Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
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Forum ZEBRAS CROSSING :: La zébritude :: Définitions, références, tests, actualité de la douance :: Définitions
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Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Il y a surtout, que nous sommes tous humains, susceptibles, et que quand on a l'impression d'être attaqués personnellement, dans ce que nous sommes, dans nos choix, dans notre vision de la vie, on se défend, on essaie de montrer, pas forcément de la meilleure des manières, que c'est pas en insultant (même involontairement) que les choses avancent. Que ce n'est pas en arrivant et en agressant ce qui sont déjà là qu'on se fait une place.
Quand on veut entrer dans un groupe quelqu'il soit, il faut effectivement, apprivoiser, et se laisser apprivoiser. Commencer doucement, puis petit à petit, en s'intégrant, en gagnant une confiance réciproque, on peut petit à petit y trouver sa place. Selon les groupes, il faudra plus correspondre à plus ou moins certains critères, enfin avoir un minimum de points communs, mais il me semble qu'ici, on est quand même capables d'être ouverts à un certain nombre de choses, pour peu qu'on vienne avec une certaine humilité, sans prétendre avoir forcément raison, enfin tant qu'on respecte les autres.
Quand on veut entrer dans un groupe quelqu'il soit, il faut effectivement, apprivoiser, et se laisser apprivoiser. Commencer doucement, puis petit à petit, en s'intégrant, en gagnant une confiance réciproque, on peut petit à petit y trouver sa place. Selon les groupes, il faudra plus correspondre à plus ou moins certains critères, enfin avoir un minimum de points communs, mais il me semble qu'ici, on est quand même capables d'être ouverts à un certain nombre de choses, pour peu qu'on vienne avec une certaine humilité, sans prétendre avoir forcément raison, enfin tant qu'on respecte les autres.
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
c est pas du mépris, ça, Super Véga? enfin moi, ce que j en dis, hein, chui qu une pôv nouvelle, mais bon, je suis pas mécontente: j adooooooooooooore quand on parle de moi! ça booste mon égo, vous pouvez pas vous imaginer!Super Vega a écrit:C'est marrant, je pensais que le doute et la difficulté à croire en soi faisait partie des "symptômes" mais a priori, tout le monde n'a pas les mêmes "symptômes".
Enfin moi, sans test, je ne me serais jamais permis d'affirmer quoi que ce soit.
et puis c est rigolo: malentendu fatal: je n' ai jamais dit que les tests étaient de la merde, je les remets en cause, nuance: en quoi ça sert, quand est ce que ça sert, comment être sûr de le faire dans de bonnes conditions, la surdouance n est ce pas parfois l arbre qui cache la forêt, etc
bon, et puis ben j ai 40 ans, moi, les dleuns, "de mon temps", ben les enfants surdoués ils se faisaient engueuler à mort passk ils faisaient tout plus vite que les autres, ils se faisaient ultra chier à l école, et PERSONNE ne savait ce que c était que la surdouance, alors on s est construit comme on a pu: et désolée si le résultat n est pas trop mauvais en ce qui me concerne, mais bon, je vous rassure, c est récent que je ne sois pas trop mécontente de moi; jusqu'à il y a 3 ans et depuis toute petite, j avais qu une envie: crever
à part ça je suis très gentille
mais je smiley pas, c est moins rigolo avec les smiley, passke ça évite les malentendus qui foutent la merde
bon, ptêt que je ferai un effort
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
je t ai pas appelée mon ptit mais mon petit, ce qui est affectueux, et pas méprisant: "super martyre": tu dois pas être trop à l aise avec ton estime de soi à toi, enfin je dis ça, c est sûrement des idées de psy à balle deux, non?Super Martyre a écrit:Mon ptit? Tu parles à moi? Rien ne me gêne, non et je parle comme j'ai envie, je te livre certaines réflexions, et je pensais répondre à ta question. Il semblerait vu l'agressivité de cette réponse que tu ne sois pas si à l'aise que ça avec ton non-testage... enfin je dis ça, je dis rien... ce ne sont peut-être que des idées de psy de PMU...
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
oh, et puis allez hop, je me cite, et je fais une explication de texte: les imbéciles dont je parle ne sont pas vous, chers zebres, mais bien les "spécialistes" dont je parle plus haut, et que je connais assez bien pour les avoir pas mal pratiqués. Tout ce qui suit "spécialistes" illustre ce que je pense de certains de ces "spécialistes", qui ne sont pas toujours aussi "purs" que nous dans leurs intentions que certains d entre nous, grands naifs, voudraient pensersabatchka a écrit:je suis moi, et je ne ferai pas de test: je sais qui je suis, et je déteste les "spécialistes" qui en fait n y connaissent rien, et se la jouent "mon p'tit je vais te dire ce que tu es trop nulle pour savoir toute seule". Je n ai pas besoin de la reconnaissance des imbéciles. Et je me méfie de ceux qui se targuent de me vouloir du bien, alors que je ne les "sens" pas
d autre part je posais ensuite la question sérieusement et personne ne m a vraiment répondu: pourquoi faire le test: pour quelles raisons et dans quel but
il me semble que l auteur du sujet avait posé cette question en septembre de façon moins abrupte que moi (excusez mon style, j ai bien pratiqué les circonvolutions fut un temps, mais en fait ça me fatigue beaucoup) et j ai pas trouvé de réponses qui me satisfassent; par contre il s est bien fait allumer lui aussi!
alors est-ce "the" sujet qu il fô pas aborder???
ou bien c est le truc, quand on sait la réponse , ben on va plus sur le forum?
je sais pas moi, je me demande si le test c est pas un attrape couillon pour surdoué qui sait qu il l est déjà mais qui a besoin d une reconnaissance extérieure parce que par ça il croit qu il va se sentir mieux. Vous savez, la pensée magique: je fais le test, ouf, c est bon, je suis ce que je sais déjà, et youpi dès que j ai mon papier toute ma vie s éclaire. c est juste que j aime pas que les gens biens, ultra sensibles se fassent arnaquer, dans le sens où je crois que le test, c est rien: c est l acceptation profonde de soi, de ses qualités comme des défauts qui sont leurs pendants, c est l acceptation qu'on est formidable, même avec nos côtés sombres, c est l idée que chacun est maître de sa vie qui fait tout et que la vie devient chouette
bon ben voilà, je donne de leçon à personne, j ai toujours eu l impression que je donnais juste ma vision des choses, que je pouvais parler de moi librement, donc sans m excuser de ce que je suis, c est à dire directe (parce que j ai pas de temps à perdre et ça c est pas dû à la surdouance mais à une haute conscience que la vie c est court)
mais j ai aussi une certaine élégance: quand je gène, je me tire
question de survie, voyez, j évite ce qui me nuit (comme l ont fait déjà certains autres zèbres d après ce que j ai pu lire)
et puis je vais pas m excuser d être heureuse: quand je suis arrivée, il y en a qui ont trouvé ça chouette que je rue dans les brancards: ils n ont pas vu que j agressais quiconque
ça en fait chier certains ici que des zèbres soient bien dans leur peau? Ils croient peut être que ça s est fait tout seul? on est obligé de balancer sa vie son oeuvre ici pour avoir le droit de dire un truc? et c est qui qui tient le mètre étalon de la maladresse? c est qui qui sait ce qui est "méprisant", "ironique"? Et l autodérision, tout le monde connait, ici? Quant à la politesse, puisque j ai eu droit à une leçon sur le sujet, tout le monde sait il ici qu elle peut prendre plusieurs formes?
j ai quand même un peu beaucoup l impression que plutôt qu un pré accueillant, ce soit chasse gardée, ce forum
et moi j aime pas les chasseurs, et je suis pas du gibier
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Oh, les "spécialistes", je ne pense pas qu'on fasse l'éloge de tous ici, cependant tous ne sont pas à ranger dans le même panier, et on peut aussi en trouver des très bien.
