Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Dernière édition par Open cube le Lun 29 Sep 2014 - 22:12, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Odalisque a écrit:c'est un monde d'indifférence du père dans lequel on vit(
Ah ouais, c'est bien ça le truc.
Moi, quand je parle des hommes et des femmes et de leur périphérie, je ne parle pas de la même chose que vous.
Putain de génie, c'était tellement énorme que je ne le voyais pas.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sahana, ton petit "je crois" est un coup de génie.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon, ben, je vais vous le décrire mon monde, et puis vous me direz à quoi ressemble le votre.
Un ancien membre de ZC m'avait envoyé le Chap Manifesto.
Et il avait ajouté,
Dans mon monde à moi, on est heureux de céder sa place à une femme, on ne faisait que la maintenir à la bonne température.
Je crois comprendre que dans votre monde, pour faire ça il faut être raide pété à l'exta, c'est ça ?
Un ancien membre de ZC m'avait envoyé le Chap Manifesto.
NegaticeDandy a écrit: THE CHAP MANIFESTO
1. THOU SHALT ALWAYS WEAR TWEED. No other fabric says so defiantly: I am a man of panache, savoir-faire and devil-may-care, and I will not be served Continental lager beer under any circumstances.
2 THOU SHALT NEVER NOT SMOKE. Health and Safety "executives" and jobsworth medical practitioners keep trying to convince us that smoking is bad for the lungs/heart/skin/eyebrows, but we all know that smoking a bent apple billiard full of rich Cavendish tobacco raises one's general sense of well-being to levels unimaginable by the aforementioned spoilsports.
3 THOU SHALT ALWAYS BE COURTEOUS TO THE LADIES. A gentleman is never truly seated on an omnibus or railway carriage: he is merely keeping the seat warm for when a lady might need it. Those who take offence at being offered a seat are not really Ladies.
4 THOU SHALT NEVER, EVER, WEAR PANTALOONS DE NIMES. When you have progressed beyond fondling girls in the back seats of cinemas, you can stop wearing jeans. Wear fabrics appropriate to your age, and, who knows, you might even get a quick fumble in your box at the opera.
5 THOU SHALT ALWAYS DOFF ONE'S HAT. Alright, so you own a couple of trilbies. Good for you - but it's hardly going to change the world. Once you start actually lifting them off your head when greeting, departing or simply saluting passers-by, then the revolution will really begin.
6 THOU SHALT NEVER FASTEN THE LOWEST BUTTON ON THY WESKIT. Look, we don't make the rules, we simply try to keep them going. This one dates back to Edward VII, sufficient reason in itself to observe it.
7 THOU SHALT ALWAYS SPEAK PROPERLY. It's quite simple really. Instead of saying "Yo, wassup?", say "How do you do?"
8 THOU SHALT NEVER WEAR PLIMSOLLS WHEN NOT DOING SPORT. Nor even when doing sport. Which you shouldn't be doing anyway. Except cricket.
9 THOU SHALT ALWAYS WORSHIP AT THE TROUSER PRESS. At the end of each day, your trousers should be placed in one of Mr. Corby's magical contraptions, and by the next morning your creases will be so sharp that they will start a riot on the high street.
10 THOU SHALT ALWAYS CULTIVATE INTERESTING FACIAL HAIR. By interesting we mean moustaches, not beards.
Et il avait ajouté,
Quand je m'applique au quotidien à suivre les trois règles surlignés, je me sens mieux et je souffre moins. Astonishing, isn't it?"
Dans mon monde à moi, on est heureux de céder sa place à une femme, on ne faisait que la maintenir à la bonne température.
Je crois comprendre que dans votre monde, pour faire ça il faut être raide pété à l'exta, c'est ça ?
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Les grandes théories, les systèmes complexes sont rarement féminins, non que je les croie plus stupides que nous ne le sommes mais simplement plus efficaces pour se lancer dans la vraie vie. Souvenez-vous que meême la petite blonde diaphane qui vous regardait avec ses jolis yeux bleus n'est qu'une machine efficace sélectionnée par l'espèce pour la perpétuer. Une fois dans ses rets, vous allez vite comprendre qu'il y a un temps pour glander et rêvasser et un autre pour affronter la vraie vie. Alors n'allez pas l'emmerder avec vos grandes théories sur l’inflation vu que les courses, la hausse des prix et tout le bouzin, croyez moi elle en connait plus que vous sur le sujet. Ravalez vos grandes idées et contentez-vous de prendre la liste qu'elle vous a faite pour aller au supermarché et ne vous trompez pas, si il y a écrit lait demi-écrémé ne prenez pas du lait entier."
Allez-y, balancez vos myosotis et vos smileys roudoudous;
Qui-z-y-viennent, Qui-z-y-viennent.
Allez-y, balancez vos myosotis et vos smileys roudoudous;
Qui-z-y-viennent, Qui-z-y-viennent.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
Et si, Sahana, tu n'es pas dans l'humour au 24° degré, tu me donnes la clef.
J'étais pas dans l'humour au 24e degré, non, ceci dit, je parlais des deux sexes confondus, des parents en général.
Sahana, ton petit "je crois" est un coup de génie.
Ah? Faut que tu m'expliques.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sahana a écrit:Ah? Faut que tu m'expliques.
Non, le génie ne s'explique pas, il est.
Et bien, je me rends compte qu'on ne parle pas de la même chose, Odalisque vient de me le confirmer.
Moi, je parle de la situation que j'aimerais voir se développer, je réfléchis aux valeurs du passé pour y trouver des recettes pour le futur, je cherche dans les modifications de la société les causes du malaise, je tente d'établir un constat à peu près réaliste...
Et les femmes sont beaucoup plus pragmatique, plus dans le présent, plus dans le réel. Elles me parlent de leur longue journée de travail, des courses au supermarché, des gamins à aller chercher à l'école, de la voiture à récupérer au garage et du mongoloïde qui les attend à la maison avec sa PS3 et qui, en guise de bonjour et de bisous ma chérie, demande "on mange quoi ce soir ?".
Logiquement, on risque d'avoir du mal à se comprendre.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce qui m'a manqué le plus quand j'ai renoncé à Madame, c'était cette sensation intense du présent.
J'ai eu beau lâcher les chevaux, intensifier mon rythme de vie, le présent m'a abandonné en quelques semaines.
J'ai eu beau lâcher les chevaux, intensifier mon rythme de vie, le présent m'a abandonné en quelques semaines.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai tenté d'interroger les moins cons de mon entourage, j'ai fait un bide total. Femme ? Présent ? Ça ne causait à personne.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
Moi, je parle de la situation que j'aimerais voir se développer, je réfléchis aux valeurs du passé pour y trouver des recettes pour le futur, je cherche dans les modifications de la société les causes du malaise, je tente d'établir un constat à peu près réaliste..
A la base, j'ai dû tenter aussi.
J'ai dévié, en cours de route, sur un sujet dont je devrais même pas parler.
J'ai bien envie de dire un truc affreux, là, un truc à me faire taper dessus.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sahana a écrit:un truc à me faire taper dessus
C'est une crainte ou un fantasme ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tout le monde, je sais pas.
Il y en a qui arrivent, je crois, à piétiner leur orgueil et à penser aux enfants.
mon propos, c'était qu'effectivement, certains parents parviennent à passer au dessus des blessures narcissiques que l'autre leur a infligées, volontairement ou non, pour penser au bien-être des mômes.
Mais les hommes sont bien plus doués pour ça.
Je crois que les femmes ont plus d'orgueil que les hommes. Non, en fait, je crois qu'elles ont plus de difficultés à le mettre dans leur poche.
Quitte à se servir des enfants comme une arme. Ou comme un doudou rassurant, je sais pas.
Comme la société va dans leur sens, pourquoi se priver?
Facile d'amadouer un juge, va pleurer un peu. (quoiqu'au final, quand on y pense, quel manque de fierté, que d'obtenir ce qu'on veut en larmoyant).
La société les infantilise.
C'est un peu comme sur ZC, quoi.
Moi j'ai vu plus d'hommes accepter des situations aberrantes, concernant les enfants dans les séparations, puisque c'était le sujet, que des femmes l'auraient fait.
C'est une crainte ou un fantasme ?
t'espères vraiment que je vais te le dire?
Dernière édition par Sahana le Lun 22 Sep 2014 - 21:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@Sahana tu abordes un sujet tabou.
J'ai parfois tenté d'expliquer à des hommes la détermination des femmes. C'est une réalité qui les tétanise, je crois qu'ils sont incapables de vivre avec, ils pensent que j'exagère.
J'ai aussi tenté d'expliquer ce qu'une femme est capable de faire par amour. Le résultat est presque le même. Imaginer que derrière le regard azur de la jouvencelle se dissimule une volonté aussi forte les renvoient à leur faiblesse, je ne sais pas, ils ne supportent pas.
