Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass a écrit:I don't need to manage my anger.
I need everyone else to manage not to piss me off.
Numero6 a écrit:I've never had a problem with drugs. I've had problems with the police.
Keith Richards
C.Z. a écrit:Donc tu attribues aux autres tes comportements.
- Bingo:
zeHibou- Messages : 254
Date d'inscription : 12/02/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:La très grosse tête, au QI de feu, à la sensibilité de gazelle de Thomson, séduit par la distinction élitiste de l'appartenance aux zèbres, et qui serait capable de sortir du lourdingue, du proverbe de grand-mère, de la sagesse populaire de fin de banquet, c'est juste incompatible.
Je ne pense pas, c'est certainement compatible. Ce sont les "trop intelligents mais quand même heureux". Les HQI affranchis de l'aliénation sociale. Les intelligents inadaptés mais qui s'assument sans effort, sans même le savoir. Ils existent. Ils sont parmi nous. Ils ne ressentent pas le besoin de venir sur ZC. Ils font leur vie sans s'encombrer des injonctions inutiles émises par les autres ou la société. Best of both worlds. Poissons dans l'eau, qu'elle soit claire ou trouble, douce ou salée. Ils peuvent apprécier Mozart, la philosophie, les matchs de foot, le hard rock, la mauvaise bière, et la peinture de la renaissance.
zeHibou- Messages : 254
Date d'inscription : 12/02/2015
Age : 59
Localisation : location unknown
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
(ou Beethoven)
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
cyranolecho a écrit:
- non:
- non plus:
Vous êtes des grands malades !
J'adore
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Gabriel a écrit:cyranolecho a écrit:
- non:
- non plus:
Vous êtes des grands malades !
J'adore
mon égo vient de prendre 5 cm, c'est considérable
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
je me sens tout penaud de barbouiller ce fil, j'avais envie de sortir du vocabulaire, mais mes poches sont trouées, j'emprunte plus que je ne prête.
et là, subitement, je ne sais pourquoi, je me pose cette question:
Est ce vraiment vrai que le placenta est un puissant aphrodisiaque pour la femelle?
ceci n'est pas une publicité.
et là, subitement, je ne sais pourquoi, je me pose cette question:
Est ce vraiment vrai que le placenta est un puissant aphrodisiaque pour la femelle?
ceci n'est pas une publicité.
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
cyranolecho a écrit:
Est ce vraiment vrai que le placenta est un puissant aphrodisiaque pour la femelle?
ceci n'est pas une publicité.
Est-ce que je peux prendre 5 cm si j'en prends ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:cyranolecho a écrit:
Est ce vraiment vrai que le placenta est un puissant aphrodisiaque pour la femelle?
ceci n'est pas une publicité.
Est-ce que je peux prendre 5 cm si j'en prends ?
si tu étais une fille, je pense que tu pourrais prendre bien plus, mais comme ce n'est pas le cas, je pense que non, ou alors avec de l'élan (alors j'ai pas mis d'accent sur "ou" et l'élan c'est pas la bête)
où prendre ou où ne pas prendre, pelez la, qu'est ce t'y ont? (pardon)
Dernière édition par cyranolecho le Mar 3 Mai 2016 - 22:18, édité 1 fois
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Est ce vraiment vrai que le placenta est un puissant aphrodisiaque pour la femelle?
Putain, on peut dire que j'en ai entendu des conneries dans ma vie, mais celle-là a le mérite de l'inattendu !
D'abord parce que c'est complètement faux (mais bon, certains sont prêts à vendre n'importe quoi pour peu que ça se vende), et ensuite parce que c'est un non-sens théorique. Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça.
Vous noterez jeunes gens qu'il existe parmi les vrais surdouées un animus puissant qui tend à conférer à leur sexualité une certaine agressivité.
Mais même pour cette élite la notion de performance ou de dépassement n'a pas de place, c'est l'assouvissement qui compte, et il peut prendre des formes variées, du câlin au culbutage violent la tête dans le hublot du lave-vaisselle.
Ils avaient sorti un patch à la testostérone pour stimuler le désir féminin, puisque la testostérone est l'hormone du désir. He ben, ça a été le bide total. Une dame qu'elle a pas envie, elle a pas envie, epicetou, elle préférerait un patch qui fasse comprendre au conjoint que le cul ça va bien un moment.
C'est un non-sens. Une préoccupation masculine projetée sur nos chéries. Dont elles n'ont strictement rien à foutre. Je crois que ça les intéresse autant qu'un patch qui ferait aimer le football, motivation nulle.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Aménon, j'ai lu ça dans un bouquin de physiologie, d'ailleurs je n'ai retenu que ça et la décérébration des animaux (que plus c'est crétin, mieux ça fonctionne sans cerveau).
c'est pour cela que j'écrivais que ce n'était pas une pub, même si c'est dans le vent
j'ai bien aimé la réaction du gentleman, sincèrement.
je ne pense pas, je pense que c'est un truc de "peine à jouir", peu importe le sexe (pourvu qu'on en ai un).
et puis ça pourrait vouloir dire deux choses totalement opposées, un désir trop prégnant, ou pas assez.
c'est pour cela que j'écrivais que ce n'était pas une pub, même si c'est dans le vent
j'ai bien aimé la réaction du gentleman, sincèrement.
Numero6 a écrit:...Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça....
je ne pense pas, je pense que c'est un truc de "peine à jouir", peu importe le sexe (pourvu qu'on en ai un).
et puis ça pourrait vouloir dire deux choses totalement opposées, un désir trop prégnant, ou pas assez.
Dernière édition par cyranolecho le Mar 3 Mai 2016 - 22:31, édité 1 fois
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça.
...tu veux dire que y'a des mecs qui seraient prêts à essayer des patchs, juste pour avoir envie de baiser toute les 14 minutes au lieu de 28 ?
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bah c'est malin, j'en fais quoi du placenta maintenant ? je le fume ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mets le chez Kass, y'a déjà un tas de trucs
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
m'en fous, en tout cas ça fait monter le lait chez les chèvres.
Dernière édition par cyranolecho le Mar 3 Mai 2016 - 22:34, édité 1 fois
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
... et il peut prendre des formes variées, du câlin au culbutage violent la tête dans le hublot du lave-vaisselle.
T'es sûr que tu mets ta vaisselle au bon endroit ?!
Argos34- Messages : 218
Date d'inscription : 07/02/2016
Age : 60
Localisation : Montpellier
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass a écrit:Numero6 a écrit:Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça.
...tu veux dire que y'a des mecs qui seraient prêts à essayer des patchs, juste pour avoir envie de baiser toute les 14 minutes au lieu de 28 ?
Ouaip, comme en 14, baïonnette au canon, à la guerre comme à la guerre !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
argos34 a écrit:T'es sûr que tu mets ta vaisselle au bon endroit ?!
c'est à cause des patchs, tu perds ton côté féminin
Dernière édition par Kass le Mar 3 Mai 2016 - 22:36, édité 1 fois
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
B 14 coulé
plutôt que les patchs, essayez Motul.
plutôt que les patchs, essayez Motul.
Dernière édition par cyranolecho le Mar 3 Mai 2016 - 22:38, édité 1 fois
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le truc c'est que la femme n'y trouve aucun avantage
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu proposes une solution au lieu de proposer un resultat, pfff
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Arrête moi si ca ne veut rien dire
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Le truc c'est que la femme n'y trouve aucun avantage
tout de suite il faut qu'il y ait profit, le voilà le diable, le voilà.
J'ai rien compris au truc des 28 minutes toutes les 14 minutes, on fait quoi pendant 14 minutes?
Dernière édition par cyranolecho le Mar 3 Mai 2016 - 22:43, édité 1 fois
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Le truc c'est que la femme n'y trouve aucun avantage
Le lave vaisselle contribue grandement à la paix du ménage.
Mily_Moheori- Messages : 908
Date d'inscription : 07/03/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Tu proposes une solution au lieu de proposer un resultat, pfff
Voilà, c'est ça, mais en fait l'aphrodisiaque féminin est une solution à une absence de problème.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
cyranolecho a écrit: m'en fous, en tout cas ça fait monter le lait chez les chèvres.
Si monsieur compte se reconvertir dans la paraphilie caprine, je m'incline, mais... y a pas mais.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pola a écrit:Mets le chez Kass, y'a déjà un tas de trucs
Could you be more specific ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ouais, ça vient en temps et en heurts
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
N°6, t'as vu ? Elles sont vénales ! Merde, j'l'ai mis où mon chéquier ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass a écrit:Numero6 a écrit:Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça.
...tu veux dire que y'a des mecs qui seraient prêts à essayer des patchs, juste pour avoir envie de baiser toute les 14 minutes au lieu de 28 ?
