Le contrôle des émotions
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Re: Le contrôle des émotions
Ah bon Christelle suis allé "trop" 'vite" encore
soyons
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dedezhu- Messages : 2163
Date d'inscription : 12/02/2013
Re: Le contrôle des émotions
je trouve un autre article intéressant lié aux EMOTIONS: l'INTUITION (je fais maintenant un fil sur cette question)
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/personnes-intuitives-10-choses-quelles-font-differemment-des-autres.html
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/personnes-intuitives-10-choses-quelles-font-differemment-des-autres.html
dedezhu- Messages : 2163
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Age : 69
Localisation : sud-ouest pyrénées
Re: Le contrôle des émotions
Qui sait ?
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
Le fait que je reprenne le travail demain, après 3 semaines de vacances, me suscite une certaine émotion.
Du genre "je serais bien reparti une semaine de plus mais je sais que je vais être content de retrouver mes collègues".
Mi-joie mi-deuil...
Du genre "je serais bien reparti une semaine de plus mais je sais que je vais être content de retrouver mes collègues".
Mi-joie mi-deuil...
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Quelque chose d'incontournable dans le contrôle des émotions : le travail sur soi, seul ou accompagné
https://www.zebrascrossing.net/t12112-le-travail-sur-soi-en-question
https://www.zebrascrossing.net/t12112-le-travail-sur-soi-en-question
fleurblanche- Messages : 4481
Date d'inscription : 23/06/2010
Age : 56
Localisation : Hémisphère sud
Re: Le contrôle des émotions
Yes ! J'ai réussi à pleurer ce matin !
Trop marrant ce qui m'y a conduit (ça fait 3 mois que j'essaye tout de même) : La peur que mon équipe n'arrive pas à tenir les délais pour un job qu'on doit boucler pour ce soir (et que ça nous décale inexorablement sur la semaine prochaine).
Pourquoi le respect des délais me touche autant ? Je ne sais pas mais je vais chercher
Trop marrant ce qui m'y a conduit (ça fait 3 mois que j'essaye tout de même) : La peur que mon équipe n'arrive pas à tenir les délais pour un job qu'on doit boucler pour ce soir (et que ça nous décale inexorablement sur la semaine prochaine).
Pourquoi le respect des délais me touche autant ? Je ne sais pas mais je vais chercher
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Trop fort ! tu es sur la bonne voie !
C'est beau un homme qui sait se laisser aller ...
C'est beau un homme qui sait se laisser aller ...
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
Je n'ai pas vraiment eu l'impression de me "laisser aller" mais de ressentir une émotion telle que mes yeux se sont mouillés d'eux même.
En discutant de ça, je sais qu'il y a certaines personnes, par exemple la mère de mes enfants, qui ressentent une émotion "similaire" (pleurer immédiatement) lorsqu'elles ressentent un sentiment de culpabilité. Du genre quand lundi il y a 15 jours notre fille rentrant de vacances lui a asséné, avec un argumentaire bien senti, qu'elle était une "mauvaise mère", elle a instantanément fondu en larmes (et m'a appelé aussitôt).
Perso le sentiment de culpabilité ne me fait ni chaud et froid car je sais constamment si mes actions sont dans la légalité du droit ou pas (pénal ou civil) et que la culpabilité "morale" me laisse totalement de marbre.
Mais ne pas pouvoir respecter mes délais professionnels, ça me fiche un sentiment d'échec énorme !
En discutant de ça, je sais qu'il y a certaines personnes, par exemple la mère de mes enfants, qui ressentent une émotion "similaire" (pleurer immédiatement) lorsqu'elles ressentent un sentiment de culpabilité. Du genre quand lundi il y a 15 jours notre fille rentrant de vacances lui a asséné, avec un argumentaire bien senti, qu'elle était une "mauvaise mère", elle a instantanément fondu en larmes (et m'a appelé aussitôt).
Perso le sentiment de culpabilité ne me fait ni chaud et froid car je sais constamment si mes actions sont dans la légalité du droit ou pas (pénal ou civil) et que la culpabilité "morale" me laisse totalement de marbre.
Mais ne pas pouvoir respecter mes délais professionnels, ça me fiche un sentiment d'échec énorme !
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Je ne parle pas de laisser aller au sens négatif, mais de se laisser aller à ses émotions, quelles qu'elles soient.
Les exigences qu'on s'impose sont bien plus puissantes que celles qui viennent de l'extérieur.
Les exigences qu'on s'impose sont bien plus puissantes que celles qui viennent de l'extérieur.
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
On pleure quand on est sous pression. La cause de la pression va changer d'un individu à l'autre. Moi c'est le sentiment d'injustice, le sentiment de perte et le sentiment de trahison qui peuvent me faire pleurer, mais pas toujours et pas pour toujours (la pression finit toujours par être évacuée).
fleurblanche- Messages : 4481
Date d'inscription : 23/06/2010
Age : 56
Localisation : Hémisphère sud
Re: Le contrôle des émotions
Non seulement ça mais la sensibilité à certaines pressions plutôt qu'à d'autres est spécifique à chaque individu.fleurblanche a écrit:La cause de la pression va changer d'un individu à l'autre.
