Antidépresseurs/somnifères
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Antidépresseurs/somnifères
Bonjour à tous,
J'aimerais aborder le thème des médicaments, en particulier celui des antidépresseurs/anxiolytiques/somnifères.
Il y a un an et demi, j'avais pêté une durite comme on dit. Impossible de faire quoi que ce soit pendant quelques jours, impossible de sortir de chez moi ou manger. Après avoir pris mon courage à deux mains, je me suis rendu chez un psy car il était évident qu'il me fallait de l'aide. Après la première consultation, on m'a prescrit un antidépresseur et un somnifère. Je les ai pris, ça m'a provoqué des crises d'angoisses et les 5 premières semaines ont été un cauchemar, où je me suis retrouvé vraiment très proche de l'irréversible. Puis, ça a mieux été.
Après 10 consultations et 5 mois de médocs, ma psy me dit que ça ne sert à rien que je revienne la voir. Ma psychologie est "trop complexe pour que la thérapie fonctionne, mais je dois le prendre comme un don". Du coup je suis resté avec mes médocs. Après encore 2-3mois, j'avais enflé à cause des effets secondaires. Et un jour j'ai décidé de tout arrêter, d'un coup. Ce qu'il faut normalement pas faire avec des antidépresseurs.
Résultat: je me suis senti mieux et je n'ai aucunement fait de rechute. Depuis je n'y touche plus. Ce qui m'a mené à la reflexion suivante: est-ce que ces pilules ont vraiment fonctionné sur moi? Quand j'ai commencé à les prendre, je croyais que ça allait me sauver une fois pour toutes. Les somnifères ne fonctionnaient pas non plus en fait, il me fallait toujours 1 à 4 heures pour m'endormir, le cerveau turbinant.
Je doute donc de l'efficacité de ces médocs sur moi. Quelqu'un a-t-il déjà vécu une situation similaire? Est-ce que les antidépresseurs ne marchent donc pas en cas de dépression existentielle? Quid des sonmifères?
Merci pour vos témoignages.
J'aimerais aborder le thème des médicaments, en particulier celui des antidépresseurs/anxiolytiques/somnifères.
Il y a un an et demi, j'avais pêté une durite comme on dit. Impossible de faire quoi que ce soit pendant quelques jours, impossible de sortir de chez moi ou manger. Après avoir pris mon courage à deux mains, je me suis rendu chez un psy car il était évident qu'il me fallait de l'aide. Après la première consultation, on m'a prescrit un antidépresseur et un somnifère. Je les ai pris, ça m'a provoqué des crises d'angoisses et les 5 premières semaines ont été un cauchemar, où je me suis retrouvé vraiment très proche de l'irréversible. Puis, ça a mieux été.
Après 10 consultations et 5 mois de médocs, ma psy me dit que ça ne sert à rien que je revienne la voir. Ma psychologie est "trop complexe pour que la thérapie fonctionne, mais je dois le prendre comme un don". Du coup je suis resté avec mes médocs. Après encore 2-3mois, j'avais enflé à cause des effets secondaires. Et un jour j'ai décidé de tout arrêter, d'un coup. Ce qu'il faut normalement pas faire avec des antidépresseurs.
Résultat: je me suis senti mieux et je n'ai aucunement fait de rechute. Depuis je n'y touche plus. Ce qui m'a mené à la reflexion suivante: est-ce que ces pilules ont vraiment fonctionné sur moi? Quand j'ai commencé à les prendre, je croyais que ça allait me sauver une fois pour toutes. Les somnifères ne fonctionnaient pas non plus en fait, il me fallait toujours 1 à 4 heures pour m'endormir, le cerveau turbinant.
Je doute donc de l'efficacité de ces médocs sur moi. Quelqu'un a-t-il déjà vécu une situation similaire? Est-ce que les antidépresseurs ne marchent donc pas en cas de dépression existentielle? Quid des sonmifères?
