Suites de mots composés

le bout temps (euh rien à dire)
l'os trahie (le chien dans un pot au feu)
la domy nique (elle fait ce qu'elle veut)
l'alibi (c'est toujours utile)
le con go (il y va sûrement)
la russe scie (le bois pour l'hiver)
le pas qui s'tend (afin de rentrer plus vite)
le nid gère (les oisillons)
le sous dent (danger carie)

je passe le relais

(retour à la maison)

Le nord mendie ou l'nord ment, dis!
La tour haine
Las, quitte aine!
Love hargne
Les pires aînées

mais mais mais...!

Les Gentilles, (n'est-ce pas Majorette?)
La mare ti'nique (avec un ti'punch?)
L'aqua d'loup (et pas que d'l'eau)
Les carats hips...

Ca brille de tous ses feux...

outre de mer (pas bleu)
ma y'hotte (vide après NOEL)
mot rixe (un coup gagnant)
mate le gars car (sympa les dessins animés)
raie hue non (car la sole pleure l'heure)
les mares quizz (ça comte ou pas)
sein père et mique l'a long (fallait osé)
latex à délit (pour finir)

au suivant

Elle lèse l'île,
Elle lisse l'île.
Îles ! S'il les lie,
Îles ! liesse, élis !

On se fait quoi là, koala,... oh la...

On se fait nommer, on se fait nomène, monème éminent
On se fait maître, on se fait esclave, on s'esclaffe
On se fait carabosse, on se fait méchant
On se fait brillant, on se fébrile, on brûle brindille mêche hante
On se fait des cendres, on se fait rire enfer a rit
On se fait mi-nain, minus, hein... terminable, inter mi-temps
On se fait re-minus, tout le monde descend
On se fait tide, tiède, timide, on se fait tout p'tit, toupie
On se fait licite... aussi

On se fait nixe, on se fait la nique, on se fait lixir
On se fait lection et lectrique, lecture en déréliction
On se fait des raisons, des rayures, dérisions
On se fait tard, on se fervescence, on se fait la fête, la tête
On se fait celle qui, on se fait mêle, ou bien celui
On se fait du mâle, on se fait la malle, emmêler pêle-mêle
On se fait quitter, et quittable, on se fait véritable irritable
On se fait avoir, on le fait savoir, on le fesse à voir, on se fait "C"...
On se fait friter,... la vérité, en verre à thé
On se fait rater, effriter, on se fait un café, cafter
On se fait d'hiver, on se fait défaire, faire à repasser
On se fait des idées, c'est décidé
On se fait des rêves, des frères, on se fédère

On se félon, on le sait

On se fait prier, priape parti
On se fait terne, en terre
On se fait naître ouverte,
On se fait l'air de se taire
On se fait éther, ni elle, ni lui,

On se fête éternel, on luit
On se fait l'ici-té
On laisse l'Uni faire

Merci pour cette invitation à l'en-faire et contre toux!

Et je m'enferre à ne pas m'en faire
Pour en fer le moins possible
Je me réfère à l' inoxydable
Pour les faire de la vie courante:

Le faire à reposer les tourments
Le faire à cheval sur les principes
Le faire à briser les complexes
Le faire à lisser les hérissements.

et le s'en faire pour ne pas s'inquiéter
le s'en lisse pour ne pas s'enfoncer
le s'en bon pour ne pas polluer
le s'en t'y ment qui vibre de vérité
le s'en nuit qui ne vit que le jour
le s'en sue elle qui adore sa femme
le s'en t'y ment alité qui nie au lit

Tant met plein la vie, la vue, en plein vents divers
Tentation des tentacules
Tant à dire des taons qui r'culent
Tétanisés dans l'autant d'hiver,

Temps en temps d'étangs passés,
Tant à autre des traits tracés
Détresse des très ou des très peu
Tant qu'à faire, rions des voeux pieux.

à faire mes affaires soit les défaire ou les parfaire
que dois-je faire de tout ces fers, mais c'est l'enfer
enfermement tout est à faire, affaire à quoi à fer à main
une main de fer qui sait quoi faire dans mes affaires
mes faire me ment ch'ais pas quoi faire de mon enfer
mais pourquoi faire de me refaire tout reste à faire

C'est louche une mouche qui se mouche à la louche!
Ah toi qui te couches, louche, comme une souche
Car ce que tu touches, accouche d'une mouche,
Ca t'en bouche un coin(-douche!) au coin de la bouche!
Sur la touche, te voilà, qui douche tes mouches...

