Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
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Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Heureusement que j'ai pas fait le tri.
Je crois que je suis restée peinarde accrochée à Farmville en laissant tout passer autour
Un mode à coté de mes repères qui explosent mais en suivant quand même les mêmes repères même s'ils ne devaient plus l'être et pendant qu'ils perdaient eux aussi les leurs ! Moi je veux bien faire mais avec le chocolat sinon je vais pas en douancie. Même pendant mon régime, j'achetai des plaques de chocolat dont je prenais deux carrés par semaine et je déposais le restant de la plaque là où je savais que tel jeune sdf passait ! ça tombe il a ouvert un comité de lutte contre ceux qui jettent des plaques de chocolat moins deux carrés ? depuis ? pour lutter contre le gaspillage ?
je suis une saucisse proschocolastineuse ? et la psychothérapeute elle met le Léonidas dans le papier d'alu sinon la saucisse elle grille
Florence vésicule bilaire elle est sexo psycho clinicienne sur son site tout est possible. et effectivement je sais pas pourquoi par hasard mais c'est possible oui. et sans pack sexo psycho clinicienne, ils ont inventé le pack que je devais faire en plusieurs personnes et plusieurs lieux !!!! alors ça à première vue c'est génial.
Commentaires d'écoutes des conférences du coup mon cerveau il a du connecter comme un fou, le pauvre, vu de maintenant, c'était pas possible, il pouvait faire les liens ou justement pas les faire et il a du se prendre la tête à essayer de faire des bacs de rangement de trucs qui peuvent pas se ranger, tu mets pas une info de 2014 qui remet en perspective un souvenir de 1977 dans la même boite, ça se déclassait en fait ! et sans boites pour remettre dedans, le truc de malade, la fête du slip avec aussi toutes les infos des personnes que j'ai croisées qui venaient quand même, donc le médical ect des gens mais j'ai du mettre je sais pas quoi pour dire ah ben non je vais pas reanalyser les gens alors que je me suis barrée pour plus analyser personne !
Je sais pas si ça sert de faire des phrases comme ça, mais au moins elles sont faites.
Déja que je pleure devant le fond de veau déshydraté en supermarché parce que c'est incohérent de l'avoir inventé des années après que quelqu'un soit dcd alors qu'on devait le faire nous mêmes...... c'est drôle hein, milka avait fait les comics à l'époque ça s'invente pas
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
On va y aller tout doucement avec mon nouveau médecin en décembre parce que sinon il va écrire :
Iamsosure : c'est pas un cadeau et déjà un fardeau trop lourd
Donc un doué c'est bien un truc qui peut totalement s'empêcher de vivre en fait en voulant faire trop bien !
c'est pour ça que j'étais têtue sur le fait de rester sur des déjà acquis par la pratique ! sinon plus de génie et on finit fou par manger son tee shirt des guns and roses fabriqué au Bangladesh dont mon coco jeune ne veut pas pour acheter de l'ancien ........
cool 46 ans je vais les voir venir cours après ta douance que je te ratrappe ! faire du puzzle de soi tout seul, ah ben non il faut pas. mieux vaut aller en paradoxie ou incohérencie accompagné un peu plutôt que tout seul.
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:10, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
choisir une seule grille de lecture et en donner qu'une seule.
Du coup y'a des personnes ici qui ont une grille de lecture apprise pour lire des bouts de moi pendant que j'ai fait ma grille de lecture de la vie par la vie....
ça y est j'ai retrouvé ma fonction : t'es dans quel jeu de life et à quelle étape.
c'est surcharge cognitive qui dit arrêtez d'envoyer du mammouth d'infos là, on a pas le temps d'aller se racheter des défenses chez mammouth
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://xlocky.deviantart.com/art/The-View-558039019
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Après aller dans la langue de Shakespeare ou de Molière ça c'est bizarre aussi, ça doit encore être une invention de jeunes ça. Déjà que la garder dans sa poche des fois c'est pas simple....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
- Spoiler:
J'ai voulu te revoir...
Je n'aurais jamais cru, qu'on se rencontrerait:
Le hasard est curieux, il provoque les choses
Et le destin pressé, un instant prend la pause.
Non, je n'ai rien oublié.
Je souris malgré moi, rien qu'à te regarder:
Si les mois les années, marquent souvent les êtres
Toi, tu n'as pas changé... La coiffure peut-être.
Non, je n'ai rien oublié, rien oublié.
Marié, moi? Allons donc! Je n'en ai nulle envie -
J'aime ma liberté, et puis de toi à moi,
Je n'ai pas rencontré, la femme de ma vie,
Mais allons prendre un verre et parle moi de toi.
Que fais-tu de tes jours? Es-tu riche et comblée?
Tu vis seule à Paris, mais alors ce mariage?
Entre nous, tes parents ont dû crever de rage.
Non, je n'ai rien oublié.
Qui m'aurais dit qu'un jour, sans l'avoir provoqué,
Le destin, tout à coup, nous mettrait face à face?
Je croyais que tout meurt, avec le temps qui passe.
Non, je n'ai rien oublié.
Je ne sais trop que dire ni par où commencer.
Les souvenirs foisonnent, envahissent ma tête
Et mon passé revient du fond de sa défaite.
Non, je n'ai rien oublié, rien oublié.
À l'âge où je portais que mon coeur pour toute arme,
Ton père ayant pour toi, bien d'autres ambitions
A brisé notre amour et fait jaillir nos larmes
Pour un mari choisi, sur sa situation.
J'ai voulu te revoir, mais tu étais cloîtrée.
Je t'ai écris cent fois, mais toujours sans réponse.
Cela m'a pris longtemps avant que je renonce.
Non, je n'ai rien oublié.
SEULEMENT PARLÉ:
L'heure court et, déjà, le café va fermer.
Viens, oui viens je te raccompagne à travers les rues mortes
Comme au temps des baisers qu'on volait sous ta porte.
Non, non je n'ai rien oublié.
Chaque saison était notre saison.
Oui mais nous ne redoutions ni l'hiver ni l'automne.
C'est toujours le printemps, quand nos vingt ans résonnent.
Non, non, je n'ai rien oublié, rien oublié.
CHANTÉ:
Cela m'a fait du bien, de sentir ta présence.