Faire le test, ne pas le faire, c'est surtout une question personnelle. Le faire, c'est pas pour les autres, c'est pas pour le regard des autres, c'est pour soi, pour mettre fin au doute qu'on peut avoir, en se disant qu'on n'a pas toutes les caractéristiques, que c'est pas possible qu'on le soit, même un grand faisceau d'indices concordent, d'autres ne concordent pas tant que ça. C'est aller chercher un indice de plus, un moyen de mieux se connaitre. Parce que le test, c'est pas juste un chiffre, (ce qui doit être le moins interessant du test au final), c'est mieux se connaitre, ça peut permettre de faire la différence entre plusieurs possibilités de diagnostic. De chercher un moyen de confirmer son intuition. Il arrive aussi que ces résultats surprennent, et permettent de voir des choses que l'on n'avait pas remarqué, où à des degrés plus prononcés que ce qu'on pourrait croire.
Après, tout le monde n'en a pas besoin, ça dépend vraiment de chacun, c'est un choix personnel, qui ne regarde que celui qui le fait, tout comme les résultats.
L'enjeu, c'est juste de s'accepter tel que l'on est, test ou pas test, ça dépend de chacun.
Pour la réaction, tu montre une telle agressivité envers les tests et les pseudos spécialistes, qu'au final, ça déborde sur un peu tout, et comme on peut voir rapidement diverses interprétations possibles assez vite, et forcément choisir celle qui nous blesse le plus, est celle qui retiendra le plus facilement l'attention. C'est malheureux à dire, mais j'ai remarqué que c'était souvent le cas, notamment sur internet et quand on ne met pas de smiley , parce qu'au final une grande partie de la communication n'est pas verbale. Et quand on ne connait pas du tout quelqu'un, c'est encore pire, pour donner la bonne signification.
Personne ne se plaindra que tu sois heureuse, je crois qu'on contraire, ça remontera le moral à certains qui sont moins bien, ça peut donner l'espoir que ça ira mieux. On n'est pas là non plus pour s'apitoyer sur nous mêmes, ça ne fait rien avancer.
Faire le test, ne pas le faire, c'est surtout une question personnelle. Le faire, c'est pas pour les autres, c'est pas pour le regard des autres, c'est pour soi, pour mettre fin au doute qu'on peut avoir, en se disant qu'on n'a pas toutes les caractéristiques, que c'est pas possible qu'on le soit, même un grand faisceau d'indices concordent, d'autres ne concordent pas tant que ça. C'est aller chercher un indice de plus, un moyen de mieux se connaitre. Parce que le test, c'est pas juste un chiffre, (ce qui doit être le moins interessant du test au final), c'est mieux se connaitre, ça peut permettre de faire la différence entre plusieurs possibilités de diagnostic. De chercher un moyen de confirmer son intuition. Il arrive aussi que ces résultats surprennent, et permettent de voir des choses que l'on n'avait pas remarqué, où à des degrés plus prononcés que ce qu'on pourrait croire.
Après, tout le monde n'en a pas besoin, ça dépend vraiment de chacun, c'est un choix personnel, qui ne regarde que celui qui le fait, tout comme les résultats.
L'enjeu, c'est juste de s'accepter tel que l'on est, test ou pas test, ça dépend de chacun.
Pour la réaction, tu montre une telle agressivité envers les tests et les pseudos spécialistes, qu'au final, ça déborde sur un peu tout, et comme on peut voir rapidement diverses interprétations possibles assez vite, et forcément choisir celle qui nous blesse le plus, est celle qui retiendra le plus facilement l'attention. C'est malheureux à dire, mais j'ai remarqué que c'était souvent le cas, notamment sur internet et quand on ne met pas de smiley , parce qu'au final une grande partie de la communication n'est pas verbale. Et quand on ne connait pas du tout quelqu'un, c'est encore pire, pour donner la bonne signification.
Personne ne se plaindra que tu sois heureuse, je crois qu'on contraire, ça remontera le moral à certains qui sont moins bien, ça peut donner l'espoir que ça ira mieux. On n'est pas là non plus pour s'apitoyer sur nous mêmes, ça ne fait rien avancer.
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
sabatchka a écrit:je t ai pas appelée mon ptit mais mon petit, ce qui est affectueux, et pas méprisant: "super martyre": tu dois pas être trop à l aise avec ton estime de soi à toi, enfin je dis ça, c est sûrement des idées de psy à balle deux, non?Super Martyre a écrit:Mon ptit? Tu parles à moi? Rien ne me gêne, non et je parle comme j'ai envie, je te livre certaines réflexions, et je pensais répondre à ta question. Il semblerait vu l'agressivité de cette réponse que tu ne sois pas si à l'aise que ça avec ton non-testage... enfin je dis ça, je dis rien... ce ne sont peut-être que des idées de psy de PMU...
Arf, moi, je n'ai pas de problème d'estime de moi-même. J'aime pas quand on m'appelle mon petit. Je n'aime pas du tout. Et, vraiment, la suite de ton message n'avait rien d'affectueux (note que je n'ai pas forcément envie qu'on le soit envers moi). L'histoire de mon pseudo est une longue histoire. Mais voilà, peut-être devrais-tu prendre un peu le temps de connaître les gens, genre de lire les présentations, avant de présupposer des choses sur eux. Faut pas s'étonner après que le ton monte.
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Merci Eléa ça fait plaiz à lire.
Sinon je suis un être humain moi aussi et avant tout
Sinon je suis un être humain moi aussi et avant tout
Phedre- Messages : 2822
Date d'inscription : 01/10/2009
Age : 47
Localisation : bah ça dépend des fois
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Phedre a écrit:
Sinon je suis un être humain moi aussi et avant tout
Comme nous tous ici.
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
ah bon, alors on est d accord, donc?
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Moi je suis un peu deçu par la tournure que prend ce post.
Franchement si on reprend l'ordre chronologique, il est difficile de comprendre le pourquoi de cet épanchement d'agressivité.
Et franchement moi il me semble que la première réponse qui pouvait lancer la tourmente est bien :
Je dois aussi noter que sabatchka a beaucoup parlé en son nom dans de nombreux posts et depuis le début. Ce qui devrait tous nous imposer au moins de la modération en prim'instance.
Du coup ca va bien on a a assez entendu, moi je verrais bien une levée de séance.
Moi j'arrête là, si il fallait éplucher chaque post en accordant le mérite de certaines remarques et le tords d'autres en y passerait la journée.
Franchement là y'a de moins en moins d'idées, de plus en plus d'EGO. En plus mais désolé, Sabatchka me semble capable d'autocritique, sauf si on en profite pour l'achever.
Bref moi j'aime pas du tout mais pas du tout les conséquences de l'EGO et de l'effet de groupe. Ca me fait Vomir.
Même si chacun a le droit à ses problèmes d'EGO et ses sentiments d'appartenance au groupe ou pas.
Franchement si on reprend l'ordre chronologique, il est difficile de comprendre le pourquoi de cet épanchement d'agressivité.
Et franchement moi il me semble que la première réponse qui pouvait lancer la tourmente est bien :
Ensuite désolé, mais on voit se mettre en place le mécanisme classique du lynchage. Chacun lance un caillou, pas bien méchant individuellement. Et du coup sans que personne n'en endosse la responsabilité à part la victime elle même, on l'achève. Du coup la cause initiale est une broutille, ensuite on reproche à l'accusé de sauver sa peau tant bien que mal, et la sentence finale est disproportionnée. Quel tribunal !!!!!!!invité a écrit:Quel Génie!
Je dois aussi noter que sabatchka a beaucoup parlé en son nom dans de nombreux posts et depuis le début. Ce qui devrait tous nous imposer au moins de la modération en prim'instance.
sabatchka a écrit:je ne suis spécialiste qu'en "moi-même" (une discipline bien difficile dont je suis loin d avoir fait le tour)
Du coup ca va bien on a a assez entendu, moi je verrais bien une levée de séance.
Moi j'arrête là, si il fallait éplucher chaque post en accordant le mérite de certaines remarques et le tords d'autres en y passerait la journée.
Franchement là y'a de moins en moins d'idées, de plus en plus d'EGO. En plus mais désolé, Sabatchka me semble capable d'autocritique, sauf si on en profite pour l'achever.
Bref moi j'aime pas du tout mais pas du tout les conséquences de l'EGO et de l'effet de groupe. Ca me fait Vomir.
Même si chacun a le droit à ses problèmes d'EGO et ses sentiments d'appartenance au groupe ou pas.
bepo- Messages : 2704
Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 54
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
sabatchka a écrit:ah bon, alors on est d accord, donc?
