Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Come down, y'en aura pour tout le monde
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Personne n'a jamais vu la queue du monstre du Loch Ness. Ça crée des liens.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'était quel lac ?
On dit vraiment lac coucou ? par chez vous ?
On dit vraiment lac coucou ? par chez vous ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
(rien qu'avec cet aperçu/image du milieu du clip, on s'attend un peu à la suite)
(keep carl and suck dick)
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Carl Lewis gay ?
La traduction française du Wiki de Carl Lewis censure complètement la « suspicion » de tantouserie. Alors que dans la version originale, en dehors de son caractère peu sympathique, la cause de la perte des ses contrats publicitaires est clairement mentionnée : "If you're a male athlete, I think the American public wants you to look macho," said Don Coleman, a Nike representative.
Non mais alors, et si la longue amitié entre Jesse Owens et l'aryen blond Lutz Long, qu'il avait battu au saut en longueur, n'était pas vraiment une amitié qualifiable de « virile » ? Hmm ?
On nous cache tout, on nous dit rien. On nous bassine avec Hitler vachement vexé des victoires d'un nègre, et on passe sous silence la proposition de sponsoring faite à Jesse Owens par Adi Dassler, le fondateur d'Adidas. Sans compter Jesse gardant jalousement sur lui la photo où il serre la louche au Führer après son tour d'honneur.
Ça a du lui faire tout drôle au champion, partageant les hôtels avec des aryens pendant les olympiades, quand il se vit refuser l'entrée principale du Waldorf Astoria de New York et du passer par l’ascenseur de service pour se rendre à la cérémonie organisée en son honneur. D'ailleurs, le Président Franklin D. Roosevelt ne lui a jamais serré la louche, lui.
Mais d"imaginer Jesse Owens entamer un petit calumet de l'happé à Lutz "the blonde" Long, c'est abuser quand même.
De là à penser que la seconde guerre mondiale c'est rien qu'une histoire de grosses jalouses...
La traduction française du Wiki de Carl Lewis censure complètement la « suspicion » de tantouserie. Alors que dans la version originale, en dehors de son caractère peu sympathique, la cause de la perte des ses contrats publicitaires est clairement mentionnée : "If you're a male athlete, I think the American public wants you to look macho," said Don Coleman, a Nike representative.
Non mais alors, et si la longue amitié entre Jesse Owens et l'aryen blond Lutz Long, qu'il avait battu au saut en longueur, n'était pas vraiment une amitié qualifiable de « virile » ? Hmm ?
On nous cache tout, on nous dit rien. On nous bassine avec Hitler vachement vexé des victoires d'un nègre, et on passe sous silence la proposition de sponsoring faite à Jesse Owens par Adi Dassler, le fondateur d'Adidas. Sans compter Jesse gardant jalousement sur lui la photo où il serre la louche au Führer après son tour d'honneur.
Ça a du lui faire tout drôle au champion, partageant les hôtels avec des aryens pendant les olympiades, quand il se vit refuser l'entrée principale du Waldorf Astoria de New York et du passer par l’ascenseur de service pour se rendre à la cérémonie organisée en son honneur. D'ailleurs, le Président Franklin D. Roosevelt ne lui a jamais serré la louche, lui.
Mais d"imaginer Jesse Owens entamer un petit calumet de l'happé à Lutz "the blonde" Long, c'est abuser quand même.
De là à penser que la seconde guerre mondiale c'est rien qu'une histoire de grosses jalouses...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
T'as rien compris, t'es trop jeune, tout ça parce que tu t'es jamais fait masser la prostate ou sinon correctement, c'est affligeant.
En plus ça semble convenu que t'aimes pas ça le sport, les vestiaires, les odeurs de transpiration renfermées, les douches collectives et les savons qui tombent sans savoir pourquoi ni quand.
moi je dis (jeudi) que le gars qui veut courir plus vite que les autres ya une raison, c'est de l'envie ou de la peur.
En plus ça semble convenu que t'aimes pas ça le sport, les vestiaires, les odeurs de transpiration renfermées, les douches collectives et les savons qui tombent sans savoir pourquoi ni quand.
moi je dis (jeudi) que le gars qui veut courir plus vite que les autres ya une raison, c'est de l'envie ou de la peur.
cyranolecho- Messages : 4873
Date d'inscription : 29/07/2015
Age : 53
Localisation : au pays de Candy... man
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
je me rappelle souvent de la boutade de sacha guitry, "je suis contre les femmes.. tout contre"
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si vous écoutez attentivement l'échange de cette petite vidéo, vous ne saurez ignorer l'incohérence totale des propos de Pierre-Ambroise.
PAB a le panache de d'Artagnan et l'intelligence politique du Cardinal. Son nez bourbonien, sa fine moustache et son front haut, son verbiage plus fourni que celui de Nelson Simon Montfort, aurait du éveiller vos soupçons. Le chat gris, ça ne vous rappelle pas Richelieu avant Drouot ? L'éminence grise est de retour, et elle ne passe pas en machine à 40°. Le message est limpide : La France éternelle est de retour.
C'est volontairement qu'il a échoué au pied du podium, le plan était si parfait que personne ne pouvait le penser ourdi.
Réfléchissez un peu bande de nazes. Si Pierre-Ambroise Bosse a choisi d'être le quatrième des Trois Médaillés sur 800 m, c'est uniquement pour permettre à la France de remporter le nombre parfait de médailles aux Jeux Olympiques de Rio. Tous pour un, un pour tous.
PAB a le panache de d'Artagnan et l'intelligence politique du Cardinal. Son nez bourbonien, sa fine moustache et son front haut, son verbiage plus fourni que celui de Nelson Simon Montfort, aurait du éveiller vos soupçons. Le chat gris, ça ne vous rappelle pas Richelieu avant Drouot ? L'éminence grise est de retour, et elle ne passe pas en machine à 40°. Le message est limpide : La France éternelle est de retour.
C'est volontairement qu'il a échoué au pied du podium, le plan était si parfait que personne ne pouvait le penser ourdi.
Réfléchissez un peu bande de nazes. Si Pierre-Ambroise Bosse a choisi d'être le quatrième des Trois Médaillés sur 800 m, c'est uniquement pour permettre à la France de remporter le nombre parfait de médailles aux Jeux Olympiques de Rio. Tous pour un, un pour tous.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- La preuve en image:
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'était un message de Madame Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
L'un de ces athlètes est un dangereux psychopathe, l'autre a pratiqué l'honorable profession d'artilleur pour le Qatar selon les dossiers des renseignements français.
Saurez-vous les distinguer ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
C'était un message de Madame Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
"Fonce, dépêche toi de bosser vite et bien" sans bien sûr se retourner c'est ça ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Au deuxième plan vous aurez reconnu, derrière Madame Clotilde VALTER, actuelle Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage, Monsieur le Premier Ministre Lionel Jospin.
Ah ! Vous voyez bien que l'humour français est de retour !
42, vous dis-je !
Clotilde VALTER, un espoir pour la France.
Pour elle, je soutiendrais le siège de Kehlsteinhaus à Berchtesgaden en tong Chanel au milieu de l'hiver. Pierre-Ambroise, sois notre guide, tu le dois à la France, à Clotilde et à son illustre aïeule Clotilde-épouse-Clovis, mère de Clovis III et belle-mère de Tanaquille, cette épouse trop tranquille pour prolonger la lignée royale.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
izo a écrit:Numero6 a écrit:C'était un message de Madame Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
"Fonce, dépêche toi de bosser vite et bien" sans bien sûr se retourner c'est ça ?
Contrairement à la légende, le travail est une valeur fondamentale en Frouzeland. Sinon, comment expliquer que nos concitoyens continuent à se casser le cul pour des salaires du tiers-monde au profit d'incompétents minables et donneurs de leçons, cette caste de parasites, obsédés par l'importation d'autres parasites pour imposer leur modèle dominant ?
Vouais, mais sinon j'en ai peu marre de la Douance et des douançais, je tente de me renouveler.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
[quote="Numero6"][quote="izo"]
Je manifeste mon soutien plein et entier à cette tentative.
Numero6 a écrit:
Vouais, mais sinon j'en ai peu marre de la Douance et des douançais, je tente de me renouveler.
Je manifeste mon soutien plein et entier à cette tentative.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bienvenue Le Prisonnier!
Chochem- Messages : 12
Date d'inscription : 23/08/2016
Localisation : On va dire Paris
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Chochem a écrit:Bienvenue Le Prisonnier!
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Dagobert 1er (600-639), de la dynastie des Mérovingiens, Roi des Francs de 629 à 639.
Une noble tête de vainqueur
Il hérite de son père la Neustrie et la Bourgogne en 629, et réunit ainsi l'essentiel du royaume des Francs, qu'il gouverne depuis Paris, sa capitale. Le royaume unifié lui donne les moyens d'une politique extérieure ambitieuse : il intervient dans les conflits internes au royaume espagnol des Wisigoths, combat les basques, les bretons et les lombards, assurant l'autorité Franque.
Il échappe à la tutelle du maire du palais (le premier ministre tout-puissant de l'époque) et mène une politique d'affirmation de l'autorité royale, tout en développant les échanges commerciaux avec l'étranger.
Vouant un culte à saint Denis, Dagobert offrit d'immenses richesses à l'abbaye qui lui était consacrée, près de Paris, et s'y fit enterrer.
Et pendant qu'il affirmait l'autorité du royaume Franc avec son falzar à l'envers (une mode encore vivace au 21° siècle, revisitée en taille basse), il accomplit l'exploit de se taper pendant ses dix ans de règne Gomatrude, Ragnétrude, Nantilde, Vulfégonde et Berthilde. Oui, cinq, vous avez bien compté ! Et je ne vous parle pas des guest stars. Un sacré queutard le Dago ! Zont rien inventé les mouslimes.
Sa dépouille de noble lignage honore pour quelques temps encore l'abbatiale de Saint-Denis, l'autre pays du Dealer.
Je ne sais pas à quoi ils carburaient à l'époque mais putain je veux la même !
Meanwhile in Tarlouzeland, nos élus partent en guerre contre ça :
D'abord, lutter contre une mode c'est une bataille perdue d'avance, aucune division de chars lourds n'a le moindre espoir de conquête confrontée à des régiments de fashion victims, mais en plus ils honorent un caprice moutonnier des atours de l'affirmation identitaire.
Mais bon, on est plus à une connerie près avec ces médiocres.
De mon temps aucune femme ne se serait aventurée dans une église sans se coiffer d'un foulard.
L'année de ma naissance, nos émouvantes compagnes défrichaient à Deauville les bases d'une mode super-sexe, rien que d'y penser j'en ai encore la Gaule :
Et pendant ce temps-là, ces crétins de français, ceux qui bossent et font tourner la machine, se refusent à devenir honorablement islamophobes. Tout ça au prétexte que le soir ils sont crevés et qu'ils ont autre chose à foutre. Les agents du ministère de la Propagande et de l’Éducation Nationale les soupçonneraient de l'apprécier, la mouslime en Burkini. Il paraitrait que ça les repose des pouffes en open-chatte, quand ils se requinquent avec leur plat préféré, le couscous sans Harissa.
Sont fatigués les français.
Et pas des mouss. De ceux qui les dirigent.
Je vous livre les dernières photos de propagande de DAESH, c'est insoutenable, je les place en spoiler (je n'ai jamais compris à quoi ça servait, mais ça fait comme si on était discret).
« André Gerin, député-maire communiste honoraire de Vénissieux (PCF), adresse ce 22 août un courrier à Manuel Valls pour lui demander de "compléter la loi sur l'interdiction du voile intégral" et de faire prendre "des arrêtés préfectoraux" afin d'interdire le burkini. Il estime que les Français ne veulent pas "voir la France devenir charia-compatible". »
Cette lettre ouverte a été relayé par l'honorable organe du ministère de la Propagande et des Petits Fours, le magazine Marianne, qui devaient s'appeler « Vérité » ou « Justice » à l'origine. Il paraitrait que les cocos de l'époque avaient hurlé à la violation de copyright, en référence à une obscure publication moscovite baptisée Pravda.
Mais ferme ta gueule, Dédé !
Tu nous laisses les gonzesses en burkini, tu fais ta valise, tu renonces à toucher tes indemnités de député-maire honoraire, et tu retournes dans ton pays de tocards, pas en Russie, là-bas ça fait plus de trente ans qu'ils ont compris pour le communisme.
Non, Tocarland, le pays des parasites.
Dédé, me dit pas que tu n'as pas la double-nationalité ! tu ne serais pas crédible ! cette impression ineffable d'arrogance et de médiocrité ne trompe pas !
Je lance une proposition aux mouss. On vous refile André Gerin, vous nous laissez vos mousmés en burkini.
Deal ?
On sait jamais... sur un malentendu...
Une noble tête de vainqueur
Il hérite de son père la Neustrie et la Bourgogne en 629, et réunit ainsi l'essentiel du royaume des Francs, qu'il gouverne depuis Paris, sa capitale. Le royaume unifié lui donne les moyens d'une politique extérieure ambitieuse : il intervient dans les conflits internes au royaume espagnol des Wisigoths, combat les basques, les bretons et les lombards, assurant l'autorité Franque.
Il échappe à la tutelle du maire du palais (le premier ministre tout-puissant de l'époque) et mène une politique d'affirmation de l'autorité royale, tout en développant les échanges commerciaux avec l'étranger.
Vouant un culte à saint Denis, Dagobert offrit d'immenses richesses à l'abbaye qui lui était consacrée, près de Paris, et s'y fit enterrer.
Et pendant qu'il affirmait l'autorité du royaume Franc avec son falzar à l'envers (une mode encore vivace au 21° siècle, revisitée en taille basse), il accomplit l'exploit de se taper pendant ses dix ans de règne Gomatrude, Ragnétrude, Nantilde, Vulfégonde et Berthilde. Oui, cinq, vous avez bien compté ! Et je ne vous parle pas des guest stars. Un sacré queutard le Dago ! Zont rien inventé les mouslimes.
Sa dépouille de noble lignage honore pour quelques temps encore l'abbatiale de Saint-Denis, l'autre pays du Dealer.
Je ne sais pas à quoi ils carburaient à l'époque mais putain je veux la même !
Meanwhile in Tarlouzeland, nos élus partent en guerre contre ça :
D'abord, lutter contre une mode c'est une bataille perdue d'avance, aucune division de chars lourds n'a le moindre espoir de conquête confrontée à des régiments de fashion victims, mais en plus ils honorent un caprice moutonnier des atours de l'affirmation identitaire.
Mais bon, on est plus à une connerie près avec ces médiocres.
De mon temps aucune femme ne se serait aventurée dans une église sans se coiffer d'un foulard.
L'année de ma naissance, nos émouvantes compagnes défrichaient à Deauville les bases d'une mode super-sexe, rien que d'y penser j'en ai encore la Gaule :
Et pendant ce temps-là, ces crétins de français, ceux qui bossent et font tourner la machine, se refusent à devenir honorablement islamophobes. Tout ça au prétexte que le soir ils sont crevés et qu'ils ont autre chose à foutre. Les agents du ministère de la Propagande et de l’Éducation Nationale les soupçonneraient de l'apprécier, la mouslime en Burkini. Il paraitrait que ça les repose des pouffes en open-chatte, quand ils se requinquent avec leur plat préféré, le couscous sans Harissa.
Sont fatigués les français.
Et pas des mouss. De ceux qui les dirigent.
Je vous livre les dernières photos de propagande de DAESH, c'est insoutenable, je les place en spoiler (je n'ai jamais compris à quoi ça servait, mais ça fait comme si on était discret).
- Les hordes barbares sont au cœur des symboles de notre civilisation :
Sans déconner, je veux celle en rose, un vrai visage de madonne.
