Et voilà, j'ai trouvé...

Entre le taf, le linge, la bouffe et la vaisselle, il n'y a juste pas assez de temps pour faire autre chose, en gros. Puis je fais trop de sorties en ce moment, probablement. Ça fait du bien mais ça prend du temps... Je suis crevée, encore. Pas assez dormi. Un peu comme d'habitude, d'ailleurs, et ce n'est pas bon. Quand le soir, on a deux heures de temps "libre" chez soi, ce n'est pas beaucoup. Parfois j'en ai marre. Et comme je manque de sommeil, ce n'est pas étonnant que je n'ai pas assez d'énergie pour faire des choses.
Bon, ça va, Fleur, arrête de te plaindre, il y a du mieux aussi. En effet, oui, même si pour cette histoire d'équilibre, je ne suis pas vraiment plus avancée qu'avant. Faudrait que j'en parle demain. C'est probablement plus important que ce fameux entretien, ce n'est pas non plus lui qui décide. Ah oui, faudrait que j'écrive ce mail. Je ne sais pas trop quoi mettre dedans. C'est normal, remarque, puisque je ne sais pas vraiment me vendre... Oui, c'est bon, j'arrête. C'est pas ça ce qui va me réveiller davantage. Allez, au boulot.

Bouffée d'émotion... J'ai bien fait de prendre un ticket pour mars.

Il s'agit d'une ellipse - la phrase complète serait: "Un ticket pour le concert au mois de mars."

fleur_bleue a écrit:Il s'agit d'une ellipse - la phrase complète serait: "Un ticket pour le concert au mois de mars."

Arf, c'est ballot, j'ai toujours eu envie de visiter Mars. Si tu vas la bas, promis je passe te voir !

Moi j'avais compris "un concert de Bruno Mars"...comme quoi les interprétations..

Pas trop là les prochains jours - Noël en famille, toussa.

De toute façon, je n'étais pas très présente, c'est vrai. Fatigue, départ de plusieurs personnes que j'aime bien, tout ça fait que j'ai moins envie de lire et d'écrire. Aujourd'hui, il y a aussi une pointe de tristesse, souvenirs d'un autre Noël, différent celui-là... Tant pis...

Merci Emi!

Je te remercie pour tes voeux Fleur Bleue... Comment vis-tu les débuts d'années ? Personnellement, j'avoue ne pas y attacher beaucoup d'importance... Ce qui ne m'empêche pas de penser aux nouvelles résolutions, de faire des voeux, de sentir le phénomène "début" de quelque chose, d'être paradoxalement étonnée et indifférente au marquage du temps...
Je te souhaite une bonne année, pleine de surprises, de joie, d'amour, de belles rencontres et de transformation...
Je t'embrasse fort

@Emi: C'est vrai que c'est d'une importance secondaire pour moi aussi. Le vrai "début d'année" pour moi est plutôt la rentrée en septembre, parce que c'est là que je vais réfléchir à mes objectifs pour l'année (scolaire) suivante, après les vacances d'été. En même temps, le passage décembre/janvier est souvent propice à reprendre cette même réflexion, donc j'en profite pour revoir un peu tout ça par rapport aux événements des mois précédents et de faire un peu le bilan.
Merci pour tes voeux, pour les belles rencontres en tout cas, c'est déjà bien parti.

douce année

Voilà pour la douceur...

Franchement, je le trouve super beau.

Emue. Touchée. Triste. Ce n'est pas mon deuil et pourtant, ça fait mal quand même.

