Soupe de mots, pour lâcher du lest.

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Message par Invité Ven 15 Aoû 2014 - 11:52

- Uččen - a écrit:
Ouais, désolé...
Soit pas désolé Yau de Poil. Life is Life. Si tu me donnes des raisons de te respecter, tu m'offres déjà beaucoup. Et tu m'en a donné. En plus tu m'as montré la voie du Chacal. Philosophie intéressante s'il en est. Je me demande si le prophète est vraiment croyant.

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Message par Invité Dim 17 Aoû 2014 - 11:55

Ben nan il (Salla Allah 'alayhi wa salam) était juste obsédé sexuel.

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Message par Invité Mar 26 Aoû 2014 - 21:51

J'ai envie de regarder un film. J'ai envie de parler à des gens. Y a pas de film. Y a pas de gens. Y a plus de film que de gens. J'ai plus envie des parler à des gens. Je veux sortir !! C'est cet air qu'on respire, qui m'enserre comme ça, qui me retient. Je veux pas qu'il soit là. Je lui ai rien demandé, il manque pas d'air de venir comme ça, autour de moi. de me toucher partout. De pénétrer ma trachée et mes poumons. J'ai rien demandé de tout ça. Pourquoi il est là. Casse toi l'air. Je veux de l'espace.

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Message par Invité Mar 26 Aoû 2014 - 21:57

C'est un mec, il arrive comme ça. Il marche tu vois, bon il avance. Et là y a un mur. Bim. En plein millieu du chemin. Ca t'épate ça, un mur qu'est là. Qu'est bien là devant. Là où qu'on s'attends pas à trouver un mur. Au millieu du chemin. Alors le mec il regarde à gauche à droite, derrière lui. Il cherche la caméra comme ça. Il voit le mur. Devant lui, le mur. Bon. Pas de caméra. Juste un mur. Un putain de bordel de dieu de mur de merde. Qu'est là devant lui. Il est là. Il est mur, le mur. Alors ça l'énerve. Ca l'énerve vraiment ce mur qu'est là. Il a pas à être là le mur. L'est pas chez lui, c'est pas sa putain de bordel de dieu de merde de place de mur. Un mur a pas à être au millieu du chemin. Casse toi le mur !! Il va se le faire le mur. A coup de masse. Il va prendre un grosse masse comme ça. PAFFF le mur. Tient prend ça, sale mur de ta race. Tient tient. Biiiim.

Il est fatigué. Ca resiste bien un mur. En plus il pas de masse. Faut qu'il tape avec ses mains. Alors il tape dans ses mains, il applaudit. Ha bravo, il dit. Le mur c'est un miroir. C'est le miroir de l'âme le mur. Alors il pose son front contre le mur. Il pleure. Il pleure avec son front contre le mur. Mur de brique, mur de saloperies. C'est tout la saleté du monde un mur. Putain d'horrible mur affreux. Qu'est là. Il lui soutient le front, le mur, le putain de mur lui soutient sont putain de front. Chai pas si t'imagine le truc. La scène. Il se cogne le front contre le mur. Ca fait mal, ça soulage. Le mur se fendille. Son crâne aussi.

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Message par Invité Mar 26 Aoû 2014 - 22:12

Bon derrière le mur, y a un homme. Un homme quelconque. Un mec que tu connais pas. Nan tu le connais pas je te dis !!! Insiste pas, tu le connais pas. Je te dis tu le connais pas, okay !! TU LE CONNAIS PAS !!! Voilà. T'as compris là ? Tu le connais pas du tout. Ni d'Eve, ni d'Adam, ni d'Abraham, pas du tout. Niet. Nada. Absolument pas. Il t'évoque rien. Il ressemble à un homme que tu connais pas. A aucun homme que tu connais, il ressemble Aucun t'entends. Aucun du tout. C'est personne cet homme. C'est pas le mec que t'as croisé un jour. Personne. Il ressemble à rien. Juste à un homme. Un mec que tu connais pas.

Bon voilà. Il lui pète les dents à l'homme. Qui ça ? Ben le mec. Le mec au crâne fendu. Suis un peu ! Tain faut toujours tout te répéter. T'es chiant. T'écoute jamais rien. Faut toujours tout te redire. Et puis faut te demander, et te redemander, j'en ai marre. MARE !! T'entends, j'en ai marre. Voilà. Mare. Bon il lui colle son coude dans le foi. Je veux pas savoir si c'est possible, commode, efficace. C'est ça qu'il fait. C'est mon histoire, c'est moi qui raconte. Fait pas chier. On t'as pas demandé de lire. Il lui plante son pied dans sa sale gueule de mec qu'on connait pas. Voilà. Les inconnus ont toujours tort. Et lui il avait tort. Il était surement coupable.

Tout le monde est un peu coupable de toute façon. Toujours. Si, un peu. Un peu. Toi aussi t'es un peu coupable. Et peut être même moi aussi. Je sais pas. De quoi je suis coupable d'abord. Pourquoi tu me dis que je suis coupable, putain. Je viens pas t'agresser moi. Laisse moi tranquille je te dis. Casse toi. Va marcher à l'ombre. Au soleil, sur les dunes je sais pas. Casse toi. Va griller sur les côtes désolées de la France. La France qu'est un désert déjà. Du sable et de la poussière la France. A cause de la guerre.

La grande guerre comme on l'appelle. La dernière. Cette fois c'est vrai, c'est la dernière. Y a plus d'humain. Y a plus rien. Y a encore quelques rat, et des milles pattes. Puis des lichen. Il mangent les rats, les lichens. Ou le contraire, je m'en fou. On peut pas bouffer du mille pate au rat tous les jours. Et de la salade de lichen. Marre de salle bouffe pourrie. Je veux du steak. Du bon steak de vache. Ou même de veau, c'est plus tendre. Je veux un putain de bon veaux. Je veux le tuer moi même. Le vider de son sang. Et le bouffer. Mais le faire cuir avant. A la broche. Avec des herbes. Des vrais herbes comme on avait avant.
 
Y en a plus des herbes. Juste de la poussière et du sable. Y en a partout. On porte plus de vêtement. On a la peau brûlée. Il fait jour en permanence ici maintenant. Tout le temps. La nuit c'est dépassé. Un miroir, ou un deuxième soleil, je sais pas trop. Jamais nuit. Jamais y fait nuit. Jamais plus il fera nuit. Fermer les yeux c'est pas possible non plus. Ca fait bien longtemps que plus personne ne ferme les yeux. C'est fini ça aussi. Dépassé. Un vieux truc du monde d'avant, qu'a plus cours maintenant. Tout est fini. c'est la fin. L'humanité. Perdu.

On a joué. On perdu. On a construit des ailes, et le soleil les a brulés. Les ailes de l'humanité. Maintenant on rampe dans la fange. On piétine tous. Nous là. Les derniers. des noirs des blancs. On est tous là. Beau dans notre diversité. Mais fini quand même. Les enfants c'était avant. Maintenant y a juste nous. Et demain y aura plus rien. On aura vécu. On aura joué, on aura perdu.

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Message par Invité Mar 26 Aoû 2014 - 23:07

Forum de merde. Je vais sur le chat deux minute. Et je me fais agresser. Juste parce-que j'ai besoin 2 secondes d'être moi même. Y a pas un endroit ou je peux être chez moi ? Ou y a des gens pour entendre la merde que j'ai dans le crâne. La pleine lune y disent. Drogué même. C'est lolant non. Non peut être pas. Elle croit que je me drogue. Comme si j'avais besoin de drogue pour être dingue. Non moi je suis dingue naturellement madame la chatteuse. Oué. Naturellement. C'est beau la nature. Les petits oiseaux. La folie. Tout ça c'est beau. C'est la nature. Troll toi même. Connasse. Va te faire foutre. Va chier. Je t'emmerde. Je t'encule par les deux bout moi !!! Saloperie. Chat de merde. Forum de merde.

Je veux juste pouvoir dire. Dire des trucs. Lâcher du lest. Je vais sur un chat, et y a personne qui supporte. De m'entendre. De me lire. Pourtant voilà. Mais bon. En plus on me traite de fou. Enfin même pas. De drogué. Ou peut être de fou ? Bon. C'est pas moi qu'on aime pas, ce sont mes propos. C'est pas moi qu'on traite de lourd. Juste ce que je raconte. Ce que je dis. Ce que j'écris. Ca c'est lourd tu vois. Ouais c'est lourd. Et ben je suis lourd. Et je t'emmmeeerde. Voilà. Qu'est ce ça peut te foutre que je sois lourd. Si t'es pas contente, t'as qu'a t'en aller. Ce sont les plus dérangé qui se tirent. C'est comme ça. C'est pas juste, mais c'est comme ça.

Alors moi je suis parti. Pourtant j'étais pas dérangé. Mais j'ai pas envie de déranger. J'ai juste envie d'exister. Pourquoi c'est pas possible que j'existe un peu. Deux seconde. 5 minutes, 24 heure. Pourquoi j'ai pas le droit ? Pourquoi y a toujours quelqu'un qui vient et qui dit : t'es pas de ce monde, va t'en. C'est pas de la peur. C'est moi qui ai peur que les autres aient peur. Putain mais on croit rêver. Ils sont cons. Ils chient dans leur froc, et c'est moi qu'on ... qu'on maltraite en fait. Ca me maltraite leur sale propos hypocrites. Enculés de doués de merde. Ou surdoués. Surenculés. Surpris. Sur sur sur. Je suis sûr de rien.

Mais je les emmerde quand même tous ces cons. Ah la vache. Ils sont nombreux. Ils m'empêche de vivre, de me sentir bien. Mort aux cons !!! J'écrirais ça dans la cage d'escalier. Mais y a pas. Pas de cage autour de l'escalier. Voudraient me mettre en cage. Il le font d'ailleurs. L'hypocrisie ça m'insuporte. Alors c'est moi qui part. Moi qui suis dérangé. Complètement dérangé. Ils comprennent pas. Les gens ordinaires comprennent pas. Peut être même les gens normaux comprennent pas. Enfin je veux dire, les autres. Les gens zautres. Y comprennent pas. Pas tous. Ou aucun même.


Je me sens pas seul. J'ai juste ... juste un peu de ... de truc. En moi. De connerie en fait. Voilà. J'ai accumulé de la connerie. La connerie, c'est un déchet de l'intelligence. Si tu fais preuve de trop d'intelligence, tu accumules la connerie. Alors ensuite faut la chier la connerie. D'où l'expression. Parce-qu'en plus de la produire toi même, tu absorbes celle des autres. Comme la connaissance. Une connaissance + Une connaissance, ça fait quatre connaissances. Y a pas de loi conservation de la connaissance; Ca se conserve pas. Ca s'accumule parfois. mais c'est pas une quantité figée dans le marbre. Ca s'accumule, ça s'échappe. C'est la connaissance.

Pourquoi je perd pied ? Aucune idée. Les parties d'échecs que j'ai perdu à la chaine, c'est pas bien bon signe. C'est que ça doit plus tourner très rond la haut. Pouf. Et ça, cette excitation, ce défouloir de mots qui s'enchaîne, c'est pas bien fameux non plus. Ca va pas contribuer à me faire gagner le respect des autochtones. Enfin bon. Tu me diras. Y en a quand même, ils sont peut être même fréquentable. En général ils t'emmerdent pas. Mais des fois. Des fois ils sont là quand même, et tu dois te les coltiner. Ils t'insultes. Ils t'agressent l'air de rien. Mais sans te le dire. Ils font des insinuations odieuses. Alors les gens qui t'aiment ils croient pas qu'on t’agresse : ils te disent. Elle veut pas que tu partes. Mais putain si, c'est ça qu'elle veut !! Et peut être elle est même pas seul à le vouloir. Sale hypocrite. Catin.

Dit les choses clairement. Tu dis pas "ça devient lour de t'entendre tenir le dernier propos que t'a tenu". Tu prends tes couilles à deux mains, et tu dis : au fait tu m'emmerde. Comme un homme quoi. Comme une femme respectable. Quel respect que tu veux que j'ai pour toi, si tu me poignarde doucement. Si tu me saignes à petit feu. Juste cet amour immodéré pour mon prochain. C'est tout ce que t'auras. En plus si ça se trouve je te comprends même pas. Si ça se trouve, je comprends pas les gens intelligents.