Merci pour vos témoignages.
Ulver- Messages : 96
Date d'inscription : 29/01/2012
Age : 41
Localisation : Cheeseland
Re: Antidépresseurs/somnifères
Alors moi c'est le contraire. Dépressive très jeune, vers 16 (voir mon âge sur le côté) j'ai pêté une durite pendant ma formation d'instit il y a 6 ans (trop scolaire, trop infantilisant, trop de tu dois faire comme ça et pas autrement sinon ça va pas). Depuis j'ai fait 2 autres pétages de durites : un quand mon père est mort en 6 mois d'un cancer ( faut dire que bon là, hein.... quelle idée de mourir comme ça sans demander l'avis des gens je te jure !) et un autre pétage de plomb au mois de novembre 2011 suite à une méga rumeur diffamatoire dans l'école où j'exerçais. Ça fait 6 ans que je suis sous médoc. Et j'ai craqué au mois de novembre parce que j'avais tout arrêté.
Ça m'empêche de couler. Par contre, ça m'empêche de réfléchir normalement (enfin, normalement pour une zèbre, ça n'empêche pas le moteur de tourner mais ça empêche la voiture d'avancer, si je peux me permettre une image) et ça, j'aime pas. Les somnifères je n'en prends plus mais j'en ai eu besoin. Quand tu ne dors que 4 heures par nuit pendant deux mois alors que normalement tu as besoin de tes 9 heures (oui j'ai un côté grosse marmotte), t'es mal.
Ça m'empêche de couler. Par contre, ça m'empêche de réfléchir normalement (enfin, normalement pour une zèbre, ça n'empêche pas le moteur de tourner mais ça empêche la voiture d'avancer, si je peux me permettre une image) et ça, j'aime pas. Les somnifères je n'en prends plus mais j'en ai eu besoin. Quand tu ne dors que 4 heures par nuit pendant deux mois alors que normalement tu as besoin de tes 9 heures (oui j'ai un côté grosse marmotte), t'es mal.
quarante deux- Messages : 111
Date d'inscription : 07/02/2012
Age : 48
Re: Antidépresseurs/somnifères
J'ai pris des anti-dépresseurs il y a quelques années. Ca m'a permis de pas couler. Et un jour je me suis aperçue que j'avais oublié de les prendre depuis une semaine, alors que pas très longtemps avant je prenait religieusement mes cachetons comme un reflexe de survie. J'en avais plus besoin, j'étais passée à autre chose. Arrêt brutal, mais pas d'effets secondaires.
Sinon, tous les trucs calmants genre prémédications avant anesthésie, ou valium avant le dentiste, des trucs comme ça, je réagis très fort. Une dose pour un môme de 6 ans me suffit.
Sinon, tous les trucs calmants genre prémédications avant anesthésie, ou valium avant le dentiste, des trucs comme ça, je réagis très fort. Une dose pour un môme de 6 ans me suffit.
Re: Antidépresseurs/somnifères
Euh non moi je suis plutôt le patient modèle sur lequel le médoc fait bien effet : je prend de la paroxétine et ça marche du tonnerre pour ce que j'ai.
Ulver, tu es déjà allé voir quelqu'un d'autre pour voir si il préconise le même traitement ? car certain types (psys) sont bidons (ma mère soupçonne que ça aurait valu une tentative de suicide à mon père c'est pour dire). De ce que tu raconte, "votre psychologie est trop complexe" sonne carrément comme un aveu d'impuissance du psychiatre en question.
Je ne sais pas ce que tu as pris mais l'effet d'accoutumance chez moi est assez fort : au bout de 26 ou 27 heures, je commence à avoir vertiges, acouphènes, sueurs froides...
Et sur les notices, c'est marqué que fréquemment les premières semaines il peut y avoir le phénomène inverse de l'action supposée du médicament, donc ta crise d'angoisse était peut être plus ou moins justifiée.Donc en gros on ne peut pas te répondre sur ce forum si les médocs ont marché : seul un psychiatre compétent peut t'expliquer ta réaction que tu as je pense.
