Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
3 participants
Forum ZEBRAS CROSSING :: Zèbrement vous :: Vie de zèbre :: La famille, les parents, les enfants et leur éducation
Page 1 sur 1
Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
Voilà je me lance pour mon premier sujet avec le titre suggéré par °Ookami-chan° que je remercie pour ses conseils.
J’imagine que mon histoire parlera à certains zèbres et qu’ils pourront peut-être me faire part de leur vécu. Aujourd’hui ce que je cherche avant tout c’est à vivre plus sereinement et à lâcher prise par rapport à cette quête absolue de reconnaissance et de valorisation.
Ce n'est que très récemment que j’ai découvert ma potentielle zébritude.Je suis seulement sur le chemin de la reconnaissance et de l’acceptation de cette différence mal étiquetée depuis mon enfance. J’ai personnellement encore besoin d’une validation extérieure et scientifique pour pouvoir donner au mot ‘potentiel’ une toute autre signification. Je viens d’une famille qui n’a jamais nommé le haut potentiel paternel incarnant pourtant le symbole de réussite et d’excellence. Toute ma carrière professionnelle a été basée sur le challenge, la compétition, le perfectionnisme, l’exigence, le dépassement de soi. Un trop qualitatif et quantitatif qui au lieu de m’ouvrir les portes de la reconnaissance m’a valu d’être envoyée récemment dans les cordes et de mettre enfin des mots sur mon fonctionnement particulier.
J’ai eu un parcours scolaire chaotique et rebelle bien loin des stéréotypes de la bonne élève. Ce n’est qu’en reprenant des études universitaires à 30 ans que je me suis révélée. Pour la première fois de ma vie, j’avais 18 ou 19/20 dans des branches considérées comme sérieuses (droit , économie ). J’étais pour la première fois fière d’avoir réussit un tel projet. Malheureusement cela n’a pas duré. Le renvoi du miroir paternel a mis en évidence que c’était un diplôme universitaire certes mais à horaire décalé. Encore une fois je me suis sentie "pas à la hauteur" de mon ascendance. Je réalise aujourd’hui que cette reprise d’étude était également motivée par une comparaison insupportable avec ma mère qui exercaient le même métier que moi. Il fallait que je me distingue dans tous les sens du terme. A chaque nouveau projet je me suis sentie dépossédée. Très vite il ne m’appartenait plus. Mon frère ainé a réussit ainsi a me dégouter de la musique, de la photo pour les mêmes raisons. Les exemples foisonnent. Même au travers d’une "connerie de jeu vidéo" je n’arrive pas à me sentir à la hauteur. C'est tragicomique. Avant d’hier j’étais heureuse d’avoir atteint un bon niveau mais très vite les « moi je fais mieux « maternelles m’ont rattrapés. Le jeu a depuis perdu de sa saveur et mes doutes sur mon profil HP ont amplifiés. Aujourd’hui au lieu de lâcher prise, je continue à me mettre des challenges qui m’épuisent et renforcent mon hyperactivité. Je suis entrainée dans une compétition sans fin par soif de reconnaissance et comparaison familiale. Je n’arrive pas à prendre ma place et à tarir ainsi la source de mes besoins.
D’avance merci pour vos réactions et réponses
J’imagine que mon histoire parlera à certains zèbres et qu’ils pourront peut-être me faire part de leur vécu. Aujourd’hui ce que je cherche avant tout c’est à vivre plus sereinement et à lâcher prise par rapport à cette quête absolue de reconnaissance et de valorisation.
Ce n'est que très récemment que j’ai découvert ma potentielle zébritude.Je suis seulement sur le chemin de la reconnaissance et de l’acceptation de cette différence mal étiquetée depuis mon enfance. J’ai personnellement encore besoin d’une validation extérieure et scientifique pour pouvoir donner au mot ‘potentiel’ une toute autre signification. Je viens d’une famille qui n’a jamais nommé le haut potentiel paternel incarnant pourtant le symbole de réussite et d’excellence. Toute ma carrière professionnelle a été basée sur le challenge, la compétition, le perfectionnisme, l’exigence, le dépassement de soi. Un trop qualitatif et quantitatif qui au lieu de m’ouvrir les portes de la reconnaissance m’a valu d’être envoyée récemment dans les cordes et de mettre enfin des mots sur mon fonctionnement particulier.