Qu'est ce que je fous là ? J'en peux plus des fois. Des fois c'est toujours la même chose. A part de rares personnes qui me font sourire. A ben ça fait du bien. Ou d'autres qui m'aiment. C'est surement bien aussi. Même si c'est pas tout à fait confortable. Parce-que le confort, ça te pose. Et après tu restes là ou t'es. Et moi j'ai envie de voyager. De voir le monde. Enfin les mondes. Les mondes des autres. J'ai faim de ça. Et peut être j'ai trop faim, je vois plus rien. On voit plus rien quand on a trop faim.

Et si je mange, je verrais peut être encore toujours rien. Je sais pas comment on fait pour voir quelque chose. Des fois je deviens aveugle. Des fois je deviens débile. Et je sais pas quoi faire contre ça. Je pourrais apprécier. Mais c'est pas simple. De pas avoir d'identité. De changer trop souvent. De pas être comme tout le monde. Les gens intelligent ça me fatigue. Sont vraiment trop con parfois. Y comprennent quedalle, les gens intelligent. Surtout quand c'est moi qui suis en face. Y comprennent juste pas. Ou alors ... enfin ... on dit que c'est quand on comprend pas qu'on déteste. Qu'on aime pas, qu'on rejette. Alors je dis y me comprennent pas. C'est légitime. Je dis pas que je me sens pas compris ni rien. Je dis juste y comprennent pas. Comme je dirais : y z'ont peur. Mais l'autre m'a retorqué : "c'est toi qu'a peur". Sérieux ? Merde.

Qu'est ce que je fou là ? Je suis tellement horrible. Tellement horrible que je juste de me lire, c'est déjà trop. Déjà on chie dans son froc. Déjà on peut plus. On se retrouve devant un mur d'incompréhension. On croit que je suis drogué. Mais je suis pas drogué, je suis juste ... moi. Un moi. Peut être pas le plus fréquentable. Ni le plus conventionnel. Je tourne en rond voilà tout. Alors je crève un peu. Et quand on crève, on réagit. Un peu. On essaye de pas s'éteindre complètement en silence. On crie dans la nuit. On va ici, dans les profondeurs insondable d'un forum, et on hurle autan qu'on peut.

A la nuit. Aux arbres. Je hurle à plein poumon. Comme un fou. Je suis pas le seul à être fou. Faut pas de témoins. Mais des fois on aimerait des témoins. Des amis. Qui nous disent : t'es con mais t'es beau. Quand même t'es beau. Toi aussi t'es beau. Je veux faire un projet. Avancer. Programmer, concevoir. Pourquoi ça vient pas tout seul ? Je croyais j'étais doué pour ça. Pourquoi ça n'avance pas ? Pourquoi j'arrive à écrire toutes ces conneries ici, qui s'enchainent. Et pas ce programme. Ces programmes. Je veux écrire un programme. Je veux que des gens le lisent, le trouvent beau. Je veux devenir riche aussi. Plus être dépendant. Je veux grandir. Prendre mon envol. Je suis plus un enfant merde. Faut arrêter de me dire ce que je dois faire !!!

Je veux pas crever de faim non plus quand même. Holala, j'ai faim. J'ai faim des gens. J'ai faim des plats. J'ai faim de l'art, et du reste. Je veux faire du sport. Retrouver un peu de forme. J'en peux plus de tout cette graisse. Casse toi la graisse. Je veux pas de toi la graisse. J'ai pas besoin de graisse. C'est pas la guerre. Pas besoin de réserve. J'ai plein à manger. Enfin pour l'instant.

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 1:27

Faut faire quoi ? lâcher des mots qui mettraient ici des mots sur les maux ou alors raconter une histoire ? où juste suivre le fil de ses pensées après avoir suivi les fils des autres pensées où des personnes ont penser à venir lâcher ici leurs pensées, leurs interrogations, leurs idées, leurs envies, leurs soucis, leurs trouvailles afin que d'autres puissent venir les lire et qui sait s'en inspirent ? et que du coup chacun respire ? en tout cas soupe de mots c'est rigolo. tu peux lâcher des mots qui insinuent ce que tu as à dire sans les dire. tu peux inventer des choses positives comme tu voudrais qu'elles se passent et du coup imprimer comment tu vas faire pour qu'elles se passent. tu peux décaler. tu peux raconter les choses comme tu les as vu sans donner ni de nom, ni de lieu, ni d'adresse, tu peux il ou elle, ou donner vie ou parole à des personnes qui n'en ont pas. quand je souhaite partager un ressenti, un sentiment, sur un personnage connu, je le transforme en la mouette du coin, ou je me sers du paysage pour insinuer, les nuages étaient gris aujourd'hui et ça sentait l'orage, damoiselle est arrivée et avait effectivement la rage, me pensant plein d'outrages alors que sur le fond je ne souhaitais voguer que sur une mer tranquille, entre deux coups de rames et rester bien fidèle à mon âme. une soupe de mots nécessitent une liste obligatoire d'ingrédients ? une recette ? comme parfois on peut mener sa vie en mode pâte à crêpes un ingrédient à la fois qui mêlé aux autres finirait peut être par faire un texte cohérent. une soupe de mots. concept intéressant. avec l'idée du lest qui rappelle automatiquement la mer, le poids, le mouvement, l'ancre, lâchez du lest en faisant de la soupe avec des mots, j'adore l'idée, le concept du journal intime, tout le monde ne le suit pas, d'autres peuvent pratiquer l'écriture automatique, le but étant de toute façon de se lâcher et aussi comme me le disait récemment quelqu'un dans un mp, constater qu'on a des choses à dire, constater qu'elles peuvent être bonnes ou mauvaises, concerner de bonnes ou de mauvaises nouvelles mais l'essentiel. oui la soupe de moi c'est rigolo. je vais de la soupe de mots je crois tous les matins, sans chercher à mettre en place, sans chercher tout court, juste imprimer je crois une construction, et libérer mon esprit. il faut dans ce cas, je ne parle pour moi, beaucoup de courage pour le faire, curieusement car autre que taper sur un clavier il faut se confronter éventuellement au jugement d'autres, il faut se confronter éventuellement à son jugement de soi même. j'aime le concept, soupe de mots c'est rigolo. et puis si de l'esprit est libéré ce qui peut s'étaler sur la place publique forumique, cela laisse du coup de place pour trier ce qui ne s'étale pas ou que l'on ne souhaite pas étaler. la soupe de mots si tel est ce que je pratique est une alternative au blog, au journal intime. etc. et est extrêmement libératrice, elle ne nécessite que de se lâcher, que de parler. je m'étais d'ailleurs étonnée qu'il n'y ait ici ce genre de fil que je trouve aujourd'hui, pour dire tout et n'importe quoi. pour parler. je me suis interrogée sur le fait que depuis ma découverte, et le contact avec quelqu'un qui m'a permis de me libérer verbalement au fil de mes idées et non pas avec besoin de les organiser au moment où je le ressentais et non pas à des moments obligés mais à toute heure, à tout instant par mail, soit plusieurs soit aucun, pourquoi cela avait été plus libérateur que de le faire seule. j'ai quelques éléments de réponse, juste quelques éléments, le fait de s'adresser à quelqu'un et donc de se sentir déjà pas tout seul, le fait de parler de ce dont j'avais envie de parler à ce moment là et sans interruption pour avoir la possibilité de voir jusqu'où aller ma pensée et jusqu'où j'allais moi, pouvoir approfondir mes idées, voir ce sur quoi on rebondirait ou pas. la soupe de mots, concept rigolo, là où alors peut être n'importe qui n'importe peut venir s'exprimer sur n'importe quoi sans case. ne pas être obligée de chercher l'endroit où tu peux mettre le truc que tu as envie de dire là tout de suite et qui serait plus une plus longue tirade qu'une humeur du jour, (plus courte mais bien aussi), un endroit où l'on peut étirer sa pensée, en long, en large et en travers, sans obligation, où je pourrais venir écrire "euh rien" comme parfois j'ai pu écrire sur le sable parce que je voulais dire quelque chose mais que je n'avais rien à dire. un peu complètement différent d'un psy, une thérapie par l'écrit ? qui serait lu ou pas lu, avec du variable. soupe de mots j'aime bien c'est rigolo. on dirait un fil sans case. une invention dans le forum. un espace libérateur mais où on partage quand même mais avec celui qui veut passer par là. je repasserai demain. le concept est intéressant et m'interpelle. la soupe de mots ça serait le trop plein qui déborde et qui permet de laisser la place à ce que l'on peut aller mettre dans les cases ensuite partout, ici, ailleurs.

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 1:35

gahan girl a écrit: la soupe de mots, concept rigolo,  un endroit où l'on peut étirer sa pensée, en long, en large et en travers, sans obligation, où je pourrais venir écrire "euh rien" comme parfois j'ai pu écrire sur le sable parce que je voulais dire quelque chose mais que je n'avais rien à dire. un peu complètement différent d'un psy, une thérapie par l'écrit ? qui serait lu ou pas lu.
Ah tiens. C'est agréable de lire les autres aussi. Tiens tiens tiens. Merci.

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 1:42

je crois que je trouve le concept sympa mais du coup ça va me trotter dans la tête, parce qu'ici tu peux écrire pas les mêmes choses et t'as pas besoin, enfin je vais le faire à l'envers, y'a des fois où j'ai eu envie de parler ici, ou de parler à des zébres, ou de parler d'un sujet mais je me suis retrouvé planté devant mon écran, avec une impression de "cases", c'est qui qui a dit quoi où sur quoi alors que tu ouvres un peu un fil "spontanéité". je suis curieuse de voir ce qu'il va donner et je suis contente de voir que tu t'es fait "une boite à lettres ouverte sur le monde ?" Wink ça fait une cour de récré. bonne nuit Smile

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Message par fleur_bleue Mer 27 Aoû 2014 - 10:00

stauk a écrit: Mais des fois on aimerait des témoins. Des amis. Qui nous disent : t'es con mais t'es beau. Quand même t'es beau. Toi aussi t'es beau.




Avoir faim mais sans pouvoir manger, je connais ça aussi. Vouloir faire des projets, voire en avoir, mais être incapable d'avancer dessus. Des fois je me dis qu'il faudrait que je me force, même quand je n'ai pas vraiment envie, j'ai fait ça hier avec le poney et finalement ça allait. Peut-être que c'est ça, la solution? Au moins pour commencer?
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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 11:13

fleur_bleue a écrit:Au moins pour commencer?
Mes projets en question, je les ai commencés 100 fois. Y a un plaisir simple et accessible, au fait de partir d'une feuille blanche. Alors je commence. Je rédige vingt pages (métaphoriquement parlant, en fait ce sont des programmes informatiques le plus souvent). Et puis je fais une pause. J'en ai besoin parce-que ça fume de partout. Et puis c'est pas tout à fait comme je voudrais que ça soit.

Ensuite j'ai envie de m'y remettre, je regarde ce qui existe. C'est moche, j'y comprends rien. Je sais pas. Je repars donc d'une feuille blanche. A force de commencer, j'en ai un peu marre de commencer. Mais je ne sais faire que ça. Commencer.

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Message par fleur_bleue Mer 27 Aoû 2014 - 11:18

Oui, je connais bien le problème. D'où l'idée de "forcer" un peu, continuer même si pas envie etc.
D'ailleurs finalement, c'est tout le secret du NaNo - c'est pour les gens qui commencent mais ne finissent pas, parce que du coup, ça met la pression pour continuer même si pas envie. Ce qui veut dire que le concept peut tout à fait être détourné sur autre chose, après. Wink
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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 11:20

fleur_bleue a écrit:Ce qui veut dire que le concept peut tout à fait être détourné sur autre chose, après. Wink
Atelier d'été : écrivez 50 000 lignes de codes ?

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 11:24

stauk a écrit:Alors moi je suis parti. Pourtant j'étais pas dérangé. Mais j'ai pas envie de déranger.

Tu déranges personne. T'es là, c'est tout. T'as le droit. T'es là parce que t'as envie (bon peut être que des fois, t'as plus envie).
Mais t'as le courage d'être toi. Tu dis ce que tu penses.
C'est rare, je te l'ai dit une fois, je crois.
Et si il y a au moins des personnes qui te font sourire, c'est déjà ça de pris.

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 11:29

Sahana a écrit:Tu déranges personne
Heu ... quelqu'un à déjà dit à peu près ça, hier. Et deux autres personnes ont dit le contraire. Une fois que j'étais partis. Mais on peut revenir. Et lire ce qui a été dit après qu'on soit parti. Mal fichu leur truc, pour être hypocrite dans de bonnes conditions.

Merci, c'est gentil. L'intention me touche.

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Message par Invité Mer 27 Aoû 2014 - 11:42

Stauk, continues à être toi même. Vraiment. T'en déranges certains, et alors? On ne peut pas plaire à tout le monde (parait-il).
Essayes d'en rire.

Y'en a d'autres qui t'apprécient. Chez qui ce que tu dis fait écho.
Ce n'est même pas gentil ce que je dis, c'est juste ce que je pense.

Il y a plein de trucs sur ZC qui m'insupportent. Il y a plein de trucs qui m'ont écoeurée, et qui m'ont même fait partir (un jour). Et qui me feront sûrement repartir un autre jour (faut pas se leurrer.)
Mais de temps en temps tu croises des gens qui sont eux même, quitte à bousculer les codes et mettre des coups de pied dans la fourmilière. Et ça fait du bien.

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Message par Invité Jeu 28 Aoû 2014 - 16:39

fleur_bleue a écrit:
stauk a écrit: Mais des fois on aimerait des témoins. Des amis. Qui nous disent : t'es con mais t'es beau. Quand même t'es beau. Toi aussi t'es beau.




Avoir faim mais sans pouvoir manger, je connais ça aussi. Vouloir faire des projets, voire en avoir, mais être incapable d'avancer dessus. Des fois je me dis qu'il faudrait que je me force, même quand je n'ai pas vraiment envie, j'ai fait ça hier avec le poney et finalement ça allait. Peut-être que c'est ça, la solution? Au moins pour commencer?

ça me fait penser à la scène du magasin de chaussures dans un film avec le fils depardieu, je te remettrai le titre, inscris toi dans une asso, va jouer à la belote au café du coin, à terme ça te fera des amis (selon tes gouts et occupations)

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Message par Invité Jeu 28 Aoû 2014 - 16:41

stauk a écrit:
fleur_bleue a écrit:Au moins pour commencer?
Mes projets en question, je les ai commencés 100 fois. Y a un plaisir simple et accessible, au fait de partir d'une feuille blanche. Alors je commence. Je rédige vingt pages (métaphoriquement parlant, en fait ce sont des programmes informatiques le plus souvent). Et puis je fais une pause. J'en ai besoin parce-que ça fume de partout. Et puis c'est pas tout à fait comme je voudrais que ça soit.

Ensuite j'ai envie de m'y remettre, je regarde ce qui existe. C'est moche, j'y comprends rien. Je sais pas. Je repars donc d'une feuille blanche. A force de commencer, j'en ai un peu marre de commencer. Mais je ne sais faire que ça. Commencer.

accroches une grande feuille, mets y tes projets. puis selectionnes en quelques uns uniquement et organises un planning de travail pour bosser sur ceux là uniquement

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Message par Invité Jeu 28 Aoû 2014 - 16:42

je préfère avoir envie de faire des choses que de vouloir faire des projets.

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 11:36

Me voilà donc en vacance sans chargeur. Avec un mac (chargeur coûte une fortune) dans la batteries est fichues (faible autonomie). Pacile ainsi de faire de la soupe, pour lâcher du lest. Ou autre. Et puis aussi hier la batterie était encore à 43 %, j'ai été. Et aujourd'hui quand je rallume, elle est à 33%.   C'est mal barré.  Toujours est t'il que j'ai envie d'écrire un peu. Pour vous raconter mes frustrations. C'est pas facile ma vie. Comme tout le monde, j'ai en permanence des petits tracas, qui me trottent dans l'esprit. Jusqu'à m'énerver, me frustrer, ou faire toutes sortes d'effets dévastateurs ou positifs.

Souvent j'ai eu envie de voir un psy. Pour lâcher du lest. Mais ça n'a jamais marché. Le psy ne comprend rien, s'endort, ou essaye carrément de ramener la conversation à champs lexical et des métaphores qui lui sont plus familières.  En ce moment, à chaque fois que j'essaye de programmer (et c'est récurent depuis ... longtemps) je me retrouve confronter à des visions d'horreur. Je vois devant mes yeux, une représentation abstraite du processeurs, et des différents paradygmes qu'implique l'acte de programmer.

Qu'est ce qu'un programme ? Qu'est ce qu'est vraiment un programme informatique. Au niveau physique ? Au niveau des électrons qui se baladent ? Au niveau de l'abstraction logique des électrons qui se baladen ? Car ils se promènent dans des circuits qui forment des fonctions logiques. Et pour que ça soit plus pratique, on se contente de penser directement les choses de manière logique. Plutôt qu'electronique. D'ailleurs je parles de mouvement des électrons, mais en fait il s'agit juste de tensions électriques (je sais même pas ce que c'est en vrai une tension electrique. J'ai cette image que je l'ai lu quelque part de  ... pression. La tension electrique, ça serait comme la pression de l'eau qui est en hauteur, dans sa volonté de descendre en bas. C'est un peu comme une foule de fans, devant un magasin le jour de la sortie de l'iphone 3. Voyez ? C'est une tension. Electrique). Donc soit la tension est là, y a de la pression (Valeur 1) soit y en a pas (Valeur 0). C'est un peu le principe. Pas besoin dans l'idéal que quoi que ce soit bouge vraiment. Sinon les interrupteurs qui font pèser ou non les tuyaux tendus, et qui les remplacent par des tuyaux non tendus. Mais y a toujours un peu de perte quand on change de tuyau. Toujours un peu d'eau qui s'échappe. Un ou deux fan, qui s'introduisent par dessous la porte. Comme font les rats et les mollusques. Etre fan, ça donne des pouvoirs magiques.

Voilà. Les processeurs modernes, sont des cauchemars de logiques. Et encore plus des cauchemars de d'entremellages de fils, qui relient ces fonctions logiques. Tout ça n'a pas tellement de sens. Pas dans le sens que ça fait n'importe quoi. Mais dans le sens plutôt que le paradigme sous-jacent est complètement dépassé.  Jamais Von Neumann n'aurait souhaité qu'on fasse quelque chose d'aussi ridicule avec ses idées !!! (Enfin là, il est mort. Mais bon. Je le sais. Je l'ai pas connu. Mais je sais bien qu'il souffre en voyant toute cette merdasse, depuis la haut. Au paradis du geek.) Alors du coup, comme je souffre, j'essaye bien sûr d'évauer quels paradigmes sont plus pertinents. Et je me sens très seul. Seul dans mes préocupations. Seul dans mon esprit tout pourrave de surdoué incompétent, qu'est pas foutu de se concentrer cinq minute sur un problème pour le résoudre. Qui me suggère aléatoires des idées quand je demande rien. Et qui reste à me bouder une page blanche, dés que j'ai le malheur de poser une question précise.

Je lui demande : bon, t'aime pas les usines à Gaz des architectures de Von neumann moderne, alors okay, tu proposes quoi ? Alors il répond vite fait : ben des modèles de type "latice". Qui reproduiraient les contraintes spatio-dimensionnels de la logique physique. Alors je répond que c'est très bien, mais qur pou moi qui veut faire des programmes, ça va pas très commode d'utiliser un tel concept. Dans le sens que ça va être tellement lent, qu'il vaut mieux se tirer une balle toute de suite. Alors il répond que c'est pas grave. Que j'aurais qu'à mettre au point une implémentation physique du concept. Et le faire ensuite imprimer dans les usines prévues à cet effet. Qu'il faut bien qu'elle serve à quelque chose ces usines là. Au lieu d'imprimer des puces intels.

Bon l'économie et mon cerveau, c'est pas la grande amitié. Il veut pas comprendre que les milliards, je les ai pas. Que les usines elles sont pas à moi. Que faut tout un bordel pour commander les matières premières etc etc. Il comprend rien cet esprit. Il est con. Peut être à cause que j'aurais pas résolu mon complexe d'oedipe. C'est sûr c'est ça. Ou alors c'est parce-que je suis surdoué. C'est moche d'être surdoué. C'est comme d'être doué, mais sans être capable de jamais rien faire correctement.

C'est vrai que j'aimerais assez, quand je conçois un programme ou système, d'avoir un langage universel qui me permette de penser les choses ... sur la base d'un substrat élégant. J'en ai besoin. Comme on a besoin de bouffer, de dormir, et d'avoir une copine ou un copain pour nous faire des calins. Plus que 23% de batteries. J'ai mis 10% à écrire ça. Mince. Mince de zut. J'ai même pas encore commencé à parler du problème. Mon problème. Mes problèmes. Ma petite enfance tout ça. Tout ce dont il faut parler pour aller mieux.

Mais le plus marrant, c'est que c'est pas du tout le sujet en ce moment. J'ai pas envie de réformer la manière de concevoir un programme. Enfin peut être un peu. Pas non plus envie d'utiliser un langage qui va pas me péter au visage par ses défauts à chaque ligne de coe. Enfin peut être beaucoup. Non j'ai juste envie de travailler sur un ou deux projets. Qui déjà m'assassinent presque à chaque fois que j'ai le malheur de tendre mon esprit vers eux. Faut que je fasse mon petit programme de go. Faudrai aussi que je me bouge, pour écrire un bot de conversation un peu basique. Ce sont les deux choses qui me torturent depuis des années. Et j'ai commençé plusieurs fois. Et à chaque fois je suis fatigué, je fais une pause. Puis je commence à nouveau. Je suis le champion du commençage. Ca doit être mon don. Commencer des trucs. Y en a d'autres c'est l' orthographe ou la séduction. Et moi c'est commencer des trucs. Youhooou.

La batterie est en train de se vider. Doué. Surdoué. Je vois l'avantage d'être doué. Je vois guère celui d'être Surdoué. J'ai l'impression forte que de nombreux Surdoués n'ont aucun dons. Ou alors les caches bien. Les autres les cachent aussi. Moins bien quand même. Et ça a quelque chose de rassurant de me sentir moins seul. Sinon dans le sujet, ou moins dans la démarche. Arf. Batterie qui chie. Pas de batterie, pas de chocolat. C'est bon le chocolat. Bisous.

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 16:52

stauk a écrit:
Forum de merde.
Troll toi même.
Connasse. Va te faire foutre.
Va chier.
Je t'emmerde.

Ca c'est lourd tu vois. Ouais c'est lourd. Et ben je suis lourd. Et je t'emmmeeerde. Voilà.

Si t'es pas contente, t'as qu'a t'en aller.


Mais je les emmerde quand même tous ces cons. Ah la vache. Ils sont nombreux. Ils m'empêche de vivre, de me sentir bien. Mort aux cons !!!
Les gens ordinaires comprennent pas. Peut être même les gens normaux comprennent pas. Enfin je veux dire, les autres. Les gens zautres. Y comprennent pas. Pas tous. Ou aucun même.


Je suis pas le seul à être fou. Faut pas de témoins. Mais des fois on aimerait des témoins. Des amis. Qui nous disent : t'es con mais t'es beau. Quand même t'es beau. Toi aussi t'es beau.


T'es moche, mais quand même t'es beau.
Sur ce forum de merde.
Ouais.
Les enculés.
Les enculés qui sont pas toi et se croient ci ou ça, en tout cas mieux (ah ah, mieux, j'en rigole encore pour eux, tellement ils ne peuvent comprendre) et qui le montrent en leur façon putassière.

stauk a écrit:Bisous.

Bisous.