Toutes les 14 minutes..... A ces fréquences, je crois le problème ne se situe pas au niveau de l'envie mais des capacités.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Hoouuuu, mais comment qu'on la sent bien la petite castratrice sortie du bois.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Elégante a écrit:Kass a écrit:Numero6 a écrit:Aucune femme ne souhaite augmenter son envie de baiser, aucune, c'est bien un truc de mecs ça.
...tu veux dire que y'a des mecs qui seraient prêts à essayer des patchs, juste pour avoir envie de baiser toute les 14 minutes au lieu de 28 ?
Toutes les 14 minutes..... A ces fréquences, je crois le problème ne se situe pas au niveau de l'envie mais des capacités.
Pourquoi ? Ça laisse quand même 13 minutes pour se reposer !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pas une de plus !
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
mmm on la sent bien.. c'est positif, marque de respect?
ou bien c'est le côté castrateur qui est bien senti?
Je te devine assez fort pour résister a ce genre de titillement gentillement povocateur.
ou bien c'est le côté castrateur qui est bien senti?
Je te devine assez fort pour résister a ce genre de titillement gentillement povocateur.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:N°6, t'as vu ? Elles sont vénales ! Merde, j'l'ai mis où mon chéquier ?
Vénales, vénales, comme tu y vas... Elles ont un truc auquel nous accordons une valeur exorbitante. Je parlerais de loi du marché, de libre-échange, de l'équilibre de l'offre et de la demande. Le TAFTA pour le taffetas.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
13 minutes, putain, c'est long, 13 minutes...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Oh tu sais, c'est juste le temps de vider le lave-vaisselle et de lancer une machine.
Mily_Moheori- Messages : 908
Date d'inscription : 07/03/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ça me rappelle ma première foi !!
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
oh oui Pola un ptit conte de fesses
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Elle est pas belle la vie ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
M'en fous je paye en stère.
Certes 13 minutes c'est long, mais ça permet de faire la causette, elles aiment bien ça quand on cause !
Certes 13 minutes c'est long, mais ça permet de faire la causette, elles aiment bien ça quand on cause !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
pis c'est juste le temps de se rouler un autre placenta et de changer les patchs !
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass, fais tourner
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les théories foireuses de Numero6.
Sexisme, islamophobie et homophobie à tous les étages, incitation à la haine raciale et entretien de la culture du viol.
La routine, quoi.
Ah oui, un peu de douance à la fin pour dire de faire semblant.
J'ai même mis un nègre en conclusion pour faire comme si j'en avais quelque chose à foutre d'être suspecté de racisme. Mais bon, il est économiste et génial, c'est pas vraiment un argument valable, donc.
Mais je connais personnellement un avocat Ivoirien. C'est bon ?
Un zeste de Suisse pour dire de parfumer.
Réservez. Servir chaud avec une chope de Vodka de contrebande.
Sexisme, islamophobie et homophobie à tous les étages, incitation à la haine raciale et entretien de la culture du viol.
La routine, quoi.
Ah oui, un peu de douance à la fin pour dire de faire semblant.
J'ai même mis un nègre en conclusion pour faire comme si j'en avais quelque chose à foutre d'être suspecté de racisme. Mais bon, il est économiste et génial, c'est pas vraiment un argument valable, donc.
Mais je connais personnellement un avocat Ivoirien. C'est bon ?
Un zeste de Suisse pour dire de parfumer.
Réservez. Servir chaud avec une chope de Vodka de contrebande.
- Spoiler:
- Non, c'est pas celui-là, c'est le spoiler du dessous.
- Pour l'ouverture du salon CQASPUBDLC :
Je déclare sur l'honneur renoncer à apporter la contradiction à ceux qui pensent comme des figues molles. D'abord c'est épuisant, ensuite c'est déprimant de copuler avec un simulacre de réflexion. C'est à peu près aussi motivant que d'enfiler une poupée gonflable.
La mise en mots de ces baudruches idéologiques m'assure malgré tout une certaine satisfaction, modeste mais réelle.
Mon voisin adore se mettre des balais dans le cul, il en a toute une collection, il les fait venir de Chine. Mon indifférence à l'égard de ses pratiques à la fois ménagères et anales, s'envole vers des éthers infinis. Je ne saurais vous décrire avec consistance à quel point je m'en torche l'oigne à la soupe d'orties. C'est chaud mais c'est bon. Mon indifférence est d'un niveau pré-orgasmique. C'est beau tellement je m'en fous.
Récemment, mon voisin a commencé à m'importuner. Il m'a fait la confidence de ses pratiques. Un ressentiment anticipateur est né en moi. Je ne sais quel instinct hostile à mon égard l'a conduit à juger adéquat de me priver du bonheur infini de mon indifférence. Tant qu'il ne gare pas sa poubelle dans la cour le reste je m'en fous, je ne veux pas le savoir et même si je le savais je continuerais à m'en foutre comme de l'an quarante.
Une méfiance est née de cette absurdité. Je ne parvenais pas à m'épargner l'hypothèse d'une intention sournoise. Les faits ont prouvé par la suite que, encore une fois, j'avais raison de me méfier. Toujours se méfier lors de l'aveu spontané d'une différence douloureuse.
De fils en aiguilles, ce voisin, par ailleurs civil et courtois, en est venu à vouloir me faire partager l'ostracisme dont souffrait sa confrérie. Selon lui, la supériorité écœurante des partisans de l'aspirateur était le résultat évident d'un endoctrinement culturel dés le plus jeune âge, sous la pression des lobbyistes électro-ménagers, garde prétorienne du capitalisme sauvage. L'argument vérolé selon lequel l'aspirateur est plus pratique n'est pour lui qu'un slogan sectaire. Illuminati et reptiliens ont envahi son univers lexical.
Comme il commençait à me gaver sérieusement avec ses théories délirantes, je lui ai demandé de m'illustrer par un exemple concret cette balayophobie. C'est ce jour-là que me fut offert le regard absolu de celui qui s'ébaubit de ma connerie mégalomaniaque. J'avais l'impression de lui demander de me démontrer que le ciel était bleu. Il s'est envolé, porté par la rage, Don Quichotte se ruant contre les moulins de l'aveuglement assassin.
Sa colère valait témoignage. Cette preuve se suffisait à elle-même.
Il ne faut pas contrarier les fous, ça les rend furieux. Je pris mes distances avec l'olibrius. Il se rappela à mon bon souvenir par l'entremise d'un huissier. Il se prétendait harcelé par mon acharnement à passer l'aspirateur, il y trouvait la preuve de mon hostilité à l'encontre de ses pratiques sexuelles. La loi n'interdisant pas l'usage de l'aspirateur, son constat d'huissier lui couta bonbon. Sans résultat.
Son hystérie ne s'arrêta pas aux portes de la loi. Il invita ses petits camarades dans la cour de l'immeuble pour la Broom Pride, la marche des fiertés balayeuses. L'odeur insupportable du méthane est resté prégnante plus d'une semaine dans la cage d'escalier.
Quand je l'ai interpellé pour lui signaler qu'il commençait à me courir sur la prostate avec ses conneries, son visage s'est illuminé d'un sourire de madone touchée par la grâce et l'archange Gabriel.
Il a feulé dans un râle de contentement : « Vous me demandiez une preuve de la balayophobie mon cher ? Vous en êtes la preuve vivante ! ». Sale con.
Alors que moi, au départ, j'étais heureux : je n'en avais strictement rien à péter qu'il se mette des cactus, des aliens de la zone 51 ou des déclarations d'impôts dans le fion. Chacun prend son plaisir là où il le trouve.
Mon voisin a fait d'un indifférent béat, moi, un balayophobe hostile, sans me demander mon avis. C'est sa victoire. Il a réussi à m'interdire de rester indifférent à ses pratiques d’alcôves. Le ronflement de mon Hoover est devenu pour lui le symbole de mon mépris.
Je lutte, mais l'espoir qu'il me foute la paix s'est envolée.
Je n'ai plus qu'une attente, que les colocataires de l'immeuble finissent par se lâcher, par exaspération ultime, tous ces partisans de l'aspirateur, devenus coupables de balayophobie du jour au lendemain à l'insu de leur plein gré. Pour l'instant mon voisin triomphe.
Ce que les 3 % de gays ou les 0,3 % de trans-genres prennent le risque de négliger, c'est qu'au départ tout le monde se fout éperdument de leurs destins. A un point qui défie l'entendement. J'ai, à titre personnel, bien d'autre plaisir dans la vie que de casser du pédé ou d'interdire à mon boucher-charcutier d'aller se faire couper les couilles à Casablanca pour se faire greffer un vagin de hamster femelle.
Ce qui me gave au-delà de la nausée, c'est la rage militante. Et pour militer il faut militer contre quelque chose. Et si ce quelque chose n'existe pas, il faut l'inventer. Je leur dénie le droit de me déclarer phobique ou hostile à un phénomène dont je me fous au-delà de toute mesure. Je ne suis pas plus homophobe que balayophobe. Tant qu'on me laisse mon Rowenta (je suis libertin, mon harem abrite plusieurs aspirateurs) et une prise électrique, tout baigne, je suis apaisé et bienveillant envers l'humanité entière.
