Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Dernière édition par supercalifragilis le Mer 12 Nov 2014 - 23:27, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu ne te laisserais pas tenter par la gérontophilie virtuelle ?
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
D'un autre côté, je me verrais bien virer ma cuti et passer Intuitif/réceptif, il y a surement quelques petits billets à se faire.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
hé sugar daddy tu m'prêtes tes bédés ?
Kass- Messages : 6955
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Kass, viens voir le docteur.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Frigidaire, réfrigérateurs et surdoués.
Étudiant. Paris. Chambre de bonne au 6° étage sans ascenseur dans un quartier pourri, siège du Parti Communiste, c'est vous dire.
Je ramène de sa campagne d'adoption le vieux frigo cédé par ma grand-mère dans ma vieille deudeuche pourrie, je le monte au 6° étage en me coupant les doigts entre les haltes à chaque étage. Fier de moi et de ma capacité à ne demander l'aide de personne, je range la bouffe dans mon nouveau meuble et... rien, pas de bruit, pas de froid. Je laisse le temps à ce vestige du passé de s'acclimater à la capitale, qu'il cale son cylindre dans l'axe verticale, qu'il se remette en état de marche. Et rien.
Je l'ai secoué, j'ai percuté le bocal de réfrigération, j'ai cherché le fil abimé pendant le transport, j'ai tordu tout ce que je pouvais tordre. Et après chaque manœuvre, je plaquais ma main sur le radiateur à l'arrière pour tester la résultat. Et je sentais bien que le radiateur dégageait de la chaleur. Seulement je n'avais jamais touché l'arrière d'un réfrigérateur, je ne savais pas quel était le dégagement thermique attendu.
La vie est dure pour les gueux.
J'ai fini par accepter l'idée que malgré sa mécanique rudimentaire l'engin avait rendu l'âme. Ce n'était peut-être pas pour rien qu'il moisissait dans la grange de ma grand-mère, elle avait du oublier pourquoi il avait fini au rebut.
Quand tu n'as pas de pognon, il vaut mieux avoir des bras. J'ai refait le même parcours avec un autre vieux tromblon qui semblait en état de marche. Six étages à me couper les mains, à empêcher les ouvertures intempestives de la porte. Et là j’attends, je marque une pause, je fais le vide en moi. Frigo, gentil frigo, j'ai manqué de respect à ton prédécesseur, je te laisse te reposer, aligne ton cylindre, fais la paix en toi, sache que je t'aime de toute mon âme, je respecte tes valeurs, soyons amis.
Je ne voulais pas lui montrer que je pouvais douter de lui. J'ai attendu longtemps avant de plaquer ma main sur le radiateur pendant de longues minutes, comme une caresse d'encouragement. C'est le cœur empli de joie que j'ai senti la douce chaleur monter des ailettes. Dans la vie il faut respecter l'âme de tout ce qui nous entoure.
Et pourtant, cette saloperie de chierie de machine ne faisait toujours pas de froid, enfin pas vraiment, enfin si, je sentais un froid timide en ouvrant la porte du frigo. Cette absurdité mécanique se refusait à mes attentions les plus élaborées. Mon âme était maussade, mon quotidien terne, et mes espoirs de survie alimentaire réduits à néant. J'ai lancé à fond mes capacités de déduction entre le radiateur qui chauffait, le frigo qui ne faisait pas de froid, la répétition sur deux engins successifs. Rien.
Étudiant. Paris. Chambre de bonne au 6° étage sans ascenseur dans un quartier pourri, siège du Parti Communiste, c'est vous dire.
Je ramène de sa campagne d'adoption le vieux frigo cédé par ma grand-mère dans ma vieille deudeuche pourrie, je le monte au 6° étage en me coupant les doigts entre les haltes à chaque étage. Fier de moi et de ma capacité à ne demander l'aide de personne, je range la bouffe dans mon nouveau meuble et... rien, pas de bruit, pas de froid. Je laisse le temps à ce vestige du passé de s'acclimater à la capitale, qu'il cale son cylindre dans l'axe verticale, qu'il se remette en état de marche. Et rien.
Je l'ai secoué, j'ai percuté le bocal de réfrigération, j'ai cherché le fil abimé pendant le transport, j'ai tordu tout ce que je pouvais tordre. Et après chaque manœuvre, je plaquais ma main sur le radiateur à l'arrière pour tester la résultat. Et je sentais bien que le radiateur dégageait de la chaleur. Seulement je n'avais jamais touché l'arrière d'un réfrigérateur, je ne savais pas quel était le dégagement thermique attendu.
La vie est dure pour les gueux.
J'ai fini par accepter l'idée que malgré sa mécanique rudimentaire l'engin avait rendu l'âme. Ce n'était peut-être pas pour rien qu'il moisissait dans la grange de ma grand-mère, elle avait du oublier pourquoi il avait fini au rebut.
Quand tu n'as pas de pognon, il vaut mieux avoir des bras. J'ai refait le même parcours avec un autre vieux tromblon qui semblait en état de marche. Six étages à me couper les mains, à empêcher les ouvertures intempestives de la porte. Et là j’attends, je marque une pause, je fais le vide en moi. Frigo, gentil frigo, j'ai manqué de respect à ton prédécesseur, je te laisse te reposer, aligne ton cylindre, fais la paix en toi, sache que je t'aime de toute mon âme, je respecte tes valeurs, soyons amis.
Je ne voulais pas lui montrer que je pouvais douter de lui. J'ai attendu longtemps avant de plaquer ma main sur le radiateur pendant de longues minutes, comme une caresse d'encouragement. C'est le cœur empli de joie que j'ai senti la douce chaleur monter des ailettes. Dans la vie il faut respecter l'âme de tout ce qui nous entoure.