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 16:57

je suis allée trankilou m'acheter de la soupe tout en reflechissant peinard à la cause des homos, je me suis tiens ça fait de la soupe homo. Smile
je suis allée trankilou me poser à une terrasse et en tant que fille j'ai regardé deux gars se la jouaient devant moi à qui a la plus grosse.... pour avoir le plaisir quand les deux se sont bien défoulés, qu'on me demande de faire l'arbitre : alors maintenant qu'on t'a tout expliqué, c'est lequel des deux qui t'impressionne le plus ? ben aucun en fait je suis homo donc je dois laisser les gars, j'ai ma copine qui m'attend (l'avantage quand tu ne cherches pas à être quelqu'un, c'est que tu peux te faire marrer au moment où tu souhaites et du coup j'ai quand même fait rire deux gars dans ma journée)

le psy n'est pas là pour comprendre et c'est d'ailleurs pour cela que parfois il s'endort, il est là aussi parfois à te balancer une phrase juste pour te recentrer. il peut être là pour que tu puisses lacher du lest (tiens donc), sais tu que souvent un psy a autant de problèmes que toi voir plus parfois. plus jeune j'en ai vu un quelconque, j'ai su que j'allais mieux le jour où j'ai eu envie de me retourner pour lui parler et échanger. je suis contente d'être allée évacuer chez un pur inconnu et à quelqu'un que justement ce que je racontais ne touchait pas du tout.

je suis allée trankilou aussi m'acheter deux pulls et j'ai ri intérieurement de laisser la vendeuse qui me connait me donner le petit coupon qui permet de télécharger l'application sur son smartphone qui me permettrait de localiser informatiquement ce magasin devant lequel je passe tous les jours et tout un tas de trucs, ce à quoi j'ai répondu bon donc je m'en vais de ce temps acheter un smartphone. je l'ai donc faire rire aussi...

tu vas des fois aussi sur des forums d'informatique ? tu sais que parfois ce que tu prends pour de la soupe est ultra intéressant pour quelqu'un d'autre ?

le coup de commencer par un milliard de choses qui prennent plein de temps pour en arriver à n'avoir même pas énoncer le problème qui me préoccupe je connais.

et je suis une commenceuse mais une commenceuse organisée. tu devrais être content de pouvoir commencer plein de choses, y'a des personnes qui n'ont pas la capacité d'en commencer une seule. t'as qu'à voir comme des dossiers dans lesquels tu peux revenir quand ça te chante. je commence 10 bouquins à la fois, on me ferait comme commence et finit pas, ben si je fonctionne juste différemment, et à plus je crois que ce type de fonctionnement avec tout m'a permis de ne jamais m'ennuyer.

je pense que si tu n'apprends pas à faire de la corde à noeuds dans ton fonctionnement, tu peux pas voir ton avantage d'être hp. je pense que si tu vas aider un gars qui est nul ou qui débute dans le domaine où tu es compétent, tu peux voir ton avantage d'être hp.

et me vient aussi à l'esprit le fait que tu pourrais, puisque tu cherchais une histoire à écrire, t'ouvrir un dossier, écrire des scketch puisque tu sembles réussir à pratiquer l'aspect conversation à toi tout seul.

un hp a été surpris dans la vie que je lui dise avoir un programme de vie, ce qui me fait d'autant plus rire que j'ai un programme de vie de façon à pouvoir avoir le plaisir de le "foutre à l'air", d'avoir le plaisir d'être hp et de pouvoir décaler.

compliment t'as déja mieux rangé en soupe en peu de temps. tu vas pouvoir ensuite copier coller tout ce que tu auras dans des words et leur donner le nom de tes dons. de tes dossiers que tu commences et ça fera le plan de ta vie en gros.

voilà la soupe que m'a inspiré ta soupe. cherches pas à controler ton cerveau. comme tout le monde. déja je crois. apprends à fonctionner et à vivre avec. poses les questions précises sur ta feuille blanche (voilà t'aurai déja résolu le problème de la feuille blanche Smile....) ou sur plusieurs. tu me fais penser à des trucs que j'ai fait, j'ai une liste d'ennui, j'ai un calendrier tout con pour me limiter, je vais le bilan réguliérement de tout ce que j'ai à dispo, à faire et à aussi ma liste des trucs qui me font plaisir. le plaisir et l'envie me semble totalement absent de ta vie à première vue. je repense à ton histoire de bal et je me dis tiens c'est vrai on m'a souvent dit tiens c'est marrant de pas ouvrir ta bal le we. le samedi et je reponds ben si y'a des tracas dedans je les garde pour la semaine, le we c'est vacances.

mince je n'ai plus de choses à dire alors que j'ai un portable (que je porte jamais) dont j'ai retiré la batterie et je suis donc branchée sur le secteur.

je reviens sur le commencage, quand j'étais jeune, je me souviens aussi n'avoir pas voulu vivre des choses et quand on me disait ben pourquoi je disais non je garde pour avoir encore des choses à vivre plutôt qu'avoir fait le tour de tout et m'ennuyer comme tout le monde.

il me semble que tu as beaucoup de soucis que tu ne le penses. t'as juste un pb de gestion du temps et d'organisation en fonction de toi même et de ton fonctionnement. je me savais pas hp, hormis quelques soucis, dus au fait que je savais pas à qui, à quoi j'étais décalée, j'ai semble t il vécu une vie plus normale que des gens dans la norme.

tu exposais des problèmatiques. je n'y vois qu'un souci de décalage ou de classement encore une fois. tu voudrais faire de grandes tirades sur un tchat. tu lances une deconnate sur un fil sérieux, tu ne vas parler info avec des personnes qui te comprendraient sur ce sujet d'office, tu compartimentes pas. et tu ne me mets en place d'outils pour le faire.

ranges ton cerveau à l'extérieur sur tes pages blanches. et n'hésites pas à les commencer. et puis à y revenir au fil de tes pensées.

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 17:03

j'en aussi déduit que t'as pas de carnet de gros mots.... ultra efficace pour lacher du lest, écrire punaise mais quel bande de cons, ils m'emmerdent tous à pas me comprendre alors que je voulais juste et qu'ils sont pas foutus de s'en rendre permet ensuite de mourir de rire de soi même en verbalisant salut les copains vous allez bien ? alors quoi de neuf ? en étant tout décompressé et se mettant à trouver du coup des gens intéressants sur tel domaine, marrant sur telle chose, en fait les voir différemment, les voir tout simplement sans aucune attente particulière et du coup sans en être déçue. la vie c'est comme tetris en fait

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 19:12

J a i trouve un ipad. Il etait par terre comme mes filles sont alle vadrouiller avec mamie. Je peux me connecter avec. Pas comme avec le telephone qui restent obstinement en mode 'zebra mobile' : inutilisable. Faudra que j essaye un autre browser tiens.  Pas aise de taper du texte avec le clavier tactile cependant


Si quelqu' un sait comment faire des irl regulieres autour du theme : linux, le dev logiciel, et vous. Envoyez moi un pm .

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 19:20

tiens manger un brownie, bonne idée je le mets sur ma liste courses pour demain comme ça je remplirai aller faire un tour obligé sur ma liste trucs obligés Wink

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Message par Invité Ven 29 Aoû 2014 - 19:22

evidemment créer soupe de mots sur j'ecris. je viens de percuter. t'as pris le terme au sens propre mais t'as compartimenter au bon endroit.. m'en vais rajouter ça sur ma liste : des fois t'es con miss et aussi à celle : merde ça m'énerve quand quelqu'un a une idée que j'aurai du avoir mais où étais je Smile

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Message par Invité Dim 31 Aoû 2014 - 12:26

La crise de nullite. Une vieille amie. Comment ça marche. A quoi ça sert ? Peut être que c'est comme ces rêves qui sont sensés nous apporter un message venue des profondeurs intérieurs. Peut être la crise de nullite est là pour nous dire quelque chose. En premier approche, elle se présente sous la forme d'un mur qui nous sépare des autres. Ce qu'on leur dit est nulle, répétitif, sans interêt. Dépourvu de sens, de musique, de magie ou d'intelligence. Elle nous présente comme doué du niveau zéro de la communication. A cette conversation sans interêt, s'ajoute une apparence au mieux insubstantielle, et au pire carément offensante pour l'entourage. Enfin où l'entourage désigne les gens qu'on pourrait rencontrer, mais qu'on ne rencontre pas. Finalement, frustré de ce mur entre eux et nous, on finit même par devenir méchant. En vouloir à la terre entière. Et ça nous rend encore plus seul. Car là aussi la méchanceté n'est pas le trait qu'on imagine le plus désirable.

En fait la crise de nullite, c'est l'indésirabilité. On est pas désirable. Ou quand on l'est, c'est pas notre absence. Le monde serait plus beau si on était pas là on se dit.. Doit t'on accepter ce passage de nullite ? L'analyser, s'en délecter, en rire à gorge déployer ? Le partager, comme ça anonymement, le laisser passer. Oubien y a t'il mieux à faire avec ça ? Est ce qu'on devrait se sentir rassurés d'être encore capable de douter ? De nous. De nos qualité. De notre capacité à présenter un intérêt pour l'autre ? Ou alors plutôt se désoler de ce passage récurrent, et en fin de compte plutôt désagréable. Comme une insomnie. Comme une poussée de paludisme. Elle vient. Elle s'en va. On sait pas trop pourquoi.

Est ce que je dois y voir, une sanction ? A trop me reposer sur mes lauriers, mon ami personnel - moi même - fini par se fâcher. Et me crier dessus à sa façon. Il me dit que je suis "nul". Et moi je me vexe. Au lieu d'en entendre le message profond, qui est peut être plein d'amour et de paix. Incompréhension. Personnelle. Je ne crois pas qu'être con soit un problème pour moi. Je crois pas qu'être moche soit un problème. Et même pas peut être, de parfois rentrer un peu dans le lard des gens. Souvent on dit que c'est important de rester informer. Et l'information, ça plait pas toujours. Souvent c'est important de rester informé, pour pouvoir réfléchir posément. Et ça conduit à l'occasion sur des chemins qu'on pas très heureux d'emprunter. Au début. On a mal tout ça. Mais pas forcément à long terme. Alors bon. Peut être il faut. S'endurcir et décrire les choses comme elles sont. En dépit que forcément, décrire les choses comme elles sont, sont bien souvent un moyen de se défouler sur les autres. Et pas de partager une information.


Maintenant qu'on a bien introspecter le nullisme. Une question naturelle est : comment on en sort au fait ? Comment on s'y prendre pour au quotidien être le contraire. Le contraire de tout ça. Il faut se sentir beau, intelligent, et aimer les autres. Ce n'est pas toujours possible. Pas toujours possible d'être beau. Pas toujours possible de briller par le propos ou la réalisation. Pas toujours possible même, d'apprécier chez les autres, toutes ces choses fantastiques qui sont tellement belle quand on les observe avec l'humeur approrpriée. Alors que faire ? Doit t'on se laisser emporter par la nullite. Et même y passer. Etre détruit, broyé, par cette force écrasante. Ou alors relever lat ête, et mentir un peu. Dire je suis beau, quand on lit bien sans les yeux des autres que ça n'a rien d'une vérité partagée. Dire je suis intéressant, quand les gens s'endorment pourtant systématiquement dés qu'on ouvre la bouche. Se sentent mal, se souvienne d'un coup qu'ils avaient un truc à faire et qui leur revient en mémoire. Aller se chercher une bière à l'autre bout du bar, aller voir un ami oublié à l'autre bout de Paris, quand il s'agit de notre voisin, et qu'on lui propose de l'attendre pour rentrer.

Et finalement, aimer les autres de manière personnelle et absolue. Leur dire "je vous aime" comme on leur dirait "le ciel est jaune fluo". Nous on y croit bien sûr. Mais eux ne se sentent pas concernés. Parce-que l'amour n'est parrait t'il pas vraiment une relition. C'est un truc qu'on partage d'abord. Et qu'on n'évoque qu'après. Qu'après qu'il soit déjà là, installé, solide et brillant. Vivant.