LA Femme décrite dans ce forum, je ne l'ai jamais vu en vraie. La petite chose fragile qui rassure les hommes sur leur force.
Moi, j'ai vu des femmes choisir la folie pour justifier leur fureur de femme bafouée, il y a une volonté de destruction quand se mêle l'amour et le renoncement.
Il n'y a que les idiotes pour croire à l'évanescence de la condition féminine.
Mais honnêtement, ceux pour qui cette idée est intolérable, ce sont les hommes.
Essayer de visionner le film Les Dames du Bois de Boulogne, et vous saurez ce que signifie la vengeance féminine.
Si on nous abreuve de girlies "Hello Kitty", le système limbique n'a pas du trop changer depuis 1945.
J'ai parfois tenté d'expliquer à des hommes la détermination des femmes. C'est une réalité qui les tétanise, je crois qu'ils sont incapables de vivre avec, ils pensent que j'exagère.
J'ai aussi tenté d'expliquer ce qu'une femme est capable de faire par amour. Le résultat est presque le même. Imaginer que derrière le regard azur de la jouvencelle se dissimule une volonté aussi forte les renvoient à leur faiblesse, je ne sais pas, ils ne supportent pas.
LA Femme décrite dans ce forum, je ne l'ai jamais vu en vraie. La petite chose fragile qui rassure les hommes sur leur force.
Moi, j'ai vu des femmes choisir la folie pour justifier leur fureur de femme bafouée, il y a une volonté de destruction quand se mêle l'amour et le renoncement.
Il n'y a que les idiotes pour croire à l'évanescence de la condition féminine.
Mais honnêtement, ceux pour qui cette idée est intolérable, ce sont les hommes.
Essayer de visionner le film Les Dames du Bois de Boulogne, et vous saurez ce que signifie la vengeance féminine.
Si on nous abreuve de girlies "Hello Kitty", le système limbique n'a pas du trop changer depuis 1945.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Facile d'amadouer un juge, va pleurer un peu. (quoiqu'au final, quand on y pense, quel manque de fierté, que d'obtenir ce qu'on veut en larmoyant).
La société les infantilise.
C'est un peu comme sur ZC, quoi.
Ah oui, et corollaire pourtant très évident, vu qu'ici, sur ce fil je veux dire) paraît-il , on peut dire tout ce qu'on veut :
ZC me soûle, grave, me sort par les yeux.
Déjà, je suis en train de m'auto-citer, tu vois un peu le délire.
Comme y'en a quelques uns qui disent des choses sensées, j'en avais presque oublié qu'on avait pas le droit de dire ce qu'on pensait, pour pas froisser les Autres (j'avais bien aimé ta métaphore sur Lost à ton arrivée, tiens.)
Bon allez c'est pas grave, ça ira mieux demain, comme dit je sais plus qui.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- pour ne pas déranger numéro dans sa réflexion:
- Mon numéro d'amour a écrit:J'ai parfois tenté d'expliquer à des hommes la détermination des femmes. C'est une réalité qui les tétanise, je crois qu'ils sont incapables de vivre avec, ils pensent que j'exagère.
"J'aime l'odeur de la testostérone au petit matin"
"Tu vois ce mec là, je le veux, je l'aurais. Va jouer aux billes petite!"
Le mâle alpha ne flanche pas, même les radars en éveil, il sait dès que la détermination est à son summum.
Il reste droit dans ses pompes, il l'a vu dans ses yeux.
Il a su qu'elle ferait TOUT pour le garder.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:J'ai parfois tenté d'expliquer à des hommes la détermination des femmes. C'est une réalité qui les tétanise, je crois qu'ils sont incapables de vivre avec, ils pensent que j'exagère
Non mais, c'est une réalité, merde!
pourquoi c'est tabou? Pour qui les hommes? J'espère quand même que c'est pas général (non, non je suis sûre que non, j'en connais)
M'enfin, la larmoyance, c'est une arme comme une autre, mais c'est aussi un manque de dignité.
Sérieux, y'a de quoi être fière, tu crois, d'obtenir un truc en se faisant passer pour une pauvre victime? (je parle pas des vraies victimes, pas besoin de me tomber dessus, les Autres).
Tiens, je viens de comprendre le mécanisme de "manipulation" du féminisme, du coup.
Dernière édition par Sahana le Lun 22 Sep 2014 - 22:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sahana, sujet tabou ne signifie que ça froisse les Autres (c'est qui eux ?).
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je sais pas, tous ceux qui ne sont pas moi..
je déconne, faut lire le premier post de N6
je crois pas avoir dit ça
je déconne, faut lire le premier post de N6
Sahana, sujet tabou ne signifie que ça froisse les Autres
je crois pas avoir dit ça
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je l'ai lu. Je t'ai lu.
Et je m'interroge pourquoi ça :
Tu sembles avoir beaucoup de colère en toi. Il nous manque des éléments pour tout piger.
Mais perso ça ne me froise pas ce que tu écris.
Et je m'interroge pourquoi ça :
comme y'en a quelques uns qui disent des choses sensées, j'en avais presque oublié qu'on avait pas le droit de dire ce qu'on pensait, pour pas froisser les Autres
Tu sembles avoir beaucoup de colère en toi. Il nous manque des éléments pour tout piger.
Mais perso ça ne me froise pas ce que tu écris.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben non, Jordan, Sahana nous explique tranquillement qu'elle vient d'assister à un spectacle IRl qui l'a écœuré, et qu'une personne qui lui était chère s'est faite dépouiller par une autre qui a su jouer à fond son rôle de victime, contre toute évidence logique.
J'ai bon ?
J'ai bon ?
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La Justice défend les faibles contre les forts.
Et dans notre société la revendication victimaire est devenu une véritable religion, un art de vivre. Les plus talentueux sauront se montrer les plus victimes.
Or, il faut bien l'avouer, les femmes ont des siècles d'entrainement, c'était leur arme face à la force physique et à la possession patrimoniale.
Dans notre société victimaire, elles ont trois métros d'avance.
Quand je veux me défendre d'une femme qui me jette sa souffrance au visage, j'ai appris à neutraliser toute fierté masculine, toute tentative de stature mâle, je me roule en boule et je fais le geste de me protéger le visage en la regardant d'un air terrifié, je lui demande pourquoi elle m'agresse ainsi, je lui demande de s'arrêter, je la regarde comme si elle comptait me crever les yeux, je réussis parfois à pleurer quand je suis en forme.
Les filles ont des siècles d'entrainement, mais moi je suis un surdoué.
Et dans notre société la revendication victimaire est devenu une véritable religion, un art de vivre. Les plus talentueux sauront se montrer les plus victimes.
Or, il faut bien l'avouer, les femmes ont des siècles d'entrainement, c'était leur arme face à la force physique et à la possession patrimoniale.
Dans notre société victimaire, elles ont trois métros d'avance.
Quand je veux me défendre d'une femme qui me jette sa souffrance au visage, j'ai appris à neutraliser toute fierté masculine, toute tentative de stature mâle, je me roule en boule et je fais le geste de me protéger le visage en la regardant d'un air terrifié, je lui demande pourquoi elle m'agresse ainsi, je lui demande de s'arrêter, je la regarde comme si elle comptait me crever les yeux, je réussis parfois à pleurer quand je suis en forme.
Les filles ont des siècles d'entrainement, mais moi je suis un surdoué.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Parce que dans la vraie vie, il faut quand même pas déconner, je ne suis pas aussi stupide que Numero6.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Qui a dit "c'est impossible d'être plus stupide que Numero6" ?
Attention, j'vous ais à l’œil.
Attention, j'vous ais à l’œil.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un jour MEPUB avait crée un fil "Les vestiaires de ZC", il attribuait les postes sur un terrain de foot imaginaire, s'amusant à chercher une corrélation entre les personnalités des membres du forum et les qualités requises aux différents postes.
Les filles faisaient les infirmières et les Pom-Pom Girls. Je crois me souvenir que les vestiaires furent l'objet de quelques salacités.
Malgré tout, ce fil restait ouvert, donc mixte.
Donc, malgré la participation essentiellement masculine, le langage était resté correct.
Pour les personnes que j'ai pu choqué, je voudrais juste expliquer une chose : les hommes ont aussi leur univers. Et cet univers ne sera jamais révélé aux femmes.
Il existe un clivage total entre les hommes et les femmes dés que le niveau de violence verbale dépasse un certain niveau. Ce qui peut paraitre insoutenable à une femme sera perçu comme une bonne plaisanterie par un homme.
Ce qu'une femme peut percevoir comme violent et misogyne est bien perçu par les hommes, ils comprennent facilement qu'il ne s'agit que de rodomontades pour masquer la pudeur des sentiments. Remarquez, c'est aussi un bon révélateur, la plupart des hommes adaptent leur langage en présence des femmes, c'est ce que j'appelle la zone mixte.
