Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
+37
16dims
maalesh
NewHope
SoleilSombre
MegaHz
Manou
halogène
Numero6
Fata Morgana
moldamel
Lola the cat
Ringodes&les40bisous
filsdupeuple
rv
Power Ranger Vert
mimie45
elfe
follofficielle
citadin
Carla de Miltraize VI
Tuvatroloinmomo
Harpo
Deviens
MarSupilami
Darth Lord Tiger Kalthu
⚡ Foxy Charlie ⚡
Andromaque
8gseagffs
Vincent78
ViVie
AlwaysOnTheRun
Zzita
Bliss
Fa
May Lee
negativedandy
RichardMayhew
41 participants
Page 13 sur 20
Page 13 sur 20 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 16 ... 20
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est pas faux.
Pendant que j'attends la rotation de la goupille, je suis ton conseil MEPU, un petit Mennetou Salon sans trop de sulfites.
Chou dans la cocotte. Le célibat te permet quand même des audaces alimentaires.
Pendant que j'attends la rotation de la goupille, je suis ton conseil MEPU, un petit Mennetou Salon sans trop de sulfites.
Chou dans la cocotte. Le célibat te permet quand même des audaces alimentaires.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est génial ici, entre deux conseils culinaires, l'esperluette m'envoie sur Hopper et Caillebotte. Génial. Je déplore la tendance Française à s'extasier devant les ricains. Caillebotte c'est autrement mieux, c'est mieux.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je voudrais informer les femmes, les âmes sensibles, les parisiens, les musulmans, les convertis, les parachutistes, les légionnaires, les fonctionnaires, les non-fumeurs, les bien-portants, les surdoués, les surdouées, les autres, les malsains, les arrogants, qu'en aucun cas les lignes qui vont suivre ont eu pour objet, fonction, ou mégarde de vouloir attenter à leur étanchéité, probité, débilité ou allocations familiales.
On vous aura prévenu.
Je vais faire comme SEB, j'attaque au Spoiler. Trop bien la modo sous AD.
On vous aura prévenu.
Je vais faire comme SEB, j'attaque au Spoiler. Trop bien la modo sous AD.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non-sens.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:42, édité 1 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
euh. Je voudrais pas déranger, mais au sujet de cette phrase "tout le monde t'as oublié blabla", ça affiche Invité quand on est déconnecté.
Et sinon je comprends toujours pas pourquoi mes mots paraissent vulgaires et choquants et pas ceux de Numéro6. Je voudrais comprendre, un jour.
Et sinon je comprends toujours pas pourquoi mes mots paraissent vulgaires et choquants et pas ceux de Numéro6. Je voudrais comprendre, un jour.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un utilisateur perfide dont je protégerai l'anonymat vient de me dire : "attirée par de nouveaux remous provenant du fil de l'homme libre, May Lee ondule entre les hautes herbes de la savane, la curiosité dans l'oeil et le venin aux dents". Mais merde chiotte putain, quel venin ?
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Eternité de la langueur.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:43, édité 2 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- La Compagnie Zebra S03E01 In, to, then Wild :
- Visite d'agrément, contrat d'objectifs et de moyens, norme ISO2009, quelques naïfs imaginent dans leur délire de vraie vie sauvage dans des contrées lointaines, que l'Administration Française freine son oeuvre de destruction massive au-delà des frontières de la République une et indivisible.
Que nenni.
Si tu veux te sentir "Into the wild", rend-toi aux guichets de n'importe quelle administration entre 15h47 et 15h50 un vendredi après-midi...
Un camp militaire retranché doit se soumettre pareillement.
Comme nous n'avions pas répondu aux critères de soutien à une politique de développement durable, il avait fallu commander au Quai d'Orsay, et de toute urgence, valise diplomatique, livraison dans la demi-heure sinon remboursé, une calzone et deux Primavera, cette splendide ode au mauvais goût qui trône sur le mur du mess des officiers, affiche immense où une nature violée comme une pute chinoise de dernière zone sur un chantier de construction de Centre Afrique, se voyait apporter une lueur d'espoir sous la forme d'une poubelle dévolue au tri sélectif des métaux lourds.
Dans un camp ou la moindre munition te propulse de l'uranium appauvri à qui en veut, on rigolait surtout de penser que les officiers devaient se coltiner l'ordinaire avec cette vue immonde tous les jours. Quand on dit uranium "appauvri" c'est pour faire poli, parce qu'à la Zebra Compagnie personne n'a plus de thyroïde, on parlera plutôt de gloubiboulga variable, certaines progressions cervicales faisaient l'admiration. Mort étouffé par sa thyroïde avant même d'avoir pu défourailler le moindre pruneau.
Sur la fin, on tentait de leur redonner un peu de dignité humaine. La petite bergère pré-pubère du champ d'à-côté, son petit frère ou sa cousine, on l'attachait sur une planche, il restait des clous de la construction du camp. Le goitreux souffreteux, il n'avait plus qu'à faire l'effort d'appuyer sur la gâchette, on lui calait l'engin sur l'épaule. C'est notre coté ludique, on aime l'authentique. Parce qu'avec sa thyroïde en feu, les yeux lui sortaient tellement des orbites qu'on lui clôturait les paupières la nuit, pour ne pas être ébloui par ses deux gyrophares, il ne voyait plus rien, pour sortir le colosse de ses braies, c'était tout au tactile.
Stop, on t'aura prévenu(e), après c'est pire.
- La Compagnie Zebra S03E02 Ta gueule, Mandelbrot :
- Une poupée gonflable, un sac de ciment, pour lui, il n'aurait pas vu la différence.
Mais à la Zebra on a le respect de la dignité, le soldat donne sa vie pour la Zebra, la Zebra bande pour ses soldats. Alors la petite Meriem, ses cris de chatte écorchée donnaient ce réalisme qui permet au soldat de partir rejoindre le troupeau de ses ancêtres l'âme en paix : il avait bien créer une nouvelle fractale avant de mourir. Si, si, je garantis. Une Meriem déchiquetée à bout portant par une chemisée perforante de 12.65 à tête explosive, ça ne disperse pas façon puzzle, ça Mandelbrot. Et comme le disait Bacon, Francis pas Henaff, personne n'est Innocent. Regarde bien les fragments humains, tu plisses les yeux, et tu tournes la tête sur la droite, tu vois nettement un petit rond qui prolonge un gros rond, avec plein de petits ronds autour, l'orifice thoracique qui se prolonge jusqu'à l'orifice buccale, mixte de création humaine assouvie et merveille de la nature. L'armée ne veut pas des robots, l'armée veut des créatifs.
Comme ça, la truie pourrie que franchement on lui aurait souhaité un bec-de-lièvre à la naissance pour que notre mère la sécurité sociale lui rembourse une chirurgie faciale, celle qui devait cocher les cases de la visite de certification, avait pu cocher l'objectif j-24 : défense de l'environnement. On avait réussi à supporter sa visite en évoquant le petit sifflement que devait faire sa fistule lorsque se lâchait à tenter une Deepthroat des familles. Fistules, je vous hais. Plus personne ne connaissait son nom. Fistule elle était née, fistule elle mourrait.
Putain d'affiche. Avec ce qu'elle avait coûté, on aurait pu acheter des steak frais au Kaboul Hilton, le camp retranché des ricains de l'autre coté du fleuve. Tu vois ce qui me fait dire que la France se barre en couilles, c'est que, lorsque les gestionnaires de l'intendance ont commandé des écharpes, personne à Paris n'était en mesure d'apprécier la légitimité de la chose. Il faut bien avouer que les goitreux se repéraient la nuit à trois kilomètres avec leurs fluorescence thyroïdiennes.
C'est plaisant, la nuit, et l'Ouzbek est joueur, le seul problème c'est que tout ce qu'il a retenu de la religion marxiste c'est la vodka pure au petit déjeuner, alors vers deux heures du matin et trois bouteilles derrière le turban, il tire comme il peut le descendant de Mohamed. Tu t'en prends une comme un rien.
Bon, les enfants sont couchés au moins ? C'est vraiment glauque dans le troisième épisode.
- La Compagnie Zebra S03E03 Yaya est sympa :
- Surtout Yasedine, depuis qu'il a pu s'offrir son putain de mortier, il nous crache sa purée dés qu'il dépasse le 2.5 gr/l de sang dans la vodka qui lui sert de vecteur circulatoire et oxygénateur par la même occasion, et attention dés onze heures du matin, il devient facétieux Yaya. Comme tous les nouveaux riches il se fait avoir par les frais annexes, son beau mortier s'accompagne d'un contrat de maintenance si coûteux qu'il a du vendre ses trois femmes et deux de ses chameaux. Il s'est gardé une chamelle pour la tendresse. Alors le moudjahidin, il lésine sur les munitions.
Quand ses petits copains ne sont pas là, il bricole des boulettes de C4 qu'il dissimule au milieu de celles d'opium, un détonateur réglé sur cinq secondes, tac, un coup de talon pour débloquer le ressort planqué dans le fut du mortier, et hop, ni vu ni connu, tous ses potes croient avoir affaire à un dieu de la guerre. Bon, le Yaya faut lui reconnaître une grosse paire de couilles qu'il met en jeu toutes les nuits avec son mortier Castorama, on en connaît qui se sont fait péter la réserve à mitoses un soir de pleine lune pour moins que ça, les cours pour intégrer la joyeuse équipe des pédophiles à la croix de bois restant assez rares en cette terre d'Islam.
Alors Yaya et ses potes, tu crois qu'ils visent quoi la nuit ? Les thyroïdes qui scintillent là-bas dans le noir, comme des lucioles en sursis. C'est sur que la commande d'écharpes peut paraître incongrue au fils d'enfant malade qui s'occupent de l'intendance dans son beau bureau des Invalides, mais si au lieu d'aller toutes les après-midi au musée Rodin pour soupirer devant la statue d'Ugolin dévorant ses enfants (car comme toutes les couilles-molles de sa génération, son fils avait pris le pouvoir à la maison trois heures après sa sortie de la maternité (trois-zéro-zéro comme disait sa femme, pour parodier les habitudes militaires en insistant lourdement, le regard planté dans le sien, sur les ZERO-ZERO), alors le Ugolin pour lui, quelque part, c'est comme un gros fantasme), cette larve famélique, produit dégénératif d'une armée en déclin, si elle avait pris la peine de regarder le bulletin météo du jour sur Kaboul, elle aurait compris le rôle thermique de l'écharpe, à défaut d'en subodorer l'intérêt stratégique.
Les sacs à vomi sont sur le dossier du siège devant vous. Prenez-le, il est gratuit.
- La Compagnie Zebra S03E04 NewHope se cloitre :
- Tu crois que notre Administration subit une pression naturelle, et arrête ses nuisances lorsque des vies sont en jeu ? La France fout le camp, non mais, dans quel monde tu vis, toi ? Va dire ça dans un hôpital, et le premier médecin qui pourra lâcher son stylo à remplir des formulaires inutiles te le mettra, ton suppositoire à l'arsenic, juste avant de pouvoir aller sauver les vies qui restent à sauver.
Quand je t'écoute, je me dis que tu mérites à peine le droit de mourir. Je suis sur que tu vas crever sans que personne ne t'attache qui que ce soit sous la gâchette, même pas une petite mousmé en hommage pré-posthume, non, tu vas crever entre un sirop pour la spasmophilie et une plante verte artificielle. Tu es déjà mort et tu ne le sais pas.