J'arrive à la toute fin de ma batterie. J'ai encore quelques secondes pour "envoyer". Pas eu le temps de dire ce que je voulais. Pas eu le temps de peaufiner à gérer les contingences et interruptions extérieure, en même temps que j'essayais de trouver mes mots. Et comme d'habitude, je me cherche des excuses. Comme s'il y avait quelque chose à "excuser". Merde. Raté aujourd'hui, réussi demain. Faut essayer, au lieu de se plaindre.

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Message par Invité Lun 1 Sep 2014 - 21:22

Six cent quatre vingt onze vue. Y a 45 posts sur ce fil. Ca fait une moyenne de 15,3555 vues par post. Mettons 17, puisque ceux qui regardent tard, sont susceptibles de lires plusieurs posts. Bon. La dessus, y en a disons deux tiers qui en fait ne lisent pas. Ils cliquent par curiosité, et puis bah .... ils lisent pas.  Ca nous fait donc cinq lecteurs. Quand même. Cinq. Y en a bien quatre qui ont participé a ce fil. Ca nous fait donc encore un follower. Ou peut être plusieurs, qui ont lu à divers étapes de leurs vies. Et puis qui sont allés faire autre chose.

Ou alors y a vraiment quinzes personnes qui ont lu tout ça. Là ça interroge du coup. C'est qui ces quinze là ? Des inconnus ? Des gens qui s'ennuient ? Bref, je suis rentré de vacance. Me voilà chez moi. Pas forcément pour très longtemps. Je supporte plus vraiment chez moi. Même si j'ai pléthore de choses à y faire. Trouver du boulot par exemple. Ou me bouger pour me prouver quelque chose. Que je sais encore écrire (des programmes) par exemple. Ou même carrément monter un projet. faire un blog de découverte de l'informatique. Terminer quelque chose. Pour une fois. Ou au moins commencer un peu plus avant. Suffisamment pour dire : quand même, c'est bien ce que j'ai fait.

Mince on a qu'une vie. Qu'est ce que j'ai envie d'avoir fait avant de m'en aller de celle ci ? Aujourd'hui plusieurs choses. Bosser n'en fait pas tellement partie. Sauf si bien sûr il en reste quelque chose. Sauf si bien sûr, on me fait miroiter une utilité, au moins marginale. J'ai essayé de bosser pour bosser. Enfin pour l'argent. Ca marche pas bien. Ca me fait l'effet que me faisaient les études. D'être là à perdre mon temps, alors que j'aurais bien mieux à faire. Déprimer dans mon lit, boire du café. Jouer à un jeu vidéo que j'ai déjà terminé vingt fois. Relire un livre (de science fiction) pour la cinquième fois.

Quand j'étais môme, je jouais aux playmobiles. Et je me disais : mais comment est t'il possible qu'un jour je n'ai plus envie de jouer. Je comprenais bien que ça devait fatalement arriver. Mais ça semblait tellement ... extraordinaire. Je me demandais qui était cette personne que j'allais pourtant devenir, et qui ne partageait finalement avec moi ... pas grand chose. Même pas ma passion des playmobiles. Maintenant je change moins. Moins vite. Mais je suis plus prudent. Je vais pas me passionner pour un truc. Alors que celui que je serais dans dix ans n'en a rien à foutre. Non. Je vais directement me passionner pour ce qui me passionnera dans dix ans.

Tout ça est très logique, mais j'ai un peu l'impression de rater un truc. De vivre ma vie par procuration. De la rêver presque. Au lieu de la vivre. Même un peu. A deux cent à l'heure. Comme il se doit. Merde. Faut que je me bouge je crois. Que je fasse un truc. N'importe quoi. Un truc. Un petit, un grand. Un truc. Faire un truc. Je sais pas encore quoi. Maintenant je suis fort. Je suis beau, je suis grand. J'ai cinq lecteurs. Est ce que je m'attendais à avoir cinq lecteurs quand j'étais mômes ? Quand je pensais encore qu'écrire nécessitait une feuille et un stylo.

Parfois au cours de ma vie, j'ai écris des mails. Souvent on me disait : tu écris bien. Et je comprenais bien que j'était chiant. Et je m'acharnais à essayer d'exprimer un truc. Et la personne en face se laissait un peu. Sen sentait envahie. Même si c'était parait-il bien écris. Peut être qu'on dit toujours ça. Quand on reçoit un mail dont on sait pas quoi faire. C'est bien écrit. Maintenant j'ai plus besoin d'écrire des mails. Je peux poster devant tout le monde sur un forum. On peut faire tourner le public. Ou même ne pas lire. C'est quand même mieux que de parler au mur.

Autant je fais parfois le guignol tout seul, à voix haute. Je raconte des histoires fofolles. Autant j'ai jamais su me confier aux murs. Ils m'ont toujours semblé aptes à me psychanalyser pourtant. Au moins autant que les psychanalyste. Non. En fait bien plus. Mais infiniment plus que rien du tout, ça fait encore pas grand chose. Bref je suis revenu de vacance. Sur les starting bloc. Prêt à ... procrastiner ? Faire quelque chose pour redresser un peu la barre ? Trouver du pognon pour bouffer. Me creuser un petit trou, un nid douillet pour inviter des gens. Les autres. Mes contemporains. Les aimer aussi. Je veux pas bosser. Pas en tant que salarié. S'il vous plait bon dieu. Juste cette faveur là. Faites pas de moi un salarié.

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Message par Invité Lun 1 Sep 2014 - 23:34

j'ai trouvé ça par hasard aujourd'hui, le gars fait sa soupe de mots en plusieurs vidéos (et si quelqu'un peut m'aider, je voulais la partager mais je sais pas où la mettre.

ça suit avec faire le guignol tout seul à voix haute (tout le monde n'a pas forcément besoin ou n'ose pas s'écrire, se dévoiler...)

https://www.youtube.com/watch?v=trOaEpNGceM

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Message par fleur_bleue Mar 2 Sep 2014 - 10:29

Parfois aussi, des gens viennent lire un fil en plusieurs fois (pour ce qui est des vues).

Sinon, je sais pas pour d'autres, mais moi ça m'arrive encore des fois d'avoir envie de jouer aux playmobils ou aux légos ou avec des petits chevaux en plastique (ça, je l'ai déjà fait, parce que j'en ai chez moi). Embarassed Pour les légos, à un moment j'avais même très envie de m'en acheter une boîte, juste des briques, mais ça coûte une fortune aujourd'hui! affraid

Je ne suis pas sûre si les passions disparaissent vraiment. En tout cas pas les vraies. Quand j'étais enfant, j'étais passionnée de dinosaures, je voulais être paléontologue, et aussi de préhistoire. J'avais laissé ça de côté pendant des années, mais au fond, cet intérêt est toujours là, juste moins actif. Quand je vois un article dans un journal sur une découverte de dinosaure, je le dévore. Je réfléchis de plus en plus sérieusement à postuler pour faire de la fouille archéologique en bénévole pendant l'été, au moins une fois. Pareil pour le dessin, j'ai fait ça ado et je l'avais adoré, j'ai repris un peu l'année dernière après plus de 10 ans de pause. Je crois que parfois, les passions, c'est cyclique, c'est fort, puis ça s'estompe un peu, puis ça revient...

Stauk a écrit:faire un blog de découverte de l'informatique.
J'aime bien cette idée-là, j'avoue. Smile
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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 12:42

J'ai essayé d'aller faire un peu de sport aujourd'hui. Je suis allé dans une salle. C'est cinq euros l'entrée, sans engagement. Bon, je me suis dit je fais faire une heure. Alors j'ai utilisé les machines, j'ai soulevé des bidules, j'ai tiré des machins. J'ai escaladé des marches d'escalier. J'étais un peu fatigué, alors j'ai regardé l'heure, encore 30 minutes. Ensuite j'ai eu des points noirs devant les yeux. Je me suis bon. J'ai peut être forcé un peu. Je fais une pause, une minute. Je me suis assis, mais ça a continué. Mince, ça va pas. J'ai dû trop forcer.

Ca m'a fait penser à ces fois où au boulot j'étais sous unix, et tu te prends un message "system is shuting down in 5 minutes". Ou quand tu joues à des jeux onlines "un patch exceptionnel sera appliqué dans 20 minutes, veuillez quitter le jeu". Un peu comme ça. J'étais assis sur une machine, je suis allé m’asseoir contre un poteau. Par terre. Je vais souffler un peu. Bien obligé. Mais ça a continué à empirer. Alors j'ai eu quelques pensée : tiens je me demande si je vais mourir. J'étais un peu dépité. Et puis en fin de compte je me suis dit bon, c'est pas plus con qu'un autre, comme moment pour s'en aller.

Je me suis donner quelque encouragement pour me remettre, j'étais assis tout ça. Et puis j'ai compris que le système allait rebooter. Rien à faire. Donc je me suis allongé. Ensuite un mec m'a réveillé, un ancien pompier qui est professeur de secourisme. Il était là avec sa mallette de premier secours. Le truc que je pourrais même pas soulever. Il a pris ma tention, m'a posé deux trois question pour voir si mon cerveau était endommagé, et puis il m'a donné un sucre.

Il est allé à l'acceuil dire que tout va bien, il m'a conseillé d'arrêter la séance. J'ai pas osé dire que j'avais payé 5 euros, et que je comptais rester une heure, et que là ça faisait que 30 minutes !!! Merde alors. D'un coté je suis content, je me dis que j'ai quand même fait une bonne séance. Que je me laisse pas emmerder avec les contingences matérielles quand j'ai décidé de faire du sport. D'un autre coté, j'ai quand même l'impression d'être un gros nul, même pas capable d'être livré à lui même 60 minutes sans se clamser involontairement à moitié !

Les machines de musculation ne sont pas à mettre entre toutes les mains, à ce qu'il semble. J'avais juste envie d'être partout, et d'éviter les pauses. Bien transpirer. Ca me fait un peu chier aussi de pas avoir su déchiffrer les messages de mon corps. Anticipé. Quand c'est devenu clair que je devais faire une pause, c'était déjà un peu trop tard. Quand tu commences à avoir un black-out, suffit plus de faire une pause. Tu as déjà été trop loin. Mal foutu. Ou plus probablement, je n'ai pas été très attentif et réaliste. Une expérience instructive en tout cas. Alors pour 5 euros, j'ai eu 30 minutes de sport, et une leçon de vie.

J'ai pris un en-cas, un sandwich, et des pains au lait. La boulangerie était fermé, sinon j'aurais pris une baguette. J'aime bien le pain comme ça, les traditions ils disent. Quand c'est pas trop dégueu, je trouve ça plutôt très bon ! Là je suis assis sur ma chaise, j'ai envie de répondre à pleins de message, de lire un peu les actualités de Zc. Mais j'ai la tête qui tourne, je devrais faire un petit somme. Soyons raisonnable. Je répondrais tout à l'heure. Enfin à 14h30 j'ai prévu d'aller faire un tour. On verra bien.

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 15:07

ça me fait penser à ces connards, surtout connasses, qui font chier des rames entières de métro parce qu'ils se sentent pas bien, flagada ou ce genre de truc, mais bordel aller vous asseoir sur le quai reprenez-vous et emmerdez pas le monde.

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 15:11

Ca m'a fait penser à ces fois où au boulot j'étais sous unix, et tu te prends un message "system is shuting down in 5 minutes". Ou quand tu joues à des jeux onlines "un patch exceptionnel sera appliqué dans 20 minutes, veuillez quitter le jeu". Un peu comme ça. J'étais assis sur une machine, je suis allé m’asseoir contre un poteau. Par terre. Je vais souffler un peu. Bien obligé. Mais ça a continué à empirer. Alors j'ai eu quelques pensée : tiens je me demande si je vais mourir. J'étais un peu dépité. Et puis en fin de compte je me suis dit bon, c'est pas plus con qu'un autre, comme moment pour s'en aller.

Si ca peut te rassurer pour la prochaine fois (^^) Musil est mort d'un AVC en soulevant une altère...

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 15:21

Archibald Archibaldovitch a écrit:
Si ca peut te rassurer pour la prochaine fois (^^) Musil est mort d'un AVC en soulevant une altère...