Le maquillage est un peu outrancier, mais plongée dans l'eau ça devrait le faire.
Je déconne, le fard c'est la vie, aphorisme préféré du Chancelier Helmut Khol.
Et quand on subit les derniers outrages des ouragans de cellulites mon-corps-m'appartient sur les plages, on se dit que le Burkini, ça devrait être obligatoire.
« André Gerin, député-maire communiste honoraire de Vénissieux (PCF), adresse ce 22 août un courrier à Manuel Valls pour lui demander de "compléter la loi sur l'interdiction du voile intégral" et de faire prendre "des arrêtés préfectoraux" afin d'interdire le burkini. Il estime que les Français ne veulent pas "voir la France devenir charia-compatible". »
Cette lettre ouverte a été relayé par l'honorable organe du ministère de la Propagande et des Petits Fours, le magazine Marianne, qui devaient s'appeler « Vérité » ou « Justice » à l'origine. Il paraitrait que les cocos de l'époque avaient hurlé à la violation de copyright, en référence à une obscure publication moscovite baptisée Pravda.
Mais ferme ta gueule, Dédé !
Tu nous laisses les gonzesses en burkini, tu fais ta valise, tu renonces à toucher tes indemnités de député-maire honoraire, et tu retournes dans ton pays de tocards, pas en Russie, là-bas ça fait plus de trente ans qu'ils ont compris pour le communisme.
Non, Tocarland, le pays des parasites.
Dédé, me dit pas que tu n'as pas la double-nationalité ! tu ne serais pas crédible ! cette impression ineffable d'arrogance et de médiocrité ne trompe pas !
Je lance une proposition aux mouss. On vous refile André Gerin, vous nous laissez vos mousmés en burkini.
Deal ?
On sait jamais... sur un malentendu...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- mado fait la gueule:
l'a qu'à se cultiver le mélanome comme tout le monde la gross bitch.
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Exactement.
Ils se réveillent un peu tard tous nos politiques. Ça fait longtemps que l'islamisme le plus radical est visible dans les symboles sacrés de la République Française.
A quand l'interdiction du voile oculaire Monsieur Estrosi ?
Mais qu'aurait pensé le Maréchal Lyautey de tout cela vous demandez-vous soudain, célébré par Georges Clemenceau par le fameux : « Voilà un homme admirable, courageux, qui a toujours eu des couilles au cul… même quand ce n'étaient pas les siennes » ?
Et je comprends votre questionnement, ce Maréchal de France n'ayant jamais pu s'épanouir que dans les riads de la royauté marocaine, partageant son inclinaison pour la monarchie, la religion, la bienfaisance,la nécessité d'une vie sociale hiérarchisée. Il revendiquait l'aristocratie, pour le gouvernement des meilleurs.
Comme quoi on peut avoir des convictions et des couilles au cul. C'est pas incompatible.
Il est brillamment élu à l'Académie française en 1912 au fauteuil 14, succédant ainsi à Pierre Corneille, Victor Hugo, Leconte de Lisle et à Népomucène Lemercier, entre autres immortels totalement oubliés.
Dans son discours de réception dans la Noble Institution il fit, comme de coutume, l'éloge de son prédécesseur au fauteuil 14, Henry Houssaye, historien, critique d'art et critique littéraire. Jules Simon disait de lui : « Je rends justice à cette étude savante, à cette exposition claire et complète où l'auteur laisse parler les faits sans y mêler aucune réflexion, et dans laquelle cependant on lit sa pensée à chaque page. »
Le Maréchal Lyautey avait parié un repas avec son introniseur à l'Académie Française, l'excellent historien moderniste Louis Duchesne, qu'il placerait trois fois le mot « Burkini » dans son éloge à Henry Houssaye.
Comme quoi, tu as beau être Maréchal de France, Académicien et avoir des couilles au cul, réussir à déconner avec l'auteur le plus chiant de sa génération n'est pas donné à tout le monde.
Raide défoncé à la Romanée-Conti, il aurait déclaré en s'emparant de l'addition de l'Auberge du Bois-Fleuri et de la cuisse légère, sous les quolibets de Duchesne : « Mais tu vas me lacher la grappe avec tes histoires de fringues de bonnes femmes, t'es lourd mon Loulou ».
Grand homme mais mauvais joueur le cousin Hub'.
C'est pour cette raison qu'à ma grande désolation je suis bien infoutu de vous dire ce qu'aurait pensé le Maréchal du Burkini. Ce monde est cruel pour les gueux.
Ils se réveillent un peu tard tous nos politiques. Ça fait longtemps que l'islamisme le plus radical est visible dans les symboles sacrés de la République Française.
- Projet d'encerclement de la liberté d'exhiber sa viande:
Et vous ne me ferez pas croire que vous vous êtes satisfaits du prétexte des médailles ! Le complot sautait aux yeux !
- Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas !:
Ranx, tu sors de ce corps tout de suite ou je t'envoie la gamine !
A quand l'interdiction du voile oculaire Monsieur Estrosi ?
- Et remettez-nous des gonzesses, bordel, je suis un peu énervé moi, la canicule surement, faut penser à hydrater les vieux.:
MAILLOT DE BAIN BURKINI COURT YASMINA
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Putain l'arnaque ! encore mieux que le bio ! tu colles le label Prophet-approved et hop, tu fais comme pour le bio : tu doubles le prix. Du polyester au prix de la soie sauvage !
Ça fait chier les kouffards ? TU TRIPLES !
Y-3025. Vous vous souviendrez ?
- L'ennemi de l'athéisme, C'EST LUI:
Le t.shirt H&M bien loose recyclé en nuisette !
Quand à près de quarante ans ta revendication c'est la pyjama-party, impossible de ne pas y déceler l'ombre obsédante du Malin enserrant dans ses griffes maudites ton âme perdue.
Et quand tu vois le Diable, t'es baisé, t'es bon pour subir la Sainte Trinité par ricochet. Fini le confort de l'athéisme benoit, finie la petite auto et les vacances au Crotoy.
L'enfer se niche dans les détails. Mais comme il avait raison quand il a dit ça, l'autre !
Chérie, hmm, tu sais que je t'aime, tu voudrais pas, rien que ce soir, pour la Saint-Valentin, tu voudrais pas porter toute la nuit un truc sexy. Bisous, smac, léchouilles, chériiiiee, je t'aime, comme un fou, tu voudrais pas porter le Burkini que je t'ai offert l'année dernière ? Hmm ?
Mais qu'aurait pensé le Maréchal Lyautey de tout cela vous demandez-vous soudain, célébré par Georges Clemenceau par le fameux : « Voilà un homme admirable, courageux, qui a toujours eu des couilles au cul… même quand ce n'étaient pas les siennes » ?
Et je comprends votre questionnement, ce Maréchal de France n'ayant jamais pu s'épanouir que dans les riads de la royauté marocaine, partageant son inclinaison pour la monarchie, la religion, la bienfaisance,la nécessité d'une vie sociale hiérarchisée. Il revendiquait l'aristocratie, pour le gouvernement des meilleurs.
Comme quoi on peut avoir des convictions et des couilles au cul. C'est pas incompatible.
Il est brillamment élu à l'Académie française en 1912 au fauteuil 14, succédant ainsi à Pierre Corneille, Victor Hugo, Leconte de Lisle et à Népomucène Lemercier, entre autres immortels totalement oubliés.
Dans son discours de réception dans la Noble Institution il fit, comme de coutume, l'éloge de son prédécesseur au fauteuil 14, Henry Houssaye, historien, critique d'art et critique littéraire. Jules Simon disait de lui : « Je rends justice à cette étude savante, à cette exposition claire et complète où l'auteur laisse parler les faits sans y mêler aucune réflexion, et dans laquelle cependant on lit sa pensée à chaque page. »
Le Maréchal Lyautey avait parié un repas avec son introniseur à l'Académie Française, l'excellent historien moderniste Louis Duchesne, qu'il placerait trois fois le mot « Burkini » dans son éloge à Henry Houssaye.
Comme quoi, tu as beau être Maréchal de France, Académicien et avoir des couilles au cul, réussir à déconner avec l'auteur le plus chiant de sa génération n'est pas donné à tout le monde.
Raide défoncé à la Romanée-Conti, il aurait déclaré en s'emparant de l'addition de l'Auberge du Bois-Fleuri et de la cuisse légère, sous les quolibets de Duchesne : « Mais tu vas me lacher la grappe avec tes histoires de fringues de bonnes femmes, t'es lourd mon Loulou ».
Grand homme mais mauvais joueur le cousin Hub'.
C'est pour cette raison qu'à ma grande désolation je suis bien infoutu de vous dire ce qu'aurait pensé le Maréchal du Burkini. Ce monde est cruel pour les gueux.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:Numero6 a écrit:izo a écrit:Numero6 a écrit:
Vouais, mais sinon j'en ai peu marre de la Douance et des douançais, je tente de me renouveler.
Je manifeste mon soutien plein et entier à cette tentative.
Je propose la création du salon : « Douançaise, douançais, je vous ai compris », accompagné de quelques slogans accrocheurs.
- Vive la Douance libre !
- Les zèbres sont un peuple élitiste, peu sûr de lui et qui rêveraient de dominer son sous-chef de service.
Et puis on ferait comme le Général, on les laisserait se démerder.
Mais va savoir, on s'expose au risque évoqué par le grand Charles, à force que personne ne nous comprenne il ne faudrait pas négliger l'hypothèse d'être pris au sérieux.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:Chochem a écrit:Bienvenue Le Prisonnier!
@Chochem, subir le bizutage réglementaire sur ce fil sous la plume acerbe de Mily, c'est un privilège dont tu pourras te vanter auprès de tes arrières-petits-enfants. Certains se damneraient pour ça, enfin, je veux dire, les très rares qui croient à la damnation éternelle sur ce forum.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:
L'un de ces athlètes est un dangereux psychopathe, l'autre a pratiqué l'honorable profession d'artilleur pour le Qatar selon les dossiers des renseignements français.
Saurez-vous les distinguer ?
Je dirais photo à droite de l'écran, Qatar, à gauche de l'écran Psycho.
Quid de la réponse, dans le prochain numéro ??
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Mily a écrit:Numero6 a écrit:izo a écrit:Numero6 a écrit:
Vouais, mais sinon j'en ai peu marre de la Douance et des douançais, je tente de me renouveler.
Je manifeste mon soutien plein et entier à cette tentative.
Je propose la création du salon : « Douançaise, douançais, je vous ai compris », accompagné de quelques slogans accrocheurs.
- Vive la Douance libre !
- Les zèbres sont un peuple élitiste, peu sûr de lui et qui rêveraient de dominer son sous-chef de service.
Et puis on ferait comme le Général, on les laisserait se démerder.
Mais va savoir, on s'expose au risque évoqué par le grand Charles, à force que personne ne nous comprenne il ne faudrait pas négliger l'hypothèse d'être pris au sérieux.
- Comment voulez vous modérer un forum qui compte 4 écarts types ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Vous vous souvenez de Percy Bysshe Shelley surnommé Percy Bitch Shelley par son épouse Mary dans l'intimité ?
Bordel de dieu bande d'incultes, m'enfin si, faites un petit effort, l'un des plus grands auteurs romantiques britanniques. Rien que les titres t'es sûr que le mec était zèbre sans le savoir.
- Ozymandias,
- Ode to the West Wind,
- To a Skylark,
- The Mask of Anarchy,
Et surtout ses longs poèmes visionnaires tels que
- Alastor, or The Spirit of Solitude,
- Adonaïs,
- Prometheus Unbound,
et son poème inachevé The Triumph of Life.
On dirait des titres ou des personnages de films hollywoodiens ou de mangas. Albator le corsaire de l'espace, et Prometheus comme Ridley Scott quand on le laisse sortir de sa maison de retraite de Key West, FL, Skylark et ses super-pouvoirs...
Quand à sa vie privée alors là, aucun doute, c'est le foutoir zèbresque dans toute sa splendeur. J'ai rien compris.
L'hiver 1816-1817 est marqué par les drames familiaux. Le 10 décembre, Harriet Shelley se noie dans la Serpentine de Hyde Park. Soupçonnant un suicide, on procède à une autopsie qui révèle qu'elle était de nouveau enceinte, mais sans doute d'un autre que Shelley. Vingt jours après, le 30 décembre 1816, le poète régularise son union avec Mary Godwin dont il avait déjà un fils, William, et dont il aura peu après une fille. Clara Clairmont, maintenant brouillée avec Byron, dont elle avait eu une fille prénommée Allegra, retomba avec son enfant à la charge de Shelley. Le 27 mars 1817, le tribunal confie à la sœur du poète les deux enfants laissés par Harriet avec obligation pour Shelley de leur verser une pension annuelle de 200 livres pour leur entretien.
Et la petite Mary aurait fait pu faire péter les tests de QI. Mais non. En bonne épouse, c'est elle qui a toujours soutenu la publication des œuvres maudites de Percy. Moqueuse mais loyale envers son homme, la Mary.
Elle était franchement pas conne non plus, traductrice des plus grands, philosophes et littérateurs.
C'est un bouquin écrit de sa menotte, avec une plume et dans la Maison Chapuis, au bord du lac Léman, qui permit de faire bouillir la marmite pendant quelques temps. Une histoire fantastique où les psychochiants choisirent de retrouver un « mythe de la renaissance » dans lequel Mary se démet tant de sa culpabilité d’avoir causé la mort de sa mère que de celle d’avoir échoué en tant que parent.
Et allez, remettez moi ça patron ! C'est vraiment une manie chez les crétins de réduire l'imaginaire à la vie sexuelle des animaux.
Elle portait un peu la poisse quand même, sans vouloir critiquer. Sa mère est décédée des fièvres puerpérales en la mettant au monde. Quand à ses enfants, Clara mourut à Venise en 1918 et William à Rome l'année suivante, ouf, il lui en restait un troisième, Percy Florence.
D’après Moers, c’est l’histoire « d’un homme qui essaie d’avoir un enfant sans une femme… Frankenstein est profondément préoccupé par l’opposition entre reproduction naturelle et artificielle ». Dans le roman, l’échec de Victor Frankenstein en tant que « parent » est traduit comme l’expression de l’anxiété qui accompagne la grossesse, l’accouchement et en particulier la maternité.
Pourquoi pas après tout ? Il y en a quand même qui adore s'astiquer la plume à la branlette d'intello, ils n'ont pas attendu Freud et JSF pour se tirer sur l'élastique devant leurs feuilles blanches.
Qui d'entre vous à jamais penser à ces conneries en lisant les aventures du Dr Frankenstiiiiiine ? Faut vraiment ne disposer que d'une vision rudimentaire pour pondre un truc pareil.
On devrait les obliger à lire les œuvres dont ils parlent, tous les Moers de la terre, au minimum le titre du bouquin, Frankenstein ou le Prométhée moderne, c'est pas Pierre Bergé en Taïlande, merde, on cause pas péri-durale et haptonomie.
Dépressive et tourmentée, elle le porte sur son visage, la petite Mary. Franky goes pas à Hollywood avec elle. Le savant suisse, Victor Frankenstein, il sniffe pas des rails de marathonien, (ses origines sémites n'ont jamais été bien éclairé dans le roman, il fallut attendre Mel Brooks et son Frankenstein Junior en 1974 pour avoir la réponse) il bricole de l'humain avec des restes dans sa cave. A part perdre tes jours sur ZC, je ne vois pas bien ce qu'il peut y avoir de plus déprimant au monde.
Ouais mais bon, c'est de Percy dont je voulais vous parler, l'auteur de Prometheus Unbound, le vrai génie de la famille. Prometheus, hum, hum, vous noterez la coïncidence troublante.