Puis il y a des choses qui font écho chez moi. Je ne suis peut-être pas passée loin... Mais j'ai eu la chance finalement d'avoir toujours eu des gens qui étaient vraiment là pour moi. Même dans les moments où j'avais l'impression qu'il n'y avait plus personne. D'ailleurs il y avait toujours au moins des responsabilités. Le cheval, le boulot. Et parfois bêtement la peur de blesser quelqu'un, que quelqu'un se sente coupable. Je n'ai pas voulu ça. Alors j'ai continué, plus ou moins bien. Et aujourd'hui, même si je ne vis pas forcément ce que je voudrais, même si j'ai parfois du mal à voir les choses de manière positive, je suis contente d'avoir tenu le coup.
J'essaie d'être là pareillement pour mes amis. Pour ceux à qui je peux tendre la main, malgré mes fragilités, mes blessures. Ce n'est probablement pas assez, pas aujourd'hui en tout cas. J'aimerais pouvoir en faire davantage, mais comment? Dans la vraie vie, c'est un peu plus facile, mais ce n'est pas évident dans ce contexte, alors ailleurs? Il faut essayer. Ne pas baisser les bras, jamais. Se soutenir mutuellement autant qu'on peut, sans s'oublier soi-même, bien sûr. Ensemble, on est moins seuls.

Dire ce qu'il faut, ravaler la colère, la tristesse ou la déception, selon les cas, je sais assez bien faire. Parfois trop bien. Quand je dis des mots gentils alors que j'ai envie de l'engueuler, quand je cache ma déception et ma tristesse devant une réponse négative... Politesse, empathie peut-être, pas envie de blesser l'autre. Quand il faut m'affirmer, poser mes limites, toujours le faire en douceur. Peur de me faire rejeter, d'être abandonnée, je pense que ça joue dans ces comportements. Pourtant c'est rarement dans ces moments-là que je suis le plus "exposée". Sentiments trop forts ou trop vifs aussi, hypersensibilité qui fait que les petites déceptions sont des coups de griffes sur le cœur, alors que ce n'est pas grand-chose et que ce n'est pas méchant, pas dirigé contre moi spécifiquement. Mais petite griffure qui fait mal quand même.
Et peut-être ne devrais-je pas écrire tout ça, pas ici au moins. Ce n'est pas pour m'adresser à quelqu'un en particulier. Juste un point dont je prends conscience, sur lequel je devrais travailler, pas pour me blinder mais pour ne plus sur-réagir autant...

C'est compliqué, tout ça. Souvent décourageant. Peut-être devrais-je laisser tomber ce truc, y a-t-il encore des miracles? Je ne sais pas... Aujourd'hui, j'ai du mal à y croire. Tant pis... Demain est un autre jour, comme on dit.

La nuit porte conseil.

Demain est un autre jour et donc au moins au niveau pro, ça se passe bien...

Merci Emi pour ton passage.

Si on voit du changement, même si moi j'ai toujours parfois l'impression de tourner en rond, c'est plutôt bon signe. Je suis contente. Tout ça prend du temps, ce n'est pas fini, j'ai encore de beaux écueils dans lesquels je peux tomber, mais ça bouge. Au niveau pro, déjà, tout va franchement bien. Je manque juste un peu de pêche, partout d'ailleurs, vivement les vacances... N'empêche que ça avance. Davantage de confiance en moi, au boulot, à cheval, j'arrive même à me trouver plutôt jolie la plupart du temps. (Bah oui, il y a des jours avec et des jours sans, mais ces derniers sont devenus beaucoup plus rares...) J'ai vraiment repris le dessin et pour l'instant j'ai l'impression que ce n'est pas trop mal, toutes proportions gardées. Comme si d'un coup, il y avait un truc qui s'était débloqué. En début d'année, j'ai écrit un peu. Je pourrais reprendre si j'étais un peu moins crevée le matin et le soir, puisque je peux écrire dans le train...
Ce qui me colle toujours, c'est la fatigue, le manque d'énergie. Plus tellement le manque de motivation, ce qui est déjà un progrès. C'est peut-être l'hiver aussi, le froid, le manque de lumière, le mal de dos. Le stress mal digéré de l'automne et le sommeil en retard qu'il a engendré. Des trucs comme ça. J'essaie d'arranger ça... Puis il y a le gros truc, la peur du rejet et de l'abandon. Pour le coup, c'est quelque chose qui reste fort. Et ça handicape pas mal, en plus. Peur de l'abandon nourrie par du vécu plus ou moins récent, donc renforcée, recherche de "garanties de sécurité", avant de faire confiance, qu'on ne peut pas me donner en réalité... Peut-être que ça joue. Même quand je n'en parle pas, même quand consciemment je n'y pense même pas, c'est peut-être quelque chose qui se détecte, ou qui fait qu'inconsciemment, je bloque. Faudrait peut-être voir ça un peu...

