Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

QIM - 2F - N = QIF ?

Par contre, le signe égalitaire semble moyennement bien fonctionner dans l'autre sens
Vu la théorie, ça frôlerait même le blasphème quelque part ^^

Numero6 a écrit: La fantaisie sied autant à un statisticien que des hémorroïdes à un pédé.

C'est le seul point où je tique sur ce magnifique texte, fort clair au demeurant ; mon cerveau de génie sans bouillir me dit, faut faire des statistiques pour confirmer ou infirmer la chose, parce que j'me dis, ça doit bien exister un statisticien pédé sous hémorroïdes qui s'éclate, non ?

En ce qui concerne la descente de la poubelle, j'essaye de chuchoter à l'oreille de ma compagne, en fait, quand la poubelle dégueule je fais semblant de ne pas le voir et je me casse, j'arrive à lui en faire sortir une sur dix !

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:En ce qui concerne la descente de la poubelle, j'essaye de chuchoter à l'oreille de ma compagne, en fait, quand la poubelle dégueule je fais semblant de ne pas le voir et je me casse, j'arrive à lui en faire sortir une sur dix !

Ah, cher maître, vous en êtes un autre.

Mon préféré reste le calcul probabiliste de l'instant exact qui me permettra d'obtenir une réponse négative de la part des femelles qui s'agitent aux fourneaux : " vous avez besoin d'un coup de main, les filles ? ".

Prépare la farce, steuplé.

Moi je feinte autrement, j'dis " je me prépare l'apéro " et je m'ouvre une bière !

Faut pas te plaindre si après tu sens le sapin et que t'as une gueule de déterré.

Bimbang a écrit:QIM - 2F - N = QIF  ?

Par contre, le signe égalitaire semble moyennement bien fonctionner dans l'autre sens
Vu la théorie, ça frôlerait même le blasphème quelque part  ^^

Il ne s'agit pas d'un blasphème mais d'un non-sens pléonasmique, car enfin il est contraire à toute règle logique d'associer du même coté de l'équation QIM et (-2F).

Je tiens à rappeler aux novices que l'état stationnaire basique du masculin est précisément (QIM - 2F), et c'est bien tout ce qui fait la force du QIM, lui permettant de construire des TGV, gagner Roland-Garros et faire son cake au guidon d'un bombardier F-35, tout ça pour impressionner Josy la stagiaire avec sa combi anti-gravité et ses lunettes Ray-ban négligemment posée sur le bout de son nez.
Nous abordons dans un prochain chapitre les lois hydrodynamiques de l'écoulement des fluides de classe Cyprine.

Il est nécessaire de rappeler que l'état masculin le plus stable se situe dans le canapé à regarder une bouse à la télé, ou devant une pizza dégueue à déconner devant WOW avec des potes bruyants. Le QIM a l'état brut est un aboutissement de l'intelligence, celle qui consiste à respecter la Loi de conservation maximale de l'énergie, et donc à en foutre le moins possible, toujours prêts à repousser l'ennemi, à défendre le territoire, dans un état de disponibilité maximale.

A partir du moment où l'esprit masculin quitte son état le plus stable, il entre dans le cercle dits des Ennuis qui commencent, celui que tu reprends dans ta formule : (QIM - 2F). Il rejoint ainsi son niveau le plus commun.
Le masculin va tenter de retourner par tous les moyens à son état le plus stable. En mettant la main sur et sa bite dans (2F), il retourne à son état optimum. Il lui suffit pour ça d'apprendre à construire des viaducs, d'entrer dans le cercle très fermé du Siècle, de devenir président du FMI, et là il est bien, parfaitement stable, il a toujours un petit cul à portée de la main.

Ce qui me permet, vous m'excuserez ce léger aparté, de vous signaler à quel point nous vivons une époque formidable, boutons les déclinistes hors de notre champ de conscience. Il s'avère que l'évolution des mœurs permet au masculin d'avoir 2F à portée de la main sans en branler une, même pas lui-même. Mettant à profit cette manie si typiquement féminine de vouloir se faire apprécier, QIM a su parfaitement utiliser la tendance de QIF à bosser du matin au soir, offrant ainsi son salaire et 2F sur le même plateau. Si en plus elle est mignonne et qu'elle maitrise parfaitement l'art du Tajine aux citrons et aux olives, QIM rejoint son état stationnaire le plus stable, le plus abouti, le moindre effort lui devient insupportable.
Il est là pour bouter l'ennemi hors de France, pas pour faire la vaisselle.