Parce qu'il paraitrait que le Maréchal Liautey lui aurait emprunté son aphorisme préféré : « La joie de l'âme est dans l'action », sans jamais prendre la peine de le lui rendre.
C'est là où je voulais en venir : Faudrait quand même que je me bouge le cul !
Bordel de dieu bande d'incultes, m'enfin si, faites un petit effort, l'un des plus grands auteurs romantiques britanniques. Rien que les titres t'es sûr que le mec était zèbre sans le savoir.
- Ozymandias,
- Ode to the West Wind,
- To a Skylark,
- The Mask of Anarchy,
Et surtout ses longs poèmes visionnaires tels que
- Alastor, or The Spirit of Solitude,
- Adonaïs,
- Prometheus Unbound,
et son poème inachevé The Triumph of Life.
On dirait des titres ou des personnages de films hollywoodiens ou de mangas. Albator le corsaire de l'espace, et Prometheus comme Ridley Scott quand on le laisse sortir de sa maison de retraite de Key West, FL, Skylark et ses super-pouvoirs...
Quand à sa vie privée alors là, aucun doute, c'est le foutoir zèbresque dans toute sa splendeur. J'ai rien compris.
L'hiver 1816-1817 est marqué par les drames familiaux. Le 10 décembre, Harriet Shelley se noie dans la Serpentine de Hyde Park. Soupçonnant un suicide, on procède à une autopsie qui révèle qu'elle était de nouveau enceinte, mais sans doute d'un autre que Shelley. Vingt jours après, le 30 décembre 1816, le poète régularise son union avec Mary Godwin dont il avait déjà un fils, William, et dont il aura peu après une fille. Clara Clairmont, maintenant brouillée avec Byron, dont elle avait eu une fille prénommée Allegra, retomba avec son enfant à la charge de Shelley. Le 27 mars 1817, le tribunal confie à la sœur du poète les deux enfants laissés par Harriet avec obligation pour Shelley de leur verser une pension annuelle de 200 livres pour leur entretien.
Et la petite Mary aurait fait pu faire péter les tests de QI. Mais non. En bonne épouse, c'est elle qui a toujours soutenu la publication des œuvres maudites de Percy. Moqueuse mais loyale envers son homme, la Mary.
Elle était franchement pas conne non plus, traductrice des plus grands, philosophes et littérateurs.
C'est un bouquin écrit de sa menotte, avec une plume et dans la Maison Chapuis, au bord du lac Léman, qui permit de faire bouillir la marmite pendant quelques temps. Une histoire fantastique où les psychochiants choisirent de retrouver un « mythe de la renaissance » dans lequel Mary se démet tant de sa culpabilité d’avoir causé la mort de sa mère que de celle d’avoir échoué en tant que parent.
Et allez, remettez moi ça patron ! C'est vraiment une manie chez les crétins de réduire l'imaginaire à la vie sexuelle des animaux.
Elle portait un peu la poisse quand même, sans vouloir critiquer. Sa mère est décédée des fièvres puerpérales en la mettant au monde. Quand à ses enfants, Clara mourut à Venise en 1918 et William à Rome l'année suivante, ouf, il lui en restait un troisième, Percy Florence.
D’après Moers, c’est l’histoire « d’un homme qui essaie d’avoir un enfant sans une femme… Frankenstein est profondément préoccupé par l’opposition entre reproduction naturelle et artificielle ». Dans le roman, l’échec de Victor Frankenstein en tant que « parent » est traduit comme l’expression de l’anxiété qui accompagne la grossesse, l’accouchement et en particulier la maternité.
Pourquoi pas après tout ? Il y en a quand même qui adore s'astiquer la plume à la branlette d'intello, ils n'ont pas attendu Freud et JSF pour se tirer sur l'élastique devant leurs feuilles blanches.
Qui d'entre vous à jamais penser à ces conneries en lisant les aventures du Dr Frankenstiiiiiine ? Faut vraiment ne disposer que d'une vision rudimentaire pour pondre un truc pareil.
On devrait les obliger à lire les œuvres dont ils parlent, tous les Moers de la terre, au minimum le titre du bouquin, Frankenstein ou le Prométhée moderne, c'est pas Pierre Bergé en Taïlande, merde, on cause pas péri-durale et haptonomie.
Dépressive et tourmentée, elle le porte sur son visage, la petite Mary. Franky goes pas à Hollywood avec elle. Le savant suisse, Victor Frankenstein, il sniffe pas des rails de marathonien, (ses origines sémites n'ont jamais été bien éclairé dans le roman, il fallut attendre Mel Brooks et son Frankenstein Junior en 1974 pour avoir la réponse) il bricole de l'humain avec des restes dans sa cave. A part perdre tes jours sur ZC, je ne vois pas bien ce qu'il peut y avoir de plus déprimant au monde.
Ouais mais bon, c'est de Percy dont je voulais vous parler, l'auteur de Prometheus Unbound, le vrai génie de la famille. Prometheus, hum, hum, vous noterez la coïncidence troublante.
Parce qu'il paraitrait que le Maréchal Liautey lui aurait emprunté son aphorisme préféré : « La joie de l'âme est dans l'action », sans jamais prendre la peine de le lui rendre.
C'est là où je voulais en venir : Faudrait quand même que je me bouge le cul !
Dernière édition par Numero6 le Mer 24 Aoû 2016 - 16:26, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:- Comment voulez vous modérer un forum qui compte 4 écarts types ?
Un petit Gorgonzola pour finir ton Munster ?
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
un type je vois ce que c'est mais 4 écarts types ? mystère ;-)
pour modérer un écart type je ne vois que la variance ou la kurtosis
dis tu vas cesser ? dis ? je sais que ton grand père est l'inventeur de l'hélicoptère à bretelles mais quand même merde, tu n'as pas à attaquer les tenants des moteurs de tondeuse à gazon recyclés en tondeuse à bas prix pour les barbes de 7 jours des sdf
bien sur que la puissance est gâchée, mais pense aussi à tous ces malheureux avec une longue barbe en été
merde prends l'helico quoi.. euh .. non.. je voulais pas dire cela.. non aucune allusion je t'assure
..
;-)
pour modérer un écart type je ne vois que la variance ou la kurtosis
dis tu vas cesser ? dis ? je sais que ton grand père est l'inventeur de l'hélicoptère à bretelles mais quand même merde, tu n'as pas à attaquer les tenants des moteurs de tondeuse à gazon recyclés en tondeuse à bas prix pour les barbes de 7 jours des sdf
bien sur que la puissance est gâchée, mais pense aussi à tous ces malheureux avec une longue barbe en été
merde prends l'helico quoi.. euh .. non.. je voulais pas dire cela.. non aucune allusion je t'assure
..
;-)
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Zebulon t'as raison.
Je sors l'hélico direction Bormes-les-Mimosas et Le fort de Brégançon.
Je sors l'hélico direction Bormes-les-Mimosas et Le fort de Brégançon.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@zebulon, ZZ-Top et Rough Boy, le mythe de fion-patte est toujours vivant !
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Expérience du jour, bonjour.
D'abord vous prenez les images de Wicked Game, avec l'envoutante Helena Christensen et le non moins torride Chris Isaak.
Et vous coupez le son.
L'instinct copulatoire diminue d'un octave. Vous êtes prévenus.
Ensuite vous cliquez sur l'image pour mettre en pause.
Puis vous lancez la bande-son de Che si può fare (Que puis-je faire ?) composée par Barbara Strozzi (1619-1677), beaucoup moins attractive qu'Helena mais plutôt dégourdie avec une portée et une plume. Vous laissez Mariana Flores se dégourdir les poumons, qu'elle a sublimes d'ailleurs, aussi sexy que Megan Fox avant la chirurgie, et en voiture Simone.
Ne reste plus qu'à lancer le plein écran et à démarrer Wicked Game.
Moi, je plane.
C'est plus du flirt, c'est plus de la baise, c'est la chaleur moite des alizés à l’œuvre, les courants océaniques qui animent les mammifères d'El nino au Gulf Stream, la chair se fait mystique et moite.
Bon sinon, j'ai aussi ça en stock, ça tire pas tout à fait dans la même catégorie, c'est juste nul, à chier, caca, prout, c'est un cul de Lolita pour les vieux satyres et de la mièvrerie en branches pour faire rêver à des destins fabuleux les Princesses incultes de banlieue pauvre.
Et, oui, elle porte une culotte, je vous spoile le coup sans ménagement.
M'enfin, c'est vous qui voyez, de temps en temps elle ondule des hanches Alizée, ça fait comme si elle savait danser, on en oublierait presque qu'elle tente de chanter. Dommage, c'est une vraie bombasse la Lolita, mais c'est trop nul, c'est vraiment trop nul. Même Humbert Humbert s'en serait tiré avec une semi-molle.
« Le style de Nabokov », encore une redondance des cuistres ! Le sujet de la pédophilie avait tout pour énerver le queutard moyen, pourtant.
Mais que le style est foutraqué par l'obsession de la petite culotte, on le sent trembler rien qu'en décapsulant son Flamby à la maison de retraite des Vieux Glands, le Nabokov. Tu lui mets un string usagé sous le nez, et il vire Parkinson sur-le-champ. Toujours ça de gagné pour la branlette.
Plus chiant ? Sade, peut-être. Et pourtant, il ne lésinait pas sur les accessoires et le scato le divin marquis.
Mais comment font-ils pour nous vendre aussi bien ce qui est censé nous émerveiller ou nous émoustiller ? Quand il n'y a que de la pétasse maladroite qui tortille du cul ou les obsessions navrantes de vieux branlomanes végétatifs.
J'échange toute l’œuvre de Nabokov, son style pour bas-bleus Versaillaises, contre un seul décolleté de Marianna en pleine action.
Les poumons, les poumons, vous dis-je, que puis-je y faire ?
Osez prétendre que, là, tout de suite, vous ne pensez pas à de la glace !
Par ces temps de canicule vous avez une excuse.
D'abord vous prenez les images de Wicked Game, avec l'envoutante Helena Christensen et le non moins torride Chris Isaak.
Et vous coupez le son.
L'instinct copulatoire diminue d'un octave. Vous êtes prévenus.
Ensuite vous cliquez sur l'image pour mettre en pause.
Puis vous lancez la bande-son de Che si può fare (Que puis-je faire ?) composée par Barbara Strozzi (1619-1677), beaucoup moins attractive qu'Helena mais plutôt dégourdie avec une portée et une plume. Vous laissez Mariana Flores se dégourdir les poumons, qu'elle a sublimes d'ailleurs, aussi sexy que Megan Fox avant la chirurgie, et en voiture Simone.
Ne reste plus qu'à lancer le plein écran et à démarrer Wicked Game.
Moi, je plane.
C'est plus du flirt, c'est plus de la baise, c'est la chaleur moite des alizés à l’œuvre, les courants océaniques qui animent les mammifères d'El nino au Gulf Stream, la chair se fait mystique et moite.
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Bon sinon, j'ai aussi ça en stock, ça tire pas tout à fait dans la même catégorie, c'est juste nul, à chier, caca, prout, c'est un cul de Lolita pour les vieux satyres et de la mièvrerie en branches pour faire rêver à des destins fabuleux les Princesses incultes de banlieue pauvre.
Et, oui, elle porte une culotte, je vous spoile le coup sans ménagement.
M'enfin, c'est vous qui voyez, de temps en temps elle ondule des hanches Alizée, ça fait comme si elle savait danser, on en oublierait presque qu'elle tente de chanter. Dommage, c'est une vraie bombasse la Lolita, mais c'est trop nul, c'est vraiment trop nul. Même Humbert Humbert s'en serait tiré avec une semi-molle.
« Le style de Nabokov », encore une redondance des cuistres ! Le sujet de la pédophilie avait tout pour énerver le queutard moyen, pourtant.
Mais que le style est foutraqué par l'obsession de la petite culotte, on le sent trembler rien qu'en décapsulant son Flamby à la maison de retraite des Vieux Glands, le Nabokov. Tu lui mets un string usagé sous le nez, et il vire Parkinson sur-le-champ. Toujours ça de gagné pour la branlette.
Plus chiant ? Sade, peut-être. Et pourtant, il ne lésinait pas sur les accessoires et le scato le divin marquis.
Mais comment font-ils pour nous vendre aussi bien ce qui est censé nous émerveiller ou nous émoustiller ? Quand il n'y a que de la pétasse maladroite qui tortille du cul ou les obsessions navrantes de vieux branlomanes végétatifs.
J'échange toute l’œuvre de Nabokov, son style pour bas-bleus Versaillaises, contre un seul décolleté de Marianna en pleine action.
Les poumons, les poumons, vous dis-je, que puis-je y faire ?
Osez prétendre que, là, tout de suite, vous ne pensez pas à de la glace !
Par ces temps de canicule vous avez une excuse.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Sexe, drogue et pouvoir :
- La Jolla, Californie
1981
Nora Hayden a quatorze ans la première fois qu’un des amis de son père flashe sur elle.
Elle a fait la baby-sitter auprès de son petit morveux et il la reconduit chez elle quand, soudain, il lui prend la main et la pose sur son entre-deux. Elle va pour l’enlever quand elle se retrouve littéralement fascinée par l’expression peinte sur le visage du mec.
Et par la sensation que cela lui procure.
Elle se sent pleine de pouvoir.
Et garde sa main là où elle est. Ne la bouge ni rien du tout, mais apparemment cela suffit, elle entend la respiration plus rauque du bonhomme, elle voit ses yeux devenir tout drôles, intenses, et elle a envie de rire, sauf qu’elle ne veut pas, comment dire, rompre le charme.
Quand il remet ça une fois suivante, il garde sa propre main sur la sienne et la fait tourner en cercle. Elle le sent grossir sous sa paume. Elle sent ses spasmes. Son visage devient ridicule.
Après ça, il se range sur le bas-côté et lui demande de la lui sortir.
Elle, ce mec, elle le déteste, d’accord ?
Il lui répugne complètement, mais elle suit ses conseils ; elle a le sentiment que c’est elle le patron, pas lui. Du genre : elle peut la lui secouer, de saccades en saccades, et le secouer lui, rien qu’en arrêtant tout avant de reprendre.
— Ce n’est pas un pénis, dira-t-elle à son amie Elizabeth, c’est une laisse.
— Non, c’est le chiot à lui tout seul. Tu peux le câliner, le caresser, l’embrasser, lui offrir un endroit bien chaud pour le faire dormir, il ira te chercher tout ce que tu désires.
Elle a quatorze ans, elle en fait dix-sept. Sa mère le voit bien, mais qu’est-ce qu’elle peut faire ? Nora se partage entre maman et papa – jamais le terme de « garde conjointe » n’a eu de signification plus piquante. Parce que chaque fois qu’elle va chez papa, c’est exactement ça qu’il se fait : un joint.
Papa, c’est comme qui dirait un rastafari blanc sans les locks ni les convictions religieuses. Papa serait incapable de trouver l’Éthiopie sur une carte d’Éthiopie ; il aime juste son herbe. De ce côté-là, il s’offre la totale.
Maman a dépassé tout ça, c’est la grande raison de leur divorce. Sa période hippie, elle l’a rejetée loin derrière elle, avec férocité, comme pour rattraper le temps perdu, genre de hippie à yuppie, de zéro à cent en cinq secondes. Lui, il est encore collé à la glu dans ses sandales Birkenstock ; elle, elle va de l’avant.
En fait, elle se déniche un vrai travail à Atlanta et veut que Nora vienne la rejoindre, mais Nora est du genre : Nan, à moins que tu me montres où se trouve la plage, à Atlanta, moi, je ne viens pas. Finalement, les choses arrivent devant un juge qui demande à Nora avec quel parent elle aimerait vivre et c’est tout juste si elle ne répond pas : « Ni l’un ni l’autre », mais se contente de : « Mon papa », et donc, lorsqu’elle atteint ses quinze ans, elle va à Atlanta pendant les vacances et un mois l’été.