Mais la machine s'emballe, elle en veut toujours plus. Mon indifférence signe mon hostilité. Si je ne suis pas avec eux, je suis contre eux. Mon manque d'enthousiasme dans les rangs de la sodomie espérée et du balai triomphant m'honore d'office du titre d'ennemi dans les deux camps.
Le lobby gay est très puissant, très riche. Les marchands adorent les gays, ils claquent autant que les bonnes femmes, et pas seulement en fringues et en cosmétiques. Ils sont sur-représentés dans les cercles du pouvoir et des médias. De nos jours, c'est ainsi que l'on reconnait sans difficulté les minorités opprimées, elles ont plus de privilèges que le reste de la population.
Sinon, à quoi servirait de combattre pour sa minorité ?
Plus personne n'ose se dire homophobe. Il est devenu d'un entendement commun que l'homosexualité est respectable, sans doute plus respectable que l'hétérosexualité, le coming-out a la prétention du courage de nos jours. Bouffons arrogants.
C'est à peu près aussi courageux par les temps qui court que de révéler à la face du monde que, dés la naissance, la nature vous a affublé de deux oreilles.
Oui, encore une fois, tout le monde s'en fout.
Je vis dans un pays où des minorités se sont arrogés le droit de m'agresser. Elles ont bâti une fable pour me confier la responsabilité du conflit. Selon elles, mon indifférence à l'égard des adorateurs du balai ou de la rondelle en folie vaut déclaration de haine. Elles se sont arrogés le droit de m'en foutre plein la gueule, elles m'ont interdit de pouvoir rester neutre et paisiblement indifférent. La neutralité et la culpabilité sont devenus deux concepts très proches.
Sans n'avoir jamais rien signé, je suis donc devenu, par la magie de l'époque, un patriarche condescendant, un violeur en puissance, un propagateur du SIDA en Afrique puisque catholique, un salaud puisque riche, un raciste puisque blanc.
Et je suis bien convaincu d'être probablement coupable de tas de trucs dont je n'ai pas la moindre idée. Pas encore.
Et tout ça sans rien faire. Vous saisissez la nature de l'exploit ?
Et comment ça marche ? Pourquoi ça marche ? Parce que la bienveillance et la compassion ne coutent rien à ceux qui les délivrent. Mais flatte énormément leur ego, leurs chiffres de vente ou leur score électoral. Laissez venir à moi les enfants, les pédés et les amoureux du balai. Je suis grand, je suis magnanime, je suis bienveillance. votez pour moi, aimez-moi, la boutique reste ouverte jusqu'à 22 heures tous les vendredi.
Se montrer bienveillant envers les homosexuels ou les adorateurs de la balayette, c'est s'offrir une image valorisante, entre la sagesse d'un Salomon et la détermination d'un Che Guevara.
Et ça ne coute rien ! Absolument rien !
Sans prendre aucun risque, on peut en tirer de grands bénéfices. Je ne connais aucun leader du Droit Au Logement capable de fournir le premier mètre-carré habitable aux immigrés clandestins qui sont, par un hasard du calendrier, souvent dépourvus du moindre papier officiel, et pour cause. C'est pour ça qu'en France on a rebaptisés les immigrés clandestins les sans-papiers. C'était quoi qui gênait ? Immigré ou clandestin ? Les deux ?
Les mètres-carrés des autres, les salauds de propriétaires, c'est bon, ça ne leur coute rien, absolument rien à ces crétins du DAL. Et c'est bon pour l'image médiatique de quelques vedettes et d'anonymes qui auraient eu avantage à le rester si l'arrogance et la compassion ne leur servaient pas de titres universitaires.
L'homophobie est universellement rejetée en France. Même les catholiques purs et durs qui auraient bien aimé qu'on salope pas trop une de leur institution les plus sacrées n'ont jamais, et je vous mets au défi d'en fournir la moindre trace, jamais tenu de propos homophobes. Ils ne sont pas si stupides. Et puis si ça se trouve, ils le ne sont pas du tout, homophobes. A la fin, plus personne ne peut savoir ce que les gens pensent vraiment, puisque penser différemment est le sacrilège premier.
Ils en ont été accusés, ça c'est sur, aucun doute la-dessus, si ce n'est pas au quotidien c'est au moins à un rythme hebdomadaire.
La calotte contre la capote. Fable.
Quand on veut noyer un catholique on l'accuse d'homophobie. La pédophilie marche bien, aussi. C'est connu, en France, en 2016, il n'y a d'instituteurs pédophiles que catholiques. Pédophile ou laïque, il faut choisir.
Être contre le mariage gay c'est être homophobe. Par définition. Selon ces braves gens des forces de progrès. Signaler que le préservatif n'est pas la meilleure des protections contre le SIDA c'est promouvoir un génocide en Afrique. Mais ils s'écoutent parler des fois ?
Peu importe l'incohérence et la pauvreté affligeante du discours, ce qui compte c'est l'émotion. La seule trace mémorielle. Le pape veut laisser mourir les africains du SIDA pour défendre sa boutique passéiste. Et maintenant, sans transition, notre page météo.
Que la défense d'un des sept sacrements de l'église, le mariage, fut confiée médiatiquement à Frigide Barjot, une bi-machin, une femelle pas bien finie, au parcours chaotique, pure représentante des parasites officiels, largement entretenue et logée aux frais de la république et des contribuables français, montre à quel point il est impossible en France de développer le moindre argument à l'encontre d'une quelconque orientation sexuelle. C'est devenu tabou. Seule une folle tordue a eu le droit, temporaire, d'exprimer une nuance.
Comme la Frigide n'avait pas bien compris dans quel monde elle vivait, l'expulsion de son HLM de luxe a du la laisser toute chose. Bienvenue dans le monde réel, connasse, celui des sans-dents qui payent eux-mêmes leur loyer.
Traiter quelqu'un d'homophobe n'expose à aucune sanction, c'est gratuit, pile je gagne, face tu perds. Il n'y aucun risque.
Être catholique c'est être homophobe, donc coupable, donc plus de subvention, plus de logement quasi-gratuit. Casse-toi morue, va payer une fortune pour un studio de merde si tu veux rester dans Paris intra-muros. On t'avait prévenue.
Beaucoup de bénéfices, par contre, notamment pour l'ego, à défendre les minorités. Les chevaliers blancs ne défendent plus la veuve et l'orphelin, ils défendent les pédés, pauvres créatures fragiles, même moustachus, en cuir et bodybuildés, riches propriétaires d'appartements au cœur de Paris. Et chacun sait que les pures goudous sont des créatures évanescentes, éthérés, subliminales, au palonnier de leur Alpha Jet de la patrouille de France. Et peu importe si l'immense majorité des homos ne veut surtout pas se marier ou avoir des enfants.
L'important est de protéger une minorité, seule la geste compte. C'est noble, c'est grand, c'est frais, c'est lavé avec Mir-Laine.
La capitalisme a besoin d'une croissance continue pour survivre. La compassion et la bienveillance ont besoin d'inventer de nouvelles haines à neutraliser.
Nous allons vous aider à découvrir la haine qui est en vous, vous n'avez rien à faire, on s'occupe de tout. Beau slogan.
Quand les chevaliers blancs des minorités opprimées n'obtiennent plus aucune réaction en face, ils multiplient les provocations, les obscénités.
Ils sont quand même aller chercher des putes ukrainienne défoncées à la met pour prouver aux catholiques leur haine de la différence. Ils ont lâché ces bêtes fauves les nibards aux vents, scandant leurs slogans abrutissants en pleine cathédrale Notre-Dame, se flagellant les mamelles contre les symboles les plus sacrés pour les catholiques.
Des musulmans auraient fait ça, c'était la valise ou le coup du Coulibali. Mais une homosexuelle ukrainienne, on lui attribue une subvention. Va provoquer ma fille, va faire chier les catholiques, va défendre la cause de toutes les femmes, va, ma fille, ma sœur, ma mère, mon aimée, va, court, vole et nous venge.
Mais ça ne marche pas. Vingt cameras de la presse internationale conviée pour le happening sacrilège, au moins une soixantaine de portables, tout ces objectifs en attente de La Faute, du geste violent d'un prêtre ou d'un vigile. Ben non, rien. Rien de rien. Quand je vous dis que les catholiques sont chiants, des vrais bonnets de nuit avec leur tolérance à la con.
Heureusement qu'il reste la vaste fumisterie des massacres de l'inquisition pour continuer à les haïr en toute impunité. Ah oui, et n'oublions pas, la terre est ronde, c'est bien la preuve que les catholiques sont des crétins consanguins. L'argument se veut fatal. Heureux les simples d'esprit.