Le terme "attitude" me semble réducteur. Surtout lorsque l'attitude est associé à "la seule liberté".

En tout cas, moi je suis actuellement très très contente, je sais où j'irai cet été.

Il faudrait juste oublier. Ce n'était rien après tout. Et pourtant, ce pincement est là, réel, c'est bien de moi qu'il ne veut pas, encore une fois la même chose. Coup de coeur, coup de blues, j'ai beau faire semblant, mais c'est encore là. J'ai beau me dire que ce n'était rien, que ça ne veut rien dire, d'essayer de minimiser - le coup de blues derrière montre l'importance du coup de coeur. Et il arrive toujours, ce coup de blues, alors que j'espère encore qu'un jour, il ne viendra pas...

Pourquoi vouloir être avec quelqu'un à qui on ne plait pas ? Ce serait perdu d'avance, donc pas de regrets à avoir .... A mon avis ton mal être ne parle que de ton désir profond d'être aimé par quelqu'un... Je le comprends, cependant, tant que tu t'en remettras à quelqu'un (d'autre que toi) pour t'aimer, tu te sentiras comme ça, dépendant indéfiniment de l'autre, comme un mendiant de l'amour... Je ne veux nullement t'enfoncer, je suis triste de te voir ainsi...

Merci Emi! Le truc, c'est surtout que parfois, même en me raisonnant, j'ai le coeur qui s'emballe un peu, et si ensuite ça fait "pschitt", je me rends compte que ça fait mal quand même. Surtout si ça semblait initialement plutôt encourageant. (Parce que j'avais l'impression de lui plaire aussi, en gros.)
Bon, ça n'arrive pas tout le temps non plus que j'ai des coups de coeur comme ça - il y en a eu deux depuis l'été dernier. C'est juste que le dernier est récent, mais ça passera, comme le précédent aussi, ça va aller...

Spoiler:

Je me dis souvent la même chose...

Mais pourquoi les gens croient-ils que c'est moins blessant d'avancer des circonstances, des excuses bidon, quand en réalité c'est bien lié à la personne? Surtout si la personne est susceptible de se rendre compte que ce n'est qu'une excuse bidon. Avec ça, ça fait mal deux fois... Autant dire la vérité tout de suite, au moins c'est clair alors. C'est finalement plus simple à gérer, ça ne laisse pas de place aux rêves secrets, aux espoirs stupides qui persistent de manière quasi-inconsciente...

Parce que les gens sont lâches...

Je pique ça d'un autre fil, parce que ça me parle... Je crois que je bloque pas mal sur certains trucs parce que justement il y a cette peur-là, cette peur de revivre des choses du passé qui m'ont fait mal. Ces blessures cicatrisent difficilement en plus, malgré le temps qui passe, qui passe, inexorablement. Et je ne peux pas lutter contre ça, je dois l'accepter, pardonner. Sauf que je n'ai pas compris. Pas compris du tout, finalement, alors pardonner, c'est difficile. Dans ma tête hurlent encore ces pourquoi restés sans réponse et que je n'arrive pas vraiment à mettre de côté. Parfois un peu mieux, parfois ils m'assaillent et me bouffent presque. Pourquoi cette perte, cet abandon, ce désintérêt soudain, pourquoi tout est parti de travers un jour, jour comme un autre devenu cauchemar, pourquoi depuis je n'arrive pas vraiment à sortir la tête de l'eau, pourquoi d'un coup tout est faux. Foutues questions qui ne servent à rien, parce qu'il n'y a pas de réponses. Certes, il y a celles que me fournit la partie mal tournée de mon cerveau, parce que tu n'as pas mérité autre chose, parce que tu n'as pas le droit d'être heureuse, parce que - bref, des conneries dans ce genre. La différence, c'est que je ne crois plus vraiment à ces réponses-là, que je les refuse, les rejette, même si ce n'est pas toujours facile. Mais de vraies réponses, je n'en ai pas non plus et je doute de jamais en trouver. Un coup de pas de chance, peut-être. J'aimerais bien avoir un peu de chance maintenant. Je ne peux pas gommer ce passé, je ne peux pas retourner en 2007 ou 2006 ou encore avant. Il faudra que je vive avec, pour pouvoir vivre autre chose, je n'ai pas d'autre voie de sortie. J'ai tenu le coup, je me suis plus ou moins relevée, je n'ai pas abandonné, mais il ne faut pas croire que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, ça fragilise plutôt. La reconstruction après est lente, difficile, fragile elle aussi. Alors j'ai peur, peur de me retrouver dans une situation comparable, je ne tiendrais pas, je ne tiendrais plus, pas comme ça en tout cas. Mais comment faire alors, il n'y a pas d'assurances que ça ne se répétera pas, et comment faire face à ça? Je ne sais toujours pas. Je cherche, j'essaie, et pourtant...