Je me sens différent, comme un peu plus léger.
On a souvent besoin, d'un bain d'adolescence.
C'est doux de revenir au sources du passé.
Je voudrais, si tu veux, sans vouloir te forcer,
Te revoir à nouveau, enfin si c'est possible,
Si tu en as envie, si tu es disponible.
Si tu n'as rien oublié,
Comme moi, qui n'ai rien oublié...
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
non je n'ai rien oublié...... j'ai une mémoire à long terme moi Monsieur d'abord et pas de oui mais j'ai raison !!!
Et ça t'éclate ? à fond, tu peux pas savoir
Je me disais aussi que c'était bizarre d'en être arrivée là, pour repartir du début... si un jour j'ai deux vies peut être, à négocier
Et ça t'éclate ? à fond, tu peux pas savoir
Je me disais aussi que c'était bizarre d'en être arrivée là, pour repartir du début... si un jour j'ai deux vies peut être, à négocier
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Et puis les jeunes vieux ça commence à suffire, aussi
tu vas filer immédiatement dans tachambre génération pour chasser le cougar, et tu reviens m'en parler quand tu l'auras attrapé d'accord ?
tu vas filer immédiatement dans ta
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
On ne va quand même pas se laisser marcher sur les plates bandes en trois d ni se laisser mettre les zébras en diagonale.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Multiplication des tests de QI : comment "l'enfant surdoué" est devenu la (mauvaise) réponse à tous les comportements à problème des élèves pour éviter de les gronder
Nouveaux indices, nouveaux subtests, interprétation des résultats et comptes-rendus écrits : le tout nouveau test permettant d'évaluer le QI (quotient intellectuel) des enfants, appelé "WISC-V", vient de sortir. Pour le meilleur... ou pour le pire.
Casse-têtes
Publié le 8 Septembre 2016 - Mis à jour le 9 Septembre 2016
Atlantico : Les professionnels constatent que le nombre de consultations parentales pour évaluer le QI de leur enfant a considérablement augmenté ces dernières années. Avez-vous pu observer cette augmentation dans votre pratique de tous les jours ? Si oui, comment l'expliquez-vous ?
Claire Meljac : En dix ans, j’ai pu constater un changement radical de l’approche des parents vis-à-vis de l’évolution de leur enfant, au sein de mon association comme dans le service hospitalier pour lequel je travaille (une unité spécialisée dans la prise en charge des enfants en difficulté, parmi lesquels des "surdoués", bien évidemment).
Au début de la création du service en question, les parents venant consulter des psychologues le faisaient sans idée préconçue.
Ils désiraient évaluer le niveau scolaire ou général de leur enfant, afin tout simplement de savoir s’il devait sauter une classe ou redoubler par exemple, ou encore s’ils devaient s’adresser à des aides spécialisées (rééducations, soutiens psychologiques, etc.).Aujourd’hui, bien des parents arrivent dans le service ou à l’association en m’expliquant que si leur enfant a des problèmes (échec scolaire, non-intégration, hyperactivité…), c’est uniquement parce qu’il est surdoué. Ils désirent en fait une certification officielle mais, pour eux, la réponse s’impose déjà.
C’est en effet beaucoup plus flatteur et déculpabilisant pour les parents de répéter que leur enfant a des problèmes parce qu’il est plus intelligent que les autres, plutôt que de s’entendre dire que non, leur enfant est "normal" sur le plan intellectuel et a tel ou tel autre problème de comportement pour des raisons X ou Y. L’étiquette de "l’enfant surdoué" est d’autant plus utilisée comme cache-misère que la littérature sur la question a littéralement explosé ces dernières années, le grand public étant très friand de ce genre de témoignages ou d’analyses scientifiques plus ou moins bien vulgarisées.
Christine Arbisio : J'ai en effet pu constater une augmentation très importante du nombre de parents qui viennent me consulter pour évaluer le QI de leur enfant, de manière presque caricaturale. En 2015, tous mes premiers échanges avec la famille ont abordé au moins une fois cette possibilité, alors qu'aucun des enfants que j'ai évalués n'était vraiment précoce. J'ai aussi pu constater que cette problématique, d'abord réservée aux milieux sociaux aisés, touche désormais toutes les classes sociales.
Cette multiplication des demandes d'évaluation de QI s'explique à mon sens par la conjugaison de raisons de fond et de raisons de circonstance.
Les raisons de fond, d'abord. Il est évident que les parents acceptent mieux que leur enfant ait des problèmes si c'est parce qu'il est surdoué. C'est un réflexe humain, de défense, qui permet de déculpabiliser. Ensuite, je pense que notre société est aujourd'hui régie par la culture de la performance, là ou l'ère "Dolto" favorisait plutôt le bien-être de l'enfant.
Les raisons de circonstances, ensuite. Il est clair que certains professionnels ont bien compris que la thématique des surdoués fascinait le grand public, et en ont profité pour surfer sur la vague en publiant toutes sortes d'ouvrages sur la question. Plus problématique encore, et je dirais même inquiétant, cette fascination pour l'enfant surdoué a gangrené l'Education nationale, qui multiplie les formations des enseignants et des psychologues scolaires sur la question, au point que ces derniers finissent eux aussi par pousser les parents à évaluer le QI de leur enfant. Les moyens déployés par l'Education nationale pour détecter et prendre en charge les enfants surdoués sont complètement démesurés par rapport à la population totale des enfants surdoués (2% de la population mondiale), tandis que la majorité des enfants en difficulté ont bien d'autres problèmes qui mériteraient d'être traités en priorité (difficulté de lecture, déscolarisation...).
Claire Meljac
Claire Meljac, psychologue, docteur en Psychologie, eut la chance durant ses études de bénéficier de l'enseignement de Jean Piaget. C'est ce qui explique, en partie, son intérêt pour un secteur longtemps négligé par les psychologues : celui de l'apprentissage des mathématiques et des obstacles parfois rencontrés par les apprenants (enfants ou adultes). Sa thèse publiée sous le titre « Décrire, Agir et Compter », aux Presses Universitaires de France en 1979, et l'instrument psychologique qui en résulta (UDN 80, puis UDN-II) développent ce thème. Depuis lors, elle a présenté de nombreuses études consacrées à ce même sujet, seule ou en collaboration avec les meilleurs chercheurs. Elle a aussi animé plusieurs colloques ou formations traitant de l'acquisition des connaissances (calcul et lecture) ainsi que des théories pouvant en rendre compte. Elle conduit actuellement des recherches dans le cadre de l'Unité de Psycho-Pathologie de l'Enfant et de l'Adolescent, à l'Hôpital Sainte-Anne, à Paris.
