Ce que je viens faire là.
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Re: Ce que je viens faire là.
monstrueusement bien
- Spoiler:
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
j'adoreFree a écrit:
- Spoiler:
Tout à fait ça, leur air innocent.
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
https://youtu.be/q-eXcazOhHk
https://youtu.be/p-C-INoW79g
Tous les épisodes de Father Ted sur You Tube, le bonheur...
https://youtu.be/p-C-INoW79g
Tous les épisodes de Father Ted sur You Tube, le bonheur...
Invité- Invité
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
un clip en or (le plus cher de l'histoire, après scream)
https://youtu.be/BfvD_brrrTc?t=3m45s
https://youtu.be/BfvD_brrrTc?t=3m45s
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
Tes messages sont de plus en plus énigmatiques, Free. Il y a un concept derrière, ou bien ?
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
puis tu voudrais pas que je te fasses un mp avec des indices aussi ?!Gallinago Imperialis a écrit:Il y a un concept derrière, ou bien ?
HELL NO !!!!!^^ 5 exclamations marks, the sure sign of an insane mind
- Fausses pistes:
Alors, mon signior, c'est l'histoire du chat Sowhat, qui apporte le journal tous les matins sur le comptoir,
mais sans monter sur le comptoir parce qu'il est sur le journal, qui est sur le comptoir tu vois,
et alors le journal relate les vraies monstruosités des lendemains qui déchantent...
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
Ben, heu, non, toujours pas... Même avec indices et fausses pistes
Voilà, voilà, voilà... Hum.
Voilà, voilà, voilà... Hum.
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
J'ai trouvé l'article intéressant en tout cas! Je trouve en effet, que les extrémistes de droite aiment bien faire les fiers à bras dans mon entourage. Le bruit des bottes... et rien sous le chapeau...
Lucilou Sauvage- Messages : 964
Date d'inscription : 26/05/2013
Age : 48
Re: Ce que je viens faire là.
oui, voilà, Gallinago,Astre Sauvage a écrit:J'ai trouvé l'article intéressant en tout cas!
notre rasoir d'Ockham nous souffle que l'imprédictibilité du comportement humain
relève souvent de la sérendipité de potache, prétexte à communiquer des liens intéressants ou drôles,
sans beaucoup plus de cohérence que cela...
- Sowhat the cat:
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
Poste, cher Free, poste...
Sowhat the cat n'était pas très loin de la vérité, ce qui fait que j'avais en plus la comprenette un peu bloquée. Mais ça n'a pas vraiment d'importance, indeed...
Sur le rasoir d'Ockham, j'ai lu ça, récemment : "Notre forme existe alors selon quatre modalités différentes : comme corps qui se réfléchit dans le miroir, comme sujet qui se pense et fait l'expérience de soi, comme forme qui existe dans le miroir, et comme concept ou image dans l'âme du sujet pensant qui permet à ce dernier de se penser lui-même. L'existence du sensible dans le monde suffit à démontrer l'inutilité du rasoir d'Ockham". Emanuele Coccia, La vie sensible.
Sowhat the cat n'était pas très loin de la vérité, ce qui fait que j'avais en plus la comprenette un peu bloquée. Mais ça n'a pas vraiment d'importance, indeed...
Sur le rasoir d'Ockham, j'ai lu ça, récemment : "Notre forme existe alors selon quatre modalités différentes : comme corps qui se réfléchit dans le miroir, comme sujet qui se pense et fait l'expérience de soi, comme forme qui existe dans le miroir, et comme concept ou image dans l'âme du sujet pensant qui permet à ce dernier de se penser lui-même. L'existence du sensible dans le monde suffit à démontrer l'inutilité du rasoir d'Ockham". Emanuele Coccia, La vie sensible.
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
formulation de la problématique que je trouve simple et éclairante,Gallinago Imperialis a écrit:"Notre forme existe alors selon quatre modalités différentes : comme corps qui se réfléchit dans le miroir, comme sujet qui se pense et fait l'expérience de soi, comme forme qui existe dans le miroir, et comme concept ou image dans l'âme du sujet pensant qui permet à ce dernier de se penser lui-même. L'existence du sensible dans le monde suffit à démontrer l'inutilité du rasoir d'Ockham". Emanuele Coccia, La vie sensible.
coïncidence amusante, j'avais sorti sur ce forum il y a à peine quelques semaines que, si on appliquait le rasoir d'Ockham à lui même, (il y a plusieurs façons de le formuler, mais bref), il fallait en conclure que la pertinence de celui-ci était pour le moins à nuancer...
pour ma part je conçois l'âme de façon (à priori) bien plus "matérialiste et pragmatique" que "croyante"
(dans mon étrange panthéisme tout a une étincelle divine, et tout ce qui existe autour de nous se comporte de la façon la plus rationnelle possible)
pour moi l'âme est en quelque sorte au cortex, ce que le cortex est au reste du cerveau.