Tourner la page, effacer, oublier... J'aimerais tellement. Et pourtant ça continue à me bouffer. Les moments où j'arrive à m'en détacher, ça va bien en fait, sauf que ça revient trop souvent. J'aimerais en parler là maintenant, avoir des conseils, mais il faudra que j'attende la semaine prochaine pour voir mon psy. Et que je prenne une décision avant. Le risque est faible finalement, ça ne peut pas vraiment empirer, non? Je ne pense pas. Ça ira pour quelque temps au moins. Et après, je pourrai encore en parler, pour changer, pour sortir de cette peur qui me bouffe et que j'ai du mal à surmonter... Mais je ne suis pas seule et j'y arriverai. Un jour ou l'autre, il faudra bien que j'y arrive. C'est comme pour l'obstacle, il faut commencer doucement et au bout d'un moment, ça ne fait plus peur du tout...

Après Kalthu qui parle toujours du gamin qu'on garde en soi, voilà que ce matin en écoutant mon cours de dessin, c'est le prof (qui a la trentaine) qui évoque ce point, en parlant d'une période où il était un peu perdu et se demandait ce qu'aurait voulu ce gamin, et en regrettant de ne pas pouvoir l'interroger. Rebondissant sur cela, mon cerveau qui se demande ce que voudrait la gamine... Je crois que c'est un peu la même chose que je veux encore aujourd'hui, même si j'ai rajouté des trucs de grandes personnes: raconter des histoires, monter à cheval et être aimée. Être aimée, acceptée telle qu'elle est, sans qu'on lui fasse constamment des critiques, tu n'es pas assez ceci ou cela, et puis tu ne peux pas te moucher convenablement? Sans se voir rejetée parce qu'elle est bizarre ou juste pas assez bien.

Finalement, c'est peut-être le plus difficile à atteindre. Les chevaux, c'est bon, j'ai un petit poney adorable et on progresse à grand pas (quand je le monte, bien sûr, pas quand je ne fais rien). Raconter des histoires, libre à moi de le faire, j'ai commencé d'ailleurs à en écrire une, puis je fais une formation en dessin, il suffit juste de surmonter un peu la procrastination. Là, je préfère privilégier la formation de dessin surtout, et je ne peux pas tout faire en même temps, donc ce n'est même pas de la vraie procrastination. Mais être aimée? Même si je m'aime mieux qu'avant, que je suis moins sévère dans l'autocritique, ce n'est pas ça qui me manque. Ce qui me manque, c'est quelqu'un d'autre qui m'aime, quelqu'un qui partage ma vie, qui m'apporte parfois ce regard extérieur qui permettra de me rassurer. Ça sonne plus difficile que ça ne l'est, je pense, il s'agit surtout de pouvoir discuter de mes projets, de mes envies, parfois peut-être de mes peurs, dans un partage sincère et bienveillant. Quelqu'un qui m'accompagne parfois, par exemple voir mon poney, qui sera là quand un jour je ferai (j'espère) des concours, ou à qui je peux raconter mes projets d'histoires, voire les faire lire (si j'écris dans une langue qu'il comprend). Qui puisse aussi me prendre dans ses bras quand parfois ça ne va pas. Tout ça, je ne peux pas me l'apporter à moi-même, peu importe à quel point j'arrive à m'aimer ou à avoir confiance en moi. Mes projets, je peux les réaliser seule aussi, mais ce serait tellement plus agréable de ne pas l'être...