C'est pourquoi, la Zebra Compagnie se vit doter des plus modernes chiottes chimiques de l'armée française, certifiée Bio 9010, qui te transforment de la crotte d'officier de marine en fertilisant utilisable sous n'importe quelle latitude. Le nec plus ultra du retraitement de l'étron. Une petite merveille technologique, en coulant un bronze tu sauves la planète. Après, tu balances ton uranium appauvri sur toute la vallée l'esprit plus guilleret. Il n'existait plus la moindre pousse végétale sous l'humus dans un rayon de 30 kilomètres, mais nous arrosions ces ognons flétris avec du fertilisant de chez Maxim's. Et encore, va savoir ce que foutaient les ricains, ils sont assez joueurs dans ce domaine, et ils avaient les moyens, eux.
Les chiottes de l'élite, les latrines du futur, sont blindées. Non pas pour protéger le soldat en phase de relaxation sphinctérienne, mais pour éviter qu'un obus malencontreux perfore les parois et mélangent les produits hautement toxiques nécessaires au fonctionnement de cette usine à merde. Le concepteur avait inclus une vraie porte blindée à l'entrée, munis d'un verrou, actionné par NewHope. Comme l'aurait dit Saint François d'Assise dans son ode à la petite libellule de Provence "viens ici, ma petite libellule" : "l'évêché était fermé de l'intérieur."
Les malaises vagaux se démerdent, vous ne pourrez pas dire que vous n'étiez pas prévenu. OH, les gamins, un malaise vagal tu dégrafes le soutif à portée, ça ne sert rien, ça te donne une image protectrice et tu peux vérifier si ta voisine de gauche est relativement propre.
- La Compagnie Zebra S03E05 Drogues et autres contingences :
- Ce dégénéré de NewHope, dit la gomme, dit le poète, s'était enfermé dans les goguenauds, et attendait le départ de sa fusée intersidérale. Toutes les semaines il devait suivre son traitement et mettre la tête 17 minutes dans la QI-killer, un truc ricain qui te calmait l'arborescence, te liquidait l'empathie et te remettait la sensibilité au niveau d'un fonctionnaire d'un guichet de ta CPAM. Le doc supposait qu'il s'était endormi dans la machine, une sorte d'effet-rebond, on se perdait en conjectures et en marché noir pour le PQ, l'installation des chiottes du futur nous privant de la fourniture de papier hygiénique, puisque se sont les coquillages coprophages qui faisaient le ménage anal dans l'usine à faire réélire Cécile Duflot.
Situation bloquée. Le coté occlusif de la situation mettait à mal l'humour des surdoués. Et pendant ce temps-là, l'autre débile continuait de hurler dans sa casba du colombin du futur : "ne m'écoutez pas, si je renonce ne m'écoutez pas, je dois partir vers Jupilon, me reproduire entre Saturne et le premier satellite de Neptune. Rien ne me raccroche plus à cette terre désolée, mes enfants garderont cette blessure à l'âme de cette planète qui auraient du être la leur".
Inutile de préciser que plus personne ne prêtait attention aux facéties de nos collègues muslims. Tu sais que j'ai reconnu le petit Matteo, mais si, celui de la Cité Fleurie, le fils d'Allison Moribard, c'est ça, l'allumé du Leclerc, c'est ça, le converti à l'Islam. Déjà qu'il était con comme athée, mais alors comme Moudjahidin converti, il était devenu invivable. Le Yaya je peux te dire qu'il a failli lui mettre un coup de mortier plus d'une fois à l'exalté de banlieue. C'est ça le problème avec les convertis, ils en font trop, ils ne connaissent pas le véritable islam, une religion de tolérance.
Yasedine, quand il a vu Ethan vouloir faire sauter le stock de Vodka, il lui a envoyer un Exocet dans sa face. Déjà que l'autre con avait choisi Ethan comme prénom lors de sa conversion à l'Islam, le musulman est tolérant et apprécie la finesse de l'humour, mais il y a des limites, et lorsqu'il avait fait mine d'envoyer sa grenade dans la cambuse, je peux te dire que le surnom de Yaya, le Pilon de la majorité silencieuse, il a tout fait pour la mériter ce jour-là.
Fata, fais tourner, merde.
- La Compagnie Zebra S03E06 Bitch, oh ma Bitch :
- L'islam interdit l'alcool, qu'il répétait ce con-verti. Et alors, nous on n'a pas d'alcool, on a de la vodka. Yasedine, il rigolait vraiment pas avec ça, l'opium lui flanquait des migraines Black et Decker, le genre vibration ininterrompue qui te transperce le pariétal. Le Krokodile refourgué par Fata aux combattants de la liberté, lui faisait monter des acidités burpesques. Non, la Vodka était nécessaire.
Si je te dis ça, tu comprends bien que ce n'est pas pour frimer. Quoique, reconnaître Matteo dans la fine équipe en face, grimé de son turban, le visage remodelé par ses camarades façon exposition Beaubourg, une boule et un carré sont dans un bateau, faut quand même être synesthète. C'est Patate qui a lancé aux collègues d'en face : "on vous reprend Ethan-Matteo si vous nous prenez NewHope". Le silence sur la vallée. La tronche cathodique de Le Pen pour le second tour de 2002, la bite-surprise de la petite Chloé-la-mignonne, ce genre de courbure de l'espace-temps lorsque tous les humains sont confrontés à une putain de bonne idée.
Il n'y avait que l'autre tache pour continuer à hurler : "que vrombissent les étamines, que propulsent les gastéropodes, que me rejette la décadente excroissance de l'existence maudite des asymptotes, que l'excrémentielle explosion de l'humain accélère le ventilateur de mon mépris, laissez bruire les réacteurs, que jaillissent les volubiles émanations des turbines volumétriques". Ta gueule, NewNew, tu vois pas qu'on négocie avec Momo.
Il savait qu'il était foutu le NewHope, d'une façon ou d'une autre. Tu n'obliges pas 121 soldats à se retenir pendant deux jours, sans qu'un certain sens de la plaisanterie se manifeste en retour. Tu mets 121 surdoués pour torturer le plus surdoué des surdoués, juste pour qu'il invente un châtiment dont le thème serait "le colon du colonel", châtiment qui lui sera appliqué avec la méticulosité et la détermination de l'armée française lorsque les guichets clos de l'administration la laisse napalmer en paix. Choisis ta mort, camarade.
Si par chance il était échangé contre Ethan, Yaya lui ferait le coup du baptême à l'Opinel Ouzbek. Parce que la chamelle c'est tendre, c'est vrai, ça en redemande, c'est vrai, mais rien ne remplace la chaleur d'un compagnon d'arme. L'islam ne veut pas des robots, l'islam s'adapte, l'islam est tolérance. Alors, quand il récupère un roumi démuni, je te raconte pas comment le Yaya va te l'envoyer dans l'espace, au septième ciel qu'il va le mettre le NewHope, lui satelliser la rondelle qui permet habituellement de se tenir silencieux en société.
Épisode déconseillé aux trépanés du gland émotif.
- La Compagnie Zebra S03E07 L'Opinel Ouzbekh :
- Mais avant d'être une bête lubrique, Yaya est avant tout un bon musulman, et un bon musulman respecte la tradition. Avant d'aller explorer ton sigmoïde les vendredi soir que c'est le jour de repos d'accord, mais que Thalassa, ras-le-bol, le bon musulman te choppe le prépuce et te le guillotine avec le premier truc tranchant venu, le fameux "Opinel Ouzbekh".
C'est là que NewHope commençait à sentir que son destin devenait franchement vulnérable, parce que son prépuce avait rejoint depuis bien longtemps la savane de ces ancêtres, et que le Yaya y pouvait pas passer pour un con, fallait que le roumi saigne, au moins un peu, juste pour ne pas passer pour un rigolo auprès de ces potes, sinon c'était pas la peine de se ruiner pour s'acheter ce mortier de malheur.
Son destin avait vraiment un goût de chiotte, à NewHope, toute plaisanterie mise à part. "Laissez-moi retrouver l'origine de ma fin". Sois pas pressé, on négocie. Je reste persuadé que la QI-Killer n'était pas la seule responsable, aucun neuneu ne prendrait de tels risques. Je soupçonnais NewNew d'avoir sucé des munitions "appauvries" trempées dans de l'opium. Avec la manie qu'il avait de tout lécher, l'hypothèse tient la route.
Lorsque tu t'engages dans la grande muette, tu prêtes serment solennellement de fermer ta gueule quoi qu'il arrive, et que si tu sentais encore bouger les tchadiens sous les chenilles de ton bull, tu ne le racontes pas à la Garenne-Bezon pour impressionner ta petite cousine, que, de toute façon, te fatigue pas, elle est goudou.
Mais à YayaLand, pas besoin de signer. Pas besoin de raconter. Personne ne nous croirait. Les clichés d'Abou Ghraib, c'était juste la partouze du vendredi. Si les amputés du thalamus qui bossent à CNN avaient pris la peine de regarder les photos, ils auraient reconnus Kevin et Burt dans la pyramide humaine. Je vois bien pire dans n'importe soirée de province métropolitaine où les petits se vomissent dessus avant de commencer à s'agiter comme des gorilles, je n'appelle plus ça danser depuis longtemps.
Qui m'aime me suive. Les autres peuvent lire aussi, je déconnais
- La Compagnie Zebra S03E08 May Lee rencontre IK. Parce que comme c'est moi qui fait le boulot je marque ce que je veux. ça va ma poulette ? ça agace, poulette, hein, féministe de banlieue :
- Mais à Abou Ghraib, non, faut pas choquer l'électeur. Tu peux raser une ville entière avec la Mother-of-Bomb, mais si tu fais pipi sur Kevin déguisé avec sa barbe à la con, on te répudie, on te coupe les vivres, on te colle en tôle. Les pisseuses d'ennui sont là pour s'épanouir. Tout est dangereux, tout est menaçant. C'est-y humain et respectueux des valeurs de la démocratie que d'uriner sur son petit camarade du Kentucky ?
Des philosophes s'interrogeront pendant des siècles pour tenter de proposer un schéma interprétationnel (oui, dans le futur aussi ils jargonnent comme des cons) à ce délire sociétal qui laissait les femelles quadragénaires se proclamer prêtresse du bon goût pour la santé mentale et la sécurité émotionnel de nos enfants, et interdire tous les trucs rigolos que l'être humain avait inventé pour oublier qu'il va mourir. A commencer par la pipe, le tir au pigeon, le lancer de nains, la main au cul dans le métro, la deuxième démarque des soldes, le canard vibrant.
Chez nous on a les mêmes. Un recensement à l'uranium, là, tu peux te lâcher (il reste combien de vivant ? Aucun ? C'est bon, on continue le recensement dans le bled à-côté), de toute façon, aucune image ne sera diffusée. Tu peux même empoisonner tous les puits d'une vallée avec de la canneberge, là, il n'y pas d'image, vas-y soldat. Mais si tu lâches un étron enrichi au cholestérol dans la vallée du lac de Ghor, là, tu risques, ta carrière, et une balle dans le cul par-dessus le marché. Ta photo sur Facebook lorsque tu coules un bronze avec ton sourire à la con, les jours de vent d'Ouest pour emmerder les potes à Yaya, si jamais elle se retrouve sur un bureau du Quai d'Orsay, là, t'es mal.
Tu vois ce qui m'énerve chez toi, c'est cette vision cloisonnée du monde. Mais sors un peu de la 9-3 comme ils disent chez Saab, va jusqu'à Bastille, ouvre ton esprit, et réfléchis au fait que des petits connards comme ta gueule, des branleurs surdoués et géniaux, il y en a aussi au Quai d'Orsay. Une fois qu'ils ont expédiés le taf réclamé par la nation en moins de dix minutes, ils font quoi les surdoué du Quai d'Orsay, avec leur accréditation Secret-Defense ? Comme toi, ils vont chercher les conneries sur YouTube et FaceBook. A part que, eux, ils ont accès à des trucs beaucoup plus hard.
