Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Toutes les femmes jouent aussi mal qu'elle, c'est ça qu'elle essaye de nous transmettre ?Patate a écrit:Vous voyez le sale partout mais putain c'est pas possible !!
C'est la nature
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, sa mère était nulle aussi.
"Et pour que tu ne t'effarouches
Vois je ne prend que ta bouche"
Patate, c'est moi où c'est une illustration du fameux proverbe :
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
"Et pour que tu ne t'effarouches
Vois je ne prend que ta bouche"
Patate, c'est moi où c'est une illustration du fameux proverbe :
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Fellation du matin, repos du vagin.
sodomie du soir, repos des mâchoires."
je suis pas sure que ce soit dans la bonne chronologie
Pis vous aimez pas les Lafont alors je vous dit MERDE !
Coincés DTDC
sodomie du soir, repos des mâchoires."
je suis pas sure que ce soit dans la bonne chronologie
Pis vous aimez pas les Lafont alors je vous dit MERDE !
Coincés DTDC
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ah ben merde, elle est tombée de haut
http://www.parismatch.com/People/Cinema/Novembre-1988-Pauline-Lafont-l-espoir-perdu-de-Bernadette-133184
Y a Bacri dans ce film dis donc.
http://www.vodkaster.com/extraits/ete-en-pente-douce-j-ai-mieux-a-t-offrir/101007
http://www.parismatch.com/People/Cinema/Novembre-1988-Pauline-Lafont-l-espoir-perdu-de-Bernadette-133184
Y a Bacri dans ce film dis donc.
http://www.vodkaster.com/extraits/ete-en-pente-douce-j-ai-mieux-a-t-offrir/101007
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, non, elle n'était jamais monté.
Comédiennes de tempérament, je me gausse. Tellement horripilante de nullité que son corps parfait, tu ne le vois même pas.
Donc, si elle n'avait aucun talent, pourquoi devait-on se coltiner ses minauderies ? Je préfère croire qu'elle a sucé du producteur, du metteur en scène, de l'éclairagiste (je parle de la mère bien sur), plutôt que de penser qu'il n'y avait pas mieux comme actrice.
J'aurais bien une autre explication qui m'amuserait plus. Dans Rencontre du 3° type, François Truffaut jouait tellement mal que Spielberg a du réduire sa présence à l'écran. Le même Truffaut qui nous a imposé Jean-Pierre Léaud dans de nombreux films, alors que ce type est le plus mauvais comédien du 20° siècle, et qu'il n'a jamais rien fait d'autre.
Pourrait-on imaginer qu'il s'agisse d'un déficit, genre l'opposé de l'oreille absolue, les 2% de l'autre coté de la courbe de Gauss ? Parce que même bien sucé, le Truffaut avait le goût de sa propre gloire, ce gros narcissique. Comment a-t-il pu privilégier la carrière de Léaud et Laffont ?
Quand je pense que tous les abrutis embrigadés par les Cahiers du Cinéma se sont tapés ces films de merde que tout le monde a oubliés, tout ça pour se sentir plus intelligents que le français moyen qui allait voir les Tontons Flingueurs pendant ce temps-là, bien fait pour leur gueule à ces cons.
Comédiennes de tempérament, je me gausse. Tellement horripilante de nullité que son corps parfait, tu ne le vois même pas.
Donc, si elle n'avait aucun talent, pourquoi devait-on se coltiner ses minauderies ? Je préfère croire qu'elle a sucé du producteur, du metteur en scène, de l'éclairagiste (je parle de la mère bien sur), plutôt que de penser qu'il n'y avait pas mieux comme actrice.
J'aurais bien une autre explication qui m'amuserait plus. Dans Rencontre du 3° type, François Truffaut jouait tellement mal que Spielberg a du réduire sa présence à l'écran. Le même Truffaut qui nous a imposé Jean-Pierre Léaud dans de nombreux films, alors que ce type est le plus mauvais comédien du 20° siècle, et qu'il n'a jamais rien fait d'autre.
Pourrait-on imaginer qu'il s'agisse d'un déficit, genre l'opposé de l'oreille absolue, les 2% de l'autre coté de la courbe de Gauss ? Parce que même bien sucé, le Truffaut avait le goût de sa propre gloire, ce gros narcissique. Comment a-t-il pu privilégier la carrière de Léaud et Laffont ?
Quand je pense que tous les abrutis embrigadés par les Cahiers du Cinéma se sont tapés ces films de merde que tout le monde a oubliés, tout ça pour se sentir plus intelligents que le français moyen qui allait voir les Tontons Flingueurs pendant ce temps-là, bien fait pour leur gueule à ces cons.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Remarque, rien ne change vraiment. On est obligé de zapper féroce pour éviter les mignons de Laurent Ruquier, éparpillés ça et là sur le service public ou la TNT.
Ils ont plus ou moins d'esprit, mais ils ont vraiment tous cette mentalité de fiotte qui les amène à confondre fellation et consécration. Ils donnent tous cette impression de revendiquer leur droit hiérarchique de leur part du PAF.
Quand l'un d'entre eux se fait clasher en direct, c'est pur bon.
Ils ont plus ou moins d'esprit, mais ils ont vraiment tous cette mentalité de fiotte qui les amène à confondre fellation et consécration. Ils donnent tous cette impression de revendiquer leur droit hiérarchique de leur part du PAF.
Quand l'un d'entre eux se fait clasher en direct, c'est pur bon.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai dit : elle est tombé de haut. Dans la mesure ou son squelette avait les deux jambes brisées, et que sa mort est attribuée précisément à la hauteur de la chute conjuguée à l'action de la gravité, considérant que cette gravité était suffisante pour provoquer sa mort, c'est qui quand même assez grave sur le point de l'effet sur la santé; alors je dis que tu as tort de me dire non. Et je redis haut et fort, comme un discours du quatre juillet :Numero6 a écrit:Non, non, elle n'était jamais monté.
OUI ! Elle est tombée de haut !!!
(merci d'être tombé dans le panneaux, j'étais pas bien sûr que t'allais jouer le jeu - de mot )
Sinon j'aime bien Laurent Ruquier. Il est PD, mais il est pas con. Et je trouve qu'au final, les gens comme lui font plus de bien que de mal, à nos abrutis de concitoyens qui regardent encore la télé.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Bonjour Madame Patate, votre mission si vous l'acceptez consistera à démasquer un imposteur. Vous serez chargé de torturer le chacal jusqu'à la reddition final, notre département juridique a besoin d'aveux signés. Tant qu'il n'aura pas avoué qu'il se travestit en lycéenne, nous vous demandons de la lui jouer façon Guantánamo, et créative si possible.
Parce que je ne vois pas qui d'autre que lui sur ce site aurait pu écrire un texte aussi sublime, même Kissounnet en serait bien incapable.
Ou alors je viens d'échanger des MP avec le futur successeur de Modiano.
Si vous étiez capturée ou tuée, le département d'état niera avoir eu connaissance de vos agissement.
Ce document ne s'effacera pas tout seul dans les cinq minutes, parce que j'ai autre chose à foutre.
J'a rien compris,
bon je sais ça te turlupine une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liasion directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison,
mais je ne singe que moi, non sans difficulté, mais je dois réussir parce que ça se remarque à chaque fois,
je suis d'un sexe et pas transgenre,
je suis honnête (oui, ça me débecquete mais c'est asmeuk).
Sans doute cela te rappelle la fois où tu te fis passer pour l'énergumène derrière Pom,
allons Missiou il faut respecter les identités de chacun, c'est déjà tellement virtuel et sans importance, laissons ce dernier bénéfice.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comme Lorànt Deutsch quoi.Sinon j'aime bien Laurent Ruquier. Il est PD, mais il est pas con. Et je trouve qu'au final, les gens comme lui font plus de bien que de mal, à nos abrutis de concitoyens qui regardent encore la télé.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Sélène-Nyx a écrit:
Uccen aime les hommes? C'est possible, il aime tout le monde, d'toute façon ....
Parfois, il fait le difficile, le "mec normal", et fait la cour aux gazelles ("marchant sur l'eau ..." et qui le rendent malade ....) mais ça, c'est quand il est à jeun. Quand il vomit (ce qui est cyclique, chez lui, vu ce qu'il poste parfois, y'a des périodes "up and down"), c'est probablement parce qu'il a trop abusé des restes nauséabonds gracieusement mis à sa disposition par tous les "vrais mâles" (roi lion, tigres ...) de la jungle.
Boff, quand il a faim, il prend ce qu'il trouve. Et pis, c'est tout!
(Tiens, on l'a pas vu ce week-end .... P'têt qu'il est "re-mourru" ...)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Désolé Chacal, je me suis demandé qui avait les capacités pour une imposture de cette qualité, et je ne voyais que toi.
C'est curieux que tu parles de Pom. A cette époque-là, je savais qu'un type brillant avait projeté de venir renifler les zèbres en direct, pour se faire une idée.
Autant j'ai le talent de lire entre les lignes, et de détecter pas mal d'incohérences dans les discours, autant je suis capable de me tromper moi-même en me créant un monde imaginaire, une sorte de jeu de pistes où j'invente des indices. Et quand je suis parti dans ce trip, plus rien ne m'arrête. C'est ainsi que j'ai attribué à ce mec la création de plusieurs profils, dont celui de Pom, en croyant reconnaitre sa trace et je m'émerveillais comme un gamin devant son incroyable habileté.
D'habitude je fais attention à museler la machine à rêves, mais de temps en temps elle redémarre toute seule. Et comme le cynisme fait partie des chimères que je m'impose, quand je sens que je m'émerveille comme un gamin ébloui, la crainte de me montrer naïf vient gâcher la fête.
Faites-moi rêver mes chéries, on va se faire une ballade à quatre claviers tempérés, on aurait dit que j'étais le Général et qu'on était en Afghanistan. Alors je me raconte des histoires tout seul, j'invente, je probabilise, j'extrapole.