Donc si vous m'aviez accordé, vous les membres du forum le droit de me faire porte parole je répondrais :
"Notre clairvoyance connait ses propres limites et nous impose de ne pas juger sur la surface. Donc oui on est d'accord"
Non mais ca va pas la tête de faire autant de boucan, j'entends même plus tourner mon ordi et ses ventilateurs de merde. C'est plus un troupeau de zèbre, c'est un poulailler.
bepo- Messages : 2704
Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 54
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Putain, mais OMG, qu'est-ce qu'on en a à fouttre de savoir qui a commencé à être méprisant?? Ca sera de toute façon subjectif, et personne ne sera d'accord. Une phrase a été exprimée d'une manière pouvant être ambigüe, pas forcément que cela aie été voulu, et a été mal interprété par d'autres? A qui la faute? A tout le monde si vous voulez mon avis.
Que ceux qui n'ont jamais fait d'erreur me jettent la première pierre, puisqu'on parle de lynchage. (c'est bon j'ai mes bières pour oublier la douleur )
Personne n'a remis en cause l'existence de "spécialistes" complètement débiles, et incompétents, mais la possibilité d'existence d'autres compétents, fut d'abord passée sous silence. Ce silence étant aussi interprété différemment selon les personnes.
Que ceux qui n'ont jamais fait d'erreur me jettent la première pierre, puisqu'on parle de lynchage. (c'est bon j'ai mes bières pour oublier la douleur )
Personne n'a remis en cause l'existence de "spécialistes" complètement débiles, et incompétents, mais la possibilité d'existence d'autres compétents, fut d'abord passée sous silence. Ce silence étant aussi interprété différemment selon les personnes.
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
.
Dernière édition par O.D le Sam 12 Juin 2010 - 2:27, édité 1 fois
Invité- Invité
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
quelle est la différence entre un malentendu entre zèbres et un malentendu "classique" ?
...400 lignes
...400 lignes
DiDi- Messages : 166
Date d'inscription : 24/02/2010
Age : 37
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Encore une fois le problème n'est pas de faire une compétition sur qui est le premier. Effectivement y'aurait pas consensus. Par contre localiser la première ambigüité qui a été mal prise pas de problème.Super PY-Con bière a écrit:Putain, mais OMG, qu'est-ce qu'on en a à fouttre de savoir qui a commencé à être méprisant?? Ca sera de toute façon subjectif, et personne ne sera d'accord. Une phrase a été exprimée d'une manière pouvant être ambigüe, pas forcément que cela aie été voulu, et a été mal interprété par d'autres? A qui la faute? A tout le monde si vous voulez mon avis.
Que ceux qui n'ont jamais fait d'erreur me jettent la première pierre, puisqu'on parle de lynchage. (c'est bon j'ai mes bières pour oublier la douleur )
Quand à la première ambiguité, franchement pas besoin d'être le génie en question pour comprendre qu'elle a de fortes chances d'être très mal prise, ca me semble même évident que son but était de piquer. Donc après faut pas s'étonner du reste.
Après on peu s'engueuler, c'est plutot sain, comme c'est souvent rappelé ici, on ne vit pas dans un monde de bisounours, encore faut il savoir un minimum avoir certaines limites et capter certains signaux qui montre qu'on va trop loin. Et je vois pas l'interêt de mener une discussion ou plus personne ne comprends personne a par par plaisir de se défouler sur les autres. Et dans le cadre d'un combat 1 contre un groupe, personnellement on est très loin du monde des bisounours, et très loin aussi de ma conception de l'humanité.
La y'a matière a débat. Mais si c'est le ressenti de Sabatchka, si elle a pas la moindre confiance dans ce corps professionnel en première approche, ca la regarde. Y'a t'il quelqu'un dans le topic qui ait été visé en connaissance de cause ? Y'a t'il des gens qui se soient senti directement visé ?? Y'aurait il un lobby dissimulé ?Personne n'a remis en cause l'existence de "spécialistes" complètement débiles, et incompétents, mais la possibilité d'existence d'autres compétents, fut d'abord passée sous silence. Ce silence étant aussi interprété différemment selon les personnes.
On va dire que c'est le virtuel qui lève les inhibitions, et que les formules de politesse auraient limité tout ca ailleurs.
Personnellement je partage pas entièrement la vision de Sabatchka, mais j'ai pas envie de partir en croisade CONTRE ELLE non plus, et de justifier un pugilat au non de la croix.
bepo- Messages : 2704
Date d'inscription : 14/09/2009
Age : 54
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
je peux pas mieux dire, si ce n est ajouter que tout ça est absurdeDiDi a écrit:quelle est la différence entre un malentendu entre zèbres et un malentendu "classique" ?
...400 lignes
j ai un truc absurde à proposer d ailleurs, pour relancer le débat : et si on imposait un testing obligatoire à l ensemble de la population mondiale? comme ça on pourrait parquer les 2% de zèbres qu elle contient, et puis ils se boufferaient les naseaux entre eux, y en aurait que quelques uns, les plus malins bien sûr, qui survivraient pour servir ensuite le Grand Etat Mondial qui se serait alors mis en place, plus deux trois autres petits malins qui se seraient faufilé sous les barbelés pour se tirer sur la montagne. Ben moi j aime bien, surtout que j adore avoir des mauvaises notes à l école
sabatchka- Messages : 208
Date d'inscription : 11/04/2010
Age : 54
Localisation : Rennes
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Zèbres ?
...TELLE EST LA QUESTION ?
...TELLE EST LA QUESTION ?
graymalkin- Messages : 229
Date d'inscription : 02/03/2010
Localisation : ici
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
je crois que certain(e)s ici ont tout simplement décidé qu'ils l'étaient.
graymalkin- Messages : 229
Date d'inscription : 02/03/2010
Localisation : ici
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Décidé ou constaté ? Décidé de l'être ou décidé d'accepter qu'ils l'étaient ?
Après avoir fréquenté quelques autres forums "hqi", je persiste à douter fortement qu'un non-zèbre trouve, à terme, de l'intérêt dans la fréquentation de Z échangeant sur eux-mêmes, leur vie, leur oeuvre, leurs ressentis. Et réciproquement, je pense qu'à partir du moment où on "se retrouve" régulièrement dans les descriptions faites par les Z testés, on peut légitimement se pressentir zèbre. De toute façon, qu'est-ce qui fait qu'on a l'idée d'aller passer le test ou pas ? c'est bien le fait de constater des similitudes avec les testés.
Serait-ce qu'il faudrait faire une chasse aux faux zèbres, virer tous les non-testés même si ce ne sont que les moyens financiers qui leur manquent ?
(PS : je suis testé.)
Après avoir fréquenté quelques autres forums "hqi", je persiste à douter fortement qu'un non-zèbre trouve, à terme, de l'intérêt dans la fréquentation de Z échangeant sur eux-mêmes, leur vie, leur oeuvre, leurs ressentis. Et réciproquement, je pense qu'à partir du moment où on "se retrouve" régulièrement dans les descriptions faites par les Z testés, on peut légitimement se pressentir zèbre. De toute façon, qu'est-ce qui fait qu'on a l'idée d'aller passer le test ou pas ? c'est bien le fait de constater des similitudes avec les testés.
Serait-ce qu'il faudrait faire une chasse aux faux zèbres, virer tous les non-testés même si ce ne sont que les moyens financiers qui leur manquent ?
(PS : je suis testé.)
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
.
Dernière édition par O.D le Sam 12 Juin 2010 - 2:04, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Je dirais même qu'un zèbre doit revendiquer le droit à la bêtise...
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
O.D a écrit:Tu peux avoir 140, 135, 145 ou encore 150 de "QI" et être un abruti vertigineux, aussi. Voire un infâme connard, ou tout simplement très bête. Ca a été souvent démontré!
souvent démontré? où ? quand ? comment ? par qui?
[quote="O.D"]Tu peux avoir 140, 135, 145 ou encore 150 de "QI" et être[...] simplement très bête[quote]
très bête= très peu intelligent=140, 135, 145 ou encore 150 de "QI ??????????????????????
j'ai du mal à te suivre.
graymalkin- Messages : 229
Date d'inscription : 02/03/2010
Localisation : ici
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Tout dépend ce qu'on entend par bête, abruti ou connard.