Voir la bio en entier
http://www.atlantico.fr/decryptage/multiplication-tests-qi-comment-enfant-surdoue-est-devenu-mauvaise-reponse-tous-comportements-probleme-eleves-claire-meljac-2813919.html
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:25, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Et t'es pas allé en cours aujourd'hui ?
Non j'avais test de QI ? Et si j'en ai un gros, ça me fera un mot d'excuse pour ne pas aller à l'école ? et du coup je critiquerai l'éducation nationale ? comme ça plus personne ira à l'école ? du coup on fermera les écoles ? et on deviendra tous cons ? mais avec un qi ?
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:26, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
1515 ?
TTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTThqi !
Non, Marignan
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TTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTThqi !
Non, Marignan
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Marignan 1515, c'est quoi, déjà?
Antoine Bourguilleau
Histoire
12.09.2015 - 9 h 23, mis à jour le 14.09.2015 à 14 h 43
Détail de «La Bataille de Marignan», par Fragonard.
Rares sont les Français à ne pas connaître cette date, mais tout aussi rares sont ceux qui peuvent décrire le déroulement de cette bataille. Pourquoi est-elle resté gravée dans l'inconscient collectif?
Marignan, 1515. Cette phrase, rare sont les Français à ne pas la connaître. Mais qu’est-ce que Marignan? Que s’y est-il vraiment passé et pourquoi cette date, qui ne dit pour ainsi dire plus rien à l’immense majorité des Français, est-elle restée gravée dans l’inconscient collectif?
Marignan, c’est une victoire militaire française. Ne boudons pas notre plaisir, ça n’est pas si fréquent! (25 commentaires outrés)
Le 25 janvier 1515, François Ier accède au trône après la mort de son cousin Louis XII, Valois-Orléans (Rois Maudits represent). François Ier a en effet épousé Claude de France, la fille aînée de Louis XII, qui a eu des héritiers mâles, mais dont aucun n’a vécu plus de quelques jours. À son sacre, François Ier est un jeune homme de 20 ans, véritable colosse de près de deux mètres de haut, plein de vigueur –mais l’esprit un peu brouillon.
Dès son avènement, une de ses obsessions, comme ses deux prédécesseurs, Louis XII et Charles VIII, c’est l’Italie. La péninsule, qui ne sera pas avant longtemps un pays, fascine par son dynamisme et sa richesse. Les Français y ont déjà conduit des opérations militaires. Mais chacune des campagnes s’est peu ou prou soldée par un échec.
Par son arrière-grand-mère, François a des droits dynastiques sur le duché de Milan. Il aimerait les faire valoir et pourquoi pas, étendre ainsi les terres du royaume de France au-delà des Alpes. Au printemps 1515, il assure ses arrières en établissant des traités de paix avec ses voisins. Il a pour seule opposition celle du duc de Milan, Maximilien Sforza qui, très étonnamment, n’a absolument pas l’intention de céder son duché! Il peut, pour se défendre, compter sur ses alliés des cantons suisses et sur celui, théorique, du Pape.
Les Suisses, les durs à cuire du XVIe siècle
Les Suisses, parlons-en. Ils sont alors craints et respectés dans toute l’Europe. On les tient pour les plus féroces des combattants. Leur armée, composée pour l’essentiel d’infanterie (allez donc faire du cheval dans les montagnes, vous m’en direz des nouvelles!), est équipée de longues piques, que les Suisses manient avec bravoure et à la manière des soldats d’Alexandre le Grand –ce qui n’est pas du tout incompatible, au contraire. À la fin du XVesiècle, les Suisses ont provoquéla chute puis la mort de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, un des plus puissants seigneurs de son époque, rendant un fier service au roi de France Louis XI. Les phalanges suisses ont écrasé l’armée ultra moderne du Téméraire.
Les Suisses, François Ier s’en méfie donc. À la fin du printemps 1515, il a fait rassembler, près de Grenoble, un peu plus de 40.000 hommes et 60 canons, un parc d’artillerie considérable pour l’époque. Son objectif: traverser les Alpes, déboucher dans la plaine et contraindre le duc de Milan à capituler. Quand il apprend que les Suisses gardent le passage du Mont-Cenis, François décide de les contourner en passant par le col de l’Argentière. La tâche est immense, car la route n’est pas adaptée au passage des canons. Il faut donc élargir les chemins. Pedro Navarro, qui commande les sapeurs français, utilise pour cela des explosifs. L’exploit est réalisé et il paie. Car début septembre, les Français débouchent à l’improviste dans la vallée de la Stura et capturent le commandant des forces papales, théoriquement alliées au Milanais, mais peu disposées à faire la guerre, ainsi d’une partie de sa cavalerie.
La discorde règne chez les adversaires de la France
C’est la panique. Le Pape cherche à négocier et au sein du commandement suisse, on s’interroge. La Suisse est déjà une confédération et entre les chefs des contingents des différents cantons, on peine à se mettre d’accord sur l’attitude à adopter. Certains craignent l’armée française. D’autres considèrent que cette guerre n’est pas la leur. D’autres pensent que la prise du Milanais pourrait constituer le prélude de leur annexion par la France et veulent se battre. D’autres sont même prêts à rejoindre l’armée française!
Le nord de l'Italie en 1494 (via Wikimedia Commons).
Ajoutez à cela l’argent que le roi de France fait distribuer et une partie des contingents suisses déguerpit sans demander son reste.
Malgré cet abandon d’une partie de ses alliés, le duc de Milan refuse de négocier. François marche sur Milan et vient s’installer près de la petite ville de Melegnano, Marignan, en français, à quelques kilomètres de la capitale du duché. Il y déploie ses troupes derrière des levées de terre et prend soin de bien disposer ses canons.
A Milan, on ne sait que faire et le départ précipité de certains contingents suisses fait craindre que la contagion s’étende. On opte donc pour l’attaque, avant de se trouver sans troupes.
