Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

Je ne connais de la zonzon que les lames de rasoir enrobées de coton et d'huile d'olive.

Morts à crédit.

Surprendre un micheton, être maton. Quelle fut sa sanction ? Une pension ? Alimentaire ?

Un gland sous un chêne. Un Ugly sous un Fresnes.

L'ambiance est morose, chérie, fais-moi feuille de rose.

C'est moins gras, moins cracra, que manger la boite à caca.

May Lee, entraine-toi.

Les langues se délient. Les amours tièdes te dénient. Laisse aux mièvres le soucis du lièvre. Tacatac, c'est déjà fini.

De tes rets il ne vit que les chaines, de tes bras la peine, de ta bouche la pleine, mesure, laisse-le partir il n'en vaut pas la peine.

D'un lièvre tu ne feras jamais une sculpture d'ébène, du quai Branly il ne retint que branles, de lapsus, il s'obnubila sur s..., Nabila, son idéal, son modèle.

Il es parti. Comment le remercier ? Un baiser ?

Sens-tu tous ces salopards qui sifflent sur ton passage ? J'en fais parti. Et j'en suis fier. Ton sillage vaut bien ton ramage.

Voir le cul de May Lee. Et mourir. Enfin, le plus tard possible. Propager l'image dans l'esprit des hommes. Le mien surtout.

Discourir mille années. Et se figer. Et respirer. Vivre. Le cul de May Lee. Le cacher, le préserver, l'honorer. Tu souhaites, tu espères, tu revendiques, tu projettes, tu veux que, tu estimes que, tu n'imagines pas que, et moi, je te prie, je t'abjure, May Lee, dans l'univers entier, dans l'espoir d'un soir, May Lee, accepte mon désespoir, May Lee, reste debout, May Lee, ne t'assoit pas. Ton cul. Dans le noir.

Seigneur, je veux croire. En ta créature. Des plumetis sur un trou noir. Un pet comme plus pur espoir. Le cul de May Lee, le consommer, le boire. Patron, un petit noir. Bien serré.

Et voir, les mains d'Ugly, au-dessus du couffin. C'est bien.

Pourquoi, jamais, aucune femme ne me péta au nez ?

Gout pour la classe ?

Réserve naturelle ?

Mes caresses ne suffirent jamais aux sphincters à déclarer l'ivresse.

Je redoute, et ce n'est pas un scoop, que mon prochain arôme, d'amour, ressemble aux canons, de Navarone. Réclamer l'immonde vous amène parfois aux limites des bornes, et d'un 69 vous vous vites affublé d'un masque de senteur, repeint aux couleurs, du monde, du Nutella, et de bien d'autres connes, qui confondent j'abonde et je débonde.

Laissons faire les choses, et, d'un anus, cultivons la rose.

Et Mignonne, mon enfant, de la rose fais-moi sentir le vent. Que j'en embrasse l'anneau, et que de cette révérence, ma corne s'emplisse d'abondance.

Et si, au détour de cette virtuelle cour, tu n'a pas encore accepté, que sévère tu risques de manger, c'est que d’œstrogène tu mérites le vocable, mais que d'HQI, tu n'a retenu que les palabres. Si du WAIS tu écartas les cubes, de ton cul je préférais les fesses, chacun sa préoccupation, chacun sa succube. Si certains, du bouillon, ne gardèrent que le cube, j'accepte, si tu le veux bien, de n'être que ton incube.

Les pensées s'envolent. Si de tous ces vits tu retins le meilleur, c'est qu'au bout du compte, ton cul est l'Auguste, et moi, dans mon malheur, sa mise en valeur.

Un jour, d'un trou du cul je fis l'hommage.

Cela me couta, seulement, une odeur de fromage.

D'un cul aussi rare, je ne saurai flatter,

l'odeur de Boursin, le parfum de Comté.

Mesdames, de ce petit prince,

Faites-nous parvenir la France,

Et de l'odeur de nos provinces,

Faites-nous parvenir les fragrances.

Putain de surdoués.

Oh putain, Karine, tu veux faire fondre la moquette ? Tu tires à bout portant sur cette pauvre banquette ? Tu ravages, tu plussoies, de ton colon la joie émerge, mais les gaz qui la précédent valent largement une mise en garde, de l'acide je me souviens, du torrent je me retiens, et si de ton anus je me méfie, c'est parce que mes meubles après son passage se liquéfient.

Vas-y, May Lee, si tu l'oses, parle-nous de ton prose !

Et si jamais le prurit te libère, vas-y, parle-nous de tes vers !

Gay, ton serin remballe, je ne suis qu'un obsédé, du trou de balle.