C'est dommage, quand je fais la même chose en parlant de société ou de rapports humains, il est fréquent qu'on me ramène sur terre avec une revendication identitaire ou la liturgie contemporaine. Alors je fais comme quand j'étais gamin, je me mets tout seul dans mon coin et je me raconte des histoires.
J'ai tellement envie qu'une fille se pointe pour me dire : on aurait dit que j'étais une princesse, que mes parents étaient diplomates, et que j'étais atteint d'une maladie incurable que seul toi peut guérir, mais d'abord il faut qu'on joue au docteur !
J'en suis à quémander du rêve, et c'est vrai "qu'une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liaison directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison", je la veux géniale, je veux m'émerveiller. Et encore plus si c'est un fake à prostate.
Je dois avoir la glande émerveilleuse un peu trop sensible.
C'est curieux que tu parles de Pom. A cette époque-là, je savais qu'un type brillant avait projeté de venir renifler les zèbres en direct, pour se faire une idée.
Autant j'ai le talent de lire entre les lignes, et de détecter pas mal d'incohérences dans les discours, autant je suis capable de me tromper moi-même en me créant un monde imaginaire, une sorte de jeu de pistes où j'invente des indices. Et quand je suis parti dans ce trip, plus rien ne m'arrête. C'est ainsi que j'ai attribué à ce mec la création de plusieurs profils, dont celui de Pom, en croyant reconnaitre sa trace et je m'émerveillais comme un gamin devant son incroyable habileté.
D'habitude je fais attention à museler la machine à rêves, mais de temps en temps elle redémarre toute seule. Et comme le cynisme fait partie des chimères que je m'impose, quand je sens que je m'émerveille comme un gamin ébloui, la crainte de me montrer naïf vient gâcher la fête.
Faites-moi rêver mes chéries, on va se faire une ballade à quatre claviers tempérés, on aurait dit que j'étais le Général et qu'on était en Afghanistan. Alors je me raconte des histoires tout seul, j'invente, je probabilise, j'extrapole.
C'est dommage, quand je fais la même chose en parlant de société ou de rapports humains, il est fréquent qu'on me ramène sur terre avec une revendication identitaire ou la liturgie contemporaine. Alors je fais comme quand j'étais gamin, je me mets tout seul dans mon coin et je me raconte des histoires.
J'ai tellement envie qu'une fille se pointe pour me dire : on aurait dit que j'étais une princesse, que mes parents étaient diplomates, et que j'étais atteint d'une maladie incurable que seul toi peut guérir, mais d'abord il faut qu'on joue au docteur !
J'en suis à quémander du rêve, et c'est vrai "qu'une femelle avec un semblant de cerveau qui dit s'aimer en plus, au lieu de geindre et raconter que loin d'être une casse couille elle est un être en liaison directe avec les éléments et l'entité primordiale qu'a choisi de la faire saigner chaque lunaison", je la veux géniale, je veux m'émerveiller. Et encore plus si c'est un fake à prostate.
Je dois avoir la glande émerveilleuse un peu trop sensible.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce mec que tu qualifies d'incroyablement habile je ne sais s'il existe,
mais Pom en question et ses multiples avatars à durée de vie limitée avait sans doute trop de valeur mais surtout d'attentes pour demeurer constant dans une posture intègre et une sincérité enthousiaste et a versé fatidiquement et circulairement (avec vaines tentatives désespérées de ne pas s'y laisser happer complètement donc) dans le dénigrement le plus complet (nan, le plus presque complet aller) des demi-andouilles et crétins totaux sévissant ici, phagocyté par un mépris qu'il n'arrivait plus à cacher non plus que sa propre déception,
je présume que c'est une des catégories de réctions que l'on peut observer chez les participants assez clairvoyants qui s'égarent par ici, et qui ne savent pas couper les amarres de ce qui les déçoit pourtant terriblement.
Je pense que c'est dû en grande partie chez lui à un enthousiasme qu'il a du mal à contenir et faire fructifier, et contrairement à ce que nombre de ses derniers passages laisse à supposer à un amour sans condition du genre humain, d'où sa rancoeur devant le spectacle d'enveloppes creuses dont on vante la cervelle.
Quant à ce que tu qualifies d'imposture, j'avoue ne pas m'y être intéressé le moins du monde.
Et si je m'y intéressais, comme c'est plutôt la naîveté que je m'impose en lieu et place d'un cynisme ordinaire qui me tiens plus qu'une ossature,
j'y entreverrais plutôt les simples paroles d'une jeune fille brillante et ça me conviendrait amplement.
Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
mais Pom en question et ses multiples avatars à durée de vie limitée avait sans doute trop de valeur mais surtout d'attentes pour demeurer constant dans une posture intègre et une sincérité enthousiaste et a versé fatidiquement et circulairement (avec vaines tentatives désespérées de ne pas s'y laisser happer complètement donc) dans le dénigrement le plus complet (nan, le plus presque complet aller) des demi-andouilles et crétins totaux sévissant ici, phagocyté par un mépris qu'il n'arrivait plus à cacher non plus que sa propre déception,
je présume que c'est une des catégories de réctions que l'on peut observer chez les participants assez clairvoyants qui s'égarent par ici, et qui ne savent pas couper les amarres de ce qui les déçoit pourtant terriblement.
Je pense que c'est dû en grande partie chez lui à un enthousiasme qu'il a du mal à contenir et faire fructifier, et contrairement à ce que nombre de ses derniers passages laisse à supposer à un amour sans condition du genre humain, d'où sa rancoeur devant le spectacle d'enveloppes creuses dont on vante la cervelle.
Quant à ce que tu qualifies d'imposture, j'avoue ne pas m'y être intéressé le moins du monde.
Et si je m'y intéressais, comme c'est plutôt la naîveté que je m'impose en lieu et place d'un cynisme ordinaire qui me tiens plus qu'une ossature,
j'y entreverrais plutôt les simples paroles d'une jeune fille brillante et ça me conviendrait amplement.
Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu me rassures.
Et tu éveilles ma curiosité. J'avais attribué à mon pote ces multiples avatars. Je suis étonné d'apprendre que Pom et consorts étaient bien les enfants d'une seule personne, je n'étais pas si loin que ça.
Et tu éveilles ma curiosité. J'avais attribué à mon pote ces multiples avatars. Je suis étonné d'apprendre que Pom et consorts étaient bien les enfants d'une seule personne, je n'étais pas si loin que ça.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Démonteur de clavicules
Dans ma démarche de reconversion, je cherchais un métier d'avenir. C'est bon, j'ai eu le grand flash : je vais démonter des clavicules. Je vais me spécialiser dans la mémère de moins de trente ans, enfin toutes celles qui souffrent du syndrome de la princesse, rebaptisée syndrome de la concierge par les sociologues.
Il me faut l'avouer, je succombe parfois aux productions des éditions Harlequin. La jeune femme de modeste extraction qui rencontre le riche (PDG, Héritier, Chirurgien, you choose) qui saura reconnaitre sa richesse intérieure. Après une première approche infructueuse, l'amour éclate, ils se marièrent ou pas selon les époques, et sans progéniture ou pas, ce qui est sur c'est que la richesse intérieure de la fille trouve son équivalent en dollar chez le monsieur.
C'est ainsi que je dévorais avidement l'élégance du hérisson, histoire d'une concierge surdouée et cultivée, méprisée par les habitants bourgeois (beurk) de son immeuble. Ne voila-t-il pas qu'un milliardaire japonais décèle la richesse intérieure de la vieille concierge moche et crassepec, lui offre des éditions reliées en peau de burnes véritables, et lui propose la botte. C'est con, mais c'est mon coté jeune fille qui se gave. Bon, pour faire originale, l'auteuse ne pouvant succomber à une conclusion harlequinesque heureuse fait succomber son héroïne sous les roues d'un camion. Dommage, ça partait bien.
J'aime le postulat de départ : dans l'entourage d'un milliardaire japonais il n'y a que des connes incultes et ramollies du bulbe. L'est chtarbé le vieux, la preuve, ça joue du Mozart quand tu vas aux gogues chez lui.
Et dans les rues, tu ne croises plus que ça des princesses. Celles qui a une autre époque se seraient comportées en braves filles sympas, se croient obligées d'adopter le style pétassier des vedettes kleenex et des arrogantes ministérielles. Outre leurs fringues stéréotypées, leur démarche de mannequin anorexique, leurs pouces tuméfiés à force d'émettre des insignifiances sur leurs phones, elles partagent cette conviction que pour être la star de leur rêve il leur faut définitivement ne surtout pas prêter attention à la populace environnante, déjà honorée de la chance de leur présence.
Bon, moi j'arrive en face, avec mes 130 kilos de mauvaises humeurs quotidiennes, et je repère la petite morue qui affiche ce regard vide de celle qui fait des efforts pour surtout ne pas te calculer. Elle ne voudrait pas décevoir son public. Ben moi non plus je n'aime pas décevoir mon public, et je respecte ma mauvaise humeur au moins autant que d'autres l'écologie. Je décide de ne pas plus dévier ma trajectoire que si elle n'existait pas, la pétasse, pas l'écologie.
C'est ainsi que son épaule se prend 130 kg de réalité charpentée, normes Iso-9010. Au début, je me retournais pour m'excuser de mon outrecuidance, mais maintenant je n'en ai plus rien à foutre, je me contente des échos de son effroi dans mon dos. En république française, l'égalité est une vertu, tu ne me calcules pas, je respecte ton choix même si je le partage pas, comme dirait la cousine de la femme de chambre de Voltaire. Mais avec tes 60 kilos toute mouillée, je pense que tu aurais du faire un autre choix.
Sinon, il va falloir trouver un truc pour rentabiliser la pratique. Le public concerné est en expansion, mais la plupart des non-pétasses continuent de faire un petit signe, dévie leur course de 3 degrés, prononce "'rdon", me calculent quoi. Quand aux mecs, aucune chance de les inclure dans mon échantillonnage, ils savent depuis longtemps que quand les mec de 130 kilos disent certaines choses, les mecs de 60 kilos les écoutent.
