Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
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Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Puisque des filets nous retiennent
Puisque nos raisons nous enchaînent
Que rien ne brille sous nos remparts
Et puisqu'on n'atteint pas le ciel
A moins de s'y brûler les ailes
Et suivre les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu
Puisque les destins sont les mêmes
Que tous les chemins nous ramènent
A l'aube d'un nouveau départ
On n'apprend rien de nos erreurs
A moins de s'y brûler le coeur
Je suivrai les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu
A corps perdu
A corps perdu j'écrirai mon histoire
Je ne serai plus le pantin du hasard
Si toutes les vies sont des causes perdues
Les hommes meurent de n'avoir jamais cru
De n'avoir pas vécu ivres et sans fard
Soldats vaincus pour une guerre sans victoire
Et si ma vie n'est qu'une cause perdue
Je partirai libre d'y avoir au moins cru
A corps perdu
A corps perdu...
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tu dis
Que tu n'admets pas
Que tu ne tolères pas
Et je me demande ce que tu vois
Tu affirmes
Qu'ils ne t'auront pas
Qu'ils ne te changeront pas
Garde ta révolte au fond de toi
Garde ta révolte au fond de toi
Car jeune con, ou vieux con
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même
Un pays loin d'ici ou tout près si tu veux
Deux peuples en un et un peuple en deux
A ma droite les ils
À ma gauche les ons et leur chef Léon
Les ils si futiles sortent en ville paraît-il
Entourés de presqu'ils et de ons serviles
Les ons toujours marrons se croient sensés les cons
Qu'ils travaillent à la ville, qu'ils travaillent à la mine
Qu'ils soient camés les ons sont tous pâlichons
Car les ils donnent aux ons l'air (R) qu'ils n'ont pas au fond
Et le on rend des ronds, rêve de révolutions ah ! ah !
Et chaque on a ses ils dessus
Et chaque il a ses ons dessous
Question:
Qui est il et qui est on ?
Est-on presqu'ilou est-on né on?
Tu affirmes
Que c'est bien comme ça
Que ça ne changera pas
Et tant pis pour toi ça changera
Et si naguère, c'était mieux naguère
Moi je n'étais pas né, naguère
Attends-toi à de nouvelles manières
Attends-toi à de nouvelles manières
Car jeune con ou vieux con
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même
Toujours égal à toi même, égal à toi même
Moi je suis néon
Dernière édition par Iamsosure le Dim 9 Oct 2016 - 19:49, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
J'avais un ami, mais il est parti
Ce sens a ma vie
il n'est plus en vie
il m'a tout donne,
puis s'est efface
sans me déranger,
et je crois j'ai pleure
Tout au fond, l'air d'un con, envie
de me casser
Voudrais bien essayer, voudrais
bien continuer, continuer
Un moment, un instant,
j'ai cru oublier
En parlant, en marchant,
a Paris, a minuit, dans ma ville
Quelques mots perdus,
dans la nuit
Quelques mots qui traînent,
a minuit
Quelques mots qui cognent
au cœur de la nuit
Mais la nuit ne peut pas entendre
Non la nuit ne peut pas
comprendre
C'est a croire, que la nuit
n'as pas de cœur J'avais une amie
maintenant c'est fini
Un sens a ma vie,
mais je n'ai plus envie
Et j'ai tout donne
pour elle
j'ai tout dépensé
Pour ce souvenir
ce rêve éveillé, réveille
Plus un rond, l'air d'un con,
envie de me cacher
Voudrais bien essayer, voudrais
bien continuer, continuer
Un moment, un instant,
j'ai cru oublier
En parlant, en marchant
a Paris, a minuit, tout près d'ici
Quelques mots perdus,
dans la nuit
Quelques mots qui traînent
a minuit
Quelques mots qui cognent
au cœur de la nuit
Mais la nuit ne peut pas entendre
non la nuit ne peut pas
comprendre
C'est a croire, que la nuit
n'as pas de cœur
Traîner toutes les nuits et les matins aussi.
Pour une nouvelle vie, une nouvelle amie.
Un amour pour la vie et qui le jour s'enfuit.
Deux mille nuits passées à t'imaginer, t'imaginer.
J'ai déjà trop rêvé, je ne veux pas m'éveiller.
Tout ces rêves mouillés, je voudrais m'y baigner.
Une source de vie qui le jour se tarit.
Deux mille nuits passées à t'imaginer, t'imaginer.
Maintenant je suis là et je guette tes pas.
Maintenant je suis là mais tu n'existes pas.
J'écoute le jour qui se lève et j'ai goûté tes lèvres,
Pendant toutes ces nuits,
Oh! Tant et tant de nuits,
Deux mille nuits passées à t'imaginer, t'imaginer,
T'imaginer, te désirer, t'imaginer...
On te donne trois balles, on te donne trois balles
On te donne trois balles, la première t'es un môme
Tu prends d'la cadence, tu entres dans la danse
Dans la violence des chocs, tu comprends ta chance
Tu sais maintenant comment, tu sais maintenant comment
Tu sais maintenant comment, ton histoire commence
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
On te donnes trois balles, on te donnes trois balles
On te donnes trois balles, la deuxième t'es un grand
Il faut te démerder, tu commence à ruser, hein ?
Tu cherches un abris et quand tu l'as trouvé
Tu te vois éjecté, à vitesse grand V
Vers le bumper d'en face, qui t'attend dans l'impasse
Vers le bumper d'en face, qui t'attend dans l'impasse
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
Advertisment
Attention au tilt
Attention au tilt, t'a perdu la boule mon gars
Non !
On te donnes trois balles, on te donnes trois balles
On te donnes trois balles, la troisième t'es un vieux
Vieux, vieux, vieux, vieux, vieux, vieux, trop vieux
Tu es très fatigué tu veux te reposer
Tu branles la machine, tu courbes l'échine, l'échine
Le dernier bumper t’envoie dans l'dernier trou
Le dernier bumper t’envoie dans l'dernier trou
Sur ta tombe y a écrit
Sur ta tombe y a écrit
Sur ta tombe y a écrit
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Je dis petite, oh non non petite
Heiiiin gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
------------------------------------------------------------------------------
On te donne trois balles, la première t'es un môme
Tu prends d'la cadence, tu entres dans la danse
Dans la violence des chocs, tu comprends ta chance
Tu sais maintenant comment, tu sais maintenant comment
Tu sais maintenant comment, ton histoire commence
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
On te donnes trois balles, on te donnes trois balles
On te donnes trois balles, la deuxième t'es un grand
Il faut te démerder, tu commence à ruser, hein ?
Tu cherches un abris et quand tu l'as trouvé
Tu te vois éjecté, à vitesse grand V
Vers le bumper d'en face, qui t'attend dans l'impasse
Vers le bumper d'en face, qui t'attend dans l'impasse
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
Advertisment
Attention au tilt
Attention au tilt, t'a perdu la boule mon gars
Non !
On te donnes trois balles, on te donnes trois balles
On te donnes trois balles, la troisième t'es un vieux
Vieux, vieux, vieux, vieux, vieux, vieux, trop vieux
Tu es très fatigué tu veux te reposer
Tu branles la machine, tu courbes l'échine, l'échine
Le dernier bumper t’envoie dans l'dernier trou
Le dernier bumper t’envoie dans l'dernier trou
Sur ta tombe y a écrit
Sur ta tombe y a écrit
Sur ta tombe y a écrit
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
It's more fun to compete, More fun to compete
On joue sa vie comme on joue au flipper
Déjà tout môme on flippe de bumper en bumper
On gagne on perd, et toujours on espère
Pouvoir s'en refaire une petite
Je dis petite, oh non non petite
Heiiiin gratuite, gratuite, gratuite, gratuite
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Dernière édition par Iamsosure le Dim 9 Oct 2016 - 19:50, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
♪ Tête En L'air ♪
Sur la terre des damnés, tête en l'air,
Étranger aux vérités premières énoncées par des cons,
Jamais touché le fond de la misère
Et je pleure, et je crie et je ris au pied d'une fleur des
champs,
Égaré, insouciant dans l'âme du printemps, coeur battant,
Coeur serré par la colère, par l'éphémère beauté de la
vie.
Sur la terre, face aux dieux, tête en l'air,
Amoureux d'une émotion légère comme un soleil radieux
Dans le ciel de ma fenêtre ouverte
Et je chante, et je lance un appel aux archanges de l'Amour.
Quelle chance un vautour, d'un coup d'aile d'un coup de bec
Me rend aveugle et sourd à la colère à la détresse de la
vie.
Sur la terre, tête en l'air, amoureux,
Y'a des allumettes au fond de tes yeux,
Des pianos à queue dans la boîte aux lettres,
Des pots de yaourt dans la vinaigrette
Et des oubliettes au fond de la cour...
Comme un vol d'hirondelles échappé de la poubelle du
ciel...
♪ Délire D'alarme ♪
Dansons dans la dérive
Barrés comme un bateau ivre
Où sont passés les commandants de bords?
Et d'abord
Qu'on est voté pour ou contre
C'est la course contre la montre
Entre les plus faibles et les plus forts
Plus d'accord
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
Au secours les ponts s'écroulent
C'est la panique dans la foule
Chacun se bat pour sauver sa peau
Sauve qui peut
Au tour des canaux de sauvetage
Les rescapés du naufrage
Luttent à mort pour maintenir leur corps
Hors de l'eau
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
Qu'on survive ou qu'on en crève
Il faut poursuivre nos rêves
Jusqu'au bout sans regret ni remords
Et toujours
Le coeur armé de courage
S'arracher au grand naufrage
Des humaines prisonniers de leur peur
De l'amour
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
La vie, l'amour
La vie, la mort
Sur la terre des damnés, tête en l'air,
Étranger aux vérités premières énoncées par des cons,
Jamais touché le fond de la misère
Et je pleure, et je crie et je ris au pied d'une fleur des
champs,
Égaré, insouciant dans l'âme du printemps, coeur battant,
Coeur serré par la colère, par l'éphémère beauté de la
vie.
Sur la terre, face aux dieux, tête en l'air,
Amoureux d'une émotion légère comme un soleil radieux
Dans le ciel de ma fenêtre ouverte
Et je chante, et je lance un appel aux archanges de l'Amour.
Quelle chance un vautour, d'un coup d'aile d'un coup de bec
Me rend aveugle et sourd à la colère à la détresse de la
vie.
Sur la terre, tête en l'air, amoureux,
Y'a des allumettes au fond de tes yeux,
Des pianos à queue dans la boîte aux lettres,
Des pots de yaourt dans la vinaigrette
Et des oubliettes au fond de la cour...
Comme un vol d'hirondelles échappé de la poubelle du
ciel...
♪ Délire D'alarme ♪
Dansons dans la dérive
Barrés comme un bateau ivre
Où sont passés les commandants de bords?
Et d'abord
Qu'on est voté pour ou contre
C'est la course contre la montre
Entre les plus faibles et les plus forts
Plus d'accord
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
Au secours les ponts s'écroulent
C'est la panique dans la foule
Chacun se bat pour sauver sa peau
Sauve qui peut
Au tour des canaux de sauvetage
Les rescapés du naufrage
Luttent à mort pour maintenir leur corps
Hors de l'eau
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
Qu'on survive ou qu'on en crève
Il faut poursuivre nos rêves
Jusqu'au bout sans regret ni remords
Et toujours
Le coeur armé de courage
S'arracher au grand naufrage
Des humaines prisonniers de leur peur
De l'amour
Viens ô ma reine je t'emmène sur mon île aux trésors
Là où l'amour nous unira à la vie à la mort
La vie, l'amour
La vie, la mort
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
DEBIT DE L'EAU, DEBIT DE LAIT
Paroles et Musique: Charles Trenet
© 1943 - Raoul Breton
Dans ma rue, y a deux boutiques
Dans l'une on vend de l'eau dans l'autre on vend du lait
La première n'est pas sympathique
Mais la seconde en revanche, où l'on vend du lait, l'est
Et c'est pour ça que tous les passants
La montrent du doigt en disant :Ah qu'il est beau le débit de lait
Ah qu'il est laid le débit de l'eau
Débit de lait si beau débit de l'eau si laid
S'il est un débit beau c'est bien le beau débit de lait
Au débit d'eau y a le beau Boby
Au débit de lait y a la belle Babée
Ils sont vraiment gentils chacun dans leur débit
Mais le Boby et la Babée sont ennemis
Car les badauds sont emballés
Par les bidons de lait de Babée
Mais l'on maudit le lent débit
Le lent débit des longs bidons du débit d'eau de Boby
Aussi Babée ses bidons vidés
Elle les envoie sur le dos de Boby
Et Boby lui répond
En vidant les bidons
Les bidons d'eau de son débit et allez donc
Les bidons d'eau de son débit et allez donc.
Paroles et Musique: Charles Trenet
© 1943 - Raoul Breton
Dans ma rue, y a deux boutiques
Dans l'une on vend de l'eau dans l'autre on vend du lait
La première n'est pas sympathique
Mais la seconde en revanche, où l'on vend du lait, l'est
Et c'est pour ça que tous les passants
La montrent du doigt en disant :Ah qu'il est beau le débit de lait
Ah qu'il est laid le débit de l'eau
Débit de lait si beau débit de l'eau si laid
S'il est un débit beau c'est bien le beau débit de lait
Au débit d'eau y a le beau Boby
Au débit de lait y a la belle Babée
Ils sont vraiment gentils chacun dans leur débit
Mais le Boby et la Babée sont ennemis
Car les badauds sont emballés
Par les bidons de lait de Babée
Mais l'on maudit le lent débit
Le lent débit des longs bidons du débit d'eau de Boby
Aussi Babée ses bidons vidés
Elle les envoie sur le dos de Boby
Et Boby lui répond
En vidant les bidons
Les bidons d'eau de son débit et allez donc
Les bidons d'eau de son débit et allez donc.
Dans ma rue y a un mariage
Celui du beau Boby et de la belle Babée
Les v'là tous deux en ménage
Le débit d'eau épouse le grand beau débit de lait
Ils ont repeint leur boutique en blanc
Et chacun dit en y allant :
Celui du beau Boby et de la belle Babée
Les v'là tous deux en ménage
Le débit d'eau épouse le grand beau débit de lait
Ils ont repeint leur boutique en blanc
Et chacun dit en y allant :
Ah qu'il est beau le débit de lait
Ah quel palais le débit de l'eau
Débit de lait si beau, débit de l'eau pas laid
S'il est un débit beau c'est bien le beau débit de lait
Boby a mis du lait dans son eau
Et la Babée de l'eau dans son lait
Ils ont enfin compris que leurs débits unis
Font le plus grand le plus joli des beaux débits
Et les badauds sont emballés
Par les bidons de lait de Babée
Oui mais Boby garde pour lui
Les deux plus beaux bidons de lait de la Babée jolie
Et maintenant si vous y alliez
Vous entendriez de joyeux babils
De deux beaux bébés blonds
Qui font tomber d'un bond
Tous les bidons d'eau et de lait d'la maison
Tous les bidons d'eau et de lait d'la maison.
Ils se battent à coups de beaux bidons
Chez Boby et chez Babée et allez donc.
Ah quel palais le débit de l'eau
Débit de lait si beau, débit de l'eau pas laid
S'il est un débit beau c'est bien le beau débit de lait
Boby a mis du lait dans son eau
Et la Babée de l'eau dans son lait
Ils ont enfin compris que leurs débits unis
Font le plus grand le plus joli des beaux débits
Et les badauds sont emballés
Par les bidons de lait de Babée
Oui mais Boby garde pour lui
Les deux plus beaux bidons de lait de la Babée jolie
Et maintenant si vous y alliez
Vous entendriez de joyeux babils
De deux beaux bébés blonds
Qui font tomber d'un bond
Tous les bidons d'eau et de lait d'la maison
Tous les bidons d'eau et de lait d'la maison.
Ils se battent à coups de beaux bidons
Chez Boby et chez Babée et allez donc.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[size=53]Iggy Pop : "Je suis terriblement romantique"
Par Paola Genone | Le 09 octobre 2016[/size]
Madame Figaro. - Comment décririez-vous votre personnage dansl’Étoile du jour (1) ?
Iggy Pop. - J’incarne le rôle de « la Conscience » qui hante Denis Lavant, le clown acrobate d’une troupe de cirque. J’apparais tel un esprit… Pour ce rôle, je me suis nourri de l’ange gardien joué par Antonin Artaud dans Liliom, de Fritz Lang, dont l’Étoile du jour est inspiré. C’est un film très romantique, onirique, fellinien…
On vous verra aussi en février prochain dans Gimme Danger, le documentaire de Jim Jarmusch sur vous et les Stooges présenté à Cannes…
Je rêvais d’un film sur les Stooges… Et le seul qui pouvait le faire sans clichés, c’était Jim. Il a assisté à nos concerts depuis nos débuts… Il nous a filmés tant de fois. Plus qu’un documentaire, son film est une épopée sur le rock. C’est intense, sensuel, violent, accablant de vérité.
Votre principal trait de caractère ?
La vulnérabilité. Je suis un esprit tourmenté et un exhibitionniste de mes démons. C’est ce qui me porte sur scène : ce besoin de tout exprimer au risque de choquer. Mais quand la musique s’arrête, je suis doux, terriblement romantique, en demande d’affection.
Celui dont vous êtes le moins fier ?
La peur peut me faire devenir agressif, dingue…, je perds le sens de la limite, comme un gamin. Parfois, quand je me vois dans d’anciens concerts, je suis gêné…
Un héros d’enfance ?
Mickey Mantle, le mythique joueur de baseball des Yankees ! À 10 ans, j’ai aussi été très impressionné par Fidel Castro… Il avait quelque chose d’un intellectuel et un regard de fou qui faisait peur.
Une extravagance ?
Me détruire avec des drogues dans l’illusion d’étouffer mes angoisses. À présent, je préfère passer une soirée en compagnie d’une bouteille de gevrey-chambertin.
Votre luxe ?
L’amour, l’intimité, le temps… et la mer.
Les trois basiques de votre dressing ?
Une veste en cuir, des boots avec une salamandre peinte, et les costumes que Hedi Slimane a créés pour moi à l’occasion de ma tournée. Je n’ai jamais eu un style aussi « correct » !
Le casting d’un dîner idéal chez vous ?
Josh Homme, du groupe Eagles of Death Metal, avec lequel j’ai réalisé cet album, tous les membres du groupe, et les gens que j’aime et que je fréquente : Jim Jarmusch,Johnny Depp et James Williamson, le guitariste des Stooges.
Votre madeleine de Proust ?
Jouer au golf… Je le faisais régulièrement avec mon père. Et les œufs brouillés, car ma mère m’en préparait tous les matins. J’ai perdu mes parents, ils étaient formidables. Je n’aurais pas aimé être à leur place avec un fils comme moi !
http://madame.lefigaro.fr/celebrites/iggy-pop-je-suis-terriblement-romantique-031016-117069
Par Paola Genone | Le 09 octobre 2016[/size]
En tournée mondiale pour son album Post Pop Depression, l’icône du rock est aussi un acteur magnétique à l’affiche de deux films. Rencontre.
[size=30]Quel est votre profil culinaire ?[/size]
Madame Figaro. - Comment décririez-vous votre personnage dansl’Étoile du jour (1) ?
Iggy Pop. - J’incarne le rôle de « la Conscience » qui hante Denis Lavant, le clown acrobate d’une troupe de cirque. J’apparais tel un esprit… Pour ce rôle, je me suis nourri de l’ange gardien joué par Antonin Artaud dans Liliom, de Fritz Lang, dont l’Étoile du jour est inspiré. C’est un film très romantique, onirique, fellinien…
On vous verra aussi en février prochain dans Gimme Danger, le documentaire de Jim Jarmusch sur vous et les Stooges présenté à Cannes…
Je rêvais d’un film sur les Stooges… Et le seul qui pouvait le faire sans clichés, c’était Jim. Il a assisté à nos concerts depuis nos débuts… Il nous a filmés tant de fois. Plus qu’un documentaire, son film est une épopée sur le rock. C’est intense, sensuel, violent, accablant de vérité.
Votre principal trait de caractère ?
La vulnérabilité. Je suis un esprit tourmenté et un exhibitionniste de mes démons. C’est ce qui me porte sur scène : ce besoin de tout exprimer au risque de choquer. Mais quand la musique s’arrête, je suis doux, terriblement romantique, en demande d’affection.
Celui dont vous êtes le moins fier ?
La peur peut me faire devenir agressif, dingue…, je perds le sens de la limite, comme un gamin. Parfois, quand je me vois dans d’anciens concerts, je suis gêné…
Un héros d’enfance ?
Mickey Mantle, le mythique joueur de baseball des Yankees ! À 10 ans, j’ai aussi été très impressionné par Fidel Castro… Il avait quelque chose d’un intellectuel et un regard de fou qui faisait peur.
[size=33]J’ai perdu mes parents, ils étaient formidables[/size]
Une extravagance ?
Me détruire avec des drogues dans l’illusion d’étouffer mes angoisses. À présent, je préfère passer une soirée en compagnie d’une bouteille de gevrey-chambertin.
Votre luxe ?
L’amour, l’intimité, le temps… et la mer.
Les trois basiques de votre dressing ?
Une veste en cuir, des boots avec une salamandre peinte, et les costumes que Hedi Slimane a créés pour moi à l’occasion de ma tournée. Je n’ai jamais eu un style aussi « correct » !