Sur mon fil c'est comme si tu étais caché dans les vestiaires d'un club de Rugby. Si un rugbyman a envie d'exprimer le trouble qu'une femme lui inspire, il ne peut pas dire "rien que l'odeur de son parfum me donne envie de lui consacrer ma vie et mes espoirs", parce que, entre hommes, ça, c'est très vulgaire, c'est très impudique, ça met tous les autres mal à l'aise. Pour partager ses sentiments, il doit parler comme ça : "putain le cul qu'elle a celle-là, je m'en ferais bien un anneau à paf", et là tout le monde comprend qu'il a vachement envie de la fille, et tout le monde se réjouit pour lui, on l'accompagne "ouais, t'as raison, elle a l'air bonne la salope".
Les filles faisaient les infirmières et les Pom-Pom Girls. Je crois me souvenir que les vestiaires furent l'objet de quelques salacités.
Malgré tout, ce fil restait ouvert, donc mixte.
Donc, malgré la participation essentiellement masculine, le langage était resté correct.
Pour les personnes que j'ai pu choqué, je voudrais juste expliquer une chose : les hommes ont aussi leur univers. Et cet univers ne sera jamais révélé aux femmes.
Il existe un clivage total entre les hommes et les femmes dés que le niveau de violence verbale dépasse un certain niveau. Ce qui peut paraitre insoutenable à une femme sera perçu comme une bonne plaisanterie par un homme.
Ce qu'une femme peut percevoir comme violent et misogyne est bien perçu par les hommes, ils comprennent facilement qu'il ne s'agit que de rodomontades pour masquer la pudeur des sentiments. Remarquez, c'est aussi un bon révélateur, la plupart des hommes adaptent leur langage en présence des femmes, c'est ce que j'appelle la zone mixte.
Sur mon fil c'est comme si tu étais caché dans les vestiaires d'un club de Rugby. Si un rugbyman a envie d'exprimer le trouble qu'une femme lui inspire, il ne peut pas dire "rien que l'odeur de son parfum me donne envie de lui consacrer ma vie et mes espoirs", parce que, entre hommes, ça, c'est très vulgaire, c'est très impudique, ça met tous les autres mal à l'aise. Pour partager ses sentiments, il doit parler comme ça : "putain le cul qu'elle a celle-là, je m'en ferais bien un anneau à paf", et là tout le monde comprend qu'il a vachement envie de la fille, et tout le monde se réjouit pour lui, on l'accompagne "ouais, t'as raison, elle a l'air bonne la salope".
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Avec les hommes - zone mixte - Avec les femmes
Traduction du langage masculin en fonction de la zone où il est prononcé.
rien que l'odeur de son parfum me donne envie de lui consacrer ma vie et mes espoirs
Avec les hommes : Tiens, je ne savais pas qu'il avait viré Tarlouze, faich' ce con. Tu veux pas me sucer la bite au lieu de dire des conneries ma gentille femelle ? Oh, regarde, j'ai fait tomber mon savon, tu veux pas me le ramasser ma gazelle des bois ?
Zone mixte : l'enculé, il est prêt à tout pour niquer
Avec les femmes : bon timing, bon tempo, joli coup gamin. Apprend-moi par pitié, comment tu fais ?
putain le cul qu'elle a celle-là, je m'en ferais bien un anneau à paf
Avec les hommes : ouais, t'as raison, elle a l'air bonne la salope
Zone mixte : t'es con ou bourré ?
Avec les femmes : T'es décidément le dernier des connards. On ne parle comme ça à une femme, tu nous fais honte, casse-toi.
Traduction du langage masculin en fonction de la zone où il est prononcé.
rien que l'odeur de son parfum me donne envie de lui consacrer ma vie et mes espoirs
Avec les hommes : Tiens, je ne savais pas qu'il avait viré Tarlouze, faich' ce con. Tu veux pas me sucer la bite au lieu de dire des conneries ma gentille femelle ? Oh, regarde, j'ai fait tomber mon savon, tu veux pas me le ramasser ma gazelle des bois ?
Zone mixte : l'enculé, il est prêt à tout pour niquer
Avec les femmes : bon timing, bon tempo, joli coup gamin. Apprend-moi par pitié, comment tu fais ?
putain le cul qu'elle a celle-là, je m'en ferais bien un anneau à paf
Avec les hommes : ouais, t'as raison, elle a l'air bonne la salope
Zone mixte : t'es con ou bourré ?
Avec les femmes : T'es décidément le dernier des connards. On ne parle comme ça à une femme, tu nous fais honte, casse-toi.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Il ne me parait pas possible qu'une femme puisse dépasser la violence apparente du post précédent. Il y a un blocage, une protection automatique, une défense immédiate.
Les hommes que je connais, il y a de fortes chances qu'ils se fendent la poire.
Les hommes que je connais, il y a de fortes chances qu'ils se fendent la poire.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu me casses les couilles
Tout ça pour dire quoi ?
Qu'une femme qui croie viriliser son langage en utilisant l'expression "tu me casses les couilles" sera toujours à coté de la plaque.
1. Parce que cette expression, c'est du langage gentillet de zone mixte. Pour un homme, c'est à peine vulgaire, un tout petit peu, mais très peu. L'impact escompté est faible.
2. En utilisant ce langage, la dame renonce à sa protection, elle autorise les hommes à aller plus loin dans la violence verbale. Et vous n'avez pas idée de notre capacité dans ce domaine.
3. En croyant se montrer aussi destroy que les mecs, elle ne fait que sourire les intéressés, tout ce qu'ils voient c'est une femme qui accepte de jouer leur jeu, et sur le terrain de la violence verbale ou non verbale, ils sont certains d'avoir le dessus.
4. Quand la jouvencelle se prend la violence masculine comme un TGV dans la tronche, elle ne comprend pas qu'elle vient d'ouvrir la boite de Pandore.
5. En matière d'intelligence, je prononce le match nul entre homme et femme, et encore j'aurais tendance à faire pencher la balance du coté féminin. Mais en matière de violence, vous n'imaginez pas le stock d'armes de destruction massive que nous avons en stock.
Simplement, on est des gentlemen, alors vous ne le savez pas.
Tout ça pour dire quoi ?
Qu'une femme qui croie viriliser son langage en utilisant l'expression "tu me casses les couilles" sera toujours à coté de la plaque.
1. Parce que cette expression, c'est du langage gentillet de zone mixte. Pour un homme, c'est à peine vulgaire, un tout petit peu, mais très peu. L'impact escompté est faible.
2. En utilisant ce langage, la dame renonce à sa protection, elle autorise les hommes à aller plus loin dans la violence verbale. Et vous n'avez pas idée de notre capacité dans ce domaine.
3. En croyant se montrer aussi destroy que les mecs, elle ne fait que sourire les intéressés, tout ce qu'ils voient c'est une femme qui accepte de jouer leur jeu, et sur le terrain de la violence verbale ou non verbale, ils sont certains d'avoir le dessus.
4. Quand la jouvencelle se prend la violence masculine comme un TGV dans la tronche, elle ne comprend pas qu'elle vient d'ouvrir la boite de Pandore.
5. En matière d'intelligence, je prononce le match nul entre homme et femme, et encore j'aurais tendance à faire pencher la balance du coté féminin. Mais en matière de violence, vous n'imaginez pas le stock d'armes de destruction massive que nous avons en stock.
Simplement, on est des gentlemen, alors vous ne le savez pas.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le Ballet des Masques
Personæ, masque social, apparence privé/boulot, l'image que nous présentons n'est pas le reflet exact de notre intérieur ou de ce que nous croyons être notre intérieur, d'ailleurs si difficile à définir.
Jordan Sulli aurait un peu tendance (pas taper, j'ai dit un peu) à considérer que l'attraction qu'elle peut inspirer se devrait d'être indépendante de son apparence. Je sais que dit comme ça, la proposition est étrange, mais elle reflète néanmoins l'opinion de pas mal de personnes. Je veux qu'on m'aime pour moi.
Si je voulais me montrer provocateur, je dirais : définissez MOI.
Si on pousse la logique jusqu'au bout, cela voudrait dire que l'apparence vestimentaire est le reflet exact du moi. Les vêtements que je porte sont le reflet de ce que je suis. Les produits standardisés qui m'enveloppent sont synonymes de moi.
Là, déjà, je commence à coincer. Comment quelques vêtements peuvent-ils se prétendre un reflet correct d'une personnalité dans toute sa complexité ?
Je vois trois femmes qui portent le même uniforme : Jean-Converse-T-shirt. Les trois femmes ont donc la même personnalité à quelques détails près ? Pourquoi irais-je entamer une relation avec l'une plus qu'une autre ? Les trois sont les mêmes. Je prend donc au hasard l'une des personnalités HZC, H&M, Zarah, Converse.
C'est un total non-sens. L'une est une salope dégénérée, l'autre une chef d'entreprise, l'autre une divorcée en souffrance. Mais, dans la rue, elle porte les mêmes fringues, donc tout ce que l'on peut croire être leur personnalité est une illusion. Mêmes fringues, mêmes personnalités. Am-Stram-Gram.