C’est tout juste supportable, à condition d’avoir, dirons-nous, suffisamment d’herbe de bonne qualité.
Les mômes à l’école l’appellent « Nora la Puta » mais elle s’en fiche et eux aussi en fait, au bout du compte. C’est moins un terme de mépris qu’une simple reconnaissance. Qu’est-ce que vous dites, vous, d’une camarade de classe qui se fait prendre à la sortie des cours par des Porsche, des Mercedes et des limos, alors qu’aucune de ces voitures n’appartient à ses parents ?
Une après-midi, raide défoncée, Nora remplit un questionnaire stupide pour le conseiller d’orientation et, sous la rubrique « Après les activités scolaires », elle écrit « pipes ». Avant d’effacer, elle le montre à son amie Elizabeth et elles se marrent un bon coup.
Avec votre limo, n’espérez pas non plus l’emmener au drive-in de Mickey D. Idem pour les Burger King, Taco Bell et Jack in the Box. Avec le visage et le corps qu’elle a, Nora est en droit d’exiger Las Brisas, The Inn à Laguna, El Adobe.
Vous voulez Nora, vous lui offrez bonne nourriture, bon vin, bonne came.
Jerry the Doof a toujours de la bonne coke.
Il veut qu’elle l’accompagne à Cabo.
Sûr qu’il veut. Il a quarante-quatre ans, il trafique la coke et il a plus de souvenirs que de possibilités. Elle, elle a seize ans et un corps comme un printemps. Pourquoi donc ne voudrait-il pas l’emmener passer un week-end salace au Mexique ?
Nora, ça ne lui pose pas de problème.
Elle a seize ans, mais rien de gentil.
Elle sait bien que coco n’est pas, comment dire, amoureux d’elle. Aussi sûr que la merde pue, elle n’est pas amoureuse de lui. En fait, elle estime qu’il fait plus ou moins tache, son excentrique de service, avec sa veste en soie et sa casquette de base-ball noires pour dissimuler qu’il se dégarnit. Ses jeans délavés, ses Nike sans chaussettes. Non, elle peut comprendre – coco est tout simplement terrifié à l’idée de devenir vieux.
N’aie crainte, coco, songe-t-elle. Pas la peine d’en faire un pipi nerveux.
Tu es vieux.
Jerry the Doof n’a que deux choses pour lui. L’argent et la coke.
C’est pareil, en fait. Parce que, Nora le sait bien, quand on a de l’argent, on a de la coke. Et si on a de la coke, on a de l’argent.
Elle le suce jusqu’au bout.
Ça prend plus longtemps à cause de la coke, mais ça ne la dérange pas, elle n’a rien de mieux à faire. Et faire fondre la sucette de Jerry, c’est mieux que d’avoir à causer avec lui ou, pis encore, à l’écouter. Elle ne veut plus jamais entendre parler de ses ex-épouses, de ses mômes – merde, deux de ces mômes, elle les connaît mieux que lui : elle va à l’école avec eux –, de son fameux triplé gagnant comme batteur au cours d’un match de softball première catégorie.
Une fois qu’elle en a terminé, il demande :
— Alors, tu veux y aller ?
— Aller où ?
— À Cabo.
— Okay, répond-elle.
— Tu veux y aller quand, dans ce cas ?
— Quand tu veux, dit-elle avec un haussement d’épaules.
Elle est presque sortie de la voiture quand Jerry lui tend un sac plastique plein d’herbe.
— Hé ! fait son père quand elle rentre à la maison.
Il est vautré sur le canapé et regarde une rediffusion de Huit ça suffit !
— Comment s’est passée ta journée ?
— Bien, dit-elle en balançant son sac plastique sur la table basse. Jerry te fait passer ça.
— C’est pour moi ? Chouette.
Tellement chouette qu’il se redresse et s’assied. Tout d’un coup, le voilà devenu Monsieur Initiative en personne, et il se roule un beau joint bien dodu.
Nora va dans sa chambre et ferme la porte.
Se demande ce qu’il faut penser d’un père qui maquereaute sa propre fille en échange d’un peu de dope.
Don Winslow / La griffe du chien
- Don Winslow / La griffe du chien :
Le chef d'oeuvre de Don Winslow
« Il existe deux choses dont le peuple américain ne veut pas : un autre Cuba sur les territoires d’Amérique centrale, et un autre Vietnam » Ronald Reagan.
Cette phrases, mise en exergue du chapitre 5, résume la thématique centrale de La griffe du chien de Don Winslow. Car même si l’’intrigue romanesque tourne autour du trafic de drogue entre le Mexique et les USA, c’est bien de cela qu’il s’agit en premier lieu.
Art Keller, ancien de la CIA, est entré à la DEA au retour du Vietnam, et a commencé sa carrière au Mexique. Il y a fait connaissance avec Miguel Angel Barrera, Tio, et ses deux neveux, Adan et Raoul. Tio est flic et l’aide à faire tomber le parrain local de la drogue. Peu de temps après une arrestation qui tourne au massacre, Art s’aperçoit que tout n’a été qu’une manœuvre des Barrera pour prendre en main, non pas la production de drogue, mais le transport de tout ce que produisent les cartels colombiens. Tio et ses neveux visionnaires se sont en effet rendu compte que ce qu’ils avaient de plus précieux à vendre est une frontière immense avec le premier acheteur de drogue du monde. Entre Art Keller et les Barrera, une guerre sans merci s’engage. Une guerre bien plus vaste que celle de la drogue. Une guerre qui fera de très nombreuses victimes, et aura, parmi ses protagonistes Nora, call girl de luxe, Callan, tueur à gage irlandais, la mafia, la CIA, les milices d’extrême droite d’Amérique centrale, l’église …
Ce roman est un vrai monument. Presque huit cent pages pour disséquer le rôle des gouvernements américains successifs dans la répression sanglante des mouvements pro communistes en Amérique centrale dans les années 70 et surtout 80. Pour relier cette action avec le trafic de drogue à la frontière américano-mexicaine. Pour mettre en lumière la corruption de l’état mexicain, et la façon dont les narcos sont devenus plus puissants que l’état lui-même, capables en deux semaines de faire plier l’économie du pays, pour ensuite négocier leur aide. Pour disséquer l’influence de tout cela sur la signature du fameux accord de l’ALENA, qui allait permettre la libre circulation des marchandises et des capitaux entre les deux pays. Et celle de ces conflits sur une autre guerre, beaucoup plus feutrée mais néanmoins sans pitié, celle que se livrent, en Amérique latine, les tenants de la théologie de la libération et l’Opus Dei, très bien vu par le Vatican de Jean-Paul II.
Ce n’est pas pour autant un essai, ou une étude. C’est une véritable œuvre romanesque, avec des personnages extraordinaires, hors normes, du souffle, beaucoup de violence (on s’en douterait), mais jamais gratuite, et une construction impeccable. Une œuvre romanesque qui sait prendre son temps pour décrire les odeurs dans un jardin mexicain ou l’épouvantable tremblement de terre de Mexico de septembre 85.
Une œuvre magistrale, époustouflante, dure, qui prouve, une fois de plus, que les américains savent révéler leurs pires turpitudes avec un talent exceptionnel. Les révéler et les analyser, car Don Winslow ne s’arrête pas à la dénonciation des horreurs perpétrées en Amérique centrale. Il fait également le rapprochement entre ce que coute la guerre contre la production de drogue (qui cache en réalité une guerre contre la révolte de populations exsangues), et ce que couteraient les solutions visant à faire chuter drastiquement la demande aux USA. Il s’arrête là, laissant le lecteur tirer ses propres conclusions … Des conclusions affolantes si on les résume ainsi : mieux vaut des pauvres drogués qui s’entretuent entre gangs, que des pauvres organisés et revendicatifs.
Il nous manque peut-être, en France, quelques écrivains de ce calibre, pour nous mettre sous les yeux certaines vérités désagréables. Nos gouvernants n’ont-ils pas intérêt à avoir dans nos banlieues des pauvres qui brûlent leurs propres voitures, et tiennent des discours islamistes qui ne peuvent que leur aliéner le reste de la population, plutôt que des pauvres organisés avec des revendications qui risqueraient de leur attirer les sympathies d’une bonne partie de la société ?
Mais ceci est une autre histoire non ? Toujours est-il que Don Winslow, déjà excellent auteur de polar avec sa série consacré au privé Neal Carrey passe là à une dimension supérieure et produit un véritable chef-d’œuvre.
C'est un amerloque. Il vit dans une culture qui m'est totalement étrangère. Ses protagonistes ont des destins extrêmes.
Mais il parle d'un monde qui m'est familier. Les sentiments, les destins, les faiblesses humaines, l'énergie de la vie, tout me semble familier. Les tensions et les concupiscences sont en phase avec une fête de Noël chez ma grand-mère. L'humain, quoi, comme ailleurs, comme partout.
Meanwhile in Tafioleland, le Premier Ministre de la France, Monsieur Emmanuel Valls, soutient les arrêtés municipaux prohibant le Burkini sur les plages. C'est étonnant cet acharnement à vouloir nous démontrer qu'il a une toute petite bite le Premier.
Ma caille, si une tenue de plage suffit à mettre en péril Ta République et Ta Laïcité, tu sais quoi Manu ? Me faudrait pas grand-chose pour penser que tu te les mettre au cul, et à sec.
Y en a qu'on sauté sur Dien-Bien-Phu quand ils savaient que c'étaient foutu. On peut critiquer le projet. Giap et ses niaoukés ils étaient un peu chez eux quand même. Quand il faisait bombarder Huguette ou Éliane, on ne pouvait nier son caractère taquin.
Le Premier Micro-Pénis de France veut absolument qu'on déteste les bougnoules. Dans le respect des principes de la République et du Vivre Ensemble, cela va de soi.
Mais putain c'est pas le débarquement sur les plages de Normandie quand même !
Nos quatre derniers Présidents étaient réputés pour aimer se taper des putes. François préférait la suceuse capable de déclamer du Tite-Live, Jacques baisait tout ce qui portait robe sans être passé par le petit séminaire, Nicolas s'est spécialisé dans la pouffe arriviste de seconde-main, et François fait son adolescent libidineux dans les coulisses du showbiz pour nous faire oublier son penchant ineffable pour les chieuses de haut vol.
La France dégueule des subventions sur tous les dégénérés sexuels, au nom du respect de la liberté individuelle, du fist et de la coprophagie réunis.
Des petits garçons, tout de rose vêtus, s'ébaubissent de changer les langes d'un baigneur devant les caméras du Ministère de la Propagande et de l’Éducation Nationale.
La France est menacé dans ses principes fondateurs par des tenues de plage.
Nous prennent vraiment pour des cons.
Ma grand-mère d'origine italienne, et qui avait fait ses humanités à l'usine, prononçait merveilleusement le mot Pizza. C'était pas un Z au milieu, c'était pas non plus un simple S, c'était Pizsza, imprononçable en dehors du Piémont. Par contre, elle ramait un peu avec certains termes français. Les tarlouzes elle les appelait les homme'sexuels, l’étymologie du terme lui échappait quelque peu.
Des homme'sexuels, des hommes définis par leurs pratiques sexuelles. Elle en parlait comme une gamine qui vient de dénicher une capote dans la chambre de ses parents. On s'en qu'il y a du croustillant là-dessous, mais on voit pas bien la procédure. Et puis on passe vite à autre chose. Parce qu'une capote, une fois que t'as soufflé dedans et que tu l'as remplie de flotte, bon, ben, c'est pas qu'on s'emmerde, mais un peu quand même.
Depuis on a inventé la Gay-Pride, nos ministres partent en mission diplomatique dépuceler du petit marocain, notre ministre de la culture va coacher du petit boxeur thaïlandais, ils nous ont mis un plug anal géant place Vendôme et un vagin rouillé dans les jardins de Versailles, à la tienne Lenotre.
Et la France est menacé dans son intégrité de fille ainée de l’Église par des hordes de sang-impur dont on a aucune chance de voir le sillon !
Les meilleurs mercenaires européens de tous les temps, les Gardes Suisses, étaient réputés pour ne pas faire de prisonnier. Les blessés étaient noyés ou tués (oui, moi non plus je n'ai pas bien saisi la distinction).
Dans notre univers d'hystérie médiatique les Mirmydons de DAESH masquent leurs courbes avec un Burkini. Rien que d'y penser, Achille doit se poignarder l'oigne à coups de cactus dans sa tombe !
Ou alors, Nos gouvernants n’ont-ils pas intérêt à avoir dans nos banlieues des pauvres qui brûlent leurs propres voitures, et tiennent des discours islamistes qui ne peuvent que leur aliéner le reste de la population, plutôt que des pauvres organisés avec des revendications qui risqueraient de leur attirer les sympathies d’une bonne partie de la société ?
On va attendre un peu, mais je sens que pour les prochaines élections va falloir présenter sa carte officielle d'islamophobe si tu veux prétendre déposer ton bulletin dans l'urne.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai une petite liste de trucs qu'on devrait interdire aussi dans l'espace public pour cause d'agression à mon sens de la mode :
- les crocs
- la French pédicure
- le rouge à lèvres orange sur dents jaunes
- les Mayfarer avec les branches à motif
- les Uggs
- Burger King
- les sarouels
- les vestes H&M en initiation cuir plastique
- les pantalons en velours côtelé
- les gilets avec des renforts au coude
- les décolletés jusqu'au nombril pour hommes
- la casquette gavroche
- les espadrilles
- les sacs à mains à franges
- les franges
- les ballerines à bout pointu
- le mascara bleu en paquets
- les bustiers avec un soutien gorge à bretelles
- les dreadlocks de punk à iench
J'ai sûrement oublié des trucs.
...
Je vais envoyer ma liste à Manu ...
- les crocs
- la French pédicure
- le rouge à lèvres orange sur dents jaunes
- les Mayfarer avec les branches à motif
- les Uggs
- Burger King
- les sarouels
- les vestes H&M en initiation cuir plastique
- les pantalons en velours côtelé
- les gilets avec des renforts au coude
- les décolletés jusqu'au nombril pour hommes
- la casquette gavroche
- les espadrilles
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- les franges
- les ballerines à bout pointu
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J'ai sûrement oublié des trucs.
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Je vais envoyer ma liste à Manu ...
Dernière édition par Mily le Ven 26 Aoû 2016 - 13:13, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu décris ici l’accoutrement de tes collègues de bureau ?
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
les vestes H&M en initiation cuir plastique
Tu as quoi contre les fétichistes ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mince je voulais écrire "veste S&M imitation catho cuir". Rien ne vaut l'authentique.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Mily a écrit:Mince je voulais écrire "veste S&M imitation catho cuir". Rien ne vaut l'authentique.
De l'authentique je veux bien, enfin, ça veut dire porter du cuir non tanné ?
Pola- Messages : 6058
Date d'inscription : 22/11/2013
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Sade - Combien de fois, sacredieu, n'ai-je pas désiré qu'on pût attaquer le soleil, en priver l'univers, ou s'en servir pour embraser le monde ?:
XII - Huitième journée
Les exemples de la veille en ayant imposé, on ne trouva ni ne put trouver personne en faute le lendemain. Les leçons se continuèrent sur les fouteurs, et comme il n’y eut aucun événement jusqu’au café, nous ne prendrons cette journée qu’à cette époque. Il était servi par Augustine, Zelmire, Narcisse et Zéphire. Les fouteries en cuisses recommencèrent ; Curval s’empara de Zelmire et le duc d’Augustine, et après avoir admiré et baisé leurs jolies fesses, qui avaient je ne sais trop pourquoi ce jour-là des grâces, des attraits, un vermillon qu’on n’y avait pas observés auparavant, après, dis-je, que nos libertins eurent bien baisé, bien caressé ces charmants petits culs, on exigea des pets. L’évêque qui tenait Narcisse en avait déjà obtenu ; on entendait ceux que Zéphire lançait dans la bouche de Durcet… Pourquoi ne pas les imiter ? Zelmire avait réussi, mais Augustine avait beau faire, beau s’efforcer, le duc beau menacer d’un sort pour samedi prochain pareil à celui qu’on avait éprouvé la veille, rien ne sortit, et la pauvre petite pleurait déjà quand une vesse vint enfin le satisfaire. Il respira, et content de cette marque de docilité du joli enfant qu’il aimait assez, il lui campa son énorme engin dans les cuisses et le retirant au moment de sa décharge, il lui arrosa complètement les deux fesses. Curval en avait fait tout autant avec Zelmire, mais l’évêque et Durcet se contentèrent de ce qu’on appelle la petite oie. Et la méridienne faite, on passa au salon, où la belle Duclos, mise ce jour-là avec tout ce qui pouvait le mieux faire oublier son âge, parut vraiment belle aux lumières, et si tellement que nos libertins, échauffés sur son compte, ne voulurent pas lui permettre de continuer que, du haut de sa tribune, elle n’eût fait voir ses fesses à l’assemblée. "Elle a vraiment un beau cul, dit Curval. — Et bon, mon ami, dit Durcet, je te certifie que j’en ai peu vu de meilleurs. Et, ces éloges reçus, notre héroïne rabaissa ses jupes, s’assit et reprit le fil de son histoire de la façon dont le lecteur va la lire, s’il se donne la peine de continuer, ce que nous lui conseillons pour l’intérêt de ses plaisirs.
"Une réflexion et un événement furent cause, mes- sieurs, que ce qu’il me reste à vous conter maintenant n’est plus dans le même champ de bataille. La réflexion est bien simple : ce fut l’état malheureux de ma bourse qui la fit naître. Depuis neuf ans que j’étais chez Mme Guérin, quoique je dépensasse fort peu, je ne me trouvais pourtant pas cent louis devant moi. Cette femme, extrêmement adroite et entendant au mieux ses intérêts, trouvait toujours le moyen de garder pour elle au moins les deux tiers des recettes et imposait encore de grandes retenues sur l’autre tiers. Ce manège me déplut, et vivement sollicitée par une autre maquerelle, nommée Fournier, d’aller habiter avec elle, sachant que cette Fournier recevait chez elle de vieux débauchés d’un bien meilleur ton et bien plus riches que la Guérin, je me déterminai à prendre mon congé de celle-ci pour aller chez l’autre. Quant à l’événement qui vint appuyer ma réflexion, ce fut la perte de ma sœur ; je m’étais fortement attachée à elle, et je ne pus rester davantage dans une maison où tout me la rappelait sans la retrouver. Depuis près de six mois cette chère sœur était visitée par un grand homme sec et noir dont la physionomie me déplaisait infiniment. Ils s’en- fermaient ensemble, et je ne sais ce qu’ils y faisaient, car jamais ma sœur ne me l’a voulu dire, et ils ne se plaçaient point dans l’endroit où j’aurais pu les voir. Quoi qu’il en soit, un beau matin, elle vient dans ma chambre, m’embrasse et me dit que sa fortune est faite, qu’elle est entretenue par ce grand homme que je n’aimais pas, et tout ce que j’en appris, c’est que c’était à la beauté de ses fesses qu’elle devait ce qu’elle allait gagner. Cela fait, elle me donna son adresse, fit ses comptes avec la Guérin, nous embrassa toutes et partit. Je ne manquai pas, comme vous l’imaginez bien, d’aller deux jours après à l’adresse indiquée, mais on n’y savait seulement pas ce que je voulais dire. Je vis bien que ma sœur avait été trompée elle-même, car d’imaginer qu’elle eût voulu me priver du plaisir de la voir, je ne le pouvais supposer. Quand je me plaignis à la Guérin de ce qui m’arrivait à ce sujet-là, je vis qu’elle en souriait malignement et qu’elle refusait de s’expliquer : je conclus donc de là qu’elle était dans le mystère de toute l’aventure, mais qu’on ne voulait pas que je la démêlasse. Tout cela m’affecta et me fit prendre mon parti, et comme je n’aurai plus occasion de vous parler de cette chère sœur, je vous dirai, messieurs, que, quelque perquisition que j’aie faite, quelque soin que je me sois donné pour la découvrir, il m’a été parfaitement impossible de jamais savoir ce qu’elle était devenue."
"Je le crois bien, dit alors la Desgranges, car elle n’existait plus vingt-quatre heures après t’avoir quittée. Elle ne te trompait pas, elle était dupée elle-même, mais la Guérin savait ce dont il s’agissait. — Juste ciel ! que m’apprenez-vous, dit alors la Duclos. Hélas ! quoique privée de la voir, je me flattais encore de son existence. — Très à tort, reprit la Desgranges, mais elle ne t’avait pas menti : ce fut la beauté de ses fesses, la supériorité étonnante de son cul qui lui valut l’aventure où elle se flattait de trouver sa fortune et où elle ne rencontra que la mort. — Et le grand homme sec ? dit Duclos. — Il n’était que le courtier de l’aventure, il ne travaillait pas pour son compte. — Mais cependant, dit Duclos, il la voyait assidûment depuis six mois ? — Pour la tromper, reprit Desgranges, mais reprends ton récit ; ces éclaircissements pourraient ennuyer ces messieurs, et cette anecdote-là me regarde, je leur en rendrai bon compte. — Grâce de l’attendrissement, Duclos, lui dit sèchement le duc en voyant qu’elle avait peine à retenir quelques larmes involontaires, nous ne connaissons pas ces regrets-là ici, et toute la nature s’écroulerait que nous n’en pousserions pas un soupir. Laissez les pleurs aux imbéciles et aux enfants, et qu’ils ne souillent jamais les joues d’une femme raisonnable et que nous estimons. A ces mots notre héroïne se contint et reprit aussitôt son récit.
"En raison des deux causes que je viens d’expliquer, je pris donc mon parti, messieurs, et la Fournier m’offrant un meilleur logement, une table bien autrement servie, des parties bien plus chères quoique plus pénibles, mais toujours un partage égal et sans aucune retenue, je me déterminai sur-le-champ. Mme Fournier occupait alors une maison tout entière, et cinq jeunes et jolies filles composaient son sérail ; je fus la sixième. Vous trouverez bon que je fasse ici comme chez Mme Guérin, c’est-à-dire que je ne vous peigne mes compagnes qu’à mesure qu’elles joueront un personnage. Dès le lendemain de mon arrivée on me donna de l’occupation, car les pratiques allaient grand train chez la Fournier, et nous en faisions souvent cinq ou six par jour chacune. Mais je ne vous parlerai, ainsi que je l’ai fait jusqu’à présent, que de celles qui peuvent exciter votre attention par leur piquant ou leur singularité.
"Le premier homme que je vis dans mon nouveau séjour fut un payeur des rentes, homme d’environ cinquante ans. Il me fit mettre à genoux, la tête penchée sur le lit, et s’établissant sur le lit également, à genoux au-dessus de moi, il se branla le vit dans ma bouche, en m’ordonnant de la tenir très ouverte. Je n’en perdis pas une goutte, et le paillard s’amusa prodigieusement des contorsions et des efforts pour vomir que me fit faire ce dégoûtant gargarisme.
"Vous voudrez, messieurs, continua la Duclos, que je place tout de suite, quoique arrivées à des temps différents, les quatre aventures de ce même genre que j’eus encore chez Mme Fournier. Ces récits, je le sais, ne déplairont point à M. Durcet, et il me saura gré de l’entretenir, le reste de la soirée, d’un goût qu’il aime et qui m’a procuré l’honneur de le connaître pour la première fois."
"Quoi, dit Durcet, tu vas me faire jouer un rôle dans ton histoire ? — Si vous le trouvez bon, monsieur, répondit la Duclos, en observant seulement d’avertir ces messieurs quand j’en serai à votre article. — Et ma pudeur… Quoi ! devant toutes les jeunes filles, tu vas comme cela dévoiler toutes mes turpitudes ? Et chacun ayant ri de la crainte plaisante du financier, Duclos reprit ainsi :
"Un libertin, bien autrement vieux et bien autre- ment dégoûtant que celui que je viens de citer, vint me donner la seconde représentation de cette manie. Il me fit coucher toute nue sur un lit, s’étendit à contre-sens sur moi, mit son vit dans ma bouche et sa langue dans mon con, et, dans cette attitude, il exigea que je lui rendisse les titillations de volupté qu’il prétendait que devait me procurer sa langue. Je suai de mon mieux. C’était mon pucelage pour lui ; il lécha, barbota et travailla sans doute dans toutes ses manœuvres infiniment plus pour lui que pour moi. Quoi qu’il en soit, je restai nulle, bien heureuse de n’être pas horriblement dégoûtée, et le libertin déchargea ; opération que d’après la prière de la Fournier, qui m’avait prévenue de tout, opération, dis-je, que je lui fis faire le plus lubriquement possible, en serrant mes lèvres, en suant, en exprimant de mon mieux dans ma bouche le jus qu’il exhalait et en passant ma main sur ses fesses pour lui chatouiller l’anus, épisode qu’il m’indiquait de faire, en le remplissant de son côté du mieux qu’il lui était possible… L’affaire faite, notre homme décampa en assurant la Fournier qu’on ne lui avait point encore fourni de fille qui sût mieux le contenter que moi.
"Peu après cette aventure, curieuse de savoir ce que venait faire au logis ne vieille sorcière âgée de plus de soixante-dix ans et qui avait l’air d’attendre pratique, on me dit qu’effectivement elle allait en faire une. Excessivement curieuse de voir à quoi l’on allait faire servir une telle emplâtre, je demandai à mes compagnes s’il n’y avait pas chez elles une chambre d’où l’on pût voir, ainsi que de chez la Guérin. L’une, m’ayant répondu que oui, m’y mena, et comme il y avait de la place pour deux, nous nous y plaçâmes, et voici ce que nous vîmes et ce que nous entendîmes, car les deux chambres n’étant séparées que par une cloison, il était très aisé de ne pas perdre un mot. La vieille arriva la première et s’étant regardée au miroir, elle s’ajusta, sans doute comme si elle eût cru que ses charmes allaient encore avoir quelque succès. A quelques minutes de là nous vîmes arriver le Daphnis de cette nouvelle Chloé. Celui-là avait tout au plus soixante ans ; c’était un payeur des rentes, homme très à son aise et qui aimait mieux dépenser son argent avec des salopes de rebut comme celle-là qu’avec de jolies filles, et cela par cette singularité de goût que vous comprenez, dites-vous, messieurs, et que vous expliquez si bien. Il s’avance, toise sa dulcinée qui lui fait une profonde révérence. "Pas tant de façons, vieille garce, lui dit le paillard, et mets-toi nue… Mais voyons d’abord, as-tu des dents ? — Non, monsieur, il ne m’en reste pas une seule, dit la vieille en ouvrant sa bouche infecte… regardez plutôt." Alors notre homme s’approche et, saisissant sa tête, il lui colle sur les lèvres un des plus ardents baisers que j’aie vu donner de ma vie ; non seulement il baisait, mais il suçait, mais il dévorait, il dardait amoureusement sa langue au plus profond du gosier putréfié, et la bonne vieille, qui de longtemps ne s’était trouvée à pareille fête, le lui rendait avec une tendresse… qu’il me serait difficile de vous peindre.
"Allons, dit le financier, mets-toi nue." Et pendant ce temps-là il défait aussi ses culottes et met à l’air un membre noir et ridé qui ne promettait pas de grossir de longtemps. Cependant la vieille est nue et vient effrontément offrir à son amant un vieux corps jaune et ridé, sec, pendant et décharné, dont la description, à quelque point que soient vos fantaisies sur cela, vous ferait trop d’horreur pour que je veuille l’entre- prendre. Mais loin d’en être dégoûté, notre libertin s’extasie ; il la saisit, l’attire à lui. sur le fauteuil où il se manualisait en attendant qu’elle se déshabillât, lui darde encore une fois sa langue dans la bouche, et la retournant il offre à l’instant son hommage au revers de la médaille. Je le vis distinctement manier les fesses, mais que dis-je les fesses ? les deux torchons ridés qui de ses hanches tombaient en ondulations sur ses cuisses. Telles qu’elles étaient enfin, il les ouvrit, colla voluptueusement ses lèvres sur le cloaque infâme qu’elles renfermaient, y enfonça sa langue à plusieurs reprises différentes, et tout cela pendant que la vieille tâchait de donner un peu de consistance au membre mort qu’elle secouait. "Venons au fait, dit le céladon, sans mon épisode de choix, tous tes efforts seraient inutiles. On t’a prévenue ? — Oui, monsieur, — Et tu sais bien qu’il faut avaler ? — Oui, mon toutou, oui, mon poulet, j’avalerai, je dévorerai tout ce que tu feras." Et en même temps le libertin la campe sur le lit la tête en bas ; en cette posture il lui met son engin molasse dans le bec, l’enfonce jusqu’aux couillons, revient prendre les deux jambes de sa jouissance, se les campe sur les épaules, et par ce moyen son grouin se trouve absolument niché entre les fesses de la duègne. Sa langue se replace au fond de ce trou délicieux ; l’abeille allant pomper le nectar de la rose ne suce pas plus voluptueusement. Cependant la vieille suce, notre homme s’agite.
"Ah, foutre ! s’écrie-t-il au bout d’un quart d’heure de cet exercice libidineux, suce, suce, bougresse, suce et avale, il coule, double dieu ! il coule, ne le sens-tu pas ? Et baisant pour le coup tout ce qui s’offre à lui, cuisses, vagin, fesses, anus, tout est léché, tout est sucé. La vieille avale, et le pauvre caduc, qui se retire aussi mol qu’il est entré et qui vraisemblablement a déchargé sans érection, se sauve tout honteux de son égarement et gagne le plus promptement qu’il peut la porte, afin de s’éviter de voir de sens froid l’objet hideux qui vient de le séduire."
"Et la vieille ? dit le duc."
"La vieille toussa, cracha, se moucha, se vêtit le plus tôt qu’elle pût et partit.
"A quelques jours de là, cette même compagne qui m’avait procuré le plaisir de cette scène eut son tour. C’était une fille d’environ seize ans, blonde et de la physionomie du monde la plus intéressante ; je ne manquai pas d’aller la voir en besogne. L’homme à qui l’on l’assemblait était pour le moins aussi vieux que le payeur des rentes. Il la fit mettre à genoux entre ses jambes, lui fixa la tête en lui saisissant les oreilles et lui campa dans la bouche un vit qui me parut plus sale et plus dégoûtant qu’un chiffon traîné dans le ruisseau. Ma pauvre compagne, voyant approcher de ses lèvres fraîches ce dégoûtant morceau voulut se jeter à la renverse, mais ce n’était pas pour rien que notre homme la tenait comme un barbet par les oreilles. "Allons donc, garce, lui dit-il, tu fais la difficile ? " Et la menaçant d’appeler la Fournier, qui sans doute lui avait recommandé bien de la complaisance, il parvint à vaincre ses résistances. Elle ouvre les lèvres, se recule, les ouvre encore et engloutit enfin, en poussant des hoquets, cette relique infâme dans la plus gentille des bouches. De ce moment ce ne furent plus que des mauvais propos de la part du scélérat. "Ah, coquine ! disait-il en fureur, il te faut bien des façons pour sucer le plus beau vit de France ! Ne crois-tu pas qu’on va faire bidet tous les jours exprès pour toi ? Allons, suce, garce ! suce la dragée." Et s’échauffant de ces sarcasmes et du dégoût qu’il inspire à ma compagne (tant il est vrai, messieurs, que le dégoût que vous nous procurez devient un aiguillon à votre jouissance), le libertin s’extasie et laisse dans la bouche de cette pauvre fille des preuves non équivoques de sa virilité. Moins complaisante que la vieille, elle n’avala rien, et beaucoup plus dégoûtée qu’elle, elle vomit dans la minute tout ce qu’elle avait dans l’estomac, et notre libertin, en se rajustant sans trop prendre garde à elle, ricanait entre ses dents des suites cruelles de son libertinage.