Par exemple je suis d'accord que la 'trahison' est une forme de "pression" mais ça ne me rend pas du tout triste, combattif plutôt.
Et l'injustice me met en colère.
Inversement il y a assez peu de gens qui sont stressés par les délais. Ce qui me rend dingue parfois.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Le contrôle des émotions, c'est un sujet qui me parle beaucoup. J'écoute mes émotions très attentivement depuis 3-4 ans. Avant j'avais l'impression d'être sans émotions, froid. Pourquoi? Et bien à l'adolescence je me souviens d'un bouillonnement tellement intense que je ne comprenais pas, qui m'envahissait et me secouait, j'ai l'image d'un bateau (moi) sur une mer déchainée (mes émotions). Comme cela ne me permettait pas d'avoir une vie sociale et notamment au lycée j'ai mis tout ça au panier, je l'ai fermé et j'ai fait comme si tout cela n'existait pas.
Cette expérience s'est associée avec une profonde haine de moi.
J'attrape des bouffées de chaleur en y repensant!!
Bref, j'ai tout ressorti petit à petit lors de ma thérapie en mettant des mots sur ce que je ressentais. J'ai alors compris que je pouvais exprimer ce que je ressentais et là ça a été la découverte de ma vie...
J'ai encore du mal à savoir ce que je ressens au moment ou je le ressens, ça viens en décalé chez moi et j'aimerai bien être capable d'exprimer mes émotions avec mon corps au moment où je les vis même sans les comprendre mais pour l'instant certains blocages sont toujours présents.
Ce qui est marrant, c'est quand tout le monde panique que je garde le plus mon sang froid. Quand les gens sont calmes, c'est là que je panique...
Cette expérience s'est associée avec une profonde haine de moi.
J'attrape des bouffées de chaleur en y repensant!!
Bref, j'ai tout ressorti petit à petit lors de ma thérapie en mettant des mots sur ce que je ressentais. J'ai alors compris que je pouvais exprimer ce que je ressentais et là ça a été la découverte de ma vie...
J'ai encore du mal à savoir ce que je ressens au moment ou je le ressens, ça viens en décalé chez moi et j'aimerai bien être capable d'exprimer mes émotions avec mon corps au moment où je les vis même sans les comprendre mais pour l'instant certains blocages sont toujours présents.
Ce qui est marrant, c'est quand tout le monde panique que je garde le plus mon sang froid. Quand les gens sont calmes, c'est là que je panique...
deep thought- Messages : 138
Date d'inscription : 14/05/2015
Age : 45
Localisation : Nantes
Re: Le contrôle des émotions
Sans aller jusqu'à la panique, et pour être super pratique (et très perso), comment gèrerais tu l'idée d'un week-end où tu vas te faire ch... et que tu sais que ça va être pareil pendant les 38 week-ends à suivre ?ceed a écrit:Ce qui est marrant, c'est quand tout le monde panique que je garde le plus mon sang froid. Quand les gens sont calmes, c'est là que je panique...
C'est bien l'émotion de la peur et de la colère qui s'expriment dans ce cas, non ?
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Pour mon cas, lorsque je ressens ce genre d'émotion par l'anticipation d’événements répétitifs ou non c'est un signal qui me dit que je dois changer quelque chose. Mais généralement je ne sais pas quoi. J'écoute mon intuition et puis j'essaye quelque chose de différent et je vois si le ressentis change. Pas la peine de tout chambouler non plus, les plus petits changements sont presque toujours suffisant.
Cela peut apporter un changement de point de vue par exemple et transformer une sensation désagréable en sensation agréable.
Lorsqu'on atteint le seuil de panique par anticipation, là c'est plus grave. Ça m'est arrivé de ressentir ça dans mon ancien métier et ça a été le déclencheur pour moi, c'est ce qui m'a fait prendre conscience qu'il fallait que je change de voie professionnelle...
Cela peut apporter un changement de point de vue par exemple et transformer une sensation désagréable en sensation agréable.
Lorsqu'on atteint le seuil de panique par anticipation, là c'est plus grave. Ça m'est arrivé de ressentir ça dans mon ancien métier et ça a été le déclencheur pour moi, c'est ce qui m'a fait prendre conscience qu'il fallait que je change de voie professionnelle...
deep thought- Messages : 138
Date d'inscription : 14/05/2015
Age : 45
Localisation : Nantes
Re: Le contrôle des émotions
Une étude vient d'être publiée sur les méfaits neurotoxiques du tabac sur les foetus et jeunes enfants.
