Bonjour et Merci d'exister
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Re: Bonjour et Merci d'exister
- paroles:
- Madame - Christophe MIOSSEC
Elle était de ces femmes qu'on embrasse sur les yeux
Dont on tombe sous le charme comme on tombe sous le feu
Elle était de ces femmes qui ne laissent pas les hommes silencieux
Dont on tombe sous la mitraille rien qu'en croisant ses yeux
Elle était de ces femmes qui ne semblent pas craindre le feu
Ni le bûcher ni les flammes tout en elle vous rendait heureux
Elle était de ces femmes qu'on prie pour qu'elle vous remarque un peu
On plongerait dans ses flammes pour seulement effleurer ses yeux
Elle était de ces femmes dont un sourire vous rend heureux
Pour elle j'aurais maudit mon âme, pour elle j'aurais maudit le bon dieu
Elle était de ces femmes dont on aimerait laver les cheveux
Dont on aimerait embrasser l'âme c'est le plus grand de mes vœux
J'ai rien dit devant cette femme même pas "au fait est-ce qu'il pleut ?"
Et l'enfant que vous êtes encore Madame me met les larmes aux yeux
Elle était de ces femmes qui n'ont pas le regard bleu
Dont les yeux ont versé trop de larmes pour croire encore aux cieux
J'ai rien dit devant cette femme même pas "au fait est-ce qu'il pleut ?"
Et l'enfant que vous êtes encore Madame me met les larmes aux yeux
Juste le texte, je n'ai pas trouvé de vidéo
Consolation - Christophe MIOSSEC
Je préfère que tu me prennes pour un con
Que pour quelqu'un qui pourrait t'expliquer
Je ne connais pas la théorie de la fusion
Ni même celle des femmes mariées
Je n'en ai jamais touché le fond
J'ai pourtant essayé de creuser
Et je n'ai trouvé que des désillusions
Des rêves depuis longtemps avortés
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
C'est pour ça relève-toi donc
Ne reste donc pas agenouillée
Ne me dis pas que tu croyais qu'on
Avait pour nous l'éternité
Cinq ans six jours c'est déjà si long
La moyenne est largement dépassée
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
Et le désir une illusion
Un instant que l'on voudrait faire durer
Après on lui enfile un nœud papillon
Et une jolie robe de mariée
Pour enfin se persuader qu'on
Est bel et bien arrivé
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
@Ours : désolée, j'étais au boulot et j'ai pas bien géré Paint, qui m'a fait des dessins tout pitits tout moches. Donc en fait, je pense qu'il n'est pas forcément très évident de chercher l'absolu chez l'autre, et que c'est effectivement une alternative très dure que de se retrouver seul face à soi-même. Alors peut-être que simplement se connecter aux points communs avec les autres, plusieurs autres, c'est bien ?...
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: Bonjour et Merci d'exister
Je viens de te faire un texte copieux : enregistré en brouillon pour le finir ce soir, mais ....introuvable depuis ! Je le refais cette nuit.
En attendant :
En attendant :
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Ah oui, tes textes se barrent comme ça ... pfffff, on ne peut plus faire confiance à personne, mais que font les schtroumphs, moi, je dis !!!!
à toi zoci :-)
à toi zoci :-)
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Et bien cette nuit, j'ai et donc je n'ai pas ré-écrit ce que j'ai perdu. Cela ne devait pas être fondamental.
C'en est fini de l'absolu, j'ai passé l'âge.
Pour que cela me renvoie systématiquement tête en bas dans les cordes, c'est bon, j'ai fini par comprendre (OK, il n'y a pas longtemps).
Je prend ce que je trouve et ne laisse pas ma part à d'autres.
Et puis l'absolu, personne n'est d'accord pour avoir le même, alors...
Ce que l'on croyait être l'absolu ou celui qui paraissait l'incarner parait peu à peu plus fade, plus ordinaire, plus lointain.
La perte de l'absolu, cette absence de références semble aller de pair avec l'entrée dans la distanciation, dans la non implication, dans l'"aquabonisme" comme l'a écrit Gainsbourg.
J'assimile cela à une non vie.
Je trouve que cela prend un gout de cendres.
Quant à la solitude, c'est complexe pour moi mais pas plus que pour tout un chacun en fait. J'espère toujours en une relation plus dense et fréquente qu'un copinage, mais finalement, rien ne sert de chercher, les choses se mettent en place quand elles ont décidé.
