Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
- Biper:
- Comme toi Biper, la compassion ou la pitié des autres ne m'a jamais aidée ni faite avancer, je trouve ça au contraire infantilisant et même parfois humiliant. Peut être parce que même si nous n'avons pas le même vécu, nous partageons la même définition de l'empathie et du respect.
Saxi : tu picores ce que tu veux dans ce qui se raconte ici, ce ne sont que des idées. loin de moi l'envie ou l'idée de te parler comme à une gamine ou une demeurée d'où mon manque de "délicatesse" ou d'"empathie".
Dernière édition par Hirondelle78 le Mer 6 Nov 2019 - 13:45, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Prépares toi à faire ton deuil.
-De la personne en elle même
-Des excuses qui ne viendront (probablement) jamais
et prendre de la distance (kilométrique, téléphonique, émotionnelle, etc etc) peut être salvateur, et parfois indispensable.
-De la personne en elle même
-Des excuses qui ne viendront (probablement) jamais
et prendre de la distance (kilométrique, téléphonique, émotionnelle, etc etc) peut être salvateur, et parfois indispensable.
Stegos- Messages : 4567
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Dans tout ce que vous proposez pour aider Saxi à avancer (et avec quoi je suis globalement d'accord mais je ne mets pas de "nous" car je n'ai pas proposé grand chose!), il y a une distance indispensable à mettre pour sortir de l'emprise de la personne toxique, afin de pouvoir entreprendre un vrai changement en soi, une déconstruction reconstruction, et éventuellement dans la relation si on souhaite la poursuivre. Sauf erreur de ma part, la seule vraie "solution" avec un PN est d'ailleurs la rupture relationnelle.
Saxi ne peut pas (matériellement et / ou psychologiquement-moralement) prendre cette distance en ce moment. Pour autant, il faut qu'elle trouve des palliatifs car elle ne peut plus tenir comme ça plus longtemps, même provisoirement.
A quoi peut-on penser pour essayer de l'aider à tenir, retrouver un peu d'oxygène, jusqu'à ce qu'elle puisse effectivement envisager de se mettre en situation de pouvoir s'occuper d'elle-même réellement et en profondeur?
Saxi ne peut pas (matériellement et / ou psychologiquement-moralement) prendre cette distance en ce moment. Pour autant, il faut qu'elle trouve des palliatifs car elle ne peut plus tenir comme ça plus longtemps, même provisoirement.
A quoi peut-on penser pour essayer de l'aider à tenir, retrouver un peu d'oxygène, jusqu'à ce qu'elle puisse effectivement envisager de se mettre en situation de pouvoir s'occuper d'elle-même réellement et en profondeur?
J043947.08+163415.7- Messages : 4459
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Localisation : La tête dans les étoiles
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je ne peux pas dire plus que ce que j'ai dis...
Raccrocher les gants, se faire aider.
Raccrocher les gants, se faire aider.
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Zorglub_33 a écrit:Thalestra a écrit: La demande de reconnaissance ne serait-elle pas un grand cri d'amour?
Eh bien c'est intéressant comme point de vue. Je pense que non, et que le croire est la preuve de la perversité dans laquelle une personne PN entraîne sa victime.
Merci Zorglub. Ta fin de phrase est intéressante: vouloir être reconnu dans sa souffrance par la personne maltraitante comme si cette reconnaissance allait être la preuve d'amour jamais obtenue de ladite personne pourrait justement être la résultante de la perversité de l'emprise exercée. Je n'avais jamais vu ça comme ça. Je vais y réfléchir et me permettrai de te questionner plus avant là-dessus car ça fait naître plein de réflexions bordéliques dans mon petit cerveau!
J043947.08+163415.7- Messages : 4459
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Ne pas vouloir s'éloigner de sa mère quand elle est en train de mourir, que la petite fille soit inconsolable et la femme épuisée, à bout de forces durant cette période, ça ne me semble pas anormal.
Du repos et surtout de l'aide concrète seraient surtout les bienvenus.
Du repos et surtout de l'aide concrète seraient surtout les bienvenus.
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
@Hirondelle et Thalès ...je ne sais pas si ça a été rectifié mais le film ça ne serait pas "les chatouilles " plutôt que les "papouilles" ?
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Biper a écrit:@Hirondelle et Thalès ...je ne sais pas si ça a été rectifié mais le film ça ne serait pas "les chatouilles " plutôt que les "papouilles" ?
ooops...si^^
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Stegos a écrit:Prépares toi à faire ton deuil.
-De la personne en elle même
-Des excuses qui ne viendront (probablement) jamais
et prendre de la distance (kilométrique, téléphonique, émotionnelle, etc etc) peut être salvateur, et parfois indispensable.
je plussoie
St'ban- Messages : 10478
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Hirondelle78 a écrit:Ne pas vouloir s'éloigner de sa mère quand elle est en train de mourir, que la petite fille soit inconsolable et la femme épuisée, à bout de forces durant cette période, ça ne me semble pas anormal.
Je me permets un peu de circonspection. Si accompagner sa mère mourante relève de l'humanité bienveillante que tout un chacun doit avoir envers son prochain, bien sûr. Mais s'il s'agit d'une ultime tentative de rapprochement en vue d'obtenir un aveu quant aux maltraitances subies, c'est risqué.
Personnellement j'ai pris le parti de m'éloigner de mes parents, alors même que leur état de santé se soit dégradé au point de rentrer en ehpad. Je ne peux plus rien pour ma mère devenue sénile, et mon père se servait de moi comme d'un défouloir à sa méchanceté et son mécontentement de ne pas avoir la fin de vie qu'il voulait. Ca devenait trop toxique pour moi, il a eu une réflexion de trop, j'ai attrapé mon téléphone et lui ai dit que je n'irais plus les voir. Bref j'ai agi comme une adulte face à d'autres adultes : parce qu'au final, c'est de ça qu'il s'agit, passer outre l'enfant apeuré qu'on était resté, et enfiler le costume de l'adulte qu'on est tous censé devenir un jour quand on a eu une enfance "normale". Aucun regret, la décision n'est pas confortable car il faut se justifier auprès des autres membres de la famille mais je suis en paix avec moi-même.
Zorglub_33- Messages : 253
Date d'inscription : 30/08/2017
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
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Dernière édition par My_illusion le Dim 31 Juil 2022 - 17:39, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Non MY I , Saxi ne vit pas chez sa mère , ni tout à fait à côté , elle est indépendante financièrement.
Dernière édition par Biper le Lun 11 Nov 2019 - 2:38, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
@zorglub C'est ce qui créé des conflits intérieurs quand on n'a pas réussi à faire ce que tu as fait et à l'assumer comme tu l'as fait, quand l'enfant est encore inconsolable, en attente d'une reconnaissance.
Ma grand mère maternelle était une femme très dure, orpheline à l'âge de deux mois, elle n'a jamais reçu ni su donner d'affection à sa fille unique, ni à quiconque. J'ai vu ma mère mendier son amour toute sa vie et en souffrir en vain et l'aimer jusqu'au bout. Elle n'aurait pas été en paix si elle ne l'avait pas fait. A chacun de trouver sa paix.
Ma grand mère maternelle était une femme très dure, orpheline à l'âge de deux mois, elle n'a jamais reçu ni su donner d'affection à sa fille unique, ni à quiconque. J'ai vu ma mère mendier son amour toute sa vie et en souffrir en vain et l'aimer jusqu'au bout. Elle n'aurait pas été en paix si elle ne l'avait pas fait. A chacun de trouver sa paix.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
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Dernière édition par My_illusion le Dim 31 Juil 2022 - 17:40, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
@My Illusion : film plus ancien, meilleur, avec Alice Sapritch dans le rôle de la mère. Mais il vaut mieux le livre.
@Hirondelle : oui, bien sûr.
@Hirondelle : oui, bien sûr.
Zorglub_33- Messages : 253
Date d'inscription : 30/08/2017
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Vipère au poing je l'ai lu vers mes douze ou treize ans, mais c'est aussi de la violence physique et pas seulement psychologique
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Passage éclair pour vous prévenir que je ne vais être très dispo de suite, je ne peux donc pas répondre à tous....
Juste :
@Zorglub : je n'attends plus de reconnaissance de sa part, déjà essayé de nombreuses fois, je me suis faite une raison.
Mais la douleur est toujours là vu que je ne peux pas couper les ponts et donc que ma blessure est entretenue.
Le deuil... en fait ça explique pourquoi je suis bloquée en partie : mon deuil est entamé depuis un certain temps mais ne peut continuer tant qu'elle est là, comme Biper l'explique.
C'est peut-être en partie ce que je cherchais en ouvrant ce fil : m'assurer que tout ce que je pouvais faire en l'état actuel des choses a été tenté et qu'il ne me reste effectivement plus qu'à accepter la mise en suspend de ma vie, raccrocher les gants comme dit Wich, et me préparer à faire/continuer mon deuil comme dit Stegos et d'autres...
Pas capable de plus ce soir, mais toutes vos contributions m'encadrent dans mes réflexions d'une certaine façon, donc merci encore.
Juste :
@Zorglub : je n'attends plus de reconnaissance de sa part, déjà essayé de nombreuses fois, je me suis faite une raison.
Mais la douleur est toujours là vu que je ne peux pas couper les ponts et donc que ma blessure est entretenue.
Le deuil... en fait ça explique pourquoi je suis bloquée en partie : mon deuil est entamé depuis un certain temps mais ne peut continuer tant qu'elle est là, comme Biper l'explique.
C'est peut-être en partie ce que je cherchais en ouvrant ce fil : m'assurer que tout ce que je pouvais faire en l'état actuel des choses a été tenté et qu'il ne me reste effectivement plus qu'à accepter la mise en suspend de ma vie, raccrocher les gants comme dit Wich, et me préparer à faire/continuer mon deuil comme dit Stegos et d'autres...
Pas capable de plus ce soir, mais toutes vos contributions m'encadrent dans mes réflexions d'une certaine façon, donc merci encore.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Coucou Saxifrage*.
Le meilleur moyen de ne pas faire le deuil c'est peut-être de trouver d'autres sujets/objets qui t'apportent de la joie.
Je pose là une petite vidéo qui m'a été bien utile ce matin, sur le langage corporel des PNs mais c'est plus pour d'autres choses qu'elle dit que j'ai aimé cette vidéo.
Une psy à la maison - Le langage corporel du pervers narcissique
Le meilleur moyen de ne pas faire le deuil c'est peut-être de trouver d'autres sujets/objets qui t'apportent de la joie.
Je pose là une petite vidéo qui m'a été bien utile ce matin, sur le langage corporel des PNs mais c'est plus pour d'autres choses qu'elle dit que j'ai aimé cette vidéo.
Une psy à la maison - Le langage corporel du pervers narcissique
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Selon moi, la réponse est simple : on sait.
On sait si et quand on est dans la victimisation.
Et aussi longtemps que ce n'est pas pathologique, c'est acceptable parce que parfois, on a besoin tout simplement d'être reconnu en tant que victime.
Il est nécessaire de le dire parce que ce n'est pas toujours évident aux yeux des autres.
Mais le fait de le dire, d'avoir besoin de l'exprimer, ne veut pas dire qu'on soit dans la victimisation.
Toutefois, c'est quelque chose qu'on ne peut pas dire à n'importe qui. Il s'agit de trouver la bonne oreille, celle dans laquelle on recevra une écoute valable et aidante.
Plus l'agression est violente et plus l'oreille dans laquelle on dépose notre fardeau doit être "la bonne".
A défaut, on risque gros!
Bonne chance à tous ceux qui furent un jour victime
On sait si et quand on est dans la victimisation.
Et aussi longtemps que ce n'est pas pathologique, c'est acceptable parce que parfois, on a besoin tout simplement d'être reconnu en tant que victime.
Il est nécessaire de le dire parce que ce n'est pas toujours évident aux yeux des autres.
Mais le fait de le dire, d'avoir besoin de l'exprimer, ne veut pas dire qu'on soit dans la victimisation.
Toutefois, c'est quelque chose qu'on ne peut pas dire à n'importe qui. Il s'agit de trouver la bonne oreille, celle dans laquelle on recevra une écoute valable et aidante.
Plus l'agression est violente et plus l'oreille dans laquelle on dépose notre fardeau doit être "la bonne".
A défaut, on risque gros!
Bonne chance à tous ceux qui furent un jour victime
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Saxifrage* a écrit:Le deuil... en fait ça explique pourquoi je suis bloquée en partie : mon deuil est entamé depuis un certain temps mais ne peut continuer tant qu'elle est là, comme Biper l'explique.
C'est peut-être en partie ce que je cherchais en ouvrant ce fil : m'assurer que tout ce que je pouvais faire en l'état actuel des choses a été tenté et qu'il ne me reste effectivement plus qu'à accepter la mise en suspend de ma vie, raccrocher les gants comme dit Wich, et me préparer à faire/continuer mon deuil comme dit Stegos et d'autres...
Je comprends tout à fait. Je me suis trouvée dans la même situation il y a quelques mois, à devoir faire le deuil de mes parents encore (trop bien) vivants que je devais aller voir chaque semaine à l'ehpad, et c'était bien sûr juste intenable psychologiquement. J'ai fini par atterrir chez une psy "voilà où j'en suis, j'en peux plus, j'ai besoin d'aide" et me voilà repartie pour des années de thérapie à parler de mes parents ! J'hésite entre soulagement d'avoir trouvé une thérapeute disponible et consternation d'être d'en passer par là une nouvelle fois !
Zorglub_33- Messages : 253
Date d'inscription : 30/08/2017
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Bon… je me laisse encore 1 semaine de préparation psychologique avant d'entamer les démarches pour un arrêt maladie plus ou moins longue durée.
Il me faut maintenant réfléchir à quoi mettre en place pendant ce futur arrêt pour : retrouver de l'énergie, faire un vrai travail en profondeur et intensément sur mes divers traumatismes, me "reprogrammer" pour mettre fin à des schémas comportementaux néfastes, etc... Retrouver mon sourire… mon envie de sourire.
La philosophie dans ma famille c'est "marche ou crève", traduisible en "subit ou/et flanche", que j'ai réussi avec les années a transformé en "subit et lutte"... Me reste plus qu'à modifier le paramètre "subit"... Gros travail en perspective.
Mais j'ai trouvé une bonne thérapeute, c'est déjà ça. Mais c'est effectivement consternant de se retrouver encore là…
Je risque d'être moins présente prochainement, mais comme je l'ai déjà dit, ce fil peut être généralisable.
Je précise tout de même qu'il me paraît important à ce qu'une attention particulière soit apportée à la forme de son discours, le sujet étant particulièrement sensible pour certaines personnes, dont certaines se refusent à participer sur ce fil par peur de ne pouvoir gérer leur émotion face à un sentiment de dureté/jugement ressenti (mais ont eu la gentillesse de partager leur réflexion avec moi par MP).
Et cette demande n'a rien à voir avec de la pitié, Hirondelle, contrairement à ce que tu as sous-entendu dans un spoiler à Biper (c'est tout du moins mon interprétation. De l'importance de la forme sur le fond…).
Sur ce, je souhaite bon courage à tous ceux qui traversent des tempêtes, et je remercie tous les participants de ce fil pour les pistes de réflexions et partages d'expériences que vous y avez déposés.
Il me faut maintenant réfléchir à quoi mettre en place pendant ce futur arrêt pour : retrouver de l'énergie, faire un vrai travail en profondeur et intensément sur mes divers traumatismes, me "reprogrammer" pour mettre fin à des schémas comportementaux néfastes, etc... Retrouver mon sourire… mon envie de sourire.
La philosophie dans ma famille c'est "marche ou crève", traduisible en "subit ou/et flanche", que j'ai réussi avec les années a transformé en "subit et lutte"... Me reste plus qu'à modifier le paramètre "subit"... Gros travail en perspective.
Mais j'ai trouvé une bonne thérapeute, c'est déjà ça. Mais c'est effectivement consternant de se retrouver encore là…
Je risque d'être moins présente prochainement, mais comme je l'ai déjà dit, ce fil peut être généralisable.
Je précise tout de même qu'il me paraît important à ce qu'une attention particulière soit apportée à la forme de son discours, le sujet étant particulièrement sensible pour certaines personnes, dont certaines se refusent à participer sur ce fil par peur de ne pouvoir gérer leur émotion face à un sentiment de dureté/jugement ressenti (mais ont eu la gentillesse de partager leur réflexion avec moi par MP).
Et cette demande n'a rien à voir avec de la pitié, Hirondelle, contrairement à ce que tu as sous-entendu dans un spoiler à Biper (c'est tout du moins mon interprétation. De l'importance de la forme sur le fond…).
Sur ce, je souhaite bon courage à tous ceux qui traversent des tempêtes, et je remercie tous les participants de ce fil pour les pistes de réflexions et partages d'expériences que vous y avez déposés.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Prends soin de toi Saxi. Je pense que de demander un arrêt maladie est effectivement un bon début. Bon courage
J043947.08+163415.7- Messages : 4459
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Localisation : La tête dans les étoiles
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Super c'est bien de l'envisager si tu peux ...personnellement ce fil ne m'est pas inutile non plus...loin de là.
Si tu en as l'occasion , j'ai jamais tenté encore mais j'ai ma pote ( test tout ) qui quand elle est ultra tendue , va voir un ostéo ..apparemment il est super bon mais elle me dit qu'elle se relâche tellement à chaque fois qu'elle pleure soit sur la table soit en sortant... je dois y aller (jedoisilfautque ) mais bon ..le temps passe et je ne le fais pas... le jour ou j'y vais, je prévois le tuba et les palmes ... et sinon si tu n'aimes pas trop qu'on te manipule (ce qui est mon cas) un massage de reflexologie plantaire...c'est excellent aussi pour tout le corps.
On s'occupe de la tête et on oublie souvent le corps. Tu as l'air d'avoir pris les choses en main et ça me fait plaisir. c'est courageux de savoir dire stop avant qu'il ne soit trop tard (avant craquage).
"Subit/lutte" tu le changes en quoi ? "accueille et accompagne " ? je crois que je fais du "accueille et gère" en attendant le "accueille et accepte " ...enfin bon prends soin de toi Saxi , tu es la mieux placée pour ça
Si tu en as l'occasion , j'ai jamais tenté encore mais j'ai ma pote ( test tout ) qui quand elle est ultra tendue , va voir un ostéo ..apparemment il est super bon mais elle me dit qu'elle se relâche tellement à chaque fois qu'elle pleure soit sur la table soit en sortant... je dois y aller (jedoisilfautque ) mais bon ..le temps passe et je ne le fais pas... le jour ou j'y vais, je prévois le tuba et les palmes ... et sinon si tu n'aimes pas trop qu'on te manipule (ce qui est mon cas) un massage de reflexologie plantaire...c'est excellent aussi pour tout le corps.
On s'occupe de la tête et on oublie souvent le corps. Tu as l'air d'avoir pris les choses en main et ça me fait plaisir. c'est courageux de savoir dire stop avant qu'il ne soit trop tard (avant craquage).
"Subit/lutte" tu le changes en quoi ? "accueille et accompagne " ? je crois que je fais du "accueille et gère" en attendant le "accueille et accepte " ...enfin bon prends soin de toi Saxi , tu es la mieux placée pour ça
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Saxifrage* a écrit:
Je précise tout de même qu'il me paraît important à ce qu'une attention particulière soit apportée à la forme de son discours, le sujet étant particulièrement sensible pour certaines personnes, dont certaines se refusent à participer sur ce fil par peur de ne pouvoir gérer leur émotion face à un sentiment de dureté/jugement ressenti (mais ont eu la gentillesse de partager leur réflexion avec moi par MP).
Et cette demande n'a rien à voir avec de la pitié, Hirondelle, contrairement à ce que tu as sous-entendu dans un spoiler à Biper (c'est tout du moins mon interprétation. De l'importance de la forme sur le fond…).
ok. c'est vrai qu'avec un smiley, les messages passent mieux
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
C'est quoi cette provoque sérieux ???
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Wich a écrit:C'est quoi cette provoque sérieux ???
bah, je ne sais pas, wich, je ne lis pas les plaintes que saxi reçoit par MP à mon sujet si je comprends bien.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je ne sais pas de quoi tu parles là...
On ne t'a jamais fait la réflexion que tu es un peu trop "brut", "méprisante", "désobligeante", etc ....
Ça ne te parle pas ?
On ne t'a jamais fait la réflexion que tu es un peu trop "brut", "méprisante", "désobligeante", etc ....
Ça ne te parle pas ?
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
@Wishdelle : Je ne trouve pas que votre discussion apporte quoi que ce soit sur ce fil.
Sauf peut-être... Analysons un peu...
Victime ? Hirondelle78 ?
Souffrance ? Les deux ?
Victimisation ? Personne ?
Sauf peut-être... Analysons un peu...
Victime ? Hirondelle78 ?
Souffrance ? Les deux ?
Victimisation ? Personne ?
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
- wich:
- Wich a écrit:Je ne sais pas de quoi tu parles là...
On ne t'a jamais fait la réflexion que tu es un peu trop "brut", "méprisante", "désobligeante", etc ....
Ça ne te parle pas ?
si, sur le fil politique ou on s'est pris le chou et je te retourne le compliment parce que niveau brutalité je crois que j'ai pris largement plus cher que toi entre mindview et toi mais, je n'ai jamais été méprisée ni même insultée sur ce forum ...bien sûr
bon, allez, votre jugement sur moi est forcément le bon puisque c'est le vôtre.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
- Hirondelle:
- Rien ne t'oblige à provoquer, ça n'est pas de la discutions.
Ça n'apporte rien, sauf de l'énervement après de personne que tu as déjà blessé par j'm'enfoutisme ou balek...
Bref ce n'est pas une question d'avis mais une question de respect.
Mais je crois que tu ne comprends sincèrement pas et je ne vois pas comment te l'expliquer.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
- wich:
- et bien...que te dire...
désolée d'avoir mon caractère et pardon d'être moi mais je vais le rester ( les autres étant déjà pris...)
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Tu te sens victime d'un injuste jugement Hirondelle ?
Des témoignages par MP. Avec un aveu de peur face à certaines réactions.
Je ne suis pas la seule à t'avoir fait des remarques au sujet de ton ton.
Des témoignages par MP. Avec un aveu de peur face à certaines réactions.
Je ne suis pas la seule à t'avoir fait des remarques au sujet de ton ton.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Tu veux un procès équitable ?Hirondelle78 a écrit:c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Je veux bien être ton avocat
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
HS
allez je mets un petit smiley quand même
allez je mets un petit smiley quand même
Dernière édition par Biper le Jeu 7 Nov 2019 - 22:32, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
HS: de la peur, sérieux? De l’agacement, de la colère, de l’irritation mais de la peur? On n’est pas IRL quand même...
J043947.08+163415.7- Messages : 4459
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Localisation : La tête dans les étoiles
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Thalès il y a différentes peurs ... la peur de s'exprimer en fait partie et elle est très répandu chez les personnes ultra sensibles. C'est pourquoi il y une section "bavardages doux et courtois" dans lequel des débordements du type de celui sur ce fil auraient été pris en compte et sanctionné (je suppose ) . Quand le sujet a été lancé il a entraîné la discussion vers des zones très intimes et sensibles. Le "problème" c'est qu'il y a des sensibilités différentes ou pas d'ailleurs car quand on entre dans l'intime on peut tous se sentir fragilisé. Si je me prends pour exemple quand j'ai participé à ce fil et que j'y ai lu certains messages , ce qui m'a traversé a été d'abord de la stupéfaction (une grosse stupéfaction), puis j'ai été totalement bouleversée et ça m'a blessé énormément. Puis comme je suis assez forte et dans le bénéfice du doute je n'ai rien dit parce que je me méfie de mes interprétations ....au fil de la discussion et après relecture multiple je me suis dit ok je comprends ...mais en attendant si j'avais été plus fragile je peux dire que c'est violent à recevoir et on peut avoir peur de cette incompréhension... on ne sait pas ce qui se passe derrière l'écran. J'ai signalé des propos relatif à cette discussion mais sur un autre fil pour le même motif car ça n'était absolument pas moins violent ça a été pire e j'estime qu'on ne peut pas dire n'importe quoi. Ce qui semble anodin aux uns peut être très violent pour d'autre. Si tu savais comme j'ai pu pleuré souvent derrière mon écran notamment sur ce fil. Et j'ai peut être aussi pu être la personne qui blesse même si c'est souvent dans la défense. Donc oui la peur de l'incompréhension quand tu as été victime et le sentiment que ta douleur face à la froideur apparente ça existe. ET simplement quand tu n'es pas victime mais que tu as juste du mal à t'exprimer , on devrait tous pouvoir s'exprimer mais pas n'importe comment (je m(inclus mais j'essaie d'apprendre de mes erreurs).
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
.
Dernière édition par My_illusion le Dim 31 Juil 2022 - 17:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je ne comprend pas ça.On ne peut pas attendre des autres qu’ils soient uniquement dans l’empathie quand en face la personne qui initie le sujet ne veut/peut pas s’exprimer et préfère finalement se cacher/fuir. Pour moi, le courage c’est ça aussi : y aller même quand on a peur, même quand c’est dur.
Pourquoi cette nécessité de courage ?
L'empathie comme contrepartie au courage ? On est encore dans un rapport de force.
Il y a des propos choquant pour certain qui ont été dit. Pourquoi remettre ce ressenti en question, ne pas en tenir compte et le délégitimer sous prétexte de faiblesse ?
On ne respecte que les-forts ? (en un ou deux mots, c'est valable)
On est en plein dans le sujet là, mais il semble que ce ne soit toujours pas compris.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Peut-être tout simplement parce qu'il faut du courage pour dire ce dont on souffre en donnant les détails afin que tout le monde puisse vraiment bien comprendre.
Tu as raison Wich, on ne comprend pas toujours ce que les personnes souffrantes essaient d'exprimer et ça peut engendrer des souffrances supplémentaires par les réponses inappropriées.
Tu as raison Wich, on ne comprend pas toujours ce que les personnes souffrantes essaient d'exprimer et ça peut engendrer des souffrances supplémentaires par les réponses inappropriées.
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
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Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je ne fuis pas My_Illusion, j'ai une vie simplement. Dois-je te fournir mon agenda ?
Ce sujet, et ça a été dit plusieurs fois, peut être généralisable.
Je me suis servis de mon cas comme illustration parce que forcément je suis concernée, sinon je n'aurai pas ouvert ce fil.
Pour autant, même si je n'ai pas de tabou, j'ai un minimum de pudeur. Ici n'est pas mon fil perso donc non, je ne donnerai pas plus de détails, je ne cherche pas de l'attention comme tu le crois. Et je me réserve le droit de partager ce que je souhaite partager, et non répondre aux injonctions à m'étaler (ma remarque sur la psychanalyse gratos était purement sarcastique).
Ce que je cherchais, c'était du respect et des pistes de réflexion, pas des injonctions ou des jugements.
Je voulais aussi également montrer que face à une personne en détresse, en souffrance, il y avait plusieurs types de réactions possibles et que toutes n'étaient pas appropriées.
Et tu te trompes, encore, quand tu dis que je fais 10 pas en arrière. Bien au contraire, ce fil m'a fait aussi du bien et m'a permis de passer un ou deux blocages. Je suis contente par exemple d'avoir pu maîtriser mes émotions et éviter de partir en quenouille.
Bref.
Continuez donc à pourrir ce fil (que j'aurai peut-être dû mettre en section doux et courtois finalement mais je trouvais qu'il collait pourtant à la thématique "relation à soi", voire "relation aux autres") si le cœur vous en dit. Moi, j'ai besoin de digérer. Et je vais chez ma mère de ce soir à lundi soir, et mardi soir j'ai une réunion (de tête, si besoin My, je te donnerai mon programme de la semaine entière plus tard).
Ce sujet, et ça a été dit plusieurs fois, peut être généralisable.
Je me suis servis de mon cas comme illustration parce que forcément je suis concernée, sinon je n'aurai pas ouvert ce fil.
Pour autant, même si je n'ai pas de tabou, j'ai un minimum de pudeur. Ici n'est pas mon fil perso donc non, je ne donnerai pas plus de détails, je ne cherche pas de l'attention comme tu le crois. Et je me réserve le droit de partager ce que je souhaite partager, et non répondre aux injonctions à m'étaler (ma remarque sur la psychanalyse gratos était purement sarcastique).
Ce que je cherchais, c'était du respect et des pistes de réflexion, pas des injonctions ou des jugements.
Je voulais aussi également montrer que face à une personne en détresse, en souffrance, il y avait plusieurs types de réactions possibles et que toutes n'étaient pas appropriées.
Et tu te trompes, encore, quand tu dis que je fais 10 pas en arrière. Bien au contraire, ce fil m'a fait aussi du bien et m'a permis de passer un ou deux blocages. Je suis contente par exemple d'avoir pu maîtriser mes émotions et éviter de partir en quenouille.
Bref.
Continuez donc à pourrir ce fil (que j'aurai peut-être dû mettre en section doux et courtois finalement mais je trouvais qu'il collait pourtant à la thématique "relation à soi", voire "relation aux autres") si le cœur vous en dit. Moi, j'ai besoin de digérer. Et je vais chez ma mère de ce soir à lundi soir, et mardi soir j'ai une réunion (de tête, si besoin My, je te donnerai mon programme de la semaine entière plus tard).
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je n'ai pas voulu dire que ça Zarbitude,
Dans une société moins individualiste, plus solidaire, le terme victimisation n'existerait même pas.
On veut absolument être fort, autonome, la honte engendrée par un "aveux de faiblesse" est tellement forte que l'on préfère crever la bouche ouverte plutôt que demander de l'aide, cette honte est le miroir du mépris et de la peur que suscite la dépendance, la maladie, l’échec, etc.
On peut souffrir, mais il faut être fort, partout, tout le temps, sinon on est un boulet gênant incapable de dignité...
Elle est où la dignité de celui qui préfère détourner le regard ?
Combien de fois j'ai entendu des personne dire avec fierté "moi, même avec 40 de fièvre, je vais quand même bosser, jamais été en maladie de ma vie.." ... ça veut dire quoi cette fierté à la con ?
Et après on s'étonne (pas longtps, on oublie vite) que des personne puissent se retrouver à la rue ou morte seule chez elle...
Dans une société moins individualiste, plus solidaire, le terme victimisation n'existerait même pas.
On veut absolument être fort, autonome, la honte engendrée par un "aveux de faiblesse" est tellement forte que l'on préfère crever la bouche ouverte plutôt que demander de l'aide, cette honte est le miroir du mépris et de la peur que suscite la dépendance, la maladie, l’échec, etc.
On peut souffrir, mais il faut être fort, partout, tout le temps, sinon on est un boulet gênant incapable de dignité...
Elle est où la dignité de celui qui préfère détourner le regard ?
Combien de fois j'ai entendu des personne dire avec fierté "moi, même avec 40 de fièvre, je vais quand même bosser, jamais été en maladie de ma vie.." ... ça veut dire quoi cette fierté à la con ?
Et après on s'étonne (pas longtps, on oublie vite) que des personne puissent se retrouver à la rue ou morte seule chez elle...
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Saxi , je trouve qu'on ne pourrit pas ce fil , au contraire il vit sa vie. Il y a même moins de trollage qu'ailleurs.
Je ne pense pas du tout que ce fil aurait dû être dans la section des discussions courtoises. J'explique à Thalès que cette section existe justement parce que la peur existe, à un moment donner je t'assure que c'est compliqué de peser chaque mot pour ne pas te heurter ou heurter les uns et les autre même.
Ce sujet me fait aussi avancer MYI, que tu ne comprennes pas pourquoi ça me touche autant c'est normal et je ne vais pas détailler davantage, je l'ai fait déjà beaucoup.
Je ne comprends pas MY I pourquoi toi tu interpelles les gens sur ce qu'ils disent ou pas ...c'est selon chacun... évoquer une fuite pour moi par exemple c'est aussi un message violent. Il s'agit d'un fil général sur un forum qui n'est pas un bunker. Ce qui compte c'est que toi tu dises ce que tu as envie , les autres sont libres de leurs propos.
Tu nommes Wich ou Hirondelle ... mais tu connais l'histoire de la poutre et de la paille. en d'autre terme je ne suis pas certaine que tu puisses évaluer justement ce qui blesse ou pas parce que toi même tu rentres dedans sans arrêt ou tu mets les pieds dans le plat...ce que tu sais déjà.
Ensuite une personne qui initie un sujet n'est pas propriétaire de ce sujet et donc n'est pas tenue de répondre à chacun, cette chose, tu ne la comprends pas d'une façon générale.
Personnellement si je n'ouvre pas de sujet c'est parce que je ne saurai pas avoir ce détachement justement je me connais.
Ton message est grave égocentré MY I ..j 'étais prête à ..je suis frustrée de ... c'est collectif ici !
Je ne pense pas du tout que ce fil aurait dû être dans la section des discussions courtoises. J'explique à Thalès que cette section existe justement parce que la peur existe, à un moment donner je t'assure que c'est compliqué de peser chaque mot pour ne pas te heurter ou heurter les uns et les autre même.
Ce sujet me fait aussi avancer MYI, que tu ne comprennes pas pourquoi ça me touche autant c'est normal et je ne vais pas détailler davantage, je l'ai fait déjà beaucoup.
Je ne comprends pas MY I pourquoi toi tu interpelles les gens sur ce qu'ils disent ou pas ...c'est selon chacun... évoquer une fuite pour moi par exemple c'est aussi un message violent. Il s'agit d'un fil général sur un forum qui n'est pas un bunker. Ce qui compte c'est que toi tu dises ce que tu as envie , les autres sont libres de leurs propos.
Tu nommes Wich ou Hirondelle ... mais tu connais l'histoire de la poutre et de la paille. en d'autre terme je ne suis pas certaine que tu puisses évaluer justement ce qui blesse ou pas parce que toi même tu rentres dedans sans arrêt ou tu mets les pieds dans le plat...ce que tu sais déjà.
Ensuite une personne qui initie un sujet n'est pas propriétaire de ce sujet et donc n'est pas tenue de répondre à chacun, cette chose, tu ne la comprends pas d'une façon générale.
Personnellement si je n'ouvre pas de sujet c'est parce que je ne saurai pas avoir ce détachement justement je me connais.
Ton message est grave égocentré MY I ..j 'étais prête à ..je suis frustrée de ... c'est collectif ici !
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Il me semble que la question de savoir si une intervention n'a pas sa place dans un sujet de discussion sur ce forum est soumis à une autorité : la charte. Et qu'en cas de manquement, le post doit être signalé aux modérateurs dont c'est le rôle et qui agira et modèrera en égard à son interprétation au regard du respect de cette charte.
J'ai parlé de justice sur un autre fil, le sujet est ici le même. Quelle légitimité avons nous de juger que les propos d'autrui valent mieux ou moins que d'autres, sont respectables ou pas, sont agressifs ou pas ?
En réalité, nous n'en avons aucune et c'est ce qu'oublient et dénoncent en boucle... toujours les mêmes et toujours envers les mêmes personnes une fois que la cible est identifiée, le bouc émissaire désigné. Sa sensibilité à elle, ces personnes s'en contrefichent. il n'y à qu'à lire la réaction de l'auteur de ce fil à certaines interventions pour y déduire que ce sont toujours les mêmes qui provoquent son hostilité ou sa sympathie ce qu'elle exprime elle même en disant que la forme (comprendre qui écrit) prévaut sur le fond (ce qu'il dit)...).
Le fond et la forme d'un message sont sanctionnables d'une modération par la modération mais pour faire condamner ou salir quelqu'un, pour ça, il faut se moquer de la charte, il faut se montrer bien plus malin, bien plus sournois, le médire par derrière et jamais en face, laisser planer sur elle que c'est une mauvaise personne "brut", "méprisante", "désobligeante", qu'elle l'a déjà fait (sic), qu'on a déjà reçu des plaintes de ses victimes (sic) par MP puisque tout cela sera invérifiable et que l'objectif n'est au fond que la décrédibiliser, la rendre illégitime à écrire ici afin que sa réputation l'emporte loin d'ici et à jamais...
Tout ça pour du vent...
J'ai parlé de justice sur un autre fil, le sujet est ici le même. Quelle légitimité avons nous de juger que les propos d'autrui valent mieux ou moins que d'autres, sont respectables ou pas, sont agressifs ou pas ?
En réalité, nous n'en avons aucune et c'est ce qu'oublient et dénoncent en boucle... toujours les mêmes et toujours envers les mêmes personnes une fois que la cible est identifiée, le bouc émissaire désigné. Sa sensibilité à elle, ces personnes s'en contrefichent. il n'y à qu'à lire la réaction de l'auteur de ce fil à certaines interventions pour y déduire que ce sont toujours les mêmes qui provoquent son hostilité ou sa sympathie ce qu'elle exprime elle même en disant que la forme (comprendre qui écrit) prévaut sur le fond (ce qu'il dit)...).
Le fond et la forme d'un message sont sanctionnables d'une modération par la modération mais pour faire condamner ou salir quelqu'un, pour ça, il faut se moquer de la charte, il faut se montrer bien plus malin, bien plus sournois, le médire par derrière et jamais en face, laisser planer sur elle que c'est une mauvaise personne "brut", "méprisante", "désobligeante", qu'elle l'a déjà fait (sic), qu'on a déjà reçu des plaintes de ses victimes (sic) par MP puisque tout cela sera invérifiable et que l'objectif n'est au fond que la décrédibiliser, la rendre illégitime à écrire ici afin que sa réputation l'emporte loin d'ici et à jamais...
Tout ça pour du vent...
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Je fais partie de ces personnes qu'on dit forte. Et effectivement cette force m'est pesante parfois et j'ai beaucoup de mal aussi à accepter d'être "faible"... Pour ça que j'ai tant de mal à me mettre en arrêt maladie, parce qu'une partie de moi pense que c'est un aveu de faiblesse… C'est un blocage qui m'a été difficile de passer et ce fil m'a aidé pour ça par exemple. Déconstruire cette idée que je ne dois jamais m'arrêter, que je peux continuer à tirer sur la corde, déconstruire mon ego qui me dire que je suis capable de plus que les autres…On veut absolument être fort, autonome, la honte engendrée par un "aveux de faiblesse" est tellement forte que l'on préfère crever la bouche ouverte plutôt que demander de l'aide, cette honte est le miroir du mépris et de la peur que suscite la dépendance, la maladie, l’échec, etc.
On peut souffrir, mais il faut être fort, partout, tout le temps, sinon on est un boulet gênant incapable de dignité...
Elle est où la dignité de celui qui préfère détourner le regard ?
Combien de fois j'ai entendu des personne dire avec fierté "moi, même avec 40 de fièvre, je vais quand même bosser, jamais été en maladie de ma vie.." ... ça veut dire quoi cette fierté à la con ?
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Heu… Hirondelle, tu délires. Mais tu ne veux pas entendre, soit. Je crois qu'à partir de maintenant, le mieux est de s'ignorer, nos modes de communication ne cohabitent absolument pas.
Et j'ai 10 077 messages et n'ai pas non plus été sanctionnée ou modérée. Ouah ! Et je n'ai aucune intention de te dénoncer, nawak, tu joues les victimes là non ?
Et j'ai 10 077 messages et n'ai pas non plus été sanctionnée ou modérée. Ouah ! Et je n'ai aucune intention de te dénoncer, nawak, tu joues les victimes là non ?
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
@ Hirondelle .La charte se contourne comme tu l'as dit. Il est aussi possible de se modérer soi même ... il suffit de pas grand chose. On peut dire les choses sans non plus partir sans arrêt dans l'ironie. Peut-être que tu n'as pas été signalé justement parce qu'il y a de la tolérance AUSSI.
Edit : pour ma part quand justement j'estime que ça doit être signalé je le signale sans complexe.
Sous prétexte de la charte on peut dire énormément de chose sans avoir droit au ban.
re edit : est ce si difficile à comprendre qu'on n'aborde pas un sujet qui parle de viol comme un sujet sur la politique ? vraiment ?
un propos comme "je me cogne l'orteil à la table je ne m'en prends pas à la table" , il faut le lire et prendre beaucoup de recul je t'assure.
Edit : pour ma part quand justement j'estime que ça doit être signalé je le signale sans complexe.
Sous prétexte de la charte on peut dire énormément de chose sans avoir droit au ban.
re edit : est ce si difficile à comprendre qu'on n'aborde pas un sujet qui parle de viol comme un sujet sur la politique ? vraiment ?
un propos comme "je me cogne l'orteil à la table je ne m'en prends pas à la table" , il faut le lire et prendre beaucoup de recul je t'assure.
Invité- Invité
Re: Vouloir que sa souffrance soit reconnue = victimisation ?
Saxifrage* a écrit:Heu… Hirondelle, tu délires. Mais tu ne veux pas entendre, soit. Je crois qu'à partir de maintenant, le mieux est de s'ignorer, nos modes de communication ne cohabitent absolument pas.
Et j'ai 10 077 messages et n'ai pas non plus été sanctionnée ou modérée. Ouah ! Et je n'ai aucune intention de te dénoncer, nawak, tu joues les victimes là non ?
C'est faux et tu le sais mais votre vieux bouc émissaire (qui était un ami) ne viendra plus témoigner.
J'ai toujours assumé mes propos, toujours refusé de me soumettre à toutes les injonctions à dire ceci mais pas ça, et comme ceci mais pas comme ça, la police de votre pensée, de vos émotions, de vos jugements, je ne m'y soumets pas, faut vous y faire. je respecte la loi républicaine et ici, c'est la charte.
C'est bon, j'ai plus 5 ans et je ne babille plus depuis longtemps quand je m'exprime et ma soumission ne se négocie pas à coup de chantage, serait-il affectif.
Avant de juger que la bienveillance que je vous devrais sous prétexte qu'on se connait et s'apprécie(ait), ça fait des plombes que j'attends en vain que vous en ayez pour moi.. en lieu et place, on m'a traitée en publique de conne, de hyène et hier demandé carrément de fermer ma gueule tant j'écrivais de conneries mais jamais en face et toujours avec autant de sournoiserie que de déni et après ça, chuna ose se la jouer martyr innocente, non mais de qui se moque-t-on ??
Oserais tu dire que tu t'adresses à moi depuis des semaines avec l'empathie et la bienveillance que tu me reproches ne pas avoir envers toi ?
Invité- Invité
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