Et pourtant, cette saloperie de chierie de machine ne faisait toujours pas de froid, enfin pas vraiment, enfin si, je sentais un froid timide en ouvrant la porte du frigo. Cette absurdité mécanique se refusait à mes attentions les plus élaborées. Mon âme était maussade, mon quotidien terne, et mes espoirs de survie alimentaire réduits à néant. J'ai lancé à fond mes capacités de déduction entre le radiateur qui chauffait, le frigo qui ne faisait pas de froid, la répétition sur deux engins successifs. Rien.
Dernière édition par Numero6 le Jeu 13 Nov 2014 - 15:16, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
On a beau être con, on a sa dignité.
Un jour, mon idiote de mère est venu remplir mon frigo avec ses petits plats. Je me souviendrais toujours de la rage qu'elle provoquait en moi avec ses phrases connes, j'avais envie de la détruire, et une seule fois dans ma vie j'ai osé lui dire "mais putain, arrête de dire des conneries", j'avais une excuse, j'allais juste me faire opérer. Et là, elle m'a sorti une de ses putains de phrases de merde qui avaient pour seul mérite de m'entrainer au self-contrôle. "T'es sur que t'es pas en 110 ici ?", connasse.
Pour nos plus jeunes lecteurs qui ne savent pas qu'au siècle dernier on utilisait encore des CD, il faut savoir que l'électrification de Paris était basée sur une tension de 110 volts, progressivement remplacée par l'actuel 220 volts. Tous les appareils électriques étaient munis d'un interrupteur 110-220 pour s'adapter au réseau local. Sauf mon frigo. Mes frigos.
Comment voulez-vous que je puisse imaginer qu'un vieux machin sorti d'une grange poussiéreuse ne fonctionne qu'en 220 volts, alors que je vivais dans la capitale, synonyme de modernité. Biais cognitif diront certains. Connard d'abruti dirait Numero6. Parce qu'évidemment, c'est ma mère qui avait raison, cette conne. Des neurones survoltés jusqu'au mysticisme frigidairien face à la routine bovine d'un cerveau sous-dimensionné, battus par K.O. au premier round. L'était content le surdoué.
Comme j'ai horreur qu'on me prenne pour un con, je n'en ai pas le souvenir précis mais je suis prêt à parier que j'ai du balancer un truc du genre "tu penses bien que c'est la première chose que j'ai vérifiée !". On a beau être con, on a sa dignité.
C'est vrai qu'après avoir fait mettre un compteur en 220 volts, le frigo marchait beaucoup mieux, comme un frigo quoi, froid dedans, chaud derrière. Mais pour ma mère, la vérité officielle c'est que son petit génie de fils avait réussi à trouver la panne et à la réparer. C'était très facile mais c'est un peu compliqué pour toi, maman, tu ne comprendrais pas. Je n'ai jamais su si elle m'avait cru à l'époque, temps révolus où ma mère était plus soucieuse de me remplir l'estomac que de me prouver son intelligence.
Un jour, mon idiote de mère est venu remplir mon frigo avec ses petits plats. Je me souviendrais toujours de la rage qu'elle provoquait en moi avec ses phrases connes, j'avais envie de la détruire, et une seule fois dans ma vie j'ai osé lui dire "mais putain, arrête de dire des conneries", j'avais une excuse, j'allais juste me faire opérer. Et là, elle m'a sorti une de ses putains de phrases de merde qui avaient pour seul mérite de m'entrainer au self-contrôle. "T'es sur que t'es pas en 110 ici ?", connasse.
Pour nos plus jeunes lecteurs qui ne savent pas qu'au siècle dernier on utilisait encore des CD, il faut savoir que l'électrification de Paris était basée sur une tension de 110 volts, progressivement remplacée par l'actuel 220 volts. Tous les appareils électriques étaient munis d'un interrupteur 110-220 pour s'adapter au réseau local. Sauf mon frigo. Mes frigos.
Comment voulez-vous que je puisse imaginer qu'un vieux machin sorti d'une grange poussiéreuse ne fonctionne qu'en 220 volts, alors que je vivais dans la capitale, synonyme de modernité. Biais cognitif diront certains. Connard d'abruti dirait Numero6. Parce qu'évidemment, c'est ma mère qui avait raison, cette conne. Des neurones survoltés jusqu'au mysticisme frigidairien face à la routine bovine d'un cerveau sous-dimensionné, battus par K.O. au premier round. L'était content le surdoué.
Comme j'ai horreur qu'on me prenne pour un con, je n'en ai pas le souvenir précis mais je suis prêt à parier que j'ai du balancer un truc du genre "tu penses bien que c'est la première chose que j'ai vérifiée !". On a beau être con, on a sa dignité.
C'est vrai qu'après avoir fait mettre un compteur en 220 volts, le frigo marchait beaucoup mieux, comme un frigo quoi, froid dedans, chaud derrière. Mais pour ma mère, la vérité officielle c'est que son petit génie de fils avait réussi à trouver la panne et à la réparer. C'était très facile mais c'est un peu compliqué pour toi, maman, tu ne comprendrais pas. Je n'ai jamais su si elle m'avait cru à l'époque, temps révolus où ma mère était plus soucieuse de me remplir l'estomac que de me prouver son intelligence.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est bon pour la morale.
Morale n°1 : Faut toujours écouter sa maman.
Morale n°2 : Numero6 a toujours été d'une mauvaise foi totale, ce n'est pas avec l'âge que les choses vont s'arranger.