Comme ça ne suffisait pas, on a envoyé ces salopes de Femen agresser physiquement les landaus et les poussettes de la manifestation pour le respect du sacrement du mariage. Et là encore, rien, que dalle. Tout au plus des types qui tentent de maitriser ces folle-dingues comme ils peuvent, dans le halo dispersé par leurs bonbonnes de poudre. Encore heureux que Caroline Fourest était là pour rétablir la vérité : les mamans au guidon des poussettes sont plus dangereuses que tous les chiens de l'enfer. Merci, Caroline Fourest. Ses mensonges sont devenus si grotesques qu'elle a quitté le champ médiatique, elle ne pouvait plus servir la cause, il y a des limites à ce que les braves gens sont capables de gober.
Le principe dogmatique est de faire sentir aux braves gens à quel point ils ne sont que des gros enculés bardés de privilèges, indifférents à la souffrance des opprimés.
Le problème des braves gens reste leur incapacité à croire à l'insondable pourriture de ceux qui les attaquent.
« Je vous préviens, vous êtes filmé ». Voici la nouvelle dictature, celle de l'image, le nouveau supplice de la question, la transparence flagellante de l'iPhone.
Ben oui, mais c'est con, les braves gens regardent les images.
Et à force, ils finissent par voir, à l'insu de leur plein gré, ce qu'ils ne voulaient pas croire.
Les compiles des violences policières sur Youtube sont un vrai bonheur pour ça.
Les hystériques victimaires ne voient du monde que les preuves de leur délire de persécution. La moindre trace de l'exercice d'une quelconque autorité donne la démonstration au monde entier de leur martyre. Enfin, c'est ce qu'ils croient. Parce que pour eux, toute forme d'autorité est symbole d'oppression barbare. Il convient de la révéler. On vit en république, oui ou merde ?
Mais tout le monde voit. Tout le monde entend le connard parfait. Celui qui grogne tel un primate surexcité par le coup d'un flic sur une connasse qui vient de lui cracher à la gueule. Tout le monde voit. Tout le monde entend que sa priorité est de capter l'image, de clamer sa révolte pour la poster sur Youtube. Et que la fille, il n'en a strictement rien à branler ce crevard narcissique.
Ben oui, ça se voit. Seule sa révolte est belle. Plus la fille saigne, plus l'objectif de son Reflex se régale, plus ce dégénéré en éjacule dans son jean, cette pute à like s'astique déjà le poireau par anticipation. Encore 50 et je lui shoote le temporal. Likez, je mouille. Vouloir se faire follower le plus possible, par le plus grand nombre, je ne sais pas pourquoi, ça me fait penser à la gay pride. Suivez-moi, jeune homme, follow-moi, grand fou.
Ce crevard en espérance de consécration médiatique se transmute l'exaltation à grands renforts de « médics ! », « Huuhhaa », « vous êtes sérieux ? », tous ses cris de ralliement sonne l'import U.S., il ne manque plus que « objection » et « votre honneur », un McDo et un Coca-Cola pour bien montrer qu'il rejette le grand capitalisme et la main-mise des USA sur l'Europe. La connerie flamboyante se vautrant dans ses contradictions ultimes. C'est beau comme de l'antique. Quasiment, c'est du vintage frais du jour, périmé à peine produit, du rien, du presque vide.
Mais dans le bruit, la fureur et l'indignation. Respect des codes médiatiques de l'auto-victimisation. On crache d'abord sur le flic et après seulement on lui hurle à la face pour exiger son matricule. Toute dramaturgie se doit de respecter une chronologie.
C'est ainsi que des connasses absolues postent elles-mêmes sur Youtube la preuve magnifique de leur hystérie totale et de l'infinie patience des flics. Elles ont perdu le sens commun. Elles montrent à la terre entière l'étendue de leur bassesse et de leur incapacité à se contrôler, pensant gagner à leur cause les foules attendries par leur supplice mis en scène.
Vous vous rendez compte, ce bâtard de fils de pute a osé me demander mes papiers ! Regardez ! J'ai tout filmé. Ça cause, non ?
Des barrages patiemment élaborés par les différentes cultures sont en train de céder. J'en connais qui vont se retrouver noyés sans comprendre pourquoi, victimes de leur propre délire, à l'image de Frigide Barjot.
Ah ? Personne ne t'avait dit qu'on ne frappe pas un cordon de CRS ? Tu ne savais pas qu'il était interdit de leur cracher à la gueule, de les insulter ? Ah ? Je note.
Et puis voilà, encore une fois, on a oublié les femmes, ces délaissées. Personne ne leur a appris qu'il ne fallait pas frapper un flic. Discrimination sexiste.
Les cultures, les religions, ont permis de neutraliser la violence masculine. On ne frappe pas une femme. Tout le monde est d'accord, en tout cas dans nos contrées.
Frapper une femme c'est se placer tout en bas de l'échelle du mépris, entre l'étron et le truc qui pourrit paisiblement au fond du frigo. Tous les hommes se font un devoir et un plaisir de massacrer celui qui s'y risque. C'est la curée garantie, c'est l’hallali, ha là là. Lâchez-vous les mecs, c'est open bar, malheur à celui qui déchoit. Tu oublies la légitime défense, et tu massacres. La riposte proportionnée, c'est bon pour les pédés.
Oui, seulement pour les pédés. Démolir un mec, c'est bon, c'est encouragé, il n'y aucune raison de frapper une femme. Mais bon, d'un autre coté, si c'est un pédé, on se sait jamais, ça peut couter très cher l'homophobie.
- Monsieur le président, je vous jure que ça ne se voyait pas qu'il était pédé, je vous le jure, sinon, vous pensez bien, je n'aurais pas osé.
Et pendant ce temps-là, qui a pensé à informer les femmes que frapper un homme, surtout quand il est un représentant de l'autorité, est mauvais pour les bronches ? Personne. Comme d'habitude. Si c'est pas de la discrimination la plus sexiste, ça, madame !
Mais cet instinct protecteur fait chier, ça ressemble trop à une qualité. Et puis, les mâles qui protègent les femelles, mais par pitié, mais épargnez-moi ce cliché pourri, merde quoi, ça sent le néandertalien votre truc. Et puis, oh, n'oublions jamais, le berger il finit par les bouffer les brebis. Ah ! Tu vois ? T'es mignon gamin avec ton instinct protecteur, mais tu ranges ta bite et ton couteau et tu retournes à la PS3, steplé, fissa.
Alors ils ont inventé un mythe, la nouvelle bête du Gévaudan, le prédateur parfait. La brute qui tue sa femme tous les deux jours de l'année, le violeur psychopathe, chaque jour sa légende s'enjolive, prend de l'ample. Oh, bien sur, elles savent que tous les hommes ne sont pas comme ce prédateur diabolique, pas tous, pas totalement, pas vraiment, mais potentiellement, peut-être, surement d'ailleurs, absolument, tous les hommes sont assimilables à cette créature de légende.
Un égaré meurt d'une grenade coincé dans son sac à dos, et tout-le-monde déteste-la-police, police-partout, justice-nulle-part, CRS-SS, assassins, ASSASSINS.
Un violeur, trente millions de coupables.
Je ne parlerais pas d'hystérie collective. Non, c'est inutile tellement c'est évident. Tous les hommes que je connais ne supportent pas qu'on agresse une femme. Je ne connais aucun violeur. Y a-t-il un seul violeur sur ce forum ? Vous en connaissez un seul ? Des connards, on les ramasse à la pelle, mais des violeurs, peau de zob, que tchi, walou.
Ici on fait dans le subtil, on fait dans la bête sournoise, ce mythe de l'agresseur, du prédateur opportuniste qui guette sa proie au niveau des points d'eau, on lui a donné le nom de Pervers Narcissique. Mais le principe reste le même.
Non, parce que c'est vrai que l'hypersensible dépressif et procrastinateur, il faisait pas trop crédible dans le rôle du violeur traditionnel, de l'agresseur tapi dans l'ombre avec son pack de bières sous le coude. Booouuuge pas, on va modifier le scénar, en partant d'une base surdouée.
Bon, brain storming à donf, ça serait comment un génie qui serait le plus pur salopard de l'univers ? C'est ça, oui, un mec. Paf, c'est tombé des téléscripteurs : Pervers Narcissique. Narcissique ET pervers. Pervers parce que narcissique, Trop bien, élo, bien vu bichette, ça va cartonner ce truc-là.
Les témoignages se multiplient pour attester de son existence, tout le monde en a vu au moins un, souvent plusieurs. Comme la bête du Gévaudan. C'est indéniable.
Et peu importe que la notion de PN échappe à toute analyse psychologique ou psychiatrique, peu importe de divaguer sur une pathologie mentale qu'on ne sait définir que par les effets qu'elle produit sur les victimes.
Tous les témoignages convergent, les victimes sont formelles, la morsure d'un seul suffit pour savoir repérer ses congénères du premier coup d’œil. Comme nous n'en sommes plus à une incohérence près, vous noterez que la plupart des victimes de pervers narcissiques choisissent comme nouveau conjoint... un pervers narcissique. Tout est logique, tout est dans tout, et inversement.
C'est bon, tout baigne, on reste dans la bonne direction, un coupable, tous coupables.
Le PN se nourrit de l'innocence de ses victimes, il se régale avec les surdouées, bienveillantes, généreuses, disponibles, fragiles comme des biches blessées. Mort de rire. Quiconque à fréquenter un peu les surdouées s'épargnera rapidement le cliché de leur bienveillance, il y a largement autant de crevures ici que partout ailleurs. Il y a même des jours où je me demande si la concentration n'y serait pas anormalement élevée.
C'est vrai que c'est moins vendeur comme concept le prédateur qui s'attaque aux crevures. Ça tire moins les larmes de la pauvre Margot. Ça sonne plus comme une sélection naturelle. Manquerait plus que l'on soupçonne les surdouées en mal d'émotions fortes de se tourner vers les Impitoyables. Non mais, où on va, là ?
Même les crétins finissent par y croire à ce mythe. Les jouvencelles vont se prendre les pieds dans leur toile diabolique. Ta chatte contre mon suicide, je suis un monstre, tremble, carcasse, je ne recule devant rien. Oh le monstre, oui, toi, je te cause, t'es juste passé pour un crétin lubrique, c'est tout. Désolé. C'est pas encore demain que tu perdras ton pucelage.
Des décennies que l'on serine aux braves gens qu'ils sont des monstres. Des années qu'ils redoutent de laisser échapper la moindre manifestation hostile à leur corps défendant. Ils s'attachent les mains dans le dos, dialogue, consensus, communication. Si une baffe s'échappe de leur exaspération, ils se flagellent en place publique, en appellent au pardon collectif, se couvrent la tête de cendres. Pardonnez-moi, mes sœurs, parce que j'ai baffé, je suis un monstre, je suis possédé par le diable, la violence est en moi.
La roue tourne, les braves gens deviennent des salauds contraints et forcés, ils n'ont plus le choix, par impuissance apprise. A force de diaboliser la moindre manifestation de virilité, à force de lobotomiser les mâles, plus aucun n'ose bouger. Trop de risques, trop de culpabilité à porter. Les braves gens restent des braves gens. Frapper est inacceptable, frapper est un crime, frapper est le témoin d'une pathologie mentale. C'est noté, c'est enregistré : ne pas frapper. Respect et tolérance.
Même les mecs ? Même les agresseurs ? Bah, tu sais, on est jamais trop prudent, des fois qu'ils soient pédés ou immigrés clandestins, ou même les deux, là, t'es mort, tu te prends une accusation de raciste homophobe dans les gencives, ça peut faire très mal. Tu ne bouges plus. Tu fais le 911 si tu veux, moi je ne veux pas m'exposer à une condamnation pour harcèlement par flicaille interposée. Et je ne veux pas connaitre non plus sa bande de potes. Et puis je la connais pas cette gonzesse. Tu la connais, toi ? Elle peut te faire un procès ? Elle a ton numéro ? Non ? Ben alors, ferme ta gueule et descends à la prochaine station.
Conséquence non prévue de cette castration idéologique, les hommes l'appliquent à la lettre. Connement, comme toujours. Encore une fois, ils n'ont pas bien saisi les nuances, le double standard.
- Quand je t'interdis de frapper, c'est seulement sur ma gueule, connard. Moi, j'ai le droit de te frapper, et si on m'agresse, bouge, connard, bouge, et protège mon cul, connard.
Oui, j'édulcore volontairement le phrasé féminin actuel, c'est mon coté vintage, je rame encore avec les « crève, batard » et l'excellentissime « tu me pètes les couilles, bitch ».
Et oui, le brave con reste un brave con, faut jamais l'oublier. Tu lui dis que frapper c'est mal, il retient que frapper c'est mal. Et il l'applique à la lettre. Don't touch me, bitch, don't TOUCH me. C'est incroyable de voir une montagne de muscles se protéger de la furie dévastatrice d'une connasse déchainée à l'aide de cette incantation magique, la menace d'une procédure judiciaire : don't touch me, don't TOUCH me, ever.
Mais comme personne n'a pensé à leur dire qu'il ne fallait pas frapper ses contemporains, la menace ne s'éloigne que très temporairement. Elles finissent toujours par frapper.
Et il te colle un procès, ma chérie, quand c'est toi qui le frappe, je sais c'est nouveau, fallait oser au départ, pas redouter l'accusation de couille-mollisme poussiforme. Même les juges, en majorité des femmes, sont sidérés par le droit à la violence physique que voudraient s'arroger certaines femmes. La stupéfaction des condamnées méritent le spectacle.
Bien sur, pour des violences équivalentes, un homme aurait été guillotiné. Mais quand même, c'est toujours bon à prendre cette petite condamnation. Rien que de voir leurs tronches suffit à mon bonheur. L'injustice est pourtant flagrante, la disproportion des peines est lamentable, l'indulgence continue à profiter aux femmes violentes. Deux ou trois larmes, une belle tête de victime, pour peu qu'elle ait dépoté deux ou trois gluants dans sa piètre existence, et hop, il ne s'agissait que de légitime défense quand ma cliente a tué son mari en plein sommeil d'un couteau planté entre les omoplates, monsieur le président.
Le réveil sera douloureux. Pourquoi les médias n'ont-ils présenté que la version de l'avocat qui, après tout, ne faisait que son travail légal de menteur rémunéré ? Pourquoi aucune télé n'a retransmis les propos du procureur ? Jamais. Hmmm ?
Allez je te dévoile le poteau rose, le plus beau de tous les poteaux : C'EST LE PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE QUI A DÉFENDU LA MALHEUREUSE CRIMINELLE ! Je déconne pas du tout. L'enculé de vieux beau déclamant sa magnanimité à la cantonade, se montrant plus féminisme que la pire pute ukrainienne. He, connard, t'es pas Roméo sous le balcon de Juliette, t'es là pour réclamer une sanction adaptée et éviter qu'elle serve d'exemple à ses copines pas commodes.
Non mais c'est bon, fais ton chaud, tu te rattraperas sur les excès de vitesse.
Mais dans la vraie vie, c'est pas comme ça que ça passe, le conte de fées médiatique est là pour vous faire choisir Ariel et Danone. Mais en vrai c'est pas comme ça.
Les flics s'offrent un treizième mois en vous attaquant pour insulte à agent de la force publique dans l'exercice de ses fonctions. Loin des caméras, loin du cirque médiatique. Souriez, vous êtes filmés.
Un CRS vous latte la gueule et un juge vous envoie en taule, dans la vraie vie ça se passe comme ça, c'est pas comme chez McDonald's. Mais avec infiniment moins d'acharnement qu'ils en mettraient pour s'occuper d'un homme.
Ce n'est pas encore demain que la parité homme-femme sera appliquée aux femmes, il reste un vieux fond, un truc vaguement patriarcal.
Mais le droit inaliénable de chaque être humain à la sentir passer quand il insulte un CRS reste, dans cette société affreusement patriarcale, encore souvent réservée aux hommes. Mais je ne désespère pas d'un progrès dans ce domaine. Lors des manifestations des nuit-debout, les postures de chattes en chaleur et le délire hurlant de ces dames ont crée un précédent.
La justice immanente ne s'exerce plus vraiment que servie par les prédateurs, les vrais. Et les connasses se montrent infiniment plus respectueuses avec une racaille de banlieue qu'avec un policier, profil bas et bouche cousue, pas folles les guèpes. La racaille n'est pas assermentée et assez peu sensible aux arguments consensuels, c'est connu. Pas d'obligation de réserve, rien.
Et quand madame se fait agresser dans le métro, plus aucun homme ne prendra le risque de se retrouver en taule pour avoir maitrisé son assaillant, c'est fini, c'est terminé, no way, trop vingtième siècle, surtout si il est immigré, surtout si il est noir, je ne sais pas si un malus prévaut en fonction de la religion chiite ou sunnite, faudrait vérifier, mais le port d'un badge « touche pas à mon pote » est l'équivalent d'un passeport diplomatique, do not touch. Le jaune et le rouge ne s'épousent-ils pas sur les biologiques vénéneux ?
Le petit blanc obéit à son commandement premier : ne pas frapper. D'ailleurs, le voudrait-il, il ne saurait comment s'y prendre. Combattre et affronter ça s'apprend, c'est comme pour tout.
Les psychologues et assistantes sociales convoquées en urgence quand il baffait ses petits camarades à la récréation ne sont pas réputées pour leur compétence dans le domaine des arts martiaux. Leur niveau de violence s'arrête à la castration psychologique. Pour le low kick, faut bien avouer, elles sont nullissimes.