J’ai eu un parcours scolaire chaotique et rebelle bien loin des stéréotypes de la bonne élève. Ce n’est qu’en reprenant des études universitaires à 30 ans que je me suis révélée. Pour la première fois de ma vie, j’avais 18 ou 19/20 dans des branches considérées comme sérieuses (droit , économie ). J’étais pour la première fois fière d’avoir réussit un tel projet. Malheureusement cela n’a pas duré. Le renvoi du miroir paternel a mis en évidence que c’était un diplôme universitaire certes mais à horaire décalé. Encore une fois je me suis sentie "pas à la hauteur" de mon ascendance. Je réalise aujourd’hui que cette reprise d’étude était également motivée par une comparaison insupportable avec ma mère qui exercaient le même métier que moi. Il fallait que je me distingue dans tous les sens du terme. A chaque nouveau projet je me suis sentie dépossédée. Très vite il ne m’appartenait plus. Mon frère ainé a réussit ainsi a me dégouter de la musique, de la photo pour les mêmes raisons. Les exemples foisonnent. Même au travers d’une "connerie de jeu vidéo" je n’arrive pas à me sentir à la hauteur. C'est tragicomique. Avant d’hier j’étais heureuse d’avoir atteint un bon niveau mais très vite les « moi je fais mieux « maternelles m’ont rattrapés. Le jeu a depuis perdu de sa saveur et mes doutes sur mon profil HP ont amplifiés. Aujourd’hui au lieu de lâcher prise, je continue à me mettre des challenges qui m’épuisent et renforcent mon hyperactivité. Je suis entrainée dans une compétition sans fin par soif de reconnaissance et comparaison familiale. Je n’arrive pas à prendre ma place et à tarir ainsi la source de mes besoins.
D’avance merci pour vos réactions et réponses
ptiteQrieuse- Messages : 7
Date d'inscription : 02/09/2012
Age : 55
Localisation : belgique
Re: Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
en vrac,ce qui me vient en lisant ton post:
-on peut s'affranchir de la reconnaissance d'autrui,et c'est une liberation interieure enorme..pour cela un des trucs et dejà de s'apporter à soi meme cette reconnaissance selon tes criteres à toi,tes besoins à toi,tes envies à toi...
quand j'étais encore dans la quete de reconnaissance de mes parents et famille,en fait,c'était la petite fille en moi qui recherchait cette reconnaissance..quand la personne adulte que je suis a re-connu la petite fille qui est en moi,avec ses douleurs,ses fragilités et ses forces...je me suis completement affranchie de la reconnaissance de l'autre
je confondais aussi à l'epoque amour et reconnaissance..je pensais que parce qu'ils ne me reconnaissaient pas,alors c'est qu'ils ne m'aimaient pas ou mediocrement.......quand j'ai compris qu'ils m'aimaient meme s'ils n'étaient pas aptes à me soutenir dans ce que j'aurais voulu,parce qu'on est differents,et que eux memes finalement manque de confiance en eux,et que leurs propres problematiques les empechent de faire autrement,et que je dois aussi accepter leurs defaillances...ben j'ai gardé l'amour et je me suis dépatouiller seule de la reconnaissance
-quand tu ne recherches plus la reconnaissance d'autrui,c'est à dire que tu changes ton INTENTION en faisant les choses..que ton intention devient plus juste pour TOI... parfois tu obtiendras cette reconnaissance que tu n'esperais plus,et elle sera un beau cadeau..un bonus,mais pas un du..et la saveur en sera agreable,mais ce ne sera plus ton carburant,tu l'apprecieras à sa juste valeur,c'est à dire relativement minime puisque celle qui compte,c'est la tienne de reconnaissance