Et tout dépend du carburant qu'on déverse dans le moteur.
Et tout dépend du carburant qu'on déverse dans le moteur.
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
.
Dernière édition par O.D le Sam 12 Juin 2010 - 2:04, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Rien ne présage de comment cette intelligence sera utilisée.
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
.
Dernière édition par O.D le Sam 12 Juin 2010 - 2:01, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Plume d'eau rayée a écrit:Décidé ou constaté ? Décidé de l'être ou décidé d'accepter qu'ils l'étaient ?
Après avoir fréquenté quelques autres forums "hqi", je persiste à douter fortement qu'un non-zèbre trouve, à terme, de l'intérêt dans la fréquentation de Z échangeant sur eux-mêmes, leur vie, leur oeuvre, leurs ressentis. Et réciproquement, je pense qu'à partir du moment où on "se retrouve" régulièrement dans les descriptions faites par les Z testés, on peut légitimement se pressentir zèbre. De toute façon, qu'est-ce qui fait qu'on a l'idée d'aller passer le test ou pas ? c'est bien le fait de constater des similitudes avec les testés.
Serait-ce qu'il faudrait faire une chasse aux faux zèbres, virer tous les non-testés même si ce ne sont que les moyens financiers qui leur manquent ?
(PS : je suis testé.)
Le truc c'est qu'il existe des pathologies qui ont parfois des symptômes très semblables à ceux de la douance, se reconnaitre dans certains propos n'est absolument pas suffisant pour se déclarer surdoué.
Loune- Messages : 168
Date d'inscription : 21/03/2010
Localisation : Londres
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
z135 a écrit:
très bête= très peu intelligent=140, 135, 145 ou encore 150 de "QI ??????????????????????
j'ai du mal à te suivre.
Oui, oui c'est possible! Certains sont aussi cons qu'ils sont intelligents.
Loune- Messages : 168
Date d'inscription : 21/03/2010
Localisation : Londres
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Tout ça me rappelle ce passage de "Un poisson nommé Wanda" où Jamie Lee Curtis traite Kevin Kline de singe.
Il lui répond que les singes ne lisent pas de philosophie.
Et à elle de rétorquer : Si ! C'est juste qu'ils ne comprennent pas !
L'extrait ici.
Le reste de la scène est génial aussi mais impossible de le trouver.
Il lui répond que les singes ne lisent pas de philosophie.
Et à elle de rétorquer : Si ! C'est juste qu'ils ne comprennent pas !
L'extrait ici.
Le reste de la scène est génial aussi mais impossible de le trouver.
La Maison-Verte- Messages : 527
Date d'inscription : 05/01/2010
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Le truc c'est qu'il existe des pathologies qui ont parfois des symptômes très semblables à ceux de la douance, se reconnaitre dans certains propos n'est absolument pas suffisant pour se déclarer surdoué.
Parfois... Certains... Se déclarer... Non, bien sûr. Mais je parlais de "se pressentir", pas "se déclarer" : le zèbre doute, même quand il a été testé, d'ailleurs...
Mais je ne sais quand même pas si une telle "imposture" peut durer très longtemps sur un forum.
Et puis, rentrer dans cette logique de suspicion ne me plaît pas trop. Bien sûr, si quelqu'un danse en rond en criant "je suis surdoué, j'ai pas besoin d'un test pour le savoir, nananère", il serait normal de lui rappeler que seul le test donne la certitude, mais bon...
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
J'irais même plus loin : je n'en vois pas l'objet. Quand à confondre avec d'autres pathologies... J'ai fait l'inverse, j'ai commencé par elles, et aucune ne colle vue de l'intérieur. C'est vu de l'extérieur que ça peut ressembler.Et puis, rentrer dans cette logique de suspicion ne me plaît pas trop.
J'ai parfois l'impression de lire : "s'ils n'ont pas les mêmes opinions que moi, c'est qu'ils pensent pas pareil, donc ça peut pas être des surdoués". Mwais.
Vu les réactions, c'est très tentant.Bien sûr, si quelqu'un danse en rond en criant "je suis surdoué, j'ai pas besoin d'un test pour le savoir, nananère", il serait normal de lui rappeler que seul le test donne la certitude, mais bon...
Manque de pot je viens de retrouver un vieux papier... Merte ! J'aurais dû attendre avant de le chercher.
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Super Marre a écrit:oh! j'ai pas de loupe moi!!!
Il suffit de vouloir répondre en cliquant sur "citer" et on voit le texte s'afficher.
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
tiens je me coucherai moins conne, merci Maly
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Ou de le copier/coller, par exemple dans la boîte de réponse rapide, ça marche aussi.
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
A vrai dire, je doute depuis longtemps d'être surdoué, mais ces derniers temps comme ça m'est déjà arrivé par moment, je pense que je ne le suis pas. Disons, que je sais que je suis décalé par rapport à certaines pensées, certaines perceptions de la réalité. Je ne sais plus si je suis zèbre d'ailleurs, maintenant.
Je ne sais pas ce que je suis en-dehors d'humain (bien que là rien ne me prouve pour le moment que je ne suis pas un mutant après tout, faut bien que l'évolution continue).
Je me suis retrouvé dans un certain nombre de choses dans certains profils ici, mais aussi pas du tout reconnu ou quasiment pas dans d'autres. Pourtant ne devrait-on pas avoir des points communs ? Si vous vous trouvez tous des points communs et moi non, je me demande plus encore si je ne me serais pas trompé sur l'étiquette. Oops étiquette, oui ça aussi ça me perturbe en ce moment. Enfin je ne critique pas de mettre un nom, je veux dire que je trouve que je focalise trop sur tout ça en ce moment. J'ai plus envie.
Enfin bref, vous trouvez que j'ai l'air zèbre ? Non, je sais c'est idiot ma question, c'est en testant qu'on sait. (Mais c'est trop cher *radin ?*)
PS: les tests trop chers, les zèbres ont absolument besoin d'avoir un psy (faut aussi payer), y a des livres (faut acheter)... ça marche bien le commerce en ce moment, non ?
PPS: les psys n'ont jamais été aussi indispensables que maintenant. D'ailleurs, plus on est différent d'une certaine idée de la normalité d'une personnalité, plus il faut demander leur avis. Pourtant, je suis bel et bien cohérent (incohérent parfois mais de manière normal, comme tout le monde), capable de raisonner sainement, enfin je veux dire que je semble tout à fait sain d'esprit. J'ai des défauts, j'y travaille, mais sinon ça va. Mmm... bref peut-être que me concernant j'ai juste besoin de m'accepter tel que je suis sans donner de nom à ce que je suis. Après tout on est tous différents. Comme je ne me retrouve jamais complétement dans ces kits tout fait, prêt à l'emploi, comme "zèbre", "surdoué", "bouddhiste", "écologiste"... je suis indéfinissable, voilà ma conclusion, la réponse que j'attendais de ma petite recherche de moi-même. Ma super étiquette qui me représente "indéfinissable" ou alors simplement "atypique". Aller, j'opte pour la deuxième
Je ne sais pas ce que je suis en-dehors d'humain (bien que là rien ne me prouve pour le moment que je ne suis pas un mutant après tout, faut bien que l'évolution continue).
Je me suis retrouvé dans un certain nombre de choses dans certains profils ici, mais aussi pas du tout reconnu ou quasiment pas dans d'autres. Pourtant ne devrait-on pas avoir des points communs ? Si vous vous trouvez tous des points communs et moi non, je me demande plus encore si je ne me serais pas trompé sur l'étiquette. Oops étiquette, oui ça aussi ça me perturbe en ce moment. Enfin je ne critique pas de mettre un nom, je veux dire que je trouve que je focalise trop sur tout ça en ce moment. J'ai plus envie.
Enfin bref, vous trouvez que j'ai l'air zèbre ? Non, je sais c'est idiot ma question, c'est en testant qu'on sait. (Mais c'est trop cher *radin ?*)
PS: les tests trop chers, les zèbres ont absolument besoin d'avoir un psy (faut aussi payer), y a des livres (faut acheter)... ça marche bien le commerce en ce moment, non ?
PPS: les psys n'ont jamais été aussi indispensables que maintenant. D'ailleurs, plus on est différent d'une certaine idée de la normalité d'une personnalité, plus il faut demander leur avis. Pourtant, je suis bel et bien cohérent (incohérent parfois mais de manière normal, comme tout le monde), capable de raisonner sainement, enfin je veux dire que je semble tout à fait sain d'esprit. J'ai des défauts, j'y travaille, mais sinon ça va. Mmm... bref peut-être que me concernant j'ai juste besoin de m'accepter tel que je suis sans donner de nom à ce que je suis. Après tout on est tous différents. Comme je ne me retrouve jamais complétement dans ces kits tout fait, prêt à l'emploi, comme "zèbre", "surdoué", "bouddhiste", "écologiste"... je suis indéfinissable, voilà ma conclusion, la réponse que j'attendais de ma petite recherche de moi-même. Ma super étiquette qui me représente "indéfinissable" ou alors simplement "atypique". Aller, j'opte pour la deuxième
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Pourtant ne devrait-on pas avoir des points communs ? Si vous vous trouvez tous des points communs et moi non, je me demande plus encore si je ne me serais pas trompé sur l'étiquette.
C'est pour ça que je dis, réciproquement, que celui qui est sur un forum de zèbres et se retrouve sincèrement dans tous ces points communs, a quand même de grandes chances d'en être, et celui qui ne l'est pas, assez vite va s'apercevoir qu'il n'a pas grand-chose à partager sur ce forum de fous et ne pas y rester.
PS: les tests trop chers, les zèbres ont absolument besoin d'avoir un psy (faut aussi payer), y a des livres (faut acheter)... ça marche bien le commerce en ce moment, non ?
PPS: les psys n'ont jamais été aussi indispensables que maintenant. D'ailleurs, plus on est différent d'une certaine idée de la normalité d'une personnalité, plus il faut demander leur avis.
Certains te diront "avant, il y avait les prêtres". Avant, il y avait surtout un carcan social d'une rigidité inouïe qui faisait que le "différent" avait rarement un autre choix que de passer sa vie à serrer les dents et souffrir en secret. Aujourd'hui, la pression du conformisme reste intense, mais il y a des fuites. Oui, ça s'exploite. Mais pour que la différence soit acceptée sans qu'un grand nombre ait besoin de passer par la case psy pour se découvrir, s'accepter et se vivre, il faudrait éventrer encore bien plus le conformisme. Et ça, ça n'est pas pour demain, vu que les gains économiques nés du conformisme sont encore bien supérieurs...
Comme je ne me retrouve jamais complétement dans ces kits tout fait, prêt à l'emploi, comme "zèbre", "surdoué", "bouddhiste", "écologiste"... Razz je suis indéfinissable, voilà ma conclusion, la réponse que j'attendais de ma petite recherche de moi-même. Ma super étiquette qui me représente "indéfinissable" ou alors simplement "atypique"
Ben... les zèbres détestent les kits, chacun d'eux est indéfinissable et atypique, seulement, quand on découvre que la zébritude est un phénomène qui existe, on découvre qu'on forme une famille d'atypiques qui présente des caractéristiques communes.
Maintenant remplace zèbre par homme et zébritude par humanité, et ça marche aussi. On n'est jamais "typique" qu'aux yeux d'un sociologue borné ou d'un responsable marketing...
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Moins cher que les tests psy's, tu fais le pré-test Mensa, puis le test Mensa dans ta région... et hop le tour est joué pour moins de 40 euro. Bon certes, tu n'as pas les 4 ou 5 pages de rapport et le travail privilégié qu'avec une psy tu peux développer (car oui, il faut le dire la WAIS-III apporte beaucoup d'éléments de connaissance sur soi n'en déplaisent à certains...).
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Dans ce cas, on ôte beaucoup d'intérêt à la chose et on rentre dans la logique du "chiffre tout seul" dont il était question plus haut... En fait, à quoi servirait le chiffre brut ? à labelliser les "vrais" ?
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Mensa ne donne pas un chiffre, mais simplement un ordre de grandeur : supérieur à 132, soit 2% de la population.
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
et puis je pense qu'on est zèbre de symptômes et surdoué de QI.
Je ne crois pas à la thèse du surdoué, ou du HPI comme vous vous voulez pour la sémantique, qui ne ferait pas les tests : c'est antithétique ! Un HPI c'est un chercheur, une tête pensante qui ne peut se satisfaire de vagues symptômes, genre "j'ai un QI vagual". Il lui faut des vérités démontrées, des réponses scientifiquement étalonnées ; la WAIS-III permet ce genre de réponses stables. Même si cela ne mesure pas toute l'intelligence (voir les réponses d'Invité ici et ailleurs), ce test mesure bien quelque chose... et offre donc un cadre pour avancer.
Avoir un chiffre et un bilan écrit ne m'a pas rassuré dans le sens de "je suis intelligent et j'emmerde l'humanité", mais m'a permis de ne pas faire d'erreur de diagnostic, donc d'apprendre à maîtriser socialement et intellectuellement ma particularité. Rien ne serait plus pernicieux et dangereux que de réfléchir et d'infléchir sa vie sur une erreur de diagnostic, une erreur d'auto-diagnostic, une auto-erreur d'auto-diagnostic. Vous feriez-vous soigner d'un cancer par chimiothérapie sur l'unique présomption d'une rousseur sur votre ventre ?
Que faire les tests prennent du temps et sois l'objet de revirements, d'hésitations, de doutes, ... est une évidence, mais à un moment à un autre, le HPI les fera.
Quant à l'argument, "à mon âge j'ai autre chose à foutre, rien à prouver,...", il n'a qu'un temps. Je l'ai moi même utilisé ... pendant 6 semaines. Je connais aussi des personnes, la cinquantaine, très installé socialement, qui ont fait les tests pour mieux se connaître. "que j'ai compris que la rencontre la plus importante de la vie était la rencontre avec soi même" Yves Saint-Laurent.
Je ne crois pas à la thèse du surdoué, ou du HPI comme vous vous voulez pour la sémantique, qui ne ferait pas les tests : c'est antithétique ! Un HPI c'est un chercheur, une tête pensante qui ne peut se satisfaire de vagues symptômes, genre "j'ai un QI vagual". Il lui faut des vérités démontrées, des réponses scientifiquement étalonnées ; la WAIS-III permet ce genre de réponses stables. Même si cela ne mesure pas toute l'intelligence (voir les réponses d'Invité ici et ailleurs), ce test mesure bien quelque chose... et offre donc un cadre pour avancer.
Avoir un chiffre et un bilan écrit ne m'a pas rassuré dans le sens de "je suis intelligent et j'emmerde l'humanité", mais m'a permis de ne pas faire d'erreur de diagnostic, donc d'apprendre à maîtriser socialement et intellectuellement ma particularité. Rien ne serait plus pernicieux et dangereux que de réfléchir et d'infléchir sa vie sur une erreur de diagnostic, une erreur d'auto-diagnostic, une auto-erreur d'auto-diagnostic. Vous feriez-vous soigner d'un cancer par chimiothérapie sur l'unique présomption d'une rousseur sur votre ventre ?
Que faire les tests prennent du temps et sois l'objet de revirements, d'hésitations, de doutes, ... est une évidence, mais à un moment à un autre, le HPI les fera.
Quant à l'argument, "à mon âge j'ai autre chose à foutre, rien à prouver,...", il n'a qu'un temps. Je l'ai moi même utilisé ... pendant 6 semaines. Je connais aussi des personnes, la cinquantaine, très installé socialement, qui ont fait les tests pour mieux se connaître. "que j'ai compris que la rencontre la plus importante de la vie était la rencontre avec soi même" Yves Saint-Laurent.
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
J'appuie ce que tu dis Leica (j'ai envie de t'appeler par ton prénom, tu veux bien traduire, s'il te plaît ).
Mon diagnostic a été fait dans le cadre d'une psychanalyse. Je sais que certains considèrent ce diagnostic comme invalide, mais ce n'est pas ce que je veux pointer ici.
Etre surdouée était la dernière clé irrésolue de mon identité, j'en avais l'inconscience et la honte. Le savoir m'a permis de rencontrer d'autres personnes comme moi et d'avoir le bonheur de vivre des échanges enfin simples ; de pouvoir pleinement apprécier nos différences de personnes et non de prendre en pleine figure la différence de mode de pensée qu'on a souvent avec les non-z. Maintenant, j'assume d'être surdouée et j'essaie d'en tirer profit.
Je pensais que le test n'était pas nécessaire, puisque le voile me semblait levé.
Et puis j'ai lu ici que le test ne donnait pas qu'un chiffre, mais nous renseignait sur notre fonctionnement cognitif : QI performance, QI verbal, type de mémoire, etc. Et un jour, j'ai lu le rapport de Leica et nous avons discuté de ce qu'il en avait retiré/appris.
A présent, je sais que je passerai ce test (contrairement à ce que j'ai écrit au début de ma présentation et que je n'ai pas rectifié) parce que cela m'intéresse de savoir comment s'articule ma mémoire immédiate à ma mémoire à long terme, parce que je veux regarder plus en détail de quoi mon intelligence verbale est faite et que je veux vérifier ce que je pense être mon très bon fonctionnement spatial. Je suis certaine de découvrir aussi d'autres choses que je n'imagine encore pas
Je règle déjà certaines difficultés que j'ai dans ma vie pro et je me laisse le temps de me prévoir le budget pour le passer. (J'ai aussi un autre test passé il y a longtemps à l'Afpa, dont je dois tenter de récupérer les résultats.)
Edit : du coup, j'ai rectifié ma présentation.
Mon diagnostic a été fait dans le cadre d'une psychanalyse. Je sais que certains considèrent ce diagnostic comme invalide, mais ce n'est pas ce que je veux pointer ici.
Etre surdouée était la dernière clé irrésolue de mon identité, j'en avais l'inconscience et la honte. Le savoir m'a permis de rencontrer d'autres personnes comme moi et d'avoir le bonheur de vivre des échanges enfin simples ; de pouvoir pleinement apprécier nos différences de personnes et non de prendre en pleine figure la différence de mode de pensée qu'on a souvent avec les non-z. Maintenant, j'assume d'être surdouée et j'essaie d'en tirer profit.
Je pensais que le test n'était pas nécessaire, puisque le voile me semblait levé.
Et puis j'ai lu ici que le test ne donnait pas qu'un chiffre, mais nous renseignait sur notre fonctionnement cognitif : QI performance, QI verbal, type de mémoire, etc. Et un jour, j'ai lu le rapport de Leica et nous avons discuté de ce qu'il en avait retiré/appris.
A présent, je sais que je passerai ce test (contrairement à ce que j'ai écrit au début de ma présentation et que je n'ai pas rectifié) parce que cela m'intéresse de savoir comment s'articule ma mémoire immédiate à ma mémoire à long terme, parce que je veux regarder plus en détail de quoi mon intelligence verbale est faite et que je veux vérifier ce que je pense être mon très bon fonctionnement spatial. Je suis certaine de découvrir aussi d'autres choses que je n'imagine encore pas
Je règle déjà certaines difficultés que j'ai dans ma vie pro et je me laisse le temps de me prévoir le budget pour le passer. (J'ai aussi un autre test passé il y a longtemps à l'Afpa, dont je dois tenter de récupérer les résultats.)
Edit : du coup, j'ai rectifié ma présentation.
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Bonjour,
je suis désolée, je n'ai lu que les drniers échanges faute de temps....
mais pour ajouter ma petite impression perso, en effet j'ai douté pendant qulques mois, avant d epasser le wais3. Mais je n'aurais pu rester dans le "flou", dans l'incertitude, parce que j'avais besoin d'être fixée. Bien sur que j'ai eu peur que tout soit "normal", que rien n'explique (hors une autre pathologie...) mon parcours tellement chaotique/sentiment de décalage, et qu'en fin de cmpte je ressorte de chez la psy plus perdue qu'avant.
Aujourd'hui je suis contente davoir eu cette "validation", compris qui j'étais (au travers aussi de rencontres et lectures); et je suis un eu passée à autre qhose même si ça reste en toile de fond dans ma vie.
Bref, de simples impressions ne m'auraient pas suffit.
Cependant, je connais qulques personnes pour qui cela est suffisant, et qui sont pour certaines certainement zèbres, mais après tout peut être que que ça dépend aussi du vécu/parcours de chacun, et de la confiance en soi qu'on a suffisament ou non?....c'est très perso tout ça....
je suis désolée, je n'ai lu que les drniers échanges faute de temps....
mais pour ajouter ma petite impression perso, en effet j'ai douté pendant qulques mois, avant d epasser le wais3. Mais je n'aurais pu rester dans le "flou", dans l'incertitude, parce que j'avais besoin d'être fixée. Bien sur que j'ai eu peur que tout soit "normal", que rien n'explique (hors une autre pathologie...) mon parcours tellement chaotique/sentiment de décalage, et qu'en fin de cmpte je ressorte de chez la psy plus perdue qu'avant.
Aujourd'hui je suis contente davoir eu cette "validation", compris qui j'étais (au travers aussi de rencontres et lectures); et je suis un eu passée à autre qhose même si ça reste en toile de fond dans ma vie.
Bref, de simples impressions ne m'auraient pas suffit.
Cependant, je connais qulques personnes pour qui cela est suffisant, et qui sont pour certaines certainement zèbres, mais après tout peut être que que ça dépend aussi du vécu/parcours de chacun, et de la confiance en soi qu'on a suffisament ou non?....c'est très perso tout ça....
meï- Messages : 1321
Date d'inscription : 26/07/2009
Age : 51
Localisation : à l'Ouest
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Je ne critique pas le fait de passer les tests pour savoir vraiment qui on est, enfin plus exactement, comment on fonctionne. Je trouve juste que c'est cher et que ce n'est pas facile de se sentir différent et même de s'intégrer dans cette société quand on est décalé, si en plus tout ça demande beaucoup d'argent, ça fait fuir parfois, enfin me concernant des fois je ne sais plus quoi en penser de tout ça.
Cependant, ce qui me dérange aussi c'est de passer un test parce que je me demanderais si je suis surdoué. Je veux dire que je n'ai pas suffisamment confiance en moi pour me prendre au sérieux sur cette question, et ce phénomène on le connait chez les surdoués, même après confirmation. Donc surdoué ou pas surdoué, avant (même après) le doute et la honte fréquente de se dire "pour qui je me prend" peut rebuter, encore plus quand c'est 240 ou 250 euros le test. Alors, ça me motive bien plus de me dire que je cherche à savoir comment je fonctionne, mais pas dans l'idée "surdoué ou pas surdoué ?". Dans ce cas, ne serait-il pas judicieux de tester tout le monde, et de préférence pendant l'enfance, et recommencer pendant l'adolescence et l'adulte ? (histoire de voir l'évolution aussi) D'ailleurs, ça éviterait probablement des souffrances et erreurs qui conduisent certains à s'autodétruire. Bien sûr, cela signifie que la société doit évoluer vers une acceptation des différences et non une uniformisation obsessionnelle comme elle a presque toujours fait. Ne pas voir le zèbre comme forcément surdoué, ne pas voir le surdoué comme un singe savant, adapter l'éducation, faire ce qu'il faut pour répondre aux différentes personnalités. Je veux dire quand on sait qu'un enfant, même dans sa vie, sera un donneur et receveur de câlins, au lieu de rejeter cela chez l'adulte, et aussi chez l'enfant, on se dirait bon aidons-le à vivre ainsi.
Enfin bref, là je digresse, mais ce test est "réservé" aux potentiels surdoués, enfin dans mon esprit et celui de beaucoup de gens. Alors qu'on devrait tous savoir comment on fonctionne, comment fonctionne nos enfants (j'en ai pas mais vous avez compris), nos élèves... D'ailleurs, ça ne rendrait pas le monde meilleur ? Oui là en fait je dis simplement si on s'intéressait tout simplement aux gens au lieu de penser pouvoir et argent, mais bref...
Cependant, ce qui me dérange aussi c'est de passer un test parce que je me demanderais si je suis surdoué. Je veux dire que je n'ai pas suffisamment confiance en moi pour me prendre au sérieux sur cette question, et ce phénomène on le connait chez les surdoués, même après confirmation. Donc surdoué ou pas surdoué, avant (même après) le doute et la honte fréquente de se dire "pour qui je me prend" peut rebuter, encore plus quand c'est 240 ou 250 euros le test. Alors, ça me motive bien plus de me dire que je cherche à savoir comment je fonctionne, mais pas dans l'idée "surdoué ou pas surdoué ?". Dans ce cas, ne serait-il pas judicieux de tester tout le monde, et de préférence pendant l'enfance, et recommencer pendant l'adolescence et l'adulte ? (histoire de voir l'évolution aussi) D'ailleurs, ça éviterait probablement des souffrances et erreurs qui conduisent certains à s'autodétruire. Bien sûr, cela signifie que la société doit évoluer vers une acceptation des différences et non une uniformisation obsessionnelle comme elle a presque toujours fait. Ne pas voir le zèbre comme forcément surdoué, ne pas voir le surdoué comme un singe savant, adapter l'éducation, faire ce qu'il faut pour répondre aux différentes personnalités. Je veux dire quand on sait qu'un enfant, même dans sa vie, sera un donneur et receveur de câlins, au lieu de rejeter cela chez l'adulte, et aussi chez l'enfant, on se dirait bon aidons-le à vivre ainsi.
Enfin bref, là je digresse, mais ce test est "réservé" aux potentiels surdoués, enfin dans mon esprit et celui de beaucoup de gens. Alors qu'on devrait tous savoir comment on fonctionne, comment fonctionne nos enfants (j'en ai pas mais vous avez compris), nos élèves... D'ailleurs, ça ne rendrait pas le monde meilleur ? Oui là en fait je dis simplement si on s'intéressait tout simplement aux gens au lieu de penser pouvoir et argent, mais bref...
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Enfin bref, là je digresse, mais ce test est "réservé" aux potentiels surdoués, enfin dans mon esprit et celui de beaucoup de gens.
Pas du tout. Si j'en crois ce que je viens de lire, c'est même le contraire. Le test est prévu et étalonné pour la population du milieu de la courbe, pas les extrêmes.
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Je me sens un peu dans le même cas que Timi'.
Je ne suis pas testée, et je n'ai clairement pas l'argent pour le faire. Pour le moment, je découvre, plusieurs personnes m'ont dirigée vers le surdouement au vu de mes "symptômes" ce pourquoi je suis là...
En aucun cas je dirais "je suis surdouée" tant que je n'ai pas la confirmation.
Le fait de le savoir, pour moi, me livrera une réponse, le pourquoi du comment, et pourra me fournir une base pour me construire, redémarrer, en gros...
J'ai ce perpétuel sentiment de décalage, et le décalage seulement n'est pas une preuve en soi. Ce décalage peut venir d'autre chose, que ce soit pathologique ou non.
Passer le bilan me permettrait - outre de savoir si je suis zèbre ou non - de savoir comment je fonctionne, et ce sera déjà bien.
Mais il y a aussi le truc qui fait dire intérieurement "nan mais c'est bon, surdouée, et puis quoi encore, faut arrêter la fumette!"
Donc voilà, le doute, les questions incessantes...
En dehors de ça, par exemple, je ne me suis pas vraiment reconnue dans la description du livre de JSF "l'enfant surdoué..." Je n'avais pas ce comportement typique de l'enfant difficile à gérer, j'ai très bien su me faire à l'école et j'avais d'excellents résultats.
J'étais curieuse, éveillée, mais sage, dans mon monde, et super timide. J'avais des camarades, mais très peu de vrais amis, et chaque déménagement était limite un drame parce que je m'en trouvais séparée.
Bref, quand je fouille, je trouve autant de raisons de penser que ça pourrait être ça, que de raisons de penser que je me fourvoie.
Finalement, pour faire taire tous les doutes, y'a que le bilan, je pense... Il se passera certainement du temps avant que je me lance, ça se finance etc.
Je ne suis pas testée, et je n'ai clairement pas l'argent pour le faire. Pour le moment, je découvre, plusieurs personnes m'ont dirigée vers le surdouement au vu de mes "symptômes" ce pourquoi je suis là...
En aucun cas je dirais "je suis surdouée" tant que je n'ai pas la confirmation.
Le fait de le savoir, pour moi, me livrera une réponse, le pourquoi du comment, et pourra me fournir une base pour me construire, redémarrer, en gros...
J'ai ce perpétuel sentiment de décalage, et le décalage seulement n'est pas une preuve en soi. Ce décalage peut venir d'autre chose, que ce soit pathologique ou non.
Passer le bilan me permettrait - outre de savoir si je suis zèbre ou non - de savoir comment je fonctionne, et ce sera déjà bien.
Mais il y a aussi le truc qui fait dire intérieurement "nan mais c'est bon, surdouée, et puis quoi encore, faut arrêter la fumette!"
Donc voilà, le doute, les questions incessantes...
En dehors de ça, par exemple, je ne me suis pas vraiment reconnue dans la description du livre de JSF "l'enfant surdoué..." Je n'avais pas ce comportement typique de l'enfant difficile à gérer, j'ai très bien su me faire à l'école et j'avais d'excellents résultats.
J'étais curieuse, éveillée, mais sage, dans mon monde, et super timide. J'avais des camarades, mais très peu de vrais amis, et chaque déménagement était limite un drame parce que je m'en trouvais séparée.
Bref, quand je fouille, je trouve autant de raisons de penser que ça pourrait être ça, que de raisons de penser que je me fourvoie.
Finalement, pour faire taire tous les doutes, y'a que le bilan, je pense... Il se passera certainement du temps avant que je me lance, ça se finance etc.
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Je ne crois pas à la thèse du surdoué, ou du HPI comme vous vous voulez pour la sémantique, qui ne ferait pas les tests : c'est antithétique ! Un HPI c'est un chercheur, une tête pensante qui ne peut se satisfaire de vagues symptômes, genre "j'ai un QI vagual". Il lui faut des vérités démontrées, des réponses scientifiquement étalonnées ; la WAIS-III permet ce genre de réponses stables.
Et encore. Parce que tu peux toujours imaginer que le psy a bidonné les résultats pour te rendre quelque chose qui te plaît et fidéliser le client.
Je pense en effet qu'aucun zèbre n'osera affirmer qu'il est zèbre sans avoir passé le test. En revanche un zèbre peut rester un moment à gamberger pour savoir s'il ose le test ou pas pour les raisons données par Timidou : le résultat du coût et de la peur de "l'échec" en raison de son manque de confiance en lui. Si en plus, il est "mal" à ce moment-là et lit quelque part qu'un zèbre peut apparaître avec un QI "ordinaire" à cause de l'inhibition induite par l'état dépressif, c'est la fin : il va ruminer à l'infini sur l'échec possible et ce "pour qui je me prends de me penser zèbre ? je vais me prendre une bonne claque dans la gueule, apprendre que je suis rien qu'une loque psychotique..." et donc, cette phase transitoire peut durer longtemps. Sans parler du manque d'argent...
Bref, en présence d'une personne qui gamberge et doute à l'infini, le fait de ne pas avoir encore osé franchir le pas du test ne me paraît pas discriminant pour repérer le "vrai" du "faux"... Tous deux risquent de vouloir éviter, procrastiner sur le test pour fuir le risque d'une vérité désagréable. Tous les deux.
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
Bonsoir tout le monde,
Je vais encore embêter avec mes histoires mais je crois que c'est intéressant. Non pas parce que ça parle de moi ou que je trouve mon histoire plus intéressante mais d'un point de vue "recherche de la vérité". Pour la connaissance. Bien, il est fort à parier que je ne me ferai pas que des amis si j'en crois certains posts que j'ai lu depuis que je me suis inscrite. Mais cela ne me dérange pas de témoigner ouvertement, j'ai réussi à passer outre. J'ai fait un test il y a très longtemps, vers l'âge de 16 ans, qui démontrait visiblement que j'étais HP. Des profs aussi s'en étaient rendus compte et avaient appelé ma mère. Quand j'avais 16 ans, l'éducation nationale et la société en générale ne s'intéressait pas au HP comme maintenant (enfin je crois). J'ai vécu de très graves traumatismes par la suite et j'ai "décidé" de ne plus utiliser mon potentiel, de me débiliser. Là où je vivais c'était comme vital. Je savais que ça ne me correspondait pas mais j'ai arrêté de travailler. Là où mes profs de français avaient convoqué ma mère pour lui dire que j'étais une "petit génie", je ne savais plus rien. Les mots n'avaient plus aucune signification, je mélangeais tout. Plus rien ne m'intéressait et même si cela m'intéressait je délaissais. Je suis devenue mentalement anorexique. J'avais envie de savoir plein de choses mais il fallait que ce soit tout de suite. Je me suis dit à quoi bon travailler parce que tout cela ne mène à rien. Je vais mourir et je n'ai pas besoin de savoir comment mon corps va se décomposer, pourrir, noircir, nourrir les petits animaux qui me survivront... Le cycle de la vie.
Je trouvais ça cruel et stupide. Il y a deux ans environ j'ai relu des livres sur la douance. Entre-temps j'avais rencontré Béatrice Millêtre qui pensait que j'étais HP sans aucun doute pour elle. Je me reconnais dans tous les témoignages de zèbres. Pas un ne trouve pas d'écho en moi. Il y a toujours quelque chose, même minime. Et puis j'ai eu envie de savoir, d'en avoir le cœur net. La peur au ventre je suis allée faire le test. Dépressive, sous traitement médicamenteux aux effets secondaires importants, j'ai essayé de jouer le jeu pour finalement en plein milieu me dire que cette psy elle ne me plaisait pas, que je n'avais pas envie de savoir. Je me suis totalement fermée. Elle m'a obligée à finir le test. Négatif. Je dirai même plus, si j'en crois ce test, il y a même des parties où je suis à la limite de la débilité. Ca a été un choc. Je suis retournée voir B. Millêtre qui m'a dit ne pas tenir compte de ce test qui ne voulait rien dire pour toutes les raisons évoquées plus haut. Un test se fait dans de bonnes conditions, avec une personne de confiance. En ce qui me concerne, j'ai fait aussi un test de confiance en soi : je suis au minimum, du minimum. Le syndrome de l'imposteur n'est pas qu'une simple idée pour moi. J'ai l'impression d'être un imposteur partout. Avec les normaux, avec les hors normes... Pourtant, et encore une fois, je me sens "comprise" ici. Vos témoignages me parlent VRAIMENT. Alors peut-être que je suis comme l'a dit la psy : j'ai complètement refoulé mon potentiel pour pouvoir survivre (il paraît que c'est possible, elle m'a même dit qu'on pouvait perdre facilement 30 points de QI - ce qui correspondrait entre le QI détecté à l'adolescence et celui détecté Adulte - tout en gardant les symptômes des zèbres (hyper émotivité, sens aigu de la justice, ...) Tout ce que vous connaissez et décrivez. Je l'ai dit à quelques personnes, être ici c'est comme l'éveil de Penny Marshall. Je suis curieuse de savoir si j'arriverai à retrouver mes racines en étant près de vous... ou pas.
Désolée encore pour ce long message mais j'ai besoin de partager mon expérience parce que si quelqu'un s'est retrouvé dans mon cas, ça m'aiderait énormément.
Est ce que ça existe le déni de douance ?
Je vais encore embêter avec mes histoires mais je crois que c'est intéressant. Non pas parce que ça parle de moi ou que je trouve mon histoire plus intéressante mais d'un point de vue "recherche de la vérité". Pour la connaissance. Bien, il est fort à parier que je ne me ferai pas que des amis si j'en crois certains posts que j'ai lu depuis que je me suis inscrite. Mais cela ne me dérange pas de témoigner ouvertement, j'ai réussi à passer outre. J'ai fait un test il y a très longtemps, vers l'âge de 16 ans, qui démontrait visiblement que j'étais HP. Des profs aussi s'en étaient rendus compte et avaient appelé ma mère. Quand j'avais 16 ans, l'éducation nationale et la société en générale ne s'intéressait pas au HP comme maintenant (enfin je crois). J'ai vécu de très graves traumatismes par la suite et j'ai "décidé" de ne plus utiliser mon potentiel, de me débiliser. Là où je vivais c'était comme vital. Je savais que ça ne me correspondait pas mais j'ai arrêté de travailler. Là où mes profs de français avaient convoqué ma mère pour lui dire que j'étais une "petit génie", je ne savais plus rien. Les mots n'avaient plus aucune signification, je mélangeais tout. Plus rien ne m'intéressait et même si cela m'intéressait je délaissais. Je suis devenue mentalement anorexique. J'avais envie de savoir plein de choses mais il fallait que ce soit tout de suite. Je me suis dit à quoi bon travailler parce que tout cela ne mène à rien. Je vais mourir et je n'ai pas besoin de savoir comment mon corps va se décomposer, pourrir, noircir, nourrir les petits animaux qui me survivront... Le cycle de la vie.
Je trouvais ça cruel et stupide. Il y a deux ans environ j'ai relu des livres sur la douance. Entre-temps j'avais rencontré Béatrice Millêtre qui pensait que j'étais HP sans aucun doute pour elle. Je me reconnais dans tous les témoignages de zèbres. Pas un ne trouve pas d'écho en moi. Il y a toujours quelque chose, même minime. Et puis j'ai eu envie de savoir, d'en avoir le cœur net. La peur au ventre je suis allée faire le test. Dépressive, sous traitement médicamenteux aux effets secondaires importants, j'ai essayé de jouer le jeu pour finalement en plein milieu me dire que cette psy elle ne me plaisait pas, que je n'avais pas envie de savoir. Je me suis totalement fermée. Elle m'a obligée à finir le test. Négatif. Je dirai même plus, si j'en crois ce test, il y a même des parties où je suis à la limite de la débilité. Ca a été un choc. Je suis retournée voir B. Millêtre qui m'a dit ne pas tenir compte de ce test qui ne voulait rien dire pour toutes les raisons évoquées plus haut. Un test se fait dans de bonnes conditions, avec une personne de confiance. En ce qui me concerne, j'ai fait aussi un test de confiance en soi : je suis au minimum, du minimum. Le syndrome de l'imposteur n'est pas qu'une simple idée pour moi. J'ai l'impression d'être un imposteur partout. Avec les normaux, avec les hors normes... Pourtant, et encore une fois, je me sens "comprise" ici. Vos témoignages me parlent VRAIMENT. Alors peut-être que je suis comme l'a dit la psy : j'ai complètement refoulé mon potentiel pour pouvoir survivre (il paraît que c'est possible, elle m'a même dit qu'on pouvait perdre facilement 30 points de QI - ce qui correspondrait entre le QI détecté à l'adolescence et celui détecté Adulte - tout en gardant les symptômes des zèbres (hyper émotivité, sens aigu de la justice, ...) Tout ce que vous connaissez et décrivez. Je l'ai dit à quelques personnes, être ici c'est comme l'éveil de Penny Marshall. Je suis curieuse de savoir si j'arriverai à retrouver mes racines en étant près de vous... ou pas.
Désolée encore pour ce long message mais j'ai besoin de partager mon expérience parce que si quelqu'un s'est retrouvé dans mon cas, ça m'aiderait énormément.
Est ce que ça existe le déni de douance ?
Invité- Invité
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
moi : symptômes clairement.
rugal- Messages : 950
Date d'inscription : 23/04/2010
Age : 43
Localisation : Ile de france
Re: Qui est zèbre de QI, qui est zèbre de symptômes ?
rugal a écrit:Les zèbres n'ont-ils pas en commun ce besoin de tout contrôler et l'absence d'imprévus?
Ou ça ou ça ?
C'est très difficile de sortir de cette illusion de devoir tout contrôler, mais c'est possible Sinon on est mort-vivant et quelque part au fond de soi, on sent bien qu'il y a quelque chose qui cloche...
De symptômes, oui, clairement, clairvoyant.
(Edit : mince, si j'ai extirpé une citation d'un endroit d'où ça ne devait pas sortir — compliqué —, dites-le moi, que je l'enlève...)
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
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