Si, un jour, tu souhaites te débarrasser de tes rides, laisse-moi faire, d'une seule action, je les supprime, et tes hémorroïdes.

Bliss, sans vouloir te détourner de ton bidet, ce siège de l'amour-propre, je tiens à t'informer que de ces mijaurées qui te traitent de s..., je ne retiens que la gourmande, celle qui sur son passage fait que jamais ne débandent ceux qui, je te le souhaite, vont rester des gros malpropres.

Et Ise, si j'osais, t'avouer, que de toutes les filles, c'est toi qui me les brise, le mieux, les colonnes à morpions, les poils du c..., du pubis les frises.
Oh Ise, Oh Ise, Oh Ise, matelot, matelot tu frises, Ise et haut.

Pour joindre mon avocat : 555 26 24.

Uniquement aux heures de bureau.

555 : tous les numéros de téléphone contiennent 555 dans les films ricains.

Vous l'aviez sous les yeux sans le voir.

Je veux voir des fesses de femme, je suis malheureux, je suis triste, le manque me torture, c'est bien beau de dire des conneries, cela ne remplacera jamais un beau cul bien rebondi. Féminin si possible. Oui, surtout féminin.

Je prends les vergetures, les poils négligés, le témoin de la gravitation universelle, les restes de forceps, les heures assises dans le RER, l'odeur renfermé du collant, je prends tout.

Un cul, je veux un cul. Et si ce n'était pas trop exiger, je prendrais bien des poils autour, la marque du bronzage, les stries du string, le papier trop frotté, la marque de l'étiquette, la modestie du joufflu, l'exégèse du vent, vent d'est, vent d'ouest. Perle beurk.

Que l'on me pète au nez, que l'on m'extrapole le zéphyr, que l'on m'envoie Éole, je réclame le sirocco et les parfums de l'orient, le mistral et son arôme de Beaujolais nouveau, si Ban Ki-moon m'adresse un message de pet, qu'il vienne de toi, Marianne, de ce magnifique cassoulet, cuisiné avec amour, engouffré avec passion, et exploité avec conviction, le concerto du pet en do majeur, avec, à la trompette : Joséphine de Beau Harnais, au saxophone : Beyoncé, à la basse : Katy Perry et au trombone à coulisse la médiocre Lady gaga.

D'imaginer ces pourritures lubriques qui, comme Salvador Dali, sont essentiellement Avida Dollar, péter comme des malades au vu et au su du commun des mortels, me les rendraient presque humaines.

My kingdom pour l'enregistrement d'un pet de Beyonce. King Lear, Acte IV, scène 2.

"Beaucoup de bruit pour rien" (Much Ado About Nothing).

Emma Thompson appliquée à réaliser une splendide feuille de rose à Kenneth Branagh.

Ouragan sur le Caine.

Typhon sur Nagasaki.

Emportée par la houle, qui m'entraine, qui m'enchaine.

Le Tsunami du joufflu, le tourbillon du rond, le cyclone de l'oignon, la tempête du rond, du petit rond, la tramontane du chou, le hululement du hibou, le grand prout, le vent de l'histoire, le souffle de l'expiration.

Je suis un génie. Madame, pitié, de ce cul merveilleux, laissez sourdre le contentement sonore. J'exige une projection. Maculez-moi. Oh oui, maculez-moi, salope.

Plus tard, parce que vous êtes tendre et sensible, je remplacerais temporairement vos étrons, je maintiendrais ouverte cette ventilation digne des installations du tunnel de Saint-Cloud (ouais ben, les toulousains, faut sortir un peu, y a pas que la ville rose, cong. Oh pardon, Bliss, toi non, toi tu peux rentrer en Converse, ma chérie, la première boisson est gratuite). Mais pour l'instant, je veux une alerte météo de force 4, une vigilance rouge pour me projeter sur les murs, expectorez-moi, toussez, dites 33.

Pourquoi, à l'hiver de ma vie, la seule chose dont j'ai envie n'est pas une dédicace de Jean-François Copé, mais un pet. Un beau joufflu éructant sa joie de vivre.

Toute ta vie tu espères Nietzsche, tu meurs avec la nostalgie de GDF.

Je ne suis que le Hollandais volant, condamné à errer dans les limbes. Seul un pet suspendrait ma malédiction et me permettrait d'aller en enfer. Toi qui contrains ton anus alors que je dévorais ta chatte, tu me condamnas à l'errance éternelle. Tu pétais, tu me sauvais, sans doute cela était-il trop te demander.

Et les femmes nous disent égoïstes.

Numero6, arrête tes conneries, ça va se voir que tu dis n'importe quoi.