Dans ma démarche de reconversion, je cherchais un métier d'avenir. C'est bon, j'ai eu le grand flash : je vais démonter des clavicules. Je vais me spécialiser dans la mémère de moins de trente ans, enfin toutes celles qui souffrent du syndrome de la princesse, rebaptisée syndrome de la concierge par les sociologues.
Il me faut l'avouer, je succombe parfois aux productions des éditions Harlequin. La jeune femme de modeste extraction qui rencontre le riche (PDG, Héritier, Chirurgien, you choose) qui saura reconnaitre sa richesse intérieure. Après une première approche infructueuse, l'amour éclate, ils se marièrent ou pas selon les époques, et sans progéniture ou pas, ce qui est sur c'est que la richesse intérieure de la fille trouve son équivalent en dollar chez le monsieur.
C'est ainsi que je dévorais avidement l'élégance du hérisson, histoire d'une concierge surdouée et cultivée, méprisée par les habitants bourgeois (beurk) de son immeuble. Ne voila-t-il pas qu'un milliardaire japonais décèle la richesse intérieure de la vieille concierge moche et crassepec, lui offre des éditions reliées en peau de burnes véritables, et lui propose la botte. C'est con, mais c'est mon coté jeune fille qui se gave. Bon, pour faire originale, l'auteuse ne pouvant succomber à une conclusion harlequinesque heureuse fait succomber son héroïne sous les roues d'un camion. Dommage, ça partait bien.
J'aime le postulat de départ : dans l'entourage d'un milliardaire japonais il n'y a que des connes incultes et ramollies du bulbe. L'est chtarbé le vieux, la preuve, ça joue du Mozart quand tu vas aux gogues chez lui.
Et dans les rues, tu ne croises plus que ça des princesses. Celles qui a une autre époque se seraient comportées en braves filles sympas, se croient obligées d'adopter le style pétassier des vedettes kleenex et des arrogantes ministérielles. Outre leurs fringues stéréotypées, leur démarche de mannequin anorexique, leurs pouces tuméfiés à force d'émettre des insignifiances sur leurs phones, elles partagent cette conviction que pour être la star de leur rêve il leur faut définitivement ne surtout pas prêter attention à la populace environnante, déjà honorée de la chance de leur présence.
Bon, moi j'arrive en face, avec mes 130 kilos de mauvaises humeurs quotidiennes, et je repère la petite morue qui affiche ce regard vide de celle qui fait des efforts pour surtout ne pas te calculer. Elle ne voudrait pas décevoir son public. Ben moi non plus je n'aime pas décevoir mon public, et je respecte ma mauvaise humeur au moins autant que d'autres l'écologie. Je décide de ne pas plus dévier ma trajectoire que si elle n'existait pas, la pétasse, pas l'écologie.
C'est ainsi que son épaule se prend 130 kg de réalité charpentée, normes Iso-9010. Au début, je me retournais pour m'excuser de mon outrecuidance, mais maintenant je n'en ai plus rien à foutre, je me contente des échos de son effroi dans mon dos. En république française, l'égalité est une vertu, tu ne me calcules pas, je respecte ton choix même si je le partage pas, comme dirait la cousine de la femme de chambre de Voltaire. Mais avec tes 60 kilos toute mouillée, je pense que tu aurais du faire un autre choix.
Sinon, il va falloir trouver un truc pour rentabiliser la pratique. Le public concerné est en expansion, mais la plupart des non-pétasses continuent de faire un petit signe, dévie leur course de 3 degrés, prononce "'rdon", me calculent quoi. Quand aux mecs, aucune chance de les inclure dans mon échantillonnage, ils savent depuis longtemps que quand les mec de 130 kilos disent certaines choses, les mecs de 60 kilos les écoutent.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Patate a écrit:voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Tu parles d'Uccen ?
Il écrit simplement les choses. J'ai vu évoluer les propos de Pom. De pertinent au début, il est devenu impertinent puis vaguement agressif, mais simplement en se transformant en miroir amplifiant. Certains n'ont pas du apprécier la révélation de leur emphase boursouflée d'ego.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben dis-donc t'as pris du poids depuis histoire semblable avec rappels sur regards qui font tout pour s'éviter tout ça...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben oui, de temps en temps je me transforme en musclor, en gay, en calimero, en homme qui respecte les femmes, le De Niro du forum.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Patate a écrit:voilà. je te l'avais dit. incurable, indécrottable. un dieu sur terre comme un ver dans l'eau.
Tu parles d'Uccen ?
Il écrit simplement les choses. J'ai vu évoluer les propos de Pom. De pertinent au début, il est devenu impertinent puis vaguement agressif, mais simplement en se transformant en miroir amplifiant. Certains n'ont pas du apprécier la révélation de leur emphase boursouflée d'ego.
Muccienne a écrit:Enfin pour couper court à d'autres soupçons infondés,
je n'ai aucune des qualités dont tu me pares et particulièrement pas celle de pouvoir me faire passer pour ce que je ne suis pas,
je suis et trop débile et trop sectaire et trop infatué de ma personne pour ça.
Capisci ?
Lui c'est Lui
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon, bon, d'accord, vous fâchez pas, c'est bon, j'ai pris mes gouttes et je me suis calmé.
Si on peut plus rien demander aux potes...
Si on peut plus rien demander aux potes...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Pour ta Bdthèque, Plateforme de Michel Houellebecq, illustrations d'Alain Dual
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Attention, pour mon 1973° post, j'ai décidé d'envoyer du lourd, du politiquement incorrect, il est fait mention des failles féminines, d'homosexualité latente, il y a du vomi et de la ratonnade. Ce post ne s'adresse en aucun cas aux femmes, aux hommes et aux extra-terrestres. Vous êtes prévenus.
- Les femmes sont des salopes.:
- Les femmes sont des salopes. C'est pas un secret.
Les meufs sont rien que des objets conçus pour nous faire apprécier le haut niveau mystique des slogans des skinheads du Parc du Prince, tout plutôt que de perdre la moitié de son salaire en mojitos de merde. Ceux que cette connasse versaillaise trouve normal de s'enfiler à la santé de ta carte bleue et de ta connerie scrotale, et ceux que tu t'enfiles le lendemain parce que tu n'arrives même plus à te branler depuis qu'elle t'a fait comprendre qu'elle n'était pas prête.
Les hommes ne se rabattent pas sur l'amitié virile et la 33 Export par choix, parler de politique, de football et de la montée trop lente du FN, c'est insupportable. C'est le prix à payer pour obtenir une oreille complice quand tu beugles que cette salope t'a piqué ta baraque, ton fric, tes gosses en t'accusant de pédophilie parce que tu as lavé ta gamine de deux ans sans obtenir son accord devant notaire. Salope, salope, salope. Ouais, t'as raison, toutes des salopes, tu reprends une bière ?
Comment trouver le moindre intérêt à faire semblant de croire à ces glorioles factices de saoulocrates déglingués dans la surenchère ? Moi, tu comprends, si elle avale pas c'est la porte. Moi, pas de blême, quand j'ai décidé que c'était fini, je l'encule pour lui signifier son licenciement. Ma femme suce mal mais au moins pendant ce temps-là elle se tait.
Tu fais semblant de les croire pour dire de te sentir moins seul. Roger, sa femme lui interdit les clopes. Marcel, la dernière fois qu'il s'est fait sucé c'était dans ses rêves. Bernard, pour quémander un petit câlin il jure qu'il adore le tofu, il va jusqu'à renier l'entrecote-frite qu'il se tape en loucedé dés que sa mégère se fait opérer de son fibrome.
On est des hommes, quoi, merde, on ne va pas se laisser emmerder par de la morue avariée. Hein les mecs ? OOOUUUAAAIIS. Patron, y fait soif ici, tu veux perdre du client ou bien ?
- La connerie tient chaud.:
- La connerie tient chaud, elle réconforte.
Et on ne se sent jamais aussi solidaires qu'en scandant notre hymne viril : toutes des salopes, des chiennes, des truies, des biatches, je les encule, je les nique toutes, les vieilles, les jeunes, si je pouvais je me ferais bien un fœtus femelle pour lui exploser le fion, pas par violence, dans un esprit de prévention, limiter l'épidémie femelle, ce cancer de l'humanité.
Les mecs ça manquent diablement de conversation, faut pas les faire chier à négocier du Caravage ou du coucher de soleil. Jolie Frisette placée dans la quatrième à Enghain. Tu as vu le cul de cette salope ? Mais oui, Roger, tout le monde a vu le cul de la dame, calme-toi, t'as raison, c'est vraiment une belle salope.
La délicatesse selon Heineken : une belle salope, c'est le maximum que tu puisses obtenir.
Les hommes font payer aux femmes ce silence gâteux qu'impose la simple présence de Mme Corbineau, préposée de la noble institution que le monde nous envie, La Poste.
Tous au garde-à-vous, comme des condamnés s'alignant volontairement devant un peloton d'exécution, à retenir leurs pets et la super vanne vachement hilarante sur la différence entre une pute et un flipper.
Quand Mme Corbineau a fini de se ruiner en jeux de grattage et qu'elle s'en retourne de par son univers incertain, on lui en veut d'avoir du rester découillé pendant quelques minutes. Prouaaa, tu ne l'avais pas vu venir celle-là, bâtard. La fente connard, y'en a un tu mets la pièce dedans et tu... Laisse tomber t'es vraiment trop con, Roger, Patron tu nous remets les petites sœurs ? Ouais, les mecs ne sont pas des cadeaux. Pour se les faire, il faut vraiment avoir une bonne raison.