Je me fais de la bile, du mouron, du souci,
De l'humeur amère, de l'angoisse, du tournis,
La peur bleue, la crainte, le sombre, tout m'horripile
L'anxiété, le stress, le désespoir?je rempile.

Ouf, pas gaie ce soir, on achève bien les chevaux
de bataille, on finit sur les genoux de la nuit.

suite de mots composés
comme une salade composée
vie décomposée de maux entremêlés
dès composée, je suis entreposée
dans un monde posé mais pas reposée
vite une pause où mon âme se pose
met déposé pour mieux de délecter
pose dépose repose névrôse

La compote en pot? Pas de pot mon pote,
J'suis empotée ce jour dans mes pots de colle.
A fleur de pot, la potiche: c'est moi qui décolle!
Pleine de potins, je papote en plein vol.

Pot potin? On n'se tortillera pas les neurones.
Et personne ne potinera plus sur le trône.

Lent blanc sang qui pend dans l'an des rangs.
Vent sans dent qui ment au pan des temps.
Banc en camp qui tend le van céans
Quand se rend le gant en rang béant.

je vois rouge, rouge baisé
tu vois bleu, bleu outremer
il voit noir, noir ébène
nous voyons vert, vert tige
vous voyez blanc, blanc neige
ils voient orange, orange à mère

L'or range chez les banquiers de jeune Eve,
Le brun d'acier chez Fifi la Suédoise
Le vert galant chez Riri quatrième du nom
Le violet qu'est pas beau, mais que j'adore
En sucre de Two loose, à la Nougat-rô
Le noir comme le boulevard des richards,

Suite....

le tir ami sue
la gâle guette le roi
la brie hoche entête
le far où est-ce
la patte à chou (caresse)
les dès serrent la mie t'y ai

L'are lit, git yeuse au choc Holà
Le Pas rit "Brrr-est"
Le frais z'y est
Le chaud son hop hommes
Le croix sent
Le gris y est O pom
Le diplôme mat
L'eau paie rat
Les clairs au aka-fées
Le miel feux oeil
La gaffe à la Gentilly
Le ça-blé à la vanne îles
Le pin père dû
La tard t'aux abris côt(e)
Le bébé arôme
Le cane laid
Le quatre quatre
Le quai K
La gène noise
Le roue laid à la con-friture
Le bègue laid
Le dos nu
Le suie ssss
Le cran bel
Le pin aux rais zin (zin)
Le pou dingue

(si vous n'avez pas lundi gestion capitale...)

le gentil, le gens bon, le gens d'arme,
le pou laid, le pouls beau, le pou pond
qu'à le son, qu'à le pain, qu'à le chique (dans les près)
Patty but l'air, pas t'y là bas, pas t'y noir,
gros si est, gros mine est, gros con tes nerfs
anime mots, anis Zette, âne nie mateur
mot ment, mot lie, mot haut

Ca sent le vécu, le vrai ment, le very table, le reality chaud, le cote y dit hein, la Sue Et laine, les mines nettes, le qui-dame, l’appât sente, la pied tonne, la câble ment d'étangs durs.
Cou-rage! Les cou-riez feront soûl-rire à la pote danse.

c'est facile d'avoir du style, un style haut, un style laid et qui dit style tout son sub style.
Y'a pas de style qui passe par tout mais le passe partout n'est pas un tout, le tout en un qui ne fait qu'un, un est unique, un vers unique, l'unicité.

Un style à couper au coût tôt, à percer d'une mitre aux ailettes, à envoyer des miss cil et non de la poudre aux yeux, et comme on scie-te Kafka, cet H qui brise l'amer gelé en vous:

Broyer de l'obscur, des cendres au 36 ème sous-sol, avoir l'hématome à l'âme, coule l'heure scie-aile, la D', la nef rose?

Faux en rire, de toutes ses dents avant que la faux cille sur nous.

La D sente, Se pas-vanne l'un fente D feinte, O rave-aile, l'âme-arche fut nèbre, (naît-bre? ça ne veut rien dire... parce que naître signifierait quelque chose?) de Liste, l'ennui où dansent les os, O cinq Sens!

Et si on finissait par une aval qui rie de vague-nerf?

Bête au vent
Mots arts
Chaud Pain
Chou bière
Coupe-rein
Vie, val dit!
Jeune Berge
Stock house zen
Riz char chchchc trop ssss
Vague-nerf
Rosse y nie

O mène l'éco-logie des compost en tueurs...

cette chevauchée est fantastique, cahoteuse, houleuse, comme la vie qui rit mais qu'elle est vache, mais n'est pas IO.
les Iota, les y'a qu'à, les par cas font des K, des en cas, pour caser les causes heures, les parleurs, les parleurs hauts, les hurles vent qui ont les verbes hauts.
Insensés sont censés d'encenser leurs pensées qui se perdent dans leurs fonds de panses c'est, qui défendent et de rendent mais c'est pas eh vide anse.

les mots passants, je ne vois
coque tôt bête est la belle
ah nouille anti cogne colle ombre
erre man est-ce le jeux deux perles de vers
romain sarde doux eh crie vain
gens gît haut non crée us
pas gnôle manne eau des sources
lyre, lire, livres

L'eau tonne, Léthé, le prime time, lit vert,
les

zon zon zon zon
zon zon zon zon
zon zon zon zon
zon zon zon zon

: les 16 zons

16 = 4x4 pour une vie à la dis-moi : que je suis fortissimo en toutes saisons, en tout terrain, même mêle ville, moby dit que le cas mute, homme révolté, l'étranger vit acteur nu, ego misérable. Tableau calyptique.
Ben oui, ben non, je cal voui no, baronne perchée, j'erre en manne, est-ce d'un je qui perle ou perds de sa verve ?
les mots-lierre dévient la ronce, arrosent la fontaine desnos pensées pascales (pas qu'au printemps)
les beaux de l'air survolent le Rhin, là, beau et ci, les flots bercent l'écume des jours,
de l'eau naît un mal armé, désinvolte erre dans un pré vert, où les fleurs du mât prolifèrent
la mousse que terre la rousse eau devient rouge et noire, promenade solitaire de mort et aspire les espoirs où le mal rode
la rêverie s'tend d'altérité, labeur y se déviant, craché sur les tombes
J'arrête là (franklin),... kafka squale fait là cette métamorphose ?
Ici dort qui a dû casse, l'autre est à mon mal d'or, l'heure.

Spoiler:

La Lie / thé nature? l'hallalité te rature?
L'ale ment, lit alien, le franc sait: les cris vains manie fric!

Salut et Mère-ci (Cou Rage) deux Bière tôt le Brèche.

l'ale tait les sous leurres, bière qui mousse n'amasse pas rousse, mais pousse le mousse au port.
la brune, la rousse, la blonde, la blanche, la noire, la crique, dans l'abbaye amen la mort subite, où blond faire menthe mal(t).
le galopin embrasse rit la gueuse, stouts à son honneur,
c'est la bièremanie, la bock partie, la chopemania

Quelle culture houblonesque, Majorette! Je n'utilise la bière que pour soûler les limaces et leur faire passer de vie à trépas dans les conditions les plus éthiques. Je ne saurais te répondre sur ces liquides mousseux, vivant sur une autre rive.

***

L'eau mine et râle, diraient les al- cool- hic.
Le vin étire et... La coupe est plaine, dans les colles lignes.
Je tour-nicot dans l'y a ourt. Hausse court! Je me noix (d'acajou).
L'or range près Cé. La lime aux nades. (Qu'est-ce qu'un nade? Un(e) lecteur/trice judicieux/se me répondra.)
L'ai-je eu de six troncs secret? Ça doit être assommant.
Je fuis dans les thés aux rems et à l'amante. Mi-elles à mi-nuit, à mi-voie faire rée.

Zan z'alcool, les zamis, ze refuze sans pagne, même ross, à bu-lllll.
Même p'ti poncho zerbs zaromatics. Même vains d'ici plutôt que l'ô delà

(ze copie honteusement Francis Blanche, ze vais le mettre sssé nos zamis citationneurs). En me lizant, zauriez pu croire que j'bois de l'eau ferruzineuse. Sssss... ertes non, zuste, un zeste de 6 troncs vers...)