May Lee, t'es pas cool, je déconnais. Mais oui, j'ai fait la vaisselle. Ta mère est changée. Ton père est bordée. J'ai payé la caution pour ton frère. j'ai bien le droit de m'amuser un peu. Palsambleu, arrêtes de me défoncer le crane avec le fer à repasser, tu sais combien je l'ai payé le Calor à vapeur ?
Les féministes sont informés que l'auteur ne fait que relater des faits réels. Un pays entier sur une tournante. N'ouvrez pas le spoiler suivant, il est insultant, il est répugnant, il nauséabonde, il bassesse, il avilit, il négationne. Mais il donne envie de voyager en Afrique équatoriale.
Vous êtes prévenus.
- La Compagnie Zebra S03E09 Tournante du siècle :
- Par exemple ?
Le viol collectif de la petite Oungourou Kombé de la province de Nanga Eboko, filmé par 787 téléphones portables, une production Hollywoodienne, les transports de troupe venus de tout le pays, les Transals qui déversaient leurs bataillons de violeurs en puissance, les 4x4 aménagés avec distributeur de capotes intégré, les pousse-pousse importés du Tonkin, une marée humaine, de la testostérone en Tsunami, une folie collective avec les moyens de transport modernes.
Les quatre voies d'une autoroute furent bitumées en pleine brousse, on installa des points relais avec distribution de Viagra, les ouvriers se repéraient sur la colonne de fumée issu du fion de la petite Oungourou, d'être vaguement humain puisque nègre, elle se cristallisait en émission géologique. Seule la pingrerie congénitale du Colonel David Dussentier nous priva des troupes d'assaut maintenues en alerte sur le porte-avion "Deux Gaulles", les Rocco Siffredi de la marine nationale, troupe d'élite pour les tournantes, qui refusa de verser les 7 euros que lui réclamait le douanier camerounais pour l'appontage dans la baie de Douala.
Lorsqu'il tomba dans un bain d'acide, le meurtre de Dussentier ne choqua personne, la cohésion de l'armée française ne souffre pas l'avarice individuelle.
Cette production monumentale de l'armée française pu être filmée grâce à un astucieux stratagème, 12497 figurants qui acceptèrent de travailler bénévolement, et une seule actrice rémunérée qui ne vint jamais réclamer son cachet. Quand l'esprit français croise le panache gaulois, on sort de "plus belle la vie" ou de "l'instit". Voltaire, DuGuesclin, la Marie Brizzard, et Pujadas, voilà la France que l'on aime.
C'est quand même autre chose que Sasha Grey sur YouPorn.
Tu vois l'eau de ton bain qui termine de s'écouler et qui forme un tourbillon à l'envers en direction du siphon, dans le sens des aiguilles d'une montre, mais uniquement parce tu prends tes bains dans l'hémisphère Nord, et bien ça. Tu remplaces juste ta baignoire par le Cameroun et l'eau par les militaires en poste au Cameroun, le siphon vers où tout con-verge c'est Oungourou. Bagdag sous les tombes, même Bliss n'aurait pas tenu le coup. Non, je déconne, mais presque. Au porte-avion près.
Tu comprends bien qu'un immature au QI aussi énorme que ma bite ne va pas s'arrêter là, et comme tous les surdoués assumés, il a besoin d'élever son esprit. Le cliché de Yaourst, le ben sur les chevilles, le cigare aux lèvres, la mâchoire crispée de deux jours de réserve, poussant dans l'urgence son étron en direction du sable Afghan, ce cliché-là l'intéressait plus que les considérations géopolitiques dont franchement il n'avait rien à foutre, déjà qu'il pétait bio, son empathie pour l'espèce humaine atteignait ses limites.
Seb, c'est vraiment du boulot ce truc
- La Compagnie Zebra S03E10 La pompe à vide :
- Le surdoué soldat est plus difficile à rendre performant, mais il reste un soldat. Et un soldat sans un autre soldat pour protéger son cul, il ne reste pas soldat longtemps. Quand 114 cerveaux hyper-performants intégrèrent (faut pas leur enlever ça, tu leur causes intégrales, ils réagissent plus vite que toi à l'annonce de ton licenciement) que les conneries de NewHope risquaient de leur coûter les modestes crédits que l'armée française leur accordait, ils comprirent très vite que les quelques obusiers, mitrailleuses et autres jouets que l'on n'avait pas pu fourguer aux Boliviens, ne leur seraient que d'une modeste utilité s'ils ne pouvaient pas acheter leur tranquillité d'esprit en rémunérant correctement les potes à Yaya. Déjà que ces salauds commençaient à renâcler sur le dollar, pas par idéologie (dés qu'il s'agit de pognon, tu sais où te la carrer ton idéologie, n'est-il pas) mais parce que le dollar ne vaudrait bientôt plus que son poids en papier recyclé, si jamais nous n'avions plus le moyen d'arroser à l'Euro cette terre fertile d'Afghanistan centrale, elle risquait de se transformer assez vite en Dien-Bien-Phu du pauvre.
Les palabres se poursuivirent sous l'absence de chêne ou de Baobab, pays de merde, et nous abordâmes l'épineuse question de la qualité de la version 4 d'Assasin Creed, une tuerie d'après Nourredine, une pure daube selon Akhenaton, un autre putain de converti, faites chiez les mecs, allez en Syrie pour défendre la démocratie et la liberté face à l'horrible dictateur élu, croire qu'Akhenaton est un prénom musulman, c'est un coup à passer pour une buse en Egypte, en Afghanistan, dans la banlieue Lyonnaise et l'univers proche de la nébuleuse de proxima du centaure, le samedi, les jours de solde.
Vendre NewHope. Même la plus pure pute pourrie de commercial véreux a du mal à effacer ce rictus involontaire. Personne n'avait réussi à l'acheter, alors celui qui le vendrait n'était pas encore né. En réalité, il fallait juste cacher à NewHope que son inexistence ne posait de problème à personne. Qu'on voulait bien l'appeler Madame NewHope juste pour lui faire plaisir. Le surdoué sait se tenir. Tu aimes le porte-jarretelles et le PSG, quel tourment abscons me pousserait à t'imposer le leggings et Nietzsche ? Ouais, tu connais pas, c'est le nouvel avant-centre de l'en-avant-Guingamp, il est bon, je t'assure.
Après la gomme, le gommeux, Desperate (ouais, comme les pétasses sur M6), son nouveau surnom c'était le Deuxième Pompe Laplace, tu sais, l'inventeur de la machine à vide. Bliss avait bénéficié de ce surnom en son temps, mais il avait été décerné en hommage à son immense beauté et à sa capacité pulmonaire hors norme. L'inexistence de NewHope était programmée.
Les négociations se poursuivaient, mais il s'agissait d'un jeu. Personne ne se souciait de Matteo ni de NewHope, l'équivalent de deux balles bien placées, les palabres portaient sur le devenir de l'usine à caca. Les plus débiles des Hazaras, le clan des Hachés Haimes, étaient convaincus que le blockhaus à étrons possédait des vertus magiques, et voulaient se l'approprier. Depuis le temps que les H&M faisaient de la merde, on aurait du se méfier.
Un piège à surdoué, une mâchoire qui se referme, un destin qui s'absout, une cacahuète dans le fion, putain, je dis vraiment n'importe quoi.
- La Compagnie Zebra S03E12 Le petit Robert et la grande Rousse s'en prenne au Littré :
- Sergio le fils maudit se contenta de déposer un dictionnaire Petit Robert à cinq mètres devant la porte des chiottes. L'édition 2010 qui venait juste de sortir. Il attendit. Une âme de sniper, une philosophie bouddhiste, seule la victoire est belle. Serge avait beaucoup de mal à s'intégrer au sein de la Zebra Compagnie. Malgré son QI exceptionnel, son cerveau fonctionnait normalement, sans aucun dys, il était sociable, ses enfants bénéficiaient d'une éducation basée sur la primauté du bonheur, il avait du dissimuler toute sa vie son bon sens, sa joie de vivre, et son admiration sans borne pour Zbigniew Brzezinski.
Souffrant du ridicule de son prénom, Serge, l'adjudant-chef Serge Ioléone, a toute sa vie bénéficié de l'exemple de son dieu, Zbigniew, qui survécut plus de trois ans dans un collège américain de banlieue perdue du Dakota du Sud avec ce prénom de merde, doublée d'une petite taille, et du prénom de son frère, Lech, rendu populaire beaucoup plus tard seulement avec le syndicat Solidarnosc.
Il s'était lui-même affublé de cette glorification de "fils maudit", pour se camoufler au milieu de cet océan de souffrance infantile que constitue un escadron de surdoués.
Mieux que le cri du billet de 500 euros pour la pétasse, mieux qu'un poste inutile convoité par le fonctionnaire de base, mieux qu'un scooter en bas de chez toi pour attirer les paparazzis, mieux que deux cars de CRS pour faire rougir Bliss, qui, je vous le rappelle, présente l'élévation d'esprit de s'intéresser plus au contenu qu'au contenant, surtout avec les homards et les cars de CRS, un dictionnaire posé devant les yeux d'un surdoué provoque deux réactions : "je l'ai déjà lu hier" ou "ont-ils corrigé la coquille page 927 de l'édition 1927 reliée-brochée sur papier Canson-Vélin et fini d'imprimer à Düsseldorf en temps utile." C'est con un surdoué, une fois que tu as admis cette règle de base, tu le baises avec les implicites.
Un normo-pensant aurait tout de suite deviné qu'on cherchait à l'attirer à l'extérieur des gogues. Le surdoué, non. Le surdoué prend un café chez Mahmoud, il pense qu'on lui pose l'énigme de la filtration des molécules aromatiques par les pores imparfaits d'un papier filtre de chez Lavazza, il croit devoir profiter de son odorat connecté directement sur l'aire occipitale sans passer par la lame ethmoïdale pour se mettre dans la position du lévrier afghan qui renifle le percolateur de l'ami Mama, que pourquoi lui, comme grand-mère, sait faire du bon café ? Tu fermerais ta gueule et tu payerais ta tournée, tu sais que tu paraîtrais presque humain, NewNew ? Le gros avantage d'être NP c'est de boire le café quand il est encore chaud.
En guise d'épilogue, comme le Duc. De Guise.
- La Compagnie Zebra S03E13 Gretchen :
- NewHope, il l'avait dans le prosibus et profondibus. La présence d'un c au lieu d'un ç dans la définition du collant opaque de l'édition de 1927 qui avait perdurée jusqu'à la 17° édition de 1967 revue et expurgée, "calecon avec des pieds", je mets le surdoué de base au défi de s'empêcher de vérifier illico, presto et de se lever du popo. Lorsqu'il se jura de niquer Larousse la prochaine fois qu'il rencontrait cette bitch (elle avait contourné l'obstacle en écrivant "Legging avec des pieds" (voir legging*)), il se rendit compte de la chance qu'il lui faudrait pour rencontrer Larousse un jour, Larousse toujours.
Même le Gros Robert, il n'était pas certain de revoir son fasciés aviné, détruit par l'abus de Mennetou-Salon pauvres en sulfites, mais au 13° qui tapent, surtout que si tu as de la chance, tu grattes facilement les 14, voir 15° plantigrade, suffit de connaître un petit producteur pas économe de la sucrette.