Le seul ennemi véritable de l'homme occidental moderne reste l'immigré basané que l'on soupçonnera toujours de disposer d'un goumi vénérable, hautement concurrentiel et d'accepter de se soumettre à l'avilissement de la descente de poubelles une fois par semaine. Un bon érythréen ne peut être qu'un dealer, il est très dangereux de lui donner de mauvaises habitudes en lui confiant la noble tache d'éboueur.

L'état stationnaire le plus luxurieux, mais malheureusement le plus instable, donc le plus rare, est atteint lors d'un alignement des planètes dite Conjonction de Guernesey, qui regroupe les caractéristiques de QIM et de (QIM - 2F) sur la même orbite.
C'est dans le décor de Hauteville House que Victor Hugo, exilé sur son ile, finira notamment Les Misérables et écrira Les Travailleurs de la mer. Tout ça avec le 2F de sa maîtresse Juliette Drouet à disponibilité immédiate, puisque le père Hugo avait pris soin de la loger dans la même rue, le génie s'autorise de lui-même.
Cet état improbable nécessite une production d'énergie colossale. Faire monter Jean Valjean sur les barricades avec Gavroche et toute la troupe, alors même que Juliette Drouet lui taille dans l'instant une pipe digne de La Légende des siècles, aumônières incluses, l'équivalent en quelque sorte de la quenelle épaulée mais à l'étage bital, moi je dis respect, il en avait dans le calbute Totor.

Cet état exceptionnel se refuse à une mise en équation. QIM seul est déjà utilisé pour l'état stationnaire de la larve pas rasée de la semaine. (QIM + 2F) est par convention réservé aux grands artistes tel que Georges Michael, Freddy Mercury ou Cyril Hanouna. (QIM - 2F + 2F), ça fait bricolage du dimanche.

Je crains qu'il nous faille attendre une autre Nicky Gabor, née Philendron, la faculté ayant déjà mis son veto à la proposition que je trouve pourtant particulièrement élégante : N6 = QIF + QIM.
Ah, je compatis à la la pesante solitude des précurseurs, mes frères.

*c'est la que la femme sort l'arme ultime : le mal de crâne *

@Chuna, c'est parce qu'il n'y a que de l'os !

ou la tigraine

J'ai bien des choses à dire sur la tite graine !

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:J'ai bien des choses à dire sur la tite graine !

Bimbang a écrit:

Pour moi, une femme c'est comme un dealer, elle a tout ce qu'il faut sur elle pour nous exploser les neurones, sans faire le moindre effort. Si elle souhaite parler ou passer un Master, je n'ai rien contre, mais bof... on ne peut pas dire que ça change grand-chose.

Personne, je dis bien personne, n'a jamais maté mes jambes quand je remontais mes chaussettes. Et pourtant je les choisis cardinales et d'un mélange raffiné de fil d’Écosse pour l'odeur et de schmeurschmidt mercerisé qu'on ne retrouve dans la toison que d'une gigogne sur 600, pour le lustré-sur-jambes. C'est pour vous dire si je fais des efforts pour mettre mes mollets, déjà splendides au naturel, en valeur. Jamais la moindre gourgandine ne se montra troublée par mon manège.

J'ai vidé mon verre parce que moi je n'aime pas faire les trucs à moitié, et j'ai autre chose à foutre que de mesurer mon spectre pessimiste-optimiste. Et je me suis fait une réflexion stroumphesque : yo man, you're not as smart as you think.

Voyons le bon coté des choses, beh oui, encore une fois ce sont les femmes qui l'ont dans l'os. Elles sont dépourvues du plaisir de s'émouvoir et de se trémousser à la vue d'une paire de jambe du sexe opposé, et d'avoir une douleur soudaine dans l'aire pré-braguettale rien qu'à entendre le crissement d'un croisement de jambes, 30 % lycra, 25 % nylon, 45 % élasthanne, qui te mettent 100 % la tête à l'envers, et qui te font regretter cette putain de mode à la con des jeans slim, parce que tu peux toujours tenter de lui indiquer le nord à Paulo, il tourne en rond dans son carrefour giratoire, coincé qu'il est par ce %@ù5$@ de jean de merde que ça m'étonne pas que les jeunes miaulent comme des tapettes.

Contrairement à l'image grotesque du mâle occidental répandue par les acharnées hystériques de la culture du viol, la moindre rebuffade, moue dubitative, hésitation au gobage instantané, suffisent à provoquer une débandade immédiate.
Et je ne dois pas être le seul. Nous faut du chaud, nous faut du tendre, nous faut du parfumé.

Dans les films, dans les livres, partout où des hommes s'amusent à revêtir un treillis très peu seillant, pour se faire plomber le foie à l'alcool frelaté ou se faire perforer les bas morceaux par les munitions de l'ennemi héréditaire, il y a toujours la scène classique des héros fatigués.
ET va-z-y qu'on repasse en boucle la tarte aux patates douces de mam', la gentille rouquine du saloon, et la chasse au daim avec les potes du paternel que jamais, jamais plus jamais on ira leur plomber le cul à l'ouverture de la chasse, maintenant qu'on a vécu les horreurs de la défense de notre way of life.
Il y avait un qualificatif qui revenait constamment quand il s'agissait pour ces féroces soldats de se projeter le bonheur d'une présence féminine : parfumée. Pas mince, pas belle, pas reine de la turlutte. Parfumée.

Vous ne pouvez pas lutter les filles, nous sommes faits pour le bonheur. Il suffit qu'on voit vos nichons pour éprouver du bien-être, alors que, hein, nous sommes d'accord, des nichons ça reste quand même que des nichons, y a pas de quoi... HE BEN SI, y a de quoi, justement. Deux ou trois grammes de dentelle et on grimpe aux rideaux. Quelques pschitt de vaporisateur d'un parfum capiteux, c'est tout ce qu'on demande après avoir rampé dans la boue et zigouillé de l'étranger au sang-impur.

Vous êtes de vrais dealers. On est prêts à faire un maximum de conneries pour obtenir ne serait-ce que la vue de ce que vous avez la finesse de dissimuler.

He bon, faut bien avouer, comme on a aucune chance de vous vendre notre came selon les mêmes principes, un coup de Gilette sur le menton, un coup de déo les jours de non-douche, on enlève le fromage accumulé sous le prépuce et les boulettes noires entre les orteils, et basta. Pas la peine de mettre le produit en vitrine, personne n'en veut. 10 minutes à tout casser pour les plus lents.

Dans cette lutte inégale j'aurais l'impression de vouloir échanger mes rutabagas contre de la libanaise de première qualité, certifiée défonce en business class. Voilà pourquoi il est hors de question que je me fasse chier à me casser le dos à cultiver des rutabagas ou à me pomponner pendant des heures devant le miroir de la salle de bains. Tant pis pour vous les filles.

Merci, je m'étrangle de sourires à te lire, N6, félicitations vraiment,... Du vrai Coco Chanel n° 6 !

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=10442.html

" un coup de Gilette sur le menton, un coup de déo les jours de non-douche, on enlève le fromage accumulé sous le prépuce et les boulettes noires entre les orteils, et basta. "

Celle là est d'une saveur particulière, que seules les épicuriennes peuvent apprécier, à mettre dans les anales !

Another kind of dark side, from age, devant lequel on ne peut que seins cligner...

Le jour où j'ai vu mon homme pour la première fois, il était en short. Et je me souviens très bien avoir reluqué ses jambes, velues certes, mais longues et élégantes, et bien galbées, presque des jambes de femme.
Ses mouvements de jambes étaient bien souples, et ça aussi, ça m'a plu. Il faisait pas mal de vélo à l'époque.

Ce n'est pas bien sûr ce qui m'a fait craquer, mais j'ai toujours ce moment en mémoire.
Comme quoi...

chuna56 a écrit:http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=10442.html

Rhaaa, la fabuleuse scène dans la file d'attente de l'agence pour le chômage....

je sais pas où tu trouves tout ça , Kass

@Bimbang : on a un groupe privé entre copines sur facebook où on se partage des photos de bonhommes dénudés ^^
Mais ça, c'est en très très privé entre nanas, plutôt crever que le montrer aux mecs

Ainsi, l'homme serait plus naturellement incliné à s'émouvoir à la vue et à l'odeur d'une jolie femme parfumée, qu'à celle d'une charogne de poulpe échoué, ou d'une poubelle débordante...
Etonnant Je ne doute pas que cette thèse révolutionnaire sera bientôt validé par les membres les plus avant-gardistes de la communauté scientifique

Moi me méfie du parfum, parfois ça cache quelque chose !

Tu suces pour un kind ?

Pause Kulture

Je trouve que ça fait, très musique de film de boules, des années 70 !

T'as un cochonnet dans chaque oreille, faut croire ^^

@chuna dans mon cul !
euh... dans ma tête !
...enfin, parfois ça se confond

The lady un red est quand même une sacrée pute.

Je n'ai jamais pu me faire au regard totalement vide de Laurence Ferrari, c'est mon problème pas le sien, parce qu'elle est plutôt super affriolante dans sa robe rouge, mais y a pas, je peux pas. Quand à sa blonditude parfaitement mise en scène, elle est tellement impeccable que même en plein rut je prendrais soin de ne pas l'ébouriffer, j'adooore.

On a tendance à présenter le journalisme comme le quatrième pouvoir.

Bon, OK, Tintin reporter ,le Washington Post à l'origine de l'impichimente de Nixon, le prix Pullitzer et Robert Capa sur les plages du débarquement en Normandie, tout bien. Quatrième pouvoir vendu aux naïfs que nous sommes comme le premier des contre-pouvoirs.

Bon. Maintenant imaginez qu'il soit le premier pouvoir tout court, l'institution qui fait et défait les puissants, celui devant lequel on s'incline, du manant aux magnats.

Arnaud Montebourg a tout ce qu'il faut pour plaire à ce pouvoir. Ancien plouc, avide des privilèges que procure le pouvoir, fagoté à l'origine comme un représentant de commerce que même Jean-Claude Convenant aurait trouvé à redire à sa tenue, non seulement il se tape des canons, des journalistes, il a droit aux ors de la République. Alors qu'il est totalement nul en économie, en politique internationale, qu'il n'a jamais monté une entreprise, qu'il ne sait pas lire un bilan comptable. En plus, il est plutôt beau gosse, oui, Arnaud fait partie du vivier de candidats mis à la disposition du premier pouvoir.

Il était venu faire son numéro bidon lors du deuxième débat de la primaire de la Gôche. Ce type est un rebelle. Il n'a pas hésité à rappeler le pouvoir de Bolloré sur la presse, et les licenciements d'i-Télé.

Si vous n'étiez pas autant habitués à ce qu'on se foute de votre gueule, vous auriez pu vous attendre à ce que la femme en rouge se fasse toute petite, qu'elle se sente indirectement mise en cause, car elle participe de cette indignité. Elle accepte de travailler pour un type qui n'a pas hésité à virer la moitié de la rédaction d'i-Télé pour protéger Morandini après la révélation de ses pratiques de séduction pour le moins troublantes, la grève c'est dans ton cul.
Si elle avait la moindre once de dignité, elle aurait du se faire toute, toute petite.

Mais reprenons. C'est une professionnelle, grassement rémunérée par le premier pouvoir pour lui servir la soupe, elle n'a aucun sens moral.
En bonne gagneuse, elle va faire ce pour quoi on la paye. Et sans sourciller, avec ce regard vide (mais putain cette robe rouge, arrrghh), et devant tous les français qui regardent encore la télé, elle ne va pas hésiter à couper la parole, à tancer fermement un ancien Ministre de la France, candidat à la plus haute fonction de la République Française.

La république c'est quand on délègue les prises de décision à quelques uns, que l'on a tendance à désigner par le terme d'élus. Donc, en gros, le président de la République c'est le gars qui est censé nous représenter nous, les frouzes, et protéger nos intérêts.
Et quand tu lui chies dans les pompes au gars, c'est un peu tous les français qui se retrouvent avec les pieds qui puent.

Rappelez-vous, ce que rapporte Arnaud Montebourg a été largement publié dans de nombreux médias, il ne se mouille pas trop pépère, il ne fait que rappeler ce que tout le monde sait déjà.
Mais c'est déjà trop. Pour adouber un vassal, le quatrième-pouvoir-qu'en-fait-c'est-le-premier, exige une soumission totale.