Quarante deux : moi aussi j'ai l'impression que ça m’empêche un peu de réfléchir normalement. Enfin, "comme avant" je veut dire, et c'est pas plus mal car ça me permet d'avoir une vie plus compatible avec tout le monde ce qui a été un cadeau immense. Lorsque je suis seul avec moi même, toutes les capacités reviennent heureusement.d
Ulver, tu es déjà allé voir quelqu'un d'autre pour voir si il préconise le même traitement ? car certain types (psys) sont bidons (ma mère soupçonne que ça aurait valu une tentative de suicide à mon père c'est pour dire). De ce que tu raconte, "votre psychologie est trop complexe" sonne carrément comme un aveu d'impuissance du psychiatre en question.
Je ne sais pas ce que tu as pris mais l'effet d'accoutumance chez moi est assez fort : au bout de 26 ou 27 heures, je commence à avoir vertiges, acouphènes, sueurs froides...
Et sur les notices, c'est marqué que fréquemment les premières semaines il peut y avoir le phénomène inverse de l'action supposée du médicament, donc ta crise d'angoisse était peut être plus ou moins justifiée.Donc en gros on ne peut pas te répondre sur ce forum si les médocs ont marché : seul un psychiatre compétent peut t'expliquer ta réaction que tu as je pense.
Quarante deux : moi aussi j'ai l'impression que ça m’empêche un peu de réfléchir normalement. Enfin, "comme avant" je veut dire, et c'est pas plus mal car ça me permet d'avoir une vie plus compatible avec tout le monde ce qui a été un cadeau immense. Lorsque je suis seul avec moi même, toutes les capacités reviennent heureusement.d
Thaïti Bob- Messages : 1850
Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 37
Localisation : Avignon
Re: Antidépresseurs/somnifères
ben ici ça a eu l'effet de ralentir... franchement parfois on donnerait n'importe quoi pour ralentir notre cerveau mais après essai ben c'est juste affreux comme sensation, l'impression d'être vitesse divisée par trois, 6 mois de traitements et trois ans avant de retrouver une certaine vivacité et découvrir que la vitesse de traitement fait partie de moi et qu'il faut juste apprendre à la gérer.
zebeurton- Messages : 191
Date d'inscription : 04/12/2011
Localisation : morbihan
Re: Antidépresseurs/somnifères
Les zanti-dépresseurs, c'est un peu comme du scotch pour moi: ça tient les morceaux ensemble jusqu'à ce que je trouve une colle valable (et ça, ça peut prendre longtemps... mais parfois, c'est réglé en 3 jours). Ca me désensibilise super vite: je ressens plus grand chose, et je deviens encore plus rationnelle que d'habitude, etc, etc... puis quand j'arrête, ça repart en liiiiiive, mais, normalement, j'ai eu assez de temps à réfléchir à la cause de la dépression pour que ce soit gérable.
'moy [Baboo]- Messages : 333
Date d'inscription : 22/12/2011
Age : 31
Localisation : Paris
Re: Antidépresseurs/somnifères
oui et puis voilà on ne ressent plus grand chose... c'est assez horrible quand même
zebeurton- Messages : 191
Date d'inscription : 04/12/2011
Localisation : morbihan
Re: Antidépresseurs/somnifères
j'ai souvent été sous antidépresseur et anxiolytique.
il y a une période en début de traitement ou les idées noirs, envies suicidaires sont accentué. selon les ad elles est plus ou moins prononcé et longue. le temps que les sélecteur de sérotonines se mettent en place.
quand je suis sous cachets, j'ai moi aussi se sentiment de "tourner au ralenti" et la vague sensation d'être engourdie émotionnellement.