Et quand madame se fait violer à Cologne par des hordes multi-culturelles, les allemands laissent faire. Un allemand, tu lui dis d'envahir la Pologne, il envahit la Pologne. Tu lui dis de ne jamais frapper, il obéit. Peut-être certains allemands se sont-ils laissés aller à prononcer quelques injures hostiles à l'encontre des hordes sauvages. Mais j'en doute, c'est illégal d'injurier. Une moue réprobatrice et il est au taquet, l'allemand nouveau.
Pour contenir un semblant de cohérence entre le discours féministe et celui pro-immigration, ces dames n'ont rien trouvé de mieux que d'argumenter sur la forte proportion d'algérien et de marocains parmi les agresseurs. Tout ne vient pas de la Syrie. Ah ! Vous voyez bien que c'est pas la faute des réfugiés !
Putain, mais ça commence quand même à se voir que l'idéologie leur est plus précieuse que les allemandes qui ont découvert l'orient mystérieux à coup de bites dans le fion. C'est tout juste si ces ravagées de l'idéologie ne conseilleraient pas aux allemandes d'éviter de provoquer les couilles bleues débarquées par bateaux entiers. Les féministes favorables au port du niqab pour les allemandes de souche, oh, putain, c'est tellement con que c'est pas impossible.
Tu connais beaucoup de françaises qui se trimbalent en mini-jupes dans les quartiers, toi ?
Tout marche à l'envers.
L'effarement des connasses condamnées à payer une indemnité compensatoire à leur ex-conjoint, c'est trop bon. La sidération révoltée de celles qui découvrent que frapper une personne est puni par la loi, même quand c'est un homme, même quand il est blanc. Les glapissements médiatiques de celles qui revendiquent le droit de s'habiller comme des putes dans le métro sans avoir à subir les regards dépravés, parce que c'est pour elle qu'elle s'habille en pute, parce que c'est leur droit le plus absolu, parce qu'on vit en république ou merde ? Il ne s'agit que des signes avant-coureurs d'une révolution en cours, comme un boomerang qui va faire très mal. Très, très, très mal.
C'est la fin des privilèges acquis. Ceux qu'on croyait acquis pour toujours, quoi qu'on fasse, quoi qu'on dise. On peut pourrir les hommes, on peut cracher sur les hommes, on peut frapper les hommes, quoiqu'il arrive, quoi qu'on fasse, jamais les hommes ne rendront les coups, toujours ils vont protègeront.
Flics, gendarmes, militaires, gentils couillons, quelle que soit mon ignominie, ils sont conçus pour me protéger. Qu'ils osent soutenir mon regard est au-delà de l'acceptable. Qu'ils plongent dans mon décolleté est pire qu'un viol.
Observez comment les regards des CRS sont utilisés dans les vidéos des zadistes pour signifier leurs intentions néfastes, fixer c'est déjà menacer. Je n'invente rien du tout, je me trouve pas vraiment drôle, les faits vont trop vite pour moi.
Faux, nul, zéro. La révolution est en cours. L'ancienne monarchie s'écroule. Le patriarche a été jeté au bas de son trône depuis longtemps, il fait la vaisselle et torche les gosses. Ne comptez plus sur lui pour protéger son peuple ou sa famille, il n'a plus aucun pouvoir, plus aucun droit, il ne sait plus que tendre la joue gauche. Les allemandes se sont prise la réalité à coup de bites circoncises dans le fion.
- Oh, les mecs, vous déconnez ou bien ? Mais qu'est-ce que c'est que cette fiotte ? T'attends quoi pour intervenir ? Pussy !
- T'énerve pas bibiche, tu sais bien que je t'aime. Et toi, tu m'aimes ? Fais bécot, bibiche.
Les femmes se revendiquent bitches et traitent les hommes de pussy. Putain, mais quand je vous dis que ça commence à se voir qu'on a déconné épais à un moment donné !
Les légions des minorités se rallient au panache blanc des Vertueux. Et c'est groupées, solidaires et cohérentes que les minorités tiennent le siège de la majorité. C'est une course à l'armement incessante, la recherche permanente de péchés comme autant de brèches dans la muraille, indispensables à la magnificence de la pureté d'âme du combat contre l'obscurantisme. Montjoie, Saint-Denis, boutons les fronçois hors de France, ces bouffons qui chantent les pieds dans la merde et le saucisson dans la poche.
Bon, d'accord, c'est un peu con de fragiliser tout ce qui fait la cohérence d'un groupe, en ne se concentrant que sur ses petits privilèges à soi. C'est un peu comme flinguer des sentinelles dans son propre camp retranché pour accéder à la réserve de Nutella. Mais bon, putain, c'est trop bon le Nutella.
Quand je vois des petites blanches hystériques, ultra-protégées par notre système social, culturel, judiciaire, devenir frénétiquement sauvages à l'encontre de toute autorité issue de leur propre communauté, j'ai envie de lancer un appel implorant aux syriens aux couilles les plus bleues.
- Dites, sans vous commander les mecs, vous ne voudriez pas venir nous les violer en meutes ces connes, elles me flanquent une migraine épouvantable. Je peux compter sur vous ? Vous me faites ça bien, hein, comme il faut. Si seulement vous pouviez me les fatiguer un peu, ne serait-ce que pour 24 heures, c'est que j'ai une putain de saloperie de migraine. Ah oui, j'oubliais, elles veulent un orgasme.
Aucun problème les loulous, ici on a la culture du viol, c'est elles qui le disent en plus, chez nous c'est quasiment obligatoire, même si tu n'aimes pas ça, t'es au moins censé avoir le potentiel.
Vous risquez rien les mecs, je m'occupe de la censure médiatique, on fait comme d'habitude. Un mec se vautre en scooter, tu trouves vingt vidéos de la scène sur Youtube. Des centaines de viols à Cologne, pas un cliché, rien, respect de la charte concernant la violence et la lutte contre l'incitation à la haine raciale. Allez-y les mecs, bourrez-les moi toutes, Dieu reconnaitrait les siennes.
Enfin, si ça vous dérange pas trop, bien sur, je ne voudrais pas abuser. Consensus, multi-culturalisme, respect des traditions et des différences, toussa.
Il restait un vieux fond de vieilles conneries quand j'étais gamin. Personne n'était assez con pour insulter un CRS sans s'attendre à une bonne branlée. On ne mordait pas la main qui vous nourrissait. Et la femme n'était pas encore devenue le seul mammifère connu à ce jour assez stupide pour s'attaquer à plus fort que lui. Mais ça, c'était avant.
Je sais pas, elles devaient se faire chier. C'est redoutable une femme qui se fait chier, c'est pire qu'un gamin qu'on entend pas, t'es sûr qu'une connerie va sortir du four.
C'est vous l'inventeur de la machine à laver ? Douze balles dans la peau au petit jour. Non, mais. Traitre.
Les chevaliers blancs du politiquement correct m'ont contraint à porter le badge d'homophobe notoire, de misogyne total et mon revers s'orne du signe de l'infamie, un balai avec la brosse tournée vers le ciel, stigmate de ma balayophobie. Tu me vois aller déranger l'honnête immigré toujours soucieux de faire profiter la petite blonde du métro de sa semence et de sa science orientale du papa-dans-maman ? Surtout quand il est plusieurs ? Non mais, t'es pas un peu fou, toi ? Messieurs les syriens, tirez les premiers.
Sachez que ça serait impossible en Suisse. D'abord parce qu'ils ont des valaisans, et ensuite parce qu'ils n'ont pas de métro. Et que leurs valaisans ne sont pas plus cons que nos bougnoules, ils viennent plus tard, à leur heure, à plusieurs et armés. Alors, forcément, t'hésites à taquiner la romande, c'est humain.
Une minorité de gros enculés qui se servent des minorités pour se parer de la vertu, vous allez me dire que ça mal finir tout ça. Franchement, je n'en suis pas certain. Les braves gens sont souvent des braves cons.
Les conséquences désastreuses de tout ce politiquement correct ne sont que le résultat de la soumission, pas d'une révolte quelconque. Les hommes sont menottés. Ils sont paralysés quand ils ne demanderaient qu'à intervenir. Frapper un agresseur vous offre la garantie d'une mise en garde à vue. Faudrait neutraliser sans hostilité, maitriser avec bienveillance et respect. Poliment. Si possible seul, avec panache et courtoisie. Mort de rire. Le gros mot tout au plus. Et encore...
Sinon, on fait la première page du Hufington Post :
« Un jeune allemand, probablement d'extrême-droite, agresse sauvagement un réfugié syrien lors des fêtes de nouvel an. Il est toujours fécond le ventre de la bête immonde qui gnagnagna, gnagnagna. »
Les braves gens ne voient pas pourquoi l'homosexualité induirait une hostilité envers les hétérosexuels. Ils semblent oublier, ces fils de pute de la mort capables d'activer la machine à bébé sans avoir besoin de payer une aide médicale à la procréation, que ce privilège est refusé aux homos.