Ce qui est la plus perturbant avec la solitude, c'est qu'elle finirait par perturber notre perception de l'autre, de tous les autres comme si on leur reprochait indéfiniment notre incomplétude et leur incapacité à la combler !
Heureusement que la franchise relationnelle des zèbres arrive à compenser en grande partie ces situations.
Allez, je vous souhaite une bonne journée.
C'en est fini de l'absolu, j'ai passé l'âge.
Pour que cela me renvoie systématiquement tête en bas dans les cordes, c'est bon, j'ai fini par comprendre (OK, il n'y a pas longtemps).
Je prend ce que je trouve et ne laisse pas ma part à d'autres.
Et puis l'absolu, personne n'est d'accord pour avoir le même, alors...
Ce que l'on croyait être l'absolu ou celui qui paraissait l'incarner parait peu à peu plus fade, plus ordinaire, plus lointain.
La perte de l'absolu, cette absence de références semble aller de pair avec l'entrée dans la distanciation, dans la non implication, dans l'"aquabonisme" comme l'a écrit Gainsbourg.
J'assimile cela à une non vie.
Je trouve que cela prend un gout de cendres.
Quant à la solitude, c'est complexe pour moi mais pas plus que pour tout un chacun en fait. J'espère toujours en une relation plus dense et fréquente qu'un copinage, mais finalement, rien ne sert de chercher, les choses se mettent en place quand elles ont décidé.
Ce qui est la plus perturbant avec la solitude, c'est qu'elle finirait par perturber notre perception de l'autre, de tous les autres comme si on leur reprochait indéfiniment notre incomplétude et leur incapacité à la combler !
Heureusement que la franchise relationnelle des zèbres arrive à compenser en grande partie ces situations.
Allez, je vous souhaite une bonne journée.
- paroles:
- Tout a été dit, tout,
Dans les chansons mélancoliques,
Ça t'intéresse pas,
Ça m'intéresse plus,
Ça a des relents de déjà vu...
Mais quand on a plus d'espoir,
Quand on se sent vraiment tout petit,
On a besoin de crever le haut des nuages...
Oh non,
Je marche dans la neige et c'est lourd...
Oh non,
Encore le cœur qui meurt...
Quand on a personne,
On se sent tellement minable,
On voit des choses abominables,
On se demande s'il vaut mieux pas passer ailleurs...
Mais quand on est seul,
On est son propre maître à bord,
Moins que l'esclave de son remords,
La fin du monde est pour demain...
Prisonnière du large,
Comme un bateau brisé dans les glaces,
Je voudrais m'en aller,
Je peux plus m'envoler,
Je reste figée dans mon cauchemar...
Ça fait longtemps que j'attends,
Que l'on m'aime un peu de temps en temps,
J'ai besoin d'air et j'ai besoin d'exister...
Oh non,
Encore un autre rêve lourd...
Oh non,
Encore mon cœur qui meurt...
Mais quand on a personne,
On rend les gens impardonnables,
On voit des choses épouvantables,
On se demande s'il vaut mieux pas passer ailleurs...
Mais quand on est seul,
On est mi-maître, mi-esclave,
D'une liberté indiscutable,
La fin du monde est pour demain...
Alors on va,
Dans un désert impitoyable,
Une solitude inoubliable,
Et on se demande s'il vaut mieux pas passer ailleurs...
Mais quand on est seul,
On est mi-maître, mi-esclave,
Du genre de vie qu'on se prépare,
La fin du monde est pour demain...
Quand on est seul,
On se sent tellement minable,
On voit des choses abominables,
On se demande s'il vaut mieux pas passer ailleurs...
Mais quand on est seul,
On rend les gens impardonnables...
Dernière édition par ours le Mer 1 Aoû 2012 - 15:27, édité 1 fois (Raison : ajustement d'une phrase qui prétait à contre sens)
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Hum. Je ne sais pas trop quoi dire, même si j'vois plusieurs choses. Mais t'as bien l'air d'en être conscient, et puis bon, c'pas une gamine de même pas trente ans (... la vache, j'me sens vieille T_T) qui va t'apprendre la vie d'façon. Mais voilà, j'ai hâte (décidément !) d'être au 22 septembre pour vous voir tous !
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: Bonjour et Merci d'exister
Bonjour, bonjour,
En parlant d'absolu, il y a un film "l'histoire du chameau qui pleure" que j'ai placé sur le fil de Kelenn.
Il s'agit de mettre en scène le quotidien de nomades mongols, les acteurs réellement issus de ce peuple reproduisent leurs propres gestes quotidiens.