-tu as conscience que c'est toi meme qui te mets dans ces situations difficiles,qui te mets la barre trop haute etc....il est en ton pouvoir seul d'arreter de te faire souffrir,de prendre soin de toi et de respecter tes limites ..je te souhaite d'arreter avant,mais sinon,quand tu seras vraiment fatiguée,tu le feras..d'abord peut etre par epuisement certes,un "plus le choix",et puis tu te rendras compte qu'etre dans le lacher prise,ben en fait c'est le pied,et que ça ne t'en rend que plus forte et "efficace",mais pas efficace comme tu le croyais avant..juste que tu te disperses moins dans des chimeres sans sens reel pour TOI
-si ta famille te rabaisse continuellement,pourquoi lui parler de tes projets et de tes reussites?tendre le baton pour se faire battre?confirmer ce que tu crois de toi:que tu n'es pas à la hauteur? je ne te juge pas et ne t'accuse de rien hein,mais l'autre ne revele que ce qui existe dejà en toi..si tu manques d'estime de toi,tu liras toujours dans les yeux de l'autre ton insuffisance,et tu iras dans les situations qui confirment que tu as raison de ne pas croire en toi..les fausses croaynces ça s'appelle,et c'est super puissant les fausses croyances,mais demontable...et remplaçable par des croyances porteuses pour toi et bienveillantes envers toi-meme..
faire le deuil de la reconnaissance de se parents,c'est long,parfois tres douloureux,parce que c'est un deuil,donc phases de colere tristesse solitude...mais ça fait grandir comme peu de choses font grandir..alors je te souhaite de bien continuer sur ce chemin..parce qu'au fond,d'apres ce que tu ecris,je crois sentir que tu as bien conscience que ce n'est pas eux qui te font souffrir,mais toi qui leur donne le pouvoir de te blesser
...etc etc
j'ai précisé,c'est en vrac,désolée si je suis à coté de ta plaque
-on peut s'affranchir de la reconnaissance d'autrui,et c'est une liberation interieure enorme..pour cela un des trucs et dejà de s'apporter à soi meme cette reconnaissance selon tes criteres à toi,tes besoins à toi,tes envies à toi...
quand j'étais encore dans la quete de reconnaissance de mes parents et famille,en fait,c'était la petite fille en moi qui recherchait cette reconnaissance..quand la personne adulte que je suis a re-connu la petite fille qui est en moi,avec ses douleurs,ses fragilités et ses forces...je me suis completement affranchie de la reconnaissance de l'autre
je confondais aussi à l'epoque amour et reconnaissance..je pensais que parce qu'ils ne me reconnaissaient pas,alors c'est qu'ils ne m'aimaient pas ou mediocrement.......quand j'ai compris qu'ils m'aimaient meme s'ils n'étaient pas aptes à me soutenir dans ce que j'aurais voulu,parce qu'on est differents,et que eux memes finalement manque de confiance en eux,et que leurs propres problematiques les empechent de faire autrement,et que je dois aussi accepter leurs defaillances...ben j'ai gardé l'amour et je me suis dépatouiller seule de la reconnaissance
-quand tu ne recherches plus la reconnaissance d'autrui,c'est à dire que tu changes ton INTENTION en faisant les choses..que ton intention devient plus juste pour TOI... parfois tu obtiendras cette reconnaissance que tu n'esperais plus,et elle sera un beau cadeau..un bonus,mais pas un du..et la saveur en sera agreable,mais ce ne sera plus ton carburant,tu l'apprecieras à sa juste valeur,c'est à dire relativement minime puisque celle qui compte,c'est la tienne de reconnaissance