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/enfants-trop-peureux-ou-coleriques-un-effet-du-tabac-29-09-2015-5138327.php
J'y lis
Quelqu'un me disait ce week-end que "toutes les femmes" passent leur temps à avoir la boule au ventre.
Est ce que vous confirmez ça mesdames ?
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/enfants-trop-peureux-ou-coleriques-un-effet-du-tabac-29-09-2015-5138327.php
J'y lis
Pour les troubles émotionnels, ils développeraient plus facilement des peurs, des troubles psychosomatiques (maux de tête et de ventre), et seraient mal à l'aise dans des situations nouvelles
Quelqu'un me disait ce week-end que "toutes les femmes" passent leur temps à avoir la boule au ventre.
Est ce que vous confirmez ça mesdames ?
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Non plus !
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
Quoi que ! en y réfléchissant bien, je me demande là si j'ai pas un début de bille qui s'installe ...
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
Faudrait faire un sondage... mais chez moi, l'angoisse ne se traduit pas au niveau du ventre. L'angoisse se traduit par la gorge serrée.
Après deux décès dans ma famille qui m'ont envoyés à l'hôpital pour des angines surinfectées, je me suis fait opérer. La somatisation s'est déplacée sur les oreilles.
Une amie qui est chirurgien ORL m'a conseillé un bouquin là dessus, je recherche les références et je vous poste ça dès que possible.
Après deux décès dans ma famille qui m'ont envoyés à l'hôpital pour des angines surinfectées, je me suis fait opérer. La somatisation s'est déplacée sur les oreilles.
Une amie qui est chirurgien ORL m'a conseillé un bouquin là dessus, je recherche les références et je vous poste ça dès que possible.
Invité- Invité
Re: Le contrôle des émotions
Niveau contrôle des émotions, je commence à lâcher la bride. Mais du coup, c'est moche.
Avant, des amis me disaient que j'étais toujours calme, quels que soient les événements, que je ne me mettais jamais en colère, et que même quand j'étais joyeuse c'était "doucement". Alors qu'en vrai, dedans, c'était la gros b*rdel.
Maintenant, j'ai plus de mal à canaliser. J'ai beaucoup d'émotions qui font pleurer, des émotions désagréables (pas négatives puisqu'elles signifient quelque chose, mais désagréables : colère, frustration, ce genre de truc).
Enfant, je n'ai pas eu le droit d'exprimer mes émotions. La joie passait pour de l'arrogance ou de l'égoïsme (hein ??), la colère je n'y avais juste pas droit puisque j'étais une fille (re-hein ? la personne qui me disait ça était une "fille" aussi et passait son temps à exprimer sa colère), la tristesse c'était "inutile" puisque j'avais "rien pour être triste" (ah)... J'ai fait une dépression très tôt, qui a duré très longtemps, mais forcément on me l'a aussi niée puisque j'avais aucune raison d'être mal et qu'il fallait juste que je me fiche des pieds au c*l.
Du coup je pense que, maintenant que je me suis un petit peu affranchie de l'influence de la personne qui m'a tant fermé le bec (oui oui, y'en a qu'une qui a eu une influence majoritaire, et quelques autres qui n'ont pas arrangé les choses), je lâche les vannes. A 30 ans passés, ça pique un peu de se mettre à ressentir et exprimer ses émotions. Je sais pas comment "gérer", je sais pas quand j'en fais trop "pour la société" (pour moi j'estime que je me contrôle beaucoup encore, même si y'a des trucs que je n'arrive plus à contrôler), j'ai l'impression de ressentir tout le temps du négatif/désagréable. Comme si tout ce que j'avais fini par taire en moi ressortait très, très fort.
Et c'est vraiment pas facile tous les jours. Parce que du coup mon estime de moi en prend un coup aussi...
D'un autre côté, quand j'ai une émotion positive/agréable, elle l'est très très fort aussi ! Mon conscient la musèle un peu, que ce soit parce que ça "se fait pas" ou parce que "ça va pas durer" (crétin T_T) mais je me conseille à moi-même avec vivacité d'en profiter à fond à fond à fond parce que m*rde c'est pas tous les jours, déjà, et puis ça fait du bien alors profitons !
Avant, des amis me disaient que j'étais toujours calme, quels que soient les événements, que je ne me mettais jamais en colère, et que même quand j'étais joyeuse c'était "doucement". Alors qu'en vrai, dedans, c'était la gros b*rdel.
Maintenant, j'ai plus de mal à canaliser. J'ai beaucoup d'émotions qui font pleurer, des émotions désagréables (pas négatives puisqu'elles signifient quelque chose, mais désagréables : colère, frustration, ce genre de truc).
