Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Parce que si ça se trouve dans quelques années elle me remercieras de mes coups de pied au cul pour l'ouvrir à l'amour !
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
A merde... je ne voyais pas les choses comme çacoups de pied au cul pour l'ouvrir à l'amour ! Dent pétée
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
*Sham a écrit: si ça se trouve dans quelques années elle me remercieras de mes coups de pied au cul pour l'ouvrir à l'amour !
Au minimum, ça la guérira de son addiction à la vaseline
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Mais on s’en fout que tu souffres, que tu aies eu une vie de merde et une enfance désastreuse.
Et même, c’est un bon plan pour nous.
Lorsque je déprime un peu, je vais faire un tour aux soins palliatifs. Le spectacle de la misère humaine extrême me réconforte : ”Moi, ça va !”. Et lorsque j’entends un patient geindre sur son lit je ne manque jamais un laconique : ”Je ne sens rien. T’es vraiment con de ne pas guérir, c’est si agréable d’être en bonne santé ”.
Et même, c’est un bon plan pour nous.
Lorsque je déprime un peu, je vais faire un tour aux soins palliatifs. Le spectacle de la misère humaine extrême me réconforte : ”Moi, ça va !”. Et lorsque j’entends un patient geindre sur son lit je ne manque jamais un laconique : ”Je ne sens rien. T’es vraiment con de ne pas guérir, c’est si agréable d’être en bonne santé ”.
Confiteor- Messages : 9159
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Pourquoi crois tu que je continue d'aller voir ma mère ?
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Confiteor et Sham
Dernière édition par p2m le Jeu 12 Nov 2020 - 14:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
david50 a écrit:Pureté a écrit:david50 a écrit:"Addictions, c'est bien ou c'est pas bien?"
Bon ou mauvais plutôt, il faut arrêter de mettre de la morale partout.
Et puis aussi peut-être distinguer entre les addictions qui n'affectent que notre personne et celles qui ont de fortes conséquences sociales et familiales.
C'est pas seulement une question de morale, il y a aussi des critères objectifs.
Quand on parle d'addiction à l'alcool oi tabac, dans la majorité des cas on rencontre souvent des problèmes en tout genre : problèmes de santé, problème financiers, violence envers les proches, perte de travail...
Relis moi, j'écris que ce n'est justement absolument pas une question de morale et conteste la formulation du sujet.
Tu ne peux pas mettre sur le même plan une addiction au tabac et à l'alcool, j'ai connu les deux, moi au tabac ma mère à l'alcool, et même si les processus au niveau du cerveau sont les mêmes les conséquences de l'alcoolisme sont incomparablement plus sévères.
J'ai bien compris ce que tu voulais dire, même si la notion de bon/mauvais est très subtile par rapport à bien/mal. Désolé si ma formulation est maladroite.
Hors état d'ébriété (notamment en conduisant un véhicule) les effets sont assez comparables pour la personne accro : elle bousille son organisme, et cela également un impact négatif sur l'entourage pour celle qui en a un.
Pureté- Messages : 906
Date d'inscription : 25/09/2016
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Quand, enfant, on doit subir les addictions de ses parents, on est forcément une victime.
En tant qu'adulte, plus tard, il faut accepter ce passé pour en faire le deuil et se construire une vie.
L'hyperactivité est aussi une fuite.
Les comportements auto-destructeurs sont évidemment causés par des parents toxiques.
Les connaissances sur les bactéries intestinales aujourd'hui sont bien plus fines qu'il y a 30 ans.
Eviter les sucres, augmenter le taux de fibres, c'est un premier pas. Il y a une telle diversité qd'aliments que ça n'a pas besoin d'être chiant dans un premier temps.
Evidemment, dans un deuxième temps, ce sera chiant. (c'est de l'humour, je précise oour celles ou cceux qui n'auraient pas compris.)
En tant qu'adulte, plus tard, il faut accepter ce passé pour en faire le deuil et se construire une vie.
L'hyperactivité est aussi une fuite.
Les comportements auto-destructeurs sont évidemment causés par des parents toxiques.
Les connaissances sur les bactéries intestinales aujourd'hui sont bien plus fines qu'il y a 30 ans.
Eviter les sucres, augmenter le taux de fibres, c'est un premier pas. Il y a une telle diversité qd'aliments que ça n'a pas besoin d'être chiant dans un premier temps.