- blabla:
- (selon "ma modélisation logique", il y aurait une part d'imbrication des niveaux de "conscience" ((que cette part soit une réalité biologique, une tendance d'évolution, une simple potentialité, ou relève plus du virtuel,... peu m'importe))
en bref, une sorte de jeu de poupées russes qui part de l'incarnation matérielle, jusqu'à d'infinie reflets de nos consciences - des poupées russes faites de miroirs assez transparents, en somme 42^^)
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
- une imposture:
- Je ne sais pas ce qu'est le rasoir d'Ockham, j'aurais pu chercher, mais pas envie non plus C'est juste que l'idée que la "vérité" puisse se mesurer avec un quelconque rasoir, je trouve ça... naïf. Ou qu'il puisse y avoir une quelconque objectivité rationnelle en ce bas monde.
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
De ce que je me rappelle, et sans certitude, le rasoir d'Ockham résumé simplement, c'est tout bêtement un principe général qui dit que l'explication la plus simple est généralement la bonne.
Ainaelin- Messages : 4287
Date d'inscription : 07/04/2013
Re: Ce que je viens faire là.
Absolument Ainaelin, ou plus exactement la théorie qui fait le moins appel à des éléments soumis à caution est la plus crédible
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
moi non plus, j'aime pas Aristote, ça tête ne me revient pas:
Aristote : « Il vaut mieux prendre des principes moins nombreux et de nombre limité, comme fait Empédocle » (Physique, I, 4, 188a17).
Bertrand Russell (1906) : le rasoir d'Ockham est « la maxime méthodologique suprême lorsqu'on philosophe » (On the Nature of Truth) ?
On voit parfois dans la philosophie d'Ockham les prémices de la science moderne, de l'empirisme anglais ainsi que de la philosophie analytique contemporaine, car elle insiste surtout sur les faits et sur le type de raisonnement utilisé dans le discours rationnel, au détriment d'une spéculation métaphysique sur les essences.
Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fut connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit :
Aristote : « Il vaut mieux prendre des principes moins nombreux et de nombre limité, comme fait Empédocle » (Physique, I, 4, 188a17).
Bertrand Russell (1906) : le rasoir d'Ockham est « la maxime méthodologique suprême lorsqu'on philosophe » (On the Nature of Truth) ?
On voit parfois dans la philosophie d'Ockham les prémices de la science moderne, de l'empirisme anglais ainsi que de la philosophie analytique contemporaine, car elle insiste surtout sur les faits et sur le type de raisonnement utilisé dans le discours rationnel, au détriment d'une spéculation métaphysique sur les essences.
Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fut connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit :
- Spoiler:
- Pluralitas non est ponenda sine necessitate
« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. »
L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits.
Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». C'est un des principes heuristiques fondamentaux en science, sans être pour autant à proprement parler un résultat scientifique.
L'induction de Solomonoff est une formalisation mathématique et une 'preuve' du rasoir d'Occam, sous l’hypothèse que l'environnement suit une loi de probabilité inconnue mais calculable. Les théories calculables les plus courtes ont un plus grand poids dans le calcul de la probabilité de l'observation suivante, en utilisant toutes les théories calculables qui décrivent parfaitement les observations précédentes
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
Tu n'aimes pas Aristote, mais si je me souviens bien, tu aimes bien Descartes. Dans le bouquin que j'ai cité, l'auteur dit que Descartes a cherché à délivrer l'esprit des "espèces intentionnelles", croisade des modernes pour penser le sujet réellement séparé des choses, considérer la réflexion du sujet comme le fondement de toute connaissance. Ce qui rejoint ce que tu dis sur l'insistance sur les faits et le type de raisonnement utilisé dans le discours rationnel.
Et voilà qu'on ne croit plus qu'aux faits, aux discours rationnels, à l'information. Tout devient hyper-simpliste, la sensibilité est décriée comme faiblesse, on ne veut plus rien savoir de la souffrance, ce qui fait qu'on ne peut plus la dire, la vivre, et qu'on souffre encore plus terriblement de ne pas être simplement entendu. Comment être heureux si on n'a plus le droit de souffrir ?