S'éleva dans son dos un souffle puissant, semblable au bruit étouffé des chenilles en action des chars Patton de la WW2 sur les plages d'Utah-Bitch et Omaha-Bitch, portés par la brise de la Tepu, produit par 37 recto-sigmoïdes se soulageant en même temps dans les dix vasques prévues à cet effet, malheur aux plus rapides, malheur à ceux assis en premier, des problèmes à venir, des débats d'idée, des conflits insolubles, des rancoeurs, des appels à la modération, faut-il bannir les plus lents ou les plus emmerdés, au sens littéral du terme.
NewHope s'en foutait, un des fondements (Ah, Ah, Ah) (je prends la peine de souligner certaines subtilités, parce que je reste convaincu que tu rates la plupart de mes vannes stratosphériques, parce que, partageant en cela la bassitude global des abonnés de ZC, tu ne fais que me lire en diagonale pour te reconnaître toi, toi, et ton anti-toi. Puisse la paix de l'esprit inonder ton âme et te faire goûter la chaleur d'une simple tasse de café le jour où tu te prendras dans ta face de bitch la révélation de la limititude de ton être), un des fondements, disais-je avant de m'interrompre moi-même, je vous ai laissé parler, je voudrais pouvoir m'exprimer librement et sans être interrompu par vos flatulences cérébrales, non monsieur la France ne vous appartient pas, un des fondements de sa panégyrie résidait dans la petite Rousse, cette salope qui reste plus pratique que Wikipédia quand tu veux vérifier la distinction entre un enculée de frais et un élu du parti socialiste.
Bref, il était foutu. Physiquement, moralement, philosophiquement et allemand. Première langue. Comme la petite Gretchen, mais ce sera l'objet d'un autre débat.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Vous tous qui m'aimez, je vous présente ici mes plus plates excuses, je renonce à corriger toutes les fautes d'orthographie parce que le serveur me demande de saisir un Captcha à chaque fois que j'appuie sur "Envoyer".
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nous dépassons le sublime
Les Inrock
Vas-y petit
Olivier de Kersauson
Toutes des bitchs
May Lee
Mezy-moi-tout, mon grand fou
Bliss, en phase pré-ovulatoire.
Je me taperais bien un petit Bliss
Guy Georges
T'es qu'une grosse merde, jamais tu ne percevras le sublime de ma théâtralité
NewHope
Au lieu de frimer, dis tout de suite que t'as pas de quoi payer ta tournée
Numero6
Les Inrock
Vas-y petit
Olivier de Kersauson
Toutes des bitchs
May Lee
Mezy-moi-tout, mon grand fou
Bliss, en phase pré-ovulatoire.
Je me taperais bien un petit Bliss
Guy Georges
T'es qu'une grosse merde, jamais tu ne percevras le sublime de ma théâtralité
NewHope
Au lieu de frimer, dis tout de suite que t'as pas de quoi payer ta tournée
Numero6
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un jour, je fus un citoyen honnête et responsable.
Cela se poursuivit pendant une vingtaine d'années.
Qui voudrait me renvoyer à Alcatraz ?
L'audace des timides.
Cela se poursuivit pendant une vingtaine d'années.
Qui voudrait me renvoyer à Alcatraz ?
L'audace des timides.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Vous ne m'arrivez pas à la cheville
Newhope
Arrêtes de faire le poirier, tu me donnes la migraine
May Lee
Newhope
Arrêtes de faire le poirier, tu me donnes la migraine
May Lee
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Dans la désespérance cacochyme de l'univers restreint, balloté entre la théorie des possibles et la limitation à 80 sur le périphérique parisien, j'ai choisi de n'être qu'une sensation perdue dans l'espace relatif de l'intelligence de Binet, entre les petits cubes et la suite numérique, que, bordel de dieu d'enculé de sa race, on se fend la gueule chez vous, et je dénie à quiconque l'espoir d'espérer tenir plus de trois secondes sur la trainée brumeuse du sillage adolescent et boutonneux. Point.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'en ai écrit des conneries, ce qui est nouveau pour moi, c'est l'idée absurde que quelqu'un les lise.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Hein que ça te démange de raconter à tout le monde ce que je fais dans la vie, Miss May Lee.
Laisse tomber, c'est comme Abou Ghraib, personne ne te croirait.
Laisse tomber, c'est comme Abou Ghraib, personne ne te croirait.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Acrimonie bien inutile.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:43, édité 1 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je suis en train de me demander si on gagne un truc quand on dépasse les 500 messages.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Gimli a écrit:Déjà que je te lis, tu ne voudrais pas en plus que je te flatte la croupe.
Tu vois la différence, NewNew ?
De l'homme, du tatoué, "je te nique, tu ne voudrais pas que je fasse la vaisselle, en plus" ?
De la retenue, de l'élégance, de la classe, du XY à tous les étages, on sent le caleçon aux armoiries de la famille, la bonne qui déniaisa le fils de bonne naissance, les commodes en acajou, la cave qui recèle du Margaux 1985 (MEPUB reprend tes gouttes), le caleçon pied-de-poule, les chaussettes cardinalesques et le regard lourd.
Malgré tout tes efforts, tu ne feras jamais partie de cet univers.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Malgré cela, mon respect indéfectible et irrationnel de l'espèce humaine me laisse t'accorder cette neutre bienveillance que l'on doit aux gamins attardés, aux politiques illettrés, aux victimes des psychanalystes, aux dopés à l'insu de leur plein gré, et à tous ceux qui furent un jour ou l'autre contraint de se demander pourquoi le Nutella coutait si cher.
NewNew, tu les impressionnes tant que personne n'ose venir la ramener, même Fata fait mine de s'offrir quelques accords, alors qu'il avoua lui-même que sa guitare est morte de chez morte.
NewNew, tu les impressionnes tant que personne n'ose venir la ramener, même Fata fait mine de s'offrir quelques accords, alors qu'il avoua lui-même que sa guitare est morte de chez morte.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Number Six c'est pas comme si je savais ce que tu faisais dans la vie. Et puis sinon, d'une, tu as raison, tout est comme ça, il y a des choses choquantes qui se font et d'autres naturelles qui sont tabou. Sais pas pourquoi j'oublie tout le temps ça. Donc je reprends de ce pas mon tablier et mon aspirateur, un beau jour quand mes bras seront assez flasques et que j'aurais un double menton, je pourrais dire tous les trucs cyniques que je veux, on se dira juste que je suis une mégère. Mais d'abord, tablier. C'est vrai, il faut mériter sa haine, qu'est-ce que j'en sais moi de l'injustice tant que les hommes bandent EUUUHH pardon tant que les hommes tombent amoureux (erf j'ai encore failli m'exprimer d'une façon licencieuse et inappropriée au rang de Jeune Fille). Bref, t'as raison, c'est comme ça.
Tu sais bien que t'es jamais à la maison, et que je voudrais que tu me témoignes de l'attention, et le seul moyen que j'ai trouvé c'était de cramer ta chemise sur la planche à repasser pour simuler un trouble de l'attention dû à une dépression nerveuse. Merde merde merde laisse moi au moins être hystéro !
Tu sais bien que t'es jamais à la maison, et que je voudrais que tu me témoignes de l'attention, et le seul moyen que j'ai trouvé c'était de cramer ta chemise sur la planche à repasser pour simuler un trouble de l'attention dû à une dépression nerveuse. Merde merde merde laisse moi au moins être hystéro !
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Univers déplacé.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:44, édité 3 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Innocence de dernières fins.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:41, édité 1 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et moi qui croyait que tu ne priais plus Saint Soral !
Dans la masse convenue et moutonnière non enragée de la populace, quelques ilots persistent dans leur désuétude, persistance vestimentaire aux codes d'un autre âge, étapes salutaires dans ma course transatlantique, je baise le bas de l'ourlet de la jupe plissée marine, je louche sur les mis-bas blancs (j'évite de prononcer chaussette pour une femme, ce terme me désoblige) portés auparavant par l'ainée de la famille.
Zone de consanguinité idéologique, mes pérégrinations m'ont appris à en respecter leur existence tout en en fuyant leur conversation. J'irais plus souvent en Bretagne si je savais y retrouver les coiffes Bigoudènes.
Ce qui me frappe c'est que ces coutumes vestimentaires reposent souvent sur une défaillance pécuniaire, là où la plupart n'y voit que rigide conviction. Versailles, seule ville où les édiles envisagent de faire passer la limite de 20 km/h en ville à 25 km/h.
Dans la masse convenue et moutonnière non enragée de la populace, quelques ilots persistent dans leur désuétude, persistance vestimentaire aux codes d'un autre âge, étapes salutaires dans ma course transatlantique, je baise le bas de l'ourlet de la jupe plissée marine, je louche sur les mis-bas blancs (j'évite de prononcer chaussette pour une femme, ce terme me désoblige) portés auparavant par l'ainée de la famille.
Zone de consanguinité idéologique, mes pérégrinations m'ont appris à en respecter leur existence tout en en fuyant leur conversation. J'irais plus souvent en Bretagne si je savais y retrouver les coiffes Bigoudènes.
Ce qui me frappe c'est que ces coutumes vestimentaires reposent souvent sur une défaillance pécuniaire, là où la plupart n'y voit que rigide conviction. Versailles, seule ville où les édiles envisagent de faire passer la limite de 20 km/h en ville à 25 km/h.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pas de problème, je t'envoie les 25 étudiantes de la Première B du Lycée Jean-Casimir Legrand de la Trompe d'Eustache. Toutes avides de ton corps, de tes mots et de ton perlimpimpin farceur.
Les poches pleines d'herbes de Provinces variées, l'haleine encourageuse, la nuque fléchie, de la pouliche de race, de la fausse noblesse avide de sensation.
Je compte sur toi. Doigté, tradition, la France et moi-même portons tous nos espoirs sur toi. Sois notre héros, le bourreau de ces âmes en devenir. De Gaulle, Mendès France, le bas-Poitou et la Société Générale te regardent.
Et je vais me coucher.
Nunu
Pas une ne doit revenir étanche.
Les poches pleines d'herbes de Provinces variées, l'haleine encourageuse, la nuque fléchie, de la pouliche de race, de la fausse noblesse avide de sensation.
Je compte sur toi. Doigté, tradition, la France et moi-même portons tous nos espoirs sur toi. Sois notre héros, le bourreau de ces âmes en devenir. De Gaulle, Mendès France, le bas-Poitou et la Société Générale te regardent.
Et je vais me coucher.
Nunu
Pas une ne doit revenir étanche.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Dioxygène.
Dernière édition par NewHope le Mer 12 Fév 2014 - 0:42, édité 1 fois
NewHope- Messages : 1047
Date d'inscription : 08/03/2013
Localisation : La tour des félés pique les nuages devant ma fenêtre, le ciel nocturne emplit ma tête.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bonjour, je suis un élément disruptif, impromptu et impertinent qui s'insert dans un topic qui ne l'attendais pas. Vous pouvez continuer.
16dims- Messages : 1218
Date d'inscription : 20/06/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Pas de problème, je t'envoie les 25 étudiantes de la Première B du Lycée Jean-Casimir Legrand de la Trompe d'Eustache.
Présente !
Soquettes blanches, perlouses, jupe plissée, string Passionata. Je me présente, Capucine des Buissons, fraichement renvoyée des Francs-Bourgeois pour avoir récité effrontément en cours de Géographie les duchés du Royaume de Bourgogne en l'an de grâce 1200 lors que j'étais priée de réciter les départements de la République française. Point de doute, Jean-Casi est bien plus anti-système que ce repères de cathos vendus à l'économie judaïque. J'ai fait tatoué les armoiries de ma famille sur ma fesse droite, d'où le string. C'était un cadeau de Ludo, il me force à la porter, sinon il dira à père et mère pour la fois où j'ai descendu moi même trois bouteilles du cellier, cru 1988. Je venais d'avoir un 5 en français, à ma dissertation sur Albert Camus, ce sale bolcho !