Il y a un rite grandiose (j'ai justement mis ce passage) : de musicothérapie en plein désert.
C'est une mère chamelle qui rejette son BB, ce peuple a un rite qui fonctionne : ils vont chercher un joueur de vièle particulier qui attendrit le coeur de la mère pour qu'elle accepte enfin son chamelon.
Et ça marche...
Comme je ne peux pas placer la même chose à plusieurs endroits et que je le dédie spécialement à Kelenn, je me permets de vous en faire part.
En effet, la musique, le calme des gens qui écoutent et la voix de femme sont transcendants. Plus rien n'existe que l'absolu.
En parlant d'absolu, il y a un film "l'histoire du chameau qui pleure" que j'ai placé sur le fil de Kelenn.
Il s'agit de mettre en scène le quotidien de nomades mongols, les acteurs réellement issus de ce peuple reproduisent leurs propres gestes quotidiens.
Il y a un rite grandiose (j'ai justement mis ce passage) : de musicothérapie en plein désert.
C'est une mère chamelle qui rejette son BB, ce peuple a un rite qui fonctionne : ils vont chercher un joueur de vièle particulier qui attendrit le coeur de la mère pour qu'elle accepte enfin son chamelon.
Et ça marche...
Comme je ne peux pas placer la même chose à plusieurs endroits et que je le dédie spécialement à Kelenn, je me permets de vous en faire part.
En effet, la musique, le calme des gens qui écoutent et la voix de femme sont transcendants. Plus rien n'existe que l'absolu.
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
@Saphodane
Si l'on devait s'en tenir au concept Maître-Elève sur ZC, on aurait pas grand chose à se dire. Peut importe les âges ; même s'il est des temps de vie qui importent dans sa propre réflexion, le témoignage de chacun est recevable et souvent bien plus efficace que nos propres digressions, bien souvent oiseuses.
Alors, "Jeune Saphodane" tu ne m'apprendras pas la vie encore moins la mienne, mais ta vie et c'est cela qui est le plus intéressant.
Si l'on devait s'en tenir au concept Maître-Elève sur ZC, on aurait pas grand chose à se dire. Peut importe les âges ; même s'il est des temps de vie qui importent dans sa propre réflexion, le témoignage de chacun est recevable et souvent bien plus efficace que nos propres digressions, bien souvent oiseuses.
Alors, "Jeune Saphodane" tu ne m'apprendras pas la vie encore moins la mienne, mais ta vie et c'est cela qui est le plus intéressant.
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Décidément je l'aime bien, cet ours.
Petit coucou par ici pour toi
Petit coucou par ici pour toi
Fa- Messages : 1849
Date d'inscription : 23/06/2012
Age : 45
Re: Bonjour et Merci d'exister
ours a écrit:tu ne m'apprendras pas la vie encore moins la mienne, mais ta vie et c'est cela qui est le plus intéressant.
Re: Bonjour et Merci d'exister
+10 de toute beauté! Pas oiseux pentoute ça!ours a écrit:tu ne m'apprendras pas la vie encore moins la mienne, mais ta vie et c'est cela qui est le plus intéressant.
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
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Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: Bonjour et Merci d'exister
Si tu savais comme je te comprends, tu es à 100 lieues de t'imaginer...
Et en plus, si tu écris des commentaires et que tout le monde passe à côté sans les voir...ça va encore mieux !!! sisi ! le super pied !
Et en plus, si tu écris des commentaires et que tout le monde passe à côté sans les voir...ça va encore mieux !!! sisi ! le super pied !
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Ours : elle te manipule, là, hein. Enfin, j'veux dire, ça me semble assez clair. Elle te tient à son crochet. La moindre éclaircie qu'elle te laisse entrevoir te fait espérer que l'ambiance s'améliore, pour ensuite qu'elle te plombe en t'ignorant totalement...
Au moins tes filles sont là et te soutiennent. Je te conseillerais bien de partir. Mais je comprends ta réticence pour ta plus jeune. Ceci dit, pense aussi à toi : si ça devient trop intenable pour toi, c'est ta santé qui entre en jeu. Alors reconcentre-toi sur toi. Quitte à laisser ta plus jeune aux griffes de cette femme encore quelques temps, juste le temps de panser tes blessures, au moins le temps qu'elles arrêtent de saigner.