Enfant, je n'ai pas eu le droit d'exprimer mes émotions. La joie passait pour de l'arrogance ou de l'égoïsme (hein ??), la colère je n'y avais juste pas droit puisque j'étais une fille (re-hein ? la personne qui me disait ça était une "fille" aussi et passait son temps à exprimer sa colère), la tristesse c'était "inutile" puisque j'avais "rien pour être triste" (ah)... J'ai fait une dépression très tôt, qui a duré très longtemps, mais forcément on me l'a aussi niée puisque j'avais aucune raison d'être mal et qu'il fallait juste que je me fiche des pieds au c*l.
Du coup je pense que, maintenant que je me suis un petit peu affranchie de l'influence de la personne qui m'a tant fermé le bec (oui oui, y'en a qu'une qui a eu une influence majoritaire, et quelques autres qui n'ont pas arrangé les choses), je lâche les vannes. A 30 ans passés, ça pique un peu de se mettre à ressentir et exprimer ses émotions. Je sais pas comment "gérer", je sais pas quand j'en fais trop "pour la société" (pour moi j'estime que je me contrôle beaucoup encore, même si y'a des trucs que je n'arrive plus à contrôler), j'ai l'impression de ressentir tout le temps du négatif/désagréable. Comme si tout ce que j'avais fini par taire en moi ressortait très, très fort.
Et c'est vraiment pas facile tous les jours. Parce que du coup mon estime de moi en prend un coup aussi...
D'un autre côté, quand j'ai une émotion positive/agréable, elle l'est très très fort aussi ! Mon conscient la musèle un peu, que ce soit parce que ça "se fait pas" ou parce que "ça va pas durer" (crétin T_T) mais je me conseille à moi-même avec vivacité d'en profiter à fond à fond à fond parce que m*rde c'est pas tous les jours, déjà, et puis ça fait du bien alors profitons !
Lyanah- Messages : 470
Date d'inscription : 12/11/2014
Age : 40
Re: Le contrôle des émotions
Pas de boule au ventre mais l'intestin en vrac!
Cf. Le livre qui est paru récemment "le charme discret de l’intestin" qui parle entre autre chose des fameux neurones de l'intestin.
Cf. Le livre qui est paru récemment "le charme discret de l’intestin" qui parle entre autre chose des fameux neurones de l'intestin.
mrs doubtfull- Messages : 779
Date d'inscription : 16/12/2012
Age : 57
Localisation : 69
Re: Le contrôle des émotions
Je tente actuellement de m'en défaire. J'ai des parents toxiques, toute joie a été cassée et j'ai été enfoncée à chaque tristesse, du coup, j'ai masqué mes émotions. Ma sœur est également toxique (par exemple, à chaque rupture, elle me parle de mon ex pendant 6 mois en demandant innocemment si j'ai de ses nouvelles sans que personne ne dise rien; j'ai beau la rembarrer, ça ne lui fait rien, elle est contente d'avoir cherché à me blesser. Elle est pareil avec mon frère.)).
Le souci, c'est que ma soupape de sécurité actuelle, c'est une addiction au sucre (je n'en achète quasiment jamais donc je me fais un thé à la place maintenant que je perds l'habitude du sucré. Il m'arrive encore de prendre des "doubles goûters" mais ça diminue aussi) et de la trichotillomanie associée à une trichophagie.
Bref, j'ai fait un gros travail sur moi ces dernières semaines et je suis arrivée à la conclusion que les émotions ne sont pas des ennemies: ce sont des indices sur ce qui me fait du bien et ce qui ne va pas. A partir de là, je peux agir en conséquence. Si j'ai une émotion positive, je sais que reproduire le même type de stimulus aura le même effet; en cas d'émotion négative, je sais que je dois agir pour régler le "souci" au mieux (parfois, c'est juste un inconfort physique que je nie (la soif par exemple alors que je lis, je préfère lire que me lever pour boire et je commence à triturer mes cheveux) mais c'est souvent lié à un questionnement ou à un stress que je dois régler en réglant le problème et en prenant le temps de me faire du bien).
A mon sens, le seul moment où il faut gérer ses émotions, c'est en société (et encore, nous ne sommes plus aux temps préhistoriques où montrer sa peur indiquait au loup que j'étais vulnérable et qu'il pouvait m'attaquer) en fonction des situations. Je m'en suis rendue compte le jour où j'ai fait le lien comme quoi dans "être humain", il y a "humain" (raison mais aussi sentiments, donc émotions ce qui veut dire que c'est normal de les exprimer) et que même les animaux expriment leurs émotions (j'ai pris l'exemple des chats, animal que je côtoie le plus qui montrent leur peur, leur colère, leur énervement, leur envie de jouer ou de câlins).
Parce qu'à l'intérieur, ça bouillonne en permanence,tout ou presque me touche d'une manière ou d'une autre plus ou moins profondément donc ne pas le laisser sortir à l'extérieur n'est pas logique.
Le souci, c'est que ma soupape de sécurité actuelle, c'est une addiction au sucre (je n'en achète quasiment jamais donc je me fais un thé à la place maintenant que je perds l'habitude du sucré. Il m'arrive encore de prendre des "doubles goûters" mais ça diminue aussi) et de la trichotillomanie associée à une trichophagie.
Bref, j'ai fait un gros travail sur moi ces dernières semaines et je suis arrivée à la conclusion que les émotions ne sont pas des ennemies: ce sont des indices sur ce qui me fait du bien et ce qui ne va pas. A partir de là, je peux agir en conséquence. Si j'ai une émotion positive, je sais que reproduire le même type de stimulus aura le même effet; en cas d'émotion négative, je sais que je dois agir pour régler le "souci" au mieux (parfois, c'est juste un inconfort physique que je nie (la soif par exemple alors que je lis, je préfère lire que me lever pour boire et je commence à triturer mes cheveux) mais c'est souvent lié à un questionnement ou à un stress que je dois régler en réglant le problème et en prenant le temps de me faire du bien).
A mon sens, le seul moment où il faut gérer ses émotions, c'est en société (et encore, nous ne sommes plus aux temps préhistoriques où montrer sa peur indiquait au loup que j'étais vulnérable et qu'il pouvait m'attaquer) en fonction des situations. Je m'en suis rendue compte le jour où j'ai fait le lien comme quoi dans "être humain", il y a "humain" (raison mais aussi sentiments, donc émotions ce qui veut dire que c'est normal de les exprimer) et que même les animaux expriment leurs émotions (j'ai pris l'exemple des chats, animal que je côtoie le plus qui montrent leur peur, leur colère, leur énervement, leur envie de jouer ou de câlins).
Parce qu'à l'intérieur, ça bouillonne en permanence,tout ou presque me touche d'une manière ou d'une autre plus ou moins profondément donc ne pas le laisser sortir à l'extérieur n'est pas logique.
Invité- Invité
Re: Le contrôle des émotions
lu dans l'interview d'un ingénieur roboticien/artiste (Guy Hoffmann je crois)
"réflexes basiques et émotions sont les extrêmes d'un même gradient. les émotions seraient ainsi des réflexes complexes."
"réflexes basiques et émotions sont les extrêmes d'un même gradient. les émotions seraient ainsi des réflexes complexes."
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Le contrôle des émotions
Avant, j'avais pas de filtre, totalement naïve et livrée à l'autre dans la franchise absolue.
Je me suis prise une grosse claque, qui ma laissée KO plusieurs années, total une tendance au retranchement derrière une banquise bien gelée dès que les choses devenaient trop intenses. Ca arrivait comme ça, sans même que je m'en aperçoive, la première personne à s'est rendre compte a été un observateur attentif (il était aussi une victime de mes périodes de glaciation).
Il y a quelques semaines de cela, j'ai accepté de baisser la garde, dans une situation amoureuse un peu particulière.
Chose étonnante, je ne me suis pas pris de grosse baffe, j'ai pas souffert, et surtout ...
... surtout, j'ai ressenti les émotions sans filtre, et bien c'est drôlement intense ... et c'est bon. J'aurais bien envie d'y être accroc !!!
Je me suis prise une grosse claque, qui ma laissée KO plusieurs années, total une tendance au retranchement derrière une banquise bien gelée dès que les choses devenaient trop intenses. Ca arrivait comme ça, sans même que je m'en aperçoive, la première personne à s'est rendre compte a été un observateur attentif (il était aussi une victime de mes périodes de glaciation).
Il y a quelques semaines de cela, j'ai accepté de baisser la garde, dans une situation amoureuse un peu particulière.
Chose étonnante, je ne me suis pas pris de grosse baffe, j'ai pas souffert, et surtout ...
... surtout, j'ai ressenti les émotions sans filtre, et bien c'est drôlement intense ... et c'est bon. J'aurais bien envie d'y être accroc !!!
Christelle- Messages : 895
Date d'inscription : 06/03/2010
Age : 44
Re: Le contrôle des émotions
Une chose qui m'étonne (à nouveau - j'aime bien l'émotion de l'étonnement) c'est que personne sur ce fil n'a encore parlé de Quotient Emotionnel.
C'est pourtant quelque chose de connu depuis longtemps car je crois que la première fois que j'ai entendu parler de QE, ça devait être en 1987 (à la louche). A l'époque je me demandais bien de quoi il s'agissait et personne n'arrivait à en donner une définition qui fasse du sens.
Grâce au miracle d'internet je suis allé piocher deux tests (qui valent ce que les tests sur internet valent, à savoir pas grand-chose).
Cadre Emploi propose 10 petites questions :
http://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/tous-nos-quizz/detail/quizz/testez-votre-quotient-emotionnel.html
Psychologie.com en soumet 42 mais l'analyse du résultat est décevante :
http://test.psychologies.com/calculez-votre-quotient-emotionnel
(je suis ressorti avec une Intelligence Emotionnelle moyenne et j'aurais aimé en savoir un peu plus)
Au final j'ai préféré les questions, pour savoir lesquelles se poser, que le "score" calculé.
C'est pourtant quelque chose de connu depuis longtemps car je crois que la première fois que j'ai entendu parler de QE, ça devait être en 1987 (à la louche). A l'époque je me demandais bien de quoi il s'agissait et personne n'arrivait à en donner une définition qui fasse du sens.
Grâce au miracle d'internet je suis allé piocher deux tests (qui valent ce que les tests sur internet valent, à savoir pas grand-chose).
Cadre Emploi propose 10 petites questions :
http://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/tous-nos-quizz/detail/quizz/testez-votre-quotient-emotionnel.html
Psychologie.com en soumet 42 mais l'analyse du résultat est décevante :
http://test.psychologies.com/calculez-votre-quotient-emotionnel
(je suis ressorti avec une Intelligence Emotionnelle moyenne et j'aurais aimé en savoir un peu plus)
Au final j'ai préféré les questions, pour savoir lesquelles se poser, que le "score" calculé.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Un autre aspect dont on a pas encore parlé (je suis en forme ce matin ) et que je viens de découvrir dans mes lectures, sont les Emotions Sociales.
Un chercheur en parle dans un article sur Cairn à propos de la délinquance juvénile :
Rien sur Wikipedia en français (apparemment) mais la page anglophone est très détaillée.
(et vous posez vous parfois la question de ce qu'il en est ?)
En ce qui me concerne, je ne ressensquasiment jamais d'émotions sociales douloureuses mais tout le temps des émotions sociales de plaisir et d'apaisement.
(cf. texte de Coenen pour savoir à quoi je me réfère)
Un jour quand j'aurai du temps je me lirai https://lectures.revues.org/6565
Et si vous êtes un fan des conférences, il y a https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/emotion_et_rationalites_en_sciences_sociales.1309 (71mn)
Un chercheur en parle dans un article sur Cairn à propos de la délinquance juvénile :
Roland Coenen a écrit:Brièvement, trois catégories d’événements psychiques induisent les comportements adaptatifs, c’est-à-dire : les comportements qui permettent de répondre aux logiques de survies biologiques, sociales et psychologiques.
Ce sont :
- les instincts, et les pulsions qui leurs sont attachées ;
- les émotions universelles primaires, telles : la peur, la colère, le dégoût, la surprise, la tristesse et la joie, que nous partageons avec de nombreuses espèces animales, et qui sont nos réactions émotionnelles les plus anciennes ;
- les émotions sociales, dont le développement pendant l’éducation permet l’adaptation de l’individu au groupe, lequel garantit en retour sa relative survie économique, et sociale.
Les instincts, les émotions primaires et sociales participent autant à la pensée émotionnelle qu’à la pensée rationnelle. Il y a deux catégories essentielles d’émotions primaires et sociales : les émotions douloureuses et les émotions plaisantes. Pour ce qui sont des émotions sociales, la culpabilité, l’autodépréciation, l’autocritique, la timidité, le trac, la honte, et les peurs sociales en général, sont des émotions douloureuses qui ont pour mission de nous orienter vers de meilleures protections ou de meilleures adaptations ; tandis que l’amour, l’amitié, la curiosité, l’empathie, la solidarité, la conquête sociale, l’attachement, les sensations apaisantes et esthétiques, les sentiments moraux, se montrent extrêmement motivants, parce qu’ils développent de très essentielles sensations de plaisir ou d’apaisement.
Rien sur Wikipedia en français (apparemment) mais la page anglophone est très détaillée.
Question à vous (qui n'êtes plus adolescents) : Pensez vous facilement imaginer les états mentaux de vos interlocuteurs/proches ?Wikipedia a écrit:Examples are embarrassment, guilt, shame, jealousy, envy, empathy, and pride. In contrast, basic emotions such as happiness and sadness only require the awareness of one's own somatic state. Therefore, the development of social emotions is tightly linked with the development of social cognition, the ability to imagine other people's mental states, which generally develops in adolescence.
(et vous posez vous parfois la question de ce qu'il en est ?)
En ce qui me concerne, je ne ressens
(cf. texte de Coenen pour savoir à quoi je me réfère)
Un jour quand j'aurai du temps je me lirai https://lectures.revues.org/6565
Et si vous êtes un fan des conférences, il y a https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/emotion_et_rationalites_en_sciences_sociales.1309 (71mn)
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Allez, on enchaîne
Pratiquez vous le Partage social de vos émotions ?
Incidemment, si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi, dans la mesure où Bernard Rimé semble être le spécialiste mondial du PSE, la page Wikipédia en anglais est super détaillée alors que la page en français est super pauvre (bien que Rimé soit - j'imagine - belge et enseigne en Wallonie), vous êtes les bienvenus.
Pratiquez vous le Partage social de vos émotions ?
Incidemment, si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi, dans la mesure où Bernard Rimé semble être le spécialiste mondial du PSE, la page Wikipédia en anglais est super détaillée alors que la page en français est super pauvre (bien que Rimé soit - j'imagine - belge et enseigne en Wallonie), vous êtes les bienvenus.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Bonjour,
J'ai pas lu tous les posts mais le sujet de départ me plaisait alors j'apporte mon grain de sel.
Abonné absent, j'ai eu une expérience un peu similaire dans la mesure où j'ai grandi à la Réunion et là bas tout est beaucoup plus dans l'exubérance et l'expressivité, voire le conflit. Mais adolescent j'étais plutôt discret et réservé. Je réprimais mes émotions, tout en voulant arriver à m'exprimer et communiquer, partager. J'ai fini par commencer à le faire. Mais arrivé en métropole, il s'est avéré que tout était plus… froid. Est-ce le climat? est-ce l'âge (la vingtaine n'est pas comme l'adolescence)? En tout cas, oui, je comprends ce que tu veux dire: en France, on se méfie et on ravale ses sentiments.
Du coup, mon problème, c'est que j'attends toujours l'autorisation de l'autre pour exprimer des émotions négatives, socialement indésirables: je ne demande pas de l'aide aux amis, je préfère jouer un jeu ou bien j'attends qu'ils me demandent ce qui ne va pas (quitte à leur faire sentir de manière un peu trop irritante…). Je deviens une cocote-minute, accumulant colère, amertume, vexations… Et j'ai l'impression d'être pris au piège: il faut que je m'exprime, me dis-je, pour être vrai, sincère au lieu de jouer un jeu ou pour me défaire de ces émotions négatives. Je l'ai fait et je me suis attiré la colère de ma copine, partisante du self-control et du "social avant tout", ce qui a entraîne notre rupture.
Et pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire que malgré tout, avais-je tant "raison" que ça de vouloir exprimer mes "émotions"? Ma situation actuelle est une forme d'errance mentale: je ne sais plus s'il vaut mieux opter pour l'expression émotionnelle ou bien pour le contrôle émotionnel? Car, à vrai dire, s'exprimer à brûle-pourpoint n'est pas non plus souhaitable, je pense, si on se laisse entraîner par ses sentiments (sous le coup de la colère, parce que je ne pouvais m'exprimer, je lui ai demandé si il ne fallait pas rompre, alors que je voulais parler avec elle) . Entre "expression" (désiré par l'individu mais parfois chaotique) et "contrôle" (nécessaire à la société et au maintien des relations, vu que les autres aussi peuvent être affectés par nos paroles), il faudrait trouver un moyen terme. J'aimerais savoir comment on peut "gérer" ou "canaliser" ses émotions dans les moments de crise aigüe! Si jamais tu as une idée, je suis preneur!^^
J'ai pas lu tous les posts mais le sujet de départ me plaisait alors j'apporte mon grain de sel.
Abonné absent, j'ai eu une expérience un peu similaire dans la mesure où j'ai grandi à la Réunion et là bas tout est beaucoup plus dans l'exubérance et l'expressivité, voire le conflit. Mais adolescent j'étais plutôt discret et réservé. Je réprimais mes émotions, tout en voulant arriver à m'exprimer et communiquer, partager. J'ai fini par commencer à le faire. Mais arrivé en métropole, il s'est avéré que tout était plus… froid. Est-ce le climat? est-ce l'âge (la vingtaine n'est pas comme l'adolescence)? En tout cas, oui, je comprends ce que tu veux dire: en France, on se méfie et on ravale ses sentiments.
Du coup, mon problème, c'est que j'attends toujours l'autorisation de l'autre pour exprimer des émotions négatives, socialement indésirables: je ne demande pas de l'aide aux amis, je préfère jouer un jeu ou bien j'attends qu'ils me demandent ce qui ne va pas (quitte à leur faire sentir de manière un peu trop irritante…). Je deviens une cocote-minute, accumulant colère, amertume, vexations… Et j'ai l'impression d'être pris au piège: il faut que je m'exprime, me dis-je, pour être vrai, sincère au lieu de jouer un jeu ou pour me défaire de ces émotions négatives. Je l'ai fait et je me suis attiré la colère de ma copine, partisante du self-control et du "social avant tout", ce qui a entraîne notre rupture.