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Rien qu'une fois, et parce que May Lee le vaut bien, je vous fait la transcription en direct de ce que je vois quand je lis. Je ne plaisante pas, les jeux de mots pourris, les assonances et autres agitations sont automatiques.
Voila ce ce que je vois en te lisant May Lee, ma chérie, le matin, à jeun.
Soquettes blanches, perlouses, jupe plissée, string Passionata. Je me présente, Capucine des Buissons, fraichement renvoyée des Francs-Bourgeois pour avoir récité effrontément en cours de Géographie les duchés du Royaume de Bourgogne en l'an de grâce 1200 lors que j'étais priée de réciter les départements de la République française. Point de doute, Jean-Casi est bien plus anti-système que ce repères de cathos vendus à l'économie judaïque. J'ai fait tatoué les armoiries de ma famille sur ma fesse droite, d'où le string. C'était un cadeau de Ludo, il me force à la porter, sinon il dira à père et mère pour la fois où j'ai descendu moi même trois bouteilles du cellier, cru 1988. Je venais d'avoir un 5 en français, à ma dissertation sur Albert Camus, ce sale bolcho !
Soquettes blanches (les étudiantes des mangas japonais, les embouteillages devant le château de Versailles, une atmosphère d'automne lorsque les collants ne sont plus suffisants pour réchauffer tes pieds dans les ballerines), perlouses (le comble du fétichisme, un seul rang jusqu'au nombril dans les maisons closes, plusieurs rangs chez l'épouse du directeur de l'EDF), jupe plissée (je passe, aucun intérêt, aucune chance de voir un genou), string Passionata (la petite bourgeoise qui s'encanaille avec son argent de poche, parce que la bourgeoise ne s'attaque jamais à La Perla, l'argent est pour le patrimoine, pas pour la bagatelle). Je me présente (allez, vas-y, balance, raconte un peu ta vie, on sent que tu as envie d'inventer, pour une fois qu'on rigole), Capucine des Buissons (j'aime, c'est frais, ça sent le vécu, la Capucine on sent que tu as échangé des cours avec elle, moi j'aurais mis Dubuisson parce que je suis fondamentalement monogame,mais bon Des Buissons, pourquoi pas, génération poly-poly*) fraichement renvoyée des Francs-Bourgeois (Brandbourgeois, comme je ne connais pas les Francs Bourgeois, le premier mot qui lui ressemble me pète à la gueule) pour avoir récité effrontément en cours de Géographie les duchés du Royaume de Bourgogne (là, je ne sais pas pourquoi, je sens que tu inventes, Duché et Royaume ensembles ,quelque chose ne va pas [comme toujours, Google me donnera raison, c'est ou Duché ou Royaume, mais pas les duchés du royaume]) (et puis réciter et cours de Géographie en 2014, ça ne va pas non plus ensemble, c'est comme si les cloportes de la MGEN se saluaient en disant "Force et Honneur") en l'an de grâce 1200 (non là, tu vois, si tu veux faire crédible, faut pas mettre un chiffre rond. En 800 avant l'invention de l'iPad, les datations étaient incertaines, ils avaient la pétoche du jugement dernier, et personnellement le type du recensement qui se pointe chez nous le 26 décembre 799, il peut se brosser pour avoir mon nom) (tu simplifies, donc tu mens. Un bon mensonge, il faut des détails avec des poils autour) lors (bien le lors, bien. ça fait vieillot, on sent que tu es dans ton trip vintage, mon duché vaut bien ton département) que j'étais priée (pas crédible, le dernier prof qui a prié Kevin Corbineau de réciter quoi que soit, a été pendu au 17° congrès de la MGEN de Saint-Bauzille-de-Putois pour avoir vouvoyer l'élève et avoir dit s'il-vous-plait, juste après Monsieur Corbineau) de réciter les départements de la République française (faut pas, personne ne connait plus les départements français, ça fait hussard de la république, ça fait débat chaotique à l'assemblée Nationale sous la 3° République pour l'envoi de troupe au Tonkin). Point de doute, Jean-Casi (Google) est bien plus anti-système que ce repères (ce repèressss, argh) de cathos vendus à l'économie judaïque (foutraque, mélange de concepts antinomiques dans la même phrase, anti-système est une formule récente, commode pour dire tout et rien à la fois; déjà le contraste est fort entre un patronyme suranné et une quenelle, mais la-dessus tu rajoutes une religion déclinante en l' illustrant comme une guérilla de rebelles armés de certitudes conservatrices et, comme si cela ne suffisait pas, tu nous colles le concept dieudonnesque des maitres du monde) (C'est pas que je n'aime pas l'idée, mais ça fait trop. Le cumin cache le gout de la canelle). J'ai fait tatoué les armoiries de ma famille sur ma fesse droite (bon là, facile, tous les hétérosexuels digne de ce nom, tu leur mets fesse et tatouage, ça le fait. J'ai eu l'image d'un contre-jour, avec la lumière qui vient mourir sur ta fesse droite, dévoilée par l'étoffe de soie que tu plaques sur ta poitrine, comme les enfants tu caches ce que tu vois) (mes neurones n'ont pas eu le temps de m'inventer l'image du blason, ni la torride séance de tatouage, fallait quand même continuer à lire) (j'ai juste eu le temps de l'image de la cérémonie où la péronnelle comprend que le sang de ses ascendants coule dans ses veines, et le revendique sur son cul. Je dis cul parce que mon cerveau célère** mais il y a des fois, il faut qu'il reprenne son souffle) d'où le string (bien). C'était un cadeau de Ludo (ça fait petit copain de 5°, le type sympa qui désespère de ne pas être un voyou), il me force à la (le) porter (tu vois il joue au petit macho, ça le rassure. Moi, je t'aurais obligé à le mettre, tant qu'à jongler dans les symboles érotiques, et j'aurais plutot opté pour l'absence de string ou le port de la boule de Geisha vibrante), sinon il dira à père et mère pour la fois où j'ai descendu (voilà, cool, on sent la bourge qui veut se donner des émois) moi même ( c'est bien, tu es une rebelle) trois bouteilles du cellier, cru 1988 (ceux qui veulent prouver qu'ils ont du pognon n'étalent jamais les chiffres, ils ne veulent que prouver leur classe et leur bon gout. pour moi, une pouffe de la rue des Ursulines aurait dit "trois bouteilles de Troplong-Mondot", tu vois, ça fait initié discret, on joue dans le feutré, on évite les gouts de nouveau riche, on apprécie le Château Margaux, on n'en remplit pas sa cave). Je venais d'avoir un 5 en français (non, je dis non, pas crédible, pas cohérent : cette salope de prof (qui n'appartient même pas à ton milieu, d'abord) a commis l'injustice de rejeter ton génie, de le castrer par un concept archaïque de notation qui ne sert qu'aux médiocres à masquer leurs médiocre médiocrité. Là, tu es vénère, tu répètes des mots, tu fais des fautes d'accord, on doit sentir la colère désespérée de l'enfant magique, de l'enfant surdoué qui sent la volonté castratrice des adultes vulgaires) (tu n'as pas eu 5 en Français, tu as été châtiée d'un 5 en Français) à ma dissertation sur Albert Camus (non là, May Lee, tu déconnes, Camus ne fait surement pas partie du panthéon des syndiqués de la CAMIF, c'est un vrai poète avec des images dedans, et il est libre dans sa tête, incompatible avec l’Éducation Nationale, certains ont prétendu qu'il était compréhensible, et là je dis faute), ce sale bolcho (non, non, et re-non, tu fais comme si un prof français pouvait considérer une obédience marxiste comme un défaut. C'est pas possible, c'est juste psychédélique)!
* NDLR : Ici, l'auteur ne peut plus masquer son grand âge, celui d'avant l'épilation, celui des chattes véhémentes, où les poils dessinaient encore des ombres fascinantes après l'amour. Un Buisson, Des Buissons, Montesson Nos Voleurs.
** Célérité, celeri-branche. Jack Célère dans "Je n'avais pas vu le radar" 1995, chez Odile, Jacob et Delafond..
*** Pour tous ceux ou toutes celles qui me croyaient une femme ou une fiotte, je signale simplement que le mot fesse déclenche l'avalanche émotionnelle typique de l'hétéro borné et limité. Dieu que les hommes sont lourds. Encore une cause perdue.
Voila ce ce que je vois en te lisant May Lee, ma chérie, le matin, à jeun.
Soquettes blanches, perlouses, jupe plissée, string Passionata. Je me présente, Capucine des Buissons, fraichement renvoyée des Francs-Bourgeois pour avoir récité effrontément en cours de Géographie les duchés du Royaume de Bourgogne en l'an de grâce 1200 lors que j'étais priée de réciter les départements de la République française. Point de doute, Jean-Casi est bien plus anti-système que ce repères de cathos vendus à l'économie judaïque. J'ai fait tatoué les armoiries de ma famille sur ma fesse droite, d'où le string. C'était un cadeau de Ludo, il me force à la porter, sinon il dira à père et mère pour la fois où j'ai descendu moi même trois bouteilles du cellier, cru 1988. Je venais d'avoir un 5 en français, à ma dissertation sur Albert Camus, ce sale bolcho !