Et comme c'est une aspiration où se mélangent les envies et besoins de la gamine et de l'adulte, elle est très forte, très présente, parfois avec des distorsions (peur de l'abandon, du rejet, tout ça) qui rendent les choses encore plus difficile peut-être. Donc les distorsions, il faudrait les surmonter, le besoin ou l'aspiration, je ne crois pas qu'on puisse l'effacer en revanche. D'ailleurs des gens qui vont bien sinon ont cette aspiration aussi, l'humain n'est pas fait pour être seul. On peut compenser jusqu'à un certain point, bien sûr, mais pas complètement. En attendant, il faut supporter qu'il manque ce quelque chose, et quand on ne supporte plus ou quand on le supporte mal, on fait quoi? Voilà la grande question, finalement.

Déjà faite, mais pas concluante (malgré quelques rencontres sympa)...

fleur_bleue a écrit:Déjà faite, mais pas concluante (malgré quelques rencontres sympa)...

Bah je sais pas, il parait que le sex-friend est populaire chez les Zèbres. Je l'ai lu quelque part ici. Je crois (la mémoire et moi ...) ...  enfin fais gaffe quand même, parce que ce que retient un homme dans l'expression "sex friend" ...

J'étais en train de lire ton post pendant que ma fille finissait doucettement son petit déjeuner.
Elle regarde sa tasse Lucky Luke et me dit "quand je serai grande, je veux être ça ! - Quoi ? un Lucky Luke ? - Nan monter sur des chevaux."

Belle synchronicité n'est ce pas ?

Dimanche nous sommes allés à l'hypodrome de Vincennes. Elle a pu faire un tour de poney, d'où sûrement cette nouvelle vocation.

Je te lis et je me dis qu'une personne à qui parlé, toujours là pour toi, qui te prendrait dans tes bras pour te consoler...ça pourrait aussi s'appeler amitié !!

L'amour c'est bien plus que ça. C'est le manque quand l'autre n'est pas là, des palpitations à l'idée de le voir, des nuits blanches à penser à lui. C'est un corps contre un autre, la fusion charnelle qui nous fait oublié la frontière entre nous et lui.
C'est des petits mots doux, des ricanements d'ado devant des SMS. C'est notre main dans la sienne et les yeux dans les siens à regarder la palette de couleurs infinis dans son iris.

@Parisette: Oui, tu as bien raison, j'ai laissé un peu de côté cette dimension-là, mais bien sûr elle compte aussi! A mon avis, la complicité dans le couple (si c'est un couple solide) est ou peut être plus forte, plus profonde que dans une amitié, aussi proche soit-elle. J'ai des amis dont par moments j'ai été très proche comme ça, et pourtant ce n'était pas du tout comparable. Puis il y a tout le volet physique qui est très différent aussi.

D'ailleurs si ta fille veut refaire un tour de poney, y a moyen d'organiser ça, le mien aime beaucoup les enfants.

France, 1998 :

kalthu a écrit:Ben donc tu as déjà toute une image dans la tête ! Donc le teste est sympa, mais ton totem c'est le loup ailé !!! (Ben oui on peut rêver et choisir un truc qui n'existe pas !!! Il faut rêver très haut pour vivre fort).

C'est vieux, je sais, mais hier j'ai trouvé ça:


Donc il existe!

Fleur bleue, elle est trop grande ta photo pour bien la voir en entier et suis sur un 17 pouces...
Si tu peux la redimensionner...

Clic droit et "afficher l'image", ça ne marche pas? Je suis sur tablette, là.

oui, ça marche, bien joué
c'est toi qui l'a prise ?... non parce que bon...

Oui, c'était dans une vitrine parisienne - c'est pour ça qu'elle est floue, téléphone portable et reflets sur la vitre...

ok....

Oh, un tigre sur mon fil...