"C’était à mon tour, mais plus heureuse que les deux précédentes, c’était à l’Amour même que j’étais destinée, et il ne me resta, après l’avoir satisfait, que l’étonnement de trouver des goûts si étranges dans un jeune homme si bien taillé pour plaire. Il arrive, me fait mettre nue, s’étend sur le lit, m’ordonne de m’accroupir sur son visage et d’aller avec ma bouche essayer de faire décharger un vit très médiocre, mais qu’il me recommande et dont il me supplie d’avaler le foutre, dès que je le sentirai couler. "Mais ne restez pas oisive pendant ce temps-là, ajouta le petit libertin : que votre con inonde ma bouche d’urine, que je vous promets d’avaler comme vous avalerez mon foutre, et que ce beau cul me pète dans le nez." Je me mets à l’œuvre et remplis à la fois mes trois besognes avec tant d’art que le petit anchois décharge bientôt toute sa fureur dans ma bouche, pendant et que je l’avale, et que mon Adonis en fait autant de l’urine dont je l’inonde, et cela tout en respirant les pets dont je ne cesse de le parfumer."
"En vérité, mademoiselle, dit Durcet, vous auriez bien pu vous dispenser de révéler ainsi les enfantillages de ma jeunesse. — Ah ! ah ! dit le duc en riant, ah ! comment, toi qui à peine oses regarder un con aujourd’hui, tu les faisais pisser dans ce temps-là ? — C’est vrai, dit Durcet, j’en rougis, il est affreux d’avoir à se reprocher des turpitudes de cette sorte ; c’est bien à présent, mon ami, que je sens tout le poids des remords… Culs délicieux, s’écria-t-il dans son enthousiasme, en baisant celui de Sophie qu’il avait attiré à lui pour le manier un instant, culs divins. combien je me reproche l’encens que je vous ai dérobé ! O culs délicieux, je vous promets un sacrifice expiatoire, je fais serment sur vos autels de ne plus m’égarer de la vie." Et ce beau derrière l’ayant un peu échauffé, le libertin plaça la novice dans une posture fort indécente sans doute, mais dans laquelle il pouvait, comme on l’a vu plus haut, faire téter son petit anchois en suçant l’anus le plus frais et le plus voluptueux. Mais Durcet, trop blasé sur ce plaisir-là, n’y retrouvait que bien rarement sa vigueur ; on eut beau le sucer, il eut beau le rendre, il fallut se retirer dans le même état de défaillance et remettre, en pestant et jurant contre la jeune fille, à quelque moment plus heureux des plaisirs que la nature lui refusait pour lors. Tout le monde n’était pas aussi malheureux. Le duc, qui avait passé dans son cabinet avec Colombe, Zélamir, Brise-cul et Thérèse, fit entendre des hurlements qui prouvaient son bonheur, et Colombe, crachotant de toute sa force en en sortant, ne laissa plus de doute sur le temple qu’il avait encensé. Pour l’évêque, tout naturellement couché sur son canapé, les fesses d’Adélaïde sur le nez et le vit dans sa bouche, il se pâmait en faisant péter la jeune femme, tandis que Curval debout, faisant emboucher son énorme trompette à Hébé, perdait son foutre en s’égarant ailleurs. On servit. Le duc voulut soutenir au souper que si le bonheur consistait dans l’entière satisfaction de tous les plaisirs des sens, il était difficile d’être plus heureux qu’ils l’étaient. "Ce propos-là n’est pas d’un libertin, dit Durcet. Et comment est-il que vous puissiez être heureux, dès que vous pouvez vous satisfaire à tout instant ? Ce n’est pas dans la jouissance que consiste le bonheur, c’est dans le désir, c’est à briser les freins qu’on oppose à ce désir. Or, tout cela se trouve-t-il ici, où je n’ai qu’à souhaiter pour avoir ? Je fais serment, dit-il, que, depuis que j’y suis, mon foutre n’a pas coulé une seule fois pour les objets qui y sont ; il ne s’est jamais répandu que pour ceux qui n’y sont pas. Et puis d’ailleurs, ajouta le financier, il manque selon moi une chose essentielle à notre bonheur : c’est le plaisir de la comparaison, plaisir qui ne peut naître que du spectacle des malheureux, et nous n’en voyons point ici. C’est de la vue de celui qui ne jouit pas de ce que j’ai et qui souffre, que naît le charme de pouvoir se dire : Je suis donc plus heureux que lui. Partout où les hommes seront égaux et où ces différences-là n’existeront pas, le bonheur n’existera jamais. C’est l’histoire d’un homme qui ne connaît bien le prix de la santé que quand il a été malade. — Dans ce cas-là, dit l’évêque, vous établiriez donc une jouissance réelle à aller contempler les larmes de ceux que la misère accable ? — Très assurément, dit Durcet, il n’y a peut-être point au monde de volupté plus sensuelle que celle dont vous parlez là. — Quoi, sans les soulager ? dit l’évêque, qui était bien aise de faire étendre Durcet sur un chapitre si fort du goût de tous et qu’on le connaissait si capable de traiter à fond. — Qu’appelez-vous soulager ? dit Durcet. Mais la volupté qui naît pour moi de cette douce comparaison de leur état au mien n’existerait plus si je les soulageais, car alors, les sortant de leur état de misère, je leur ferais goûter un instant de bonheur qui, les assimilant à moi, ôterait toute jouissance de comparaison. — Eh bien, d’après cela, dit le duc, il faudrait en quelque façon, pour mieux établir cette différence essentielle au bonheur, il faudrait, dis-je, aggraver plutôt leur situation. — Cela n’est pas douteux, dit Durcet, et voilà qui explique les infamies qu’on m’a reprochées sur cela toute ma vie. Les gens qui ne connaissaient pas mes motifs m’appelaient dur, féroce et barbare, mais, me moquant de toutes les dénominations, j’allais mon train, je faisais, j’en conviens, ce que les sots appellent des atrocités ; mais j’établissais des jouissances de comparaisons délicieuses, et j’étais heureux. — Avoue le fait, lui dit le duc, conviens qu’il t’est arrivé plus de vingt fois de faire ruiner des malheureux, rien que pour servir en ce sens-là les goûts pervers dont tu conviens ici. — Plus de vingt fois ? dit Durcet, plus de deux cents, mon ami et je pourrais, sans exagération, citer plus de quatre cents familles réduites aujourd’hui à l’aumône et qui n’y sont que par moi. — En as-tu profité, au moins ? dit Curval. — Presque toujours, mais souvent aussi je ne l’ai fait que par cette certaine méchanceté qui presque toujours réveille en moi les organes de la lubricité. Je bande à faire le mal, je trouve au mal un attrait assez piquant pour réveiller en moi toutes les sensations du plaisir et je m’y livre pour lui seul, et sans autre intérêt que lui seul. — Il n’y a rien que je conçoive comme ce goût-là, dit Curval. J’ai cent fois donné ma voix, quand j’étais au Parlement, pour faire pendre des malheureux que je savais bien être innocents, et je ne me suis jamais livré à cette petite injustice-là sans éprouver au-dedans de moi-même un chatouillement voluptueux où les organes du plaisir de la couille se seraient enflammés bien vite. Jugez ce que j’ai ressenti quand j’ai fait pis. — Il est certain, dit le duc, qui commençait à s’échauffer la cervelle en maniant Zéphire, que le crime a suffisamment de charme pour enflammer lui seul tous les sens, sans qu’on soit obligé d’avoir recours à aucun autre expédient, et personne ne conçoit comme moi que les forfaits, même les plus éloignés de ceux du libertinage, puissent faire bander comme ceux qui lui appartiennent. Moi qui vous parle, j’ai bandé à voler, à assassiner, à incendier, et je suis parfaitement sûr que ce n’est pas l’objet du libertinage qui nous anime, mais l’idée du mal ; qu’en conséquence, c’est pour le mal seul qu’on bande et non pas pour l’objet, en telle sorte que si cet objet était dénué de la possibilité de nous faire faire le mal nous ne banderions plus pour lui. — Rien de plus certain, dit l’évêque, et de là naît la certitude du plus grand plaisir à la chose la plus infâme et le système dont on ne doit point s’écarter, qui est que plus l’on voudra faire naître le plaisir dans le crime et plus il faudra que le crime soit affreux. Et pour moi, messieurs, ajouta-t-il, s’il m’est permis de me citer, je vous avoue que je suis au point de ne plus ressentir cette sensation dont vous parlez, de ne la plus éprouver, dis-je, pour les petits crimes, et si celui que je commets ne réunit pas autant de noirceur, autant d’atrocité, autant de fourberie et de trahison qu’il est possible, la sensation ne naît plus. — Bon, dit Durcet, est-il possible de commettre des crimes comme on les conçoit et comme vous le dites là ? Pour moi, j’avoue que mon imagination a toujours été sur cela au- delà de mes moyens ; j’ai toujours mille fois plus conçu que je n’ai fait et je me suis toujours plaint de la nature qui, en me donnant le désir de l’outrager, m’en ôtait toujours les moyens. Il n’y a que deux ou trois crimes à faire dans le monde, dit Curval, et, ceux-là faits, tout est dit ; le reste est inférieur et l’on ne sent plus rien. Combien de fois, sacredieu, n’ai-je pas désiré qu’on pût attaquer le soleil, en priver l’univers, ou s’en servir pour embraser le monde ? Ce serait des crimes cela, et non pas les petits écarts où nous nous livrons, qui se bornent à métamorphoser au bout de l’an une douzaine de créatures en mottes de terre. Et sur cela, comme les têtes s’allumaient, que deux ou trois jeunes filles s’en étaient déjà ressenties et que les vits commençaient à dresser, on sortit de table pour aller verser dans de jolies bouches les flots de cette liqueur dont les picotements trop aigus faisaient proférer tant d’horreurs. On s’en tint ce soir-là aux plaisir de la bouche, mais on inventa cent façons de les varier, et quand on s’en fut bien rassasié, on fut essayer de trouver dans quelques heures de repos des forces nécessaires à recommencer.
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le Don qui Chante a écrit:
- Sade - Combien de fois, sacredieu, n'ai-je pas désiré qu'on pût attaquer le soleil, en priver l'univers, ou s'en servir pour embraser le monde ?:
XII - Huitième journée
Les exemples de la veille en ayant imposé, on ne trouva ni ne put trouver personne en faute le lendemain. Les leçons se continuèrent sur les fouteurs, et comme il n’y eut aucun événement jusqu’au café, nous ne prendrons cette journée qu’à cette époque. Il était servi par Augustine, Zelmire, Narcisse et Zéphire. Les fouteries en cuisses recommencèrent ; Curval s’empara de Zelmire et le duc d’Augustine, et après avoir admiré et baisé leurs jolies fesses, qui avaient je ne sais trop pourquoi ce jour-là des grâces, des attraits, un vermillon qu’on n’y avait pas observés auparavant, après, dis-je, que nos libertins eurent bien baisé, bien caressé ces charmants petits culs, on exigea des pets. L’évêque qui tenait Narcisse en avait déjà obtenu ; on entendait ceux que Zéphire lançait dans la bouche de Durcet… Pourquoi ne pas les imiter ? Zelmire avait réussi, mais Augustine avait beau faire, beau s’efforcer, le duc beau menacer d’un sort pour samedi prochain pareil à celui qu’on avait éprouvé la veille, rien ne sortit, et la pauvre petite pleurait déjà quand une vesse vint enfin le satisfaire. Il respira, et content de cette marque de docilité du joli enfant qu’il aimait assez, il lui campa son énorme engin dans les cuisses et le retirant au moment de sa décharge, il lui arrosa complètement les deux fesses. Curval en avait fait tout autant avec Zelmire, mais l’évêque et Durcet se contentèrent de ce qu’on appelle la petite oie. Et la méridienne faite, on passa au salon, où la belle Duclos, mise ce jour-là avec tout ce qui pouvait le mieux faire oublier son âge, parut vraiment belle aux lumières, et si tellement que nos libertins, échauffés sur son compte, ne voulurent pas lui permettre de continuer que, du haut de sa tribune, elle n’eût fait voir ses fesses à l’assemblée. "Elle a vraiment un beau cul, dit Curval. — Et bon, mon ami, dit Durcet, je te certifie que j’en ai peu vu de meilleurs. Et, ces éloges reçus, notre héroïne rabaissa ses jupes, s’assit et reprit le fil de son histoire de la façon dont le lecteur va la lire, s’il se donne la peine de continuer, ce que nous lui conseillons pour l’intérêt de ses plaisirs.
"Une réflexion et un événement furent cause, mes- sieurs, que ce qu’il me reste à vous conter maintenant n’est plus dans le même champ de bataille. La réflexion est bien simple : ce fut l’état malheureux de ma bourse qui la fit naître. Depuis neuf ans que j’étais chez Mme Guérin, quoique je dépensasse fort peu, je ne me trouvais pourtant pas cent louis devant moi. Cette femme, extrêmement adroite et entendant au mieux ses intérêts, trouvait toujours le moyen de garder pour elle au moins les deux tiers des recettes et imposait encore de grandes retenues sur l’autre tiers. Ce manège me déplut, et vivement sollicitée par une autre maquerelle, nommée Fournier, d’aller habiter avec elle, sachant que cette Fournier recevait chez elle de vieux débauchés d’un bien meilleur ton et bien plus riches que la Guérin, je me déterminai à prendre mon congé de celle-ci pour aller chez l’autre. Quant à l’événement qui vint appuyer ma réflexion, ce fut la perte de ma sœur ; je m’étais fortement attachée à elle, et je ne pus rester davantage dans une maison où tout me la rappelait sans la retrouver. Depuis près de six mois cette chère sœur était visitée par un grand homme sec et noir dont la physionomie me déplaisait infiniment. Ils s’en- fermaient ensemble, et je ne sais ce qu’ils y faisaient, car jamais ma sœur ne me l’a voulu dire, et ils ne se plaçaient point dans l’endroit où j’aurais pu les voir. Quoi qu’il en soit, un beau matin, elle vient dans ma chambre, m’embrasse et me dit que sa fortune est faite, qu’elle est entretenue par ce grand homme que je n’aimais pas, et tout ce que j’en appris, c’est que c’était à la beauté de ses fesses qu’elle devait ce qu’elle allait gagner. Cela fait, elle me donna son adresse, fit ses comptes avec la Guérin, nous embrassa toutes et partit. Je ne manquai pas, comme vous l’imaginez bien, d’aller deux jours après à l’adresse indiquée, mais on n’y savait seulement pas ce que je voulais dire. Je vis bien que ma sœur avait été trompée elle-même, car d’imaginer qu’elle eût voulu me priver du plaisir de la voir, je ne le pouvais supposer. Quand je me plaignis à la Guérin de ce qui m’arrivait à ce sujet-là, je vis qu’elle en souriait malignement et qu’elle refusait de s’expliquer : je conclus donc de là qu’elle était dans le mystère de toute l’aventure, mais qu’on ne voulait pas que je la démêlasse. Tout cela m’affecta et me fit prendre mon parti, et comme je n’aurai plus occasion de vous parler de cette chère sœur, je vous dirai, messieurs, que, quelque perquisition que j’aie faite, quelque soin que je me sois donné pour la découvrir, il m’a été parfaitement impossible de jamais savoir ce qu’elle était devenue."