J'ai aussi un ancêtre qui est mort dans son lit. Depuis dans ma famille, on dort par terre.

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 15:48

Ouais, dtfaçon c'était une punition pour son gros pavé, y s'était déglingué à force de considérations purement considérantes,
le Musil il m'a pompé l'air un peu quand même à trop écrire, même si.

Moi j'ai un ancêtre qui est mort encorné par un taureau.
Depuis dans ma famille on mange de la vache qui rit.

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 15:49

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Message par Invité Mar 2 Sep 2014 - 16:02

Veau sous la mer a écrit:Je connais même quelqu'un qui est mort en racontant une blague. Je ne sais pas ce que ça a donné dans sa famille... ni si il a réussi à la raconter jusqu'à la fin.

ça je connais. J'ai vu un documentaire à ce sujet

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Message par Invité Mer 3 Sep 2014 - 9:41

fleur_bleue a écrit: moi ça m'arrive encore des fois d'avoir envie de jouer aux playmobils ou aux légos ou avec des petits chevaux en plastique

Ca remonte à loin la dernière fois que quelqu'un m'a invité à une lego ou playmobil party. Et je te parles même pas des petits chevaux en plastique party. J'ai carrément toujours été ignoré à chaque fois que y en avait une d'organisée ! C'est quand ta prochaine ? Tu m'invites, dis ?
fleur_bleue a écrit:J'aime bien cette idée-là, j'avoue. Smile
Super ! Y a plus qu'a fixer la date. Ou organiser ça au débotté.

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Message par fleur_bleue Mer 3 Sep 2014 - 9:47

C'est ça ce qui est bien quand t'as des gosses (ou des petits frères et sœurs), tu peux jouer avec eux. Wink
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Message par Invité Mer 3 Sep 2014 - 10:03

fleur_bleue a écrit:C'est ça ce qui est bien quand t'as des gosses (ou des petits frères et sœurs), tu peux jouer avec eux. Wink  
Tu veux pas organiser une irl Lego alors ? Je trouverais ca infiniment plus facile que ces autres rencontres dépourvues de thèmes où je sais jamais quoi dire ! Chacun serait invite a apporter un peu de matériel. Comme on apporte des chips a un pic-nic. Je me demande du coup s il existe des clubs.

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Message par fleur_bleue Mer 3 Sep 2014 - 11:13

J'ai pas de légos chez moi en fait - comme je disais, c'est vachement cher, donc j'en ai pas acheté. Wink (Mais c'est vrai que ça pourrait être une idée sympa, il y a des légos quasi pour adultes! http://architecture.lego.com/fr-fr/)
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Message par Invité Mer 3 Sep 2014 - 11:18

fleur_bleue a écrit:J'ai pas de légos chez moi en fait - comme je disais, c'est vachement cher, donc j'en ai pas acheté. Wink (Mais c'est vrai que ça pourrait être une idée sympa, il y a des légos quasi pour adultes! http://architecture.lego.com/fr-fr/)

moi j'aimerais mieux ça :
http://www.lego.com/fr-fr/mindstorms/?domainredir=mindstorms.lego.com

Mince même sur une IRL légo, c'est dur de se mettre d'accord sur le cadre !!!

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Message par Invité Ven 5 Sep 2014 - 17:06

Voilà, je retrouve mon clavier à la maison. J'ai les yeux qui piquent un peu, sans doute à cause de l'odeur de peinture qui imprègne mon petit local; Y a pas vraiment d'aération ici. Sauf la fenêtre. Et l'odeur de peinture vient de là, elle était pourtant fermée depuis que les volets ont été repeints lundi dernier. J'ai décidé finalement d'ouvrir la fenêtre. Quitte à m'asphyxier, je veux mourir dans l'air pur. De paris. Et puis il fait pas trop froid.

Du coté informatique, j'ai cogité pas mal. J'ai donc conçu un système de briques en trois dimensions, (façon) légo. Il y a trois types de briques. Ces briques peuvent servir de base à un langage universel, qui constitue une bonne abstraction du langage absolu que je cherchais à exprimer. Ce qui me chagrine un peu, c'est que ça va pas être évident d'écrire de vrais programmes sur cette base. La majorité seront bien trop lents. C'est dommage. Ca peut au mieux faire un jeu.

Si j'arrive à m'y mettre sérieusement, il doit être possible de "construire" un ordinateur basé sur l'architecture classique en utilisant ces briques. Un exercice que je n'ai jamais eu le courage de faire. Et qui peut me permettre de mettre au point une ergonomie pour ce jeu de briques numériques. Bon ça fait un projet. Un de plus. J'aurais aimé en fait, trouver une solution, qui me permette d'exprimer ensuite les autres projets de façon satisfaisante. C'est clairement pas le chemin que ça prend !

Arf.

Maintenant il faut que je me motive. Mais est ce que je peux vraiment me motiver, en dépit de l'élégance théorique du modèle de base ? Quand à peu près aucun des objectifs que je souhaitais atteindre, ne sont effectivement attrapés par la solution que je me propose. C'est dur de travailler à implémenter une solution en laquelle on ne croit qu'à moitié, d'y passer des heures et des heures de sa vie, alors qu'on est pas bien sûr que même nous ça nous amusera. Et donc encore moins sûr que ça amusera quelqu'un un jour. Et puis surtout, une nouvelle fois la question éternelle : je l'implémente en quel langage ???

Le projet va principalement être constitué d'interfaces. Il faudrait un truc un peu portable. Qui puisse être adapté à différentes plateformes. En particuliers aux tablettes !!! (Android / Windows au moins, mais que ça soit pas trop compliqué de l'adapter pour mac). A ce titre, clairement le C++ doit être indiqué, au moins pour les couches de bases. Ca fait longtemps que j'ai pas pratiqué le C++. J'ai pas été estomaqué par la qualité des outils que j'ai utilisé (dépassement de buffer, signalement d'écriture/lecture dans les zones mémoires non allouées ...). Je devrais poser la question sur un forum spécialisé. Je devrais.

Sinon faut que je trouve du travail. Ou que je laisse du travail me trouver. Parce-que coté finances, y a un vrai mieux à obtenir rapidement, si j'ai pas envie d'une grosse catastrophe. Je pourrais mettre mon cv, en ligne. Et répondre au téléphone. Est ce que je met le mot clé "indépendant" sur le CV ou non ? Grave question. Faut aussi que je le procure un miroir. La dernière fois que j'ai mis mon cv en ligne, on m'appeler dans la journée, demandé de faire un entretient, et proposé un CDI avant que la nuit ne tombe.

Sur le plan moral, je me demande encore une fois où je vais. J'ai du mal à rythmer ma journée suffisamment, ce qui fait que régulièrement je ne suis pas du tout, du tout satisfait de moi. J'ai vraiment besoin pour moi même, de réaliser un truc. Un truc montrable. A défaut d'être vraiment passionnant. Pour être motivé, j'aurais besoin d'avoir un public. Je crois. Un public de gens enthousiastes. Pas facile. Faut que je me bouge. Du c++. Mince. J'ai pas tellement envie d'éplucher 150 000 pages de doc en ligne, pour comprendre comment fonctionnent les principaux frameworks du marché. D'autant moins que y a peu de chances que les tablettes soient supportées. Je sais même pas si on peut écrire des programmes en C pour Android. On peut surement. Enfin on peut ... peut être.

Au niveau matériel, j'ai des PC à la maison. Le point délicat ce sont les sauvegarde. J'ai pris un serveur OVH. Mais ... il est encore tombé en panne. Comme la dernière fois que j'en ai eu un. Et donc le plus simple pour moi, c'est de tout réinitialiser. Pas franchement un moyen de sauvegarde très sécurisant ... que d'utiliser ce serveur là. Sinon je pourrais louer un serveur GIT. Pour déjà héberger des fichiers textes/ le code source. Faut donc que je regarde ça. Et que j'apprenne à utiliser GIT. C'est pas gagné mon histoire.

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Message par fleur_bleue Ven 5 Sep 2014 - 17:17

Tu sais pas où tu vas, mais au moins tu as l'air de mettre un pied devant l'autre, c'est déjà pas mal... Tu trouveras peut-être en chemin un panneau qui te donne une idée de direction. Smile

En ce qui concerne le mot "indépendant": mets ton cv sur deux sites, un avec le mot et un sans, ça te permettra de comparer. Very Happy
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Message par Invité Ven 5 Sep 2014 - 17:27

fleur_bleue a écrit:
En ce qui concerne le mot "indépendant": mets ton cv sur deux sites, un avec le mot et un sans, ça te permettra de comparer. Very Happy

Ah ouais. C'est pas con. J'avais complètement oublié que y avait plusieurs sites ! J'ai jamais eu le temps de le mettre sur un deuxième faut dire. En fait le truc, c'est que les commerciaux qui t'appellent, ne lisent pas le CV. Alors à moins de mettre un nom différent sur chaque CV, voir même un numéro différent .... je vais pas savoir faire de comparaison. Les plus agressifs récoltent les CVs sur tous les sites. Au point qu'ils te disent : j'ai eu votre CV par le biais des jeudi.com, quand en fait, toi, tu l'as mis que sur l'Apec. L'autre truc, c'est que souvent, y a beaucoup d'appels. Et comme tu peux le deviner à l'aune de ce que j'ai dis, y a énormément de déchets. En général un commercial t'appel pour te rencontrer. Que y ai ou non un débouché ensuite, c'est pas son problème. C'est ton temps qu'il perd, pas le sien. Pour lui l'entretien ne coûte quasiment rien. Alors que toi tu te tapes tout le transport, plus le temps d'attente, plus le temps d'entretien. Et des fois y en a même plusieurs ! Des entretiens. Au mieux ils te proposer de t'embaucher sur profil (à un salaire qui ferait réfléchir un débutant au chômage depuis sa sortie d'école y a 4 ans), au pire ils te proposent rien. Bien sûr, parfois y a de la substance. Bien malin qui sait me dire comment distinguer les vrais, des faux entretiens !!

Donc ouais. Je vais d'abord mettre un cv avec "Indépendant". Je présume. Ca me permettra de voir ce qu'il se passe. Si ça ne fonctionne pas aussi bien que ça, je pourrais toujours en complément tenter des candidatures sur des offres ciblées. Si y en a. J'aurais pas dû attendre la dernière extrémité avant de chercher ... pourtant je trouve ça encore trop tôt !

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Message par Invité Ven 5 Sep 2014 - 22:17

La tension s'accumule. Faut que je lâche un peu de lest. Je sais pas du tout ce que je dois dire, pour en lâcher, du lest.  Bon déjà concernant le multiplate-forme. Première étape, logiquement ... étudier ... http://rhomobile.com/ ... et avec le sourire. ouéééé. on a très très envie d'étudier ça. Ouéééé.  Mon père vient d'appeler. J'ai posé quelque question sur sa santé, alors j'ai eu plein d'information. Il vieillit. Ca coûte cher, de rester en bonne santé.

J'ai toujours pensé que ce mec là vivrais indéfiniment. D'un point de vue extérieur, il vieillit très lentement. Mais on dirait bien qu'à l'intérieur, ça se passe pas aussi bien. Son grand père (mon arrière grand père donc) est mort centenaire. J'ai toujours cru que mon père verrait ses arrière petits enfants. Enfin depuis que j'ai réussir à croire que j'en aurais. Des enfants.

Y a aussi une vidéo, sur RhoMobile. C'est la vidéo que j'ai vu en premier. Avant de vous trouver le lien vers le site web. Elle est pas de très bonne qualité cette vidéo. J'ai un mal fou à me concentrer dessus. D'ailleurs, je la regarde tout en tapant. Tout en jouant aux échecs. Enfin je l'écoute on dira. En tout cas je la laisse tourner en arrière plan.

Je suis un peu fatigué, j'ai pris l'habitude de me coucher à une heure raisonnable ces derniers jours. Ca serait bien que je continue. Dans les choses à faire, j'aimerais trouver un endroit ou faire du sport, sans forcément payer cinq euros par séance ... surtout si c'est pour tomber dans les pommes ... Quand j'étais ado, à coté de chez moi, il y a avait "un parcours de santé". Je suppose que ça doit encore existé. Peut être pas trop loin. Faudra que je vérifie ça.