Soquettes blanches (les étudiantes des mangas japonais, les embouteillages devant le château de Versailles, une atmosphère d'automne lorsque les collants ne sont plus suffisants pour réchauffer tes pieds dans les ballerines), perlouses (le comble du fétichisme, un seul rang jusqu'au nombril dans les maisons closes, plusieurs rangs chez l'épouse du directeur de l'EDF), jupe plissée (je passe, aucun intérêt, aucune chance de voir un genou), string Passionata (la petite bourgeoise qui s'encanaille avec son argent de poche, parce que la bourgeoise ne s'attaque jamais à La Perla, l'argent est pour le patrimoine, pas pour la bagatelle). Je me présente (allez, vas-y, balance, raconte un peu ta vie, on sent que tu as envie d'inventer, pour une fois qu'on rigole), Capucine des Buissons (j'aime, c'est frais, ça sent le vécu, la Capucine on sent que tu as échangé des cours avec elle, moi j'aurais mis Dubuisson parce que je suis fondamentalement monogame,mais bon Des Buissons, pourquoi pas, génération poly-poly*) fraichement renvoyée des Francs-Bourgeois (Brandbourgeois, comme je ne connais pas les Francs Bourgeois, le premier mot qui lui ressemble me pète à la gueule) pour avoir récité effrontément en cours de Géographie les duchés du Royaume de Bourgogne (là, je ne sais pas pourquoi, je sens que tu inventes, Duché et Royaume ensembles ,quelque chose ne va pas [comme toujours, Google me donnera raison, c'est ou Duché ou Royaume, mais pas les duchés du royaume]) (et puis réciter et cours de Géographie en 2014, ça ne va pas non plus ensemble, c'est comme si les cloportes de la MGEN se saluaient en disant "Force et Honneur") en l'an de grâce 1200 (non là, tu vois, si tu veux faire crédible, faut pas mettre un chiffre rond. En 800 avant l'invention de l'iPad, les datations étaient incertaines, ils avaient la pétoche du jugement dernier, et personnellement le type du recensement qui se pointe chez nous le 26 décembre 799, il peut se brosser pour avoir mon nom) (tu simplifies, donc tu mens. Un bon mensonge, il faut des détails avec des poils autour) lors (bien le lors, bien. ça fait vieillot, on sent que tu es dans ton trip vintage, mon duché vaut bien ton département) que j'étais priée (pas crédible, le dernier prof qui a prié Kevin Corbineau de réciter quoi que soit, a été pendu au 17° congrès de la MGEN de Saint-Bauzille-de-Putois pour avoir vouvoyer l'élève et avoir dit s'il-vous-plait, juste après Monsieur Corbineau) de réciter les départements de la République française (faut pas, personne ne connait plus les départements français, ça fait hussard de la république, ça fait débat chaotique à l'assemblée Nationale sous la 3° République pour l'envoi de troupe au Tonkin). Point de doute, Jean-Casi (Google) est bien plus anti-système que ce repères (ce repèressss, argh) de cathos vendus à l'économie judaïque (foutraque, mélange de concepts antinomiques dans la même phrase, anti-système est une formule récente, commode pour dire tout et rien à la fois; déjà le contraste est fort entre un patronyme suranné et une quenelle, mais la-dessus tu rajoutes une religion déclinante en l' illustrant comme une guérilla de rebelles armés de certitudes conservatrices et, comme si cela ne suffisait pas, tu nous colles le concept dieudonnesque des maitres du monde) (C'est pas que je n'aime pas l'idée, mais ça fait trop. Le cumin cache le gout de la canelle). J'ai fait tatoué les armoiries de ma famille sur ma fesse droite (bon là, facile, tous les hétérosexuels digne de ce nom, tu leur mets fesse et tatouage, ça le fait. J'ai eu l'image d'un contre-jour, avec la lumière qui vient mourir sur ta fesse droite, dévoilée par l'étoffe de soie que tu plaques sur ta poitrine, comme les enfants tu caches ce que tu vois) (mes neurones n'ont pas eu le temps de m'inventer l'image du blason, ni la torride séance de tatouage, fallait quand même continuer à lire) (j'ai juste eu le temps de l'image de la cérémonie où la péronnelle comprend que le sang de ses ascendants coule dans ses veines, et le revendique sur son cul. Je dis cul parce que mon cerveau célère** mais il y a des fois, il faut qu'il reprenne son souffle) d'où le string (bien). C'était un cadeau de Ludo (ça fait petit copain de 5°, le type sympa qui désespère de ne pas être un voyou), il me force à la (le) porter (tu vois il joue au petit macho, ça le rassure. Moi, je t'aurais obligé à le mettre, tant qu'à jongler dans les symboles érotiques, et j'aurais plutot opté pour l'absence de string ou le port de la boule de Geisha vibrante), sinon il dira à père et mère pour la fois où j'ai descendu (voilà, cool, on sent la bourge qui veut se donner des émois) moi même ( c'est bien, tu es une rebelle) trois bouteilles du cellier, cru 1988 (ceux qui veulent prouver qu'ils ont du pognon n'étalent jamais les chiffres, ils ne veulent que prouver leur classe et leur bon gout. pour moi, une pouffe de la rue des Ursulines aurait dit "trois bouteilles de Troplong-Mondot", tu vois, ça fait initié discret, on joue dans le feutré, on évite les gouts de nouveau riche, on apprécie le Château Margaux, on n'en remplit pas sa cave). Je venais d'avoir un 5 en français (non, je dis non, pas crédible, pas cohérent : cette salope de prof (qui n'appartient même pas à ton milieu, d'abord) a commis l'injustice de rejeter ton génie, de le castrer par un concept archaïque de notation qui ne sert qu'aux médiocres à masquer leurs médiocre médiocrité. Là, tu es vénère, tu répètes des mots, tu fais des fautes d'accord, on doit sentir la colère désespérée de l'enfant magique, de l'enfant surdoué qui sent la volonté castratrice des adultes vulgaires) (tu n'as pas eu 5 en Français, tu as été châtiée d'un 5 en Français) à ma dissertation sur Albert Camus (non là, May Lee, tu déconnes, Camus ne fait surement pas partie du panthéon des syndiqués de la CAMIF, c'est un vrai poète avec des images dedans, et il est libre dans sa tête, incompatible avec l’Éducation Nationale, certains ont prétendu qu'il était compréhensible, et là je dis faute), ce sale bolcho (non, non, et re-non, tu fais comme si un prof français pouvait considérer une obédience marxiste comme un défaut. C'est pas possible, c'est juste psychédélique)!
* NDLR : Ici, l'auteur ne peut plus masquer son grand âge, celui d'avant l'épilation, celui des chattes véhémentes, où les poils dessinaient encore des ombres fascinantes après l'amour. Un Buisson, Des Buissons, Montesson Nos Voleurs.
** Célérité, celeri-branche. Jack Célère dans "Je n'avais pas vu le radar" 1995, chez Odile, Jacob et Delafond..
*** Pour tous ceux ou toutes celles qui me croyaient une femme ou une fiotte, je signale simplement que le mot fesse déclenche l'avalanche émotionnelle typique de l'hétéro borné et limité. Dieu que les hommes sont lourds. Encore une cause perdue.
Dernière édition par Numero6 le Jeu 6 Fév 2014 - 13:41, édité 4 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Que tous ceux qui croient que j'invente continuent à le croire, cela ne m'empêchera pas de dormir. Toutes les images me sont venues sans que je n'y prenne garde et lisant les quelques lignes de May Lee. J'ai utilisé plein de mots, ce qui donne cet impression de lecture au ralenti, mais je garantis que toutes les images étaient là, au moment de la lecture.
En astérisque, j'ai mis ce qui m'est venu pendant mon explication de texte. C'est vrai que l'image du buisson, je n'avais pas réalisé qu'elle ne parle qu'à peu d'entre vous.
NewHope ne se rend pas compte, pour moi, ouvrir le Littré, c'est comme vouloir faire dormir un caméléon sur un plaid écossais. Pas mal celle-là, une nouveau prétexte pour ne rien foutre de mes journées. Je garde.
En astérisque, j'ai mis ce qui m'est venu pendant mon explication de texte. C'est vrai que l'image du buisson, je n'avais pas réalisé qu'elle ne parle qu'à peu d'entre vous.
NewHope ne se rend pas compte, pour moi, ouvrir le Littré, c'est comme vouloir faire dormir un caméléon sur un plaid écossais. Pas mal celle-là, une nouveau prétexte pour ne rien foutre de mes journées. Je garde.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce type est Fou
Bliss
Foutriquet
NewHope, de l'Académie Française par Interim
Il peut toujours courir pour que j'écrive sur son fil
"Un lâche"
Tu lui dis bonjour, il sait que tu as des hémorroïdes, fait chier !
House
Numero6, montre nous la voie
Les employées de la DDE
Numero6. Mise à prix deux bières chez Marlusse et Lapin, recherché pour délires pervers et atteinte à la liberté de se masquer derrière les mots.
La modération
Attention, cet homme est dangeureux
La modération
Aie, non, pas les dents, pas les dents.
Invité*
On vous avait prévenus
La modération
*Balise USERNAME**
** C'est con, elle est trop bien cella-là, mais si tu la signales pas, tu te prends un retour d'égo dans la tronche
Bliss
Foutriquet
NewHope, de l'Académie Française par Interim
Il peut toujours courir pour que j'écrive sur son fil
"Un lâche"
Tu lui dis bonjour, il sait que tu as des hémorroïdes, fait chier !
House
Numero6, montre nous la voie
Les employées de la DDE
Numero6. Mise à prix deux bières chez Marlusse et Lapin, recherché pour délires pervers et atteinte à la liberté de se masquer derrière les mots.
La modération
Attention, cet homme est dangeureux
La modération
Aie, non, pas les dents, pas les dents.
Invité*
On vous avait prévenus
La modération
*Balise USERNAME**
** C'est con, elle est trop bien cella-là, mais si tu la signales pas, tu te prends un retour d'égo dans la tronche
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ceux qui lisent dix-sept livres en même temps me foutaient des complexes. Mais ça, c'était avant. Maintenant, je les plains. Trop couteux, leur truc. Moi, je suis un fils du peuple.
Tu me donnes une boite de Kellog's, et je pars visiter Bételgeuse et la Porte d'Orion. Le transfert spatio-temporel du retour sur terre s'effectue grâce à l’algorithme de la porte de Brandebourg : "tu finis pas tes Corns-Flakes ?"
Tu me donnes une boite de Kellog's, et je pars visiter Bételgeuse et la Porte d'Orion. Le transfert spatio-temporel du retour sur terre s'effectue grâce à l’algorithme de la porte de Brandebourg : "tu finis pas tes Corns-Flakes ?"
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sympa, le coup de donner tes associations d'idées.
Pour mesurer l'écart entre ce que tu lis et ce que j'ai cru écrire :
tu parles comme si je voulais mentir mais je suis bien contente que personne ne me prenne pour Capucine (qui était bien une collègue de fac, bien joué). Et même plutot contente que ce soit pas crédible, heureusement que tout n'est pas comme dans mes cauchemars. En tout cas merci de m'apprendre à mentir
Pour mesurer l'écart entre ce que tu lis et ce que j'ai cru écrire :
- voir ici:
- J'avais pensé au buisson entre les jambes, je pensais aux buissons où théoriquement vont les ados deux par deux au printemps parce qu'ils n'ont pas d'appartement à eux et aussi parce que faut bien essayer avant de voir que c'est pas pratique.
- Les Francs-Bourgeois c'est un lycée privé catholique du centre de Paris, avec uniforme étouétou.
- Pour les duchés, les royaumes, l'an de grâce et le grand vin, j'ai inventé sans me donner la peine de chercher une info crédible, je cherchais juste à faire de mon personnage une future nympho.
- Jean-Casi, c'est toi qui l'a inventé, je l'ai abrégé pour faire comme à la fac de droit des 1e années, Saint Hypolite, rebaptisé Saint-Hypo ou Saint-Hip'
- c'était fait exprès le mélange de concepts dieudonésiens et de théorie du complot, simple pastiche mon cher. Too much? Peut-être, je prend la critique, c'est ton regard
- c'est la petite nostalgique de la féodalité qui traite Camus de sale bolcho, sans savoir de quoi elle parle, pas la prof qui l'a donné en disserte.
- je suis contente si c'est psyché
tu parles comme si je voulais mentir mais je suis bien contente que personne ne me prenne pour Capucine (qui était bien une collègue de fac, bien joué). Et même plutot contente que ce soit pas crédible, heureusement que tout n'est pas comme dans mes cauchemars. En tout cas merci de m'apprendre à mentir
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un jour, un guichet
Le 17 mai 1985, la préposée au 3° guichet en partant de la gauche du bureau des dossiers d'inscription à l'Université Paris V, dite François Rabelais pour les intimes, portait ce jour-là le T-shirt de Cyprien Malbranche, fils unique et préféré de Josette Desglaouis et de Bertrand Delanausée et digne représentant de la communauté gay de son quartier. Les moins abrutis d'entre vous auront remarqué l'absence de lien entre les trois patronymes familiaux, ce qui est parfaitement exact. Sigmund, pourrais-tu aller jouer dans ta chambre ?
Cet amateur invétéré du Fist, des talons-vertiges et de la grande zaza, avait du souffrir le martyr et attendre sa majorité légale pour enfin se débarrasser de ce patronyme double, imposé par l'orgueil, que dis-je, la prétention maternelle, typique de ces femelles des beaux quartiers qui se croiraient foulées aux pieds si le nom de leurs ancêtres ne flambergeait pas au vent dans celui de leur progéniture. Galeuse, lubrique et velléitaire, la bourge compense son inutilité terrestre par un féroce rappel à sa lignée.