Meuh non, ils ont bien avalé le nine eleven.

Ouais, euh, méfie-toi quand même, j'en vois un qui réfléchit.

Te fatigue pas c'est Ugly, il réfléchit ça je veux bien, il ne peut pas s'en empêcher. Mais c'est un homme, un vrai, il trahirait pas un pote. File-lui une cartouche de troupes, il fera celui qui n'a rien vu.

Un petit Malibu-Mayonnaise, Ugly ?

Partons d'ici pour revenir dans mes pénates. On se fourvoie souvent dans des fils avec cette confiance qui vous foit croire à la bonté de l'homme. Mais peu après, on s'aperçoit que cette confiance possède un goût de sang caillé et de plomb. C'est donc la fin.

Toute la nuit j'ai repris ma quête, en Bretagne je suivis la tempête, des culs bretons je guettais les vents, tel Toussaint je cherchais l'ouverture, comme lui un soir de biture, dans l'espoir d'un chapeau pour mon gland.

Les vents de force 12 combattirent les perlouzes, de la Bretagne, de cette page, de ce chapitre, les ronds témoins ne furent que les arbitres.

Une nuit à patauger dans les Jean-Claude Dusse, rétrovirus, chef, moi c'est rétrovirus.

Illuminant les derrières, sans protéger mes arrières, je fouaillais les fondements, dans l'urgence, en ahanant.

Tout objet perdu à cet endroit ne le reste pas longtemps, il finit sa carrière au milieu des autres excréments, dans la gloire d'une gastro-entérite ou propulsé par un effort émérite.

Mais dans quel cul l'avais-je donc perdu ? Je poursuivais la quête, de mon bout, de ma quéquette.

Un vagin ? Et pourquoi pas le supplice du Pal. J'esquive les fleurs du mal, la flore de Doderlein.

De Morphée ne regarder que l'anus, tel Gauvain et Meliant du Lys, voici que l'adorée se transforme en prépuce, le matin à l'heure de la pisse.

Mémoires d'outre-rein
Jean-Paul Casadessusse
Rétrovirus, moi, c'est...

Il semble que ta nuit fut courte et solitaire Numéro 6.
Pour te détendre un peu...

@NewHope:

Léo Ferré l'avait prédit !

Aujourd'hui j'ai beaucoup pété, j'ai pensé à toi.

Thanks a lot, Ugly, je ne connaissais pas l'intro de Constipation Blues.

"Ladies and Gentlemen, most people records songs about love, heartbreak, lonelyness, being broke, actually nobody went out and record a song about real pain.
The band and I just returns from the general hospital, (where record ??) a men in the right position, we name this song : Constipation Blues."

Mesdames et messieurs, la plupart des gens enregistrent des chansons consacrées à l'amour, les peines de cœur, la solitude, être fauché, mais personne ne vient enregistrer une chanson consacré à une vraie douleur.

Dans les commentaires YouTube de son concert à Tokyo en 1990 : "this guy was something else."

Let it go ! Let it go ! Let it go ! Let it go !

Quelqu'un pourrait-il ouvrir la fenêtre ?

Chaque fois que je mets en marche mon sèche-linge, je pense à mon amour perdu. J'avais réussi à trouver la panne de son appareil et à la réparer. Fier de moi.

Depuis, je ne peux appuyer sur le bouton "marche" de ce type d'engin sans penser à elle.

Je voudrais que toutes mes fans aient une pensée émue pour Numero6 à chaque pet émis ou ravalé.

Voilà comment rentrer dans la postérité !

Putain le jeu de mots à deux (trou de) balles !

J'ai connu personnellement Screamin Jay Hawkins, pour la minute culturelle;
Il habitait à Neuilly sur seine et se produisais encore parfois sur l'Ile de la Jatte
C'etait un bel homme, avec un charme fou.
Lu sur Wiki, il aurait eu 75 enfants ^^

Tu vois Numero 6, un masestro en quelque sorte

75 enfants, impressionné aussi.

Je dis monsieur.

Pour échapper à l'image de dégénéré scatophage que je me plais à développer, je voudrais vous parler d'un âge où je me sentais lourd, chiant, et d'une compagnie pénible. Ce qui est toujours vrai.

C'est juste pour m'excuser dans rajouter dans le prout (pensez à moi mesdames).

Bien avant ma majorité légale, je me suis retrouvé dans l'incapacité de partager certaines questions. La seule fois où ces interrogations furent évoquées dans mon cursus, cela a été en Philosophie, en Terminale. Coefficient 2, je te raconte pas l'ambiance morne des cours. En plus, à l'époque toutes les réflexions étaient plombées par le marxisme et la psychanalyse.