- Et Dieu créa la femme.:
C'est difficile à décrire ce truc, d'abord personne n'a jamais compris comment ça fonctionnait. Ça te parle d'amour, et ça fléchit des genoux devant un caillou ou une Maserati. Ça t'impose la tendresse qui fait bien chier, et ça se fait embroquer par le premier voyou distributeur de mandales en appelant sa mère tout en priant pour qu'elle ne rentre pas dans sa chambre d'adolescente aux hormones en furie. La femme, ça veut rien que faire des gosses, ça flatte ton immense talent en vérifiant ton relevé de compte bancaire et en espérant que ton génie relève un peu le niveau de sa descendance dégénérée.
Faut t'y faire mon gars, tu n'es rien qu'un petit robinet. On te demande de cracher quelques gouttes une fois tous les deux ans, et du pognon le reste du temps. Oui, oui, mon chéri, tu as beaucoup de talent, tu aimes ma nouvelle robe ?
La femme est perfide, le combat est inégal, elles ont le mode d'emploi de nous autres pauvres victimes.
Une flatterie, un bout de fesse, le regard soumis, il n'y a que toi qui me comprenne mon grand loup, et hop, le grand loup construit des jacuzzi, va libérer l'Afghanistan, dégomme l'impudent qui manque de respect à sa bourgeoise. Il se fait bien, bien, chier parce qu'il croit qu'il a touché le gros lot, le Grand Prix de Diane dans l'ordre, Shéhérazade en string, mais qu'il est con, ce con !
Le mec est tellement con que si dans un élan compassionnel propulsé par deux litres de Vodka tu mets ton bras sur ses épaules en lui soufflant à l'oreille "Roger, tu mérites la légion d'Honneur pour supporter ta rombière depuis tantdetant", le cocu officiel se relève comme un lutteur cherchant son deuxième souffle, te balance une baffe et s'écroule en vomissant "tu parles pas comme ça de Germaine, salaud". Sa connerie le pousse à se croire au volant d'une Ferrari quand il tringle sa Mégane défraîchie. Non, le connard il faut lui dire que le tas de saindoux qui lui sert de bouillotte, on s'en ferait bien un garage à bite, et qu'il a une chance de cocu de niquer un canon pareil, le cocu. Tu ne dois pas te faire chier, mon salaud. Là, le mec il est content et il entend le faire savoir : "le premier qui touche à Germaine, il est mort". Il est content. Cocu, mais content.
- Personne n'est à l'abri d'un faux pas:
A moins de le priver de 1664 ou de tiercé, l'homme n'avouera jamais à ses potes qu'il s'est fait niquer à la loterie conjugale, sa dignité est en jeu. Il va se plaindre, il va ridiculiser sa bonne femme, mais le premier qui en dira du mal se prendra une soupe de phalanges. Pour éviter ça, l'homme finit par comprendre que le mieux est de ne jamais se plaindre de sa régulière, sinon il signe un chèque en blanc aux autres poivrots qui aimeraient gerber sur leur dragon familial, mais qui ont compris qu'il valait mieux fermer sa gueule sur le sujet pour ne pas passer pour un con.
Seule solution, l'amalgame. "Toutes des salopes, hein les gars ?" OOUUAAIIIS. A boire, camarade syndiqué.
Mais il y a pire que de dire du mal de sa régulière dans un établissement asservi à la délivrance de boissons fermentées, c'est d'en dire du bien. Faute. Grave. Tu vois Rachid, t'as beau être un melon, je peux te le confier, quand Alysson enfile ses bas le matin, je suis encore tout ému après dix ans de mariage, elle a des jambes de reine. Le natif de Djerba va mettre en relation ses deux neurones pour aboutir à deux conclusions fatales "Yala, mais quelle fiotte ce bouffon", et juste après "je vais lui montrer ce qu'est un vrai mec à Alysson, Dieu m'est témoin, je ne peux pas la laisser mourir sans avoir connu le bonheur de mon zgueg."
Forcément que les hommes boivent, comment pourrait-il en être autrement. Dix ans de sélection universitaire acharnée pour ton poste au CNRS, dont tout le monde se fout, les plus cléments évitant de te cracher à la gueule en regardant ton bulletin de salaire. Dix ans à devenir un des meilleurs mondiaux dans la recherche sur la thermodynamique des fluides, et personne ne te cède une place assise dans le métro. La loose totale, une vie ratée, entourée de bovins qui ne connaissent des fluides que la proportion juste et consciencieuse de l'eau dans le pastis.
Et puis un jour tu accordes un peu de cette intelligence merveilleuse, tu fais l'aumône de ton temps à une petite blondinette moche qui semble en mesure de prendre la juste mesure de ton vaste génie, tu prends ton temps, pas lui faire surchauffer le bulbe, tu tiens la chance de ta vie de faire passer un mammifère primaire au niveau de bête pensante. Elle se tait, elle écoute, elle est emportée par le flot envoûtant de la thermodynamique. La suite, vous la connaissez, il dira "j'ai pas compris."
- Mais il va me baiser ce con ?:
- Soyez magnanime, n'ajouter pas de l'effroi à son ignorance, n'allez surtout pas lui dire que pour se taper plus de trois minutes de thermodynamique il faut vraiment qu'une femelle soit en manque d'hormone ou en saturation, en tout cas que la nature ait porté son verdict : ce sera celui-là, sinon tu vas encore terminée seule devant ta page FaceBook.
Et pourtant, la femelle lui a envoyé du signifiant au génial chercheur. Elle s'est tripoté les cheveux, les genoux, les épaules, elle a souri niaisement, a hoché de la tête mille fois, a fait tomber son portable trois fois, s'est rendue deux fois aux toilettes où elle a attendu vainement que le génie viennent lui culbuter l'intime. Elle s'est inquiété d'une homosexualité latente, a vérifié son maquillage, a déboutonné de ce qui lui restait à déboutonner, a vérifié son odeur intime d'un geste discret, mais merde, qu'est-ce que j'ai qui ne va pas ?
Comment expliquer à cette buse diplômée qu'un poste de chercheur au CNRS, ça vous classe entre agent de sécurité et guichetier à la sécu. La dernière fois qu'on a trouvé quelque chose au CNRS c'était les clefs de la Nissan de la secrétaire qu'un petit plaisantin avait dissimulé sous la machine Nespresso. C'est qu'on ne perd pas son humour dans les hautes sphères. Comme le dit le philosophe Robert "il y a en qui cherchent, il y en a qui trouvent, moi, je trouve qu'il fait soif. La même chose, Patron."
Tout homme qui s'adresse au cerveau d'une femme est un onaniste en puissance. Tu ne fais pas réfléchir du concentré d'émotion, ce n'est pas le bon code. Il faut penser émotion, il faut parler émotion, il faut dormir émotion, sinon c'est la rupture de faisceau garantie. Allo la terre, Houston ne répond plus. Un seul sujet de conversation valable : elle.
Toutes leurs phrases commençant par "qu'est-ce que tu penses de..." ne sont jamais prévues pour savoir ce que nous pensons, jamais, pas la peine d'élaborer une réponse pertinente, c'est du temps perdu pour tout le monde. "Qu'est-ce que tu penses de la Fiat 500 Abarth ?" veut dire "elle est vraiment craquante celle avec les ailerons oranges, je la veux tout de suite, maintenant, hier ça serait mieux." Et le mec moyen parle de la fiabilité aléatoire, du trois cylindres poumonesque, du test qualité/performance du dernier numéro de l'Auto Journal, abruti, mais il le fait exprès ou quoi ?
Et si elle l'interroge sur ce qu'il pense des Baléares, ce n'est pas pour avoir la longueur de la piste de l'aéroport, c'est pour vérifier qu'il n'y a pas déjà culbuté une de ses ex dans ce merveilleux petit hôtel que sa copine Manon a trouvé foooormidaaable.
- La fessée:
- Passons sur quelques caractéristiques mineures, comme leur capacité à élever nos enfants ou celle de nous suivre au bout du monde pour peu qu'on y soit, et concluons sans faillir : la femme n'est pas au point. Ils ont du prendre un programmeur Pakistanais pour pisser du code, je ne vois pas d'autre explication. Il y a des économies que l'on regrette, un cerveau se serait avéré utile comme option. Ou bien un peu d'humour. Ils ont vraiment travaillé à l'économie. Le prix s'oublie, la qualité reste.
Parlons-en de la qualité. Ce truc n'est vraiment pas au point, surtout en ce qui concerne les voyants du tableau de bord. S'il suffisait de faire le contraire de ce que les alarmes te signalent, on pourrait encore y arriver, mais ça ne marche pas toujours. Le voyant "si tu me trompes, je te tue", tout le monde a compris qu'il fallait répondre "oui, moi aussi je t'aime ma chérie", ou que oui n'est pas la bonne réponse à "mais tu me prends pour une conne ou quoi ?", alors que c'est la pure vérité. Hein les mecs ?
Quand "tu ne trouves pas que j'ai pris du poids ?" s'allume au tableau de bord, il faut vite sortir le manuel. Est-ce qu'elle a juste envie de me prendre la tête ? Est-ce qu'elle veut savoir si je suis suffisamment soumis pour lui confirmer que la cellulite est super sexy sur elle ? Ou est-ce qu'elle a juste envie de me faire chier parce que Robert vient manger à la maison ce soir, et qu'elle cherche un prétexte pour ne pas faire la tambouille ? L'analyse du terrain doit être minutieuse, le moindre faux pas et c'est la sortie de route.
La femme est une fervente de l'hygiène. Quand elle a ramassé de la merde toute la journée, sa coiffeuse qui lui a raté le dégradé, de toute façon celle-là je ne l'aime pas, qu'un flic lui a collé un PV, alors qu'elle ne s'est arrêté que cinq petites minutes rue de Rivoli, ou qu'il ne restait plus sa taille pour ce splendide ensemble repéré depuis trois semaines avant les soldes, et bien quand elle rentre à la maison, la femme fait ses ablutions. Elle se nettoie l'intérieur pour se rendre bien disponible pour sa petite famille chérie. Et comme elle est adepte de la communication elle va te saouler jusqu'à plus soif de tous ses petits malheurs. Une fois propre, elle va te faire un grand sourire et te demander si tu l'aimes. Et elle va ajouter "et toi chéri, ta journée c'est bien passée ?". Comme réponse, un "Groumf" est largement suffisant. Parce qu'elle s'en fout complètement, elle vient de faire sa toilette, maintenant laisse la se diriger vers la cuisine.
Rarement, et heureusement, le panneau des voyants se met à clignoter comme un sapin de noël. C'est la défaillance système, les émotions se percutent entre elles comme des électrons libres, plus rien ne fonctionne. A situation extrême, réponse drastique, il faut rebooter.
Pourquoi tout le monde tape sur un appareil en panne ? C'est censé rénover une bobine au tapis, un circuit imprimé défaillant, un carburateur engorgé ?
C'est un vieux réflexe primaire, le seul efficace pour les surchauffes de ces dames, la seule voie d'accès à leur centrale émotionnelle, il faut refroidir le coeur de toute urgence, sinon c'est Tchernobyl.
Oublions les "je t'aime", ne perdons pas de temps avec des mots, la fessée, tout de suite, le point de fission est proche.
Se transformer en pompier n'est pas chose facile. Il faut lutter contre une éducation inhibitrice du geste salvateur, et en plus il faut se bouger du canapé sans avoir le temps d'enregistrer la partie en cours de Fifa World Cup 15. L'effort est violent pour maîtriser le droïde qui s'agite en pleine crise, le placer en position et lui infliger la fessée en sur-cutané. Les coups et les insultes pleuvent, il faut se montrer intraitable face aux éléments déchaînés.
Quand les barres de refroidissement ont enfin calmé la pile atomique, une purge du système devenu hautement radioactif est impératif, il faut laisser les larmes s'écouler. La menace écartée, la femelle va venir se blottir contre l'épaule de son tourmenteur improvisé et lui confier dans un murmure apaisé "je ne sais pas ce que j'ai en ce moment, je me sens vilaine, ne me regarde pas, je dois être affreuse avec mes larmes" et s'endormir comme un bébé après son rôt.
- Retour à l'équilibre:
- Et il ne faudrait pas que ça se reproduise trop souvent, parce que c'est vraiment l'enfer. Pendant, ce n'est pas le pire, la PS3 transformée en instrument fesseur est morte, mais ils viennent de sortir la PS4. C'est après que les ennuis commencent. La première nuit est un cauchemar, parce que la pile atomique refroidie se plaque contre son grodoudou, pas moyen de fermer l’œil. Et maintenant qu'elle sait qu'elle peut compter sur toi en cas de surcharge émotionnelle fatale, elle va t'honorer du bonheur de toutes ces agaceries, de ces petits mamours, de ces bisouilleries insupportables qui te rappellent la nuée de moustiques lors de tes dernières vacances au camping "Le Flamand Rose", en Camargue.
Et là, pas question de fessée, ce serait totalement inapproprié.
Un long travail de déconstruction est à entreprendre pour régler à nouveau le logiciel. C'est un véritable travail de fourmi, il faudra répéter cent fois "on mange quoi ce soir" en ouvrant la porte, "non, j'ai oublié de descendre la poubelle" et éventuellement "elle est sympa la petite Margaux, tu ne trouves pas chérie ?". Parce qu'elle sait qu'elle peut compter sur toi, d'accord, mais pas question qu'elle te traite comme un précieux marmot de cinq ans. Quand elle te triture le lobe de l'oreille depuis quinze minutes, on se demande toujours si elle compte faire surgir un génie ou du pétrole. Il devrait exister des sanctions pour ça.
Alors il faut employer le même geste que pour un moustique, ça calme, le regard est réprobateur, mais ça calme.
Et si la bougresse te tend son postérieur tentateur en commémoration de cette soirée inoubliable, résiste de toute ton âme. Si jamais elle y prend goût, tu utiliseras quoi à la prochaine explosion nucléaire, un démonte-pneu ?
Un réglage satisfaisant du logiciel peut être confirmé à la première réprobation concernant les gouttes sur la lunette des toilettes. Tout est rentré dans l'ordre.
- Au-dessus, c'est Jérusalem.:
On parle des mauvais conducteurs, des mauvais enseignants, des hommes politiques, il ne faudrait pas oublier les hommes qui mélangent tout au niveau du tableau de commande, qui ne se montreront jamais pragmatiques et ne retiendront aucune leçon de leurs erreurs passées. Toute sa vie, Ray Charles a cru qu'il était pianiste, certains hommes croient comprendre les femmes, ce ne sont que des dyslexiques du code féminin.
Non, je t'interdis de les plaindre, oui, toi, la petite rouquine avec tes yeux qui vont par deux, nada, aucune compassion pour ces pourceaux. C'est qu'ils nous les abîment nos petites chéries. On voit bien que ce n'est pas toi qui passe derrière pour le réglage. Du bricolage d'amateur, du ni fait ni à faire, des inversions de commande, du câblage hasardeux, du travail de moujik.
Ils n'ont rien écouté en classe, ils n'ont retenu que deux ou trois vagues notions et se prennent pour des surhommes parce qu'ils parviennent à tremper leur biscuit pour quelques nuits.
Je déteste ces mecs. Ils m'incitent presque à tomber dans le panneau du "moi, je comprends les femmes". Ils m'arrivent même d'avoir envie de les protéger, c'est pour vous dire le délire, comme si elles avaient besoin de moi pour ça, ces salopes. Je résiste à ces funestes réflexes. Il faudrait que l'on revienne à des pratiques ancestrales. Quand un mec nous abîme nos femelles, on devrait lui défoncer la gueule pour lui apprendre l'amour et le respect à coup de santiag dans les glaouis. Du préventif, parce qu'après, bonjour la galère.
De toute éternité, le type qui commet une faute de goût est rapidement ostracisé. Celui qui te propose de goûter à sa femme pour que tu puisses constater par toi-même la connasse qu'il doit supporter, il est mort. Celui-là mettra tout le monde mal à l'aise. Les femmes le dézingueront entre elles (sans connaitre personne sur ZC, je peux fournir la liste des connards à éviter à qui m'en fera la demande), et les hommes lui souriront poliment en le méprisant comme le dernier des bâtards. Toutes des salopes, on est bien d'accord, mais c'est ta femme, bordel de merde, tu m’écœures.
Ce genre de minable vous ferait presque passer le goût de la bière. Je dis bien presque.
- ça ressemble vaguement à un mec:
- Mais l'époque actuelle nous a concocté une sorte d'hybride, un truc redoutable, un virus crapoteux : la petite connasse hystérique avec une paire de couilles et un tout petit zizi. J'ai longuement hésité avant de mettre couilles au pluriel, les scientifiques s'interrogent encore sur la classification à adopter. Une gonzesse sans les qualités d'une gonzesse, ou un mec sans les qualités d'un mec ?
Et il n'y a pas que les scientifiques qui soient perturbés, pour les nanas je ne vous raconte pas le massacre, elles deviennent toutes bizarres lorsqu'elles choppent ce virus.
A l'analyse rien de connu ne semble pertinent. De loin, ça ressemble vaguement à un mec, ça parle fort, ça méprise tout le monde, ça rote, c'est persuadé d'être le plus bel étalon que la terre n'est jamais porté. En se rapprochant, quelques signes donnent l'alerte, ça frétille comme une gonzesse, ça fait des grands gestes pour capter l'attention, ça coupe la parole en poussant des petits cris hystériques, et ça ne rate jamais une occasion de montrer son cul pour exprimer son mépris. La tafiole hétérosexuelle est confirmée. Mais poursuivons notre analyse.
A moins d'avoir devant lui un décorateur d'intérieur ou un coiffeur, l'homme de base est déstabilisé par ce comportement émanant d'un hétéro, doit-il lui serrer la main comme un mec, ou lui balancer un uppercut pour que la gazelle hystérique se calme ? Le jour où Robert se comporte comme ça, j'appelle le Docteur Phillipot pour qu'il me l'embastille d'office. Je lui avais dit que quinze pastagas avant midi c'était abuser. Dans le doute, tu t'assois, tu bois ta bière et tu observes l'OGM.
Cette horripilante puce gazouillante étale son immense savoir encyclopédique, te regarde comme un étron sur la pointe de ses Converses et ponctue de soubresauts chacune de ses géniales remarques. Un gros con de mec câblé avec du matériel de gonzesse, l'horreur absolue. Quand ça te pose une question, c'est pour t'inonder de son génie absolu, quand il s'intéresse à toi c'est en tant que spectateur ébloui de sa divine personne. Robert, retiens-moi ou je lui démonte la tête.
Georges et Robert avaient pris la résolution d'entrer dans la modernité, d'étudier les moeurs locales. Bon, sinon, elles sont les gonzesses ?
- Où sont les femmes ?:
- Ben elles se morfondent au fond du bar, à picoler des cocktails super exotiques, des mélanges de jus de fruits à la con et du thé pas trop infusé parce que je fais de la tachycardie, rien que des trucs de dépressives délaissées. Et là, Robert et moi, on est tombé dans le panneau : on va ranimer ce troupeau esseulé avec nos instruments vintages. On s'approche des brebis égarées, on encercle le troupeau, tel des vampires de la TNT, on mord à pleines dents leur chair offerte. Beeuurrkk, de la cendre, du sandwich moisi, du Prozac en infusion. Le pouls est faible, la carnation chlorotique, l'oeil aussi expressif qu'un plan fixe de Godard, tout juste si une vague odeur de pieds ne vient pas compléter le tableau.
Elles avaient choppé le virus de la narcissique couillue ! Fatalitas.
Tout vétérinaire consciencieux aurait fait immédiatement abattre le troupeau, mais Robert et moi, on n'en avait rien à foutre de ces connes. Notre attention pleine et entière se porta sur l'olibrius pervers et sur la recherche d'une solution finale. Le virus Ebola c'est de la rigolade pour maternelle à coté de la pétasse hystérique testostérone-like.