Le casting d’un dîner idéal chez vous ?
Josh Homme, du groupe Eagles of Death Metal, avec lequel j’ai réalisé cet album, tous les membres du groupe, et les gens que j’aime et que je fréquente : Jim Jarmusch,Johnny Depp et James Williamson, le guitariste des Stooges.
Votre madeleine de Proust ?
Jouer au golf… Je le faisais régulièrement avec mon père. Et les œufs brouillés, car ma mère m’en préparait tous les matins. J’ai perdu mes parents, ils étaient formidables. Je n’aurais pas aimé être à leur place avec un fils comme moi !
http://madame.lefigaro.fr/celebrites/iggy-pop-je-suis-terriblement-romantique-031016-117069
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
VILLENEUVE-D’ASCQ
Comment une grosse erreur nous a révélé que Depeche Mode sera au stade Pierre-Mauroy le 29 mai
Les tickets pour le concert des Britanniques au Stade Pierre-Mauroy ont temporairement été mis en vente ce samedi après-midi sur un site de billetterie. Une grosse erreur, à deux jours et demi de l’annonce de la prochaine tournée mondiale, prévue en grande pompe mardi à Milan.
Par B. MASSEBOEUF | Publié le 08/10/2016
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Dave Gahan et Depeche Mode devraient enfin jouer à Villeneuve d’Ascq le 29 mai. Photo archives Ludovic Maillard. La Voix duNord
- LECTUREZEN
Damien Castelain, président de la Métropole Européenne de Lille, l’annonçait récemment : le grand stade allait vibrer en 2017, prédisant « quatre à six concerts de classe et de rayonnement internationaux », sans pouvoir en dire plus alors. Il attendait les annonces officielles dans les semaines suivantes.
Parmi elles, on peut déjà confirmer le nom de Depeche Mode, qui évoluera en configuration « boîte à spectacle », le lundi 29 mai, trois ans et demi après un premier rendez-vous manqué faute de chauffage. Les places, bientôt ouvertes à la vente, iront de 59 à 89,90 €.
Énorme « fail »
Tout était pourtant calé pour la conférence de presse événement, organisée à Milan mardi 11. Un teasing soigné pour faire monter la pression, avec un mystérieux compte à rebours sur le site officiel du groupe.
C’est là et pas ailleurs que devaient être dévoilées aux fans et à la presse les dates de leur future tournée mondiale et, sans doute, la sortie d’un nouvel album.
Depeche Mode
Un énorme fail en a décidé autrement. Ce samedi, à 13h, des personnes « initiées » ont pu acheter des places pour le concert lillois du 29 mai, sur le site de Ticketmaster. La vente a fonctionné pendant près de deux heures, avant d’être fermée en milieu d’après-midi !
Cette énorme erreur a aussi permis d’en savoir plus sur le nom du futur album, « Global Spirit » avec la tournée « Global Spirit Tour » qui en découle.
Il y a dû avoir quelques noms d’oiseaux échangés du côté de Live Nation ces dernières heures...
http://www.lavoixdunord.fr/56489/article/2016-10-08/comment-une-grosse-erreur-nous-revele-que-depeche-mode-sera-au-stade-pierreRe: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Alors on a fait un barbecue, je m'appelle Jacky j'ai des ennuis...
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je me souviens plus avec qui j'étais allée mais je cherche du coup Je me demande combien y'avait du QI du coup dans le whisky coca que j'ai sûrement bu. Parce que je suis une fille, je mets du coca dans mon whisky. Comme ça je peux toujours choisir de dire que c'est un whisky ou un coca
Donc quand je disais déjà au gars qui venait me voir au bar quand j'étais ado en lui disant avant qu'il ait ouvert la bouche pour parler : non merci je ne couche pas tu peux déjà arrêter d'y penser, j'avais raison Je l'avais senti avec mon intuition La douance c'est un truc chouette qui permet de passer des moments chouettes avec des personnes chouettes
C'est drôle je suis devenue à 45 ans et par envie tout ce que des personnes ont passé leur vie à essayer de me faire devenir J'avais d'autres choses plus intéressantes à procrastiner avant. Et ça a beaucoup joué du triangle des Bermudas, je me demande si je vais pas me mettre à la pêche à la carpe ?
Ca tombe écouter des "vieux" trucs c'est juste rester bien carré dans ses idées quand on voudrait m'en faire changer. et puis d'ailleurs les vieux trucs ça revient beaucoup d'actualité en fait. Je suis obligée de préciser mon âge pour bien poser les différences.
Et je laisse toujours pas des personnes faire pleurer certains garçons C'est normal je suis une fille
Ma vie est juste une histoire basique de chocolats que je partage ou pas en fait. Y'a pas de quoi en faire un livre
Avec ton père va jusqu'au rivage, avec tes pairs traverses l'océan de la vie Evidemment ceux qui n'ont pas la mer ou l'océan, c'est normal qu'ils voient ça et le gérer comme une piscine gonflable dans le jardin....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je n'ai pas de champs de fraises mais alors j'ai un champ de chansons
Développer le concept : j'aime, j'aime pas, c'est bizarre !
On vit on meurt on choisit ce qu'on fait entre ces deux paramètres J'assume totalement tout. Et le gars il a du être content, je lui ai fait gagné du temps. Je conçois que ça puisse être déroutant mais bon c'est gagnant gagnant. Après si des gens ont fait des gens compliqués, c'est pas ma faute J'ai pas mon flocon à Valloires mais coté slalom dans la vie, j'ai toutes les étoiles
Je préfère les gens qui comprennent en un clin d'oeil, un regard, deux mots, une image, un son, ça fait des économies de phrases.
Et si j'ai pu être froide, c'était normal, j'ai pas d'actions chez EDF moi J'ai pas à réchauffer la vie des autres
Alors adepte du blue order J'ai donc vécu de modérateur en modérateur ? Y'a pire comme vie
entre
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
- Spoiler:
Lettre ouverte à Renaud, de la part de la "connasse" de L'Obs
Publié le 05-10-2016 à 14h28 - Modifié le 06-10-2016 à 12h02
96 réactions | 309930 lu
Temps de lecture : 3 minutes
Par Sophie DelasseinLE PLUS. Lors d'un concert le 1er octobre dernier à Evry, le chanteur Renaud a dédié sa chanson "Hyper Cacher" "à la connasse du Nouvel Obs". Visée sans être nommée, Sophie Delassein a décidé de lui répondre dans une lettre ouverte que Le Plus publie.
Édité par Paul LaubacherLe chanteur Renaud le 28 août 2016 au salon "La Foret Des Livres" à Chanceaux-près-Loches (GUILLAUME SOUVANT / AFP)
Cher Renaud,
Je pourrais débuter cette lettre ouverte par "Cher connard de chanteur". Je ne le fais pas. Ce serait indigne, injurieux, choquant, inélégant ; ce serait facile, ce ne serait pas moi.
Vous êtes remonté sur scène le 1er octobre dernier, aux Arènes de l’Agora, à Evry. Une soirée inaugurale, un concert de chauffe, comme on dit dans votre métier, histoire de peaufiner les réglages avant d’affronter les Zénith de Paris et de province. Je n’étais pas dans la salle ce soir-là, mais j’ai eu vent qu’avant d’entonner "Hyper Cacher", votre hommage aux victimes juives du terroriste Amedy Coulibaly, vous avez lancé à mon adresse : "Je préfère écrire des chansons sur des vérités qui dérangent plutôt que sur des mensonges qui font sourire. Cette chanson, je la dédie à la connasse du Nouvel Obs". C’est indigne, injurieux, choquant, inélégant. C’est facile. Est-ce vraiment vous ?
D’après des personnes présentes ce soir-là à Evry, cette pique vous l’auriez bredouillée d’une voix mal assurée, de cette voix qui parle et chante en repoussant les limites de l’audible. Personne n’a compris pourquoi vous me dédiiez "Hyper Cacher", de votre bouche parfois haineuse, de votre bouche devenue pâteuse. Personne n’a compris, moi oui.
Il y a quelques années, en octobre 2006, vous publiiez aux Editions Textuel les manuscrits d’un florilège de vos chansons. A l’époque, je travaillais déjà pour "Le Nouvel Observateur", c’est à ce titre que le service de presse m’avait adressé cette somme. La feuilletant, je constatais que vous orniez vos papiers d’écolier de jolis croquis, ma foi, comme ceux que l’on dessine en rêvassant, en discutant au téléphone. La plupart d’entre nous griffonnons des cœurs, des murs de pierre, des flèches, des oiseaux. On fait des ronds, on fait des carrés. C’est là que je suis tombée sur une croix gammée. Une croix gammée, Renaud, que vous aviez dessinée, distraitement, tout en dialoguant avec vos muses. Une croix gammée que vous rendiez publique ce jour d’octobre 2006. Une larme de Tipex, un coup de Photoshop et elle aurait disparu. Vous avez décidé de la laisser.
Par mail, je vous demandais pourquoi avoir conservé cette tache, cette immondice, sur cet ouvrage signé de votre nom. Dans une réponse (rédigée par vos avocats ?), vous vous défendiez d’être "antisémite". Je ne vous soupçonnais pas de l’être ! En retour, avec cette violence qui vous anime parfois, vous menaciez de me traîner en justice si jamais je commettais l’imprudence de "nuire à votre image". Ah ! votre image ! Comme si j’avais titillé une âme mal à l’aise avec un passé pesant, oppressant, honteux. Un passé qui, s’il ressurgissait publiquement ferait scandale et salirait cette belle image d’anarcho-mitterrandiste, d’humaniste de gauche, d’arbitre intransigeant entre le bien et le mal. Fils et petit-fils de collabo, c’est lourd à porter, je veux bien le croire. Vous l’expliquez d’ailleurs très clairement dans votre autobiographie ("Comme un enfant perdu", XO Editions). Ce passé vous appartient, à vous et à ceux de votre famille qui portent le nom Séchan.
Cette histoire morte-née de la croix gammée, c’était il y a dix ans. Dix ans durant lesquels vous avez sorti des albums qui vous ont valu de ma part des critiques souvent acides. Elles me semblaient justes, justifiées. J’avais déjà constaté - ou considéré- que depuis "Boucan d’enfer" (2002), les muses vous faisaient la misère. "Rouge Sang" (2006) et "Molly Malone – Balade irlandaise" (2009) le confirmaient. Chaque fois qu’un de vos albums sortait, jusqu’au printemps dernier et la parution de "Renaud", j’émettais le souhait de vous interviewer. Chaque fois vous refusiez. Il vous arrivait de m’insulter dans d’autres journaux, j’étais déjà celle qui avait l’audace inouïe de contester la qualité de vos chansons. Celle qui ne marchait pas dans la combine de la promotion à base de : "le Pastis c’est fini", "j’ai replongé", "j’ai arrêté de fumer", "j’ai repris", "ma femme m’a quitté", "j’ai retrouvé l’amour", "mon amour est parti", "le Pastis c’est fini", etc.
J’étais déjà et je reste donc "La connasse de L’Obs". Celle qui ose vous demander "pourquoi cette croix gammée ?", celle qui pense qu’on ne peut pas à la fois vendre son intimité et fustiger les paparazzis qui vous shootent en mode clochard, le regard hagard. Je ne marche pas, c’est vrai.
Votre longue tournée va se poursuivre. Alors, plutôt que de me traiter tous les soirs de "connasse" devant une foule d’avance conquise, une foule éprise, je vous invite à venir me le dire en face que je suis une "connasse". Bien en face, Renaud. Un peu de courage. Venez.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1564224-lettre-ouverte-a-renaud-de-la-part-de-la-connasse-de-l-obs.html?cm_mmc=EMV-_-LEPLUS-_-20161010_NLLEPLUS-_-lettre-ouverte-a-renaud-de-la-part-de-la-connasse-de-l-obs#xtor=EPR-8-[LePlusHebdo]-20161010
Commentaire d'un lecteur : Réponse compassée, prétentieuse, dénuée d'humour et mal écrite (termes usés jusqu'à la corde du dictionnaire journalistique) . Le problème de cette dame c'est que de ses critiques "acides", Renaud n'en avait rien à battre . Les aigles ne dialoguent pas avec les poulets, encore moins s'il s'agit de mauvais poulets .
Commentaire d'un lecteur : Madame,
Hélas, oh grand hélas, vous montrez par votre réponse, que Renaud a raison.
Renaud, depuis le début de sa carrière, a un style bien à lui : argot, insultes, alcool, rock, etc... Des gens, il en a vilipendé beaucoup, et vous ne sortez pas du lot. Si vous jugez le style, alors chaque artiste qui a son propre style devrait vous déplaire.
En revanche, au lieu de laisser passer cet incident, ce qui aurait montré que vous étiez au dessus de ça - et à mon sens, la meilleure réaction à avoir, la plus "intelligente" - non, vous êtes rentrée dans un jeu de cour de récré, à savoir qui sera le plus con : lui ou vous ?
Mais Renaud a une carrière que vous n'aurez peut être jamais, et avec beaucoup de succès. Et un jour, il choisi d'éditer ses textes. Et au lieu de le "juger" sur son oeuvre, vous pointez un "gribouilli", certes qui est ce qu'il est, mais ce n'est qu'un gribouilli.
N'avez-vous jamais gribouillé, vous ? N'avez-vous écrit des articles méchants, durs, ou blessants ? N'avez-vous pas eu des procès ou des ennemis à cause de vos écrits ? La "dédicace" que Renaud vous a faite lors de son concert n'est peut être qu'un juste retour de bâton... Et dans ce cas, avant de faire une lettre ouverte de ce style, remettez-vous d'abord en question.
Vous jugez Renaud sur un détail.
Lui vous juge sur votre capacité à être journaliste, à faire la part des choses, à avoir le recul nécessaire que demande cette fonction.
-----------------------------------------------------------------------------
Les poules vendent des livres Je l’achèterai quand j'aurai des dents.
https://books.google.fr/books?id=W87kAwAAQBAJ&pg=PT73&lpg=PT73&dq=Sophie+Delassein+journaliste+nouvel+obs+moustaki&source=bl&ots=RnqbKGRHXb&sig=Q7U8OCD9O7acDTQWfXTMH7qzqSw&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjl4OjmpNDPAhVHuBoKHQ-6BREQ6AEIPzAI#v=onepage&q=Sophie%20Delassein%20journaliste%20nouvel%20obs%20moustaki&f=false
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je vais peut être créer une asso de visitage de P.M.U, je savais pas moi qu'ils avaient tant de personnes qui n'ont pas accès aux P.M.U. Je veux bien les partager moi je sais et je vis encore là où on trouve plusieurs. J'ai de la chance
Ainsi débuta ma vie de livre ouvert en balade Ben oui comme ça je reste accessible aux personnes qui savent pas écrire et qui font des gribouillis
Ainsi débuta ma vie de livre ouvert en balade Ben oui comme ça je reste accessible aux personnes qui savent pas écrire et qui font des gribouillis
J'ai préféré et je préfère mettre mon "intelligence" !!! au service de ces gens là.
Tu ferais mieux d'utiliser les journaux pour parler des gens qui sont dans la merde, connasse Après on s'étonne que je sois allée me chercher des modèles hommes chez les punks à chiens pour devenir une fille bien
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
(...)
(Mange des chocolats, fillette ;
mange des chocolats !
Dis-toi bien qu’il n’est d’autre métaphysique que les chocolats,
dis-toi bien que les religions toutes ensembles n’en apprennent
pas plus que la confiserie.
Mange, petite malpropre, mange !
Puissé-je manger des chocolats avec une égale authenticité !
Mais je pense, moi, et quand je retire le papier d’argent, qui d’ailleurs est d’étain,
je flanque tout par terre, comme j’y ai flanqué la vie.)
Du moins subsiste-t-il de l’amertume d’un destin irréalisé
la calligraphie rapide de ces vers,
portique délabré sur l’Impossible,
du moins, les yeux secs, me voué-je à moi-même du mépris,
noble, du moins, par le geste large avec lequel je jette dans le mouvant des choses,
sans note de blanchisseuse, le linge sale que je suis
et reste au logis sans chemise.
(...)
(Mange des chocolats, fillette ;
mange des chocolats !
Dis-toi bien qu’il n’est d’autre métaphysique que les chocolats,
dis-toi bien que les religions toutes ensembles n’en apprennent
pas plus que la confiserie.
Mange, petite malpropre, mange !
Puissé-je manger des chocolats avec une égale authenticité !
Mais je pense, moi, et quand je retire le papier d’argent, qui d’ailleurs est d’étain,
je flanque tout par terre, comme j’y ai flanqué la vie.)
Du moins subsiste-t-il de l’amertume d’un destin irréalisé
la calligraphie rapide de ces vers,
portique délabré sur l’Impossible,
du moins, les yeux secs, me voué-je à moi-même du mépris,
noble, du moins, par le geste large avec lequel je jette dans le mouvant des choses,
sans note de blanchisseuse, le linge sale que je suis
et reste au logis sans chemise.
(...)
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
david50 a écrit:(...)
(Mange des chocolats, fillette ;
mange des chocolats !
Dis-toi bien qu’il n’est d’autre métaphysique que les chocolats,
dis-toi bien que les religions toutes ensembles n’en apprennent
pas plus que la confiserie.
Mange, petite malpropre, mange !
Puissé-je manger des chocolats avec une égale authenticité !
Mais je pense, moi, et quand je retire le papier d’argent, qui d’ailleurs est d’étain,
je flanque tout par terre, comme j’y ai flanqué la vie.)
Du moins subsiste-t-il de l’amertume d’un destin irréalisé
la calligraphie rapide de ces vers,
portique délabré sur l’Impossible,
du moins, les yeux secs, me voué-je à moi-même du mépris,
noble, du moins, par le geste large avec lequel je jette dans le mouvant des choses,
sans note de blanchisseuse, le linge sale que je suis
et reste au logis sans chemise.
(...)
http://www.poesie.net/pessoa5.htm
-------------------------------------------------------
http://dormirajamais.org/bureau/
BUREAU DE TABAC, PAR FERNANDO PESSOA.
Je ne suis rien
Jamais je ne serai rien.
Je ne puis vouloir être rien.
Cela dit, je porte en moi tous les rêves du monde.
Fenêtres de ma chambre,
de ma chambre dans la fourmilière humaine unité ignorée
(et si l’on savait ce qu’elle est, que saurait-on de plus ?),
vous donnez sur le mystère d’une rue au va-et-vient continuel,
sur une rue inaccessible à toutes les pensées,
réelle, impossiblement réelle, précise, inconnaissablement précise,
avec le mystère des choses enfoui sous les pierres et les êtres,
avec la mort qui parsème les murs de moisissure et de cheveux blancs les humains,
avec le destin qui conduit la guimbarde de tout sur la route de rien.
Je suis aujourd’hui vaincu, comme si je connaissais la vérité;
lucide aujourd’hui, comme si j’étais à l’article de la mort,
n’ayant plus d’autre fraternité avec les choses
que celle d’un adieu, cette maison et ce côté de la rue
se muant en une file de wagons, avec un départ au sifflet venu du fond de ma tête,
un ébranlement de mes nerfs et un grincement de mes os qui démarrent.
Je suis aujourd’hui perplexe, comme qui a réfléchi, trouvé, puis oublié.
Je suis aujourd’hui partagé entre la loyauté que je dois
au Bureau de Tabac d’en face, en tant que chose extérieurement réelle
et la sensation que tout est songe, en tant que chose réelle vue du dedans.
J’ai tout raté.
Comme j’étais sans ambition, peut-être ce tout n’était-il rien.
Les bons principes qu’on m’a inculqués,
je les ai fuis par la fenêtre de la cour.
Je m’en fus aux champs avec de grands desseins,
mais là je n’ai trouvé qu’herbes et arbres,
et les gens, s’il y en avait, étaient pareils à tout le monde.
Je quitte la fenêtre, je m’assieds sur une chaise. À quoi penser ?
Que sais-je de ce que je serai, moi qui ne sais pas ce que je suis ?
Être ce que je pense ? Mais je crois être tant et tant !
Et il y en a tant qui se croient la même chose qu’il ne saurait y en avoir tant!
Un génie ? En ce moment
cent mille cerveaux se voient en songe génies comme moi-même
et l’histoire n’en retiendra, qui sait ?, même pas un ;
du fumier, voilà tout ce qui restera de tant de conquêtes futures.
Non, je ne crois pas en moi.
Dans tous les asiles il y a tant de fous possédés par tant de certitudes !
Moi, qui n’ai point de certitude , suis-je plus assuré, le suis-je moins ?
Non, même pas de ma personne…
En combien de mansardes et de non-mansardes du monde
n’y a-t-il à cette heure des génies-pour-soi-même rêvant ?
Combien d’aspirations hautes, lucides et nobles –
oui, authentiquement hautes, lucides et nobles –
et, qui sait peut-être réalisables…
qui ne verront jamais la lumière du soleil réel et qui
tomberont dans l’oreille des sourds ?
Le monde est à qui naît pour le conquérir,
et non pour qui rêve, fût-ce à bon droit, qu’il peut le conquérir.
J’ai rêvé plus que jamais Napoléon ne rêva.