La bataille
Le 13 septembre, l’armée milanaise, composée pour l’essentiel de piquiers suisses (environ 21.000) et d’arquebusiers suisses (un millier) marche droit sur une armée française composée de 35.000 fantassins, dont plus de 22.000 sont des lansquenets allemands, et 2.500 cavaliers, la crème de la noblesse française. L’infanterie suisse progresse en masse sous les tirs de l’artillerie française. Malgré les dégâts terribles que cette dernière lui inflige, elle atteint la première ligne française. La mêlée est folle, brutale, sanglante, les charges de la cavalerie française sont repoussées. c’est un carnage. A la nuit, les combats doivent cesser. Les adversaires campent à moins de 100 mètres les uns des autres.
La bataille reprend le lendemain dès l’aube. Les Suisses repartent à l’assaut des lignes françaises, chacun se jette à corps perdu dans la bataille. Vers 8 heures du matin, on entend une clameur. L’armée vénitienne, alliée des Français, vient à la rescousse et tombe sur les flancs des Suisses avec son imposante cavalerie. Pris en tenaille, ces derniers n’ont pas d’autre choix que de se replier. Ils laissent près de 10.000 morts sur le champ de bataille. L’armée franco-vénitienne a perdu entre 5.000 et 8.000 hommes.
Ses conséquences
La bataille de Marignan a des effets nombreux.
Le roi de France signe avec le Pape le concordat de Bologne. C’est désormais lui qui nomme les évêques, archevêques et cardinaux en France, au Pape ensuite de les confirmer. Ce concordat tiendra jusqu’à la révolution française. François fait également confirmer ses droits sur la Lombardie, mais le traité ne tiendra pas.
Surtout, la Suisse signe avec la France le traité de Paix perpétuelle de Fribourg qui restera en vigueur jusqu’en 1798, considéré par de très nombreux historiens comme l’acte fondateur de la déclaration de neutralité suisse, effective au XVIIe siècle.
Et après?
Certes, me direz-vous, voilà qui est bien intéressant, mais qui ne nous dit pas pourquoi Marignan 1515 a des relents mythologiques. Des victoires brillantes, les rois de France (sans parler d’un empereur) en ont remportées, mais elles n’ont pas cette aura, nimbée de mystère.
Ce qui étonne, en effet, c’est que si chacun connait la date et le nom, bien souvent on s’arrête là.
Pourquoi?
Une histoire militaire déconsidérée depuis 1945
L’intérêt scolaire que l’on porte à François Ier remonte aux années 1880
Pascal Brioist, historien
C’est déjà parce que l’histoire militaire n’a plus très bonne presse en France. «Le désamour pour l’histoire militaire vient de l’Ecole des Annales, dans les années 1930,explique Benjamin Deruelle, maître de conférence en histoire moderne à l’Université de Lille 3. Par rejet notamment des méthodistes, on ne veut plus entendre parler d’"histoire casquée".» Un tournant à lieu dans les années 1960 et 1970. Benjamin Deruelle poursuit:
«Après la Seconde Guerre mondiale, la guerre a moins bonne presse dans les circuits scolaires. Il y a un changement aussi avec les années 1970 et les guerres de décolonisation. Le concept de "guerre propre" apparaît. Et au niveau universitaire, on s’intéresse davantage à l’histoire des foules, des masses ou des marginaux, et plus tellement à celle des élites. Dans le secondaire, on préfère que les élèves apprennent la Renaissance de Botticelli et de Vinci plutôt que celle des guerres d’Italie.»
Mais si les Français ne connaissent plus que le nom et la date de Marignan, tel n’a pas toujours été le cas. Pascal Brioist, professeur des universités et membre du Centre d’études supérieures de la Renaissance, évoque l’utilisation républicaine de la bataille pour en arriver à des conclusions voisines de celles de Benjamin Deruelle:
«L’intérêt scolaire que l’on porte à François Ier remonte aux années 1880. La France vient de subir une cuisante défaire militaire face à la Prusse en 1870, il faut donc redorer l’honneur national. On met alors en avant les figures de Bayard et François Ier. Ce mythe est très représentatif de l’école de Lavisse. Il y a une rupture ensuite avec les années 1960 où l’on sort de l’histoire nationaliste: dans l’Union européenne, plus question de célébrer une France va-t-en guerre. Aujourd’hui, en seconde, on n’étudie plus l’histoire de Lavisse, on ne fait plus d’histoire des batailles.»
La mythologie de Marignan
Est-ce à dire que l’on à tort? Pas forcément, estime Pascal Brioist, car ce qui était autrefois véhiculé était de l’ordre de la construction mythologique. Par exemple avec Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche, qui adoube François Ier sur le champ de bataille:
«Au XVIIe siècle, c’est en plutôt la figure de Bayard que l’on glorifie. Sous la Révolution aussi: on ne va pas glorifier un roi à cette période. En revanche, pendant la Restauration, François Ier a une bonne image. Louis-Philippe va d’ailleurs commander un tableau de la bataille à Fragonard pour la galerie des Batailles à Versailles.Le mythe de François Ier repose en grande partie sur sa force physique. Il mesure deux mètres, il se rêve en Alexandre le Grand, il est âgé de seulement 21 ans, c’est l’archétype du jeune roi guerrier. C’est aussi un roi qui a une image raffinée, il initie la France à la Renaissance, aux arts et crée une Cour de France.»
Benjamin Deruelle surenchérit:
«Le mythe de François Ier naît aussi de la littérature. Son rôle est de donner une image du roi aux sujets, et en l’occurrence, une image de roi guerrier. Le Moyen Age et la Renaissance n’ont pas du tout la même chevalerie, on va donc adapter la chevalerie à l’époque. Les rois en ont conscience, ils ont conscience du pouvoir de l’écrit et du verbe. Par la littérature, le roi doit être montré comme le meilleur chevalier du moment.»
Un pur produit de propagande?
«Dès le lendemain de la bataille, Marignan sert la propagande de François Ier. Elle va devenir un événement récurrent de sa communication. Sur son tombeau, on mentionne Marignan. Il faut tenter de se représenter ce que peut-être l’espace public à cette époque. L’événement commence par se populariser par des chansons.»
