Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
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Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
"Notre tendance à tous est de tout transformer en idéologie, y compris les enseignements les plus libérateurs." Gilles Farcet
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
« Un pessimiste fait de ses occasions des difficultés, et un optimiste fait de ses difficultés des occasions. » Harry Truman
Arkange- Messages : 734
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Bliss- Messages : 12125
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Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Zoyeux zanniversaire en arabe :
Dernière édition par cassis le Mer 20 Fév 2013 - 7:45, édité 1 fois
cassis- Messages : 271
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Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
En créole mauricien :
Dernière édition par cassis le Mer 20 Fév 2013 - 7:42, édité 1 fois
cassis- Messages : 271
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Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
En chat :
Dernière édition par cassis le Mer 20 Fév 2013 - 7:47, édité 1 fois
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cassis- Messages : 271
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Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Merci à tous
Anniversaire mais surtout renaissance en cours après une année de remise en cause, de transmutation ... il parait que c'est le temps de gestation des zèbres
Je suis riche d'une famille reconnue et choisie, qui me porte et me révèle à moi même ... MERCI à vous tous !
"Ce n'est pas un hasard, c'est notre rendez-vous, pas une coïncidence"
Anniversaire mais surtout renaissance en cours après une année de remise en cause, de transmutation ... il parait que c'est le temps de gestation des zèbres
Je suis riche d'une famille reconnue et choisie, qui me porte et me révèle à moi même ... MERCI à vous tous !
"Ce n'est pas un hasard, c'est notre rendez-vous, pas une coïncidence"
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
(Le Petit prince, version Renarde)
"C'est alors qu'apparut Renarde :
- Bonjour, dit Renarde.
- Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
- Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
- Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien jolie...
- Je suis Renarde, dit Renarde.
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit Renarde. Je ne suis pas apprivoisée.
- Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta:
- Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- Tu n'es pas d'ici, dit Renarde, que cherches-tu ?
- Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- Les hommes, dit Renarde, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- C'est une chose trop oubliée, dit Renarde. Ça signifie "créer des liens..."
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit Renarde. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'une Renarde semblable à cent mille Renardes. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
- C'est possible, dit Renarde. On voit sur la Terre toutes sortes de choses...
- Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince.
Renarde parut très intriguée :
- Sur une autre planète ?
- Oui.
- Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?
- Non.
- Ça, c'est intéressant ! Et des poules ?
- Non.
- Rien n'est parfait, soupira Renarde.
Mais Renarde revint à son idée :
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisée ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Renarde se tut et regarda longtemps le petit prince :
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-elle.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit Renarde. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux une amie, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire ? dit le petit prince.
- Il faut être très patient, répondit Renarde. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit Renarde. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureuse. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureuse. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai ; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites.
- Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince.
- C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit Renarde. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa Renarde. Et quand l'heure du départ fut proche:
- Ah! dit Renarde... Je pleurerai.
- C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
- Bien sûr, dit Renarde.
- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.
- Bien sûr, dit Renarde.
- Alors tu n'y gagnes rien !
- J'y gagne, dit Renarde, à cause de la couleur du blé.
Puis elle ajouta:
- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était ma Renarde. Ce n'était qu'une Renarde semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon amie, et elle est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient bien gênées.
- Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
Et il revint vers Renarde :
- Adieu, dit-il...
- Adieu, dit Renarde. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
- L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
- C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.
- Les hommes ont oublié cette vérité, dit Renarde. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
- Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir."
Bon anniversaire, Renarde.
"C'est alors qu'apparut Renarde :
- Bonjour, dit Renarde.
- Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
- Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
- Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien jolie...
- Je suis Renarde, dit Renarde.
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit Renarde. Je ne suis pas apprivoisée.
- Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta:
- Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- Tu n'es pas d'ici, dit Renarde, que cherches-tu ?
- Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- Les hommes, dit Renarde, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- C'est une chose trop oubliée, dit Renarde. Ça signifie "créer des liens..."
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit Renarde. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'une Renarde semblable à cent mille Renardes. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
- C'est possible, dit Renarde. On voit sur la Terre toutes sortes de choses...
- Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince.
Renarde parut très intriguée :
- Sur une autre planète ?
- Oui.
- Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?
- Non.
- Ça, c'est intéressant ! Et des poules ?
- Non.
- Rien n'est parfait, soupira Renarde.
Mais Renarde revint à son idée :
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisée ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Renarde se tut et regarda longtemps le petit prince :
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-elle.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit Renarde. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux une amie, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire ? dit le petit prince.