Sur mon sein hypothétique j’ai pressé plus d’humanité que le Christ,
j’ai fait en secret des philosophies que nul Kant n’a rédigées,
mais je suis, peut-être à perpétuité, l’individu de la mansarde,
sans pour autant y avoir mon domicile :
je serai toujours celui qui n’était pas né pour ça ;
je serai toujours, sans plus, celui qui avait des dons ;
je serai toujours celui qui attendait qu’on lui ouvrît la porte
auprès d’un mur sans porte
et qui chanta la romance de l’Infini dans une basse-cour,
celui qui entendit la voix de Dieu dans un puits obstrué.
Croire en moi ? Pas plus qu’en rien…
Que la Nature déverse sur ma tête ardente
son soleil, sa pluie, le vent qui frôle mes cheveux ;
quant au reste, advienne que pourra, ou rien du tout…
Esclaves cardiaques des étoiles,
nous avons conquis l’univers avant de quitter nos draps,
mais nous nous éveillons et voilà qu’il est opaque,
nous nous éveillons et voici qu’il est étranger,
nous franchissons notre seuil et voici qu’il est la terre entière,
plus le système solaire et la Voie lactée et le Vague Illimité.
(Mange des chocolats, fillette ;
mange des chocolats !
Dis-toi bien qu’il n’est d’autre métaphysique que les chocolats,
dis-toi bien que les religions toutes ensembles n’en apprennent
pas plus que la confiserie.
Mange, petite malpropre, mange !
Puissé-je manger des chocolats avec une égale authenticité !
Mais je pense, moi, et quand je retire le papier d’argent, qui d’ailleurs est d’étain,
je flanque tout par terre, comme j’y ai flanqué la vie.)
Du moins subsiste-t-il de l’amertume d’un destin irréalisé
la calligraphie rapide de ces vers,
portique délabré sur l’Impossible,
du moins, les yeux secs, me voué-je à moi-même du mépris,
noble, du moins, par le geste large avec lequel je jette dans le mouvant des choses,
sans note de blanchisseuse, le linge sale que je suis
et reste au logis sans chemise.
(Toi qui consoles, qui n’existes pas et par là même consoles,
ou déesse grecque, conçue comme une statue douée du souffle,
ou patricienne romaine, noble et néfaste infiniment,
ou princesse de troubadours, très- gente et de couleurs ornée,
ou marquise du dix-huitième, lointaine et fort décolletée,
ou cocotte célèbre du temps de nos pères,
ou je ne sais quoi de moderne – non, je ne vois pas très bien quoi –
que tout cela, quoi que ce soit, et que tu sois, m’inspire s’il se peut !
Mon coeur est un seau qu’on a vidé.
Tels ceux qui invoquent les esprits je m’invoque
moi-même sans rien trouver.
Je viens à la fenêtre et vois la rue avec une absolue netteté.
Je vois les magasins et les trottoirs, et les voitures qui passent.
Je vois les êtres vivants et vêtus qui se croisent,
je vois les chiens qui existent eux aussi,
et tout cela me pèse comme une sentence de déportation,
et tout cela est étranger, comme toute chose. )
J’ai vécu, aimé – que dis-je ? j’ai eu la foi,
et aujourd’hui il n’est de mendiant que je n’envie pour le seul fait qu’il n’est pas moi.
En chacun je regarde la guenille, les plaies et le mensonge
et je pense : « peut-être n’as-tu jamais vécu ni étudié, ni aimé, ni eu la foi »
(parce qu’il est possible d’agencer la réalité de tout cela sans en rien exécuter) ;
« peut-être as-tu à peine existé, comme un lézard auquel on a coupé la queue,
et la queue séparée du lézard frétille encore frénétiquement ».
J’ai fait de moi ce que je n’aurais su faire,
et ce que de moi je pouvais faire je ne l’ai pas fait.
Le domino que j’ai mis n’était pas le bon.
On me connut vite pour qui je n’étais pas, et je n’ai pas démenti et j’ai perdu la face.
Quand j’ai voulu ôter le masque
je l’avais collé au visage.
Quand je l’ai ôté et me suis vu dans le miroir,
J’avais déjà vieilli.
J’étais ivre, je ne savais plus remettre le masque que je n’avais pas ôté.
Je jetai le masque et dormis au vestiaire
comme un chien toléré par la direction
parce qu’il est inoffensif –
et je vais écrire cette histoire afin de prouver que je suis sublime.
Essence musicale de mes vers inutiles,
qui me donnera de te trouver comme chose par moi créée,
sans rester éternellement face au Bureau de Tabac d’en face,
foulant aux pieds la conscience d’exister,
comme un tapis où s’empêtre un ivrogne,
comme un paillasson que les romanichels ont volé et qui ne valait pas deux sous.
Mais le patron du Bureau de Tabac est arrivé à la porte, et à la porte il s’est arrêté.
Je le regarde avec le malaise d’un demi-torticolis
et avec le malaise d’une âme brumeuse à demi.
Il mourra, et je mourrai.
Il laissera son enseigne, et moi des vers.
À un moment donné mourra aussi l’enseigne, et
mourront aussi les vers de leur côté.
Après un certain temps mourra la rue où était l’enseigne,
ainsi que la langue dans laquelle les vers furent écrits.
Puis mourra la planète tournante où tout cela s’est produit.
En d’autres satellites d’autres systèmes cosmiques, quelque chose
de semblable à des humains
continuera à faire des genres de vers et à vivre derrière des manières d’enseignes,
toujours une chose en face d’une autre,
toujours une chose aussi inutile qu’une autre,
toujours une chose aussi stupide que le réel,
toujours le mystère au fond aussi certain que le sommeil du mystère de la surface,
toujours cela ou autre chose, ou bien ni une chose ni l’autre.
Mais un homme est entré au Bureau de Tabac (pour acheter du tabac ?)
et la réalité plausible s’abat sur moi soudainement.
Je me soulève à demi, énergique, convaincu, humain,
et je vais méditer d’écrire ces vers où je dis le contraire.
J’allume une cigarette en méditant de les écrire
et je savoure dans la cigarette une libération de toutes les pensées.
Je suis la fumée comme un itinéraire autonome, et je goûte, en un moment sensible et compétent,
la libération en moi de tout le spéculatif
et la conscience de ce que la métaphysique est l’effet d’un malaise passager.
Ensuite je me renverse sur ma chaise
et je continue à fumer
Tant que le destin me l’accordera je continuerai à fumer.
(Si j’épousais la fille de ma blanchisseuse,
peut-être que je serais heureux.)
Là-dessus je me lève. Je vais à la fenêtre.
L’homme est sorti du bureau de tabac (n’a-t-il pas mis la
monnaie dans la poche de son pantalon?)
Ah, je le connais: c’est Estève, Estève sans métaphysique.
(Le patron du bureau de tabac est arrivé sur le seuil.)
Comme mû par un instinct sublime, Estève s’est retourné et il m’a vu.
Il m’a salué de la main, je lui ai crié: « Salut Estève ! », et l’univers
s’est reconstruit pour moi sans idéal ni espérance, et le
patron du Bureau de Tabac a souri.
Álvaro de Campos, 15 janvier 1928.
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J'étais sûre que tu étais déjà allé dans un P.M.U. mais alors un top, un qui fait tabac, quel talent
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Après quoi tu cours ?
Questions à Jean-François Dortier
Questions à Jean-François Dortier
Mis à jour le 10/10/2016
Je cours, tu cours, il court, elle court… Des joggeurs débutants aux mordus de l’ultra-trail du Mont-Blanc, des dizaines de millions de gens se sont mis à courir depuis une génération. La course à pied est devenue un véritable phénomène de société. Mais après quoi court-on ? C’est la question que pose Jean-François Dortier dans son dernier livre, Après quoi tu cours ? Enquête sur la nature humaine (éditions Sciences Humaines).
En moins de trois décennies, le running est devenu un phénomène planétaire. Comme moi, des millions d’hommes, de femmes, des jeunes et de beaucoup plus vieux, courent. À New York, à Berlin, à Osaka, les coureurs sont là : dans les squares, au bord des rivières. Les Anglo-Saxons parlent de « running boom » pour décrire de mouvement qui a débuté dans les années 1970 et s’est propagé ensuite comme une véritable épidémie. Pourquoi ?
Pour répondre à cette question, j’ai mené l’enquête, en interrogeant des coureurs, en réfléchissant à mes propres motivations et, bien sûr, en recueillant de nombreuses données historiques, anthropologiques, sociologiques et psychologiques. Et cette question apparemment simple (« pourquoi tant de gens courent ? ») m’a conduit à réfléchir en profondeur sur les motivations et influences qui poussent les humains à agir.
Quand on interroge les coureurs les réponses sont très diverses : certains évoquent le plaisir, le besoin de se défouler, la santé, etc. La plupart avouent avoir du mal à expliquer leur motivation. « C’est mon karma », m’a dit un ultra-marathonien pour tenter de justifier de participer à des épreuves aussi extrêmes que le Marathon des Sables (250 kilomètres de course dans le désert !). Derrière les réponses souvent stéréotypées, j’ai essayé de retrouver des aspirations fondamentales. Par exemple, qu’est-ce qui se cache derrière le « plaisir » évoqué par certains (alors que la course demande beaucoup d’efforts et de peine). La notion de plaisir recouvre parfois la simple griserie éprouvée par les novices qui, après quelques séances d’entraînement, reprennent possession de leur corps mais aussi le « flow » (le flot de sensations) que connaissent les coureurs plus assidus. J’essaie d’expliquer les dimensions existentielles et neurobiologiques de cette expérience. Parmi les plaisirs de la course, il ne faut pas oublier les gratifications morales (la fierté de réaliser des petits exploits personnels), celles liées à la sociabilité (pour ceux qui courent en compagnie). Ainsi, l’analyse de ces différentes motivations exige une investigation dans les (très) nombreuses théories psychologiques de la motivation.
Outre le plaisir, j’ai exploré d’autres motivations fondamentales telles que le « goût du défi », le « besoin d’accomplissement » ou encore de « réalisation de soi » qu’Abraham Maslow plaçait au sommet de sa « pyramide des besoins humains ». Au passage, j’ai découvert qu’A. Maslow était mort d’un arrêt cardiaque en faisant son jogging !
La pratique d’un sport qui apparaît aujourd’hui comme une norme sociale, était un phénomène déviant, transgressif, au début des années 1970, quand a commencé le running boom. Les premiers « free runners » (qui ont quitté des stades pour organiser des courses sur route) étaient montrés du doigt. Ce n’était pas bien vu pour un homme d’aller courir en short dans les parcs, et encore moins pour les femmes. La course ne s’est banalisée qu’au fil du temps. La norme actuelle est donc plus un effet qu’une cause explicative.
Pour comprendre comment la pratique de la course à pied s’est répandue, il faut tenir compte de mécanismes d’influence plus souterrains : le souci du regard d’autrui (quand on se met à courir pour perdre du poids et donc chercher à plaire), la sociabilité ordinaire entre coureurs (faite de chaleur humaine non dépourvue du petit aiguillon de la rivalité) ou encore les expériences collectives extraordinaires que sont les courses d’ultrafond, qui jouent un rôle important dans la « radicalisation » de certains coureurs (pour qui la course devient une véritable passion).
Oui, la course peut devenir pour certains « la plus importante des choses secondaires », comme l’a dit Noël Tamini (fondateur de la mythique revue Spiridon). L’explication du phénomène fait appel à plusieurs facettes de l’humaine condition, mêlant la biologie et l’imaginaire. L’être humain n’est peut-être pas « né pour courir », comme l’affirme une théorie évolutionniste très à la mode, mais en revanche le besoin d’exercice physique est fortement ancré dans notre condition animale : notre corps n’est pas fait pour rester immobile et souffre du mode de vie actuel qui contraint à l’immobilité. L’imaginaire tient aussi un rôle essentiel : la course à pied offre la possibilité, le temps d’une séance, de quitter le monde vie ordinaire et la pression du travail ou de la vie familiale, pour s’évader en pensée. En courant, la machine à rêve qu’est l’imagination humaine se met en route et offre ainsi le plaisir du vagabondage mental. La course permet de s’aérer l’esprit. Elle aide aussi à penser : ce livre, je l’ai écrit aussi en courant !
http://www.scienceshumaines.com/apres-quoi-tu-cours-questions-a-jean-francois-dortier_fr_36905.html
Comment vous êtes-vous intéressé au phénomène de la course à pied ?
En moins de trois décennies, le running est devenu un phénomène planétaire. Comme moi, des millions d’hommes, de femmes, des jeunes et de beaucoup plus vieux, courent. À New York, à Berlin, à Osaka, les coureurs sont là : dans les squares, au bord des rivières. Les Anglo-Saxons parlent de « running boom » pour décrire de mouvement qui a débuté dans les années 1970 et s’est propagé ensuite comme une véritable épidémie. Pourquoi ?
Pour répondre à cette question, j’ai mené l’enquête, en interrogeant des coureurs, en réfléchissant à mes propres motivations et, bien sûr, en recueillant de nombreuses données historiques, anthropologiques, sociologiques et psychologiques. Et cette question apparemment simple (« pourquoi tant de gens courent ? ») m’a conduit à réfléchir en profondeur sur les motivations et influences qui poussent les humains à agir.
Quelles sont les motivations des coureurs ?
Quand on interroge les coureurs les réponses sont très diverses : certains évoquent le plaisir, le besoin de se défouler, la santé, etc. La plupart avouent avoir du mal à expliquer leur motivation. « C’est mon karma », m’a dit un ultra-marathonien pour tenter de justifier de participer à des épreuves aussi extrêmes que le Marathon des Sables (250 kilomètres de course dans le désert !). Derrière les réponses souvent stéréotypées, j’ai essayé de retrouver des aspirations fondamentales. Par exemple, qu’est-ce qui se cache derrière le « plaisir » évoqué par certains (alors que la course demande beaucoup d’efforts et de peine). La notion de plaisir recouvre parfois la simple griserie éprouvée par les novices qui, après quelques séances d’entraînement, reprennent possession de leur corps mais aussi le « flow » (le flot de sensations) que connaissent les coureurs plus assidus. J’essaie d’expliquer les dimensions existentielles et neurobiologiques de cette expérience. Parmi les plaisirs de la course, il ne faut pas oublier les gratifications morales (la fierté de réaliser des petits exploits personnels), celles liées à la sociabilité (pour ceux qui courent en compagnie). Ainsi, l’analyse de ces différentes motivations exige une investigation dans les (très) nombreuses théories psychologiques de la motivation.
Outre le plaisir, j’ai exploré d’autres motivations fondamentales telles que le « goût du défi », le « besoin d’accomplissement » ou encore de « réalisation de soi » qu’Abraham Maslow plaçait au sommet de sa « pyramide des besoins humains ». Au passage, j’ai découvert qu’A. Maslow était mort d’un arrêt cardiaque en faisant son jogging !
Le running n’est-il pas aussi conditionné par les normes sociales : l’injonction au bien-être, être en bonne santé ?
La pratique d’un sport qui apparaît aujourd’hui comme une norme sociale, était un phénomène déviant, transgressif, au début des années 1970, quand a commencé le running boom. Les premiers « free runners » (qui ont quitté des stades pour organiser des courses sur route) étaient montrés du doigt. Ce n’était pas bien vu pour un homme d’aller courir en short dans les parcs, et encore moins pour les femmes. La course ne s’est banalisée qu’au fil du temps. La norme actuelle est donc plus un effet qu’une cause explicative.
Pour comprendre comment la pratique de la course à pied s’est répandue, il faut tenir compte de mécanismes d’influence plus souterrains : le souci du regard d’autrui (quand on se met à courir pour perdre du poids et donc chercher à plaire), la sociabilité ordinaire entre coureurs (faite de chaleur humaine non dépourvue du petit aiguillon de la rivalité) ou encore les expériences collectives extraordinaires que sont les courses d’ultrafond, qui jouent un rôle important dans la « radicalisation » de certains coureurs (pour qui la course devient une véritable passion).
Votre titre Après quoi tu cours ? renvoie à une question plus fondamentale sur le sens que les gens donnent à leur vie.
Oui, la course peut devenir pour certains « la plus importante des choses secondaires », comme l’a dit Noël Tamini (fondateur de la mythique revue Spiridon). L’explication du phénomène fait appel à plusieurs facettes de l’humaine condition, mêlant la biologie et l’imaginaire. L’être humain n’est peut-être pas « né pour courir », comme l’affirme une théorie évolutionniste très à la mode, mais en revanche le besoin d’exercice physique est fortement ancré dans notre condition animale : notre corps n’est pas fait pour rester immobile et souffre du mode de vie actuel qui contraint à l’immobilité. L’imaginaire tient aussi un rôle essentiel : la course à pied offre la possibilité, le temps d’une séance, de quitter le monde vie ordinaire et la pression du travail ou de la vie familiale, pour s’évader en pensée. En courant, la machine à rêve qu’est l’imagination humaine se met en route et offre ainsi le plaisir du vagabondage mental. La course permet de s’aérer l’esprit. Elle aide aussi à penser : ce livre, je l’ai écrit aussi en courant !
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Je marche. Je vais me demander à quel point et dans quelles mesures ce forum m'a peut être évité de perdre mon salaire ??? (le truc qui paye mon loyer de l'endroit où je dors et vis Parce que faire une découverte c'est bien mais y'avait tout le reste, et c'est de tout le reste dont j'avais besoin Je sais j'ai un coté très con cret
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
https://www.lepsychologue.be/articles/personnalite-du-manipulateur.php
...
Tout cela est un calcul pour amorcer sa relation d'emprise sur l'autre. Ensuite, l'autre doit se conformer à tout ce qu'il veut et pense sans quoi il est dévalorisé, culpabilisé, menacé, ... Il se croit parfait et ne se remet pas en question, par contre il stigmatise l'autre pour ses imperfections en jouant sur ses valeurs morales. Il est en quête perpétuelle d'admiration, de reconnaissance, mais ne sait pas aimer, car il ne reconnaît pas l'autre dans sa différence..../....
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Tout cela est un calcul pour amorcer sa relation d'emprise sur l'autre. Ensuite, l'autre doit se conformer à tout ce qu'il veut et pense sans quoi il est dévalorisé, culpabilisé, menacé, ... Il se croit parfait et ne se remet pas en question, par contre il stigmatise l'autre pour ses imperfections en jouant sur ses valeurs morales. Il est en quête perpétuelle d'admiration, de reconnaissance, mais ne sait pas aimer, car il ne reconnaît pas l'autre dans sa différence..../....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Vous les hommes êtes tous les mêmes
Macho mais cheap
Bande de mauviettes infidèles
Si prévisibles, non je ne suis pas certaine, que tu m'mérites
Z'avez d'la chance qu'on vous aime
Dis-moi "Merci"
[Refrain]
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
[Couplet 2]
Cette fois c'était la dernière
Tu peux croire que c'est qu'une crise
Matte une dernière fois mon derrière, il est à côté de mes valises
Tu diras au revoir à ta mère, elle qui t'idéalise
Tu n'vois même pas tout c'que tu perds
Avec une autre ce serait pire
Quoi toi aussi tu veux finir maintenant ?
C’est l'monde à l'envers !
Moi je l'disais pour t'faire réagir seulement... toi t'y pensais
[Refrain]
[Couplet 3]
Facile à dire, je suis gnangnan
Et que j'aime trop les bla bla bla
Mais non non non, c'est important
Ce que t'appelles les ragnagnas
Tu sais la vie c'est des enfants
Mais comme toujours c'est pas l'bon moment
Ah oui pour les faire là tu es présent
Mais pour les élever y'aura qu'des absents
[Pont]
Lorsque je n'serais plus belle
Ou du moins au naturel
Arrête je sais que tu mens
Il n'y a que Kate Moss qui est éternelle
Moche ou bête, c'est jamais bon !
Bête ou belle, c'est jamais bon !
Belle ou moi, c'est jamais bon !
Moi ou elle, c'est jamais bon !
[Refrain]
[Outro]
Tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et y'en a marre (x3)
Tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes
Paroles de Ta FêteIl est l'heure.
Fini l'heure de danser.
Danse , t'inquiète pas tu vas danser.
Balance toi , mais tu vas te faire balancer.
Défonce toi , mais tu vas te faire défoncer.
Tu aimerais faire , ta fête.
Ta mère veux te la faire aussi, ta fête.
Le juge voudrait te faire , ta fête.
Tout le monde te feras aussi, ta fête.
Tu sort trop , du moins c'est ce qu'ils disent.
Ils parlent trop, c'est pourquoi tes oreilles sifflent.
A qui la faute, c'est la faute à autrui hein.
C'est les autres, toi tu n'a qu'une seul envie.
Tu aimerais faire , ta fête.
Ta mère veux te la faire aussi, ta fête.
Le juge voudrait te faire , ta fête.
Tout le monde te feras aussi, ta fête.
Tu aimerais faire , ta fête.
Ta mère veux te la faire aussi, ta fête.
Le juge voudrait te faire , ta fête.
