Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@Revz, je suis allé lire les œuvres de Diatribe pour pouvoir te répondre.
Si l'avis d'un vieux ronchon a la moindre valeur, je ne la trouve pas du tout politiquement correcte, ça pulse, ça vibre, ça part dans tous les sens, c'est peut-être grâce à ça qu'elle échappe au politiquement correct.
J'aime bien.
Et je ne suis pas le seul.
Vive Kalthu.
Si l'avis d'un vieux ronchon a la moindre valeur, je ne la trouve pas du tout politiquement correcte, ça pulse, ça vibre, ça part dans tous les sens, c'est peut-être grâce à ça qu'elle échappe au politiquement correct.
Diatribe a écrit:M'en fous d'écrire un pavé, fallait que ça sorte. Je ne m'excuse plus irraisonnablement. Je ne mets plus des tonnes de smileys pour adoucir les mœurs, pour faire paraître dans leurs yeux des autres une overdose de gentillesse, de prosternation devant leur immense gratitude à me lire. Je m'en contre-carre que cela plaise, que ce soit trop long, que l'on me lise ou non.
J'aime bien.
Et je ne suis pas le seul.
Kalthu a écrit:A ton avis, pourquoi on t'a pas lâchée pour que tu viennes (et un autre d'ailleurs ), au point de planifié tout aux petits oignons !!!Enfin, je me sens libre d'être moi-même. J'assume. J'assume mes rondeurs, j'assume d'être un garçon manqué, j'assume d'être parfois une gamine, j'assume d'avoir un grain, j'assume d'être en vie. J'assume d'être parfois d'une humeur exécrable, j'assume de vouloir plus, de voir plus grand que la plupart des gens. Je ne m'abaisserais pas à leur niveau pour qu'ils se sentent moins malheureux d'avoir fait les choix qu'ils ont prit. Je m'en fous qu'ils ne voient pas les choses comme je les vois.
Voilà, tout ça c'est toi, c'est la Diatribe qu'on aime !!!
Vive les gens qui ont un grain, vive les gamins, vive la vie, vive ce qu'on est, nos qualités (qu'on doit aimer aussi), nos défauts (qui sont souvent nos singularité), notre envie de crier au monde "je suis moi et si ça te plait pas je t'emmerde, si ça te plait alors vient boire une bière avec moi on parlera de tout et rien !!!"
Vive Diatribe !!!
Vive Kalthu.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Feignez la démence afin de pouvoir être quelqu’un de bien en toute impunité.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tous coupables ! A l'attaaaaaaaaaque !
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Whééééééééé.
Tu vas mieux doudou dis donc.
Tu vas mieux doudou dis donc.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Princesse Déconne a écrit:Tous coupables ! A l'attaaaaaaaaaque !
Ah non !
Moi, je fais partie d'un minorité !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
20100892 a écrit:«La perversion de la cité commence par la fraude des mots » Platon.
armotuste- Messages : 69
Date d'inscription : 12/11/2015
Age : 58
Localisation : dans mes pompes
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
ouai grave!!!
Ne nous méprenons pas, j'adooooooore diatribe, et ses posts ont été de vrais moteurs !!
Juste "libertin" ne fait apparaitre aucun résulat, me demandais pourquoi donc, peut etre trop "romantique"
Ps: Avez vous quelque peu remarqué à quel point je me sens bien parmis vous, malgré... enfin, vous savez Vive vous, vive la liberté, et merci encore pour tout ce que j'ai vécu, vie, et vivrais sur ce forum et en irl.
Je n'ai jamais été si bien dans ma folie
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:Revz a écrit:vous savez
Bah non ...
hihi.... ba tant mieux
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Beh, vu le style je croyais que tu étais une femme, Revz, il n'y a que toi pour placer plus d’émoticônes que natatalyssissi, référence absolue jusqu'à présent.
C'est pour ça que je suis allé vérifier ton profil et celui de Diatribe.
Avant d'aborder le sujet du libertinage (dont je ne connais absolument rien), je ne voulais pas faire de gaffe.
Please be cool, quand tu évoques un sujet précise un peu de quoi tu parles.
C'est pour ça que je suis allé vérifier ton profil et celui de Diatribe.
Avant d'aborder le sujet du libertinage (dont je ne connais absolument rien), je ne voulais pas faire de gaffe.
Please be cool, quand tu évoques un sujet précise un peu de quoi tu parles.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi »).
Tu imagines si je brode sur le sujet le jour même où Mily nous parle de la porte de l'île de Gorée ?
Tu veux ma mort ou bien ?
Tu imagines si je brode sur le sujet le jour même où Mily nous parle de la porte de l'île de Gorée ?
Tu veux ma mort ou bien ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ne t'inquiete, pas c'est normal: bien que de sexe masculin et hétéro, je me sens plus du camp de femme qu'un homme en fait...je suis une "fille manquée" et pourtant bien viril :pNumero6 a écrit:Beh, vu le style je croyais que tu étais une femme, Revz
Numero6 a écrit:Please be cool, quand tu évoques un sujet précise un peu de quoi tu parles.
Ba... en clair: je suis venu ici prendre des infos sur le concept de zebre, et peut être que certains déblocages/améliorations sont un poil dur a vivre sur le coup, mais c'est que du bon au final. J'ai quand meme failli perdre pied plusieurs fois, mais maintenant j'arrive à articuler tous ces changements dans ma vie (ouf!).
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi »).
Tu imagines si je brode sur le sujet le jour même où Mily nous parle de la porte de l'île de Gorée ?
Tu veux ma mort ou bien ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi »).
Tu imagines si je brode sur le sujet le jour même où Mily nous parle de la porte de l'île de Gorée ?
Tu veux ma mort ou bien ?
Profite, je compte prolonger l'expérience de la journée sans râler.
Pis je suis en train de lire des théories qui disent qu'il n'y a pas eu de traite à Gorée ...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon alors ? Il est où le pavé ? Je up parce que tu vas finir en page 2 Numéro6 sinon... les boules !
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je bloque Princesse, je bloque, pas moyen de répondre au Bleu et sa Low Gorhée, pas moyen de trouver un truc avec gonorrhée ou leucorrhée.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je me suis faite larguer par sms hier... Un petit texte sur le courage des hommes ?
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si j'étais un homme, je ferais pareil !
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu m'étonnes ! Vu ce que je lui ai répondu, valait mieux pour lui qu'il ne soit pas là... Damned, j'aurais trop aimé lui coller une tarte.
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
A la crème la tarte ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai jamais reçu d'MMS de rupture... C'est original au moins
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai pris un abonnement faut croire... C'est pas le premier... J'ai de bons goûts.
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le dernier faut espérer
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pourquoi demander à N6 un pavé sur le courage des hommes ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben il cherche un sujet... ça nous changera de l'hystérie des femmes
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
L'hysterie des flammes ! Contrôle tes paroles non de dieu
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est la logorrhée de la larguée
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
un pavé sinon je pourris avec des images
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Reviens N6, j'ai les mêmes à la maison !
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si qui que ce soit me larguait par SMS, par peur de me le dire en face, ce serait bien con de sa part, car ma réponse se ferait de vive voix en face à face : " Y fait moins le malin là ! ".
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est moche par sms.
Au risque d'etre taquin: tu es si terrible que ça quand on te décoit?
Peut être a t il eut peur ?
Au risque d'etre taquin: tu es si terrible que ça quand on te décoit?
Peut être a t il eut peur ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Princesse Déconne a écrit:Je me suis faite larguer par sms hier... Un petit texte sur le courage des hommes ?
Faut par sortir avec un gars qui a un prénom aussi pourri.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
lol
Nan mais en fait, je ronfle... je ronfle très fort...
Nan mais en fait, je ronfle... je ronfle très fort...
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@N6 - cf. ton texte de bienvenu sur mon fil.
On a pas de grands boulevards à Luvembourg... quel dommaaaaaaage!
On a pas de grands boulevards à Luvembourg... quel dommaaaaaaage!
ADR- Messages : 953
Date d'inscription : 17/06/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
j'en connais un, j'ose même pas dire qui c'est tellement c'est ridicule, le pauvre, donc, j'en connais un qui s'est renié en investissant dans un téléphone portable alors qu'il refusait cette technologie, tout ça pour l'amour d'une fille, et cette fille l'a largué par téléphone, c'est bête hein?, je ne sais pas si c'est une question de courage ou de respect de la personne
Toout.... Toout.... Toout... (le cri du téléphone qu'on raccroche)
- T'es belle - Barcella:
- S.... - Barcella:
Toout.... Toout.... Toout... (le cri du téléphone qu'on raccroche)
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
perso j'aime pas trop les rapports textuels, gsm tablette ou face de bouc, c'est assez compliqué quand il s'agit d'intime, pire l'envoi de photos.. est ce qu'on échange vraiment dans ces cas là ? je me demande parfois
si on aime quelqu'une, voir sa prose même sous sms court fait du bien, mais rien ne vaut la vraie rencontre, sans doute plus risquée, on est nu , en quelque sorte , pas moyen de se cacher derrière une icone ou un pseudo, même connu
mais larguer quelqu'un par sms, c'est vraiment moche, au moins avoir le courage de dire je ne t'aime plus ou j'ai un problème parlons en.. si on me larguait textuellement je chercherai a voir la personne physiquement, pas pour la hacher menu mais juste pour savoir pourquoi, ce qui ne va pas et si c'est confirmé
dis le moi en me regardant, tu m'aimes plus ? ok ca arrive parfois.. je suis triste et blessé mais cela arrive parfois
pas besoin de causer 20 heures donc, juste du respect de l'autre et de soi même, ce 'nest pas du courage donc selon moi dont on a besoin
une forme de respect de soi et de l'autre
mais bon les relations humaines sont tellement compliquée parfois et il ya tellement de gens qui vont pas bien dans leurs têtes, comment voulez vous qu'ils aillent bien avec deux têtes en présence ?
si on aime quelqu'une, voir sa prose même sous sms court fait du bien, mais rien ne vaut la vraie rencontre, sans doute plus risquée, on est nu , en quelque sorte , pas moyen de se cacher derrière une icone ou un pseudo, même connu
mais larguer quelqu'un par sms, c'est vraiment moche, au moins avoir le courage de dire je ne t'aime plus ou j'ai un problème parlons en.. si on me larguait textuellement je chercherai a voir la personne physiquement, pas pour la hacher menu mais juste pour savoir pourquoi, ce qui ne va pas et si c'est confirmé
dis le moi en me regardant, tu m'aimes plus ? ok ca arrive parfois.. je suis triste et blessé mais cela arrive parfois
pas besoin de causer 20 heures donc, juste du respect de l'autre et de soi même, ce 'nest pas du courage donc selon moi dont on a besoin
une forme de respect de soi et de l'autre
mais bon les relations humaines sont tellement compliquée parfois et il ya tellement de gens qui vont pas bien dans leurs têtes, comment voulez vous qu'ils aillent bien avec deux têtes en présence ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Parfois ça peut juste être un malentendu, surtout, ne pas s'emballer
- Spoiler:
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon, désolé du retard, les trois palettes de mauvaise foi n'ont pas suffi, j'ai du renouveler la commande en urgence.
Je voulais parler de la lâcheté masculine. j'ai du élargir le sujet, la lâcheté est incompréhensible sans connaitre d'abord ce qu'est la violence masculine.
Je voulais parler de la lâcheté masculine. j'ai du élargir le sujet, la lâcheté est incompréhensible sans connaitre d'abord ce qu'est la violence masculine.
- Lâcheté et violence, concepts et principes.:
- Chick, chick, chick... Chicken !
Au commencement était le verbe. Puis vint la testostérone. Ce qui compliqua les choses. Alors il a fallu qu'on apprenne à faire avec. On s'est dépassé.
Sauf partouzes organisées genre match de rugby ou troisième guerre mondiale, les hommes redoutent la violence physique, pour un simple mouvement d'humeur tu peux te retrouver tétraplégique.
Un seul crochet à la pointe du menton et c'est la rumba des cervicales.
Le problème s'est posé très tôt dans l'histoire de l'humanité, il a fallu trouver une parade, fallait éviter le génocide.
La première des préventions consistent à ne jamais attaquer qui que ce soit de plus fort que soi, celui qui engage le combat est celui qui se considère le plus fort. Sinon, c'est qu'il est très con, mais alors vraiment très con.
L'apprentissage de la sagesse se fait en accéléré dés le plus jeune âge : une baffe violente t'explose les idées, le cerveau se ballade comme des Tic-Tac dans une boite de Tic-Tac, une seule baffe, une seule, et la boite à mélancolies entame la danse des canards.
La théorie du tafiolisme, qui interdit aux garçons de se battre à un âge adapté, prive les futurs adultes de cet apprentissage indispensable, car, comme pour toutes les autres conneries, il est souhaitable de les faire jeune. Une psychologue dépressive et gluante, un test pour le TDAH ne remplaceront jamais la valeur civilisatrice d'une bonne baffe.
Les mères protectrices privent leurs rejetons de cette sagesse indispensable : les coups, ça fait mal.
Le plus abruti des mecs enregistre l'information dans l'instant, la baffe est salvatrice, c'est comme un vaccin contre la violence.
Cette règle a de nombreuses exceptions, en voici quelques unes :
- La violence au cinéma c'est... du cinéma. Aucune tête ne saurait résister mécaniquement aux percussions des bagarres de cinéma, l'énergie dissipée par un uppercut est largement suffisante pour broyer les os de la face. La même chose pendant plus de dix minutes, je ne vous raconte même pas.
- La violence des boxeurs, là encore, c'est du cinéma. L'art de la boxe consiste avant tout à éviter les coups, d'où l'admiration des connaisseurs pour les esquives. Le naïf ne regarde que les coups portés. Mais combien parviennent à destination ? En fait très peu. Le but du frappeur est de franchir la protection, gauche, droite, gauche, prendre de vitesse les parades de l'adversaire. Un champion de boxe lent, ça n'existe pas.
- Les combats de gonzesses, mais là encore c'est du chiqué. Ces dames peuvent se battre pendant une heure, vous ne verrez jamais de K.O., aucun nez explosé. La preuve qu'elles ne sont pas concentrées, c'est qu'elles dépensent une énergie folle à insulter la salope en face, ça commence par choper les cheveux et le but final c'est le strip-tease imposé. Le but c'est de faire perdre la dignité, d'humilier, de soumettre, d'imposer son verbe, bitch, t'es plus ma copine, t'es plus la copine de mes copines.
La même stratégie appliquée à un homme est dévastatrice. Nous y reviendrons.
J'avais essayé de repérer dans les combats de rue les signes qui laissaient présager un coup violent. Le mec dangereux c'est celui qui ne bouge pas, qui se tait, regard fixe, concentration maximale avant de porter le coup fatal.
Vous connaissez ce regard, mesdames, si, si, souvenez-vous, c'est celui qu'il avait quand vous lui avez demandé ce qu'il peut y avoir de passionnant à mater 22 gusses en short taper dans un ballon.
Les filles ça cause, c'est chiant mais c'est pas dangereux, pas physiquement, ça détruit un cerveau en y déposant le plus de merde possible, mais, c'est assez typique de leur préoccupation esthétique, elles respectent l'emballage.
La violence physique chez les hommes est d'une toute autre ampleur que chez les femmes. Encore une nouvelle manifestation du plafond de verre qui interdit aux femmes d'accéder à la sagesse délivrée par l'art pugilistique, Osons-le-féminisme et l'égalité des droits à se prendre des baffes. Combien d'entre elles ont pu bénéficier de la baffe dévastatrice qui te laisse hébété, sonné, en un mot : calmé ? Très peu et c'est injuste.
Une toute petite élite sélectionnée sur le volet bénéficie d'un training quotidien. Ces femmes battues régulièrement grâce aux efforts patients et répétés de leur conjoint accèdent à la sagesse.
Quand elles parviennent aux urgences de l'hosto en claudicant, couvertes d'ecchymoses, les lèvres fendues, elles font comme un boxeur entre deux rounds, elles s'en remettent aux mains des soigneurs.
Par une erreur d'interprétation grotesque, au lieu de se contenter de soigner, les soignants se montrent vindicatifs à l'égard de l'entraîneur.
Une femme battue est la sagesse même. Il faut la voir calmer le courroux des soignants, renoncer à son orgueil pour les rassurer, garantir que tout se passera bien, elle se fait diplomate, sa voix est douce, apaisante.
La sagesse masculine vient avec la baffe violente dans la gueule, ça calme, c'est fou ce que ça calme. La colère s'agite toujours, mais un éléphant est assis dessus : la douleur. La douleur prend la colère au colback et lui intime l'ordre de fermer sa putain de gueule. C'est très bien foutu, tant que la colère est plus forte que la douleur, BLAAAAMM, re-baffe dans ta gueule.
Ah, les filles, vous ne savez pas ce que vous perdez... C'est une formation accélérée pour l'abandon du wishfull thinking.
Les mecs retiennent la leçon, plus besoin de leur mettre des baffes, ils anticipent, ils s'immunisent, quand la douleur étreint la colère l'instant est si pénible qu'ils feront tout pour s'épargner ce duel fratricide. Ceci incite ces messieurs à réfléchir, c'est pour vous dire si c'est efficace. Age du capitaine, taille des mains, volume des biceps, possible folie, rapport poids/puissance, globalement le résultat de l'algorithme se limite a peu d'options, je combats ou je me barre.
Tout se joue dans l'intimidation, la parade, les muscles bandés, la mâle assurance surjouée, normalement le combat reste la dernière solution, quasiment un constat d'échec.
Se retrouver intubé et paralysé sur un lit d'hosto pour une place de parking, le prix est exorbitant.
Parce que sinon, balancer des torgnoles en éructant comme un gorille fisté au Tabasco, putain, c'est trop bon. C'est un truc que vous ne pouvez pas comprendre les filles, je ne vois aucun équivalent à la décharge de testostérone dans vos étagères à pumps.
C'est Hulk. C'est comme si un mauvais génie s'amusait à presser toutes nos glandes d'un seul coup. Finies les négociations, on pense plus, on marave, on n'a plus qu'une seule réalité : détruire ! Un seul objectif : dénicher une cible ! Go ahead, make my day, donne-moi un seul putain de prétexte pour balancer mes missiles dans ta face de rat. Jouir de détruire.
Aaarrgghh, trop bon, c'est trop booonn.
C'est con, la plupart du temps on ne peut pas jouir. Trop dangereux. Trop de conséquences. On doit se contenter de remettre à plus tard, de se promettre de se venger, de lui pourrir la vie, de détruire sa réputation. Mais c'est nul, on est nul, à coté des femmes on est plus que nul dans ce domaine, manque total de constance dans l'acharnement, c'est aussi nul qu'une branlette devant YouPorn comparée à un coït héroïque dans les toilettes pour handicapés de l'Assemblée Nationale.
Vous n'imaginez pas à quel point c'est frustrant de ne pas pouvoir frapper à volonté, quand cette putain d'énergie nous transfigure en Taras Boulbah, la terreur mongole.
La vache, on est quand même super bien éduqués, super bien castrés, pour réussir à se priver d'un panard pareil. Ou trop intelligent. Ou trop assagis par les baffes. Mais n'empêche, c'est frustrant.
C'est comme la plus belle chatte du monde que tu te retiens de poinçonner à cause de l'écriteau coincé dans la raie culière : « attention ! Gono et Tricho sont dans le bateau ! ». Bon, une fois de temps en temps, tu peux plus te retenir, tu poinçonnes, tu détruis, tu exploses, take no prisoners. Mais en général tu t'épargnes les suites douloureuses.
Alors on dérive cette énergie, on en fait une version acoustique, la gueulante de la mort qui rode, les décibels ravageurs.
Heureusement pour le réchauffement climatique, cette débauche d'énergie ne dure pas. Trois minutes au grand maximum pour les plus endurants, une minute en général, on réussit l'exploit de consumer toute notre énergie en quelques secondes. Tous les mecs le savent, tous les mecs baissent les yeux, se taisent, attendent la fin de l'orage, le type se met en danger, il brûle son réservoir en post-combustion de l'enfer, dans peu de temps il sera aussi vulnérable qu'un contribuable à poil dans la neige. Il n'a donc que quelques dizaines de secondes pour imposer le silence aux autres, car il n'a plus qu'une issue, sauver la face, parer sa colère de la noblesse du courroux des justes. L'homme fort c'est celui qui se tait, celui qui garde son énergie.
Le colérique vient d'avouer sa faiblesse, ce n'est surtout pas le moment de sortir la panoplie des remarques désobligeantes.
C'est une situation de très grande vulnérabilité. On vient de perdre totalement la face, on vient d'avouer notre impuissance, on hurle, on se débat, on exige le silence, on n'a plus de cerveau, on est laminé. Silence chez les hommes.
Il faut être une immonde connasse dégénérée pour ouvrir son putain de clapoir à ce moment précis.
- Je ne vois pas pourquoi ce serait à moi de me taire !
Parce que tu vas te prendre le TGV dans la gueule, morue !!! Tu dégages des rails ou tu meurs, tu comprends ça ? Raclure, avec ton foutu cerveau loué pour la vitrine du Téléthon. Dégage. Ferme-la, à tout jamais.
On te demande trois minutes, putain de merde, trois minutes, tu ne peux vraiment pas fermer ta putain de gueule pendant trois minutes ? Tu réfléchis pas, tu n'argumentes pas, tu ne questionnes pas, TU FERMES TA PUTAIN DE GUEULE !
Et là quand même, les mecs, j'estime mérité qu'on dépucèle quelques packs de bière à notre santé. Parce que la plupart du temps on réussit à éviter le massacre de la Sainte Innocente. On est des bons quand même. La classe parisienne.
Faisons le calcul pour la France. Prenons trente millions de Hulk soumis pour la plupart à ces attaques sournoises des reines du « je ne vois pas pourquoi tu t'énerves » (sentence aussi incroyablement conne que « je ne vois pas pourquoi tu as faim »), on ne compte même pas trois cent décès par violence conjugale par an. C'est énoooormme tellement c'est peu. Vous m'enlevez les psychopathes, les paranoïaques délirants, les toxicomanes, il nous reste quoi ? A peine quelques dizaines de victimes.
Sur les quelques trente millions de Hulk, seuls quelques dizaines seulement craquent chaque année. Trouvez-moi n'importe quel corps constitué capable d'aligner une telle statistique, c'est absolument fantastique de constater à quel point tous les autres, je dis bien tous les autres, réussissent à se contrôler, à se maîtriser, quitte à finir alcooliques, dépressifs, détruits psychologiquement, tout ça pour respecter cette consigne absolue : on ne frappe pas une femme.
On est vraiment des super bons. Et sans aucune pitié pour les camarades qui faillissent. En taule, et pour longtemps, très longtemps.
Une femme c'est pas pareil, ça tire trois balles dans le dos de son mari en train de roupiller, et hop, pétition nationale, demande de grâce présidentielle, ça faisait trente ans qu'il la battait, l'emprise, toussa, la soumission à la violence, vazydonc.
Trente millions de Hulk qui préfère l'ulcère au déshonneur, la négociation au combat. 'tain, la classe américaine, je dis.
Vu de l'extérieur, c'est de la lâcheté, les hommes aiment bien décorer leurs petites vies avec des guirlandes morales.
Quand ils sont incités à balancer la purée sur les djihadistes on les traite de héros, de sauveurs de la nation (ou de bouchers nazis si on habite dans le Marais). Dans ces instants de réjouissances, les très rares situations où il est encore possible de se fendre la gueule entre nous, sans que les gonzesses viennent exiger leur carte du club, bon, là, c'est officiel, le mec qui fuit ou qui baisse son froc plutôt que de combattre, c'est un lâche.
Mais sinon, le reste du temps, le mec qui fait tout pour éviter le combat, c'est un héros, c'est un maître zen, il sacrifie son Hulk au profit de la communauté. Un héros vous dis-je. Programmé pour éviter la violence.
Rien à voir avec la morale, c'est une question de rapport bénéfice/risque. La violence physique a un coût effarant, très peu d'enjeux méritent cet investissement. On ne déclenche pas une guerre parce que l'Allemagne augmente le prix de ses berlines (hahaha, haha) (ben si quoi, Berlin, Deutschland Uber Alles, non ? toujours pas ? laissez tomber, on s'égare là).
L'alcool et les herbes de Provence perturbent ce système de protection, on se sent invincible alors qu'on titube comme des poivrots. on baffe les femmes et on provoque les plus forts.
La connasse hystérique permet d'obtenir un dérèglement équivalent, mais à condition de se montrer totalement odieuse.
Au moment où elle insulte son homme, mettant en cause la consistance de ses parties génitales, parce qu'un quidam mal embouché l'a traité de salope et que le conjoint n'a pas engagé le combat, elle réclame de lui qu'il risque une tétraplégie pour laver son honneur.
Et alors là mesdames, méfiez-vous, parce que le calcul est tout simple, soit vous foutre une baffe, soit affronter Musclor.
Ils vont tout faire, en gentlemen respectueux, pour vous épargner la baffe. Ils vont sous-évaluer l'insulte, moquer le manant. Les plus malins vont sortir la saloperie perfide, la phrase qui tue, adopter une stratégie féminine, déclasser. Vous croyez qu'il invente des prétextes pour ne pas intervenir ? Non, il cherche à vous épargner la baffe de l'apaisement.
La lâchitude serait typiquement masculine ? Moi j'appelle ça la sagesse des braves.
Les hommes préfèrent la négociation, toujours. Ou le tapis de bombes. On ferme sa mouille sur le moment, on repère le connard, et on lui tombe dessus à cinq et dans le dos, on n'est pas là pour rigoler, on est là pour lui faire le plus de mal possible en prenant un minimum de risques. Les filles qui n'y comprennent rien appellent cela de la lâcheté.
Mais tu veux quoi connasse, qu'on venge ton honneur bafoué ou qu'on se retrouve à l'hosto ? C'est quoi ton projet ?
J'ai toujours adoré me faire traiter de lâche par celle qui me demandait d'aller me battre à sa place ! Mais vazy toi-même morue, si tu es si maline ! Please, be my guest. Ce n'est pas moi qu'il a traité de salope, je suis neutre sur ce coup, je me sens plus que neutre, suisse quasiment.
Il suffirait de presque rien, une simple baffe qui lui démonte la mâchoire, un simple geste, pour qu'elle accède à la sagesse : « oh putain, mais t'as raison, mais ça fait un mal de chien ce truc ! »
Supériorité numérique, supériorité physique, supériorité hiérarchique, il est impératif de n'engager les hostilités qu'en position de force. Ce qui présente un autre avantage considérable : les plus faibles vous foutent une paix royale. Il ne reste plus qu'à se méfier des plus forts, et hop, c'est le repos des cervicales, il suffit de se soumettre et de sourire bêtement.
Mais, ma chérie, j'adooorre la VI° flotte, elle est magnifaaïque la VI° flotte. Il est où ton TAFTA que je le signe ?
Les hommes, qui sont quand même moins cons que la légende le prétend, ont très vite compris tous les avantages à tirer de ce status quo : les moins de 60 kilos se taisent quand les plus de 130 kilos s'expriment, c'est la pax brutus. Un seul gros balèze un peu irascible et tous les mecs se tiennent tranquilles. Une jolie femme et ils se mettent à se laver les extrémités. Un costaud, une beauté, et la civilisation peut commencer.
Dans nos sociétés la violence physique reste l'arme rudimentaire des pauvres, des cons, le dernier truc à disposition. Quand tu es pauvre et con tu n'as pas le choix, il faut payer le prix exorbitant de la violence pour se faire entendre.
Il est beaucoup plus rentable d'être riche, d'avoir de l'esprit, un réseau social étendu, symboles de pouvoir.
Ou bien de tricher. Dés qu'il s'agit de rapports de forces, vous n'imaginez pas les trésors d'intelligence que les hommes sont capables de déployer. Disposer de 300 têtes nucléaires ou prétendre disposer de 300 têtes nucléaires, la dissuasion est la même tant que l'illusion peut être entretenue.
Je ne connais pas un seul crétin menaçant qui n'ait pas fini par me lâcher « vous entendrez parler de moi, je vous préviens, j'ai le bras long ». L'arnaque est grossière, mais elle fonctionne, elle incite à renoncer à l'affrontement, on ne sait jamais. Toujours le même principe : le prix à payer, réel ou supposé.
Et non, ne me gonflez pas mes vieilles roubignoles, non, vous ne savez pas ce qu'est la violence physique masculine, non, dans les rares instants où l'on accepte de vous initier à la sagesse, on ne vous sert jamais la ration de combat complète, vous n'avez droit qu'à la version allégée. C'est juste qu'on n'a pas envie de se fatiguer, pas besoin de sortir le grand jeu, le menu dégustation suffit à vous clouer à terre. Si seulement vous pouviez vous taire, si seulement...
Jamais, jamais, ou alors c'est que vraiment vous avez cherché les emmerdes malgré toutes les recommandations d'usage, jamais un homme ne lâchera sa sauvagerie sur vous. Et pourtant, qu'est-ce que vous pouvez nous péter les couilles au delà des anneaux de Saturne, à croire qu'à la conception personne n'a prévu un système de sauvegarde pour vous faire stopper les hostilités. Egnagnagna, égnagnagna, jamais, ça ne s'arrête jamais, mais jamais personne ne vous a enseigné END LOOP ?
Regardez bien cette vidéo. Un combat de boxe entre un homme et une femme. Déjà la plupart des femmes ne sauront supporter ne serait-ce que de visionner cette vidéo.
Mais sinon, deux choses sont évidentes.
La première c'est que le type retient ses coups. Je vous garantis qu'il retient ses coups, juré, craché.
La deuxième c'est que la femme ne se protège pas. Elle n'a qu'une idée en tête, frapper, c'est dingue, dés qu'elle s'énerve elle ne pense plus qu'à taper le mec, elle ne maintient plus sa garde. Son éducation n'a pas été enrichie de la sagesse procurée par la baffe de trappeur, elle n'a pas eu besoin d'écouter son Shaolin intérieur : d'abord se protéger.
On peut aller plus loin. L'arbitre essaye à plusieurs reprises de solliciter son abandon. Jamais. Une femme n'abandonne jamais, d'un point de vue masculin c'est un monument dédié à la connerie, « je vous pas pourquoi... ». Rien ne lui fera admettre qu'elle puisse avoir tort. Cette commande n'est pas implémenté dans le progiciel.
C'est ce que je ressens chaque fois que je suis occupé à étrangler Hulk pour qu'il ne vous atomise pas les filles, et que vous continuez à le traiter de petit pédé vert. Mais comment qu'on arrête cette conne, comment ??? Parce qu'en plus vous ne verrez jamais une autre femme venir la raisonner, jamais, une femme qui agresse a toujours raison, aucune femme n'intervient. Ce sera toujours à un homme de s'interposer entre la furie et Hulk.
- Je m'en occupe bro, continue à étrangler Hulk, tiens bon, déconne pas.
Je n'ai jamais vu personne protéger le mec, absolument jamais. Je ne sais pas, je n'ai pas du bien lire la notice, ou alors c'était indiqué en tout petit caractère : « il est recommandé à tous les participants, aussi bien masculins que féminins, de ne jamais protéger un homme de l'agression d'une femme, sinon c'est rien qu'un petit babtou fragile qui mérite sa sanction. Ministère de l'égalité et de la théorie du genre, autrefois connu sous le sobriquet de Ministère de l’Éducation Nationale. »
Une femme cherche à pourrir, un homme cherche à détruire, mais vraiment quand il n'a aucune autre solution. En calculant précisément le risque, en ne livrant combat qu'en position de force.
Pourrir un homme est la stratégie la plus conne qui soit, c'est juste donner le feu vert à l'adversaire.
Ou tu engages pour détruire, ou tu fermes ta grande gueule. Sauf quand tu es une femme, là le risque dégringole à 30 sur 30 millions, faudrait vraiment pas de bol, et encore, ça réclame du temps et de la patience avant qu'ils lâchent Hulk. Les hommes, ces héros.
Un homme de 130 kilos ne s'attend pas à ce qu'une crevure anorexique gaulée comme un cintre se hasarde à le provoquer, il y verra un manquement à la règle du 60-130, c'est quasiment de la délinquance. En général, son regard va chercher l'approbation des autres hommes, bien montrer que, lui, il respecte les règles, qu'il n'y est pour rien, qu'il n'abuse pas de ses prérogatives.
Si la crevure persiste, les autres hommes donneront le feu vert au golgoth : « vazy, tape, il est vraiment trop con, lâche-toi, apprend-lui la sagesse ».
Si l'absurdité dépasse l'entendement, si une femme se hasarde dans l'arène, le taureau a tout à perdre. S'il frappe, il se condamne au plus bas de l'échelle, même pas les pipes et le café, le bannissement. Pas de chance mon pote, faut que ça tombe sur toi, tu te laisses faire, tu endures, et tu fais semblant de taper pour préserver l'honneur de la harpie, faut que ça fasse vrai. Grand seigneur nous sommes.
Les filles, un petit conseil, ne faites jamais ça avec le golgoth que tous les autres méprisent déjà, il n'en a plus rien à foutre, tant qu'à se faire détester, autant se régaler, vous allez prendre pour toutes celles qui lui ont brisé les noix. Et si tous les autres se méfient de lui, faites leur confiance, c'est un très très gros con. Vous êtes prévenues. Comment tu vas Juju ? Ça fait longtemps qu'on ne t'a pas explosé la gueule, tu nous manques, tu sais ?
Mesdames, malgré votre QI et votre animus de feu, vous êtes incapables de percevoir le système de régulation invisible dans les sociétés masculines. C'est truffé de codes, de règles, le niveau de tricherie est régulé, chaque geste se voit attribuer une amplitude réglementaire. Tout ça est d'une précision digne du facteur des Grandes Orgues de Versailles.
L'insulte est régulée, la provocation est codifiée, l'humiliation est réprouvée. Affronter par le verbe, jamais mépriser, bander ses arguments, s'imposer par la vivacité des aphorismes. Et tricher, toujours tricher, l'arbitre n'a rien vu.
Le code est spécifique à chaque région, à chaque culture. Distance physique dans les pays nordiques, nique ta mère chez les loukoum brothers. Et encore, NTM au Maroc ça n'existe pas, celui qui porte atteinte à l'honneur de la mamma se fait défoncer la gueule par tout le groupe, ça n'existe qu'en France. Pourquoi ? Parce qu'en France personne ne leur défonce la gueule, on leur suppose des mœurs différentes, on leur dénie la sagesse des nations. Racisme.
Le grand principe c'est ça : pour réguler la violence, on s'impose un tunnel de valeurs. Le premier qui triche élève le niveau de violence, ce qui met en danger tous les autres. Donc tous les autres lui défoncent la gueule, quelque que soit le camp d'origine.
Bien sur, aucune femme ne connait les codes. Déjà que vous ne supportez pas les gros mots...
On sait bien à quel point la violence vous effraye, on ne vous la montre pas, gentleman avant tout, personne ne se risquera à vous expliquer le Game. On vous sort du Villon, du Schopenhauer ou du Pervers Narcissique parce que vous croyez que ça c'est vachement viril, mais putain si vous saviez... on ne rêve que d'aller se foutre une branlée entre potes, trop bon, vraiment trop bon. On aime tellement ça qu'on se réjouit de se prendre une réplique cinglante dans la face, merci de m'accorder ce que vous avez de mieux monseigneur, salaud, trop bon.
Quand il y a des gonzesses c'est encore plus subtil, l'affrontement est permanent, mais faut pas que vous vous en rendiez compte.
Regardez bien dans les IRL, les mecs prennent plus de plaisir à s'affronter à coups de sentences définitives qu'à vous accorder de l'attention. Ça se fait à coup de principia mathematica dans les gencives, de Dabrowki dans la boite-à-ragouts, l'important n'est pas d'avoir lu, je répète, l'important n'est pas d'avoir lu, l'important c'est d'affronter vaillamment.
Et plus ça se voit qu'on n'a pas lu, et plus on admire le beau geste. L'enculé, il y connait rien et il réussit à me mettre en échec. Trooop bon. Le champion c'est celui qui gagne avec une vertèbre en miettes, celui qui n'a jamais ouvert un bouquin.
Comprenez mesdames que ce territoire vous est inconnu. Nous non plus on en a rien à foutre de Nietzsche, nous non plus on ne l'a pas lu, Moto-Journal c'est quand même plus intéressant. Le premier qui prétend me peler la bite avec l' Übermensch va se prendre une avoinée, tous les coups sont permis, les misérables connaissances qui me restent au sujet du moustachu vont devenir des arguments implacables, plus c'est fait en finesse plus c'est beau, mais s'il faut gueuler je gueulerais. Nietzsche, pfff, tafiole syphilitique !
C'est un jeu, il faut qu'on se trouve un tunnel, un terrain où on soit à peu près de forces égales. Je n'irais jamais affronter celui dont Zarathoustra a servi de sujet de thèse. Voilà, ça, c'est son territoire, c'est son domaine, respect, salaud, putain ce qu'il est bon le bâtard. Pas question de mettre en doute ce qu'il avance sur le sujet, c'est parole d'évangile, 130 kilos de Nietzsche tout en verbe.
Donc, mesdames, quand vous insistez pour bien nous faire confirmer ce que vous avez entendu, genre « tu as dit 130 grammes de farine ? Parce que moi dans ma recette je la connaissais avec 135 gr, t'es sure de toi choupinette ? », sans vous en rendre compte vous nous pétez grave les burnes molles.
Mais on vous a fourgué quoi comme progiciel à la naissance ? C'est pas de l'heuristique en tout cas, une virgule qui manque et vous buguez.
En nous demandant de préciser, vous nous obligez à reconnaître que, ben non, on l'a pas lu du tout, ou alors il y a longtemps, vous nous faites perdre la face dans le Game. Mais qu'est-ce qu'on en a à branler de ce qu'il a dit le Friedrich ?
Ou bien vous venez faire votre petit pipi sur les pompes du 130, et ça faut pas, faut jamais, personne ne vous défendra, personne ne doit affronter le 130, démerde-toi connasse, on t'avait dit de ne pas monter sur le ring.
Parce que tout le monde sait que vous n'en avez rien à foutre de FN, de la géopolitique, des trous noirs et de l'économie mondiale, belly button, what else ? Votre intervention n'exprime que ce tourment violent qui vous agitera jusqu'à la nuit des temps : « si les hommes y ont droit, je vois pas pourquoi... ».
La vie n'est pas généreuse pour vous mesdames, personne ne vous offre la baffe dans la gueule, la sagesse, plus vous êtes jeunes et jolies, plus on vous sourit comme des cons alors qu'on a qu'une envie, ponctuer d'une mandale généreuse un violent « mais ferme ta gueule, connasse ! Tu ne vois pas qu'on cause entre hommes, là ? ». Parce qu'on ne sait jamais, peut-être, plus tard, sur un malentendu, le jour où vous n'êtes pas trop regardante...
Vous ne découvrez cette terrible réalité qu'une fois franchi le mur de la séduction, quand vos appâts commencent à se flétrir.
Et là, même si vous connaissez Nietzsche par cœur, ben, on s'en branle complètement. T'es mignonne, tu retournes à la cuisine, et tu vas causer Zarathoustra avec les copines. Elles aussi elles s'en foutent, elles préfèrent les soldes et le chocolat. Et là, tu te sens seule, mais seule, c'est terrible.
Tous les hommes, tous, pratiquent la parade, c'est une partie de poker, gloire aux riches et aux audacieux. Les plus respectés sont ceux qui réussissent à s'imposer par l'intimidation avec des cartes pourries. Chapeau l'artiste.
Celui qui n'a jamais lu de philosophie et qui réussit à s'imposer face à l'agrégé, je peux vous dire qu'au sein du groupe, c'est lui le pacha. Et l'agrégé sert les cafés. C'est comme ça. Il sauve la face en pinaillant sur le Voluto, mais personne n'est dupe.
Les chats hérissent leurs poils, les gorilles avancent leurs épaules, les hommes prétendent connaître le ministre ou le préfet de région, parade d'intimidation, prétendre détenir la force. Par la folie, par le nombre, par l'argent, toujours fausser le calcul de l'adversaire, toujours lui faire surévaluer le prix à payer. En résumé, se la péter un maximum.
Aucun affrontement ne débute sans ses préliminaires, la phase d'intimidation, le combat peut être gagné à l'avance, évité à l'avance, c'est au premier qui estimera ses chances trop aléatoires de s'écarter.
Dans les vestiaires qui réunissent les coureurs d'une finale de cent mètres, ce n'est que ça. On tait les blessures, on intimide du regard, on adopte la posture la plus menaçante, la plus affirmative. Avant de sortir des starting-blocks certains ont déjà perdu la course.
Et on fait pareil avec les gonzesses, seule la victoire est belle, le comptable se transforme en pilote de chasse, l'intermittent du spectacle se veut producteur. Nous sommes des archanges, nous sommes des chevaliers, nous sommes des poètes, nous protégeons la veuve et l'orphelin.
On gonfle le jabot, on parade, on promet le grand canyon quand on a que les gorges du Verdon en stock, on promet la libération de Jérusalem alors qu'à la cinquième fois, vous ouvrir la porte de la bagnole commence déjà à nous pomper l'air.
Soyez honnêtes les filles, si on vous disait qu'on voudrait juste vous tirer parce qu'on a rien de mieux de prévu pour le week-end, ne me dites pas que ça vous motiverait autant !
C'est de bonne guerre, vous essayez bien de nous faire croire que vous êtes de fragiles créatures traumatisées par les monstres qui nous ont précédés ! Vous me direz pas que l'arnaque n'est pas, elle aussi, de belle envergure. Les culottes en dentelle ne sont jamais très loin d'un magnifique étron, le Wonderbra rime avec œufs aux plats. En terme d'arnaque on ne peut pas lutter. Quand vous vous précipitez dans la salle de camouflage en sortant du lit, on a l'impression que vous souhaitez abréger ce moment délicat où vous apparaissez dans votre splendide vérité, comme en terrain découvert.
On fait ce qu'on sait faire. On applique les stratégies que l'on connaît. Les hommes sont les rois de l'inflation de leur valeur ajoutée, de leur salaire, de leur CV, de leur force, de leur courage, de leurs valeurs morales (Les femmes seraient plutôt les reines de la déflation, de leur poids, du nombre de leurs ex, de leur coût d'entretien, de leurs exigences et même de leur intelligence, fourbes créatures).
Vous appelez ça de la lâcheté ? Les promesses ne sont pas tenues ? Je n'y vois qu'une stratégie fine digne des meilleurs commerciaux, vous vendre ce qu'on a en stock, parce qu'on a rien d'autre à vous vendre. On soigne l'emballage, c'est tout.
Faut quand même dire que vous êtes parfois très connes à vous prendre pour des princesses. On réussit toujours à vous vendre le prince charmant, le preux chevalier qui va vous choisir vous, la gueuse, la sans-dent, et envoyez promener des tas de super Princesses certifiées, avec bonne éducation, fesses propres, dentition parfaite, le milliardaire Christian Grey va élaborer un scénario sophistiqué pour vous refaire le cul, vous accordez un temps et une attention considérables, parce que ?
Une fois qu'il a vous a fait le coup de la boule rouge, qu'il a pris votre innocence, votre virginité, votre je-ne-sais-pas-trop-quoi, il se casse le Grey, finita la comedia, non il ne tombe pas amoureux, non il ne vous épousera pas, non il ne vous filera pas la moitié de sa fortune lors du divorce.
Réfléchissez, merde ! Autant chez un prince de sang la consanguinité est possible, la race est abâtardie, le QI au tapis, le crétin des alpes pouvait éventuellement tomber amoureux de la bergère, autant le milliardaire qui a fait fortune, je vous garantis qu'il n'est pas con, et que des culs ce n'est pas ce qui lui manque, il n'a qu'à agiter sa Rollex, le marionnettiste.
Tels des pilotes sur la passerelle nous anticipons les manœuvres, et avant même d'éjaculer l'âme en paix, en fin stratèges, nous élaborons déjà l'excuse destinée à notre légitime. Vous, on s'en fout, c'est fait, pas la peine de dépenser de l'énergie. Le niqueur improvise, le niqueur s'adapte, la situation réclame un créatif pas un robot lobotomisé.
Le timing est capital, le plan de bataille ne souffre aucun délai, donc, on se barre le plus vite possible, on anticipe, « bonsoir chérie, tiens choupette, j'ai craqué en voyant ce bouquet de Lys, elles m'ont fait penser à toi ». Vite, vite, le fleuriste va fermer !
Vous nous trouvez lâches ? C'est un point de vue.
Vous devriez prendre des notes au lieu de critiquer.
Le principe fondamental des relations hétérosexuelles repose sur deux gardiens, les femmes gardiennes du sexe et les hommes gardiens de la relation elle -même.
Derrière la porte gardée par un homme se trouve un véritable paradis dont rêve chaque femme. C'est un endroit magique où les pots de confiture s'ouvrent tous seuls, le chauffeur est à disposition, les araignées sont écrasées, les câlins sont fournis, l'encouragement est garanti, et l'ordre est fermement établi. Et tout cela réclame du temps et de l'effort.
Certaines femmes négligent leur rôle de gardienne du sexe.
Certains hommes ne réclament aucun respect pour leur temps et leurs efforts, ils laissent passer n'importe qui, pas de patrouille des frontières, pas de ré-examen du visa touristique, c'est un pays où tout est gratuit pour celles qui n'ont plus qu'à l'envahir, battant des petites et des grandes lèvres comme autant d'élytres d'un vol de criquets sur un champ de blé subjugué par la symphonie de la touffe.
Certaines femmes ont fait de leur porche une véritable forteresse, pont-levis acéré et acide sulfurique dans les douves. Devise : « j'ai beaucoup souffert ».
Certains hommes sont trop rigoureux sur les critères d'immigration, ils n'accordent que des visas sexuels temporaires, et raccompagnent à la frontière sans la possibilité d'une procédure en recours.
Toujours est-il que le principe est le même quand il s'agit de siffler la fin de la récréation. Éviter l'affrontement. Toujours. Réflexe conditionné, implanté par les baffes, réflexe de survie, une bataille livrée est un échec.
Négocier avec une femme ? Certains ont essayé.
Argumenter sur une balance commerciale désavantageuse pour nous ? Certains ont perdu l'audition pour cette erreur.
Une femme qui reconnaît sa part de responsabilité dans l'échec de la relation ? Ouvrez le placard de la chambre à coucher, votre successeur s'y trouve déjà.
A la seconde où un homme rompt les relations diplomatiques, il n'est plus qu'une sous-merde que, misère de ma mère, mais comment ai-je pu tombée amoureuse d'un tocard pareil ?! Juste, c'est ça qui fait chier, elle n'a pas eu le temps de prévoir un remplaçant, la gueuse.
Toujours larguer au petit matin, l'intérimaire est déjà en bas de son appartement, ils sont même souvent plusieurs, la maraude est éternelle. Soyez cools, adoptez le bon tempo messieurs. Laissez-lui quelques heures pour vous oublier, un jour ensoleillé si possible, qu'elle puisse montrer ses gambettes.
Risque de la répudiation en direct live : majeur. Bénéfice : inexistant. SMS donc. Gentleman.
Vous voyez les filles, ce que vous prenez pour de la lâcheté, ce n'est ni plus ni moins que le résultat d'un calcul complexe, dont vous pourriez au moins reconnaître la subtilité, la complexité et le sens aigüe de la diplomatie, toujours, toujours éviter l'affrontement.
'tain, on est des bons, quand même.
On a l'avantage de la force physique, et on a voté des lois pour nous l'interdire, à nous-mêmes, la classe totale.
Ce n'est pas demain la veille que des femmes voteront une loi contre le mensonge permanent, le harcèlement verbal, la violence psychologique et la mauvaise foi.
Et c'est tant mieux, sinon je serais réduit au silence.
Mais quand même, c'est pour dire, la classe c'est nous, faut bien reconnaître. Gentlemen.
Revz, fais gaffe mec, tu as la ficelle du tampon qui dépasse.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Même Moman a rencontré Hulk, ses pieds ne touchaient plus le sol, quel pied !
Invité- Invité
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Aarf, veinard. C'est pas moi Moman, c'est Hulk.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass a écrit:
- amen:
C'est-à-dire que c'est un peu beaucoup ton dernier post dans la mare qui m'a intrigué. Cette protection qui n'a le droit de cité qu'à condition d'être posthume continue à me laisser perplexe.
Je t'assure que c'est rien que du plaisir de mettre la pâtée à ceux qui emmerdent les filles, pour une fois qu'on a un bon prétexte pour sortir le Hulk...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
j'ai grandi chez les klingons.
on a droit à un Hulk aussi.
on a droit à un Hulk aussi.
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
Revz, fais gaffe mec, tu as la ficelle du tampon qui dépasse.
Heu, ok si tu veux Merci de l'avertissement mais je doute qu'il soit nécessaire
J'aime beaucoup ton texte, qui est je pense assez pertinent, mais pour lequel je reste assez pantois quand à ce volonté exacerbée d’attribuer certains attributs à un genre, même si historiquement cela ce tient complètement, et que sur pour certains aspects, cela est certainement très pertinent : les différences entre genres ne sont certainement pas que physiques et certaines mécanique attribués sont donc certainement pertinentes
L'homme et la femme se complètent et s'apportent, et même dans ces traits que tu dépeins, cela est certainement une bonne chose.
Je reste aussi pantois sur cette vision d'affrontement qui transpire, l'homme et la femme en constants tiraillements, s'autopolluants et entraînants dans leurs tréfonds, ne pouvant s réjouir d'une attitude qui parait non souhaitée ou non compréhensible....
C'est dans ce cadre ou je suis fier de "ma ficelle qui dépasse", fier de 'la paire de c.." que j'aime à ressentir chez celles que je suis capable d'aimer: Jouer l'homme, jouer la femme à tour de rôle ou juste laisser à l'autre la place dont il a besoin, avoir l’empathie nécessaire à la compréhension et à l'expression.
Et surtout, permettre la jouissance de cette mécanique étrange que met en place l'autre sexe! C'est une richesse, pas une peine
Assurément, rester dans l'autre vision, celle qui n'est pas la mienne, doit permettre de trouver un apaisement dans l'homosexualité, où l'on pourrait vivre une relation en évitant ces 'insupportables" différences, ou encore de trouver un apaisement dans une vision consumériste ou réductrice car compartimentée, de la femme et des femmes en général, et ne pas souffrir de tout celà.
(Je dis ça pour y avoir longtemps réfléchi, mais l'hétérosexualité est mon lot, et ce jeu "pervers" d'aimer l'autre dans ses différence est ma joie. Mais c'est un peu reducteur pour les homos de dire celà )
Après mon propos n'engage que moi, chacun fait comme il veut.
Je reste assez étonné tout de meme, que certains zebres cherchent plus a imposer une vision, une vérité, qu'à partager une expérience ou une pensée sur un sujet "limité".
Il y aurait certainement à gagner de considérer qu'un échange ne permet que d'exprimer une "facette" et que cela n'est pas suffisant pour "critiquer" ou "juger" quelqu'un qui d'un part ne se plein pas, et d'autre part, essaye tant bien que mal de répondre au seul sujet posé, sans trop s'en écarter.
Il va falloir vraiment que j'ouvre un topic sur le concept de "présupposés", qui détaille précisément les mécaniques associés à cela dans les processus de communications. Dans le cadre d'échanges virtuels, celà me semble important d'en tenir compte. En tout cas, c'est ce concept ci que me permet de relativiser mes lectures; et mes réponses : n'oublions pas que l'autre reste un parfais inconnu, et que nous n'en voyons que ce qu'il nous montre ou que ce l'on est capable de voir. Et encore, faut il que les interprétations soient justes.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Revz, je pré-suppose que tu n'es qu'une grosse tafiole qui s'invente une vie, une femme et une descendance, un pur bullshit de clavier, un gromytho buveur de camomille bio et qui fume des joints pour s'espérer rebelle.
Après, ces propos n'engagent que moi, je reste dans l'introspection et la spéculation, je sollicite ton point de vue, je ne saurais me déclarer affirmatif, je ne suis que doute et bienveillance.
Et sinon, ton avis, j'en ai rien à branler. Sur le plan-là, je suis formel. Affirmatif.
Après, ces propos n'engagent que moi, je reste dans l'introspection et la spéculation, je sollicite ton point de vue, je ne saurais me déclarer affirmatif, je ne suis que doute et bienveillance.
Et sinon, ton avis, j'en ai rien à branler. Sur le plan-là, je suis formel. Affirmatif.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
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