-tu as conscience que c'est toi meme qui te mets dans ces situations difficiles,qui te mets la barre trop haute etc....il est en ton pouvoir seul d'arreter de te faire souffrir,de prendre soin de toi et de respecter tes limites ..je te souhaite d'arreter avant,mais sinon,quand tu seras vraiment fatiguée,tu le feras..d'abord peut etre par epuisement certes,un "plus le choix",et puis tu te rendras compte qu'etre dans le lacher prise,ben en fait c'est le pied,et que ça ne t'en rend que plus forte et "efficace",mais pas efficace comme tu le croyais avant..juste que tu te disperses moins dans des chimeres sans sens reel pour TOI
-si ta famille te rabaisse continuellement,pourquoi lui parler de tes projets et de tes reussites?tendre le baton pour se faire battre?confirmer ce que tu crois de toi:que tu n'es pas à la hauteur? je ne te juge pas et ne t'accuse de rien hein,mais l'autre ne revele que ce qui existe dejà en toi..si tu manques d'estime de toi,tu liras toujours dans les yeux de l'autre ton insuffisance,et tu iras dans les situations qui confirment que tu as raison de ne pas croire en toi..les fausses croaynces ça s'appelle,et c'est super puissant les fausses croyances,mais demontable...et remplaçable par des croyances porteuses pour toi et bienveillantes envers toi-meme..
faire le deuil de la reconnaissance de se parents,c'est long,parfois tres douloureux,parce que c'est un deuil,donc phases de colere tristesse solitude...mais ça fait grandir comme peu de choses font grandir..alors je te souhaite de bien continuer sur ce chemin..parce qu'au fond,d'apres ce que tu ecris,je crois sentir que tu as bien conscience que ce n'est pas eux qui te font souffrir,mais toi qui leur donne le pouvoir de te blesser
...etc etc
j'ai précisé,c'est en vrac,désolée si je suis à coté de ta plaque
Invité- Invité
Re: Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
Que de sagesse et de pertinence dans ta réponse
Tu n'es absolument pas à côté de la plaque. Ton décodeur fait profondément écho au mien.
Par une brève formation en communication non violente, j'avais déjà amorcé l'idée que ma quête était intérieure tout comme les clés pour y mettre fin. Les mots AUTRE INTENTION sont sans doute la clé. La blessure est dans l’attente d’une chimère. Les besoins familiaux sont en miroir. L’escalier est donc sans fin. Il ne tient pourtant qu’à moi de ne plus jouer dans ce jeu malsain et de cesser de donner du grain à moudre au moulin de la comparaison. Apprendre à faire les choses pour soi et non pour les soumettre au regard des autres. Tu me renforce dans le chemin que j’entrevoyais dans le brouillard et je t’en remercie. Reste à traduire concrètement cette autre intention.
Tu n'es absolument pas à côté de la plaque. Ton décodeur fait profondément écho au mien.
Par une brève formation en communication non violente, j'avais déjà amorcé l'idée que ma quête était intérieure tout comme les clés pour y mettre fin. Les mots AUTRE INTENTION sont sans doute la clé. La blessure est dans l’attente d’une chimère. Les besoins familiaux sont en miroir. L’escalier est donc sans fin. Il ne tient pourtant qu’à moi de ne plus jouer dans ce jeu malsain et de cesser de donner du grain à moudre au moulin de la comparaison. Apprendre à faire les choses pour soi et non pour les soumettre au regard des autres. Tu me renforce dans le chemin que j’entrevoyais dans le brouillard et je t’en remercie. Reste à traduire concrètement cette autre intention.
ptiteQrieuse- Messages : 7
Date d'inscription : 02/09/2012
Age : 55
Localisation : belgique
Re: Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
B'soir
Quel beau chemin
@ ayaaaahh : +1
@ ptiteQrieuse : poser la question est déjà y répondre paraît-il et tu le fais très bien...
Quel beau chemin
@ ayaaaahh : +1
@ ptiteQrieuse : poser la question est déjà y répondre paraît-il et tu le fais très bien...