Tout le monde te feras aussi, ta fête.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
♪ Quelle histoire ♪
On m'a raconté une incroyable histoire
Au point qu'elle en est difficile à croire
Je la tiens d'un copain qui l'avait entendue du frère de
son voisin
Ou le contraire je sais plus
À moins que se ne soit le frère de son cousin
Ou le voisin du voisin qui habite un peu plus loin
Quoi qu'il en soit, ils sont tous dignes de foi
C'est une histoire vraie, tu me crois et puis voila
Peu importe les cousins, les copains et les voisins
Ce qui compte c'est l'histoire, pas de qui je la tiens
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x2]
C'est une histoire vraie, véridique de surcroit
Qui inventerait une histoire comme celle-là
Pas le frère du voisin, encore moins son copain
Ni le cousin du cousin mais lui c'est vrai que je le connais
moins
C'est une histoire vraie mais ça tu l'sais déjà
Elle a l'air incroyable, non, elle l'est pas
Je trouve assez descend que tu doutes de moi
Puisque c'est comme ça, je me tais et puis voila
Et bien cette histoire qui donc est vraie
Je peux pas la raconter parce que c'est un secret
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x2]
J'peux pas la répéter, désolé
Je l'ai juré à mon copain sur la tête de son frangin
Ou sur la tête du voisin je l'ai juré au cousin je sais
plus trop bien
Mais je suis certain de l'avoir juré à quelqu'un
Enfin je crois du moins
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x5]
On m'a raconté une incroyable histoire
Au point qu'elle en est difficile à croire
Je la tiens d'un copain qui l'avait entendue du frère de
son voisin
Ou le contraire je sais plus
À moins que se ne soit le frère de son cousin
Ou le voisin du voisin qui habite un peu plus loin
Quoi qu'il en soit, ils sont tous dignes de foi
C'est une histoire vraie, tu me crois et puis voila
Peu importe les cousins, les copains et les voisins
Ce qui compte c'est l'histoire, pas de qui je la tiens
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x2]
C'est une histoire vraie, véridique de surcroit
Qui inventerait une histoire comme celle-là
Pas le frère du voisin, encore moins son copain
Ni le cousin du cousin mais lui c'est vrai que je le connais
moins
C'est une histoire vraie mais ça tu l'sais déjà
Elle a l'air incroyable, non, elle l'est pas
Je trouve assez descend que tu doutes de moi
Puisque c'est comme ça, je me tais et puis voila
Et bien cette histoire qui donc est vraie
Je peux pas la raconter parce que c'est un secret
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x2]
J'peux pas la répéter, désolé
Je l'ai juré à mon copain sur la tête de son frangin
Ou sur la tête du voisin je l'ai juré au cousin je sais
plus trop bien
Mais je suis certain de l'avoir juré à quelqu'un
Enfin je crois du moins
Quelle histoire! Quelle drôle d'histoire! [x5]
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://madame.lefigaro.fr/societe/une-hotesse-accusee-davoir-eu-des-relations-a-bord-dun-avion-141016-117316
s'envoyer en l'air ou pas telle sera ma question philo scientifique du jour
s'envoyer en l'air ou pas telle sera ma question philo scientifique du jour
l'inconvénient quand tu prends de l'age et de la bouteille, c'est que les jeunes viennent te poser des questions et hélas pas que sur capitaine flam , et j'ai plutôt intérêt à être au taquet pour avoir de suite les bonnes réponses sur tous les sujets, surtout sur les cas graves ou dans des situations d'urgence qui mettraient en péril leur vie
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Bonne journée, ça fait du bien de voir des personnes qui font pour les autres et il est vivement conseillé de se rapprocher de personnes au mental bien structuré quand on croise des personnes qui creusent dans le glauque et le malsain
AMen toi j'ai des mikados
AMen toi j'ai des mikados
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Comment l’énergie négative affecte votre vie et comment s’en débarrasser ?
Vous savez que qui se ressemble s’assemble, non?
Donc voilà comment ça marche: les gens positifs sont attirés par l’énergie positive; les gens négatifs sont attirés par l’énergie négative. Nous avons tendance à la percevoir comme quelque chose que les autres ont. Bien sûr, parfois nous sommes négatifs : comme «partez et laissez-moi tranquille! » Mais saviez-vous que la négativité peut être tellement ancrée en vous qu’elle passe inaperçue?
C’est parce que la négativité porte parfois un déguisement appelé «réalité». Il est facile de se persuader qu’on est «juste réaliste» et qu’on n’agit qu’ en fonction d’un rêve, et on y croit! Vous pouvez en déduire que les personnes positives ne sont pas réalistes, qu’elles sont naïves, têtues et qu’elles se voilent la face, et qu’elles prennent la difficulté à la légère et ainsi de suite. Mais ces gens sont-ils vraiment des imbéciles heureux ou y-a-t-il quelque chose en rapport avec leur attitude positive?Prenez cela en considération: depuis quand le fait d’être « réaliste » signifie que les choses iront forcément mal et que vous devez accepter cela comme étant la vérité ? Lorsque vous observez le monde d’un point de vue « réaliste », vous ne pouvez pas vous empêcher d’être négatif si votre version de la réalité est négative. Si votre version de la réalité est négative, vous êtes programmé pour croire que tout ce qui peut aller mal, ira mal et tout ce qui peut aller bien, ira aussi probablement mal.
Inconsciemment vous possédez des croyances qui font de vous une personne négative sans vous en rendre compte !
Donc, si cette négativité est tellement ancrée en vous que vous ne le remarquez pas, comment déterminez-vous si vous êtes coincé dans un nuage d’ énergie négative qui attire les mauvaises personnes, les problèmes et les mauvais sentiments? Et comment pouvez-vous être sûr que vous ne perpétuez pas cette négativité?
-Vous plaignez-vous? Tout le temps ou juste parfois?
Parlez-vous plus souvent de ce qui ne va pas dans le monde que ce qui va?
Cela inclut le temps «terrible», le trafic «horrible», le gouvernement «stupide», l’économie «minable», la belle-famille « stupide », etc
Est-ce que vous critiquez?
Tout le temps ou juste certaines personnes? – Êtes-vous attiré par les drames et les catastrophes (pouvez-vous vous décoller de la TV quand il y a une nouvelle histoire de nouvelles de catastrophe et pouvez-vous éviter de vous impliquer dans la vie des célébrités qui ont de problèmes dysfonctionnelles?) Est-ce que vous blâmez ?
Tout le temps ou juste certaines situations? Croyez-vous que vous n’avez aucun contrôle sur la plupart de vos résultats?
– Vous sentez-vous comme une victime? Parlez-vous de gens qui font des choses pour vous?
Êtes-vous reconnaissant pour ce qui est ou serez-vous reconnaissant quand les choses commenceront enfin à aller bien pour vous? Vous sentez-vous comme les choses qui se passent pour vous? Ou pensez-vous qu’elles se produisent à travers vous?
Ces deux derniers points sont importants: Si vous n’êtes pas reconnaissant sauf lorsque les choses vont bien, vous êtes négatif. La reconnaissance est quelque chose de positif. Si vous êtes reconnaissant pour ce qui est (y compris l’école désagréable des leçons de vie, alors vous pouvez inviter de plus en plus d’énergie positive dans votre vie. Croire que les choses viennent toutes seules vers vous, ça vous met dans une position de victime, et vu que ça vous arrange de laisser tomber ‘cette force’ alors il devient plus facile d’être négatif.
Alors pensez à cette alternative: qui ou quoi est à blâmer lorsque de bonnes choses vous arrivent?
Est-ce que vous reconnaissez que vous êtes responsable des bonnes choses , comme lorsque vous avez travaillé dur, vous l’avez mérité, etc … mais blâmez les événements externes ou d’autres personnes pour vos échecs?
Alors, comment ça se fait, que lorsque de bonnes choses se produisent, c’est le résultat de vos efforts, mais lorsque les choses tournent mal, ce n‘est pas de votre faute? Personne n’aime entendre cela. Il faut du courage pour accepter que c’est vous qui créez votre propre expérience sur terre!
Pour l’effacer et augmenter votre vibration, vous aurez besoin de réapprendre à choisir une attitude positive. Voici une autre idée intéressante à prendre en compte: avez-vous remarqué que les gens positifs semblent obtenir ce qu’ils veulent de la vie, et même si les choses ne se passent pas comme ils veulent, ils continuent quand même à profiter de la vie … alors que les gens négatifs se lamentent et se plaignent de leurs malheurs et même des bonnes choses dans leur vie? Pour effacer cette mauvaise énergie, essayez ce processus en 3 étapes:
1. Prenez les choses en main « Tant que vous vous pensez que tout est la faute des autres, vous souffrez. Quand vous réalisez que tout prend naissance en vous, vous pouvez alors cheminer vers la paix et la joie. » Le Dalaï Lama
2. Remplacez les pensées négatives par des pensées positives. Cela demande de l’entraînement, du dévouement et de prendre la décision de voir le monde à travers les yeux de «ce qui peut bien se passer » au lieu de « ce qui peut mal se passer. » Vous devrez vous rattraper quand vous parlerez de négativité, et devrez changez immédiatement de discours.
3. Afin d’amener plus d’amour et d’illumination dans votre vie, imaginez la positivité au lieu de rester bloqué dans la négativité, surmontez le conditionnement du passé, pensez intuitivement avec votre âme au lieu de la «réalité», créez une nouvelle réalité désirée dans votre imagination et manifestez la dans le monde extérieur. Personne ne veut que cette mauvaise énergie s’imprègne dans leur vie, mais de nombreuses personnes la tolèrent. Mais nous la tolérons inconsciemment, sur la base de conditionnement du passé qui suggère un résultat inévitable de certaines situations.
Lorsque vous aurez surmonté ce conditionnement et que vous aurez réalisé que l’avenir n’est pas gravé dans la pierre, mais que vous avez plus de contrôle sur votre situation que vous ne le croyez, vous pourrez alors commencer à concevoir consciemment votre vie. Qu’est-ce qui va se passer ensuite? Votre énergie positive attirera magnétiquement ce que vous considérerez comme bon et juste pour vous: les gens, les situations, les choses … et vous remarquerez une énorme, énorme augmentation de votre bonheur et paix intérieure. Pourquoi ne pas choisir l’énergie positive? Faites quelques changements autour de vous, et vous verrez rapidement des changements positifs dans votre vie. Profitez du bien-être et de son abondance!
Après Comment l’ énergie négative affecte votre vie et comment s’en débarrasser ? voir aussi :
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/comment-lenergie-negative-affecte-vie-comment-sen-debarrasser.htmlC’est parce que la négativité porte parfois un déguisement appelé «réalité». Il est facile de se persuader qu’on est «juste réaliste» et qu’on n’agit qu’ en fonction d’un rêve, et on y croit! Vous pouvez en déduire que les personnes positives ne sont pas réalistes, qu’elles sont naïves, têtues et qu’elles se voilent la face, et qu’elles prennent la difficulté à la légère et ainsi de suite. Mais ces gens sont-ils vraiment des imbéciles heureux ou y-a-t-il quelque chose en rapport avec leur attitude positive?Prenez cela en considération: depuis quand le fait d’être « réaliste » signifie que les choses iront forcément mal et que vous devez accepter cela comme étant la vérité ? Lorsque vous observez le monde d’un point de vue « réaliste », vous ne pouvez pas vous empêcher d’être négatif si votre version de la réalité est négative. Si votre version de la réalité est négative, vous êtes programmé pour croire que tout ce qui peut aller mal, ira mal et tout ce qui peut aller bien, ira aussi probablement mal.
Inconsciemment vous possédez des croyances qui font de vous une personne négative sans vous en rendre compte !
Donc, si cette négativité est tellement ancrée en vous que vous ne le remarquez pas, comment déterminez-vous si vous êtes coincé dans un nuage d’ énergie négative qui attire les mauvaises personnes, les problèmes et les mauvais sentiments? Et comment pouvez-vous être sûr que vous ne perpétuez pas cette négativité?
Voici un petit questionnaire pour évaluer le niveau d’énergie négative en vous:
-Vous plaignez-vous? Tout le temps ou juste parfois?
Parlez-vous plus souvent de ce qui ne va pas dans le monde que ce qui va?
Cela inclut le temps «terrible», le trafic «horrible», le gouvernement «stupide», l’économie «minable», la belle-famille « stupide », etc
Est-ce que vous critiquez?
Tout le temps ou juste certaines personnes? – Êtes-vous attiré par les drames et les catastrophes (pouvez-vous vous décoller de la TV quand il y a une nouvelle histoire de nouvelles de catastrophe et pouvez-vous éviter de vous impliquer dans la vie des célébrités qui ont de problèmes dysfonctionnelles?) Est-ce que vous blâmez ?
Tout le temps ou juste certaines situations? Croyez-vous que vous n’avez aucun contrôle sur la plupart de vos résultats?
– Vous sentez-vous comme une victime? Parlez-vous de gens qui font des choses pour vous?
Êtes-vous reconnaissant pour ce qui est ou serez-vous reconnaissant quand les choses commenceront enfin à aller bien pour vous? Vous sentez-vous comme les choses qui se passent pour vous? Ou pensez-vous qu’elles se produisent à travers vous?
Ces deux derniers points sont importants: Si vous n’êtes pas reconnaissant sauf lorsque les choses vont bien, vous êtes négatif. La reconnaissance est quelque chose de positif. Si vous êtes reconnaissant pour ce qui est (y compris l’école désagréable des leçons de vie, alors vous pouvez inviter de plus en plus d’énergie positive dans votre vie. Croire que les choses viennent toutes seules vers vous, ça vous met dans une position de victime, et vu que ça vous arrange de laisser tomber ‘cette force’ alors il devient plus facile d’être négatif.
Alors pensez à cette alternative: qui ou quoi est à blâmer lorsque de bonnes choses vous arrivent?
Est-ce que vous reconnaissez que vous êtes responsable des bonnes choses , comme lorsque vous avez travaillé dur, vous l’avez mérité, etc … mais blâmez les événements externes ou d’autres personnes pour vos échecs?
Alors, comment ça se fait, que lorsque de bonnes choses se produisent, c’est le résultat de vos efforts, mais lorsque les choses tournent mal, ce n‘est pas de votre faute? Personne n’aime entendre cela. Il faut du courage pour accepter que c’est vous qui créez votre propre expérience sur terre!
Si vous avez répondu oui à l’une des questions ci-dessus, vous avez de l’énergie négative à un certain degré!
Pour l’effacer et augmenter votre vibration, vous aurez besoin de réapprendre à choisir une attitude positive. Voici une autre idée intéressante à prendre en compte: avez-vous remarqué que les gens positifs semblent obtenir ce qu’ils veulent de la vie, et même si les choses ne se passent pas comme ils veulent, ils continuent quand même à profiter de la vie … alors que les gens négatifs se lamentent et se plaignent de leurs malheurs et même des bonnes choses dans leur vie? Pour effacer cette mauvaise énergie, essayez ce processus en 3 étapes:
1. Prenez les choses en main « Tant que vous vous pensez que tout est la faute des autres, vous souffrez. Quand vous réalisez que tout prend naissance en vous, vous pouvez alors cheminer vers la paix et la joie. » Le Dalaï Lama
2. Remplacez les pensées négatives par des pensées positives. Cela demande de l’entraînement, du dévouement et de prendre la décision de voir le monde à travers les yeux de «ce qui peut bien se passer » au lieu de « ce qui peut mal se passer. » Vous devrez vous rattraper quand vous parlerez de négativité, et devrez changez immédiatement de discours.
3. Afin d’amener plus d’amour et d’illumination dans votre vie, imaginez la positivité au lieu de rester bloqué dans la négativité, surmontez le conditionnement du passé, pensez intuitivement avec votre âme au lieu de la «réalité», créez une nouvelle réalité désirée dans votre imagination et manifestez la dans le monde extérieur. Personne ne veut que cette mauvaise énergie s’imprègne dans leur vie, mais de nombreuses personnes la tolèrent. Mais nous la tolérons inconsciemment, sur la base de conditionnement du passé qui suggère un résultat inévitable de certaines situations.
Lorsque vous aurez surmonté ce conditionnement et que vous aurez réalisé que l’avenir n’est pas gravé dans la pierre, mais que vous avez plus de contrôle sur votre situation que vous ne le croyez, vous pourrez alors commencer à concevoir consciemment votre vie. Qu’est-ce qui va se passer ensuite? Votre énergie positive attirera magnétiquement ce que vous considérerez comme bon et juste pour vous: les gens, les situations, les choses … et vous remarquerez une énorme, énorme augmentation de votre bonheur et paix intérieure. Pourquoi ne pas choisir l’énergie positive? Faites quelques changements autour de vous, et vous verrez rapidement des changements positifs dans votre vie. Profitez du bien-être et de son abondance!
Après Comment l’ énergie négative affecte votre vie et comment s’en débarrasser ? voir aussi :
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/mujer-narcisista-mir%C3%A1ndose-al-espejo.jpg
Le narcissisme, ou l’erreur de se croire trop important
Probablement savons-nous tous ce que c’est que de parler avec une personne qui a un ego surdimensionné. Cette sensation toxique de devoir lutter avec un narcissisme qui ne veut que s’exhiber et grandir face aux autres, c’est quelque chose d’assez insupportable…
Autrement dit, essayer de parler avec une personne qui refuse d’être auto-critique, c’est comme parler à un mur. Malheureusement, cela est considéré, dans certains domaines, comme une caractéristique du succès ; les choses se passent ainsi car d’une certaine façon, une caractéristique psychologique telle que le narcissisme peut en arriver à éteindre les autres au bénéfice de sa propre lumière.
Absorbants, arrogants, imaginatifs, développant un besoin d’admiration et des airs de grandeur ; ainsi sont les personnes narcissiques, qui oublient ce que les autres ressentent, qui attendent d’être reconnues comme supérieures et qui se recréent dans leur imaginaire de succès, de pouvoir, de brillance, de beauté ou d’amour illimité. Elles pensent qu’elles sont uniques, et qu’elles ont quelque chose qui les rend inégalables.
Cependant, leur estime d’elles-mêmes est bien souvent fragile, même si elles croient qu’au travers de leurs auto-attributions, de nombreuses de leurs qualités les rendent supérieures. Elles sont très sensibles aux «dommages» de la critique et de la défaite, ce qui les mène souvent à diminuer leur rendement et leur fonctionnement professionnel ; un tel phénomène peut en arriver à se manifester par des épisodes dépressifs. D’un autre côté, ces moments de grandeur leur donnent la sensation que prévaut une humeur manique ou hypomaniaque.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/article_14150571963.jpg
Elles attendent qu’on les reconnaisse comme supérieures et, par conséquent, elles exigent une attention et une admiration constante. Généralement, elles s’inquiètent du fait qu’on reconnaisse leur travail et veulent qu’on les reçoive toujours «avec tambours et trompettes». Généralement, ces personnes sont jalouses et croient que les autres les envient, ce qui les mène souvent à se comporter de façon arrogante et paternaliste.
Leur sens du droit et leur manque de sensibilité envers les besoins et les désirs des autres peut conduire à l’exploitation consciente ou inconsciente des autres. Ainsi, ce trait de caractère mène les personnes narcissiques à attendre et exiger des autres qu’ils se consacrent tout spécialement à elles. Si les autres répondent comme elles le veulent, alors elles leur octroieront des privilèges spéciaux et autres recours supplémentaires.
Voilà comment se traduit le narcissisme. Les personnes narcissiques ont tendance à parler de leurs inquiétudes et de leurs intérêts de façon inadéquatement longue et détaillée, en reconnaissant à peine les sentiments et les besoins des autres. En outre, généralement, elles se montrent impatientes avec les autres quand ils leur parlent de leurs problèmes et autres inquiétudes, critiquant et regardant avec mépris leurs problèmes.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/shutterstock_102846443.jpg
L’arrogance de ceux qui ne savent rien faire d’autre que s’exhiber
Je marchais avec mon père quand il s’est arrêté à un virage et après un petit silence, il m’a demandé :
-En plus des chants des oiseaux, tu entends quelque chose de plus ?
J’ai rendu l’oreille et après quelques secondes, je lui ai répondu :
-J’entends le bruit d’une route.
-C’est ça -a dit mon père-. C’est une route vide.
Comment sais-tu que c’est une route vide puisque nous ne la voyons pas ? -ai-je demandé à mon père.
-Il est très facile de savoir quand une route est vide, par le bruit qu’elle provoque. Plus une route est vide, plus le bruit qu’elle fait est grand -m’a-t-il répondu.
Je suis devenu adulte et jusqu’à aujourd’hui, quand je vois une personne trop parler, interrompant la conversation de tous, étant inopportune ou violente, se vanter de ce qu’elle a, se montrant toute-puissante et méprisant les autres, j’ai l’impression d’entendre la voix de mon père me disant :
“Plus la route est vide, plus le bruit qu’elle fait est grand”.
L’humilité consiste à taire ses qualités et à permettre aux autres de les découvrir. Et souvenez-vous qu’il existe des personnes si pauvres que la seule chose qu’elles ont, c’est de l’argent. Et personne n’est plus vide que celui qui n’est rempli que de lui-même. Généralement, comme ce texte l’illustre, l’arrogance et l’égocentrisme font beaucoup de bruit, et ne donnent pas une image saine de soi (estime de soi).
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Narcissus-Caravaggio_1594-96-4-se%C3%B1ales-que-advierten-que-estas-con-un-narcisista.jpg
Les gens qui se sentent trop importants sortent de leurs gonds quand ils se rendent compte de l’existence de tout type d’attaque réelle ou imaginaire, car pour eux, le moindre détail est signe d’offense et de manque de respect.