Munis de bouchons d'oreilles renforcés, on s'est rapproché et on a détaillé le camouflage masculin, de la barbe rebelle, de... Non, rien d'autre pour jouer à l'homme. De la chevelure étudiée, du slim à tous les étages, des gestes que même Greta Garbo n'aurait jamais osé réaliser, il ne manquait plus que le maquillage. Mais attention, des gestes agressifs avec des petits poings musclés, des provocations viriles digne du bal des débutantes, Pietragala dans le rôle de Terminator.
On a remis le son. Moi et ma science, moi et mes amours, moi et mon intelligence absolue, moi et moi. On avait beau se sentir deux gros bourrins à coté de ces extra-terrestres virevoltant, le message était clair : moi, et tagle. Tu m'étonnes que les choupinettes fussent exsangues. Georges et Robert gardaient leur confiance dans la théorie de l'évolution, si des mecs étaient conduits à se comporter comme des choupinettes extasiées, c'était forcément dans le but de niquer à tour de bras, un phénomène d'adaptation réciproque à cette génération de drôlesse qui prétendent qu'on leur casse les couilles et qui se croient sensuelles à exhiber leur fente sous des leggings moulants.
- Nourredine, mon frère, mon poteau:
- Restait à étudier l'interaction. Georges et Robert étaient préparés à tout accepter, à une condition, que ces trous-du-cul frétillants baisent ces veaux amorphes. Le spectacle qui suivit leur laissa la nostalgie des gros cons turfistes qui ne juraient que par Saint-Zlatan. Au contact des femelles, les froufroutantes gazelles se lancèrent dans une gigue endiablée, ils se trémoussèrent pour propulser leur mépris séducteur, ils lancèrent sur les mammifères hébétées des tances vengeresses, des apostrophes méphistophéliques, du sable dans les yeux, persuadés de renouer avec la tradition virile de leurs ancêtres. Putain de dégénérés de merde.
Robert et moi, on s'est fait tout petits, on s'est dit qu'on ne comprenait plus rien aux règles du jeu, il y avait trop de baffes à distribuer, on ne se sentait pas de taille. Les filles avaient l'air de détecter la signature d'un esprit supérieur quand les bouffons les traitaient de putes, et leur signifiaient leur grande faute de refuser de s'incliner devant leur intelligence absolue. Cette race abâtardie confondait virilité et humiliation. Robert m'a fait remarquer un sadisme préférentiel exercé sur les races inférieures, noire, niakouée, goy, berrichonne. De la viande menée au sacrifice, victime consentante de Baal-Moloch. Robert en a gerbé son sandwiche de voyou (Hareng à l'huile, oignons, pomme de terre). Et pourtant le Robert il a l'estomac solide, les talents de cuisinière de Josiane ne sont plus à démontrer, l'empoisonneuse du canal du midi ne lui ferait aucun effet au Robert.
Mais c'était trop. Ces petites putes hystériques qui se prennent pour des bûcherons canadiens quand ils défèquent sur les bonnes femmes, c'était trop pour son âme primesautière. La gerbe flamboyante est partie en droite ligne, direction la gazelle en chef, putain, le con, dire qu'on voulait apprendre les codes de la nouvelle génération.
Nourredine, t'as beau être un bicot, on te prie d'accepter nos excuses, miskine. Question de survie. C'était ça ou l'embolie tafiolesque, la contamination par le MAL. Envoie nous la facture, tu peux toujours te l'arrondir avec ton plug de contrebande pour qu'on te rembourse les dégâts, sale arabe de merde, il y avait urgence, fallait qu'on détruise, c'était le seul moyen, c'est ton troquet qui a morflé, il n'avait qu'a pas se trouver là. On t'en veut pas de bouffer avec une paille, on te remercie de nous avoir démantibuler les mandibules, c'était une question de vie ou de mort. Quand je pense qu'il nous a fallu un raton pour survivre, j'ai envie de violer Marine pour me rétablir le moral. Elle est grosse, elle est alcoolique et décolorée mais elle ressemble encore vaguement à une femme.
Salopes !
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'en crois pas mes oreilles. Linkedin me propose un poste de Responsable du secteur de l’action sociale au CNRS. Deux doigts sur chaque amygdale et l'anneau de Waldeyer, je vomis et je reviens.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Six fais gaffe à ton karma ou tu vas te retrouver réincarné en Jardinier Brun
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
No problemo, j'avais été épaté en regardant cette vidéo.
il y a du boulot, mais c'est la pure classe.
Few birds ... such craft, effort and ingenuity to achieve this life defining moment.
La pure classe.
D'ya screw da bitch, bro' ?
Yes, I achieve with Rebecca this life defining moment.
il y a du boulot, mais c'est la pure classe.
Few birds ... such craft, effort and ingenuity to achieve this life defining moment.
La pure classe.
D'ya screw da bitch, bro' ?
Yes, I achieve with Rebecca this life defining moment.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'adore les commentaires de la vidéo sur Youtube :
- The dude only lasted for like 3 secs LOL .... He worked his ass for how many fucking years only to get the booty for 3 secs .... What a complete loser he is LOL ...
- Nice ass shot BBC
- Poor bird, all that for nothing. Should have bought a lambo.
- So I build her a nest. Bitches love nests.
- We are so much more evolved, we will work 60 hours a week to buy a car we can not afford to assist in our getting laid.
- The dude only lasted for like 3 secs LOL .... He worked his ass for how many fucking years only to get the booty for 3 secs .... What a complete loser he is LOL ...
- Nice ass shot BBC
- Poor bird, all that for nothing. Should have bought a lambo.
- So I build her a nest. Bitches love nests.
- We are so much more evolved, we will work 60 hours a week to buy a car we can not afford to assist in our getting laid.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
...eh bien dansez et chantez maintenant !
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je vais peut être faire un passage en Suisse pour Noel, tu te joins à moi Numéro6 ? On dirait que t'as des affaires par réglés !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Notaaaa,
Je t'ai trouvé une vidéo qui devrait t'intéresser.
Cette vidéo parle de deux choses que je cherche depuis un paquet de temps.
1. Pourquoi le niveau cognitif global est en baisse, et pourquoi il devient problématique d'être intelligent.
2. Les HPI ne font pas de crise d'adolescence au sens classique, voir pas du tout.
Je t'ai trouvé une vidéo qui devrait t'intéresser.
Cette vidéo parle de deux choses que je cherche depuis un paquet de temps.
1. Pourquoi le niveau cognitif global est en baisse, et pourquoi il devient problématique d'être intelligent.
2. Les HPI ne font pas de crise d'adolescence au sens classique, voir pas du tout.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je t'en roule un au Sopalin, gourmande ? Ça c'est du pet de compétition mamie, tu assures ?
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai horreur de faire de la pub pour la concurrence, mais là vraiment je salue bien bas Kalthu.
Après s'être investi dans le phénomène zèbre et sa critique, la tigrolution, il nous sort une monumentale paire de couilles pour dire : fausse route. J'ai compris que je me suis trompé.
Alors, là, mesdames, chapeau, sans agressivité, sans cracher dans la soupe, respectueux de ceux qui trouvent leur compte sur le forum, il explique sa démarche.
C'est ici.
Après s'être investi dans le phénomène zèbre et sa critique, la tigrolution, il nous sort une monumentale paire de couilles pour dire : fausse route. J'ai compris que je me suis trompé.
Alors, là, mesdames, chapeau, sans agressivité, sans cracher dans la soupe, respectueux de ceux qui trouvent leur compte sur le forum, il explique sa démarche.
C'est ici.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Oui, je sais Uccen que tu le dis depuis toujours, mais toi c'est toi.
Sur Zebra Crossing, pour qu'un des piliers viennent dire "je me suis trompé et je prend la peine de vous expliquer pourquoi je pense ça", il faut une sacrée paire de bolloch.
Sur Zebra Crossing, pour qu'un des piliers viennent dire "je me suis trompé et je prend la peine de vous expliquer pourquoi je pense ça", il faut une sacrée paire de bolloch.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La raison triomphe. C'est beau. A ceci près qu'ensuite la raison s'en va vivre sa vie, pendant que les nouveaux viennent s'enliser les pieds dans la mouise.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comment en viens tu à cette conclusion ? Tu penses qu'il a enfin ouvert les yeux ? Sur quoi ?Numero6 a écrit:J'ai horreur de faire de la pub pour la concurrence, mais là vraiment je salue bien bas Kalthu.
Après s'être investi dans le phénomène zèbre et sa critique, la tigrolution, il nous sort une monumentale paire de couilles pour dire : fausse route. J'ai compris que je me suis trompé.
Alors, là, mesdames, chapeau, sans agressivité, sans cracher dans la soupe, respectueux de ceux qui trouvent leur compte sur le forum, il explique sa démarche.
C'est ici.
Je penses qu'il en a juste marre.
Je suis toujours étonné des multiples façons qu'il existe d'aborder un texte.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Marre de quoi ?Bibo a écrit:
Je penses qu'il en a juste marre.
Oui, c'est encore plus spectaculaire, quand c'est l'hauteur lui même, qui essaye de comprendre ce qu'il a voulu dire !Bibo a écrit:Je suis toujours étonné des multiples façons qu'il existe d'aborder un texte.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_la_personnalité_narcissique
A la base le sujet qui m'intéresse est plutôt le "manque d'empathie". J'aimerais collecter un maximum d'éléments objectif concernant ce sujet. Comment ça fonctionne dans le fait. A quel moment on peut être sûr qu'il y a un manque d'empathie. Est ce que la "quantité d'empathie" peut varier dans le temps. Dans quelles directions. Etc.
Bon il faut en avoir 5. Combien de ces traits, à minima, une personne se doit d'avoir pour être présente ici ?
Le patient présente au moins cinq des symptômes suivants :
- le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;
- est absorbé par des fantasmes de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d'amour idéal ;
- pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;
- montre un besoin excessif d'être admiré ;
- pense que tout lui est dû : s'attend sans raison à bénéficier d'un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;
- exploite l'autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins (mensonges, chantages, violence verbale, etc.) ;
- manque d'empathie : n'est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d'autrui ;
- envie souvent les autres, et croit que les autres l'envient ;
- fait preuve d'attitudes et de comportements arrogants et hautains.