Spoiler:

Je crois que la nade c'est un ongle désincarné...

Con s'eille dit vert : thé vert citron thym tue la grippe, le grog rippe, si t'es rond tu t'éteins, tu tripes

La panade: ongle désincarné du pied, c'est ça?
La sérénade: oncle amoureux au bal con.

---> exercice matinal et dominical: suite pour les fous des nades?

il y aurait bien Marie Nade, elle se promène nue tout en jus.

***

T'est Ford T.... toi. T'es lor en barre.
Je t'ai lu cité, mais pas Lu si faire à lisser.

***

Tu connais la folle k's va gaine? un vieux truc à roues.
Et la mère cède S. Elle fait concu-rance à la Forte.
La porche... d'un veule guère... Ne parlons pas des Faire à ri.
Tête à rossa comme les mauvais chevaux qui se marchent sur les anté-rieurs. On était au courant, forcément les Fer à ri-gauler.

Plus ça brille, plus ça vaut son peu zan de frime.
Les six troënes, les peu Jo, de la petit série ça, l'erre nô, du théâtre tout ça.

Les ondes, da! Les masses, da! Russe ou japonais, là? Made in Japan.
Les tuyautés de tau iota. Ah du grec! Non, toujours japonais. Grr. Pas logique.

Les chèvres au lait. Le crevette. La cade y yack. un peu périmés tous ces animaux de montagne. Faut être de bonne hummer, non? Sur les chemins de la route 77.

c'est un délire que de lire Fée Nixe qui mixe les mots, c'est d'la cuisine d'la recette verbalesque; un festin de consonnes un fumet de voyelles un savarin de points sur les zi et d'accents sur les zoeufs.
Une omelette de mots qui rient, un pot pourri de phrase paraphrase, périphrase, entrephase tout en phase qui déphase.
Vacherin de préfixes, de suffixes, qui se fixent sur ses mots, parfois maux mais motus pas de laïus, car c'est lu et relu, entre vue.
toujours digeste pas un dit geste de refus, un délice un dessert.
encore une tournée patron

Et Majo la cerise sur le gâteau... j'approuve le festin

Vertige d'une épopée sur la route 77ème ciel,
... en Ford Mustang, le must tangue :

L'appât du gain se bourre,
Dans les mousses, bang! après l'axe y dent.

Salut lulu et mes hommages à majo, je reviendrai dans quelques jours nés.

Un je thème à tics, blême baptême emblématique,
Je m'aime amère, jamais mémère, ni f'aime-elle,
Mini homme, mini môme, Mi-âme Mi-âme,
Dis l'aime maxi-mâle, si le beau aime,
Théo re-aime suprême, je l'aime ni scate ni scato,
On s'aime et on récolte,
Aime mer veillée, rêve de l'Âme-à-risque
Aime-nésique

mon ton son notre votre l'heure
mes tes ses nos voleurs
ma ta sa nos vaut leur
entre mon et ton ton et nos veaux en couleur, et les leurres de malheur
c'est pas l'heure du bonheur mais c'est le temps du changement qui dépend du moment c'est dément tous céant se serrant comme les dans en dedans c'et marrant, tous ces rangs de mots lents hymne mot lent par le feu dans les flammes
de la prose et vie

Et si oscillent en silence, de ci de là hauts cils en si,
La (do) rurale âme née sied, ris au lait, allô?
Doux ce val est, cent doutes, sans suées, désuets...
Hou! Hé! Tu saoules, le saule, en tercet, pleure!

pleure, larme qui rame et s'alarme
guère épais le pauvre homme maigrelet
qui cherche pitance dans son errance et lance sa vie
sans envie sur le par vie de l'an nuit
je dis médis redis sang suie en fait j'dis rien si bien que jme dis qui lit s'ennuie de ce que j"écris .................

La fin d'hiver, les faits divers, l'effet dix vers, les fées dive verre!,
l'Elfe est vide d'air...

Qui nuit à la nuit où luit ton ennui? Nuitamment bruissent les lents huis de la porte des suies. Grincent les serrures grippées mal graissées, de ton grand désarroi. Déridées, se griment les figures grimaçantes des réels menaçants.
Erodés rôdent les clochards niés des repères temporels.

