma, pousse les feux, déclenche la post-combustion, le tue pas quand même, il est là pour servir.
Permettez-moi d'exposer mon ressenti. Si je me trouve bien avec une femme, c'est que j'y trouve mon compte, mon intérêt personnel. Elle est jolie, elle se pomponne merveilleusement, elle cuisine bien, elle saura s'occuper de mes enfants, sa conversation me remplit de joie et d'étonnement. Bref, le top du top, c'est cette fantastique sensation de se sentir bien avec elle.
L'amour, niveau concept, je situe ça entre l'existence de Dieu et la théorie unifiée de la Physique. J'en ai entendu parler, j'envisage sa présence dans une dimension extra-terrestre, je ne peux démontrer son absence. Et je m'en fous. Tout ce que je sais c'est que je me sens bien avec ma papou. Le reste...
Dernière édition par Numero6 le Mar 5 Jan 2016 - 18:35, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
« Tu m'aimes, chérie ? ». Chai pas, faut voir, enlève ta main, je vois pas ce qu'il y a d'écrit en caractères minuscules au bas du contrat. C'est bizarre comme option. Tu y tiens vraiment à ce truc ? On est bien tous les deux. Tu ne trouves pas que ça risquerait de compliquer les choses ?
« Bouhouhou, tu ne m'aimes pas, bouhouhou, houhou ». Merde, elle a vraiment pas l'air bien ma papou, c'est vraiment une drôle de maladie son truc. Bon, si je calcule bien, elle m'aime, donc elle va faire tout ce que je veux, et de deux tout ce que j'ai à faire c'est de lui dire que je l'aime quand elle pique une crise. Pof, pof, un coup je te vois, un coup je te vois pas, j'ai beau chercher je ne vois pas le piège, les femmes sont folles, faut pas chercher.
- Mais bien sur que je t'aime ma papounette, te mets pas dans des états comme ça, c'est rien, allez fais bisous.
- Non, tu ne m'aimes pas vraiment, tu dis ça pour me faire plaisir, bouhouhou, houhou.
- Mais si, je t'assure, je t'aime, je t'aime, je t'aime (bon après tout, c'est pas ce qui coûte le plus cher de dire je t'aime, s'il n'y que ça pour qu'elle arrête de me gonfler...).
- Non, tu ne m'aimes pas. Si tu m'aimais vraiment tu :
- arrêterais de voir tes stupides copains.
- descendrais la poubelle quand je te le demande.
- arrêterais de fumer, de boire, de te shooter à la Playstation
- me dirais des gentilles choses, tu me ferais des compliments pour ma jolie robe que je n'ai acheté avec ton argent uniquement pour te faire plaisir
- etc.
- etc.
- etc.
Le sommet des sommets, la Jérusalem de l'arnaque, la terre promise de l'escroquerie est diabolique, c'est l'inversion de valeur la plus totale. La preuve par l'absurde.
Si tu fais ce qui ne me plait pas c'est que tu ne m'aimes pas.
Et si tu m'aimes vraiment tu dois savoir m'apprécier comme je suis, pas maquillée, pas coiffée et tu vas te faire chauffer tes raviolis. Mais avec amour. Sinon, c'est que tu ne m'aimes pas vraiment, tu n'aimes pas ce que je suis vraiment, ce que j'ai en moi, mon intérieur si précieux, là où réside la richesse qui ne peut émerveiller que celui qui m'aime.
La plus monumentale escroquerie sur terre. A coté c'est des rigolos chez Goldman Sachs.
« Bouhouhou, tu ne m'aimes pas, bouhouhou, houhou ». Merde, elle a vraiment pas l'air bien ma papou, c'est vraiment une drôle de maladie son truc. Bon, si je calcule bien, elle m'aime, donc elle va faire tout ce que je veux, et de deux tout ce que j'ai à faire c'est de lui dire que je l'aime quand elle pique une crise. Pof, pof, un coup je te vois, un coup je te vois pas, j'ai beau chercher je ne vois pas le piège, les femmes sont folles, faut pas chercher.
- Mais bien sur que je t'aime ma papounette, te mets pas dans des états comme ça, c'est rien, allez fais bisous.
- Non, tu ne m'aimes pas vraiment, tu dis ça pour me faire plaisir, bouhouhou, houhou.
- Mais si, je t'assure, je t'aime, je t'aime, je t'aime (bon après tout, c'est pas ce qui coûte le plus cher de dire je t'aime, s'il n'y que ça pour qu'elle arrête de me gonfler...).
- Non, tu ne m'aimes pas. Si tu m'aimais vraiment tu :
- arrêterais de voir tes stupides copains.
- descendrais la poubelle quand je te le demande.
- arrêterais de fumer, de boire, de te shooter à la Playstation
- me dirais des gentilles choses, tu me ferais des compliments pour ma jolie robe que je n'ai acheté avec ton argent uniquement pour te faire plaisir
- etc.
- etc.
- etc.
Le sommet des sommets, la Jérusalem de l'arnaque, la terre promise de l'escroquerie est diabolique, c'est l'inversion de valeur la plus totale. La preuve par l'absurde.
Si tu fais ce qui ne me plait pas c'est que tu ne m'aimes pas.
Et si tu m'aimes vraiment tu dois savoir m'apprécier comme je suis, pas maquillée, pas coiffée et tu vas te faire chauffer tes raviolis. Mais avec amour. Sinon, c'est que tu ne m'aimes pas vraiment, tu n'aimes pas ce que je suis vraiment, ce que j'ai en moi, mon intérieur si précieux, là où réside la richesse qui ne peut émerveiller que celui qui m'aime.
La plus monumentale escroquerie sur terre. A coté c'est des rigolos chez Goldman Sachs.
Dernière édition par Numero6 le Mar 5 Jan 2016 - 18:16, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je ne voudrais pas m'avancer, ce n'est qu'une rumeur, il paraîtrait que maintenant on n'aurait plus le droit de les mornifler pour qu'elles arrêtent leur cinoche. Je ne veux même pas croire à un truc aussi dingue ! C'est une question de survie, faudrait voir à ne pas déconner non plus. C'est mise en danger de la vie d'autrui une mesure comme ça !
Il paraîtrait que les décrets d'application n'ont pas encore été publiés. Manquerait plus que ça ! Tu ne vas pas me faire croire qu'une assemblée de patriarches se soit coalisée pour voter un génocide contre leur propre genre. Absurde.
Il paraîtrait que les décrets d'application n'ont pas encore été publiés. Manquerait plus que ça ! Tu ne vas pas me faire croire qu'une assemblée de patriarches se soit coalisée pour voter un génocide contre leur propre genre. Absurde.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Parmi mes nombreux vices de fabrication, j'en ai un qu'est marrant, c'est mon coté clébard. Tu me dis va chercher l'Amour, je frétille de la queue et je vais chercher l'Amour. Le jeune Werther il ne parvenait pas à me suivre dans les cotes. Tu veux de l'amour, en v'là, je me suis déchiré les neurones pour en faire un feu d'artifice, j'ai fait de madame papou le centre de mon univers, j'ai fait converger l'univers entier sur son petit cul, tout mon être sur sa voix, mon existence sur l'ourlet de sa robe.
Bref, j'ai fait le con.
Voilà ce que c'est de ne pas bien comprendre l'injonction initiale. Comme pour un clébard. Elle fait le geste de lancer le bâton tout en le gardant dans la main. Et moi je fonce comme un dératé jusqu'au bout du jardin, je renifle, je cherche et je cherche encore. Et je reviens la queue entre les jambes, pas trouvé l'Amour, pas le bon, ou alors je suis nul.
Je n'avais pas compris le truc. Tout ce qu'il fallait c'était la garantie que je me précipite comme un malade dés qu'elle m'en fait le signe. Gentil chienchien, gentil, sussucre ou une petite turlutte ? Les deux ? Petit gourmand, va.
Clébard certes, mais un peu Aspie aussi, je ne comprends pas tout bien.
Madame papou fait semblant de jeter le bâton. Très bien. Je note. Elle a l'air de s'amuser, je l'aime bien madame papoue. Je suis à ses ordres, j'ai la langue pendante, go on papounette, envoie, envoie, que j'aille te le rapporter le bout de bois.
Et c'est là que je constate qu'il me manque une case, que je ne pige pas tout bien. Papounette fait la gueule. Je suis à ses pieds et pas au fond du jardin à chercher le bâton qu'elle tient dans sa main. Par Saint Mabrouk, que suis-je censé faire ? Si je ne dis pas trop de connerie, si j'interprète bien la situation, à l'heure qu'il est, pour que madame garde le sourire, il aurait fallu que je fonce comme un con dés qu'elle a ébauché son geste.
C'est noté.
La prochaine fois, je fonce sans réfléchir et je fais semblant de chercher.
Vi, c'est jouable.
Mais ça je ne sais pas faire. Mentir je ne sais pas faire. Simuler je ne sais pas faire. Impossible de faire semblant de tomber dans le panneau, ça va se voir que je me fous de sa gueule, et ça, papounette, elle aime pas quand on se fout de sa gueule.