La légende de Marignan
François Ier, vers 1527, par Jean Clouet.
Des chansons qui, pour l’essentiel, racontent l’histoire d’un roi courageux, de l’archétype du preux chevalier et vantent ses exploits.
Dans un livre admirable, qui évoque pourtant la guerre du Vietnam, plus récente, le romancier américain Tim O’Brien écrit: «Une histoire de guerre véridique n’est jamais morale. Elle n’est pas instructive, elle n’encourage pas à la vertu, elle ne suggère pas de comportement humaniste idéal, elle n’empêche pas les hommes de faire ce qu’ils ont toujours fait. Si une histoire de guerre vous parait morale, n’y croyez pas. Si à la fin d’une histoire de guerre, vous avez l’impression qu’une parcelle de rectitude a été sauvée d’un immense gaspillage, c’est que vous êtes la victime d’un très vieux et horrible mensonge.»
Il ne faut donc pas croire la légende de Marignan. François Ier est un roi à la croisée des chemins, entre le Moyen-Âge et la période moderne, un roi qui aime la guerre et les arts, pas si éloigné de Léonard de Vinci, qui peignait la Joconde et dessinait des modèles de char d’assaut. Mais la geste de Marignan, celle d’un roi vaillant, adoubé par Bayard devant toute l’armée, qui paie de sa personne, vient opportunément nous faire oublier que la conquête du Milanais ne dura pas dix ans et qu’au mois de septembre 1515, l’ambition d’un jeune roi provoqua un massacre dans les plaines du nord de l’Italie. Un massacre qui n’avait rien de glorieux, à coups de canons, livré pour l’essentiel entre les mercenaires suisses au service des Milanais et des mercenaires allemands au service de la France, et qui fit près de 20.000 morts.
La légende a remplacé l’histoire, et l’histoire a effacé la légende, dont il ne reste plus qu’une date et un nom, vides de sens. Comme la plupart des guerres…
Propos de Benjamin Deruelle et Pascal Brioist recueillis par Véra-Lou Derid.
Corrections: Une première version de cet article présentait Louis XII comme le dernier des Valois direct.
Antoine Bourguilleau
http://www.slate.fr/story/106733/marignan-1515
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:40, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
“Les drames les plus insensés et les plus saisissants, ne se déroulent pas au théâtre, mais dans le coeur de bons bourgeois que l’on rencontre sans leur prêter attention et qui, par une débâcle nerveuse, trahissent les combats qui se livrent en eux. Ce que le profane a le plus de difficulté à comprendre, c’est que les malades ne soupçonnent pas le moins du monde que la guerre civile a éclaté dans leur inconscient. Mais quand on sait combien d’êtres humains ne comprennent pas ce qu’ils sont, on ne doit pas trop s’étonner qu’il y en ait aussi qui ne soupçonnent rien de leurs propres conflits. Le secret et la rétention affective entraînent des dommages auxquels la nature, en fin de compte, répond par des maladies”
Jung ,
Art : Xiamen
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:41, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Ch@t : Surdoués
Rédigé le 30/09/2010
Ch@t : Surdoués
Sommaire
Ce qui est important est de comprendre pourquoi votre fils a ce genre de difficultés. Dans ce cas un bilan psychologique complet vous apportera les réponses.
Il est en effet important que votre fils puisse trouver un intérêt à l'école et surtout qu'il ne désinvestisse pas ni l'école ni son plaisir à fonctionner. Vous pouvez en parler aux enseignants et peut être consulter un psy qui connait le sujet pour vous aider.
C'est important de s'en occuper. Vous pouvez allez voir un psychologue libéral qui peut faire passer un bilan pour vous aider à y voir clair.
A cet âge là l'hétérogénéité est fréquente. Cependant il faudra refaire un bilan après 6 ans pour bien comprendre le fonctionnement de votre enfant.
Merci beaucoup. Une différence de 20 points doit-être prise en compte car elle témoigne en général d'une fragilité qu'il faut comprendre. A bientôt.
Oui, il s'agit alors d'un surdoué dyspraxique ce qui explique l'hétérogénéité.
Oui bien sûr et c'est particulièrement important. La gestion émotionnelle est ce qui lui permettra de fonctionner bien et d'aller mieux.
Rencontrer un psy spécialisé, pour décoder, poser les questionnements, mettre du sens, apprendre à gérer ses différences mais aussi rencontrer d'autres surdoués, pour se sentir moins différent et moins seul. Vous pouvez venir nous rejoindre sur mon groupe Facebook :Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués.
Merci pour votre témoignage. La gestion émotionnelle est au centre de la prise en charge. mais les émotions sont aussi une force lorsque l'on parvient à s'appuyer sur elles et non pas à lutter contre.
Oui, bien sûr, on parvient à trouver un équilibre entre cette grande force de l'intelligence et la puissance de la sensibilité.
Merci pour votre témoignage. Oui, il existe quelques psys spécialisés. Si vous habitez en région parisienne vous pouvez venir nous voir. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra adultes surdoués. A bientôt.
Il est important de consulter car les bouffées d'émotions sont souvent importantes chez les surdoués et peuvent être très douloureuse pour l'ado et pour l'entourage. La démotivation peut aussi être un signe de souffrance.
Je pense que si le QI n'est pas un diagnostic on ne peut l'exclure de ce diagnostic. Nous ne sommes pas dans le cadre de l'intuition psychologique mais d'un diagnostic. Et comme pour tout diagnostic il y a un tableau clinique complexe, dont le QI. Sinon c'est la porte ouverte à la sensibilité du psy.
L'impulsivité et la dyspraxie peuvent bien sûr entraver la pleine expression du potentiel. Seule l'analyse approfondie des épreuves permettra de faire la part des choses et de comprendre le fonctionnement de votre enfant dans ses ressources et dans ses difficultés.
Les psychologues sont les seuls professionnels compétents et habilités à pratiquer des bilans psychologiques. Les médecins, les thérapeutes ne peuvent pratiquer de tests.
Nous avons récemment passé des tests avec un homme de... 87 ans... Le diagnostic lui a changé la vie (ce sont ses mots), il dit avoir enfin compris, qui il était, pourquoi il avait vécu certaines situations sur un mode douloureux et que cette "révélation" lui avait apporter un soulagement libérateur.