Et le premier pouvoir pointe du doigt le manant pour le faire taire. Et oui, en peu de temps, le rebelle Montebourg baisse les yeux. Impressionnant. Il continue à causer mais il baisse les yeux, puis il détourne le regard.
Dans cette vidéo, la dernière phrase de Ferrari est le résumé parfait de l'arrogance revendiquée du pouvoir des médias. Je n'hésiterais pas à la traduire par : " et je t'emmerde, petit con, non mais, tu te prends pour qui, chiure de mouche ? "



Il suffit de regarder les commentaires sur Youtube pour savoir que grâce à Internet ce cinoche ne prend plus, ce théâtre n'est plus crédible, tout le monde ne voit que trop bien les rapports en force en présence.

Pourquoi je vous raconte tout ça ? D'abord en raison de la robe rouge, la secla.
Et puis parce que cette bouffonnerie médiatisée me rappelle douloureusement à quelle point notre classe politique est d'une ringardise absolue.
Je crois qu'Arnaud Montebourg ne sait toujours pas qu'Internet existe. Il doit bien poster quelques conneries insignifiantes sur Twitter ou Facebook, vous chercherez à ma santé, mais il n'a rien compris à Internet.

La base du pouvoir médiatique repose sur un mécanisme simple : nous amener à penser que tous les autres sont des cons. Dans le cas présent, nous amener à croire qu'une majorité de français se laissent berner par ce cirque pitoyable.
Internet a ce pouvoir magique, on apprend grâce à lui que, non, les autres français ne se font plus avoir, les ficelles sont trop grosses pour échapper au dernier des abrutis.

Alors que si pépère Montebourg avait un vague semblant de véritable pensée politique il saurait que tout le monde n'attend qu'une chose : qu'il fasse fermer son clapet à l'indignité en robe rouge. Merde, la moitié d'une rédaction envoyée au Pôle-emploi par un milliardaire qui contrôle les médias, le français, même infiniment con, ça lui cause.

Ah vi, seulement voilà, Montebourg ne vaut rien, il ne sert à rien, c'est un pur parasite de notre société. N'importe quel tripier-cordonnier en sait plus que lui sur la situation économique de notre pays rien qu'en payant ses taxes innombrables.

Et si Monsieur Bolloré décide de lui tailler un short au bellâtre, il lui suffit de causer aux trois ou quatre types qui possèdent tous les médias en France, et monsieur Montebourg finira dans l'oubli le plus total, quitte à sortir des dossiers compromettants gardés sous le coude en cas de besoin. Je suis bien certain qu'Audrey Pulvar saurait se souvenir de quelques détails avilissants, comme la fois où il l'a sautée dans le parking de l’hôtel Meurisse, alors que merde, Nono, je te dis que j'ai mis un tampon, merde, t'es con ou bien ? J'ai dit non, c'est non, on voit bien que c'est pas toi qui va devoir partir à la pêche à la ficelle.

Ah vi, elle saura se souvenir qu'elle avait dit non, et que l'autre plouc machiste et phallocrate n'en a pas tenu compte. C'est fou ce que ces braves gens savent s'inventer une dignité quand il s'agit de faire tomber les petits copains.
Il pourra toujours Twitter comme un malade ou ouvrir une chaine Youtube, n'est pas Trump ou Mélanchon qui veut.

Voilà, non seulement ils sont nuls et ne pensent qu'à leurs privilèges, mais ils n'ont toujours pas compris qu'on avait abandonné le Minitel depuis longtemps. Les temps changent, et vite, et de plus en plus vite. Le premier qui déboite la mâchoire de ce pouvoir arrogant remporte la timbale, les français ne les supportent plus.

Leurs idées politiques tu parles si je m'en fous, peut-on encore parler d'idées ?
C'est ce monument de ringardise figé dans le XX° siècle que je suis contraint de constater, mon pays est en train de devenir le musée de cire de l'obsolescence programmée.

Arnaud, mon biquet, tu t'es tapé la pulpeuse Audrey Pulvard, tu n'aurais pas pu te payer la blonde Ferrari à la santé des français ? On t'en aurait été éternellement reconnaissant, pour une fois que tu ne jouais pas seulement pour ta gueule. Élu, mon gars, tu te souviens ? Par nous. Connard.

Ha, ben voila ^^ Merde, presque rien à redire, je vieillis ou quoi ?

Bon j'avoue que le Bennahmias m'a bien fait marrer (je le connaissais pas, c'est ça de vivre dans une grotte), même si dans mon insondable naïveté, j'espérais mieux qu'un sketch de cette soirée (pas vue en entier, quand même, j'ai mes limites ^^)

Numero6 a écrit:mon pays est en train de devenir le musée de cire de l'obsolescence programmée.

Joliment dit.

Pour montrer mon grand intérêt des médias et de la politique, j'ai une pensée pour Lolo Ferrari.

Tout cela me fait penser à un cirque, chacun son rôle, sa place, toi tu payes ta place, et ce sont plus les clowns qui font marrer, c'est devenu du grand Guignol !

Excellent. Pour rebondir sur les (nouveaux) médias et le pouvoir, il y avait hier soir un reportage intéressant sur Arte, à propos des "Data brokers", et l'exploitation marketing/politique de nos données personnelles pour générer de l'influence.

D'où l'importance de l'hygiène numérique (confidentialité des données), donc exit Google, Amazon, Facebook, Microsoft et consorts.

Niveau hygiène numérique, je fous mon caca partout où je peux !

Quand tu penses qu'ils le ramassent et qu'ils arrivent même à le revendre...

Allégorie fleurie dans Ccleaner : effacer mes traces. On se demande bien desquelles ils parlent

Un ti résumé : sacrée pute/connard.
Tu peux être rassurée Chuna : il va bien !

Dire qu'hier soir, j'étais prête à venir mettre un mot ici disant que je m'inquiète... Je suis décidément trop bileuse, moi...

Oui, chacun son rôle, tout va bien !

soto a écrit:Excellent. Pour rebondir sur les (nouveaux) médias et le pouvoir, il y avait hier soir un reportage intéressant sur Arte, à propos des "Data brokers", et l'exploitation marketing/politique de nos données personnelles pour générer de l'influence.

Passionnant. Hier soir j'ai visionné les vidéos où s'exprimait Laurent Chemla, un ancien de Usenet qui tente de sensibiliser le public aux conséquences de l'abandon de la vie privée, et malheureusement j'en ai retenu que son combat est perdu d'avance, les choses vont beaucoup trop vite.
Une des plus grosses inquiétudes de Chemla, c'est que nous allons tenir compte de cet espionnage industriel, nous allons tenir compte du fait que nous sommes enregistrés en continu. Dans un premier temps nous allons filtrer nos propos, puis nous allons réduire notre pensée, faute d'échanges qui permettraient de les affiner. Et le risque c'est que rien de nouveau ne puisse plus jamais émerger, que la démocratie soit définitivement en panne.



Un des principaux buts des agences de renseignement est de contribuer à la " deception " des pays adverses. C'est-à-dire nous convaincre que ce que l'on a ne vaut rien. Notre religion, notre culture, nos coutumes, nos habitudes alimentaires. Et ça va très loin. Les mêmes principes s'appliquent invariablement jusque dans notre intimité la plus profonde. Être une femme ne vaut rien, être une mère de famille ne vaut rien, on nous martèle en permanence qu'il ne s'agit que de stéréotypes. Les nanas se revendiquent bitches, la réputation ne vaut rien.

Je ne vais pas me relancer dans le débat sur les élections américaines, mais la seule chose que personne ne semblait comprendre c'est à quel point Trump s'est révélé moderne, bien plus que la surannée Hillary. Qu'il ait fait appel aux services des Data Brokers ne m'étonnent pas du tout, ses interventions sur Twitter n'étaient que la surface émergée de l'iceberg. Lui a su obtenir la bonne information, il a su qu'il devait malmener les journalistes, les prendre à leur propre avidité pour le sensationnalisme. Ils grinçaient des dents mais ne pouvaient se permettre de se priver de l'audience garantie par les dérapages de Trump.

L'avenir est à inventer. Chemla pose la question aux gens pour les faire réagir : " si vous n'aviez rien à cacher, alors mettez-vous à poil ". Mais ça ne marche pas, les gens ne réagissent pas, cette image ne leur parle pas.
Je ne demande si l'avenir n'est pas précisément de se foutre à poil, de tout montrer, de se réapproprier l'espace public.
La dernière campagne électorale américaine a ceci de remarquable que les partisans de Trump n'ont cessé d'utiliser le même procédé : tendre le micro à leurs adversaires, les laisser se dévaloriser par eux-mêmes, des SJW aux féministes, tous ces types étaient absolument imbuvables d'arrogance et de bigoterie, l'intolérance portée à son pinacle.