Faut que je m'occupe du linge. C'est angoissant. Il faut que j'aille à la laverie. L'autre jour y avait un mec bourré, qui n'avait vraiment pas toute sa tête. Et qui s'est pris d'affection pour moi. Et c'était pas évident. Maintenant j'ai toujours un peu peur quand j'y vais. D'en croiser un autre dans son genre. C'est déjà pas toujours facile de faire l'effort d'aller la bas. Surtout quand il pleut. Quand il pleut, j'évite d'y aller.

A force, ça fini par devenir urgent. Et puis c'est cher aussi. Ouais. C'est pas donné. C'est plus cher qu'une séance de sport ! Une alternative, serait d'acheter une bassine, et un peu de lessive manuelle. Ces trucs où tu laisses tremper. Après tout, en général les vêtements sont pas si sales. J'ai prévu d'acheter la bassine, ça doit faire deux mois. Toujours pas eu le temps. Je suis surbookée, c'est pour ça.

Je sais pas trop quoi dire moi. Tu me diras, alors pourquoi dire quelque chose, si rien à dire ? Et bien parce-que ça soulage. Tout Simplement. Ca défoule. Ca ... vide.  Mais faut trouver un truc à dire. Au moins j'ai pas besoin de le dire avec style, ni que ça soit mémorable. C'est toujours ça. Peut être un truc dont je pourrais  parler c'est ....

... mince comment ont trouve les mots pour parler de ce sujet là. J'utilise une image en fait ! La fameuse fractale. La hiérarchie Fractale proposé par Petitagore. C'est un truc qui m'a fait beaucoup de bien. Je me rend compte maintenant d'un truc. Qu'on est tous doué. Qu'on a tort de se "comparer" aux autres "doués" ou "très doués". Parce-que c'est aussi une hiérarchie le don. Une hiérarchie dont on est tous le centre. Une fractale avec beaucoup de centres tous équivalents. Tous infiniment complexes, infiniment zoomables.

J'adore cette image. Cette image à la mandelbrot, avec cette complexité infini. Quand on zoome sur fractale de mandlebrot, plus on zoom, plus c'est lent. Simplement parce-que la précision des valeurs numériques demandée au fur et à mesure qu'on zoom, augmente quand on augmente le zoom. J'avais un collègue qui avait développé un afficheur de cette courbe. Et j'ai un pote qui m'a vanté l'antialiasing pour afficher cette même courbe.

Elle a fasciné beaucoup de monde. De même que Pi. Ce collègue dont je vous parle, il connaissait les quarantes premières décimales de Pi. Il a une fille. Il n'a aucune envie qu'elle soit ... geek. Comme lui. Il a un peu honte. C'est pas par choix visiblement qu'il a lui même suivi cette voie. Un mec qui causait pas tellement. Mais on a quand même bien rigolé ensemble. J'ai passé de bons moments.

Dommage que les autres dans l'équipes ne m'ai pas fait le même effet. Pourtant tous étaient intelligent. Peut être tous étaient "Zèbres" comme on dit ici. Ou >130 comme on dit la bas. Lors de cette mission, j'avais remplacé un gars qui voulait absolument développer une méthode pour gagner à des jeux de hasards. J'ai appris un mot. "Martingale". La martingale c'est une super façon de gagner avec certitude, à un jeu de hasard.

Une méthode que j'ai utilisé une fois quand j'étais môme, et c'est pas évident de comprendre pourquoi ça fonctionne pas. D'ailleurs ça fonctionne. Y a juste une petite condition. La martingale, permet de gagner à un jeu de hasard, dés lors qu'on est libre de choisir la somme à mettre en jeu d'une part. Et que d'autre part on possède un capital illimité à miser. Si on remplit ces conditions, on peut jouer en étant sûr de gagner.

Si vous me demandez pourquoi on se ferait chier à essayer de gagner de l'argent, quand on a déjà une fortune illimité ... vous mettez le doigt au bon endroit. C'est précisément le problème. Si on enlève la notion d'infini, ça pose la question suivante : Est t'il raisonnable de passer beaucoup de temps, pour gagner presque rien, quand on est déjà très très riche ? Et qu'en plus ce faisant, on met notre fortune en jeu. Même si la probabilité de perdre est très faible. La fortune est très grande. Et en moyenne .... la perte moyenne est précisément celle précisé par le jeu.

Les mathématiques sont sauves.

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Message par Invité Ven 5 Sep 2014 - 22:36

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Message par Invité Ven 5 Sep 2014 - 22:48

Pourquoi est ce que le plus souvent, accomplir ce que j'ai envie d'accomplir, me permet pas de lâcher du lest ? Comment quand j'écris ici. J'ai l'impression que beaucoup des choses que j'ai réussi à accomplir l'ont été finalement dans ce but. Lâcher du lest. Je programmais pour lâcher du lest.

J'étais dans mon lit, j'arrivais pas à dormir. Alors je me mettais sur mon PC, et je produisais les trucs dont j'étais le plus fier. C'était quand j'étais adolescent ça. Enfin c'était pas un PC. C'était un mac plus. Ca n'arrive plus guère. Peut être parce-que je suis devenu trop exigeant. Peut être que j'ai évolué un peu, dans mes aspirations.  

Et puis bon, ça cassait pas trois pattes à un canard ce que je faisais. Mais c'était bien quand même. J'aimerais arriver encore à être fier comme ça. Fier d'une énergie qui coule, et qui me fait veiller toute la nuit, à produire quelque chose. Ressentir encore cette satisfaction. Même si j'étais ensuite crevé à l'école. Et que j'avais aucune envie d'y aller. A l'école. J'étais déjà plus ou moins en train de sombrer dans la dépression à cette époque.

En même temps, y avait de quoi. C'est incroyable la quantité phénoménale de travail que produit la communauté open source. Et on fait même pas ça pour gagner notre vie (enfin je dis nous ... mais j'ai jamais produit d'open source !!!), non on fait ça simplement parce-qu'on a conscience que c'est nécessaire. Alors on le fait. Et on est content que ça soit fait par nous plutôt qu'un autre. Ca c'est l'open source.

Et moi c'est quoi mon business model ? Est ce que je crois en l'open source ? Bien sûr j'y crois. Je crois que je suis content que ça existe, et de pouvoir l'utiliser. Mais est ce que j'irais jusqu'à développer directement mes idées en open-source ? Peut être je devrais. Peut être c'est ça qui merde dans ma vie. Cette idée que j'ai tellement besoin d'argent, que je préfère une maigre chance d'en gagner en produisant les logiciels dont de je rêve d'une façon que je déteste.

Au lieu d'une quasi-certitude de rien gagner, en m'éclatant vraiment, en partageant ma passion et mon enthousiasme. Avec qui voudra. C'est à dire probablement personne. Mais en partageant quoi. Dit comme ça, la route à suivre semble tellement évidente. Ca crêve les yeux. Je suis pas fait pour gagner du pognon moi. J'aimerais juste avoir du temps pour faire mes trucs. Développer ces passions. Mais c'est pas possible.

Je me retrouve sous pression. La pression sociale. Je dois être salarié, pour être quelqu'un. Je dois être sinon, un chef d'entreprise. J'ai pas le droit de juste être moi même. Qui a dit qu'il faut être soit même ? T'as oublié de m'expliquer comment je dois m'y prendre mon pote. Quand y a tellement de règles implicites. Quand ce qui est en jeu, c'est de pouvoir bouffer, et pas crever de froid en hivers. Et puis la production intellectuelle ou/et artistique, ça demande un minimum de conditions.

Peut être pas de confort. Mais de condition. Beaucoup de grand artistes, vivaient une vie assez misérable. Mais au moins ils survivaient. Est ce que je peux tenter de vendre une production informatique pour 2 euros, à l'épicier du coin. L'échanger contre un peu de pain à la boulangerie. J'en doute un peu quand même. C'est dommage.

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Message par Invité Sam 6 Sep 2014 - 9:10

(PS : si tu lis ce texte, tu es supposé régler la taille de ta fenêtre, pour que chaque paragraphe, fasse exactement quatre lignes. Je dis ça, je dis rien. T'attends pas non plus à trouver le plan qui conduit à l'arche perdue hein. C'est juste que ça te permettra d'adopter sur le texte, le même point de vue que l'auteur).


Allez, nous voilà le matin. J'ai fais une nuit complète. Avec des horaires normaux. Profitons en, ça va sans doute pas durer. J'ai moins la pression que hier soir. Mais j'aimerais quand même lâcher encore un peu de lest. Pour avoir vraiment la super pêche tu vois. Quand le monde se met à ressembler à une grosse pomme, et que t'as le slogan de Jacques en tête. "Mangez la pomme". Tu vois le genre. Ce

Bon qu'est ce qui m'occupe l'esprit aujourd'hui ? A part la procrastination, je procrastine, tu procrastines, nous procrastinons. J'y fais même plus attention à ça. Ca m'affecte plus. Sauf quand le toit s'écroule, parce-que je devais refaire le béton de la colonne centrale. Mais même, après tout. C'est pas huit tonnes de matériaux de construction sur la tronche qui vont gâcher ma journée. Ce paragraphe

Nan je repense à la douance. J'ai lu une citation de je sais plus qui, qui me semblait assez bien abonder dans mon sens. J'ai envisager de le mettre sur mon fil, sur le débat douance/surdoux. Enfin le débat, où je débats un peu seul. Mais oué. C'est un débat quand même. Je suis pas facile à convaincre après tout. Finalement j'ai mis ça sur le guide de la savane. Ce paragraphe est fini, mais je vais essayer de faire des

J'essaye un peu de réunir la dessus, des citations qui me laissent un peu croire que y quand même de la douance sur ce forum. Un jour j'en ferais un nouveau tout beau tout propre, et je viendrais piocher là les citations. Ca sera beau. Ce paragraphe est fini, mais je vais essayer de faire des paragraphe qu'on tous la même taille. Pour des raisons esthétiques. Je pense que ça doit faire plus beau, quand tous les para




Vous avez déjà remarqué comment la mise en forme générale du texte nous affecte, à un niveau qui n'est pas directement lié aux mots utilisés ? Comment si tous les paragraphe ont la même taille, ça fait une sorte d'impression esthétique qui donne envie de lire ? J'ai découvert ce phénomène, un jour qu'une nana qui adorait écrire, m'a envoyé un pm, sur un autre forum. Je me suis dit : ouaou. Elle écrit bien.

Alors qu'en fait, en y regardant de plus près, certe elle écrivait bien. Mais ce qui était fascinant, c'était l'impression forte que produisait son texte, même quand on le lisait pas. Depuis ce jour, je vais beaucoup beaucoup plus attention à la mise en forme. Je fais des petits paragraphe. J'essaye de les faire tous d'une taille égale. Quitte à ne pas respecter la notion de : une idée, un paragraphe. Parce-que voilà. Voilà voilà.

Faut juste pas que la forme prenne le pas sur le fond. De toute façon, on peut découper n'importe comment. Je crois bien que l'impression "vu de loin" à bien plus d'importance que le découpage des idées. Alors faut pas que me prenne la tête avec comment c'est découpé. Surtout quand je suis là pour essayer de lâcher du lest. Je me souviens même plus de ce que je voulais vous dire. C'est sûr. Voilà.

J'écoutais la Radio l'autre jour, et y a le sélectionneur de l'équipe de France, qui racontait une anecdote. C'était dans une émission avec Naguy sur ... France Inter je crois. C'est quoi son nom à ce sélectionneur ? Didier Deschamps ? J'ai lu un truc hier, avec Samir Nasri (le mec de Taxi ??) qui lui cassait un peu de sucre sur le dos. Donc je pense que c'était lui aussi, dans cette Emission. (Deschamps, pas Nasri !)




Et donc ce gars disait qu'il s'était pris la tête avec je sais pas qui. Qui était en position d'autorité sur lui à l'époque.  A propos que le mec au dessus, il voulait prendre onze joueurs moyen. Alors que notre Didier voulait lui en prendre trois bons, quitte à compléter ensuite avec ce qu'on pouvait. Il disait : pour moi, plusieurs joueurs moyen n'en feront jamais un bon. C'est drôlement élitiste comme façon de voir le foot.