Voici pourquoi le gay Cyprien avait du attendre sa majorité pour ne plus s'appeler Delanausée-Desglaouis, ce qui était non seulement mensonger mais aussi interminablement long à caser dans les formulaires de la sécurité sociale. Et puis les initiales C.D.D., la loose totale de chez Esso (Total, Esso, c'est bon, vous suivez ?).
Marguerite de Morte-Valmor derrière son guichet boisé, humait la transpiration déposée la veille par Cyprien sur son T-shirt abandonné sur le canapé. Cette déjà-plus-trop-jeune-fille avait perçu comme une déclaration d'amour la proposition d'un petit café formulée par Cyprien. Seule interférence masculine depuis toujours dans son univers peuplé de chats, de tasses de thé et de gâteaux aux gingembres, ses hormones lui firent commettre l'erreur de déceler dans la proposition de l'adepte de Jacques Vabre une proposition de mariage timidement masquée.
Se saisir du T-shirt de Cyprien ne fut pas une captation subreptice mais l'acceptation de l'offrande de l'amour.
Cette digne héritière d'une longue tradition de plateaux-télé, de joueuses de mandoline, de dépenses somptuaires en Saforelle, se laissait envelopper par les effluves du T-shirt de l'homme de sa vie, lorsqu'elle me posa cette terrible question :
"Bonjour, vous allez bien ?".
Bonjour, vous allez bien. Cela fera bientôt trente ans que je tente de percer le mystère de cette formule insondable. Mais qu'à-t-elle voulu dire par la ?
Le 17 mai 1985, la préposée au 3° guichet en partant de la gauche du bureau des dossiers d'inscription à l'Université Paris V, dite François Rabelais pour les intimes, portait ce jour-là le T-shirt de Cyprien Malbranche, fils unique et préféré de Josette Desglaouis et de Bertrand Delanausée et digne représentant de la communauté gay de son quartier. Les moins abrutis d'entre vous auront remarqué l'absence de lien entre les trois patronymes familiaux, ce qui est parfaitement exact. Sigmund, pourrais-tu aller jouer dans ta chambre ?
Cet amateur invétéré du Fist, des talons-vertiges et de la grande zaza, avait du souffrir le martyr et attendre sa majorité légale pour enfin se débarrasser de ce patronyme double, imposé par l'orgueil, que dis-je, la prétention maternelle, typique de ces femelles des beaux quartiers qui se croiraient foulées aux pieds si le nom de leurs ancêtres ne flambergeait pas au vent dans celui de leur progéniture. Galeuse, lubrique et velléitaire, la bourge compense son inutilité terrestre par un féroce rappel à sa lignée.
Voici pourquoi le gay Cyprien avait du attendre sa majorité pour ne plus s'appeler Delanausée-Desglaouis, ce qui était non seulement mensonger mais aussi interminablement long à caser dans les formulaires de la sécurité sociale. Et puis les initiales C.D.D., la loose totale de chez Esso (Total, Esso, c'est bon, vous suivez ?).
Marguerite de Morte-Valmor derrière son guichet boisé, humait la transpiration déposée la veille par Cyprien sur son T-shirt abandonné sur le canapé. Cette déjà-plus-trop-jeune-fille avait perçu comme une déclaration d'amour la proposition d'un petit café formulée par Cyprien. Seule interférence masculine depuis toujours dans son univers peuplé de chats, de tasses de thé et de gâteaux aux gingembres, ses hormones lui firent commettre l'erreur de déceler dans la proposition de l'adepte de Jacques Vabre une proposition de mariage timidement masquée.
Se saisir du T-shirt de Cyprien ne fut pas une captation subreptice mais l'acceptation de l'offrande de l'amour.
Cette digne héritière d'une longue tradition de plateaux-télé, de joueuses de mandoline, de dépenses somptuaires en Saforelle, se laissait envelopper par les effluves du T-shirt de l'homme de sa vie, lorsqu'elle me posa cette terrible question :
"Bonjour, vous allez bien ?".
Bonjour, vous allez bien. Cela fera bientôt trente ans que je tente de percer le mystère de cette formule insondable. Mais qu'à-t-elle voulu dire par la ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Alors, imaginez un peu le bordel glial si quelqu'une me disait froidement :
"je suis contente si c'est psyché"
Je veux mourir maintenant, et faire un beau cadavre. La vie n'est plus qu'une gigantesque farce.
"je suis contente si c'est psyché"
Je veux mourir maintenant, et faire un beau cadavre. La vie n'est plus qu'une gigantesque farce.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ouais c'est sûr, entre les fous furieux qui te tapent dans le dos en refusant ostensiblement de livrer une information cachée dans leur jovial "salut ça va", et les échappés de l'asile qui sont contents quand tout part en sucette, c'est vraiment un sale temps pour le commando Zebra.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bonjour, vous allez bien. Quel toupet... tu peux vraiment rien faire avec ça.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pour parodier NewNew et sa contraction célèbre, "l'Emma, c'est moi", inspirée par Gustave Flaubert et Louis XIV (excusez du peu), je vous dirais : "l'IK, ses émois et moi".
Je vous invite donc à ne pas vous immiscer dans cet échange dont on en ferait presque un sujet de post sur ZC.
Comment éviter que les images s'imposent et les décrypteuses automatiques ne se mettent en route, transformant obligatoirement un texte, alors que les mots sont là, le sens est bien traduit, il faut juste lire, lire.
C'est NewNew qui a commencé à me faire comprendre ce truc. Pour ne pas passer pour un branquignol (et avec lui, il vieux mots ne pas être un manchot du clavier), et ne pas répondre systématiquement à coté des ses écrits, il a fallu que je le lise. Que je m'abaisse à le lire.
Je déconseille. Où étaient les images agressives qui me donnaient le droit de lui rentrer dedans ? Nulle part. Je vous assure, Monsieur le Commissaire, que j'avais bien distingué une attaque sournoise, un mépris enrobé dans un bas de soie, il les a certainement effacé depuis.
Non seulement je ne retrouvais plus les images qui m'avaient sauté aux yeux, mais j'en devinais d'autre, comme des herbes folles sous les lourds pavés que mon esprit élaborait. Beaucoup, beaucoup d'efforts pour que ces minuscules pousses s'épanouissent et finissent par masquer les pavés.
Je déconseille.
Sacrifiant au Bal-Moloch de l'efficacité tous les enfants de la subtilité, j'ai contraint mon esprit. Un texte doit me permettre d'aller vite, il doit me permettre de comprendre quelque chose plus vite, plus vite que sans le texte. Si j'ai l'impression de comprendre, j'accélère, si le plan est accessible, je zappe vers les têtes de paragraphes, si je continue à suivre, quelques phrases glanées ça et là au hasard me servent à vérifier le sens, m'épargnant les contre-sens.
Tu vois, IK, je suis allé trop vite. Tu parlais d'une institution catholique, moi, je t'écoutais d'un lycée de banlieue, là où voter Mélanchon te fait classifier dans la droite dure. Pourtant, le décor était évident, si Versailles m'était conté. Et bien, malgré tout, et cela s'est reproduit en l'écrivant, j'ai interprété ton texte comme si tous les profs de la terre étaient de somptueux marxistes.
Intéressant.
Je vous invite donc à ne pas vous immiscer dans cet échange dont on en ferait presque un sujet de post sur ZC.
Comment éviter que les images s'imposent et les décrypteuses automatiques ne se mettent en route, transformant obligatoirement un texte, alors que les mots sont là, le sens est bien traduit, il faut juste lire, lire.
C'est NewNew qui a commencé à me faire comprendre ce truc. Pour ne pas passer pour un branquignol (et avec lui, il vieux mots ne pas être un manchot du clavier), et ne pas répondre systématiquement à coté des ses écrits, il a fallu que je le lise. Que je m'abaisse à le lire.
Je déconseille. Où étaient les images agressives qui me donnaient le droit de lui rentrer dedans ? Nulle part. Je vous assure, Monsieur le Commissaire, que j'avais bien distingué une attaque sournoise, un mépris enrobé dans un bas de soie, il les a certainement effacé depuis.
Non seulement je ne retrouvais plus les images qui m'avaient sauté aux yeux, mais j'en devinais d'autre, comme des herbes folles sous les lourds pavés que mon esprit élaborait. Beaucoup, beaucoup d'efforts pour que ces minuscules pousses s'épanouissent et finissent par masquer les pavés.
Je déconseille.
Sacrifiant au Bal-Moloch de l'efficacité tous les enfants de la subtilité, j'ai contraint mon esprit. Un texte doit me permettre d'aller vite, il doit me permettre de comprendre quelque chose plus vite, plus vite que sans le texte. Si j'ai l'impression de comprendre, j'accélère, si le plan est accessible, je zappe vers les têtes de paragraphes, si je continue à suivre, quelques phrases glanées ça et là au hasard me servent à vérifier le sens, m'épargnant les contre-sens.
Tu vois, IK, je suis allé trop vite. Tu parlais d'une institution catholique, moi, je t'écoutais d'un lycée de banlieue, là où voter Mélanchon te fait classifier dans la droite dure. Pourtant, le décor était évident, si Versailles m'était conté. Et bien, malgré tout, et cela s'est reproduit en l'écrivant, j'ai interprété ton texte comme si tous les profs de la terre étaient de somptueux marxistes.
Intéressant.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Vous avez dit bizarre, bizarre.
Moi, j'ai dit bizarre, bizarre, comme c'est étrange. Pourquoi aurais-je dit bizarre, bizarre ?
Je vous assure, cher cousin, que vous avez dit bizarre, bizarre.
Moi j'ai dit bizarre ? Comme c'est bizarre.
Jean Casimir-Perier
"Déluge de l'Etrange"
cité par Hippolyte Girardin dans son recueil pédagogique "IK, tu n'es pas censée bosser, là ?"
Moi, j'ai dit bizarre, bizarre, comme c'est étrange. Pourquoi aurais-je dit bizarre, bizarre ?
Je vous assure, cher cousin, que vous avez dit bizarre, bizarre.
Moi j'ai dit bizarre ? Comme c'est bizarre.
Jean Casimir-Perier
"Déluge de l'Etrange"
cité par Hippolyte Girardin dans son recueil pédagogique "IK, tu n'es pas censée bosser, là ?"
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et si les surdoués étaient bornés parce qu'ils balancent trop d'images à la minute entre eux et le réel ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et si les surdoués faisaient ça pour se protéger du réel ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mais je bosse, si, si.
J'ai mis en forme un courrier, je réponds au téléphone. Je vais faire partir le courrier, maintenant. Faut le mettre sou pli, marquer l'adresse, mettre un tampon, et allerrrrr jusqu'au bouut du couloiirrrr......erf quelle galère. Juste après, quand j'aurais fini d'éplucher les bourses qu'il y a cette année en histoire de l'art.
J'ai mis en forme un courrier, je réponds au téléphone. Je vais faire partir le courrier, maintenant. Faut le mettre sou pli, marquer l'adresse, mettre un tampon, et allerrrrr jusqu'au bouut du couloiirrrr......erf quelle galère. Juste après, quand j'aurais fini d'éplucher les bourses qu'il y a cette année en histoire de l'art.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Intéressant, isn't it ?
Donc, quand tu veux transmettre une émotion ou une idée à un surdoué, il en a déjà tellement dans sa cambuse, que ton image est noyée parmi beaucoup d'autre.
Ce qui expliquerait que sur ZC les conversations ne semblent suivre aucune logique.
On ne s'écoute pas, on postillonne des idées.