je me demande, également, si ces cachets ont un effet sur moi puisque dès leurs arrête j'en reviens au même point.
j'ai vu pas mal de psy et une phrases revenait souvent "le traitement n'est qu'une aide". partant de là j'en suis venue à me dire que le traitement était un moyen de me garder en "sous régime" pour me protéger le temps que la thérapie m'aide à "reconstruire" ce qui avait besoin de l'être.
si on suit la "procédure" je pense que ça peut fonctionner mais qu'il faut se donner le temps et le courage de faire la psychothérapie.
pour ce qui est des somnifères il me faut des doses de cheval pour que ça fonctionne et le sommeil qui en résulte n'est pas réparateur et amène énormément de mauvais rêves.
il y a une période en début de traitement ou les idées noirs, envies suicidaires sont accentué. selon les ad elles est plus ou moins prononcé et longue. le temps que les sélecteur de sérotonines se mettent en place.
quand je suis sous cachets, j'ai moi aussi se sentiment de "tourner au ralenti" et la vague sensation d'être engourdie émotionnellement.
je me demande, également, si ces cachets ont un effet sur moi puisque dès leurs arrête j'en reviens au même point.
j'ai vu pas mal de psy et une phrases revenait souvent "le traitement n'est qu'une aide". partant de là j'en suis venue à me dire que le traitement était un moyen de me garder en "sous régime" pour me protéger le temps que la thérapie m'aide à "reconstruire" ce qui avait besoin de l'être.
si on suit la "procédure" je pense que ça peut fonctionner mais qu'il faut se donner le temps et le courage de faire la psychothérapie.
pour ce qui est des somnifères il me faut des doses de cheval pour que ça fonctionne et le sommeil qui en résulte n'est pas réparateur et amène énormément de mauvais rêves.
celaeno- Messages : 14
Date d'inscription : 15/02/2012
Localisation : Québec Canada
Re: Antidépresseurs/somnifères
Thaïti Bob a écrit:Euh non moi je suis plutôt le patient modèle sur lequel le médoc fait bien effet : je prend de la paroxétine et ça marche du tonnerre pour ce que j'ai.
Je ne sais pas ce que tu as pris mais l'effet d'accoutumance chez moi est assez fort : au bout de 26 ou 27 heures, je commence à avoir vertiges, acouphènes, sueurs froides...
Quarante deux : moi aussi j'ai l'impression que ça m’empêche un peu de réfléchir normalement. Enfin, "comme avant" je veut dire, et c'est pas plus mal car ça me permet d'avoir une vie plus compatible avec tout le monde ce qui a été un cadeau immense. Lorsque je suis seul avec moi même, toutes les capacités reviennent heureusement.d
J'en ai pris pendant très longtemps trop longtemps (6ans) ça ma grillé beaucoup de choses dans mon cerveau je n'arrive même plus a pleurer quand je suis triste et mes "capacités" on extrêmement du mal à revenir 'car depuis longtemps posées sur le côté' . Moi c'est lors de l’arrêt progressif que j'ai eu tout ces symptômes : sueur froide vertige acouphène malaise nausée mais malgré ça j'ai réussi au bout de 6 mois à diminuer progressivement pour pouvoir l’arrêter. Le relais étant pris par ma psy
En ce qui concerne les anxiolytique je n'arrive pas a vivre sans depuis un mois je diminue mes doses car j'en deviens accro mais faut quand même dire que grâce a eux j'arrive à refaire pleins de choses ..
NauT île- Messages : 192
Date d'inscription : 02/02/2012
Age : 36
Localisation : rhone alpes
Re: Antidépresseurs/somnifères
Accro sur ordonnance aux anxiolitiques/tranquilisants -en fait les benzodiazépines.
Les médecins m'ont rendu accro, m'ont prescrit du Rivotril, ne m'ont pas dit que c'était puissamment addictif, et qu'en décrocher est très difficile, merci au lobby pharmaceutique et à ses larbins dans les officines de médecins généralistes !