Michel- Messages : 93
Date d'inscription : 12/05/2012
Age : 55
Localisation : région de Liège (enfin... presque...;o)
Re: Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
Je plussoie ayaaaahh .
J'ai longtemps attendu la reconnaissance de ma famille, en vain.
Comme toi, je ne subissais que des critiques .
Récemment, je leur ai dit que celà me blessait de ne jamais ressentir de soutien de leur part dans ce que j'entreprenais, et maintenant, je n'attends plus rien, je ne leur dis plus rien non plus de mes projets.
Celà me permet de me réaliser pleinement, je suis juste satisfaite de ce que je fais pour moi, et cette satisfaction personnelle n'est plus ternie par l'attente de cette chimère dont tu parles et celà fait du bien là où ça faisait mal !
J'ai même cru à un moment que n'attendant plus de reconnaissance extérieure, j'allais perdre mon envie de tout faire, et que j'allais peut-être pouvoir me reposer... mais non, je prends donc bien conscience que cette reconnaissance familiale n'était pas mon moteur. Et chaque accomplissement d'un besoin/d'une envie est encore plus jouissif quand on se rend compte qu'on l'a réalisé rien que pour soi.
Aujourd'hui, je reçois encore des critiques parfois, mais elles ne m'atteignent plus car là n'était pas mon but .
Comme le dit très bien ayaaaahh, le chemin est long et parfois douloureux, mais il fait grandir, c'est indéniable.
Bon courage.
J'ai longtemps attendu la reconnaissance de ma famille, en vain.
Comme toi, je ne subissais que des critiques .
Récemment, je leur ai dit que celà me blessait de ne jamais ressentir de soutien de leur part dans ce que j'entreprenais, et maintenant, je n'attends plus rien, je ne leur dis plus rien non plus de mes projets.
Celà me permet de me réaliser pleinement, je suis juste satisfaite de ce que je fais pour moi, et cette satisfaction personnelle n'est plus ternie par l'attente de cette chimère dont tu parles et celà fait du bien là où ça faisait mal !
J'ai même cru à un moment que n'attendant plus de reconnaissance extérieure, j'allais perdre mon envie de tout faire, et que j'allais peut-être pouvoir me reposer... mais non, je prends donc bien conscience que cette reconnaissance familiale n'était pas mon moteur. Et chaque accomplissement d'un besoin/d'une envie est encore plus jouissif quand on se rend compte qu'on l'a réalisé rien que pour soi.
Aujourd'hui, je reçois encore des critiques parfois, mais elles ne m'atteignent plus car là n'était pas mon but .
Comme le dit très bien ayaaaahh, le chemin est long et parfois douloureux, mais il fait grandir, c'est indéniable.
Bon courage.
Invité- Invité
Re: Comment être reconnue à ma « juste valeur » dans ma famille ou l'ego de chacun domine ?
je me suis longtemps demandé si je n'avais pas été adopté ou quelque chose de ce genre tellement mes parents avaient tendance à ne pas me montrer de preuves d'amour. maintenant je comprends mieux. ça n'empêche pas de ne pas m'entendre avec ma sœur (à coup sûr non zébrette) et à continuer à m'insurger de comportements primaires à l'intérieur de ma famille.
Comme j'ai tendance à tout voir, tout sentir je suis un peu comme le vilain petit canard qui plombe l'ambiance. Je vais essayer d'être moins donneur de leçon dans l'avenir car ce n'est pas la solution...
Comme j'ai tendance à tout voir, tout sentir je suis un peu comme le vilain petit canard qui plombe l'ambiance. Je vais essayer d'être moins donneur de leçon dans l'avenir car ce n'est pas la solution...
nikoku74- Messages : 1431
Date d'inscription : 22/06/2012
Age : 49
Localisation : Loire
Forum ZEBRAS CROSSING :: Zèbrement vous :: Vie de zèbre :: La famille, les parents, les enfants et leur éducation
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum