La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- A. : "nous sommes de nobles épicuriens qui étirons la philosophie jusqu'à l'ivresse".
Mon cher A. paix à son ame. Rétro activement, il semblerait que nous ayons aussi parfois étirer plus rapidement notre ivresse que la philosophie...
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Tu veux bien te sortir les échasses que tu as dans la bouche avant de me parler ?
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- http://christopheandre.com/estime_de_soi_mars_2009.pdf
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[justify]Du coup je vais le relire aussi. Comme ça qui sait je vais pouvoir faire une liste de "c'est la faute à qui ? toute ma vie ? pas moi
C'est pas moi, c'est les gens qui ont tout écrit des livres, avec des titres pour m'attirer... limite PNM
Rien de bien précis dans le titre (pour pas qu'on se doute du "piège"), des mots qui accrochent ça c'est pour la perversion, et le pire le :
Qui rappelle les :
Manipulation par les goûts alimentaires, ben bravo
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Sur la question de l’utilité de la philosophie...
4 Août 2017
Par Camille Loty Malebranche
À la question réflexe « à quoi sert la philosophie? », je dis qu’ainsi posée, cette interrogation répétitive résonne comme une inquisition. Question trop chargée de préjugés sots, au point d’en devenir aberrante! Aberration primitive de la foule qui ne peut s’imaginer un ailleurs à l’utilité servile, celle de l’usage objectal des choses.
Pragmatisme programmé par la société de l’immédiat. Posée au pluriel, la réponse à la question de la fin des philosophies, non de leur utilité, serait: qu’elles aident à proposer des modes de vision, des manières de regard des êtres et des choses.
Mais sans vouloir justifier ce qui n’est sur la sellette du superfétatoire que par la superfluité du pratique, du rentable et de l’utile, ces idoles de la masse servile et réflexe que le systématisme de l’ordre socioéconomique et de l’idéologie programme, nous affirmons une bonne fois pour toutes, que l’utilité n’est pas la fin de l’homme et que ce qui est humain n’a que faire des réquisitions d’un quelconque mode de production ou d’emploi utilitaire.
Pour retourner à la manière de comprendre, cette forme d’observation et de perception qu’est la philosophie, je dis qu’elle (la philosophie) est le regard plongé dans les essences pour y appréhender le sens premier et ultime des étants, choses et situations perçus comme constituant l’être c'est-à-dire la présence en général en tant qu’antithèse du néant, à travers une généalogie et une eschatologie fondamentales. C’est là, essentiellement, l’activité intellectuelle du philosophe dont la démarche est d’interroger le pourquoi et la finalité de toute présence, et parmi cette finalité, la place de l’homme.
La philosophie est une anthropologie interrogative qui tente en tout d’élaborer une herméneutique de la présence en soi par delà le comment et la matérialité de son objet. Donc, de la cosmologie où le philosophe pense l’origine comme cause première des univers, jusqu’à l’interrogation de la plus proche des choses, par exemple le design d’un sous-vêtement féminin au-delà de son aspect usager de protection, sa fonction érotique et de séduction qui émoustille le mâle, ou peut même induire du fétichisme chez certains excentriques, la philosophie conspue l’utile immédiat et réflexe de ceux qui veulent à tout prix tout réduire, à commencer par l’être humain lui-même, en une vulgaire fonctionnalité dans l’ordre pratique, mécanique, ô combien morbide et réificateur des objets.
La philosophie est l'activité ultra-intellectuelle par excellence, en tant que posture théorétique qui pense et qui, par les étapes de méditation de réflexion et de cognition via la cogitation, gratifie le penseur et l'humanité en général de l'élaboration d'idées au-delà de l'usuel. La philosophie permet de visualiser interrogativement de manière plurale et distanciée l'abstrait et le concret à travers la mouvance abstraite de l'entendement du philosophe qui ne fait pourtant jamais abstraction de la dimension pensante, ce caractère exclusivement propre au génie humain... C'est pourquoi bien orientée, la philosophie demeure une source inépuisablement nutritive de sagesse pour concevoir la finalité de l'action et le sens des faits et choses dont elle appréhende et dévoile les essences.
La philosophie est un Argos Panoptès discursif qui regarde et scrute interrogativement le substratum de l'être des étants et des faits de l'univers, cherchant à voir leur quiddité afin d'outiller l'intelligence humaine pour un meilleur rapport conscient de l'homme à l'être. À ce compte, la philosophie est directement ou indirectement ontologie globale au service d'une anthropologie éclairée pour aider l'homme à s'orienter dans le jugement et l'agir ultérieur.
CAMILLE LOTY MALEBRANCHE
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Sommaire-----------------------------------------------------------------------------------------
Depuis qu’il est entré dans mon bureau, il ne dit rien. La soixantaine élégante, costume sombre de bonne coupe, chaussures anglaises impeccables, mains soignées. Un chef. Du charisme et de l’énergie. Il tourne et retourne ma carte de visite, comme si, contemplée sous un angle différent, elle allait lui révéler un message caché. Je ne dis rien moi non plus. Après de longues minutes, il plante son regard dans le mien et se penche légèrement vers moi. Il a des iris bleu très clair.
" Je m’appelle Patrice Duval, annonce-t-il d’une voix assurée. Je suis directeur de division au sein du groupe Logitronics. Mon président a souhaité que je rencontre un coach. Vous me direz ce que vous en pensez, mais à mon avis, je n’ai aucun problème. "
Nouveau silence. Elle n’est pas facile la vie de l’homme qui n’a aucun problème.
" A la fin de l’année, reprend-il, je vais être en retraite. Je suis très heureux de prendre ma retraite ! " Puis, il plonge la tête dans ses mains et se met à sangloter. Des Patrice Duval, j’en vois assez souvent. Ils marchent sur la fine couche de glace d’un mythe : celui de la “retraite pêche à la ligne”. Ils sont nés dans les années 35-40 et leur image du retraité, ils l’ont fabriquée, adolescent, dans les années 50. Pour eux, un retraité, c’est d’abord leur grand-père, ensuite leur père. A l’époque, près de deux salariés sur trois étaient concernés par des emplois industriels, physiquement épuisants. Et surtout, l’espérance de vie était de 70 ans. Un retraité, c’était donc un homme épuisé qui n’en avait plus que pour quelques années avant que son corps ne lâche.
Or, aujourd’hui, tout a changé. D’abord, le retraité n’est plus épuisé. Les emplois de bureau, issus du développement du secteur tertiaire au cours des trente dernières années, exigent peu d’efforts physiques. Ensuite, le retraité a la vie devant lui. L’allongement de l’espérance de vie lui donne un supplément d’existence valide d’une ou deux décennies. Mais, pour cette nouvelle vie débarrassée des contingences matérielles – ces trente ans de liberté qui s’étendent entre l’ancien salarié-performant-battant-motivé-actif et le futur vieux-sage-détaché-serein –, nous n’avons pas encore de modèle d’identification. Pour employer un terme furieusement tendance, notre retraité est invité à devenir un " senior ". Mais un senior, personne ne sait vraiment à quoi ça ressemble.
Accepter de changer de rythme
René a quitté IBM dans le cadre du " plan " géré par la firme américaine, qui consiste à proposer à ses employés grisonnants de les payer à rester chez eux jusqu’à l’heure officielle de leur retraite. Mais, pour lui, pas question de stopper la vie professionnelle. Il a fait un bilan de compétences, puis a déployé une activité relationnelle fébrile pour racheter une petite société de services informatiques. Aujourd’hui, à 67 ans, il travaille encore plus dur que chez " Big Blue ", prend du Prozac (comme un quadra !) et se dit parfaitement heureux. René illustre le classique syndrome du retraité hyperactif qui ne parvient pas à décrocher. Il a bossé douze heures par jour pendant quarante ans, impossible de se désintoxiquer de cette drogue dure. Il ira jusqu’au bout, à moins qu’un accident de santé ne le force à lever le pied, lui fournissant l’excuse qui lui manque pour jouir enfin de la vie.
Michel, lui, conducteur offset dans une imprimerie parisienne, a pris sa retraite en 1997. Je le revois à l’occasion d’un cocktail professionnel. Comme il a changé ! Il a maigri, s’est voûté, ne semble plus s’intéresser à rien. En deux ans, Michel est devenu un petit vieux. N’ayant aucune image à laquelle s’identifier, il est entré directement dans le troisième âge.
Arrêter de travailler est toujours douloureux, même pour celui qui se réjouit sincèrement de prendre sa retraite. Pour plusieurs raisons. D’abord le changement de rythme, vécu comme un choc. L’individu se retrouve maître de " son " temps au lieu de s’engouffrer chaque matin dans le tunnel temporel de l’entreprise, scandé par les rendez-vous et les réunions. Son organisme n’est plus soumis au stress et à la tension qui, en quarante ans, sont devenus aussi indispensables que le café du matin. Le passage de la vie sociale ritualisée, mais intense, que l’on mène dans l’entreprise, à une vie plus solitaire est également un facteur fréquent de déstabilisation.
De plus, la confusion contemporaine entre ce que l’on fait et ce que l’on est amène le jeune retraité à se sentir vide et dépersonnalisé. Aux yeux des autres – " Qu’est-ce que vous faites dans la vie ? " est la question incontournable de repérage social –, mais aussi, et surtout, à ses propres yeux. En effet, lorsque la vie professionnelle a été abusivement surinvestie, la retraite s’assimile au deuil d’une certaine image de soi et d’une partie de sa vie. De là à fantasmer sur sa propre mort et à l’organiser inconsciemment, il n’y a qu’un pas que beaucoup franchissent dans les cinq ans qui suivent leur retraite. L’individu retourne contre lui-même l’énorme quantité d’énergie qu’il consacrait à son activité professionnelle, et se déclenche des pathologies, comme pour se punir de ne plus travailler. Pourtant, ce trésor d’énergie pourrait lui reconstruire un avenir !
La retraite active se développe
" Prendre sa retraite de salarié, mais pas de travailleur. " Aujourd’hui, la représentation de la retraite active qui se développe est celle d’une deuxième vie professionnelle. Les publicitaires, qui ont l’art de faire surfer le commerce sur les évolutions sociologiques, ne s’y trompent pas. " La retraite : un métier d’avenir ", clame la compagnie d’assurances La Mondiale, dont le spot met en scène une famille de poissons débarrassés des papis pêcheurs. Et les exemples de réussite ne manquent pas.
A 61 ans, Charlotte est une femme heureuse, pétillante de projets et d’activités. Il y a six ans, elle a été licenciée de son poste de secrétaire dans les télécommunications. " La chance de ma vie ! " n’hésite-t-elle pas à reconnaître. Après avoir " tiré " sur ses indemnités Assedic jusqu’à être dispensée de recherche d’emploi – " Je sais, c’est illégal, mais j’ai quand même cotisé trente-cinq ans ! " plaide-t-elle –, Charlotte a réalisé son rêve : apprendre le chinois et sillonner l’Extrême-Orient sur les traces de Sun Zu, en vue d’une thèse.
De même, Roland. Remercié par son entreprise de publicité le jour de ses 60 ans, il s’est mis à son compte et est devenu… concurrent de son ancien patron. " Je ne représente pas une menace très sérieuse pour lui, car je ne travaille que six mois par an ", sourit-il. Le reste du temps ? Il part aux Antilles avec sa femme et écrit des romans policiers.
Jacques, pour sa part, s’est mis à restaurer amoureusement une vieille Bugatti 35. Mais son action pour les réfugiés du Kosovo, au sein d’une association qu’il a créée dans sa ville, lui prend de plus en plus de temps.
Eric, lui, conseille les jeunes chômeurs de son quartier pour leurs recherches d’emploi, et écoute avec patience les sans-abri qui viennent lui confier leurs infortunes. L’hiver, pendant la saison de ski de fond, il disparaît du côté du Grand-Bornand, en Haute-Savoie.
Vers une vie à plusieurs dimensions
Le point commun de ces " vies composites " ? Etre composites, justement. Ces retraités restés jeunes sont peut-être les précurseurs d’une nouvelle façon d’appréhender son existence. Gérard, retraité de l’aéronautique, donne, à 70 ans passés, des conférences à l’université de Toulouse. Son thème de prédilection ? La musique baroque et le passage du clavecin au pianoforte. L’enseignement lui apporte le sentiment de transmettre ce qu’il a reçu. C’est une constante que l’on retrouve souvent chez ces actifs postsalariés : l’ambition de partager leur savoir et de se rendre utiles. Nombre d’entre eux s’investissent dans une activité humanitaire ou entrent en politique au niveau local.
" J’ai travaillé pour moi et ma famille pendant des années. Maintenant, j’ai le temps de servir les autres ", explique Raymond, ex-comptable, aujourd’hui pilier de l’association Egée (Entente entre les générations pour l’emploi et l’entreprise). Composée d’anciens cadres à la retraite, elle constitue des binômes travaillant bénévolement – un jeune, étudiant en général, et un ancien – qu’elle envoie dans les PME pour des missions de conseils.
N’ayant plus à subir le poids de la contrainte financière, qui ne sauterait pas sur l’opportunité de se réaliser dans une activité librement choisie et correspondant à ses passions ? C’est cela, la chance des " néoprofessionnels ". Jusqu’ici, " être dans la force de l’âge " s’appliquait à l’adulte productif apportant une contribution économique à la société et élevant ses enfants. Bref, au salarié de 25 à 55 ans. Mais science et démographie sont en train de faire glisser ce concept. Et demain peut-être cet adulte sera-t-il assimilé à un postadolescent engagé dans une période frénétique d’investissement professionnel – qu’on appellera, pourquoi pas, " service salarial ", comme on parlait naguère de service militaire. La force de l’âge débutera alors avec la fin de ce service salarial. Adultes matures, en bonne santé, il nous sera enfin possible de réaliser la quadrature du cercle : conjuguer utilité sociale, performance économique, qualité de vie et… plaisir. Reste à trouver les moyens de financer cette ambition.
COMMENT REUSSIR...
...sa reconversion
1. S’y prendre à l’avance. Dès 56 ou 57 ans, réfléchissez à votre futur mode de vie et aux activités qui prendront le relais de votre activité salariée. C’est le moyen le plus sûr d’éviter le passage à vide lorsque vous quitterez le travail auquel vous vous êtes si longtemps identifié.
2. Faire un véritable bilan de compétences pour préparer la suite. Il est hors de question de rester inactif vingt ou trente ans. C’est le moment de vous montrer créatif et d’identifier ce que vous aimez vraiment faire afin de vous consacrer à vos passions.
3. Prévoir une période d’adaptation de six mois à un an. Comme tout changement important, l’heure du départ est souvent suivie d’un épisode de fatigue ou de déprime. Le meilleur antidote : s’être organisé pour démarrer immédiatement de nouvelles activités, et ne pas avoir de trou dans son agenda.
4. Dire les choses. Ne pas chercher à cacher à votre entourage que vous ressentez une certaine nostalgie, ou de la colère, à l’idée de devoir arrêter de travailler dans l’entreprise alors que vous vous sentez en pleine forme. Nier votre vulnérabilité et jouer au " dur " ne servirait qu’à renforcer le deuil.
5. Changer son image du retraité. Ce n’est plus un petit papi inactif, mais une force économique croissante qui va prendre le pouvoir dans les vingt ans à venir
(Pierre Sahnoun)
LA MUSIQUE, CA CONSERVE :
Mort à 99 ans, le pianiste Paul Loyonnet a enregistré son dernier disque à 96 ans. Mort à 101 ans, Mieczyslav Horszowski a donné son dernier récital à 99 ans. Les musiciens auraient-ils le privilège de vivre plus vieux ? " Quatre ans de plus que la moyenne ", affirme le psychiatre John Diamond, fondateur de l’Institute for Music and Health de Salem (New York). Ainsi, les pianistes Wilhelm Kempf, mort à 96 ans, Arthur Rubinstein (95 ans), Claudio Arrau (88 ans), Vladimir Horowitz (86 ans), le violoncelliste Pablo Casals (96 ans), les chefs d’orchestre Arturo Toscanini (89 ans) et Karl Böhm (83 ans), et le compositeur Igor Stravinsky (89 ans).
Tous ont exercé leur talent jusqu’à la fin. Selon le docteur Diamond, solliciter en permanence les mémoires " mentale " et " gestuelle " prolonge la vie du système nerveux. Quant à l’énergie créative des sons, elle tonifie l’organisme. Résultat : une vingtaine de livres sur l’utilisation de la musique pour les malades d’Alzheimer vient d’être publiée aux Etats-Unis, et une loi est à l’étude pour le financement de cours de piano, violon ou saxo dans les maisons de retraite.
(Erik Pigani)
EN SAVOIR PLUS :
* Pour effectuer votre bilan professionnel et préparer votre nouvelle vie : l’association de Jean-Marie Dillemann, Chemins de vie. T. : 01.47.05.36.71.
* Pour trouver une activité :
Fédération nationale des associations de retraités. T. : 01.40.58.15.00
VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION :
Et si le monde devient trop vieux…
En 1995, les plus de 60 ans représentaient, selon l’ONU, 10 % de la population mondiale, proportion qui atteindra 30 % d’ici à une centaine d’années. Les causes : le nombre des naissances diminue, l’âge des décès recule. Ce vieillissement général, qui touche le monde entier, va engendrer un déséquilibre de plus entre pays pauvres et pays riches. L’Afrique, par exemple, dont l’espérance de vie est en train de chuter de 59 à 44 ans à cause du sida, n’aura jamais les moyens de financer des trithérapies à 690 € par personne et par mois. L’Europe, elle, continuera de vieillir : d’après l’Institut national des études démographiques, le nombre des plus de 60 ans dépassera celui des moins de 15 ans vers 2050. Si ce vieillissement global risque de créer de nouvelles tensions géopolitiques, il va aussi bouleverser l’organisation de notre société : création de syndicats spécialisés dans la défense des intérêts de personnes âgées – avec un risque de conservatisme ? –, surpopulation et ralentissement de l’activité économique des villes, problème de financement des retraites… L’entrée dans le XXIe siècle soulève de nombreuses questions auxquelles l’humanité n’a jamais été confrontée. Qui vivra verra !
(Erik Pigani)
http://www.psychologies.com/Bien-etre/Prevention/Hygiene-de-vie/Articles-et-Dossiers/Comment-vivre-jeune-100-ans/La-retraite-un-nouveau-depart/7
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Tokamak- Messages : 3004
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- http://tpefullmetaljacket.over-blog.com/article-14598028.html
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Du besoin de solitude au repli sur soi.
16
AVR
Solitude et replis sur soi sont deux choses qui en l’apparence sont proches mais qui pourtant sont très différentes.
Le besoin de solitude peut être une chose ultra bénéfique et un grand moyen de ressourcement interne.
Le replis sur soi est à l’inverse beaucoup plus négatif et un comportement qui reste destructeur dans le fond. Je précise que je fais une différence entre le repli sur soi, qui a des conséquences sur néfaste sur notre santé, et le retrait sur soi. Peut être que la nuance est faible, mais pour moi elle existe. Le repli peut être que c’est vrai c’est conditionné par mon travail, je l’associe au négatif. Mais je me trompe peut être, d’où ma nuance.
Dans le repli sur soi (dans ma définition) on enferme en nous de la peine, de la déception, de l’amertume. En quelque sorte on alimente la cocotte minute en nous. On se fait du mal à soi car on fuit quelque chose qui est trop douloureux à regarder en face. On met notre masque de fuyant.
Une réalité que l’on ne veut pas voir. D’un côté c’est normal car la chose est trop douloureuse dans l’instant présent à accepter.
Mais le repli sur soi est à mon sens une bombe à retardement. Et de tous ces non dits cet enfouissement à l’intérieur de toi il se forme des mémoires corporelles ultra puissantes. Des mémoires corporelles de peur, de rejet qui seront ensuite propice au développement cancéreux si on adopte ce comportement durant de longues années. En médecine énergétique c’est un aspect important.
J’ai été une personne qui a tout gardé en soi. C’était un truc de dingue. Et tout cela en a fait des dégâts et le jour où la soupape a explosé cela n’était pas triste. Mais d’un côté c’est une immense chance qu’elle est explosée assez tôt à savoir au sortir mon adolescence. J’ ai appris à ne plus me replier sur moi. Cela n’a pas été chose évidente au départ. J’ai encore des choses où parfois je me replis sur moi mais ce n’est quasi rien vis à vis d’avant. Et il y a pas longtemps c’est un ami pour qui je suis très reconnaissante qui m’a aidé à faire sortir de moi cette chose douloureuse.
Oui le replis sur soi j’ ai connu et pas en demi mesure.Du repli sur soi j’en ai retenu la leçon que c’est avant tout à soi qu’on se fait du mal, et qu’on alimente notre douleur en fuyant. Et je dis encore merci à une personne chère à mes yeux, cette personne que je vois un peu comme mon grand père. Les claques, d’être mise face à moi même oui je m’en suis prise des dizaines et des dizaines mais c’est ce qui m’a permis d’avancer et de défaire tous mes schémas de fonctionnement. Et ce n’est pas parce que j’ai été dans le replis que je dois le rester toute ma vie, il faut un moment poser les cartes et déconstruire nos schémas destructeurs de fonctionnement. Schémas que ‘lon croit bon car on n’a jamais connu autre chose, et parce que d’un côté ils nous aide à conservé notre coquille. Ce n’est pas évident de faire tomber la carapace.
Mais du repli sur moi, je suis passée à une attitude de retrait. Dans le repli, on garde une mémoire énergétique très forte, et qui laisse des dégâts à terme, et parfois de longues années plus tard, car on a enfouis en soi. Et ça je le vois tous les jours à mon boulot. Les cancers qui flambent chez des gens qui ont une bonne hygiène de vie, sans facteur de risques environnementaux (tabac, alcool) , des gens où la peur a pris le contrôle de leur vie (y compris peurs inconscientes) , et qui se font bouffer à l’intérieur d’eux par leur mental.
De l’autre côté du repli sur soi, il y a donc le besoin de solitude. Comme je le disais en introduction c’est une chose totalement différente. Le besoin de solitude peut être quelque chose de très ressourçant. Je suis pour ma part une grande solitaire. Même si j’ai créé le lien social autour de moi, j’ai un grand besoin de solitude. Et ce sont des moments de ressourcement intense. J’ai besoin d’être seule, et je n’ai pas besoin de voir du monde en permanence. Au contraire d’ailleurs. Et ce besoin de solitude ce n’est pas parce que je vais mal,c’est un besoin permanent. Tout le monde ne le comprend pas, cela oui je le sais. Ma famille a plus ou moins compris avec le temps, même si parfois ce n’est pas évident à leur faire intégrer.Je n’ai pas besoin de voir du monde en permanence pour être heureuse. Ces moments de solitude sont quelque chose d’ultra précieux pour moi. Pas plus que je suis pendu à mon téléphone, je ne suis pas une fana de téléphone, mais en aucun cas c’est un manque pour moi.
Si cela ne convient pas aux personnes qui m’entourent, ben tant pis elles passent leur chemin. Et si le besoin de solitude doit faire du ménage autour de soi, il fera du ménage positivement. Mais moment de solitude est pour moi bien différent de replis sur soi. L’un étant positif et l’autre destructeur. La solitude je l’associe, au retrait et donc à notre construction dans une sens.
Besoins de solitude ne veut pas dire être antisocial. Bien au contraire le lien social est très important. Et du lien social cela je n’en manque pas. Du lien avec du partage et de vraies et belles valeurs humaines. Besoin de solitude ne veut certainement pas dire être égoïste ou individualiste.
Mais oui besoin de solitude et repli sont proches en apparence mais pourtant très différent.
Après c’est peut être ma vision qui est erronée .
https://lavitaliteverte.com/2013/04/16/du-besoin-de-solitude-au-repli-sur-soi/
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PÉDAGOGIES ⁄ PSYCHOLOGIES
Évocations de la Surdouance dans les Films pour Enfants
31 janvier 2013 par Henri Sequeira
Aujourd’hui encore, l’Enfant « surdoué » n’est souvent repéré que lorsqu’il développe des désordres psychologiques.
Pour autant, lorsque le diagnostic est posé, la question de l’épanouissement de cet Enfant reste entière.
Pourquoi ces profils nous sont si difficilement accessibles? Pourquoi nous mettent-ils si souvent en marge de la compréhension? En abordant la problématique par la fiction audiovisuelle, nous proposons une approche qui pourra compléter la littérature spécialisée en présentant des cas concrets, aussi riches que différents.
Éléments de réflexion
Surdoué, Enfant à Haut Potentiel, Enfant précoce, ou Atypique Personne dans l’Intelligence et l’Émotion… Depuis des dizaines d’années, de nombreuses dénominations s’amalgament dans notre compréhension et activent des représentations souvent éloignées de ce que vit cet Enfant si singulier. Mais à défaut de le nommer, on s’attache aujourd’hui à mieux l’identifier, afin de mieux l’accompagner dans sa scolarité et dans son chemin de vie.
Au-delà des vicissitudes scolaires et l’aspect marquant du développement des compétences, c’est la question de l’épanouissement de l’Enfant qui est à nouveau posée dans un cadre plus large que celui de l’agent économique de demain. Du besoin affectif au besoin d’espace, l’Enfant surdoué interpelle sans cesse notre attention, et met à l’épreuve notre aptitude à la différence et notre appréhension de l’inconnu.
« Il n’est point de jardinier pour les hommes » : disait Antoine de Saint-Exupéry. Nous sommes invités à « réaliser » l’accompagnement bienveillant qui implique l’absence de carnet de route, une disponibilité attentive et une aptitude au retrait, nécessaire à l’épanouissement de l’Enfant surdoué.
En revenant aux fondamentaux du métier d’éducateur, nous prenons à nouveau le risque de donner la confiance à l’Enfant, et reconnaître en lui un Maître, en compagnie duquel, nous grandissons aussi. En ce sens, on peut voir en ce drôle de « zèbre », un ambassadeur de l’Enfance.
Le Besoin de Reconnaissance
Tempête de boulettes géantes
Tempête de Boulettes Géantes
Réalisateurs : Phil Lord, Chris Miller
Année : 2009
A Swallow Falls, petite île perdue dans l’Atlantique, la crise de la sardine condamne les insulaires à écouler les stocks jusqu’à l’écoeurement. Heureusement, un petit génie nommé Flint Lockwood décide de remédier à cet état de choses en inventant une machine qui pourra changer l’eau en… nourriture.
Depuis la disparition de sa mère, Flint Lockwood souffre d’un manque de reconnaissance. Son père lui, n’a jamais su trouver les mots pour l’encourager et, après une série d’inventions peu convaincantes voire désastreuses, ce dernier décide qu’il est temps pour Flint de mettre un terme à ses recherches et de venir travailler avec lui, dans le magasin de pêche familial. Flint Lockwood fonctionne à la confiance ; il n’est jamais plus motivé que lorsque l’on croit en lui. Ses efforts sont orientés alors vers la démonstration qu’une de ses inventions pourra sortir sa ville de la crise. Ainsi, à travers la reconnaissance du Maire et des citoyens, il espère obtenir celle de son père. Mais au bout du compte, dans cette recherche de reconnaissance, dans le zèle démonstratif, Flint Lockwood dérive aux limites même du désastre ; un désastre d’une portée cosmique, aussi retentissant que son désespoir intérieur. Être reconnu oui, mais pas à n’importe quel prix : après une phase de griserie et d’égarement, le jeune inventeur est rattrapé par son sens éthique. C’est dans la nécessité de réparer son erreur et grâce au soutien d’une âme-soeur -qu’il trouve en la personne d’une météorologue stagiaire, dépêchée sur son île pour relater les événements, que Flint Lockwood atteindra finalement son père et mettra son univers en équilibre.
tempete-de-boulettes-geantes
bande-annonce
Le Besoin de Justice
Matilda
Matilda
Réalisateur : Danny de Vito
Année : 1996
Matilda est une veritable extra-terrestre parachutée dans la famille Verdebois. Dotée d’une intelligence hors du commun, elle s’accommode de la négligence de ses parents pour prendre en main la satisfaction de ses appétits intellectuels. Lorsque viendra le moment d’aller à l’école, le face à face avec la directrice Mlle Legourdin, lui permettra de révéler pleinement son potentiel.
Adapté du classique de la littérature jeunesse écrit par Roald Dahl, le film « Matilda » est resté fidèle à la trame du récit marqué par de forts contrastes et dont le ressort principal est le refus de l’injustice. Flanquée de parents abrutis et indifférents, c’est dans le cadre familial que Matilda mènera ses premiers combats contre l’injustice. À l’école, par la confrontation avec la directrice tyrannique, c’est un véritable choc de titans qui s’annonce. C’est face à des situations d’injustice insoutenable, que Matilda va activer ses compétences de psychokinésie. Elle apprendra alors à maîtriser ses nouveaux pouvoirs afin de réhabiliter un ordre des choses et par là-même, tracer sa nouvelle trajectoire de vie.
matilda
bande-annonce
Le Brûlot Affectif
L'Enfant au violon
L’Enfant au Violon
Réalisateur : Chen Kaije
Année : 2002
Très tôt, Xiaochun se révèle être un violoniste prodigieux. Alors qu’il est déjà lauréat de nombreux concours, son père Liu Cheng décide de l’emmener à Pékin pour le mettre sous la tutelle d’un professeur qui le conduira vers la gloire.
L’histoire bouleversante de l’enfant au violon, adaptée d’une histoire vraie, se projette sur toile de fond de la politique démographique chinoise. Liu Cheng est un simple cuisinier et rêve de conduire son fils prodigieux sur les chemins de la gloire et lui offrir ainsi un raccourci vers l’ascension sociale. Ensemble, ils s’embarquent pour Pékin à la recherche d’un professeur qui pourra poursuivre son éducation musicale. Dans la Grande ville, dans un climat social où les émotions sont étouffées et où l’argent préside à toutes les relations, XiaoChun, alors jeune adolescent rêve d’autres conquêtes et c’est ainsi qu’il se lie d’amitié avec la belle Liu. Lentement cependant, l’étau va se resserer autour de lui, entre cet amour platonique et les ambitions de son père, pour révéler en fin de compte la puissance de l’amour entre le père et fils. Dans la Grande gare de Pékin, territoire-même de l’indifférence et de l’anonymat, territoire de l’abandon, XiaoChun lance un brûlot à l’encontre de son père.
L'enfant au violon
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La Dyssynchronie Sociale
Dragons
Dragons
Réalisateurs : Chris Sanders, Dean Deblois
Année : 2010
A Beurk, devenir soi-même, c’est avant tout être un bon Viking. Pour cela, le rite de passage consiste en la mise à mort d’un représentant du fléau local : les dragons. Harold n’a pas tout à fait l’âme d’un tueur de dragons, mais en tant que fils du chef du village, il est très attendu sur ce sujet.
La furie nocturne est un spécimen à part parmi les dragons, tout comme Harold l’est parmi son peuple de Vikings ; un peuple centré sur des valeurs ancestrales et la haine des dragons. Harold est en dyssynchronie avec les adolescents de son âge mais également avec les valeurs de tout le clan. La rencontre est alors aussi inévitable que salutaire entre cet enfant isolé et le dragon prodige. Alors qu’il tient le dragon blessé à sa merci et qu’il lui suffit de le mettre à mort pour être intégré avec les honneurs dans la vie du groupe, Harold écoute sa voix intérieure et cède à son empathie. L’enfant est alors fasciné par ce dragon méconnu en lequel il se reconnaît. Il découvre que la haine qui anime son peuple n’est fondée que sur la peur primitive de l’étrange. L’un et l’autre s’apprivoisent et la relation au dragon ouvre la voie royale de la réintégration du jeune garçon à son groupe. Mais davantage encore, par le séisme que sera la révélation de cette communion contre nature, le dragon et l’enfant ébranleront les paradigmes qui fondent leurs communautés respectives et ouvriront le village Viking à de nouvelles perceptions.
dragons
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Le Décalage Identitaire
Moi, Moche et Méchant
Moi, Moche et Méchant
Réalisateurs : Chris Renaud, Pierre Coffin
Année : 2010
Certes, il est moche et méchant, mais avant tout, Gru est un inventeur de génie. Dans la course à la méchanceté qui l’oppose à l’abominable Vector, il a un train de retard et les atouts ne sont pas dans son jeu. En frappant à la porte de l’orphelinat local, il va forcer sa chance.
Depuis son enfance marquée par l’indifférence, la négation de ses talents et l’humiliation, Gru n’a jamais pu rallier sa mère à son génie pourtant évident. Dès lors, il se lance à la conquête de coup d’éclats conformes aux références reconnues par la mère. Ainsi s’amorce pour lui le processus de décalage identitaire, c’est le moment où il commence à se créer un personnage : celui du Méchant. Alors qu’il adopte trois orphelines dans le but de les instrumentaliser pour pénétrer la forteresse de son rival, le champion des méchants dénommé Vector, Gru est rattrapé par sa véritable nature. Malgré les enjeux qu’il s’était fixés, il saura témoigner de l’amour à ces enfants et ainsi se retrouver lui-même et les adopter véritablement, à contrepied du modèle maternel.
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Le Conflit des Enjeux
Le Petit Homme
Le Petit Homme
Réalisateur : Jodie Foster
Année : 1991
Fred, un jeune garçon de sept ans vit seul avec sa mère à Cincinnati. Très vite ses talents de pianiste, de peintre et de mathématicien attirent l’attention d’un centre d’accompagnement des enfants surdoués. Il est alors pris en charge par Jane Grierson qui entend l’aider à développer son potentiel.
L’histoire du « Petit Homme » décrit la trame silencieuse des enjeux qui se dessinent autour de l’enfant surdoué. Lorsque son potentiel est repéré par un institut prenant en charge les enfants surdoués, Fred se retrouve dans l’étau, entre une mère qui souhaite l’inscrire dans la normalité et une psychologue qui voudrait le prendre sous sa tutelle afin de développer son potentiel. Il se retrouve tiraillé entre des enjeux posés par d’autres comme il fait le grand écart entre ses compétences du génie et ses besoins affectifs. Mais Jane, la psychologue semble elle-même souffrir encore des choix qui lui ont été imposés enfant ; dans sa relation trop didactique, focalisée sur le potentiel de Fred, elle ne parvient pas à combler ses besoins affectifs. Fred finira par quitter la ménagerie en pleine parade de démonstration pour retrouver sa mère. Jane Grierson nourrie de cette aventure, écrira un livre sur ce « Petit Homme » et s’en trouvera réconciliée avec elle-même.
Le petit homme
reportage
L’épreuve des paradigmes
1001Pattes
1001 Pattes
Réalisateurs : 1001 Pattes
Année : 1998
Chaque année, la communauté des fourmis doit consacrer une partie de ses récoltes pour constituer une « offrande » pour une bande de sauterelles racketteuses emmenée par le redoudable « Borgne ». Alors que l’audacieux et inventif Tilt tente de faire évoluer la communauté en proposant des méthodes de récoltes plus productives, sa moisonneuse déverse par accident l’offrande dans la rivière. Les sauterelles furieuses réclament alors un double tribut avant la fin de la saison. Tilt va alors tenter de réparer son erreur.
La transposition de la problématique de la surdouance au monde des fourmis offre un angle intéressant. Nous sommes dans une société caractérisée par une organisation hiérarchisée en colonie dont les membres sont indissociables de celle-ci. Ce mode d’organisation sociale basée sur l’eusocialité impose que chaque individu « rentre dans le rang » pour y tenir son rôle. Tilt avec son esprit inventif et son audace déroge à cette règle naturelle et prêche en plein désert. Ses propositions progressistes, sa volonté d’en finir avec le racket des sauterelles sont tout simplement inconcevables pour la colonie. La vie de Tilt finit par ressembler à une accumulation d’échecs, car le succès et la reconnaissance viendrait de son utilité au groupe or, l’inconcevable n’est d’aucune utilité. Son peuple tout entier, jusqu’à la reine et la jeune princesse qui doit lui succéder, est tenu par la peur et le repli dans les traditions. À leur perception linéaire et primitive, s’offre la pensée arborescente et globale de Tilt qui voit sa communauté dans toute sa grandeur. Le glissement de la fourmi au modèle humain s’opère où Tilt produit un véritable élan de civilisation et ce, par la désobéissance. Celui-ci devra passer en force et créer des situations catastrophiques pour que le déclic se produise et libère le cycle de la confiance qui lui donnera, à défaut de son rang, une place parmi son peuple qui a su retrouver sa dignité et une grandeur nouvelle.
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Chemins de Traverse
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À la recherche de Bobby Fischer
Réalisateur : Steven Zaillian
Année : 1993
À 7 ans, Josh Waitzkin semble bien engagé dans le sillage du célèbre Maître d’échecs, Bobby Fischer. Il est alors pris en charge par un professeur qui a connu le grand Maître et ensemble, il vont plonger dans le vertige de la compétition. Un jour, apparaît un autre prodige, Jonathan Poe qui incarne pour Josh, le spectre de la défaite.
Pour Josh Waitzkin, très vite, les choses deviennent trop sérieuses. Il remportait jusqu’alors toutes les compétitions d’échecs avec une certaine légèreté. Mais un jour pourtant, la défaite se présente et il mesure alors le poids du fardeau qui s’est accumulé sur ses jeunes épaules. Ce qu’il vivait comme un jeu a pris une importance capitale pour son entraîneur et pour son père. Et rôde toujours le fantôme du champion d’échecs Bobby Fischer, installé comme une figure de référence. Mais Josh a son style propre marqué par une profonde empathie et le respect de l’adversaire qu’il ne saura jamais détester pour gagner. Pour ses « coups » également, il va s’en remettre à son intuition et suivre son étoile dans la nouvelle partie qu’il va mener contre Jonathan Poe, celui qui l’avait précédemment vaincu. Puisant suivant l’inspiration du moment, dans les enseigements contradictoires de ses deux instructeurs, Il va quitter le sillage de Bobby Fischer pour emprunter des chemins de traverse et faire véritablement acte de création. C’est ainsi qu’il se retrouve lui-même dans le plaisir de jouer aux échecs.
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extrait
Des Ailes de Géant
Vitus
Vitus
Réalisateur : Fredi M. Murer
Année : 2008
Très tôt, Vitus révèle ses talents pour le piano, mais au regard de l’agitation que sa surdouance va susciter autour de lui, il va orchestrer une véritable mystification afin de se donner du champ et prendre son envol.
Les choses se compliquent pour Vitus lorsque sa mère abandonne sa carrière professionnelle pour s’occuper de son éducation. La vie simple devient alors vite pesante avec des questionnements et des enjeux que le jeune garçon ne se pose pas. Il trouve cependant un certain réconfort et une certaine inspiration auprès de son grand-père. C’est ainsi qu’il va simuler à la suite d’un accident, la perte de ses facultés intellectuelles pour redevenir enfin un garçon comme les autres. Par cette mystification, il s’amènage du champ pour vivre à son rythme et enfin, déployer ses ailes. Alors que ses parents pensaient devoir le « jardiner », c’est lui qui veillera à trouver une issue salutaire à la situation financière de son grand-père et à la faillite de l’entreprise de son père. Leurs destins ainsi s’entremêlent et par son épanouissement, il induit l’épanouissement de toute sa famille.
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Deviens-ce que tu es!
Le Geant De Fer
Le Géant de Fer
Réalisateur : Brad Bird
Année : 1999
Dans l’Amérique de la guerre froide, Hogarth, un jeune garçon intrépide et solitaire se lie d’amitié avec un robot géant venu de l’espace. Mais cet objet inconnu qui s’est abattu sur les côtes de la Nouvelle Angleterre met l’armée en alerte redoutant une frappe de l’ennemi soviétique. Le jeune garçon prend le robot géant sous son aile et le dissimule dans la grange familiale.
Dans ce scénario d’une extraordinaire subtilité, l’enfant revit l’expérience de la différence à travers sa relation au Géant de fer. Hogarth se retrouve à devoir accompagner cette créature de métal perdue, comme un enfant « que les gens ne sont pas prêts à rencontrer ». Avec l’aide de Dean, un ferrailleur artiste avec lequel il développe une véritable connivence, il formeront le couple de tuteurs qui découvrira progressivement les singularités de cette créature prodigieuse venue de nulle part, tout en la préservant de l’hostilité ambiante. Le géant est frappé par des questions existentielles sur la vie et la mort, le bien et le mal et il apparaît qu’à l’agressivité qu’on lui témoigne, il peut développer des réactions d’une grande violence. Déprimé alors par cette image du méchant géant qui lui est renvoyée, le géant s’enfuit pour se retrouver très vite sous les feux de l’armée. Hogarth ne lâchera jamais son ami, et c’est lui en rappelant que « l’on est ce que l’on choisit de devenir », que le géant désarmera et dans un ultime élan, se réalisera en sauvant la petite ville de l’holocauste atomique. Durant cette aventure, le géant aura été pour Hogarth le miroir de sa relation à l’autre. C’est de cette expérience fondatrice qu’il saura assumer sa place dans le monde.
Le Geant De FerApproches préliminaires : Les 4 fonctions et l’orientation de l’énergie-------------------------------------------------------------------------------------
La présentation, que je propose sur ce site, nécessitera un découpage arbitraire afin de tenter d’être aussi exhaustif que précis, tout en restant simple et, si possible, fidèle à la pensée originale.
types psychologiques
Jung a rapidement réalisé que, si « la vie intérieure », régie par des processus inconscient, gouvernait la dynamique psychologique de l’individu, il existait également des lois précises qui opéraient sur la facette consciente de la psyché. Il en tirera un livre dense, les Types psychologiques.
L’individu est constamment soumis à des contenus provenant du monde extérieur, ou intérieur (on oublie souvent de préciser que la théorie des fonctions psychologiques s’appliquent de la même manière aux objets extérieurs qu’à ce qui se présente de l’intérieur). Pour capter et assimiler ces contenus, il s’appuie sur des processus psychiques, les quatre fonctions psychologiques et sur une modalité d’utilisation de l’énergie psychique, l’introversion ou l’extraversion.
Extraversion/Introversion
Au plus rapide, disons que l’homme a besoin d’énergie psychique pour vivre. Dans le cas où l’individu la trouve dans l’environnement extérieur, les activités et les expériences, il a une inclinaison extravertie. Dans le cas où il la trouve dans l’univers intérieur des idées, des souvenirs et des émotions, il présente une inclinaison introvertie.
Présenter une inclinaison ne signifie jamais répondre uniquement à cette tendance !
Extraverti
Précisons un peu les choses. Celui-ci tire son énergie du monde et sa conscience regarde vers l’extérieur parce que c’est toujours de là que vient la détermination importante et décisive (pour lui évidemment, nous endossons le manteau d’extraverti dans ce paragraphe).
→ Ses forces : N’ayant d’autre prétention que de remplir les conditions objectivement fixées, il est perçu comme sociable et souvent apprécié pour son enthousiasme. Il peut paraître souvent courageux en répondant sans concession à ses objectifs.
→ Risques : Il y a l’inévitable dispersion, sa parole volubile qui prend le dessus de l’écoute…mais plus profond est le risque de refoulement du moi profond; dans sa réponse aux nécessités de l’extérieur, les besoins intérieurs peuvent être négligés.
Introverti
Ce dernier tire son énergie de la considération intérieure subjective. Il se glisse toujours, entre la perception de l’objet (le monde) et sa propre action, une opinion personnelle qui empêche l’action de prendre un caractère correspondant à la donnée objective. Il ne se coupe pas du monde mais communique avec lui par l’intermédiaire de sa perception intérieure.
→ Ses forces : concentration, écoute, contenu et réservé.
→ Risques : il ne se sent à l’aise que dans la solitude, face à lui-même. Dans un cas poussé, il peut alors bâtir des systèmes autoritaires dans l’insensibilité d’autrui.
Il me semble important de prendre en considération ces tendances naturelles de l’homme car, comme beaucoup d’aspects de la psychologie jungienne, elles incitent à un regard plus tolérant, plus ouvert sur l’autre, en particulier sur celui qui nous semble si loin, qui peut être d’une tendance opposée. Il n’y a pas de bon ou de mauvais jugement, qu’il soit centré sur le monde ou sur soi, il n’est qu’une réponse à notre nature.
Les 4 fonctions : Boussole psychologique
Tout d’abord il est bon de souligner que ces fonctions s’associent par paire d’activité, c’est pour cela que vous trouverez un « OU » dans chaque processus, une fonction étant exploitée, elle condamne naturellement l’autre à être « délaissée ».
L’individu, en construboussoleisant son Moi (en devenant adulte et « affirmé » sur un plan individuel), va développer une attitude psychologique qui le conduira à exploiter des fonctions, au détriment des autres. Restons vigilants cependant à parler de fonctions favorisées, aucune n’est réellement abandonnée et cette attitude évolue toute la vie…c’est l’individuation (on y reviendra largement plus tard). Et c’est cette même individuation qui poussera l’individu à « opter » pour des fonctions plutôt que d’autres, ainsi évidemment que le besoin d’adaptation dans la petite enfance et le cursus personnel. MAIS cette inclinaison n’est jamais figée et il m’apparaît ridicule de dire « tu es un extraverti intuitif » comme une vérité définitive. Jung lui-même, voyant cette tendance de catégorisation rigide poindre avec l’élaboration de ses types, rédigea un ouvrage pour apporter la nuance nécessaire (L’homme et ses symboles).
1- Accueillir le contenu (Fonctions irrationnelles)
a – Sensation : Cette fonction opère en transmettant les stimuli physiques perçus. Nous restons avec cette fonction dans l’impression sensible et aucune relation ne s’établit avec l’objet. Comme nous sommes dans le registre du « spontané » et non dans celui de « l’élaboré », on parle de fonction irrationnelle.
OU
b – Intuition : C’est une fonction très particulière. En effet, Jung souligne qu’elle « transmet les perceptions par voie inconsciente » qu’elle permet de lire « par delà les choses ». L’intuition vise les possibilités que cachent une chose, un être ou une situation. On dit de quelqu’un qu’il est intuitif s’il porte des jugements justes sans justification logique ni possibilité d’analyse. Cette fonction me paraît tellement essentielle et distincte des autres, que je ferai un billet dédié prochainement.
ET
2- Traiter l’information, établir un jugement (Fonctions rationnelles)
a – Pensée : Cette fonction est plus complexe que beaucoup de vulgarisateurs le laissent entendre. Je ne veux pas embrouiller le lecteur, je resterai à la surface pour le moment. La meilleure définition est donnée par son « concepteur » : « en fonction de ses propres lois établit des connections conceptuelles entre des contenus de représentation donnés ». Disons simplement que la fonction est analytique. Signalons qu »il existe cependant un autre aspect, la pensée abstraite…
OU
b – Sentiment: Là, nous sommes dans le coeur de la relation sujet/objet. Cette fonction établit une échelle de valeurs, un jugement purement subjectif (bon/mal, beau/laid, etc). Si elle ouvre la porte à la sensibilité, la compassion, elle construit aussi un référentiel par dichotomie qui complique l’accès à la totalité réelle des choses (extérieures comme intérieures), entraînant parfois le jugement destructeur ou la sollicitation étouffante.
Vous l’aurez compris le « ET » signifie qu’il nous faut une fonction de perception complétée d’une fonction de jugement pour appréhender les contenus. Je vais m’arrêtais ici pour le moment, nous verrons prochainement les implications de ce schéma cardinal dans l’évolution psychologique de l’individu sur le chemin de l’individuation.
En résumé : « La sensation vous dit que quelque chose existe ; la réflexion vous dit ce que c’est ; le sentiment vous dit si c’est agréable ou pas ; et l’intuition vous dit d’où il vient et où il va » Jung
La fonction intuition
cheminCette fonction est probablement la plus délicate à saisir et à définir, échappant à la plupart des tentatives intellectuelles. Qualifiée d’irrationnelle, comme la fonction sensation, c’est une fonction perceptive qui ne répond pas à la loi de la raison mais de l’impression. Elle donne une perception immédiate et directe des choses. La compréhension est spontanée, non réfléchie. Elle est le produit d’une inspiration et non d’un acte volontaire. Pour Jung, l’intuition est liminale, dans le sens où elle se situe au seuil de l’inconscient. C’est la dernière fonction qu’il ait réussi à déceler, étant convaincu pendant longtemps que seules les trois premières répondaient à toutes relations entre le sujet et l’objet.
Cette fonction agit par image et nécessite ensuite une « coopération » pour être exploitée. L’exercice le plus délicat et le plus périlleux (l’imprégnation du moi n’est jamais loin), est de réussir à rester à la fois ouvert à l’intuition et confiant. Il me semble que sans ces deux paramètres, elle ne peut exister ou même avoir une raison d’être. Le travail que l’on peut opérer avec l’intuition ressemble étrangement à celui que l’on peut faire avec l’inconscient. Plus que toute autre fonction, une seule attitude semble efficace, « laisser advenir ».
Voici un extrait des entretiens, édités par la Fontaine de Pierre, où Jung évoque l’intuition.
entretiens« Remarquez, je ne savais rien de l’intuition alors. Elle est venue en dernier lieu parce que, bien entendu, c’est aussi la plus difficile. Parce qu’on ne peut pas bien la saisir, elle n’est pas rationnelle. Penser est rationnel, ou vouloir savoir ce qu’est une chose. Savoir ou apprendre la valeur que vous accordez à quelque chose est aussi de l’ordre du rationnel. Affirmer que quelque chose existe, ce que fait la sensation, est aussi assez rationnel en fait. Et ensuite ? Au-delà, voyez-vous, il n’y a rien, si bien que je déclare que nous avons trois fonctions. Et, précisément à ce moment-là, j’ai une patiente, une femme intelligente qui était très éveillée à certains égards, mais extrêmement névrosée. Un jour, elle m’a dit : « Pourquoi ne parlez-vous pas de l’intuition ? » J’ai répondu : « Qu’entendez-vous par intuition ? Ce n’est pas une fonction. ».
Elle ne faisait pas partie de mes trois fonctions, voyez-vous. Qu’est-ce que l’intuition, en fait ? C’est un pressentiment. Ce n’est rien. Comment pouvez-vous définir une intuition ? Soudain vous vous souvenez de quelque chose, vous prévoyez quelque chose que vous ne pouviez absolument pas prévoir. C’est complètement infondé, voyez-vous, infondé. Comment pouvez-vous savoir quelque chose à l’avance, personne ne sait rien à l’avance, c’est uniquement de la devinette. «
La différenciation des fonctions psychologiques
Serpiente_alquimicaNous avons vu comment se constitue l’appréhension du monde extérieur (l’objet) au sein de l’individu (le sujet), au crible des 4 fonctions. La distinction de ces quatre fonctions est essentielle : sans différenciation, on reste prisonnier de l’ambivalence, la contradiction et on est incapable de définir une orientation, de construire un sens.
Fonction dominante
Lorsque l’enfant se développe normalement, le processus d’individuation et les éléments de conditionnement (Jung parle « d’ambiance ») vont le conduire à privilégier une fonction, celle qui répond à ses aptitudes naturelles et à ses besoins. C’est la fonction dominante. Parlons un peu de libido, notion qui, chez Jung, est très distincte de celle de Freud. Pour Carl Jung, on pourrait très rapidement la nommer « énergie psychique » et même principe de vie. La libido va donc logiquement s’investir dans cette fonction privilégiée, au détriment des autres (la « réserve » de libido étant définie et stable pour chacun).
Ainsi quelqu’un qui a la fonction pensée dominante va avoir tendance à intellectualiser les choses, à les passer au moulinet de la réflexion cérébrale.
Un autre, de type intuitif, va plutôt comprendre spontanément les possibilités cachées d’un objet, sans justification possible.
2. Fonction auxiliaire
Après l’établissement, la différenciation de la fonction dominante, en général vers l’adolescence, arrive une fonction compensatrice (la compensation est aussi une notion essentielle dans la pensée de Jung), la fonction auxiliaire. Elle sert, comme son nom l’indique, d’auxiliaire car elle complète et seconde la dominante. Ces deux fonctions complémentaires sont dans une polarité verticale; Par conséquent, la fonction auxiliaire répond à une charge de libido inverse et, selon le schéma vu au-dessus, si la fonction dominante est en perception, l’auxiliaire est en jugement (et inversement).
Un individu d’inclinaison extraverti / (pensée ou sentiment) aura une fonction auxiliaire introvertie / (sensation ou intuition).
A ce stade, nous sommes en présence d’une paire de fonctions privilégiées, fondatrice de la personnalité, de la face « visible » et consciente de l’individu. Mais comme il s’agit de penchant, d’inclinaison, les deux autres fonctions ne sont jamais totalement délaissées, juste « mises à l’écart », peu exploitées ou développées.
De la même manière que la première paire de fonctions, ces fonctions se complètent, s’équilibrent et « jouent » dans deux modes d’exploitation de libido (extraversion et introversion). Ces deux dernières fonctions sont définies une fois la première paire différenciée, donc en général à l’âge adulte.
La paire qui suit peut correspondre à la face cachée de notre personnalité…nous verrons plus tard que c’est justement sur ce plan particulier que doit travailler l’individu sur le chemin.
3. Fonction tertiaire
Elle se situe dans la même fonction mentale que la fonction auxiliaire (extraversion /introversion) mais est l’attitude opposée.
Si ma fonction auxiliaire est introvertie / pensée, ma fonction tertiaire sera introvertie / sentiment.
Si ma fonction auxiliaire est extravertie / intuition, ma fonction tertiaire sera extravertie / sensation.
4. Fonction inférieure
A l’instar de la tertiaire avec l’auxiliaire, elle se situe dans le même « mode » énergétique que la dominante, mais toujours en opposition. Cette fonction est très particulière, la moins chargée en libido et donc la plus lointaine de la sphère de la conscience. Elle « flotte » naturellement dans le domaine inconscient et comme élément issu de l’inconscient, elle possède un potentiel puissant de transformation. Bien qu’elle soit la source de malaise profond (c’est notre point faible dans toute son acception), la considérer ouvre les portes d’une transformation importante.
Un individu extraverti sentimental aura une fonction inférieure extravertie / pensée.
Un individu pourra se définir par son orientation d’énergie, par sa fonction dominante et sa fonction auxiliaire associée.
Dynamique et individuation
Maintenant que nous avons défini les 4 fonctions psychologiques de Jung, et leur ‘organisation » ou hiérarchisation au sein de l’individu, il reste un point essentiel à traiter : leur dynamique en jeu dans l’évolution psychique.
En effet, Jung a constaté que chaque individu, de manière singulière, est amené progressivement à répondre à sa propre nature profonde; Il a appelé ce processus, individuation. L’individuation impose que le rôle de chaque fonction soit remis en cause tout au cours de la vie.
types_f
Nous avons déjà mentionné les deux axes, constitués en fait par les deux paires de fonctions, à savoir la perception de l’objet (qui définit et qui est qualifié d’irrationnelle(1) par Jung) et son jugement (qui décide, rationnelle). Les schémas exploités pour parler des fonctions psychologiques se présentent toujours selon ces deux axes, perpendiculaires, dont le point de jonction est le cœur de la conscience (le Moi).
dynamique fonctions psychologiques
Fonctions psychologiques – Exemple d’évolution
Voici donc, en cas d’école, un exemple choisi, arbitrairement, pour qualifier le dynamisme des fonctions psychologiques.
1. Différenciation : Comme nous l’avons vu, de l’enfance à l’âge adulte, une paire de fonctions émerge, donnant la capacité de capter et d’évaluer au sein de la psyché. Ici, l’individu a développé une fonction de perception A extravertie, fonction dominante, couplée à une fonction de jugement A, introvertie, fonction secondaire.
2. Compensation et travail sur l’ombre : L’autre paire délaissée demeure active, dans l’ombre de l’inconscient, en particulier la fonction inférieure, profondément enracinée, éloignée de la conscience. Ramener à la lumière de la conscience cette fonction est un travail difficile, long mais ô combien salutaire. Ici, l’individu ira vers une fonction de jugement B, d’orientation extravertie (opposée à la fonction secondaire) et enfin vers une fonction de perception B, d’orientation opposée à la dominante, soit introvertie.
Ce développement est une voie d’accomplissement qui libère toutes les potentialités de l’individu !
Fonctions endopsychiques
sur-les-fondements-de-la-psychologie-analytiqueCes approches des fonctions psychologiques nous ont permis de constater l’interpénétration du « mondes psychiques », à savoir la conscience et inconscient.
Après les fonctions permettant l’orientation du sujet dans le monde « objet », qualifié par Jung de monde exopsychique, il introduit la notion de monde endopsychique, comme le système de relations entre les contenus de la conscience et les processus de l’inconscient. Il va recenser un certains nombres de fonctions, qu’il préférera appeler plus tard facteurs. On retrouve clairement la trace de ces études dans le récent livre sur les conférences de Tavistock.
Pour être précis, les fonctions endopsychiques sont au dessous du seuil de conscience mais, à l’instar de la fonction intuition, « gravitent dans sa frange ». Nous allons les aborder par « profondeur croissante ».
1- La mémoire
C’est notre capacité à réactiver des contenus qui étaient passés dans l’inconscient. Si l’on accepte la définition de base de l’inconscient, il ne faut alors pas perdre à l’esprit que tous ces souvenirs stockés que l’on peut retrouver avec plus ou moins de facilité (donc ramener vers la conscience) sont naturellement « stockés » au sein de notre inconscient. La mémoire apparaît comme l’outil excavateur qui ramène à la surface. Cette faculté possède la capacité d’être contrôlée dans une certaine mesure par la volonté (on peut améliorer ses capacités mémorielles).
2 – Les composantes subjectives des fonctions conscientes
Là, nous sommes en plein « versant nord de la montagne psyché ». Ces composantes sont d’ailleurs en étroite relation avec l’ombre de l’individu, archétype fondamental que nous aborderons bientôt sur ce site. Ces composantes répondent à notre nature profonde, donc subjective, sous son aspect le moins développé voire refoulé de chacun. Lorsqu’une fonction psychologique est « activée », le résultat est immédiat et systématiquement accompagné d’une réaction que l’on cherche à faire taire.
Imaginons que nous rencontrons quelqu’un pour la première fois. Après quelques échanges, la fonction sentiment va évaluer la « valeur » que j’accorde à l’inconnu….il semble gentil, aimable…mais simultanément, viendra la conviction ressentie qu’une gentillesse ostentatoire révèle forcément une grande fausseté ou hypocrisie. Cette pensée, je la garde pour moi afin de rester dans les bonnes conventions sociales…et finalement passer moi aussi pour un « aimable personnage ». Exemple caricatural mais qui révèle la composante subjective d’une fonction en action.
Identifier ces composantes et tenter d’en retrouver leur source est d’ailleurs une étape cruciale (et ô combien délicate car nous ne voulons surtout pas rayer la patine de notre vernis).
arche
3 – Emotion et affect
L’étymologie du mot « émotion » vient du latin motio = mouvement, e = qui vient de. C’est en effet un mouvement interne qui nous submerge, prend provisoirement les commandes, et puis s’en va. Si on peut sentir son arrivée, il est excessivement difficile de la contrôler. D’après Jung, ces émotions prennent racine dans l’inconscient.
A ce sujet d’ailleurs, il écrit dans L’homme et ses symboles :
…Et la faculté de dominer nos émotions, qui peut nous paraître désirable d’un certain point de vue, serait par ailleurs une qualité de valeur contestable, car elle enlèverait aux relations humaines toute variété, toute couleur, toute chaleur et tout charme…
L’affect est enraciné encore plus en profondeur car il est l’expression d’un complexe.
4 – L’irruption
Ici, la conscience est quasiment en veille et les contenus inconscient ont l’ascendant pour un temps. C’est d’une nature proche de l’affect et de l’émotion mais la charge de libido est nettement plus élevée. L’individu prit par l’irruption peut être saisi de lubies, d’apathie, de fantasmes éveillés. On dira « il n’est plus lui-même » ou « il traverse une drôle de phase ». C’est un phénomène provisoire et rare chez l’individu « normal » mais symptomatique chez le névrosé.
Au-delà de l’irruption, nous sommes dans l’inconscient et ne pouvons donc rien en dire.
http://www.jung-reve-alchimie.fr/bissur-reperes-jungiens/reperes-psychologie-analytique/fonctions-psychologiques/
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- http://horsjeu.net/fil-info/manuel-de-savoir-parler-foot-faire-abstraction-du-contexte/------------------------------------------------------------------------------
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https://books.google.fr/books?id=3qtCMFo27t0C&pg=PA43&lpg=PA43&dq=d%C3%A9caler+abstraction&source=bl&ots=NmqrnJK1Bw&sig=XL9IdNel8GI2CPZU3YNkAhMrhSY&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiVhKaS0b_VAhXIaVAKHfvxACkQ6AEIXjAJ#v=onepage&q=d%C3%A9caler%20abstraction&f=false
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Esprit_de_l%27escalier
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http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/course-2012-2013.htm
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Introspection et métacognition : Les mécanismes de la connaissance de soi
Définitions et premiers paradoxes
Stanislas Dehaene
Collège de France
04 janvier 2011 09:30 Cours
Amphithéâtre Marguerite de Navarre - Marcelin Berthelot
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Psychologie cognitive expérimentale
Connais-toi toi-même, γνῶθι σεαυτόν. La maxime inscrite dans le pronaos du temple d’Apollon à Delphes attire notre attention sur le subtil paradoxe qui entoure le problème de la conscience. Non seulement notre cerveau nous fait prendre conscience de certains aspects du monde extérieur – thème du cours de l’année précédente –, mais il nous permet également d’orienter le faisceau de la conscience en nous-mêmes. Homo Sapiens sapiens, nous sommes conscients d’être conscients. Talentueux peintre de l’introspection, Vladimir Nabokov résume en quelques mots, dans Strong Opinions, cet étrange effet miroir :
Être conscient d’être conscient d’être… Si je sais non seulement que je suis, mais également que je sais que je le sais, alors j’appartiens à l’espèce humaine. Tout le reste en découle – le fleuron de la pensée, la poésie, une vision de l’univers.
L’objectif du cours 2011 était de faire le point sur les mécanismes psychologiques et cérébraux qui nous permettent d’orienter ainsi le projecteur de la conscience vers nous-mêmes. Quelles en sont les limites, et que savons-nous réellement de nous-mêmes ? Quels processus cognitifs sont accessibles à un jugement introspectif d’ordre supérieur, « métacognitif » ?
Le vocabulaire de la métacognition
Si la cognition peut se définir, schématiquement, comme l’ensemble des processus mentaux qui nous permettent de traiter des informations (internes ou externes), alors la métacognition pourrait se définir comme l’ensemble des connaissances et des croyances que nous possédons sur nos propres processus cognitifs (passés, présents ou futurs), ainsi que les processus qui permettent de les manipuler. La méta-mémoire, par exemple, concerne l’ensemble de nos connaissances et de nos croyances sur nos propres processus de mémorisation et de récupération en mémoire. Lorsqu’un étudiant, doutant de ses connaissances, décide de réviser avant un examen, il porte un jugement d’ordre métacognitif sur les faiblesses de sa mémoire. Calculez 23 + 18. Sans doute pouvez-vous rapporter l’ordre et la nature des opérations que vous effectuez : elles sont disponibles à un niveau métacognitif. Par contre, vous ne disposez d’aucune introspection sur la manière dont vous réalisez les calculs élémentaires tels que 2 + 1.
Pour chaque opération mentale de niveau n, la métacognition suppose l’existence d’une représentation mentale de niveau n + 1 ou « méta-représentation » des opérations mentales exécutées au niveau inférieur. Selon ce schéma hiérarchique, l’introspection (ou cognitive monitoring dans la littérature anglophone) s’exerce de bas en haut : elle consiste à mettre au jour la méta-représentation sur la base d’un accès aux informations du niveau inférieur (accès qui peut être partiel ou illusoire). Ainsi, nous exerçons notre introspection lorsque nous détectons une erreur dans notre calcul. Inversement, le contrôle métacognitif s’exerce de haut en bas : il consiste à exploiter la méta-représentation afin de modifier la stratégie et les opérations mentales exécutées au niveau inférieur. Nous l’exerçons par exemple lorsque, prenant conscience de nos erreurs, nous décidons de ralentir et de faire plus attention au prochain essai.
Un bref historique
Jusqu’à la fin du xixe siècle, l’introspection est considérée comme la méthode centrale d’étude de l’esprit humain. De nombreux psychologues, qui ne prennent guère la mesure de l’étendue des opérations non-conscientes, considèrent possible l’observation directe des faits mentaux. Pour Wilhelm Wundt (1832-1920), l’objet même de la psychologie est l’étude de l’expérience mentale subjective, et l’introspection en constitue la seule méthode. Franz Brentano (1838-1917) promeut une « psychologie descriptive » ou « phénoménologie » (avant Husserl) qui consiste en l’étude des phénomènes de la perception intérieure d’un point de vue subjectif, « à la première personne ». Oswald Külpe (1862-1915), élève de Wundt et chef de file de l’école de Würzburg, développe des méthodes de description verbale de l’introspection, quoiqu’il découvre alors une première limite de l’introspection : lors de la « pensée sans images », le sujet ne peut pas toujours rapporter ses percepts.
Edward Titchener (1827-1927) à Cornell, Edwin Boring (1886-1968), Théodule Ribot (1839-1916) et même Alfred Binet (1857-1911) en France défendent des points de vue similaires : « l’introspection, peut-on dire, est la base de la psychologie, elle caractérise la psychologie d’une manière si précise que toute étude qui se fait par l’introspection mérite de s’appeler psychologique, et que toute étude qui se fait par une autre méthode relève d’une autre science » (A. Binet, Introduction à la psychologie expérimentale, 1894).
Cependant, cette prétendue spécificité de la psychologie fait d’emblée débat. Auguste Comte lui oppose un argument connu aujourd’hui sous le nom de paradoxe de Comte. Selon lui, « l’esprit humain peut observer directement tous les phénomènes, excepté les siens propres. Car, par qui serait faite l’observation ? […] L’individu pensant ne saurait se partager en deux, dont l’un raisonnerait, tandis que l’autre regarderait raisonner. L’organe observé et l’organe observateur étant, dans ce cas, identiques, comment l’observation pourrait-elle avoir lieu ? » (Auguste Comte, Cours de philosophie positive [1830-1842], Vol. 1, pp. 31-32).
Une réponse vigoureuse à cette critique sera fournie par John Stuart Mill :
« Il aurait pu venir à l’esprit de M. Comte qu’il est possible d’étudier un fait par l’intermédiaire de la mémoire, non pas à l’instant même où nous le percevons, mais dans le moment d’après : et c’est là, en réalité, le mode suivant lequel s’acquiert généralement le meilleur de notre science touchant nos actes intellectuels. Nous réfléchissons sur ce que nous avons fait quand l’acte est passé, mais quand l’impression en est encore fraîche dans la mémoire. […] Ce simple fait détruit l’argument entier de M. Comte. » (John Stuart Mill, Auguste Comte et le positivisme [1865], pp. 68-69). Les neurosciences cognitives contemporaines pourraient ajouter qu’il n’y a rien d’impossible à ce qu’un circuit cérébral, situé par exemple dans le cortex préfrontal, reçoive et régule les informations issues d’autres circuits hiérarchiquement inférieurs.
Le paradoxe de Comte n’en donc pas un, mais la suspicion est née : l’introspection serait une méthode scientifique inadéquate. Dans une violente critique demeurée célèbre, le chef de file du behaviorisme John Watson l’énonce avec force : « La psychologie telle que le béhavioriste la voit est une branche purement objective des sciences naturelles. Son but théorique est la prédiction et le contrôle du comportement. L’introspection ne fait pas partie de ses méthodes essentielles, et la valeur scientifique de ses données ne dépend pas de la façon dont elles se prêtent à une interprétation en termes de conscience. » Exit l’introspection : la subjectivité de ses observations rendrait impossible toute construction scientifique.
Rétrospectivement, il nous semble toutefois que la critique de Watson confonde l’introspection en tant que méthode, et l’introspection en tant qu’objet d’étude. L’introspection n’est certainement pas une méthode infaillible pour accéder à l’architecture mentale : même un psychologue parfaitement entraîné ne saurait rapporter fidèlement ses processus mentaux, sinon la psychologie expérimentale serait une tâche bien aisée ! Cependant, les performances et les limites de l’introspection constituent un grand sujet de recherches, parfaitement légitime, dont nous verrons qu’il conduit à des résultats empiriques reproductibles d’un individu à l’autre.
Dès 1971, à l’aube de la révolution cognitive, John Flavell introduit l’étude de la méta-mémoire. En 1979 il propose une première théorisation de la métacognition, qui distingue les connaissances (conscientes ou non, justes ou fausses), les expériences, les buts, les tâches, les stratégies et les actions métacognitives. Influencé par Piaget, il souligne déjà l’importance de la métacognition dans l’éducation chez l’enfant. En effet, sur la base de ce qu’il comprend de lui-même, l’enfant est amené à concevoir, à tort ou à raison, des stratégies d’apprentissage et de recherche en mémoire qui influencent ses performances.
Les années 1960-1990 voient naître de vifs débats sur la fidélité de l’introspection. Pour Nisbett et Wilson (1977), les jugements introspectifs sont très souvent fictifs, donc inutiles. Pour Ericsson et Simon (1980), par contre, les rapports verbaux sont souvent adéquats dès lors que l’information rapportée est présente en mémoire à court terme. Ericsson et Simon introduisent une classification des tâches introspectives qui distingue le moment du rapport verbal (immédiat ou différé), et le type de rapport (direct, avec recodage, ou sans relation avec l’expérience initiale). Leur revue des données expérimentales suggère que le rapport verbal peut être extrêmement fidèle lorsqu’il est direct et qu’il décrit le contenu présent de la mémoire à court terme. Dans ces conditions, il existe une correspondance étroite entre ce que les sujets disent et ce qu’ils font : l’introspection est crédible et utile.
Les méthodes de la métacognition
Depuis les années 1970, la validité des études de l’introspection s’est encore renforcée avec l’avènement de paradigmes expérimentaux rigoureux de mesure de la métacognition. Dans le domaine de la méta-mémoire, le jugement d’apprentissage (judgment of learning) demande au participant, après une phase d’apprentissage, d’estimer quelle seront ses performances dans un test ultérieur de mémoire. La mesure du sentiment de savoir (feeling of knowing), elle, requiert d’estimer, juste après qu’un participant ait échoué à se souvenir d’un item, s’il saurait le reconnaître parmi plusieurs. Dans les deux cas, la prévision introspective peut être comparée à la réalité objective mesurée quelques minutes plus tard.
Plus généralement, les jugements de second ordre requièrent d’estimer son degré de confiance dans une réponse antérieure (dite de premier ordre), de parier sur la véracité de sa réponse (wagering), ou de détecter ses propres erreurs. Comme le note Jérôme Sackur, la psychophysique elle-même fait régulièrement appel à l’introspection sous la forme d’un rapport subjectif, verbal ou non-verbal, qui peut être soigneusement quantifié, répliqué, et comparé quantitativement à la réalité objective.
http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/course-2011-01-04-09h30.htm
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http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/course-2016-01-19-09h30.htm
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http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/course-2016-02-02-09h30.htm
http://www.college-de-france.fr/site/stanislas-dehaene/course-2009-03-17-09h30.htm
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Un canard dans le café.
J'ai du mal à digérer, parfois,
Tous les papiers mâchés
Qui se prennent à mon filet
De voix, pauvre pêcheur,
Fallait lire entre mes lignes,
Pas mordre à mes sautes d'humeur
Même si je n'en suis pas digne.
Fallait rester Zen, soyons Zen,
Du sang froid dans les veines, soyons Zen
Plus de choc à la chaîne.
Zen, restons Zen,
Du calme à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine.
Je suis pas dans le vent des guignols,
De ces joueurs en fond de court,
De ceux qui, pour un petit bout d'atoll,
Sont prêts à larguer les amours,
Tous ces maîtres-chanteurs
Qui manquent de coffre et de hauteur.
C'est facile de compter les erreurs
Quand on ne joue pas la scène.
L'erreur est humaine, soyons Zen.
Du sang froid dans les veines, soyons Zen
Plus de choc à la chaîne.
Zen, restons Zen.
Du calme à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine.
Zen, Zen,
Zen, Zen.
Zen, restons Zen.
Du sang froid dans les veines, Zen
Plus de scoop à la chaîne, Zen.
Il t'aime à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine,
Zen,
Sans amour et sans haine,
Zen,
Sans amour et sans haine, (Soyons Zen)
Zen
6 août ça sonne "casse croute" !!
Que de chemin que de choses apprises dis donc. No panic room, only home
Que de différences d'attitudes, que d'écarts, en fait, et cette fameuse "douceur ferme".
Je comprends mieux désormais pourquoi personne n'avait pigé que j'écrive sur F. en public disant de lui qu'il était entre autres un "Kinder" et une "force tranquille".
Qu'est ce qu'on m'a permis d'avoir le "cul bordé de nouilles" et ça tombe bien, j'adore les pâtes surtout avec beaucoup de gruyère et quand ça fait plein des fils...- Spoiler:
- Have I got a soft touch?
Have I got a soft touch?
Is my radar that off?
Is my radar that off?
I'm thinking
That you're sinking
And I'll drown
I've got a confession
That your depression
Will take me down
Am I on the right track?
Am I on the right track?
Have I picked a bad time?
Have I picked a bad time?
It's seeming
That you're dreaming
With my eyes
But why protest
When your success
Is my prize
Oh brother, give me a helping hand
Oh brother, tell me you understand
Have I hit a raw nerve?
Have I hit a raw nerve?
Have I got a soft touch?
Have I got a soft touch?
I'm thinking, that you're sinking
And I'll drown
I've got a suspicion
That your position Is unsound
Oh brother, give me a helping hand
Oh brother, tell me you understand
Have I hit a raw nerve?
Have I hit a raw nerve?
Have I got a soft touch?
Have I got a soft touch?
Have I hit a raw nerve?
Have I hit a raw nerve?
Have I got a soft touch?
Have I got a soft touch?
Mou et move
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Du coup que d'histoires pour rien en fait. Ce fut d'autant plus frustrant, que lorsqu'on peut arranger mieux les bidons et prendre plus sur soi...
C'est vrai que pour parfois suivre cela dit pourquoi vouloir suivre ? plutôt "être" et en "ambiance"et garder son mode :
pour ne pas se laisser polluer/parasiter et de plus ne pas polluer/parasiter d'autres intéressants avec le parasitage/pollution.
https://www.youtube.com/watch?v=czAylmrYJIQ
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tu as toujours cet air étrange
quand tu dis que je suis ton ange
ton gardien
dans cette chienne d'existence
chienne de vie..
que tu me ressens comme un double
que je suis ton fauteur de troubles
que tous les autres sont vraiment trop cons
et vraiment pourris
qu'au milieu des châteaux de sable,
je reste ton élément stable
et qu'avec moi, tu voudrais bien
manquer la vie
....
mais si tu flirtes avec les cîmes
tu entrevois aussi l'abîme
et que ça te fais très très peur mais aussi
très envie
...
tu m'dis avec cet air étrange
que lorsque nos corps se mélangent
c'est une ultime symphonie,
un pas vers l'infini
que tu me ressens comme un double
et que ça jette en toi le trouble
et que nous sommes insolemment
gâtés pourris
....
mais si tu flirtes avec les cîmes
tu entrevois aussi l'abîme
et que ça te fais très très peur mais aussi
très envie
que si tu flirtes avec les anges,
tu n'sais parfois plus sur quel pied danser
et tu t'enfuis
....
tu dis qu'artiste est invivable
je pourrais bien aller au diable
et bien souvent ouai,
tu me maudis
que cet amour t'est dépendance
que ce serait ta délivrance
de me dire adieu, au-revoir et pour tout
merci
....
alors tu n'as plus de tout
là-là-là-là
pis tu m'recherches partout
là-là-là
là-là-là
et c'est reparti...
....
tu as toujours cet air étrange
quand tu dis que je suis ton ange
ton gardien
dans cette chienne d'existence
chienne de vie
mais si tu flirtes avec les cîmes
tu entrevois aussi l'abîme
et que ça te fais très très peur mais aussi
très envie
que si tu flirtes avec les anges,
tu n'sais parfois plus sur quel pied danser
et tu t'enfuis...
Etrange, étranger, quelle came, quelle came, eue, que cas, mue, il faudrait être très con pour gâcher sa chance quand on a la chance de l'avoir, la voir...
et vice versa.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Bref je vais faire une petite IRL en comité réduit sur la plage
L'appel du fifre
Vu du syndrône...
Dernière édition par I am so sure le Dim 06 Aoû 2017, 15:25, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Ambigu%C3%AFt%C3%A9
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http://www.sens-public.org/article788.html
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https://raymondehazan.wordpress.com/2011/03/03/le-surdoue-et-lamour/
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Punaise alors laquelle d’ambiguïté maintenant ? aussi ? rhoo non
C'est pour ça que je comprenais plus rien bordel inside, mode nana art chie un peu dans la colle, j'en connais qui pouvaient essayer de faire le tour, putaing je suis cong
Donc le truc et la cloche, et quand y'a rien qui cloche, ça nous fais tender s'truc, on va avancer alors enfin presque...
La river et l'assiette, creuse, mais que fait le castor
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
C'était bien, mais je le referai pas deux fois
Bon on va donc relire tout cela sérieusement. Soyons pragmatiques et soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien
La logique du pire, la logique du bien et mon nouvel halogène qui
Les ombres passent, la vie continue
Sous les pavés, la plage- Spoiler:
- Avance, freine,
Ne te retourne pas, regarde devant toi,
Vire à gauche, et vire à droite,
Je veux filer dans la moite.
Appuie, bon dieu, appuie
Accélère, accélère.
Le vent me fait revivre,
Et la nuit, j'ai des frères.
Cherche et trouve
Qu'à chacun de tes pas, une autre porte s'ouvre.
Et toujours découvrir,
Même si le bout du fil est simplement mourir,
Fais chauffer les moteurs,
Je sais la route par coeur
Que me porte la machine,
Qui tête en ma poitrine.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire.
Non, non, non.
New York, OU Rome,
La Réunion ou d'autres horizons.
Partir et puis revenir,
Agir, toujours agir si tu n'veux pas mourir.
Fais chauffer les moteurs,
Ta route va droit au coeur,
Et ta machine ira loin,
Tant que tu tendras ton sein.
Plus d'envie, plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire.
Plus d'envie, non, non, non plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie,
Servez-moi de l'ordinaire. allez...
Plus d'envie, non, non, non
Plus d'énergie,
Pour chaque jour de ma vie.
L'ordinaire, je n'peux pas m'y faire, faire, faire,
Faire, faire, faire, faire, faire
Plus d'envie, plus d'énergie, pour chaque jour de ma vie
Que du super et des sens
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- C'est cool de voir la frimousse des membres, bon leur QI leur clignote sur le front mais bon
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Silence
Ecoute mon cœur battre en silence
Doucement écoute la souffrance
D'un cœur ouvert
Tant qu'il en est encore temps
Silence
Ecoute ses pulses et ses prouesses
Regarde ses peurs et ses acteurs
De ses faiblesses
Tant qu'il en est encore l'heure
C'est un cadeau précieux
C'est un cadeau des dieux
Qu'il batte près du tien
Pour ralentir enfin
Au fil du temps, sur le fil de nos vies
On connaît ses limites
Mais qui connaît vraiment
Ce fils du temps, si fort que nos envies
Quand elles chantent en chœur
Ecoute-le vivre
Silence
Doucement la mesure en silence
Et puisqu'il n'est pas plus fort qu'un autre
Tu te laisseras
Comme les autres, par la force des choses
D'autres battront pour toi, la mesure à sa place
Ils vivront près du tien, pour ralentir enfin
Au fil du temps, sur le fil de nos vies
On connaît ses limites
Mais qui connaît vraiment
Ce fils du temps, si fort que nos envies
Quand elles chantent en chœur
Ecoute-le vivre
Respire encore
Palpite en nous
Tu es mon or, tu es mon...
Reste, vis encore
Reprendre ton souffle
A coups de sang, respire encore
En silence
Au fil du temps, sur le fil de nos vies
On connaît ses limites
Mais qui connaît vraiment
Ce fils du temps, si fort que nos envies
Quand elles chantent en chœur
Ecoute-le vivre en silence
Quand elles chantent en chœur
Ecoute-le vivant
Silence...
Silence...
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Spoiler:
On dit souvent que je m'agite, je m'agite
Et puis je fais le mort
Et puis des vagues encore
Je suis d'accord
Tu dis toujours que je m'invente
Des moulins, des combats qui ne servent a rien
Comme si l'eau remontait les pentes
Je brasse à contre-courant
Mais c'est pas moi c'est l'océan
{Refrain:}
Je suis de l'Atlantique
Et j'ai la mémoire de l'eau
Je suis de l'Atlantique
Un beau jour sur mon berceau
La fée des vents du large
M'a fouetté le visage
En me souhaitant du rêve
Et des états uniques
Je suis de l'Atlantique, de l'Atlantique
Toi tu sais bien que je préfère
A l'or brûlant la houle et les fortunes de mer
Je cherche les em...merdements
C'est évident
J'étouffe à l'air de déjà vu, déjà vu
Alors je change souvent de ciel
Mais je marche ni au fioul ni au fiel
Si j'ai du sel dans mon sang
Ca doit venir de l'océan
{au Refrain}
Je veux la démesure
De ces plaines d'azur
Embrasser d'un seul coup
L'Europe et l'Amérique
Je suis de l'Atlantique
Je suis de l'Atlantique
De l'Atlantique]
- Spoiler:
- Debout dans la cour d'école
Quand on grandit avec les loups
Je n'ai jamais courbé le cou
Ni même touché du front le sol
Si de ma vie j'ai écarté
Tous ces perdants au garde à vous
Oh, je me suis battu pour mes idées
Mais personne ne m'a vu à genoux
Oh, debout
J'aurais toujours vécu
Debout
Malgré les insultes
Et les coups
Sans tout comprendre je l'avoue
Mais j'ai toujours vécu debout
Et je le resterai jusqu'au bout
Debout
Bien sûr j'ai aimé l'amour
Je l'ai libéré de sa cage
Et j'ai gagné en douleur et en courage
Oui j'ai aimé comme un sourd
Et chaque fois un peu plus grand
Mon cœur se lève et j'oublie tout
Je n'ai que le droit d'être vivant
Et d'être un homme avant tout
Oh, debout
J'aurais toujours vécu
Debout
Malgré les insultes
Et les coups
Sans tout comprendre je l'avoue
Mais j'ai toujours vécu debout
Et je le resterai jusqu'au bout
Debout
Debout dans la cour d'école
J'ai grandit avec les loups
J'en ai gardé les marques au cou
Même si aujourd'hui j'en rigole
Quand on a plus rien à prouver
Peu importe qui est derrière vous
Une seule personne m'a aimé
Et c'est pour elle que je suis resté
Debout, debout
J'aurais toujours vécu
Debout
Malgré les insultes
Et les coups
Sans tout comprendre je l'avoue
Mais j'ai toujours vécu debout
Et je le resterai jusqu'au bout
Debout
Debout
Sans tout comprendre je l'avoue
Mais j'ai toujours vécu debout
Et je le resterai jusqu'au bout
Debout
Jusqu'au bout
Oui debout
Debout
Debout
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Pour ceusses qui comme moi peuvent parfois prendre au pied de la lettre, je me suis assise des fois entre les deux
On m'a dit entre deux chaises, bon,
si on veut,
du moment que je fais ce que je veux,
chacun dit ce qu'il veut,
Je suis pour la liberté d'expression...
Une petite pipe ? ah ceci n'est pas une pipe, ah...
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Keep calm Rocco et au dodo
- Spoiler:
- De l'expression sur lele doué dont on dit qu'il est soi disant entre deux chaises
et
Image circulant beaucoup entre leles doués sur le fait des apparences ou pas
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Côtoyer des personnes négatives, compliquées etc ça noircit le tableau.
Je trouve que tout peut être coloré et aller de l'avant parce que de toute façon on ne peut pas aller en arrière.
Tourner les pages pour moi et pour quelques personnes. Il y a vraiment des gros "dégueus"?
Je repense à ces bouquins dont que je vais relire autrement et déjà rien que dans les titres, "Trop intelligent pour être heureux", visez à retirer le trop après l'avoir au préalable identifié ainsi que "faire simple quand on est compliqué" : toujours chercher et aller vers le simple et la solution rapide et faisable.
Après la soi disant complexité mise de coté, on peut y revenir quand on souhaite en en ayant conscience.- Spoiler:
- Tu compliques tout
Pascal Obispo
Quatre murs qui ruissellent
Je brûle et je sommeille oh, oh, oh
Ton absence a tendance
A prendre de l'importance,
C'est clair quand j'y pense
Evanescente, ça te ressemble
La différence c'est ton indifférence
L'évanescence que je ressens
Me descend le cœur, mais comment faire?
Si tu compliques tout
Chaque fois que je ne suis plus moi
Toi tu t'éloignes de nous
Tu compliques tout
L'ennui c'est l'impression
Que tu disparais pour de bon
Et ça me rend fou
Tu glisses et je me noie
Entre mes doigts, je broie oh, oh, oh
Mon amour quelques fois
Je te touche des yeux,
Y a que dans mes rêves que je te sens mieux
Evanescente, ton omniprésente
Indifférence c'est ta différence
Et ma défaillance plus qu'indécente
Si renversante, mais comment faire?
Tu compliques tout
Même si tu n'y es pour rien
Tu es absente malgré tout
Je peux t'expliquer tout
Chaque fois j'ai l'impression
Que tu disparais pour de bon
Et ça me rend fou
Ça me rend fou
Tout, tout, tout
Tu compliques tout
Chaque fois je ne suis plus moi
Toi tu t'éloignes de nous
Et tu compliques tout
L'ennui c'est l'impression
Tu disparais pour de bon
Mais tu compliques tout
Même si tu n'y es pour rien
Tu es absente malgré tout
Je vais t'expliquer tout
Chaque fois j'ai l'impression
Que tu disparais pour de bon
Et ça me rend fou
Et aller chercher des substitutions. Du négatif aller chercher le pendant positif. Et ne pas se laisser envahir, de négatif ou de ruminations. Je suis reconnaissante à des personnes d'avoir calmé et apaisé des colères justifiées. Par rapport à des crados et des cradosses. Autant je peux avoir beaucoup de compassion pour des personnes qui ont eu de vrais problèmes, par contre je n'en aurais aucune pour des personnes qui détruisent voire se détruisent alors qu'elles ont tout ce qu'il faut. Avoir un meilleur mari, un meilleur boulot, un meilleur ceci, un meilleur cela ! Tu comprends c'est parce que je suis tellement ceci ! Terrien t'es rien.
"On sait pas pourquoi on vit mais on peut se dire que c'est une aventure et vivre des expériences"
H.F.T.- Spoiler:
- Terrien, t'es rien
Hubert-Félix Thiéfaine
visions moites et brûlantes
de visiteurs ailés
cherchant leur masse manquante
dans le cimetière des fées
gisement néolithique
d'émotions nucléaires
dans l'art cytoplasmique
de ta queue linéaire
terrien terrien
terrien t'es rien
terrien terrien
t'es vraiment rien
voyage initiatique
à travers les égouts
des écrans cathodiques
éclatés dans la boue
sédiments d'émissions
speakerines hallucinées
reniflant leur leçon
sur l'inutilité
terrien terrien
terrien t'es rien
terrien terrien
t'es vraiment rien
odieux tes dieux idiots
se meurent d'insolation
derrière les sacs de sable
où tu tires tes neutrons
bouffées indélébiles
vapeurs de belladone
qui soufflent dans les fils
vrillés de tes neurones
terrien t'es rien
tes dresseurs d'hippocampes
& de protozoaires
se déchirent & se vampent
dans le froid du désert
pendant qu'une reine livide
au crépuscule barbare
dans un sabbat torride
dans le dernier topless bar
terrien terrien
terrien t'es rien
terrien terrien
t'es vraiment rien
frissons dans les vertèbres
montée d'adrénaline
les forces des ténèbres
envahissent tes enzymes
& t'attends ta mi-temps
mité par les tranxènes
en matant tes mutants
sur la base aérienne
terrien t'es rien
visions moites et brûlantes
de visiteurs ailés
cherchant leur masse manquante
dans le cimetière des fées
gisement néolithique
d'émotions nucléaires
dans l'art cytoplasmique
de ta queue linéaire
terrien terrien
terrien t'es rien
terrien terrien
t'es vraiment rien
De fait c'est vrai "la vie n'est pas un long fleuve tranquille" mais la :- Spoiler:
- ♪ La Tristitude ♪
La tristitude,
C'est quand tu viens juste d'avaler un cure-dent,
Quand tu te rends compte que ton père est Suisse-Allemand,
Quand un copain t'appelle pour son déménagement,
Et ça fait mal
La tristitude,
C'est franchir le tunnel de Fourvière le 15 août,
Quand tu dois allez vivre à Nogent-le-Rotrou,
Quand ton coiffeur t'apprends que t'as des reflets roux,
Et ça fait mal.
La tristitude,
C'est toi, c'est moi,
C'est nous, c'est quoi,
C'est un peu de détresse dans le creux de nos bras.
La tristitude,
C'est hummm, c'est ouuuuuh,
C'est eux, c'est vous,
C'est la vie qui te dis que ça n'vas pas du tout.
La tristitude,
C'est quand t'es choisis pour être gardien au hand-ball,
Quand t'es dans la Mercos de la Princesse de Galle,
Quand le samedi soir c'est ta fille qui joue sur Canal,
Et ça fait chier.
La tristitude,
C'est quand tu marches pieds nus sur un tout petit légo,
C'est quand lors d'un voyage en Inde tu bois de l'eau,
Quand ton voisin t'annonce qu'il se mets au saxo,
Et ça fait mal, mal, mal
La tristitude,
C'est toi, c'est moi,
C'est nous, c'est quoi,
C'est un peu de détresse dans le creux de nos bras.
La tristitude,
C'est hummm, c'est ouuuuuh,
C'est eux, c'est vous,
C'est la vie qui te dis que ça n'vas pas du tout.
La tristitude,
C'est quand ton frère siamois t'apprends qu'il a le sida,
Quand ta femme fait de l'échangisme un peu sans toi,
Quand des jeunes t'appellent Monsieur pour la première
fois,
Et ça fait mal.
La tristitude,
C'est devenir styliste mais pour Eddy Mitchell,
C'est conjuguer bouillir au subjonctif pluriel,
C'est faire les courses le samedi d'avant Noël,
Et ça fait mal, mal, mal.
La tristitude,
C'est toi, c'est moi,
C'est nous, c'est quoi,
C'est un peu de détresse dans le creux de nos bras.
La tristitude,
C'est hummm, c'est ouuuuuh,
C'est eux, c'est vous,
C'est la vie qui te dis que ça n'vas pas du tout.
Non, non, non,
La tristitude,
La tristitude,
La tristide attitude,
Te donnes la tristitititititi tude,
La tristitude,
Te donnes la triste attitude,
La tristitude ouah ouah
La tristitititude,
La tristitude,
C'est un peu de tristesse et de solitude,
C'est comme de la tristitude plus rien,
En tout cas c'est,
La tri la tri tri stitude,
La tristitude
Te donnes la triste attitude,
La tristitude
Dans la distribution des cartes de la vie, je laisse cela et j'ai toujours laissé cela à ceux/celles qui font ça très bien.
"T'es trop joyeuse, t'es trop enjouée, t'es trop, t'es trop" ... ouais c'est ça je suis trop et t'as raison, on va s'éloigner, sinon on voit trop que t'es pas assez . Je préfère aller filer un coup de main à celui qui n'a pas de jambes, pas de maison, pas de gens,
pas de sous, pas de santé, je sais pas ça doit aider à toujours se rendre compte de ce que l'on a ? Et donc sur ce truc de la douance, ben oui, si sans faire d'efforts j'avais à te débrouiller un bazar, alors j'ai débrouillé des bazars et pas de pitié pour ceux qui pour x raisons créent des bazars, juste pour valoriser leur petite personne.
Par que punaise j'en ai eu des justifications. Je n'ai jamais obligé qui que ce soit à me fréquenter, on est plus souvent venu vers moi, mais des personnes pour m'expliquer des bla blas :" je suis plus fragile" je suis ceci cela, ben oui ben alors va jouer dans ta cour. J'ai du trouver toutes les solutions que d'autres ont trouvé, confuse les gens dans la vie, du coup j'ai pas trouvé trop le temps de rester sur les problèmes. Quel bonheur de lâcher "le gros boulet", "la grosse boulette imbibée" Madame le "déchet humain".
"Y'a ceux qui disent et ceux qui font, il est vrai".
Après attendre des ambulances qui n'arrivent jamais, alors que tu peux appeler une autre si besoin. Le le doué dit qu'il a de la chance, ben oui, j'ai eu la chance de connaître des personnes avec un tempérament à toute épreuve ! si c'est pas de bol ça ?
Après si c'est dans le cerveau que ça se passe, d'accord. Si des personnes doivent d'abord passer par avoir des regrets, j'ai bien fait de lâcher l'affaire y'a longtemps et alors là ça a été le sommet, vu tout ce que j'ai lâché et qui j'ai lâché.
J'ai pour ma part d'abord pris et visité celui qui était déjà là.
Un autre c'était pour le loisir. J'ai croisé tellement de personnes qui ont des combats si difficiles et si pénibles. Lele doué a conscience de se construire des souvenirs.
Alors avoir de l'avance soi disant ne doit pas empêcher de se mettre en contact avec ceux/celles qui en ont encore plus et en ont fait encore plus que soi.
"T'as déjà répondu aux questions que tous les gens mettront leur vie à y répondre" !!
Non mais y'a vraiment des personnes avec qui il faut mettre des barrières et des murs, voire de médecins compétents, de psycho et de psychiatres, ils sont atteints profondément.
Je pourrais vous faire un mois complet sur "ouin ouin doit faire une prise de sang" mais bon je préfère faire encore et toujours du autre chose avant et du positif.
C'est ça "trouver comment passer de "je pense trop" à "je pense mieux". Comment canaliser ce mental envahissant, canal, péniche, y'a l'obtus qui va vouloir attendre des lustres pour faire passer sa péniche là où ça passe pas, et y'a celui qui va chercher là où elle passe.- Spoiler:
Qu'on me donne l'obscurité, puis la lumière.
Qu'on me donne la faim la soif, puis un festin.
Qu'on m'enlève ce qui est vain et secondaire,
Pour que je retrouve le prix de la enfin.
Qu'on me donne la peine, pour que j'aime dormir.
Pour que j'aime le froid qu'on me donne la flamme.
Pour que j'aime ma terre qu'on me donne l'exil,
Et qu'on m'enferme un an pour rêver à des femmes.
On m'a trop donné, bien avant l'envie
J'ai oublié mes rêves et les mercis.
Toutes ces choses qui avaient un prix,
Qui font l'envie de vivre et le désir,
Et le plaisir aussi
Qu'on me donne l'envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume ma vie.
Qu'on me donne la haine, pour que j'aime l'amour,
La solitude aussi pour que j'aime les gens.
Pour que j'aime les silences, qu'on me fasse des discours,
Et toucher la misère pour respcter l'argent ;
Pour que j'aime être sain, vaincre la maladie.
Qu'on me donne la nuit, pour que j'aime le jour.
Qu'on me donne le jour, pour que j'aime la nuit,
Pour que j'aime aujoud'hui, oublier les toujours ...
On m'a trop donné, bien avant l'envie
J'ai oublié mes rêves et les mercis.
Toutes ces choses qui avaient un prix,
Qui font l'envie de vivre et le désir,
Et le plaisir aussi
Qu'on me donne l'envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume ma vie.
(solo)
On m'a trop donné, bien avant l'envie
J'ai oublié mes rêves et les mercis.
Toutes ces choses qui avaient un prix,
Qui font l'envie de vivre et le désir,
Et le plaisir aussi
Qu'on me donne l'envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume ma vie.
Qu'on me donne l'envie,
L'envie d'avoir envie,
Qu'on rallume ma vie.
- Spoiler:
- Tourner le temps à l'orage
Revenir à l'état sauvage
Forcer les portes, les barrages
Sortir le loup de sa cage
Sentir le vent qui se déchaîne
Battre le sang dans nos veines
Monter le son des guitares
Et le bruit des motos qui démarrent
Il suffira d'une étincelle
Oui, d'un rien, oui, d'un geste
Il suffira d'une étincelle
Et d'un mot d'amour, oui pour
Allumer le feu, allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu, allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Allumer le feu
Laisser derrière toutes nos peines
Nos haches de guerre, nos problèmes
Se libérer de nos chaînes
Lâcher le lion dans l'arène
Je veux la foudre et l'éclair
L'odeur de poudre, le tonnerre
Je veux la fête et les rires
Je veux la foule en délire
Il suffira d'une étincelle
Oui, d'un rien, d'un contact
Il suffira d'une étincelle
D'un peu de jour, oui pour
Allumer le feu, allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu, allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Allumer le feu
Il suffira d'une étincelle
Oui, d'un rien, d'un geste
Il suffira d'une étincelle
Oui, d'un mot d'amour pour
Pour, pour, pour
Allumer le feu, allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu, allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Oh, allumer le feu
Allumer le feu, allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu, allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Allumer le feu
Allumer le feu (allumer le feu, allumer le feu)
Allumer le feu
"Encore 7 heures, je peux tenir, et arriver bientôt à 47 ans, ça va, je m'en sors pas trop mal".
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- http://culturebox.francetvinfo.fr/musique/chanson-francaise/oldelaf-de-la-drolitude-a-la-tristitude-103717La Tristitude, c‘est de réécrire la Tristitude
Percer avec une chanson drôle, un juste retour des choses. Petit à petit, La Tristitude gagne les foyers. Tandis que les internautes sont invités à écrire leur version, Oldelaf multiplie les copies pour passer chez Drucker. Un exercice de plus en plus barbant pour cet ancien prof de musique dans un collège, désespéré par le manque de moyen qu’on octroyait à sa matière. « C’était comme enseigner la musique par le CNED… » Jouer La Tristitude oui, mais la réécrire est devenu lassant. « On me l'a souvent demandé et c'était nécessaire que je le fasse mais je ne veux plus. C’est pas sympa de te dire ‘’Ta chanson est géniale mais réécris-là’’. Non, écoutez-là et laissez-moi mes idées pour d'autres chansons. Que les gens la réécrivent, ça me fait très plaisir. Qu'ils fassent des adaptations à leur vie, je trouve ça super. Un garagiste n'aura pas les mêmes tristitudes qu'un trader. En revanche, j'aime toujours la jouer et j'ai de la tendresse pour une chanson qui a accéléré les choses pour moi.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Là je viens de faillir de mourir après une mini tornade, lele doué est d'une hyper lucidicité : à fond, il sait que la pluie ça mouille, et que le vent violent peut t'emporter en deux minutes sur un pont, il a l'anticipation anxieuse, c'est sûr que quand il sent le vent montait, et qu'il voit le ciel au loin tout noir, dis donc quel don ! je réactive en permanence ma zone de con, fort ?
Et alors le regard qui tue, soi disant ou pas, oh oui j'ai très vite laissé de coté les commentateurs de la vie, certains, tu devrais pas faire comme si, tu devrais t'habiller comme ça, tu devrais parler comme si, tu devrais, tu devrais, et pourquoi ?La tronche qu'on m'avait faite, j'en avais mal au coeur et aux tripes pour moi. Ne vous laissez pas faire, ne vous laissez pas faire du mal. P. m'avait dit : vous ne vous laissez pas faire. Ben tu m'étonnes. Dès qu'on m'incline, je sors les dents et je rentre dans le bordel. Je l'avais dit un jour je me suis assise dans une prison de la STASI en Allemagne, alors oui je sais il faut pas relativiser trop mais bon, j'ai de la chance de ne jamais avoir été enfermée trop longtemps, j'ai de la chance de pouvoir sortir et d'avoir les clés de chez moi.S'auto mettre des commentaires négatifs ? Il doit me manquer cette case.
Quand on me fait une tronche de "décomposée", je me barre pour aller "recomposer".
On le met où là mon "QI" ? Du coup je m'en souviens quand j'ai posé mon "cul"
sur ce lit où quelqu'un/quelqu'une avait du dormir, tout seul, enfermé et torturé.
Et pourquoi t'as un chapeau ? ben je couvre mon QI ? je dois dire désormais ? tu forces toujours le trait pour avoir l'air con ! ben oui je m'amuse, je me fais rire, et je me construis des souvenirs, et parfois je les fait prendre en photo et je peux de nouveau me marrer en les regardant.Je comprends mieux plein de choses. C'est jamais le même modèle. Je fuis comme la peste les gens qui décortiquent. Et je comprends mieux pourquoi on m'a toujours dit, tu ne changes pas toi et tu es un baume à complexes. Quand j'ai le temps j'ai le temps, par contre quand j'ai du psycho à régler d'urgence dans ma tête, scusez moi mais le physique je m'en tape à donf. Ma mother me disait toujours, quand j'étais au plus mal, tu devrais mieux maquiller tes yeux. No souci, si c'est ça qui te fait te sentir mieux, mais moi c'est pas ça. Du coup je vais vérifier mais alors pendant que je me fais le clown parce que ça me fait délirer de "jouer" avec moi avec mon chapeau, ça voudrait dire que des personnes vont m'analyser le regard ? pour savoir si je suis ci ou ça ?"Miroir dis moi que je suis belle ? J'ai des copines qui ont des souvenirs de princesse en boîte de nuit, moi j'en ai où je disais "bon si tu veux me draguer, il faut arriver tôt et le faire pendant les deux premières minutes" parce qu'après j'ai plus l'air de sortir de la piscine, la faute aux djs qui me mettaient toujours la zik que j'aimais
Ce fut super bizarre. Cette découverte. Ah ben mince j'aurai du alors me regarder de par l'extérieur et du regard des autres ? Ben on me l'avait pas dit
Faux self ? et mettre un beau masque pour renvoyer à des gens une belle image d'eux mêmes ? et me sentir moi pas bien ? j'y aurai jamais pensé.- Spoiler:
- Toi, ne me regarde pas,
Car toi, tu ne me vois pas.
Oh, si je saute autour de toi,
Je suis tout en dehors de moi.
Je t'embrasse et te serre contre moi.
Tu penses, "ça y est, il est à moi.
Toi ne me regarde pas
Car toi, tu ne comprends pas.
Quand tu me vois, que je te noie,
Et qui est toi, est qui est moi,
Ne parlons pas, pour une fois,
Je veux frémir, ou en finir.
Toi ne me regarde pas
Car toi, tu ne comprends pas.
Un jour clochard, un autre roi,
Je traîne ou je vole en éclats.
T'en ramasse un juste devant toi,
Et tu demandes, "Combien pour ça ?".
Toi, ne me regarde pas,
Car toi, tu ne me vois pas.
Si tu savais combien de fois,
La caméra de ton visage,
A vu images et paysages,
Tu viendrais de ce côté là,
De ce côté du grand miroir,
Mais qui tu es, tu l'oublieras,
Qu'une fois tu pénètrera la glace,
Viens, tu verras, tout a deux face.
Je dis casse, ...casse la glace,
Casse, ...casse la glace.
Casse, casse...casse la glace,
Casse la glace. (bis)
Regarde moi
Regarde toi
Regarde nous Regarde tout
Qu'est ce que tu vois (bis)
De toute manière
C'est toi qui vois
- Spoiler:
- ♪ Regarde-Moi ♪
Je dis casse... Casse la glace, casse... Casse la glace
Casse, casse... Casse la glace, casse la glace, casse la
glace
Regarde-moi, regarde-moi...
Regarde-moi, regarde-moi
Qu'est-ce que tu vois? Qu'est-ce que tu vois?
Regarde-moi, regarde-moi, de toute manière, c'est toi qui
vois
Regarde-moi, regarde-moi
Regarde-toi, regarde-toi
Qu'est-ce que tu vois? Qu'est-ce que tu vois?
Regarde-toi, regarde-toi, de toute manière, c'est toi qui
vois
Regarde-moi, regarde-moi
Regarde-nous, regarde tout
Qu'est-ce que tu vois? Qu'est-ce que tu vois?
Regarde-nous, regarde tout, de toute manière, c'est toi qui
vois
De toute manière, c'est toi qui vois
De toute manière, c'est toi qui vois, toi.
Dommage que je n'ai plus de photos de mes 20 ans quand j'ai fait 90 kilos, jamais personne ne l'a vu. Et pourtant j'étais passée du coq à l'ane...
J'avais dit à J. en lui montrant celle là alors tu penses qu'on voit autre chose dans mes yeux quand je me dis que je fais ma "chipie" ? ah bon !
Si tu savais l'histoire de cet ours rose...
Je dois retourner voir la madame experte avec mon grand chien ? dans le train ? et chanter content de vous voir enfin mr le controleur ?
Me suivez pas je suis perdue mais je sais faire le pain perdu
Vivement le congrès de la douance en septembre, on va pouvoir avancer sur le dossier "mais qu'est ce qu'on fait de son con, de son plein gré ?".
"Ma chetron sauvage".
Ah ouais d'accord, donc pendant que je disais "tu rigoles, je dois ressembler à un camionneur, ou avec mes gros sabots sur mon tracteur" on me regardait le "QI" ou le "Q" ? pendant que je continuais mes recherches sur le canard ?
Ben dis donc quand je vais leur dire que je suis un cygne, ils vont être surpris
Voilà je continue à essayer de dire et d'expliquer ma théorie du "sois toi même", "co-nettoies toi toi même". Cela dit je ne sais pas trop si ça tient bien la route, mais je crois que j'ai enfin réussi à l'écrire mon mode d'emploi de la vie.
De tout ça, I am so sure.
Il y a alors les tirets à 4 épingles et l'épingle à nourrice.
Jeune con ou vieux con, toujours égale à moi même, et toujours sur des ponts.- Spoiler:
- Tu dis
Que tu n'admets pas
Que tu ne tolères pas
Et je me demande ce que tu vois
Tu affirmes
Qu'ils ne t'auront pas
Qu'ils ne te changeront pas
Garde ta révolte au fond de toi
Garde ta révolte au fond de toi
Car jeune con, ou vieux con
Toujours égal à toi même, à toi même, à toi même
Un pays loin d'ici ou tout près si tu veux
Deux peuples en un et un peuple en deux
A ma droite les ils
À ma gauche les ons et leur chef Léon
Les ils si futiles sortent en ville paraît-il
Entourés de presqu'il set de ons serviles
Les ons toujours marrons se croient sensés les cons
Qu'ils travaillent à la ville, qu'ils travaillent à la mine
Qu'ils soient camés les ons sont tous pâlichons
Car les ils donnent aux ons l'air (R) qu'ils n'ont pas au fond
Et le on rend des ronds, rêve de révolutions ah ! ah !
Et chaque on a ses ils dessus
Et chaque il a ses ons dessous
Question:
Qui est il et qui est on ?
Est-on presqu'ilou est-on né on?
Imparfaite, libre et heureuse
C'est tout moi ça passe, tout vous ça devrait passer, non ? Je dois écrire "la fille sur le pompom ?"
https://fr.wiktionary.org/wiki/%C3%A0_l%E2%80%99aise
https://www.amazon.fr/%C3%A9tats-d%C3%A2me-apprentissage-s%C3%A9r%C3%A9nit%C3%A9/dp/2738119433
Je ne sais pas si je "respire" l'intelligence, mais en tout cas, je respire, c'est déjà ça de gagné
On n'est pas que des mots.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Alors comme ça je pourrais un sujet de thèse ? Non vraiment, c'est exact, j'en rate pas une, vraiment
Je vais enfin pouvoir écrire ma re-présentation
Se reconnecter parfois avec son image. C'est pratique pour l'image de soi...
C'était vraiment très bizarre cette expression souvent entendue : "avec toi je me sens vivant". Ah bon d'habitude t'es mort ? ça craint comme situation, il ne faut pas y rester.
Alors J. m'a dit : et c'est une séparation qui a causé ça ? et je lui ai dit (je m'en suis souvenue) ben non, je lui ai dit : est ce tu m'aimeras encore si je prends 40 kilos malade ? ou si je perds mes dents qui sait ? ect, et il m'a répondu : si c'est pas trop... trop dis donc ça a l'air vachement important pour des personnes, comme concept de vie.. et je suis partie ... Peut être pour ça que j'ai jamais été trop forum en fait, y'a pas assez d'images
On me disait : je mets des pancartes, je me demande si j'ai pas un coté "pancarte mobile" en fait. Ca tombe j'ai vu un gars homme sand switch lorsque j'étais plus petite et je me suis dit : tiens ça a l'air sympa ça comme boulot... on sait pas ce qui se passe dans ces petites têtes. En tout cas je valide, une image vaut mille mots. Du coup ici je pourrais dire : vaut mille maux ? taupe model, top model.
On est son meilleur repère ? non ? Là t'as pas l'air, ben oui mais mais je me sens bien !
Ceux qui me composent, ceux qui me recomposent, ceux qui me décomposent.
Ca va bien finir par rentrer, ce concept dans mon entonnoir, sinon je vais plus pouvoir le faire rentrer dans l'entonnoir des autres, ça me semblait donc bizarre. Je l'avais dit à J.
: je peux plus être moi, c'est quoi ce bordel ?.
08/08/2017.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- J'en profite d'ailleurs pour aussi remercier publiquement "Jean Paul Gaultier Leclerc" pour sa création spéciale à 10 euros en soldes "Fraicheur rideau en fleurs"On a parlé justement avec une de mes caissières, de faire un défilé avec un slogan "vous êtes timide ? vous ne trouvez pas un rideau derrière lequel vous cachez ?" "portez le, vous l'aurez toujours avec vous".D'ailleurs en revenant de la poste !Je me disais qu'en fait, les codes sociaux hein, jamais vu personne de là sortir en pyjama voire même y entrer, maintenant que j'y repense de mon intelligence, je trouve ça bizarre.
sinon je vais bientôt pouvoir rendre leurs mots et leurs phrases exactes aux personnes concernées.Ca tombe j'ai fait des mixs d'auteurs, j'ai rechappé à plein de procès... On me l'avait pas dit qu'il fallait bien s'habiller pour aller à la posteuh et que je serai un jour surprise d'être une chambre à air, de commerce et d'industrie (indus trie ) ni même pour le désemcombrement on me l'avait pas dit que j'étais un encombrant encombré, surprenant de s'entendre dire : tu m'as tout trié du coup si j'étais encombrante et encombrée, tu vois ? ce que je veux dire ?.
D'ailleurs je pense au "être aimé pour ce que l'on est ou ce que l'on fait" et je me dis aussi qu'en fait, je commence à percevoir à peine en quoi tout cela m'a touchée, c'est assez bizarre de te dire que des personnes cherchent ce que tu as dans la tête, en gros, c'est cette histoire de "évident", ben oui je trouvais évident que tout ce que je me suis mis dans la tête, tout le monde l'avait. Ou quelque chose comme ça.
J'ai une connaissance douée qui ressemble à Philippe Katherine et il a soupçonne alors mon QI lorsque je trémoussais sans gène mon Q sur les Ska-P, ça me trouble rétroactivement, et ce fut de plus le jour où une nana m'avait dit : viens je dois te présenter à des potes, comme je suis polie, j'ai demandé s'il vous plaît je peux m'occuper de la zik parce que c'est un peu mou et j'y suis allée de ma play list en commençant par ACDC ect : et là gros blanc "ben quoi c'est ACDC, me dites pas que vous ne connaissez pas ?" , en fait cette jeune fille m'avait présentée comme plutôt sensible alors ils avaient mis du doux les gars (c'est gentil les doux, ça pense à ton bien être, ça fait des concessions, des sacrifices).
Ca aussi c'est dans un des bouquins, bien dit. "le le doué ne saura comment la protéger"
et aussi le le doué crée la surprise
et aussi "le le doué ne souhaite pas être aimé pour ces dons",
j'en viens donc à D. (sosie de PK) qui nous avait accueilli ce jour là avec rien quasi.
Peut être un sirop Teisseire, quelques verres et un paquet de cacahuètes.
Deux trois personnes sont partis, sûrement pour ça, et sinon pour le reste on a passé une excellente soirée avec juste nous,
et on a d'ailleurs inventé ce jour là "le just'in brides nous" . Comme quoi hein, parfois juste nous ça suffit.
La prochaine que je vous découvre, prévenez moi à l'avance, je prendrais un bain,
j'irai chez le coiffeur et je me ferai une beauté
Je mets pas de lunettes, elles sont là d'avance, pour que je dois déjà habituée à en porter si je dois... ce qui me surprend toujours, en fait si tout le monde ne pense à tout ça et comme ça ? ils pensent à quoi ?
Le Cécile Bost c'est pareil, c'était parlant, enfin pour moi, ça voulait dire "boostes te toi"
? la vie n'attend pas quoi.
Spéciale dédicace et reportage photos au jeune zébre qui m'a mis un texto la semaine passée en me disant ... plein de choses.... Différence et souffrance, justement. Je n'ai pas le sentiment de m'être fait une vie où je m'adapte aux autres, mais plutôt l'inverse.
J'ai plus l'impression d'avoir dit au monde : attention j'arrive, si t'es pas content tu peux changer de planète mais moi j'ai des trucs à faire... plein... donc il va falloir compter avec moi, je laisserai de la place, mais pas ma place...
Si J ne m'avait pas convaincue que ça puisse être utile à d'autres... de plus ce forum est pratique car comme me disait P. "tu fais les questions et les réponses", ou bien alors "tu crois que tu l'as dit mais en fait tu l'as pas dit" donc là c'est dit, c'est même écrit.
Connaître mon QI ne m'intéresse toujours pas, il y a plein de personnes supra intelligentes en plus de personnes dites surdouées. Je ne pensais pas que ce soi disant savoir mettre les mots sur les maux était de ce domaine là. Ca m'a toute chamboulée.
Tu te regardes alors dans une glace comme avant et tu te dis : mais où ça se met alors tout ça ?
Je me suis souvenue aussi qu'il était écrit : lele doué doit trouver sa cause. Ben oui j'en avais trouvé plein des "mes causes" et du coup ça partait en sucrette, en vrille,
le fait qu'on me dise que euh, c'est bien possible que j'ai été comme monsieur chapeau a mettre des plombes à aller au bout de la rue, probablement que c'est cela qu im'a été autant touchée en fait. Après c'est pour montrer que non ça se voit pas, enfin du moins pas genre je suis Frankeistein et tout le monde se retourne quand je passe. Tout le monde est plutôt "imparfaits, libres et heureux". Tout le monde a des particularités,
des défauts, des qualités selon untel, truc ou bazar.
Je repense au fils de ma voisin, mon petit bouchon, Lissandro, il me fait des bisous nounours du haut de ces 4 ans maintenant, c'est génial. Je pense à Gauthier, à qui j'avais dit : t'es un petit con alors. A qui j'ai dit de même à ses 19 ans récemment,
en fait je m'excuse, t'es un petit con, encore, mais un petit con intelligent parce que....et je me marre de sa copine qui se marre de sortir des jeux de mots en mode bombardements... sur son profil face de... alors je le crois oui qu'il suffit d'une étincelle,
d'un geste, d'un contact...
Après les validations scientifiques, moi c'était mon rayon, peut être j'aurai du percuter oui en me disant ben oui pourquoi j'arrive à faire ci ou ça à machin ou bidule, mais j'étais plus concentrée en fait sur le fait de le ou la voir bien, sur l'échange, sur le contact, sur cette lumière qui s'allume dans des yeux, sur ces visages qui s'allument.
Donc oui j'aime bien ces bouquins comme tous ceux que j'ai lu, ça m'a donné plein d'idées, d'autres que les miennes. En fait ça aurait du s'appeler "trop intelligent pour être trop heureux ?" comment commencer d'abord par l'être un peu ?
Il est bien précisé si on ne vous pas capté dans vos subtilités, c'est qu'on peut pas vous lire au complet... donc ne le prendre comme du personnel... Je reste ultra impressionnée par ce jeune garçon dans ce reportage qui dit : j'y vais quand même.
et que je mettais à J. et lui mets encore parfois : et puis aussi tout plein de choses mais bon des fois Merdeuh...
Je me suis dit à moi même la même chose que cette chef de clinique m'avait dit en fait : mais surdouée ? de quoi ? de où ? ben j'en sais rien, moi mais ça a l'air d'être vachement important pour d'autres personnes. Et pas pour vous ? ben euh je sais pas.
En fait je suis une pauvre victime d'un complot, on m'a cachée alors des choses de moi même ? alors du coup j'avais pas pensé à en parler pour qu'on me le fasse remarquer
En tous les cas c'est cool, parce que maintenant des personnes savent et des professionnels aussi. Etre électron libre parfois sans cadre ça me plaisait pas. Ce n'est pas parce que soi disant on peut voir le truc qui cloche, que justement on le voit pour soi même. Je suis bien contente que la soi disant Fée Clochette, elle se soit fait dire où elle clochette elle
J'avais dit à J. : ben merde t'avais l'air si content ce jour là dans ton bureau. Oui et donc plein de choses mais on va en garder pour demain. L'avantage justement quand tu as un "programme de base" de vie, c'est que tu fais en priorité ce qu'il faut pour avancer dans ta vie, le reste ça se réfléchit quand t'as du temps pour ça. Et je suis assez d'accord aussi avec le fait que ça peut mettre de la douance partout un lele doué qui passera pour atypique mais qu'on n'est pas obligé de mettre de la douance partout et de toute façon personne ne vit avec tout le monde, alors l'important est de s'atteler à ce dont on a besoin autour de soi.
Alors ça se voit sur mon front que des fois je dis "dans ton cul" dans les milieux autorisés où on s'autorise à penser que "dans ton cul" c'est essentiel comme base de réflexion de départ ? En plus logiquement quand on s'adresse à plusieurs personnes on le fait sur un thème et pré défini, et pré cadré. Alors la douance c'est super vaste ou pas du tout en fait.
Bref.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Spoiler:
- Oct 19 2015
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
Je n'ai rien contre les validations ou le fait que soit "surveillé" (bouh le vilain je sais, j'en dis parfois), toussa, mais il est vrai que c'est toujours intéressant à ma vue tous les feedbacks et analyses de tout le monde sur ces sujets.Tout le monde ne va pas s'arrêter aux mêmes détails, aux mêmes appellations, et les interactions entre deux telles personnes ne vont pas produire les mêmes phrases sur ce sujet ou sur une personne.
J'aime bien pour ma part "hyper fonctionnant", ça laisse une porte ouverte à "tu peux te mettre un peu en mode "petit marché de village, en vacances" sans sortir la Bugatti pour aller à l'hypermarché.
Et puis sinon y'aurait plus rien à dire, à échanger, à se tromper, à se ressentir, comme à mon arrivée ici, ça faisait un peu "bon je te donne ma liste de caractéristiques, voici la mienne" hop on a tout dit et c'est validé. A mes yeux hormis des sections particulières,
où je n'oserai toujours mettre un pied, de mes mains... même si elle s'avère erronée,
tout le monde a le droit d'avoir sa "perception" du bazar.
J'ai envoyé ici des personnes, ou conseiller d'aller voir son médecin, ect... mais je vois quand même ces personnes ...d'ailleurs il aurait été curieux et dangereux je trouve que je me mette à m'exprimer avec des termes cliniques, psycha, psycho, ça aurait donné des phrases du genre : oh t'es génial, tu sais superbement faire ça, ça doit être l'expression de ton gros QI, as tu pensé à le faire valider par un test truc machin bidule à l'échelle de, fais tu perds ton paire de centimes, mes deux pièces de deux centimes ? non le truc au bout en pourcentage tu sais du test bazar,
tu devrais lire Freud, ça t'aidera beaucoup pour ta poterie, car tu es surement surdoué, elle aurait penché plus à gauche sinon, encore que si politiquement tu te situes plutôt à droite, peut être que ça influence, tes deux cerveaux qui se mélangent en connexions puisque cerveau gauche et droit c'est faux, après si t'as lu des philosophes, eux ils parlent d'intelligence d'une autre façon... et.... ben pourquoi tu l'écrases ? ta poterie ? c'était joli. Oui ben t'aurais plutôt du commencer et continuer sur ce thème, là tu m'as plutôt l'impression d'un qu'elle était moche, et de deux qu'en plus je suis dingue et que je devrais consulter... ah mince, justement c'est l'inverse que je voulais te dire, t'es génial...
J'ai d'ailleurs rajouter à des personnes : en fait je t'avais dit t'es con, puis t'es con parce que t'es intelligent mais pour être totalement honnête il faut que je rajoute que tu restes très con, des fois, tout de même. Et donc ? ne changes surtout pas, c'est toi que ...
quand même Ah non pas trois fromages, tu sais bien que j'aime que le gruyère ou l'emmental ? non je vais prendre un petit pain, oui une chocolatine si tu veux, la mixité complexe, c'est pas simple
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Pain au Chocolat.
A voté.
A voté.
Surfi- Messages : 737
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Il faut ouvrir un sujet en urgence avec un sondage.
C'est LE débat de ce siècle.
C'est LE débat de ce siècle.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Parfois ici certains/certaines se débattent et débattent
et sur les ébats pour le soir,
alors on va reporter le débat du "qu'est ce que tu prends au petit déj", du matin,
un problème à la fois, déjà arriver à passer du soir au matin,
qu'en penses tu ?
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:03, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Depuis que j'ai vu ton annonce meetic, quand tu veux.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Je dirais meme plus, on pourrait faire du Tetris ensemble.
Vieux comme le monde, l'homme propose, la femme dispose.
Parce qu'elle a le POUVOIR
Vieux comme le monde, l'homme propose, la femme dispose.
Parce qu'elle a le POUVOIR
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Mon annonce "Meetic" ? Je n'ai pas d'annonce actuellement sur Meetic ? Tu as pris mes tirades du jour sur mon fil de présentation dans le domaine de la douance pour une annonce "Meetic" ?
Il y a "Zeetic" ici
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:04, édité 1 fois
Tokamak- Messages : 3004
Date d'inscription : 24/05/2017
Localisation : Wonderland
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Les Dieux sont avec nous.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Surfi a écrit:Je dirais meme plus, on pourrait faire du Tetris ensemble.
Vieux comme le monde, l'homme propose, la femme dispose.
Parce qu'elle a le POUVOIR
Rhhooo nonOn ne va pas mixer Tétris le plus vieux jeudu monde, du moins du mien, de monde, avec le fil sur la prostitution, dont on dit qu'il serait le plus vieux métier du monde, d'ailleurs comme enseignant,
c'est prendre le risque d'a mâle gamer
Bonne nuit et évites les bagarres entrechats, la danse c'est mieux
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:04, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Tokamak a écrit:
- Spoiler:
- Spoiler:
- Rhoo non pas Barrit White
On va arriver à :
Quelqu'un va dire qu'il trompe énormément, ça va arriver sur trompe et
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:04, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Oui, sur du Barry Withe par exemple.
Bonne nuit Mademoiselle.
Bonne nuit Mademoiselle.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Alors je mange de tout et je suis pas chiant. Enfin pas trop.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Surfi a écrit:Oui, sur du Barry Withe par exemple.
Bonne nuit Mademoiselle.
Voilà
Bonne nuit à vous Monsieur
Je pars pour ma part me mettre sous le pouvoir de Morphée ou de Nounours
Le pouvoir du nuage volant
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:05, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Toc-toc.
Tu as bien dormi coquinou d'amour ?
Classique mais sympathique.
Tu as bien dormi coquinou d'amour ?
Classique mais sympathique.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
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Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Hello, dis donc, on a dormi à plusieurs ? ou non pas avec ta femme et ta maîtresse ?Je vais me demander si je devrais mettre tout ça sur une annonce Meetic
"Coquinou d'amour" non classique mais sympathique, on voit que tu ne me connais pas et surtout au réveil
C'est rigolo ça me rappelle les coquelines
ou alors c'est pas marrant, ça me rappelle aussi que c'est la nouvelle femme de mon père (qui fut donc sa maîtresse et de plus institutrice avant cela) qui en acheter tout le temps.
D'où la citation du matin : Qui, quand il fourre ailleurs la fraise, doit il y mêler ses enfants ?
La FIMO me rappelle le permis camion :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Formation_initiale_minimale_obligatoire
Comme quoi j'ai eu bien raison d'être neutre dans ces très anciennes histoires d'adultes , il est vrai que je n'ai jamais voulu être mêlée de près ou de loin à ces histoires là. Confuse pour l'inspiration du coup, ça m'a évoquée un échange à 4h du matin au non pas réveil du coup, ado pour écouter mon papa, rentrant curieusement de je ne sais où et je ne sais pas pourquoi, un peu bourré au ricard pour s'excuser d'un tas d'histoires et de sa femme qui lui disait : Laisses la tranquille. Ca a du jouer je pense sur quelques contacts que j'ai pu avoir avec le même type de personnes, me demandant ce que je pouvais bien leur dire, les échanges étant provoqués d'office non à jeuner, et on arrive donc à dé-jeuner
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:05, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
I am so sure a écrit:
ou alors c'est pas marrant, ça me rappelle aussi que c'est la nouvelle femme de mon père (qui fut donc sa maîtresse et de plus institutrice avant cela) qui en acheter
Ca se voit.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Autant en emporte la brise légère dans un verre d'eau
Ca par contre ça me rappelle les levers de soleil dans le sud de la France lorsqu'on partait en vacances, avec mon père cet inconnu, et surtout le longuet
Comme quoi les boulangeries et moi c'est vraiment une histoire d'amour qui dure depuis toujours
Je me disais hier sur autre chose qu'en fait ça doit être sacrément pas de bol, un jour deux personnes qui ne s'entendent pas au fond, font un enfant ou des, et se retrouvent liés à vie, et que la vie est bien faite tout de même, puisqu'il le semblerait que j'ai pu avoir via transferts réussis, vive les décalco manies, toutes les conversations que j'aurai du probablement avec mon papa. D'où le fait qu'il n'y est pas eu de manque en fait, ni de mélanges.
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:06, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
I am so sure a écrit: D'où le fait qu'il n'y est pas
AArrrgh.
Mais ça n’enlève rien a ce que je pense, tu es soigneuse.
Et peut-être soigneuse ?
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
Un pseudo une chanson.
(et lépéti soulis sortent du violon)
(et lépéti soulis sortent du violon)
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Surfi a écrit:I am so sure a écrit:
ou alors c'est pas marrant, ça me rappelle aussi que c'est la nouvelle femme de mon père (qui fut donc sa maîtresse et de plus institutrice avant cela) qui en acheter
Ca se voit.Quoi donc ? La distance neutre que je sais avoir quant au fait que mon papa soit allée voir des travailleuses du sexe ? et que je ne lui en ai jamais tenu rigueur ?
De fait je me permets, si tu savais ce que tu n'as pas vu D'ailleurs ça a choqué pour moi beaucoup de monde, que mon papa me dise un jour, en fait tu fumes, tu as l'air d'une "pute", pas moi Les mots ne sont que des mots, les ressentis sur l'instant, des ressentis Ca suit bien avec cette histoire de lele doué qui se construit des souvenirs, j'ai provoqué ado le fait d'avoir plutôt un beau souvenir de mon papa timide me jouant du saxo rien que pour moi
Ses histoires de couple et autres et son histoire personnelle ne regarder que lui et il avait donc ses raisons. Et l'on dit que le coeur a ses raisons, que la raison ne connaît pas
Encore un exemple que la douance est une chance, il semblerait que ça m'ait donc évité ce "trauma" bien que pour pas mal de monde, hormis la dernière experte psychiatre que j'ai vu pour autre chose, ont beaucoup focalisé là dessus, comme si forcément à 2 ans/4 ans, comme dit je ne m'en souviens même plus précisément,
ça aurait du avoir un impact et faire de moi une perturbée à ce sujet une grande partie de ma vie
Par soigneuse tu entends "avoir eu un besoin de prétendre et vouloir "réparer" des hommes ? comme pour "réparer" mon papa ? ou ma relation avec lui ? dans mes relations d'hommes à femmes ? (lol ça fait homme à femmes aussi ) euh non en fait, il était et il est grand, je l'ai donc laissé faire ses choix pour sa vie à lui. Ca rejoint bien "imparfaits, libre et heureux" tiens, aussi
J'ai rapidement "divorcé" de mes parents aussi moi en fait Après tout c'était quoi ce "truc" dans la vie qui obligeraient à faire perdurer des relations s'il n'y a pas tant d'affinités que ça ? Et puis parallèlement j'ai eu un beau papa qui m'a élevée dans les deux sens du terme, dont on me disait : J. (décidément les J.) dit qu'il te considère comme sa fille.
Comme d'ailleurs ça prouve qu'on est donc vraiment pas ici sur Meetic, ça me parle assez de douance qui pourrait faire mélanger ou alors de douance qui permet de trier encore mieux. "On" m'a aussi sorti des trucs sur une trop promiscuité qu'on aurait pu penser entre mon beau père et moi. Comme quoi l'avis des on, autant faire l'avion pour aller se faire son avis ailleurs, faire son aviateur, Saint ex, le petit prince, tout ça quoi
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:07, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Surfi a écrit:Un pseudo une chanson.
(et lépéti soulis sortent du violon)
Ca fait, attention, si tu fais sortir la garce du chapeau, plus de souris, mais mord . La magie, chien
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:07, édité 1 fois
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
I am so sure a écrit:Ses histoires de couple et autres et son histoire personnelle ne regarder
le petit prince
Flute, j'ai toujours confondu le Passé Simple et l'Imparfait. Mais ce n'est pas de l'Infinitif c'est Clur.
Et le Grand Prince. On y pense jamais.
Prend garde, je suis un mécani-chien. Ambulanchier. A chier.
Tu baguenaudes dans les Paturages. Les Patures Ages.
Surfi- Messages : 737
Date d'inscription : 16/07/2017
Localisation : A ma place.
Re: La Boite à Sauces Sures (dans le mille, doux, on s’emboîte mode Tétris)
- Spoiler:
- Spoiler:
- Comme quoi Les analyses ++ dans une relation de couple n'ont pas leur place à mes yeux. Je suis synchro avec ce que j'avais dit ici à une époque : mon mari si j'ai, doué ou pas, ne sera pas mon psy aussi même s'il peutcard, je n'ai pas un souvenir d'un alcoolique fini et je me suis d'ailleurs dit que tiens, ce verre du soir...
C'est vraiment de sacrés décalages permis semble t il pour son cerveau. Qu'est ce qu'on a pu me le sortir ou/et vouloir entamer des conversations là dessus.
Si tu aimes la musique et particulièrement le saxo, c'est parce que tu recherches ton père, ce à quoi je répondais : euh mon père il est dans l'annuaire, je sais ouvrir les pages blanches et j'aime la musique et particulièrement le saxo, parce que j'aime la musique et particulièrement le saxo .
Sinon on en sort jamais, j'avais pensé à mon papa et son ri
et aussi donc ma lubie de boire de l'anisade, comme quoi on pourrait faire des liens partout, là où il n'y en a pas, et dissocier, je trouve, permet de mieux s'associer,
en toute lucidité. C'est chouette de pouvoir ne pas mélanger, le "colonel" que je descendrais lui chercher, Bob Smith dans mon walkman pour écouter "the walk",
les sensations de malaise au soleil et les rentrées en douce pour mettre ses doigts dans le pot de Nutella.
Des personnes ont voulu faire pour moi l'analyse d'un coup de fil que je lui avais passé,
émue, j'avais laissé un message sur son répondeur, et il ne m'a pas rappelée. Ca à choqué, pas moi. Je devais sûrement lui dire ce que je lui ai dit. Et j'ai bien souvenir d'avoir dit et si besoin tu me rappelles. C'est donc qu'il n'y avait pas besoin d'en ajouter.
Chocolat, émotions, ça me revenait hier, très beau film, très doux
Dernière édition par I am so sure le Mer 09 Aoû 2017, 15:08, édité 1 fois
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