Au moins tes filles sont là et te soutiennent. Je te conseillerais bien de partir. Mais je comprends ta réticence pour ta plus jeune. Ceci dit, pense aussi à toi : si ça devient trop intenable pour toi, c'est ta santé qui entre en jeu. Alors reconcentre-toi sur toi. Quitte à laisser ta plus jeune aux griffes de cette femme encore quelques temps, juste le temps de panser tes blessures, au moins le temps qu'elles arrêtent de saigner.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: Bonjour et Merci d'exister
C'est hyper lourd ce genre d'ambiance ou rien n'est dit pour éviter de trop en dire....
Sais pas, mais arrive un moment où l'éloignement peut éviter que les choses tournent carrément au vinaigre très acide....ou(et) de recevoir sa vie sur la figure, comme un édifice immatériel.
Quelques fois cela peut s'améliorer cela dépend de la "résistance" de chacun, mais le risque de tomber malade, vraiment et se retrouver avec un problème supplémentaire : de santé est bien réel.
Sais pas, mais arrive un moment où l'éloignement peut éviter que les choses tournent carrément au vinaigre très acide....ou(et) de recevoir sa vie sur la figure, comme un édifice immatériel.
Quelques fois cela peut s'améliorer cela dépend de la "résistance" de chacun, mais le risque de tomber malade, vraiment et se retrouver avec un problème supplémentaire : de santé est bien réel.
Invité- Invité
mwana43- Messages : 14
Date d'inscription : 04/03/2012
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
J'ai quand même observé que les zèbres, s'ils le veulent, peuvent être largement dominants. Une relation de ma zébrette de fille lui a posé un lapin, et ne l'a pas rappelée. Toujours on lui pose des lapins. Elle était affectée. Je l'ai prise entre 4 yeux pour lui expliquer 1 que la dépendance affective, c'est un mega fil à la patte, 2 qu'elle a parfaitement le droit de dire ce qu'elle pense -poliment mais clairement - et que si la personne s'en va, c'est qu'elle ne vaut pas un clou. Ci-fait, elle est allée voir la personne et l'a "manipulée" un peu au point que l'autre s'est confondue en excuses. Ma fille est revenue vraiment fière et avec un sentiment d'être justifiée. Elle n'en revenait pas. Ça donne une grosse confiance en soi.
Quant aux tartes, c'est surtout un échec caractérisé...On ne triomphe que calmement.
Quant aux tartes, c'est surtout un échec caractérisé...On ne triomphe que calmement.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Bonjour et Merci d'exister
la référence, c'est l'alternative, pas l'absolu, pas l'idéal
l'idéal ne sert plus à grand chose
l'espoir, peut être utile, mais je n'aime pas ce mot, je préfère: conviction
uniquement l'alternative
et la conviction d'être sur la meilleure voie possible en cet instant,
de faire ce qui est le mieux
pas "le bien"
Copier d'un post dans la section "A l'abri des regards".
Je l'ai trouvé parfaitement adapté, alors je me permets de le coller là.
l'idéal ne sert plus à grand chose
l'espoir, peut être utile, mais je n'aime pas ce mot, je préfère: conviction
uniquement l'alternative
et la conviction d'être sur la meilleure voie possible en cet instant,
de faire ce qui est le mieux
pas "le bien"
Copier d'un post dans la section "A l'abri des regards".
Je l'ai trouvé parfaitement adapté, alors je me permets de le coller là.
Dernière édition par ours le Ven 3 Aoû 2012 - 14:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Contente de voir que tu reprends du poil de la bête hihi.
Et saches que c'est la première fois de ma vie que je fais des "câlins" à quelqu'un, que je ne connais pas en plus, sur un forum, en public !!!
Et saches que c'est la première fois de ma vie que je fais des "câlins" à quelqu'un, que je ne connais pas en plus, sur un forum, en public !!!
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
EkaterinaSelenaOndirignee a écrit:Contente de voir que tu reprends du poil de la bête hihi.
Et saches que c'est la première fois de ma vie que je fais des "câlins" à quelqu'un, que je ne connais pas en plus, sur un forum, en public !!!
Bah, il faut un début à tout ! et t'inquiète pas, la bête reste poilue ....
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Intelligence à laisser au repos :
En novembre.... mon super héros revient et lui, il l'interprète bien mon super héros !
En novembre.... mon super héros revient et lui, il l'interprète bien mon super héros !
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
C'est trop ce que tu dis fata (le côté dominant, ou qui ne veut pas être dominé en tout cas) car, cela vient juste de se passer avec un zèbre du forum.
Que je suis allé titiller, je le reconnais, et qui a voulu jouer les "chef"...ma douceur habituelle, m'a momentanément quittée gnihihihi !
Cet acteur a de très beaux yeux. Mais celui que je trouve le plus sexy est, celui que personne n'aime, forcément : Timothy Dalton.
Que je suis allé titiller, je le reconnais, et qui a voulu jouer les "chef"...ma douceur habituelle, m'a momentanément quittée gnihihihi !
Cet acteur a de très beaux yeux. Mais celui que je trouve le plus sexy est, celui que personne n'aime, forcément : Timothy Dalton.
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Allez, allez, hop, hop, hop, up, up, up !
Ce soir théâtre, avec une collègue de travail : Le repas des Fauves
Demain courses, arrivée de ma fille ainée, Sieste.
Dimanche, bricolage pour essayer que mes plantes arrêtent de pourrir les murs de la maison (je soupçonne une assertion partiale, mais je dois me tromper)
Lundi, ouf, WE passé, (un de plus et un de moins)
Jeudi matin, départ sur Paris, puis le nord, retour le 15/08.
Il ne restera plus que 15 jours avant la rentrée de classes, le plus gros sera fait !
Allez, allez, hop, hop, hop. up, up, up !
Ce soir théâtre, avec une collègue de travail : Le repas des Fauves
Demain courses, arrivée de ma fille ainée, Sieste.
Dimanche, bricolage pour essayer que mes plantes arrêtent de pourrir les murs de la maison (je soupçonne une assertion partiale, mais je dois me tromper)
Lundi, ouf, WE passé, (un de plus et un de moins)
Jeudi matin, départ sur Paris, puis le nord, retour le 15/08.
Il ne restera plus que 15 jours avant la rentrée de classes, le plus gros sera fait !
Allez, allez, hop, hop, hop. up, up, up !
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Hum, pas jusqu'au réservoir vide. Mais au moins jusqu'à la réserve. Faudrait éviter un accident, quand même...
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: Bonjour et Merci d'exister
Cela vient de moi, ou le nombre de verre augmente ?
Dernière édition par EkaterinaSelenaOndirignee le Ven 3 Aoû 2012 - 15:24, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Boire tout seul : triste
Boire à deux : "qui conduit ?"
Boire à trois, il y en a un qui surveille les 2 autres, ....alternativement
Boire à deux : "qui conduit ?"
Boire à trois, il y en a un qui surveille les 2 autres, ....alternativement
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
https://www.youtube.com/watch?v=QprXlfVkpH4
flowwhere- Messages : 563
Date d'inscription : 05/12/2011
Age : 44
Localisation : Lost in Translation
Re: Bonjour et Merci d'exister
Voici un texte de HartMut Rosa, professeur à l'université d'Iéna, à propos du concept de résonance, extrait de la revue Philosophie magazine - Juin 2012.
Bien qu'il soit à priori traduit trop près du texte et qu'il en conserve de la lourdeur et des répétitions, il ouvre un champ de réflexion très large et très riche : je souhaite le partager avec vous.
Tout a commencé dans le village de Grafenhausen dont je suis originaire et où je vis une partie de l’année. De ma maison, j’ai vue sur les collines et les vallons qui s’étendent jusqu’aux Alpes… Le soir, j’ai l’habitude de passer un moment devant la fenêtre ouverte de ma chambre, à contempler le monde et à méditer sur mon rapport avec lui. Progressivement, j’ai compris que la manière dont je me rapportais au monde et dont le monde se rapportait à moi était chaque jour un peu différente. Tantôt le ciel est dégagé, les oiseaux chantent et une tiédeur embaumée caresse mon visage ; tantôt il pleut et il fait froid. Mais ce n’est pas que le monde extérieur qui change : c’est la réaction ou la réactivité de mon esprit et de mon corps. J’en suis donc venu à m’interroger sur ce qui différenciait mes états d’âme. Quand je suis de bonne humeur, j’ai l’impression que le monde s’ouvre à moi, qu’une myriade de cordes entrent en vibration et résonne comme pour m’inviter au monde. Ces cordes, je le sais, sont reliées à autrui. Au dehors, mes amis m’attendent, ma famille est à mes côtés, mes collègues comptent sur moi. Les choses à faire, les défis et les aventures aussi m’interpellent. Entre le monde et moi je sens comme une interpénétration ou, pour reprendre la formule de Marcuse, une « énergie libidinale ». Quand je suis de mauvaise humeur, ces cordes cessent de résonner. Le monde extérieur ne chante plus, il me jette un regard hostile ou indifférent, comme si ses contours ne me donnaient plus prise. Comment expliquer qu’un soir le monde semble me chanter et que le lendemain il me toise en silence ? Un tel contraste ne tient pas à des évènements extra ordinaires. J’ai beau avoir des raisons objectives d’être satisfait ou joyeux, il arrive que le monde me fasse la sourde oreille. A l’inverse, j’essuie une série de déconvenues et, pourtant, les axes de résonnances se mettent à vibrer. Souvent un geste de reconnaissance ou de m 'méconnaissance fait la différence : un vieil ami reprend contact, un inconnu me sourit, un proche ma témoigne son affection. Le contraire est vrai aussi : je ne reçois pas un coup de fil attendu, mon voisin me dit à peine bonjour, , une discussion familiale se passe mal. Cela suffit à me renfermer sur moi-même. J’ai pris conscience que pour moi la musique jouait un rôle décisif. Quand les axes de résonnance sont ouverts, une mélodie flotte sur mes lèvres et dans mon cœur. En écoutant de la musique, je perçois des correspondances secrètes entre le disque, cette musique intérieure et le monde extérieur. Dans mes mauvais jours, en revanche, je suis capable d’apprécier un disque mais la musique ne me touche pas, elle ne fait pas écho au monde extérieur. C’est pourquoi je suis réticent à partager la thèse de mon mentor, Axel Honneth, qui considère le désir de reconnaissance sociale comme notre moteur. Il ne nous suffît pas d’être aimés : nous aspirons à une connexion. Nous avons besoin d’entrer en résonnance avec autrui, avec la nature, avec notre travail et comme le dirait Charles Taylor, mon autre maître de philosophie, avec un univers qui fasse positivement sens. Ce phénomène ne renvoie pas qu’à la tradition romantique (chanter le monde et l’enchanter), mais aussi à la grande peur de la modernité : même si nous nous rendons maîtres de la nature, le monde risque toujours de devenir indifférent à nous. Cette peur, elle s’exprime dans l’aliénation de Marx, le désenchantement de Weber, la réification de Lukacs, l’absurde de Camus. C’est la raison pour laquelle nous diffusons de la musique en tous lieux. Dans les transports nous mettons nos écouteurs pour faire taire un environnement urbain avec lequel nous avons perdu tout espoir d’entrer en résonance. Cela trahit l’angoisse d’un monde silencieux. Nos rythmes de vie et l’accélération vertigineuse des modes d’interaction ne nous aident pas à renouer avec nos cordes de résonance. Établir et entretenir une résonance avec autrui, amis aussi avec les objets, l’espace, le travail demande du temps. Dans cette perspective, je me suis fixé pour objectif d’élaborer une sociologie de la résonance qui étudie les conditions sociales dans lesquelles le monde nous parle ou nous reste indifférent.
.
"Il ne nous suffît pas d’être aimés : nous aspirons à une connexion" : La reconnaissance sociale ne serait-elle qu'un leurre, qu'une vision concurrentielle de la vie. Ce concept qui forme le sommet de la pyramide de Maslow est-il mortifère au sens où il nie la relation au tout autre et la réduit à la relation à un corps social ?
"faire taire un environnement urbain avec lequel nous avons perdu tout espoir d’entrer en résonance" : est-ce du fait d'une résonance inhumaine que nous sommes à la fois attirés et à la fois repoussés de la ville. Mais alors, le regroupement humain qu'est la ville, entraînerait une inhumanité ? Et si oui, l'origine de cette inhumanité est-elle du fait des hommes ou du fait de ses constructions ?
"l’angoisse d’un monde silencieux" : Comme disait l'affiche d'Alien, "Dans l'espace, personne ne vous entend crier". L'espace, un monde mort, un monde silencieux. Est-ce le monde que nous habitons désormais et donc comment la réflexion écologique et l'action politique peuvent elles redonner la parole et la résonance à ce monde qui pour le moment encore nous est unique.
"C’est la raison pour laquelle nous diffusons de la musique en tous lieux" : Y a t-il de notre part, une démarche involontaire de saturer nos sens pour masquer le non-sens ?
Bien qu'il soit à priori traduit trop près du texte et qu'il en conserve de la lourdeur et des répétitions, il ouvre un champ de réflexion très large et très riche : je souhaite le partager avec vous.
Tout a commencé dans le village de Grafenhausen dont je suis originaire et où je vis une partie de l’année. De ma maison, j’ai vue sur les collines et les vallons qui s’étendent jusqu’aux Alpes… Le soir, j’ai l’habitude de passer un moment devant la fenêtre ouverte de ma chambre, à contempler le monde et à méditer sur mon rapport avec lui. Progressivement, j’ai compris que la manière dont je me rapportais au monde et dont le monde se rapportait à moi était chaque jour un peu différente. Tantôt le ciel est dégagé, les oiseaux chantent et une tiédeur embaumée caresse mon visage ; tantôt il pleut et il fait froid. Mais ce n’est pas que le monde extérieur qui change : c’est la réaction ou la réactivité de mon esprit et de mon corps. J’en suis donc venu à m’interroger sur ce qui différenciait mes états d’âme. Quand je suis de bonne humeur, j’ai l’impression que le monde s’ouvre à moi, qu’une myriade de cordes entrent en vibration et résonne comme pour m’inviter au monde. Ces cordes, je le sais, sont reliées à autrui. Au dehors, mes amis m’attendent, ma famille est à mes côtés, mes collègues comptent sur moi. Les choses à faire, les défis et les aventures aussi m’interpellent. Entre le monde et moi je sens comme une interpénétration ou, pour reprendre la formule de Marcuse, une « énergie libidinale ». Quand je suis de mauvaise humeur, ces cordes cessent de résonner. Le monde extérieur ne chante plus, il me jette un regard hostile ou indifférent, comme si ses contours ne me donnaient plus prise. Comment expliquer qu’un soir le monde semble me chanter et que le lendemain il me toise en silence ? Un tel contraste ne tient pas à des évènements extra ordinaires. J’ai beau avoir des raisons objectives d’être satisfait ou joyeux, il arrive que le monde me fasse la sourde oreille. A l’inverse, j’essuie une série de déconvenues et, pourtant, les axes de résonnances se mettent à vibrer. Souvent un geste de reconnaissance ou de m 'méconnaissance fait la différence : un vieil ami reprend contact, un inconnu me sourit, un proche ma témoigne son affection. Le contraire est vrai aussi : je ne reçois pas un coup de fil attendu, mon voisin me dit à peine bonjour, , une discussion familiale se passe mal. Cela suffit à me renfermer sur moi-même. J’ai pris conscience que pour moi la musique jouait un rôle décisif. Quand les axes de résonnance sont ouverts, une mélodie flotte sur mes lèvres et dans mon cœur. En écoutant de la musique, je perçois des correspondances secrètes entre le disque, cette musique intérieure et le monde extérieur. Dans mes mauvais jours, en revanche, je suis capable d’apprécier un disque mais la musique ne me touche pas, elle ne fait pas écho au monde extérieur. C’est pourquoi je suis réticent à partager la thèse de mon mentor, Axel Honneth, qui considère le désir de reconnaissance sociale comme notre moteur. Il ne nous suffît pas d’être aimés : nous aspirons à une connexion. Nous avons besoin d’entrer en résonnance avec autrui, avec la nature, avec notre travail et comme le dirait Charles Taylor, mon autre maître de philosophie, avec un univers qui fasse positivement sens. Ce phénomène ne renvoie pas qu’à la tradition romantique (chanter le monde et l’enchanter), mais aussi à la grande peur de la modernité : même si nous nous rendons maîtres de la nature, le monde risque toujours de devenir indifférent à nous. Cette peur, elle s’exprime dans l’aliénation de Marx, le désenchantement de Weber, la réification de Lukacs, l’absurde de Camus. C’est la raison pour laquelle nous diffusons de la musique en tous lieux. Dans les transports nous mettons nos écouteurs pour faire taire un environnement urbain avec lequel nous avons perdu tout espoir d’entrer en résonance. Cela trahit l’angoisse d’un monde silencieux. Nos rythmes de vie et l’accélération vertigineuse des modes d’interaction ne nous aident pas à renouer avec nos cordes de résonance. Établir et entretenir une résonance avec autrui, amis aussi avec les objets, l’espace, le travail demande du temps. Dans cette perspective, je me suis fixé pour objectif d’élaborer une sociologie de la résonance qui étudie les conditions sociales dans lesquelles le monde nous parle ou nous reste indifférent.
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"Il ne nous suffît pas d’être aimés : nous aspirons à une connexion" : La reconnaissance sociale ne serait-elle qu'un leurre, qu'une vision concurrentielle de la vie. Ce concept qui forme le sommet de la pyramide de Maslow est-il mortifère au sens où il nie la relation au tout autre et la réduit à la relation à un corps social ?
"faire taire un environnement urbain avec lequel nous avons perdu tout espoir d’entrer en résonance" : est-ce du fait d'une résonance inhumaine que nous sommes à la fois attirés et à la fois repoussés de la ville. Mais alors, le regroupement humain qu'est la ville, entraînerait une inhumanité ? Et si oui, l'origine de cette inhumanité est-elle du fait des hommes ou du fait de ses constructions ?
"l’angoisse d’un monde silencieux" : Comme disait l'affiche d'Alien, "Dans l'espace, personne ne vous entend crier". L'espace, un monde mort, un monde silencieux. Est-ce le monde que nous habitons désormais et donc comment la réflexion écologique et l'action politique peuvent elles redonner la parole et la résonance à ce monde qui pour le moment encore nous est unique.
"C’est la raison pour laquelle nous diffusons de la musique en tous lieux" : Y a t-il de notre part, une démarche involontaire de saturer nos sens pour masquer le non-sens ?
Dernière édition par ours le Dim 6 Jan 2013 - 9:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Merci Ours : ça me parle beaucoup
et surtout ça :
Si le sommet de la pyramide de Maslow est une reconnaissance sociale alors il n'est en fait qu'un puit sans fond.
et surtout ça :
ours a écrit:
"Il ne nous suffît pas d’être aimés : nous aspirons à une connexion" : La reconnaissance sociale ne serait-elle qu'un leurre, qu'une vision concurrentielle de la vie. Ce concept qui forme le sommet de la pyramide de Maslow est-il mortifère au sens où il nie la relation au tout autre et la réduit à la relation à un corps social ?
Si le sommet de la pyramide de Maslow est une reconnaissance sociale alors il n'est en fait qu'un puit sans fond.
flowwhere- Messages : 563
Date d'inscription : 05/12/2011
Age : 44
Localisation : Lost in Translation
Re: Bonjour et Merci d'exister
Moi cela me fait rêver...
On y est à la trilogie "Mars la Rouge, Mars la Verte, Mars la Bleue" !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kim_Stanley_Robinson
On y est à la trilogie "Mars la Rouge, Mars la Verte, Mars la Bleue" !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kim_Stanley_Robinson
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Alors Ours sens tu que tes chemins d'écolier t’amèneront passer par le Lot ?
En tout cas tu es le bienvenu et je serai dans le coin sur les dates dont tu m'as parlé!!!
En tout cas tu es le bienvenu et je serai dans le coin sur les dates dont tu m'as parlé!!!
flowwhere- Messages : 563
Date d'inscription : 05/12/2011
Age : 44
Localisation : Lost in Translation
Re: Bonjour et Merci d'exister
Une jolie image pour un grand nounours.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Age : 39
Localisation : Metz
Re: Bonjour et Merci d'exister
un grand nounours
Tu me prêtes des qualités...
Mis à part cela, un pot de Saint Nicolas de Bourgueil avec un camembert au lait cru..... il n'y a pas d'heures pour en profiter !
Tu me prêtes des qualités...
Mis à part cela, un pot de Saint Nicolas de Bourgueil avec un camembert au lait cru..... il n'y a pas d'heures pour en profiter !
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Cette photo, il s'agit de l'illustration du bonheur par le meilleur des mélanges!
nikoku74- Messages : 1431
Date d'inscription : 22/06/2012
Age : 49
Localisation : Loire
Re: Bonjour et Merci d'exister
Nous ne cherchons pas des idées neuves, mais des idées déjà pensées par nous, à qui la "page" imprimée donne le sceau d’une confirmation.
Les paroles des autres qui nous frappent sont celles qui résonnent dans une zone déjà nôtre – que nous vivons déjà – et la faisant vibrer nous permettent de saisir de nouveaux points de départ au dedans de nous.
"Le Métier de vivre" Cesare Pavese
Invité- Invité
Re: Bonjour et Merci d'exister
Convergence du travail de précision, des matériaux nobles, de l'invention de la nature, de la culture, de l'art photographique.
C'est peut-être pas très zèbre, mais c'est tellement beau.
Merveilles !
Cliquer sur le lien et circuler.
L'image publiée ci dessus n'est là que pour attirer l'oeil
http://www.peterlippmann.com/lippmann3/commissions/cartier_art/cartierartmagazine191_peterlippmann.html
Invité- Invité
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