C'est pas facile la vie. Toi tu crois que tu vas lui en mettre plein la vue à courir plus vite que les autres clébards ou à lui pondre de l'Amour par pages entières, toutes plus sincères et plus fantastiques que celles des petits copains. Mais en fait elle s'en fout.
Tes performances ne flattent que toi, ton ego.
Madame papou ce qu'elle attend c'est que tu démarres au quart de tour quand elle l'a décidé, quand l'envie lui en prend, quand elle en a besoin.
Bref, j'ai fait le con.
Voilà ce que c'est de ne pas bien comprendre l'injonction initiale. Comme pour un clébard. Elle fait le geste de lancer le bâton tout en le gardant dans la main. Et moi je fonce comme un dératé jusqu'au bout du jardin, je renifle, je cherche et je cherche encore. Et je reviens la queue entre les jambes, pas trouvé l'Amour, pas le bon, ou alors je suis nul.
Je n'avais pas compris le truc. Tout ce qu'il fallait c'était la garantie que je me précipite comme un malade dés qu'elle m'en fait le signe. Gentil chienchien, gentil, sussucre ou une petite turlutte ? Les deux ? Petit gourmand, va.
Clébard certes, mais un peu Aspie aussi, je ne comprends pas tout bien.
Madame papou fait semblant de jeter le bâton. Très bien. Je note. Elle a l'air de s'amuser, je l'aime bien madame papoue. Je suis à ses ordres, j'ai la langue pendante, go on papounette, envoie, envoie, que j'aille te le rapporter le bout de bois.
Et c'est là que je constate qu'il me manque une case, que je ne pige pas tout bien. Papounette fait la gueule. Je suis à ses pieds et pas au fond du jardin à chercher le bâton qu'elle tient dans sa main. Par Saint Mabrouk, que suis-je censé faire ? Si je ne dis pas trop de connerie, si j'interprète bien la situation, à l'heure qu'il est, pour que madame garde le sourire, il aurait fallu que je fonce comme un con dés qu'elle a ébauché son geste.
C'est noté.
La prochaine fois, je fonce sans réfléchir et je fais semblant de chercher.
Vi, c'est jouable.
Mais ça je ne sais pas faire. Mentir je ne sais pas faire. Simuler je ne sais pas faire. Impossible de faire semblant de tomber dans le panneau, ça va se voir que je me fous de sa gueule, et ça, papounette, elle aime pas quand on se fout de sa gueule.
C'est pas facile la vie. Toi tu crois que tu vas lui en mettre plein la vue à courir plus vite que les autres clébards ou à lui pondre de l'Amour par pages entières, toutes plus sincères et plus fantastiques que celles des petits copains. Mais en fait elle s'en fout.
Tes performances ne flattent que toi, ton ego.
Madame papou ce qu'elle attend c'est que tu démarres au quart de tour quand elle l'a décidé, quand l'envie lui en prend, quand elle en a besoin.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Clébard et Aspie, c'est pas pour dire, c'est chaud.
Moi je croyais rehausser ma valeur à ses yeux en ne me faisant pas avoir avec le bâton resté dans sa main. 'tain, t'as vu, c'est pas un idiot monsieur papou, il a l’œil monsieur papou. Il voit bien que tu cherches à tester sa vigilance avec l'Amour et le bâton. Tiens, si tu veux, je peux te détailler toutes les fois où tu fais les choses pour te faire plaisir à toi, et pas du tout portée par une maladie foudroyante que tu appelles l'Amour. Non, non, non, je peux te le garantir, t'es pas malade du tout, t'es même vachement maline, je t'adore papounette. Je connais la vie. Je sais que les gens doivent défendre leurs intérêts, ou pour survivre, ou pour profiter de la vie, madame papou. Je comprends parfaitement. Tu es très logique. C'est bien. J'aime bien quand c'est logique.
Je sais très bien que tu veux te rassurer, que tu veux être garantie de pouvoir compter sur moi chaque fois que la situation te dépasse, chaque fois que tu l'auras décidé.
Allez, fais bécots, t'as une chance de ouf, tu as dégoté le clébard le plus intelligent de la planète.
Et pas feignant.
Le lendemain, sur le pas de sa porte, j'avais entassé trois stères de bâtons (une corde, c'est ça, tiens ? vous dormez pas encore ?) et milles pages enflammés. Non mais, t'as vu la bête ? Tu me lances un bâton, je t'en ramène une corde, plus fort que Jésus.
J'ai l'habitude. Maintenant, je commence à sentir quand je merde, c'est toujours quand j'en fais des tonnes. Je finis d'accumonceler mes branches, quand je suis parti on ne m'arrête plus tant que je n'ai pas fini, mais je sens bien qu'il y a un truc qui ne va pas, je merde, ça c'est sur, mais je ne vois pas pourquoi. Mais je merde, je le sens bien. Ce n'est peut-être pas des bâtons qu'elle voulait. Ni des merveilleuses lettre d'amour.
Non, si ça se trouve, tout ce dont elle avait besoin c'est de savoir que si elle me dit « va me chercher un litre de demi-écrémé », je ne lui ramène pas un litre de lait entier.
Ce qui n'est pas logique. Le lait de la vache, les industriels en extraient les composants, puis les réinjectent en proportion variable. Moins ils en mettent, plus ils peuvent utiliser ce qui reste pour produire d'autres produits laitiers. La super arnaque c'est de vendre du lait demi-écrémé au même prix que du lait entier. Et d'exciter la demande des consommatrices en leur faisant miroiter l'effet magique sur la prise de poids du lait « allégé ». Et dés qu'il s'agit du poids de ces dames, on touche au sacré.
Mais moi je suis super intelligent, je ramène une bouteille de lait entier, il suffit de rajouter de l'eau pour le diluer. Vi, mais c'est pas du demi-écrémé magique qui fait pas prendre du poids. C'est du entier qui fait prendre du poids, avec de la flotte dedans, ce qui est dégueu.
Je le sens bien, j'ai encore merdé.
Plus je veux faire mon malin, plus je déplais.
Elle m'a dit du demi-écrémé, elle veut du demi-écrémé.
Faich, c'est pas logique, ce que ça peut m'énerver quand c'est pas logique.
Il y a des jours où je me demande si ce n'est pas indispensable de dresser un mec pour le supporter à la maison. Faut qu'il arrête de vouloir décrocher la lune, qu'est-ce que tu veux que j'en foute de sa lune ? Faut qu'il arrête de penser, il me saoule, quand je n'ai vraiment pas le temps de passer au Super-U pour faire les courses, une fois de temps en temps c'est quand même pas trop demander, au lieu de faire le malin il pourrait pas, une fois, rien qu'une fois, faire ce que je lui demande ?
Cette manie des mecs de toujours vouloir tout comprendre ! mais on te demande pas de comprendre, on te demande du demi-écrémé ! Mais t'es vraiment trop con, ma mère me l'avait bien dit, j'aurais du l'écouter.
Vi, vivivivivi, vi, et pourtant, c'est pas logique.
Moi je croyais rehausser ma valeur à ses yeux en ne me faisant pas avoir avec le bâton resté dans sa main. 'tain, t'as vu, c'est pas un idiot monsieur papou, il a l’œil monsieur papou. Il voit bien que tu cherches à tester sa vigilance avec l'Amour et le bâton. Tiens, si tu veux, je peux te détailler toutes les fois où tu fais les choses pour te faire plaisir à toi, et pas du tout portée par une maladie foudroyante que tu appelles l'Amour. Non, non, non, je peux te le garantir, t'es pas malade du tout, t'es même vachement maline, je t'adore papounette. Je connais la vie. Je sais que les gens doivent défendre leurs intérêts, ou pour survivre, ou pour profiter de la vie, madame papou. Je comprends parfaitement. Tu es très logique. C'est bien. J'aime bien quand c'est logique.
Je sais très bien que tu veux te rassurer, que tu veux être garantie de pouvoir compter sur moi chaque fois que la situation te dépasse, chaque fois que tu l'auras décidé.
Allez, fais bécots, t'as une chance de ouf, tu as dégoté le clébard le plus intelligent de la planète.
Et pas feignant.
Le lendemain, sur le pas de sa porte, j'avais entassé trois stères de bâtons (une corde, c'est ça, tiens ? vous dormez pas encore ?) et milles pages enflammés. Non mais, t'as vu la bête ? Tu me lances un bâton, je t'en ramène une corde, plus fort que Jésus.
J'ai l'habitude. Maintenant, je commence à sentir quand je merde, c'est toujours quand j'en fais des tonnes. Je finis d'accumonceler mes branches, quand je suis parti on ne m'arrête plus tant que je n'ai pas fini, mais je sens bien qu'il y a un truc qui ne va pas, je merde, ça c'est sur, mais je ne vois pas pourquoi. Mais je merde, je le sens bien. Ce n'est peut-être pas des bâtons qu'elle voulait. Ni des merveilleuses lettre d'amour.
Non, si ça se trouve, tout ce dont elle avait besoin c'est de savoir que si elle me dit « va me chercher un litre de demi-écrémé », je ne lui ramène pas un litre de lait entier.
Ce qui n'est pas logique. Le lait de la vache, les industriels en extraient les composants, puis les réinjectent en proportion variable. Moins ils en mettent, plus ils peuvent utiliser ce qui reste pour produire d'autres produits laitiers. La super arnaque c'est de vendre du lait demi-écrémé au même prix que du lait entier. Et d'exciter la demande des consommatrices en leur faisant miroiter l'effet magique sur la prise de poids du lait « allégé ». Et dés qu'il s'agit du poids de ces dames, on touche au sacré.
Mais moi je suis super intelligent, je ramène une bouteille de lait entier, il suffit de rajouter de l'eau pour le diluer. Vi, mais c'est pas du demi-écrémé magique qui fait pas prendre du poids. C'est du entier qui fait prendre du poids, avec de la flotte dedans, ce qui est dégueu.
Je le sens bien, j'ai encore merdé.
Plus je veux faire mon malin, plus je déplais.
Elle m'a dit du demi-écrémé, elle veut du demi-écrémé.
Faich, c'est pas logique, ce que ça peut m'énerver quand c'est pas logique.
Il y a des jours où je me demande si ce n'est pas indispensable de dresser un mec pour le supporter à la maison. Faut qu'il arrête de vouloir décrocher la lune, qu'est-ce que tu veux que j'en foute de sa lune ? Faut qu'il arrête de penser, il me saoule, quand je n'ai vraiment pas le temps de passer au Super-U pour faire les courses, une fois de temps en temps c'est quand même pas trop demander, au lieu de faire le malin il pourrait pas, une fois, rien qu'une fois, faire ce que je lui demande ?
Cette manie des mecs de toujours vouloir tout comprendre ! mais on te demande pas de comprendre, on te demande du demi-écrémé ! Mais t'es vraiment trop con, ma mère me l'avait bien dit, j'aurais du l'écouter.
Vi, vivivivivi, vi, et pourtant, c'est pas logique.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tiens, faudra que j'essaye de lui parler de l'angoisse de la mort pour voir si elle percute. Si ça se trouve, elle ne le fait pas exprès de ne pas être logique, elle a sa logique qui lui suffit amplement.
Va savoir.
Elle fait juste semblant de participer, c'est possible, juste pour faire sa maligne, juste pour dire de ne pas rester dans sa cuisine, juste pour dire que sa logique vaut bien ma logique.
Un jour d'abandon existentiel, en phase de pré-suicide, je tenterais de lui tendre un piège pour voir sa réaction. Ma puce bleue, mon amour, il n'existe pas ta logique ou ma logique. Quand c'est logique, c'est juste logique, c'est tout, peu importe qui l'exprime.
Je vais peut-être attendre un peu, je la connais, les représailles s'annoncent saignantes. Déjà qu'elle ne supporte pas que MA logique prétendre surpasser la sienne, si en plus je lui ramène une maîtresse à la maison, ça va chier des bulles.
- Pi d'abord, je la connais pas cette salope, c'est qui cette Logique ? Elle suce mieux que moi, non mais va-z-y, exprime-toi, qu'est-ce que tu lui trouves de plus que moi à cette garce.
- Non, chérie, non, pas les dents, pas les dents, rien, je lui trouve rien, c'est juste qu'elle est... logique. Mais je te jure qu'on a jamais couché ensemble, je n'aime que toi bibiche.
Clébard, Aspie et Lâche. Je vais peut-être arrêter pour aujourd'hui, je fatigue moi.
Va savoir.
Elle fait juste semblant de participer, c'est possible, juste pour faire sa maligne, juste pour dire de ne pas rester dans sa cuisine, juste pour dire que sa logique vaut bien ma logique.
Un jour d'abandon existentiel, en phase de pré-suicide, je tenterais de lui tendre un piège pour voir sa réaction. Ma puce bleue, mon amour, il n'existe pas ta logique ou ma logique. Quand c'est logique, c'est juste logique, c'est tout, peu importe qui l'exprime.
Je vais peut-être attendre un peu, je la connais, les représailles s'annoncent saignantes. Déjà qu'elle ne supporte pas que MA logique prétendre surpasser la sienne, si en plus je lui ramène une maîtresse à la maison, ça va chier des bulles.
- Pi d'abord, je la connais pas cette salope, c'est qui cette Logique ? Elle suce mieux que moi, non mais va-z-y, exprime-toi, qu'est-ce que tu lui trouves de plus que moi à cette garce.
- Non, chérie, non, pas les dents, pas les dents, rien, je lui trouve rien, c'est juste qu'elle est... logique. Mais je te jure qu'on a jamais couché ensemble, je n'aime que toi bibiche.
Clébard, Aspie et Lâche. Je vais peut-être arrêter pour aujourd'hui, je fatigue moi.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
" je n'écarte aucune... Je penserais plutôt que, pour la plupart des femmes, ça ne leur fait pas grand-chose"
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
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ou-est-la-question- Messages : 8075
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
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ou-est-la-question- Messages : 8075
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je trouve que ce que nu dis n°6 e'st super juste : on fait les choses parce qu'on y trouve une satisfaction, même quand on est une femme (ce qui est mon cas)
Cette satisfaction peut être de plaire, d'avoir de la tendresse, etc...
Il n'y a rien de mal à cela et je trouve que les femmes devraient plus assumer que c'est ce qu'elles font, cela leur éviterait de passer de temps à autres pour des soumises : ce sont elles (moi) qui font le choix de ce qu'on fait.
Merci de ta réflexion qui m' a bien nourrie.
Cette satisfaction peut être de plaire, d'avoir de la tendresse, etc...
Il n'y a rien de mal à cela et je trouve que les femmes devraient plus assumer que c'est ce qu'elles font, cela leur éviterait de passer de temps à autres pour des soumises : ce sont elles (moi) qui font le choix de ce qu'on fait.
Merci de ta réflexion qui m' a bien nourrie.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ma compagne est une fée du logis et non une fée du logique.
Et non, elle n'est pas une petite chose fragile, comédienne oui.
Et non, elle n'est pas une petite chose fragile, comédienne oui.
Invité- Invité
Conjugaison
où-est-la-question a écrit:il y a la logique (la science) vers laquelle tend généralement la logique masculine pis la logique féminine
c'est un vrai tricotin qu'il faudrait détricoter pour piger
mais la femme , elle , elle se comprend
et bien si ce que dit une femme lui parait logique c'est évident pour elle aussi
et là on place la logique non plus dans un domaine se rapprochant des sciences exactes
mais dans un domaine un peu flou , très flou même , car une évidence ça s'impose à l'esprit sans avoir besoin de preuve
Les femmes se comprennent entre elles, les hommes entre eux, ce qui paraît logique des femmes pour elles équivaut à ce qui paraît logique chez les hommes pour eux...
Ce qui est du tricotin à mon avis c'est quand on cherche à faire correspondre l'autre à sa logique propre . Ma logique c'est la mienne que je sois homme ou femme (ou les 2)
Ma logique est ce qui me fait du bien
Ta logique est ce qui te fait du bien
Sa logique est ce qui lui fait du bien
Notre logique est celle qui nous fait du bien
Votre logique est celle qui vous fait du bien
Leur logique est celle qui leur fait du bien...
Comme ça, c'est dit !
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La logique c'est la logique non ?
Si A implique B et B implique C, alors A implique C ...
J'en connais pas d'autre moi.
EDIT : au temps pour moi, j'avais oublié Bergson ...
Si A implique B et B implique C, alors A implique C ...
J'en connais pas d'autre moi.
EDIT : au temps pour moi, j'avais oublié Bergson ...
Dernière édition par Mily le Mar 5 Jan 2016 - 22:19, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily, tu es bien certaine d'être une femme ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si A nique B et B nique C, alors je ne suis pas sûr que A nique C...
J'en connais d'autres...
PS : Je ne suis pas sûr d'être un homme.
J'en connais d'autres...
PS : Je ne suis pas sûr d'être un homme.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nan mais j'ai fait des maths, pis une école d'ingé et tout, c'est pour ça, ça a tout déformé mes capacités naturelles.
Mais ça m'arrive de faire des trucs pas logiques parfois, comme d'oublier les règles élémentaires de colorimétrie quand je choisis la couleur de mon vernis.
Sinon je le redis, y'a Bergson et sa logique de l'intuition, c'est bon, ça marche ça. Ca y est je recale le gyrocompas, j'ai retrouvé le cap, pas la peine de sortir le sex-tant, logique féminine et masculine c'est good les filles ...
Mais ça m'arrive de faire des trucs pas logiques parfois, comme d'oublier les règles élémentaires de colorimétrie quand je choisis la couleur de mon vernis.
Sinon je le redis, y'a Bergson et sa logique de l'intuition, c'est bon, ça marche ça. Ca y est je recale le gyrocompas, j'ai retrouvé le cap, pas la peine de sortir le sex-tant, logique féminine et masculine c'est good les filles ...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:
Mais ça m'arrive de faire des trucs pas logiques parfois, comme d'oublier les règles ...
Jamais oublier ses règles. Jamais.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
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Localisation : 59
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Gabriel a écrit:
Jamais oublier ses règles. Jamais.
Tu peux préciser siteuplé suis pas sûre de comprendre...
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
adelaidelechat a écrit:Gabriel a écrit:
Jamais oublier ses règles. Jamais.
Tu peux préciser siteuplé suis pas sûre de comprendre...
Comme dit mon père : « il y a des erreurs de calcul qui coûtent cher ». J'ai compris vers 15 ans. C'est pas précoce un garçon précoce...
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Gabriel a écrit:Mily a écrit:
Mais ça m'arrive de faire des trucs pas logiques parfois, comme d'oublier les règles ...
Jamais oublier ses règles. Jamais.
Ah mais moi, tant qu'elles ne m'oublient pas, tout va bien ...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie
François Truffaut ne faisait pas que des mauvais films, il écrivait mal, aussi.
Ingénieurs, règles, j'avais l'image du compas avec la ficelle au milieu.
François Truffaut ne faisait pas que des mauvais films, il écrivait mal, aussi.
Ingénieurs, règles, j'avais l'image du compas avec la ficelle au milieu.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je t'ai toujours imaginé dans le rôle du maitre du donjon quand je voyais ce film...
- Spoiler:
- Bernard Giraudeau
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu l'aimes toujours autant cette vidéo ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'trouve qu'il y a une candeur et une fraicheur dedans...
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comment fais-tu ??
Comment fais-tu pour distinguer la logique féminine de la logique masculine ? Mais alloooo quoi ! C'est comme séparer le blanc et le jaune d'oeuf. D'une simplicité enfantine pour les uns, une prouesse pour moi. Pourquoi au final y a t-il toujours un bout de coquiiiiilleeeee ?
Quand il s'agit de donner une réponse précise, je merde à tous les coups. Tu me donnes la devinette la plus simple au monde, je vais trouver le moyen de n'avoir aucune réponse, même pas une fausse !!
Alors oui, je bave de plaisir quand je lis "séparation". Je suis toute excitée quand une personne me donne "la réponse". Je suis une femme et incapable de vous dire ce qu'est une femme car c'est une réponse que je n'ai pas.
Comment fais-tu pour distinguer la logique féminine de la logique masculine ? Mais alloooo quoi ! C'est comme séparer le blanc et le jaune d'oeuf. D'une simplicité enfantine pour les uns, une prouesse pour moi. Pourquoi au final y a t-il toujours un bout de coquiiiiilleeeee ?
Quand il s'agit de donner une réponse précise, je merde à tous les coups. Tu me donnes la devinette la plus simple au monde, je vais trouver le moyen de n'avoir aucune réponse, même pas une fausse !!
Alors oui, je bave de plaisir quand je lis "séparation". Je suis toute excitée quand une personne me donne "la réponse". Je suis une femme et incapable de vous dire ce qu'est une femme car c'est une réponse que je n'ai pas.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
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ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...
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ou-est-la-question- Messages : 8075
Date d'inscription : 27/07/2012
Age : 67
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
elle est où légalité dans tout ça ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
08h00 du mat' je fais ma
http://www.bigakukai.jp/aesthetics_online/aesthetics_13/text/text13_taki.pdf
Je n'adhère pas totalement avec la distinction instinct VS intelligence. L'instinct est pour moi une forme d'intelligence. Je dirais plutôt instinct et déduction peut-être. Mais on comprend l'idée globale.
Alors je suis pas sûre d'avoir tout compris du premier coup, mais j'ai l'impression que ce que Bergson décrit, ce sont deux façons de traiter les informations.
Par exemple, lorsque l'on pose la question pourquoi ? on peut obtenir deux types de réponse :
Pourquoi = quel est le but OU pourquoi = quelle est la cause.
Voilà ce qui va se passer OU voilà ce qui s'est passé .
Nous avons tous un peu des deux, et nous les utilisons de façon complémentaires. Peut-être que chez certaines personnes, on va retrouver plus l'une que l'autre.
Si vous avez rien compris, ou que vous avez compris mais que ça vous parait pas juste, 2 possibilités
http://www.bigakukai.jp/aesthetics_online/aesthetics_13/text/text13_taki.pdf
Si l’instinct et l’intelligence peuvent se compléter ici sans se nier l’un l’autre, c’est qu’ils s’opposent ontiquement (comme dans le cas des deux sexes) et ne sont pas contradictoires logiquement. Leur complémentarité est assurée par le fait que l’instinct et l’intelligence divergent de « la vie, [leur] origine commune » et par une sorte de finalisme renversé où l’unité de la nature fondée par leur communauté d’origine remet la cause finale au passé et non pas au futur.
Je n'adhère pas totalement avec la distinction instinct VS intelligence. L'instinct est pour moi une forme d'intelligence. Je dirais plutôt instinct et déduction peut-être. Mais on comprend l'idée globale.
Bergson définit l’« imagination » comme « la faculté de nous représenter les choses par le dehors et selon les lois de la simple analogie » (28) et l’« entendement » comme « la faculté qui établit des rapports abstraits, s’ingénie non pas à voir, mais à comprendre, et recherche non plus des rapports de simple analogie mais des rapports logiques pouvant servir de fil conducteur à une déduction »
Bergson propose de « combiner ensemble » les deux doctrines, le mécanisme (doctrine de la quantité, de la nécessité et de la causalité) et le dynamisme (doctrine de la qualité, de la contingence et de la finalité)
Alors je suis pas sûre d'avoir tout compris du premier coup, mais j'ai l'impression que ce que Bergson décrit, ce sont deux façons de traiter les informations.
Par exemple, lorsque l'on pose la question pourquoi ? on peut obtenir deux types de réponse :
Pourquoi = quel est le but OU pourquoi = quelle est la cause.
Voilà ce qui va se passer OU voilà ce qui s'est passé .
Nous avons tous un peu des deux, et nous les utilisons de façon complémentaires. Peut-être que chez certaines personnes, on va retrouver plus l'une que l'autre.
- Anologie mathématique:
- pour faire le lien entre plusieurs données (des expériences par exemple), j'ai tendance à rechercher le plus grand commun diviseur, le point commun, pour établir une règle. D'autres vont utiliser ces données comme base pour créer d'autres possibilités par analogie.
Si vous avez rien compris, ou que vous avez compris mais que ça vous parait pas juste, 2 possibilités
- Si vous êtes une femme:
- A force de travailler avec des hommes, ils m'ont contaminée
- Si vous êtes un homme:
- C'est parce que je suis une femme
- 3ème possibilité:
- Je ne suis pas la bonne personne pour causer philo surtout à 8h du mat
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est la parade du castor ça Mily !!
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sachant qu'un condamné à mort n'apprécie jamais son dernier repas, je me demande si connaître l'avenir à du bon finalement.
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
Les mèches qui s'échappent de ton chignon font partie des deux choses les plus importantes au monde, avec la gare de Perpignan.
Dernière édition par Numero6 le Mer 9 Jan 2013 - 12:40, édité 1 fois (Raison : J'oublie un accord et personne ne dit rien, vous baissez les gars, vous baissez.)
Je suis une tartine de vieux pain, beurrée, sur son coulis de framboise.
Numero6 a écrit: Si je n'ai pas humer les effluves de la peau, effleurer la finesse du grain de la peau, synchronisé la vitesse des gestes, écarter tout signe de rage dans le regard, capter...
Apart from the varying level of difficulty of the questions, also the type of reasoning needed to come up with the right answers varies between questions. Convergent thinking can solve most of the questions 1-11, while the questions 12-20 require more complex convergent thinking as well as some elemental divergent thinking. In going from question 21 to question 28, the proportion of divergent thinking needed increases progressively, and from question 29 onwards, powerful convergent and divergent thinking is necessary. Only highly inventive people with strong logical reasoning power may score high on TST.
As for the preliminary norms, we estimate that a person of normal intelligence would get 4 or 5 questions right. An average academic with a Bachelor’s degree would be able to answer 9 or 10 questions correctly. An academic with a Master’s degree would get 13 or 14 right and could become a subscriber to Sigma III. Members of Mensa would, on average, get 16 or 17 right and would meet the admission criteria for members of the Sigma Society. An average Doctor of some of the Exact Sciences would be expected to get 18 or 19 right. Based on the work of Dr. Catherine Cox, we may estimate that:
Men of Noteworthy Talent:
Napoleon or George Washington would achieve a raw score of about 20
Rousseau or Lincoln would get 23 right (and would qualify for membership in Sigma III)
As for the preliminary norms, we estimate that a person of normal intelligence would get 4 or 5 questions right. An average academic with a Bachelor’s degree would be able to answer 9 or 10 questions correctly. An academic with a Master’s degree would get 13 or 14 right and could become a subscriber to Sigma III. Members of Mensa would, on average, get 16 or 17 right and would meet the admission criteria for members of the Sigma Society. An average Doctor of some of the Exact Sciences would be expected to get 18 or 19 right. Based on the work of Dr. Catherine Cox, we may estimate that:
Men of Noteworthy Talent:
Napoleon or George Washington would achieve a raw score of about 20
Rousseau or Lincoln would get 23 right (and would qualify for membership in Sigma III)
Geniuses:
Swift, Rembrandt, La Fontaine, Cervantes or Balzac would get 25 right
Molière, Lamartine, Benjamin Franklin or Copernicus would get 26 or 27 right
Beethoven, Darwin, Montaigne, Mendelssohn, Watt or Diderot would get 28 or 29 right
(Sigma IV)
Luther, Lavoisier, Raphael or Alexander Dumas would get 30 right
Great Geniuses: Swift, Rembrandt, La Fontaine, Cervantes or Balzac would get 25 right
Molière, Lamartine, Benjamin Franklin or Copernicus would get 26 or 27 right
Beethoven, Darwin, Montaigne, Mendelssohn, Watt or Diderot would get 28 or 29 right
(Sigma IV)
Luther, Lavoisier, Raphael or Alexander Dumas would get 30 right
Kant, Kepler or Spinoza would get 31 or 32 right
Descartes, Michelangelo, Victor Hugo, Dickens, Musset or Byron would get 33 right
(and would qualify for Sigma V)
Newton, Voltaire or Galileo would get 34 right
Universal Geniuses:
Da Vinci, Pascal or Leibniz could get a raw score of 35. (Note: Da Vinci’s IQ was estimated by Cox at 180, but it was surely higher than that, possibly close to 200)
Da Vinci, Pascal or Leibniz could get a raw score of 35. (Note: Da Vinci’s IQ was estimated by Cox at 180, but it was surely higher than that, possibly close to 200)
C'est sûr que ça fait envie. Rien que la rigueur du discours a quelque chose de fascinant.
Je vais rester une tartine, merci bien.
Un homme arabe et une femme israélienne sont enlevés par des extraterrestres. Les E.Ts. promettent de les ramener indemnes sur Terre s·ils sont capables d·accomplir la tâche suivante: il y a trois salles, désignées A, B et C. Chaque salle est carrée et a approximativement 25m2. Les salles sont construites de manière que chacune possède deux portes, et que chacune de ces portes donne accès à une des deux autres salles. Les trois salles sont acoustiquement isolées, et elles ne possèdent pas de meubles ni de fenêtres. Les murs, les portes, le plafond et le sol sont rigides et opaques et n·ont pas de fentes, trous, passages secrets ou de choses pareilles. On place l·homme dans la salle A et la femme dans la salle B. Ils reçoivent ces instructions :
1 - Les deux auront un délai d· 1 heure pour parcourir les trois salles et retourner à la salle d·origine, en marchant toujours dans le sens A-B-C-A.
2 - Les deux devront rester assis, sur le sol, au centre de leur salle respective, jusqu·à ce que un signal soit émis, indiquant le commencement du decompte du temps. Le signal consistera en ceci: dans chaque porte il y aura deux lampes (une de chaque côté de la porte), et le signal sera donné quand toutes ces lampes s·allumeront presque simultanément. Chaque lampe sera suffisamment lumineuse pour qu·elle puisse être facilement remarquée, même si on n·était pas en train de faire attention à elle.
3 - Au moment où la femme touchera le bouton de la porte d·une salle, l·homme ne pourra plus être dans cette salle-là.
4 - Au moment où l·homme touchera le bouton de la porte d·une salle, la femme ne pourra plus être dans cette salle-là.
5 - La femme devra se lever après l·homme.
6 - L·homme et la femme ne pourront établir aucun genre de communication ou obtenir de quelqu·un d·autre de l·information permettant à l·un d·entre eux de savoir où se trouve l·autre. Ils ne pourront pas battre les murs et les portes ou essayer de produire une quelconque onde de choc. En sortant d·une salle et en entrant dans une autre, il faudra fermer la porte correspondante. D·abord toutes les portes seront fermées. Deux ou plus de deux portes ne peuvent pas rester ouvertes simultanément.
7 - Ni l·un ni l·autre n·aura une montre ou n·importe quel autre instrument qui lui permette de déterminer l·écoulement du temps.
8 · À 1 minute de la fin, le signal lumineux sera donné de nouveau, indiquant que le délai sera bientôt fini.
9 - Quand le délai de 1 heure sera atteint, l·homme devra se trouver assis au centre de la salle A et la femme devra se trouver assise au centre de la salle B.
10 - La femme devra s´asseoir après l·homme.
11 - L·homme est informé que la femme est exceptionnellement intelligente.
12 - La femme est informée que l·homme est exceptionnellement intelligent.
L·homme et la femme ne se connaissaient pas auparavant, ils n·avaient jamais été en contact auparavant, et ils sont restés privés de communications pendant tout le processus (pour rendre l·énoncé plus clair, disons que les deux étaient sourds et muets). L·expérience est répétée 10 fois et chaque fois ils réussissent à accomplir la tâche avec succès. Il est donc clair que leur succès n·est pas dû à la chance. Alors ils sont retournés sur Terre, ils se sont convertis au zoroastrisme, ils se sont mariés et ils vivent toujours heureux! Décrivez le procédé qu·ils utilisent et la pensée de chacun.
L'Homme : "putain ces instructions sont pas claires".
Duas ou mais portas não podem ficar abertas simultaneamente.
La Femme : "mon dieu, mais quelle bande d'abrutis".
H : bon pour se lever, et s'assoir, pas de problème, y a des signaux, mais pour changer de pièce ... si seulement les instructions étaient claires !!
F : mais qu'est ce que c'est que ces instructions merdiques ?
H : il suffit que je me lève en premier, donc instantanément après le signal, elle aura qu'a se démerder pour se lever après. Les hommes d'abord chérie.
F : je me demande si ils ont voulu dire que les portes ne peuvent pas être ouvertes simultanément, ou si c'est une interdiction qu'on nous fait à nous, de ne pas les ouvrir simultanément !
H : pour m'asseoir, je vais devoir compter sur le fait qu'elle va me laisser un petit délai une foi que le signal sera donné, ensuite j'ai une minute. Si elle compte mettons jusqu'a 30 battement de coeur, ou respirations modérement rapides, ça devrait me laisser amplement le temps de m'asseoir, tout en permettant une marge de manoeuvre adéquate pour s'asseoir avant la minute fatale.
F : Du coup si une porte ne peut pas être ouverte tant qu'une autre porte est déjà ouverte, on peut employer ça pour envoyer de l'information !! Ca va simplifier les choses
H : Bon, je dois attendre qu'elle soit sortie, pour pouvoir appuyer sur le bouton et passer dans sa salle. Comment faire ? Faudrait un moyen de mesurer le temps ... mmm .. a part la taille des pièce, on a pas tellement de moyen de mesurer le temps. Et surtout pas de moyen commun de mesurer ça. Toute communication est impossible .. donc la taille de la pièce doit nous servir à quelque chose. On pourrait en faire le tour ... ou plusieurs tours .... est ce que si on fait un tour ça fonctionne ? Je dois attendre que la femme se casse, avant d'agir, peut être que si je fais un tour de la pièce, ça lui laisse largement le temps de franchir sa porte. Elle fera sans doute un tour elle aussi, pour introduire un délai dans son mouvement, et garantir ainsi que j'ai eu le temps de sortir de ma pièce.
F : du coup, il faut que je passe dans la pièce voisine immédiatement après m'être levée, en lui laissant juste assez de temps pour qu'il se lève entre le signal, et le moment où je me lève, ensuite je franchis vite la porte, comme ça, c'est fait
H : du coup H-A F-B, H fait un tour de A, F-C, femme fait un tour de C, avec un temps de retard sur l'homme, qui est le délai initial qu'elle a laissé avant de se lever? Idéalement, il faudrait qu'on fasse le tour de la pièce dans un temps à peu près semblable. Le mieux serait de tenter de normaliser nos pas, autant que possible. Au plus simple. Disons un pas par seconde, avec une longueur de 1 mètre par pas, donc 25 secondes. Mettons.
F : si j'essaye d'utiliser la non concomitance de l'ouverture des portes pour passer un message, et qu'en fait c'était interdit, je vais mettre tout le monde dans la merde, et on va encore dire que c'est la faute d'Israel. Le problème c'est de savoir combien de temps je dois attendre avant d'ouvrir la porte de C ... mmm .. le seul point saillant c'est ce 25 dans l'énoncé. Et on a qu'une heure ... je suis assez douée en musique, et compter 25 secondes, ça doit être faisable... je présume que l'homme d'une manière ou d'une autre va choisir aussi un délai de 25 seconde comme standard ... il va se lever immédiatement, puis attendre 25 secondes environs ... il faut donc que je me lève idéalement après 12.5 secondes, pour maximiser notre marge.
H : En ce cas, après 25 seconde environs, j'ouvre la porte. Si tout se passe bien, je compte à nouveau 25 secondes, avant d'ouvrir la seconde porte. Puis 25 secondes avant la troisième. Au pire, sur 55 secondes, je ne devrais pas me planter de plus de 10 secondes ... c'est certes un peu juste, mais plus on va allonger l'interval de temps, plus le risque est elevé, donc il va falloir faire avec. Je me lève immédiatement, et je lui laisse 25 putains de secondes par salle, et si elle choisis le même interval, alors je me converti au zoroastrisme.
F : Donc je compte 12 secondes, puis je change de salle, et je compte 25 secondes ensuite avant de changer de salle. En tout cas si ça fonctionne, et que ces cons d'extraterrestres en plus de vouloir importer le conflit israelo palestinien dans l'espace décident de nous refaire le test 10 fois de suite, je reste sur le même protocole exactement ! Y a des fortes chances qu'étant "suprêmement intelligent", et même en étant arabe il trouve un moyen de mesurer les secondes, et déduisent que 25 seconde est la durée naturelle d'attente, vers laquelle on devra tendre. Au niveau de la précision, ça fait être un peu chaud, s'il n'est pas entrainé, mais la moitié fait 12, ce qui sera donc notre marge, ça devrait aller ...
H : Bon ben y a plus qu'a attendre le bon vouloir de ces braves gens quoi. Mm, à la fin y a délai d'une minute ... la moitié étant 30 secondes ça me conforte dans cette idée que 25 seconde est une durée raisonnable pour la temporisation. Si elle choisis 30, ça va être chaud les marrons ... il vaut peut être mieux que je prenne 30, et que je présume qu'elle va prendre soit 25, soit 30 ...
H0 : lève F:15: --> C / H:30 : --> B / F 40 A / H 60 C / F 65 B / H 90 C /
Bon c'est juste, mais ça passe, il vaut donc mieux que je choisisse 30.
F : j'hésite quand même entre 25 et entre 30 secondes, mais de toute façon, même si lui choisis 30, ça nous laisse encore une marge 5 secondes tranquille. Je sais mesurer un interval de 25 ou 30 secondes pratiquement sans erreur mesurable, car je suis une sur-femme. Donc je reste sur 25.
H : à la grâce de Jesus Maris Joseph.
F : Bon, une foi le signal lumineux de fin, il va s'asseoir immédiatement, et j'aurais 1 minute pour le suivre. Idéalement il faudrait que je laisse une marge, 25 secondes, si on en arrive là, ça sera mon chiffre porte bonheur à l'avenir ! Et si on s'en sort, je lui propose de m'épouse. Mais pas question que je me convertisse à l'Islam en tout cas ! De toute façon je suis fille unique, donc l'unique héritière de ma famille. Avec un peu de chance il est issus d'un riche famille aussi.
H : Putain remettre mon destin entre les mains d'une femme Israélienne, ils ont le sens de l'ironie ces êtres inconnus venus d'ailleurs.
F: A moi l'héritage !
fragmentation- Messages : 146
Date d'inscription : 05/09/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Lyrics:
- Que je vous aime.
Regardez, je commence à être saoule et je bégaie et c'est absolument horrible, parce que ce que je dis je le pense réellement. Et je pourrais rester tout le temps avec vous tellement je suis heureuse. Je me sens aimée par vous deux.
...Et l'autre qui me regarde avec les yeux en couilles de mites, d'un air sournois, en pensant : oui ma petite, tu peux toujours causer, mais je t'aurai.
Je vous en prie Alexandre, je ne joue pas la comédie. Mais qu'est-ce que vous croyez...
...Pour moi il n'y a pas de putes. Pour moi, une fille qui se fait baiser par n'importe qui, qui se fait baiser n'importe comment, n'est pas une pute. Pour moi il n'y a pas de putes, c'est tout. Tu peux sucer n'importe qui, tu peux te faire baiser par n'importe qui, tu n'es pas une pute.
Il n'y a pas de putes sur terre, putain comprends-le. Et tu le comprends certainement.
La femme qui est mariée et qui est heureuse et qui rêve de se faire baiser par je ne sais qui, par le patron de son mari, ou par je ne sais quel acteur merdique, ou par son crémier ou par son plombier... Est-ce que c'est une pute? Il n'y a pas de putes. Y a que des cons, y a que des sexes. Qu'est-ce que tu crois. Ce n'est pas triste, hein, c'est super gai.
...Et je me fais baiser par n'importe qui, et on me baise et je prends mon pied.
...Pourquoi est-ce que vous accordez autant d'importance aux histoires de cul?
Le sexe...
Tu me baises bien. Ah! comme je t'aime.
Il n'y a que toi pour me baiser comme ça. Comme les gens peuvent se leurrer. Comme ils peuvent croire. Il n'y a qu'un toi, il n'y a qu'un moi. Il n'y que toi pour me baiser comme ça. Il n'y a que moi pour être baisée comme ça par toi.
...Quelle chose amusante. Quelle chose horrible et sordide. Mais putain, quelle chose sordide et horrible.
Si vous saviez comme je peux vous aimer tous les deux. Et comme ça peut être indépendant d'une histoire de cul. Je me suis fait dépuceler récemment, à vingt ans. Dix-neuf, vingt ans. Quelle chose récente. Et après, j'ai pris un maximum d'amants.
Et je me suis fait baiser. Et je suis peut-être une malade chronique... le baisage chronique. Et pourtant le baisage j'en ai rien à foutre.
Me faire encloquer, ça me ferait chier un maximum hein! Là, j'ai un tampax dans le cul, pour me le faire enlever et pour me faire baiser, il faudrait faire un maximum. Il faudrait faire un maximum. Il faudrait m'exciter un maximum. Rien à foutre.
Si les gens pouvaient piger une seule fois pour toutes que baiser c'est de la merde.
Qu'il n'y a une seule chose très belle: c'est baiser parce qu'on s'aime tellement qu'on voudrait avoir un enfant qui nous ressemble et qu'autrement c'est quelque chose de sordide...
...Il ne faut baiser que quand on s'aime vraiment.
Et je ne suis pas saoule... si je pleure... Je pleure sur toute ma vie passée, ma vie sexuelle passée, qui est si courte. Cinq ans de vie sexuelle, c'est très peu. Tu vois, Marie, je te parle parce que je t'aime beaucoup.
Tant d'hommes m'ont baisée.
On m'a désirée parce que j'avais un gros cul qui peut être éventuellement désirable. J'ai de très jolis seins qui sont très désirables. Ma bouche n'est pas mal non plus. Quand mes yeux sont maquillés ils sont pas mal non plus.
Et beaucoup d'hommes m'ont désirée comme ça, tu sais, dans le vide. Et on m'a souvent baisée dans le vide. Je ne dramatise pas, Marie, tu sais. Je ne suis pas saoule.
Et qu'est-ce que tu crois, tu crois que je m'appesantis sur mon sort merdique. Absolument pas.
On me baisait comme une pute. Mais tu sais, je crois qu'un jour un homme viendra et m'aimera et me fera un enfant, parce qu'il m'aimera. Et l'amour n'est valable que quand on a envie de faire un enfant ensemble.
Si on a envie de faire un enfant, on sent qu'on aime. Un couple qui n'a pas envie de faire un enfant n'est pas un couple, c'est une merde, c'est n'importe quoi, c'est une poussière... les super-couples libres...
Tu baises d'un côté chérie, je baise de l'autre. On est super-heureux ensemble. On se retrouve. Comme on est bien. Mais c'est pas un reproche que je fais, au contraire.
Ma tristesse n'est pas un reproche vous savez...
C'est une vieille tristesse qui traîne depuis cinq ans... Vous en avez rien à foutre. Regardez tous les deux, vous allez être bien... Comme vous pouvez être heureux ensemble.
Je vais vous conter une petite histoire ;
« Jadis la nature humaine était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui.
D'abord il y avait trois sortes d'hommes : les deux sexes qui subsistent encore, et un troisième composé de ces deux-là ; il a été détruit, la seule chose qui en reste c'est le nom.
Cet animal formait une espèce particulière et s'appelait androgyne, parce qu'il réunissait le sexe masculin et le sexe féminin ; mais il n'existe plus, et son nom est en opprobre.
En second lieu, tous les hommes présentaient la forme ronde ; ils avaient le dos et les côtes rangés en cercle, quatre bras, quatre jambes, deux visages attachés à un cou orbiculaire, et parfaitement semblables ; une seule tête qui réunissait ces deux visages opposés l'un à l'autre ; quatre oreilles, deux organes de la génération, et le reste dans la même proportion. Ils marchaient tout droit, comme nous, et sans avoir besoin de se tourner pour prendre tous les chemins qu'ils voulaient. Quand ils voulaient aller plus vite, ils s'appuyaient successivement sur leurs huit membres, et s'avançaient rapidement par un mouvement circulaire, comme ceux qui, les pieds en l'air, font la roue. La différence qui se trouve entre ces trois espèces d'hommes vient de la différence de leurs principes.
Le sexe masculin est produit par le soleil, le féminin par la terre ; et celui qui est composé des deux autres par la lune, qui participe de la terre et du soleil.
Ils tenaient de ces principes leur forme et leur manière de se mouvoir, qui est sphérique.
Leurs corps étaient robustes et vigoureux et leurs courages élevés ; ce qui leur inspira l'audace de monter jusqu'au ciel et de combattre contre les dieux, ainsi qu'Homère l'écrit d'Ephialtès et d'Otus, Zeus examina avec les dieux le parti qu'il fallait prendre. L'affaire n'était pas sans difficulté : les dieux ne voulaient pas anéantir les hommes, comme autrefois les géants, en les foudroyant, car alors le culte et les sacrifices que les hommes leur offraient auraient disparu ; mais, d'un autre côté, ils ne pouvaient souffrir une telle insolence.
Enfin, après de longues réflexions, Zeus s'exprima en ces termes : « Je crois avoir trouvé, dit-il, un moyen de conserver les hommes et de les rendre plus retenus, c'est de diminuer leurs forces. Je les séparerai en deux par là, ils deviendront faibles ; et nous aurons encore un autre avantage, ce sera d'augmenter le nombre de ceux qui nous servent : ils marcheront droits, soutenus de deux jambes seulement ; et si, après cette punition, ils conservent leur audace impie et ne veulent pas rester en repos, je les séparerai de nouveau, et ils seront réduits à marcher sur un seul pied, comme ceux qui dansent sur des outres à la fête de Bacchus. »
Après cette déclaration, le dieu fit la séparation qu'il venait de résoudre ; et il la fit de la manière que l'on coupe les oeufs lorsqu'on veut les saler, ou qu'avec un cheveu on les divise en deux parties égales. Il commanda ensuite à Apollon de guérir les plaies, et de placer le visage et la moitié du cou du côté où la séparation avait été faite : afin que la vue de ce châtiment les rendît plus modestes. Apollon mit le visage du côté indiqué, et ramassant les peaux coupées sur ce qu'on appelle aujourd'hui le ventre, il les réunit à la manière d'une bourse que l'on ferme, n'y laissant au milieu qu'une ouverture qu'on appelle nombril. Quant aux autres plis, qui étaient en très-grand nombre, il les polit, et façonna la poitrine avec un instrument semblable à celui dont se servent les cordonniers pour polir le cuir des souliers sur la forme, et laissa seulement quelques plis sur le ventre et le nombril, comme des souvenirs de l'ancien châtiment. Cette division étant faite, chaque moitié cherchait à rencontrer celle dont elle avait été séparée ; et, lorsqu'elles se trouvaient toutes les deux, elles s'embrassaient et se joignaient avec une telle ardeur, dans le désir de rentrer dans leur ancienne unité, qu'elles périssaient dans cet embrassement de faim et d'inaction, ne voulant rien faire l'une sans l'autre. Quand l'une des deux moitiés périssait, celle qui subsistait en cherchait une autre, à laquelle elle s'unissait de nouveau, soit que ce fût la moitié d'une femme entière, ce que nous appelons maintenant une femme, soit que ce fût une moitié d'homme : et ainsi la race allait s'éteignant.
Zeus, ému de pitié, imagine un autre expédient : il met par-devant les organes de la génération, car auparavant ils étaient par derrière : on concevait et l'on répandait la semence, non l'un dans l'autre, mais à terre, comme les cigales. Zeus mit donc les organes par-devant, et, de cette manière, la conception se fit par la conjonction du mâle et de la femelle. Alors si l'union se trouvait avoir lieu entre l'homme et la femme, des enfants en étaient le fruit, et, si le mâle venait à s'unir au mâle, la satiété les séparait bientôt, et les renvoyait à leurs travaux et aux autres soins de la vie.
De là vient l'amour que nous avons naturellement les uns pour les autres : il nous ramène à notre nature primitive, il fait tout pour réunir les deux moitiés et pour nous rétablir dans notre ancienne perfection.
Chacun de nous n'est donc qu'une moitié d'homme qui a été séparée de son tout de la même manière qu'on coupe une sole en deux.
Ces moitiés cherchent toujours leurs moitiés.
Les hommes qui proviennent de la séparation de ces êtres composés qu'on appelait androgynes aiment les femmes ; et la plupart des adultères appartiennent à cette espèce, à laquelle appartiennent aussi les femmes qui aiment les hommes et violent les lois de l'hymen.
Mais les femmes qui proviennent de la séparation des femmes primitives ne font pas grande attention aux hommes, et sont plus portées vers les femmes : à cette espèce appartiennent les tribades. De même, les hommes qui proviennent de la séparation des hommes primitifs recherchent le sexe masculin. Tant qu'ils sont jeunes, ils aiment les hommes : ils se plaisent à coucher avec eux et à être dans leurs bras : ils sont les premiers parmi les adolescents et les adultes, comme étant d'une nature beaucoup plus mâle.
C'est bien à tort qu'on les accuse d'être sans pudeur, car ce n'est pas faute de pudeur qu'ils agissent ainsi ; c'est parce qu'ils ont une âme forte, un courage mâle et un caractère viril qu'ils recherchent leurs semblables : et ce qui le prouve, c'est qu'avec l'âge ils se montrent plus propres que les autres à servir l’État.
Devenus hommes, à leur tour ils aiment les jeunes gens ; et s'ils se marient, s'ils ont des enfants, ce n'est pas que la nature les y porte, c'est que la loi les y contraint.
Ce qu'ils aiment, c'est de passer leur vie les uns avec les autres dans le célibat.
Que les hommes de ce caractère aiment ou soient aimés, leur unique but est de se réunir à qui leur ressemble.
Lorsqu'il arrive à celui qui aime les jeunes gens ou à tout autre de rencontrer sa moitié, la sympathie, l'amitié, l'amour les saisit l'un et l'autre d'une manière si merveilleuse qu'ils ne veulent plus en quelque sorte se séparer, fût-ce pour un moment. Ces mêmes hommes, qui passent toute la vie ensemble, ils ne sauraient dire ce qu'ils veulent l'un de l'autre ; car, s'ils trouvent tant de douceur à vivre de la sorte, il ne paraît pas que les plaisirs des sens en soient la cause. Evidemment leur âme désire quelque autre chose qu'elle ne peut exprimer, mais qu'elle devine et qu'elle donne à entendre.
Et quand ils sont couchés dans les bras l'un de l'autre, si Vulcain, leur apparaissant avec les instruments de son art, leur disait : « O hommes, qu'est-ce que vous demandez réciproquement ? » et que, les voyant hésiter, il continuât à les interroger ainsi : « Ce que vous voulez, n'est-ce pas d'être tellement unis ensemble que ni jour ni nuit vous ne soyez jamais l'un sans l'autre ? Si c'est là ce que vous désirez, je vais vous fondre et vous mêler de telle façon que vous ne serez plus deux personnes, mais une seule, et que, tant que vous vivrez, vous vivrez d'une vie commune, comme une seule personne, et que, quand vous serez morts, là aussi, dans la mort, vous serez réunis de manière à ne pas faire deux personnes, mais une seule. Voyez donc encore une fois si c'est là ce que vous désirez, et ce qui peut vous rendre parfaitement heureux ? » oui, si Vulcain leur tenait ce discours, il est certain qu'aucun d'eux ne refuserait ni ne répondrait qu'il désire autre chose, persuadé qu'il vient d'entendre exprimer ce qui de tout temps était au fond de son âme : le désir d'être uni et confondu avec l'objet aimé de manière à ne plus former qu'un seul être avec lui.
La cause en est que notre nature primitive était une, et que nous étions un tout complet.
On donne le nom d'amour au désir et à la poursuite de cet ancien état.»
- Lyrics:
- Salut !!
J'aimerais savoir comment faire une bonne purée
Je sais déjà faire la ratatouille, les endives au jambon, le gratin
Et plein d'autres plats qui n'ont rien à voir avec une bonne purée
Quel est votre secret ?
Le lait ? Le beurre ? La crème ?
Quel est votre secret ?
S'il vous plaît aidez-moi
Quel est votre secret ?
Pour faire une bonne purée, ce qui est pas mal quand on cuit les pommes de terre
C'est de mettre du laurier et du thym pour parfumer en amont
Après tu peux ajouter n'importe quel épice
Tu peux mettre du safran, du curcuma, du gingembre
Ou une gousse d'ail une fois que les patates sont pétries
Et si la purée a cramé
Recouvre-la avec un chiffon mouillé
Et fais couler du sel dessus
Pour absorber les senteurs de brûlé
Excuse moi, mais c'est pas vraiment ça que j'avais demandé
Le problème avec ma purée c'est qu'elle n'est pas onctueuse
Peux-tu m'expliquer, comment obtenir une texture parfaite ?
Pour la purée onctueuse ce qu'il faut déjà
C'est pas trop la mélanger ou l'écraser
Puisque comme dans la purée il y a du gluten ça va devenir très élastique
L’utilisation du presse-purée à levier permet d’obtenir une purée plus fine et légère
Tout est dans la texture
Car la purée trop collante est vraiment très décevante
Pense à ça avant de cuisiner et tu réussiras une bonne purée
Tu verras, c'est plus facile que ça en a l'air
Et surtout, après ça tu ne voudras plus d'une autre purée
J'ai 4 hommes à la maison et ils se régalent tous
Il n'en reste jamais
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- ZebreBis:
- Reviens vite!!!!!
Y'a que toi pour le résumer....
Nan, mais t'as vu ces tartines... pfiou... faut pas être presbyte du neurone pour le suivre.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Fragmentation, mais t'es qui toi ? Le seul avec qui j'avais discuté en MP de cette énigme du Sigma-test, c'était notre petit génie national, Stauk. C'est con, je n'ai pas enregistré sa réponse, mais encore une fois c'était du haut vol.
Il existe d'autres grands malades capables de consacrer du temps à ce genre de questions ? J'y ai passé des journées entières sur l'énigme des prisonniers, j'ai cassé les lampes, j'ai cherché les deux seuls signaux, allumage et extinction des feux, tout se jouerait sur ces deux seuls repères, et rien pendant l'heure qui s'écoule entre temps.
Ma femme m'a dit « si ça se trouve il n'y a pas de solution, la difficulté c'est de comprendre qu'il n'y a pas de solution ». J'écoute toujours ce qu'elle me dit. Même si en l'occurence elle me signifiait que je la saoulais avec mes conneries. Alors j'ai re-épluché le site de l'auteur du Sigma jusqu'à trouver le thrombinoscope dans lequel il est dit qu'un seul type au monde avait trouvé la solution, le genre qui te dessine l'accélérateur du CERN au petit déjeuner. Mais ça me gavait un peu de savoir qu'il existait un sournois capable de se la péter, et que moi j'étais là, comme un con, sans trouver la soluce.
Alors j'avais demandé son avis à Stauk. Brillant, comme toujours, pas passionné par la réponse, mais sa conclusion solidement argumentée avait un air de famille avec celle de ma femme. Ce qu'ils peuvent m'emmerder tous ces gens plus intelligents que moi, mais alors, grave.
Je tiens à signaler que j'ai passé encore plus de temps sur l'énigme de l'oeuf cru ou cuit. J'ai bouillu des oeufs pour vérifier de mes yeux la différence de persistance cinétique d'un oeuf cuit.
Il a fallu que mon psy me calme. Qu'il me fasse comprendre que la véritable intelligence consistait à ne pas consacrer plus de deux minutes à ce genre de conneries, et à descendre boire des bières avec les potes. Je continue à résoudre des énigmes en cachette, sinon tout le monde se fout de ma gueule.
Une énigme du CFNSE me reste en travers du gosier : je ne comprends pas la solution. Et je vous garantis que pour trouver les réponses au CFNSE sur internet, faut y consacrer du temps, faut taper dans le forum moldo-slovaque. Si une âme charitable peut m'expliquer, je saurais m'avouer vaincu si c'est le prix à payer pour comprendre.
Pour les ceusses qui veulent se la péter sans effort je vous rappelle la manip : il suffit de changer le score dans l'adresse www du résultat du test. Les affichages de résultats des génies sont à vous, évitez peut-être le 10 pour rester crédibles.
Ouais, ouais, moi aussi j'ai tenté de réfléchir sur Israelien/Palestinien, mais le politiquement correct m'empêchait d'approfondir. Je repensais en boucle à la vanne de l'épouse du colonel israelien, libérée après sa captivité dans les troupes palestiniennes, qui annonce fièrement à son mari « chéri, je t'ai ramené un prisonnier », en désignant son ventre enflé.
Merci Fragmentation, ça me rappelle le bon vieux temps, quand je voulais absolument passer un WAIS. J'aime bien l'idée que je ne regrette absolument pas le temps perdu, je me suis éclaté comme un petit fou à l'époque.
Depuis j'ai compris qu'elle était ma voie, celle de la petite voie, celle de Sainte Thérèse de Lisieux, la théologie de la petite Voie, celle qui propose de rechercher la sainteté, non pas dans les grandes actions, mais dans les actes du quotidien même les plus insignifiants, à condition de les accomplir pour l'amour de Dieu. C'est-à-dire, dans mon cas personnel, me croire plus intelligent que tout le monde.
Alors maintenant je frime et je me la pète non plus en me penchant sur les énigmes du Sigma, mais en parlant de godasses. L'important n'est pas d'être le plus intelligent, l'important c'est d'oser l'affirmer et de balancer des torgnoles dans la tronche de tous ceux qui prétendre le contraire.
La preuve :
https://www.zebrascrossing.net/t22853p920-au-mily-metre-pres#1054982
Ouais, zebrebis, reviens.
Il existe d'autres grands malades capables de consacrer du temps à ce genre de questions ? J'y ai passé des journées entières sur l'énigme des prisonniers, j'ai cassé les lampes, j'ai cherché les deux seuls signaux, allumage et extinction des feux, tout se jouerait sur ces deux seuls repères, et rien pendant l'heure qui s'écoule entre temps.
Ma femme m'a dit « si ça se trouve il n'y a pas de solution, la difficulté c'est de comprendre qu'il n'y a pas de solution ». J'écoute toujours ce qu'elle me dit. Même si en l'occurence elle me signifiait que je la saoulais avec mes conneries. Alors j'ai re-épluché le site de l'auteur du Sigma jusqu'à trouver le thrombinoscope dans lequel il est dit qu'un seul type au monde avait trouvé la solution, le genre qui te dessine l'accélérateur du CERN au petit déjeuner. Mais ça me gavait un peu de savoir qu'il existait un sournois capable de se la péter, et que moi j'étais là, comme un con, sans trouver la soluce.
Alors j'avais demandé son avis à Stauk. Brillant, comme toujours, pas passionné par la réponse, mais sa conclusion solidement argumentée avait un air de famille avec celle de ma femme. Ce qu'ils peuvent m'emmerder tous ces gens plus intelligents que moi, mais alors, grave.
Je tiens à signaler que j'ai passé encore plus de temps sur l'énigme de l'oeuf cru ou cuit. J'ai bouillu des oeufs pour vérifier de mes yeux la différence de persistance cinétique d'un oeuf cuit.
Il a fallu que mon psy me calme. Qu'il me fasse comprendre que la véritable intelligence consistait à ne pas consacrer plus de deux minutes à ce genre de conneries, et à descendre boire des bières avec les potes. Je continue à résoudre des énigmes en cachette, sinon tout le monde se fout de ma gueule.
Une énigme du CFNSE me reste en travers du gosier : je ne comprends pas la solution. Et je vous garantis que pour trouver les réponses au CFNSE sur internet, faut y consacrer du temps, faut taper dans le forum moldo-slovaque. Si une âme charitable peut m'expliquer, je saurais m'avouer vaincu si c'est le prix à payer pour comprendre.
Pour les ceusses qui veulent se la péter sans effort je vous rappelle la manip : il suffit de changer le score dans l'adresse www du résultat du test. Les affichages de résultats des génies sont à vous, évitez peut-être le 10 pour rester crédibles.
Ouais, ouais, moi aussi j'ai tenté de réfléchir sur Israelien/Palestinien, mais le politiquement correct m'empêchait d'approfondir. Je repensais en boucle à la vanne de l'épouse du colonel israelien, libérée après sa captivité dans les troupes palestiniennes, qui annonce fièrement à son mari « chéri, je t'ai ramené un prisonnier », en désignant son ventre enflé.
Merci Fragmentation, ça me rappelle le bon vieux temps, quand je voulais absolument passer un WAIS. J'aime bien l'idée que je ne regrette absolument pas le temps perdu, je me suis éclaté comme un petit fou à l'époque.
Depuis j'ai compris qu'elle était ma voie, celle de la petite voie, celle de Sainte Thérèse de Lisieux, la théologie de la petite Voie, celle qui propose de rechercher la sainteté, non pas dans les grandes actions, mais dans les actes du quotidien même les plus insignifiants, à condition de les accomplir pour l'amour de Dieu. C'est-à-dire, dans mon cas personnel, me croire plus intelligent que tout le monde.
Alors maintenant je frime et je me la pète non plus en me penchant sur les énigmes du Sigma, mais en parlant de godasses. L'important n'est pas d'être le plus intelligent, l'important c'est d'oser l'affirmer et de balancer des torgnoles dans la tronche de tous ceux qui prétendre le contraire.
La preuve :
https://www.zebrascrossing.net/t22853p920-au-mily-metre-pres#1054982
Ouais, zebrebis, reviens.
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