"Je le crois bien, dit alors la Desgranges, car elle n’existait plus vingt-quatre heures après t’avoir quittée. Elle ne te trompait pas, elle était dupée elle-même, mais la Guérin savait ce dont il s’agissait. — Juste ciel ! que m’apprenez-vous, dit alors la Duclos. Hélas ! quoique privée de la voir, je me flattais encore de son existence. — Très à tort, reprit la Desgranges, mais elle ne t’avait pas menti : ce fut la beauté de ses fesses, la supériorité étonnante de son cul qui lui valut l’aventure où elle se flattait de trouver sa fortune et où elle ne rencontra que la mort. — Et le grand homme sec ? dit Duclos. — Il n’était que le courtier de l’aventure, il ne travaillait pas pour son compte. — Mais cependant, dit Duclos, il la voyait assidûment depuis six mois ? — Pour la tromper, reprit Desgranges, mais reprends ton récit ; ces éclaircissements pourraient ennuyer ces messieurs, et cette anecdote-là me regarde, je leur en rendrai bon compte. — Grâce de l’attendrissement, Duclos, lui dit sèchement le duc en voyant qu’elle avait peine à retenir quelques larmes involontaires, nous ne connaissons pas ces regrets-là ici, et toute la nature s’écroulerait que nous n’en pousserions pas un soupir. Laissez les pleurs aux imbéciles et aux enfants, et qu’ils ne souillent jamais les joues d’une femme raisonnable et que nous estimons. A ces mots notre héroïne se contint et reprit aussitôt son récit.
"En raison des deux causes que je viens d’expliquer, je pris donc mon parti, messieurs, et la Fournier m’offrant un meilleur logement, une table bien autrement servie, des parties bien plus chères quoique plus pénibles, mais toujours un partage égal et sans aucune retenue, je me déterminai sur-le-champ. Mme Fournier occupait alors une maison tout entière, et cinq jeunes et jolies filles composaient son sérail ; je fus la sixième. Vous trouverez bon que je fasse ici comme chez Mme Guérin, c’est-à-dire que je ne vous peigne mes compagnes qu’à mesure qu’elles joueront un personnage. Dès le lendemain de mon arrivée on me donna de l’occupation, car les pratiques allaient grand train chez la Fournier, et nous en faisions souvent cinq ou six par jour chacune. Mais je ne vous parlerai, ainsi que je l’ai fait jusqu’à présent, que de celles qui peuvent exciter votre attention par leur piquant ou leur singularité.
"Le premier homme que je vis dans mon nouveau séjour fut un payeur des rentes, homme d’environ cinquante ans. Il me fit mettre à genoux, la tête penchée sur le lit, et s’établissant sur le lit également, à genoux au-dessus de moi, il se branla le vit dans ma bouche, en m’ordonnant de la tenir très ouverte. Je n’en perdis pas une goutte, et le paillard s’amusa prodigieusement des contorsions et des efforts pour vomir que me fit faire ce dégoûtant gargarisme.
"Vous voudrez, messieurs, continua la Duclos, que je place tout de suite, quoique arrivées à des temps différents, les quatre aventures de ce même genre que j’eus encore chez Mme Fournier. Ces récits, je le sais, ne déplairont point à M. Durcet, et il me saura gré de l’entretenir, le reste de la soirée, d’un goût qu’il aime et qui m’a procuré l’honneur de le connaître pour la première fois."
"Quoi, dit Durcet, tu vas me faire jouer un rôle dans ton histoire ? — Si vous le trouvez bon, monsieur, répondit la Duclos, en observant seulement d’avertir ces messieurs quand j’en serai à votre article. — Et ma pudeur… Quoi ! devant toutes les jeunes filles, tu vas comme cela dévoiler toutes mes turpitudes ? Et chacun ayant ri de la crainte plaisante du financier, Duclos reprit ainsi :
"Un libertin, bien autrement vieux et bien autre- ment dégoûtant que celui que je viens de citer, vint me donner la seconde représentation de cette manie. Il me fit coucher toute nue sur un lit, s’étendit à contre-sens sur moi, mit son vit dans ma bouche et sa langue dans mon con, et, dans cette attitude, il exigea que je lui rendisse les titillations de volupté qu’il prétendait que devait me procurer sa langue. Je suai de mon mieux. C’était mon pucelage pour lui ; il lécha, barbota et travailla sans doute dans toutes ses manœuvres infiniment plus pour lui que pour moi. Quoi qu’il en soit, je restai nulle, bien heureuse de n’être pas horriblement dégoûtée, et le libertin déchargea ; opération que d’après la prière de la Fournier, qui m’avait prévenue de tout, opération, dis-je, que je lui fis faire le plus lubriquement possible, en serrant mes lèvres, en suant, en exprimant de mon mieux dans ma bouche le jus qu’il exhalait et en passant ma main sur ses fesses pour lui chatouiller l’anus, épisode qu’il m’indiquait de faire, en le remplissant de son côté du mieux qu’il lui était possible… L’affaire faite, notre homme décampa en assurant la Fournier qu’on ne lui avait point encore fourni de fille qui sût mieux le contenter que moi.
"Peu après cette aventure, curieuse de savoir ce que venait faire au logis ne vieille sorcière âgée de plus de soixante-dix ans et qui avait l’air d’attendre pratique, on me dit qu’effectivement elle allait en faire une. Excessivement curieuse de voir à quoi l’on allait faire servir une telle emplâtre, je demandai à mes compagnes s’il n’y avait pas chez elles une chambre d’où l’on pût voir, ainsi que de chez la Guérin. L’une, m’ayant répondu que oui, m’y mena, et comme il y avait de la place pour deux, nous nous y plaçâmes, et voici ce que nous vîmes et ce que nous entendîmes, car les deux chambres n’étant séparées que par une cloison, il était très aisé de ne pas perdre un mot. La vieille arriva la première et s’étant regardée au miroir, elle s’ajusta, sans doute comme si elle eût cru que ses charmes allaient encore avoir quelque succès. A quelques minutes de là nous vîmes arriver le Daphnis de cette nouvelle Chloé. Celui-là avait tout au plus soixante ans ; c’était un payeur des rentes, homme très à son aise et qui aimait mieux dépenser son argent avec des salopes de rebut comme celle-là qu’avec de jolies filles, et cela par cette singularité de goût que vous comprenez, dites-vous, messieurs, et que vous expliquez si bien. Il s’avance, toise sa dulcinée qui lui fait une profonde révérence. "Pas tant de façons, vieille garce, lui dit le paillard, et mets-toi nue… Mais voyons d’abord, as-tu des dents ? — Non, monsieur, il ne m’en reste pas une seule, dit la vieille en ouvrant sa bouche infecte… regardez plutôt." Alors notre homme s’approche et, saisissant sa tête, il lui colle sur les lèvres un des plus ardents baisers que j’aie vu donner de ma vie ; non seulement il baisait, mais il suçait, mais il dévorait, il dardait amoureusement sa langue au plus profond du gosier putréfié, et la bonne vieille, qui de longtemps ne s’était trouvée à pareille fête, le lui rendait avec une tendresse… qu’il me serait difficile de vous peindre.
"Allons, dit le financier, mets-toi nue." Et pendant ce temps-là il défait aussi ses culottes et met à l’air un membre noir et ridé qui ne promettait pas de grossir de longtemps. Cependant la vieille est nue et vient effrontément offrir à son amant un vieux corps jaune et ridé, sec, pendant et décharné, dont la description, à quelque point que soient vos fantaisies sur cela, vous ferait trop d’horreur pour que je veuille l’entre- prendre. Mais loin d’en être dégoûté, notre libertin s’extasie ; il la saisit, l’attire à lui. sur le fauteuil où il se manualisait en attendant qu’elle se déshabillât, lui darde encore une fois sa langue dans la bouche, et la retournant il offre à l’instant son hommage au revers de la médaille. Je le vis distinctement manier les fesses, mais que dis-je les fesses ? les deux torchons ridés qui de ses hanches tombaient en ondulations sur ses cuisses. Telles qu’elles étaient enfin, il les ouvrit, colla voluptueusement ses lèvres sur le cloaque infâme qu’elles renfermaient, y enfonça sa langue à plusieurs reprises différentes, et tout cela pendant que la vieille tâchait de donner un peu de consistance au membre mort qu’elle secouait. "Venons au fait, dit le céladon, sans mon épisode de choix, tous tes efforts seraient inutiles. On t’a prévenue ? — Oui, monsieur, — Et tu sais bien qu’il faut avaler ? — Oui, mon toutou, oui, mon poulet, j’avalerai, je dévorerai tout ce que tu feras." Et en même temps le libertin la campe sur le lit la tête en bas ; en cette posture il lui met son engin molasse dans le bec, l’enfonce jusqu’aux couillons, revient prendre les deux jambes de sa jouissance, se les campe sur les épaules, et par ce moyen son grouin se trouve absolument niché entre les fesses de la duègne. Sa langue se replace au fond de ce trou délicieux ; l’abeille allant pomper le nectar de la rose ne suce pas plus voluptueusement. Cependant la vieille suce, notre homme s’agite.
"Ah, foutre ! s’écrie-t-il au bout d’un quart d’heure de cet exercice libidineux, suce, suce, bougresse, suce et avale, il coule, double dieu ! il coule, ne le sens-tu pas ? Et baisant pour le coup tout ce qui s’offre à lui, cuisses, vagin, fesses, anus, tout est léché, tout est sucé. La vieille avale, et le pauvre caduc, qui se retire aussi mol qu’il est entré et qui vraisemblablement a déchargé sans érection, se sauve tout honteux de son égarement et gagne le plus promptement qu’il peut la porte, afin de s’éviter de voir de sens froid l’objet hideux qui vient de le séduire."
"Et la vieille ? dit le duc."
"La vieille toussa, cracha, se moucha, se vêtit le plus tôt qu’elle pût et partit.
"A quelques jours de là, cette même compagne qui m’avait procuré le plaisir de cette scène eut son tour. C’était une fille d’environ seize ans, blonde et de la physionomie du monde la plus intéressante ; je ne manquai pas d’aller la voir en besogne. L’homme à qui l’on l’assemblait était pour le moins aussi vieux que le payeur des rentes. Il la fit mettre à genoux entre ses jambes, lui fixa la tête en lui saisissant les oreilles et lui campa dans la bouche un vit qui me parut plus sale et plus dégoûtant qu’un chiffon traîné dans le ruisseau. Ma pauvre compagne, voyant approcher de ses lèvres fraîches ce dégoûtant morceau voulut se jeter à la renverse, mais ce n’était pas pour rien que notre homme la tenait comme un barbet par les oreilles. "Allons donc, garce, lui dit-il, tu fais la difficile ? " Et la menaçant d’appeler la Fournier, qui sans doute lui avait recommandé bien de la complaisance, il parvint à vaincre ses résistances. Elle ouvre les lèvres, se recule, les ouvre encore et engloutit enfin, en poussant des hoquets, cette relique infâme dans la plus gentille des bouches. De ce moment ce ne furent plus que des mauvais propos de la part du scélérat. "Ah, coquine ! disait-il en fureur, il te faut bien des façons pour sucer le plus beau vit de France ! Ne crois-tu pas qu’on va faire bidet tous les jours exprès pour toi ? Allons, suce, garce ! suce la dragée." Et s’échauffant de ces sarcasmes et du dégoût qu’il inspire à ma compagne (tant il est vrai, messieurs, que le dégoût que vous nous procurez devient un aiguillon à votre jouissance), le libertin s’extasie et laisse dans la bouche de cette pauvre fille des preuves non équivoques de sa virilité. Moins complaisante que la vieille, elle n’avala rien, et beaucoup plus dégoûtée qu’elle, elle vomit dans la minute tout ce qu’elle avait dans l’estomac, et notre libertin, en se rajustant sans trop prendre garde à elle, ricanait entre ses dents des suites cruelles de son libertinage.
"C’était à mon tour, mais plus heureuse que les deux précédentes, c’était à l’Amour même que j’étais destinée, et il ne me resta, après l’avoir satisfait, que l’étonnement de trouver des goûts si étranges dans un jeune homme si bien taillé pour plaire. Il arrive, me fait mettre nue, s’étend sur le lit, m’ordonne de m’accroupir sur son visage et d’aller avec ma bouche essayer de faire décharger un vit très médiocre, mais qu’il me recommande et dont il me supplie d’avaler le foutre, dès que je le sentirai couler. "Mais ne restez pas oisive pendant ce temps-là, ajouta le petit libertin : que votre con inonde ma bouche d’urine, que je vous promets d’avaler comme vous avalerez mon foutre, et que ce beau cul me pète dans le nez." Je me mets à l’œuvre et remplis à la fois mes trois besognes avec tant d’art que le petit anchois décharge bientôt toute sa fureur dans ma bouche, pendant et que je l’avale, et que mon Adonis en fait autant de l’urine dont je l’inonde, et cela tout en respirant les pets dont je ne cesse de le parfumer."