Oui ce sont des signes qui peuvent conduire à consulter. Vivre avec ce sentiment permanent de décalage sans comprendre pourquoi est très douloureux. Faire un bilan, c'est donner du sens, ce n'est pas une simple recherche de diagnostic. Cela donne des clefs pour mieux se comprendre dans ses forces et ses fragilités.
Une des caractéristiques du surdoué est... de douter de son intelligence. Comment avoir une lucidité acérée sur le monde sans l'avoir d'abord sur soi ! Et la paresse, voire la procrastination, correspondent souvent à la peur de ne pas y arriver... Surtout lorsque l'on a des valeurs tellement importantes que l'on craint d'y déroger.
Non, chez un psy qui connait la question. Sinon vous risquez de perdre beaucoup de temps.
Merci pour votre témoignage. La première démarche est de consulter pour mieux comprendre d'où viennent ces difficultés à vivre que vous rencontrez. Un premier pas vers vous !!! C'est important de s'accorder suffisamment de valeur pour s'occuper de soi.
D'autres diagnostics peuvent relever d'un score élevé de QI dans un domaine sans pour autant que cela s'inscrive dans un diagnostic de surdoué. C'est une démarche clinique complexe pour poser un diagnostic et cela doit intégrer un grand nombre de facteurs.
Merci pour votre témoignage. Il me semble important que vous rencontriez un psy spécialisé avec qui vous pourriez en parler ! Bonne route.
Les psys pour les enfants ne sont pas forcément compétents pour les adultes. Il est important de consulter ceux qui ont l'habitude de voir des adultes et de passer des tests pour adultes. la démarche diagnostique n'est pas la même que pour les enfants.
Il est important de comprendre ce qui se passe et l'aider à aller mieux. Se laisser vivre correspond souvent à "peur d'être confronté à la complexité du monde".
De nombreux professionnels ne savent pas encore prendre en compte ces caractéristiques dans leur suivi psychologique. Il est important alors d'alller voir un spécialiste.
Avoir le courage de vous confronter à vous même ! C'est un cadeau que vous vous ferez en considérant que c'est important de vous comprendre mieux !
Vous pouvez aussi consulter pour vous. Si vous le souhaitez vous pouvez aussi venir nous rejoindre dans le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués.
Oui, mais peuvent correspondent à d'autres tableaux cliniques.
Oui, bien sûr, Nice n'est pas si loin...
Il est légitime, lorsque l'on est adulte d'avoir peur de cette démarche de bilan. Un bilan c'est une rencontre avec soi même. Mais c'est essentiel pour avancer. Malgré la peur. Avec la peur...
Vous pouvez venir nous voir ! Centre Cogito'Z : www.cogitoz.com.
Ce que vous décrivez est l'intelligence intuitive et souvent visionnaire du surdoué. On comprend, à l'avance, certaines situations, on sait comment mener un projet, résoudre un problème, mais il est souvent bien difficile de l'expliquer car "rationnellement" on n'a pas d'arguments ! La résultante de l'activation du cerveau droit, de la fulgurance et de la clairvoyance, typique des surdoués et qui se traduit chez les adultes par des difficultés dans l'entreprise car on "sait" avant...
L'extrême intelligence associée à l'immense sensibilité crée parfois des turbulences émotionnelles si fortes que l'adolescent peut faire des crises de violence importantes. Il s'agit souvent d'un sentiment d'incompréhension, d'un besoin de faire passer ses idées, d'une peur de ne pas être compris, EXACTEMENT, comme on le voudrait,... C'est en tout cas un signe de souffrance et de difficulté dans la régulation émotionnelle. Cela peut être apaisé par un accompagnement psychologique adapté.
Oui Thomas. On reste hypersensible toujours mais il faut faire de cette particularité une force en particulier l'empathie qui dans votre métier est importante masi il faut aussi apprendre à mieux gérer ses émotions pour par que ce soient elles qui prennent le contrôle.
Non surtout pas ! Il faut accepter la vie telle qu'elle est mais continuer à avoir envie de la changer ! Dans votre cas, mieux vous connaitre, mieux comprendre votre fonctionnement pourrait vous aider à vous appuyer sur vos grandes forces sans renoncer à la sensibilité, qui est, aussi, une force lorsqu'on sait s'en servir.
Etre surdoué est une force mais aussi une grande vulnérabilité. En particulier la quête de sens constante, la lucidité, le regard acéré que l'on porte sur le monde, l'analyse en continu que l'on fait de l'environnement, le sentiment d'injustice... peuvent parfois entraver la vie et rendre le parcours difficile et douloureux. Les relations peuvent s'en trouver compliquées quand on ressent ce décalage. Mais il y toujours des issues et la force de vie des surdoués doit permettre de trouver les appuis pour se sentir sur un chemin qui est le sien.
On peut être talentueux en maths sans être surdoué, comme champion de tennis ou premier prix de piano.
Oui, le QI est stable de 7 à 77 ans... et après ! Cependant des difficultés psychologiques sévères ou des traumatismes crâniens peuvent évidemment modifier la donne.
Je n'en connais pas personnellement mais vous pouvez venir me rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués. Vous y rencontrerez probablement d'autres surdoués de votre région.
Pour des listes de contacts vous pouvez nous joindre sur le site Cogito'Z : www.cogitoz.com.
Bonne idée ! Avec des conseils pour vivre mieux ! Vous pouvez venir nous rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués
Il a en effet été récemment montré qu’on retrouvait parfois une précocité pubertaire chez les adolescents surdoués.
Si, si, il y en deux et l'une est opérationnelle.
Oui, de façon paradoxale, une hyperactivité cérébrale peut conduire à une forme de lenteur idéatoire (c'est à dire le fait de construire une pensée) car il faut "trier" dans la multitude de pensées qui s'activent simultanément
Bien difficile derrière un écran d'être au plus près de chacun et des questions possibles. La frustration est liée à l'exercice. Mais vous avez mes coordonnées vous ! Vous pouvez donc me poser des questions dans un autre contexte. A bientôt.