Mais putain, mais au nom de quoi, grand dieu ? Le remboursement des GPA semble le minimum exigible. Et vous prétendez en interdire la pratique ? Bâtards ! La haine vous habite et Satan aussi. La bite. Désolé, j'ai pas pu résister.
Le délire activiste victimaire engendre sa propre contre-propagande.
L'hétérosexuel de base finit par ne plus pouvoir échapper à l'évidence. Pour certains, il est coupable de pouvoir se reproduire selon la méthode du père Adam, même bourré, surtout bourré, et même le samedi soir quand il tient à peine debout. Enculé. Coupable.
Oublions ce qui est, imposons ce qui doit être. La justice sociale a un prix, l'aveuglement.
Les haineux savent justifier leur haine. La condamnation de la sodomie par l'islam peut servir de preuve magique. A la fin, il devient presque impossible de distinguer de quoi nous sommes coupables, racisme ? homophobie ? les deux ? Dans le doute, disons que nous sommes accusés de tout, ça ira plus vite. J'ai la migraaaiiiinneuuhhh.
Il n'y a que les faits pour venir foutre leur merde dans tout ça. Traditionnellement, la sodomie hétérosexuelle était une pratique courante pour protéger les hymens, Marrakech est un haut lieu de réjouissance pour les habitants du Marais, de jeunes éphèbes les y attendent, avides de culture et de tolérance entre les peuples.
Mais bon, c'est bien le diable si on ne réussit pas à trouver une citation, une phrase, dans laquelle un mufti aurait prétendu qu'en dehors de papa dans maman, point de salut.
Bon oui, d'accord tout ça, mais c'est quoi le problème ? Je suis raciste et homophobe ? les musulmans sont homophobes ? les musulmans sont sexistes et homophobes ? Tout le monde il est sexiste et homophobe ? Sauf les femmes ? C'est votre dernier mot ?
Les temps changent, la propagande s'épuisent par son emphase trucideuse. Elle finit par contraindre les braves gens à admettre la vérité : sans raison, sans aucune pudeur, sans retenue, des gens les détestent. Sans le savoir, sans l'avoir voulu, ils se découvrent un jour une tare punissable : ils appartiennent à une majorité. Pire : une normalité. Coupables, tous coupables. Qu'on les pende ! Pour une fois qu'ils réussiraient à bander ! Pussy !
Du jour au lendemain je dois me faire à cette réalité, adorer le cul des femmes me rangent automatiquement dans le bain de l'infamie majoritaire. J'appartiens à une majorité. Donc je suis coupable. Faites chier les mecs. J'ai rien demandé, moi.
Et moi qui me pensait à l'abri de la normalité après mon coming-out sur le fétichisme des talons hauts. Trop convenu ? pas rebelle pour un sou ? Et mmeeeeerrde. En plus, il parait que ça fait vieux con, ce doit être la vue qui baisse, le regard descend vers les chevilles, un truc comme ça.
Et ils ont toujours des bonnes raisons pour nous déclarer haineux. La première restant que les braves gens détestent les minorités, c'est prouvé scientifiquement. Les braves gens ne le savent pas eux-mêmes, mais ils détestent les minorités, c'est comme ça et c'est pas autrement. En tout cas, si eux sont tolérants, leur arrière-grand-père était gorgé de haine à coup sûr, assurément. Ils sont donc coupables par contumace et par solidarité généalogique.
Mettons que si mon arrière-grand-oncle avait tué quelqu'un, je dois finir mes jours en taule, c'est bien ça le raisonnement ? Oui, oui, messieurs-dames, c'est bien ça. La majorité devient coupable de ne pas être une minorité. On remontera à l'antiquité s'il le faut pour le démontrer.
Tout catholique est devenu coupable de ne pas être athée. C'est une faute, que dis-je, une maladie dont l'amputation seule prévient l'extension de la gangrène au corps social.
« A bas la calotte et les calottins. » C'est comme « caca boudin » ou « ta réforme si tu savais, ta réforme, ta réforme, si tu savais, ta réforme où on se la met ». Les slogans sont éternels. Ils seraient capables d'aller déterrer le dernier des curés, juste pour pouvoir en bouffer, ces crétins. A quand l'exorcisme pour catholicisme ? L'opium du peuple, l'addiction coupable. La repentance ou le bucher médiatique. Non, mieux, la repentance sur le bucher médiatique. A mort le corbeau. Tu embrasseras Jiseusse de ma part. Tu lui diras qu'il m'attende pas trop.
La promotion des minorités ne peut se faire qu'au détriment de la majorité, on ne peut donner à l'un sans prendre à l'autre. Le combat victimaire se doit d'être livré en pleine lumière, batterie de caméras en guise d'artillerie, Youtube comme champ de bataille. Finalement ça remplace le foot sans problème ces combats prioritaires. Qui saura se montrer plus minoritaire dont plus victime que les autres ? Les femmes ont le handicap du nombre, elles compensent heureusement par une mauvaise foi qui force le respect, leurs décharges émotionnelles sont foudroyantes. Les noirs ont l'avantage de l'esclavage, il leur faut juste faire oublier que tout leur ancêtres sont nés au Burundi. Les goudous se désespèrent de rejoindre le groupe de tête des homos, manque de créativité peut-être ?
Panem et circenses, si seulement ce n'était mon pain qu'ils veulent m’ôter de la bouche pour se goinfrer, tout irait pour le mieux.
La révolution est en marche. De plus en plus les braves gens se posent la question qu'il ne faut pas, la question la plus pernicieuse : « mais putain, je leur dois quoi à tous ces cons ? ».
Mais comment que je le sens venir ce truc terrible.
Avant tu devais aux autres au seul titre qu'ils faisaient partie de ton groupe. La force du nombre.
Mais les autres te crachent à la gueule et te traitent de salopard ou d'assassin quand ce n'est pas d'homophobe ou de sexiste.
Bon, à un moment donné, tu as beau être brave, tu as beau être con, bien bien con, tu finis quand même par te demander ce que tu leur dois à ces merdeux.
Messieurs les syriens, tirez les premiers ! Nous, on peut plus, elles sont plus efficaces que le bromure. On vous les laisse, c'est cadeau. Vous nous laissez le pétrole, on vous file nos gonzesses. Ouais, les pédés aussi, c'est offert par la maison. Vous pouvez y aller, mon décorateur d'intérieur a fini mon salon.
Donc, ceux qui veulent créer sur ce forum leur petit salon privé LGBT, où personne ne viendra objecter leur délibérations, n'ont rien compris à la dynamique de notre société. Parce qu'en fait, au départ, c'est tout ce que les braves gens demandent, qu'ils s'enculent en paix, entre eux, sans faire chier le monde. On voudrait surtout pas déranger.
Les homosexuels non-activistes parlent de cul, d'amour et de pognon, comme les hétéros. Ceux qui se veulent persécutés et le proclament, je sais que forcément, obligatoirement, c'est afin d'obtenir des privilèges. Toujours. A quand le remboursement de la GPA par la sécu ? Une GPA respectueuse de l'environnement et de la dignité humaine à dépoter du gluant pour les invertis, cela va sans dire.
- Les conséquences de mes choix sont toujours la faute des autres. J'élève seule mes enfants parce que je ne suis excitée que par les connards ? On me doit réparation, car tous les hommes sont des connards, les statistiques le démontrent, les miennes en tout cas, et ce sont les seules valables. Tous les hommes que j'ai rencontré sont des connards, donc tous les hommes sont des connards. Je vois même pas ce qu'il y a à comprendre.
Tout à fait ma chérie, le gentil mâle blanc est une crevure. Et d'un ennui, je vous raconte pas. File-moi ton adresse, je reçois trois palettes de syriens mercredi, je t'en mets combien ? Pour le groove et le rap, je ne peux rien promettre, mais pour la couille bleue c'est du garanti sur facture, on baigne dans l'azur.
Notre culture est une culture du viol ! Putain, vous auriez pu prévenir ! Je ne suis pas du tout compétitif sur ce coup, je suis totalement incapable de violer qui que ce soit. Si ma chaussette dit non, je n'insiste jamais. Laissez-moi au moins m'entrainer un peu, je ne voudrais pas être ridicule, déjà qu'avec Hollande et Fabius les syriens se foutent de notre gueule, ça devient lourd à la fin tout ce bazar.
Tous les hommes sont des violeurs en puissance. Merde, encore une fois je me sens largué dans mon identité masculine. Hypersensibilité, toussa, j'ai des excuses pour une fois, j'espère que ça suffira pour mon mot d'excuse : « le petit Numero6 ne pourra se rendre à la tournante organisée dans le cadre des activités para-scolaires car il fait un peu de fièvre avec ses premières dents. Signé : maman ». Merde, violeur c'est comme pianiste, faut commencer jeune si tu veux percer. Ou être syrien avec d'énormes couilles bleues, mais c'est un autre débat. Car, rappelons le sans faiblir, tous les hommes et toutes les cultures se valent. Je déconne, je déconne.