Oui, je sais, c'est con.
Je suis ENFJ, c'est un costard-cravate qui pousse sur ma peau, INFP une robe de bure.
(Ou alors, les vêtements ne veulent rien dire ? Ben, pourquoi ne pas en mettre qui me flanque la gaule, alors ? Ah non, faut que je bande indépendamment des fringues, pfff, les filles, refaites moi lire le manuel).
Bougez-pas, ça c'est rien, je vous amène au rayon Hard-Narcissisme. Vous pouvez venir, on fait toutes les tailles.
Personæ, masque social, apparence privé/boulot, l'image que nous présentons n'est pas le reflet exact de notre intérieur ou de ce que nous croyons être notre intérieur, d'ailleurs si difficile à définir.
Jordan Sulli aurait un peu tendance (pas taper, j'ai dit un peu) à considérer que l'attraction qu'elle peut inspirer se devrait d'être indépendante de son apparence. Je sais que dit comme ça, la proposition est étrange, mais elle reflète néanmoins l'opinion de pas mal de personnes. Je veux qu'on m'aime pour moi.
Si je voulais me montrer provocateur, je dirais : définissez MOI.
Si on pousse la logique jusqu'au bout, cela voudrait dire que l'apparence vestimentaire est le reflet exact du moi. Les vêtements que je porte sont le reflet de ce que je suis. Les produits standardisés qui m'enveloppent sont synonymes de moi.
Là, déjà, je commence à coincer. Comment quelques vêtements peuvent-ils se prétendre un reflet correct d'une personnalité dans toute sa complexité ?
Je vois trois femmes qui portent le même uniforme : Jean-Converse-T-shirt. Les trois femmes ont donc la même personnalité à quelques détails près ? Pourquoi irais-je entamer une relation avec l'une plus qu'une autre ? Les trois sont les mêmes. Je prend donc au hasard l'une des personnalités HZC, H&M, Zarah, Converse.
C'est un total non-sens. L'une est une salope dégénérée, l'autre une chef d'entreprise, l'autre une divorcée en souffrance. Mais, dans la rue, elle porte les mêmes fringues, donc tout ce que l'on peut croire être leur personnalité est une illusion. Mêmes fringues, mêmes personnalités. Am-Stram-Gram.
Oui, je sais, c'est con.
Je suis ENFJ, c'est un costard-cravate qui pousse sur ma peau, INFP une robe de bure.
(Ou alors, les vêtements ne veulent rien dire ? Ben, pourquoi ne pas en mettre qui me flanque la gaule, alors ? Ah non, faut que je bande indépendamment des fringues, pfff, les filles, refaites moi lire le manuel).
Bougez-pas, ça c'est rien, je vous amène au rayon Hard-Narcissisme. Vous pouvez venir, on fait toutes les tailles.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le narcissisme de l'extrême
Si on peut dire que les vêtements reflètent une personnalité, (j'ai dit reflètent, pas définissent ni résument), cela a toujours existé. N'est-il pas possible que les marchands aient cherché à nous faire passer le message que leur produits sont l'expression de MOI. "Parce que je le vaux bien", "Il a l'auto, il aura la femme", "Bastos, la cigarette du sportif".
A force d'à force, on a fini par accepter cette idée ébouriffante que, par un animisme nouveau, les objets soient investis d'une âme, notre âme, qu'il y a un lien direct entre MOI et l'esprit de l'objet. Que n'importe qui puisse penser que son iPhone reflète quoi que ce soit de ce qu'il est, de son MOI, est tellement incohérent que ça marche.
Ça y est, vous me suivez ? Vous vous croyez encore imperméables aux arguments des publicitaires ? Ils sont infiniment plus malins que vous, et en plus ils bossent, le neuro-marketing étudié sur les IRM est en avance sur les recherches universitaires traditionnelles.
Déjà on commence vraiment à partir dans l'incohérence, mon MOI crée mon apparence, et les objets manufacturés sont animés de ce que je suis. C'est gros, non ? Ben oui, c'est pas gros, c'est énooorrmmeee.
Il fallait passer par là. Il fallait accepter qu'on nous ait fait avaler cette énorme couleuvre, un DeepThroat sans aucune nausée, de toute beauté. Ils ont pris leur temps, mais ils ont crée une nouvelle religion, le Dieu-Objet-Moi, la nouvelle trinité de Procter et Gambler.
Parce que si vous n'avez pas encore perçu cet idée, vous ne pourrez pas comprendre la suite : vous avez sans le vouloir accepter de penser que votre moi puisse se déléguer, se projeter, exister ailleurs.
Mon MOI à moi est assis sur son fauteuil de velours rouge, il tape sur un clavier. Mon MOI, que je ne saurais trop définir, est là, et nulle part ailleurs. Mais c'est différent, je suis un génie.
Vous commencez à comprendre pourquoi je suis absolument convaincu d'être intouchable ? Dans cette pièce, il n'y a que moi. J'ai un écran devant moi. Faites le test, essayez de m'attraper de vos doigts de déesse callipyges. Quoi Venus ? Venus, c'était p'tête pas une déesse, kje sache ?
Tout ce que je vois devant moi, ce sont des symboles, des images, des vidéos, et comme je suis maitre chez moi, je leur accorde la valeur que mon humeur du moment s'amuse à choisir. Même sur Internet, Moi est toujours assis sur son fauteuil cardinalesque.
Et si je vous parlais du concept de Hard-Narcissisme ?
Si on peut dire que les vêtements reflètent une personnalité, (j'ai dit reflètent, pas définissent ni résument), cela a toujours existé. N'est-il pas possible que les marchands aient cherché à nous faire passer le message que leur produits sont l'expression de MOI. "Parce que je le vaux bien", "Il a l'auto, il aura la femme", "Bastos, la cigarette du sportif".
A force d'à force, on a fini par accepter cette idée ébouriffante que, par un animisme nouveau, les objets soient investis d'une âme, notre âme, qu'il y a un lien direct entre MOI et l'esprit de l'objet. Que n'importe qui puisse penser que son iPhone reflète quoi que ce soit de ce qu'il est, de son MOI, est tellement incohérent que ça marche.
Ça y est, vous me suivez ? Vous vous croyez encore imperméables aux arguments des publicitaires ? Ils sont infiniment plus malins que vous, et en plus ils bossent, le neuro-marketing étudié sur les IRM est en avance sur les recherches universitaires traditionnelles.
Déjà on commence vraiment à partir dans l'incohérence, mon MOI crée mon apparence, et les objets manufacturés sont animés de ce que je suis. C'est gros, non ? Ben oui, c'est pas gros, c'est énooorrmmeee.
Il fallait passer par là. Il fallait accepter qu'on nous ait fait avaler cette énorme couleuvre, un DeepThroat sans aucune nausée, de toute beauté. Ils ont pris leur temps, mais ils ont crée une nouvelle religion, le Dieu-Objet-Moi, la nouvelle trinité de Procter et Gambler.
Parce que si vous n'avez pas encore perçu cet idée, vous ne pourrez pas comprendre la suite : vous avez sans le vouloir accepter de penser que votre moi puisse se déléguer, se projeter, exister ailleurs.
Mon MOI à moi est assis sur son fauteuil de velours rouge, il tape sur un clavier. Mon MOI, que je ne saurais trop définir, est là, et nulle part ailleurs. Mais c'est différent, je suis un génie.
Vous commencez à comprendre pourquoi je suis absolument convaincu d'être intouchable ? Dans cette pièce, il n'y a que moi. J'ai un écran devant moi. Faites le test, essayez de m'attraper de vos doigts de déesse callipyges. Quoi Venus ? Venus, c'était p'tête pas une déesse, kje sache ?
Tout ce que je vois devant moi, ce sont des symboles, des images, des vidéos, et comme je suis maitre chez moi, je leur accorde la valeur que mon humeur du moment s'amuse à choisir. Même sur Internet, Moi est toujours assis sur son fauteuil cardinalesque.
Et si je vous parlais du concept de Hard-Narcissisme ?
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les Aventuriers du Miroir
Nos sociétés, surtout dans les petites villes comme Paris, noient les individus dans une masse indistincte, dont on vous fait miroiter l'extraction de la matrice grace à Audi et Apple.
Vous croisez tous les jours une multitude de personnes que vous ne saluez pas, que vous ne connaissez même pas, et vous êtes pour eux ce qu'ils sont pour vous : rien. Vous n'êtes rien. Va donc demander à un Parisien où sont ses vignes.
Nous avons connu l'ère animiste, voici l'ère virtuelle : vous allez chercher votre MOI sur Internet, ne mentez pas, je l'ai fait. Vous construisez un pseudo et un avatar, et vous envoyez votre drone virtuel aller vous chercher et trouver votre MOI. Vous faites rigoler tous les adeptes de l'église vaudou de Libreville, mais ce n'est pas le sujet.
Votre drone fait ses courses dans le supermarché virtuel, il a les bras chargés de plein de petits bouts de votre moi, et la transmutation s'opère : la jonction s'opère entre vous et votre drone. C'était plus visuel dans Matrix, mais je fais avec mon clavier, c'est pas Hollywood ici.
Il y avait une connexion entre vos fringues et votre MOI, mais ça ne vous suffisait pas, alors vous avez inventé votre MOI en le construisant dans Second Life. Et le drame se révèle lorsque qu'une atteinte de votre avatar vous fait souffrir. Comme dans Matrix. Ce qui se passe dans ce monde virtuel vous fait saigner du nez.
Changez d'avatar, les sollicitations se modifient, modifiez votre pseudo, les autres drones s'interrogent, si vous en êtes capables modifier votre style d'écriture et on vous croira autre. Vous avez opéré une fusion mystique entre votre avatar et vous. Les membres de l'église baptiste de la 7° chance sont morts de rire quand vous les traitez de fous.
Maintenant que vous avez défini votre MOI grâce à votre moi virtuel, vous n'aurez plus qu'une mission sacrée, absolue : protéger votre drone comme votre âme.
Réfléchir ? Echanger ? Débattre ? NNAAAANNNN, avant tout protéger votre identité, votre avatar.
Ce qui vous désarçonne le plus c'est que certain osent vous regarder d'un oeil bizarre, les plus primaires osent penser que ce n'est qu'un putain de forum sur internet, rien de plus.
Quand certains adeptes de la secte du MOI virtuel viennent s'agenouiller devant mon drone fictif, en supposant une blessure narcissique fatale, MOI, assis sur ma chaise, je me gratte les couilles d'un main interrogative, je m'allume une clope, et je vais pisser pour avoir le temps de comprendre le sens caché de cette excuse.
Alors bon, je suis pour la paix des peuples et surtout la mienne, les croyances vous savez ce que c'est...
Je ne vais pas quand même vous dire que vous êtes de grands malades, la classe avant tout. When in Rome... Je vais même pour me faire adopter simuler une blessure. Chimène, toi la cruelle, comment as-tu osé ?
Nos sociétés, surtout dans les petites villes comme Paris, noient les individus dans une masse indistincte, dont on vous fait miroiter l'extraction de la matrice grace à Audi et Apple.
Vous croisez tous les jours une multitude de personnes que vous ne saluez pas, que vous ne connaissez même pas, et vous êtes pour eux ce qu'ils sont pour vous : rien. Vous n'êtes rien. Va donc demander à un Parisien où sont ses vignes.
Nous avons connu l'ère animiste, voici l'ère virtuelle : vous allez chercher votre MOI sur Internet, ne mentez pas, je l'ai fait. Vous construisez un pseudo et un avatar, et vous envoyez votre drone virtuel aller vous chercher et trouver votre MOI. Vous faites rigoler tous les adeptes de l'église vaudou de Libreville, mais ce n'est pas le sujet.
Votre drone fait ses courses dans le supermarché virtuel, il a les bras chargés de plein de petits bouts de votre moi, et la transmutation s'opère : la jonction s'opère entre vous et votre drone. C'était plus visuel dans Matrix, mais je fais avec mon clavier, c'est pas Hollywood ici.
Il y avait une connexion entre vos fringues et votre MOI, mais ça ne vous suffisait pas, alors vous avez inventé votre MOI en le construisant dans Second Life. Et le drame se révèle lorsque qu'une atteinte de votre avatar vous fait souffrir. Comme dans Matrix. Ce qui se passe dans ce monde virtuel vous fait saigner du nez.
Changez d'avatar, les sollicitations se modifient, modifiez votre pseudo, les autres drones s'interrogent, si vous en êtes capables modifier votre style d'écriture et on vous croira autre. Vous avez opéré une fusion mystique entre votre avatar et vous. Les membres de l'église baptiste de la 7° chance sont morts de rire quand vous les traitez de fous.
Maintenant que vous avez défini votre MOI grâce à votre moi virtuel, vous n'aurez plus qu'une mission sacrée, absolue : protéger votre drone comme votre âme.
Réfléchir ? Echanger ? Débattre ? NNAAAANNNN, avant tout protéger votre identité, votre avatar.
Ce qui vous désarçonne le plus c'est que certain osent vous regarder d'un oeil bizarre, les plus primaires osent penser que ce n'est qu'un putain de forum sur internet, rien de plus.
Quand certains adeptes de la secte du MOI virtuel viennent s'agenouiller devant mon drone fictif, en supposant une blessure narcissique fatale, MOI, assis sur ma chaise, je me gratte les couilles d'un main interrogative, je m'allume une clope, et je vais pisser pour avoir le temps de comprendre le sens caché de cette excuse.
Alors bon, je suis pour la paix des peuples et surtout la mienne, les croyances vous savez ce que c'est...
Je ne vais pas quand même vous dire que vous êtes de grands malades, la classe avant tout. When in Rome... Je vais même pour me faire adopter simuler une blessure. Chimène, toi la cruelle, comment as-tu osé ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 est un génie
D'une seule phrase issue de son cerveau paramétrique et génialement apoplectique, il peut développer de multiples idées. Alors je ne vais pas me gêner.
Changez d'avatar, les sollicitations se modifient, modifiez votre pseudo, les autres drones s'interrogent, si vous en êtes capables modifier votre style d'écriture et on vous croira autre.
Vous avez la preuve sous les yeux que votre MOI sur Internet n'est rien. Fata et ses superbes filles l'avaient bien compris.
Numero6 n'est pas un génie, c'est le génie absolu. Néanmoins le créateur avait gardé quelques réserves qu'il a distribué au Chacal et à Kissounet, ces deux génies, donc des hommes, vous mettent sous les yeux cette folie virtuelle depuis des années. Ils tentent de vous amener à la raison, et accessoirement satisfont leur narcissisme défaillant, ce n'est jamais agréable d'arriver deuxième ou troisième malgré tant d'efforts.
Le premier envoie des légions de drones. Il assassine son identité virtuelle en la démultipliant à l'infini. Il vous hurle aux oreilles, mais sa voix se perd dans l'écho du vide immense : je cherche encore quelqu'un qui voudrait bien réfléchir avec moi ce soir un quart d'heure. Macache bonno comme disaient les colons de la ville blanche. Le drone des oresses est en quête. Le Maure se morfond. Il est l'aures, monseignaures. Chacal comprend mes vannes, lui.
L'autre, le tout petit qui prétend m'arriver au genou, a élaboré un drone féminin qu'il charge de délivrer régulièrement sa mélancolie sirupeuse de looser parisien. La démonstration est encore plus fabuleuse, il vous met sous les yeux la preuve que vous ne lisez pas. L'exercice de style est époustouflant. Il est impossible de lire ses textes et croire une seule seconde qu'une femme a pu les écrire.
Il vous prouve de manière étincelante que vous ne cherchez dans ses textes que le reflet de votre avatar.
Moi, j'ai choisi de mutiler mon numéro à longueur de pages, je le traite de connard, je lui fous des beignes, je l'humilie, je lui dénie tout ego. Regardez les filles, c'est du virtuel, on s'en fout. Moi, je continue toujours à me gratter les couilles sans aucune difficulté, même si ça me prend du temps en raison de l'énorme truc qui gène au milieu. (je ne savais pas quoi mettre en gras pour borner le texte, je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée).
Mais c'est comme vouloir prouver à un chrétien que Dieu n'existe pas, la créature divine pensera que vous niez sa propre existence. J'existe, la preuve, je suis un surdoué sur ZC. Hallucinant.
Lorsque l'homme ne croit pas en Dieu, il ne croit pas à rien, il croit à n'importe quoi.
Vous savez le meilleur, nous savons avoir la liberté absolue de dire ce que l'on veut : vous ne lisez pas. Ou plutôt vous ne lisez que vous.
D'une seule phrase issue de son cerveau paramétrique et génialement apoplectique, il peut développer de multiples idées. Alors je ne vais pas me gêner.
Changez d'avatar, les sollicitations se modifient, modifiez votre pseudo, les autres drones s'interrogent, si vous en êtes capables modifier votre style d'écriture et on vous croira autre.
Vous avez la preuve sous les yeux que votre MOI sur Internet n'est rien. Fata et ses superbes filles l'avaient bien compris.
Numero6 n'est pas un génie, c'est le génie absolu. Néanmoins le créateur avait gardé quelques réserves qu'il a distribué au Chacal et à Kissounet, ces deux génies, donc des hommes, vous mettent sous les yeux cette folie virtuelle depuis des années. Ils tentent de vous amener à la raison, et accessoirement satisfont leur narcissisme défaillant, ce n'est jamais agréable d'arriver deuxième ou troisième malgré tant d'efforts.