Bien sûr, on peut avoir l'impression dans une émission aussi courte que l'on ne parle que des difficultés mais c'est aussi pour combattre un mythe largement répandu qu'un surdoué a tout pour réussir ! Alors, oui, on peut être surdoué, bien dans sa vie, dans sa tête, et pouvoir s'appuyer sur cette immense puissance de la pensée et de la sensibilité pour être les personnes tellement illumineuses que chaque surdoué est en lui même ! Merci pour la question.
Il est assez fréquent de trouver plusieurs surdoués dans une même famille en raison des composantes génétiques.
Oups, pardon de m'être trompée... Je pense que toutes les professions qui donnent la place à l'initiative personnelle, à la créativité (au sens large), à la nouveauté, avec un rythme soutenu, ou encore avec une composante d'aide aux autres, à l'environnement, c'est à dire un métier qui comporte en soi un sens, sont des voies plus adaptées. Mais ensuite on peut considérer qu'il y a mille et une façon de faire son métier ! Et de l'adapter à ce que l'on est.
C'est vrai que l'on trouve beaucoup d'artistes car le besoin d'innover, de créer, d'ouvrir de nouveaux chemins, mais aussi la grande sensibilité, appartiennent souvent au monde des artistes et correspondent souvent bien au profil de surdoué.
Plutôt via Cogito'Z : www.cogitoz.com.
Normalement on ne doit pas avoir de résultat en âge dans un test de QI. Certains psys adoptent cette méthodologie qui n'est plus vraiment d'actualité.
Si le test a été, en plus, proposé par al maitresse, c'est bien qu'elle percevait un décalage avec les autres. En avez-vous parlé avec elle ? Il semblerait en effet important qu'il puisse accélérer son cursus.
Les surdoués sont souvent synthètes, c'est à dire que plusieurs sens sont mobilisés sur un même stimulus : voir les lettres en couleur, donner une forme à un son, sentir une texture à une phrase...
Alors pour quoi Zèbre ? Voilà plusieurs de mes raisons : d'abord l'expression "drôle de zèbre" lorsqu’on parle de quelqu'un d'atypique, puis le zèbre est le seul équidé qui ne se fait pas domestiqué par l'homme, ses rayures lui permettent en courant vite d'échapper aux prédateurs et chaque zèbre est unique, comme les empreintes digitales...
Vous pouvez nous contacter au centre Cogito'Z : www.cogitoz.com.
Merci pour cette question, oui, je susi d'accord sur la clairvoyance, elle est la résultante de la fulgurance intellectuelle et de l'hypersensitivité. Pour moi, pas tabou du tout !
Oui, vous pouvez nous écrire : cogitoz@cogitoz.com et le tchat peut continuer sur leFORUM. Nous y serons présentes régulièrement
Oui, bien sûr, si j'en connais un je vous communiquerai son nom volontiers.
C'est bien déjà là, vous exprimer votre colère et votre besoin d'être entendu ! Il me semble qu'il faut consulter pour vous apaiser. Et bien vivre avec ce que vous êtes.
MERCI à vous tous pour ce tchat passionnant. Désolée de ne pas avoir pu répondre à tous.
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-ch-t-surdoues_2875.html
Ch@t du 30 septembre 2010 Avec les réponses des psychologues Jeanne Siaud-Facchin, Coralie Laubry et Audrey Platania.
Par La rédaction d'Allodocteurs.frRédigé le 30/09/2010
Ch@t : Surdoués
Sommaire
- Les réponses de Jeanne Siaud-Facchin, psychologue
- Les réponses de Coralie Laubry, psychologue
- Les réponses de Audrey Platania, psychologue
- En savoir plus
Les réponses de Jeanne Siaud-Facchin, psychologue
- Mon fils correspond à la description mais il redouble son CE1 c’est vrai qu’il est toujours en train de penser ailleurs, il bouge toujours ses mains et lorsqu’on lui demande ce qu’il fait, il répond je pense.
Ce qui est important est de comprendre pourquoi votre fils a ce genre de difficultés. Dans ce cas un bilan psychologique complet vous apportera les réponses.
- Mon fils de 12 ans est en 4 ème après avoir sauté la dernière section de maternelle, il avait alors un QI de 148. Depuis le début de l’année, il n’a pas eu de note en dessous de 19, sans effort. Il s'ennuie en classe. Il est à l’aise avec les enfants de son âge. Devrais-je essayer de le faire passe en 3 ème ?
Il est en effet important que votre fils puisse trouver un intérêt à l'école et surtout qu'il ne désinvestisse pas ni l'école ni son plaisir à fonctionner. Vous pouvez en parler aux enseignants et peut être consulter un psy qui connait le sujet pour vous aider.
- Mon fils de 8 ans va très mal, il ne fait rien à l’école depuis 2 ans, mais n’a pas redoublé car il enregistre tout, les journées sont longues pour lui, sa maîtresse, la psychologue scolaire, nous disent que c’est hors de ses compétences, vers qui nous tourner, que faire de mon enfant ?
C'est important de s'en occuper. Vous pouvez allez voir un psychologue libéral qui peut faire passer un bilan pour vous aider à y voir clair.
- Que se passe-t-il si le test est hétérogène ? Notre enfant de 5 ans a passé les tests avec une personne que l’Association française des enfants précoces nous a recommandée. Le test a été effectué à l’âge de 4 ans et on nous a donne 2 valeurs, 136 et 142... mais le test est hétérogène.
A cet âge là l'hétérogénéité est fréquente. Cependant il faudra refaire un bilan après 6 ans pour bien comprendre le fonctionnement de votre enfant.
- Je veux voir remercier pour vos livres. J’en prête aux enseignants de mes enfants et souvent ils comprennent ainsi mieux comment fonctionnent les enfants différents. Le QI nous est donné avec 2 chiffres. Ceux de ma fille sont différents de 20 points. Est-ce un problème ?
Merci beaucoup. Une différence de 20 points doit-être prise en compte car elle témoigne en général d'une fragilité qu'il faut comprendre. A bientôt.
- Mon enfant a un QI calculé malgré une très grande hétérogénéité (de 154 à 73) de 125. Peut-on parler de précocité quand même sachant qu’une dyspraxieinstrumentale vient d'être diagnostiquée (ce qui explique les items chutés (code = 6 et symbole = 4) ?