Généralement nous rejetons ce genre d’attitudes, ce qui par conséquent perpétue la victimisation de ces personnes ; elles croient qu’elles ont le pouvoir de la vérité absolue sur les autres, et envisagent les manques et les problèmes des autres en fonction d’elles-mêmes. Peu à peu, elles écartent les autres de leur chemin, ces personnes qui pourtant les aimaient vraiment et qui pouvaient les aider à lutter contre leurs difficultés grâce à la tendresse qu’elles manifestaient.
En ce sens, on ne peut pas oublier que les gens qui se comportent ainsi ont besoin d’aide, puisque si c’est à notre portée et si on peut se rapprocher d’eux, alors on devrait leur recommander de voir un professionnel. Même s’il n’est pas une mince affaire d’y arriver, il n’est jamais trop tard pour essayer.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/narcissisme-lerreur-de-se-croire-important/#WQuv3bIH3zbOrPF1.99
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Choisir les bonnes méthodes anti-blues
Que nous ayons simplement le moral dans les chaussettes ou que notre souffrance persiste, quelques méthodes simples peuvent contribuer à retrouver le sourire. Se créer des occasions de rire, d’échanger, de se détendre : autant de remèdes pour nous permettre de reprendre progressivement goût à la vie.
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Sommaire
- Bougez, riez !
- Quand l’appétit va, tout va !
- Zen Attitude
- Le plein de lumière
- Sortir de l’isolement
Bougez, riez !
Les bienfaits du sport pour l’organisme sont connus : activités d’endurance respiratoire, footing, marche, natation, vélo agissent positivement sur le moral… Mieux oxygéné, le cerveau secrète davantage d’endorphine, une hormone euphorisante et relaxante. Certains sports comme la course favorisent également la production de sérotonine, dont la présence en trop petite quantité dans le cerveau pourrait être responsable de la dépression.
Le rire aussi favorise la sécrétion d’endorphine. Alors travaillez vos zygomatiques ! Concrètement, certains déprimés boycottent les journaux télévisés momentanément, histoire d’échapper au pessimisme ambiant. Ils regardent plutôt des émissions drôles, lisent des livres désopilants, voire se font une collection de DVD comiques. Et, bien entendu, c’est le moment de fréquenter des gens drôles !
Quand l’appétit va, tout va !
A DÉCOUVRIR
Testez-vous
Comment gérez-vous les coups de déprime ? Pour éviter que les coups de blues ne s'installent durablement, chacun de nous a ses armes propres, plus ou moins efficaces... Quelles sont les vôtres ? Vous aident-elles vraiment ? Faites le test.
Les carences alimentaires accompagnent souvent la déprime. Et l’on sait qu’un régime équilibré permet de garder le moral. Donc, n’oubliez pas de consommer fruits et légumes frais, poissons et céréales complètes. Le manque de magnésium entraîne fatigue, irritabilité et anxiété. Vous en trouverez dans les amandes, les noisettes, le chocolat et les eaux minérales. Enfin, les oméga-3 sont des acides gras essentiels qui agissent sur l’humeur. On les trouve dans les poissons gras (saumon, thon, maquereau…), les huiles de noix et de colza et, en moindre quantité, dans le cresson ou le chou.
Zen Attitude
Savoir se relaxer est toujours profitable en cas de déprime. Yoga, sophrologie ou séances de relaxation sous hypnose contribuent à rester zen. Un bémol cependant : en cas de dépression sévère, la relaxation est rarement envisageable. Le travail sur les pensées est en effet parfois perturbé par des idées négatives envahissantes. Mieux vaut donc commencer avec un professionnel, les techniques de relaxation exigeant du temps et une pratique régulière.
Le plein de lumièreL’absence de lumière durant les longs mois d’hiver serait responsable de bon nombre de dépressions saisonnières. Il existe désormais sur le marché plusieurs gammes de lampes ou de simulateurs d’aube pour pratiquer la luminothérapie chez soi. Le must : le matin, s’exposer pendant 30 minutes minimum. Départ du bon pied assuré. Et si vous en avez les moyens, pourquoi ne pas partir en vacances au soleil au cœur de la saison froide ?
Sortir de l’isolement
Les célibataires qui vivent seuls sont davantage sujets à la dépression. Inversement, les colocataires ou les personnes en couple sont plus à l’abri. L’isolement renforce les sentiments négatifs. Pratiquer un sport collectif, assister à des groupes de parole au sein d’une association, prendre des cours de dessin : tout ce qui peut aider à se décentrer de ses problèmes est bénéfique pour lutter contre la dépression. Il ne s’agit pas de multiplier les activités pour fuir ses problèmes, mais de prendre le temps de garder le lien avec les autres.
http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Deprime-Depression/Articles-et-Dossiers/Du-blues-a-la-depression-se-soigner-sans-tarder/Choisir-les-bonnes-methodes-anti-blues/5Le-plein-de-lumiere
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
psychanalyse jungienne
A tort ou à raison
On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort. C'est difficile de juger. Moi, j'ai longtemps donné raison à tout le monde. Jusqu'au jour où je me suis aperçu que la plupart des gens à qui je donnais
raison avaient tort ! Donc, j'avais raison ! Par conséquent, j’avais tort ! Tort de donner raison à des gens qui avaient le tort de croire qu'ils avaient raison. C'est-à-dire que moi qui n'avais pas tort, je n'avais aucune raison de ne pas donner tort à des gens qui prétendaient avoir raison,alors qu'ils avaient tort ! J'ai raison, non ? Puisqu'ils avaient tort ! Et sans raison, encore ! Là,j'insiste, parce que ... moi aussi, il arrive que j'aie tort. Mais quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts !!! J'ai raison, non ? Remarquez ... il m'arrive aussi de donner raison à des gens qui ont raison aussi. Mais, là encore, c'est un tort. C'est comme si je donnais tort à des gens qui ont tort. Il n'y a pas de raison ! En résumé, je crois qu'on a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort
Raymond Devos
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
psychanalyse jungienne
"Le savoir du coeur ne se trouve dans aucun livre et dans la bouche d'aucun professeur, mais il grandit en toi comme la graine verte sort de la terre noire.
Mais comment puis-je acquérir le savoir du coeur ? Tu ne peux acquérir ce savoir qu'en vivant pleinement ta vie. Tu vis pleinement ta vie quand tu vis aussi ce que tu n'as jamais vécu, ce que tu as laissé les autres vivre et penser. Tu vas dire : "Je ne peux tout de même pas tout vivre et penser ce que d'autres vivent et pensent." Mais tu dois dire : "La vie que je pourrais encore vivre, je devrais la vivre, et les pensées que je pourrais encore penser, je devrais les penser." Tu veux apparemment échapper à toi-même pour ne pas devoir vivre ce que tu n'as pas vécu jusqu'à maintenant. Mais tu ne peux pas échapper à toi-même. Cette vie est toujours avec toi et réclame son accomplissement. Si tu te montres sourd et aveugle envers ce désir, tu te montres également sourd et aveugle envers toi-même. De cette manière, tu n'atteindras jamais le savoir du coeur."
CARL GUSTAV JUNG , Le Livre Rouge, LIBER NOVUS
Carl et moi nous sommes un peu neuneus en fait
Dernière édition par Iamsosure le Ven 21 Oct 2016 - 0:22, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Mieux vivre et gérer son hypersensibilité et ses émotions
Publié le 17 juin 2012 par Cécile
L’hypersensibilité, vaste sujet : tout devient facilement « trop », surtout quand on est pris dans un engrenage d’activités et de contraintes sociales. Cet état est une partie intégrante de la personnalité des surdoués, c’est une réalité neurophysiologique.
Ca part de loin, dès l’enfance; la « surexcitabilité affective a différents aspects : sensibilité, intensité des émotions, perfectionnisme et introversion. L’image que l’individu a de soi est directement affectée par sa surexcitabilité, parce que l’élève se perçoit comme étant différent des autres et pense qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez lui. Il se soucie fortement des questions d’ordre moral et recherche des réponses à ses questions existentielles, ce qui le fait sortir du lot. Il est important que les éducateurs soient conscients du lien potentiel entre surexcitabilité et image de soi. […] Il peut également être très utile d’offrir des services de counselling qui abordent la question des buts irréalistes, de l’intensité des émotions, des préoccupations d’ordre moral, des formes intenses de stress et de l’augmentation des cas de perfectionnisme ». (P67 – [url=http://studentservices.ednet.ns.ca/sites/default/files/education des elves doues at developpement des talents.pdf]document de l’académie de Nouvelle-Ecosse Canada[/url])
L’affectivité désigne le caractère des phénomènes dits affectifs, l’ensemble des sentiments et des émotions, et la faculté d’éprouver, en réponse à une action quelconque sur notre sensibilité, des sentiments ou des émotions.
Et les couches s’accumulent au fil des ans surtout quand on n’arrive pas à (quand on ne sait pas comment) se protéger … quand de surcroît on peut vivre en se sentant entravé (cf par exemple le Syndrome PASS évoqué il y a quelques temps) il devient de plus en plus difficile de gérer… ou bien, on décide de se couper de ses émotions pour justement éviter de gérer. On prend pourtant tout de plein fouet, ceux qui ont une activité d’ordre social (professionnelle ou associative) savent combien on peut se sentir attaqués sur l’être alors qu’on n’est attaqué que sur le faire… parfois aussi on est attaqués sur l’ être, c’est vrai…
Dans de tels cas le risque est grand qu’un jour la coupe déborde !
Recours à des compensations (comportements addictifs), « pétage de plombs », dépression, burnout, déclenchement d’une maladie, accident…
Deux vidéos extraites du site Congrès Virtuels : Perrine Vandamme est psychiatre et elle parle de la vie des surdoués sont la sensibilité est mise à mal. « On ne peut pas se débarasser de sa sensibilité, il faut donc transformer un handicap en richesse » rappelle-t-elle.
Quand c’est la psychiatrie qui révèle le haut… par congresvirtuel
Hypersensibilité émotionnelle et haut potentiel… par congresvirtuel
Pour mieux gérer, pour pouvoir redescendre en pression, retrouver le calme, il faut donc pouvoir évacuer, il faut pouvoir se vider, pour reprendre des forces, récupérer de l’énergie.
Je me suis efforcée de procéder à un petit récapitulatif de ce qui pouvait aider à mieux gérer son hypersensibilité et ses émotions, aussi bien en prévention qu’en soin.
C’est certainement loin d’être complet et ceux qui souhaiteront apporter leur témoignage sont les bienvenus : les « trucs » des uns ne marchent pas forcément pour les autres.
A mon sens, on est là dans le domaine de l’autosuggestion et les plus rationnels d’entre nous auront beau jeu de sourire face à des « placebos », mais quand il s’agit de trouver un soulagement par un moyen facile sans danger pour soi et les autres et pas onéreux, je crois que c’est important de partager.
La lecture du livre de David Servan Schreiber « Guérir » est aussi passionnante : claire, didactique, très documentée (20 pages de références d’études scientifiques parues dans des journaux de référence).
Elle permet de mieux comprendre l’importance du système nerveux autonome en lien direct avec les émotions :
ce système nerveux autonome est lui même partagé entre un système sympathique (qui joue le rôle d’accélérateur) et un système parasympathique (qui joue le rôle de frein). L’équilibre entre les deux systèmes permet un bon équilibre phsyiologique, permet d’être en bonne santé.
L’anxiété est le propre des gens très créatifs. Elle est générée par un système nerveux beaucoup plus développé qui favorise les hyper-réactions. Au coeur de tout ça, le système limbique, le cerveau des émotions.
Les hyper –réactions ont de bons côtés (réactivité, finesse psychomotricité, sens hyperdéveloppés). Elles ont aussi des côtés plus négatifs : saturation plus rapide des sens, cerveau qui tourne en permanence et provoque plus facilement des nuits difficiles et de toutes façons fatigue et anxiété.
Pistes pour gérer mieux cette hyper sensibilité et l’anxiété qui en découle.J’en ai expérimeté quelques unes, plus faciles à intégrer en fonction de mon mode de vie.
Pour certaines.. « on y croit ou on y croit pas », mais au final, sur des personnes hypersensibles, il apparaît que tous ces petits « trucs » ont en général un effet positif.
Dans une société qui expérime les limites d’un modèle productiviste qui prend ses racines dans la révolution industrielle du milieu du 19° siècle, la relation corps-esprit est de nouveau remise à l’honneur (Christophe André, l’un des chefs de file des Thérapies comportementales et cognitives en France, est le premier à en faire l’apologie), les vieux dictons reprennent de la vigueur, la sagesse populaire retrouve un nouveau souffle (pourquoi par exemple, en dehors du fait que ce n’est pas cher, manger des fruits et des légumes de saison ? parce qu’on s’est aperçu que ces fruits et légumes satisfont des besoins biologiques…)
Certaines de ces pistes sont présentées et étayées dans le livre « Guérir » évoqué plus haut :
Physique | |
Environnement | Limiter le bruit, favoriser le calme. Faciliter des moments de retrait (pensée/visualisation positive) qui facilitent la récupération (en veillant à encourager par ailleurs les activités sociales – voir plus bas) Veiller à maintenir sa créativité active en rencontrant des personnes également créatives Avoir un(e) ami(e) mentor ou coach bienveillant(e) avec qui partager ses émotions (page 124 du document ici accessible). Avoir une activité physique en plein air de préférence de 30 minutes 3 fois par semaine (au moins de la marche…) |
Nutrition | A défaut d’arriver à avoir une alimentation équilibrée (plus facile à dire et à comprendre qu’à faire…), faciliter la préservation du Capital Oméga 3 : Huile de foie de morue ou de saumon. Manger des poissons d’eaux froides, de préférence poissons du bas de la chaîne alimentaire (maquereaux, harengs, sardines). Noix (une à deux poignées par jour), spiruline. |
Homéopathie | Envisager Ignatia Amara, Gelsemium Sempervirens , Valériane, Fleurs de Bach (Rescue). (préférer cependant une rencontre avec un médecin homéopathe : chacun a son histoire et les médicaments homéopathiques y sont sensibles) |
Acupuncture | … et acupression qui en est dérivée (les techniques d’EFT(Emotional Freedom Techniques – Techniques de Libération Emotionnelle) qui peuvent relever de petits rituels de réassurance par auto suggestion tels que présentés dans ce document) |
Sophrologie | Apprendre à respirer par le ventre. Cohérence cardiaque (respirer par le nez) Mode visuel de la cohérence cardiaque :Guide Respiratoire Visuel from Dr David O’HARE on Vimeo .Guide auditif de la fréquence cardiaque pour ceux que le seul visuel n’inspire pas. Sans support, 30 respirations profondes correspondent à environ 5 minutes. L’important est d’arriver à grapiller les minutes nécessaires 3 fois dans la journée.. ou autant de fois que l’on en ressent le besoin aussi… Méditation (5 à 10 minutes / jour ) Massages (aïe les trapèzes en béton qui bloquent la nuque, le dos, les épaules, les coudes…!) Simulateur d’aube – Luminothérapie pour lutter contre la dépression hivernale (la lumière du jour, du soleil est essentielle pour favoriser le sommeil) |
Phytothérapie | Tisanes : Tilleul, camomille, verveine, lavande. |
Aromathérapie : Ylang-Ylang, Néroli, Bigaradier, Camomille | |
Psychique | ||
Les émotions sont très difficiles à gérer, voire parfois complètement bridées tant elles peuvent être fortes et déstabilisantes – Il est fondamental d’apprendre à les reconnaître quand elles apparaissent, et de les verbaliser. Les sont la peur, la colère, la tristesse et la joie. A ces quatre émotions de base, certains ajoutent la surprise, le dégoût. Le site canadien Redpsy ajoute un guide des émotions pour affiner la perception que l’on peut avoir de ces émotions (simples, ou plus complexes). Revisiter certaines expériences marquantes à la lueur de cette hypersensibilité et atténuer les émotions violemment ressenties et qui perdurent, venant polluer le quotidien de façon puremet inconsciente : les techniques d’ « EMDR » sont de plus en plus utilisées, non seulement par les psychologues mais aussi par les psychiatres – Attention : Avant d’arriver à un mieux-être ça secoue !). | ||
Travailler sur | – le lâcher prise, les ressentis, la parano, les projections. (variations d’humeurs pouvant aller jusqu’à des attaques de panique plus ou moins sévère très fréquentes) | |
– les questionnements existentiels (la mort (la sienne, celle de ses proches), la souffrance dans le monde, les injustices). Des idées très difficiles à partager et qui augmentent l’isolement. | ||
– La prise de conscience d’un dialogue intérieur plus souvent négatif que positif, et qui favorise dépression et cynisme. – La visualisation positive. | ||
– le perfectionnisme, mettre l’échec en perspective. (l’échec n’est pas une condamnation à mort) | ||
– l’inscription dans un groupe alors qu’on a le sentiment de n’avoir rien en commun. (ce sentiment est assez juste, car le mode de pensée est effectivement très différent en matière de rapidité et de formulation de la pensée mais aussi en matière d’approche des idées (plus globale, plus divergente)) | ||
– la capacité à se savoir le droit d’exister et de se développer alors qu’on n’est pas dans la norme habituelle (affirmer son système de valeurs, trouver des pairs, apprendre à vivre avec soi-même en travaillant sur son perfectionnisme et son estime de soi) |
http://www.talentdifferent.com/mieux-gerer-son-hypersensibilite-et-ses-emotions-1891.html
Dernière édition par Iamsosure le Ven 21 Oct 2016 - 0:32, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Le rat-taupe nu, ce rongeur insensible à la douleur révèle son secret
Une équipe de biologistes allemands est parvenue à mettre en évidence les mécanismes sous-jacents à l’insensibilité des rats-taupes nus à la douleur. Selon les chercheurs, cette faculté serait le fruit d’une longue histoire évolutive. Pendant des décennies, les scientifiques ont essayé de comprendre l’origine des nombreux superpouvoirs du rat-taupe nu (Heterocephalus glaber). Ce rongeur africain dépourvu de poils et pratiquement aveugle peut vivre en effet plus de 30 ans, une longévité inédite pour les membres de son groupe qui s’accompagne d’une résistance au cancer et une insensibilité quasi totale à la douleur. Cette dernière faculté a récemment été expliquée à travers une étude menée par des chercheurs du Centre allemand Max Delbruck pour la médecine moléculaire à Berlin. Les travaux de recherche, réalisés sous la direction du biologiste Gary Lewin, ont fait l’objet d’une publication dans la revue Cell Reports. A travers le document, les auteurs détaillent la série d’expériences qui les a menés à mieux comprendre les mécanismes évolutifs sous-jacents à cette insensibilité. Pour cadrer au mieux ces protocoles, les scientifiques ont décidé de se centrer sur un type de douleur à savoir la sensation de brûlure liée à un membre enflammé. Étudier l’hyperalgésie thermique Chez l’humain, cette sensation se manifeste typiquement après un coup de soleil. Il devient alors insupportable d’exposer la partie touchée sous l’eau chaude. Dans le jargon médical, ce phénomène est connu sous le terme d’"hyperalgésie thermique" et décrit comme une altération de la sensibilité cutanée. En réponse à des températures élevées ou une inflammation autour des neurones sensorielles, des molécules connues sous le nom de Facteur de croissance des nerfs (en anglais, NGF) entrent en jeu. Celles-ci vont venir se lier à un récepteur appelé TrkA qui va à son tour déclencher une cascade de signaux chimiques. Cette cascade va notamment sensibiliser ce qu'on appelle le "canal ionique" TRPV1 situé à la surface du neurone. Lorsqu'il s'ouvre, ce canal va provoquer l'envoi vers le cerveau de signaux associant la douleur aux températures élevées. En observant le rat-taupe nu, les scientifiques se sont aperçus que tout ce processus était altéré. Un récepteur modifié Plus précisément, les chercheurs ont constaté que chez le rat-taupe nu, le récepteur à la douleur TrkA était modifié au niveau de trois acides aminés. Par conséquent, celui-ci est devenu moins sensible à la stimulation, réduisant considérablement la capacité à ressentir la douleur de l'animal. D'après les expériences menées, il faut à ce dernier une concentration de NGF dix fois supérieure à la normale pour obtenir une réponse similaire à celle d'autres animaux. Seuls les rats-taupes nouveaux-nés seraient encore capables d’éprouver l’hyperalgésie thermique. Cette perception disparait ensuite à l’âge adulte où le nombre de récepteurs diminue de deux-tiers comparé aux autres animaux. De toute évidence, ce mécanisme est inutile aux rats-taupes nus car les rongeurs vivent dans des galeries creusées où la température demeure constante, suggèrent les scientifiques. Se débarrasser du superflu Selon les auteurs de l’étude, la majorité des nocicepteurs auraient connu un destin similaire au cours de l’évolution. Cette désactivation nerveuse a été savamment équilibrée pour rendre l’animal globalement insensible à la douleur mais capable de la repérer en cas de blessure grave. Ce phénomène peut s’expliquer par le mode de vie extrêmement difficile de ces créatures, ne laissant ni le temps ni l’énergie pour entretenir des fonctions superflues. "Ils vivent sous terre dans des régions désertiques et ils doivent dépenser beaucoup d’énergie pour trouver leur nourriture", explique Gary Lewin. Il conclut : "Leur taux métabolique est le plus bas de tous les mammifères. L’évolution a désactivé tout ce qui n’était pas absolument nécessaire, y compris les récepteurs nerveux accessoires." Au final, l’organisme de l’espèce ne présenterait désormais que le minimum vital nécessaire à sa survie, son développement et sa reproduction. Publié par Maxime Lambert, le 14 octobre 2016
En savoir plus : http://www.maxisciences.com/rat/le-rat-taupe-nu-ce-rongeur-insensible-a-la-douleur-revele-son-secret_art38862.html?utm_source=fb&utm_medium=cpc&utm_campaign=offigsd
Copyright © Gentside Découverte
Dernière édition par Iamsosure le Dim 16 Oct 2016 - 17:24, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/0211377718001-julien-vaulpre-portrait-politique-dune-france-sans-boussole-2033983.php#xtor=EPR-3034-%5Bnl_thematique%5D-20161016-%5BProv_%5D-1980648%402
Gilles Finchelstein. Pendant des années, on a dit que les Français étaient défiants... Aujourd'hui le mot qui me paraît le mieux caractériser leur état d'esprit, c'est « déboussolés ». Il y a une perte des repères, qui va bien au-delà de l'affaiblissement du clivage gauche-droite. Les Français sont en plein « dilemme ». Dans leur for intérieur, ils se voient penser une chose et son contraire et même les valeurs qu'ils avaient l'habitude de mobiliser pour se forger une opinion par rapport à un événement leur paraissent inopérantes.