Morale n°3 : Les surdoués c'est comme les réfrigérateurs, quand ils fonctionnent tu ne perds pas ton temps à te poser des questions métaphysiques, vérifier la marque, les tripoter dans tous les sens, tester leurs composants. Tu les laisses fonctionner comme ils ont envie, et tu n'as qu'une attente c'est d'ouvrir la porte pour voir ce qu'il y a de bon dedans.
Morale n°4 : Numero6 est sénile, il va bientôt nous raconter sa première dent de lait et ses interrogations adolescentes sur le sens de la vie dans un univers où la probabilité de son absence était si forte.
Morale n°5 : Mepub, t'es rien qu'un bâtard.
Morale n°6 : Mon psy dit que les zèbres sont chiants. Nota dit qu'elle n'est pas zèbre. Mon psy a encore raison.
Morale n°7 : Faut pas vieillir.
Morale n°8 : Dans la vie, il vaut mieux avoir du pognon.
Morale n°9 : Quand ça marche, tu ne te poses pas de question.
Morale n°10 : Mepub est un psychopathe volage, c'est lui-même qui me l'a dit (voir Morale n°2).
Morale n°11 : Les surdoués c'est comme les réfrigérateurs, ça ne marche pas en sous-tension.
Morale n°12 : Quand on te dit que c'est trop compliqué, c'est qu'on se fout de ta gueule.
Morale n°13 : Démerdez-vous, je fatigue.
Je ne me souviens plus, je vous ai parlé des changements de bruleurs de ma gazinière ?
Morale n°1 : Faut toujours écouter sa maman.
Morale n°2 : Numero6 a toujours été d'une mauvaise foi totale, ce n'est pas avec l'âge que les choses vont s'arranger.
Morale n°3 : Les surdoués c'est comme les réfrigérateurs, quand ils fonctionnent tu ne perds pas ton temps à te poser des questions métaphysiques, vérifier la marque, les tripoter dans tous les sens, tester leurs composants. Tu les laisses fonctionner comme ils ont envie, et tu n'as qu'une attente c'est d'ouvrir la porte pour voir ce qu'il y a de bon dedans.
Morale n°4 : Numero6 est sénile, il va bientôt nous raconter sa première dent de lait et ses interrogations adolescentes sur le sens de la vie dans un univers où la probabilité de son absence était si forte.
Morale n°5 : Mepub, t'es rien qu'un bâtard.
Morale n°6 : Mon psy dit que les zèbres sont chiants. Nota dit qu'elle n'est pas zèbre. Mon psy a encore raison.
Morale n°7 : Faut pas vieillir.
Morale n°8 : Dans la vie, il vaut mieux avoir du pognon.
Morale n°9 : Quand ça marche, tu ne te poses pas de question.
Morale n°10 : Mepub est un psychopathe volage, c'est lui-même qui me l'a dit (voir Morale n°2).
Morale n°11 : Les surdoués c'est comme les réfrigérateurs, ça ne marche pas en sous-tension.
Morale n°12 : Quand on te dit que c'est trop compliqué, c'est qu'on se fout de ta gueule.
Morale n°13 : Démerdez-vous, je fatigue.
Je ne me souviens plus, je vous ai parlé des changements de bruleurs de ma gazinière ?
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Changement de ligne éditoriale, j'en ai marre qu'on m'aime pour mon intelligence, je veux qu'on m'aime pour mon argent.
Gold Diggers Welcome.
Je vous présente ma première tentative.
ouiiiiiiiii ???
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben pour être honnête, Patate, j'avais un a priori négatif sur les travelos. Faut pas, c'est très bien.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Ben pour être honnête, Patate, j'avais un a priori négatif sur les travelos. Faut pas, c'est très bien.
bin oui, je suis plutôt sympa comme mec !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moaï, Uccen a écrit:T'es un peu lourd, surtout.
Toi TAGGLE
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'aimais bien quand il disait des trucs intelligent l'autre. C'est le même, ou c'est encore un couillon de clone ? Vous lui avez fait quoi ? Arraché les coudes avec les dents ?? (cf France 2).
Dernière édition par stauk le Jeu 13 Nov 2014 - 16:12, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Kass, viens voir le docteur.
naaan j'y crois pas, une consultation à l'oeil... ma vie est formidable.
un jour je vous raconterai le type rencontré sur le net qui m'a offert un cours de chant lyrique.
il arrive des trucs vraiment dingues quand on écrit des conneries sérieusement.
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Stauk a écrit:J'aimais bien quand il disait des trucs intelligent l'autre. C'est le même, ou c'est encore un couillon de clone ? Vous lui avez fait quoi ? Arraché les coudes avec les dents ??
Pouvez pas comprendre, ma fille spirituelle vient de me filer un coup de vieux terrible. J'ai envie de m'assoir au bord du stade pour la regarder courir. C'est moi qui lui ai tout appris, les mecs.
Je ne me suis jamais senti aussi gâteux.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Pouvez pas comprendre, ma fille spirituelle vient de me filer un coup de vieux terrible. J'ai envie de m'assoir au bord du stade pour la regarder courir. C'est moi qui lui ai tout appris, les mecs.Stauk a écrit:J'aimais bien quand il disait des trucs intelligent l'autre. C'est le même, ou c'est encore un couillon de clone ? Vous lui avez fait quoi ? Arraché les coudes avec les dents ??
Je ne me suis jamais senti aussi gâteux.
Juste pour qu'on soit bien synchrone, l'autre, ça désigne l'autre. Pas six. L'autre. Comme dans la célèbre expression française.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Stauk, c'est la première fois que je ne saisis pas le sens d'une de tes phrases. Tu m'expliques ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Stauk, c'est la première fois que je ne saisis pas le sens d'une de tes phrases. Tu m'expliques ?
il cause de ma uccienne, sauf erreur...
pis arrête avec tes histoires de "je me sens gâteux" sinon je débarque et je te botte la miche
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est parce-que tu progresses !Numero6 a écrit:Stauk, c'est la première fois que je ne saisis pas le sens d'une de tes phrases.