Qui nuit à la nuit où luit ton ennui?
Personne ici! Au contraire, nulle lune n'est plus belle que les lignes de vos ailes.

mets ces elles qui se mêlent sont-ce des ailes d'hirondelle ?
iront-elles vers le lieu qui me lie à l'envie qui me fuit vers l'ennui
des saisons pas d'hiver pour fêter le retour du printemps
vers un temps des vingt ans qui s'égrène en chantant puis pleurant dans le temps quand arrive le moment où l'on a plus de dents
alors vive la bulle ou que le bulle vive

Les queues d'a-ronde, les nids d'ire rondelle, des enfants les rondes, de la Garonne la gît-ronde.

L'onde des mondes inonde nos rondes d'ondulations, de stridulations, d'émulations, de cristallisations.

La sonde a bu à la ronde à la bulle des facondes.

Onde, onde, onde, hourra!

saisir le fil des tes mots c'est presque facile sans s tresse
aisément posément calmement tranquillement
mais en fait c'est le contraire, l'opposé, l'inverse,
trouver un thème, un fil, une trame, une tresse, une idée
faut que ça jaillisse, ça gicle, ça émerge
mais là j'ai rien trouvé j'ai pas cherché, je suis devenue stérile, désovulation mentale, inhibition pensive, association de mot bancale, fracture du cerveau, entorse des idées, foulure de pensées, casse tête, oreilles basses, myopie intellectuelle

Spoiler:

Pas de crise sur la cerise, de cris sur l'écrit.

Grand calme sur la mer, palmes à l'envers.
Père paix tué, à mère tume, sous la lune à tics.

"Gémir n'est pas mise aux Marquises" chantait Brel.

A l'amie en pages si tapage en tête et blanc je tends, vois, saisis mage, edit à l'écran : des crans la magie naît...

Lie mage y nerf, lis mage, jade d'Ys,
Dans les sons des leçons, si lents cieux,
A l'aire des zeks rangs géants, prisonniers, Ô niés dépris,
Les barres haut, les bas relis F, les ronds de boss, tracent
Les mers veillées, les pas radis, les pas pris, les pas vus,
Les libres livres aux crochets des lèvres,
Les heures yeuses, les bonnes heures, les sur prises de vue,
On les lis bé ration journalière, on les lit ta nie, on les lie vrai
Sur le seuil écroulé des si labiales, des pris aires en grande surface,
Et des murs murent au le vent d'hier sur le linge d'aujourd'hui.

Les fées mers à ma rame amère, amarrent le pied du phare à la rime marine. Marinée à mes narines, narre les marées, flux et reflux, flûtes en fûts, en chants et en fêtes.

L'effet mémère en rat mène ton fard, pique pique les fa ré, si elle se marre (à bout de phi celle), si flottent les flux des fleuves, en champ pagne, ah si elle savait s'marée sur les ciels de Beau Fort, seule-ment se taire et S compter les doigts de la main. Dix de der!

der mots files un tienne tu l'or rat des champagnes rosé des près ou de loin la vue est magnifigue de barbarie; les fées mères ont des filles et des fils de soie de lion de la ça vanne à fond la forme. Belote et re !

Ahahaah major,
je m'en pète la rate à fia, tu jungle parmi les zombreux zèbres zombies, les gaz ailes, les chiens pensés, (qui disent si bien les gueux):"Non!".

Après des matés mats hic, quelques fortes mules ou fortes têtes, quel plaisir à l'air rance dansez desserts.

Mère-ci mère là à Deurk pour l'émoi pouet, (re) hic, je ne bois que de l'O et du T, pour temps les Zamis.

La serre riz conte y nue.

con t'y nu haut le con dans le riz d'la connerie, zé pas bu t'as pas bu sauf ton T et ton O bus, OHOHOH c'est le rond des ronds bières pas le ron du boeuf, c'est la noix qui gîte, l'est ce cas lope ? c'est tout cuit mon qui qui mais qui c'est qui donque, que nenni n'est pas ni panini, c'est du pain pas béni, de la mi chaud d'hier, de la mie grattoir, du pin de son, du pinçon du pimpon ou du pont en bois, c'est la passerelle
la passe à dix la passe à deux .........