- Il faut être très patient, répondit Renarde. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit Renarde. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureuse. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureuse. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai ; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites.
- Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince.
- C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit Renarde. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa Renarde. Et quand l'heure du départ fut proche:
- Ah! dit Renarde... Je pleurerai.
- C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
- Bien sûr, dit Renarde.
- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.
- Bien sûr, dit Renarde.
- Alors tu n'y gagnes rien !
- J'y gagne, dit Renarde, à cause de la couleur du blé.
Puis elle ajouta:
- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était ma Renarde. Ce n'était qu'une Renarde semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon amie, et elle est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient bien gênées.
- Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
Et il revint vers Renarde :
- Adieu, dit-il...
- Adieu, dit Renarde. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
- L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
- C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.
- Les hommes ont oublié cette vérité, dit Renarde. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
- Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir."
Bon anniversaire, Renarde.
Basilice- Messages : 1936
Date d'inscription : 01/11/2012
Localisation : Tout dépend des moments
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Hey, un joyeux anniversaire pour toi Renarde
http://www.gilbert-garcin.com/chrono/photos/photo_2008_380.php
http://www.gilbert-garcin.com/chrono/photos/photo_2008_380.php
Invité- Invité
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
JOYEUX ANNIVERSAIRE Ma Renardine !
Que cette nouvelle année t'apporte bien des joies, de grands bonheurs, qu'elle te conserve ton attention aux autres
Que tu grandisses encore dans la connaissance de toi même et que tu en récoltes les fruits
Que cette nouvelle année t'apporte bien des joies, de grands bonheurs, qu'elle te conserve ton attention aux autres
Que tu grandisses encore dans la connaissance de toi même et que tu en récoltes les fruits
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
" Chantez et dansez ensembles et soyez joyeux, mais que chacun d'entre vous reste seul. Même quand les cordes d'un luth sont seuls, ils vibrent de la même musique."
Khalil Gibran
Khalil Gibran
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
"Il n'y a pas de plus grande joie que de connaître quelqu'un qui voit le même monde que nous. C'est apprendre que l'on n'était pas fou."
"La dame blanche" - Christian Bobin - Poésie Gallimard 2007
Avec tous mes remerciements à celui qui m'a fait découvrir cette phrase ...
"La dame blanche" - Christian Bobin - Poésie Gallimard 2007
Avec tous mes remerciements à celui qui m'a fait découvrir cette phrase ...
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
PLEIN DE GROS POUTOUS.... BELLE RENARDE
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
Localisation : Gard
♡Maïa- Messages : 1734
Date d'inscription : 06/03/2012
Just a thanx too you, lady Basilice.
A Basilice : Merci...
Arkange- Messages : 734
Date d'inscription : 03/09/2012
Age : 49
Localisation : Orléans
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
"Pas d'aile, pas d'oiseau, pas de vent, mais la nuit,
Rien que le battement d'une absence de bruit."
Eugène Guillevic _ "Sphère" / Photo _ Noelle S. Oszvald
Rien que le battement d'une absence de bruit."
Eugène Guillevic _ "Sphère" / Photo _ Noelle S. Oszvald
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Bonsoir renarde20
Une émission de France culture : " La nuit et le silence des images " (auteur : Bernard Vouilloux)
Voilà le lien : http://www.franceculture.fr/oeuvre-la-nuit-et-le-silence-des-images-de-bernard-vouilloux.html
Une émission de France culture : " La nuit et le silence des images " (auteur : Bernard Vouilloux)
Voilà le lien : http://www.franceculture.fr/oeuvre-la-nuit-et-le-silence-des-images-de-bernard-vouilloux.html
Invité- Invité
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Envoi de douceurs à distance ! !
Concentratiiioooonnnnnn...
.... . ... .. ... . ....
HOP!
Bien reçu?
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 42
Localisation : Sur son terril
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Woooops, Je suis encore dans les temps
Bon anniversaire
Bon anniversaire
Fa- Messages : 1849
Date d'inscription : 23/06/2012
Age : 45
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Trop bon tous vos messages
Trop bon tous vos messages
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
J'étais plus dans l'énergie que dans la restauration
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
yadalammmm offenbach cavaliers me voici :
Zib la miss :-)
Zib la miss :-)
Invité- Invité
Re: Je me suis lancée ... et ne le regrette toujours pas !
"Et si c'était cela, perdre sa vie : se poser les questions essentielles juste un peu trop tard ?" Gilbert Cesbron
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