Ben non. Du coup. Peut être un autre le fera à ma place. Ca serait drôle.Numero6 a écrit:Tu m'expliques ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Un autre c'est indéfini,
j'aime pas ça.
J'aime que Moi.
j'aime pas ça.
J'aime que Moi.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bonjour Madame Patate, votre mission si vous l'acceptez consistera à démasquer un imposteur. Vous serez chargé de torturer le chacal jusqu'à la reddition final, notre département juridique a besoin d'aveux signés. Tant qu'il n'aura pas avoué qu'il se travestit en lycéenne, nous vous demandons de la lui jouer façon Guantánamo, et créative si possible.
Parce que je ne vois pas qui d'autre que lui sur ce site aurait pu écrire un texte aussi sublime, même Kissounnet en serait bien incapable.
Ou alors je viens d'échanger des MP avec le futur successeur de Modiano.
Si vous étiez capturée ou tuée, le département d'état niera avoir eu connaissance de vos agissement.
Ce document ne s'effacera pas tout seul dans les cinq minutes, parce que j'ai autre chose à foutre.
Parce que je ne vois pas qui d'autre que lui sur ce site aurait pu écrire un texte aussi sublime, même Kissounnet en serait bien incapable.
Ou alors je viens d'échanger des MP avec le futur successeur de Modiano.
Si vous étiez capturée ou tuée, le département d'état niera avoir eu connaissance de vos agissement.
Ce document ne s'effacera pas tout seul dans les cinq minutes, parce que j'ai autre chose à foutre.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moaï, Uccen a écrit:J'aime que Moi.
Finalement tu as bon gout chacal, moi aussi je n'aime que Moi.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moi je suis un connard : j'aime tout le monde.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
stauk a écrit:Moi je suis un connard : j'aime tout le monde.
dire qu'on aime tout le monde ou que soi, revient à la même chose.
débile ce truc ...
je suis débile
Numéro 6 : comment veux-tu, comment veux-tu que je ... ? ma ucienne est une vierge, alors peut-être que oui ou peut-être que non mais ceci ne me regarde !
mais ok pour la torture, j'ai des appétences pour cela
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
On m'a même parlé de con-pétence, mais ce n'était que de mauvaises langues.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:On m'a même parlé de con-pétence, mais ce n'était que de mauvaises langues.
oublie les mauvaises langues...
et pour que tu ne t'effarouches
vois je ne prends que ta bouche
avec la petite intro télévisuelle qui va bien
- lyrics:
- Ecoute ma voix écoute ma prière
Ecoute mon cœur qui bat laisse-toi faire
Je t'en prie ne sois pas farouche
Quand me vient l'eau à la bouche
Je te veux confiante je te sens captive
Je te veux docile je te sens craintive
Je t'en prie ne sois pas farouche
Quand me vient l'eau à la bouche
Laisse toi au gré du courant
Porter dans le lit du torrent
Et dans le mien
Si tu veux bien
Quittons la rive
Partons à la dérive
Je te prendrai doucement et sans contrainte
De quoi as-tu peur allons n'aie nulle crainte
Je t'en prie ne sois pas farouche
Quand me vient l'eau à la bouche
Cette nuit près de moi tu viendras t'étendre
Oui je serai calme je saurai t'attendre
Et pour que tu ne t'effarouches
Vois je ne prend que ta bouche
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Annie et ses sucettes va être jalouse.
C'était quand même un gros dégueulasse le gainsbarre.
C'était quand même un gros dégueulasse le gainsbarre.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'était un homme. Enfin maintenant il est mort.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Vous voyez le sale partout mais putain c'est pas possible !!
C'est la nature
C'est la nature
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Toutes les femmes jouent aussi mal qu'elle, c'est ça qu'elle essaye de nous transmettre ?Patate a écrit:Vous voyez le sale partout mais putain c'est pas possible !!
C'est la nature
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, sa mère était nulle aussi.
"Et pour que tu ne t'effarouches
Vois je ne prend que ta bouche"
Patate, c'est moi où c'est une illustration du fameux proverbe :
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
"Et pour que tu ne t'effarouches
Vois je ne prend que ta bouche"
Patate, c'est moi où c'est une illustration du fameux proverbe :
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
je suis pas sure que ce soit dans la bonne chronologie
Pis vous aimez pas les Lafont alors je vous dit MERDE !
Coincés DTDC
sodomie du soir, repos des mâchoires."
je suis pas sure que ce soit dans la bonne chronologie
Pis vous aimez pas les Lafont alors je vous dit MERDE !
Coincés DTDC
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ah ben merde, elle est tombée de haut
http://www.parismatch.com/People/Cinema/Novembre-1988-Pauline-Lafont-l-espoir-perdu-de-Bernadette-133184
Y a Bacri dans ce film dis donc.
http://www.vodkaster.com/extraits/ete-en-pente-douce-j-ai-mieux-a-t-offrir/101007
http://www.parismatch.com/People/Cinema/Novembre-1988-Pauline-Lafont-l-espoir-perdu-de-Bernadette-133184
Y a Bacri dans ce film dis donc.
http://www.vodkaster.com/extraits/ete-en-pente-douce-j-ai-mieux-a-t-offrir/101007
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, non, elle n'était jamais monté.
Comédiennes de tempérament, je me gausse. Tellement horripilante de nullité que son corps parfait, tu ne le vois même pas.
Donc, si elle n'avait aucun talent, pourquoi devait-on se coltiner ses minauderies ? Je préfère croire qu'elle a sucé du producteur, du metteur en scène, de l'éclairagiste (je parle de la mère bien sur), plutôt que de penser qu'il n'y avait pas mieux comme actrice.