Julien Vaulpré. La France a collectivement perdu l'estime de soi, car elle a raté son entrée dans la mondialisation et semble avoir perdu le sens de son histoire : elle ne sait plus d'où elle vient, ni où elle va. Les questions les plus fondamentales se posent. A qui appartenons-nous ? A la nation ? A l'Europe ? Au monde ? Le face-à-face est très angoissant : l'individu se retrouve tout seul face à une humanité universelle. S'ajoutent à cela la mutation numérique et les attentats terroristes, qui font plonger les Français dans l'inédit. Les voilà pris dans une espèce d'étau entre, si l'on peut dire, Apple et Daech...
Electoralement, comment cela peut-il se traduire ?
G. F. L'un des grands enjeux des campagnes électorales est de savoir sur quel territoire l'affrontement va se faire. Il y a des campagnes de « figures libres » où chaque candidat essaie d'imposer ses thèmes. Ce fut le cas en 2007. Il y a des campagnes avec une « figure imposée » : la sécurité en 2002, le chômage en 2012... La spécificité de 2017, c'est que ce sera une campagne avec deux figures imposées, deux blocs de préoccupations qui sont d'une même intensité. Le premier autour des questions régaliennes (terrorisme, immigration, islam), le second autour des questions économiques et sociales (chômage, retraites, inégalités). Je pense qu'aucun des candidats ne pourra choisir de ne traiter qu'une seule de ces questions.
Les responsables politiques sont-ils, eux aussi, déboussolés ?
J. V.Le débat me paraît surtout vétuste. La classe politique française s'est provincialisée, au sens où elle ne connaît pas le monde, elle parle très peu les langues étrangères, elle ne maîtrise quasiment plus les sciences. Nos politiques n'ont plus l'expérience de la guerre, et sont donc démunis de perspectives historiques. Ils ont plongé dans le tout économique, devenant des homo-economicus, qui s'abritent derrière des chiffres pour essayer de guider le pays en managers, dans un pragmatisme généralisé, tout en connaissant souvent mal l'entreprise. Ni des hommes de morale, ni Machiavel, ce sont de faux réalistes avec pour tout bagage le pragmatisme et un oubli majeur : ce qui faitsociété, et rassemble.
G. F. Nous sommes collectivement confrontés depuis vingt ans à des mutations d'une ampleur et d'une rapidité sans précédent - auxquels s'ajoute le choc terroriste. Les responsables politiques doivent beaucoup s'interroger et réinventer mais, dans le même temps, l'opinion attend d'eux qu'ils aient des réponses et des convictions. Reconnaissons humblement que leur tâche n'est pas aisée.
Le pays est-il en train de basculer, ou au contraire tient-il le choc ?
G. F. Pour l'instant, les Français ont fait preuve de beaucoup de sang-froid. Mais, avec la répétition des actes terroristes, il y a des ébranlements profonds.
J. V. Ca n'a pas craqué. Il y a une forte lassitude globale mais une assez grande résilience. Les élans vitaux du pays, comme l'entrepreneuriat ne sont pas affectés, le pays n'a pas été mis sur « off ». Il n'est pas hystérique, même si certains débats comme le burkini montrent qu'il faut être vigilant.
Quel regard portez-vous sur les primaires ?
J. V. Les primaires, c'est la campagne permanente, l'ultra-personnalisation, une attention médiatique au processus de compétition électorale qui s'étend, qui mord sur le temps démocratique. Résultat : cela déplace le centre de gravité de chaque camp vers sa frange la plus radicale, et cela porte un coup fatal aux partis. Chacun désormais a sa propre écurie, son armée, son argent, ses talents, c'est un peu les seigneurs de la guerre dans la Chine des années 1920. Les partis deviennent des sortes de holdings totalement vides, de toutes ressources financières ou intellectuelles.
G. F. Certes, les primaires ont bien des inconvénients ! Mais, lorsqu'il s'agit de régler la question du leadership, je n'en vois pas de système plus démocratique... J'ajoute que je ne crois pas du tout à leur attraction vers les extrêmes. C'est un système qui s'appuie sur une logique d'opinion et non une logique de parti (ce sera peut-être l'erreur tactique de Nicolas Sarkozy) : les électeurs choisissent d'abord celui dont ils pensent qu'il a le plus de chances de gagner la présidentielle. Telle est la double leçon des victoires de Ségolène Royal aux primaires de 2007 et de François Hollande à celles de 2012.
J. V. Aux Etats-Unis, les primaires ont lassé, et font voter de moins en moins de monde. Et on ne peut pas dire qu'elles n'aient pas laissé de place aux franges les plus radicales.
G.F. Tel pourrait être le cas si la victoire, ou la défaite, semblait acquise à un camp. Mais telle n'est pas notre expérience.
Le moment est-il venu pour une recomposition politique ?
G. F. Comme une monnaie, le clivage gauche-droite a subi une dévaluation. En l'espace de trois décennies, il a été relativisé, traversé par d'autres clivages, transcendé à plusieurs reprises, à la faveur de fronts républicains ou d'événements internationaux. Est-on, dès lors, à la veille d'une recomposition ? Là, j'utiliserais une parabole chimique : nous avons quitté l'état solide, sans savoir ce qui l'a remplacé. Un état gazeux ? Alors toutes les recompositions sont possibles. Un état liquide ? C'est moins explosif. Au-delà de mes convictions - je considère que le clivage gauche-droite reste le moins mauvais des clivages et qu'il faut à la fois le défendre et le repenser -, je crois peu probable la recomposition, encore moins avant l'élection présidentielle. Le clivage gauche-droite n'a pas disparu : d'ailleurs, le critère le plus robuste pour déterminer un comportement électoral, reste l'autopositionnement sur un axe gauche-droite.
J. V. Le clivage a beaucoup perdu de sa pertinence. Mais si l'on regarde ce qui se passe dans les pays anglo-saxons, on voit des résurgences : le phénomène Sanders aux Etats-Unis, la réélection de Corbyn en Grande-Bretagne. CQFD : il reste un peuple de gauche. Sur des questions comme l'égalité, les moeurs, l'école, le clivage reste également puissant. La nouveauté, c'est que d'autres clivages sont venus se superposer. Le clivage entre mondialistes et souverainistes ; le divorce géographique entre les grands centres urbains et le reste du territoire. Cela dit, la recomposition autour d'un grand centre probusiness, proeuropéen, je n'y crois pas deux secondes. C'est un mirage, cela n'arrivera pas. Et si d'aventure cela arrivait, nous verrions immédiatement surgir des clivages aux marges du champ démocratique, avec des radicalités renforcées.
G. F. Tout à fait. Je crois qu'il faut réfléchir sérieusement à ce que voudrait dire une « alliance des réformistes ». Elle présuppose un accord sur le fond qui n'est rien moins qu'évident lorsque l'on voit la dérive libérale de la droite - toutes sensibilités confondues. Et elle ne laisserait qu'une alternative aux citoyens : modifier, à la marge, le rapport de forces à l'intérieur de cette grande coalition ou basculer dans le populisme - c'est-à-dire, chez nous, le Front national. Du coup, je pense que les réformistes doivent mener la bataille pour l'emporter chacun dans leur propre camp. Et pour la gauche, la tâche est grande car elle est partout traversée par la vieille question de sa vocation même à gouverner, comme on le voit avec Corbyn, Sanders et Varoufákis.
J. V. Il y a une question importante à laquelle les candidats ne répondent pas : quelle majorité y a-t-il pour le pays, quels sont les différents segments de population qu'un candidat peut rassembler autour d'un projet ? Les perdants de la mondialisation, ça ne fait pas une majorité, les gagnants non plus d'ailleurs. En 1981, on voyait clairement quelle était la majorité sociologique de François Mitterrand, en 1995 celle de Jacques Chirac, en 2007 celle de Nicolas Sarkozy. Déjà, celle de François Hollande était moins nette...
Peut-être parce qu'il a été élu par défaut ?
G. F. Mais surtout parce que le corps électoral ne se découpe plus en classes, groupes ou segments ! La vie publique est, depuis dix ans, caractérisée par une explosion de la mobilité électorale. Il faut toujours avoir ce chiffre en tête, a fortiori lorsqu'on pense que l'élection de 2017 est déjà jouée : entre le mois de novembre 2011 et le mois de mai 2012, 56 % des électeurs ont changé soit d'intention de vote soit d'intention de voter ! Donc prudence.
Jusqu'à quel point les Français sont-ils prêts à donner un grand coup de balai ?
G. F. Cela fait aussi partie des dilemmes des Français : ils veulent à la fois de l'expérience et du renouvellement ! A ce stade, il faut simplement noter que l'incertitude sur l'offre électorale est forte et va durer jusqu'à février. Selon que sorte Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé de la primaire de la droite , François Hollande ou Arnaud Montebourg de celle de la gauche , selon qu' Emmanuel Macron soit ou pas candidat , cette question se posera différemment.
J. V.Le renouvellement, c'est la promesse de base d'une élection présidentielle. Or, il est vrai que les Français sont peu enthousiasmés par la perspective de retrouver la même affiche qu'en 2012. S'agissant d'Emmanuel Macron, il est à la fois philosophe et entrepreneur. Deux figures qui répondent à une demande qui n'est plus couverte ailleurs : il inscrit ses propos dans les principes, il donne un minimum de perspectives historiques, et il est jugé compétent économiquement. Il y a aussi, chez lui, la volonté de faire la pédagogie d'un monde complexe. Sa logique est de développer une offre politique, pas de répondre à une demande. Enfin, tout cela sonne juste, et c'est déjà beaucoup.
G. F. Il y a déjà des leçons à méditer de son ascension. Emmanuel Macron se situe à la fois plus haut et plus bas que les autres. Plus haut, parce qu'il se place sur le terrain des valeurs, du souhaitable, du « pourquoi » ; plus bas, parce qu'il se saisit d'objets très concrets. Il se situe peu dans la couche technocratique des « mesures » dans laquelle les responsables politiques se perdent souvent.
Quelles sont ses chances de réussite ?
J. V. Sa chance c'est l'usure des autres responsables politiques...
G. F. L'issue de ce scrutin est bien plus incertaine qu'on ne le dit. Certes, il y a des éléments solides. Le FN a un socle élevé mais aussi un plafond infranchissable (qu'on a mesuré aux régionales). La gauche est affaiblie et divisée - mais jusqu'à quel point ? La droite est divisée aussi, guère désirée, mais en position de force. Le scénario central est celui-là. Mais ce ne sera pas nécessairement le scénario final ! Car il y a la campagne, avec ses imprévus ; la mobilité électorale jusqu'au dernier moment ; ces dilemmes qu'il faut résoudre. En définitive, les Français sont dans le jugement négatif sur chacun des candidats mais pas encore dans le choix relatif.
J. V. La voie de passage de Macron est très étroite. Sa position du « ni droite ni gauche » me semble intenable sur la durée. C'est un peu un fantasme. Si, en plus, Alain Juppé est désigné à droite, son espace sera complètement réduit. Macron a besoin de Sarkozy.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/0211377718001-julien-vaulpre-portrait-politique-dune-france-sans-boussole-2033983.php?xWrz7x7Vp57zKXSv.99#xtor=EPR-3034-%5Bnl_thematique%5D-20161016-%5BProv_%5D-1980648%402
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La résilience c'est obsolète ça Je vais plutôt me demander si je préfère faire kougar ou polyamoureuse, il faut que je me modernise un peu sinon je vais encore être larguée
Oui ça va être mon sujet de la semaine et si il me reste du temps me demander si je fais une raclette aussi, mais j'ai perdu le cordon d'alimentation, j'en rachète un ou pas, ça sera l'énigme de la semaine en attendant l'article de l'échographie de mon QI et de passer mes tests et de faire mon remix de ma chanson "ma charte". mon forum il a des fils plein de beats, il a plein de monuments qui en savent beaucoup vraiment, elle c'est ma charte écrire une chanson même remixée c'est pas simple, il faut trouver les bonnes rimes alors retrouver le nord j'en suis loin et pourtant j'y habite .
Heureusement que je suis une fille pour pas stresser et qu'on me protège c'est mieux sinon je poursuis en mode "habilités sociales Mère Denis" avant de réfléchir pour ma machine à laver. Je dois d'abord payer les tests pour pouvoir poster ici depuis trois ans Et dire que j'ai mis tant de temps à faire des phrases simples comme ça vraiment je suis un phénomène.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je suis allée boire des chocolats chauds avec des dames qui se battent dans la vie réelle pour chaque jour faire manger leurs enfants elles sont douces
Ca m'a toujours impressionnée les personnes qui se battent pour rien là où ça n'est pas l'endroit où ça sert à quelque chose
Où l'art de bien dépenser son énergie et son intelligence au bon endroit dans le bon contexte
Bon weekend et ça va être une bonne semaine
J'adore ce forum depuis 2013, il est génial
Ca m'a toujours impressionnée les personnes qui se battent pour rien là où ça n'est pas l'endroit où ça sert à quelque chose
Où l'art de bien dépenser son énergie et son intelligence au bon endroit dans le bon contexte
Bon weekend et ça va être une bonne semaine
J'adore ce forum depuis 2013, il est génial
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Sinon y'a une dame qui a fait caca sur sa chaise de bureau au travail et puis ensuite elle s'est souvenue qu'elle était dans un lieu public
A mon avis elle va avoir du mal quand elle va se réveiller et déjà plus personne ne peut rien faire pour elle Le ridicule ne tue pas mais pour retirer une grosse couche de ridicule quand on en atteint les limites il va falloir ramer mais comme les gens et encore plus les intelligents ont une bonne mémoire
J'en ai vu des sorties de nombril dans ma vie Mais bon c'est ça y'a des gens qui se gâchent tout et même si après ils sont désolés, le gâchis reste Chacun ses choix dans la vie, et chacun les assume ensuite à vie On n'a jamais vu un bisounours sortir de son dessin animé pour pouvoir aider dans le réel ensuite
Les deux pieds sur terre, et ça fait 46 ans que j'avance comme ça et ça fonctionne très bien et de mieux en mieux Qui met un coup d'épée un jour dans une mare, se retrouvera quand même à devoir ensuite affronter l'océan
Dernière édition par Iamsosure le Ven 21 Oct 2016 - 0:43, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tétraplégie : un homme récupère le toucher grâce à un implant cérébral
Grâce à un bras robotique commandé par un implant cérébral, un tétraplégique a retrouvé le sens du toucher de sa main droite. C'est ce que révèle une étude publiée dans Science Translational Medicine.
Par Laurence Moisdon
Rédigé le 17/10/2016
Nathan Copeland et Robert Gaunt dans une capture d'écran extrait de la video de ©University of Pittsburgh Medical Center
Depuis dix ans, Nathan Copeland, devenu tétraplégique après un accident, a perdu le sens du toucher. Aujourd'hui, il l'a retrouvé grâce à un système unique en son genre : un bras robotique commandé par un implant cérébral. Le jeune homme de 28 ans est le premier patient tétraplégique à avoir bénéficié de ce système, encore à l'essai, développé par une équipe de recherche de l'université de Pittsburgh qui a publié son étude dansScience Translational Medicine.
Quatre électrodes sur le cerveau
Le jeune homme a été opéré au printemps 2016. L'équipe médicale lui a posé quatre petites électrodes dans les régions du cerveau dédiées à la sensation du toucher de sa main droite. En stimulant directement ces zones cérébrales, les informations électriques n'ont plus besoin de passer par la colonne vertébrale pour susciter le toucher. La microstimulation du cortex sensoriel peut générer une sensation naturelle, d'après les auteurs de l'étude.
Il ressent le chaud et le froid
Les résultats sont très encourageants. Nathan Copeland réussit désormais à ressentir le chaud et le froid. Dans 93% des cas, il peut décrire parfaitement ce qu’il touche. Même les yeux fermés, il identifie plus de huit fois sur dix quel doigt a été stimulé. Ces sensations sensorielles sont sans danger, selon les chercheurs américains, et restent stables plusieurs mois. Nathan Copeland les a gardées pendant six mois.
Pour les chercheurs, ce n'est qu'un premier pas, l'objectif est de créer à terme "un système capable de bouger et sentir comme un bras naturel le fait", explique le Dr Robert Gaunt, responsable de l'étude.
http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/handicap/paralysie/tetraplegie-un-homme-recupere-le-toucher-grace-a-un-implant-cerebral_20566.html#xtor=EPR-1000002224
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tétraplégie : un homme récupère le toucher grâce à un implant cérébral
Génial! Un jour peut-être, un implant cérébral pourrait permettre à certains d'être touché par autrui?
Avouez que cela serait formidable (même si cela risque de leur faire un putain de choc!).
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
On s'en fout nous, on est déjà loin devantdavid50 a écrit:Tétraplégie : un homme récupère le toucher grâce à un implant cérébral
Génial! Un jour peut-être, un implant cérébral pourrait permettre à certains d'être touché par autrui?
Avouez que cela serait formidable (même si cela risque de leur faire un putain de choc!).
Je suis en plein reportage où j'attends voir à la fin si les hommes vont devoir se faire faire un implant pour être touché par une truie ? (pardon d'après d'avance pour ce propos). Il y a des personnes qui vivent des choses plutôt difficile et complexes dont ils ressortiront probablement meurtris. J'adore donc renouveler chaque jour ma méthode "Coué et Couette sont dans mon cerveau que j'rééquilibre chaque jour pour ne pas percher trop haut ou couler trop bas ?
(ça c'est qu'une des images, le restant des reportages il y a d'autres je précise pour les personnes qui s'arrêtent au seul détail pas important, je savais pas moi que des personnes dôtées mieux et plus que d'autres d'un esprit d'analyse le laissaient dormi dans un tiroir)
Ajoutée le 4 avr. 2016
Pénurie de femmes en chine :
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La Chine compte déjà un surplus de 30 à 40 millions d'hommes. Dans certaines régions, on voit apparaître un monde sans femmes: les “villages de célibataires”. Les rares filles ont déserté pour chercher un mari riche à la ville. Les hommes qui veulent avoir une chance de se marier sont obligés de partir vers d’autres régions. Des millions de jeunes célibataires affluent vers le sud du pays, et travaillent nuit et jour dans les usines du Delta des Perles, l’atelier du monde, tout en tentant de trouver l’âme soeur. Mais, là aussi, les filles se font de plus en plus rares. De désespoir, certains kidnappent des femmes. D’autres partent s’en acheter une à l’étranger. Des Birmanes, des Vietnamiennes, des Indonésiennes "importées" en Chine. Alors que la Chine vient de mettre fin officiellement à 35 ans de politique de l’enfant unique — grandement responsable de ce déséquilibre entre les sexes — des célibataires, broyés par cette impossibilité mathématique de trouver une femme, témoignent et nous emmènent au coeur du trafic, prêts à tout pour ne pas rejoindre les rangs des célibataires endurcis. Ceux que les Chinois appellent "guang gun", les branches mortes, qui ne porteront jamais de fruits.
De Marjolaine Grappe et Christophe Barreyre – ARTE GEIE / OrientXpress – France 2016
USA : SDF, l’autre solution
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« Housing First », une nouvelle méthode commence à faire ses preuves. Cette solution d’une simplicité confondante propose un domicile à ceux qui n’en ont pas, à ceux qui vivent dans la rue depuis longtemps et souffrent d’addictions et de graves problèmes psychiques. A Los Angeles, Anthony Ruffin et Rudy Salinas, deux travailleurs sociaux de l’association Housing Works, relogent des SDF que personne n’avait réussi à arracher à la rue. C’est l'une des premières structures à proposer une méthode aux antipodes de ce qui se pratiquait jusqu’ici. Au lieu de demander à ces personnes de régler leurs éventuels problèmes d’alcool ou de drogue, puis, de les récompenser en de leur trouvant un toit, l’association les loge d’abord et les aide à se soigner ensuite. Cette solution séduit de plus en plus les autorités américaines : loger un SDF est moins coûteux que de solliciter des services d’urgence de santé, de police, de prison, d’hébergement collectif… Un SDF peut coûter entre 50 et 150 000 dollars par an à la collectivité, mais seulement 20 à 25000 dollars par an si on le loge tout en s’occupant de ses problèmes de santé. Aux Etats Unis, l’Etat de l’Utah a ainsi réduit ses SDF de 91% en combinant cette méthode avec la construction de logements sociaux. Et la méthode « Housing First » a été imposée par Barack Obama à l’administration des vétérans avec pour objectif de réduire à zéro leur nombre dans la rue d’ici la fin 2016.