Plus j'avance et plus j'exècre la rationalité, cette idée qu'on n'a pas le choix, que c'est comme ça que les choses marchent, qu'il faut s'y faire, tous ces "système", ces "règles" qui sont présentées comme des vérités incontournables, marche ou crève
Quid de la complexité, de l'intuition, des sens multiples du langage, du symbolisme, des signes, des coïncidences, des espaces intérieurs, de l'amour ?
Mais je divague
Et voilà qu'on ne croit plus qu'aux faits, aux discours rationnels, à l'information. Tout devient hyper-simpliste, la sensibilité est décriée comme faiblesse, on ne veut plus rien savoir de la souffrance, ce qui fait qu'on ne peut plus la dire, la vivre, et qu'on souffre encore plus terriblement de ne pas être simplement entendu. Comment être heureux si on n'a plus le droit de souffrir ?
Plus j'avance et plus j'exècre la rationalité, cette idée qu'on n'a pas le choix, que c'est comme ça que les choses marchent, qu'il faut s'y faire, tous ces "système", ces "règles" qui sont présentées comme des vérités incontournables, marche ou crève
Quid de la complexité, de l'intuition, des sens multiples du langage, du symbolisme, des signes, des coïncidences, des espaces intérieurs, de l'amour ?
Mais je divague
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
Et donc, ce que je viens faire là. Il n'y avait pas de question, mais j'ai en ai pris conscience avec plus d'acuité.
Le récit. Conter, raconter. Lire. Aller là où on n'irait pas sans le regard, la réponse des autres. Echanger.
Sortir de la rationalité, des informations, des discours auto-validateurs, des faits. Explorer l'esprit, l'âme, le coeur, les espaces intérieurs, on peut appeler ça comme on veut. Ecrire ce qu'on peut difficilement dire dans le réel, prendre conscience pourtant de la réalité et de la force de ce qui se passe là, alors même que c'est hors des trois dimensions dans lesquelles nous nous mouvons sans plus y penser.
C'est compliqué à expliquer à des personnes qui me connaissent bien, avec qui j'ai partagé beaucoup. C'est compliqué d'expliquer cette dissociation entre le monde réel et le monde "intérieur", quand bien même l'un se nourrit de l'autre et inversement. Comment décrire ces murs qui tombent, ces frontières qui s'effacent, ces espaces qui s'agrandissent ? Et mon désintérêt croissant pour un certain nombre de choses, disons matérielles.
Pourtant, parallèlement, j'ai plus envie de défendre ce qui me paraît important, la simple humanité. Lutter contre la violence ordinaire, le mépris, les discours faciles et la morale à l'emporte-pièce. Retourner dans le monde.
Le récit. Conter, raconter. Lire. Aller là où on n'irait pas sans le regard, la réponse des autres. Echanger.
Sortir de la rationalité, des informations, des discours auto-validateurs, des faits. Explorer l'esprit, l'âme, le coeur, les espaces intérieurs, on peut appeler ça comme on veut. Ecrire ce qu'on peut difficilement dire dans le réel, prendre conscience pourtant de la réalité et de la force de ce qui se passe là, alors même que c'est hors des trois dimensions dans lesquelles nous nous mouvons sans plus y penser.
C'est compliqué à expliquer à des personnes qui me connaissent bien, avec qui j'ai partagé beaucoup. C'est compliqué d'expliquer cette dissociation entre le monde réel et le monde "intérieur", quand bien même l'un se nourrit de l'autre et inversement. Comment décrire ces murs qui tombent, ces frontières qui s'effacent, ces espaces qui s'agrandissent ? Et mon désintérêt croissant pour un certain nombre de choses, disons matérielles.
Pourtant, parallèlement, j'ai plus envie de défendre ce qui me paraît important, la simple humanité. Lutter contre la violence ordinaire, le mépris, les discours faciles et la morale à l'emporte-pièce. Retourner dans le monde.
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
"Qu'en est-il donc de ce "présent introuvable", de cet utopie du présent ?
Jusqu'ici, on s'est borné à envisagé les ek-stases temporelles, passé et avenir. Or, passé et avenir - pourrait-on dire avec Husserl-, bien que repoussés hors du "présent", n'en continuent pas moins d'en faire partir sur leur mode respectif nouveau de "non-conformité" et de "possible conformité" et ne font que témoigner de cette activité désactualisante qui, elle, demeurerait au sein même du "présent".