J'entame depuis peu mon deuxième sevrage (j'avais aussi auparavant arrêté brutalement, tout à fait déconseillé, très dangereux, probablement aussi difficile voire plus qu'une décrochage d'héro, mais là aussi ils ne m'avaient rien dit), et il se peut que j'en ai pour deux ans à m'en sortir.
L'effet vient petit à petit, c'est vicieux, je n'ai jamais forcé sur les doses, pas de goût pour le produit, simplement il calme des douleurs chroniques, plus le temps passe moins on ressent, moins on a d'envie. Au bout du compte bien que ça varie suivant les gens, on se retrouve complètement déprimé, en manque qu'on risque d'essayer de combler par l'alcool, et on devient un légume.
P.S. : Si certains ici prennent quotidiennement un benzo (Rivotril, Lexomil, Xanax, Tranxene, Myolastan, etc. il y en a plein d'autres) depuis plus d'un mois, je les invite à me contacter, au moins à se renseigner, ce n'est pas à prendre à la légère, de quoi se foutre la vie en l'air avec ces saloperies.
Les médecins m'ont rendu accro, m'ont prescrit du Rivotril, ne m'ont pas dit que c'était puissamment addictif, et qu'en décrocher est très difficile, merci au lobby pharmaceutique et à ses larbins dans les officines de médecins généralistes !
J'entame depuis peu mon deuxième sevrage (j'avais aussi auparavant arrêté brutalement, tout à fait déconseillé, très dangereux, probablement aussi difficile voire plus qu'une décrochage d'héro, mais là aussi ils ne m'avaient rien dit), et il se peut que j'en ai pour deux ans à m'en sortir.
L'effet vient petit à petit, c'est vicieux, je n'ai jamais forcé sur les doses, pas de goût pour le produit, simplement il calme des douleurs chroniques, plus le temps passe moins on ressent, moins on a d'envie. Au bout du compte bien que ça varie suivant les gens, on se retrouve complètement déprimé, en manque qu'on risque d'essayer de combler par l'alcool, et on devient un légume.
P.S. : Si certains ici prennent quotidiennement un benzo (Rivotril, Lexomil, Xanax, Tranxene, Myolastan, etc. il y en a plein d'autres) depuis plus d'un mois, je les invite à me contacter, au moins à se renseigner, ce n'est pas à prendre à la légère, de quoi se foutre la vie en l'air avec ces saloperies.
Eluent- Messages : 42
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 50
Localisation : Paris
Re: Antidépresseurs/somnifères
J'ai été sous antidépresseur pendant deux ans et anxiolytique pendant presque quatre. Tout était devenu insupportable.
Ce fût presque du "confort" à une époque, cette impression de ne plus avoir ce maudit flot de sentiment qui me submerge et m'empêche de penser. Je ne ressentais plus, ma "machine" intellectuelle était à son plein potentiel....
Mais voilà cela ne dura qu'un temps.
Très vite la machine à pensée c'est remise en marche comme si les doses n'étaient plus suffisantes.
J'ai donc tout arrêté.
Je dors moins bien, je m'endors moins bien et je suis plus fatigué qu'avant.
Mais je ressens de nouveau et j'ai l'impression de "revivre"
Ce fût presque du "confort" à une époque, cette impression de ne plus avoir ce maudit flot de sentiment qui me submerge et m'empêche de penser. Je ne ressentais plus, ma "machine" intellectuelle était à son plein potentiel....
Mais voilà cela ne dura qu'un temps.
Très vite la machine à pensée c'est remise en marche comme si les doses n'étaient plus suffisantes.
J'ai donc tout arrêté.
Je dors moins bien, je m'endors moins bien et je suis plus fatigué qu'avant.
Mais je ressens de nouveau et j'ai l'impression de "revivre"
Yya- Messages : 24
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 54
Localisation : CAEN
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