De Catherine Monfajon, Yann Varenne et Ludovic Fossard – ARTE GEIE / Découpages – France 2016
USA : SDF, l’autre solution
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« Housing First », une nouvelle méthode commence à faire ses preuves. Cette solution d’une simplicité confondante propose un domicile à ceux qui n’en ont pas, à ceux qui vivent dans la rue depuis longtemps et souffrent d’addictions et de graves problèmes psychiques. A Los Angeles, Anthony Ruffin et Rudy Salinas, deux travailleurs sociaux de l’association Housing Works, relogent des SDF que personne n’avait réussi à arracher à la rue. C’est l'une des premières structures à proposer une méthode aux antipodes de ce qui se pratiquait jusqu’ici. Au lieu de demander à ces personnes de régler leurs éventuels problèmes d’alcool ou de drogue, puis, de les récompenser en de leur trouvant un toit, l’association les loge d’abord et les aide à se soigner ensuite. Cette solution séduit de plus en plus les autorités américaines : loger un SDF est moins coûteux que de solliciter des services d’urgence de santé, de police, de prison, d’hébergement collectif… Un SDF peut coûter entre 50 et 150 000 dollars par an à la collectivité, mais seulement 20 à 25000 dollars par an si on le loge tout en s’occupant de ses problèmes de santé. Aux Etats Unis, l’Etat de l’Utah a ainsi réduit ses SDF de 91% en combinant cette méthode avec la construction de logements sociaux. Et la méthode « Housing First » a été imposée par Barack Obama à l’administration des vétérans avec pour objectif de réduire à zéro leur nombre dans la rue d’ici la fin 2016.
De Catherine Monfajon, Yann Varenne et Ludovic Fossard – ARTE GEIE / Découpages – France 2016
Ca c'est du Mac Gyver du QI et de la créativité dans le réel, ça m'impressionne et ça m'aide depuis tout temps je crois à trouver le juste milieu
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
École cherche enseignants désespérément
CHRISTINE LEGRAND, le 18/10/2016 à 17h28
De nombreux postes d’enseignants, vacants depuis la rentrée 2016, n’ont toujours pas été pourvus. Les parents oscillent entre inquiétude et colère.
ZOOM
Classe de collège. / Clément Martin
Alors que les vacances de la Toussaint 2016 commencent, des milliers élèves n’ont toujours pas eu depuis la rentrée une seule heure de maths, d’espagnol ou d’anglais. Leurs parents ont manifesté devant les établissements, demandé à être reçus par les rectorats, ils ont passé des annonces sur « Le bon coin ». Mais de nombreux enseignants manquent toujours à l’appel.
i Pourquoi lire La Croix ?
- La Croix vous explique, avec pédagogie et clarté, le monde qui vous entoure, afin que vous puissiez bâtir votre opinion.
+
►710 postes vacants
Selon les chiffres fournis le ministère de l’éducation nationale, 710 postes, en équivalents temps plein, étaient vacants au 16 septembre de cette année, contre 600 l’an dernier. Il n’y aurait donc pas, selon le ministère, d’« anomalie ».
Mais les associations de parents parlent de « situation inédite ». « Nous sommes à la veille des vacances et de nombreux postes n’ont toujours pas été pourvus, y compris dans des classes à examen. On n’a jamais vu ça, particulièrement en Île-de-France », s’inquiète Valerie Marty de la PEEP.
►Situation préoccupante en Ile-de-France...
« D’habitude à la Toussaint, le problème est réglé », abonde Bruno Brisebarre, responsable de la FCPE du Val-d’Oise, qui a comptabilisé pour son seul département 66 profs manquants. « Les postes ouverts dans les matières scientifiques et littéraires n’ont toujours pas été pourvus, s’inquiète-t-il. C’est la première fois qu’on connaît ça chez nous. »
Dans les Yvelines, la situation reste également « très préoccupante ». « On n’a pas réussi à recruter. Il nous manque une cinquantaine d’enseignants », souligne François André, responsable FCPE. L’académie de Versailles est particulièrement touchée cette année, reconnaît le ministère, et il manquerait toujours à la mi-octobre, selon le rectorat, 200 postes d’enseignants à pourvoir, 50 à temps complet, et 150 à temps partiel.
Et dans l’académie de Créteil, qui n’a pas pu communiquer ses chiffres à La Croix, la situation ne semble pas non plus encore réglée. Dans la cité scolaire Ferry-Cormier, de Coulommiers (Seine-et-Marne), il manquait quinze enseignants à la rentrée et encore huit le lundi 17 octobre.
►... et dans certaines régions rurales
Cette pénurie ne touche pas que l’Île-de-France. Dans le département de l’Ain, semi-rural, il manquerait toujours à l’appel une trentaine d’enseignants, dont 10 professeurs de maths et de physiques, selon Joëlle Bozonnet de la FCPE.
« C’est une catastrophe cette année, dit-elle, c’est la première fois que je vois ça. » « Nous avons écrit une lettre à la ministre et à la rectrice, dit-elle, mais nous n’avons toujours pas de réponse. Nous avons passé des annonces sur Le bon coin, mais les enseignants préfèrent aller à Lyon que dans l’Ain, et on ne sait plus quoi faire. »
►Le ministère tente de trouver des solutions
Face à la colère des parents, le ministère de l’éducation nationale tente de calmer le jeu. Les problèmes se seraient déplacés d’une académie à l’autre, mais n’auraient pas empiré. Les postes proposés aux concours ont augmenté et ils ont été pourvus à 93 % cette année.
> Lire aussi Najat Vallaud-Belkacem veut mieux remplacer les professeurs absents
Des enveloppes ont été également débloquées ces dernières semaines pour pouvoir embaucher des contractuels. Dans l’Académie de Versailles,« des sessions de recrutement sont organisées quasiment tous les jours en mathématiques, physique, chimie, espagnol ».
►Une « crise des vocations »
Il ne s’agit pas uniquement d’une question de « moyens », reconnaissent les parents. « La crise des vocations s’accélère et touche aussi les contractuels, notamment dans les matières scientifiques, souligne François André. Par ailleurs, la réforme du collège n’a pas été assez anticipée. » Notamment pour les langues vivantes, une seconde langue étant désormais enseignée dès la cinquième.
« La situation en espagnol est catastrophique », confirme Frédérique Rollet, du Syndicat national des enseignements de second degré (SNES), qui précise que« des annonces ont été publiées pour tenter de recruter des enseignants en Amérique latine ».
> Relire Ce que changent les 60 000 postes créés dans l’éducation nationale
►Des vacataires estimés trop fragiles
Face à ce problème récurrent, les familles craignent qu’on leur propose des enseignants au rabais. « Dans le Val-d’Oise, une session de recrutement a été organisée par Pôle emploi, proposant une formation de quatre semaines à des chômeurs qui ont en moyenne 50 ans et à qui on demande dans quelle matière ils se sentent le plus à l’aise », alerte Bruno Brisebarre. Et François André voudrait« qu’on arrête de recruter des vacataires trop fragiles, qui craquent au bout de quelques semaines ».
Valérie Marty souhaite que le ministère « prenne ce problème à bras-le-corps » et trouve des solutions au plus vite, quitte à faire appel aux retraités. « On a besoin,dit-elle, de toutes les bonnes volontés. »
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DES MESURES POUR PALLIER LES ABSENCES
La ministre de l’éducation nationale vient d’annoncer une série de mesures pour répondre aux absences de courte durée :
– pour les écoles maternelles et primaires, un vivier de remplaçants sera créé par département ;
– dans le secondaire, en cas d’absence de moins de 15 jours, les « protocoles de remplacement », créés en 2005, vont être réactivés permettant aux enseignants de remplacer, en heures supplémentaires, leurs collègues absents ;
– pour réduire les absences administratives, les formations d’enseignants auront lieu pendant les petites vacances scolaires et seront rémunérées ;
– pour mieux informer les parents, une charte sera expérimentée dans les académies de Poitiers et Nancy-Metz et généralisée « courant 2017 ».
CHRISTINE LEGRAND
http://www.la-croix.com/Famille/Education/Ecole-cherche-enseignants-desesperement-
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/mujer-felicidad.jpg
Les règles du bonheur selon Schopenhauer
Arthur Schopenhauer, brillant philosophe allemand, profondément ingénieux, a eu une grande influence pendant la seconde moitié du XIXe siècle et le début du XXe.
Si on se souvient de lui, c’est principalement pour sa position clairement pessimiste face au monde et à la vie, ce qui se reflète d’ailleurs dans sa principale oeuvre, intitulée Le Monde comme volonté et représentation.
Son grand réalisme ainsi que la profondeur de sa pensée l’empêchaient de voir «la vie en rose». Pourtant, Schopenhauer a écrit un essai comportant 50 règles pour atteindre le bonheur.
Le «bonheur» est un de ces concepts imprécis sur lesquels, au fil de l’histoire, on n’a jamais pu se mettre d’accord.
Tout le monde est d’accord pour dire qu’il s’agit d’une certaine sensation de plénitude et de joie, mais chaque personne arrive à cet état pour des raisons différentes.
D’ailleurs, beaucoup affirment que ce n’est même pas un état comme tel, mais plutôt une perception passagère.
«Le bonheur de la vie consiste à avoir toujours quelque chose à faire, quelqu’un à aimer et quelque chose à attendre»
-Thomas Chalmers-
Schopenhauer a développé un concept du bonheur qui avait pour fondement la prudence et l’éthique.
Selon lui, le bonheur a bien plus à voir avec la paix intérieure qu’avec l’exaltation ou le bonheur. Parmi ses cinquante règles pour être heureux, nous en avons sélectionné dix qui peuvent résulter enrichissantes.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/arthur-schopenhauer.jpg
Eviter la jalousie, règle essentielle selon Schopenhauer
«Règle numéro 2 : éviter la jalousie. Nous savons tous à quel point la jalousie est cruelle et implacable. Cependant, on s’efforce sans cesse de la susciter chez les autres. Pourquoi ?»
La jalousie est une force très négative qui peut s’emparer de notre coeur et bloquer notre joie de vivre. Quiconque est davantage focalisé sur ce que font ou ressentent les autres méprise la tâche consistant à construire son propre bonheur.
Ne pas penser aux résultats
«Règle numéro 7 : nous devons réfléchir très sérieusement à une chose avant de l’entreprendre, et une fois menée à bien, ne pas s’angoisser avec les résultats, se défaire pleinement de cette chose, et ne plus y penser»
Il s’agit simplement de s’impliquer à fond dans ce que l’on fait, puisque c’est la seule chose qui dépend entièrement de nous. Nous devons avoir la sensation d’avoir fait tout notre possible ; le reste n’a aucune importance.
Se permettre d’être heureux
«Règle numéro 13 : quand on est heureux, nous n’avons pas à demander la permission de ressentir du bonheur, ni à se demander si on a des raisons de l’être»
Beaucoup de personnes en arrivent à expérimenter une certaine surprise, voire même une certaine culpabilité quand elles se sentent heureuses.
Cela est dû au fait que les autres souffrent, ou que l’on considère que la souffrance est plus louable que la joie. Il est important de se défaire de ces idées et d’être capable d’expérimenter la joie, sans se poser de questions.
Contrôler son imagination
«Règle numéro 18 : Qu’il s’agisse de notre bien-être ou de notre mal-être, de nos espoirs ou de nos craintes, nous devons poser des limites à l’imagination»
Goya disait que «l’imagination engendre des monstres». Aussi bien avec nos craintes qu’avec nos ambitions, on a tendance à laisser s’exprimer notre imagination librement.
C’est pourquoi on finit par voir les dangers plus grands que ce qu’ils ne le sont réellement, ainsi que d’énormes succès desquels il ne suffit pas simplement de rêver afin de pouvoir les atteindre.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/chica-rodeada-de-fantas%C3%ADa.jpg
Eviter d’être triste
«Règle numéro 22 : vivre heureux, cela ne peut vouloir dire qu’une seule chose : vivre le moins malheureux possible»
Même si cela semble évident, tout le monde n’évite pas la tristesse. En effet, il y a ceux qui la cherchent, et bien sûr, ceux qui la trouvent.
Pour Schopenhauer, il est plus sain d’éviter voire d’éradiquer ces situations pouvant apporter de la tristesse, car en essence, elles n’en valent pas la peine, et sont la source de nouvelles difficultés.
Valoriser ce que l’on a
«Règle numéro 25 : lorsque l’on pense à ce que l’on possède, on doit se demander ce que l’on ressentirait si on nous l’enlevait : qu’il s’agisse d’une propriété, de notre santé, de nos ami.e.s, de nos amant.e.s, de notre femme/mari et de nos enfants, la plupart du temps, on ne prend conscience de la valeur de toutes ces choses qu’une fois qu’on les a perdues»
Chaque matin, on devrait se réveiller et penser à tout ce pour quoi on doit être reconnaissant : la chance de vivre une nouvelle journée, d’avoir un toit, un lit et une conscience pour valoriser ce que l’on a et que beaucoup d’autres n’ont pas.
Entreprendre et apprendre
«Règles 30 : l’activité d’entreprendre ou d’apprendre quelque chose est nécessaire au bonheur de l’être humain»
Avoir des plans et des projets, cela apporte une dose importante d’enthousiasme à la vie. Peu importe que ce projet consiste simplement à cultiver une plante ou à cuisiner un bon petit plat ; ces petites entreprises sont un trésor.
De la même façon, l’apprentissage nous permet toujours de sentir que l’on grandit et que l’on évolue : par conséquent, cela contribue au bonheur de vivre.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/mujer-con-franja-roja.jpg
Prendre soin de notre santé
«Règle numéro 32 : une proportion de 90% de notre bonheur repose exclusivement sur la santé»
Lorsque l’on est malade, on porte un regard tout autre sur la vie ; ceux qui ont souffert des rigueurs de la douleur, de l’incommodité ou de la limitation le savent.
La santé est un trésor authentique dont on doit prendre soin pour pouvoir profiter de tout le reste.
Faire preuve de compassion envers soi-même
«Règle numéro 34 : quand on analyse notre vie et nos échecs, on peut facilement en arriver à nous faire des reproches à nous-mêmes»
Selon Schopenhauer, la première forme de bonté doit être dirigée vers nous-mêmes. Il est important de s’évaluer, de reconnaître les erreurs que l’on a commises et d’en tirer des leçons.
En revanche, nous ne devons pas nous critiquer trop durement, car au bout du compte, cela ne sert à rien.
Préparez-vous pour le temps qui passe
«Règle numéro 35 : ce que l’on méprise et ce de quoi on arrête de tenir compte dans nos plans de vie le plus souvent et presque de façon forcée, ce sont les transformations que le temps opère sur nous-mêmes»
Quand on est jeune, on a l’impression que la vieillesse est quelque chose qui n’arrive qu’aux autres. Cette idée nous pousse à vivre sans nous préparer pour ce futur où le poids des années qui passent implique de nouvelles limitations ainsi que de nouvelles vulnérabilités.
Quiconque se prépare pour la vieillesse se garantit un meilleur passage par cette étape fragile de la vie.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/hombre-con-p%C3%A1jaros-a-su-alrededor.jpg
En savoir plus sur http://nospensees.fr/regles-bonheur-selon-schopenhauer/#SOGkLVZrXQhQcKCp.99
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Crédit image : happilyeverfit.wordpress.com
Gaslighting : Vous devez comprendre cette technique de manipulation sophistiquée
N’avez-vous jamais l’impression que tout dans votre relation est de votre faute ?
Ne finissez-vous pas par avouer des choses à votre partenaire, choses que vous n’avez jamais vécues ou n’auriez jamais dites, mais que vous avouez pour éviter une confrontation, pour le/la faire taire ?
Finissez-vous par croire les choses dont vous êtes accusé(e), de vous faire douter de votre propre perception?
La tentative systématique d’une personne pour induire le doute est appelée « gaslighting”, un terme inventé après la pièce de 1938 et Gaslight, film de Cukor, de 1944. Le film raconte l’histoire de Gregory, un jeune marié, qui utilise des techniques méthodiquement malignes et indirectes dans le seul but de faire douter sa jeune épouse Paula de ses perceptions et de sa mémoire. Ses tactiques comprennent le déplacement ou la modification des éléments et événements (par exemple, jouer sur l’éclairage de la maison, enlever une peinture du mur, égarer des objets, dissimuler des bijoux dans son sac), ainsi que nier avoir dit des choses, déformer les faits…
La réfutation de la perception a été signalée comme étant l’un des moyens les plus destructeurs de la violence dans les relations. Non seulement la victime est discréditée aux yeux de son entourage et à ses propres yeux, mais aucune responsabilité n’est reconnue à celui qui utilise ce procédé. Grâce à la négation systématique des événements et des déclarations, la victime vient à douter de sa propre santé mentale.
La victime commence par ressentir de la frustration à ne pas être comprise ou validée par son partenaire, mais avec le temps, elle se met à le croire et à douter d’elle-même, jusqu’à sombrer dans la dépression, ou la folie.
Il y a eu un intérêt croissant dans les méthodes employées par certains types de personnalité pour manipuler les gens autour d’eux. Les gens craignent, à juste titre, que quelqu’un dans leur vie puisse contrôler secrètement leurs décisions.
Il existe de nombreuses techniques de manipulations et elles sont utilisées le plus souvent par les psychopathes, les narcissiques, et d’autres personnalités anti-sociales, agressives.
Les projections sociales constamment fausses et difficiles de ces types les rendent très difficiles à identifier. Avoir une vigilance constante et une attitude interrogative peut être épuisant, mais c’est nécessaire.
Le gaslighting est l’un des moyens les effrayants pour contrôler une autre personne. Le manipulateur cherche à faire disparaître la foi de la victime par ses propres jugements et perceptions. Lorsque cela fonctionne , la victime n’a confiance ni en sa propre opinion ni en son point de vue. Dans le film, le mari tente de faire devenir sa femme folle en changeant subtilement son environnement et en affirmant que rien n’a changé ou que tout va bien.
Cela peut se faire de plusieurs manières. Dans une méthode, une personne peut dire un mensonge ou avoir un point de vue totalement opposé afin que l’autre personne doute de sa pensée originale. Le déséquilibre de l’information associé à la culpabilité consistant à accuser ou offenser le manipulateur peut suffire pour convaincre la victime du bien-fondé des mensonges.
L’escroc peut subtilement modifier les petits détails de l’information ou des événements passés, donc tout semble correct. Il change juste assez de détails pour atteindre son but, en laissant suffisamment d’informations correctes pour qu’on les repère difficilement. Le gaslighting est souvent de pair avec la manipulation émotionnelle comme la honte et la culpabilité.
Ces types de personnalité ont besoin de prendre l’avantage sur ceux qui les entourent pour se sentir puissants et avoir l’impression d’avoir le contrôle. Autrement, ils se sentent extrêmement faibles et mal à l’aise. Ils feront tout pour porter préjudice aux personnes qui les entourent.
Les raisons derrière cette tromperie changent d’une personne à l’autre. L’objectif final de ces distorsions est une nouvelle fois spécifique à la personne. Il va de soi que si une personne est capable de justifier le contrôle d’une autre personne, elle le fait uniquement dans son propre intérêt.
Avec le gaslighting, une personne peut perdre son individualité et sa force personnelle. Une fois qu’elle ne peut pas croire ce qu’elle pense ou ce qu’elle ressent, elle est complètement à la merci de son agresseur. Elle va croire ce que son maître dit et faire ce qu’il va leur ordonner de faire.
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/gaslighting-manipulation-sophistiquee.html
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[size=32]LA ROUE POUR LIBÉRER LA COLÈRE SANS VIOLENCE[/size]
Jeff | juillet 2, 2016 | Activités, Bonne idée ! | Pas de commentaire
Vous avez été très nombreux à télécharger les cartes pour exprimer la colère sans violence.
Sur le même principe, je vous invite aujourd’hui à réaliser avec votre enfant une roue de la colère qui comportera les moyens les plus adaptés pour « traverser » la colère.
Le fait que l’enfant soit impliqué dans le processus de création est essentiel car il se prépare ainsi mentalement à l’utilisation de ces outils et prend conscience de sa capacité à gérer ses émotions.
Suggestions :
Voici 2 exemples de roue que vous pouvez télécharger au format pdf ici.
http://papapositive.fr/roue-exprimer-colere-violence/
Jeff | juillet 2, 2016 | Activités, Bonne idée ! | Pas de commentaire
Vous avez été très nombreux à télécharger les cartes pour exprimer la colère sans violence.
Sur le même principe, je vous invite aujourd’hui à réaliser avec votre enfant une roue de la colère qui comportera les moyens les plus adaptés pour « traverser » la colère.
Le fait que l’enfant soit impliqué dans le processus de création est essentiel car il se prépare ainsi mentalement à l’utilisation de ces outils et prend conscience de sa capacité à gérer ses émotions.