Et pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire que malgré tout, avais-je tant "raison" que ça de vouloir exprimer mes "émotions"? Ma situation actuelle est une forme d'errance mentale: je ne sais plus s'il vaut mieux opter pour l'expression émotionnelle ou bien pour le contrôle émotionnel? Car, à vrai dire, s'exprimer à brûle-pourpoint n'est pas non plus souhaitable, je pense, si on se laisse entraîner par ses sentiments (sous le coup de la colère, parce que je ne pouvais m'exprimer, je lui ai demandé si il ne fallait pas rompre, alors que je voulais parler avec elle) . Entre "expression" (désiré par l'individu mais parfois chaotique) et "contrôle" (nécessaire à la société et au maintien des relations, vu que les autres aussi peuvent être affectés par nos paroles), il faudrait trouver un moyen terme. J'aimerais savoir comment on peut "gérer" ou "canaliser" ses émotions dans les moments de crise aigüe! Si jamais tu as une idée, je suis preneur!^^
FlotsRiants- Messages : 2
Date d'inscription : 30/09/2015
Re: Le contrôle des émotions
Je cherche, je cherche... En ce moment je canalise en utilisant les "Mécanismes de défense" ('Coping mechanisms') dont on a parlé sur https://www.zebrascrossing.net/t23354-les-mecanismes-de-defense
Mais ça a ses limites. Pour l'humour tu peux pas toujours réussir à rire de tout (genre "ha ha ha, je suis en CDD, à Noël j'aurai plus de job, que c'est drôle" j'ai un peu de mal à en rire). Et puis l'affiliation au bout d'un moment tu soule les autres. Alors c'est le corps qui t'envoie des signaux d'alarme (mal de bide, migraines).
J'espère que je tiendrai assez longtemps jusqu'à ce que je puisse (enfin) quitter à nouveau ce fichu pays.
Mais ça a ses limites. Pour l'humour tu peux pas toujours réussir à rire de tout (genre "ha ha ha, je suis en CDD, à Noël j'aurai plus de job, que c'est drôle" j'ai un peu de mal à en rire). Et puis l'affiliation au bout d'un moment tu soule les autres. Alors c'est le corps qui t'envoie des signaux d'alarme (mal de bide, migraines).
J'espère que je tiendrai assez longtemps jusqu'à ce que je puisse (enfin) quitter à nouveau ce fichu pays.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
LaGamoucheZ. a écrit:Je te conseille les livres d'Isabelle Filliozat, sur le sujet des émotions justement.
Elle a développé tout un courant qu'elle appelle "la grammaire émotionnelle" car elle trouve justement que nous n'apprenons pas assez à décoder ce qui se passe en nous.
J'aurais d'autres ouvrages à te conseiller, mais les siens sont bien français ;-)
trouvé ceci sur Isabelle Filliozat citée en début de topic
audio pas bon ..mais bon
je vais essayer de trouver le livre sur la grammaire
j'aime beaucoup aussi ce qui a été fait sur le vocabulaire différent entre hommes et femmes
je sais que c'est cliché pour certains mais il ya des choses très profondes sur comment comprendre et exprimer ses émotions
cela s'amplifie en plus quand on est zèbre hypersensible je pense
la difficulté à mon sens est de ne pas "over réagir"
comment être soi sans masque sans submerger l'autre de ses propres émotions tout en reconnaissant et acceptant les siennes
si quelqu'un a une solution je suis preneur universel :-)
je me relis et constate que je ne suis pas le seul à être preneur :-)
j'ai aussi découvert ceci http://cenaclesauges.ch/diary9/80DeterrerDesEnergiesEnfouies.htm
qui a le mérite de dire qu'il est utile de distinguer émotions et sentiments
chose que j'ai lu aussi chez Monique de Kermadec et chez d'autres aussi
savoir reconnaitre ce qu'on sent semble donc être une des premières étapes, mettre un nom sur ce qu'on sent soit pour le garder soit pour l'exprimer
Invité- Invité
Re: Le contrôle des émotions
Je faisais la queue ce matin au bureau de poste pour affranchir un courrier et mon attention a été attirée par les différences d'attitude entre le postier et les postières.
Le postier était plutôt dans le côté pratique avec des pointes d'humour, tandis que les postières étaient visiblement dans le partage d'émotions tel que wikipédia le décrit (cf. post ci-dessus du 3 octobre).
De là j'ai réalisé que les gens qui me rabâchent la notion de QE et d'émotions sont toujours des femmes, alors que pas un mec ne mentionne cet aspect.
Je ne sais pas si on peut en faire une généralité ?
Le postier était plutôt dans le côté pratique avec des pointes d'humour, tandis que les postières étaient visiblement dans le partage d'émotions tel que wikipédia le décrit (cf. post ci-dessus du 3 octobre).
De là j'ai réalisé que les gens qui me rabâchent la notion de QE et d'émotions sont toujours des femmes, alors que pas un mec ne mentionne cet aspect.
Je ne sais pas si on peut en faire une généralité ?
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Le contrôle des émotions
Ah ah!
Parfois je me demande si je ne suis pas un mec! ;-)
Le QE ne me parle pas beaucoup.
Parfois je me demande si je ne suis pas un mec! ;-)
Le QE ne me parle pas beaucoup.
mrs doubtfull- Messages : 779
Date d'inscription : 16/12/2012
Age : 57
Localisation : 69
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