"En vérité, mademoiselle, dit Durcet, vous auriez bien pu vous dispenser de révéler ainsi les enfantillages de ma jeunesse. — Ah ! ah ! dit le duc en riant, ah ! comment, toi qui à peine oses regarder un con aujourd’hui, tu les faisais pisser dans ce temps-là ? — C’est vrai, dit Durcet, j’en rougis, il est affreux d’avoir à se reprocher des turpitudes de cette sorte ; c’est bien à présent, mon ami, que je sens tout le poids des remords… Culs délicieux, s’écria-t-il dans son enthousiasme, en baisant celui de Sophie qu’il avait attiré à lui pour le manier un instant, culs divins. combien je me reproche l’encens que je vous ai dérobé ! O culs délicieux, je vous promets un sacrifice expiatoire, je fais serment sur vos autels de ne plus m’égarer de la vie." Et ce beau derrière l’ayant un peu échauffé, le libertin plaça la novice dans une posture fort indécente sans doute, mais dans laquelle il pouvait, comme on l’a vu plus haut, faire téter son petit anchois en suçant l’anus le plus frais et le plus voluptueux. Mais Durcet, trop blasé sur ce plaisir-là, n’y retrouvait que bien rarement sa vigueur ; on eut beau le sucer, il eut beau le rendre, il fallut se retirer dans le même état de défaillance et remettre, en pestant et jurant contre la jeune fille, à quelque moment plus heureux des plaisirs que la nature lui refusait pour lors. Tout le monde n’était pas aussi malheureux. Le duc, qui avait passé dans son cabinet avec Colombe, Zélamir, Brise-cul et Thérèse, fit entendre des hurlements qui prouvaient son bonheur, et Colombe, crachotant de toute sa force en en sortant, ne laissa plus de doute sur le temple qu’il avait encensé. Pour l’évêque, tout naturellement couché sur son canapé, les fesses d’Adélaïde sur le nez et le vit dans sa bouche, il se pâmait en faisant péter la jeune femme, tandis que Curval debout, faisant emboucher son énorme trompette à Hébé, perdait son foutre en s’égarant ailleurs. On servit. Le duc voulut soutenir au souper que si le bonheur consistait dans l’entière satisfaction de tous les plaisirs des sens, il était difficile d’être plus heureux qu’ils l’étaient. "Ce propos-là n’est pas d’un libertin, dit Durcet. Et comment est-il que vous puissiez être heureux, dès que vous pouvez vous satisfaire à tout instant ? Ce n’est pas dans la jouissance que consiste le bonheur, c’est dans le désir, c’est à briser les freins qu’on oppose à ce désir. Or, tout cela se trouve-t-il ici, où je n’ai qu’à souhaiter pour avoir ? Je fais serment, dit-il, que, depuis que j’y suis, mon foutre n’a pas coulé une seule fois pour les objets qui y sont ; il ne s’est jamais répandu que pour ceux qui n’y sont pas. Et puis d’ailleurs, ajouta le financier, il manque selon moi une chose essentielle à notre bonheur : c’est le plaisir de la comparaison, plaisir qui ne peut naître que du spectacle des malheureux, et nous n’en voyons point ici. C’est de la vue de celui qui ne jouit pas de ce que j’ai et qui souffre, que naît le charme de pouvoir se dire : Je suis donc plus heureux que lui. Partout où les hommes seront égaux et où ces différences-là n’existeront pas, le bonheur n’existera jamais. C’est l’histoire d’un homme qui ne connaît bien le prix de la santé que quand il a été malade. — Dans ce cas-là, dit l’évêque, vous établiriez donc une jouissance réelle à aller contempler les larmes de ceux que la misère accable ? — Très assurément, dit Durcet, il n’y a peut-être point au monde de volupté plus sensuelle que celle dont vous parlez là. — Quoi, sans les soulager ? dit l’évêque, qui était bien aise de faire étendre Durcet sur un chapitre si fort du goût de tous et qu’on le connaissait si capable de traiter à fond. — Qu’appelez-vous soulager ? dit Durcet. Mais la volupté qui naît pour moi de cette douce comparaison de leur état au mien n’existerait plus si je les soulageais, car alors, les sortant de leur état de misère, je leur ferais goûter un instant de bonheur qui, les assimilant à moi, ôterait toute jouissance de comparaison. — Eh bien, d’après cela, dit le duc, il faudrait en quelque façon, pour mieux établir cette différence essentielle au bonheur, il faudrait, dis-je, aggraver plutôt leur situation. — Cela n’est pas douteux, dit Durcet, et voilà qui explique les infamies qu’on m’a reprochées sur cela toute ma vie. Les gens qui ne connaissaient pas mes motifs m’appelaient dur, féroce et barbare, mais, me moquant de toutes les dénominations, j’allais mon train, je faisais, j’en conviens, ce que les sots appellent des atrocités ; mais j’établissais des jouissances de comparaisons délicieuses, et j’étais heureux. — Avoue le fait, lui dit le duc, conviens qu’il t’est arrivé plus de vingt fois de faire ruiner des malheureux, rien que pour servir en ce sens-là les goûts pervers dont tu conviens ici. — Plus de vingt fois ? dit Durcet, plus de deux cents, mon ami et je pourrais, sans exagération, citer plus de quatre cents familles réduites aujourd’hui à l’aumône et qui n’y sont que par moi. — En as-tu profité, au moins ? dit Curval. — Presque toujours, mais souvent aussi je ne l’ai fait que par cette certaine méchanceté qui presque toujours réveille en moi les organes de la lubricité. Je bande à faire le mal, je trouve au mal un attrait assez piquant pour réveiller en moi toutes les sensations du plaisir et je m’y livre pour lui seul, et sans autre intérêt que lui seul. — Il n’y a rien que je conçoive comme ce goût-là, dit Curval. J’ai cent fois donné ma voix, quand j’étais au Parlement, pour faire pendre des malheureux que je savais bien être innocents, et je ne me suis jamais livré à cette petite injustice-là sans éprouver au-dedans de moi-même un chatouillement voluptueux où les organes du plaisir de la couille se seraient enflammés bien vite. Jugez ce que j’ai ressenti quand j’ai fait pis. — Il est certain, dit le duc, qui commençait à s’échauffer la cervelle en maniant Zéphire, que le crime a suffisamment de charme pour enflammer lui seul tous les sens, sans qu’on soit obligé d’avoir recours à aucun autre expédient, et personne ne conçoit comme moi que les forfaits, même les plus éloignés de ceux du libertinage, puissent faire bander comme ceux qui lui appartiennent. Moi qui vous parle, j’ai bandé à voler, à assassiner, à incendier, et je suis parfaitement sûr que ce n’est pas l’objet du libertinage qui nous anime, mais l’idée du mal ; qu’en conséquence, c’est pour le mal seul qu’on bande et non pas pour l’objet, en telle sorte que si cet objet était dénué de la possibilité de nous faire faire le mal nous ne banderions plus pour lui. — Rien de plus certain, dit l’évêque, et de là naît la certitude du plus grand plaisir à la chose la plus infâme et le système dont on ne doit point s’écarter, qui est que plus l’on voudra faire naître le plaisir dans le crime et plus il faudra que le crime soit affreux. Et pour moi, messieurs, ajouta-t-il, s’il m’est permis de me citer, je vous avoue que je suis au point de ne plus ressentir cette sensation dont vous parlez, de ne la plus éprouver, dis-je, pour les petits crimes, et si celui que je commets ne réunit pas autant de noirceur, autant d’atrocité, autant de fourberie et de trahison qu’il est possible, la sensation ne naît plus. — Bon, dit Durcet, est-il possible de commettre des crimes comme on les conçoit et comme vous le dites là ? Pour moi, j’avoue que mon imagination a toujours été sur cela au- delà de mes moyens ; j’ai toujours mille fois plus conçu que je n’ai fait et je me suis toujours plaint de la nature qui, en me donnant le désir de l’outrager, m’en ôtait toujours les moyens. Il n’y a que deux ou trois crimes à faire dans le monde, dit Curval, et, ceux-là faits, tout est dit ; le reste est inférieur et l’on ne sent plus rien. Combien de fois, sacredieu, n’ai-je pas désiré qu’on pût attaquer le soleil, en priver l’univers, ou s’en servir pour embraser le monde ? Ce serait des crimes cela, et non pas les petits écarts où nous nous livrons, qui se bornent à métamorphoser au bout de l’an une douzaine de créatures en mottes de terre. Et sur cela, comme les têtes s’allumaient, que deux ou trois jeunes filles s’en étaient déjà ressenties et que les vits commençaient à dresser, on sortit de table pour aller verser dans de jolies bouches les flots de cette liqueur dont les picotements trop aigus faisaient proférer tant d’horreurs. On s’en tint ce soir-là aux plaisir de la bouche, mais on inventa cent façons de les varier, et quand on s’en fut bien rassasié, on fut essayer de trouver dans quelques heures de repos des forces nécessaires à recommencer.
Du soleil noir qu'il appelle sur le monde, il ne retient que les miasmes de son membre et les nausées qu'il en espère, (tant il est vrai, messieurs, que le dégoût que vous nous procurez devient un aiguillon à votre jouissance), le libertin s’extasie et laisse dans la bouche de cette pauvre fille des preuves non équivoques de sa virilité.
@Le Don qui Chante: il est question ici de sexe et sa définition, tu parles d'identités sexuelles en groupant bi, homo (qui sont des orientations sexuelles, donc hors sujet) et trans (identité de GENRE), merci de corriger comme il se doit.
La pureté reste la matière première indispensable à qui vient la fantaisie d'avilir.
Qu'aurait pu écrire Sade sur ces êtres amputés de la honte et qui se veulent créatures de lumière ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La pureté reste la matière première indispensable à qui vient la fantaisie d'avilir.
Qu'aurait pu écrire Sade sur ces êtres amputés de la honte et qui se veulent créatures de lumière ?
PDF du livre...
Sans parler du film de Paolo Pasolini... sur la République de Salò...
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je savais bien que la tronche de Sade me disait quelque chose. C'est le même acteur qui roulait des yeux hallucinés pendant le viol de sa femme dans Orange Mécanique, Patrick Magee.
Violence pour violence, j'ai moins de mépris pour la violence animale d'Alex, elle a le mérite d'être spontanée.
Parler de Simone de Beauvoir en 2016, wharf, faut oser.
Simone 2° DB, parlant de Sade c'est comme un catho-cuir parlant de bifles, ça pue l'ennui et la frustration, la tentative désespérée de présenter sa bigoterie comme un choix murement réfléchi.
Don qui Fouette, tu pourrais pas lui dire directement pour la boule rouge ? Tu l'attaches au lit, tu l'encules et puis tu verras bien si ça plait. Faut juste pas oublier le protège-matelas. Tu peux virer la fille après, mais pour faire disparaitre l'auréole tu peux toujours frotter, ça part pas, ça s'incruste.
Simone, Sade, Pasolini, c'est dingue ta tendance à te tourner vers les trucs les plus chiants de la terre du moment qu'y a des gonzesses et de l'ennui.
Singing in the rape
Violence pour violence, j'ai moins de mépris pour la violence animale d'Alex, elle a le mérite d'être spontanée.
Parler de Simone de Beauvoir en 2016, wharf, faut oser.
Simone 2° DB, parlant de Sade c'est comme un catho-cuir parlant de bifles, ça pue l'ennui et la frustration, la tentative désespérée de présenter sa bigoterie comme un choix murement réfléchi.
Don qui Fouette, tu pourrais pas lui dire directement pour la boule rouge ? Tu l'attaches au lit, tu l'encules et puis tu verras bien si ça plait. Faut juste pas oublier le protège-matelas. Tu peux virer la fille après, mais pour faire disparaitre l'auréole tu peux toujours frotter, ça part pas, ça s'incruste.
Simone, Sade, Pasolini, c'est dingue ta tendance à te tourner vers les trucs les plus chiants de la terre du moment qu'y a des gonzesses et de l'ennui.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- Code:
Simone, Sade, Pasolini, c'est dingue ta tendance à te tourner vers les trucs les plus chiants de la terre du moment qu'y a des gonzesses et de l'ennui.
J'ai lu ça =) Alexi Vassilkov ou la vie tumultueuse du fils de Maupassant
Et j'ai vu =) "Comme un singe en hivers".
- Spoiler:
- Et ma dernière donzelle se prénomme Bérénice... rhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Tu sais coco, je suis pas romantique, juste romanesque.
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je sais, je sais, je crois toujours que les gens souhaitent dire quelque chose.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les bérets sont à Nice sur la promenade des Anglais, alors que Bérénice promène ses anglais.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
... son onglet...
- Vieux truc marrant... :
- Je t’offre ma verge sans capote
A toi ma vierge milles et une fois pénétrée
par la grâce de l’ange
et baignant dans le con d’Aphrodite
la muqueuse aux senteurs d’Orient
laisse mes bourses inonder
ton diamant
et lécher tes seins
cet univers aux allures d’océans.
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
L'onglet, couleur océan pour moi, avec des frites et sans la verdure pour faire joli, merci !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les anglais,
de Bérénice, m'éloignent férocement de ses cuisses.
Pas de bol,
il me faut remettre à plus tard la guerre de la Gaulle.
Je m'excite,
seul, en attendant Nigel et son Brexit.
Boutons,
compagnons, les anglois hors de France.
Cosaques du Don,
pour vos ours, ces sanglants britons feraient de bons compagnons.
Deux jours,
encore, c'est long quand il s'agit de supporter la pécore.
Pas de violence,
c'est le caprice subi par la féminine engeance,
de nous rejeter,
laquais, pour accueillir soit des ours, soit des anglais.
de Bérénice, m'éloignent férocement de ses cuisses.
Pas de bol,
il me faut remettre à plus tard la guerre de la Gaulle.
Je m'excite,
seul, en attendant Nigel et son Brexit.
Boutons,
compagnons, les anglois hors de France.
Cosaques du Don,
pour vos ours, ces sanglants britons feraient de bons compagnons.
Deux jours,
encore, c'est long quand il s'agit de supporter la pécore.
Pas de violence,
c'est le caprice subi par la féminine engeance,
de nous rejeter,
laquais, pour accueillir soit des ours, soit des anglais.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Et nous pleurons leurs absences
Pauvres fous que nous sommes
Car nous connaissons la sentence
Travailler comme une bête de somme
Nourrir la nouvelle descendance
Jusqu'à ce que le glas sonne
Ah que nous étions fiers
L'étendard brandit en l'air
Et nous voilà à faire le dos rond
face à un ventre rond !
Pauvres fous que nous sommes
Car nous connaissons la sentence
Travailler comme une bête de somme
Nourrir la nouvelle descendance
Jusqu'à ce que le glas sonne
Ah que nous étions fiers
L'étendard brandit en l'air
Et nous voilà à faire le dos rond
face à un ventre rond !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Elles s'enflamment pour les Rétiaires et les Mirmillons,
avides de gloire, de frissons, et surtout de leurs picaillons,
et de la bravoure des Secutor elles vont à la conclusion, l'or.
Ces salaces nous flattent, nous appâtent et nous sucent,
et quand elles vident nos bourses, elles se font une gloire,
de nous satisfaire, elles seules, et de nous prendre pour des poires.
En pleine pâmoison, de l'amour elles nous rappellent leurs us,
leurs coutumes, la rime riche de la passion et du lardon.
Du doute entre Cupidon et pension, nous devons demander le pardon.
Nous fûmes leur héros, Provocator, Hoplomaque ou Thrace,
mais de cette gloire chaque biberon a effacé toute trace,
changer les couches ! tel est notre nouvelle place !
D'un gladiateur elles font une limace,
butor ! c'est le nouveau titre du Secutor,
d'Hoplomaque oublie l'Hoplo et ne retient que le mac.
C'est leur alchimie, celle qui transforme l'or en plomb,
de nos rêves, de nos gloires et de nos passions,
elles savent tout réduire à l'état de lardons.
Cette rage les envoutent, et la muse se fait dragon,
elle ondule ses anglaises et nous fait aimer la baise,
pour, de la quête du Graal, nous détourner vers son con.
Ces putes à like de leur pouce nous menacent,
tantôt Damoclès, bientôt César, le héros de l'arène
attend sa Reine, ses humeurs, et éventuellement, sa grâce.
Chassé du paradis, encore eut-il fallu qu'il le susse,
que parmi ces maladroites, complices de Nostradumus,
toutes, malheureusement, n'apprécient pas les Sugus.
avides de gloire, de frissons, et surtout de leurs picaillons,
et de la bravoure des Secutor elles vont à la conclusion, l'or.
Ces salaces nous flattent, nous appâtent et nous sucent,
et quand elles vident nos bourses, elles se font une gloire,
de nous satisfaire, elles seules, et de nous prendre pour des poires.
En pleine pâmoison, de l'amour elles nous rappellent leurs us,
leurs coutumes, la rime riche de la passion et du lardon.
Du doute entre Cupidon et pension, nous devons demander le pardon.
Nous fûmes leur héros, Provocator, Hoplomaque ou Thrace,
mais de cette gloire chaque biberon a effacé toute trace,
changer les couches ! tel est notre nouvelle place !
D'un gladiateur elles font une limace,
butor ! c'est le nouveau titre du Secutor,
d'Hoplomaque oublie l'Hoplo et ne retient que le mac.
C'est leur alchimie, celle qui transforme l'or en plomb,
de nos rêves, de nos gloires et de nos passions,
elles savent tout réduire à l'état de lardons.
Cette rage les envoutent, et la muse se fait dragon,
elle ondule ses anglaises et nous fait aimer la baise,
pour, de la quête du Graal, nous détourner vers son con.
Ces putes à like de leur pouce nous menacent,
tantôt Damoclès, bientôt César, le héros de l'arène
attend sa Reine, ses humeurs, et éventuellement, sa grâce.
Chassé du paradis, encore eut-il fallu qu'il le susse,
que parmi ces maladroites, complices de Nostradumus,
toutes, malheureusement, n'apprécient pas les Sugus.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
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