L'ère mite âge ...
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Re: L'ère mite âge ...
Le "bonheur" en commun Diana, voilà comment je l'envisage (utopie sans doute) : Comme un partage sans crainte d'être jugé pour ce que l'on est.
- Un discours fluide à la mesure de celui qui le pose
- Une acceptation devant ce qui est donné même si l'on est pas d'accord, en même temps que la fourniture de ce que cela inspire et de ce que l'on sent de son coté
- Un apport d'éléments petit à petit fournis qui permettent à l'autre de comprendre le pourquoi, ou bien une "élévation" autorisant à regarder les parallèles (paradoxes ?) proposés pour changer de regard juste un instant afin de se projeter en dehors des carcans
- Des questions pour savoir si l'on a compris ce que l'autre signifiait et pour se le refaire formuler le cas échéant
- Un avis fondé sur une réflexion personnelle et non pas des citations et références qui ne font qu'enjoliver des propos sans en donner substance
Être par la suite d'accord ou pas est du ressort de chacun. Se battre pour ces différences n'est utile quand ces dernières mettent des vies ou des libertés fondamentales en jeu. Pas pour une question d'égo.
Ainsi oui, vouloir faire le bonheur des autres malgré eux est un chemin condamné à l'échec. Partager pour partager, sans crainte de donner juste ce que l'on a à donner, ni recevoir ce que l'on est apte à recevoir, est offrir la chance à chacun d'y trouver de quoi se "nourrir".
- Un discours fluide à la mesure de celui qui le pose
- Une acceptation devant ce qui est donné même si l'on est pas d'accord, en même temps que la fourniture de ce que cela inspire et de ce que l'on sent de son coté
- Un apport d'éléments petit à petit fournis qui permettent à l'autre de comprendre le pourquoi, ou bien une "élévation" autorisant à regarder les parallèles (paradoxes ?) proposés pour changer de regard juste un instant afin de se projeter en dehors des carcans
- Des questions pour savoir si l'on a compris ce que l'autre signifiait et pour se le refaire formuler le cas échéant
- Un avis fondé sur une réflexion personnelle et non pas des citations et références qui ne font qu'enjoliver des propos sans en donner substance
Être par la suite d'accord ou pas est du ressort de chacun. Se battre pour ces différences n'est utile quand ces dernières mettent des vies ou des libertés fondamentales en jeu. Pas pour une question d'égo.
Ainsi oui, vouloir faire le bonheur des autres malgré eux est un chemin condamné à l'échec. Partager pour partager, sans crainte de donner juste ce que l'on a à donner, ni recevoir ce que l'on est apte à recevoir, est offrir la chance à chacun d'y trouver de quoi se "nourrir".
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Il est des souffrances qui ne s'épanchent que dans le sang. Dont une plume ne peut être le vecteur d'expression.
Il est des heures volées par l'inconsistance des êtres. Par leur regard égocentré, si avide de pouvoir se montrer qu'il en devient phagocytant.
Il est des mots et des gestes, des lignes écrites qui ne sont que des appâts pour des âmes en peine, sombres filets d'une araignée tapie en l'attente de dévorer cette pauvre proie alléchée par les gouttes de rosée qui les irisent.
Il est une foi si pure dans le don qu'elle se masque derrière le silence et la compréhension des actes qui paraissent anodins. Qui n'est qu'en attente d'un aveu pour se donner, mais d'un aveu qui ne soit pas en contradiction avec ce que le paraitre dénonce de l'être sous-jacent.
Au delà des blessures que porte chacun, il y a cette peur ou cette envie de revanche qui se niche. Ce désir incommensurable d'être à croquer la vie qui a été refusée, quitte à devenir vampire.
Il n'est plus de mise de nos temps à comprendre qu'une main tendue puisse l'être simplement, et que le manque d'emphase ou de démonstrations grandiloquentes ne ternit pas l'envie d'aider et de partager qui se cache derrière.
Quand un être se tait et écoute, d'aucuns le traitent d'insensible et se gaussent, d'autres le trouvent fort et déversent à l'envie leur mal-être en lui demandant de tout porter. Il n'y a que peu de personnes qui sont à même de comprendre que la patience et l’invariabilité sont des garant de paix et de calme. C'est le monde en sa fureur qui rend fureur existante. Et concentre les désirs irrésolus dans un paroxysme prêt à exploser. Qui fait s'accélérer les oppositions, les montant les unes contre les autres, au détriment même du porteur de la frustration.
"Plus on désire une chose, moins on l'obtient" dit une adage populaire. Il se vérifie de plus en plus, et l'oppression de la fusion programmée des cultures et rythmes de vie l'amplifie. C'est inconsciemment contre cela que tout le monde s'élève, en oubliant pourtant que casser le rythme effréné de cette dernière sans briser en même temps le rythme forcené de la résolution de ses propres désirs revient à construire chimère ...
Il est des heures volées par l'inconsistance des êtres. Par leur regard égocentré, si avide de pouvoir se montrer qu'il en devient phagocytant.
Il est des mots et des gestes, des lignes écrites qui ne sont que des appâts pour des âmes en peine, sombres filets d'une araignée tapie en l'attente de dévorer cette pauvre proie alléchée par les gouttes de rosée qui les irisent.
Il est une foi si pure dans le don qu'elle se masque derrière le silence et la compréhension des actes qui paraissent anodins. Qui n'est qu'en attente d'un aveu pour se donner, mais d'un aveu qui ne soit pas en contradiction avec ce que le paraitre dénonce de l'être sous-jacent.
Au delà des blessures que porte chacun, il y a cette peur ou cette envie de revanche qui se niche. Ce désir incommensurable d'être à croquer la vie qui a été refusée, quitte à devenir vampire.
Il n'est plus de mise de nos temps à comprendre qu'une main tendue puisse l'être simplement, et que le manque d'emphase ou de démonstrations grandiloquentes ne ternit pas l'envie d'aider et de partager qui se cache derrière.
Quand un être se tait et écoute, d'aucuns le traitent d'insensible et se gaussent, d'autres le trouvent fort et déversent à l'envie leur mal-être en lui demandant de tout porter. Il n'y a que peu de personnes qui sont à même de comprendre que la patience et l’invariabilité sont des garant de paix et de calme. C'est le monde en sa fureur qui rend fureur existante. Et concentre les désirs irrésolus dans un paroxysme prêt à exploser. Qui fait s'accélérer les oppositions, les montant les unes contre les autres, au détriment même du porteur de la frustration.
"Plus on désire une chose, moins on l'obtient" dit une adage populaire. Il se vérifie de plus en plus, et l'oppression de la fusion programmée des cultures et rythmes de vie l'amplifie. C'est inconsciemment contre cela que tout le monde s'élève, en oubliant pourtant que casser le rythme effréné de cette dernière sans briser en même temps le rythme forcené de la résolution de ses propres désirs revient à construire chimère ...
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
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Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:39, édité 3 fois (Raison : correction d'expression + edit)
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Aucun avis ne ne choque, ne me déplait, ne me heurte, etoile_en_etoile.
Je peux sans problème l'entendre, et garder néanmoins mon opinion et mon choix sur celui qui me convient le mieux pour mon propre parcours.
Je ne sais par contre pas si tu as pris en compte tout ce qui était évoqué ci-dessus, et je dis cela en voyant que ta réaction ne se porte que sur une phrase particulière. Phrase particulière sortie de son contexte explicatif et légèrement transformée puisque je disais réellement :
Ainsi l'apprentissage de la vie fait remonter à des fondamentaux qui s'occupent des ressentis des deux parties et non pas d'une seule. Prendre en compte les blessures de l'autre au delà des siennes s'apprend. Ce que l'on ne peut pas faire tant qu'on a pas la stabilité nécessaire et suffisante à gérer les siennes seul.
Edit : Pour répondre à ton complément, je suis d'accord sur le fait que les autres ne se retrouvent pas en mon comportement, comme ils devraient l'être sur le fait que je ne me retrouve pas dans le leur. Il se trouve certainement que j'ai d'autres attentes, plus précises, et que je ne tiens aucunement à les changer puisqu'elles me font tel que je suis et tient à être.
Je peux sans problème l'entendre, et garder néanmoins mon opinion et mon choix sur celui qui me convient le mieux pour mon propre parcours.
Je ne sais par contre pas si tu as pris en compte tout ce qui était évoqué ci-dessus, et je dis cela en voyant que ta réaction ne se porte que sur une phrase particulière. Phrase particulière sortie de son contexte explicatif et légèrement transformée puisque je disais réellement :
.... comprendre que la patience et l’invariabilité sont des garant de paix et de calme.
Ainsi l'apprentissage de la vie fait remonter à des fondamentaux qui s'occupent des ressentis des deux parties et non pas d'une seule. Prendre en compte les blessures de l'autre au delà des siennes s'apprend. Ce que l'on ne peut pas faire tant qu'on a pas la stabilité nécessaire et suffisante à gérer les siennes seul.
Edit : Pour répondre à ton complément, je suis d'accord sur le fait que les autres ne se retrouvent pas en mon comportement, comme ils devraient l'être sur le fait que je ne me retrouve pas dans le leur. Il se trouve certainement que j'ai d'autres attentes, plus précises, et que je ne tiens aucunement à les changer puisqu'elles me font tel que je suis et tient à être.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Ce que tu nous propose n'est-ce pas simplement l'amour de nos différences ? Aimer l'autre dans sa différence apparente ?
Re: L'ère mite âge ...
.
Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:39, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Dans les cris et les pleurs de nombreuses souffrances ...
Dans les heures passées à expliquer encore ...
Dans les avions, les trains, les hôtels ... tout autour du monde
Dans la course éperdue de toutes les secondes ...
Dans les yeux de mes enfants qui au monde s'ouvrent ...
Dans une quête éperdue d'un bonheur à construire ...
Dans ce déni de moi qu'elle m'a opposé ...
Dans ces ans qui défilent avec tout et son contraire ...
Dans le "non, ça ne va pas" quoi que j'eusse à faire ...
Dans les vacances perdues à se déchirer ...
Dans les rêves noirs d'un tunnel immense ...
Dans la perte de foi ... dans la perte de soi ...
Dans les prières noyées au sein de larmes amères ...
Dans la solitude glacée sur l'autoroute en hiver ...
J'ai perdu ce qui restait de mon âme, du goût
J'ai perdu au compte-goutte le rouge de mes joues
Dans les incompréhensions et freins de soudards argentés ...
Dans les blocages dus à des âmes empesées ...
Dans les conflits d'égos et de pouvoir de fait ...
Dans les bagarres sans fin des peureux assemblés ...
J'ai perdu ce qui restait de volonté de faire ...
J'ai perdu sans arrêt l'énergie nécessaire ...
J'ai perdu cet esprit qui d'une goutte de rosée
Faisait un poème que j'aurais composé
Au monde qui m'entoure ...
Et pourtant donner ... cela je savais
Écouter et écouter encore
Essayer de comprendre, essayer de parler
De ce que sur mon chemin j'ai appris d'humilité ...
Il n'est pas de ce monde assez de blessures
Pour que l'humanité au travers d'aventures
Comprenne qu'écouter et non pas seulement entendre
C'est laisser au prochain une place pour attendre
La compréhension de toutes différences
Et là vient après la mort et les absences ...
Dans les heures passées à expliquer encore ...
Dans les avions, les trains, les hôtels ... tout autour du monde
Dans la course éperdue de toutes les secondes ...
Dans les yeux de mes enfants qui au monde s'ouvrent ...
Dans une quête éperdue d'un bonheur à construire ...
Dans ce déni de moi qu'elle m'a opposé ...
Dans ces ans qui défilent avec tout et son contraire ...
Dans le "non, ça ne va pas" quoi que j'eusse à faire ...
Dans les vacances perdues à se déchirer ...
Dans les rêves noirs d'un tunnel immense ...
Dans la perte de foi ... dans la perte de soi ...
Dans les prières noyées au sein de larmes amères ...
Dans la solitude glacée sur l'autoroute en hiver ...
J'ai perdu ce qui restait de mon âme, du goût
J'ai perdu au compte-goutte le rouge de mes joues
Dans les incompréhensions et freins de soudards argentés ...
Dans les blocages dus à des âmes empesées ...
Dans les conflits d'égos et de pouvoir de fait ...
Dans les bagarres sans fin des peureux assemblés ...
J'ai perdu ce qui restait de volonté de faire ...
J'ai perdu sans arrêt l'énergie nécessaire ...
J'ai perdu cet esprit qui d'une goutte de rosée
Faisait un poème que j'aurais composé
Au monde qui m'entoure ...
Et pourtant donner ... cela je savais
Écouter et écouter encore
Essayer de comprendre, essayer de parler
De ce que sur mon chemin j'ai appris d'humilité ...
Il n'est pas de ce monde assez de blessures
Pour que l'humanité au travers d'aventures
Comprenne qu'écouter et non pas seulement entendre
C'est laisser au prochain une place pour attendre
La compréhension de toutes différences
Et là vient après la mort et les absences ...
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Il y a un instant où la pile déborde ...
Il y a un instant durant lequel tout bascule. Toute l'humanité dont on a fait preuve. Tout ce que l'on a laissé pour ne pas envenimer la situation. Tous les renoncements que l'on a accepté, la parole qu'on a tue parce que l'on comprenait les erreurs des autres.
Tous ces gestes que j'ai accomplis pour le bien que je voulais offrir. Tous ces "oui" là où je m’efforçais de trouver à la place de l'autre la solution en prenant les inconvénients sur mes épaules ...
Tous ces silences que j'ai posés comme une paix, toutes ces décisions que j'ai laissées à mon vis à vis comme une liberté d'être.
Tout ... tout cela m'est revenu comme un boomerang dans la figure ... Ou parce que j'étais qualifié de faible par les uns, ou d'imbécile corvéable à merci par les autres.
Il n'existe pas de cooptation, il n'existe que l'épreuve de force, l'expression d'une rancœur qui trouve son chemin dans l'acceptation de l'autre.
Il n'existe que la peine portée, que le désir d'en réchapper pour soi au détriment de l'autre. Il n'existe qu'effet de manche et désir de pouvoir.
Il n'existe que refus de l'autorité pour remplacer cette autorité par une autre. Il n'existe que questions pour mieux narguer les réponses.
L'homme n'existe pas. L'Homme est en devenir ... s'il comprend un jour que l'envie puis la peur ne sont que les ferments de ce qui deviendra sa perte.
Il y a un instant durant lequel tout bascule. Toute l'humanité dont on a fait preuve. Tout ce que l'on a laissé pour ne pas envenimer la situation. Tous les renoncements que l'on a accepté, la parole qu'on a tue parce que l'on comprenait les erreurs des autres.
Tous ces gestes que j'ai accomplis pour le bien que je voulais offrir. Tous ces "oui" là où je m’efforçais de trouver à la place de l'autre la solution en prenant les inconvénients sur mes épaules ...
Tous ces silences que j'ai posés comme une paix, toutes ces décisions que j'ai laissées à mon vis à vis comme une liberté d'être.
Tout ... tout cela m'est revenu comme un boomerang dans la figure ... Ou parce que j'étais qualifié de faible par les uns, ou d'imbécile corvéable à merci par les autres.
Il n'existe pas de cooptation, il n'existe que l'épreuve de force, l'expression d'une rancœur qui trouve son chemin dans l'acceptation de l'autre.
Il n'existe que la peine portée, que le désir d'en réchapper pour soi au détriment de l'autre. Il n'existe qu'effet de manche et désir de pouvoir.
Il n'existe que refus de l'autorité pour remplacer cette autorité par une autre. Il n'existe que questions pour mieux narguer les réponses.
L'homme n'existe pas. L'Homme est en devenir ... s'il comprend un jour que l'envie puis la peur ne sont que les ferments de ce qui deviendra sa perte.
Dernière édition par Mjöllnir le Mar 03 Avr 2012, 17:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Le temps tue dans l’œuf ce que la peur du temps à eu peine à laisser se construire ...
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je me suis toujours posé la question suivante :
Quelle est la qualité (exactitude du ressenti de la période écoulée) de la perception du temps que nous percevons en tant qu'êtres capables d'en ressentir les effets ?
En corollaire de cette dernière, je sais pertinemment que ma perception du temps qui passe est pour partie liée à ce que j'effectue, mais aussi du plaisir que j'ai à effectuer.
Ainsi, sachant qu'en tant que zèbre je peux cumuler différentes taches en "parallèle", et donc percevant par là-même que mon temps est "rempli" différemment ... je me demande à la fois si nous "vivons" tous au même rythme, le séquencement de cette perception pouvant nous pousser à ressentir une certain décalage.
D'autre part, si l'on se trouve en situation "d'ennui", la lenteur des secondes devient de plus en plus pesante. Il est de nombreux zèbres qui procrastinent, ayant en mémoire différentes pistes à suivre, les écheveaux de ces dernières s'imbriquant tellement qu'une voie ne sait se distinguer d'une autre ...
Pourquoi donc à ces instants les temps parait-il plus long alors que l'esprit lui-même est inondé de pensées "confuses" et que leur traitement de 'tri" si pesant est à son maximum ?
Comment relier alors ce temps qui passe de manière ralentie, presque interminable, à l'activité cérébrale qui elle-même est intense ? Qu'est-ce qui diffère entre cette activité et celle que l'on exerce lors que le "travail" fourni est destiné à la collectivité, à autrui ou encore à une passion ?
Dans quel limbe de notre cerveau se niche donc l’instrument qui relativise ce temps qui passe ? Serait-ce le centre du plaisir ?
Quelle est la qualité (exactitude du ressenti de la période écoulée) de la perception du temps que nous percevons en tant qu'êtres capables d'en ressentir les effets ?
En corollaire de cette dernière, je sais pertinemment que ma perception du temps qui passe est pour partie liée à ce que j'effectue, mais aussi du plaisir que j'ai à effectuer.
Ainsi, sachant qu'en tant que zèbre je peux cumuler différentes taches en "parallèle", et donc percevant par là-même que mon temps est "rempli" différemment ... je me demande à la fois si nous "vivons" tous au même rythme, le séquencement de cette perception pouvant nous pousser à ressentir une certain décalage.
D'autre part, si l'on se trouve en situation "d'ennui", la lenteur des secondes devient de plus en plus pesante. Il est de nombreux zèbres qui procrastinent, ayant en mémoire différentes pistes à suivre, les écheveaux de ces dernières s'imbriquant tellement qu'une voie ne sait se distinguer d'une autre ...
Pourquoi donc à ces instants les temps parait-il plus long alors que l'esprit lui-même est inondé de pensées "confuses" et que leur traitement de 'tri" si pesant est à son maximum ?
Comment relier alors ce temps qui passe de manière ralentie, presque interminable, à l'activité cérébrale qui elle-même est intense ? Qu'est-ce qui diffère entre cette activité et celle que l'on exerce lors que le "travail" fourni est destiné à la collectivité, à autrui ou encore à une passion ?
Dans quel limbe de notre cerveau se niche donc l’instrument qui relativise ce temps qui passe ? Serait-ce le centre du plaisir ?
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je me replonge doucement dans ce que j'aime, l'informatique.
En passant de VM/VSE à Z/OS , de RX11 à VMS, de Netware à Microsoft sans oublier Solaris ...
En passant d'Oracle à SQL Server, d'Ingres à Informix et à DB2 ...
En passant de VTAM à TCP/IP, d'IPX à NetBIOS ... en passant d'analyse de trames au débugging des réseaux à la conception d'architecture haut débit en DWDM ...
En passant par le routage dynamique entre OSPF et EIGRP, entre BGP4 et le balancing multiopérateurs ...
Entre l'analyse des risques applicatifs (débordement de pile, SQL injection,...) et le filtrage protocolaire sans compter le "social engineering" ...
Que d'aventures à suivre ces flux d'octets manipulés, triturés, compressés, filtrés, inversés ...
Que de "prises de tête" à regarder par où ils passent, comment ne pas en perdre, comment les transporter le plus vite ...
Que de questions à se poser pour que la tolérance de pannes soit la plus automatique possible.
Que de parallèles faire avec la vie pour s'assurer que la prévention des incidents soit gérable ...
Et donc que de brainstorming il faut faire à la fois pour jongler avec tout ça et pour faire comprendre les enjeux ...
J'adore ça ... même si cela me fait parfois cauchemarder sous la pression et me sentir frustré par l'incompréhension ou la courte vue de ceux avec qui je pratique.
En passant de VM/VSE à Z/OS , de RX11 à VMS, de Netware à Microsoft sans oublier Solaris ...
En passant d'Oracle à SQL Server, d'Ingres à Informix et à DB2 ...
En passant de VTAM à TCP/IP, d'IPX à NetBIOS ... en passant d'analyse de trames au débugging des réseaux à la conception d'architecture haut débit en DWDM ...
En passant par le routage dynamique entre OSPF et EIGRP, entre BGP4 et le balancing multiopérateurs ...
Entre l'analyse des risques applicatifs (débordement de pile, SQL injection,...) et le filtrage protocolaire sans compter le "social engineering" ...
Que d'aventures à suivre ces flux d'octets manipulés, triturés, compressés, filtrés, inversés ...
Que de "prises de tête" à regarder par où ils passent, comment ne pas en perdre, comment les transporter le plus vite ...
Que de questions à se poser pour que la tolérance de pannes soit la plus automatique possible.
Que de parallèles faire avec la vie pour s'assurer que la prévention des incidents soit gérable ...
Et donc que de brainstorming il faut faire à la fois pour jongler avec tout ça et pour faire comprendre les enjeux ...
J'adore ça ... même si cela me fait parfois cauchemarder sous la pression et me sentir frustré par l'incompréhension ou la courte vue de ceux avec qui je pratique.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je suis complètement interloqué par le positionnement de certaines personnes qui se donnent faculté à dire qu'une croyance à un être supérieur est meilleure ou moins bonne qu'une autre.
C'est affligeant !!! Si l'on prend du recul, qu'on examine les fondamentaux, c'est à dire qu'on regarde si l'expression de cette foi permet la tolérance, l'aide, le secours, l'accompagnement ... Et tout cela sans prosélytisme ... On s'aperçoit vite de la richesse échangée et du calme qui s'instaure.
Toute autre position à mes yeux est expression d'envie de pouvoir au travers du fanatisme. C'est le ferment de division humain qui ressurgit. Qui ressurgit par haine de l'autre, par comparaison de mots et non de sens.
L'aveuglement humain n'a pas de limite, lui qui se focalise sur le terme plutôt que de voir l'acte. Il est bassement égoïste, expression d'une souffrance devant les différences. Il est aussi superbement égotique et manichéen, enlevant à l'autre la possibilité d'exister en déniant par essence son droit à l'expression.
Je répugne à côtoyer ces esprits obtus qui ont prétention à juger sans par eux-même ne serait-ce que d'avoir fait le pas de mettre en lueur leur propre chemin d'analyse. Ceux qui ne savent tenir debout qu'en se cachant derrière des préceptes pris à la fois comme des béquilles et un refuge inexpugnable et se servant d'écrits non démontrés. Aucun de ceux qui relèvent de la foi ne le sont. Et c'est bien là où l'homme est le pire : Se battre pour ce qui n'est que fantomatique alors qu'il pourrait simplement le vivre pour ce que c'est en lui : Un don de pureté, un don de soi par l'expression de la compassion.
Et regardez le pire dans tout ça : Les questions qu'on pose à ce type de personnes en mettant en parallèle notre ressenti sont prises comme opposition et non pas comme ouverture de débat. Et même transformées en tentative de déstabilisation en de manipulation. Ces personnes défendent leur droit de poser leur avis et appuient toutes les réponses qu'elles "offrent" derrière une façade ne reflétant qu'un et un seul point de vue. Il n'est jamais de leur part tentative d'ouverture à un échange qui les ferait s'exprimer en tant qu'être, juste celui qui les fait se draper dans une hautaine vérité dont elles ne sont même pas l'expression première.
Regardez qui manipule, qui cherche de partout à démontrer que la foi est la seule et unique raison de parler, de faire, de dire et de réfuter ce qui vient de l'autre. Et dites-moi si cette position ne cache pas la graine des conflits entretenus entre hommes au titre d'une vérité qui, si tant est qu'elle fusse réelle en quelque sens que ce soit, se serait imposée universellement.
C'est affligeant !!! Si l'on prend du recul, qu'on examine les fondamentaux, c'est à dire qu'on regarde si l'expression de cette foi permet la tolérance, l'aide, le secours, l'accompagnement ... Et tout cela sans prosélytisme ... On s'aperçoit vite de la richesse échangée et du calme qui s'instaure.
Toute autre position à mes yeux est expression d'envie de pouvoir au travers du fanatisme. C'est le ferment de division humain qui ressurgit. Qui ressurgit par haine de l'autre, par comparaison de mots et non de sens.
L'aveuglement humain n'a pas de limite, lui qui se focalise sur le terme plutôt que de voir l'acte. Il est bassement égoïste, expression d'une souffrance devant les différences. Il est aussi superbement égotique et manichéen, enlevant à l'autre la possibilité d'exister en déniant par essence son droit à l'expression.
Je répugne à côtoyer ces esprits obtus qui ont prétention à juger sans par eux-même ne serait-ce que d'avoir fait le pas de mettre en lueur leur propre chemin d'analyse. Ceux qui ne savent tenir debout qu'en se cachant derrière des préceptes pris à la fois comme des béquilles et un refuge inexpugnable et se servant d'écrits non démontrés. Aucun de ceux qui relèvent de la foi ne le sont. Et c'est bien là où l'homme est le pire : Se battre pour ce qui n'est que fantomatique alors qu'il pourrait simplement le vivre pour ce que c'est en lui : Un don de pureté, un don de soi par l'expression de la compassion.
Et regardez le pire dans tout ça : Les questions qu'on pose à ce type de personnes en mettant en parallèle notre ressenti sont prises comme opposition et non pas comme ouverture de débat. Et même transformées en tentative de déstabilisation en de manipulation. Ces personnes défendent leur droit de poser leur avis et appuient toutes les réponses qu'elles "offrent" derrière une façade ne reflétant qu'un et un seul point de vue. Il n'est jamais de leur part tentative d'ouverture à un échange qui les ferait s'exprimer en tant qu'être, juste celui qui les fait se draper dans une hautaine vérité dont elles ne sont même pas l'expression première.
Regardez qui manipule, qui cherche de partout à démontrer que la foi est la seule et unique raison de parler, de faire, de dire et de réfuter ce qui vient de l'autre. Et dites-moi si cette position ne cache pas la graine des conflits entretenus entre hommes au titre d'une vérité qui, si tant est qu'elle fusse réelle en quelque sens que ce soit, se serait imposée universellement.
Dernière édition par Mjöllnir le Jeu 05 Avr 2012, 14:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je suis complètement interloqué par le positionnement de certaines personnes qui se donnent faculté à dire qu'une croyance à un être supérieur est meilleure ou moins bonne qu'une autre.
On est tous obligé de faire des choix, de fonder nos vies sur des convictions. Et comment vivre avec ces choix si non ne considère pas qu'ils sont "meilleurs que les autres" (pas "que ceux des autres", mais "les autres choix", tout court)? Autant mourir...
Pour ma part, j'ai choisi la méthode scientifique pour éclairer les questions que je me pose. Je réfute tout théorie qui ne me permet pas d'améliorer les prédictions que je fait sur les phénomènes (rasoir d’Ockham). Mais c'est mon choix, et j'en suis consciente.
Et c'est bien là où l'homme est le pire : Se battre pour ce qui n'est que fantômatique alors qu'il pourrait simplement le vivre pour ce que c'est en lui
Et c'est la qu'est la clef. Au fond de moi, j'ai l'intime conviction que mes convictions sont meilleures, mais pour autant, je les garde pour ce qu'elles sont : des convictions. Je n'ai pas de moyen de montrer qu'elles sont meilleures qui puisse faire l'unanimité, car elles ne sont meilleures que basées sur les critères définies par elles-même (dans mon cas la rationalité pure).
Et c'est là que je te rejoint complétement, il suffit de le vivre pour ce que c'est en nous, en laissant aux autres la liberté de vivre ce que leurs convictions à eux sont en eux, pour cohabiter sans heurt et s'enrichir mutuellement.
Waka- Messages : 3452
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Localisation : A l'ouest mais au Sud.
Re: L'ère mite âge ...
WakaLili a écrit:On est tous obligé de faire des choix, de fonder nos vies sur des convictions. Et comment vivre avec ces choix si non ne considère pas qu'ils sont "meilleurs que les autres" (pas "que ceux des autres", mais "les autres choix", tout court)? Autant mourir...
Je ne considère même pas qu'ils soient meilleurs les miens ... ils sont juste les miens et m'aident à me construire, comme du ciment liant les briques simplement, tu vois ? Aussi n'ai-je pas besoin de les justifier, de les imposer, ni même de les partager. Si je les porte à connaissance, et souvent par des questions, c'est plus pour en débattre qu'autre chose en fin de compte. J'essaye pour ma part de ne rien réfuter puisque cela existe chez l'autre, mais plutôt de me faire expliciter, au travers de mes questions et positions, ce qui a fait que l'autre ait la sienne ... ce qui est souvent pris au contrepied tellement l'instinct de peur de remise en cause est présent ...
C'est cette peur de remise en cause qui me fait comparer la plupart des êtres à des œufs. ... une coquille fragile faite de bric et de broc et du liquide mou au centre. La peur est telle qu'on leur fasse une fêlure dans cette coquille que dès la première soit disant "remise en cause" possible, des cris d'orfraie et des anathèmes sont lancés à tout vent.
Je ne me reconnais pas dans ce comportement. Je me compare plutôt à un fruit. Fait de chair à l'extérieur mais avec un noyau dur et dense. La chair peut pourrir mais le noyau germera et se reproduira. On peut me "peler" jusqu'au centre ... pour finir par tomber sur ce noyau sur lequel on se cassera les dents ...
WakaLili a écrit:Et c'est la qu'est la clef. Au fond de moi, j'ai l'intime conviction que mes convictions sont meilleures, mais pour autant, je les garde pour ce qu'elles sont : des convictions. Je n'ai pas de moyen de montrer qu'elles sont meilleures qui puisse faire l'unanimité, car elles ne sont meilleures que basées sur les critères définies par elles-même (dans mon cas la rationalité pure).
Et c'est là que je te rejoint complétement, il suffit de le vivre pour ce que c'est en nous, en laissant aux autres la liberté de vivre ce que leurs convictions à eux sont en eux, pour cohabiter sans heurt et s'enrichir mutuellement.
Je te rejoins aussi. Et, de mon coté, j'irais même un peu plus loin sur ta phrase "Je n'ai pas de moyen de montrer qu'elles sont meilleures qui puisse faire l'unanimité, car elles ne sont meilleures que basées sur les critères définies par elles-même (dans mon cas la rationalité pure).". En rajoutant que je n'ai pas la moindre envie de démontrer de quelque façon que ce soit que les miennes sont meilleures à d'autres. Juste de dire qu'elles existent et qu'elles me fondent, et que cela soit pris pour bien, mal ou insignifiant m'est égal. Ce n'est pas leur "poids relatif" qui importe, c'est le fait qu'elles existent pour ce qu'elles sont. Et le choix que feront d'aucuns à s'en servir ou non leur appartient puisque je n'ai pas la vanité de me croire porteur d'aucune vérité à l'extérieur de moi.
Dernière édition par Mjöllnir le Jeu 05 Avr 2012, 14:23, édité 2 fois
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Re: L'ère mite âge ...
Je passe discrètement pour m’arrêter a cette superbe image ( qui me parle )
La chair peut pourrir ou peut servir a la dégustation qu'importe la façon de l’accommoder...Je me compare plutôt à un fruit. Fait de chair à l'extérieur mais avec un noyau dur et dense. La chair peut pourrir mais le noyau germera et se reproduira. On peut me "peler" jusqu'au centre ... pour finir par tomber sur ce noyau sur lequel on se cassera les dents ...
Dernière édition par diana le Jeu 05 Avr 2012, 15:01, édité 1 fois (Raison : je peux partir loin dans les images qui ne me parlent qu'a moi au final.)
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Re: L'ère mite âge ...
Je ne suis pas partisan de l'anathème et de l'affirmation de tentatives de manipulation à tout vent. L'interprétation égocentrique qui consiste à dire que toute tentative de poser des questions comme étant le reflet de son propre positionnement confine à la "diablerie" n'est encore qu'une façade morbide de plus à mettre au crédit de gens qui ne savent en rien prendre de la hauteur. Reflet des blessures de l'enfance auxquelles on s'accroche pour justifier le fait de se vider de ses souffrances.
Il est facile ensuite de prétendre garder une porte ouverte alors que l'on a tout fait par sa propre angoisse pour la refermer en la claquant, accusant le moindre courant d'air d'apporter une rhume ou des senteurs étrangères ...
Les voyages que j'entreprends sont riches et variés. Qu'aurais-je à faire d'une chaumière de plus ou de moins à partir du moment où j'en ai un eu un aperçu qui ne me convient en rien et, qu'en fouillant dans l'histoire ce cette dernière je m'aperçois que nombre de visiteurs s'y étant rendus reviennent avec les mêmes histoires ?
Las, ma vie ne s'arrête point à participer à quelque rumination que ce soit sur les malheurs du monde vu du bout d'une unique lorgnette. Elle est bien mieux à se construire une chemin de communication et de tolérance avec ceux qui acceptent de partager un bout de chemin juste pour ce qu'il est.
Il est facile ensuite de prétendre garder une porte ouverte alors que l'on a tout fait par sa propre angoisse pour la refermer en la claquant, accusant le moindre courant d'air d'apporter une rhume ou des senteurs étrangères ...
Les voyages que j'entreprends sont riches et variés. Qu'aurais-je à faire d'une chaumière de plus ou de moins à partir du moment où j'en ai un eu un aperçu qui ne me convient en rien et, qu'en fouillant dans l'histoire ce cette dernière je m'aperçois que nombre de visiteurs s'y étant rendus reviennent avec les mêmes histoires ?
Las, ma vie ne s'arrête point à participer à quelque rumination que ce soit sur les malheurs du monde vu du bout d'une unique lorgnette. Elle est bien mieux à se construire une chemin de communication et de tolérance avec ceux qui acceptent de partager un bout de chemin juste pour ce qu'il est.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
La peur ... aucune peur ne m'habite. par contre le dégoût oui. Et quand je sens le rance et le moisi je m'écarte.
Je n'ai pas pour habitude d'imposer quoi que ce soit et ce ne fut qu'une manifestation d'intérêt de ma part que d'exposer ce que je ressens du discours. Maintenant voir afficher des cris d'orfraie ici et là me révulse, me porte au bord de la nausée !!! Je ne tiens en rien à poursuivre ce discours stérile et infatué. Que ceux qui se prétendent détenteurs de la vérité poursuivent leur chemin de leur coté et je le poursuivrai du mien.
Ceci étant il ne tient qu'à moi de vouloir respirer ce qui me sied de respirer. Et bien mal venu celui qui voudra me faire faire le contraire !!!
Je n'ai pas pour habitude d'imposer quoi que ce soit et ce ne fut qu'une manifestation d'intérêt de ma part que d'exposer ce que je ressens du discours. Maintenant voir afficher des cris d'orfraie ici et là me révulse, me porte au bord de la nausée !!! Je ne tiens en rien à poursuivre ce discours stérile et infatué. Que ceux qui se prétendent détenteurs de la vérité poursuivent leur chemin de leur coté et je le poursuivrai du mien.
Ceci étant il ne tient qu'à moi de vouloir respirer ce qui me sied de respirer. Et bien mal venu celui qui voudra me faire faire le contraire !!!
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je viens de me prendre la plus belle tranche de rigolade qu'il me soit arrivé de vivre depuis beaucoup d'années
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Un beau texte de Pascal Blanchard
Où est la Vérité
Il se complait dans une serre
Ne cherchant qu'à s'éloigner
Des humeurs finement délétères.
Son égo apprécie la spiritualité
Il se confie souvent, plume habile
N'hésitant pas à poser sa gnose.
Il aime à relire ses vieilles pages
Auxquelles il attribue une tournure subtile.
Il subtilise la connaissance
Et la modifie à sa guise
C'est même avec maîtrise
Qu'il en améliore l'essence.
Il évolue avec pertinence
Et à l'occasion diffuse ses analyses
Ce n'est qu'un fou avec une conscience
Qui s'octroie la vérité telle une promise.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
.
Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:40, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je me demande si par hasard nous ne serions pas entrain de nous diriger dans une impasse...
Je n'aime pas ça. Je continue d'aimer le Mjöllnir au téléphone, sur MSN et IRL, et c'est seulement de celui là dont j'ai envie de me souvenir. Je comprends que ma passion (sic) et ma ferveur puissent inquiéter, mais je te demande simplement de le croire comme je le dis: je suis sur ce point inoffensif, simplement ma conviction est forte, mais sans doute pas au point de blesser ou de m'en servir CONTRE quiconque !
Je trouve qu'on est cons tous les deux. Quelque soit le remarquable score qu'on aurait pu faire pour le gagner le jackpot du QI. En tout cas si toi tu ne l'es pas, moi je le suis. C'est un combat pour moi de ne pas me laisser embarquer dans ces conflits. Parfois j'y réussi, et parfois j'y échoue. C'est vrai que je suis blessé, et c'est vrai que ce qui n'est pas pour untel un problème peut facilement l'être pour moi.
Mais je préfère effacer cette ardoise, quitte à ce que ce soit de manière unilatérale, et te demander pardon, d'abord de ne pas avoir réussi à me faire comprendre, et ensuite de m'être amusé à mettre de l'huile sur le feu. Aucun de nous n'a "raison" dans cette affaire, autant l'admettre au plus vite. Nos amis pâtissent en plus de cette ambiance, tels que Loïc et d'autres, et ça, c'est totalement injustifiable.
Je te tend la main. Dans mon cœur au moment où j'écris ces lignes, je ressens seulement de l'amour pour toi, et de la tendresse, et du respect. Prend ma main. Il paraît que quand on me connait bien, on ne le regrette pas...
Tu es le bienvenu l'ami...
Je n'aime pas ça. Je continue d'aimer le Mjöllnir au téléphone, sur MSN et IRL, et c'est seulement de celui là dont j'ai envie de me souvenir. Je comprends que ma passion (sic) et ma ferveur puissent inquiéter, mais je te demande simplement de le croire comme je le dis: je suis sur ce point inoffensif, simplement ma conviction est forte, mais sans doute pas au point de blesser ou de m'en servir CONTRE quiconque !
Je trouve qu'on est cons tous les deux. Quelque soit le remarquable score qu'on aurait pu faire pour le gagner le jackpot du QI. En tout cas si toi tu ne l'es pas, moi je le suis. C'est un combat pour moi de ne pas me laisser embarquer dans ces conflits. Parfois j'y réussi, et parfois j'y échoue. C'est vrai que je suis blessé, et c'est vrai que ce qui n'est pas pour untel un problème peut facilement l'être pour moi.
Mais je préfère effacer cette ardoise, quitte à ce que ce soit de manière unilatérale, et te demander pardon, d'abord de ne pas avoir réussi à me faire comprendre, et ensuite de m'être amusé à mettre de l'huile sur le feu. Aucun de nous n'a "raison" dans cette affaire, autant l'admettre au plus vite. Nos amis pâtissent en plus de cette ambiance, tels que Loïc et d'autres, et ça, c'est totalement injustifiable.
Je te tend la main. Dans mon cœur au moment où j'écris ces lignes, je ressens seulement de l'amour pour toi, et de la tendresse, et du respect. Prend ma main. Il paraît que quand on me connait bien, on ne le regrette pas...
Tu es le bienvenu l'ami...
Fata Morgana- Messages : 20818
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Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Fata Morgana a écrit:Nos amis pâtissent en plus de cette ambiance, tels que Loïc et d'autres, et ça, c'est totalement injustifiable.
Encore de l'instrumentalisation et de la recherche de création de culpabilité. Encore s'arroger le droit de parler pour les autres là où ils auraient toute capacité et tout droit de le faire par eux-même.
Il n'est pas la peine, je le pense, de souligner plus encore la réponse qui précède la mienne, n'est-ce pas ?
J'ai pris une décision qui m'est propre, irréfragable et intangible, celle de rompre communication avec toi. Cette dernière est non négociable : Tu n'es pas le bienvenu sur ce fil, que cela soit CLAIR !
Encore une chose que je voudrais souligner afin qu'elle soit portée à l'attention du plus grand nombre : Le pouvoir qu'ont certains n'est que celui qu'on leur laisse prendre ...
PS : J'ai un profond respect pour la position que Loïc manifeste ici, ce que tout adulte responsable devrait faire : Faire son chemin, gérer ce qui lui appartient en propre et rien de plus.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je n'ai que le désir de progresser. Que cela soit dans la joie ou dans la peine, tout ce qui m'arrive est source d'apprentissage.
Au delà de ça, cet apprentissage peut me donner des faits ou une manière de les aborder. Des faits pour comprendre des "rouages", une manière d'aborder ce qui me gêne ou me fait plaisir.
Ainsi la joie et la peine orientent ma progression. Elles l'orientent et me font prendre des décisions par rapport à du gain ou de la nocivité. A partir de ces instants, je cherche une voie de manière propre à mon évolution.
Ainsi je ne me place ni comme supérieur ni inférieur aux autres, mais jauge de l’intégration du matériau dans ma construction.
Je ne porterai aucun jugement d'échelle sur un être, car même un tout jeune berger du Sahel peut m'apprendre des choses que je ne connais pas, sans même que nous parlions la même langue.
Apprendre à quelqu'un, pour moi, c'est lui donner ce que l'on sait ou sent . Ce n'est pas lui faire accroire que nous avons plus ou moins de valeur.
Il faudrait à mon sens séparer la vanité que l'on a à prétendre savoir et "l'offrande" que l'on fait en transmettant. Se regarder comme supérieur est une déviance. Se regarder comme différent est faire reflet de la réalité.
Maintenant, s'allier autour des différences pour "produire" un résultat qui sera viable est le seul moyen à mon sens de "valider" si la démarche apporte sens.
S'il s'avère qu'un test en ce sens est effectué, et qu'une des parties ne s'y reconnait pas, il est de mise de prendre acte. Prendre acte et poursuivre son chemin. Tout autre comportement à mon analyse ne vise plus la transmission mais la prise de pouvoir. Alors ... comme je pense laisser liberté à tous de s'exprimer, je tiens aussi à pouvoir le faire en me détachant de ce qui me pèse. Et en le signifiant. Le respect dont tous se réclament consiste donc à ne pas relancer la personne qui a mis une fin de non recevoir. Je suis assez patient à ce niveau là tant que cela reste dans les limites du raisonnable. Mais à partir du moment où l'on vient me titiller sournoisement là où je pose avis sans envie de polémique, je peux vraiment montrer les dents, voire même m'en servir.
Au delà de ça, cet apprentissage peut me donner des faits ou une manière de les aborder. Des faits pour comprendre des "rouages", une manière d'aborder ce qui me gêne ou me fait plaisir.
Ainsi la joie et la peine orientent ma progression. Elles l'orientent et me font prendre des décisions par rapport à du gain ou de la nocivité. A partir de ces instants, je cherche une voie de manière propre à mon évolution.
Ainsi je ne me place ni comme supérieur ni inférieur aux autres, mais jauge de l’intégration du matériau dans ma construction.
Je ne porterai aucun jugement d'échelle sur un être, car même un tout jeune berger du Sahel peut m'apprendre des choses que je ne connais pas, sans même que nous parlions la même langue.
Apprendre à quelqu'un, pour moi, c'est lui donner ce que l'on sait ou sent . Ce n'est pas lui faire accroire que nous avons plus ou moins de valeur.
Il faudrait à mon sens séparer la vanité que l'on a à prétendre savoir et "l'offrande" que l'on fait en transmettant. Se regarder comme supérieur est une déviance. Se regarder comme différent est faire reflet de la réalité.
Maintenant, s'allier autour des différences pour "produire" un résultat qui sera viable est le seul moyen à mon sens de "valider" si la démarche apporte sens.
S'il s'avère qu'un test en ce sens est effectué, et qu'une des parties ne s'y reconnait pas, il est de mise de prendre acte. Prendre acte et poursuivre son chemin. Tout autre comportement à mon analyse ne vise plus la transmission mais la prise de pouvoir. Alors ... comme je pense laisser liberté à tous de s'exprimer, je tiens aussi à pouvoir le faire en me détachant de ce qui me pèse. Et en le signifiant. Le respect dont tous se réclament consiste donc à ne pas relancer la personne qui a mis une fin de non recevoir. Je suis assez patient à ce niveau là tant que cela reste dans les limites du raisonnable. Mais à partir du moment où l'on vient me titiller sournoisement là où je pose avis sans envie de polémique, je peux vraiment montrer les dents, voire même m'en servir.
Dernière édition par Mjöllnir le Dim 08 Avr 2012, 10:54, édité 2 fois
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Re: L'ère mite âge ...
Je ne pense pas qu'il n'y ait plus rien à faire ici Loïc. Par contre, force est de constater ces différences. Donc de les admettre pour ce qu'elles sont et de faire des agglomérats de personnes, chaque agglomérat étant sur un chemin différent.
Même si l'individualisation est battue en brèche par d'aucuns, elle est et continuera à être. C'est à mon sens ce qui fait richesse. Tu sais, quand je vois à la fois une levée de bouclier contre la dictature économique et le nivellement des modes de vie et de pensée d'une coté ... et le désirs de certains d'imposer une vérité et un comportement comme seule issue, ces deux positionnements étant le fait de mêmes personnes ...JE ME POSE DES QUESTIONS ! Comment peut-on à la fois vouloir lutter pour garder une hétérogénéité d'un coté tout en adoptant les mêmes principes de concentration de l'autre (au passage, ne trouves-tu pas que prosélytisme et publicité ont des connotations semblables, souvent tournées autour du concept "faisons manger ceux qui n'ont pas faim ?")
Le premier principe d'opposition contre cette normalisation larvée m'est cher au coeur parce qu'il laisse perdurer ce que des générations d'hommes ont créé ci et là. Je n'ai pas connaissance d'un cent million de milliardième (au minimum) de choses qui ont pu être générées ... et pourtant je suis sur que je m'élèverais contre certaines qui me révulseraient. Y puis-je quelque chose puisqu'elles me sont inconnues ? Ai-je à y porter un jugement si elles n'impactent pas l'humanité à grande échelle et que leur nocivité est contrainte à la fois dans l'espace et le temps ?
Ai-je d'autre part à juger de l'équilibre moral de gens qui ne se retrouvent pas dans mes idéaux si je constate que les leurs et les miens visent au calme et à la paix ?
Regarde ce que je viens d'écrire ... n'est-ce pas là laisser aux différences le choix de se manifester tout en partant du principe que ces dernières n'ont pas a impacter à la fois négativement sur la vie tout en laissant la richesse humaine donner son meilleur ?
Le dialogue Loïc ... le dialogue que je cherche à avoir n'est pas basé sur des métaphores empilées comme un puzzle à résoudre. Il est basé sur l'envie de comprendre quels sont les rouages sous-jacents qui permettent à l'homme de créer dans la tolérance. Donc de regarder si la vue à terme est la paix, le respect de l'autre en COHABITANT, le partage de richesse (quelle qu'elle soit), et la compréhension du droit à la différence de pensée. Cette dernière ne peut à mon sens qu'être confrontée par des questions, questions qui ne visent pas à déstabiliser, mais à mettre l'autre à réflexion comme j'accepte de m'y mettre.
Je sais que les parallèles sont réducteurs. Ils "déshabillent" le "bâtiment" pour essayer d'en produire une "ossature" partageable. Ainsi, se focaliser sur le mot employé pour dépeindre le "squelette" au lieu d'en partager l'essence, puis essayer par la suite de lui redonner texture commune me parait être un preuve d'aveuglement.
Ce même aveuglement qui a conduit à croire que les populations indigènes avaient à apprendre de nous. Que nous étions les seuls à posséder une culture apte à leur apporter du bonheur. Tout cela en lieu et place de leur donner les moyens de créer par eux-mêmes. Maintenant, après quelques siècles ce mode de fonctionnement porté à son paroxysme se retourne vers nous et commence à envahir sa propre création.
Loïc ... je suis parti prenante pour t'écouter et te lire parce que je sais que tes différences vont m'enrichir comme j'espère que les miennes t'enrichiront sans autre vanité que te dire qu'elles existent.
Bien à toi mon pote
Même si l'individualisation est battue en brèche par d'aucuns, elle est et continuera à être. C'est à mon sens ce qui fait richesse. Tu sais, quand je vois à la fois une levée de bouclier contre la dictature économique et le nivellement des modes de vie et de pensée d'une coté ... et le désirs de certains d'imposer une vérité et un comportement comme seule issue, ces deux positionnements étant le fait de mêmes personnes ...JE ME POSE DES QUESTIONS ! Comment peut-on à la fois vouloir lutter pour garder une hétérogénéité d'un coté tout en adoptant les mêmes principes de concentration de l'autre (au passage, ne trouves-tu pas que prosélytisme et publicité ont des connotations semblables, souvent tournées autour du concept "faisons manger ceux qui n'ont pas faim ?")
Le premier principe d'opposition contre cette normalisation larvée m'est cher au coeur parce qu'il laisse perdurer ce que des générations d'hommes ont créé ci et là. Je n'ai pas connaissance d'un cent million de milliardième (au minimum) de choses qui ont pu être générées ... et pourtant je suis sur que je m'élèverais contre certaines qui me révulseraient. Y puis-je quelque chose puisqu'elles me sont inconnues ? Ai-je à y porter un jugement si elles n'impactent pas l'humanité à grande échelle et que leur nocivité est contrainte à la fois dans l'espace et le temps ?
Ai-je d'autre part à juger de l'équilibre moral de gens qui ne se retrouvent pas dans mes idéaux si je constate que les leurs et les miens visent au calme et à la paix ?
Regarde ce que je viens d'écrire ... n'est-ce pas là laisser aux différences le choix de se manifester tout en partant du principe que ces dernières n'ont pas a impacter à la fois négativement sur la vie tout en laissant la richesse humaine donner son meilleur ?
Le dialogue Loïc ... le dialogue que je cherche à avoir n'est pas basé sur des métaphores empilées comme un puzzle à résoudre. Il est basé sur l'envie de comprendre quels sont les rouages sous-jacents qui permettent à l'homme de créer dans la tolérance. Donc de regarder si la vue à terme est la paix, le respect de l'autre en COHABITANT, le partage de richesse (quelle qu'elle soit), et la compréhension du droit à la différence de pensée. Cette dernière ne peut à mon sens qu'être confrontée par des questions, questions qui ne visent pas à déstabiliser, mais à mettre l'autre à réflexion comme j'accepte de m'y mettre.
Je sais que les parallèles sont réducteurs. Ils "déshabillent" le "bâtiment" pour essayer d'en produire une "ossature" partageable. Ainsi, se focaliser sur le mot employé pour dépeindre le "squelette" au lieu d'en partager l'essence, puis essayer par la suite de lui redonner texture commune me parait être un preuve d'aveuglement.
Ce même aveuglement qui a conduit à croire que les populations indigènes avaient à apprendre de nous. Que nous étions les seuls à posséder une culture apte à leur apporter du bonheur. Tout cela en lieu et place de leur donner les moyens de créer par eux-mêmes. Maintenant, après quelques siècles ce mode de fonctionnement porté à son paroxysme se retourne vers nous et commence à envahir sa propre création.
Loïc ... je suis parti prenante pour t'écouter et te lire parce que je sais que tes différences vont m'enrichir comme j'espère que les miennes t'enrichiront sans autre vanité que te dire qu'elles existent.
Bien à toi mon pote
Dernière édition par Mjöllnir le Dim 08 Avr 2012, 02:29, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je m'incruste dans vôtre discussion pour rebondir sur la question de rester ici ou pas.
Comme dans chaque choix, on pèse le pour et le contre, pour ma part :
POUR
- Dialoguer avec des personnes ayant un fonctionnement similaire et s'enrichir MUTUELLEMENT dans divers domaines.
- Accueillir des personnes qui arrivent sur le forum qui se cherchent et ont envie de positivisme, d’objectivité, de se rendre compte qu'on peut ne pas en crever. ( je pèse mes mots)
CONTRE
- Se laisser saper le moral ( par effet d'éponge a émotions ) par l'ambiance négative ( que ce soit dans les conflits d'égo ou les visions obtus et négatives en tout point )
- Ne se trouver pratiquement aucun point en commun avec les protagonistes qui sont sans doute beaucoup plus névrosés/dépressifs/malades que surdoués ( même si l'un n'empêche pas l'autre )
Puis finalement me dire ( oui car je parle uniquement pour moi )
- Je n'en tire rien pour mon équilibre
- Je n'ai pas prétention non plus a pouvoir aider qui que ce soit
Conclusion :
Ps = ( j'adore les ps, en général c'est ici que je raconte le plus important)
Cela fait deux ans que je suis sur ce forum, très peu de message, des mois sans me connecter ici, neuf mois pour faire ma première rencontre.
Je n'ai jamais alimenté mon fil de présentation, mais j'ai fini par rencontrer des personnes, des vraies comme j'aime a le dire.
C'est pas énorme en deux ans !
Mon évolution personnelle je l'a fait seule Dieu merci.
Ps 2 = oui y'avait rien d'important dans mon premier ps, j'ai juste parlé de moi, MOI ME MYSELF I
Finalement un bon monologue, yes en 2 ans j'ai fini par comprendre comment ça marchait ici ( et dans la société ) MERCI MERCI pour cette superbe révélation
PS 3 = Ironique est mon deuxième prénom
xoxo
Comme dans chaque choix, on pèse le pour et le contre, pour ma part :
POUR
- Dialoguer avec des personnes ayant un fonctionnement similaire et s'enrichir MUTUELLEMENT dans divers domaines.
- Accueillir des personnes qui arrivent sur le forum qui se cherchent et ont envie de positivisme, d’objectivité, de se rendre compte qu'on peut ne pas en crever. ( je pèse mes mots)
CONTRE
- Se laisser saper le moral ( par effet d'éponge a émotions ) par l'ambiance négative ( que ce soit dans les conflits d'égo ou les visions obtus et négatives en tout point )
- Ne se trouver pratiquement aucun point en commun avec les protagonistes qui sont sans doute beaucoup plus névrosés/dépressifs/malades que surdoués ( même si l'un n'empêche pas l'autre )
Puis finalement me dire ( oui car je parle uniquement pour moi )
- Je n'en tire rien pour mon équilibre
- Je n'ai pas prétention non plus a pouvoir aider qui que ce soit
Conclusion :
Ps = ( j'adore les ps, en général c'est ici que je raconte le plus important)
Cela fait deux ans que je suis sur ce forum, très peu de message, des mois sans me connecter ici, neuf mois pour faire ma première rencontre.
Je n'ai jamais alimenté mon fil de présentation, mais j'ai fini par rencontrer des personnes, des vraies comme j'aime a le dire.
C'est pas énorme en deux ans !
Mon évolution personnelle je l'a fait seule Dieu merci.
Ps 2 = oui y'avait rien d'important dans mon premier ps, j'ai juste parlé de moi, MOI ME MYSELF I
Finalement un bon monologue, yes en 2 ans j'ai fini par comprendre comment ça marchait ici ( et dans la société ) MERCI MERCI pour cette superbe révélation
PS 3 = Ironique est mon deuxième prénom
xoxo
Invité- Invité
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Confucius a écrit:Si tu souhaites que je ne connaisse plus la faim, au lieu de me donner du poisson, apprends-moi à pêcher.
Vous voyez où je veux en venir ? Non ? Alors ... Partager un cheminement, un savoir-faire. Partager, par intervenir en posant ses phrases comme étant autre chose qu'un point de vue relatif à la référence qui fait renchérir. Essayer de montrer la validité que cela peut avoir pour sa propre construction en n'oubliant pas que cette construction peut-être déstabilisante pour l'autre si les racines sont totalement différentes.
Ne pas juger d'une décision de sauvegarde d'un tel ou d'un autre par rapport à sa propre vision du monde, elle aussi relative au passé vécu.
Donc, apprendre à l'autre comment apprendre si c''est possible, car c'est le meilleur chemin à offrir que de laisser l'autre prendre son propre envol. Lui apprendre aussi que le regard qu'on lui apporte vient de nos perceptions et qu'elles ne prêtent pas flan à critique parce qu'elles sont, si honnêtement exprimées, l'expression d'une construction à laquelle on s'identifie.
Il n'est à mon ressenti que relativité. Aucun être, même les plus proches jumeaux, ne vivront jamais la même chose. Et cette imprégnation fait toute la différence. Ne pas l'admettre, c'est nier le droit à l'autonomie, à l'explosion de la vie, porte ouverte à la plus belle des intolérances. Cela n'a rien à voir avec le fait d'être d'accord ou pas avec l'opinion émise. Cela regarde directement le déni. Et ce n'est pas parce que les avis divergent qu'il faut se "battre" pour imposer le sien. Il vaut mieux tourner les talons et continuer sa quête.
Dernière édition par Mjöllnir le Dim 08 Avr 2012, 11:00, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je viens de voir le gel du fil du débat sur le FN.
Je ne me laisse pas aller à l'expression que je qualifierai de "torride" de certains et préfère faire appel à la raison et au retrait. Il s'avère cependant que, hormis les mots employés, je reconnais le bien fondé de pas mal d'observations qui y sont faites et qui visent les incohérences et la prétention qu'ont d'aucuns à donner des leçons aux autres, leçons qu'ils feraient mieux de s'appliquer à eux-mêmes.
Il semble pourtant que ceux qui "sèment le vent récoltent la tempête" car ne voulant pas comprendre que la bienséance de certains (dont je fait partie) vise à pallier à la naissance d'un conflit. L'esprit buté d'en face en déduit que la porte reste entrouverte et y passe le pied. Eh bien non. Elle est fermée, mais si poliment que le refus ainsi exprimé ne passe pas. Il en a pourtant tout autant de force. J'espère donc qu'il sera enfin pris pour tel.
Enfin qu'on ne s'y trompe pas. Ce n'est pas un refus de communication comme on voudrait le faire croire. C'est le constat d'une impossibilité. Eh oui ! L'impossibilité existe
Je ne me laisse pas aller à l'expression que je qualifierai de "torride" de certains et préfère faire appel à la raison et au retrait. Il s'avère cependant que, hormis les mots employés, je reconnais le bien fondé de pas mal d'observations qui y sont faites et qui visent les incohérences et la prétention qu'ont d'aucuns à donner des leçons aux autres, leçons qu'ils feraient mieux de s'appliquer à eux-mêmes.
Il semble pourtant que ceux qui "sèment le vent récoltent la tempête" car ne voulant pas comprendre que la bienséance de certains (dont je fait partie) vise à pallier à la naissance d'un conflit. L'esprit buté d'en face en déduit que la porte reste entrouverte et y passe le pied. Eh bien non. Elle est fermée, mais si poliment que le refus ainsi exprimé ne passe pas. Il en a pourtant tout autant de force. J'espère donc qu'il sera enfin pris pour tel.
Enfin qu'on ne s'y trompe pas. Ce n'est pas un refus de communication comme on voudrait le faire croire. C'est le constat d'une impossibilité. Eh oui ! L'impossibilité existe
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Je me mêle aussi pour donner mon petit avis (mon grand?? dépends la personne en face, que ceux mesurant moins d'un mètre 64 se présente siouplait:) ).
Tout d'abord pour copiter sur Loïc
Ensuite, je te l'ai déjà dit je suis triste comme bon nombre de personne ici que tu souhaites partir, mais je comprends.
Tu en ressens un besoin pour finir ta (re)construction. Le forum t'a aidé (ne serait-ce que par ma rencontre ) et t'a apporté des choses dans ta vie dans ta compréhension. Tu ressens maintenant un besoin de t'en éloigner, tant mieux pour toi, d'une part de savoir ce que tu ressens et d'autre part de te donner la liberté d'agir, de ne pas ressentir de contrainte.
Ensuite de toute manière le départ de ce forum n'est pas forcément éternelle. Certains sont partis sans fermer leur compte, d'autre sont partis de même et sont revenus, d'autres ont fermé leur compte et ne sont pas (encore) revenu, d'autre ont fermé leur compte et sont revenus....
La vie est faite de tellement de possibilité.
Mon beau Mjöllnir, je respecte tes choix, je te souhaite de trouver ce dont tu as besoin et d'être heureux.
Je te remercie aussi pour qui tu es car tu m'as apporté des choses que je n'avais pas trouvé ailleurs et dont j'avais très (trop) grandement besoin. J'aurais fini par trouvé peut être quelque chose de similaire, mais la vie a voulu que cela vienne de toi alors je te remercie du plus profond de mon petit (heu énorme) coeur!!
Bisous et peut être à bientôt, suit ton chemin, perds toi de temps en temps pour mieux te retrouver, mais ne perds jamais le fil
Tout d'abord pour copiter sur Loïc
M'en fous, je sais où te trouver
Ensuite, je te l'ai déjà dit je suis triste comme bon nombre de personne ici que tu souhaites partir, mais je comprends.
Tu en ressens un besoin pour finir ta (re)construction. Le forum t'a aidé (ne serait-ce que par ma rencontre ) et t'a apporté des choses dans ta vie dans ta compréhension. Tu ressens maintenant un besoin de t'en éloigner, tant mieux pour toi, d'une part de savoir ce que tu ressens et d'autre part de te donner la liberté d'agir, de ne pas ressentir de contrainte.
Ensuite de toute manière le départ de ce forum n'est pas forcément éternelle. Certains sont partis sans fermer leur compte, d'autre sont partis de même et sont revenus, d'autres ont fermé leur compte et ne sont pas (encore) revenu, d'autre ont fermé leur compte et sont revenus....
La vie est faite de tellement de possibilité.
Mon beau Mjöllnir, je respecte tes choix, je te souhaite de trouver ce dont tu as besoin et d'être heureux.
Je te remercie aussi pour qui tu es car tu m'as apporté des choses que je n'avais pas trouvé ailleurs et dont j'avais très (trop) grandement besoin. J'aurais fini par trouvé peut être quelque chose de similaire, mais la vie a voulu que cela vienne de toi alors je te remercie du plus profond de mon petit (heu énorme) coeur!!
Bisous et peut être à bientôt, suit ton chemin, perds toi de temps en temps pour mieux te retrouver, mais ne perds jamais le fil
Noumi- Messages : 1336
Date d'inscription : 28/04/2010
Age : 44
Localisation : Vers l'infini et l'au-delà...mais de mon canapé...rouge
Re: L'ère mite âge ...
Oui oui ... je discute avec les uns et les autres ... ceux qui peuvent passer au travers de ce qui me fait cette énorme souffrance que je traine depuis un demi siècle de présence sur cette terre.
Je sais que beaucoup ne me prennent que pour un pragmatique, un relativiste, un cartésien, un insensible même parfois ...
Une vie remplie d’incompréhension, une vie solitaire dès l'enfance par le rejet parental. Une vie où sa propre survie passe par se fonder des racines dures et profondes car où que l'on se tourne les réponses sont dictées par les besoins des autres.
Une vie où poser ses analyses sans les enrober d'affect laisse place au remplissage de ce "manque" par l'affect des autres. On dirait ainsi que présenter une figure "non habillée" est pratiquer attaque vis à vis de celui à qui elle est communiquée.
MAIS BON SANG !!! Même s'il est difficile de le comprendre, j'évacue cet affect parce qu'il a été tellement envahissant, à exiger des choses à l'époque où je ne pouvais les fournir qu'il m'en a arraché toute la force que je pouvais avoir.
Alors oui, je me suis blindé. Blindé contre ce que je portais comme regard et affection. Blindé contre ce que je considère être un égoïsme primaire qui consisterait à dire que si je ne reçois pas le désir de l'autre j'en suis moi-même incapable.
Je pense que peu de monde est à même de comprendre la souffrance d'un enfant rejeté par ses deux parents. D'un jeune adulte par la suite qui se promet encore de donner la douceur qu'il n'a pas reçue et qui par là-même se fait piller parce qu'il pense qu'il doit se faire pardonner quelque chose.
Je pense que peu de monde est capable de savoir qu'un homme de 53 ans est encore en mesure de vouloir présenter ce qu'il a acquis comme regard sans le charger de ses émotions. Ne pas le charger non pas pour se montrer insensible, juste pour ne pas laisser ses souffrances impacter ni sur son partage, ni sur la vue qu'il s'est forgée, ni sur le rebond nocif qu'il pourrait faire à ce qu'il prend comme des attaques (à tort ou à raison)
Oui, je souffre et je sais pleurer. Oui, j'ai conscience des souffrances des autres. Oui, je crie aussi des malheurs qui pleuvent et sais me réjouir d'un sourire d'enfant, d'une bonne histoire, d'un voyage ou d'un repas entre amis.
Cependant il me reste une peur, une peur qui représente un poids si immense que je ne me sens pas capable d'en partager ne serait-ce qu'un bout. Cette peur est de ne pas être "normal", apte à recevoir et à donner, apte à vivre parmi ceux qui ont des émotions une construction achevée parce que la vie leur a donné possibilité d'être compris comme pouvant les partager et non pas être utilisé par les autres comme étant un réservoir d'aide inépuisable.
Je suis meurtri. D'une meurtrissure qui a atteint les soubassements de mon âme. Une meurtrissure qui m'a fait douter même d'être un homme capable de raison. Et cette construction que j'ai faite pour ma propre sauvegarde, construction que j'ai du théoriser pour trouver un sens à mon existence dans un désert affectif est à présent battue en brèche. Elle ne l'est pas en comprenant que je ne sais pas; elle l'est encore par désir immense de prétendre à reconstruire sur l'instant un être qui ne tient debout que parce qu'il a trouvé en lui des façons d'avancer.
Ce que je repousse ce ne sont pas des tentatives d'aide. Ce sont simplement les regards qui prétendent qu'une construction est meilleure qu'une autre et qui veulent l'imposer, ou bien encore "jauger" de la mienne en prenant ce que j'écris "pour eux" au lieu de regarder si cet écrit dissèque ma perception au travers des ans.
J'en chie. J'en chie parce que ce que je désire tout au fond de moi est de comprendre. De comprendre sans transférer. Je ne veux pas transférer parce que j'ai immensément été blessé par le transfert des autres. J'ai envie plus que tout de partager, et ce partage ne peut se faire que si je sens que c'est lui et que lui qui passera en premier avant même l'attente de quoi que ce soit d'autre.
20 ans de vie à entendre que tout, absolument tout ce que l'on fait est à coté de la plaque. A se faire juger de maudit, de saboteur, d'ignare et de non compréhensif tue le regard que l'on peut porter sur soi.
Il ne m'a donc rester pour exister que le fait de poser des parallèles que je sens le plus proches possible d'une "réalité" sur laquelle les divergences portent couleur mais pas interprétation.
Mon affect est en lambeaux. Il ressemble aux bandelettes d'une très vielle momie. J'ai l'espoir de le reconstruire mais je ne le peux qu'en m'écartant de ces transferts que je perçois encore comme une agression.
Je ne suis pas insensible, bien loin de là. je suis au contraire une éponge. Une éponge qui se gorge tant qu'elle ne peut plus rien absorber tellement elle fut inondée. Et ce sont ces blessures que je ne veux pas laisser suppurer qui doivent me laisser paraitre comme "étranger".
Alors, je n'ai plus confiance car rien ne me laisse supposer que je puisse encore me laisser en ré-accorder.
Pour finir, je vais reposter quelques vers que j'ai ôtés auparavant.
Les instants où les coups qui s'assènent
Infiniment répétés sur une âme d'enfant
Qui veut, grands yeux ouverts, dire tant
L'amour qu'il a pour ceux qui l'amènent
Dans ce monde si dur, dans le présent
Où son envie de partage des intérieurs
Emplis de douceur et de tendres présents
Se heurtent à l’opprobre, culbutant
Ses sentiments innés et son innocence.
Il cherche des bras pour se raconter
Dire qu'il est là, et qu'il veut compter
Les jours qui passent sans cette souffrance
Que lui inflige des autres le passé.
Qui sont ces gens qui l'ont mis au monde
L'un et l'autre le prenant pour objet ?
Alors, où que se tourne sa ronde
Où peut-il apprendre ce que c'est que d'aimer ?
Je sais que beaucoup ne me prennent que pour un pragmatique, un relativiste, un cartésien, un insensible même parfois ...
Une vie remplie d’incompréhension, une vie solitaire dès l'enfance par le rejet parental. Une vie où sa propre survie passe par se fonder des racines dures et profondes car où que l'on se tourne les réponses sont dictées par les besoins des autres.
Une vie où poser ses analyses sans les enrober d'affect laisse place au remplissage de ce "manque" par l'affect des autres. On dirait ainsi que présenter une figure "non habillée" est pratiquer attaque vis à vis de celui à qui elle est communiquée.
MAIS BON SANG !!! Même s'il est difficile de le comprendre, j'évacue cet affect parce qu'il a été tellement envahissant, à exiger des choses à l'époque où je ne pouvais les fournir qu'il m'en a arraché toute la force que je pouvais avoir.
Alors oui, je me suis blindé. Blindé contre ce que je portais comme regard et affection. Blindé contre ce que je considère être un égoïsme primaire qui consisterait à dire que si je ne reçois pas le désir de l'autre j'en suis moi-même incapable.
Je pense que peu de monde est à même de comprendre la souffrance d'un enfant rejeté par ses deux parents. D'un jeune adulte par la suite qui se promet encore de donner la douceur qu'il n'a pas reçue et qui par là-même se fait piller parce qu'il pense qu'il doit se faire pardonner quelque chose.
Je pense que peu de monde est capable de savoir qu'un homme de 53 ans est encore en mesure de vouloir présenter ce qu'il a acquis comme regard sans le charger de ses émotions. Ne pas le charger non pas pour se montrer insensible, juste pour ne pas laisser ses souffrances impacter ni sur son partage, ni sur la vue qu'il s'est forgée, ni sur le rebond nocif qu'il pourrait faire à ce qu'il prend comme des attaques (à tort ou à raison)
Oui, je souffre et je sais pleurer. Oui, j'ai conscience des souffrances des autres. Oui, je crie aussi des malheurs qui pleuvent et sais me réjouir d'un sourire d'enfant, d'une bonne histoire, d'un voyage ou d'un repas entre amis.
Cependant il me reste une peur, une peur qui représente un poids si immense que je ne me sens pas capable d'en partager ne serait-ce qu'un bout. Cette peur est de ne pas être "normal", apte à recevoir et à donner, apte à vivre parmi ceux qui ont des émotions une construction achevée parce que la vie leur a donné possibilité d'être compris comme pouvant les partager et non pas être utilisé par les autres comme étant un réservoir d'aide inépuisable.
Je suis meurtri. D'une meurtrissure qui a atteint les soubassements de mon âme. Une meurtrissure qui m'a fait douter même d'être un homme capable de raison. Et cette construction que j'ai faite pour ma propre sauvegarde, construction que j'ai du théoriser pour trouver un sens à mon existence dans un désert affectif est à présent battue en brèche. Elle ne l'est pas en comprenant que je ne sais pas; elle l'est encore par désir immense de prétendre à reconstruire sur l'instant un être qui ne tient debout que parce qu'il a trouvé en lui des façons d'avancer.
Ce que je repousse ce ne sont pas des tentatives d'aide. Ce sont simplement les regards qui prétendent qu'une construction est meilleure qu'une autre et qui veulent l'imposer, ou bien encore "jauger" de la mienne en prenant ce que j'écris "pour eux" au lieu de regarder si cet écrit dissèque ma perception au travers des ans.
J'en chie. J'en chie parce que ce que je désire tout au fond de moi est de comprendre. De comprendre sans transférer. Je ne veux pas transférer parce que j'ai immensément été blessé par le transfert des autres. J'ai envie plus que tout de partager, et ce partage ne peut se faire que si je sens que c'est lui et que lui qui passera en premier avant même l'attente de quoi que ce soit d'autre.
20 ans de vie à entendre que tout, absolument tout ce que l'on fait est à coté de la plaque. A se faire juger de maudit, de saboteur, d'ignare et de non compréhensif tue le regard que l'on peut porter sur soi.
Il ne m'a donc rester pour exister que le fait de poser des parallèles que je sens le plus proches possible d'une "réalité" sur laquelle les divergences portent couleur mais pas interprétation.
Mon affect est en lambeaux. Il ressemble aux bandelettes d'une très vielle momie. J'ai l'espoir de le reconstruire mais je ne le peux qu'en m'écartant de ces transferts que je perçois encore comme une agression.
Je ne suis pas insensible, bien loin de là. je suis au contraire une éponge. Une éponge qui se gorge tant qu'elle ne peut plus rien absorber tellement elle fut inondée. Et ce sont ces blessures que je ne veux pas laisser suppurer qui doivent me laisser paraitre comme "étranger".
Alors, je n'ai plus confiance car rien ne me laisse supposer que je puisse encore me laisser en ré-accorder.
Pour finir, je vais reposter quelques vers que j'ai ôtés auparavant.
Les instants où les coups qui s'assènent
Infiniment répétés sur une âme d'enfant
Qui veut, grands yeux ouverts, dire tant
L'amour qu'il a pour ceux qui l'amènent
Dans ce monde si dur, dans le présent
Où son envie de partage des intérieurs
Emplis de douceur et de tendres présents
Se heurtent à l’opprobre, culbutant
Ses sentiments innés et son innocence.
Il cherche des bras pour se raconter
Dire qu'il est là, et qu'il veut compter
Les jours qui passent sans cette souffrance
Que lui inflige des autres le passé.
Qui sont ces gens qui l'ont mis au monde
L'un et l'autre le prenant pour objet ?
Alors, où que se tourne sa ronde
Où peut-il apprendre ce que c'est que d'aimer ?
Dernière édition par Mjöllnir le Jeu 12 Avr 2012, 19:29, édité 9 fois
Invité- Invité
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
.
Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:41, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Merci à Noumi et à etoile_en_etoile.
Peut-être est-ce là deux des personnes qui comprennent un peu que ma réserve masque un quant à soi par rapport au monde ...
Peut-être est-ce là deux des personnes qui comprennent un peu que ma réserve masque un quant à soi par rapport au monde ...
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Mjöllnir a écrit:Je pense que peu de monde est à même de comprendre la souffrance d'un enfant rejeté par ses deux parents. D'un jeune adulte par la suite qui se promet encore de donner la douceur qu'il n'a pas reçue et qui par là-même se fait piller parce qu'il pense qu'il doit se faire pardonner quelque chose.
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Je pense que peu de monde est capable de savoir qu'un homme de 53 ans est encore en mesure de vouloir présenter ce qu'il a acquis comme regard sans le charger de ses émotions. Ne pas le charger non pas pour se montrer insensible, pas juste pour ne pas laisser ses souffrances impacter ni sur son partage, ni sur la vue qu'il s'est forgée, ni sur le rebond nocif qu'il pourrait faire à ce qu'il prend comme des attaques (à tort ou à raison)
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Ce que je repousse ce ne sont pas des tentatives d'aide. Ce sont simplement les regards qui prétendent qu'une construction est meilleure qu'une autre et qui veulent l'imposer, ou bien encore "jauger" de la mienne en prenant ce que j'écris "pour eux" au lieu de regarder si cet écrit dissèque ma perception au travers des ans.
Qui dire... je m'y retrouve tellement. Je n'ai qu'un quart de siècle...
Mais déjà à 16 ans, j'en avais 80 et en avais mare. J'ai dû rajeunir pour survivre. Je me sens comme si j'en avais juste 20 maintenant. Et j'espère que cette fois-ci, je serai capable de rester jeune. J'espère que ma reconstruction est la bonne. J'espère que cette fois je suis sur la bonne voix. Que les prochains échecs ne me font pas perdre l'envie de vivre encore une fois.
Tout le monde ne comprends peut-être pas, mais au moins ici, on peut s'en parler, se ressourcer de la compréhension des uns des autres, et s'alimenter des autres points de vues comme si on magasinait des bases de construction.
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: L'ère mite âge ...
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Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:41, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
A Noumi, etoile_en_etoile, cathoo, Wildzebr, Ailleurs, arôme naturel, laféelicité, Loïc ...
A ceux avec lesquels j'échange par delà les mots ...
A ceux que je comprends sans qu'ils parlent ...
Il était en dedans une âme solitaire
Il était au dehors une présence austère
Il était en deça une âme moribonde
Il était au delà un compteur de secondes
Il était fragrances ne savant se dire
Il était nuances se faisant médire
Il était lueurs par le temps assombries
Il était saveurs parmi tant de débris
Il était natures mortes en automne assoupies
Il était figues sèches dans un pot de moisi
Il était des sursauts en vain, de dépit
Il était une retraite bien loin d'être choisie
Il fut des rencontres, certaines éphémères
Il fut des semailles, certaines délétères
Il fut des retrouvailles, parfois bien austères
Il fut des errements où le cœur qui s'obère
Ne vit bien qu'un instant. Et puis le présent.
Le présent qui doucement lève le voile
Le présent qui maintenant sur nouvelle toile
Pose les couleurs chatoyantes d'un moment
Qui s'annonce. Le partage sincère des âmes
Qui loin des bruits stridents de la vie décousue
Sait regarder devant et du passé déclame
L'abandon non forcé. Les phrases du déçu
N'ont plus cours. Et la flamme du lumignon
Que d'aucuns promènent en solitaire
Peut à présent, réunie à d'autres, altières
Faire route commune. Lumière à l'horizon
Revenue au gout du jour. Encore et enfin rire.
Que les mots échangés au travers du sourire
Ne soient qu'éclairage de ces nouveaux jours
Qui des antiennes débarrassent les vieux atours.
Je suis bien près de vous. Amicalement.
A ceux avec lesquels j'échange par delà les mots ...
A ceux que je comprends sans qu'ils parlent ...
Il était en dedans une âme solitaire
Il était au dehors une présence austère
Il était en deça une âme moribonde
Il était au delà un compteur de secondes
Il était fragrances ne savant se dire
Il était nuances se faisant médire
Il était lueurs par le temps assombries
Il était saveurs parmi tant de débris
Il était natures mortes en automne assoupies
Il était figues sèches dans un pot de moisi
Il était des sursauts en vain, de dépit
Il était une retraite bien loin d'être choisie
Il fut des rencontres, certaines éphémères
Il fut des semailles, certaines délétères
Il fut des retrouvailles, parfois bien austères
Il fut des errements où le cœur qui s'obère
Ne vit bien qu'un instant. Et puis le présent.
Le présent qui doucement lève le voile
Le présent qui maintenant sur nouvelle toile
Pose les couleurs chatoyantes d'un moment
Qui s'annonce. Le partage sincère des âmes
Qui loin des bruits stridents de la vie décousue
Sait regarder devant et du passé déclame
L'abandon non forcé. Les phrases du déçu
N'ont plus cours. Et la flamme du lumignon
Que d'aucuns promènent en solitaire
Peut à présent, réunie à d'autres, altières
Faire route commune. Lumière à l'horizon
Revenue au gout du jour. Encore et enfin rire.
Que les mots échangés au travers du sourire
Ne soient qu'éclairage de ces nouveaux jours
Qui des antiennes débarrassent les vieux atours.
Je suis bien près de vous. Amicalement.
Dernière édition par Mjöllnir le Mer 11 Avr 2012, 22:55, édité 3 fois
Invité- Invité
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Comme je suis citée et que je suis d'une politesse infinie je répond ici :
.... .... ...... ....... ............
Tu comprends au delà des mots
.... .... ...... ....... ............
Tu comprends au delà des mots
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Bon soir :-)
Je lis lis lis et relis (relie ;-) et je ne trouvais rien à écrire car trop à écrire et pas assez de connaissance pour le faire. Cependant, à chaque fois, va t'en savoir pourquoi, qaund je m'en vient par chez toi, j'ai l'image d'un arc-en-ciel en fond d'écran de l'esprit ;-)
Du coup, j'ai googlé arc-en-ciel ... et voilà ce que j'ai pêché :
"Un arc-en-ciel n'a donc pas réellement d'existence physique mais est une illusion d'optique dont la position apparente dépend de la position de l'observateur et de celle du Soleil, le centre de l'arc-en-ciel étant la direction exactement opposée à celle du Soleil par rapport à l'observateur. Toutes les gouttes de pluie réfractent et reflètent la lumière du soleil de la même manière, mais seulement la lumière d'une petite partie des gouttes de pluie atteint l'œil de l'observateur." (merci wikipédia ;-) ... ce n'est sans doute pas tout à fait dans le propos, c'est sans doute bien loin de la plaque mais quand une image me hante à ce point quand je lis, je ne peux que la partager et lui laisser faire son chemin ...
kusjes Mister dinosaurus grandus dentus ;-)
Je lis lis lis et relis (relie ;-) et je ne trouvais rien à écrire car trop à écrire et pas assez de connaissance pour le faire. Cependant, à chaque fois, va t'en savoir pourquoi, qaund je m'en vient par chez toi, j'ai l'image d'un arc-en-ciel en fond d'écran de l'esprit ;-)
Du coup, j'ai googlé arc-en-ciel ... et voilà ce que j'ai pêché :
"Un arc-en-ciel n'a donc pas réellement d'existence physique mais est une illusion d'optique dont la position apparente dépend de la position de l'observateur et de celle du Soleil, le centre de l'arc-en-ciel étant la direction exactement opposée à celle du Soleil par rapport à l'observateur. Toutes les gouttes de pluie réfractent et reflètent la lumière du soleil de la même manière, mais seulement la lumière d'une petite partie des gouttes de pluie atteint l'œil de l'observateur." (merci wikipédia ;-) ... ce n'est sans doute pas tout à fait dans le propos, c'est sans doute bien loin de la plaque mais quand une image me hante à ce point quand je lis, je ne peux que la partager et lui laisser faire son chemin ...
kusjes Mister dinosaurus grandus dentus ;-)
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
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Dernière édition par etoile_en_etoile le Mer 09 Mai 2012, 15:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
Les propos tenus ici et pour lesquels je me sens visé me choquent énormément:
Ai-je dis une seule fois des choses qui justifient de telles calomnies ? Et où ?
Ai-je tenu une seule fois des propos de ce genre ? Si oui, où ?
Si je l'avais, fait la modération ne m'aurait -elle pas arrêté ?
Je trouve scandaleux et répugnants ce genre de manœuvres et d'allusions qui relèvent du flaming. Et je ne présente pas mon salut aux complices aveugles de ces mensonges.
Ces propos sont tout simplement mensongers, insupportables, totalement contradictoires et me peinent énormément.
C'est trop facile de publier des billets de cette teneur tout en ayant bien pris soin d'abord d'effacer tous les écrits précédents qui auraient rendu ce délire d'interprétation caduque ! C'est trop facile de médire ainsi sans preuve et de se faire le procureur en chef dans un procès lancé en dépit du bon sens !
Il n'y a là aucun ARGUMENT contre ce que j'avance, mais seulement un procès d'intention malsain et paranoïaque.
Je mets au défi quiconque de trouver dans mes propos la matière d'une telle débauche d'insanités.
Quand à ceux et celles qui approuvent ces dires, qu'ils ne remettent pas les pieds chez moi non plus !
Que vous ayez pu vous dire mes amis me dégoute. Non seulement je n'ai pas utilisé de telles méthodes, mais j'aurais même honte de les utiliser !
J'ajoute que philosophiquement, aucune des affirmations du sieur ne tiendrait en face d'une critique aussi banale soit-elle.
Ne suis-je pas cet "autre" qu'on prétend écouter ? Apparemment pas; il y a dérogation spéciale !
Ne me faites pas rire, vous vous payez de mots !
Je me sens trahi, déçu et je suis très en colère.
Je me moque que tu ne me veuilles pas ici, je te demande des comptes de tes affirmations !
Entre fanatique (?) Moisi (?) rance (?) obtus (?) je ne sais quoi choisir. Non que cela affecte mon égo - mot qui fait bien moins partie de mon vocabulaire que du vôtre - bizarrement - que la substance de mes propos. Je me suis livré ici en confiance, pensant que la contradiction est un élément même de la communication, et je me retrouve avec des mal élevés et des persifleurs !
Et bien je ne vous pense pas plus surdoués que ça !
Je trouve pitoyable une soi-disant si grande intelligence au service d'un discours à ce point perfide !
Je ne suis pas sûr qu'à terme on gagne grand-chose avec ce genre d'ami qui pour un pet de travers te voueras aux gémonies !
Pouacre; que dieu vous préserve de ce genre de bienfaiteur !
le Jeu 5 Avr 2012 - 11:02
le Jeu 5 Avr 2012 - 14:10
le Jeu 5 Avr 2012 - 14:21
le Jeu 5 Avr 2012 - 16:22
le Ven 6 Avr 2012 - 11:02
Ai-je dis une seule fois des choses qui justifient de telles calomnies ? Et où ?
Ai-je tenu une seule fois des propos de ce genre ? Si oui, où ?
Si je l'avais, fait la modération ne m'aurait -elle pas arrêté ?
Je trouve scandaleux et répugnants ce genre de manœuvres et d'allusions qui relèvent du flaming. Et je ne présente pas mon salut aux complices aveugles de ces mensonges.
Ces propos sont tout simplement mensongers, insupportables, totalement contradictoires et me peinent énormément.
C'est trop facile de publier des billets de cette teneur tout en ayant bien pris soin d'abord d'effacer tous les écrits précédents qui auraient rendu ce délire d'interprétation caduque ! C'est trop facile de médire ainsi sans preuve et de se faire le procureur en chef dans un procès lancé en dépit du bon sens !
Il n'y a là aucun ARGUMENT contre ce que j'avance, mais seulement un procès d'intention malsain et paranoïaque.
Je mets au défi quiconque de trouver dans mes propos la matière d'une telle débauche d'insanités.
Quand à ceux et celles qui approuvent ces dires, qu'ils ne remettent pas les pieds chez moi non plus !
Que vous ayez pu vous dire mes amis me dégoute. Non seulement je n'ai pas utilisé de telles méthodes, mais j'aurais même honte de les utiliser !
J'ajoute que philosophiquement, aucune des affirmations du sieur ne tiendrait en face d'une critique aussi banale soit-elle.
Ne suis-je pas cet "autre" qu'on prétend écouter ? Apparemment pas; il y a dérogation spéciale !
Ne me faites pas rire, vous vous payez de mots !
Je me sens trahi, déçu et je suis très en colère.
Je me moque que tu ne me veuilles pas ici, je te demande des comptes de tes affirmations !
Entre fanatique (?) Moisi (?) rance (?) obtus (?) je ne sais quoi choisir. Non que cela affecte mon égo - mot qui fait bien moins partie de mon vocabulaire que du vôtre - bizarrement - que la substance de mes propos. Je me suis livré ici en confiance, pensant que la contradiction est un élément même de la communication, et je me retrouve avec des mal élevés et des persifleurs !
Et bien je ne vous pense pas plus surdoués que ça !
Je trouve pitoyable une soi-disant si grande intelligence au service d'un discours à ce point perfide !
Je ne suis pas sûr qu'à terme on gagne grand-chose avec ce genre d'ami qui pour un pet de travers te voueras aux gémonies !
Pouacre; que dieu vous préserve de ce genre de bienfaiteur !
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: L'ère mite âge ...
Regardez tous messieurs et mesdames et lisez bien ceci :
Et voilà, la projection, la projection et encore la projection.
N'avez-vous pas l'impression vous aussi que certains ici se sentent en permanence attaqués, et de plus reviennent là où on leur a demandé expressément de ne plus s'exprimer ?
Et purtant le 6 avril 2012
et sur lefil "Vos réactions par rapport à la défaite"
Qui suit qui ? Qui interprète ? Qui change d'avis ? Je vous laisse juges, vous, lecteurs.
Fata Morgana a écrit:Les propos tenus ici et pour lesquels je me sens visé me choquent énormément:
Et voilà, la projection, la projection et encore la projection.
N'avez-vous pas l'impression vous aussi que certains ici se sentent en permanence attaqués, et de plus reviennent là où on leur a demandé expressément de ne plus s'exprimer ?
Fata Morgana a écrit:Ai-je dis une seule fois des choses qui justifient de telles calomnies ? Et où ?
Ai-je tenu une seule fois des propos de ce genre ? Si oui, où ?
Si je l'avais, fait la modération ne m'aurait -elle pas arrêté ?
Je trouve scandaleux et répugnants ce genre de manœuvres et d'allusions qui relèvent du flaming. Et je ne présente pas mon salut aux complices aveugles de ces mensonges.
Ces propos sont tout simplement mensongers, insupportables, totalement contradictoires et me peinent énormément.
C'est trop facile de publier des billets de cette teneur tout en ayant bien pris soin d'abord d'effacer tous les écrits précédents qui auraient rendu ce délire d'interprétation caduque ! C'est trop facile de médire ainsi sans preuve et de se faire le procureur en chef dans un procès lancé en dépit du bon sens !
Il n'y a là aucun ARGUMENT contre ce que j'avance, mais seulement un procès d'intention malsain et paranoïaque.
Je mets au défi quiconque de trouver dans mes propos la matière d'une telle débauche d'insanités.
Quand à ceux et celles qui approuvent ces dires, qu'ils ne remettent pas les pieds chez moi non plus !
Que vous ayez pu vous dire mes amis me dégoute. Non seulement je n'ai pas utilisé de telles méthodes, mais j'aurais même honte de les utiliser !
J'ajoute que philosophiquement, aucune des affirmations du sieur ne tiendrait en face d'une critique aussi banale soit-elle.
Ne suis-je pas cet "autre" qu'on prétend écouter ? Apparemment pas; il y a dérogation spéciale !
Ne me faites pas rire, vous vous payez de mots !
Je me sens trahi, déçu et je suis très en colère.
Je me moque que tu ne me veuilles pas ici, je te demande des comptes de tes affirmations !
Entre fanatique (?) Moisi (?) rance (?) obtus (?) je ne sais quoi choisir. Non que cela affecte mon égo - mot qui fait bien moins partie de mon vocabulaire que du vôtre - bizarrement - que la substance de mes propos. Je me suis livré ici en confiance, pensant que la contradiction est un élément même de la communication, et je me retrouve avec des mal élevés et des persifleurs !
Et bien je ne vous pense pas plus surdoués que ça !
Je trouve pitoyable une soi-disant si grande intelligence au service d'un discours à ce point perfide !
Je ne suis pas sûr qu'à terme on gagne grand-chose avec ce genre d'ami qui pour un pet de travers te voueras aux gémonies !
Pouacre; que dieu vous préserve de ce genre de bienfaiteur !
Et purtant le 6 avril 2012
Fata Morgana a écrit:Je me demande si par hasard nous ne serions pas entrain de nous diriger dans une impasse...
Je n'aime pas ça. Je continue d'aimer le Mjöllnir au téléphone, sur MSN et IRL, et c'est seulement de celui là dont j'ai envie de me souvenir. Je comprends que ma passion (sic) et ma ferveur puissent inquiéter, mais je te demande simplement de le croire comme je le dis: je suis sur ce point inoffensif, simplement ma conviction est forte, mais sans doute pas au point de blesser ou de m'en servir CONTRE quiconque !
Je trouve qu'on est cons tous les deux. Quelque soit le remarquable score qu'on aurait pu faire pour le gagner le jackpot du QI. En tout cas si toi tu ne l'es pas, moi je le suis. C'est un combat pour moi de ne pas me laisser embarquer dans ces conflits. Parfois j'y réussi, et parfois j'y échoue. C'est vrai que je suis blessé, et c'est vrai que ce qui n'est pas pour untel un problème peut facilement l'être pour moi.
Mais je préfère effacer cette ardoise, quitte à ce que ce soit de manière unilatérale, et te demander pardon, d'abord de ne pas avoir réussi à me faire comprendre, et ensuite de m'être amusé à mettre de l'huile sur le feu. Aucun de nous n'a "raison" dans cette affaire, autant l'admettre au plus vite. Nos amis pâtissent en plus de cette ambiance, tels que Loïc et d'autres, et ça, c'est totalement injustifiable.
Je te tend la main. Dans mon cœur au moment où j'écris ces lignes, je ressens seulement de l'amour pour toi, et de la tendresse, et du respect. Prend ma main. Il paraît que quand on me connait bien, on ne le regrette pas... Bisous
Tu es le bienvenu l'ami...
et sur lefil "Vos réactions par rapport à la défaite"
Fata Morgana a écrit:
Ça va question contrôle, l'exquise délicatesse de tes propos me laisse de la marge !
Allez, je te laisse à ton calme Olympien, mais je suis prêt à reprendre le dialogue quand tu voudras.
Qui suit qui ? Qui interprète ? Qui change d'avis ? Je vous laisse juges, vous, lecteurs.
Invité- Invité
Re: L'ère mite âge ...
J'ai relu tout mon fil. j'ai regardé où et comment les choses ont déraillé.
Et tu sais ce que je constate ?
C'est que tu n'as rien compris.
Tu guettes mes paroles pour trouver à m'accuser, comme Caïphe. Et à vrai dire, je m'en fous !
Tu ne peux pas poster ce que tu as posté plus haut, et qui oui traduit un très légitime énervement de ma part (!) alors que tu as effacé tes propres dires ! C'est un peu facile. C'est même dégueulasse.
Oui, j'ai écris que je prenais pour moi ce qui précède, parce que je c'est la vérité ! Et cela te dérange n'est-ce pas , Tu veux bien "écouter l'autre " Tant qu'il ne te contredit pas n'est-ce pas ? Mais l'usage que tu fais de mes propos, tu le feras avec d'autres dès lors qu'ils voudront, (auront l'audace d') exister en face de toi ! Et tu le sais, et tu sais que je le sais ! Oui seulement moi je ne fonctionne pas comme ça. L'injustice et la manipulation viennent de toi seul ! Je n'ai fais que répondre - et poliment - à des insinuations traitresses et de plus, totalement hors sujet. Je ne comprends toujours pas ce qui s'est passé dans ta caboche, mais je sais que je suis bien mieux dans la mienne. Tout mon fil témoigne de l'inverse de ce que tu prétends à mon sujet. Tu utilises une terminologie psy pour te revêtir d'une vérité soi-disant scientifique, mais il suffit de lire vraiment ce que j'ai dis, et de le lire dans le contexte qu'habilement, crois-tu, tu as effacé, pour comprendre quel a été ton brusque revirement. Tu as une façon de faire PERVERSE, et j'insiste sur ce mot, alors que moi, j'ai ma conscience pour moi !
Tu as gâché mon merveilleux souvenir de notre rencontre à paris - et la joie que j'en, avais éprouvée est encore visible sur mon fil, mais pas seulement ! Tu as piétiné combien de confidences, d'écoutes, de partages pour te positionner soudain comme le détracteur systématique de tout ce que je dis et auquel tu n'entends rien ! Et ne veux rien entendre. grand bien te fasse: je ne te connais ni ne te parle.
je ne supporte ni le mensonge, ni la traîtrise, ni la méchanceté, , ni les lâches, ni la bêtise; c'est pour cela que je te laisse avec tes sempiternelles récitations et tes entreprises de séduction malsaines, "mon pote".
Adieu à toi.
Et tu sais ce que je constate ?
C'est que tu n'as rien compris.
Tu guettes mes paroles pour trouver à m'accuser, comme Caïphe. Et à vrai dire, je m'en fous !
Tu ne peux pas poster ce que tu as posté plus haut, et qui oui traduit un très légitime énervement de ma part (!) alors que tu as effacé tes propres dires ! C'est un peu facile. C'est même dégueulasse.
Oui, j'ai écris que je prenais pour moi ce qui précède, parce que je c'est la vérité ! Et cela te dérange n'est-ce pas , Tu veux bien "écouter l'autre " Tant qu'il ne te contredit pas n'est-ce pas ? Mais l'usage que tu fais de mes propos, tu le feras avec d'autres dès lors qu'ils voudront, (auront l'audace d') exister en face de toi ! Et tu le sais, et tu sais que je le sais ! Oui seulement moi je ne fonctionne pas comme ça. L'injustice et la manipulation viennent de toi seul ! Je n'ai fais que répondre - et poliment - à des insinuations traitresses et de plus, totalement hors sujet. Je ne comprends toujours pas ce qui s'est passé dans ta caboche, mais je sais que je suis bien mieux dans la mienne. Tout mon fil témoigne de l'inverse de ce que tu prétends à mon sujet. Tu utilises une terminologie psy pour te revêtir d'une vérité soi-disant scientifique, mais il suffit de lire vraiment ce que j'ai dis, et de le lire dans le contexte qu'habilement, crois-tu, tu as effacé, pour comprendre quel a été ton brusque revirement. Tu as une façon de faire PERVERSE, et j'insiste sur ce mot, alors que moi, j'ai ma conscience pour moi !
Tu as gâché mon merveilleux souvenir de notre rencontre à paris - et la joie que j'en, avais éprouvée est encore visible sur mon fil, mais pas seulement ! Tu as piétiné combien de confidences, d'écoutes, de partages pour te positionner soudain comme le détracteur systématique de tout ce que je dis et auquel tu n'entends rien ! Et ne veux rien entendre. grand bien te fasse: je ne te connais ni ne te parle.
je ne supporte ni le mensonge, ni la traîtrise, ni la méchanceté, , ni les lâches, ni la bêtise; c'est pour cela que je te laisse avec tes sempiternelles récitations et tes entreprises de séduction malsaines, "mon pote".
Adieu à toi.
Dernière édition par Fata Morgana le Mer 11 Avr 2012, 15:12, édité 1 fois
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Re: L'ère mite âge ...
Fata Morgana a écrit:J'ai relu tout mon fil. j'ai regardé où et comment les choses ont déraillé. Et tu sais ce que je constate ?
C'est que tu n'as rien compris.
Tu guettes mes paroles pour trouver à m'accuser, comme Caïphe. Et à vrai dire, je m'en fous !
Tu ne peux pas poster ce que tu as posté plus haut, et qui oui traduit un très légitime énervement (!) alors que tu as effacé tes propres dires ! C'est un peu facile. C'est même dégueulasse.
Oui, j'ai écris que je prenais pour moi ce qui précède, parce que je dis la vérité ! Et cela te dérage n'est-ce pas , Tu veux bien "écouter l'autre " Tant qu'il ne te contredit pas n'est-ce pas ? mais l'usage que tu fais de mes propos, tu le feras avec d'autres dès lors qu'ils voudront, (auront l'audace d') exister en face de toi ! Et tu le sais, et tu sais que je le sais !Oui seulement je ne fonctionne pas comme ça. L'injustice et la manipulation viennent de toi seul ! Je n'ai fais que répondre - et poliment - à des insinuations traitresses et de plus, totalement hors sujet. Je ne comprends toujours pas ce qui s'est passé dans ta caboche, mais je sais que je suis bien mieux dans la mienne. Tout mon fil témoigne de l'inverse de ce que tu prétends à mon sujet.Tu utilises une terminologie psy pour te revêtir d'une vérité soi-disant scientifique, mais iol suffit de lire vraiment ce que j'ai dis, et de le lire dans le contexte qu'habilement crois-tu tu as effacé, pour comprendre quel a été ton brusque revirement. Tu as une façon de faire PERVERSE, et j'insiste sur ce mot, alors que moi, j'ai ma conscience pour moi !
Tu as gâché mon merveilleux souvenir de notre rencontre à paris - et la joie que j'en, avais éprouvée est encore visible sur mon fil, mais pas seulement ! Tu as piétiné combien de confidences, d'écoutes, de partages pour te positionner soudain comme le détracteur systématique de tout ce que je dis et auquel tu n'entends rien ! Et ne veux rien entendre. grand bien te fasse: je ne te connais ni ne te parle.
je ne supporte ni le mensonge, ni la traîtrise, ni la méchanceté, , ni les lâches, ni la bêtise; c'est pour cela que je te laisse avec tes sempiternelles récitations et tes entreprises de séduction malsaines, "mon pote".
Adieu à toi.
Et ça continue ...
Dernière édition par Mjöllnir le Mer 11 Avr 2012, 15:21, édité 3 fois
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Re: L'ère mite âge ...
Pourquoi copier ? Les gens savent lire ! Tu veux leur enseigner quoi ? Que tu es une victime ?
Fata Morgana- Messages : 20818
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