Le premier envoie des légions de drones. Il assassine son identité virtuelle en la démultipliant à l'infini. Il vous hurle aux oreilles, mais sa voix se perd dans l'écho du vide immense : je cherche encore quelqu'un qui voudrait bien réfléchir avec moi ce soir un quart d'heure. Macache bonno comme disaient les colons de la ville blanche. Le drone des oresses est en quête. Le Maure se morfond. Il est l'aures, monseignaures. Chacal comprend mes vannes, lui.
L'autre, le tout petit qui prétend m'arriver au genou, a élaboré un drone féminin qu'il charge de délivrer régulièrement sa mélancolie sirupeuse de looser parisien. La démonstration est encore plus fabuleuse, il vous met sous les yeux la preuve que vous ne lisez pas. L'exercice de style est époustouflant. Il est impossible de lire ses textes et croire une seule seconde qu'une femme a pu les écrire.
Il vous prouve de manière étincelante que vous ne cherchez dans ses textes que le reflet de votre avatar.
Moi, j'ai choisi de mutiler mon numéro à longueur de pages, je le traite de connard, je lui fous des beignes, je l'humilie, je lui dénie tout ego. Regardez les filles, c'est du virtuel, on s'en fout. Moi, je continue toujours à me gratter les couilles sans aucune difficulté, même si ça me prend du temps en raison de l'énorme truc qui gène au milieu. (je ne savais pas quoi mettre en gras pour borner le texte, je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée).
Mais c'est comme vouloir prouver à un chrétien que Dieu n'existe pas, la créature divine pensera que vous niez sa propre existence. J'existe, la preuve, je suis un surdoué sur ZC. Hallucinant.
Lorsque l'homme ne croit pas en Dieu, il ne croit pas à rien, il croit à n'importe quoi.
Vous savez le meilleur, nous savons avoir la liberté absolue de dire ce que l'on veut : vous ne lisez pas. Ou plutôt vous ne lisez que vous.
Dernière édition par Numero6 le Mar 23 Sep 2014 - 14:36, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu m'aimes chérie ?
Numero6, une fois comblé son vide narcissique, se tourna sur le bas-flanc et se mit à ronfler comme un goret.
Jordan le secoua tendrement par l'épaule.
- Hmmm, skya ?
- Chérie, tu ne devais pas parler de moi au début ?
- Grmmll, je dors !
- Chérie.
- Kwaaaa ?
- Tu m'aimes ?
- Oh ta gueule, je dors, j'te dis. On en parlera demain.
- Chérie ?
- KKWWWAAA ?
- Tu n'avais pas dit que tu parlerais de ma garde-robe ?
- Merde, dors, j'te dit !
- Nunussisse, allez, dis-moi.
- Ne m'appelle jamais comme ça !!! Putain, ça y est, t'as réussi ton coup, je n'ai plus envie de dormir.
- Et bien, raconte moi alors, elle te plait ma garde-robe ?
- Dedieu Jojo, tu me les brises menu, ça fait des années que tu fais chier ta mère avec tes fringues informes rien que pour l'emmerder. Comme elle n'a pas voulu admirer la fille en toi, t'as décidé que tu lui renverrais sa faute en te punissant toi-même. Bon, ça fait dix ans que ça dure, tu pourrais peut-être passer à autre chose maintenant. C'est de la distorsion cognitive. Voilà, t'es contente, maintenant ? Je vais pas pouvoir dormir du tout.
- Bouhouhouhou, Numero6, t'es un salaud, je l'aime bien moi ma garde-robe.
- Mais taggle, sainte vierge folle.
- Bouhouhou, tu ne m'aimes pas, hein, dis-le que tu m'aimes pas, sois un homme pour une fois, de toute façon, tu ne m'as jamais aimé comme je t'aime. Connard narcissique, égoïste, je te donne les meilleurs années de ma vie, j'élève TES enfants, et c'est comme ça que tu me remercies ?
- Je vais t'étrangler, je t'assure, je vais te tuer, je vais te détruire.
- Bouhouhou, Bouhouhou, Bouhouhou. En fait, tu ne sais pas du tout ce qui s'est passé avec maman, elle me voit comme une vraie femme, elle est d'une autre époque pleine de stéréotypes.
- Putain, mais va t'acheter un porte-jarretelle chez Etam, et on reparlera de ta garde-robe.
- Bouhouhou, je ne suis pas un porte-jarretelle, je suis une femme libre.
Et maintenant, vous comprenez mieux pourquoi Numero6 n'est qu'une boule de haine.
Numero6, une fois comblé son vide narcissique, se tourna sur le bas-flanc et se mit à ronfler comme un goret.
Jordan le secoua tendrement par l'épaule.
- Hmmm, skya ?
- Chérie, tu ne devais pas parler de moi au début ?
- Grmmll, je dors !
- Chérie.
- Kwaaaa ?
- Tu m'aimes ?
- Oh ta gueule, je dors, j'te dis. On en parlera demain.
- Chérie ?
- KKWWWAAA ?
- Tu n'avais pas dit que tu parlerais de ma garde-robe ?
- Merde, dors, j'te dit !
- Nunussisse, allez, dis-moi.
- Ne m'appelle jamais comme ça !!! Putain, ça y est, t'as réussi ton coup, je n'ai plus envie de dormir.
- Et bien, raconte moi alors, elle te plait ma garde-robe ?
- Dedieu Jojo, tu me les brises menu, ça fait des années que tu fais chier ta mère avec tes fringues informes rien que pour l'emmerder. Comme elle n'a pas voulu admirer la fille en toi, t'as décidé que tu lui renverrais sa faute en te punissant toi-même. Bon, ça fait dix ans que ça dure, tu pourrais peut-être passer à autre chose maintenant. C'est de la distorsion cognitive. Voilà, t'es contente, maintenant ? Je vais pas pouvoir dormir du tout.
- Bouhouhouhou, Numero6, t'es un salaud, je l'aime bien moi ma garde-robe.
- Mais taggle, sainte vierge folle.
- Bouhouhou, tu ne m'aimes pas, hein, dis-le que tu m'aimes pas, sois un homme pour une fois, de toute façon, tu ne m'as jamais aimé comme je t'aime. Connard narcissique, égoïste, je te donne les meilleurs années de ma vie, j'élève TES enfants, et c'est comme ça que tu me remercies ?
- Je vais t'étrangler, je t'assure, je vais te tuer, je vais te détruire.
- Bouhouhou, Bouhouhou, Bouhouhou. En fait, tu ne sais pas du tout ce qui s'est passé avec maman, elle me voit comme une vraie femme, elle est d'une autre époque pleine de stéréotypes.
- Putain, mais va t'acheter un porte-jarretelle chez Etam, et on reparlera de ta garde-robe.
- Bouhouhou, je ne suis pas un porte-jarretelle, je suis une femme libre.
Et maintenant, vous comprenez mieux pourquoi Numero6 n'est qu'une boule de haine.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je suis crevé.
Tout ça pour placer mon fétichisme et mon narcissisme dans la même phrase, pfff, je suis crevé moi.
Bon allez, pour le plaisir je vous la refais.
je ne suis pas un porte-jarretelle, je suis une femme libre.
Tout ça pour placer mon fétichisme et mon narcissisme dans la même phrase, pfff, je suis crevé moi.
Bon allez, pour le plaisir je vous la refais.
je ne suis pas un porte-jarretelle, je suis une femme libre.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Note de la modération. Propos effacés en application de la charte. Numero6 est condamné à la publication d'un démenti.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Jordan Sulli
JE T'AIME
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Note de la modération Toulousaine : nous tenons à rappeler néanmoins que Numero6 est un énorme connard, et que son génie est très surfait. Parmi les trois modérateurs présents, deux sont persuadés que leur génie est très supérieur à celui de Numero6. C'es que ça doit être vrai.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES ZÈBRES A DÉVOILÈ LES RÉSULTATS ACCABLANTS DE SON ENQUÊTE. SES CONCLUSIONS SONT ALARMANTES.
- Enquête B26-24 de la FIZZZ:
- LIRE NUMERO6 DONNE LE CANCER DES ZYGOMATIQUES
Dernière édition par Numero6 le Mar 23 Sep 2014 - 14:40, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai trouvé sympa la réflexion au sujet de la zone mixte et de ce "tu me casses les couilles" féminin. Enfin c'est intéressant. Je crois que j'aimerais lire un avis féminin sur le sujet. Celui de patate, tiens, au hasard.
J'voulais pas poster ça pendant que tu dormais. Mais enfin quel flood, une fois réveillé, N6 ! Au sujet de l'emprise moderne de la chose sur l'être (mais j'ajouterais bien un point d'interrogation à "moderne"), Goldman en a fait une chanson, voire deux si je dis pas de conneries. Quant au rapport entre l'être et l'avatar... je sais pas. Je trouve tout ça remâché, ou alors tout bêtement "ça me casse les couilles" (et je dis pas ça pour faire mon coming-out en zone mixte) de lire que tu te les grattes pendant que tout le monde fait là une confusion sauftoi N6. Mais enfin, peut-être bien que cette phrase là :
"Ou plutôt vous ne lisez que vous."
est l'une des plus pertinentes de ce dernier texte et que je suis coupable ici d'un cas d'école de ton propos.