A la base le sujet qui m'intéresse est plutôt le "manque d'empathie". J'aimerais collecter un maximum d'éléments objectif concernant ce sujet. Comment ça fonctionne dans le fait. A quel moment on peut être sûr qu'il y a un manque d'empathie. Est ce que la "quantité d'empathie" peut varier dans le temps. Dans quelles directions. Etc.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
stauk a écrit:Bon il faut en avoir 5. Combien de ces traits, à minima, une personne se doit d'avoir pour être présente ici ?
Tu t'en comptes combien, toi? ça m'intéresse...
CandyNeige- Messages : 201
Date d'inscription : 06/11/2014
Age : 48
Localisation : oise
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
CandyNeige a écrit:Tu t'en comptes combien, toi? ça m'intéresse...stauk a écrit:Bon il faut en avoir 5. Combien de ces traits, à minima, une personne se doit d'avoir pour être présente ici ?
Le patient présente au moins cinq des symptômes suivants :
- le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;
NON - est absorbé par des fantasmes de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d'amour idéal ;
OUI - pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;
OUI - montre un besoin excessif d'être admiré ;
~sais po (0,5 ??) - pense que tout lui est dû : s'attend sans raison à bénéficier d'un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;
NON - exploite l'autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins (mensonges, chantages, violence verbale, etc.) ;
NON (j'espère !) - manque d'empathie : n'est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d'autrui ;
NON (je me demande qui va répondre oui .. :-) ) - envie souvent les autres, et croit que les autres l'envient ;
Je crois pas. Disons que ça me parle pas plus que ça. - fait preuve d'attitudes et de comportements arrogants et hautains.
OUI
Score minimum : 3/9
Score lissé : 4/9 (en prenant en compte les réponses où je suis pas trop sûr, tout ça)
Après je suis pas convaincu que cette page wikipedia soit super fiable. Mais voilà quoi.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Meuh non, la raison ne triomphe pas, l'expérience est finie, c'est tout.stauk a écrit:La raison triomphe. C'est beau. A ceci près qu'ensuite la raison s'en va vivre sa vie, pendant que les nouveaux viennent s'enliser les pieds dans la mouise.
Et les petits nouveaux, ben, ils feront comme les vieux nouveaux... ils prendront ce dont ils ont besoin puis ils repartiront... L'impression de s'enliser, n'est qu'une impression.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@stauk
Bon, ben t' es pas trop narcissique, alors, c'est rassurant!
Bon, ben t' es pas trop narcissique, alors, c'est rassurant!
CandyNeige- Messages : 201
Date d'inscription : 06/11/2014
Age : 48
Localisation : oise
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
En réponse à un MP, je suis encore parti dans mes délires, et j'ai choisi d'en faire profiter la communauté.
"Beaucoup ne semblent pas au fait des mécanismes de projections, de transferts, de contre-transferts, de double contrainte, et de tous ces tsouins-tsouins qui font que généralement les relations sont pourraves. "
J'ai connu l'époque du début de la psychiatrisation du langage, dépressif en lieu de triste, parano à la place de pas d'accord avec moi.
Transferts et autre concepts psychanalytiques, c'est une confusion des genres et du rôle des mots. Dés que les mots ne sont plus utilisés dans leur acceptation initiale, c'est que l'on mélange deux choses différentes.
Cela fait déjà un moment que j'ai fini par accepter que la réaction initiale d'une personne que l'on croise pour la première fois dépend plus des générations qui l'ont précédée, des échanges qu'elle a eu depuis sa naissance, infiniment plus que des quelques secondes d'interaction que l'on a eues avec elle.
Mais la plupart des gens s'adaptent à leur interlocuteur. Moi qui entre dans la catégorie bizarre, je vois leur regard changer très vite, en quelques minutes. Soit être complètement perturbés parce que leurs repères habituels ne sont pas là, soit être séduits par ce truc différent qui offre un autre champ de possibles.
Mais il y a une catégorie qui me met dans une rage folle, c'est celle des gens qui impose leur réalité en tant que préalable aux négociations. Ils sont là, donc je dois me comporter d'une certaine manière, que eux ont fixée. C'est le cas notamment de certains malentendants. J'avais trouvé la parade. Cette personne qui me demandait de parler lentement, face à elle, en détachant bien les mouvements de mes lèvres, je glissais, sans bouger les lèvres, à pas plus de 3 dB, "mais quelle conne", et je continuais sur le propos en cours. La mal-entendante avait un sursaut. Les plus connes d'entre elles qui ne voyaient pas le piège me demandait carrément "qu'est-ce que vous avez dit ?". Elles entendaient un murmure, et il fallait que je me plie à leurs simagrées de singe hurleur. Fuck.
Sur ce forum, c'est pareil. L'obstacle le plus facile à déjouer est celui de l'intelligence proclamée, l'humour décalé suffit.
Pour la sensibilité revendiquée, j'ai trouvé autre chose. Si une personne se déclare blessée par mes propos, j'efface tout. Dans les cas de vraie sensibilité, j'ai le droit à un petit merci. Dans le cas de ceux qui veulent se faire mousser, j'ai le droit à de la fausse compassion "je ne voulais pas te blesser, je ne comprends pas pourquoi tu te vexes, reviens Gaston, j'ai les mêmes à la maison."
"Beaucoup ne semblent pas au fait des mécanismes de projections, de transferts, de contre-transferts, de double contrainte, et de tous ces tsouins-tsouins qui font que généralement les relations sont pourraves. "
J'ai connu l'époque du début de la psychiatrisation du langage, dépressif en lieu de triste, parano à la place de pas d'accord avec moi.
Transferts et autre concepts psychanalytiques, c'est une confusion des genres et du rôle des mots. Dés que les mots ne sont plus utilisés dans leur acceptation initiale, c'est que l'on mélange deux choses différentes.
Cela fait déjà un moment que j'ai fini par accepter que la réaction initiale d'une personne que l'on croise pour la première fois dépend plus des générations qui l'ont précédée, des échanges qu'elle a eu depuis sa naissance, infiniment plus que des quelques secondes d'interaction que l'on a eues avec elle.
Mais la plupart des gens s'adaptent à leur interlocuteur. Moi qui entre dans la catégorie bizarre, je vois leur regard changer très vite, en quelques minutes. Soit être complètement perturbés parce que leurs repères habituels ne sont pas là, soit être séduits par ce truc différent qui offre un autre champ de possibles.
Mais il y a une catégorie qui me met dans une rage folle, c'est celle des gens qui impose leur réalité en tant que préalable aux négociations. Ils sont là, donc je dois me comporter d'une certaine manière, que eux ont fixée. C'est le cas notamment de certains malentendants. J'avais trouvé la parade. Cette personne qui me demandait de parler lentement, face à elle, en détachant bien les mouvements de mes lèvres, je glissais, sans bouger les lèvres, à pas plus de 3 dB, "mais quelle conne", et je continuais sur le propos en cours. La mal-entendante avait un sursaut. Les plus connes d'entre elles qui ne voyaient pas le piège me demandait carrément "qu'est-ce que vous avez dit ?". Elles entendaient un murmure, et il fallait que je me plie à leurs simagrées de singe hurleur. Fuck.
Sur ce forum, c'est pareil. L'obstacle le plus facile à déjouer est celui de l'intelligence proclamée, l'humour décalé suffit.
Pour la sensibilité revendiquée, j'ai trouvé autre chose. Si une personne se déclare blessée par mes propos, j'efface tout. Dans les cas de vraie sensibilité, j'ai le droit à un petit merci. Dans le cas de ceux qui veulent se faire mousser, j'ai le droit à de la fausse compassion "je ne voulais pas te blesser, je ne comprends pas pourquoi tu te vexes, reviens Gaston, j'ai les mêmes à la maison."
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"les idées en général ne m'intéressent pas beaucoup dans la mesure où elles restent dans le registre du mental et dans le mental, tout est plausible"
Ah que oui. Dans la vidéo "The NET, voyage en cybernétique", Heinz Von Foerster décrit parfaitement cela vers 01:10. Il y a les choses que je peux savoir, et les choses que je ne peux pas savoir. Il prend l'exemple de la création de l'univers et les 35 théories possibles. Ce qui compte c'est la beauté de l'hypothèse. Les déductions s'enchainent sans limites. C'est un domaine fascinant.
Il y a les choses que l'on peut savoir. La réalité. Les hommes et les femmes c'est pas pareil (mon credo politiquement correct).
Ce qui ne va pas, c'est quand les deux modes d'approche se mêlent, l'utilisation du mental qui part en vrille pour affirmer le réel. Je tente comme je peux de montrer dans mes écrits qu'il est impossible de mélanger les deux choses. Une opinion ne décrit pas le réel, c'est un angle d'approche qui se déclare subjectif. Or les zèbres mélangent les deux modes de raisonnement.
Il devrait y avoir deux types d'approche.
- L'une mentale, pour élaborer une théorie la plus séduisante possible sur le plan de la réflexion pure, par exemple sur le sujet de la douance. Ce que nous ne savons pas. Et dans ce cas, l'argumentaire doit accepter de se restreindre à la qualité de son esthétique. Et l'émotionnel est très utile comme base de l'intelligence créatrice.
- L'autre pragmatique, les chiffres, le réel, ce que nous savons. Et là, le réel est la limite. Non, être intelligent ne rend pas malheureux. Non être intelligent ne donne aucun privilège. L'argumentaire émotionnel n'a plus aucune valeur dans le débat. Le taux d'échec scolaire est le même pour les surdoués que pour les autres.
Or, les deux types de discours se mêlent constamment sur ZC. Et je pense que cela est du au besoin de validation (dont l'origine sociétale pourrait faire l'objet d'un débat passionnant). La douance valide l'individu et l'individu valide la douance. Ce qui aboutit à une impasse.