Tu l'aimes pas celle-là, m'en fous, j'en ai plein d'autre à t'envoyer.
La pensée d'un zèbre : les tonnes de Kalachnikov qui lui restent de sa guerre avec la vie, qu'il va devoir fourguer pour s'offrir de la poésie.
Donc, quand tu veux transmettre une émotion ou une idée à un surdoué, il en a déjà tellement dans sa cambuse, que ton image est noyée parmi beaucoup d'autre.
Ce qui expliquerait que sur ZC les conversations ne semblent suivre aucune logique.
On ne s'écoute pas, on postillonne des idées.
Tu l'aimes pas celle-là, m'en fous, j'en ai plein d'autre à t'envoyer.
La pensée d'un zèbre : les tonnes de Kalachnikov qui lui restent de sa guerre avec la vie, qu'il va devoir fourguer pour s'offrir de la poésie.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Merci au fait tu me chouchoutes bien. On peut dire qu'il t'aura mis du plomb dans la tête ce fer à repasser mon grand.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu peux me remercier aussi de vérifier en LIVE ta toute fraiche théorie
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Éplucher des bourses", et je ne relève même pas.
Je vais finir par devenir humain. J'ai peur.
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais.
Je vais finir par devenir humain. J'ai peur.
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je vais te rendre le service que tu m'as fait en livrant tes associations d'idées in extenso. Et puis c'est pour te copier.
"Éplucher des bourses" (patate, cours de la bourse, bourse moyen-âgeuse pour la monnaie, non ça ne colle pas mais de quoi il parle, ha c'est moi qui ai écrit cette connerie, ok voyons voir), et je ne relève même pas (il ne se relève pas, il est mort. Non ça ne colle pas, j'ai un problème d'attention, quel est le sens de cette phrase, fais chier numéro 6 avec ses tournures étranges. je reprends, je relis, Ok esprit mal placé, on se plaint de ma naïve utilisation d'un lexique qui laisse penser de redoutables pratiques sexuelles. Ca fait du bien de voir quelqu'un qui voit des allusions partout, me sens moins seule. Eplucher une bourse, il se relève pas, il a peur que je scalpe des bourses, non il relève pas le jeu de mot involontaire et méprise ma médiocre prose, mais j'avais compris pourtant ; mais pourquoi donc alors que j'avais déjà compris les mots me sautent à la gueule se tordent et s'imposent d'une toute autre façon ?).
Je vais finir par devenir humain (Quel rapport? Tant pis). J'ai peur. (Si éplucher des bourses prend le ton d'une menace féministe, telle la meute félinienne scandant "CASTRATION! CASTRATION!" forcément il a peur. Sauf qu'on dirait qu'il a peur de devenir humain, et vrai dire, je ne sais pas ce qu'il est pour le moment mais humain c'est moche)
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais (Ca le préservera de devenir humain ? Ai rien bité (ha ha) en tout cas cette histoire de fer à repasser fait résonner des profondeurs abyssales de ma tête un proverbe ancien : "Tiens, voilà du boudin". Et là, je me rend compte que ce n'est pas la réponse appropriée, mais une réminescence de boudin aux pommes a envahi ma mémoire olfactive et je salive déjà. Je m'apprête à répondre que je veux du boudin aux pommes. Non, je vais faire le coup des associations d'idées. Voilà ce que je vais répondre, voilà pourquoi on en est là, tu vois).
"Éplucher des bourses" (patate, cours de la bourse, bourse moyen-âgeuse pour la monnaie, non ça ne colle pas mais de quoi il parle, ha c'est moi qui ai écrit cette connerie, ok voyons voir), et je ne relève même pas (il ne se relève pas, il est mort. Non ça ne colle pas, j'ai un problème d'attention, quel est le sens de cette phrase, fais chier numéro 6 avec ses tournures étranges. je reprends, je relis, Ok esprit mal placé, on se plaint de ma naïve utilisation d'un lexique qui laisse penser de redoutables pratiques sexuelles. Ca fait du bien de voir quelqu'un qui voit des allusions partout, me sens moins seule. Eplucher une bourse, il se relève pas, il a peur que je scalpe des bourses, non il relève pas le jeu de mot involontaire et méprise ma médiocre prose, mais j'avais compris pourtant ; mais pourquoi donc alors que j'avais déjà compris les mots me sautent à la gueule se tordent et s'imposent d'une toute autre façon ?).
Je vais finir par devenir humain (Quel rapport? Tant pis). J'ai peur. (Si éplucher des bourses prend le ton d'une menace féministe, telle la meute félinienne scandant "CASTRATION! CASTRATION!" forcément il a peur. Sauf qu'on dirait qu'il a peur de devenir humain, et vrai dire, je ne sais pas ce qu'il est pour le moment mais humain c'est moche)
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais (Ca le préservera de devenir humain ? Ai rien bité (ha ha) en tout cas cette histoire de fer à repasser fait résonner des profondeurs abyssales de ma tête un proverbe ancien : "Tiens, voilà du boudin". Et là, je me rend compte que ce n'est pas la réponse appropriée, mais une réminescence de boudin aux pommes a envahi ma mémoire olfactive et je salive déjà. Je m'apprête à répondre que je veux du boudin aux pommes. Non, je vais faire le coup des associations d'idées. Voilà ce que je vais répondre, voilà pourquoi on en est là, tu vois).
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mon génie me précède et m’apitoie.
Lorsque May Lee ma chérie fit référence à Jean-Casi, et toujours dans l'angoisse de passer pour un con, j'ai réellement consulté le Dr Google pour chercher un Jean-Casimir. Le plus dingue, c'est qu'il existe, il y en a même plusieurs. J'ai failli citer ses faits d'arme pour montrer que les vieillards savent aussi se servir de Google.
Le seul petit détail qui m'avait échappé c'est que je venais d'inventer et de citer quelques post plus tôt "Jean-Casimir Legrand de la Trompe d'Eustache". Et que la probabilité pour que May Lee ait utilisé Jean-Casi vienne de là, est ultra probable
Je vous le disais, je ne pense pas, je n'écris pas, je postillonne.
Je suis un génie méconnu, et heureusement.
Lorsque May Lee ma chérie fit référence à Jean-Casi, et toujours dans l'angoisse de passer pour un con, j'ai réellement consulté le Dr Google pour chercher un Jean-Casimir. Le plus dingue, c'est qu'il existe, il y en a même plusieurs. J'ai failli citer ses faits d'arme pour montrer que les vieillards savent aussi se servir de Google.
Le seul petit détail qui m'avait échappé c'est que je venais d'inventer et de citer quelques post plus tôt "Jean-Casimir Legrand de la Trompe d'Eustache". Et que la probabilité pour que May Lee ait utilisé Jean-Casi vienne de là, est ultra probable
Je vous le disais, je ne pense pas, je n'écris pas, je postillonne.
Je suis un génie méconnu, et heureusement.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et moi qui trouve que j'écris tout plat, tout simpliste, et qui fait des efforts démesurés pour placer des vannes salvatrices.
Rassure-moi, au bout du compte, tu as compris ce que j'ai marqué ? Sinon, je te le fais en hyper-basique pour voir le décalage. Je t'assure que ça m’intéresse diablement que tu compares les deux.
Rassure-moi, au bout du compte, tu as compris ce que j'ai marqué ? Sinon, je te le fais en hyper-basique pour voir le décalage. Je t'assure que ça m’intéresse diablement que tu compares les deux.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, franchement, je suis pas sûre d'avoir saisi le rapport entre mon histoire d'épluche bourses, devenir humain, et prendre un coup de fer à repasser. Je suis un peu neuneu aussi tu sais.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Éplucher des bourses", et je ne relève même pas.
Une femme écrit un texte contenant un mot qui, de près, de loin ou de travers, PEUT avoir une connotation sexuelle : bourses. Elle lui accole un verbe qui POURRAIT vaguement faire partie d'une possible activité génitale : éplucher. Normalement, je suis dans l'obligation d'éclater de rire, ma main gauche devant ma bouche pour éviter les postillons, et de scander : "éplucher les bourses, whahh, mort de rire".
Voulant signifier le respect que m'inspire la jeune fille en question, je lui fais remarquer que, pour moi, ne pas ponctuer mes phrases d'allusion sexuelles toutes les 27 secondes représente le signe que je tiens à lui donner une bonne image de ma personne. Et que, réciproquement, si elle pouvait en faire autant, cela me conviendrait.
Je vais finir par devenir humain. J'ai peur.
Depuis que j'ai fait mon Burn-Out, que je ferme ma gueule, parce que trop épuisé pour l'ouvrir, je ne critique plus tous les défauts qui me sautent aux yeux, les gens n'arrêtent pas de me décerner le titre d' "humain". Je ne sais pas, j'ai l'impression que pour eux c'est un compliment.
Donc, je tenais à signaler à la jeune fille en question, May Lee va ranger ta chambre, que je me sentais prêt à accepter ma déliquescence. Cela n'allait pas être facile de m'amoindrir, mais lui plaire représente un enjeu suffisant pour surmonter ma peur et accepter ma castration.
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais.
Tu m'as déjà montré que la vie pouvait être autre chose que l'enfer de violence qui m'entoure. Maintenant que tu m'as donné cette soif de vivre, acceptes-tu de me tenir la main pour me guider. Même si tu déploies tout ton amour devant moi, mon cœur desséché a peu de chance de battre à nouveau. Mais essaye, par pitié May Lee, essaye.
C'est bien ça que tu avais compris ?
Une femme écrit un texte contenant un mot qui, de près, de loin ou de travers, PEUT avoir une connotation sexuelle : bourses. Elle lui accole un verbe qui POURRAIT vaguement faire partie d'une possible activité génitale : éplucher. Normalement, je suis dans l'obligation d'éclater de rire, ma main gauche devant ma bouche pour éviter les postillons, et de scander : "éplucher les bourses, whahh, mort de rire".
Voulant signifier le respect que m'inspire la jeune fille en question, je lui fais remarquer que, pour moi, ne pas ponctuer mes phrases d'allusion sexuelles toutes les 27 secondes représente le signe que je tiens à lui donner une bonne image de ma personne. Et que, réciproquement, si elle pouvait en faire autant, cela me conviendrait.
Je vais finir par devenir humain. J'ai peur.
Depuis que j'ai fait mon Burn-Out, que je ferme ma gueule, parce que trop épuisé pour l'ouvrir, je ne critique plus tous les défauts qui me sautent aux yeux, les gens n'arrêtent pas de me décerner le titre d' "humain". Je ne sais pas, j'ai l'impression que pour eux c'est un compliment.
Donc, je tenais à signaler à la jeune fille en question, May Lee va ranger ta chambre, que je me sentais prêt à accepter ma déliquescence. Cela n'allait pas être facile de m'amoindrir, mais lui plaire représente un enjeu suffisant pour surmonter ma peur et accepter ma castration.
Tu ne voudrais pas me mettre un coup de fer à repasser de l'autre côté, pour l'équilibre, on ne sait jamais.
Tu m'as déjà montré que la vie pouvait être autre chose que l'enfer de violence qui m'entoure. Maintenant que tu m'as donné cette soif de vivre, acceptes-tu de me tenir la main pour me guider. Même si tu déploies tout ton amour devant moi, mon cœur desséché a peu de chance de battre à nouveau. Mais essaye, par pitié May Lee, essaye.
C'est bien ça que tu avais compris ?
Dernière édition par Numero6 le Jeu 6 Fév 2014 - 16:33, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon sinon, il y a aussi "t'aurais pas du feu ?"
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Page 13 sur 20 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 16 ... 20
Sujets similaires
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
» Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Page 13 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum