news lifes :)
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Re: news lifes :)
C'était curieux que je ne puisse plus faire mes feedbacks à moi
dans mon fonctionnement et dans le fonctionnement
- Tu vas voir, elle va encore encore dire qu'il est bien ce forum
- Il est bien ce forum, hein ?
- T'as vu, je l'avais dit
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Des points de repères.
Des échelles de situation.
Petit, grand.
Large, restreint.
Ne pas se laisser envahir ou justement encombrer par des idées noires ou tristes.
Avoir des ressources de compensation
Un état d'esprit.
Une ligne de conduite qui n'est pas trop dans les écarts.
Et qui évite les écarts de pensée entre deux idées trop opposées.
Se ménager.
Ne pas penser le chemin. Passer d'un canal négatif à un canal positif.
Effort, réconfort.
Et toujours trouver du plaisir. Sinon ça n'a pas de sens. Aller vers et dans, là où ça prend tout son sens.
Il est sûr que dans ce contexte, si quelque chose perturbe et que de plus on se met en mode recherche sur le sujet... on va dans le sens d'être encore plus perturbé.
Entre deux cordes.
Le juste milieu je m'en souviens, passer plus rapidement d'un extrême à l'autre par un effet de pensée.
Et stratifier ses pensées, ses réflexions, une réalité, d'autres réalités.
Faire.
Je trouve qu'on se contrarie beaucoup plus quand on n'est pas dans le faire.
Comme pour le compliqué ou le complexe, aller de suite à l'opposé de la pensée.
Parfois à une époque à 3h du matin, attendre que la pensée s'arrête. je trouve plus simple d'attendre une chose positive. Balader alors son bolide dans des circuits positifs mais en tenant compte des circuits négatifs éventuels. Ne pas se morfondre.
J'ai des souvenirs dont j'ai le sentiment qu'il ne sont pas ma vie. Etre le propre commandant de soi même. Et surtout être doux avec soi. Arriver à force à passer d'un état de stress à une état de calme. En fait ne pas couvrir, laisser venir. J'ai toujours fui les gens toxiques. Pour moi. Et à chaque étape ça a été de mieux en mieux et de plus en plus vite.
Comme la colère, soit on la laisse envahir, soit on la fait passer de suite faire autre chose, après chacun en fonction de ses équipements. C'est ça qui a fait une cuirasse. Et non pas une carapace. Car il est des personnes qui tenteront de convaincre ou de se convaincre au travers des autres.
Réfléchir avec moins de données, ou en solliciter moins à force d'expériences. Identifier quand on se fout la pression, identifier quand les propos de l'autre sont faux. Et ma vie est passée et elle continuera comme ça. Tu ne te mets jamais en colère, ben non, pour quoi faire ? C'est beaucoup plus simple quand on part de ce contexte. Ensuite on est élargi et c'est beaucoup plus simple quand on fait un rapport de soi par rapport à soi.
Se mesurer en fonction de où sont partis les autres, de où ils sont, de où ils font, c'est se faire du mal je trouve. Trier au fur et à mesure. Élaguer. Décaler. Décaler n'est pas oublier, c'est passer sur un autre état d'esprit. C'est un bon moyen je trouve de ne pas laisser la porte ouverte aux nuisibles ou limiter l'impact. Systématiquement se resituer, et ça devient une habitude. Qu'est ce que j'ai pu entendre mais tu en as rien à foutre. un gros mode : causes toujours. Il est des personnes emplis de haine et de ressentiment et de problèmes et de conflit interne.
Mode bon ben salut
Un peu comme la musique, il est des notes gaies et des notes tristes. Jouer avec sa partition.
Le moment où ça bascule. Comme la souffrance. En souffrance, peut parfois être l'expression de l'autre : qu'est ce que j'aurai du mal à ta place ... ben oui mais tu n'y es pas. Prendre du recul sur le monde, pour mieux voir le monde. L'avantage quand on a ses propres règles qui sont dans les règles communes, c'est que l'on a un bagage à mettre face à l'autre. De fait on ne peut pas être mis en doute. Ca ne vient pas comme ça. C'est aussi pour cela que je pense que c'est un trait de personnalité.
Il est plus facile de trouver un équilibre entre deux pensées d'égale je sais pas quoi.
Comme il est important d'identifier les messages parasites. Pourquoi ça te touche, tu t'en fous. Partir du principe ça me touche, que fais je.
Comme pour les scénarios catastrophe. Les laisser se dérouler. Avoir ses propres routines et habitudes en fonction de soi. De son fonctionnement. Peut être que la norme je m'en fous, parce que je la prends telle qu'elle est. En parallèle.
Avoir son propre chemin et du coup les choses passent à coté. Les messages parasites pour moi ce sont les propos qui font que dans mon raisonnement j'ai une émotion, ou je passe d'une émotion positive à négative.
J'ai des classements, j'ai des gens dans le dossier : "fous le bourdon".
Le temps c'est totalement relatif. Je me souviens du jour où j'ai trouvé la technique du juste milieu. S'auto canaliser. Il est sûr que si on place l'action d'aller chercher du pain, entre : je vais vivre demain, ou je vais peut être mourir demain, ça change tout.
Ca me fait dire qu'il faut avoir des habitudes d'actions neutres. Qui ne sont teintés de rien.
Je suis plutôt traditionnelle. Ca a pour moi de gros avantages. Ca permet encore de ressentir de l'intense. Il y a des choses auxquelles je n'ai pas touché. Tant mieux ça laisse des choses à faire, à rêver, à passer faire. Après évidemment les dosages c'est parfois hardus. Mais ça n'est que quelques moments de réflexion. Réfléchir toujours en mode intense c'est fatiguant et ça n'est pas constructif.
Comme il est plus simple je trouve d'accepter une condition, un contexte. J'aurai eu du mal je pense à sans cesse le modifier au gré de mes pensées. Je suis convaincue parce que je suis convaincue de moi et de mes idées. Classer ses états mentaux.
Comme cette phrase sur les arcanes de soi et les arcanes de l'autre.
Comme toujours avoir et arriver à un moment en paix. Quand c'est la panique, je m’assois. Quand les autres s'emballent, je me mets en arrêt.
Des élastiques. J'ai fait de l'électronique un peu en cours. Poser les choses comme ça. Comme lorsqu'on faisait fondre ce fil pour colmater. En déduire là on ne colmate pas. Voir la tension et où ça va pêter.
Je ne crois sans vexer personne que ceux qui ont fait. A vérifier mais je ne pense avoir jamais raisonner par rapport à du non vécu. De fait c'est à l'envers, cette histoire de traits d'autisme. Les avoir de nouveau en fonction d'un contexte, ça veut bien dire qu'on peut ne pas les avoir.
Comme pour la souffrance, si on se dit que ça vient de connexions, on laisse passer, on cherche pas à contrôler. Un truc du genre, bon vas y fais des connexions, hop je souffre et puis hop on peut rependre le court de sa vie. C'est pour ça que je ne voulais pas aller dans l'analyse. J'imagine le truc, je souffre, ça fait mal et en plus je m'impose pendant d'essayer de savoir d'où ça vient, où ça va, où ça se connecte
Comme effectivement, je pense que l'on peut pas passer de : tout est triste et tout va mal à tout va bien, et du gai.
Connaitre son fonctionnement, pas dans les super grandes lignes, son fonctionnement mental dans un environnement défini. Sinon à mon avis effectivement ça peut partir dans tous les sens, et des sens qui ne font pas ensemble.
Imaginons une pensée comme une pâte à crèpes, il est plus simple de la faire dans la cuisine avec les ingrédients à dispo, plutôt que de devoir penser aller chercher un oeuf dans la chambre, puis la farine dans la salle de bains.
Bonne journée. Je vais marcher, ça m’aère les idées.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Le temps.
Si je dois vivre encore 40 ans, j'ai 20 ans aujourd'hui.
Si je dois mourir demain, j'en ai 80. 90.
Le juste milieu
Centrer sa pensée entre deux choses qui ne sont pas trop écartées.
Pour avancer et être posée.
En paix
Si je dois vivre encore 40 ans, j'ai 20 ans aujourd'hui.
Si je dois mourir demain, j'en ai 80. 90.
Le juste milieu
Centrer sa pensée entre deux choses qui ne sont pas trop écartées.
Pour avancer et être posée.
En paix
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Je trouve que penser en fonction de ce que l'on va dire est beaucoup plus frustrant que de penser en pensant juste, ça permet de laisser en brouillon et de le travailler tranquille, tandis que si on pense déjà à la mise en forme, c'est désagréable et c'est parasité par plein de choses.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Et je pense aussi à ce jour que toute situation peut être réfléchie en étant ramenée à un plus petit contexte. Du coup c'est plus simple à faire. Ensuite on élargit.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Comme pour utiliser la fameuse technique de déduction pour faire le tour de soi. Pour pouvoir dire : "je ne suis pas", il faut savoir ce que l'on est un peu.
Comme connaître un peu près ses limites. Ca permet de savoir de suite qui dépasse les bornes.
C'est donc bien d'avoir des repères déjà étudiés. Si pendant qu'on te casse les nouilles, tu dois trier les nouilles et les analyser, ça laisse du temps à l'autre de te les casser encore plus.
Comme sur la sérénité ou l'extase ou d'autres choses dans le genre. Il est des niveaux hiérarchisés mentaux ou des états de conscience qui, s'ils deviennent une habitude, de ce fait deviennent fades.
Comme dissocier aussi le savoir et le pratique. C'était ça mon truc de ne pas voir le lien entre savoir comment Arsène Lupin aurait fait avant, alors qu'il était dans un autre contexte, un autre environnement, une autre époque...
Comme pour la politique, avoir un avis c'est facile, faire les choses l'est beaucoup moins, c'est pour cette raison, que lorsque l'on me dit : c'est simple, je regarde si c'est une conclusion qui vient d'une pensée, d'un raisonnement, ou d'une pratique...
Comme pour le danger, comment se protéger, si on ne s'est jamais en danger ? la vision du danger est donc erronée et les systèmes de protection mis en place, le sont en fonction d'hypothèses.
Le plus drôle chez des personnes, c'est parfois l'empilation des hypothèses. "Partons d'une hypothèse, à laquelle on ajoute une théorie, non démontrée, à laquelle on ajoute une autre hypothèse sur une éventuelle probabilité, qui pourrait peut être aboutir à une conclusion non certaine, tu m'étonnes que lorsque je dis : ton truc il ne tient pas debout, on puisse imaginer que j'ai raisonné, whaou t'as vu elle est géniale, ben non, je regarde la base, si la base est bancale, forcément l'édifice ne tient pas, pas besoin de savoir ce qu'il y a au milieu ou de l'avoir appris.
si y'a personne à un bout de la corde, forcément qu'il n'est pas tenue, pas besoin d'avoir étudié sur les matériaux.
comme si on est pas ok sur ses émotions, on ne peut pas identifier celles qui viennent de soi et celles provoquées par l'autre.
et sur la majorité, c'est comme ça. mais c'est un espoir si on le voit autrement, effectivement, modifier tout un système en fonction d'une seule personne, ou comme il est dit une seule minorité, ne fera pas pour autant avancer. ça fera avancer quelques personnes mais ça fera reculer l'ensemble, donc les quelques personnes sont perdantes au final, elles avanceront pour se retrouver dans le recul des autres.
de fait avancer sur son propre chemin vers les autres, ça permet d'avoir une satisfaction que de plus les autres n'auront pas.
le plaisir obtenu par plus d'efforts est une plus grande victoire
sur le fait de décaler, justement, sans déni, c'est une façon de dire je vais chercher et qui sait trouver tout en cheminant quand même, sans avoir la frustration.
j'ai vécu des choses où il n'y avait de solution générale, si je l'avais attendu je n'aurai alors vécu que dans l'attente, il y a toujours un risque dans l'attente, on attend d'être déçu ? ou d'être réjoui. Dans le cas de la déception, dans ce cas elle est double.
Comme sur dire "le doué" s'en fout. Ben oui et ajouter mais il s'en fout pas, dans mon cas, ça n'est pas vrai, quand je m'en fous, je m'en fous vraiment, et plus on va me dire mais tu devrais pas, plus je vais insister parce que je sais que ça je m'en fous.
De fait on verra bien c'est important si j'ai plus de facilités que d'autres personnes mais effectivement je rêve d'un bouquin là dessus qui soit drôle. Parce que ça peut l'être énormément.
Comme effectivement je ne mettrais jamais dans la même phrase : jouets vivants et sex toys. En cela il est important de connaître le fonctionnement des autres et il peut d'ailleurs être utile pour se trouver et trouver le juste milieu.
Une personne qui aura été utilisée comme un jouet vivant, forcément ne trouvera pas la blague drôle.
Je ne suis pas d'accord avec le "on peut rire de tout mais pas avec tout le monde". Il est des choses dont il ne faut pas rire du tout. Sinon elle ne change pas et c'est à mes yeux totalement différent, de relativiser.
Sur la question de se sentir investi d'une mission, ça peut se situer du coté des capacités. la bonne question peut être de savoir si c'est son rôle.
comme sur les gens de la norme, ils ne vont pas spontanément trouver génial quelqu'un qui propose son aide, ne pas avoir connaissance des deux fonctionnements à mon avis doit créer de sacrés quiproquos. des conversations décalées, où les deux parlent dans le vide.
comme sur le fait de savoir se résumer, se présenter, ça peut aider à gagner du temps et à fermer plus vite les portes qui doivent l'être.
je trouve sans justement de données scientifiques, qu'il y a le système pensée collective et pensée individuelle.
j'ai trouvé ça très drôle que des personnes puissent penser pouvoir faire penser tout le monde comme eux, comme ça, juste parce qu'ils le disent et persuadés par je ne sais quoi, qu'on va les croire un fonctionnement mental différent, ne veut pas dire que les autres sont cons. Le niveau de bêtise se mesure aussi.
avoir un potentiel ou une intelligence sans être doté des outils pour s'en servir, ça ne sert à rien et c'est alors être bête. si tu as de l'essence mais pas de voiture....
comme avoir une intelligence, mais si on n'a pas travaillé le raisonnement, et qu'on met trois plombes à décider, ça aboutit à "con".
comme par exemple juger à froid d'une décision de quelqu'un d'autre qui a été prise dans l'urgence et dans un contexte, c'est complètement faussé.
comme prêter des sentiments ou des sensations aux autres. comme quand par exemple, c'est drôle, j'ai pu dire dans ma vie des choses, et que des personnes se sont arrêtées juste au fait de ce que je disais,
c'est un bon moyen de savoir qui ne raisonne pas, évidemment j'ai appris le plus grand nombre de choses plutôt de ma propre connerie en fait de fait c'est peut être pour ça que c'est plus drôle.
imagines un chat qui se demanderait en fonction de sa taille de chat comment une souris doit souffrir et se contorsionner pour entrer dans un trou de souris....
je suis sûre et je le demanderai que tout ceci probablement est inclus dans la théorie de truc ou machin chose, comme je dois être ça dans telle statistique, sachez que les cons font des statistiques aussi j'ai vécu ça donc je comprends mieux,
je suis passée par plusieurs visions d'autres personnes, et du coup je devais non plus être moi, mais effectivement un coup une conne, un coup intelligente, un coup un cas social, une autre fois bien classée dans la catégorie ceci, ou cela.
c'est vrai qu'un doué n'aime pas catégoriser mais qu'il le fait.... mais pour s'y retrouver ou pas.
je conserve ma petite science du milieu, de la façon dont les choses étaient présentées, chacun fait ce qu'il peut, je me suis demandée oui si j'allais devoir trouver des gens cons. je trouve jusqu'à aujourd'hui que chaque individu a sa propre grille de lecture de la connerie
comme par exemple sur le "bordel", tout le monde sait il que pour bon nombre de personnes le bordel entourant quelqu'un, signifie le bordel qui doit se trouver dans sa tête ? ça change la donne je trouve.
comme sur le handicap. moi si des personnes plus intelligentes que moi me disent que des choses de ma personnalité handicapent un bon fonctionnement, je me casse j'appelle ça un détournement d'objectif.
prendre du recul et se demander pourquoi on s'obstine à aller chercher la reconnaissance là à cet endroit à cette personne. moi ça a vite était, tu veux pas me la donner, salut
comme la pétanque, pourquoi vouloir atteindre le cochonnet de la partie qui se joue à coté ?
trouver le bon ensemble qui va bien à tout le monde et tout le monde est content.
comme la notion du "sais tout" c'est relatif. parfois on sait ce que l'autre ne sait pas, parfois on sait pas.
comme le "tu te prends la tête" parfois il est sincère. à mes yeux ça se situe juste dans la différence de fonctionnement. si je dois passer d'abord par un processus affectif avant de tourner une page, me dire d'aller vers ce à quoi je viendrais ensuite, c'est pas si bête au fond, ça peut même aider à gagner, on peut tuiller.
remettre ses idées dans l'ordre, moins on a d'idées moins on a de travail. commencer par remettre de l'ordre dans les siennes avant d'essayer d'en remettre dans les idées de tout le monde, c'est pas si bête
comme trouver rapidement un système de rassurage. alimenter sa mésestime de soi ou s'alimenter de façon encore plus, moi chez moi ça m'a toujours plutôt fait marrer, me regarder avec beaucoup de distance, parfois sentir venir un truc de mon fonctionnement et justement ne pas aller contre, allez vas y je te regarde, t'es pas contente ? qu'est ce qu'il y a ? ça veut pas tourner comme tu veux ? vas y fais toi un petit coup de furax et après s'impressionner d'avoir été aussi "immonde" être immonde en pensée, en pulsion c'est pas grave quand il n'y a pas de passage à l'acte.
à mon sens les émotions ça ne se classe pas, ça se vit. après trouver l'endroit.
je me doutais bien que ça allait tout un bordel ce truc. un gros dossier là où on en a vu un tout petit. ben oui je sais ça n'a pas l'air comme ça mais je me connais
comme pour la sincérité, comment attendre de la sincérité si on ne l'est déjà pas soi même ?
sur le mieux vaut en rire qu'en pleurer, j'ajoute le j'en pleure et ensuite j'en ris. ça permet d'avoir un sas de bascule pour que justement ça ne bascule pas. comme pour dire ses limites, tout le monde qui me connait sait que la demie heure quand je sors du boulot elle est à moi. sas ou stade de décompression.
après justement c'est drôle sans forcément le dire, se moquer sans le dire avec soi c'est marrant. tu regardes quelqu'un avec beaucoup de recul, ça fait comme un film humouristique, il parle, il se tord, tu le vois passer par là, et par ici, et toi tu t'es mis en mode "causes toujours". du coup ça veut pas dire que tu n'as pas d'affect, ça veut dire que tu t'es mis en mode "dessaffectivé" comme ça t'es la nana sympa. tu as laissé l'autre passer par tous ces stades à lui.
comme sur la manipulation et parfois la contre manipulation, ça veut pas forcément dire être manipulateur de faire ce qu'il faut pour protéger son système.
c'est comme pour le médecin ou le psychiatre, j'ai ça aussi, j'analyse déjà tout en pensant à y aller, donc forcément ça aboutit à : à quoi ça sert d'y aller ben justement à pas tout faire le boulot tout seul, s'auto analyser c'est bien mais le faire à deux c'est mieux.
comme aussi des fois si tu fonctionnes par modes, il faut des fois désactiver les autres modes. être sur un seul. choisir le mode de base. c'est pour ça que je pense qu'un doué si il s'y met à fond, il peut se rendre dingue tout seul si il se met en mode passif boule de flipper.... tout en activant sans s'en rendre compte tous ces autres modes.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
J'accompagne toujours le mode "causes toujours" avec la petite chanson : "il court il court le furet du bois joli" et je module des variantes, il court il court mais va t il trouver la sortie ect.
Tout ceci écarté bien évidemment d'un mode qui pourrait s'apparenter selon l'esprit tordu ou tortueux négativement hélas de certaines personnes qui se mentent souvent à elles même, sauf si cela est psychiatrique (ça arrive) à du sadisme on n'est jamais sadique avec quelqu'un qui est maso avec lui même sauf si on se sent aussi responsable par un fonctionnement de personnes qui si on les regarde ne nous apportent rien et ne s'apportent même pas à elles mêmes. Je fonctionne aussi comme ça, autant je peux me mettre en 4 si je veux pour aider quelqu'un à aller bien, autant si je me rends compte que ça lui fait du bien de se faire du mal, c'est son problème à elle, pas le mien
De toute façon je ne sais pas si ça fonctionne pour tout le monde, mais bien que je la vérifie quand même toujours, c'est toujours la 1ère minute au contact de quelqu'un qui fait mon impression et qui se confirme
Tout peut changer, sauf les fondements de personnalité je pense. Très fine j'ai trouvé est la limite entre maladie mentale et douance. Plus on remplit un fossé avec des informations claires, plus vite le fossé est moindre.
J'aime bien aussi : la critique est aisée et l'art est difficile, pour certains/certaines que moi je vois dans ma vie comme des sacrés "cas" bien pathologiques, je me suis fait : qui passe sa vie dans la critique uniquement doit se sentir fort à l'aise mais que la chute dans la réalité doit ensuite être difficile
Je pense que je pourrais fixer un peu près un niveau de QI à des personnes sans rien, sans unité de mesure Je ne donne pas mon avis là dessus, c'est un sujet que je n'ai pas étudié mais pas les conclusions sont toujours accessibles grâce aux personnes qui les partagent . Ca se situerait selon une grille de comment il a utilisé son nombre, qu'en a t il fait ? l'a t il lui même "éprouvé" ? où a t il vécu juste sur le fait qu'on lui a dit ? l'a t il vérifié par lui même ? ou a t il vécu en fonction de "on me l'a dit donc bêtement je le crois ?"
dans ce cas là si les modes de calcul varie un jour, il deviendra con d'un coup ? toute ma compassion d'avance, ça fera très mal on n'y pense pas au fait de pouvoir avoir été con de s'être pensé intelligent ... ça doit être violent comme sensation
je vois la scène, en fait vous nous avez cru bêtement et on s'est trompé, en fait vous êtes con, voire même très con
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Tapa remarqué que du coup, pour qui parlerait arbores et sens, l'expression "Des branches tout".....
et émoti conn(e)s : un drapeau blanc ?
en mode et il descendit de sa falaise pour permettre à l'autre (l'auuuuuuutreuh) de se sentir plus à l'aise, elle le vit savoir s'abaisser si bas pour se mettre à niveau et plus il descendait et faisait quelques efforts pour se moduler, plus elle le voyait grand, plus elle voyait beau, elle énumérait mentalement chacune de ses qualités dont celles invisibles pour beaucoup...., pour rien au monde, elle n'aurait échangé cet instant... rare et précieux...
et ensuite ? ben y'a un connard qui a klaxonné et j'ai du me réveiller, le feu venait de passer au vert.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=146450
Le syndrome neurotypique (ou normal)
Le Syndrome Neurotypique
Définition
Le syndrome neurotypique est un trouble neurobiologique caractérisé par un souci de préoccupations sociales, des délires de supériorité, et l'obsession de conformité.
Symptômes
Les individus neurotypiques pensent souvent que leur expérience du monde est soit la seule ou la seule bonne. Les NTs ont du mal à être seuls. Les NTs sont souvent intolérants à l'apparence des différences mineures chez les autres. Les NTs ont du mal à communiquer directement, et beaucoup ont une incidence plus élevée de mensonges par rapport aux personnes autistes.
Causes
Le NT est censé être d'origine génétique. Les autopsies ont montré que le cerveau du neurotypique est généralement plus petit que celui d'une personne autiste et a surdéveloppé les domaines liés au comportement social.
Tendance
Malheureusement, plus de 9 625 sur 10 000 personnes pourraient être neurotypique.
Traitements
Il n'existe pas de remède connu pour le Syndrome neurotypique.
Adaptation
Dans de rares cas les NTs peuvent apprendre à compenser leur handicap et d'interagir normalement avec des personnes autistes.
Critères diagnostiques du Syndrome Neurotypique
A. Altération qualitative de la communication comme le témoigne au moins un des éléments suivants:
Retard ou Absence du langage parlé. (surcompensation par d'autres modes de communications comme le geste, la mimique ou l'interprétation)
Chez les individus maitrisant suffisament le langage: Incapacité à ne pas interpréter les conversations avec autrui de manière illogique (en cherchant continuellement des doubles sens par exemple)
Usage stéréotypé et répétitif du langage. (ex. Comment ça va ? Ça va bien)
B. Altération qualitative de l'autonomie affective, comme en témoigne au moins deux des éléments suivants:
Obsession marquée de comportements non-verbaux, vagues, indéfinissables, propres à chaque personne tels que le contact oculaire, la mimique faciale, les postures corporelles et/ou les gestes.
Incapacité à établir des relations avec les pairs possédent un autre mode de fonctionnement sans faire abstraction d'une interprétation l'amenant directement à une carence affective excessive.
Recherche extrême ou anormale de confort dans les moments de détresse. (cherche le réconfort d'une manière stéréotypée, attire l'attention lorsque peu bléssé)
Le sujet n'arrive pas à s'estimer suffisamment de manière autonome, ce qui l'amène à partager constamment ses plaisirs, ses intérêts ou ses réussites avec d'autres personnes.
Recherche constamment l'attention car incapable de rester seul.
Présence de réprocité sociale ou émotionnelle : Le sujet n'existe pas sans le regard des autres.
C. Caratère restreint, répétitif et stéréotypé des comportements sociaux, des intérêts et des activités socialement acceptables, comme en témoigne au moins deux des éléments suivants :
- Préoccupation circonscrites à quelques centres d'intérêts stéréotypé et restreints permettant de sauver l'image sociale, tant dans son intensité que dans son orientation.
- Adhésion apparemment inflexible à des habitudes ou à des rituels spécifiques d'une incohérence marquée mais fonctionnels pour la norme.
- Maniérismes moteurs stéréotypés et répétitifs dont l'absence de cohérence avec l'émotion vécue provoquent une distorsion.
- Préoccupation persistantes pour certaines parties du corps.
D. La perturbation entraine un modelage cliniquement significatif du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants.
E. Il n'existe pas de retard général du langage mais la récurrence du manque de précision et de clarté de la communication est significative sur le plan clinique.
F. Au cours de l'enfance, il y a eu diminution de l'autonomie de penser et de la curiosité pour son environnement. Il y a cependant eu un apprentissage accéléré du comportement adaptatif.
http://troubles-normaux.kazeo.com/di...s,r335783.html
En savoir plus sur http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=146450#T7oWAOhcIcKJG0m2.99
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Bon sérieux Sérieux (si j'imprime tout ça pour le lire sur la plage, je vais me faire arrêter pour conduite de semi remorques là où c'est interdit )
http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-00960897/document
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http://civiic.univ-rouen.fr/ckfinder/userfiles/files/Ressources/M%C3%A9moires%20M1/2012/gassier-bommart_carole_21010740_2012.pdf
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www.bichat-larib.com/publications.../4666_REGNAULD_these.doc
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SPÉCIFICITÉS DU RAPPORT AU SAVOIR CHEZ DES LYCÉENS À HAUT POTENTIEL ET « TOUT-VENANT » : RÔLE MÉDIATEUR DES REPRÉSENTATIONS DE SOI ET DES REPRÉSENTATIONS DU HAUT POTENTIEL.
Thèse présentée et soutenue par Villatte, A. (2010, 2 février)
Thèse de Doctorat nouveau régime Direction : M. de Léonardis
RESUME"Le Haut Potentiel (HP, QI ≥ 130) est un phénomène socio-médiatique, au centre de débats passionnés et idéologiquement marqués, auquel peu de recherches scientifiques ont été consacrées dans les pays francophones. Nous souhaitons contribuer à l’effort de construction de connaissances véritablement constituées impulsé depuis quelque s années par des auteurs tels que Vrignaud (2002) et Lautrey (2004).
Plus précisément, notre objectif est d’évaluer l’influence du statut d’adolescent HP (versus « tout venant ») sur le rapport au savoir du sujet ainsi que l’effet médiateur des représentations de soi d’une part et des représentations du haut potentiel d’autre part sur cette influence. Notre échantillon est composé de 84 lycéens HP (37 filles et 47 garçons), âg és de 13 à 18 ans (M = 15,5 ; ET = 1,0), ayant effectué l’ensemble de leur scolarité au sein de classes hétérogènes (c’est-à-dire au sein de classes « ordinaires »). Ces lycéens sont appariés à 84 lycéens « tout venant » (n’ayant jamais été identifiés comme étant HP et n’ayant jamais sauté de classe) sur les critères de sexe, de situation scolaire (classe fréquentée, présence/absence de redoublement, moyenne scolaire), de milieu socioculturel et de composition de la fratrie.
Cinq instruments ont été utilisés pour recueillir les données : la technique Ge nèse des Perceptions de Soi (L’Ecuyer, 1990), le questionnaire SDQII (Marsh, 1992), le questionnaire de représentations de soi et du talent (Guskin, Zimmerman, Okolo & Peng, 1986), le bilan de savoir (Charlot, Bautier & Rochex, 1992) et l’entretien semi-directif.
Nos résultats révèlent que le statut des adolescents influence leur rapport au savoir. Les lycéens HP présentent notamment un rapport au savoir plus « savant » et réflexif que leurs homologues « tout venant ». Les représentations de soi ont un statut de variable médiatrice dans cette relation : le statut des sujets influence leurs représentations de soi (plus « abstraites » et orientées vers la sphère intellectuelle au sein de l’échantillon HP), lesquelles orientent leur rapport au savoir.
Nos résultats ne permettent pas d’affirmer l’effet médiateur des représentations du haut potentiel sur la relation entre le statut des adolescents et leur rapport au savoir : si le statut des sujets influence leurs représentations du haut potentiel, dans le sens de représentations plus positives et moins stéréotypées au sein de l’échantillon HP, les analyses multivariées nous conduisent à infirmer l’hypothèse selon laquelle ces représentations auraient un effet sur leur rapport au savoir. Les propos des adolescents, recueillis au cours d’entretiens semi-directifs, permettent d’éclairer et de compléter ces résultats.
http://lps-dt.univ-tlse2.fr/accueil/psychologie-du-developpement-et-de-l-education-familiale-et-scolaire/theses/theses-soutenues/specificites-du-rapport-au-savoir-chez-des-lyceens-a-haut-potentiel-et-tout-venant-role-mediateur-des-representations-de-soi-et-des-representations-du-haut-potentiel--229473.kjsp?RH=Theses_PsyEducation--------------------------------------------------------------------------------------------------
http://www.anpeip.org/topmenu-dys/1057-dys-s-emmelent
---------------------------------------------------------------------------------------------------
http://lps-dt.univ-tlse2.fr/accueil/psychologie-sociale-du-travail-et-des-organisations/theses/theses-en-cours/role-du-sentiment-de-privation-relative-dans-la-construction-des-perspectives-temporelles-des-individus-precarises--230095.kjsp?RH=LeLabo_PDPS
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http://lps-dt.univ-tlse2.fr/accueil/psychologie-du-developpement-et-de-l-education-familiale-et-scolaire/theses/theses-soutenues/specificites-du-rapport-au-savoir-chez-des-lyceens-a-haut-potentiel-et-tout-venant-role-mediateur-des-representations-de-soi-et-des-representations-du-haut-potentiel--229473.kjsp?RH=Theses_PsyEducation
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http://jean.heutte.free.fr/spip.php?article127
(Moi j'ai trouvé un Jean Eude qui met un émoticonne sur son site, nananère. Emotycon Power )
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PDF]CRP-CPO : Enfants et adolescents à haut potentiel
https://www.u-picardie.fr/.../com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw...
Sujet de thèse(s) susceptiblels) d'être financé(s) au titre de 2014-2015 ... Le haut potentiel intellectuel (HPI) est l'une des préoccupations du Ministère de
--------------------------------------------------------------------------------------------------Pour citer cet article
URL : www.cairn.info/revue-bulletin-de-psychologie-2006-5-page-481.htm.
DOI : 10.3917/bupsy.485.0481.
(ça c'est vraiment les trucs que j'aime pas lire....)
---------------------------------------------------------------------------
https://matheo.ulg.ac.be/handle/2268.2/730 (j'ai aussi demandé ça : Etude du récit de vie d'adultes à haut potentiel.. ON verra)
--------------------------------------------------------------------------------------------------
"Limiter les dégâts est donc possible mais difficile, et demande beaucoup de patience. Diminuer la psychopathologie d’un adulte à HP est plutôt une question de relations humaines, longues et incertaines, qu’une affaire de recettes miracles. "
"Conseils généraux pour le médecin généraliste en interaction avec une personne à HP La personne à HP ressent le besoin de tout comprendre, de trouver le sens dans chacune des actions entreprises. De façon plus générale elle cherche un sens dans tout ce qui constitue son environnement.
Favoriser une relation de qualité entre la personne à HP et son médecin passe par la prise en compte de ce besoin. L’enfant comme l’adulte à HP ne manifeste pas forcément cette attente de sens, et n’interroge pas toujours son entourage sur les sens des choses, des êtres et des actions. En effet, il lui est signifié très souvent, à l’école, ou avec ses amis, que poser trop de questions ennuie, énerve, est étrange ou dérangeant."
http://www.observation-et-imagerie.fr/douance/pdf/personnes_a_haut_potentiel_melanie_bidaut-garnier.pdf
--------------------------------------------------------------------------------------------
"Soit le surdoué présente des psychiques particulières, or celles ci peuvent dans certaines circonstances entraîner des troubles mentaux. Dans ce cas, la douance est un facteur de prédisposition à faire des pathologies psychiatriques identiques à celles de l’ensemble de la population. Je pense que les surdoués présentent du fait de leur vécu, de leur émotivité, de leur sens aigu de la morale à l’origine de leur tension intellectuelle, un terrain propice aux troubles mentaux.
Cependant ceux-ci se déclarent à l'occasion d'une décompensation liée à l'accumulation de difficultés. En fait, je pense que ce n'est pas l'intelligence qui est la cause de la souffrance, mais le choix dans son utilisation et son utilisation malhabile, plus particulièrement lors de situations difficiles.
Ce qui est bon, ce n'est pas un esprit sur-efficient qui tourne en rond et se laisse entraîner dans un engrenage malsain ( un processus mental pathologique ) que l'esprit lui-même crée et pérennise, mais plutôt un esprit qui retrouve son juste sens. Bien entendu, le surdoué peut trouver une solution à ses problèmes, donc ne plus souffrir de sa douance et vaincre ce « Mal-être », principalement en rétablissant la juste utilisation de son intelligence."s caractéristiques
http://www.observation-et-imagerie.fr/douance/pdf/personnes_a_haut_potentiel_melanie_bidaut-garnier.pdf--------------------------------------------------------------------------------------------
Dernière édition par Natatypique le Mer 30 Mar 2016, 18:58, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Je viens de faire un tour du net en me mettant à la place d'un môme de 17 ans.... sur ce sujet, ça donne
J'analyserai sûrement pas tout ça. Je crois que je saurais déjà pas me synthétiser un avis. Je vois bien le tempo selon le mode de recherche de chacun, sans médecin, sans psychiatre, sans bagage pour le faire !! la fête du slip.
Un truc à la fois, ça serait à refaire, j'irai quand même chez mon médecin quand je suis malade. Et que ça vienne de là ou pas....
Je me demande même si je vais en parler à mon nouveau médecin dès le premier rendez vous.
C'est sûrement pour ça que de moi même j'avais lu moins ou mater moins plein de films.
J'ai fait des fonds de dossiers entre autres toute ma vie, déjà on peut presque pas synthétiser. Un plan.
Moi, les tests, les symptômes de maladies de tout le monde, les symptômes qui peuvent venir de là.
Et là j'ai plein d'idées qui me viennent en tête donc je vais me détendre et dormir dessus.
Du coup elle va encore dire il est bien ce forum, ben oui un truc à la fois, bien rangé dans des cases, dans des domaines. Heureusement que lorsque j'ai tout lu, j'ai pris l'essentiel. Pour vivre normalement. et je n'ai pas activé la fonction "enregistrer tout"
Dernière édition par Natatypique le Mar 29 Mar 2016, 23:00, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Merci pour les liens et les résumés 6!6...
Si tu me permets de pourrir à minima ta prezz, je dirais qu'il est nécessaire en plus de vital de "penser une octave plus haut" car là est la juste mesure entre ce test, qui ne veut rien dire au demeurant une fois validé (exception faite des particularismes comportementaux personnels mis en lumière, autre sujet et non des moindres pour l'extra-terrestre perdu dans cette foultitude de neurotrypique...) et sa nature première...
Dire qu'ils existent des E.T qui s'évertuent à se gâcher pour se confondre parmi les autochtones en adaptant une camisole comme seule contingence à leur propre contrôle n'est malheureusement pas une vue de l'esprit ; la contrainte de la contention dire que c'est ça qui nous rend pauvre d'esprit me rend triste car c'est bien ça le drame que beaucoup s'évertuent à entretenir pour se faire accepter par des agglos bien policés.
Alors vive les brutes car celles ci brisent les prédispositions aux pathos psychiatriques !
(Mais c'est comme le bonheur, faut le vouloir.)
Si tu me permets de pourrir à minima ta prezz, je dirais qu'il est nécessaire en plus de vital de "penser une octave plus haut" car là est la juste mesure entre ce test, qui ne veut rien dire au demeurant une fois validé (exception faite des particularismes comportementaux personnels mis en lumière, autre sujet et non des moindres pour l'extra-terrestre perdu dans cette foultitude de neurotrypique...) et sa nature première...
Dire qu'ils existent des E.T qui s'évertuent à se gâcher pour se confondre parmi les autochtones en adaptant une camisole comme seule contingence à leur propre contrôle n'est malheureusement pas une vue de l'esprit ; la contrainte de la contention dire que c'est ça qui nous rend pauvre d'esprit me rend triste car c'est bien ça le drame que beaucoup s'évertuent à entretenir pour se faire accepter par des agglos bien policés.
Alors vive les brutes car celles ci brisent les prédispositions aux pathos psychiatriques !
(Mais c'est comme le bonheur, faut le vouloir.)
Kondomm- Messages : 899
Date d'inscription : 21/01/2014
Age : 47
Localisation : ;●) Grand Rouveau ou à côté.
Re: news lifes :)
Tape du pied,
Vas-y, vas-y, tape de pied,
Y'a que comme ça que tu peux remonter.
Tape de pied,
Vas-y, vas-y, tape du pied,
Ça fait trop longtemps que tu te fais discret.
Tape de pied,
Vas-y, vas-y, tape de pied,
N'aies pas peur il faudra les réveiller.
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Tu vas voir que c'est là que tu te sens en vie.
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Fais trembler les murs et réveilles les nuits.
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit,
Relâche, crache tout ce qui te pourrit.
Ce qu'il y a sous la terre, m'effraie, autant que toi,
Tes catacombes, les ombres aux murs
De nos cavernes d'Ali Baba,
Secret taillé, très englouti,
Prends la pelle comme on prend le large,
Entends l'appel.
Déterres,
Déterres-les,
Déterres-toi.
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Laisses monter le trop plein à la lisière des yeux
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Fais jaillir le ras-bol, à ras-bord qui prend feu.
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux,
Sens-tu le sol se fendre en deux?
Abandonnes, vas-y, vas-y, abandonne,
Pour qu à nouveau chaque seconde t'étonne.
Abandonnes, vas-y, vas-y, abandonne,
Tu pèses plus rien toi qui pesais des tonnes.
Abandonnes, vas-y, vas-y, abandonne,
Tapes des pieds pour que la terre
Invité- Invité
Re: news lifes :)
On gravit des sommets dans nos vies dans nos cœurs
Cet amour infini, mélange de douleurOn garantit un soir comme pour lui rendre honneur
Mais partager l'instant du bonheurTous ces regards croisés si je les ai compris
Je gravis la montagne comme je gravis ma vieDe la beauté des êtres qui m'ont fait lâcher prise
J'ai pourtant vu 1000 fois et suis encore surpriseA genoux dans la glace et sans faire ce qui doit
C'est la beauté sans mot qui transforme un instantJe tiens en moi le chaud, la saveur du présent
Ils vivent leur ascension, grimpent et bravent leur peur
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moiIl n'y a nulle prison que celle que l'on se crée au cœur
Revenir au quotidien lui non plu ordinaire
Je prend note et leçon dans ces vives lueursLa lune me regarde, ne pas mourir avant l'heure
Je garde précieusement l’expérience dans ma chaire
C'est la beauté sans mot qui transforme un instant
Dans les pages d'un bouquin ces phrases qui me décriventTout se termine et prend fin après l'extase la lessive
A genoux dans la glace et sans faire ce qui doit
Le froid que je respire, je sens que je m'allège
Je tiens en moi le chaud, la saveur du présentDe ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi
Portée dans ma tête jusqu'à mon sac à dos
Les petites tempêtes me poussent vers le haut
De ce qu'on a gravit qui fut vous qui fut moi
Je n'ai rien vu venir les deux pieds dans la neigeEt puis c'est plus facile, et un pas après l'autre
Si je marche tranquille, si je suis quelqu'un d'autre
J'aurai toute ma vie laissant faire ce qui doit
C'est la beauté sans mot qui transforme un instant
C'est la beauté sans mot qui transforme un instantA genoux dans la glace et sans faire ce qui doit
Je tiens en moi le chaud, la saveur du présent
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi
A genoux dans la glace et sans faire ce qui doit
De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi
Je tiens en moi le chaud, la saveur du présent
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Kondomm a écrit:Merci pour les liens et les résumés 6!6...
De rien Je fonctionne comme ça
Si tu me permets de pourrir à minima ta prezz,
Tu peux tu peux. Ca ne pourrit pas. C'est constructif.
je dirais qu'il est nécessaire en plus de vital de "penser une octave plus haut"
Mais pas tout le temps
car là est la juste mesure entre ce test, qui ne veut rien dire au demeurant une fois validé (exception faite des particularismes comportementaux personnels mis en lumière, autre sujet et non des moindres pour l'extra-terrestre perdu dans cette foultitude de neurotrypique...) et sa nature première...
J'ai rajouté un T Coupez, on la garde celle là
Dire qu'ils existent des E.T qui s'évertuent à se gâcher pour se confondre parmi les autochtones en adaptant une camisole comme seule contingence à leur propre contrôle n'est malheureusement pas une vue de l'esprit ; la contrainte de la contention dire que c'est ça qui nous rend pauvre d'esprit me rend triste car c'est bien ça le drame que beaucoup s'évertuent à entretenir pour se faire accepter par des agglos bien policés.
Alors vive les brutes car celles ci brisent les prédispositions aux pathos psychiatriques !
(Mais c'est comme le bonheur, faut le vouloir.)
Peux tu développer ? si le coeur t'en dit. De toute façon, parler c'est raisonner à plusieurs Il faudrait tiens des fils pour parler juste douance 'la pensée du jour sur la douance" comme je fais ici sur mon fil de raisonnement. Ca tombe ça ferait un livre commun basique.
J'aime beaucoup la nuance "pauvre" d'esprit. Mais ne sois pas triste il y a bon nombre de riches d'esprit
Je parlerai aussi, tu m'y fais penser de la brutalité, J'ai pu être assez brutale parfois "moi" avec "moi".
Je sais que la maman de ce petit garçon, autiste, juste autiste (tu vois déjà le dire comme ça, juste autiste quelle horreur , tient un blog qui est consulté avec attention et avec son accord de façon à faire avancer le chimili.
De fait je me suis demandée si juste en vivant mais en le partageant comme avant, si ça peut avancer et faire avancer des choses, même un détail sur un truc juste pour une fois, juste pour un jour, pour quelqu'un, c'est chouette en fait, j'ai eu et j'ai bien d'autres sens à ma vie, mais un de plus et comme celui ci, c'est trop génial pour citer "Castiel"
Comme sur le fait justement d'allonger des listes, c'est bien ici en mode recherche, c'est bien là où ça doit se chercher. Mais aider aussi dans le quotidien. Pour la vie courante.
"Dire qu'ils existent des E.T qui s'évertuent à se gâcher pour se confondre parmi les autochtones en adaptant une camisole comme seule contingence à leur propre contrôle n'est malheureusement pas une vue de l'esprit ; la contrainte de la contention dire que c'est ça qui nous rend pauvre d'esprit me rend triste car c'est bien ça le drame que beaucoup s'évertuent à entretenir pour se faire accepter par des agglos bien policés."
Là dessus je dirais que je n'ai pas du regarder beaucoup les ET qui... (donc ça peut se diviser mais ça fait déjà une parenthèse) mais que chieuse on me changera pas, j'ai déjà les circuits positifs en route pour dire que quiconque peut trouver moyen de faire quelque chose pour quelque chose.
Comme tu le vois sur mon fil, on pourrait déjà faire de la philo, changer d'avis 25 fois, à la lecture des liens, lancer un débat politique, écrire à toutes les personnes pour dire là ça n'est pas comme ça, ça ça n'est pas ça. On ne peut pas tout faire en même temps.
Je crois de plus que j'ai la chance de pouvoir faire un plan, un visuel, dans le réel en fonction justement de ce que j'ai vu dans ma vie, ça ça se met là, ça peut marcher, ça ça va là, là c'est pas la peine ça coincera. Je hiérarchise et je trie tout je pense. Déformation professionnelle. Il y a beaucoup de choses qui se font et qui se font bien. Avec beaucoup de gens, sur plein de domaines, dans plein d'endroits (même si il faut chercher) , et dans un bouquin il était bien marqué qu'il faudrait que le doué trouve sa cause à lui. Ainsi que le fait qu'il pense aux autres et que ça peut servir même les épreuves de la vie. donc comme on est équipés en plus pour pouvoir le faire, même si on peut être équipé en moins ou que sais je, y'a donc moyen d'être utile, il est écrit aussi ça que le doué il aime bien être utile
A suivre. un fil de préz ça peut servir à raisonner, à suivre son raisonnement, à raisonner à plusieurs, à échanger, à déconner. Bref la vie quoi Bon j'expliquerai aussi comment logiquement je me promène pas avec un forum
Mais je pense que la façon dont il fait peut permettre de se faire des compartiments mentaux. et ce que j'aurai voulu trouver plus jeune un mode d'emploi de la vie et une boite à outils et des gens. Y'a pake des scénarios catastrophes dans la vie sinon je serai pas là pour l'écrire On va appeler ça "la preuve par le vivant "?
J'y reviendrai aussi.
A suivre
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Gérer des personnalités difficiles : les clés pour bien réagir
www.psychaanalyse.com/pdf/PERSONNALITES_DIFFICILES_LEUR_...
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Comment gérer les personnalités difficiles de François Lelord et Christophe ... Nous allons résumons ici les caractéristiques des personnalités difficiles les plus.
[PDF]Vivre et travailler avec des personnalités difficiles - Dunod
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Clé 4 – Avatars et lignes de failles chez les personnalités difficiles. 6. ..... ont à gérerde plus en plus de « dossiers sensibles » tels qu'une affaire de harcèlement ...
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Mieux gérer les personnalités difficiles pour une conduite de projets efficace. « Mon collaborateur est compétent mais… !" Pour trouver le sens de sa mission,.
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www.pdfarchive.info/pdf/.../Lelord_Francois_-_Andre_Christophe_-_Co...
8 COMMENT GÉRER LES PERSONNALITÉS DIFFICILE. Nous avons donc décidé de mettre notre expérience de .. conseil en personnalités difficiles n dans ce ...
Deux psychiatres vous proposent de vous aider à mieux les comprendre pour mieux lesgérer. "Le défilé est passionnant. L ensemble a l immense mérite de .
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23 juil. 2013 - Les cadres des entreprises sont démunis quand il s'agit de gérer des situations de ... personnes difficiles à gérer sont très nombreuses. Marcel ...
Comment gérer les personnalités difficiles PDF FRENCH ...
gratuit-site.pw/ebook/29215-comment_g.html
[list="margin-right: 0px; margin-left: 0px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px;"][*]
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Catégorie : Livres Date de sortie : 2000 Genre : Psychologie Type de Fichier : PDFFRENCH Taille : 9.77 Mo Description : L anxieux qui vous harcèle, ...
[PDF]Gérer les personnalités difficiles - CCM Benchmark Group
www.ccmbenchmark.com/.../pdf-214-gerer-les-personnalites-difficilesContact formation : formation@ccmbenchmark.com - 01 47 79 51 08. Gérer les personnalités difficiles. Objectif de la formation. Comment gérer les situations de ...
On remarquera sur la première page Google sur ce thème le nombre de PDF existants sur ce thème. Euréka, c'est pour gérer et non pas psychanalyser les personnalités difficiles. Euréka 2, pas les doués, les gens de la norme Euréka 3 : il y a aussi des cas dans la norme ?
Albert, t'as pensé à la Kronenbourg pour le match demain soir ? on se commande une pizza ? t'as mis un mot sur la page Facebook de Fabrice Lucchini ? au cas où ça le tente aussi ?
Dernière édition par Natatypique le Mer 30 Mar 2016, 18:52, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: news lifes :)
J'ai trouvé un plan. Par hasard, ça m'a germé comme ça.
Donc on a plein de gens, qui peuvent rencontrer des problèmes, on a tous les problèmes du monde et tous les problèmes qui peuvent arriver dans une vie entière (évidemment on ne les aura pas tous, et chacun dans sa vie, mais bon soyons quand même prévoyant, okaouk), toutes les activités possibles, et tous les ages de toutes les étapes de la vie.
Je me suis dit que si on s'y colle tous après manger, on devrait avoir fini pour le film à 20h30, sinon l'équipe de jour se regarde le film et se détend et on passe le relais à l'équipe de nuit ?
Si on règle tout en 48 heures, on aura 24 h de retard (sans compter l'intervention ponctuelle des pensants dans la norme, y'en a bien un qui aura un problème de constipation à résoudre et surtout celui qui bloquera tout pendant deux heures à essayer de choisir entre le paquet de BN de marque, et le moins cher en sous marque) mais bon au moins on aura avancer.
Pardon, moi je suis une visuelle déjà et ensuite, sans plan, je suis perdue
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Evolution des recherches de la douance(sous-titré: doukonenestàl'instant T ?)
Tu sais que parfois tu me fais un peu penser à la mer avec toutes tes vagues, sombres, et éclairées ton vent, tes courants d'air, tes voiliers, ton soleil, tes poissons, ton bateau à moteur, ton bateau à voiles, ta duchesse, ton roi, ta reine, ton banc, ton pont, ta passerelle, tes mouettes, tes goélands et surtout tes nuages, qu'est ce que tu peux nous gonfler avec tes nuages
La différence fondamentale entre ce forum et un individu ou 10 en même temps, c'est qu'au moins, avec un individu ou 10 en même temps, on a au moins une chance de lui trouver une solution à un seul de sa problématique du jour, du coup c'est alors désespérant, oui je sais, à la fin de la journée, il est content (beurk) peut être même qu'il va sourire (rebeurk).
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Conversation téléphonique :
- Allo Chéri, t'es où ?
- Je suis dans ma présentation dans "Vie de zébre" ?
Et toi t'es où ?
- Je viens d'essayer de révolutionner l'éducation nationale dans la section débats, mais après je suis passée dans attroupements de zébres pour aller boire un coup dans mon coin, et j'ai été interpellé par la situation Européenne, et toi t'es où ?
- Je viens de me faire un titre d'un cd dans la section j'aime la musique
- alors on fait quoi ?
- ben on n'a qu'à se retrouver dans une heure dans la section humour et détente, histoire de se marrer deux secondes ?
- ouais pas con. ok à toute
Dernière édition par Natatypique le Mer 30 Mar 2016, 15:10, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Conversation téléphonique 2
- Allo, chéri
- Mais tu viens de m'appeler y'a 5 minutes,
- Je sais mais j'ai un contretemps, je viens de passer dans difficultés zébresques, du coup ma situation de 1998 vient de changer, je dois prendre rendez vous en 2016, aujourd'hui, pour informer le psychiatre que j'ai vu à l'époque qu'en fait je viens de trouver la solution, enfin une autre version.
- alors du coup qu'est ce qu'on fait ?
- ben je te tiens au courant. si ça change totalement les choses, j'irai sûrement l'écrire dans la section témoignages, dans ce cas, on se retrouvera plutôt dans celle là ?
- mouais t'es difficile à gérer, ma puce, quand même, avec des changements d'avis, pour se fixer un programme pour la journée,
- ben c'est pas ma faute, c'est le forum
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Re: Article d'Albert Jacquard : «Qu'est-ce que cela veut dire, être intelligent ?»"
par Natatypique Aujourd'hui à 20:31Je souhaitais juste, non commenter l'article mais où il se trouve, considérant que l'Obs est grand public, lui a t on demandé une définition du doué, accessible au grand public ?
De fait, je trouve l'article bien tourné, pour qu'un lecteur, voire même non concerné, puisse s'y arrêter, s'y intéresser un peu et le lire l'article, sinon, certains/certaines classeront rapidement l'article dans : "je ne comprends rien sur leur fonctionnement, il y a vraiment des personnes bizarres" et du coup pas de lecture et conclusion : les doués sont bizarres.
Ca me rappelle un commentaire de Bibo à retrouver sur le fait que des personnes concluent/classent en mode : comprends/comprends pas.
Ca me rappelle une nana qui m'avait dit un jour où je parlais par degrés pour voir à quel niveau de conversation je peux pousser qui m'avait répondu : "Dis donc, on voit que tu n'as pas de mari et pas d'enfants toi, tu as le temps de penser"
Heureusement que je ne suis pas pro en techniques scientifiques et procédés d'absorption utilisés pour améliorer les couches culottes, sinon on rechantait "il court, il court le furet" une deuxième fois
En fait je vais réfléchir là dessus aussi. Je dois avoir trouvé un mode d'introduction en pâte à crêpes.
Je continuerai à dire : "je suis con", automatiquement on me répond : "ben non ne dis pas ça t'es super ceci, et super là, et tu sais tout ça, et tu m'as aidé pour ça, alors que moi je ne savais pas. J'ai eu un milliard de collègues masculins et féminins, qui gardaient mes mails informatifs
Un jour un collègue m'a dit : j'ai ouvert un dossier spécialement pour tes mails, à chaque fois que j'ai un problème, je sais que je vais trouver la solution. Je lui ai demandé pourquoi il ne les lisait pas tout de suite. Il m'a répondu : j'ai essayé, mais je n'arrive pas à avoir des problèmes plus vite que tu n'y trouves des solutions .
(évidemment dans ce type de cas, je demande à la personne pourquoi elle ne me l'a pas dit avant et là : elle ne sait pas .... Ils ne savent pas se protéger ni communiquer les gens en fait Ils ne sont pas doués.
Tu ne le sais pas, tu t'en fous, mais moi je sais ça y est : je suis de nouveau en mode "ça me rappelle". Je suis en direct live Je n'y croyais plus. D'ailleurs ça me rappelle....
A suivre (on va en garder pour tout à l'heure ou demain, y'a plus urgence). Calme comme une grenouille. D'ailleurs, j'avais l'habitude...
Du Fébréze, dans ta vie tu mettras,
Le relationnel parfumé et serein, tu atteindras.
Y'a aussi le mode "Fais des braises" mais c'est autre chose
Le dicton inventé du jour :
Si à l'avenir, le luc entre intelligent et con, tu te retrouves,
Sur de plus un sujet sur lequel ils ne sont pas d'accord,
Et non informés au même niveau de connaissance.
Dis : "pouce"
Et que d'ailleurs tu ne t'en souvenais plus, mais que tu dois faire des courses.
"Non merci les gars, le "sandwich intellectuel" très peu pour moi, début avril, je ne me découvre jamais d'un fil, je me défiles.
Etre toujours à égale distance entre tronc de l'arbre, arborescence et nuages.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Me demander pourquoi je ne mets pas de politique dans toutes mes phrases et mes conversations.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Le papillon
Le papillon veut se marier et, comme vous le pensez bien, il prétend choisir une fleur jolie entre toutes les fleurs. Elles sont en grand nombre et le choix dans une telle quantité est embarrassant. Le papillon vole tout droit vers les pâquerettes. C'est une petite fleur que les Français nomment aussi marguerite. Lorsque les amoureux arrachent ses feuilles, à chaque feuille arrachée ils demandent :
Je t’aime à la folie passionnément pas du tout.
Le papillon décidait de tenter sa chance en se posant sur la marguerite sur laquelle il avait apercu une jolie « papillonnette » et lui demandant : m’aimes tu à la folie passionnément pas du tout ?
La papillonnette le regarda avec attention détaillant ses ailes du regard et fini par lui indiquer que non c’était pas du tout et qu’en passant il ferait bien de changer de tatoueur car les dessins figurant sur ses ailes n’étaient vraiment terribles.
Le papillon fut très déçue qu’on le juge ainsi sur son apparence et non sur ses qualités intérieures et s’en alla d’un battement de ses deux ailes un peu plus loin vers de jolies fleurettes.
-Jolies, charmantes fleurettes ! dit le papillon, mais elles ont encore un peu trop la tournure de pensionnaires. Comme les très jeunes gens, il regardait de préférence les personnes plus âgées que lui.
Il s'envola vers les anémones ; il les trouva un peu trop amères à son goût. Les violettes lui parurent trop sentimentales. La fleur de tilleul était trop petite et, de plus, elle avait une trop nombreuse parenté.
La fleur de pommier rivalisait avec la rose, mais elle s'ouvrait aujourd'hui pour périr demain, et tombait au premier souffle du vent ; un mariage avec un être si délicat durerait trop peu de temps.
La fleur des pois lui plut entre toutes ; elle est blanche et rouge, fraîche et gracieuse ; elle a beaucoup de distinction et, en même temps, elle est bonne ménagère et ne dédaigne pas les soins domestiques.
Il allait lui adresser sa demande, lorsqu'il aperçut près d'elle une cosse à l'extrémité de laquelle pendait une fleur desséchée :
-Qu'est-ce cela ? fit-il.
Une fleurette qui à force de repousser toute avance a fini par se dessécher. La marguerite revint à la l’esprit du papillon et il préféra s’en retour vers un pied de menthe.
La menthe demeura silencieuse et guindée, en l'écoutant. À la fin elle dit :
-Je vous offre mon amitié, s'il vous plaît, mais rien de plus. Je suis vieille, et vous n'êtes plus jeune. Nous pouvons fort bien vivre l'un pour l'autre ; mais quant à nous marier... sachons à notre âge éviter le ridicule.
C'est ainsi qu'il arriva que le papillon n'épousa personne. Il avait été trop long à faire son choix, et c'est une mauvaise méthode. Il devint donc ce que nous appelons un vieux garçon.
L'automne touchait à sa fin ; le temps était sombre, et il pleuvait. Le vent froid soufflait sur le dos des vieux saules au point de les faire craquer.
Il n'était pas bon vraiment de se trouver dehors par ce temps-là ; aussi le papillon ne vivait-il plus en plein air. Il avait par fortune rencontré un asile, une chambre bien chauffée où régnait la température de l'été.
Il y eût pu vivre assez bien, mais il se dit : «Ce n'est pas tout de vivre ; encore faut-il la liberté, un rayon de soleil et une petite fleur.»
Il vola vers la fenêtre et se heurta à la vitre.
On l'aperçut, on l'admira, on le captura et on le ficha dans la boîte aux curiosités.» Me voici sur une tige comme les fleurs, se dit le papillon.
Noeuds, Papillon ?
Invité- Invité
Re: news lifes :)
-M'aime-t-il ou m'aime-t-elle un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout ? La réponse de la dernière feuille est la bonne. Le papillon l'interroge :
-Chère dame Marguerite, dit-il, vous êtes la plus avisée de toutes les fleurs. Dites-moi, je vous prie, si je dois épouser celle-ci ou celle-là.
La marguerite ne daigna pas lui répondre. Elle était mécontente de ce qu'il l'avait appelée dame, alors qu'elle était encore demoiselle, ce qui n'est pas du tout la même chose. Il renouvela deux fois sa question, et, lorsqu'il vit qu'elle gardait le silence, il partit pour aller faire sa cour ailleurs. On était aux premiers jours du printemps. Les crocus et les perce-neige fleurissaient à l'entour.
-C'est ma soeur, répondit Fleur des Pois.
-Vraiment, et vous serez un jour comme cela ! s'écria le papillon qui s'enfuit.
Le chèvrefeuille penchait ses branches en dehors d'une haie ; il y avait là une quantité de filles toutes pareilles, avec de longues figures au teint jaune.
-À coup sûr, pensa le papillon, il était impossible d'aimer cela.
Le printemps passa, et l'été après le printemps. On était à l'automne, et le papillon n'avait pu se décider encore. Les fleurs étalaient maintenant leurs robes les plus éclatantes ; en vain, car elles n'avaient plus le parfum de la jeunesse. C'est surtout à ce frais parfum que sont sensibles les coeurs qui ne sont plus jeunes ; et il y en avait fort peu, il faut l'avouer, dans les dahlias et dans les chrysanthèmes. Aussi le papillon se tourna-t-il en dernier recours vers la menthe. Cette plante ne fleurit pas, mais on peut dire qu'elle est fleur tout entière, tant elle est parfumée de la tête au pied ; chacune de ses feuilles vaut une fleur, pour les senteurs qu'elle répand dans l'air.»C'est ce qu'il me faut, se dit le papillon ; je l'épouse.» Et il fit sa déclaration.
Certainement, ce n'est pas très agréable ; mais enfin on est casé : cela ressemble au mariage.» Il se consolait jusqu'à un certain point avec cette pensée.»C'est une pauvre consolation», murmurèrent railleusement quelques plantes qui étaient là dans des pots pour égayer la chambre.» Il n'y a rien à attendre de ces plantes bien installées dans leurs pots, se dit le papillon ; elles sont trop à leur aise pour être humaines.»
(c'est une histoire en mode puzzle... le premier qui met tout dans le bon ordre, gagne un poussin jaune pailleté)
-Chère dame Marguerite, dit-il, vous êtes la plus avisée de toutes les fleurs. Dites-moi, je vous prie, si je dois épouser celle-ci ou celle-là.
La marguerite ne daigna pas lui répondre. Elle était mécontente de ce qu'il l'avait appelée dame, alors qu'elle était encore demoiselle, ce qui n'est pas du tout la même chose. Il renouvela deux fois sa question, et, lorsqu'il vit qu'elle gardait le silence, il partit pour aller faire sa cour ailleurs. On était aux premiers jours du printemps. Les crocus et les perce-neige fleurissaient à l'entour.
-C'est ma soeur, répondit Fleur des Pois.
-Vraiment, et vous serez un jour comme cela ! s'écria le papillon qui s'enfuit.
Le chèvrefeuille penchait ses branches en dehors d'une haie ; il y avait là une quantité de filles toutes pareilles, avec de longues figures au teint jaune.
-À coup sûr, pensa le papillon, il était impossible d'aimer cela.
Le printemps passa, et l'été après le printemps. On était à l'automne, et le papillon n'avait pu se décider encore. Les fleurs étalaient maintenant leurs robes les plus éclatantes ; en vain, car elles n'avaient plus le parfum de la jeunesse. C'est surtout à ce frais parfum que sont sensibles les coeurs qui ne sont plus jeunes ; et il y en avait fort peu, il faut l'avouer, dans les dahlias et dans les chrysanthèmes. Aussi le papillon se tourna-t-il en dernier recours vers la menthe. Cette plante ne fleurit pas, mais on peut dire qu'elle est fleur tout entière, tant elle est parfumée de la tête au pied ; chacune de ses feuilles vaut une fleur, pour les senteurs qu'elle répand dans l'air.»C'est ce qu'il me faut, se dit le papillon ; je l'épouse.» Et il fit sa déclaration.
Certainement, ce n'est pas très agréable ; mais enfin on est casé : cela ressemble au mariage.» Il se consolait jusqu'à un certain point avec cette pensée.»C'est une pauvre consolation», murmurèrent railleusement quelques plantes qui étaient là dans des pots pour égayer la chambre.» Il n'y a rien à attendre de ces plantes bien installées dans leurs pots, se dit le papillon ; elles sont trop à leur aise pour être humaines.»
(c'est une histoire en mode puzzle... le premier qui met tout dans le bon ordre, gagne un poussin jaune pailleté)
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Les surdoués ordinaires, de Nicolas Gauvrit
par cléo » Sam 19 Avr 2014 22:02
....aux PUFs, sortie le 14 mai.
"L'auteur passe en revue toutes les questions et théories psychologiques à propos des surdoués afin d'y répondre de manière simple et précise : la génétique, la dépression, le handicap et l'intelligence, l'humour, la sensibilité..."
Re: Les surdoués ordinaires, de Nicolas Gauvrit
par madeleine » Mar 10 Juin 2014 21:37
Donc j'ai acquis le livre de Nicolas Gauvrit et je l'ai lu dans le train ce week-end. L'auteur entreprend une vaste mise au point sur l'état actuel des connaissances sur les surdoués, en confrontant les lieux communs et les idées reçues à une analyse rigoureuse des sources et des méthodologies de recherche qui leur auraient donné naissance. A cet titre, et grâce à un style concis, précis et agréable à lire, cet ouvrage permet de cerner avec davantage de clarté ce qu'on peut actuellement affirmer et ce qui relève de l'hypothèse, et je dois dire que ça change de ce qui m'est tombé des mains jusqu'à présent
Je n'arrive pas à dégager beaucoup de temps et d'énergie à la fois en ce moment (boulot, jardin, scolarité à domicile, toussa ...), aussi je vous propose un compte-rendu par épisodes courts, (je vais tâcher d'éditer tous les jours) qui pourra peut-être rendre service à celles et ceux qui n'ont pas trop de temps non plus, et donner à d'autres l'envie de le lire (auquel cas, je peux l'envoyer en prêt s'il me revient dans un délai raisonnable )
Après un court avant-propos qui esquisse la place de son ouvrage dans la littérature sur les surdoués, à savoir[proposer]une synthèse de la littérature scientifique sur les enfants et les adolescents précoces qui s'adresse au plus grand nombre, tout en adoptant un point de vue rationaliste et résolument scientifique., Nicolas Gauvrit précise les modalités de sa démarche :
-effectuer un tri parmi la littérature "pléthorique et d'une qualité douteuse", et "sélectionner les articles qui apportent des nouveautés et se fondent sur des expériences véritables".
- s'accorder sur une définition préalable de la douance, après un passage en revue des termes utilisés, de leurs limites, en démontrant au passage combien le flou artistique qui règne dans ce domaine contribue à disqualifier certaines recherches,
-établir par quelle mesure de QI retenir comme base et pourquoi (égal ou supérieur à 130)
- tenir compte des biais évidents d'échantillonnage (par exemple : population étudiée choisie parmi les associations de parents d'enfants surdoués, ou parmi des enfants repérés par les professeurs sollicités ; "dans tous les cas, ces méthodes d'échantillonnage aboutissent à un échantillon de surdoués voyants laissant immanquablement de côté tous les surdoués (et ils existent) invisibles : ceux qui arrivent à se fondre dans la masse, obtiennent des résultats corrects mais sans plus, ne font pas d'histoires, ont des amis, et gardent pour eux les questions trop avancées qui leur viennent à l'esprit.
"Le domaine de l'étude scientifique de la précocité intellectuelle est donc paradoxal : immense, bouillonnant, mais largement pollué par une impressionnante quantité de travaux inutiles, peu informatifs ou inexploitables parce que bâtis sur des échantillons non représentatifs. "
Le ton est donné. Chapitre par chapitre, l'auteur s'attache ensuite à remettre dans une perspective conforme aux modalités qu'il a choisies un certain nombre d'idées reçues concernant la population surdouée.
1. Génétique, L'intelligence en héritage
Ce chapitre commence par un résumé de l'histoire du débat entre l'origine innée ou acquise de l'intelligence en général, à travers les travaux de Galton, Skinner puis Chomsky ; il est entendu à l'heure actuelle que l'hérédité détermine partiellement l'intelligence, dans une proportion qu'on peut estimer à l'aide de la notion de variance inter-individuelle , déterminée par 4 facteur : 1) patrimoine génétique 2) environnement familial 3) environnement non familial 4) hasards et accidents de la vie.
"Il est possible, par le calcul, à partir de l'étude des jumeaux monozygotes et dizygotes, de déterminer la part de chaque facteur dans les variations du QI. En faisant cela, on néglige les interactions possibles entre les différentes causes, raison pour laquelle il faut rester prudent sur ces évaluations. [...] Les estimations tirées des calculs n'en restent pas moins précieuses et peuvent servir de base solide pour une discussion sur l'importance relative du génétique et du culturel."
A partir de ces calculs, il semblerait que la part génétique de l'intelligence serait d'en moyenne 50% pour les enfants et 75% pour les adultes, l'influence de l'environnement décroissant avec l'âge, ces pourcentages étant ceux observés dans notre société où l'accès à l'éducation est général, ce qui fait que les différences d'environnement familial et scolaire restent faibles.
Gauvrit aborde ensuite la question de savoir s'il est possible de découvrir des gènes qui interviendraient dans cette détermination de l'intelligence. Il constate que celle-ci est très fortement corrélée à la mémoire de travail, qui est de ce fait considérée comme un très bon prédicteur d'intelligence. "Les théories les plus récentes concernant la mémoire de travail la relient à la vitesse à laquelle on fait les opérations mentales". Gauvrit évoque donc la possibilité de gènes codant une protéine neurotransmettrice plus rapide pour expliquer le différentiel de vitesse des opérations mentales et donc in fine d'intelligence. Il dit quelques mots des gènes codant la testostérone et d'études faisant un lien entre le niveau de cette hormone et la précocité mais sans s'attarder, pas plus que sur d'autres travaux portant sur des gènes précis, dont l'effet sur l'intelligence reste "microscopique".
Il donne plus d'importance aux recherches menées par Robert Plomin et à sa théorie des "gènes généralistes", tout en parlant de spéculations et de science en marche.
Le chapitre se termine par deux courtes pages sur l'intelligence des surdoués, faute de travaux spécifiques. Quand ceux-ci existent, leurs résultats ne concordent pas et ne semblent pas mener actuellement vers une héritabilité supérieure de la douance par rapport à l'intelligence générale. Il envisage la possibilité d'un effet plafond "qui fait qu'à partir d'un QI de 120, on n'a plus que des enfants ayant les bonnes versions de tous les gènes impliqués. Dans ce cas, la différence entre un QI de 120 et un QI de 140 ne s'expliquerait que par l'environnement."
Le chapitre se conclut par l'évocation sommaire des pistes qu'ouvre l'épigénétique pour expliquer les variances et les hétérogénéités.
Chapitre 2
Neurologie. Un cerveau efficace
"... même si on ne fait pas le lien entre cerveau et pensée, cette dernière est bien une émanation déroutante du corps."
L'introduction pose les termes des corrélats neuraux de l'intelligence, en particulier des surdoués, avec les hypothèses d'un cerveau plus puissant ou plus efficace, entre lesquelles il est difficile de trancher, comme il le démontre par la suite
Après une petite mise au point sur l'EEG, il évoque les travaux de N. Jausovec, qui a démontré le premier que d'une part les adolescents surdoués conservent un rythme alpha pendant la résolution de problèmes (cerveau plus efficace), et d'autre part qu'ils ont une activité cérébrale plus élevée que la moyenne lorsqu'ils ne sont PAS en train de réfléchir à un problème (cerveau plus puissant), résultats confirmés à plusieurs reprises.
Il parle ensuite des travaux de Bart Rypma, qui a étudié par IRMf le fonctionnement cérébral d'enfants réalisant l'épreuve Codes de la WISC. Celui-ci a pu démontrer que les enfants surdoués activaient relativement davantage le lobe pariétal (tâches automatiques) que le lobe frontal (attention contrôlée), au contraire des autres enfants, ce qui semble confirmer la théorie de l'afficacité. Mais cette activation est également plus puissante que la moyenne (balle au centre ...).
D'autres liaisons statistiques entre certaines caractéristiques physiques et la douance sont ensuite abordées rapidement du fait d'un manque certain de recherches sérieuse, un petit développement est accordé à la latéralité ; les surdoués seraient plus souvent ambidextres, Gauvrit mentionne les travaux de l'équipe de J. Prescott à Melbourne qui a constaté"une connectivité plus nette enter les diverses parties de chaque hémisphère, mais également entre les deux hémisphères chez les adolescents les plus doués. La qualité de l'échange d'informations entre les deux parties du cerveau est donc un élément possible parmi les sources de la précocité intellectuelle."
Gauvrit raconte comment on est passé de l'idée d'un cerveau découpé en "zones" à celui d'un fonctionnement "en réseau", jusqu'à la thèse de Haier et Jung, présentée sur le site d'AS, sur l'intégration fronto-pariétale, selon laquelle"c'est bien l'efficacité et la densité de ce réseau qui expliquerait les différences de niveau d'intelligence abstraite".
Il évoque également l'évolution particulière du cortex des enfants précoces, à travers les travaux de J. Alexander et ceux de P. Shaw.
En contrepoint de ces approches, pour nuancer l'idée d'un cerveau qualitativement différent, il aborde les recherches sur la plasticité cérébrale et son influence sur les capacités et l'intelligence, mentionnant entre autres l'étude de Haier et al. , qui a démontré qu'on pouvait épaissir le cortex visuel d'adolescents en trois mois d'entrainement intensif à Tetris.
"Entre le biologique et le psychologique, c'est bien d'imbrication qu'il faut parler. Les liens sont à double sens, et s'il est vrai qu'un changement biologique aura souvent des conséquences comportementales ou cognitives, la réciproque est également vraie. Le cerveau particulier des enfants précoces n'est donc pas la preuve que la précocité est avant tout biologique, la réciproque étant également envisageable. A fortiori bien sûr, le substrat biologique de la douance ne prouve en aucun cas à lui seul qu'elle est congénitale, innée ou génétique."
chapitre 3.
Hyperactivité
Des petites piles électriques ?
Ce chapitre aborde l'idée que les enfants surdoués disposeraient d'une énergie excessive, qui les amène souvent à un diagnostic de Trouble de l'attention et/ou Hyperactivité, et cherche à établir s'il existe un lien avéré entre précocité intellectuelle, inattention et hyperactivité qui relèverait de la pathologie.
Les critères retenus par le DSM (il n'est pas précisé de quelle version il s'agit malheureusement) sont posés, tant au niveau des symptômes que de leur durée et leur degré, pour le TDA et pour l'Hyperactivité, et ce pour la population générale. Il expose ensuite les tenants et les aboutissants de la polémique autour de l'existence du TDAH, des difficultés de diagnostic, des troubles qui se centrent plutôt autour de l'attention et de ceux qui se centrent autour de l'impulsivité ; certains chercheurs défendent l'idée qu'il s'agit de problèmes complètement différents, même s'ils peuvent se trouver combinés, ce qui ne favorise pas les recherches pour savoir si le TDAH est plus ou moins fréquent chez l'enfant surdoué.
Il évoque ensuite le débat autour de l'usage de la Ritalin, de son efficacité et de son innocuité en usage normal, et des raisons de l'augmentation exponentielle de son usage au détriment des psychothérapies. Enfin, il mentionne l'attention à prêter aux risques et avantages d'un diagnostic de TDAH, qui modifie le comportement de l'enfant et la manière dont les autres le perçoivent.
En ce qui concerne les enfants surdoués, dont on dit qu'ils sont souvent plus inattentifs ou plus hyperactifs que les autres, Gauvrit remet d'abord en garde contre le biais d'échantillonnage, les enfants précoces "à problèmes" étant plus aisément repérés que les autres, et tente de savoir si ces enfants sont plus souvent victimes d'un TDAH que les autres. Passant en revue plusieurs études, il démontre que non seulement le TDAH est plus souvent lié à un retard mental, mais que les enfants surdoués développent une attention soutenue plus efficace et pénétrante que les autres (Jiannong Shi et al., Université de Pékin).
Il évoque ensuite la théorie de Niall Hartnett, selon lequel "alors qu'un enfant souffrant véritablement de TDAH serait inattentif parce qu'incapable de contrôler son focus attentionnel, un enfant précoce serait inattentif par suite du manque de stimulation cognitive de son environnement."
A l'heure actuelle, la majorité des scientifiques "semblent bien considérer qu'il y a effectivement un lien, tout en admettant que le TDAH des enfants surdoués soit d'un type un peu spécial." Ce qui bien sûr n'exclut pas la possibilité d'enfants surdoués souffrant d'un TDAH ordinaire.
Chapitre 4.
Cauchemars
La nuit des enfants précoces.
Gauvrit passe d'abord rapidement en revue ce qu'on sait du sommeil, de ses fonctions et de sa structure, pour évoquer la possibilité que le sommeil des enfants surdoués soit quantitativement et/ou qualitativement différent.
Un étude rigoureusement contrôlée établit un lien entre créativité et troubles du sommeil ; toutefois la corrélation entre créativité et douance n'est pas suffisamment forte pour que ces résultats soient transférables sans vérification.
Aucune étude n'établit clairement si les enfants surdoués dorment plus ou moins que les autres ; certains travaux suggèrent que "si 20% des enfants précoces dorment plus que les jeunes tout-venants, ils sont également 20% à dormir au contraire moins que les autres ..." Un sommeil quantitativement différent n'est donc pas établi.
Qualitativement, le sommeil peut être troublé par diverses parasomnies, Gauvrit évoque les plus fréquentes : somnambulisme et terreurs nocturnes, sans qu'on dispose de recherches incontestables quand à une éventuelle prévalence de ces troubles chez les enfants surdoués, et cauchemar : "il existe un consensus relatif parmi les psychologues pour penser que les enfants surdoués sont encore plus exposés aux cauchemars que le reste de la population enfantine. Il ne semble pas y avoir de preuve absolument irréfutable de cette différence, mais un faisceau d'observations concordantes."
Deux théories coexistent pour l'expliquer.
La première rapproche la capacité des enfants précoces à comprendre des réalités effrayantes avant les autres enfants de leur âge, tout en n'ayant pas acquis la maturité émotionnelle qui leur permettrait de s'en protéger.
La seconde est celle des surexcitabilités de Dabrowski, exposée rapidement, qui considère que les enfants surdoués vivraient leurs peurs plus intensément et avec une plus grande acuité.
En conclusion, "les deux théories - celle de l'hyperexcitabilité et celle du développement de l'intelligence émotionnelle - se rejoignent sur le principal : l'enfant précoce est confronté aux mêmes peurs que les autres, mais plus tôt, et y réagit de manière différente." Il est donc possible que cela occasionne plus de cauchemars, étant donné le lien fort entre cauchemars et peurs constaté pour tous les enfants.
Chapitre 5.
Dépression
Marre de la vie ?
Considérant que, comme toutes les personnes identifiées comme "différentes", au même titre que par exemple les enfants handicapés, les surdoués sont susceptibles d'être exposés aux moqueries, harcèlements, au stress et à l'anxiété, "Il est donc naturel de supposer que les surdoués sont particulièrement tourmentés, anxieux, dépressifs et suicidaires et cela a souvent été avancé dans la littérature, la plupart du temps en s'appuyant sur des éléments informels : des témoignages ou des études de cas." Toutefois, il n'est pas certain que globalement ils constituent une population à risque.
Pour le suicide des enfants surdoués, il n'existe aucune étude épidémiologique, ni en France ni ailleurs. Il n'y a donc que des hypothèses ; on pourrait imaginer que, dans la mesure où la douance est un atout, malgré certains inconvénients, le taux de suicide devrait être inférieur à la moyenne.
Ou au contraire, comme les théories dominantes en psychologie, soutenir que le taux de suicide serait supérieur, du fait des mêmes raisons exposées pour justifier la prévalence des cauchemars au chapitre précédent. Et bien sûr il arrive que certains surdoués se suicident.
Faute de données épidémiologiques, Gauvrit propose de considérer trois facteurs généralement considérés comme prédicteurs du suicide, passant rapidement sur l'interaction entre facteurs exogènes et endogènes : le stress, l'anxiété et la dépression, et de voir si on peut établir que les surdoués sont davantage concernés par ces troubles.
Après une définition de chaque facteur dans la population générale, symptômes et conséquences connues, il présente de DASS (Depression, anxiety and stress scale).
Passant à la population surdouée, Gauvrit indique que "le stress est un domaine délaissé par les chercheurs travaillant sur les enfants surdoués. Les rares publications qui abordent cette question suggèrent que les enfants précoces vivraient en moyenne moins d'événements stressants que les autres, sans qu'il y ait de différence mesurable quant au niveau de stress lui-même." Il rapporte à ce sujet deux hypothèses : soit la douance permet aux enfants d'éviter les situations stressantes, tout en souffrant davantage de celles qu'ils rencontrent tout de même, soit, dans la mesure où les test de QI dépendent aussi de l'état général du sujet, "les enfants ayant vécu beaucoup d'événements traumatisants, ou tout au moins stressants, peuvent obtenir des résultats plus faibles que les autres pour cette raison. Il s'agirait donc d'une relation de causalité, mais en sens inverse de la précédente."
On a plus de données concernant l'anxiété. Le psychiatre S. Blatt de Yale suppose sans le prouver que les enfants précoces seraient plus perfectionnistes que les autres ce qui pourrait déboucher sur de l'anxiété. Gauvrit met davantage en valeur les résultats de deux études à grande échelle effectuées en Israël : l'une établit que les filles sont plus anxieuses que les garçons, que les élèves HP scolarisés dans des écoles spécialisées sont plus anxieux que ceux qui suivent une filière normale, mais surtout que les élèves surdoués sont globalement moins anxieux que la moyenne !
L'autre étude établit que les enfants surdoués ont un plus grand besoin d'épanouissement, davantage d’empathie et de tendance à l'introversion, mais ont un niveau d'anxiété plus faible que la moyenne. "Ce qui n'empêche pas bien évidemment qu'il existe des enfants précoces anxieux, comme il existe des enfants précoces stressés. La précocité n'immunise pas contre ces troubles, mais, en moyenne, la douance a plutôt pour corrélat une anxiété réduite."
Enfin pour la dépression, Gauvrit considère d'une part la possibilité que la douance, en tant qu'avantage, permette d'accéder à un métier plus épanouissant et à une vie plus riche, et d'autre part les théories dominantes en psychiatrie qui prévoient plutôt que la précocité favorise la dépression, en particulier la dépression existentielle. Toutefois, dans la mesure où cela ne semble être étayé par aucune étude précise, il préfère parler des travaux de recherche sur la dépression en général, qui ne pointent, de fait, aucune corrélation avec le niveau de QI.
"Pour conclure, la plupart des résultats sur le stress, l'anxiété et la dépression sont négatifs : des théories séduisantes et bien ficelées prévoyaient des différences entre enfants surdoués et ordinaires en défaveur des ###babouins nains des marécages###. Pourtant, mis à part le niveau d'anxiété qui diffère (mais dans le sens inverse des idées reçues), on ne trouve aucun écart moyen entre les populations précoce et ordinaire quant à ces caractéristiques.
Cela ne remet pas en cause le fait que Certains surdoués sont dépressifs ou particulièrement stressés, et cela même à l'âge adulte comme en témoignent Cécile Bost et Christophe Lançon dans leur ouvrage récent. En réalité, il se pourrait que certains sous-groupes (pensez aux surdoués en échec scolaire) soient particulièrement confrontés aux dépressions, mais que d'autres groupes préservés équilibrent les choses. Il reste que globalement, au niveau des populations, les surdoués sont plutôt bien lotis dans ce domaine."
le chemin est long et la pente est rude, oui, mais le mieux, c'est le chemin, parce que l'arrivée, c'est la même pour tout le monde... Aooouuuh yeaah...
Chapitre six;
Bi-exceptionnels
L'un n'empêche pas l'autre
Ce chapitre traite des doubles diagnostics : douance et autisme, douance et troubles psy, douance et troubles des apprentissages, ceux-ci pouvant expliquer partiellement les difficultés scolaires de certains enfants surdoués ; l'auteur évoque également les travaux de Nava Butler-Por, qui ont mis en évidence le rôle majeur de la motivation ( "goût soit pour le travail, soit pour les résultats qu'il pourra obtenir grâce au travail") dans la sous-performance de certains enfants ; il aborde ensuite ce qu'il appelle "la nébuleuse des dys".
Il pose une définition sommaire des différents troubles spécifiques des apprentissages, précisant que leur incidence dans la population surdouée est au moins aussi fréquente (10 - 15 %)que chez les autres, et que "Certains éléments suggèrent même que le risque de trouble des apprentissages augmente avec le QI, rendant les plus doués particulièrement sensibles à ces handicaps, comme l'explique la psychologue Linda Silverman. On sait que la douance est en partie héréditaire. C'est également vrai pour la plupart des troubles de la nébuleuse des "dys". "
Il évoque les difficultés relationnelles et personnelles que ces troubles engendrent et les évaluations largement négatives faites par les enseignants ; parlant plus spécifiquement de la dyslexie, il évoque sommairement une explication spéculative de ce trouble, basée sur les latéralisations cérébrales, sans s'y attarder.
Il évoque ensuite la cohabitation entre "génie et folie", à travers les travaux sur le lien privilégié entre schizophrénie et créativité, évalué par les travaux de P. Brugger, et ceux de M. Isohanni qui "se sont penchés sur les liens éventuels entre la schizophrénie et la réussite scolaire, qui sert ici d'indice (très discutable !) de précocité", et qui suggèrent tous deux un véritable lien avec la douance.
Pour les autres troubles psychiques, la littérature concernant spécifiquement les surdoués est insuffisante. Gauvrit mentionne les travaux de la chercheuse Laurie Martin et al. qui a publié une analyse des publications scientifiques des 25 dernières années sur les personnes bi-exceptionnelles, dont la plus grande partie est inutilisable faute de méthodologie fiable, et qui n'est pas parvenue à faire apparaître un lien significatif entre douance et troubles divers.
Il évoque ensuite le lien entre douance et Spectre du Trouble Autistique : définissant dans un premier temps l'autisme, il précise que "la grosse majorité des enfants autistes souffre de retard mental et de difficultés parfois énormes d'apprentissage sans lien avec la douance". Il évoque ensuite les personnes porteuses du Syndrome d'Asperger, qui ont une intelligence au moins égale à la normale et parfois supérieure "les faisant entrer dans la catégorie des "twice exceptionnal" : à la fois autistes et surdoués", et qui, quoique très médiatisés, sont relativement rares (1 personne sur 160 présenterait une forme d'autisme, 1sur 1000 pourrait être classée Asperger, et parmi ceux-ci tous ne sont pas surdoués). Il évoque les cas d'autistes ayant développé une compétence exceptionnelle, précisant pourquoi il ne s'agit pas dans ce cas de douance, dans la mesure où on l'observe aussi bien pour des personnes avec un retard mental.
Il existe toutefois un nombre troublant de similitudes dans le comportement des jeunes enfants surdoués et des jeunes enfants avec autisme, les rendant parfois difficile à distinguer, qui ont été observées et maintes fois décrites ; il évoque les quelques hypothèses formulées pour expliquer ces similitudes, tout en nuançant leur portée : Temple Grandin, par exemple," suppose qu'en réalité les autistes se distinguent par l'excès d'une compétence bénéfique. Elle explique que la capacité de concentration, la tendance à focaliser toute son attention sur un objet pendant assez longtemps et en faisant abstraction du contexte est évidemment un atout majeur pour bien réussir à l'école. Mais lorsque cette tendance dépasse les bornes, et qu'on devient incapable de se détacher d'un problème particulier, incapable de gérer ses centres d'attention, cet atout à la base de la douance se mue en un handicap qui caractérise l'autisme."
Il s'interroge ensuite sur la possibilité de liens plus profonds, avec prudence ("Ces affinités entre surdoués et autistes pourraient très bien être purement fortuites. Les traits que l'on retrouve chez les uns et les autres pourraient provenir de causes totalement distinctes. En aucun cas on ne peut donc conclure qu'il existe une cause commune, ou un lien profond entre autisme et douance sur la base de ces observations, qui mériteraient d'ailleurs d'être mieux étayées.").
Il évoque deux autres hypothèses concernant l'autisme, l'une proche de la théorie de Dabrowski et qui ferait dériver les comportements autistiques d'un excès d'hyperexcitabilité ; l'autre qui est développée par S. Baron-Cohen et qui suppose que les personnalités et centres d'intérêts se répartissent sur un continuum, qui va des "cerveaux sociaux" aux "cerveaux scientifiques" très schématiquement, et où les autistes se trouveraient tout à droite du continuum. Il avance très prudemment la possibilité que "les mêmes causes, à savoir un esprit plus porté vers les objets et les systèmes que vers les relations sociales, à la réflexion abstraite qu'au développement de l'intelligence émotionnelle, auraient pour effet, selon leur degré, la précocité intellectuelle ou l'autisme. A un degré élevé mais raisonnable, ce cerveau se traduirait par une facilité à apprendre des concepts abstraits qui caractérise les petits surdoués. A un degré plus important, trop important, il ferait germer les effets secondaires du repli sur soi, de la difficulté à comprendre les codes sociaux, traits caractéristiques des personnes autistes."
le chemin est long et la pente est rude, oui, mais le mieux, c'est le chemin, parce que l'arrivée, c'est la même pour tout le monde... Aooouuuh yeaah...
chapitre 7
Humour
Un humour décapant ?
"Les anecdotes de réponses décalées, signes d'un humour souvent décapant et toujours désarmant, foisonnent dans la littérature sur les enfants précoces."
L'humour est présenté comme un trait caractéristique de la précocité par la plupart des psychologues dans les ouvrages destinés au grand public. Gauvrit propose de revoir cette assertion pour plusieurs raisons : d'abord pour la raison déjà évoquée du biais récurrent d'échantillonnage, ensuite parce que la littérature scientifique à ce sujet est très limitée, et enfin parce qu'il faut s'accorder sur une définition de l'humour, en particulier celui des enfants, et déterminer les outils qui permettent de le mesurer.
Ces outils ont été élaborés en fonction de l'aspect de l'humour qu'ils tentent de mesurer : capacité à comprendre l'humour, capacité à produire une réponse humoristique, etc. "L'absence de consensus sur la bonne manière de procéder explique en grande partie les résultats divergents concernant l'humour chez les enfants précoces" .
L'auteur passe donc en revue un certain nombre de tentatives d'évaluation de l'humour, dans la population générale, pour bien faire comprendre combien il a été difficile d'en faire émerger un consensus et des outils efficaces ( Échelle de Richmond, Échelle de Svebak), puis il aborde les quatre étapes du développement de l'humour chez les enfants : 1-2 ans âge des incongruités comportementales,
quand les enfants commencent à remarquer que certains de leurs comportements ont le pouvoir de faire rire les autres ; après 2 ans c'est l'âge des incongruités langagières où l'enfant invente des mots et prend plaisir à voir les adultes s'en amuser ; vers 4 ans arrive l'incongruité conceptuelle, humour absurde que les parents ne trouvent généralement pas aussi drôle que leurs enfants ; et vers 7 ans apparaissent les formes d'humour plus adulte avec jeux de mots et de sens. "Un peu avant ce dernier stade de développement humoristique, vers 6 ou 7 ans, les enfants commencent à rire des plaisanteries d'adultes, mais ne savent pas en général expliquer pourquoi elles sont drôles. Ce n'est que vers 12 ans qu'ils seront finalement capables de comprendre le fonctionnement comique de ces plaisanteries, et d'expliquer le trait principal qui les rend amusantes."
La psychologue Doris Bergen, spécialiste du développement du sens de l'humour, a publié en 2009 une recherche portant spécifiquement sur les enfants surdoués, avec un échantillon de 74 enfants de 7 à 12 ans. Ses résultats mettent en évidence un sens de l'humour plus développé que celui des enfants du même âge pour les petits surdoués de 7 à 9 ans, mais uniquement dans le domaine de l'humour par jeux de mots et de sens. "On retrouve ici une observation clinique récurrente : il semble que ce qui distingue les enfants précoces ne soit pas seulement la quantité de réponses humoristiques produites, ou la propension à rire des blagues des autres, mais le type d'humour qui leur plaît.
On a cherché à comprendre pourquoi l'être humain fait de l'humour ; une hypothèse serait qu'on rit pour améliorer sa santé physique, car un lien a été montré entre sens de l'humour et bonne santé, sans qu'on puisse déterminer qui est la cause de l'autre ... Une autre hypothèse, assez bien admise, lie l'humour à la séduction, en tant que moyen de socialisation. Une autre théorie, développée par Nicholas Kuiper, propose que l'humour soit un système de défense qui sert à faire face au stress et à l'anxiété, un exutoire ; selon lui, seul l'humour positif qui ne dénigre ni l'autre ni soi-même parvient à calmer l'anxiété.
Cette théorie paraît la plus prometteuse pour expliquer l'usage de l'humour par les enfants précoces, aux yeux de Gauvrit.
"Des observateurs et cliniciens ont souvent eu le sentiment que les enfants précoces avaient, plus qu'une quantité d'humour particulière, un style bien à eux. Non seulement leur humour est plus sophistiqué que celui de leurs pairs, mais les thèmes sur lesquels il porte sont également étranges. Le recours à l'humour noir ou au thème de la mort est par exemple souvent avancé comme symptomatique des surdoués. Cette idée est séduisante parce qu'elle prend bien place dans une théorie complète de l'humour chez les ###babouins nains des marécages###. Les enfants surdoués comprendraient bien avant les autres les grandes angoisses auxquelles nous sommes confrontés : la maladie, la mort, la méchanceté, l'imperfection du monde'. Cela créerait chez eux une anxiété, des peurs auxquelles, trop jeunes, ils ne peuvent faire face comme les plus grands. En réaction, ils développeraient une forme particulière d'humour qu'ils utiliseraient comme bouclier psychique, comme système de défense.
Malheureusement, cette belle construction théorique où tout s'emboîte bien n'est pas encore validée, à ma connaissance, par des éléments expérimentaux solides. Elle reste pour l'instant hypothétique, même si certains de ses éléments, comme la possibilité que l'humour soit un moyen de défense, sont fort bien étayées."
Mémo : retrouver Madeleine Pour la remercier. Pour
et à
Lissandro.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Sur cette fameuse arrogance.
Il y a de plus des différences même sur le terme et le fait d'interpréter. Et il y a aussi la question de la longueur d'onde. Et du feeling. Je trouve, de fait, qu'au lieu de se "retourner" le cerveau, le fait d'avoir en poche des termes neutres et basiques peut faciliter les conversations et éviter d'avoir à chercher à s'adapter en conversation à tout le monde, ça fait beaucoup de monde et je n'en vois pas pour ma part, l'intérêt.
Dans "neutre" il y a "neutralisé", je trouve que du coup l'arrogance éventuelle et ce qui pourrait être perçu comme tel l'est aussi. Cela m'a fait penser au fait qu'un adulte logiquement va s'adapter à un enfant dans son langage sans se poser alors les multiples questions que se posent un adulte fasse à un adulte.
Savoir s'adapter un peu sans donc régresser, dans le cas d'une personne ultra cultivée par rapport à une autre, si elle reste dans un vocabulaire neutre, c'est gagnant gagnant, elle a communiqué, elle a gagné du temps vis à vis d'une personne en ne prenant pas la peine de "cultiver" l'autre là où ça n'était pas la demande, et elle évite ainsi des réactions de la part de l'autre personne qui pourraient la blesser.
Il existe de plus un tout un vocabulaire de "vérification" qui permet de savoir, en ponctuant sa conversation avec ce vocabulaire, on peut vérifier si déjà on est entendu, ensuite écouter, et compris.
J'ai pu voir dans ma vie, tous les cas de figure, ce fil m'a fait repensé hier à un jeune homme d'une catégorie sociale qu'on dirait basse selon certains critères, mais qui est surdoué, si on ne vérifie pas d'abord, je trouve, son contexte, on le qualifiera et ce fut le cas de jeune homme bête incapable de sortir une phrase convenable, alors qu'il a eu l'intelligence de trouver des moyens de se faire comprendre.
A l'inverse, j'ai vu une autre personne très cultivée, enrichir une demande, là où il aurait mieux valu, utiliser un vocabulaire de base pour entrer en communication, se faire rembarrer totalement.
Dans les deux cas, j'ai été triste, il était plus question d'une vérification, de ponctuer le propos,
http://www.communicationorale.com/phrase.htm
un peu dans ce genre là mais à l'inverse. Sans me moquer, loin de là, je visualise souvent lorsque je lis sur ce forum, comment par exemple quelqu'un pourrait sortir un pavé d'une demie heure très intéressant à quelqu'un qui n'a pas les connaissances pour le comprendre.
Il repartira déçu et l'autre personne noyée, dans un échange où peut être les deux au fond sont sur la même longueur d'onde. Je trouve que l'arrogance peut avoir alors une autre signification, dans le sens mécanisme de réaction, il m'est arrivé de par le passé qu'on me dise par exemple : vous êtes agressive dans un contexte de choc où forcément, il était normal que je le sois, j'aurai pu répondre avec arrogance et de jolis petits mots que je sais utiliser : mais conn..... tu n'as pas compris que ect.
Chacun voit mais dans ce cas, je préfère me neutraliser tenant compte du fait que si cette personne réagit comme cela, c'est qu'elle ne va déjà pas savoir gérer la suite de la conversation en démarrant celle ci comme ça. Elle est déjà en mode "accusation", qui déclencherait déjà le mode "justification". Dans ce cas là j'ai ponctué de suite d'un "oh confuse et sinon alors comment fait on ?" puisque le but de cet échange était de savoir "comment on fait" et non pas : "pourquoi donc cette personne est aussi con dans ce contexte". J'ai aussi utilisé la méthode "d'y revenir". Et j'ai eu l'occasion d'y revenir par la suite. Le jour où cette personne a été demandeuse à mon égard. Je me suis mise alors aussi en mode "fermée, pas compris, ah quoi, qu'est ce que vous voulez ? vous me semblez bien énervée".
J'ai aussi compris ce jour là, sans savoir pourquoi j'étais particulière, que des personnes ayant l'habitude de fonctionner sur un tempo pareil ne serait jamais en capacité de gérer le fort quota d'émotions et d'intensité que j'avais à juste titre ce jour là. La réponse : vous êtes agressive était totalement déplacé, à coté de la plaque, et une mise en mode ultra défense d'une personne qui savait très bien que je venais lui indiquer qu'elle avait commis une erreur grave dans le cadre de ses fonctions. Il était donc inutile vu le démarrage de tenter de placer la conversation sur un ton, elle m'avait déjà indiqué qu'elle était en mode "culpabilité".
Il y a codes sociaux mais il y a aussi nombre de contextes, c'est pour ça que je trouve important de trouver son mode de communication propre à soi, c'est le meilleur moyen de toujours savoir où on en est et de pouvoir à chaque fois s'affirmer comme tel. On aura alors toujours le moyen de rectifier, faire tourner une conversation et rester stable dans la sienne, en ne se modulant qu'en fonction de son propos et non pas de tenter de le faire vis à vis d'untel à 8h, d'un autre à 12h, encore un autre différent à 15h, ect.....
Dans cette façon de faire et de dire, on prend la citation à l'envers, est ce que je risque d'avoir du mal à communiquer avec cet interlocuteur en face.... ça permet du moins pour moi de prendre une seule option et d'avancer en conversation en fonction de celle là et non pas de tourner en fonction de ce que va dire l'autre... et cela permet de rester protégée et calme puisqu'au moindre signe d'attaque personnelle, d'agression dans les propos, il est possible de le voir (en étant présent dans la conversation) et il est possible de se rétracter puisqu'on a contrôlé et on contrôle sa communication.
Quelque chose dans ce genre là. Avoir ses codes à soi.
J'ajoute que j'aime bien la notion de :
http://www.communicationorale.com/singularite.htm
Dans ce cas, c'est mieux expliqué, ça veut dire que c'est forcément plus à quelqu'un de singulier (et dans ce cas là ça ne veut pas dire qu'il est nul, bizarre, ect, ça veut dire qu'il est singulier) de se désingulariser parfois, demander à un interlocuteur de devenir aussi singulier que lui....pour pouvoir entamer une conversation est une énorme attente qui ne sera forcément pas comblée. Je suis contente j'ai trouvé, merci pour ce fil, la subtilité que je cherchais depuis un bon moment.
NatatypiqueVieux de la vieille
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A Mickaël
et pour Mickaël. Comme tu sais bien désormais "casser la gueule" à quelqu'un avec tes mots et ne pas laisser son soi disant "mépris" t'atteindre
et à ton petit "champion de boxe" de fait... qui n'aura qu'à boxer sur un ring....
Invité- Invité
Re: news lifes :)
http://www.communicationorale.com/pnl.htm
C'est ça, apprendre à parler ou pas par pôles son intelligence et ses connaissances.
Comme une présentation ou des questions façon normo pensant, permettra de fait à quelqu'un de savoir non pas dans quoi je suis formatée, mais les droits et les obligations que je respecte et c'est mon droit et mon choix...
Ajouté à cela les types d'échanges, en public, en privé, en vis à vis à 2, en groupe, en quel lieu.
Je dois avoir un traumatisme d'avoir vu nombre de personnes intelligentes n'être pas comprise mais comme c'est un trauma généré par beaucoup d'affectif justifié et mérité ... ça en valait totalement la peine et les efforts, et ça le faut encore
Miam toutes ces petites subtilités pour prendre un exemple cru, car avec du cru, c'est comme le cul, on capte souvent plus facilement l'attention, imaginez le gars qui veut s'envoyer en l'air, face à une nana qui veut pas, il a droit, elle a droit, mettons alors une méthode à la con de normo pensant, le champ de fraises, tu pourras mettre 150 haricots verts intéressants, dans un champ fait de fraises .... tu seras toujours le con du champ de fraises .... si tagada, un instant tu deviens une fraise (un instant, pas une métamorphose à la kaftagada....
Le plus beau et le plus rare des échanges fut alors celui là. ces deux là. deux monstres de connaissance, à mes yeux, et un échange non pas de matos, impossible, mais deux secondes à se refiler communément la façon de transmettre son matos
Whaou. d'où le fait aussi de trouver toxique et pas en même temps. à mon niveau de vie je me souviens en avoir fait la douloureuse expérience, l'affectif y était et avait été approfondi en méconnaissance de cause, de fait lorsqu'il fut fait état d'une possible vie commune, je me suis tordue le cerveau pour savoir comment avec délicatesse, dire à l'autre ton environnement, dont malheureusement tu ne pourras pas sortir, m'est toxique, autant que tout ce que tu es me fait plus de bien que quiconque...
ça doit se situer aussi au niveau des capacités, possibilités de résilience.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Conclusion basique d'image :
est ce que tu es prêt à parler 4 planètes pour converser et pourquoi et alors moi aussi le suis je ?
ou alors décaler ? et en trouver une intermédiaire, voire en créer une, si il n'est pas existante, le temps d'un échange, de plusieurs, ou de pleins.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Dans ce cas, ça n'est pas niveau hauteur mais niveau horizontale
et là le chéri me répond : oui c'est ça, passons plutôt au niveau horizontale
A contrario, il y a vraiment des dégrès aussi dans la "trop génialitude", put.... bord.... quel talent.
chiche je fais "liseuse dans les pôles de talents divers ou polyvalents" !!! mdr.
avoir pu et pouvoir s'appuyer sans connaissance tout à fait de cause sur des épaules talentueuses, tu m'étonnes que ça m'est fait comme un sauna émotif
poser géométriquement une personne en fonction de plusieurs angles.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
et un bazar sur les structurations et enrichissements de phrases.
une histoire d'aller piocher ou non dans ses connaissances et ses références ou pas.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
l'effet de déstabilisation viendrait d'une anticipation de comment ça va modifier peut être une système de valeurs et un environnement... ben merde.
espace d'échanges de connaissance, ou espace de créativité.
de plus en plus prés ou de plus en plus loin, les deux villes ont elle un aéroport commun ?
d'où les boites. un auto système de rangement si on ne peut se faire ranger.
parfois ne pas ouvrir toutes les boites en même temps.
de mieux en mieux... j'adore et ça m'inerve, on passe au dossier où on est sûr de trouver, on reviendra chercher après.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Phrase de base au centre. et ajout de ou pas.et moi je crois que je fais l'inverse.
http://www.revue-interrogations.org/Les-recits-de-vie-outils-pour-la
Les récits de vie : outils pour la compréhension et catalyseurs pour l’action
Sommaire
- Résumé
- Abstract
- Introduction
- Les ’ingrédients’ théoriques
- Première phase : construction
- Seconde phase : adaptation de
- Caractéristiques, potentialités
- Bibliographie
Résumé
Les récits de vie et leur analyse peuvent également constituer un media pour faire prendre conscience à une personne des ressources construites au cours de sa trajectoire dans une visée émancipatrice et en ce sens constituer des catalyseurs pour l’action. C’est ce que nous proposons de montrer en exposant une méthode associant l’analyse des récits de vie et la cartographie cognitive co-construite entre chercheurs et professionnels de l’accompagnement à l’installation agricole. L’analyse de cette expérience méthodologique nous permet de réinterroger le rôle et le statut non seulement des récits de vie mais aussi du sociologue et des individus qu’il sollicite dans un processus de recherche-action.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
et en plus, des moules il n'y a pas qu'un ... il ne risquait pas de le faire son fondant lol au milieu de personne dans le flan
ben oui, le jeudi c'est flan
ben oui, le jeudi c'est flan
Invité- Invité
Re: news lifes :)
http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/31/asso-anticancer-poursuit-blogueuse-malade-cancer-263623
Rien n’est moins sûr. Car comme l’écrit la blogueuse accusée, elle ne sera certainement plus là pour se défendre au tribunal. Cette plainte, elle s’en moque donc.
« Je m’en moque.
Je m’en moque comme des deux seins que je n’ai plus.
Je m’en moque comme de ma première chimio.
Je m’en moque comme de ma première métastase et de la méningite carcinomateuse qui va m’emporter me privant de voir grandir mes petits-enfants, me privant de la naissance des autres à venir. Me privant de mes quatre enfants, me privant de la vie. »
Rien n’est moins sûr. Car comme l’écrit la blogueuse accusée, elle ne sera certainement plus là pour se défendre au tribunal. Cette plainte, elle s’en moque donc.
« Je m’en moque.
Je m’en moque comme des deux seins que je n’ai plus.
Je m’en moque comme de ma première chimio.
Je m’en moque comme de ma première métastase et de la méningite carcinomateuse qui va m’emporter me privant de voir grandir mes petits-enfants, me privant de la naissance des autres à venir. Me privant de mes quatre enfants, me privant de la vie. »
Invité- Invité
Re: news lifes :)
égaux ou égos...
la violence se fait bien présente dans ce lieu, virtuel
l'est-elle dans nos cœur
et c'est vrai que j'ai du mal à enseigner aujourd'hui
je me fais vieux, faut dire qu'on est vieux à 30 ans maintenant
je serai même un vieux con, ça je peux y arriver
Madame je vous souhaite une agréable soirée cependant
la violence se fait bien présente dans ce lieu, virtuel
l'est-elle dans nos cœur
et c'est vrai que j'ai du mal à enseigner aujourd'hui
je me fais vieux, faut dire qu'on est vieux à 30 ans maintenant
je serai même un vieux con, ça je peux y arriver
Madame je vous souhaite une agréable soirée cependant
jolindien- Messages : 1602
Date d'inscription : 05/07/2015
Re: news lifes :)
jolindien a écrit:égaux ou égos...
la violence se fait bien présente dans ce lieu, virtuel
l'est-elle dans nos cœur
et c'est vrai que j'ai du mal à enseigner aujourd'hui
je me fais vieux, faut dire qu'on est vieux à 30 ans maintenant
je serai même un vieux con, ça je peux y arriver
Madame je vous souhaite une agréable soirée cependant
Du recul, très cher, du recul... la bêtise et l’agressivité n'ont pas d'âge. L'avantage, c'est qu'elles tournent inlassablement en .... boucle... donc
Mon coeur va bien,
Ne te prends pas la tête avec qui ne souhaites apprendre et être enseigné ça te laisse des neurones pour les autres ainsi que de l'énergie
Penses à toutes ces personnes qui resteront immatures toute leur vie ?
L'important est que tu sois à ton bon rythme à toi, dans ta vie, ton environnement, tes objectifs et en accord avec toi même, ect.
Qui sait un petit jeune vieux t'attend quelque part, pour lui donner des cours du soir.
Celui/celle qui se définit par le regard des autres n'a pas fini....d'en voir.
Douce soirée à toi aussi, Monsieur
Invité- Invité
Re: news lifes :)
la beauté d'âme n'est pas le fruit de l'âge
assurément tu l'as belle
mais bon je radote une fois de plus...!
assurément tu l'as belle
mais bon je radote une fois de plus...!
jolindien- Messages : 1602
Date d'inscription : 05/07/2015
Re: news lifes :)
http://www.psycho-ressources.com/doc/778LAlterite.pdf
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http://www.leblogdesrapportshumains.fr/oser-se-lancer/
"J’ai décidé de t’écrire cette lettre, car ton témoignage m’a profondément touché l’autre soir, lors de notre réunion. La pudeur et la justesse de tes mots m’ont à ce point interpellé qu’ils ont résonné en moi plusieurs jours durant. En effet, au travers de ce partage émouvant dont tu nous as fait honneur, j’ai cru apercevoir combien il était compliqué pour toi d’oser te lancer dans ce que tu nommes ton “Avenpeur”, contraction de l’Aventure à laquelle tu aspires et de la Peur que tu ressens à t’y engager. C’est donc avec l’aide de ces quelques lignes que je souhaitais entrer en résonance avec toi.
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PDF]Les différentes formes de rapport à l'autre - Izibook - Eyrolles
izibook.eyrolles.com/extract/show/5697"Quelles sont les principales entraves à la relation ? Les freins à l’intérieur de la relation sont nombreux.
Commencer à les repérer, pour les lever, augmente la possibilité qu’une relation se poursuive dans de bonnes conditions et soit épanouissante pour chacun(e).
L’assignation désigne une façon systématique de mettre une personne à une place déterminée, nécessaire à l’économie du système, voire à sa prétendue survie, sans laisser à cette personne la possibilité d’être qui elle est vraiment : la place assignée est assortie d’un rôle spécifique à jouer.
Le commandement est une « fausse loi », une injonction, plus ou moins ouverte, faite à un collègue, un enfant ou un proche. Il est « demandé » de réaliser une action ou de tenir un discours à sa place, pour se décharger de toute responsabilité, ou faire accomplir les « sales besognes » par une personne plus exposée et plus naïve, qui pourra facilement être désignée comme coupable.
La compression est un mécanisme d’acharnement sournois, souvent invisible, qui vise à pousser l’autre à se diminuer, prendre moins de place, se faire plus petit. Les personnes longtemps forcées à se rétrécir sont souvent devenues, malgré elles, enclines à se croire coupables et à présenter leurs excuses à tout propos, même lorsque ce n’est pas nécessaire.
Le dépôt, dans une relation quotidienne (travail ou vie en commun), consiste à léguer à l’autre, inconsciemment, une réalité intérieure angoissante ou impossible à formuler parce qu’impensée, ou impensable. L’autre se trouve dépositaire d’un fait psychique qui lui est étranger, qui l’encombre et peut même l’obnubiler, au point de l’empêcher de suivre le fil de sa propre vie intérieure, donc de se consacrer à son existence.
La destitution, qu’elle soit obtenue par cruauté, humiliation ou profanation, a pour but de faire croire à un individu qu’il ne mérite pas de faire partie de tel ou tel groupe. Au-delà de la honte liée à l’exclusion, l’intention profonde de la destitution est de priver quelqu’un de sa dignité d’humain.
L’invasion consiste à saturer l’autre, volontairement ou non, de faits, d’idées et d’informations extérieurs à son existence, encombrant son espace intérieur et le privant de toute possibilité de penser par soi-même.
Le remplacement est une façon massive et radicale de mettre un personnage du passé (souvent abusif, agresseur, autoritaire ; ou un défunt) à la place d’une personne réelle du présent et de prendre celle-ci pour ce fantôme du passé, souvent en lui faisant « payer » les crimes de l’autre."
La requête est un mécanisme proche, même si elle est moins totalisante. Elle correspond à une obligation – supposée – faite à une personne du présent de répondre à la place, au nom ou pour le compte d’une personne disparue, autrefois adorée ou honnie. (L’emprise, le harcèlement, et la manipulation, qui empêchent ou détruisent toute forme de relation, seront traités ultérieurement.)
------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.leblogdesrapportshumains.fr/oser-se-lancer/
"J’ai décidé de t’écrire cette lettre, car ton témoignage m’a profondément touché l’autre soir, lors de notre réunion. La pudeur et la justesse de tes mots m’ont à ce point interpellé qu’ils ont résonné en moi plusieurs jours durant. En effet, au travers de ce partage émouvant dont tu nous as fait honneur, j’ai cru apercevoir combien il était compliqué pour toi d’oser te lancer dans ce que tu nommes ton “Avenpeur”, contraction de l’Aventure à laquelle tu aspires et de la Peur que tu ressens à t’y engager. C’est donc avec l’aide de ces quelques lignes que je souhaitais entrer en résonance avec toi.
Il va de soi que les hypothèses que je te proposerai ici ne constituent pas une vérité absolue ou une injonction quelconque à te dicter ce que tu devrais ou pourrais faire ou ne pas faire pour oser se lancer. Il ne s’agit tout au plus que de quelques pistes que j’ai expérimentées ces dernières années, pour mon compte (car j’étais un peu dans ton cas, je te l’avoue) et aussi pour mes clients qui, à un moment ou un autre, se sont confrontés à cette même difficulté de “ne pas oser se lancer”.
La première chose à laquelle tu faisais allusion était la peur de paraître ridicule si jamais tu te trompais dans tes actions, tes choix, tes décisions, etc. si jamais tu passais ce cap.
Cette peur d’oser se lancer est non seulement compréhensible et, j’ai presque envie de dire, logique compte tenu du système éducatif dans lequel toi comme moi avons grandi. Te souviens-tu des remarques au mieux désobligeantes mais parfois aussi humiliantes, des instituteurs et professeurs lorsque nous passions au tableau et commettions une erreur dans notre exercice ou exposé ? Te souviens-tu des moqueries de nos “petits camarades” assis confortablement sur leur chaise ? Ou encore, des appréciations des ces mêmes professeurs sur nos bulletins scolaires (“peut mieux faire”, “bien MAIS…”, “manque de…”, “trop ceci…”, “pas assez cela…”, etc). Bref, le top niveau pour fragiliser une estime de soi en pleine construction de par notre condition d’enfant ou d’adolescent.
Ainsi, quoi de plus “naturel” aujourd’hui que de ressentir cette appréhension lorsque tu dois t’exprimer, oser te lancer dans quelque chose de nouveau, donner ton point de vue sur un sujet, prendre une décision, etc.
Bien entendu, tous les profs ne sont pas à mettre dans le même panier et d’autres facteurs entrent aussi en ligne de compte. En voici quelques-uns que je te partage comme ça à chaud, mais il doit en exister des tas d’autres. Aussi, si tu en as quelques-uns en réserve, tu peux les partager à ton tour en réponse à cette lettre, dans les commentaires tout en bas de la page.
- La façon dont tes parents t’ont permis ou autorisé à explorer le monde qui t’entourait quand tu étais enfant. Etaient-ils des partisans du “Le monde est un immense terrain de jeu. Amuse-toi et nourris-toi de tes expériences” ou plutôt du genre “Fais attention. Le monde est rempli de dangers. Tu risques de te mettre en difficulté” ?
- La façon dont ils te renvoyaient tes “prises de risques” quand tu osais te lancer dans quelque chose de nouveau. De la même manière que précédemment, entendais-tu plus souvent des messages du genre “Descend de là, tu vas te faire mal” que ceux du genre “Vas-y, lance-toi. Je suis là pour assurer ta réception” ?
- Tes propres expériences où, suivant les aléas des succès et de ta représentation des échecs, tu as pu te créer des doutes qui peu à peu se sont transformés en certitudes sur toi (et le fait d’oser se lancer), les autres ou le monde (les fameuses croyances limitantes)
En voici quelques-unes :
- Si je m’exprime sur ce sujet, je vais être ridicule
- Je ne suis pas assez intéressant(e) pour donner mon avis
- Je vais déranger si je demande cela
- Si j’échoue, je vais perdre le peu de confiance que j’ai en moi
- Si je réussis, ce sera un accident, et je risque après de passer pour un imposteur
- C’est trop compliqué pour moi. Je n’y arriverai jamais
- Trop de personnes font les mêmes choses que moi. Je n’ai aucune chance
- …
Tu dois peut-être te sentir concerné par l’une ou l’autre de ces propositions. Ou à contrario, tu es peut-être en train de te demander pourquoi je les qualifie de croyances limitantes, tant ces pensées te semblent coller à ta réalité et faisant partie de toi (Il est où le problème ? ).
Comme je te le disais plus haut, toutes ces pensées dont tu te sens si proche, ne sont en fait que les résultats d’interprétations déformées de ce que tu as perçues / vécues / entendues à un moment donné de ta vie. Suivant l’intensité de l’émotion que tu as ressenti à ce moment et/ou la récurrence de cette situation, la simple constatation a laissé la place au doute qui lui-même s’est mué en certitudes. Le temps passant, tu as fini par en oublier les origines et ces convictions se sont figées en toi comme le sourire d’une Miss France au salon de l’agriculture.
La deuxième chose que tu évoquais était de l’ordre de la comparaison avec toutes les autres personnes qui réalisent à peu près la même chose que toi… et que tu considères comme meilleures que toi.
Cette particularité est très présente chez les personnes qui n’osent pas se lancer.
En fait, même si globalement se comparer est une stratégie plutôt pernicieuse en matière de développement de l’estime de soi, je ne pense pas qu’elle soit à la source de la question. En effet, vu de ma fenêtre, ce n’est pas la comparaison en tant que telle qui pose problème, mais plutôt le fait de te mettre quasi systématiquement du côté “moins que” dans la balance.
C’est un peu comme si tu avais une représentation de toi au milieu des autres en mode “je ne suis pas OK” et des autres en mode “eux sont OK”. Du coup, c’est plus du côté de la valeur que tu te donnes qu’il serait intéressant de se pencher. Car l’autre peut effectivement être le meilleur dans le domaine où tu n’oses pas te lancer et en même temps, j’ai envie de te dire, on s’en balance !!!
En poussant le raisonnement à l’extrême, toutes les compétitions dans tous les domaines n’auraient qu’un seul participant par catégorie : le favori; les autres n’ayant pas oser se lancer par peur d’être derrière lui.
L’important c’est toi, ce que tu veux réaliser dans ta vie et comment tu vas t’y prendre pour y parvenir
Alors OK, peut-être que cela te demandera de sortir de ta zone de confort (au moins début), mais tu n’es pas non plus obligé de te faire mal pour avancer. Laissons la cravache aux spécialistes du SM
"
-------------------------------------------------------------------------------------------------"Le temps passe et je me rends compte que cela fait quelques semaines que je n’ai pas partagé d’articles avec vous, chers lecteurs. Non que je sois en manque d’inspiration, mais au contraire je suis actuellement sur ce que je peux désormais vous révéler comme un scoop. Depuis quelque temps déjà, plusieurs d’entre vous me challengent sur la rédaction d’un manuscrit plus abouti que les articles du blog. Après avoir trouvé toutes les excuses possibles et imaginables pour repousser l’échéance, j’ai enfin passé ce cap. Je suis donc en cours de rédaction d’un document dont je ne connais pas encore la forme finale (livre, ebook, autre ?). Toujours est-il que, pour garder le blog actif et maintenir le lien avec vous, j’ai choisi aujourd’hui de partager un extrait de ce document; extrait traitant de l’écoute de l’autre.
[…]
S’il n’y avait qu’un seul élément à retenir de ce modèle ABCDE et de ce document entier, ce serait celui-ci. L’écoute est l’alpha et l’oméga de l’empathie. Elle en compose la substantifique moelle. Elle en est l’essence même. Elle est le canal par lequel vous allez pouvoir ressentir ce que ressent votre interlocuteur.
- Écouter n’est pas penser à son repas du soir en regardant l’autre dans les yeux avec un regard vide;
- Écouter n’est pas juste tendre l’oreille et pianoter sur son téléphone portable en ponctuant parfois par des “mmh mmh” ou des “ah oui. J’imagine…”;
- Écouter n’est pas mettre en lien chaque élément du discours de votre interlocuteur avec votre propre histoire et commencer à préparer votre répartie dans votre tête;
- Écouter n’est pas interpréter chaque mot ou chaque phrase de votre interlocuteur avec votre propre cadre de référence.
- Écouter n’est pas et surtout pas couper la parole.
- Écouter c’est être attentif à l’autre dans la globalité de son être
C’est-à-dire être attentif à ce qui fait de lui un être unique. Votre interlocuteur peut à la fois être, client, patient, bénéficiaire, parent, enfant, conjoint, ami, collaborateur, frère ou soeur, dirigeant, salarié, indépendant, etc. De tous ces rôles qu’il endosse parfois à plusieurs reprises dans une seule journée, il y a aussi l’histoire, les préoccupations, les projets, les routines inhérentes à chacun de ses rôles. En fin de compte, ce que vous percevez de l’autre au moment où il vous parle n’est qu’une infime parcelle de ce qui fait de lui qui il est.
- Écouter c’est porter son attention sur les mots qu’emploie l’autre pour vous raconter son histoire
Derrière les mots se cache souvent la façon dont votre interlocuteur construit son monde. Telle une carte qu’il dessine devant vous, écouter l’autre revient à lire la carte, sa carte, qu’il est en train de vous dévoiler. Personne d’autre que lui ne saura vous montrer où se trouvent ses points d’intérêts, ses obstacles à franchir, ses montagnes à gravir, ses déserts à franchir, ses zones d’ombres qu’il n’a pas encore explorées. Il est le maître de son lieu, le propriétaire de ses interactions avec son environnement. Au moment où l’autre vous parle, il vous fait visiter son jardin secret. Et le meilleur moyen de respecter cette visite est de lui donner votre écoute pleine et entière.
- Écouter, c’est aussi porter son attention sur les silences qu’il y a entre les mots
Parfois, le silence en dit plus qu’un long discours. Il indique qu’une porte s’ouvre sur quelque chose d’important pour l’autre. Par le même effet, il donne une dimension plus profonde aux mots qui lui font suite. Dans le même registre, il est essentiel de respecter les silences de l’autre. S’ils sont là, c’est qu’il en a besoin à cet instant. Combler son silence revient à lui couper la parole. Non seulement cela interrompt le fil sa réflexion, mais peut en outre générer un sentiment de frustration. Lors des séances d’accompagnement avec mesclients, j’ai pu remarquer que les prises de conscience, les moments forts, les avancées significatives se réalisaient pendant ces silences.
- Écouter c’est repérer les variations du ton de sa voix, de son rythme, de son flux en fonction des situations qu’il vous décrit
Tous ces éléments sont des révélateurs de l’état interne de votre interlocuteur à l’instant où il vous parle. Sans interpréter sauvagement ce qu’il vit, être à l’écoute de ces variations vous permettra d’entrer en résonance avec lui. En vous connectant à ses différences de rythmes, volumes et tonalités, vous vous connectez à son état émotionnel. C’est un excellent moyen pour favoriser la connexion empathique. Tels deux métronomes qui finissent par se synchroniser et battre la mesure à l’unisson, vous serez tous les deux sur une même longueur d’onde émotionnelle.
- Écouter c’est pouvoir faire le vide en soi afin d’éviter de s’auto-parasiter
Plus facile à dire qu’à faire, j’en conviens. Il n’est pas toujours aisé d’être disponible si des préoccupations de tout ordre vous encombrent l’esprit. Je vous livre ici une petite astuce qui m’aide parfois quand il m’arrive d’être parasité par mes propres pensées ou préoccupations et que je suis sur le point d’écouter une personne : la curiosité. Je fais appel à cette tendance que nous avons chacun de nous pour découvrir quelque chose de nouveau. Lorsque vous arrivez dans un nouveau lieu, que ce soit un pays, une ville, une maison, un théâtre, un magasin, un restaurant, il y a cette curiosité qui s’éveille en vous pour prendre connaissance de ce nouvel environnement. C’est cette même curiosité que j’utilise pour partir à la découverte de l’autre. Cet état me permet de me décentrer de mon flot de pensées parasites qui ne feraient que m’encombrer et polluer ma connexion empathique. Partir à la découverte de l’autre est un excellent début pour entrer en empathie avec lui.
- Écouter c’est lâcher-prise
Lâcher-prise sur notre propension à porter un jugement sur notre interlocuteur, sur la pertinence de son propos, à faire une évaluation de son cadre de référence en fonction du nôtre, à comparer son vécu avec le nôtre. Le psychiatre Christophe André nous parle du lâcher-prise lié à l’écoute dans son dernier livre “Trois amis en quête de sagesse ” coécrit avec Matthieu Ricard et Alexandre Jollien. […] Le lâcher-prise, ce sont mes patients qui me l’ont appris. Les grands timides et les grands anxieux ont tellement peur de ne pas être à la hauteur de leurs interlocuteurs qu’ils écoutent mal parce qu’ils préparent ce qu’ils vont pouvoir répondre. Dans la véritable écoute, on ne doit pas préparer sa réponse, mais seulement écouter, en lâchant prise. On a parfois le sentiment que c’est une position un peu “casse-gueule”, mais notre réponse sera d’autant plus profonde et adaptée qu’on aura totalement abandonné l’idée de la préparer. Ce lâcher-prise et aussi la condition d’une écoute sincère et véritable où l’on est prêt à se laisser toucher, émouvoir, sans jugement, sans contrôle, sans désir de maîtriser, sans aucune intention finalement.[…]
- Enfin, écouter c’est avant tout une posture
Celle d’un livre vierge permettant à l’autre d’y poser et déposer son histoire. Telle une page blanche, la posture d’écoute invite l’autre à y exposer ses ressentis, son questionnement, ses préoccupations, ses émotions, ses représentations du monde qui l’entoure. Il aura ainsi le loisir de porter un regard distancié et structuré sur ce qui tournait en lui de manière floue et parfois désorganisée. De la même manière, la posture d’écoute agit comme un miroir dans lequel se reflète l’intérieur de la personne. De ce point de vue, votre interlocuteur y verra ce que vous lui renvoyez. Parfois, entendre ses propres mots dans la bouche d’un autre leur attribue une toute autre signification. Ainsi, d’une pensée parfois floue qu’il aura partagé avec vous, il en aura une représentation plus claire une fois passé par le canal que vous représentez à ses yeux."
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Dicton personnel : qui attend d'un trou du cul, en y collant de plus son oreille attentive, qu'il fasse autre chose qu'un Prout, a de plus fortes chances de se faire péter le tympan, que d'être ne serait ce qu'entendu. Qui attend de lui, un Prout, ne sera jamais déçu.
(Dicton sous copyright - 1995 j'ai l'excuse de la jeunesse qui ne savait pas qu'elle partagerait un jour sa philosophie personnelle de la vie sinon j'aurai fait des versions grand public).
Version 2016, si on incorpore la Madeleine, y'a un truc à faire, y'a un concept, moi je dis
Invité- Invité
Re: news lifes :)
https://www.ac-clermont.fr/disciplines/fileadmin/user_upload/ScEconomiquesEtSociales/ressources_pedagogie/terminale_tronc_commun/fondamentaux_socio/fiche2.pdf
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https://www.pulaval.com/produit/les-categories-sociales-et-leurs-frontieres
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http://www.arifts.fr/PDF/Publications/JE_2012.03.16/16_mars_2012_intro.pdf
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Interaction_(sciences_sociales)
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https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-00619635/document
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https://orbi.ulg.ac.be/bitstream/2268/116927/4/Diversit%C3%A9%20et%20communication%20virtuelle.pdf
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http://www.rap5.org/dossiervirtuel/ressources/koralov.pdf
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http://back.ac-rennes.fr/tic/OutilexpressionTIC/01-dossier_animateur/bibliographie.pdf
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http://lecourrier.vn/le-double-visage-des-outils-de-communication-virtuelle/177760.html
Le double visage des outils de communication virtuelle
09/05/2015 15:05
Vivre dans le monde moderne, c’est marcher à la limite entre le virtuel et le réel. Se pencher un peu de trop du côté virtuel suffit pour que le lien avec les valeurs réelles ne soit rompu.Selon les calculs d’une société de télécommunications, le Vietnam compte aujourd’hui quelque 37 millions d’utilisateurs d’internet et environ 20 millions de citoyens emploient régulièrement des smartphones. Personne ne peut nier le rôle positif de ces nouvelles technologies au quotidien. Rien que pour les smartphones, la liste des avantages est touffue.
À l’heure actuelle, il est difficile d’imaginer notre vie sans téléphone intelligent. Ne serait-ce que pour un jour ! Malgré leurs petites tailles, ces objets jouent un rôle considérable dans la construction d’une économie axée sur le partage rapide et efficace de l’information.
Mais comme dans la plupart des cas, si l’on abuse d’une chose, elle devient malsaine. L’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), notamment les réseaux sociaux, n’échappe pas à la règle. Ceux qui se perdent dans ce monde irréel deviennent indifférents à l’univers qui les entoure. Le monde réel. Cette dépendance aux moyens de communication virtuels cause des dégâts considérables au sein de l’environnement social, notamment professionnel et familial.
À en oublier l’existence de ses proches
Des situations encore inimaginables il y a peu sont aujourd’hui monnaie courante. Des dizaines de personnes attendent le bus sans parler et pianotent toutes sur leur téléphone. Lors d’une réunion, il n’est pas rare d’en voir certain ne parlant pas, concentrés sur leur smartphone et ne prêtant aucune attention à la conversation en cours.
Depuis peu, au Japon, certaines entreprises encouragent leurs employés, dans certains cas, à travailler à distance via internet. Selon les calculs, cette stratégie devrait aider à la fois à diminuer les dépenses de la sécurité sociale et à augmenter le confort des employés.
Contre toute attente, après une courte période, la proportion de personnes souffrant de dépression car ils travaillaient sans interaction physique avec leur collègue a explosé. Les effets des TIC sont aussi visibles au sein des familles. Les membres d’une même famille sont aujourd’hui tellement concentrés sur leurs petits écrans qu’ils en oublient l’existence de leurs proches. Les interactions sont pourtant indispensables pour que règne une bonne ambiance au sein de la tribu. De manière plus générale, le bonheur dépend de nos relations avec les personnes qui nous entourent.
Dans l’appartement de M. Q., domicilié au 11e étage de la résidence de Trung Hoà-Nhân Chinh, à Hanoi, trois générations cohabitent. Le fait que, le week-end, chacun soit concentré sur son smartphone ou son iPad, en surprendra plus d’un. Ce moment aurait en effet dû être l’occasion pour la famille de se réunir, de partager et de s’amuser. Une situation qui fait écho à un article humoristique étranger qui abordait le thème des «prisonniers» du numérique et les qualifiait de «l’ethnie à la tête baissée».
Etre accro aux portables,un risque pour son couple
Les psychologues de la famille pensent aussi qu’un couple, pour être considéré comme heureux, devrait se parler au moins une demi-heure à une heure en moyenne par jour. C’est l’unique moyen de partager ses sentiments, de se faire des confidences, de comprendre et saisir les attentes et besoins de chacun. Telle est la clef d’un mariage réussi.
Si chacun est constamment occupé à envoyer des messages ou à converser à distance sans communiquer avec la personne qui vit sous le même toit, l’étincelle de l’amour va s’éteindre. Il y aura alors la place pour qu’une «troisième personne» se faufile. 45% des personnes interrogées confirment que la raison qui les pousse à tromper leurs partenaires est que ces derniers passent trop de temps sur les outils numériques.
Cette thèse est confirmée par les résultats d’une étude menée auprès de 6.000 personnes par le site Victoria Milan, un site de rencontre pour les personnes mariées. Les gens utilisent leur téléphone même pendant les repas, tout en continuant de bavarder. Les femmes âgées de 30 à 50 sont les plus susceptibles de tromper leur partenaire s’ils sont accros aux smartphones. Les hommes se plaignent également que leurs femmes préfèrent parler à leur téléphone plutôt qu’à leur propre mari.
Vivre «réellement» sa vie
Les données fournies par une compagnie de téléphone numérique montrent que le nombre de personnes utilisant des smartphones au Vietnam a augmenté de manière significative ces dernières années. Et que ce chiffre continue de croître. Le temps que passent les Vietnamiens au téléphone est plus élevé que la moyenne mondiale.
Si vous pensez que votre vie dépend trop des nouvelles technologies, jusqu’au point de laisser le virtuel prendre le pas la réalité, il est temps de redresser la barre. Ne devenez pas insensible aux gens qui vivent autour de vous. Quelques conseils pour y arriver: saisissez toutes les occasions de parler à une personne face à face, essayez de ne pas répondre immédiatement aux appels et aux messages. Lorsque vous parlez avec quelqu’un, soyez attentif et non focalisé sur votre téléphone. N’utilisez pas les TIC plus d’une heure par jour lorsque vous êtes en famille. Ces recommandations devraient vous aider à vivre réellement votre vie, ici et maintenant, avant que votre famille ne s’éloigne et ne vous quitte.
Gardez aussi en mémoire les paroles d’Albert Einstein : «Je crains le jour où la technologie surpassera nos échanges humains. Le monde aura une génération d’idiots». Il semble que ce jour n’est pas éloigné si les utilisateurs des outils de communication virtuelle ne se réveillent pas.
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https://www.pulaval.com/produit/les-categories-sociales-et-leurs-frontieres
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http://www.arifts.fr/PDF/Publications/JE_2012.03.16/16_mars_2012_intro.pdf
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Interaction_(sciences_sociales)
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https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-00619635/document
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https://orbi.ulg.ac.be/bitstream/2268/116927/4/Diversit%C3%A9%20et%20communication%20virtuelle.pdf
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http://www.rap5.org/dossiervirtuel/ressources/koralov.pdf
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http://back.ac-rennes.fr/tic/OutilexpressionTIC/01-dossier_animateur/bibliographie.pdf
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http://lecourrier.vn/le-double-visage-des-outils-de-communication-virtuelle/177760.html
Le double visage des outils de communication virtuelle
09/05/2015 15:05
L’essor fulgurant des technologies de l’information et de la communication n’est pas sans conséquences. Pratiques, ces outils peuvent aussi causer des dégâts considérables sur l’environnement familial et professionnel si l’on en abuse.
>>Les outils numériques utilisés régulièrement par 19% des moins de trois ans
>>L’éducation à l’ère numérique
>>Les outils numériques utilisés régulièrement par 19% des moins de trois ans
>>L’éducation à l’ère numérique
L’utilisation abusive des moyens de communication virtuels peut causer des dégâts considérables dans l’environnement social. Photo : Truong Trân/CVN |
Vivre dans le monde moderne, c’est marcher à la limite entre le virtuel et le réel. Se pencher un peu de trop du côté virtuel suffit pour que le lien avec les valeurs réelles ne soit rompu.Selon les calculs d’une société de télécommunications, le Vietnam compte aujourd’hui quelque 37 millions d’utilisateurs d’internet et environ 20 millions de citoyens emploient régulièrement des smartphones. Personne ne peut nier le rôle positif de ces nouvelles technologies au quotidien. Rien que pour les smartphones, la liste des avantages est touffue.
À l’heure actuelle, il est difficile d’imaginer notre vie sans téléphone intelligent. Ne serait-ce que pour un jour ! Malgré leurs petites tailles, ces objets jouent un rôle considérable dans la construction d’une économie axée sur le partage rapide et efficace de l’information.
Mais comme dans la plupart des cas, si l’on abuse d’une chose, elle devient malsaine. L’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), notamment les réseaux sociaux, n’échappe pas à la règle. Ceux qui se perdent dans ce monde irréel deviennent indifférents à l’univers qui les entoure. Le monde réel. Cette dépendance aux moyens de communication virtuels cause des dégâts considérables au sein de l’environnement social, notamment professionnel et familial.
À en oublier l’existence de ses proches
Des situations encore inimaginables il y a peu sont aujourd’hui monnaie courante. Des dizaines de personnes attendent le bus sans parler et pianotent toutes sur leur téléphone. Lors d’une réunion, il n’est pas rare d’en voir certain ne parlant pas, concentrés sur leur smartphone et ne prêtant aucune attention à la conversation en cours.
Depuis peu, au Japon, certaines entreprises encouragent leurs employés, dans certains cas, à travailler à distance via internet. Selon les calculs, cette stratégie devrait aider à la fois à diminuer les dépenses de la sécurité sociale et à augmenter le confort des employés.
Contre toute attente, après une courte période, la proportion de personnes souffrant de dépression car ils travaillaient sans interaction physique avec leur collègue a explosé. Les effets des TIC sont aussi visibles au sein des familles. Les membres d’une même famille sont aujourd’hui tellement concentrés sur leurs petits écrans qu’ils en oublient l’existence de leurs proches. Les interactions sont pourtant indispensables pour que règne une bonne ambiance au sein de la tribu. De manière plus générale, le bonheur dépend de nos relations avec les personnes qui nous entourent.
Dans l’appartement de M. Q., domicilié au 11e étage de la résidence de Trung Hoà-Nhân Chinh, à Hanoi, trois générations cohabitent. Le fait que, le week-end, chacun soit concentré sur son smartphone ou son iPad, en surprendra plus d’un. Ce moment aurait en effet dû être l’occasion pour la famille de se réunir, de partager et de s’amuser. Une situation qui fait écho à un article humoristique étranger qui abordait le thème des «prisonniers» du numérique et les qualifiait de «l’ethnie à la tête baissée».
Etre accro aux portables,un risque pour son couple
Les psychologues de la famille pensent aussi qu’un couple, pour être considéré comme heureux, devrait se parler au moins une demi-heure à une heure en moyenne par jour. C’est l’unique moyen de partager ses sentiments, de se faire des confidences, de comprendre et saisir les attentes et besoins de chacun. Telle est la clef d’un mariage réussi.
Si chacun est constamment occupé à envoyer des messages ou à converser à distance sans communiquer avec la personne qui vit sous le même toit, l’étincelle de l’amour va s’éteindre. Il y aura alors la place pour qu’une «troisième personne» se faufile. 45% des personnes interrogées confirment que la raison qui les pousse à tromper leurs partenaires est que ces derniers passent trop de temps sur les outils numériques.
Cette thèse est confirmée par les résultats d’une étude menée auprès de 6.000 personnes par le site Victoria Milan, un site de rencontre pour les personnes mariées. Les gens utilisent leur téléphone même pendant les repas, tout en continuant de bavarder. Les femmes âgées de 30 à 50 sont les plus susceptibles de tromper leur partenaire s’ils sont accros aux smartphones. Les hommes se plaignent également que leurs femmes préfèrent parler à leur téléphone plutôt qu’à leur propre mari.
Vivre «réellement» sa vie
Certaines familles sont tellement concentrées sur leurs petits écrans qu’elles en oublient l’existence de leur proches. Photo : Truong Trân/CVN |
Les données fournies par une compagnie de téléphone numérique montrent que le nombre de personnes utilisant des smartphones au Vietnam a augmenté de manière significative ces dernières années. Et que ce chiffre continue de croître. Le temps que passent les Vietnamiens au téléphone est plus élevé que la moyenne mondiale.
Si vous pensez que votre vie dépend trop des nouvelles technologies, jusqu’au point de laisser le virtuel prendre le pas la réalité, il est temps de redresser la barre. Ne devenez pas insensible aux gens qui vivent autour de vous. Quelques conseils pour y arriver: saisissez toutes les occasions de parler à une personne face à face, essayez de ne pas répondre immédiatement aux appels et aux messages. Lorsque vous parlez avec quelqu’un, soyez attentif et non focalisé sur votre téléphone. N’utilisez pas les TIC plus d’une heure par jour lorsque vous êtes en famille. Ces recommandations devraient vous aider à vivre réellement votre vie, ici et maintenant, avant que votre famille ne s’éloigne et ne vous quitte.
Gardez aussi en mémoire les paroles d’Albert Einstein : «Je crains le jour où la technologie surpassera nos échanges humains. Le monde aura une génération d’idiots». Il semble que ce jour n’est pas éloigné si les utilisateurs des outils de communication virtuelle ne se réveillent pas.
Huong Linh/CV
Le Courrier du Vietnam.
Invité- Invité
Re: news lifes :)
Bonjour
Merci pour toutes ces informations riches et pleines d'intérêts
Merci pour toutes ces informations riches et pleines d'intérêts
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: news lifes :)
http://www.naturelovesmath.com/mathematiques/les-tenseurs-pour-les-nuls/
"On va donc faire un tour rapide de ce concept, de la manière la plus simple possible. Forcément, il y aura de grosses approximations, donc si certains passages vous font grincer les dents, c’est que vous n’êtes pas sur la bonne page, voyez le lien en fin d’article vers l’article détaillé et plus rigoureux.
Feedback grandement apprécié, merci !
"
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http://www.cassetete22.com/index.php?mod=news&ac=commentaires&id=23
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http://www.cassetete22.com/index.php?mod=news&ac=commentaires&id=55
http://www.cassetete22.com/fichier/le%20handicap%20cognitif%20et%20ses%20incidences%20dans%20la%20vie%20quotidienne%20-%20court%20-%202.5Mo.pdf
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http://www.cassetete22.com/fichier/vid%C3%A9o%201%20et%202%20Traumatisme%20Cranien%20comprendre%20pour%20mieux%20vivre%20avec%203.3Mo.pdf
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http://www.cassetete22.com/fichier/outils%20de%20compr%C3%A9hension%20ordre%20impression%201234%20jph%20savalle.pdf
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http://www.ars.bretagne.sante.fr/fileadmin/BRETAGNE/Site_internet/Concertation_regionale/Projet_regional_sante/PRS_Synthese/syntheseprs-022012.pdf
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http://douance-psychologie-reflexion-fiocret.blogspot.fr/
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http://www.qalc.fr/question/Quel-est-handicape-mental-surdoue-100719
"La surdouance et les handicaps mentaux sont des notions floues et subjectives, qui ne se rapportent pas forcément au QI, lui-même une notion très floue. Donc on a 3 situations :
- Son handicap et sa douance ne touchent pas son QI : Il est dans la moyenne de l'humanité, c'est-à-dire entre 90 et 110 de QI.
- Son handicap touche son QI, mais pas sa douance : Il est en dessous de 90.
- Sa douance touche son QI, mais pas son handicap : Au dessus de 110.
La surdouance et les handicaps mentaux étant des notions floues et subjectives, on ne peut pas envisager un individu avec un handicap ET un avantage concernant son QI.
En gros, cette question est vraiment une question à la con."
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http://www.manager-go.com/atypiques-temoignages/
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http://www.douance.org/qi/benesteau.html
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http://soniaspelen.com/?page_id=23
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http://www.grainesdetalent.fr/accueil.html
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"
[size=35]8 façons pour faire le ménage dans un esprit encombré[/size]
Louis Szabo+Posted by on 21 Fév 2013 in Blog | 0 comments
➊ Acceptez ce qui est
Accepter ce qui est ne signifie pas qu’on accepte de se faire marcher sur les pieds sans rien dire et cela ne signife pas non plus qu’on ne peut rien faire face aux évènements. Acceptez ce qui est, c’est reconnaître la réalité pour ce qu’elle est indépendamment de notre interprétation. Non pas « Ce qui m’arrive est moche ou ce qui m’arrive est super… » simplement, ça arrive – et non pas ça nous arrive.
➋ Soyez gentil avec vous-même
La raison en est très simple; les gens qui se font violence, pour atteindre tel ou tel objectif finissent généralement avec des réactions corporelles parfois très intenses telles que des infarctus, des attaques cérébrales, des tocs… c’est le corps qui dit Stop ! Autant ne pas en arriver là et avoir autant de gentillesse que vous pourriez avoir vis à vis d’un ami.
➌ Libérez-vous de la culpabilité et des peurs
Ce sont autant d’entraves à votre progression, votre épanouissement. C’est parfois un gros morceau, je le conçois mais rien n’empêche de se faire aider pour s’en libérer à moins de le faire vous-même si vous connaissez les outils pour le faire (j’en connais quelques uns comme les thérapies énergétiques mais je ne vais pas les lister ici – vous pouvez mes les demander si cela vous intéresse). Vous méritez mieux que de rester une pâle version de qui vous êtes vraiment !
➍ Lâchez le contrôle
Nous fonctionnons généralement dans un monde où l’on nous fait croire que tout doit être contrôlé mais le problème, quand on y regarde de plus près, c’est que cela ne fonctionne pas, c’est épuisant et cela nous coupe d’une partie divine de nous-même qui a accès a quelque chose de beaucoup plus grand que ce notre conscient veut bien croire. Remettez le contrôle dans les mains de l’Univers (ce sera une belle preuve de la confiance que vous lui accordez) ou de Dieu selon vos croyances, et faites votre part, ce sera infiniment plus léger à vivre.
➎ Visualisez ce qui est important pour vous
Nous avons tendance à laisser happer notre attention par tout un tas de choses qui nous détournent de ce qui devrait être central dans notre vie, la poursuite de notre mission de vie. Les alertes e-mail, les panneaux publicitaires qui défilent, TV , radio… et j’en passe, sont autant de voleurs de temps et d’attention. Réduisez-les au minimum.
➏ Concentrez vous sur votre énergie de vie
Lorsque vous faites des choses qui vous ennuient, que vous n’aimez pas, comment vous sentez-vous ? Vous traînez les pieds, vous vous sentez vidé, pas motivé, les choses paraissent deux fois plus difficile à faire ou plus… Lorsque vous faites ce qui vous tient vraiment à coeur, comment sentez-vous votre niveau d’énergie ? Assez haut, je suppose… Vous êtes enthousiaste, avec de l’entrain, joyeux et cela provoque une spirale – un vortex dirait Abraham Hicks – positive qui attire encore plus de bonnes choses à vous.
➐ Autorisez vous à être vulnérable
Etre vulnérable, c’est être humain et authentique. Qui se reconnaît dans un surhomme toujours parfait ? Qui ne se reconnaît pas dans celui qui raconte comment il a surmonté une difficulté, un drame, une épreuve ? Ce n’est pas un hasard si l’on recommande aux orateurs de mentionner les moments difficiles qu’ils ont traversé, cela permet à leurs auditeurs de se reconnaître en eux et d’avoir envie de suivre les pistes qu’ils leurs suggèrent tout en leur donnant du courage. Voyez le cas de Joe Vitale, maintenant auteur à succès de nombreux livres sur le marketing, la loi de l’attraction et co-auteur du livre sur Ho’oponopono « Zéro Limite » qui a été SDF durant une période de sa vie.
➑ Trouvez ce qui ne vous sert plus ou ne vous intéresse plus et laissez le aller
Si vous les laissez en place, vous risquez de vous retrouver freiné dans votre développement et dans la manifestation de ce que vous souhaitez. Quelles habitudes, croyances, quelles vieilles histoires ne voulez-vous pas lâcher et qui se jouent en vous empêchent d’avancer ?"
Vous pouvez utiliser un journal pour cela et prendre le temps de vous poser des questions qui vont vous y aider :
Qu’est-ce que cela essaye de me montrer?
Quelle croyance ai-je encore sur moi-même et qui se manifeste dans cette situation?
Qu’est ce que cette situation reflète en moi?
Quelle partie de moi est-ce que je ne me suis pas encore appropriée?
Quels sont les aspects de moi-même que je n’ai pas intégrés et acceptés?
Quelle vieille histoire se joue à nouveau dans mes cellules et donc dans ma vie?
Quel est le message de l’Univers ? Pourquoi êtes-vous ici et que voulez-vous me montrer?"
http://spiraledubienetre.fr/8-facons-pour-faire-le-menage-dans-le-mental-encombre/
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http://www.calay.be/douance.php
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"Différence entre "doué" et "compétent"
Le "don" est une capacité innée, tandis que la "compétence" est la capacité acquise à force de répétition et de travail.
La différence entre ces deux réalités est grande.
Personnellement, je suis reconnu comme "doué" ou "surdoué" dans beaucoup de domaines extrêmement divers, mais je ne suis pas toujours très "compétent", aussi ai-je une admiration souvent profonde envers les gens courageux et motivés, qui développent leurs talents.
Par exemple : je joue de l'orgue, je l'ai appris jusqu'à un certain niveau d'académie, mais sans m'astreindre à l'étudier assidûment, ce qui m'aurait donné accès à des diplômes supérieurs, si bien que, lorsque je joue, c'est soit très beau, ... soit complètement catastrophique, suivant les émotions du moment.
Car là où le don exprime ses limites, ... commence l'apprentissage ... et quand on n'a pas beaucoup étudié, on peut se planter à la première incohérence incontrôlée ...
C'est pour cela qu'une personne "douée" n'a pas toujours de quoi être fière, quand on la compare à quelqu'un de profondément courageux qui a acquis sa compétence par l'exercice, le travail, l'application, la concentration.
Ceci explique que j'ai de grands amis parmi les deux catégories de personnes, et que je n'ai qu'une fierté toute relative à avoir plus ou moins mal exploité les dons que j'ai reçus.
En résumé :
Il ne faut pas confondre les motivations, les dons, et la compétence : un professeur d'université (ce qu'était par ailleurs mon grand-père Odilon Calay), appartient le plus souvent à l'une ou l'autre de ces trois catégories :
- soit un fonctionnaire arriviste pistonné
- soit un intellectuel courageux non surdoué
- soit un réel surdoué qui a eu la chance d'être reconnu et qui a acquis une grande compétence par son travail.
Sensibilité accrue des cinq sens
Il y a une série de facteurs qui interviennent pour créer un personnage atypique, dont un facteur génétique évident, mais qui est influencé par l'environnement socio-culturel dans lequel il surgit.
Parmi les caractéristiques génétiques de base, on notera une sensibilité accrue des cinq sens, ou tout au moins de plusieurs d'entre eux, générant des perceptions beaucoup plus fortes que la normale.
Je me souviens des tests auditifs de mon oreille gauche lors des visites médicales de l'école primaire. L'infirmière demandait si j'entendais tel son, puis tel son, ... et j'entendais des fréquences extrêmement élevées (idem dans les basses), qui la rendaient incrédule. Alors elle coupait le son, et me demandait si j'entendais encore, pour essayer de me duper.
Malheureusement, la science n'accepte que les données qu'elle connaît, si bien que mon cas était rejeté comme valeur incorrecte et irréaliste, j'étais hors normes, donc inconnu, inexistant.
En fait, l'appareillage et la logique de ces tests étaient destinés à repérer les enfants sourds, mais pas les super-entendants.
Ainsi, personne n'a jamais détecté mon hyperacuité auditive, dont je n'étais d'ailleurs pas conscient non plus, et qui représente le plus grand de mes handicaps.
Mes oreilles ont été un véritable enfer dans ma vie. J'entends trop de choses, trop fort, les sons me traversent, c'est insupportable.
Je ne parle pas ici d'acouphènes ou autres sifflements, mais du fait que mon oreille gauche entend des sons très faibles, très lointains, ce qui m'oblige à vivre dans une rue en impasse, derrière du vitrage acoustique spécial, etc.
Même les lignes aériennes à haute altitude me sont insupportables et me réveillent la nuit.
Si le monde avait été construit par des hommes ayant la même ouïe que la mienne, tout aurait été conçu avec un seuil de 20 décibels plus bas.
Ceci illustre bien la problématique d'une sensibilité hors normes, et ne concerne jusqu'ici que mon oreille gauche. J'ai le même type de problèmes avec d'autres sens, sans parler de la sensibilité psychologique, etc.
Je vois là une des causes d'un comportement différent face à l'existence : le monde m'agresse, je ne me sens pas heureux dans un environnement mal conçu pour que j’y vive à l’aise. Cela me fait réagir, me met en situation de survie, donc en état de stress, suractive la vitesse d’analyse de certaines situations, etc.
Comme, selon les estimations, seulement 5 à 8% de la population a ce profil atypique, je sais et j'accepte désormais qu'il ne sera jamais possible de changer quoi que ce soit !
Si je réglais le volume du son d'une salle de cinéma suivant mes normes, 95% des gens n'entendraient pas le film !
Le mieux est donc de ne (plus) rien vouloir changer, pour ne pas faire de tort au plus grand nombre.
Une sorte de sage résignation.
A moi de trouver ma place dans les lieux et milieux qui me conviennent. La terre est grande et les possibilités sont (tout de même) nombreuses.
Aptitudes innées et diverses
Outre son hypersensibilité et son hyperstimulabilité, le "profil atypique" est généralement défini comme gratifié d'une série d'aptitudes et de caractéristiques de fonctionnement.
Il s'agit de caractéristiques cérébrales subtiles à décrire, tel n'est pas le but de cette page.
Ces aptitudes sont innées : un "atypique" n'a pas besoin de suivre des cours pour aborder bon nombre de problèmes considérés comme compliqués.
Par contre, un bon nombre d'entre eux aurait besoin de suivre des cours pour résoudre certains problèmes élémentaires, qui se compliquent artificiellement à cause du déroulement en arborescence de leur cerveau : une question entraînant une autre question ...
Ce qui peut être déconcertant pour mon entourage, c'est mon aptitude à sauter, parfois de façon exagérée, d'un problème à un autre, ou à l’opposé, d’être obsessionnel sur un thème totalement extérieur aux véritables urgences du moment.
Heureusement, petite consolation concernant ma stabilité, je constate qu’avec l'âge, il y a une constance dans la diversité de mes centres d'intérêts et une récurrence de ceux-ci dans le temps.
J'ai constaté également que ce sont exclusivement mes centres d'intérêts, et non les nécessités, qui guident mes occupations, même professionnelles. C'est, paraît-il, une caractéristique vraiment très spécifique de ceux qu'on considère comme "atypiques".
Un autre élément déconcertant pour mon entourage, est la vitesse accrue dans la perception et l'analyse des situations : une vision globale dans le temps me donne un pressenti immédiat du déroulement probable. Cela pourrait être qualifié d'intuition, mais ce n'en est pas car c’est rationnel, je puis l'expliquer, le démontrer si nécessaire, alors que l'intuition véritable est par essence totalement inexplicable par celui qui la ressent.
Voir des décisions vitales pour un pays, pour l'humanité, prises parfois par des gens incompétents, sourds, aveugles et même alcooliques déclarés, éveille en moi une grande angoisse.
Certains éléments du quotidien de la vie sont aussi insupportables. Dois-je les nommer ? L'étroitesse de l'esprit scientifique, la perversion de l'esprit économique, la pauvreté de l'esprit politique... insupportable, tout cela !
En parler ?
Il existe une excellente littérature sur le sujet, les ouvrages de Jeanne Siaud-Facchin étant jusqu'ici les plus connus.
Plus récemment (fin 2011), j'ai découvert le livre intitulé "Je pense trop", de Christel Petitcollin, qui représente pour moi le meilleur ouvrage actuel s'adressant aux surefficients mentaux. Elle y explique entre autres comment fonctionnement les normopensants, cela m'a fait un bien fou de comprendre enfin les spécificités de leur comportement.
Malheureusement lorsque le sujet est abordé par certaines personnes non atypiques, elle risquent de le percevoir de manière totalement incorrecte, puisque la logique d'esprit qu'elles essaient d'approcher leur échappe totalement. C'est le cas de certaines équipes de recherche dans lesquelles sont nommés des fonctionnaires, et c'est la porte ouverte aux âneries, résultant de l’étude du problème vu sous un angle restreint correspondant à leur largeur d'esprit.
Caractéristiques probables des personnes dites dotées de "surefficience mentale" (source : asbl "Douance")
Hyperstimulabilité, hyperesthésie, hypersensibilité, susceptibilité
Fonctionnement cérébral non linéaire : en arborescence ou par associations
Curiosité, créativité, imagination débordante
Capacité de faire plusieurs choses en même temps, persévérance (si l'intérêt le justifie)
Intérêts très variés, passant facilement d'un domaine à l'autre
Recherche de la compagnie de personnes plus âgées
Grand sens de l’humour, mais très particulier, souvent incompris
Respect des règles bien comprises ("logiques"), mais tendance à questionner l’autorité non fondée
Perfectionnisme, doublé d'une extrême lucidité, qui entraînent parfois le doute, la peur de l'échec.
Avoir un profil atypique, quel handicap !
Depuis ma plus tendre enfance, je porte en moi un sentiment d’étrangeté, de différence, une conviction d’être incompris (qui est réelle), parce que mes centres d’intérêts et mon regard sur le monde ne trouvent pas beaucoup d’écho dans mon entourage.
Les conséquences de ce sentiment m'ont souvent amené à me replier, à me nier, pour être accepté, et de nombreuses souffrances se sont cristallisées en moi.
En novembre 2009, cette pensée m'est venue à l'esprit :
Je persiste à croire que le pire de nos handicaps, c'est d'être "atypiques" : une personne "normale" a une capacité d'adaptation beaucoup plus basique qui lui permet de se réadapter dans les limites de son répertoire. Nous "atypiques", nous n'en sommes pas capables : subjugués par des désirs grandioses correspondant à la suractivité de nos perceptions et de nos sensations, nous ne pourrions pas envisager de faire un métier simple, répétitif, etc., simplement pour nous nourrir : ce serait à nos yeux mourir d'ennui et d'inutilité aux grandes causes de l'univers.
Quelques problèmes majeurs :
- comment m'intégrer aux groupes que je fréquente ?
- comment vivre de manière apaisée, malgré les perceptions trop fortes ?
- comment subsister de manière détendue, malgré ces pensées, ces images, ces musiques qui m'habitent sans arrêt ?
- comment arriver à ne faire qu'une seule chose à la fois, sans me disperser ?
- comment être moi, sans m’automutiler dans mes raisonnements et ma sensibilité ?
- comment vivre sur terre, sans pour autant rejeter le fonctionnement de la société ?
Processus inadapté dans les groupes :
Le procédé le plus spontané consistait à essayer de m'intégrer en me présentant volontairement sous une personnalité simplifiée, pour essayer de me mettre à la portée des autres et correspondre à ce qu’ils attendent de moi ... cela s'est souvent terminé de manière catastrophique.
En réalité, il vaut mieux être simplement soi-même, naturel, mais à l'aise avec sa différence, alors les autres, miroirs de soi, l'acceptent aussi.
Le plus délicat à gérer, c'est l'état de danger de mort face aux "fonctionnaires", car ceux-ci peuvent être très dangereux lorsqu'ils ont le pouvoir. Mais on apprend assez tôt à leur dire ce qui correspond à leur attente, et le danger est écarté.
J'inclus dans ma définition de "fonctionnaire" toute personne qui fonctionne dans le 'bien appris' et 'suivre l'ordre reçu', aussi ridicule soit-il (fût il médecin, militaire, bureaucrate, garagiste ou enseignant, sa profession et son grade n'ont aucune importance).
Quelques avantages d'être "surefficent mental" (source : groupe de soutien pour surdoués)
Etre en extase même avec un tout petit quelque chose
Ne jamais s'ennuyer, comprendre vite
Expérimenter et beaucoup apprendre
Avoir une sensibilité aux personnes, une empathie naturelle
Faire les choses de manière personnelle
Avoir la possibilité de "jouer" avec la vie
Avoir des sensations fortes en musique et en art
Ne pas être impressionné
Avoir une capacité d'ouverture.
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"L'art du surdoué, c'est d'apparaître potentiellement non dangereux."
Marilyn Merlo
"C'est un grand tort que d'avoir eu raison avant les autres."
Edgard Faure"
http://www.calay.be/douance.php
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http://adultesurdouee.canalblog.com/archives/2012/11/04/25495803.html
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http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/rsi/82/31.pdf
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http://www.orspere.fr/IMG/pdf/rhizome33.pdf
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http://www.jankech.ch/pdf/grandfr.pdf
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http://www.journaldunet.com/management/expert/51595/quand-l-horizon-est-flou--sachez-adopter-le-comportement-adequat.shtml
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http://laphilodepicasso.over-blog.com/article-sujet-terminales-technologiques-kant-raison-prejuges-et-verite-100263386.html
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https://media4.obspm.fr/public/AMC/pages_instruments-oculaire/impression.html
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http://www.fabula.org/colloques/document757.php
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https://books.google.fr/books?id=sgtlAgAAQBAJ&pg=PT109&lpg=PT109&dq=commencer+sa+vie+par+la+fin&source=bl&ots=tSi4tEkzm8&sig=JN2iC0cipwqMna_SbeLL7aMbHJE&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiBi6mEh-3LAhWF2hoKHTaGAYg4ChDoAQg7MAc#v=onepage&q=commencer%20sa%20vie%20par%20la%20fin&f=false
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http://flaubert.univ-rouen.fr/etudes/prentkifr.php
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https://books.google.fr/books?id=ziAWCgAAQBAJ&pg=PA82&lpg=PA82&dq=des+reperes+par+rapport+au+n%C3%A9ant&source=bl&ots=Ugn1ITgSq7&sig=eu349yKdyiOMHYTCFHZMG-sHwxA&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjW55m0iO3LAhXBPxoKHfOKABEQ6AEIUjAJ#v=onepage&q=des%20reperes%20par%20rapport%20au%20n%C3%A9ant&f=false
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http://www.ina-expert.com/e-dossier-de-l-audiovisuel-qu-enseigne-l-image-qu-enseigner-par-l-image/images-des-reperes-ou-des-outils.html
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http://oserchanger.com/blogue_2/wp-content/uploads/OserChangerchap1complet.pdf
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http://raconterlavie.fr/collection/chercheur-au-quotidien/#.Vv45h_mLS00
"On va donc faire un tour rapide de ce concept, de la manière la plus simple possible. Forcément, il y aura de grosses approximations, donc si certains passages vous font grincer les dents, c’est que vous n’êtes pas sur la bonne page, voyez le lien en fin d’article vers l’article détaillé et plus rigoureux.
Feedback grandement apprécié, merci !
"
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http://www.cassetete22.com/index.php?mod=news&ac=commentaires&id=23
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http://www.cassetete22.com/index.php?mod=news&ac=commentaires&id=55
http://www.cassetete22.com/fichier/le%20handicap%20cognitif%20et%20ses%20incidences%20dans%20la%20vie%20quotidienne%20-%20court%20-%202.5Mo.pdf
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http://www.cassetete22.com/fichier/vid%C3%A9o%201%20et%202%20Traumatisme%20Cranien%20comprendre%20pour%20mieux%20vivre%20avec%203.3Mo.pdf
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http://www.cassetete22.com/fichier/outils%20de%20compr%C3%A9hension%20ordre%20impression%201234%20jph%20savalle.pdf
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http://www.ars.bretagne.sante.fr/fileadmin/BRETAGNE/Site_internet/Concertation_regionale/Projet_regional_sante/PRS_Synthese/syntheseprs-022012.pdf
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http://douance-psychologie-reflexion-fiocret.blogspot.fr/
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http://www.qalc.fr/question/Quel-est-handicape-mental-surdoue-100719
"La surdouance et les handicaps mentaux sont des notions floues et subjectives, qui ne se rapportent pas forcément au QI, lui-même une notion très floue. Donc on a 3 situations :
- Son handicap et sa douance ne touchent pas son QI : Il est dans la moyenne de l'humanité, c'est-à-dire entre 90 et 110 de QI.
- Son handicap touche son QI, mais pas sa douance : Il est en dessous de 90.
- Sa douance touche son QI, mais pas son handicap : Au dessus de 110.
La surdouance et les handicaps mentaux étant des notions floues et subjectives, on ne peut pas envisager un individu avec un handicap ET un avantage concernant son QI.
En gros, cette question est vraiment une question à la con."
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"Pour étudier le cerveau on dispose de trois modes d’investigation :
- l’électrophysiologie (électroencéphalogrammme notamment), qui mesure de l’activité électrique.
- l’imagerie cérébrale avec l’IRM fonctionnelle notamment (visualisation du fonctionnement)
- l’IRM morphologique (visulatisation de la morphologie)
- l’électrophysiologie (électroencéphalogrammme notamment), qui mesure de l’activité électrique.
- l’imagerie cérébrale avec l’IRM fonctionnelle notamment (visualisation du fonctionnement)
- l’IRM morphologique (visulatisation de la morphologie)
Il a été constaté notamment une plus grande connectivité entre les différentes zones du cerveau dans la population à haut QI (spécialement entre le lobe frontal et le lobe pariétal).
Selon le Pr Habib, ces méthodes d’imagerie cérébrale, même si elles sont encore sous-utilisées, sont prometteuses pour la compréhension future de la « précocité intellectuelle », et que de nouveaux éléments devraient être découverts dans un avenir proche."
http://www.hpitalents.com/les-surdoues.html-------------------------------------------------------------------------------------------------
http://www.manager-go.com/atypiques-temoignages/
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http://www.douance.org/qi/benesteau.html
------------------------------------------------------------------------------------------------
http://soniaspelen.com/?page_id=23
-----------------------------------------------------------------------------------------------
http://www.grainesdetalent.fr/accueil.html
------------------------------------------------------------------------------------------------
"
[size=35]8 façons pour faire le ménage dans un esprit encombré[/size]
Louis Szabo+Posted by on 21 Fév 2013 in Blog | 0 comments
- [url=http://twitter.com/home?status=8+fa%C3%A7ons+pour+faire+le+m%C3%A9nage+dans+un+esprit+encombr%C3%A9 - http%3A%2F%2Fspiraledubienetre.fr%2F8-facons-pour-faire-le-menage-dans-le-mental-encombre%2F @louisszabo][/url]
- [email=?to=&subject=8+fa%C3%A7ons+pour+faire+le+m%C3%A9nage+dans+un+esprit+encombr%C3%A9&body=Un+peu+comme+un+m%C3%A9nage+de+Printemps%2C+voici+une+liste+de+suggestions+pour+vous+aider+%C3%A0+faire+le+m%C3%A9nage+dans+un+esprit+encombr%C3%A9%0D%0A%26nbsp%3B%0D%0A%0D%0A%E2%9E%8A+Acceptez+ce+qui+est%0D%0AAccepter+ce+qui+est+ne+signifie+pas+qu%27on+accepte+de+se+faire+marcher+sur+les+pieds%20-%20http://spiraledubienetre.fr/8-facons-pour-faire-le-menage-dans-le-mental-encombre/][/email]
Un peu comme un ménage de Printemps, voici une liste de suggestions pour vous aider à faire le ménage dans un esprit encombré
➊ Acceptez ce qui est
Accepter ce qui est ne signifie pas qu’on accepte de se faire marcher sur les pieds sans rien dire et cela ne signife pas non plus qu’on ne peut rien faire face aux évènements. Acceptez ce qui est, c’est reconnaître la réalité pour ce qu’elle est indépendamment de notre interprétation. Non pas « Ce qui m’arrive est moche ou ce qui m’arrive est super… » simplement, ça arrive – et non pas ça nous arrive.
➋ Soyez gentil avec vous-même
La raison en est très simple; les gens qui se font violence, pour atteindre tel ou tel objectif finissent généralement avec des réactions corporelles parfois très intenses telles que des infarctus, des attaques cérébrales, des tocs… c’est le corps qui dit Stop ! Autant ne pas en arriver là et avoir autant de gentillesse que vous pourriez avoir vis à vis d’un ami.
➌ Libérez-vous de la culpabilité et des peurs
Ce sont autant d’entraves à votre progression, votre épanouissement. C’est parfois un gros morceau, je le conçois mais rien n’empêche de se faire aider pour s’en libérer à moins de le faire vous-même si vous connaissez les outils pour le faire (j’en connais quelques uns comme les thérapies énergétiques mais je ne vais pas les lister ici – vous pouvez mes les demander si cela vous intéresse). Vous méritez mieux que de rester une pâle version de qui vous êtes vraiment !
➍ Lâchez le contrôle
Nous fonctionnons généralement dans un monde où l’on nous fait croire que tout doit être contrôlé mais le problème, quand on y regarde de plus près, c’est que cela ne fonctionne pas, c’est épuisant et cela nous coupe d’une partie divine de nous-même qui a accès a quelque chose de beaucoup plus grand que ce notre conscient veut bien croire. Remettez le contrôle dans les mains de l’Univers (ce sera une belle preuve de la confiance que vous lui accordez) ou de Dieu selon vos croyances, et faites votre part, ce sera infiniment plus léger à vivre.
➎ Visualisez ce qui est important pour vous
Nous avons tendance à laisser happer notre attention par tout un tas de choses qui nous détournent de ce qui devrait être central dans notre vie, la poursuite de notre mission de vie. Les alertes e-mail, les panneaux publicitaires qui défilent, TV , radio… et j’en passe, sont autant de voleurs de temps et d’attention. Réduisez-les au minimum.
➏ Concentrez vous sur votre énergie de vie
Lorsque vous faites des choses qui vous ennuient, que vous n’aimez pas, comment vous sentez-vous ? Vous traînez les pieds, vous vous sentez vidé, pas motivé, les choses paraissent deux fois plus difficile à faire ou plus… Lorsque vous faites ce qui vous tient vraiment à coeur, comment sentez-vous votre niveau d’énergie ? Assez haut, je suppose… Vous êtes enthousiaste, avec de l’entrain, joyeux et cela provoque une spirale – un vortex dirait Abraham Hicks – positive qui attire encore plus de bonnes choses à vous.
➐ Autorisez vous à être vulnérable
Etre vulnérable, c’est être humain et authentique. Qui se reconnaît dans un surhomme toujours parfait ? Qui ne se reconnaît pas dans celui qui raconte comment il a surmonté une difficulté, un drame, une épreuve ? Ce n’est pas un hasard si l’on recommande aux orateurs de mentionner les moments difficiles qu’ils ont traversé, cela permet à leurs auditeurs de se reconnaître en eux et d’avoir envie de suivre les pistes qu’ils leurs suggèrent tout en leur donnant du courage. Voyez le cas de Joe Vitale, maintenant auteur à succès de nombreux livres sur le marketing, la loi de l’attraction et co-auteur du livre sur Ho’oponopono « Zéro Limite » qui a été SDF durant une période de sa vie.
➑ Trouvez ce qui ne vous sert plus ou ne vous intéresse plus et laissez le aller
Si vous les laissez en place, vous risquez de vous retrouver freiné dans votre développement et dans la manifestation de ce que vous souhaitez. Quelles habitudes, croyances, quelles vieilles histoires ne voulez-vous pas lâcher et qui se jouent en vous empêchent d’avancer ?"
Vous pouvez utiliser un journal pour cela et prendre le temps de vous poser des questions qui vont vous y aider :
Qu’est-ce que cela essaye de me montrer?
Quelle croyance ai-je encore sur moi-même et qui se manifeste dans cette situation?
Qu’est ce que cette situation reflète en moi?
Quelle partie de moi est-ce que je ne me suis pas encore appropriée?
Quels sont les aspects de moi-même que je n’ai pas intégrés et acceptés?
Quelle vieille histoire se joue à nouveau dans mes cellules et donc dans ma vie?
Quel est le message de l’Univers ? Pourquoi êtes-vous ici et que voulez-vous me montrer?"
http://spiraledubienetre.fr/8-facons-pour-faire-le-menage-dans-le-mental-encombre/
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http://www.calay.be/douance.php
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"Différence entre "doué" et "compétent"
Le "don" est une capacité innée, tandis que la "compétence" est la capacité acquise à force de répétition et de travail.
La différence entre ces deux réalités est grande.
Personnellement, je suis reconnu comme "doué" ou "surdoué" dans beaucoup de domaines extrêmement divers, mais je ne suis pas toujours très "compétent", aussi ai-je une admiration souvent profonde envers les gens courageux et motivés, qui développent leurs talents.
Par exemple : je joue de l'orgue, je l'ai appris jusqu'à un certain niveau d'académie, mais sans m'astreindre à l'étudier assidûment, ce qui m'aurait donné accès à des diplômes supérieurs, si bien que, lorsque je joue, c'est soit très beau, ... soit complètement catastrophique, suivant les émotions du moment.
Car là où le don exprime ses limites, ... commence l'apprentissage ... et quand on n'a pas beaucoup étudié, on peut se planter à la première incohérence incontrôlée ...
C'est pour cela qu'une personne "douée" n'a pas toujours de quoi être fière, quand on la compare à quelqu'un de profondément courageux qui a acquis sa compétence par l'exercice, le travail, l'application, la concentration.
Ceci explique que j'ai de grands amis parmi les deux catégories de personnes, et que je n'ai qu'une fierté toute relative à avoir plus ou moins mal exploité les dons que j'ai reçus.
En résumé :
Il ne faut pas confondre les motivations, les dons, et la compétence : un professeur d'université (ce qu'était par ailleurs mon grand-père Odilon Calay), appartient le plus souvent à l'une ou l'autre de ces trois catégories :
- soit un fonctionnaire arriviste pistonné
- soit un intellectuel courageux non surdoué
- soit un réel surdoué qui a eu la chance d'être reconnu et qui a acquis une grande compétence par son travail.
Sensibilité accrue des cinq sens
Il y a une série de facteurs qui interviennent pour créer un personnage atypique, dont un facteur génétique évident, mais qui est influencé par l'environnement socio-culturel dans lequel il surgit.
Parmi les caractéristiques génétiques de base, on notera une sensibilité accrue des cinq sens, ou tout au moins de plusieurs d'entre eux, générant des perceptions beaucoup plus fortes que la normale.
Je me souviens des tests auditifs de mon oreille gauche lors des visites médicales de l'école primaire. L'infirmière demandait si j'entendais tel son, puis tel son, ... et j'entendais des fréquences extrêmement élevées (idem dans les basses), qui la rendaient incrédule. Alors elle coupait le son, et me demandait si j'entendais encore, pour essayer de me duper.
Malheureusement, la science n'accepte que les données qu'elle connaît, si bien que mon cas était rejeté comme valeur incorrecte et irréaliste, j'étais hors normes, donc inconnu, inexistant.
En fait, l'appareillage et la logique de ces tests étaient destinés à repérer les enfants sourds, mais pas les super-entendants.
Ainsi, personne n'a jamais détecté mon hyperacuité auditive, dont je n'étais d'ailleurs pas conscient non plus, et qui représente le plus grand de mes handicaps.
Mes oreilles ont été un véritable enfer dans ma vie. J'entends trop de choses, trop fort, les sons me traversent, c'est insupportable.
Je ne parle pas ici d'acouphènes ou autres sifflements, mais du fait que mon oreille gauche entend des sons très faibles, très lointains, ce qui m'oblige à vivre dans une rue en impasse, derrière du vitrage acoustique spécial, etc.
Même les lignes aériennes à haute altitude me sont insupportables et me réveillent la nuit.
Si le monde avait été construit par des hommes ayant la même ouïe que la mienne, tout aurait été conçu avec un seuil de 20 décibels plus bas.
Ceci illustre bien la problématique d'une sensibilité hors normes, et ne concerne jusqu'ici que mon oreille gauche. J'ai le même type de problèmes avec d'autres sens, sans parler de la sensibilité psychologique, etc.
Je vois là une des causes d'un comportement différent face à l'existence : le monde m'agresse, je ne me sens pas heureux dans un environnement mal conçu pour que j’y vive à l’aise. Cela me fait réagir, me met en situation de survie, donc en état de stress, suractive la vitesse d’analyse de certaines situations, etc.
Comme, selon les estimations, seulement 5 à 8% de la population a ce profil atypique, je sais et j'accepte désormais qu'il ne sera jamais possible de changer quoi que ce soit !
Si je réglais le volume du son d'une salle de cinéma suivant mes normes, 95% des gens n'entendraient pas le film !
Le mieux est donc de ne (plus) rien vouloir changer, pour ne pas faire de tort au plus grand nombre.
Une sorte de sage résignation.
A moi de trouver ma place dans les lieux et milieux qui me conviennent. La terre est grande et les possibilités sont (tout de même) nombreuses.
Aptitudes innées et diverses
Outre son hypersensibilité et son hyperstimulabilité, le "profil atypique" est généralement défini comme gratifié d'une série d'aptitudes et de caractéristiques de fonctionnement.
Il s'agit de caractéristiques cérébrales subtiles à décrire, tel n'est pas le but de cette page.
Ces aptitudes sont innées : un "atypique" n'a pas besoin de suivre des cours pour aborder bon nombre de problèmes considérés comme compliqués.
Par contre, un bon nombre d'entre eux aurait besoin de suivre des cours pour résoudre certains problèmes élémentaires, qui se compliquent artificiellement à cause du déroulement en arborescence de leur cerveau : une question entraînant une autre question ...
Ce qui peut être déconcertant pour mon entourage, c'est mon aptitude à sauter, parfois de façon exagérée, d'un problème à un autre, ou à l’opposé, d’être obsessionnel sur un thème totalement extérieur aux véritables urgences du moment.
Heureusement, petite consolation concernant ma stabilité, je constate qu’avec l'âge, il y a une constance dans la diversité de mes centres d'intérêts et une récurrence de ceux-ci dans le temps.
J'ai constaté également que ce sont exclusivement mes centres d'intérêts, et non les nécessités, qui guident mes occupations, même professionnelles. C'est, paraît-il, une caractéristique vraiment très spécifique de ceux qu'on considère comme "atypiques".
Un autre élément déconcertant pour mon entourage, est la vitesse accrue dans la perception et l'analyse des situations : une vision globale dans le temps me donne un pressenti immédiat du déroulement probable. Cela pourrait être qualifié d'intuition, mais ce n'en est pas car c’est rationnel, je puis l'expliquer, le démontrer si nécessaire, alors que l'intuition véritable est par essence totalement inexplicable par celui qui la ressent.
Voir des décisions vitales pour un pays, pour l'humanité, prises parfois par des gens incompétents, sourds, aveugles et même alcooliques déclarés, éveille en moi une grande angoisse.
Certains éléments du quotidien de la vie sont aussi insupportables. Dois-je les nommer ? L'étroitesse de l'esprit scientifique, la perversion de l'esprit économique, la pauvreté de l'esprit politique... insupportable, tout cela !
En parler ?
Il existe une excellente littérature sur le sujet, les ouvrages de Jeanne Siaud-Facchin étant jusqu'ici les plus connus.
Plus récemment (fin 2011), j'ai découvert le livre intitulé "Je pense trop", de Christel Petitcollin, qui représente pour moi le meilleur ouvrage actuel s'adressant aux surefficients mentaux. Elle y explique entre autres comment fonctionnement les normopensants, cela m'a fait un bien fou de comprendre enfin les spécificités de leur comportement.
Malheureusement lorsque le sujet est abordé par certaines personnes non atypiques, elle risquent de le percevoir de manière totalement incorrecte, puisque la logique d'esprit qu'elles essaient d'approcher leur échappe totalement. C'est le cas de certaines équipes de recherche dans lesquelles sont nommés des fonctionnaires, et c'est la porte ouverte aux âneries, résultant de l’étude du problème vu sous un angle restreint correspondant à leur largeur d'esprit.
Caractéristiques probables des personnes dites dotées de "surefficience mentale" (source : asbl "Douance")
Hyperstimulabilité, hyperesthésie, hypersensibilité, susceptibilité
Fonctionnement cérébral non linéaire : en arborescence ou par associations
Curiosité, créativité, imagination débordante
Capacité de faire plusieurs choses en même temps, persévérance (si l'intérêt le justifie)
Intérêts très variés, passant facilement d'un domaine à l'autre
Recherche de la compagnie de personnes plus âgées
Grand sens de l’humour, mais très particulier, souvent incompris
Respect des règles bien comprises ("logiques"), mais tendance à questionner l’autorité non fondée
Perfectionnisme, doublé d'une extrême lucidité, qui entraînent parfois le doute, la peur de l'échec.
Avoir un profil atypique, quel handicap !
Depuis ma plus tendre enfance, je porte en moi un sentiment d’étrangeté, de différence, une conviction d’être incompris (qui est réelle), parce que mes centres d’intérêts et mon regard sur le monde ne trouvent pas beaucoup d’écho dans mon entourage.
Les conséquences de ce sentiment m'ont souvent amené à me replier, à me nier, pour être accepté, et de nombreuses souffrances se sont cristallisées en moi.
En novembre 2009, cette pensée m'est venue à l'esprit :
Je persiste à croire que le pire de nos handicaps, c'est d'être "atypiques" : une personne "normale" a une capacité d'adaptation beaucoup plus basique qui lui permet de se réadapter dans les limites de son répertoire. Nous "atypiques", nous n'en sommes pas capables : subjugués par des désirs grandioses correspondant à la suractivité de nos perceptions et de nos sensations, nous ne pourrions pas envisager de faire un métier simple, répétitif, etc., simplement pour nous nourrir : ce serait à nos yeux mourir d'ennui et d'inutilité aux grandes causes de l'univers.
Quelques problèmes majeurs :
- comment m'intégrer aux groupes que je fréquente ?
- comment vivre de manière apaisée, malgré les perceptions trop fortes ?
- comment subsister de manière détendue, malgré ces pensées, ces images, ces musiques qui m'habitent sans arrêt ?
- comment arriver à ne faire qu'une seule chose à la fois, sans me disperser ?
- comment être moi, sans m’automutiler dans mes raisonnements et ma sensibilité ?
- comment vivre sur terre, sans pour autant rejeter le fonctionnement de la société ?
Processus inadapté dans les groupes :
Le procédé le plus spontané consistait à essayer de m'intégrer en me présentant volontairement sous une personnalité simplifiée, pour essayer de me mettre à la portée des autres et correspondre à ce qu’ils attendent de moi ... cela s'est souvent terminé de manière catastrophique.
En réalité, il vaut mieux être simplement soi-même, naturel, mais à l'aise avec sa différence, alors les autres, miroirs de soi, l'acceptent aussi.
Le plus délicat à gérer, c'est l'état de danger de mort face aux "fonctionnaires", car ceux-ci peuvent être très dangereux lorsqu'ils ont le pouvoir. Mais on apprend assez tôt à leur dire ce qui correspond à leur attente, et le danger est écarté.
J'inclus dans ma définition de "fonctionnaire" toute personne qui fonctionne dans le 'bien appris' et 'suivre l'ordre reçu', aussi ridicule soit-il (fût il médecin, militaire, bureaucrate, garagiste ou enseignant, sa profession et son grade n'ont aucune importance).
Quelques avantages d'être "surefficent mental" (source : groupe de soutien pour surdoués)
Etre en extase même avec un tout petit quelque chose
Ne jamais s'ennuyer, comprendre vite
Expérimenter et beaucoup apprendre
Avoir une sensibilité aux personnes, une empathie naturelle
Faire les choses de manière personnelle
Avoir la possibilité de "jouer" avec la vie
Avoir des sensations fortes en musique et en art
Ne pas être impressionné
Avoir une capacité d'ouverture.
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"L'art du surdoué, c'est d'apparaître potentiellement non dangereux."
Marilyn Merlo
"C'est un grand tort que d'avoir eu raison avant les autres."
Edgard Faure"
http://www.calay.be/douance.php
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http://adultesurdouee.canalblog.com/archives/2012/11/04/25495803.html
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http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/rsi/82/31.pdf
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http://www.orspere.fr/IMG/pdf/rhizome33.pdf
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http://www.jankech.ch/pdf/grandfr.pdf
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http://www.journaldunet.com/management/expert/51595/quand-l-horizon-est-flou--sachez-adopter-le-comportement-adequat.shtml
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http://laphilodepicasso.over-blog.com/article-sujet-terminales-technologiques-kant-raison-prejuges-et-verite-100263386.html
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https://media4.obspm.fr/public/AMC/pages_instruments-oculaire/impression.html
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http://www.fabula.org/colloques/document757.php
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https://books.google.fr/books?id=sgtlAgAAQBAJ&pg=PT109&lpg=PT109&dq=commencer+sa+vie+par+la+fin&source=bl&ots=tSi4tEkzm8&sig=JN2iC0cipwqMna_SbeLL7aMbHJE&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiBi6mEh-3LAhWF2hoKHTaGAYg4ChDoAQg7MAc#v=onepage&q=commencer%20sa%20vie%20par%20la%20fin&f=false
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http://flaubert.univ-rouen.fr/etudes/prentkifr.php
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https://books.google.fr/books?id=ziAWCgAAQBAJ&pg=PA82&lpg=PA82&dq=des+reperes+par+rapport+au+n%C3%A9ant&source=bl&ots=Ugn1ITgSq7&sig=eu349yKdyiOMHYTCFHZMG-sHwxA&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjW55m0iO3LAhXBPxoKHfOKABEQ6AEIUjAJ#v=onepage&q=des%20reperes%20par%20rapport%20au%20n%C3%A9ant&f=false
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http://www.ina-expert.com/e-dossier-de-l-audiovisuel-qu-enseigne-l-image-qu-enseigner-par-l-image/images-des-reperes-ou-des-outils.html
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http://oserchanger.com/blogue_2/wp-content/uploads/OserChangerchap1complet.pdf
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http://raconterlavie.fr/collection/chercheur-au-quotidien/#.Vv45h_mLS00
Invité- Invité
Re: news lifes :)
https://books.google.fr/books?id=HTltuszXCAIC&pg=PA24&lpg=PA24&dq=mentales+ou+mentaux&source=bl&ots=BBsylfgHcb&sig=E2DTV4VSTyHEjvgC2bYcoTA1WH4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjks72ji-3LAhXIWhoKHTQJA484ChDoAQg6MAU#v=onepage&q=mentales%20ou%20mentaux&f=false
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http://www.ifgm.org/Activites/gestion-mentale.htm
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http://www.editions-armada.com/Connexions-mentales.html
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http://www.redpsy.com/infopsy/grandamour.html
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http://www.ifgm.org/Activites/gestion-mentale.htm
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http://www.editions-armada.com/Connexions-mentales.html
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http://www.redpsy.com/infopsy/grandamour.html
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Invité- Invité
Re: news lifes :)
http://aees.free.fr/docs%20liens/cours/l3%20semestre%201/UE5A%20CM%20Groslambert.pdf
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http://www.happyneuron.fr/cerveau-et-entrainement/moyen-mnemotechnique
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http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/le-carre-d-as-ca-marche-sur-les-performances-cognitives
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http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-notre-cerveau-ressemble-t-il-a-une-grosse-noix
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http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/28/et-le-genie-jaillit-du-cerveau
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http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/28/et-le-genie-jaillit-du-cerveau
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http://www.nexus.fr/wp-content/uploads/2014/12/Syndrome-savant_NX76_light.pdf
"NEXUS: Peut-on dire aujourd’hui que l’autisme n’est plus considéré comme une maladie ?
Laurent Mottron: En effet, nous préférons parler d’une variation du phénotype humain, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, nous avons tous les degrés possibles d’adaptation entre un autiste très handicapé et quelqu’un dont l’insertion sociale est quasi normale. Ensuite, il existe de multiples degrés intermédiaires entre l’autisme et le phénotype dominant: le syndrome d’Asperger, « les troubles envahissants du développement non spécifiés », dont les cas sont cinq fois plus nombreux que l’autisme selon les critères actuels, et le phénotype élargi de l’autisme, désignant les particularités des familles d’autistes.
L’autisme constitue donc une sorte de « bord » de l’humanité, qui va être à l’extrême très marginal, mais qui peut aussi se fondre dans la normalité. On ne peut pas non plus parler de maladie parce qu’il n’y a pas de début ni de fin à cette condition. On naît avec, elle se transforme au cours du développement, avec des acquisitions, des apprentissages, des expertises, etc., qui dé- pendent énormément du matériel auquel les autistes ont accès. Une troisième raison est que cette condition semble apporter certains avantages, bien sûr souvent contrebalancés par d’énormes problèmes adaptatifs, qui dépendent du milieu dans lequel ils se trouvent. Un autiste dans un milieu qui lui convient fonctionne le plus souvent très bien. Enfin, c’est une condition qui n’est pas obligatoirement associée à une souffrance psychologique. En quoi consiste le concept de neurodiversité ?
Ce mouvement, très informel, mais puissamment représenté dans la communauté autistique, défend l’idée qu’à partir du moment où l’on n’a pas une vue eugénique et concentrique de l’humanité – avec un centre qui serait le « mieux » et une périphérie qui serait le « moins bien » (comme on a pu l’avoir pour l’orientation sexuelle) – le statut de maladie ou d’erreur génétique s’applique mal à l’autisme. Les variations génétiques, bien que périphériques par rapport à l’humanité centrale, ne peuvent pas être jugées sur un axe de valeur, dès lors qu’il est éthiquement admis qu’on ne vise plus une humanité uniforme. Nous pensons qu’il y a un fort relent d’eugénisme dans l’idée de soins appliqués aux troubles neuro-développementaux, lorsqu’elle vise à les normaliser plutôt que de les aider à s’adapter au monde dominant, et d’adapter le monde à leurs variations.
Qui penserait actuellement à essayer « d’adapter » un homosexuel ? Ce sont les autistes eux-mêmes qui font ce parallèle, en mêlant science et droits civiques. Que peut-on dire de l’intelligence des autistes? Lorsqu’on travaille avec les autistes de manière scientifique et qu’on évalue leurs compétences, on se rend compte que l’on a énormément sousestimé leurs aptitudes, parce qu’ils étaient testés comme une personne « typique ». L’inadéquation des tests de QI est pour nous exemplaire alors que d’autres tests sont aptes à révéler leur plein potentiel. La révélation de l’intelligence chez quelqu’un qui en semble dépourvu, comme dans le film My Left Foot*, est quelque chose d’humainement très beau parce que ça élargit l’idée que l’on se fait de l’humain et nous oblige à aller au-delà des apparences. Mais il ne faut pas nous faire dire que c’est parce qu’ils sont d’intelligence normale qu’il faut avoir telle attitude éthique avec eux. En publiant des articles sur les forces des autistes dans les revues les I..............."
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http://www.newpointdeview.com/mag/idees/premiere-entreprise-surdoues-idee-benefice-social-societal/
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http://www.mediat-coaching.com/blog-2014-05-30-accompagner-un-hqi-ou-hpi-haut-potentiel-intellectuel.html
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http://www.psychaanalyse.com/pdf/DEVELOPPEMENT%20PERSONNEL%20EN%20ENTREPRISE%20(9%20Pages%20-%20106%20Ko).pdf
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http://www.newpointdeview.com/mag/view/pourquoi-generation-y-insatisfaite-malheureuse/
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http://www.newpointdeview.com/pro/interculturel/pourquoi-intelligence-economique-et-interculturel-sont-indissociables/
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http://jlduret.blog.sfr.fr/2014/11/ray-kurzweil-directeur-de-l-ingenierie-de-google-fondateur-de-l-universite-de-la-singularite-et-theoricien-de-la-pensee-singulariste
Projetons-nous maintenant dans 16 ans. Nous sommes le 08 novembre 2030. Le responsable R&D de Google (pas forcément Ray Kurzweil d’ailleurs…) vient d’annoncer officiellement au monde entier que le protocole de connexion « neuro-cloud » est désormais opérationnel et que sa mise en production et sa commercialisation débuteront en fin d’année, à l’issue des derniers tests de sécurité.
Au-delà de l’impact de la performance technologique et des perspectives vertigineuses qu’elle véhicule, au-delà de la transgression éthique, il faut logiquement penser « sécurité »."
"Une connexion neuro-cloud effective ouvrirait immédiatement la voie au neuro-hacking avec des conséquences illimitées sur l’intégrité de l’individu et sur son libre-arbitre. La tentation d’un détournement de la technologie serait inévitable et mobiliserait l’ensemble de la communauté du hacking."
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Mais alors si tu te fais un mot de passe pour ton cerveau, mais qu'on hacke ton cerveau... pk tu n'oublies plus ton mot de passe, mais il ne te sert plus à rien ?
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http://intelligence-artificielle-tpe.e-monsite.com/pages/limites-technologiques-et-ethique-de-l-ia/cerveau-humain-et-robot.html
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http://intelligence-artificielle-tpe.e-monsite.com/pages/limites-technologiques-et-ethique-de-l-ia/essor-de-l-ia.html
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https://www.unicaen.fr/cireve/image_site/colloque2011/livretRV.pdf
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http://eduscol.education.fr/rnchimie/chi_gen/dossiers/perche/excel_2005_ch1.pdf
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http://blog.bnf.fr/uploads/diversification_publics/codesociaux.pdf
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http://fontainepicard.com/pdf/extraits/ext_165.pdf
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http://www.autisme-ressources-lr.fr/IMG/pdf/armande-perrier-supports-visuels-domicile-2012.pdf
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http://w3.uqo.ca/transition/tva/wp-content/uploads/3D3c_ElabHabSoc_Interv.pdf
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http://www.cssamares.qc.ca/refHS/ref/Classification_ou_taxonomie_des_habiletes_sociales.pdf
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http://cpequebeccentre.com/img/uploads/granensdocfile/habiletes_sociales.pdf
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http://www.enfant-encyclopedie.com/relations-entre-pairs/introduction/apprendre-contrer-lintimidation
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http://www.happyneuron.fr/cerveau-et-entrainement/moyen-mnemotechnique
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http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/le-carre-d-as-ca-marche-sur-les-performances-cognitives
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http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-notre-cerveau-ressemble-t-il-a-une-grosse-noix
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http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/28/et-le-genie-jaillit-du-cerveau
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Neurosciences. Et le génie jaillit du cerveau
Derek Amato se tenait au bord de la piscine [aux Etats-Unis], dans sa partie peu profonde, lorsqu’il a crié à son ami de lui lancer le ballon. Puis il s’est élancé dans les airs, tête la première et bras tendus. Il a senti ses doigts effleurer la balle, juste avant que son crâne ne heurte le fond de la piscine et que l’impact ne résonne dans sa tête comme une explosion. Il a fallu attendre plusieurs semaines avant que toutes les séquelles du traumatisme deviennent apparentes – 35 % de perte auditive dans une oreille, maux de tête, pertes de mémoire –, mais l’effet le plus spectaculaire est apparu quatre jours seulement après l’accident.
Amato est encore un peu dans les brumes quand il se réveille après plusieurs jours d’un sommeil quasi ininterrompu. Il se rend chez son ami Rick Sturm [qui était présent au moment de l’accident]. Tandis qu’ils discutent, Amato remarque un clavier électrique bon marché dans un coin du studio de musique improvisé de Sturm. Sans réfléchir, il va s’asseoir devant le clavier.
Il n’a jamais joué du piano de sa vie et n’a jamais eu la moindre inclination pour cet instrument, mais, à sa grande surprise, ses doigts, instinctivement, se mettent à courir sur les touches. Amato enchaîne de riches accords comme s’il savait jouer depuis des années. Lorsqu’il lève finalement le regard du clavier, il voit son ami les yeux noyés de larmes. A la suite de cet incident, Amato tente de trouver une explication sur Internet en tapant des mots clés comme “surdoué” et “traumatisme crânien” dans les moteurs de recherche.
Il tombe sur le nom de Darold Treffert, un spécialiste reconnu mondialement du “syndrome du savant”. Les personnes atteintes de ce syndrome, qui souffrent généralement d’une déficience intellectuelle, manifestent des aptitudes exceptionnelles. Amato lui envoie un courriel et reçoit rapidement une réponse. Treffert, ancien professeur à l’école de médecine de l’université du Wisconsin, diagnostique un “syndrome du savant acquis”. Dans la trentaine de cas connus, des personnes ordinaires ayant souffert d’un traumatisme crânien ont soudainement développé de nouvelles compétences presque surhumaines : talent artistique, maîtrise des mathématiques, mémoire photographique, etc.
L’un d’eux, Jason Padgett, est la seule personne au monde capable de dessiner à la main les fractales, des figures géométriques complexes, depuis qu’il a été brutalement agressé par des voleurs. Un accident cérébral a aussi transformé un chiropraticien en visual artist reconnu dont les œuvres se vendent plusieurs milliers de dollars. Si les causes neurologiques du syndrome du savant acquis sont encore mal comprises, les progrès réalisés en matière de techniques d’imagerie cérébrale permettent aux scientifiques d’étudier les mécanismes neurologiques uniques mis en œuvre chez ces personnes.
Bruce Miller est neurologue du comportement et directeur du centre de la mémoire et du vieillissement de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF), où il traite des personnes âgées souffrant d’Alzheimer et de troubles psychotiques. A la fin des années 1990, le fils d’un patient lui fait remarquer la nouvelle obsession de son père pour la peinture. Plus les symptômes s’aggravent, plus ses toiles s’améliorent, souligne l’homme. Miller réalise alors que d’autres patients développent de nouveaux talents au fur et à mesure que leur état neurologique se dégrade. Pendant que la démence détruit les zones de leur cerveau associées au langage, au traitement cognitif supérieur et aux normes sociales, leurs compétences artistiques se développent de manière exceptionnelle.
Miller décide d’étudier le cerveau de personnes souffrant du syndrome du savant “classique”, dont les aptitudes apparaissent généralement à un très jeune âge. Il examine notamment le scanner cérébral d’un enfant autiste de 5 ans capable de reproduire de mémoire des dessins complexes sur une ardoise magique [écran jouet]. La tomographie d’émission monophotonique (TEMP) [technique d’imagerie médicale permettant de modéliser les organes en trois dimensions] révèle une absence anormale d’activité dans les lobes frontal et temporal de l’hémisphère gauche, les régions du cerveau aussi affectées par la démence.
Dans la plupart des cas, les scientifiques attribuent une activité accrue du cerveau à la neuroplasticité : le cerveau peut consacrer un volume plus important au développement de compétences au fur et à mesure que celles-ci s’améliorent avec la pratique. L’hypothèse de Miller est complètement différente. Selon lui, les aptitudes savantes apparaissent parce que les zones détruites par la maladie – qui sont associées à la logique, à la communication verbale et à la compréhension – cessent d’inhiber les capacités artistiques latentes présentes chez ces personnes. Lorsque l’hémisphère gauche est plongé dans le noir, les circuits qui maintiennent l’hémisphère droit sous contrôle disparaissent. Ces compétences exceptionnelles ne sont donc pas le résultat d’un pouvoir nouvellement acquis ; elles apparaissent parce que les zones du cerveau associées à la créativité peuvent désormais opérer librement.
La théorie de Miller est étayée par les travaux d’autres neurologues. Ceux-ci découvrent en effet de plus en plus de cas d’individus chez qui des dommages cérébraux ont spontanément – et contre toute attente – entraîné des changements positifs, notamment la disparition du bégaiement, l’amélioration de la mémoire chez les singes et les rats, et même le recouvrement de la vue chez certains animaux.
Peu de gens ont suivi l’évolution des connaissances sur le syndrome du savant acquis avec autant d’intérêt qu’Allan Snyder, neuroscientifique à l’université de Sydney, en Australie. Depuis 1999, ses recherches portent essentiellement sur le fonctionnement du cerveau des “savants” par acquisition. Il s’est aussi aventuré plus loin que la plupart des neuroscientifiques n’oseraient se le permettre en tentant de reproduire ces capacités exceptionnelles chez des individus dont le cerveau n’a pas été endommagé.
L’année dernière, Snyder a publié les résultats de ce que d’aucuns considèrent comme son travail le plus abouti. Avec ses collègues, il a distribué à 28 volontaires un puzzle géométrique qui laisse perplexes les sujets de laboratoire depuis plus de cinquante ans. Le défi : relier 9 points alignés trois par trois en utilisant 4 traits, sans repasser sur un trait ni lever le crayon. Dans un premier temps, aucun des sujets n’a pu résoudre l’énigme.
Snyder et son équipe ont ensuite utilisé la stimulation magnétique transcrânienne répétitive (SMTr) pour immobiliser temporairement la zone du cerveau qui, dans le cas des patients du Dr Miller, est endommagée par la démence. Il s’agit d’une technique non invasive, couramment utilisée pour évaluer l’ampleur des lésions chez les victimes d’accident cérébral : des électrodes appliquées sur le crâne envoient un faible courant électrique qui dépolarise ou hyperpolarise les circuits neuronaux jusqu’à ce que leur activité soit fortement ralentie. Après avoir subi laSMTr, plus de 40 % des participants à l’étude ont réussi à résoudre l’énigme, et aucun des sujets du groupe ayant reçu une SMTr placebo n’a trouvé la solution.
D’après Snyder, le rôle fondamental du lobe temporal gauche est de filtrer ce qui, autrement, serait un flot étourdissant de stimuli sensoriels, pour les classer en fonction de concepts appris. Ces notions, ou ce que Snyder appelle des “dispositions d’esprit”, permettent aux êtres humains de voir un arbre plutôt que les milliers de feuilles qui le composent ou de reconnaître des mots au lieu de s’attarder sur chacune des lettres. “Comment pourrions-nous vivre normalement si nous devions analyser et comprendre parfaitement chaque image qui se présente à notre esprit ?” interroge Snyder.
Pour résoudre l’énigme des neuf points, il faut aller au-delà du carré formé par les points, ce qui exige d’écarter toute vision préconçue du sujet. “Notre cerveau est équipé pour ‘pré-dire’, ce qui nous sert à fonctionner rapidement dans ce monde,explique Snyder. Ce qui nous permet de désactiver naturellement les filtres de ces ‘dispositions d’esprit’ doit être sacrément puissant.”
Berit Brogaard estime cependant que l’hypothèse des deux hémisphères relève d’une simplification excessive. Cette neuroscientifique et professeure de philosophie au centre de neurodynamique de l’université du Missouri-St Louis, aux Etats-Unis, a développé une autre théorie. Selon elle, les cellules du cerveau libèrent une grande quantité de neurotransmetteurs quand elles meurent, et ces puissantes substances chimiques provoqueraient alors une réorganisation des circuits neuronaux qui relient les zones du cerveau. Cela aurait pour effet de créer du même coup de nouvelles connexions nerveuses, donnant accès à des régions du cerveau auparavant inaccessibles.
“La réorganisation qui s’opère dans le cas des ‘savants’ permet d’accéder à des informations qui se trouvaient dans notre cerveau de manière latente”, explique Brogaard. En août dernier, Brogaard a publié un article décrivant les résultats d’une batterie de tests auxquels s’est soumis Jason Padgett, le dessinateur de fractales. L’article fait état de lésions dans les régions du cortex visuel, associées à la détection des mouvements et des contours. Brogaard et ses collègues ont aussi constaté une activité anormalement élevée dans les régions du cortex pariétal, associées aux nouvelles images visuelles, aux mathématiques et à la planification des actions. Dans le cas de Padgett, explique-t-elle, les régions anormalement actives sont situées juste à côté de celles qui ont subi des lésions. On peut donc supposer qu’elles se trouvaient sur la trajectoire des neurotransmetteurs probablement libérés par la destruction d’un si grand nombre de cellules cérébrales.
Amato, quant à lui, avait appris les accords barrés à la guitare lorsqu’il était au lycée et avait même joué dans un groupe amateur. “De toute évidence, il avait déjà un intérêt pour la musique, et son cerveau avait probablement enregistré des notions de musique de manière inconsciente, avance Brogaard. Il avait gardé en mémoire certains éléments, mais il n’y avait pas accès.” L’accident aurait entraîné une réorganisation des neurones permettant d’y accéder consciemment – une hypothèse que Brogaard espère avoir l’occasion de vérifier avec Amato en laboratoire.
L’automne dernier, tandis que je roulais dans les rues de Los Angeles avec Amato, je me suis dit qu’il y avait quelque chose d’indéniablement américain dans les efforts déployés par cet homme pour tirer profit de son accident. Lui qui n’était qu’un anonyme formateur en vente est devenu un symbole des capacités humaines pour des légions d’admirateurs qui rêvent de réaliser de grandes choses.
Après avoir garé la voiture sur Sunset Boulevard, nous avons franchi le seuil de l’hôtel The Standard et avons traversé le hall, pour pénétrer dans un bar faiblement éclairé. Au centre de la pièce se trouvait un grand piano aux touches luisantes. Amato s’est assis devant l’instrument, il a fermé les yeux, placé son pied sur l’une des pédales et a commencé à jouer. Sa musique apaisante ondoyait élégamment sous ses doigts tandis qu’il balayait les touches. C’était une mélodie obsédante et émouvante.
Amato ne m’a pas semblé être un prodige, un “savant” très rare comparable à Blind Tom Bethune [pianiste africain-américain du XIXe siècle, qui était aveugle et présentait une forme d’autisme], dont les capacités impressionneraient même un musicien chevronné. Mais cela n’avait pas d’importance. L’expression, la mélodie et le talent étaient là. Et, s’ils ont pu apparaître spontanément chez Amato, qui sait quelles capacités spectaculaires sommeillent en chacun de nous ?
Adam Piore
http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/28/et-le-genie-jaillit-du-cerveau
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http://www.nexus.fr/wp-content/uploads/2014/12/Syndrome-savant_NX76_light.pdf
"NEXUS: Peut-on dire aujourd’hui que l’autisme n’est plus considéré comme une maladie ?
Laurent Mottron: En effet, nous préférons parler d’une variation du phénotype humain, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, nous avons tous les degrés possibles d’adaptation entre un autiste très handicapé et quelqu’un dont l’insertion sociale est quasi normale. Ensuite, il existe de multiples degrés intermédiaires entre l’autisme et le phénotype dominant: le syndrome d’Asperger, « les troubles envahissants du développement non spécifiés », dont les cas sont cinq fois plus nombreux que l’autisme selon les critères actuels, et le phénotype élargi de l’autisme, désignant les particularités des familles d’autistes.
L’autisme constitue donc une sorte de « bord » de l’humanité, qui va être à l’extrême très marginal, mais qui peut aussi se fondre dans la normalité. On ne peut pas non plus parler de maladie parce qu’il n’y a pas de début ni de fin à cette condition. On naît avec, elle se transforme au cours du développement, avec des acquisitions, des apprentissages, des expertises, etc., qui dé- pendent énormément du matériel auquel les autistes ont accès. Une troisième raison est que cette condition semble apporter certains avantages, bien sûr souvent contrebalancés par d’énormes problèmes adaptatifs, qui dépendent du milieu dans lequel ils se trouvent. Un autiste dans un milieu qui lui convient fonctionne le plus souvent très bien. Enfin, c’est une condition qui n’est pas obligatoirement associée à une souffrance psychologique. En quoi consiste le concept de neurodiversité ?
Ce mouvement, très informel, mais puissamment représenté dans la communauté autistique, défend l’idée qu’à partir du moment où l’on n’a pas une vue eugénique et concentrique de l’humanité – avec un centre qui serait le « mieux » et une périphérie qui serait le « moins bien » (comme on a pu l’avoir pour l’orientation sexuelle) – le statut de maladie ou d’erreur génétique s’applique mal à l’autisme. Les variations génétiques, bien que périphériques par rapport à l’humanité centrale, ne peuvent pas être jugées sur un axe de valeur, dès lors qu’il est éthiquement admis qu’on ne vise plus une humanité uniforme. Nous pensons qu’il y a un fort relent d’eugénisme dans l’idée de soins appliqués aux troubles neuro-développementaux, lorsqu’elle vise à les normaliser plutôt que de les aider à s’adapter au monde dominant, et d’adapter le monde à leurs variations.
Qui penserait actuellement à essayer « d’adapter » un homosexuel ? Ce sont les autistes eux-mêmes qui font ce parallèle, en mêlant science et droits civiques. Que peut-on dire de l’intelligence des autistes? Lorsqu’on travaille avec les autistes de manière scientifique et qu’on évalue leurs compétences, on se rend compte que l’on a énormément sousestimé leurs aptitudes, parce qu’ils étaient testés comme une personne « typique ». L’inadéquation des tests de QI est pour nous exemplaire alors que d’autres tests sont aptes à révéler leur plein potentiel. La révélation de l’intelligence chez quelqu’un qui en semble dépourvu, comme dans le film My Left Foot*, est quelque chose d’humainement très beau parce que ça élargit l’idée que l’on se fait de l’humain et nous oblige à aller au-delà des apparences. Mais il ne faut pas nous faire dire que c’est parce qu’ils sont d’intelligence normale qu’il faut avoir telle attitude éthique avec eux. En publiant des articles sur les forces des autistes dans les revues les I..............."
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http://www.newpointdeview.com/mag/idees/premiere-entreprise-surdoues-idee-benefice-social-societal/
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http://www.mediat-coaching.com/blog-2014-05-30-accompagner-un-hqi-ou-hpi-haut-potentiel-intellectuel.html
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http://www.psychaanalyse.com/pdf/DEVELOPPEMENT%20PERSONNEL%20EN%20ENTREPRISE%20(9%20Pages%20-%20106%20Ko).pdf
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http://www.newpointdeview.com/mag/view/pourquoi-generation-y-insatisfaite-malheureuse/
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http://www.newpointdeview.com/pro/interculturel/pourquoi-intelligence-economique-et-interculturel-sont-indissociables/
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http://jlduret.blog.sfr.fr/2014/11/ray-kurzweil-directeur-de-l-ingenierie-de-google-fondateur-de-l-universite-de-la-singularite-et-theoricien-de-la-pensee-singulariste
"Premiers résultats concluants
Un programme de recherche de quinze ans, c’est très court ! Si Kurzweil s’aventure sur de telles prévisions, c’est certainement que les premiers résultats ont été concluants et que le cahier des charges peut être respecté.Projetons-nous maintenant dans 16 ans. Nous sommes le 08 novembre 2030. Le responsable R&D de Google (pas forcément Ray Kurzweil d’ailleurs…) vient d’annoncer officiellement au monde entier que le protocole de connexion « neuro-cloud » est désormais opérationnel et que sa mise en production et sa commercialisation débuteront en fin d’année, à l’issue des derniers tests de sécurité.
Au-delà de l’impact de la performance technologique et des perspectives vertigineuses qu’elle véhicule, au-delà de la transgression éthique, il faut logiquement penser « sécurité »."
"Une connexion neuro-cloud effective ouvrirait immédiatement la voie au neuro-hacking avec des conséquences illimitées sur l’intégrité de l’individu et sur son libre-arbitre. La tentation d’un détournement de la technologie serait inévitable et mobiliserait l’ensemble de la communauté du hacking."
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Mais alors si tu te fais un mot de passe pour ton cerveau, mais qu'on hacke ton cerveau... pk tu n'oublies plus ton mot de passe, mais il ne te sert plus à rien ?
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http://intelligence-artificielle-tpe.e-monsite.com/pages/limites-technologiques-et-ethique-de-l-ia/cerveau-humain-et-robot.html
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http://intelligence-artificielle-tpe.e-monsite.com/pages/limites-technologiques-et-ethique-de-l-ia/essor-de-l-ia.html
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https://www.unicaen.fr/cireve/image_site/colloque2011/livretRV.pdf
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http://eduscol.education.fr/rnchimie/chi_gen/dossiers/perche/excel_2005_ch1.pdf
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http://blog.bnf.fr/uploads/diversification_publics/codesociaux.pdf
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http://fontainepicard.com/pdf/extraits/ext_165.pdf
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http://www.autisme-ressources-lr.fr/IMG/pdf/armande-perrier-supports-visuels-domicile-2012.pdf
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http://w3.uqo.ca/transition/tva/wp-content/uploads/3D3c_ElabHabSoc_Interv.pdf
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http://www.cssamares.qc.ca/refHS/ref/Classification_ou_taxonomie_des_habiletes_sociales.pdf
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http://cpequebeccentre.com/img/uploads/granensdocfile/habiletes_sociales.pdf
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http://www.enfant-encyclopedie.com/relations-entre-pairs/introduction/apprendre-contrer-lintimidation
Invité- Invité
Re: news lifes :)
- Spoiler:
- (Celle d'Edgar Faure je te la récupère...)
http://www.philosophie-spiritualite.com/cours/logique6.htm
MERCI BEAU COULPE
Kondomm- Messages : 899
Date d'inscription : 21/01/2014
Age : 47
Localisation : ;●) Grand Rouveau ou à côté.
Re: news lifes :)
http://vincentberthet.com/wp-content/uploads/2014/08/Cours-Personnalit%C3%A9-Pour-site.pdf
https://www.fichier-pdf.fr/2015/08/11/chamallows-les-30-recettes-culte-marabout/chamallows-les-30-recettes-culte-marabout.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Word
(Mr Word, je ne trouve pas les mots pour te dire que La nouvelle version est nulle ) Mais pourquoi ? Allo ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89motic%C3%B4ne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Art_ASCII
Alors si la petite flèche de Word à un rapport avec les vecteurs ? Je suis con, ouf....
http://madame.lefigaro.fr/societe/alain-juppe-ne-sait-pas-comment-aimer-selon-son-ex-compagne-310316-113657
Juppé aussi à des soucis.
Je voulais voir si je fonctionnais encore un peu normalement quand même...., ça m'inquiétait tout ça
https://www.fichier-pdf.fr/2015/08/11/chamallows-les-30-recettes-culte-marabout/chamallows-les-30-recettes-culte-marabout.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Word
(Mr Word, je ne trouve pas les mots pour te dire que La nouvelle version est nulle ) Mais pourquoi ? Allo ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89motic%C3%B4ne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Art_ASCII
Alors si la petite flèche de Word à un rapport avec les vecteurs ? Je suis con, ouf....
http://madame.lefigaro.fr/societe/alain-juppe-ne-sait-pas-comment-aimer-selon-son-ex-compagne-310316-113657
Juppé aussi à des soucis.
Je voulais voir si je fonctionnais encore un peu normalement quand même...., ça m'inquiétait tout ça
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