Il y en a vraiment qui n'ont rien compris au monde dans lequel ils vivent. Revendiquer ses différences sexuelles ne sert qu'à obtenir des privilèges. Mais ça ne marche qu'à condition de les obtenir au dépend des normo-sexuels. Au nom d'une souffrance que l'on revendique légitime. Tu me rajoutes un bouquet d'ostracisme, une cuillère à café d'obscurantisme, deux pincées de papauté, de fines tranches de résistance aux forces de progrès, un ou deux patriarches selon le poids, et hop, ticket gagnant, les normo-sexués sortent le chéquier et les excuses de la France éternelle. Vouloir obtenir le privilège de rester entre soi, en toute discrétion, n'a aucun sens. C'est même ce qu'on aurait espérer de vous dés le départ, gamins. Trop de privilèges tue les privilèges.
Je soutiens fermement la proposition d'un salon réservé aux LGBT, arc-en-ciel, licornes, auto-mutilés du sguegue, trans-machin, percés de la membrane, adorateurs du balai et autres joyeux drilles. Je m'en voudrais de perturber leur débats, c'est pas comme si ils nous disaient d'aller nous faire foutre, avec notre sensibilité, nos convictions et notre humour de merde, merde, c'est sacré le LGBT, on rigole pas avec ça. Si tu veux déconner, t'as la religion pour ça, il y en a même plusieurs, t'as le choix. Mais l'arc-en-ciel, NON.
C'est un peu aussi un des autres principes des minorités, ça s'impose à la majorité et ça finit toujours par lui conseiller d'aller se faire foutre, à la majorité. C'est comme ça, faut pas chercher.
C'est pourquoi je réclame aussi l'ouverture du salon CQASPUBDLC, réservé à Ceux Qui Aiment Se Prendre Un Balai Dans Le Cul, je m'en ferais l'administrateur et le portier. Je leur souhaite des débats profonds et enrichissants. C'est promis, juré, craché, je n'irais pas me foutre de leur gueule. Du moment qu'ils me foutent la paix avec la balayophobie. Deal ?
Quel est le rapport avec la douance, aurez-vous la sympathie de me questionner ?
Fallait bien que je trouve un vague prétexte HQI à ce défoulement dominical.
Ben, mettons, et pourquoi pas l'analogie avec la réaction de votre entourage quand vous faites le coming-out de votre HPI, HPE, HQI, THQI, PTT, EDF, GLLOQ, surdon, différence, hypersensibilité, mes couilles sur la commode, ça vous irait comme prétexte ?
Vous avez remarqué le point commun des réactions ? Ils n'en ont rien à foutre, les autres, se découvrant normo-pensants un beau matin, atteint du mal le plus terrible de notre époque, l'infamie d'être majoritaire. Ils sont devenus nuisibles, agressifs, irrespectueux. Sans rien faire, sans autre crime que de ne pas faire partie de la minorité des surdoués. Être normal c'est déjà être PN. Ainsi parlait JSF, pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Convoler avec un normo-pensant est une forme de suicide par personne interposée. Comme tous les mariages, mais c'est encore plus beau si c'est un surdoué.
Peut-on prendre un café avec un normo-pensant ? Mais non on les méprise pas, ils sont pas comme nous, c'est tout.
Ben ouais, t'es intelligent, tout le monde le sait. Ben ouais, t'es pédé, tu parles d'un secret. Pourquoi tu me casses les couilles avec ça ? Tu veux un mojito gratuit ? Une pension à vie pour douance ? 72 vierges ? des petits garçons ? 42 ?
Tout le monde s'en fout, mais tout le monde sent intuitivement poindre à l'horizon l'exigence d'un privilège, des égards particuliers, une demande d'attentions spéciales. Cons et normo-pensants ne désignent pas tout à fait la même chose, la preuve, ça s'écrit pas pareil.
Je me réjouis chaque jour de découvrir qu'une même logique s'applique à toutes choses égales par ailleurs. La logique des minorités victimaires reste la même, quelque soit la minorité. Privilèges.
Jusqu'à l'absurde. Jusqu'à réclamer le privilège de rester dans son coin sans que personne ne vienne vous faire chier. Alors que putain, au départ, personne ne vous demandait rien.
J'appréhende le jour où mon voisin va venir me réveiller en toge orange. Apprendre que je suis devenu anti-bouddhiste sans le savoir pendant la nuit risque de me gâcher le plaisir du petit café du matin. Deux sucres, merci. (C'est marrant, anti-bouddhiste ça sonne comme antibodies, voilà, c'est ça, pendant la nuit j'ai développé des anticoprs anti-Dalaï-Lama).
Harré Krishna dans ton cul, espèce de malade !
Majoritaires et normaux, putain la lose, on l'a échappé belle les mecs, heureusement qu'on est surdoués, ça cache un peu la merde du chat, sus aux normaux, mes gueux. Aujourd'hui, si tu ne fais pas partie d'une minorité qui souffre, t'as raté ta vie.
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Si vous n'avez rien d'autre de mieux à foutre, allez voir les vidéos de Thomas Sowell sur Youtube, c'est beau un réactionnaire dans le noir. Un réactionnaire qui démolit les certitudes les plus établies gagne mon assentiment.
Celle-là, par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=H6ImP-gJvas, pour une fois que j'entends enfin que certaines civilisations privilégient la pensée conceptuelle et sont obligatoirement avantagées par les tests de QI, ça fait du bien, ça change de la soupe émotionnelle de JSF.
Je n'ai jamais vu un tel niveau dans les commentaires sur Youtube. Ça fait tout bizarre quand les youtubers tentent de valoriser leurs idées en élevant leur niveau.
Exemple : Why did we get Obama as president, When there is much more intelligent black men like Thomas sowell out there? Hell, they both went to Harvard ?
Putain, moi je ne savais même pas qu'Obama avait travaillé au service d'entretien de cette prestigieuse université !
C'est vrai quoi, des types comme Thomas Sowell c'est des trucs à vous dégouter d'être raciste, ma pauvre dame. Mais bon, en échange, les multiculturalistes se font déboiter la mâchoire, c'est toujours ça de pris.
Dernière édition par Numero6 le Lun 6 Juin 2016 - 0:53, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Même le en gras, je lis plus... pis y'a trop de trous dans ta tartine.
La seule chose qu'on veut savoir est : T'as pécho ou bien ?
Le reste, on s'en bat les !
La seule chose qu'on veut savoir est : T'as pécho ou bien ?
Le reste, on s'en bat les !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le pire c'est que tu as sans doute raison.
Le deuxième pire c'est que pécho, plus ça va, plus j'en ai plus rien à foutre.
Je me suis bricolé un circuit électrique sur ma Gold, tout à l''étain et à la gaine thermo-rétractable, pour le GPS.
Et pendant que je m'éclatais, pendant tout ce temps-là, la Gold est resté muette. Quel pied !
Les femmes, c'est très surfait finalement, à part pour porter des talons, je voie de moins en moins à quoi ça peut bien servir, ce truc.
T'aime plus le gras ?
Le deuxième pire c'est que pécho, plus ça va, plus j'en ai plus rien à foutre.
Je me suis bricolé un circuit électrique sur ma Gold, tout à l''étain et à la gaine thermo-rétractable, pour le GPS.
Et pendant que je m'éclatais, pendant tout ce temps-là, la Gold est resté muette. Quel pied !
Les femmes, c'est très surfait finalement, à part pour porter des talons, je voie de moins en moins à quoi ça peut bien servir, ce truc.
T'aime plus le gras ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Gabriel a écrit:Les mecs, n'oubliez pas :
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Le pire c'est que tu as sans doute raison.
Le deuxième pire c'est que pécho, plus ça va, plus j'en ai plus rien à foutre.
Je me suis bricolé un circuit électrique sur ma Gold, tout à l''étain et à la gaine thermo-rétractable, pour le GPS.
Et pendant que je m'éclatais, pendant tout ce temps-là, la Gold est resté muette. Quel pied !
Les femmes, c'est très surfait finalement, à part pour porter des talons, je voie de moins en moins à quoi ça peut bien servir, ce truc.
T'aime plus le gras ?
Chacun sa route, chacun son chemin, passe le message à ton voisin et tralalala
I le gras en cuisine, uniquement !
Post Croupion : De 1, j'ai toujours raison ! De 2, pèche plus, tu reviendras moins gredouille !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- le boncoin.fr c'est vraiment formidable:
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce que je dis toujours quand une personne, quelque soit son sexe, couleur de peau, religion, âge, orientation sexuelle, handicap, me cherche des embrouilles, c'est : " Vas y frappe la première, mais me loupe pas ! ".
Quand une femme me crache à la gueule, je lui rend la monnaie, échange de bons procédés.
Quand une femme me crache à la gueule, je lui rend la monnaie, échange de bons procédés.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
CQASPUBDLC : ceusses qui aiment se prendre une .... un balai
Invité- Invité
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