Du coup je trouve que c'est un argument à utiliser, dans un débat à propos de la douance. Sauf qu'ici, ça semble un peu contre-productif. Puisque tout le monde est déjà convaincu d'avoir été personnellement sélectionné en équipe de France. Vont donc pas comprendre l'argument, c'est quasi certain. C'est dommage d'avoir un grand forum comme celui ci à disposition. Et aucune idée de comment l'utiliser.

Parce-que je vous cache pas, que j'ai beaucoup de mal à avoir un discours construit ici. Je sens bien qu'il faut faire quelque chose, pour remettre un peu les choses à l'endroit concernant la douance. Mais comment je dois m'y prendre ? Quelles ressources, et quelle énergie je dois y consacrer ? Je veux pas non plus donner trop l'impression que je fais du prosélytisme. Même si y a quand même un peu de ça.

J'ai aussi quelques arguments en faveur du décret : une dizaine de mauvais informaticiens, ne seront jamais équivalent à deux bons informaticiens. Mais là encore, les gens vont mal me lire. Vont me faire dire de choses que je ne dis pas. Et ça nuira au message principal que j'ai à inculquer ici. Enfin ... dont je dois m'efforcer de construire au fil de contribution l'argumentaire. Le mot surdoué est mal utilisé ici.




Bon c'est vachement bien cette histoire de mise en forme, mais ça me casse le choix. J'ai plus envie de mettre en forme. Nah. Au bout d'un moment, le cerveau en fait son objectif principal, et t'oublie ce que tu as à dire !!! Enfin je présume que pour certains, c'est devenu une seconde nature. Que c'est important de s'y exercer régulièrement. Pour pouvoir le faire sans y penser. Du coup ça serait intéressant de voir

un peu, comment les écrivain découpent leur texte. Sans y penser. Chaque écrivain doit avoir pris l'habitude d'organiser ses paragraphe d'une certaine façon. Inconsciente bien entendu. Moi je sais pas trop. Je découpe souvent en blocs de trois ou quatre lignes, telles qu'elles m'apparaissent au moment ou je rédige sur l'interface forum BB. Je n'écris pour ainsi que sur forum BB. Ici quoi. Je voulais vous parler

du don. De sa relativité. Et je me suis perdu dans une discussion sur la mise en forme des paragraphe. Je vous jure. C'est chiant. J'ai toujours tendance à penser que mes lecteurs, vont avoir du mal à tout lire. Moi je lis pas les longs textes. Heureusement tout le monde n'est pas comme moi. Alors peut être pour mon lecteur ici. L'un des cinq lecteurs théorique. Peut être pour lui, pour elle, c'est facile de lire tout ça.

Ca lui permet d'échapper à la routine. Ou un truc comme ça. Alors du coup je peux continuer tout mon content. Au lieu de me poser des questions existentielles. Donc voilà. Je voulais juste vous dire que le don est relatif. J'ai la flemme d'argumenter. Quelque soit le point de vue que l'on considère. C'est à dire quelque soit la personne qu'on décide d'être pour cette discussion. Oui, je peux être différentes





personnes. Mes rêves sont comme ça, depuis un moment. Je ne suis plus "le héro" de mes rêves, quand je dors. Je suis ... un peu tout le monde. Je suis l'arbre, je suis le héro numéro un, le deux, le trois. Je suis n'importe qui, mon point de vue de rêveur saute d'un personnage à l'autre. Du coup y a pas de cauchemar. Etant chaque élément de mon rêve, du monstre au gentil, en passant par tous les méchants,

y a pas cette idée que je peut être poursuivi, ou que je peux me faire tuer. Tout ça ce sont des peurs d'enfants. En tant qu'adulte, ça ne se passe plus ainsi. Enfin je vous dit ça, mais en fait ces rêves qui était comme ça, avec mon point de vue de rêver qui sautait d'un endroit à l'autre, d'un personnage à l'autre, ça date un peu. Peut être ça aussi c'était juste une étape. Je ne me souviens pas vraiment de

mes rêves, a part quelques uns très éparses. Je me demande ce que je découvrirais d'autre sur ma façon de rêver. Si je pouvais m'en souvenir. De tous ces rêves que j'ai produit au cours de ma vie. Et donc je disais dans la vie, comme dans un rêve, y a plein de gens différents. Et que chacun de ces gens à un panel de dons, plus ou moins prononcé. On peut parler de dons, dés lors qu'il y habilité à effectuer une

tâche. Par exemple faire cuire des pâtes, même si tu les fais crâmer une fois sur deux. Et ben c'est un don. Peut être pas le niveau élite du donc en question. Qu'on peut organiser ensuite en groupes de dons. Ici faire la cuisine par exemple, serait un super don du don faire cuire les pâtes. Est ce que le talent c'est de ne jamais les faire crâmer, les faire toujours Aldente ? Ou est ce que le talent c'est au contraire, de ne




jamais produire tout à fait deux fois le même résultat. D'essayer de les manger avec toutes les combinaisons possibles de carbonification. Moi je sais faire les pâtes carbonara. Ce sont des pates toutes noires, et qui s'effritent quand on les touche. Enfin voilà, on a tous péthore de dons. Qu'on peut organiser en arbre. Comme on le fait avec le vivant. Le don, c'est vivant. Un organisme. Et donc puisque chaque

personne est associée à pléthores d'arbres dons, on peut se mettre à les comparer. Même si c'est plus compliqué de comparer un arbre, que de comparer une simple valeur numérique. Mais surtout, ce qu'il faut bien voir, c'est que l'espace du donc, c'est une fractale. Une de ces fractales qui permettent de zoomer à l'infini, dans des univers qui se répètes régulièrement, sans jamais tout à fait prendre la même

forme. Une de ces fractales qui permet également de dézoomer à l'infini. Et même de se balader à droit et à gauche, en rencontrant régulièrement d'évidents points privilégiés. Qui tous sont semblables. Et dont pourtant aucun n'est identique. Alors est ce que je suis un cuisinier doué ? Oui. Car étant moi aussi un point centrale de la grande mosaique du don, je peux tout à fait servir de référence, pour étudier les

dons des autres. N'importe qui peut servir de référence. On est tous incroyablement doué. Tellement doué, qu'on en devient la référence naturelle pour s'efforcer de caractériser les dons et savoir faire des autres. On peut dire : celui là va un peu plus vite, à faire ceci que le doué de référence. C'est un peu plus goûteux, le sel est mieux dosé. Cet autre ici a visiblement des difficulté pour allumer une plaque




électrique, ouvrir la porte du four à micro-onde. Que celui là, notré doué en cusine de réfernce, est clairement plus talentueux (moi donc hein). Le fait d'être une référence dans son domaine, n'importe quel domaine, c'est assez satisfaisant. Au point que ça semble presque idiot de ne jamais essayer. De

percevoir le monde à travers ce filtre là. Quand nous somme, nous, la référence à l'aune de laquelle le reste de l'humanité se défini. Après il me semblerait dommage de ne voir le monde qu'à travers cet unique prisme. Ce qui est beau, c'est quand on sait le faire pour nous, parfaitement. Et qu'on apprend ensuite, à adopter le point de vue d'un autre.

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Message par Invité Sam 6 Sep 2014 - 22:11

Code:

0 0 0 0
0 1 1 0
1 0 1 0
1 1 0 0

0 0 0 Off.
0 0 1
0 1 0
0 1 1
1 0 0
1 0 1
1 1 0
1 1 1 --> fungate.


Et merde.

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Message par Invité Dim 7 Sep 2014 - 8:28

Conclusion .... prenez un dé. Vous voyez un dé ? C'est un cube, avec 6 faces. Numérotées de 1 à 6. Remarquez comme le 6 est à l'opposé 1. On va appeler A la face 1, et B la face 6. Parce-que j'aime bien nommer les choses. Maintenant on va imaginer plein de dés, tous de la même taille, avec sur chacune des faces des connecteurs qui permettent de communiquer avec le dés à coté.

Il y a quatre type de dés. Et chaque dés peut être dans l'un de deux etats "Allumé"/ "Eteint". Le premier type de dés, est toujours éteint. Il est strictement équivalent à une absence de dé. Le second dé, est toujours allumé. Quand aux deux autres type, on les appellera Nand et Pull.

J'ai oublié de vous dire que chaque dés possède une horloge, et que par ailleurs les dés connectés s'arrangent pour que leur "horloge" soit synchrone. Ainsi nos Nand et nos Pull, peuvent mettre à jour leur etat. Un pull devient allumé au temps N, si au temps N-1 le dés connecté a sa face A était allumé. Un pull devient éteint au temps N, si au temps N-1 le dés connecté a sa face B était éteint. Quand au dés Nand, il devient allumé ou éteint au temps N si en fonction des valeur éteinte ou allumé des dés de ses face A et B au temps N-1. Les dés suivent donc les règles suivantes.

La colonne 0 représente la valeur au temps N-1 de la face A. La colonne 1 la valeur au temps N-1 de la face B.
Et la colonne 2 (la dernière) la valeur que prendra le dés au temps N.

Nand / Pull / On / Off
Code:

0 0 1 / 0 0 0 / 0 0 1 / 0 0 0
0 1 1 / 0 1 0 / 0 1 1 / 0 1 0
1 0 1 / 1 0 1 / 1 0 1 / 1 0 0
1 1 0 / 1 1 1 / 1 1 1 / 1 1 0

Voilà ce qui me semble constituer une bonne base pour un langage universel. L'intérêt d'un tel langage, c'est qu'il exprime à la fois un "programme" dans un sens très large, ou plutôt une "machine" et peut représenter n'importe lequel de nos ordinateurs. Et en même temps il respecte les contraintes physiques d'espace et de temps qui s'appliquent aux systèmes réel. C'est une idéalisation universelle de la programmation. La seule partie qui me chagrine un peu, c'est la partie horloge. Puisqu'on suppose ici que d'une manière ou d'un autre tous les dés partagent le même référentiel. Ce qui n'est pas très réaliste à très grande échelle. Dans le sens que ça prendrait beaucoup de temps d'assurer cette contrainte (si on en empile suffisamment de petit dés pour atteindre la taille d'une planète telle que la terre par exemple). Donc c'est pas totalement satisfaisant. Mais c'est tout de même mieux que les abstractions qu'on utilise dans le cadre de l'informatique des années 1950. Aujourd'hui on est en 2014. Et les techniques disponibles ont un peu évolué. Le design de nos ordinateurs modernes date de 1945. Y a 70 ans. De même les langages (informatique) qu'on utilise, sont très lié à cette architecture. L'ensemble montre ses limites depuis des années.

Le langage que je propose présente l'avantage d'être à la fois un langage de programmation simple, universel ... mais aussi de pouvoir être utilisé comme jeu. Un jeu façon légo, avec ces petits cubes rudimentaires magiques. Bien entendu, si on veut en faire des légos, il faut ajouter quelques cubes accessoires. Des cubes dont une face réagit au touché, à la lumière etc. Et des système qui réagissent à des cubes qu'on leur connecterai (un écran, un haut parleur etc.)

Si on veut simuler un environnement virtuel avec ces cubes, ça va être un peu lent bien sûr. Car les ordinateurs modernes sont remarquablement inefficaces. Un projet que ça serait bien que je le réalise, c'est de proposer un jeu ou l'ont peut assembler ces cubes, pour réaliser divers systèmes. Et connecter ces systèmes à des entrées/sortie virtuelle. Une tablette tactile / un écran. Ca pourrait servir de base à un cours informatique un peu ludique. Ou l'ont pourrait à la fois jouer avec des cubes réels (si un jour on en produit), pour réaliser et jouer avec les composants les plus simples. Et à la fois jouer avec un système virtuel, pour réaliser des systèmes plus complexes. On peut imaginer aussi bien sur, imprimer ensuite ces systèmes virtuels, avec des imprimantes dédiées. Bref c'est un beau langage.

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