Qu'en est-il donc, de cette activité ? Elle consiste, certes, à repousser hors du présent le "non-conforme" au voeu sur le mode du "déjà plus" et du "pas encore", mais par là, précisément, elle introduit d'incessantes modifications dans le présent lui-même. Ce qui s'annonçait comme actualité "vraie" est devenu actualité symbolique (potentialité), au profit d'affections nouvelles à symboliser. Potentialiser le présent c'est crée l'advenu, moyen de comparaison permanent et disponible (cf le préconscient freudien), ainsi que l'avenir, ce qui peut être "autrement", et cela par rapport à l'actuelle réalisation symbolique, donc insatisfaisante, du voeu. La répétition est hors du présent. Désactualiser et potentialiser d'une part, retenir et anticiper de l'autre, en un mot : répéter ne sont que deux faces du même processus : la tentative sans cesse renouvelée de surmonter l'essentielle ambiguïté du "présent" par un travail indéfini de symbolisation de conflits toujours renaissants." Nicolas Abraham, Le temps, le rythme et l'inconscient.
Ca me met en joie, allez savoir pourquoi
Jusqu'ici, on s'est borné à envisagé les ek-stases temporelles, passé et avenir. Or, passé et avenir - pourrait-on dire avec Husserl-, bien que repoussés hors du "présent", n'en continuent pas moins d'en faire partir sur leur mode respectif nouveau de "non-conformité" et de "possible conformité" et ne font que témoigner de cette activité désactualisante qui, elle, demeurerait au sein même du "présent".
Qu'en est-il donc, de cette activité ? Elle consiste, certes, à repousser hors du présent le "non-conforme" au voeu sur le mode du "déjà plus" et du "pas encore", mais par là, précisément, elle introduit d'incessantes modifications dans le présent lui-même. Ce qui s'annonçait comme actualité "vraie" est devenu actualité symbolique (potentialité), au profit d'affections nouvelles à symboliser. Potentialiser le présent c'est crée l'advenu, moyen de comparaison permanent et disponible (cf le préconscient freudien), ainsi que l'avenir, ce qui peut être "autrement", et cela par rapport à l'actuelle réalisation symbolique, donc insatisfaisante, du voeu. La répétition est hors du présent. Désactualiser et potentialiser d'une part, retenir et anticiper de l'autre, en un mot : répéter ne sont que deux faces du même processus : la tentative sans cesse renouvelée de surmonter l'essentielle ambiguïté du "présent" par un travail indéfini de symbolisation de conflits toujours renaissants." Nicolas Abraham, Le temps, le rythme et l'inconscient.
Ca me met en joie, allez savoir pourquoi
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
Bonne question que celle là:Gallinago Imperialis a écrit:
Ca me met en joie, allez savoir pourquoi
pourquoi ?
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: Ce que je viens faire là.
J'sais pas, j'adore trop. Pis c'est pas idiot, hein, c'est assez bien trouvé
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
...
Dernière édition par NelseM le Mer 20 Nov 2013 - 16:51, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
.
Dernière édition par Gallinago Imperialis le Ven 29 Nov 2013 - 22:03, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
Je vais suivre un bon conseil, et aller prendre l'air ailleurs.
Plus trop grand-chose à faire ici, et je pense avoir à peu près tout dit. Plus rien à ajouter. Ni à retirer.
Portez-vous bien
Plus trop grand-chose à faire ici, et je pense avoir à peu près tout dit. Plus rien à ajouter. Ni à retirer.
Portez-vous bien
Invité- Invité
Re: Ce que je viens faire là.
Portes-toi bien toi aussi
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: Ce que je viens faire là.
Triste de te voir partir, Gallinago, même si je pense que tu n'avais effectivement plus grand chose à retirer de ce forum. Je te souhaite de trouver mieux ailleurs, quelque chose qui t'enrichisse encore plus. Très content de t'avoir "connue", virtuellement en tout cas, malgré nos quelques divergences de méthode.
Très bonne continuation à toi et à tes projets. si tu le veux bien.
Très bonne continuation à toi et à tes projets. si tu le veux bien.
Ainaelin- Messages : 4287
Date d'inscription : 07/04/2013
Re: Ce que je viens faire là.
Bon, j'ai changé d'avis (comme ça je peux vous remercier pour vos messages, c'est l'avantage ). I'm back and I'm versatile. Enfin, oui, mais non. Bref.
Contente d'être là. Je vais bien, ça bouge, ça tangue, mais c'est terriblement intéressant et évolutif. Donc.
Cithare et guitare pour redémarrer comme il faut.
Contente d'être là. Je vais bien, ça bouge, ça tangue, mais c'est terriblement intéressant et évolutif. Donc.
Cithare et guitare pour redémarrer comme il faut.
Invité- Invité
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