J'étais devant l'océan du possible, j'avais devant moi trop de directions, trop de bateaux en partance. Je me tenais penaud sur la plage, en me demandant ce que j'allais bien pouvoir faire de ce petit gobelet qui me servait de jugement. Comment savoir de quel eau je devais le remplir ? S'étalait devant moi la grande bibliothèque d'Alexandrie, et les portes fermaient dans moins de deux heures. Accumuler, lire, engranger. Et surtout, aller plus vite que les autres.

J'ai vécu ces savoirs comme des prisons, tous ces regards historiques, philosophiques, je les ai rejetés parce que je ne disposais pas de la possibilité de prendre une certaine distance. Je n'avais pas les ressources pour en discuter les fondements. Je ne pouvais les échanger avec qui que ce soit.

Je cherchais à réduire l'essentiel pour y consacrer mon énergie et mon temps. La quintessence de l'espèce humaine, le beau, le vrai, la loi. La sagesse qu'une seule vie humaine laisse le temps d'acquérir. En lisant la République je me réjouissais du chapitre consacré aux bienfaits du grand âge, et à l'abandon de la concupiscence, cela me consolait d'être seul. Notre place dans l'univers, notre absence de rôle dans l'univers.

C'est très déroutant, je n'ai pas souvenir d'avoir lu cette phrase "Les humains avaient disparu depuis seulement 2 millions d'années, et, déjà, la terre...", or la plus haute probabilité accompagne la fin de l'espèce humaine. Que l'on n'exprime jamais. Le monde ne semble devoir acquérir sa cohérence qu'au travers du regard humain.
Si j'y ai pensé, c'est qu'un autre cerveau l'a déjà fait, ne vous fatiguez pas amies lectrices. Disons, que ce n'est pas un objet de fiction courant.

Vivre avec la certitude que Victor Hugo, la grande muraille de chine, jésus, bouddha, le Nutella, tout cela va s'effacer dans un battement de cils, que faire en attendant le hasard qui m'emportera.

Je cherchais dans le coucher de soleil à avaler la beauté qui me permettrait de progresser, assis sur le sable de la plage. J'ai vu sortir une femme de son bain de mer. Elle avait profité de la lumière déclinante pour se baigner nue. Elle s'est allongée derrière la grande souche qui la dissimulait aux regards, avec un langoureux baiser à son compagnon.

J'ai jeté mon gobelet. La femme, l'opium de l'occident.

"Et gloire à celui qui rendit femme celle qui sans lui, quelle horreur, serait morte pucelle"

"Et gloire à celui qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint, se borne à ne pas trop emmerder ses voisins"

Modeste il est le Numero6, modeste, faut pas croire.

je dis Monsieur

Une vrai banque de sperme c'est clair.

Ce que Wiki ne dit pas c'est le nombre de Mamans. Si c'etait des one shot, admettons hein... il est mort à 71 ans, on peut estimer qu'il a commencé à avoir des enfants à partir de 18 ans, ca fait 1,4 enfants par an.

Ouais... il est tres fertile.
Et meme pas mort du sida, c'est surement ca le plus miraculeux

Ouais, ça se voit qu'il était pas con.

La minute culturelle ? Mazette.

Remarques, 75 pensions alimentaires, tu peux comprendre qu'il ne vivait pas aux States et qu'il a bossé jusqu'au bout.

Il y a prescription, c'est moi qui ai brulé la Grande Bibliothèque d'Alexandrie.

Pour les jardins suspendus de Babylone, j'ai un alibi, monsieur le commissaire.

Un peu de Culture avec un grand Q cheri cheri, ca fait jamais de mal.

Le cerveau se programme, le cerveau s'éduque, hier je pensais en rime, la chose continue, stupidement, et je dois faire attention à éviter cette diablerie.

J'ai restreint mon cerveau à se limiter à ce qui était à ma portée. Les vertus des petites gens, la noblesse du repassage, l'endurance du ménage. J'ai peint sur les murs de ma chambre ce que j'avais en tête. J'ai construit mon univers à l'aide des choses que je pouvais vérifier. Cela m'a sauvé et m'a permis de progresser. Mais que de voyages à Cythère j'ai du abandonner.

J'avais compris cela en visionnant le film Le Guépard : Lorsque Tancredi Falconeri (Alain Delon) pénètre triomphant dans le salon et quitte la pièce, le Prince Don Fabrizio Salina (Burt Lancaster) glisse à voix basse quelque chose comme : "Combien faut-il de fortunes dilapidées pour faire un seul Tancredi ?"

Lorsque je demande à mon cerveau de se libérer, et d'apprécier la futilité, il refuse. Numero6 vous regarde, il vous envie, et surtout lorsque vous raconterez des conneries. La légèreté et l'inconstance sont des privilèges. J'en viens quérir les effluves.

J'ai mis mes neurones depuis plusieurs mois en jachères. Bof, il est toujours aussi chiant. Qu'est-ce qui est important ? Et pourquoi, et comment ? La tentation de la voie mystique m'est refusée. Je crois à l'église mais pas en Dieu (vous verrez mécréant que ce n'est pas si con). Sans partage mon crâne tourne en rond. Je ne lui en veut pas, il fait ce qu'il peut.

Quand à Jex Four, ça ne nous rajeunit pas tout ça ! Alice, la grande Alice. Sans déconner, on sortirait encore ça maintenant ?

"Acceptez jeunes gens que vos révoltes nous amusent, et que pour devenir pertinents il vous faudra taquiner la muse."
Numero6
In J'aime emmerdé les djeuns, mais je ferais tout pour être à leur place

Je me suis élancé sur la mer de la connaissance avec un radeau bricolé, du scotch, du vieux caoutchouc, je vogue vers rien. La seule chose qui me reste c'est de voguer.

Vous m'expliquez pourquoi les liens de mon radeau sont mal noués ?
Je vous en remercie.

Vous me demandez pourquoi j'ai choisi de naviguer ainsi ?
Je vous remercie de votre question. Que vous incluiez l'idée d'un choix me flatte.

Vous me donnez la direction de l'Orient ?
Je vous en remercie.

Je vais mourir en pleine mer, insatisfait, j'ai voulu découvrir l'Amérique lorsque la seule chose qui compte en ce bas-monde se trouve dans votre luxueuse cabine et se pomponne.

C'était une fillette qui s'appelait Suzon
C'était une fillette qui s'appelait Suzon
Et qui aimait à rire avec tous les garçons !

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

Et elle aimait à rire avec tous les garçons
Et elle aimait à rire avec tous les garçons
Mais à force de rire son ventre devint rond !

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

Mais à force de rire son ventre devint rond
Mais à force de rire son ventre devint rond
Sa mère lui demande : qui t'as fait ça Suzon ?

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

Sa mère lui demande : qui t'as fait ça Suzon ?
Sa mère lui demande : qui t'as fait ça Suzon ?
C'est le garde barrière, par derrière la maison !

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

C'est le garde barrière par derrière la maison
C'est le garde barrière par derrière la maison
Il m'a mit dans le cul un gros baton tout rond !

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

Il m'a mit dans le cul un gros baton tout rond
Il m'a mit dans le cul un gros baton tout rond
Au bout il y avait de la crème, ah bon dieu qu'c'était bon !

Ah la salope
Vas laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela
Car il n'est pas propre tirelire
Car il n'est pas propre tirela

Avec l'accordeon ca rend les mots plus "risibles".

Ugly, je ne te dis pas merci, j'en suis à faire des versions sur S. J. Hawkins.

J'avais raison pour les pensions alimentaires, ça sent le vécu .

Variations live sur le titre "I'm Lonely"

(...)
Last Year, New Year's, I was an athlete,
I saw this beautiful girl, I Met this beautiful girl
We went home, we make love all night long

I say my goodness you're so wonderful
You make me feel so damn good
She says "Hey, some champaign"
We tried some rhum, a little gin, five bottles of beer,
We went back to bed
We made love all night long

That was new year's

Two weeks ago I saw the same girl
She said "Jay", I said "Yeah"
She said "we have a baby", I said "noooo"
You're going to have to take care of me, I said "noooooo"

You've got to pay the gazoline, the electricity, the telephone, give me some money for the clothes, what are you going to do ?

I said baby I'm going to tell you this much :

I'm tired, I'm so weak, and I'm lonely. (...)

La sympathie fabuleuse qu'il peut dégager lorsqu'il se lâche sur "we made love all night"... Je comprends tout à fait qu'il ait conservé son charme aussi longtemps.

C'est incroyable à quel point SJH s'exprime bien. C'est rare que je parvienne à comprendre plus de trois mots prononcés par un noir américain.

En camping, les "grands" étaient mes voisins. Je cherchais à capter toutes leurs conversations pour connaitre les clefs du monde des grands, les mystères de la vie et surtout ceux de l'amour.

C'est ainsi que j'ai pu appendre l'identité du seul poisson recouvert de poils

Réponse pour initiées:

Oui, mais pourquoi ?:

C'était juste pour les 27 habitants du Kamshatka occidental qui ne la connaissaient pas.