Vouloir porter une réflexion sur la douance signifie refuser à certaines personnes ce miroir qui les rassure.
Vouloir discuter sur les réflexions de certains c'est comme supposer qu'ils ne sont pas surdoués.
La machine à réfléchir est bloquée par cette confusion des genres.
Ah que oui. Dans la vidéo "The NET, voyage en cybernétique", Heinz Von Foerster décrit parfaitement cela vers 01:10. Il y a les choses que je peux savoir, et les choses que je ne peux pas savoir. Il prend l'exemple de la création de l'univers et les 35 théories possibles. Ce qui compte c'est la beauté de l'hypothèse. Les déductions s'enchainent sans limites. C'est un domaine fascinant.
Il y a les choses que l'on peut savoir. La réalité. Les hommes et les femmes c'est pas pareil (mon credo politiquement correct).
Ce qui ne va pas, c'est quand les deux modes d'approche se mêlent, l'utilisation du mental qui part en vrille pour affirmer le réel. Je tente comme je peux de montrer dans mes écrits qu'il est impossible de mélanger les deux choses. Une opinion ne décrit pas le réel, c'est un angle d'approche qui se déclare subjectif. Or les zèbres mélangent les deux modes de raisonnement.
Il devrait y avoir deux types d'approche.
- L'une mentale, pour élaborer une théorie la plus séduisante possible sur le plan de la réflexion pure, par exemple sur le sujet de la douance. Ce que nous ne savons pas. Et dans ce cas, l'argumentaire doit accepter de se restreindre à la qualité de son esthétique. Et l'émotionnel est très utile comme base de l'intelligence créatrice.
- L'autre pragmatique, les chiffres, le réel, ce que nous savons. Et là, le réel est la limite. Non, être intelligent ne rend pas malheureux. Non être intelligent ne donne aucun privilège. L'argumentaire émotionnel n'a plus aucune valeur dans le débat. Le taux d'échec scolaire est le même pour les surdoués que pour les autres.
Or, les deux types de discours se mêlent constamment sur ZC. Et je pense que cela est du au besoin de validation (dont l'origine sociétale pourrait faire l'objet d'un débat passionnant). La douance valide l'individu et l'individu valide la douance. Ce qui aboutit à une impasse.
Vouloir porter une réflexion sur la douance signifie refuser à certaines personnes ce miroir qui les rassure.
Vouloir discuter sur les réflexions de certains c'est comme supposer qu'ils ne sont pas surdoués.
La machine à réfléchir est bloquée par cette confusion des genres.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nous on est ici pour niquer
Et attention, là je n'aborde que le domaine de la réflexion, la toute petite partie de ZC, celle qui décore ce lupanar virtuel, cette usine à MST, ce courrier du cœur pour âmes en peine.
Soral expliquait que la drague normale était devenu impossible. Des petits malins ont lancé la mode de l'échangisme, pour avoir un couple épanoui partager sa gonzesse devenait le must, ce qui a permis à certains de niquer à couilles rabattues sans faire le moindre effort.
ZC c'est pareil. Viens petite, la Douance est faite pour toi, je reconnais en toi cette lumière si précieuse que je n'ai jamais retrouvé que chez les zèbres. Je peux mener 16 réflexions en même temps, tu es ici chez toi, continue à sucer, cela ne m'empêche pas de réfléchir. Oui, oui, tu existes, tu es unique, j'ai décelé en toi cette richesse délaissée, ne change pas de main, je sens que ça vient.
Le concept est génial. Je regrette de ne pas l'avoir eu. Non seulement, il permet de déclarer la seule chose qu'une femme a envie d'entendre, qu'elle est unique, mais en plus de lui faire croire que seuls les zèbres sont en mesure de l'apprécier.
Il n'y a sans doute pas que des surdoués sur ce forum, mais je peux vous dire qu'il y a de très gros malins.
Et l'autre bourrin de Stauk qui n'a rien compris. Qui crache dans la soupe de la douance. Alors que s'il arrêtait de nous faire le Calimero, il pourrait niquer tout ce qui bouge tellement il est attendrissant de naïveté, le génie. Il me fait penser au pote bavard qui vient te raconter sa vie et Alpha du Centaure, alors que tu étais à deux doigts de conclure avec la petite Manon. Mais casse-toi Stauk, la douance ça existe, mais ZC c'est fait pour niquer.
Il n'y a pas de piège, c'est comme le Port-Salut c'est marqué dessus : Zebra Crossing, Rencontres entre Zèbres.
Read The Fucking Manual.
Stauk est la preuve vivante qu'un gros QI ne veut pas dire grand-chose. Moi, je dis "Stauk, dégage !", tu vas nous griller. Nous on est ici pour niquer, viens pas nous faire chier avec tes réflexions.
La prochaine fois qu'une 122 à profil hétérogène te demandera ton avis, soit tu lui expliques en détail l'inconséquence de la théorie des zèbres et tu feras comme d'habitude, tu dormiras sur la béquille, soit tu lui confirmes que sa psy s'est trompée et qu'il n'y a qu'un zèbre comme toi pour reconnaitre une zèbre comme elle, si elle avale, bien sur, sinon c'est pas la peine, et là tu lui rajoutes sans barguigner 10 ou 15 points de QI d'office. Au prix du point de QI, tu fais une super affaire.
Stauk, si tu lis ces lignes, je t'embrasse.
Et attention, là je n'aborde que le domaine de la réflexion, la toute petite partie de ZC, celle qui décore ce lupanar virtuel, cette usine à MST, ce courrier du cœur pour âmes en peine.
Soral expliquait que la drague normale était devenu impossible. Des petits malins ont lancé la mode de l'échangisme, pour avoir un couple épanoui partager sa gonzesse devenait le must, ce qui a permis à certains de niquer à couilles rabattues sans faire le moindre effort.
ZC c'est pareil. Viens petite, la Douance est faite pour toi, je reconnais en toi cette lumière si précieuse que je n'ai jamais retrouvé que chez les zèbres. Je peux mener 16 réflexions en même temps, tu es ici chez toi, continue à sucer, cela ne m'empêche pas de réfléchir. Oui, oui, tu existes, tu es unique, j'ai décelé en toi cette richesse délaissée, ne change pas de main, je sens que ça vient.
Le concept est génial. Je regrette de ne pas l'avoir eu. Non seulement, il permet de déclarer la seule chose qu'une femme a envie d'entendre, qu'elle est unique, mais en plus de lui faire croire que seuls les zèbres sont en mesure de l'apprécier.
Il n'y a sans doute pas que des surdoués sur ce forum, mais je peux vous dire qu'il y a de très gros malins.
Et l'autre bourrin de Stauk qui n'a rien compris. Qui crache dans la soupe de la douance. Alors que s'il arrêtait de nous faire le Calimero, il pourrait niquer tout ce qui bouge tellement il est attendrissant de naïveté, le génie. Il me fait penser au pote bavard qui vient te raconter sa vie et Alpha du Centaure, alors que tu étais à deux doigts de conclure avec la petite Manon. Mais casse-toi Stauk, la douance ça existe, mais ZC c'est fait pour niquer.
Il n'y a pas de piège, c'est comme le Port-Salut c'est marqué dessus : Zebra Crossing, Rencontres entre Zèbres.
Read The Fucking Manual.
Stauk est la preuve vivante qu'un gros QI ne veut pas dire grand-chose. Moi, je dis "Stauk, dégage !", tu vas nous griller. Nous on est ici pour niquer, viens pas nous faire chier avec tes réflexions.
La prochaine fois qu'une 122 à profil hétérogène te demandera ton avis, soit tu lui expliques en détail l'inconséquence de la théorie des zèbres et tu feras comme d'habitude, tu dormiras sur la béquille, soit tu lui confirmes que sa psy s'est trompée et qu'il n'y a qu'un zèbre comme toi pour reconnaitre une zèbre comme elle, si elle avale, bien sur, sinon c'est pas la peine, et là tu lui rajoutes sans barguigner 10 ou 15 points de QI d'office. Au prix du point de QI, tu fais une super affaire.
Stauk, si tu lis ces lignes, je t'embrasse.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comment dire ... d'habitude je te lis jamais. Je sais pas quelle circonstance absurde m'a conduit à laisser mes yeux se balader le long de tes paragraphes indigestes !Numero6 a écrit:Stauk, si tu lis ces lignes, je t'embrasse.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:viens pas nous faire chier avec tes réflexions.
La prochaine fois qu'une 122 à profil hétérogène te demandera ton avis, soit tu lui expliques en détail l'inconséquence de la théorie des zèbres et tu feras comme d'habitude, tu dormiras sur la béquille, soit tu lui confirmes que sa psy s'est trompée et qu'il n'y a qu'un zèbre comme toi pour reconnaitre une zèbre comme elle, si elle avale, bien sur, sinon c'est pas la peine, et là tu lui rajoutes sans barguigner 10 ou 15 points de QI d'office. Au prix du point de QI, tu fais une super affaire.
En fait, je sais bien que votre méthode fonctionne. Mais moi tu vois, je mise sur l'autre versant du coteau. Faut comprendre que la petite de 122 ans, à un moment, elle est prise, d'un doute. Un GROS doute, qui s'enfonce bien profondément dans sa chair innocente. Et là, elle a besoin d'un sauveur. Un homme noble, qui se tient droit malgré la tempête. L'oeil vif, il vient lui dire qu'elle s'est faite niquer, mais que tout espoir n'est point perdu. Et là, la pauvrette, elle fond en larme, en prenant la mesure de ce qui lui est arrivé. Puis elle relève doucement la tête, car venir à la dure réalité, ça fait du bien. Pour autant qu'on ait un compagnon de voyage. Et je te laisse imaginer la suite !!!
Dire la vérité, c'est bien aussi.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu vas te faire friendzoner, là.
Subrisio Saltat.- Messages : 174
Date d'inscription : 25/08/2014
Age : 37
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