J'aurais bien une autre explication qui m'amuserait plus. Dans Rencontre du 3° type, François Truffaut jouait tellement mal que Spielberg a du réduire sa présence à l'écran. Le même Truffaut qui nous a imposé Jean-Pierre Léaud dans de nombreux films, alors que ce type est le plus mauvais comédien du 20° siècle, et qu'il n'a jamais rien fait d'autre.
Pourrait-on imaginer qu'il s'agisse d'un déficit, genre l'opposé de l'oreille absolue, les 2% de l'autre coté de la courbe de Gauss ? Parce que même bien sucé, le Truffaut avait le goût de sa propre gloire, ce gros narcissique. Comment a-t-il pu privilégier la carrière de Léaud et Laffont ?
Quand je pense que tous les abrutis embrigadés par les Cahiers du Cinéma se sont tapés ces films de merde que tout le monde a oubliés, tout ça pour se sentir plus intelligents que le français moyen qui allait voir les Tontons Flingueurs pendant ce temps-là, bien fait pour leur gueule à ces cons.
Comédiennes de tempérament, je me gausse. Tellement horripilante de nullité que son corps parfait, tu ne le vois même pas.
Donc, si elle n'avait aucun talent, pourquoi devait-on se coltiner ses minauderies ? Je préfère croire qu'elle a sucé du producteur, du metteur en scène, de l'éclairagiste (je parle de la mère bien sur), plutôt que de penser qu'il n'y avait pas mieux comme actrice.
J'aurais bien une autre explication qui m'amuserait plus. Dans Rencontre du 3° type, François Truffaut jouait tellement mal que Spielberg a du réduire sa présence à l'écran. Le même Truffaut qui nous a imposé Jean-Pierre Léaud dans de nombreux films, alors que ce type est le plus mauvais comédien du 20° siècle, et qu'il n'a jamais rien fait d'autre.
Pourrait-on imaginer qu'il s'agisse d'un déficit, genre l'opposé de l'oreille absolue, les 2% de l'autre coté de la courbe de Gauss ? Parce que même bien sucé, le Truffaut avait le goût de sa propre gloire, ce gros narcissique. Comment a-t-il pu privilégier la carrière de Léaud et Laffont ?
Quand je pense que tous les abrutis embrigadés par les Cahiers du Cinéma se sont tapés ces films de merde que tout le monde a oubliés, tout ça pour se sentir plus intelligents que le français moyen qui allait voir les Tontons Flingueurs pendant ce temps-là, bien fait pour leur gueule à ces cons.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Remarque, rien ne change vraiment. On est obligé de zapper féroce pour éviter les mignons de Laurent Ruquier, éparpillés ça et là sur le service public ou la TNT.
Ils ont plus ou moins d'esprit, mais ils ont vraiment tous cette mentalité de fiotte qui les amène à confondre fellation et consécration. Ils donnent tous cette impression de revendiquer leur droit hiérarchique de leur part du PAF.
Quand l'un d'entre eux se fait clasher en direct, c'est pur bon.
Ils ont plus ou moins d'esprit, mais ils ont vraiment tous cette mentalité de fiotte qui les amène à confondre fellation et consécration. Ils donnent tous cette impression de revendiquer leur droit hiérarchique de leur part du PAF.
Quand l'un d'entre eux se fait clasher en direct, c'est pur bon.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai dit : elle est tombé de haut. Dans la mesure ou son squelette avait les deux jambes brisées, et que sa mort est attribuée précisément à la hauteur de la chute conjuguée à l'action de la gravité, considérant que cette gravité était suffisante pour provoquer sa mort, c'est qui quand même assez grave sur le point de l'effet sur la santé; alors je dis que tu as tort de me dire non. Et je redis haut et fort, comme un discours du quatre juillet :Numero6 a écrit:Non, non, elle n'était jamais monté.
OUI ! Elle est tombée de haut !!!
(merci d'être tombé dans le panneaux, j'étais pas bien sûr que t'allais jouer le jeu - de mot )
Sinon j'aime bien Laurent Ruquier. Il est PD, mais il est pas con. Et je trouve qu'au final, les gens comme lui font plus de bien que de mal, à nos abrutis de concitoyens qui regardent encore la télé.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Bonjour Madame Patate, votre mission si vous l'acceptez consistera à démasquer un imposteur. Vous serez chargé de torturer le chacal jusqu'à la reddition final, notre département juridique a besoin d'aveux signés. Tant qu'il n'aura pas avoué qu'il se travestit en lycéenne, nous vous demandons de la lui jouer façon Guantánamo, et créative si possible.
Parce que je ne vois pas qui d'autre que lui sur ce site aurait pu écrire un texte aussi sublime, même Kissounnet en serait bien incapable.
Ou alors je viens d'échanger des MP avec le futur successeur de Modiano.
Si vous étiez capturée ou tuée, le département d'état niera avoir eu connaissance de vos agissement.
Ce document ne s'effacera pas tout seul dans les cinq minutes, parce que j'ai autre chose à foutre.
J'a rien compris,
bon je sais ça te turlupine une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liasion directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison,
mais je ne singe que moi, non sans difficulté, mais je dois réussir parce que ça se remarque à chaque fois,
je suis d'un sexe et pas transgenre,
je suis honnête (oui, ça me débecquete mais c'est asmeuk).
Sans doute cela te rappelle la fois où tu te fis passer pour l'énergumène derrière Pom,
allons Missiou il faut respecter les identités de chacun, c'est déjà tellement virtuel et sans importance, laissons ce dernier bénéfice.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comme Lorànt Deutsch quoi.Sinon j'aime bien Laurent Ruquier. Il est PD, mais il est pas con. Et je trouve qu'au final, les gens comme lui font plus de bien que de mal, à nos abrutis de concitoyens qui regardent encore la télé.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sélène-Nyx a écrit:
Uccen aime les hommes? C'est possible, il aime tout le monde, d'toute façon ....
Parfois, il fait le difficile, le "mec normal", et fait la cour aux gazelles ("marchant sur l'eau ..." et qui le rendent malade ....) mais ça, c'est quand il est à jeun. Quand il vomit (ce qui est cyclique, chez lui, vu ce qu'il poste parfois, y'a des périodes "up and down"), c'est probablement parce qu'il a trop abusé des restes nauséabonds gracieusement mis à sa disposition par tous les "vrais mâles" (roi lion, tigres ...) de la jungle.
Boff, quand il a faim, il prend ce qu'il trouve. Et pis, c'est tout!
(Tiens, on l'a pas vu ce week-end .... P'têt qu'il est "re-mourru" ...)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Désolé Chacal, je me suis demandé qui avait les capacités pour une imposture de cette qualité, et je ne voyais que toi.
C'est curieux que tu parles de Pom. A cette époque-là, je savais qu'un type brillant avait projeté de venir renifler les zèbres en direct, pour se faire une idée.
Autant j'ai le talent de lire entre les lignes, et de détecter pas mal d'incohérences dans les discours, autant je suis capable de me tromper moi-même en me créant un monde imaginaire, une sorte de jeu de pistes où j'invente des indices. Et quand je suis parti dans ce trip, plus rien ne m'arrête. C'est ainsi que j'ai attribué à ce mec la création de plusieurs profils, dont celui de Pom, en croyant reconnaitre sa trace et je m'émerveillais comme un gamin devant son incroyable habileté.
D'habitude je fais attention à museler la machine à rêves, mais de temps en temps elle redémarre toute seule. Et comme le cynisme fait partie des chimères que je m'impose, quand je sens que je m'émerveille comme un gamin ébloui, la crainte de me montrer naïf vient gâcher la fête.
Faites-moi rêver mes chéries, on va se faire une ballade à quatre claviers tempérés, on aurait dit que j'étais le Général et qu'on était en Afghanistan. Alors je me raconte des histoires tout seul, j'invente, je probabilise, j'extrapole.
C'est dommage, quand je fais la même chose en parlant de société ou de rapports humains, il est fréquent qu'on me ramène sur terre avec une revendication identitaire ou la liturgie contemporaine. Alors je fais comme quand j'étais gamin, je me mets tout seul dans mon coin et je me raconte des histoires.
J'ai tellement envie qu'une fille se pointe pour me dire : on aurait dit que j'étais une princesse, que mes parents étaient diplomates, et que j'étais atteint d'une maladie incurable que seul toi peut guérir, mais d'abord il faut qu'on joue au docteur !
J'en suis à quémander du rêve, et c'est vrai "qu'une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liaison directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison", je la veux géniale, je veux m'émerveiller. Et encore plus si c'est un fake à prostate.
Je dois avoir la glande émerveilleuse un peu trop sensible.
C'est curieux que tu parles de Pom. A cette époque-là, je savais qu'un type brillant avait projeté de venir renifler les zèbres en direct, pour se faire une idée.
Autant j'ai le talent de lire entre les lignes, et de détecter pas mal d'incohérences dans les discours, autant je suis capable de me tromper moi-même en me créant un monde imaginaire, une sorte de jeu de pistes où j'invente des indices. Et quand je suis parti dans ce trip, plus rien ne m'arrête. C'est ainsi que j'ai attribué à ce mec la création de plusieurs profils, dont celui de Pom, en croyant reconnaitre sa trace et je m'émerveillais comme un gamin devant son incroyable habileté.
D'habitude je fais attention à museler la machine à rêves, mais de temps en temps elle redémarre toute seule. Et comme le cynisme fait partie des chimères que je m'impose, quand je sens que je m'émerveille comme un gamin ébloui, la crainte de me montrer naïf vient gâcher la fête.
Faites-moi rêver mes chéries, on va se faire une ballade à quatre claviers tempérés, on aurait dit que j'étais le Général et qu'on était en Afghanistan. Alors je me raconte des histoires tout seul, j'invente, je probabilise, j'extrapole.
C'est dommage, quand je fais la même chose en parlant de société ou de rapports humains, il est fréquent qu'on me ramène sur terre avec une revendication identitaire ou la liturgie contemporaine. Alors je fais comme quand j'étais gamin, je me mets tout seul dans mon coin et je me raconte des histoires.
J'ai tellement envie qu'une fille se pointe pour me dire : on aurait dit que j'étais une princesse, que mes parents étaient diplomates, et que j'étais atteint d'une maladie incurable que seul toi peut guérir, mais d'abord il faut qu'on joue au docteur !
J'en suis à quémander du rêve, et c'est vrai "qu'une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liaison directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison", je la veux géniale, je veux m'émerveiller. Et encore plus si c'est un fake à prostate.
Je dois avoir la glande émerveilleuse un peu trop sensible.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce mec que tu qualifies d'incroyablement habile je ne sais s'il existe,
mais Pom en question et ses multiples avatars à durée de vie limitée avait sans doute trop de valeur mais surtout d'attentes pour demeurer constant dans une posture intègre et une sincérité enthousiaste et a versé fatidiquement et circulairement (avec vaines tentatives désespérées de ne pas s'y laisser happer complètement donc) dans le dénigrement le plus complet (nan, le plus presque complet aller) des demi-andouilles et crétins totaux sévissant ici, phagocyté par un mépris qu'il n'arrivait plus à cacher non plus que sa propre déception,
je présume que c'est une des catégories de réctions que l'on peut observer chez les participants assez clairvoyants qui s'égarent par ici, et qui ne savent pas couper les amarres de ce qui les déçoit pourtant terriblement.
Je pense que c'est dû en grande partie chez lui à un enthousiasme qu'il a du mal à contenir et faire fructifier, et contrairement à ce que nombre de ses derniers passages laisse à supposer à un amour sans condition du genre humain, d'où sa rancoeur devant le spectacle d'enveloppes creuses dont on vante la cervelle.
Quant à ce que tu qualifies d'imposture, j'avoue ne pas m'y être intéressé le moins du monde.
Et si je m'y intéressais, comme c'est plutôt la naîveté que je m'impose en lieu et place d'un cynisme ordinaire qui me tiens plus qu'une ossature,
j'y entreverrais plutôt les simples paroles d'une jeune fille brillante et ça me conviendrait amplement.
Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
mais Pom en question et ses multiples avatars à durée de vie limitée avait sans doute trop de valeur mais surtout d'attentes pour demeurer constant dans une posture intègre et une sincérité enthousiaste et a versé fatidiquement et circulairement (avec vaines tentatives désespérées de ne pas s'y laisser happer complètement donc) dans le dénigrement le plus complet (nan, le plus presque complet aller) des demi-andouilles et crétins totaux sévissant ici, phagocyté par un mépris qu'il n'arrivait plus à cacher non plus que sa propre déception,
je présume que c'est une des catégories de réctions que l'on peut observer chez les participants assez clairvoyants qui s'égarent par ici, et qui ne savent pas couper les amarres de ce qui les déçoit pourtant terriblement.
Je pense que c'est dû en grande partie chez lui à un enthousiasme qu'il a du mal à contenir et faire fructifier, et contrairement à ce que nombre de ses derniers passages laisse à supposer à un amour sans condition du genre humain, d'où sa rancoeur devant le spectacle d'enveloppes creuses dont on vante la cervelle.
Quant à ce que tu qualifies d'imposture, j'avoue ne pas m'y être intéressé le moins du monde.
Et si je m'y intéressais, comme c'est plutôt la naîveté que je m'impose en lieu et place d'un cynisme ordinaire qui me tiens plus qu'une ossature,
j'y entreverrais plutôt les simples paroles d'une jeune fille brillante et ça me conviendrait amplement.
Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu me rassures.
Et tu éveilles ma curiosité. J'avais attribué à mon pote ces multiples avatars. Je suis étonné d'apprendre que Pom et consorts étaient bien les enfants d'une seule personne, je n'étais pas si loin que ça.
Et tu éveilles ma curiosité. J'avais attribué à mon pote ces multiples avatars. Je suis étonné d'apprendre que Pom et consorts étaient bien les enfants d'une seule personne, je n'étais pas si loin que ça.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Démonteur de clavicules
Dans ma démarche de reconversion, je cherchais un métier d'avenir. C'est bon, j'ai eu le grand flash : je vais démonter des clavicules. Je vais me spécialiser dans la mémère de moins de trente ans, enfin toutes celles qui souffrent du syndrome de la princesse, rebaptisée syndrome de la concierge par les sociologues.
Il me faut l'avouer, je succombe parfois aux productions des éditions Harlequin. La jeune femme de modeste extraction qui rencontre le riche (PDG, Héritier, Chirurgien, you choose) qui saura reconnaitre sa richesse intérieure. Après une première approche infructueuse, l'amour éclate, ils se marièrent ou pas selon les époques, et sans progéniture ou pas, ce qui est sur c'est que la richesse intérieure de la fille trouve son équivalent en dollar chez le monsieur.
C'est ainsi que je dévorais avidement l'élégance du hérisson, histoire d'une concierge surdouée et cultivée, méprisée par les habitants bourgeois (beurk) de son immeuble. Ne voila-t-il pas qu'un milliardaire japonais décèle la richesse intérieure de la vieille concierge moche et crassepec, lui offre des éditions reliées en peau de burnes véritables, et lui propose la botte. C'est con, mais c'est mon coté jeune fille qui se gave. Bon, pour faire originale, l'auteuse ne pouvant succomber à une conclusion harlequinesque heureuse fait succomber son héroïne sous les roues d'un camion. Dommage, ça partait bien.
J'aime le postulat de départ : dans l'entourage d'un milliardaire japonais il n'y a que des connes incultes et ramollies du bulbe. L'est chtarbé le vieux, la preuve, ça joue du Mozart quand tu vas aux gogues chez lui.
Et dans les rues, tu ne croises plus que ça des princesses. Celles qui a une autre époque se seraient comportées en braves filles sympas, se croient obligées d'adopter le style pétassier des vedettes kleenex et des arrogantes ministérielles. Outre leurs fringues stéréotypées, leur démarche de mannequin anorexique, leurs pouces tuméfiés à force d'émettre des insignifiances sur leurs phones, elles partagent cette conviction que pour être la star de leur rêve il leur faut définitivement ne surtout pas prêter attention à la populace environnante, déjà honorée de la chance de leur présence.
Bon, moi j'arrive en face, avec mes 130 kilos de mauvaises humeurs quotidiennes, et je repère la petite morue qui affiche ce regard vide de celle qui fait des efforts pour surtout ne pas te calculer. Elle ne voudrait pas décevoir son public. Ben moi non plus je n'aime pas décevoir mon public, et je respecte ma mauvaise humeur au moins autant que d'autres l'écologie. Je décide de ne pas plus dévier ma trajectoire que si elle n'existait pas, la pétasse, pas l'écologie.
C'est ainsi que son épaule se prend 130 kg de réalité charpentée, normes Iso-9010. Au début, je me retournais pour m'excuser de mon outrecuidance, mais maintenant je n'en ai plus rien à foutre, je me contente des échos de son effroi dans mon dos. En république française, l'égalité est une vertu, tu ne me calcules pas, je respecte ton choix même si je le partage pas, comme dirait la cousine de la femme de chambre de Voltaire. Mais avec tes 60 kilos toute mouillée, je pense que tu aurais du faire un autre choix.
Sinon, il va falloir trouver un truc pour rentabiliser la pratique. Le public concerné est en expansion, mais la plupart des non-pétasses continuent de faire un petit signe, dévie leur course de 3 degrés, prononce "'rdon", me calculent quoi. Quand aux mecs, aucune chance de les inclure dans mon échantillonnage, ils savent depuis longtemps que quand les mec de 130 kilos disent certaines choses, les mecs de 60 kilos les écoutent.
Dans ma démarche de reconversion, je cherchais un métier d'avenir. C'est bon, j'ai eu le grand flash : je vais démonter des clavicules. Je vais me spécialiser dans la mémère de moins de trente ans, enfin toutes celles qui souffrent du syndrome de la princesse, rebaptisée syndrome de la concierge par les sociologues.
Il me faut l'avouer, je succombe parfois aux productions des éditions Harlequin. La jeune femme de modeste extraction qui rencontre le riche (PDG, Héritier, Chirurgien, you choose) qui saura reconnaitre sa richesse intérieure. Après une première approche infructueuse, l'amour éclate, ils se marièrent ou pas selon les époques, et sans progéniture ou pas, ce qui est sur c'est que la richesse intérieure de la fille trouve son équivalent en dollar chez le monsieur.
C'est ainsi que je dévorais avidement l'élégance du hérisson, histoire d'une concierge surdouée et cultivée, méprisée par les habitants bourgeois (beurk) de son immeuble. Ne voila-t-il pas qu'un milliardaire japonais décèle la richesse intérieure de la vieille concierge moche et crassepec, lui offre des éditions reliées en peau de burnes véritables, et lui propose la botte. C'est con, mais c'est mon coté jeune fille qui se gave. Bon, pour faire originale, l'auteuse ne pouvant succomber à une conclusion harlequinesque heureuse fait succomber son héroïne sous les roues d'un camion. Dommage, ça partait bien.
J'aime le postulat de départ : dans l'entourage d'un milliardaire japonais il n'y a que des connes incultes et ramollies du bulbe. L'est chtarbé le vieux, la preuve, ça joue du Mozart quand tu vas aux gogues chez lui.
Et dans les rues, tu ne croises plus que ça des princesses. Celles qui a une autre époque se seraient comportées en braves filles sympas, se croient obligées d'adopter le style pétassier des vedettes kleenex et des arrogantes ministérielles. Outre leurs fringues stéréotypées, leur démarche de mannequin anorexique, leurs pouces tuméfiés à force d'émettre des insignifiances sur leurs phones, elles partagent cette conviction que pour être la star de leur rêve il leur faut définitivement ne surtout pas prêter attention à la populace environnante, déjà honorée de la chance de leur présence.
Bon, moi j'arrive en face, avec mes 130 kilos de mauvaises humeurs quotidiennes, et je repère la petite morue qui affiche ce regard vide de celle qui fait des efforts pour surtout ne pas te calculer. Elle ne voudrait pas décevoir son public. Ben moi non plus je n'aime pas décevoir mon public, et je respecte ma mauvaise humeur au moins autant que d'autres l'écologie. Je décide de ne pas plus dévier ma trajectoire que si elle n'existait pas, la pétasse, pas l'écologie.
C'est ainsi que son épaule se prend 130 kg de réalité charpentée, normes Iso-9010. Au début, je me retournais pour m'excuser de mon outrecuidance, mais maintenant je n'en ai plus rien à foutre, je me contente des échos de son effroi dans mon dos. En république française, l'égalité est une vertu, tu ne me calcules pas, je respecte ton choix même si je le partage pas, comme dirait la cousine de la femme de chambre de Voltaire. Mais avec tes 60 kilos toute mouillée, je pense que tu aurais du faire un autre choix.
Sinon, il va falloir trouver un truc pour rentabiliser la pratique. Le public concerné est en expansion, mais la plupart des non-pétasses continuent de faire un petit signe, dévie leur course de 3 degrés, prononce "'rdon", me calculent quoi. Quand aux mecs, aucune chance de les inclure dans mon échantillonnage, ils savent depuis longtemps que quand les mec de 130 kilos disent certaines choses, les mecs de 60 kilos les écoutent.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Patate a écrit:voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Tu parles d'Uccen ?
Il écrit simplement les choses. J'ai vu évoluer les propos de Pom. De pertinent au début, il est devenu impertinent puis vaguement agressif, mais simplement en se transformant en miroir amplifiant. Certains n'ont pas du apprécier la révélation de leur emphase boursouflée d'ego.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben dis-donc t'as pris du poids depuis histoire semblable avec rappels sur regards qui font tout pour s'éviter tout ça...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben oui, de temps en temps je me transforme en musclor, en gay, en calimero, en homme qui respecte les femmes, le De Niro du forum.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Patate a écrit:voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Tu parles d'Uccen ?
Il écrit simplement les choses. J'ai vu évoluer les propos de Pom. De pertinent au début, il est devenu impertinent puis vaguement agressif, mais simplement en se transformant en miroir amplifiant. Certains n'ont pas du apprécier la révélation de leur emphase boursouflée d'ego.
Muccienne a écrit:Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
Capisci ?
Lui c'est Lui
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