Evidemment, dans un deuxième temps, ce sera chiant. (c'est de l'humour, je précise oour celles ou cceux qui n'auraient pas compris.)
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Pureté a écrit:
J'ai bien compris ce que tu voulais dire, même si la notion de bon/mauvais est très subtile par rapport à bien/mal. Désolé si ma formulation est maladroite.
Ok. J'aurais dû écrire sain/malsain, pour plus de clarté.
Pureté a écrit:
Hors état d'ébriété (notamment en conduisant un véhicule) les effets sont assez comparables pour la personne accro : elle bousille son organisme, et cela également un impact négatif sur l'entourage pour celle qui en a un.
Vivre avec un fumeur et vivre avec un alcoolique c'est tout de même pas tout à fait la même chose.
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
siamois93 a écrit:
Eviter les sucres, augmenter le taux de fibres, c'est un premier pas. Il y a une telle diversité qd'aliments que ça n'a pas besoin d'être chiant dans un premier temps.
Augmenter les fibres cela peut-être très chiant!
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:31, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:30, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Quelle différence entre une passion et une addiction ? Je ne suis pas sûr qu'il y en ait, c'est seulement qu'addiction est plus récent. Les deux peuvent amener un isolement et une désocialisation.
Donc, de la modération en tout ? On dirait Montaigne.
Donc, de la modération en tout ? On dirait Montaigne.
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
siamois93 a écrit:Quand, enfant, on doit subir les addictions de ses parents, on est forcément une victime.
En tant qu'adulte, plus tard, il faut accepter ce passé pour en faire le deuil et se construire une vie.
L'hyperactivité est aussi une fuite.
Les comportements auto-destructeurs sont évidemment causés par des parents toxiques.
Les connaissances sur les bactéries intestinales aujourd'hui sont bien plus fines qu'il y a 30 ans.
Eviter les sucres, augmenter le taux de fibres, c'est un premier pas. Il y a une telle diversité qd'aliments que ça n'a pas besoin d'être chiant dans un premier temps.
Evidemment, dans un deuxième temps, ce sera chiant. (c'est de l'humour, je précise oour celles ou cceux qui n'auraient pas compris.)
Oui voilà, victime quand on est enfant. Ensuite on devient responsable de ce qu’on fait des traumatismes reçus.
Soit on pleurniche soit on utilise sa rage pour en faire qqchose de pas malsain.
Je reconnais que l’hyperactivité est également une fuite. Elle a ce côté apaisant de pouvoir mettre sa propre vie affective sur off. Choisir le moins pire, toujours. On a toujours le choix. Oh que oui!
Puis c’est vrai, mon addiction me tuera peut-être aussi, mais au moins, je n’aurai pas fait de mal à autrui de mon vivant, ni alimenter des industries de produits de consommation néfastes. On peut parler de l’addiction à la bouffe aussi (rarement l’addiction est envers les légumes de son jardin by the way). Vomir après s’être goinfré et recommencer. Le frein psychologique au gaspillage que ça représente, ce n’est pas mal d’y penser lors d’une crise.
Enfin... il paraît qu’il faut se contenter de répondre « vive l’amour et le fun » poutou at all.
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
cette version bisounours de l'amour que vous prônez est juste gerbante
j'imagine que meme vous, vous touchez au moins inconsciemment à quel point elle est fausse
l'amour c'est aussi etre capable de dire à l'etre aimé qu'il déconne et de l'aider à trouver des solutions
du coup, je trouve bien + de compassion dans les propos de MYIllusion que dans ceux de qui cautionne l'apitoiement de l'addict qui se complait dans sa souffrance et sa fuite à la souffrance
demandez à n'importe quel addict qui s'en est sorti : il a eu besoin d'etre bousculé, de se bousculer lui même, de se dépasser pour changer son comportement
d'arreter également d'écouter les personnes (toxiques) qui trouvent bénéfice à ce que l'autre n'évolue pas et ne se libère pas de ses chaines
cela demande bcp de courage et d'efforts
cela demande d'aller mettre les mains dans la merde pour déboucher les canaux encombrés
cela demande d'aller toucher des zones de fragilité intense, de revivre le pire de sa vie
pour enfin pouvoir s'en libérer
je suis intriguée que les consensus ramenent à la destruction et l'esclavage humain
pourquoi méritez vous de vous affliger cela ?
j'imagine que meme vous, vous touchez au moins inconsciemment à quel point elle est fausse
l'amour c'est aussi etre capable de dire à l'etre aimé qu'il déconne et de l'aider à trouver des solutions
du coup, je trouve bien + de compassion dans les propos de MYIllusion que dans ceux de qui cautionne l'apitoiement de l'addict qui se complait dans sa souffrance et sa fuite à la souffrance
demandez à n'importe quel addict qui s'en est sorti : il a eu besoin d'etre bousculé, de se bousculer lui même, de se dépasser pour changer son comportement
d'arreter également d'écouter les personnes (toxiques) qui trouvent bénéfice à ce que l'autre n'évolue pas et ne se libère pas de ses chaines
cela demande bcp de courage et d'efforts
cela demande d'aller mettre les mains dans la merde pour déboucher les canaux encombrés
cela demande d'aller toucher des zones de fragilité intense, de revivre le pire de sa vie
pour enfin pouvoir s'en libérer
je suis intriguée que les consensus ramenent à la destruction et l'esclavage humain
pourquoi méritez vous de vous affliger cela ?
isNaN- Messages : 505
Date d'inscription : 30/07/2020
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
isNaN a écrit:
demandez à n'importe quel addict qui s'en est sorti : il a eu besoin d'etre bousculé, de se bousculer lui même, de se dépasser pour changer son comportement
C'est exact, il y a 25 ans j'ai laissé ma mère coulée jusqu'à devenir SDF quand j'ai compris qu'en l’état je ne pouvais rien pour elle. Je lui ai tendu la main seulement quand elle amorçait sa remontée, après avoir touché le fond.
david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Je ne préciserai pas les addictions, juste.. Je n'ai pas eu besoin d'être bousculée, j'ai eu besoin d'être épaulée.. c'est cela et uniquement cela qui m'a permis (je parle en mon nom, nous sommes tous différents) de travailler sur moi, de virer les personnes toxiques etc. Oui cela demande des efforts (et DES courageS), beaucoup, et de mettre comme tu le dis bien, les mains dans la merde.
Les quelques personnes qui ont cherché 1) à m'enfoncer 2) à me bousculer, je les ai virées à grande vitesse (et sans agressivité), ce n'est pas mon fonctionnement. Les personnes, les seules, qui m'ont apporté quelque chose, sont celles qui m'ont écoutées sans jugement et m'ont ainsi permis de poser les choses, les faits, le passé, les pensées.
Comme nous fonctionnons tous différemment, certaines personnes ont au contraire besoin d'être bousculées pour pouvoir avancer.
D'autres qu'on leur fiche la paix et qu'on ne les approche pas.
D'autres encore de faire une retraite en montagne durant 6 mois.
L'important là-dedans, il me semble, est de savoir qui on a en face de soi, de quoi la personne a besoin, de quoi elle est faite, ce qui va pouvoir l'aider. Pas d'imposer ce qu'on croit être bon pour l'autre. Vous ne pensez pas ?
Les quelques personnes qui ont cherché 1) à m'enfoncer 2) à me bousculer, je les ai virées à grande vitesse (et sans agressivité), ce n'est pas mon fonctionnement. Les personnes, les seules, qui m'ont apporté quelque chose, sont celles qui m'ont écoutées sans jugement et m'ont ainsi permis de poser les choses, les faits, le passé, les pensées.
Comme nous fonctionnons tous différemment, certaines personnes ont au contraire besoin d'être bousculées pour pouvoir avancer.
D'autres qu'on leur fiche la paix et qu'on ne les approche pas.
D'autres encore de faire une retraite en montagne durant 6 mois.
L'important là-dedans, il me semble, est de savoir qui on a en face de soi, de quoi la personne a besoin, de quoi elle est faite, ce qui va pouvoir l'aider. Pas d'imposer ce qu'on croit être bon pour l'autre. Vous ne pensez pas ?
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Lou Djinn a écrit:Je ne préciserai pas les addictions, juste.. Je n'ai pas eu besoin d'être bousculée, j'ai eu besoin d'être épaulée.. c'est cela et uniquement cela qui m'a permis (je parle en mon nom, nous sommes tous différents) de travailler sur moi, de virer les personnes toxiques etc. Oui cela demande des efforts (et DES courageS), beaucoup, et de mettre comme tu le dis bien, les mains dans la merde.
Les quelques personnes qui ont cherché 1) à m'enfoncer 2) à me bousculer, je les ai virées à grande vitesse (et sans agressivité), ce n'est pas mon fonctionnement. Les personnes, les seules, qui m'ont apporté quelque chose, sont celles qui m'ont écoutées sans jugement et m'ont ainsi permis de poser les choses, les faits, le passé, les pensées.
Comme nous fonctionnons tous différemment, certaines personnes ont au contraire besoin d'être bousculées pour pouvoir avancer.
D'autres qu'on leur fiche la paix et qu'on ne les approche pas.
D'autres encore de faire une retraite en montagne durant 6 mois.
L'important là-dedans, il me semble, est de savoir qui on a en face de soi, de quoi la personne a besoin, de quoi elle est faite, ce qui va pouvoir l'aider. Pas d'imposer ce qu'on croit être bon pour l'autre. Vous ne pensez pas ?
entierement d'accord sur l'unicité de chacun et ses besoins
mais j'ai le sentiment que tu avais déjà eu ton "déclencheur" pour te sauver, et c'est une chance que tu es pu etre bien entourée
ceci dit, il me semble que le gros du travail de "bousculade", tu te l'ai appliqué à toi même ;-)
meme si les parcours de chacun sont différents, souvent il y a rupture avec le choix d'exister (engagement, implication... au delà de simplement vivre) et incapacité à trouver une raison de guerison parce qu'autour il n'y a pas/plus de personne positive, alors heureusement qu'on peut aussi s'en sortir sans cet accompagnement bienveillant
face à des personnes en très grande souffrance et partance (qui ne sont meme plus réceptives, voire en déni/refus d'amour), il n'est pas inintéressant de tenter différentes approches pour qu'une ait une chance de toucher
juste savoir que cela peut etre long et qu'une action un jour peut obtenir une réaction plusieurs années après
isNaN- Messages : 505
Date d'inscription : 30/07/2020
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
C'est certain, Lou Djinn.
Une personne abordait aussi le sujet de la consolation face au deuil. Qu'est-ce qui va nous consoler ? Elle avait vu mourir ses deux filles jeunes d'une maladie génétique.
Cette étape de consolation n'est pas souvent mentionnée.
Une personne abordait aussi le sujet de la consolation face au deuil. Qu'est-ce qui va nous consoler ? Elle avait vu mourir ses deux filles jeunes d'une maladie génétique.
Cette étape de consolation n'est pas souvent mentionnée.
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
isNaN a écrit:
mais j'ai le sentiment que tu avais déjà eu ton "déclencheur" pour te sauver, et c'est une chance que tu es pu etre bien entourée
ceci dit, il me semble que le gros du travail de "bousculade", tu te l'ai appliqué à toi même ;-)
Mon premier déclencheur fut le livre de Boris Cyrulnik "Un merveilleux malheur", j'ai ainsi découvert le concept de résilience (et le "on peut s'en sortir" a fait son chemin). A partir de là j'ai travaillé sur moi. Depuis j'ai en moi un "ça prendra le temps que ça prendra, mais pas trop quand même" qui me bouscule un peu tout le temps. Je fonctionne comme ça, avec ce besoin d'avoir en face un miroir + ou - silencieux et surtout bienveillant me permettant d'organiser mes pensées.
Tu as donc raison sur le fait que j'avais eu mon déclencheur, avant les personnes adéquates ^^
J'ai un jour été le déclencheur de quelqu'un, suite à une énorme exaspération de ma part (visiblement, elle en avait besoin.. mais je n'étais tout de même pas très fière d'avoir perdu mon sang-froid).
Et je te rejoins entièrement sur la possibilité de tenter différentes approches, tout en gardant en tête qu'on peut avoir tort, ou que le moment peut ne pas être le bon. C'est délicat.
siamois93 a écrit:Une personne abordait aussi le sujet de la consolation face au deuil. Qu'est-ce qui va nous consoler ? Elle avait vu mourir ses deux filles jeunes d'une maladie génétique.
Cette étape de consolation n'est pas souvent mentionnée.
Bien peu de choses..
La présence d'un entourage aidera. Il me semble que le pire dans cette situation (en dehors de la perte elle-même) c'est la solitude dans laquelle on se trouve, le vide qu'un tel deuil fait autour de soi (je sais de quoi je parle malheureusement, ce vide soudain que la mort creuse). Il y a le vide en soi, et il est déjà suffisamment rude à vivre.
(ceci dit nous nous éloignons du premier sujet, pardon pour la digression)
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Hahaha ! oui mais j'ai choisi d'être foncièrement vil et non pas juste en apparence.My_illusion a écrit:Confiteor a écrit:Mais on s’en fout que tu souffres, que tu aies eu une vie de merde et une enfance désastreuse.
Et même, c’est un bon plan pour nous.
Lorsque je déprime un peu, je vais faire un tour aux soins palliatifs. Le spectacle de la misère humaine extrême me réconforte : ”Moi, ça va !”. Et lorsque j’entends un patient geindre sur son lit je ne manque jamais un laconique : ”Je ne sens rien. T’es vraiment con de ne pas guérir, c’est si agréable d’être en bonne santé ”.
Voilà la démonstration parfaite d’une mentalité que j’abhorre.
Commencer par être une bonne personne, foncièrement, et non pas juste en apparence est le pré requis.
Que sont bons les gens qui se croient bons et que sont utiles à mon loisir ceux qui n'ont pas le sens de l'humour ...
Confiteor- Messages : 9159
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Je n'aurais pas choisi le mot "apaisement" me concernant, son livre a été la pierre, la base stable où poser les pieds (tu vois l'idée ?). En cela je lui "dois" beaucoup. J'ai du coup beaucoup de sympathies pour cet homme (et j'en ai rarement pour les psys).
Les autres livres apportent chacun de la réflexion, mais je comprends que tu aies pu y trouver surtout de la redite.
Je ne parlerai pas chiffre, ce n'est absolument pas quelque chose que je maîtrise ou connaisse ^^
Après j'ai envie de dire qu'une personne dans le déni de l'alcoolisme répondra qu'elle boit parce qu'elle aime ça. C'est biaisé d'avance.
Et on peut être noyé dans une addiction sans côtoyer la dépression, aussi.
En fait dans le "il y a boire et boire", l'addiction pour moi est (potentiellement) présente dans les deux cas, quelle que soit la dose. Une personne peut boire un petit verre de vin tous les midi et tous les soirs et être dans l'alcoolisme à partir du moment où elle ne pourra plus se passer sereinement de ce verre. C'est ce que j'essayais de dire (mais peut-être que toi aussi, je ne saisis pas toujours bien, dans les conversations à l'écrit).
Un autre point me semble important, je ne crois pas qu'il ai été abordé : vouloir faire sortir une personne de son addiction peut être dangereux. Si l'on part du principe que l'addicté a demandé de l'aide lui-même (et qu'on n'est pas venu soi-même avec les meilleures intentions du monde et l'enfer pavé juste en-dessous), mieux vaut le diriger vers un spécialiste et être très présent pour l'épauler. Une addiction n'est pas développée par hasard, c'est comme un symptôme. Touchez-y, et vous risquez de voir se déplacer le symptôme ailleurs (une autre addiction ou un problème de santé, qui peut être plus grave). Rien jamais, n'est là par hasard.
Pour moi le déclic ne peut venir que de la personne (que vos mots y soient pour quelque chose c'est bien, mais vous n'êtes pas le déclic, la personne le fait seule). Il y a alors de quoi être fier de/heureux pour la personne, pas de ce qu'on a pu dire. C'est ma vision des choses (et il n'y a nul jugement bien sûr, je livre simplement mes ressentis, dès fois que ça aiderait un peu).
Sur ce, je crois avoir dit l'essentiel de ce que le sujet m'inspirait (même si je ne suis pas certaine d'avoir compris le sujet principal du post, pardon).
Du courage (avec des fleurs) et des pensées douces pour ceux qui en ont besoin
Les autres livres apportent chacun de la réflexion, mais je comprends que tu aies pu y trouver surtout de la redite.
Je ne parlerai pas chiffre, ce n'est absolument pas quelque chose que je maîtrise ou connaisse ^^
Après j'ai envie de dire qu'une personne dans le déni de l'alcoolisme répondra qu'elle boit parce qu'elle aime ça. C'est biaisé d'avance.
Et on peut être noyé dans une addiction sans côtoyer la dépression, aussi.
En fait dans le "il y a boire et boire", l'addiction pour moi est (potentiellement) présente dans les deux cas, quelle que soit la dose. Une personne peut boire un petit verre de vin tous les midi et tous les soirs et être dans l'alcoolisme à partir du moment où elle ne pourra plus se passer sereinement de ce verre. C'est ce que j'essayais de dire (mais peut-être que toi aussi, je ne saisis pas toujours bien, dans les conversations à l'écrit).
Un autre point me semble important, je ne crois pas qu'il ai été abordé : vouloir faire sortir une personne de son addiction peut être dangereux. Si l'on part du principe que l'addicté a demandé de l'aide lui-même (et qu'on n'est pas venu soi-même avec les meilleures intentions du monde et l'enfer pavé juste en-dessous), mieux vaut le diriger vers un spécialiste et être très présent pour l'épauler. Une addiction n'est pas développée par hasard, c'est comme un symptôme. Touchez-y, et vous risquez de voir se déplacer le symptôme ailleurs (une autre addiction ou un problème de santé, qui peut être plus grave). Rien jamais, n'est là par hasard.
Pour moi le déclic ne peut venir que de la personne (que vos mots y soient pour quelque chose c'est bien, mais vous n'êtes pas le déclic, la personne le fait seule). Il y a alors de quoi être fier de/heureux pour la personne, pas de ce qu'on a pu dire. C'est ma vision des choses (et il n'y a nul jugement bien sûr, je livre simplement mes ressentis, dès fois que ça aiderait un peu).
Sur ce, je crois avoir dit l'essentiel de ce que le sujet m'inspirait (même si je ne suis pas certaine d'avoir compris le sujet principal du post, pardon).
Du courage (avec des fleurs) et des pensées douces pour ceux qui en ont besoin
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
j'aurais apprécié que les addicts en cours nous transmettent leur expérience, point de vue de ce que cela leur apportait, si cela avait des limites et contreparties, l'évolution, etc. au lieu de juste taper par le nombre sur qui a un avis divergent
;-)
;-)
isNaN- Messages : 505
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Je n'ai hélas pas beaucoup de références bibliographiques à proposer, je lis peu et je comprends mal ce que je lis.Troisième ingrédient : la volonté.
Néanmoins, je me base sur mon expérience pour fonder des théories. C'est une base méthodologique solide. Je la partage donc avec vous.
Le mois dernier j'étais chez ma voisine (j'avais un service à lui demander). Sa soeur, atteinte d'une forme très sévère de Parkinson était présente. Face à ses tremblement incessants, ses mouvements décoordonnés, ses difficultés d'élocution vraiment désagréables pour l'auditeur, je l'ai encouragée fermement à faire preuve de volonté. Dans un premier temps, sa réaction m'a semblé inappropriée face un conseil de bon sens aussi avisé. J'ai néanmoins persévéré en élevant un peu la voix.
Je viens de lui téléphoner : elle va vraiment mieux.
La seule chose qui fonctionne un tant soit peu, c’est la terreur.
Confiteor- Messages : 9159
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Confit', tu es mûr pour une reconversion dans l'humour noir
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:27, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Je crois pouvoir m’exprimer sans trop me tromper: la pire des addictions de Confiteor est la CNV. Malgré ses efforts manifestes et louables, on sent bien qu’il a du mal à s’en détacher. Il serait donc bon effectivement, même si ça lui coûte, pour lui et la communauté, qu’il nous livre son ressenti de l’intérieur...
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:26, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:26, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
OK, si tu paies ta tournée !My_illusion a écrit:Confit m’a l’air d’être un addict bien refoulé en tout cas. Autant banaliser et comparer ça à une réelle pathologie neurologique qu’est Parkinson. A noter que fumer un peu de cannabis tous les jours a des effets bénéfiques contre Parkinson.
Bon, et si tu nous partageais les détails de ta/tes addictions histoire de transmettre ton vécu de l’intérieur?
En vrai, où as-tu vu jouer que j'ai un pb d'addiction ? J'adore les diags sauvages.
J'aime l'amour, le sexe, l'aventure, la science, l'art, la nature, les beautés du monde, etc.
J'aime M. depuis 42 ans et il semblerait que ce soit encore pour longtemps.
J'aime les émotions intenses de toutes natures et aussi l'adrénaline.
J'aime le bon vin, le single malt, le gratin dauphinois et l'entrecôte, etc.
J'aime le thé pour son goût et la stimulation physique et mentale qu'il occasionne.
Je n'aime pas ma cigarette et d'ailleurs je l'abandonne le plus souvent possible pour une dose de nicotine instillée par une vapoteuse.
J'aime le cannabis, mais il ne m'aime pas et donc je n'en consomme plus.
Au total, j'aime vivre, même si parfois c'est lourd et que j'ai dû apprendre à faire avec.
Merci au médecin addictologue de m'aider à me soigner. L'euthanasie (à la cerise ...) me semblerait le remède le plus approprié.
Confiteor- Messages : 9159
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Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Attend, je m'allonge sur le divan avant de te répondre.p2m a écrit:Je crois pouvoir m’exprimer sans trop me tromper: la pire des addictions de Confiteor est la CNV. Malgré ses efforts manifestes et louables, on sent bien qu’il a du mal à s’en détacher. Il serait donc bon effectivement, même si ça lui coûte, pour lui et la communauté, qu’il nous livre son ressenti de l’intérieur...
Confiteor- Messages : 9159
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Prends ton temps, je déguste des cerises à l’eau de vie...
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
c'est cela la discussion et les échanges sur ce forum ?
insulter autrui ?
vous vous sentez grands/valeureux ?
insulter autrui ?
vous vous sentez grands/valeureux ?
isNaN- Messages : 505
Date d'inscription : 30/07/2020
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Où tu vois des insultes ? Ya que des compliments !
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
.
Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:25, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Si tout est sincère avec volonté d’en sortir, je ne mépriserai pas.
Tu es trop bonne
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Le masochisme, une addiction : j'aime avoir mal ! Vazy My, fais moi mal !
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Moi je a écrit:Bien et pas bien je dirais... Le pas bien est facile à dire et à deviner (ça s'appelle la bien-pensance ça, non ? ^^). Le côté bien que j'y vois, c'est que ça sert de "marquage", c'est un symptôme visible d'un mal caché/nié/fuis en général. C'est donc la croix au trésor sur la carte du pirate qui rêve secrètement de quitter les flots pour enfin profiter de la terre ferme...
On n'est jamais mieux servi que par soi-même. ^^ Mais Lou Djin a dit à peu près la même chose en plus développé (détrompes-moi Lou si besoin).Encore Moi je a écrit:La notion d'excès n'est pas systématique, c'est la notion de besoin qui est problématique dans une addiction.
Vouloir aider quelqu'un, c'est d'abord essayer de comprendre son problème et non pas extrapoler en fonction de sa petite vie bien rangée, c'est donc écouter avant même de penser donner son avis (et même donner son avis n'est pas forcément une obligation).
S'attaquer à la seule partir visible de l'iceberg à coup de pelle chauffée à blanc cachera juste un peu plus le vrai fond du problème (et ça Lou Djin l'a également dit).
Et IsNan et MyIllusion, faut sortir de cette vision extrémiste que vous avez, entre le blanc et le noir que vous percevez seulement, sachez qu'il existe nombre de nuances (à peu près 50 nuances de gris par exemple, selon une étude sociologique très sérieuse, à creuser...). Ne pas mépriser un drogué n'est pas lui tendre une seringue pour son héroïne ou une paille pour sa coke. Je ne cautionne pas l'usage de drogue, je dis quand il y a abus, mais je ne condamne pas.
Côtoyer des humains favorise le système humanitaire.
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Aucune addiction déclarée.
Opossum- Messages : 3887
Date d'inscription : 04/08/2019
Age : 47
Localisation : Belgique
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
... ZC ?... Fais un effort, merdum !
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Ha, ben tient, c'est vrai maintenant que tu le dis.
*Sham
*Sham
_________________
INTJ, ne m'en veuillez pas si au passage, je vous écrase 6 fois le coeur. J'ai du mal à situer et le referai sans doute encore.
Opossum- Messages : 3887
Date d'inscription : 04/08/2019
Age : 47
Localisation : Belgique
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Avec plaisir Opossum, si je peux aider... en plus tu me remercies dans les 10 minutes suis trop fière..! ^^
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
.
Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:25, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Le hasard fait que je viens de regarder ce très excellent film qui parle (entre autres) d'addiction au jeu. Je vous le conseille, c'est dense et profond.
Confiteor- Messages : 9159
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
Je pense soudain à un truc. Je le livre tout brut à votre sagacité et à vos commentaires :
Les pauvres ne souffriraient-ils pas d'une forme d'addiction à la pauvreté liée à un manque de volonté d'en sortir ?
Les pauvres ne souffriraient-ils pas d'une forme d'addiction à la pauvreté liée à un manque de volonté d'en sortir ?
Confiteor- Messages : 9159
Date d'inscription : 01/04/2017
Age : 65
Localisation : Drôme
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
merci pour le lien, je regarderais ça à tête reposée.
à la demande de certains, je viens de changer le titre du fil, j'espère que mon choix n'est pas trop malheureux, à ma décharge, le premier titre était une boutade même si sur une bonne idée de Charv, je l'avais ouvert uniquement pour éviter de polluer un autre fil (d'ailleurs là, au vu de certains commentaires, ça me donne envie d'en ouvrir d'autres, notamment un sur la normo pensance / la pensée hors normes/ la pensée en travers/ les biais cognitifs peut être un autre sur la communication, la lecture correcte et la compréhension, les phrases interronégatives etc.... c'est con j'ai pas pris de notes, ah, oui, un autre sur la victimirisation et le fait de se sentir toujours victime que ce soit réel ou imaginé)
Je remercie tout particulièrement tout ceux qui ont pu faire preuve d'humour ici ou ailleurs. J'ai envie de tendre la main (doucement) à ceux qui n'en ont pas.
Non, je ne collerais pas ici le fil sur la paranoïa. Je remercie quand même et malgré tout ceux qui ont pu en faire preuve, car leur témoignage dénote une certaine manière de voir le monde, et même si je pense que c'est plus un manque de réflexion ou de la provocation ou une pathologie que du courage.
Je remercie tout ceux ici qui ont déposé leur témoignage, car si cela ne remplace pas le discours ou la réflexion, ça les abonde grandement.
Vous me stimulez, et ça c'est bien.
Faudra que je raconte mon expérience à Caillac (cure)... ce que j'y ai vu, mes ressentis, mon analyse, et pourquoi je pense ce que je pense vis à vis de ceux moins "chanceux" que moi.
à la demande de certains, je viens de changer le titre du fil, j'espère que mon choix n'est pas trop malheureux, à ma décharge, le premier titre était une boutade même si sur une bonne idée de Charv, je l'avais ouvert uniquement pour éviter de polluer un autre fil (d'ailleurs là, au vu de certains commentaires, ça me donne envie d'en ouvrir d'autres, notamment un sur la normo pensance / la pensée hors normes/ la pensée en travers/ les biais cognitifs peut être un autre sur la communication, la lecture correcte et la compréhension, les phrases interronégatives etc.... c'est con j'ai pas pris de notes, ah, oui, un autre sur la victimirisation et le fait de se sentir toujours victime que ce soit réel ou imaginé)
Je remercie tout particulièrement tout ceux qui ont pu faire preuve d'humour ici ou ailleurs. J'ai envie de tendre la main (doucement) à ceux qui n'en ont pas.
Non, je ne collerais pas ici le fil sur la paranoïa. Je remercie quand même et malgré tout ceux qui ont pu en faire preuve, car leur témoignage dénote une certaine manière de voir le monde, et même si je pense que c'est plus un manque de réflexion ou de la provocation ou une pathologie que du courage.
Je remercie tout ceux ici qui ont déposé leur témoignage, car si cela ne remplace pas le discours ou la réflexion, ça les abonde grandement.
Vous me stimulez, et ça c'est bien.
Faudra que je raconte mon expérience à Caillac (cure)... ce que j'y ai vu, mes ressentis, mon analyse, et pourquoi je pense ce que je pense vis à vis de ceux moins "chanceux" que moi.
Confiteor a écrit:Je pense soudain à un truc. Je le livre tout brut à votre sagacité et à vos commentaires :
Les pauvres ne souffriraient-ils pas d'une forme d'addiction à la pauvreté liée à un manque de volonté d'en sortir ?
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Addictions, méthode dure VS méthode douce (ancien bien/pas bien)
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Dernière édition par My_illusion le Jeu 28 Juil 2022 - 23:24, édité 1 fois
Invité- Invité
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