Suggestions :
- fermer les yeux et respirer profondément en comptant jusqu’à 10 dans sa tête
- boire lentement un verre d’eau
- serrer la balle absorbe-colère (voir cet article)
- demander un câlin
- colorier le dragon de la colère (voir cet article pour le modèle)
- souffler sur le volcan de la colère (voir cet article pour le modèle)
- penser à la personne qu’on aime le plus
- s’imaginer dans le lieu où on se sent le plus en sécurité
- serrer fort son doudou
- gribouiller
- pleurer pour se soulager
- sauter sur place en levant les bras en l’air
- dire « je ressens de la colère »
- chanter
- tracer un grand « C » en l’air
- imiter un personnage de cartoon en colère
- demander l’attention de papa/maman
- se servir du cerveau dans la main (voir cet article)
- sortir et marcher
- …
2 EXEMPLES DE ROUE
Voici 2 exemples de roue que vous pouvez télécharger au format pdf ici.
http://papapositive.fr/roue-exprimer-colere-violence/
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Femme-et-loup.jpg
Il y a des gens qui vous inspirent et des gens qui vous épuisent
Il y a des personnes qui épuisent, qui engloutissent votre temps, votre patience et votre énergie. Ce sont des présences sibyllines, maîtresses dans l’art des promesses non tenues qui ne sont jamais en paix et qui entrent en guerre contre le monde entier.
C’est pour cela que nous devons être sages dans nos relations, et nous entourer des personnes qui nous inspirent.
Dans une étude intéressante sur l’interaction sociale menée par l’Université de Rochester (New-York), une donnée curieuse a été trouvée : 1 personne sur 10 présenterait un style de personnalité que les experts définissent comme «saboteurs du bonheur”.
Les personnes qui épuisent sont peut-être les plus communes car elles déploient, parfois sans le savoir, des comportements stressants qui conditionnent directement les environnements dans lesquels elles se meuvent.
Je ne laisse personne derrière moi, mais certaines personnes me perdent un peu plus chaque jour sans à peine s’en rendre compte.
Je me détache d’elles car elles m’épuisent, elles m’enlèvent de l’énergie et je ne permets à personne de saboter mon bonheur. Je préfère m’entourer de personnes qui m’inspirent.
Beaucoup d’entre vous doivent penser à l’évocation de ce type de profil : nous sommes en train de parler une fois de plus de personnes toxiques, mais ce n’est pas tout à fait cela.
Il faut pas tomber si rapidement dans l’usage de ces étiquettes qui sont si peu scientifiques et très populaires car en général, nous passons à côté des comportements et des attitudes particulières d’une personne ou d’un style de personnalité en particulier.
Si une personne nous épuise, c’est parce que nous y sommes perméable. Nous vous invitons à réfléchir à cela.
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Personnes qui épuisent : mécanismes psychologiques
Il y a des personnes qui épuisent dans notre famille, dans notre travail, dans nos amis et même pourquoi pas, dans nos relations affectives.
Elles nous épuisent quand nous sommes prisonniers des affects et l’être aimé devient un commerçant qui pointe du doigt nos erreurs et qui nous les fait payer. Elles ne se fatiguent jamais des discourségoïstes, des préjugés et des champs minés par la victimisation et le chantage.
Dans le livre «Intelligence Émotionnelle 2.0» de Jean Greaves, il nous explique que nous ne sommes généralement pas pleinement conscient de l’impact de ce type de liens dans notre équilibre émotionnel et sur notre santé. Nous vous proposons de découvrir certains de ces effets.
L’impact émotionnel des personnes qui sabotent notre calme
Nous pourrions dire que le terme «brûler» prend ici un sens quasi-réel. Les personnes qui épuisent nous utilisent souvent comme des «conteneurs émotionnels», dans lesquels verser leurs pensées, leurs peurs et leurs sombres idées, au point d’user lentement cette architecture si intime et puissante formée par notre cerveau.
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- Les personnes qui épuisent provoquent en nous un fort niveau de stress. Quand cette émotion négative devient chronique, les dendrites neuronales (les petits bras qui unissent les cellules nerveuses entre elles) se brisent à cause de cette sur-excitation si nocive et stressante. La zone où cette altération survient est l’hippocampe, là où se trouvent la mémoire et les émotions.
- Le fait de se sentir épuisés, d’être «perméables» à ce type de comportements, au lieu de nous éteindre ou de nous fatiguer, nous maintient toujours en alerte.C’est une sensation claire et instinctive de vouloir se défendre de «quelque chose» ou de «quelqu’un», de vivre toujours sur la défensive mais en se sentant prisonniers en même temps.
Nous sommes sûrs que face à ce type de situations, on vous a dit que vous devez «apprendre à mettre des limites une bonne fois pour toutes”. En réalité, il s’agit de quelque chose de bien plus simple que cela.
Il suffit de prendre pleine conscience de quelque chose d’essentiel : personne n’a le droit de brûler tous vos rêves de bonheur, personne ne doit vous apporter des tempêtes quand vous habitez dans un océan de calme.
Personne ne doit vous mener à la dérive, là où se cachent vos démons intérieurs.
Cherchez des gens qui vous inspirent, qui n’allume pas l’étincelle de vos incendies intérieurs jusqu’à vous «brûler».
J’aime les personnes qui m’inspirent
On dit souvent que lorsqu’on est très jeune, on ne choisit pas ses amis ou ses premières amours, nous prenons ce qui arrive avec passion, sans filtre, nous laissant porter par une cécité momentanée qui se guérira avec les années.
Avec le temps, nous devenons bien plus sélectifs, plus habiles et moins perméables à ce qui ne sert pas, à ce qui nous épuise, à ce qui veut nous voler quelque chose de légitime : notre bonheur.
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Chercher ou plutôt se permettre de trouver des personnes qui nous inspirent est un besoin vital dans lequel nous devrions investir chaque jour.
Qui nous inspire ouvre les fenêtres de l’âme et allume le phare de notre esprit pour nous permettre d’émerger de nos nuits d’apathie, de peurs et de solitude.
Avoir des parents ou des frères et sœurs qui nous inspirent, par exemple, est quelque chose qui forge des forces exceptionnelles pour grandir tout en maturité et en liberté.
Avoir des amis qui ne nous épuisent pas, mais qui sont des figures inspiratrices pour devenir de meilleures personnes est sans aucun doute un privilège auquel nous ne devrions jamais renoncer.
D’autre part, aucun amour ne peut être aussi fort et authentique que celui qui se construit sur les racines du respect et sur les feuilles reluisantes de l’admiration et de l’inspiration mutuelle.
Car pour inspirer quelqu’un, nul besoin d’être parfait. En réalité, il suffit que les autres voient comment vous surmontez vos propres imperfections pour toujours donner le meilleur de vous à chaque moment.
Cela vaut la peine d’en tenir compte.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/il-y-a-des-gens-qui-vous-inspirent-et-des-gens-qui-vous-epuisent/#3mxsb7GA8gvfzSAw.99
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
La séduction étape par étape : l’homme conduit-il vraiment la danse ?
18.10.2016 par Jérôme Palazzolo, dans Points de vue
Séduire a depuis toujours été un concept très vendeur : vous n'avez qu'à taper sur Internet les mots-clés "coach en séduction" pour tomber sur des sites plus farfelus les uns que les autres. C'est d'ailleurs en parcourant l'un d'eux que j'ai eu l'envie d'écrire ces quelques lignes, tant les énormités entendues et lues m'ont choqué / fait rire (au choix...). Globalement, en faisant appel à un "coach en séduction", vous êtes certains messieurs (eh oui, la plupart de ces sites s'adressent aux hommes) d'emballer en quelques minutes !
[Pour alléger mon propos je ne m'intéresserai ici qu'à la séduction hétérosexuelle, que mes ami(e)s gays ne s'en offusquent pas : je leur consacrerai une rubrique très prochainement]
D'où mon questionnement de base : avons-nous finalement, chers collègues masculins, la capacité de manipuler nos congénères féminines pour aboutir à nos fins, ou ne sommes-nous pas de pauvres petits êtres fragiles à qui les femmes "laissent croire" qu'ils dirigent les choses ?... En gros, je plonge là dans une vaste théorie du complot qui remet en cause le fondement même de ce qui définit le tombeur de ces dames, le Casanova de supermarché, le George Clooney de la vraie vie !
Les étapes et les rituels de séduction sont universels, à quelques nuances près. On les retrouve autant dans le monde végétal, animal, qu'humain, et ils sont beaucoup plus semblables qu'on oserait le croire. Par exemple, dans toutes les espèces, c'est la femelle qui est le sujet de la séduction et le mâle l'objet de la séduction. Le chasseur n'est pas nécessairement celui que l'on imagine. Un doute, messieurs ? Essayez donc de séduire une femme qui ne le souhaite pas, et vous verrez qui possède le pouvoir dans ce processus !...
Quelles sont ces fameuses étapes ? Il faut tout d'abord attirer l'attention de la personne que l'on veut séduire. Classiquement et de manière universelle, les femmes vont mettre en valeur leurs charmes physiques, les hommes leur puissance et leurs richesses ; les deux le font de manière plus ou moins ostensible, en lien avec certaines normes culturelles. Les hommes paradent, les femmes provoquent. Les hommes recherchent la fertilité, les femmes la sécurité.
Vient un moment où les regards se croisent. Si le regard intrusif de l'homme rencontre le regard réceptif d'une femme, se produit alors une étincelle remplie de promesses. Les pupilles se dilatent et commence un jeu de regards qui se cherchent et se fuient. Si la femme sourit, si elle fait virevolter sa chevelure, l'homme a la permission d'avancer, sinon ses chances sont minces. Si elle détourne le regard, mieux vaut ne pas insister. Même si le « mâle » se donne de l’importance, parle fort et bombe le torse, c'est peine perdue. Le regard est l'instrument de séduction le plus efficace de l'être humain. L'échange de regards possède un effet instantané : il provoque l'attirance ou la répulsion. Ne dit-on pas que les amants se " dévorent des yeux " ?...
Troisième acte, la conversation. En fait, son contenu n'a pas vraiment d'importance, mais il est nécessaire de trouver un sujet susceptible d’intéresser le ou la partenaire potentiel(le). Il faut donc être observateur et attentif... Plus important encore est le ton de la voix, car la voix nous révèle. Elle ne révèle pas seulement nos intentions, elle signe aussi notre milieu socio-culturel, notre éducation, nos humeurs. Un très grand nombre d'histoires d'amour ont tourné court dès les préambules verbaux. La conversation constitue le point de rupture : la séduction passe ou casse. Don Juan et Casanova savaient jouer avec les mots pour séduire, même si la séduction ne menait pas toujours à la consommation. Il faut savoir qu'au moment où l’on ouvre la bouche et où l’on parle, on dévoile ses intentions par l'inflexion et l'intonation de sa voix, même inconsciemment.
Les anthropologues ont démontré depuis longtemps que c'est généralement la femme qui se hasarde au premier contact physique en effleurant du bout des doigts le bras, l'avant-bras ou le dessus des mains du soupirant. Elle le fait de la façon la plus fortuite et "naïve" possible, mais c'est souvent une manière de dire : « Vous m'intéressez, Monsieur, continuez de me séduire ». C'est là que le « test » commence. Si l’on cherche à séduire une femme qui n’a pas signifié sa réceptivité par un regard, un sourire ou un léger toucher, il est fort probable que l’échange tourne court.
Ce test est de durée variable, mais l'objectif ultime est l'apprivoisement des partenaires. Se développent alors des comportements en miroir ou en écho : je bois, elle boit ; je me penche vers elle, elle se penche vers moi ; je lui prends la main, elle l'enserre ; je l'invite à dîner, elle accepte. L'homme a alors l'impression de mener le bal, car c'est lui qui, généralement, va chercher le premier baiser, exécuter la première caresse, fait les premières invitations intimes. Mais que ce dernier exécute un faux pas ou se montre un peu trop empressé, et il sera vite rappelé à l'ordre ! Ce qui interpelle généralement le plus la femme, c'est d'observer tout ce que l'homme est prêt à faire pour elle, surtout s'il fait exactement ce qu'elle veut et au moment où elle le désire, malgré les embûches qu'elle peut – volontairement ou inconsciemment – mettre en œuvre. Ce rituel constitue ce que Desmond Morris appelle "la danse de l'amour", laquelle vise la synchronisation parfaite des corps et des âmes.
De quoi remettre en question le concept de "sexe faible", non ?
http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-comment-surmonter-ses-blocages-37704.php
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/aliados14.jpg
Comment « désactiver » les personnes grincheuses ?
Les personnes grincheuses, les personnes qui ont tendance à se plaindre, à protester, à être grognon, les personnes qui ne supportent rien et qui semblent être sur le point d’envoyer valser toute personne qui les contredirait, ces personnes sont en fait en pleine souffrance.
La souffrance a de multiples visages ; vous pouvez l’exprimer avec des larmes, en dormant ou en mangeant excessivement, en vous montrant anxieux la majeure partie du temps, voire même en la masquant avec de la colère.
La colère est un masque qui peut donner l’impression que l’on est fort, or, la seule chose qu’elle fait bien souvent, c’est compenser un manque, une faiblesse intérieure.
Si on passe du temps avec une personne grincheuse, elle nous imposera un certain respect ainsi qu’une certaine distance puisque c’est précisément ce qu’elle veut de nous.
Cela l’aide momentanément à gonfler son ego qui, comme nous l’avons dit, est en fait profondément affecté.
Anatomie d’une personne grincheuse
Faible tolérance à la frustration
Les personnes grincheuses tolèrent très mal les incommodités quotidiennes et deviennent furieuses quand les choses ne se passent pas comme elles l’auraient voulu.
Cela génère en elles une haine qu’elles projettent généralement sur les autres, bien souvent en étant désagréables avec tout ceux qui se trouvent à leurs côtés.
Plaintes continues
Généralement, elles se plaignent, mais sans arriver à aucune solution efficace. Elles finissent donc par s’épuiser, et elles épuisent également les personnes de leur entourage, compliquant ainsi leurs relations sociales.
Généralement, les plaintes visent à faire culpabiliser les autres, à se victimiser elles-mêmes, et sont exagérées.
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Solutions peu constructives
Les personnes grincheuses sont des personnes qui, loin de chercher des solutions réalistes et fonctionnelles, préfèrent se plaindre et passer la majeure partie de leur temps à s’énerver contre toutes ces choses qu’elles ne peuvent pas contrôler.
Cependant, ce qu’elles peuvent contrôler, elles le laissent passer, et rares sont les fois où elles se responsabilisent, puisque comme nous l’avons dit, généralement, elles pensent que les autres doivent agir d’une certaine façon avec elles ou que la vie devait être différente de ce qu’elle est réellement.
De mauvais poil dès leur plus jeune âge
Ces comportements, comme presque tous, sont généralement appris, que ce soit au travers de la famille, du cinéma, des livres ou de tout message qu’enfant, on a intériorisé.
Ils s’inscrivent chez les personnes grincheuses et ce pour toute leur vie, sans qu’elles ne se remettent en question ni qu’elles se demandent si de tels comportements leur sont bénéfiques ou non.
Même si la génétique peut avoir une influence, généralement, on ne naît pas grognon mais on le devient.
Il est important de prendre conscience d’une chose : si on a appris à être ainsi, alors on peut aussi apprendre à ne plus l’être, même s’il n’est pas toujours facile de désapprendre en raison de l’automatisation du comportement humain.
Langage verbal et non-verbal menaçant
Généralement, les personnes grincheuses se présentent sous un aspect sérieux et peu amical, les sourcils froncés, bien souvent sans jamais regarder dans les yeux les personnes auxquelles elles s’adressent.
Leur langage verbal est menaçant ; elles imposent leurs opinions comme seule vérité, sans écouter ce que les autres peuvent avoir à dire.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Mujer-gritando-fuerte.jpg
De plus, le ton est généralement fort, énergique, et donne une sensation de nervosité. Tout cela est intimement lié au schéma de conduite de type A, lui-même lié à des troubles cardiovasculaires.
Tout n’est pas si mauvais
Finalement, tout cela n’est qu’une partie de la personne grincheuse ; au fond d’elle, il existe une personne merveilleuse, un enfant qui veut jouer et s’amuser.
Cette personne grincheuse que l’on voit aujourd’hui a autrefois été un enfant de cinq ans bercé par ses illusions et envahi par des envies de sauter, de rire…
Dès notre plus jeune âge et ce tout au long de notre vie, nous intériorisons certaines croyancesdysfonctionnelles. On se les approprie, et on guide notre vie en fonction d’elles.
Par conséquent, on sent que notre esprit s’embrouille, que cela gonfle notre ego, et nous pousse à être exigeant…
Ainsi, pour «désactiver» une personne grincheuse, nous devons être capable de réveiller l’enfant qui sommeille en elle…mais comment peut-on y arriver ?
Un enfant, c’est l’expression de l’amour et de la joie, c’est l’innocence pure, c’est un désir de donner de l’affection mais aussi d’en recevoir ; voici donc notre arme, la principale, l’amour.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Mujer-con-una-rosa-en-sus-manos.jpg
L’amour est l’arme la plus puissante qui puisse exister. Elle implique compréhension, affection, un pointe d’humour, des sourires et un bon traitement.
Par conséquent, si on veut «désactiver» une personne grincheuse, la première chose à faire, c’est oublier l’ego.
Cela veut dire qu’on ne doit pas se sentir blessé ou affecté si cette personne nous regarde avec un air méprisant ou si elle emploie un mauvais ton avec nous. Nous ne devons jamais oublier que c’est une personne embrouillée qui se trompe dans sa façon d’agir.
Cela aide également à se rendre compte que la personne grincheuse est, dans le fond, une personne fragile qui n’a pas su bien gérer les problèmes de sa vie et qui n’est pas satisfaite de façon générale.
Là, nous pouvons avoir recours à une partie de l’amour : la compréhension.
Une autre tactique pour «désactiver» les personnes grincheuses consiste à leur montrer notre plus beau sourire ainsi que notre affection la plus chaude et la plus sincère.
Essayez, et vous verrez à quel point c’est efficace ; nous aimons tous que l’on nous traite bien, que les autres nous sourient et qu’ils nous aiment.
Avec ces personnes, ayez recours au sens de l’humour. Non pas pour vous moquer d’elles, bien évidemment, mais plutôt des situations quotidiennes qui les perturbent.
Souvent, cela les aide d’avoir à leurs côtés une personne qui parvient à voir le bon côté des choses même les plus négatives, ou tout simplement qui est capable de dédramatiser.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/desactiver-personnes-grincheuses/#1tplFJfQRAyEdCF2.99
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Les 4 mantras de l’amour réciproque
PAR JEFF · PUBLICATION OCTOBRE 19, 2016 · MIS À JOUR OCTOBRE 19, 2016
J’évoque régulièrement des méthodes simple pour cultiver la compassion et la bienveillance au quotidien. C’est le cas des câlins qui, s’ils sont donnés en pleine conscience, apporte énormément de bienfaits et de réconfort.
Ce que je souhaitais partager avec vous aujourd’hui , ce sont 4 mantras pour nourrir l’amour réciproque. Je les ai découvertes en page 337 de la bible de pleine conscience.
Les voici :
[list="margin-right: 0px; margin-bottom: 15px; margin-left: 30px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; list-style: none;"]
[*]« Chérie, je suis là pour toi »
[*]« Chérie, je sais que tu es là »
[*]« Chérie, je sais que tu souffres »
[*]« Chérie, je souffre et je tente vraiment de pratiquer la compassion et le pardon. S’il te plait, aide-moi à fair cela pour nous »
[/list]
Ces 4 phrases remplissent les besoins en soutien émotionnel et soutien d’estime qui sont définis dans cet article.
Gardez-les dans votre tête et répétez-les souvent pour plus de chaleur au quotidien.
http://anti-deprime.com/2016/10/19/4-mantras-de-lamour-reciproque/
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Un jour ils viendront dans vos villes
Ceux qui n'ont plus rien n'a perdre
Et poussés au fond de l'abîme
Par la haine et la déprime
Un jour ils viendront dans vos villes
Ceux qui n'ont plus rien à perdre
Et vous verrez, vous verrez,
La Rage au fond des coeurs
Les cris, les pleurs, la haine et la douleur
Et vous verrez, la Rage au fond des coeurs
Les cris, les pleurs, la haine et la douleur
La Rage, la Rage au fond des coeurs (bis)
Un jour ils viendront dans vos villes
Ceux qui n'ont plus rien à perdre
Ils iront lécher vos vitrines
A grands coups de barre à mine
Un jour ils sauront vous rappeler
Que tout ne peut s'oublier
Et vous verrez, vous verrez,
La Rage au fond des coeurs
Les cris, les pleurs, la haine et la douleur
Et vous verrez, la Rage au fond des coeurs
Les cris, les pleurs, la haine et la douleur
La Rage, la Rage au fond des coeurs (bis)
Alors la nana m'a dit : j'espère que les gens ne feront pas la guerre pendant les soldes et qu'ils attendront que mon vernis soit sec.
Je lui ai dit que dans ce cas là elle vienne vite faire un fil ici et pas dans humour et détente, c'est un sujet sérieux. Je serai pour ma part chez les punks à chiens ou ceux et celles qui ont encore cette mentalité de la survie et de l'essentiel
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