J'voulais pas poster ça pendant que tu dormais. Mais enfin quel flood, une fois réveillé, N6 ! Au sujet de l'emprise moderne de la chose sur l'être (mais j'ajouterais bien un point d'interrogation à "moderne"), Goldman en a fait une chanson, voire deux si je dis pas de conneries. Quant au rapport entre l'être et l'avatar... je sais pas. Je trouve tout ça remâché, ou alors tout bêtement "ça me casse les couilles" (et je dis pas ça pour faire mon coming-out en zone mixte) de lire que tu te les grattes pendant que tout le monde fait là une confusion sauf
"Ou plutôt vous ne lisez que vous."
est l'une des plus pertinentes de ce dernier texte et que je suis coupable ici d'un cas d'école de ton propos.
- Spoiler:
- Puisque je crois encore avoir une image à préserver (ou de la sensibilité à épargner...), j'ajouterais que j'ai l'impression de n'intervenir ici que quand quelque chose me tracasse et de faire mon chieur, mais qu'il ne faut pas t'y tromper, homme libre : j'aime beaucoup te lire.
Fa se répète.
Fa- Messages : 1849
Date d'inscription : 23/06/2012
Age : 45
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Merci Fa, tu es toujours le bienvenu.
Je voudrais en profiter pour signaler un petit truc (et c'est encore parti pour trente pages).
Il existe un blogueur qui ne doit pas être trop bête puisqu'il a su voir mon intelligence.
J'ai remarqué que quand je poste un commentaire élogieux, que je suis la logique de son article, ou que je paraphrase son texte, ou que je l'ornemente de quelques fioritures, il reste indifférent. Poli, mais indifférent.
Mais si je lui montre un autre angle de vue, que je trouve une faiblesse dans sa diatribe, ou que je lui dis une belle grosse connerie, il me remercie alors d'un commentaire en réponse.
Je me demande si je lui ressemble pas un peu dans ce domaine.
Je voudrais en profiter pour signaler un petit truc (et c'est encore parti pour trente pages).
Il existe un blogueur qui ne doit pas être trop bête puisqu'il a su voir mon intelligence.
J'ai remarqué que quand je poste un commentaire élogieux, que je suis la logique de son article, ou que je paraphrase son texte, ou que je l'ornemente de quelques fioritures, il reste indifférent. Poli, mais indifférent.
Mais si je lui montre un autre angle de vue, que je trouve une faiblesse dans sa diatribe, ou que je lui dis une belle grosse connerie, il me remercie alors d'un commentaire en réponse.
Je me demande si je lui ressemble pas un peu dans ce domaine.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Qu'est-ce que je ne donnerais pas pour avoir un autre cerveau !
J'en ai marre de jouer toujours avec le même.
J'en ai marre de jouer toujours avec le même.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Ben non, Jordan, Sahana nous explique tranquillement qu'elle vient d'assister à un spectacle IRl qui l'a écœuré, et qu'une personne qui lui était chère s'est faite dépouiller par une autre qui a su jouer à fond son rôle de victime, contre toute évidence logique.
J'ai bon ?
Ben ouais, t'as bon, à peu de chose près. Tu t'en doutais.
Juste à rajouter que c'est la même chose sur ZC (je te rassure, je viens pas de le découvrir).
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Jordan a écrit:
Tu sembles avoir beaucoup de colère en toi. Il nous manque des éléments pour tout piger.
Mais perso ça ne me froise pas ce que tu écris.
Ah ben non, tu sais ici ; c'est ZC.
Si je commence à me mettre en colère sur ZC, j'ai pas fini.
C'est d'ailleurs toujours pareil que la première fois.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un jour MEPUB avait crée un fil "Les vestiaires de ZC", il attribuait les postes sur un terrain de foot imaginaire, s'amusant à chercher une corrélation entre les personnalités des membres du forum et les qualités requises aux différents postes.
Y'avait une femme dans l'équipe.
Steph.
Et c'est des histoires de cul/amour qui ont foutu l'équipe en l'air.
C'est étonnant et triste comment on veut tous exclusivité du sexe de l'autre. Et si on le partage, on veut garder son amour pour soit.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:L'autre, le tout petit qui prétend m'arriver au genou, a élaboré un drone féminin qu'il charge de délivrer régulièrement sa mélancolie sirupeuse de looser parisien. La démonstration est encore plus fabuleuse, il vous met sous les yeux la preuve que vous ne lisez pas. L'exercice de style est époustouflant. Il est impossible de lire ses textes et croire une seule seconde qu'une femme a pu les écrire.
Il s'est fait passer pour une femme? Y'en a qui l'ont pris pour une femme?
Faut que je relise, moi, j'ai pas lu ça du tout.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Numero6 est un génie
D'une seule phrase issue de son cerveau paramétrique et génialement apoplectique, il peut développer de multiples idées. Alors je ne vais pas me gêner.
Changez d'avatar, les sollicitations se modifient, modifiez votre pseudo, les autres drones s'interrogent, si vous en êtes capables modifier votre style d'écriture et on vous croira autre.
Vous avez la preuve sous les yeux que votre MOI sur Internet n'est rien. Fata et ses superbes filles l'avaient bien compris.
Numero6 n'est pas un génie, c'est le génie absolu. Néanmoins le créateur avait gardé quelques réserves qu'il a distribué au Chacal et à Kissounet, ces deux génies, donc des hommes, vous mettent sous les yeux cette folie virtuelle depuis des années. Ils tentent de vous amener à la raison, et accessoirement satisfont leur narcissisme défaillant, ce n'est jamais agréable d'arriver deuxième ou troisième malgré tant d'efforts.
Le premier envoie des légions de drones. Il assassine son identité virtuelle en la démultipliant à l'infini. Il vous hurle aux oreilles, mais sa voix se perd dans l'écho du vide immense : je cherche encore quelqu'un qui voudrait bien réfléchir avec moi ce soir un quart d'heure. Macache bonno comme disaient les colons de la ville blanche. Le drone des oresses est en quête. Le Maure se morfond. Il est l'aures, monseignaures. Chacal comprend mes vannes, lui.
L'autre, le tout petit qui prétend m'arriver au genou, a élaboré un drone féminin qu'il charge de délivrer régulièrement sa mélancolie sirupeuse de looser parisien. La démonstration est encore plus fabuleuse, il vous met sous les yeux la preuve que vous ne lisez pas. L'exercice de style est époustouflant. Il est impossible de lire ses textes et croire une seule seconde qu'une femme a pu les écrire.
Il vous prouve de manière étincelante que vous ne cherchez dans ses textes que le reflet de votre avatar.
Moi, j'ai choisi de mutiler mon numéro à longueur de pages, je le traite de connard, je lui fous des beignes, je l'humilie, je lui dénie tout ego. Regardez les filles, c'est du virtuel, on s'en fout. Moi, je continue toujours à me gratter les couilles sans aucune difficulté, même si ça me prend du temps en raison de l'énorme truc qui gène au milieu. (je ne savais pas quoi mettre en gras pour borner le texte, je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée).
Mais c'est comme vouloir prouver à un chrétien que Dieu n'existe pas, la créature divine pensera que vous niez sa propre existence. J'existe, la preuve, je suis un surdoué sur ZC. Hallucinant.
Lorsque l'homme ne croit pas en Dieu, il ne croit pas à rien, il croit à n'importe quoi.
Vous savez le meilleur, nous savons avoir la liberté absolue de dire ce que l'on veut : vous ne lisez pas. Ou plutôt vous ne lisez que vous.
Et vous n'êtes pas moi qui n'écris sans doute pas pour moi mais encore moins pour vous.
Et qui n'est plus là depuis longtemps, s'il a jamais avancé un bout de sa patte pour la corrompre des effluves viciant cette boîte,
appendice d'un prétendu charognard qui se bouche la truffe,
mon seul effort imprévu ne fut pas là et à tout autre but et gain que cette perte de temps gratuite qui fit flores et commentaires.
Je dis pas merci ni autre, je ne suis pas tels que vous blogueurs.
(Kiss savait mieux écrire/dire que la nouvelle dope, si ça intéresse leurs thuriféraires,
ciao)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Numero6 n'est pas un génie, c'est le génie absolu. Néanmoins le créateur avait gardé quelques réserves qu'il a distribué au Chacal et à Kissounet, ces deux génies, donc des hommes, vous mettent sous les yeux cette folie virtuelle depuis des années. Ils tentent de vous amener à la raison, et accessoirement satisfont leur narcissisme défaillant, ce n'est jamais agréable d'arriver deuxième ou troisième malgré tant d'efforts.
Le premier envoie des légions de drones. Il assassine son identité virtuelle en la démultipliant à l'infini. Il vous hurle aux oreilles, mais sa voix se perd dans l'écho du vide immense : je cherche encore quelqu'un qui voudrait bien réfléchir avec moi ce soir un quart d'heure. Macache bonno comme disaient les colons de la ville blanche. Le drone des oresses est en quête. Le Maure se morfond. Il est l'aures, monseignaures. Chacal comprend mes vannes, lui.
L'autre, le tout petit qui prétend m'arriver au genou, a élaboré un drone féminin qu'il charge de délivrer régulièrement sa mélancolie sirupeuse de looser parisien. La démonstration est encore plus fabuleuse, il vous met sous les yeux la preuve que vous ne lisez pas. L'exercice de style est époustouflant. Il est impossible de lire ses textes et croire une seule seconde qu'une femme a pu les écrire.
Il vous prouve de manière étincelante que vous ne cherchez dans ses textes que le reflet de votre avatar.
Pas que dans ceux de Kiss, dans ceux de tous ici, tout le monde ne cherche que son reflet.
On ne voit et n'entend que ce qu'on veut entendre, et si l'un d'eux crie trop fort , on se bouche les oreilles, on se cache les yeux, et s'il continue à nous déranger, on appelle papa/maman au secours.
Tu t'es déjà demandé pourquoi les deux dont tu parles ont été bannis? (question rhétorique, tu dois bien le savoir).
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le psy m'a démonté la tête.
Enfin non, je me la suis démonté moi même...
Il m'a filé des médocs à prendre le matin car il a percuté que je picolais le soir.
Malin le bougre.
Et pour le reste, il m'a dit qu'on se reverrai dans 15 jours. Vu qu'il est over-booké, j'me dis que c'est pour mon bien.
La sécu et la mutuelle me remboursent la séance et la dope.
Mais là, j'ai b'soin d'une rince-cochon pour digérer le truc.
Je suis un handicapé de la vie.
J'ai pas envie de me foutre en l'air, je n'en vois pas l'utilité, j'irai dans le sens de l'histoire... Par contre vivre, rester en vie et voir les autres s'agiter dans le néant comme moi je le fais, et me demander pourquoi eux ne le font-ils pas, la question ne me fait pas sourire, mais je la trouve belle.
Pourquoi j'en suis là qu'il m'a demandé.
Mon divorce.
Vous mangez ?
Une fois par jour.
Vous pensez finir votre vie seul ?
Non, et c'est cela qui me déprime, me dire que de toute façon d'autres s’attacheront à moi alors que moi, celles à qui je me suis attaché, elles ne veulent plus de moi.
J'ai remarqué que j'étais bien stressé, je tenais mes mains qui bougeaient toutes seules.
On a parlé un peu de nos actions et de notre 'pseudo liberté' sur elles.
A l'argument j'ai pas demandé à venir au monde, il n'a rien su m'opposer.
Et là, il a acquiescé sur le fait que cet événement était indépendant de moi. Que je ne pouvais que le subir. Et essayer de le subir le moins mal possible.
J'ai donné la vie, enfin j'y ai participé.
Je fais tous ce que je peux pour que mon gamin ne subisse pas sa vie.
Là mes parents ont échoué me concernant.
Et ce n'est pas grave.
Avec mon père on a isolé un mur. Collé du placo.
Et là, j'ai envie de vomir.
J'vais m'ouvrir une bière, continuer de fabriquer mon arbalète et ensuite tirer à l'arc.
@ oui, il m'a demandé ce que j'avais mangé.
J'ai répondu des tripes...
Enfin non, je me la suis démonté moi même...
Il m'a filé des médocs à prendre le matin car il a percuté que je picolais le soir.
Malin le bougre.
Et pour le reste, il m'a dit qu'on se reverrai dans 15 jours. Vu qu'il est over-booké, j'me dis que c'est pour mon bien.
La sécu et la mutuelle me remboursent la séance et la dope.
Mais là, j'ai b'soin d'une rince-cochon pour digérer le truc.
Je suis un handicapé de la vie.
J'ai pas envie de me foutre en l'air, je n'en vois pas l'utilité, j'irai dans le sens de l'histoire... Par contre vivre, rester en vie et voir les autres s'agiter dans le néant comme moi je le fais, et me demander pourquoi eux ne le font-ils pas, la question ne me fait pas sourire, mais je la trouve belle.
Pourquoi j'en suis là qu'il m'a demandé.
Mon divorce.
Vous mangez ?
Une fois par jour.
Vous pensez finir votre vie seul ?
Non, et c'est cela qui me déprime, me dire que de toute façon d'autres s’attacheront à moi alors que moi, celles à qui je me suis attaché, elles ne veulent plus de moi.
J'ai remarqué que j'étais bien stressé, je tenais mes mains qui bougeaient toutes seules.
On a parlé un peu de nos actions et de notre 'pseudo liberté' sur elles.
A l'argument j'ai pas demandé à venir au monde, il n'a rien su m'opposer.
Et là, il a acquiescé sur le fait que cet événement était indépendant de moi. Que je ne pouvais que le subir. Et essayer de le subir le moins mal possible.
J'ai donné la vie, enfin j'y ai participé.
Je fais tous ce que je peux pour que mon gamin ne subisse pas sa vie.
Là mes parents ont échoué me concernant.
Et ce n'est pas grave.
Avec mon père on a isolé un mur. Collé du placo.
Et là, j'ai envie de vomir.
J'vais m'ouvrir une bière, continuer de fabriquer mon arbalète et ensuite tirer à l'arc.
@ oui, il m'a demandé ce que j'avais mangé.
J'ai répondu des tripes...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mepub, Mepub, un bisous ? J'ai pas de mot qui viennent (je mets ent mais "pas" ça veut normalement dire zéro donc singulier, prof ?
Sahana, j'avais mal compris le sens de ta phrase
Heureusement, Numero6 sait lire entre les lignes et a pigé la problématique.
Numero6, je me demande si les bas et les talons c'est bien commode pour sauter dans les flaques d'eau et faire le funambule sur le bord du trottoir.
Ou alors j'en porte les jours où je veux jouer à la femme, la vraie, celle qui remonte discrètement ses bas en pleine rame de métro bondé, en se penchant délicatement pour ne gêner personne derrière.
En une semaine, on m'a dit plusieurs fois que j'étais une femme formidable. Ça m'interpelle ce mot, "formidable".
Est-ce une forme de respect dû à mon âge ? Ou à ma garde robe "cool" qui me donne ce statut indéfinissable.
Peut-être qu'avec des talons d'au moins 8cm, j'aurai droit à un qualificatif plus....féminin. Je médite là dessus.
Sahana, j'avais mal compris le sens de ta phrase
Heureusement, Numero6 sait lire entre les lignes et a pigé la problématique.
Numero6, je me demande si les bas et les talons c'est bien commode pour sauter dans les flaques d'eau et faire le funambule sur le bord du trottoir.
Ou alors j'en porte les jours où je veux jouer à la femme, la vraie, celle qui remonte discrètement ses bas en pleine rame de métro bondé, en se penchant délicatement pour ne gêner personne derrière.
En une semaine, on m'a dit plusieurs fois que j'étais une femme formidable. Ça m'interpelle ce mot, "formidable".
Est-ce une forme de respect dû à mon âge ? Ou à ma garde robe "cool" qui me donne ce statut indéfinissable.
Peut-être qu'avec des talons d'au moins 8cm, j'aurai droit à un qualificatif plus....féminin. Je médite là dessus.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mon frère ce héros.
"Tu n'as pas besoin d'un psy Nico, mais d'un prêtre."
On a une sacrée dose d'ironie dans la famille !!!
"Tu n'as pas besoin d'un psy Nico, mais d'un prêtre."
On a une sacrée dose d'ironie dans la famille !!!
- Les Valseuses:
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sahana a écrit:Tu t'es déjà demandé pourquoi les deux dont tu parles ont été bannis? (question rhétorique, tu dois bien le savoir).
Beaucoup de tristesse dans tes écrits. E tu écris bien. La mélancolie m'a toujours paru plus séduisante que séduisant.
Pour les bans, je devine, mais je ne suis pas qu'un touriste ici, je ne connais quasiment personne "en vrai".
Disons que j'aime l'excès, une démarche forcée, pressée comme un citron. Donc j'apprécie ces deux vassaux.
Je dirais qu'ils ont eu le tort de se proclamer génies, alors qu'il n'y a que moi qui mérite ce terme, mais surtout d'ajouter "vous tous, les autres, vous n'êtes que des merdes". Moi, je m'en fous complètement, mais il est possible que certaines susceptibilités n'aient pas apprécié le message à sa juste valeur.
C'est étrange, je ne sais pas du tout pourquoi je me sens entrainé moi aussi vers la tentation de la mégalomanie virtuelle.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
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