Oui, il s'agit alors d'un surdoué dyspraxique ce qui explique l'hétérogénéité.
- Comment mon fils de 23 ans (QI 134 en 3ème travaille dans une société) peut-il apprendre à gérer ses émotions (genre hyper empathie) ?
Oui bien sûr et c'est particulièrement important. La gestion émotionnelle est ce qui lui permettra de fonctionner bien et d'aller mieux.
- J’ai 44 ans, j'ai été dépisté à l'âge de 11 ans avec un QI de 131. Je suis designer. J'ai toujours des difficultés relationnelles avec les autres, des décalages de perception, d’éthique, de comportements. Plus le temps passe et plus l’imperfection du monde qui m’entoure me pèse. Un conseil ?
Rencontrer un psy spécialisé, pour décoder, poser les questionnements, mettre du sens, apprendre à gérer ses différences mais aussi rencontrer d'autres surdoués, pour se sentir moins différent et moins seul. Vous pouvez venir nous rejoindre sur mon groupe Facebook :Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués.
- J’ai 54 ans ! Votre livre m’a tellement émue que je n’arrive pas à le lire jusqu’au bout. Comment arriver à juguler cette hyper émotivité ?
Merci pour votre témoignage. La gestion émotionnelle est au centre de la prise en charge. mais les émotions sont aussi une force lorsque l'on parvient à s'appuyer sur elles et non pas à lutter contre.
- Pour ma part, j’ai 29 ans, j'ai été testée à partir du CP (par une institutrice), j’ai connu un long calvaire jusqu’à aujourd’hui... Je comprends bien des choses qui m’ont freinées dans mon parcours, et je traverse une phase de libération de moi-même... Cela reviendra ?
Oui, bien sûr, on parvient à trouver un équilibre entre cette grande force de l'intelligence et la puissance de la sensibilité.
- Cela fait des années que je suis suivie psychologiquement sans trouver de réponses à mes questions. J’ai lu votre livre Trop intelligent pour être heureux. J’ai 25 ans et ce livre m'a bouleversée. Où passer un test QI ? Existe-t-il des psys spécialisés dans le suivi des adultes surdoués ?
Merci pour votre témoignage. Oui, il existe quelques psys spécialisés. Si vous habitez en région parisienne vous pouvez venir nous voir. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra adultes surdoués. A bientôt.
- Notre fils dépisté précosse au CP 135 est maintenant démotivé en 1ère. S’il a de sauts d’humeur parfois violents que faire ?
Il est important de consulter car les bouffées d'émotions sont souvent importantes chez les surdoués et peuvent être très douloureuse pour l'ado et pour l'entourage. La démotivation peut aussi être un signe de souffrance.
- Raymonde Hazan explique : être « surdoué » n’est nullement affaire de QI, contrairement à ce qu’on a supposé bien longtemps. Pas plus, du reste, que de grande précocité. Qu’en pensez-vous ?
Je pense que si le QI n'est pas un diagnostic on ne peut l'exclure de ce diagnostic. Nous ne sommes pas dans le cadre de l'intuition psychologique mais d'un diagnostic. Et comme pour tout diagnostic il y a un tableau clinique complexe, dont le QI. Sinon c'est la porte ouverte à la sensibilité du psy.
- Le résultat du wisc peut-il être tronqué du fait d’une impulsivité et d’unedyspraxie ?
L'impulsivité et la dyspraxie peuvent bien sûr entraver la pleine expression du potentiel. Seule l'analyse approfondie des épreuves permettra de faire la part des choses et de comprendre le fonctionnement de votre enfant dans ses ressources et dans ses difficultés.
- Y a t-il des professions plus adaptées aux surdoués ? Si oui lesquelles ?
Les psychologues sont les seuls professionnels compétents et habilités à pratiquer des bilans psychologiques. Les médecins, les thérapeutes ne peuvent pratiquer de tests.
- J'ai la faiblesse de penser que les rapports à l'amour qui y sont décrits sont les mêmes pour tous les hommes, surdoués ou pas. Y a-t-il un âge limite pour tester un surdoué ? J’ai 57 ans.
Nous avons récemment passé des tests avec un homme de... 87 ans... Le diagnostic lui a changé la vie (ce sont ses mots), il dit avoir enfin compris, qui il était, pourquoi il avait vécu certaines situations sur un mode douloureux et que cette "révélation" lui avait apporter un soulagement libérateur.
- J’ai 25 ans, je me suis toujours sentie différente des autres de mon âge, je pense différemment, j’ai des idées différentes, je me sens mal à l’aise avec le monde qui m’entoure pourtant à l’école, c’était comme si je faisais tout pour échouer.
Oui ce sont des signes qui peuvent conduire à consulter. Vivre avec ce sentiment permanent de décalage sans comprendre pourquoi est très douloureux. Faire un bilan, c'est donner du sens, ce n'est pas une simple recherche de diagnostic. Cela donne des clefs pour mieux se comprendre dans ses forces et ses fragilités.
- 33 ans, étudiant en soins infirmiers, le profil HP me correspond... Cependant est-ce que la paresse au travail (à la maison), le doute sur ses propres capacités, les émotions trop envahissantes font partie du tableau clinique ?
Une des caractéristiques du surdoué est... de douter de son intelligence. Comment avoir une lucidité acérée sur le monde sans l'avoir d'abord sur soi ! Et la paresse, voire la procrastination, correspondent souvent à la peur de ne pas y arriver... Surtout lorsque l'on a des valeurs tellement importantes que l'on craint d'y déroger.
- Où aller faire un bilan pour un enfant de 6 ans ? Chez n’importe quel psy ?
Non, chez un psy qui connait la question. Sinon vous risquez de perdre beaucoup de temps.
- Cette question me concerne, je suis une adulte et toujours pas dans mon élément depuis la maternelle, beaucoup de difficultés à m’adapter à n’importe quelle entreprise, ou structure, mais une sensibilité extrême et un esprit très analytique... Que faire ?
Merci pour votre témoignage. La première démarche est de consulter pour mieux comprendre d'où viennent ces difficultés à vivre que vous rencontrez. Un premier pas vers vous !!! C'est important de s'accorder suffisamment de valeur pour s'occuper de soi.
- Qu’entendez-vous par on peut-être THQI et ne pas être surdoué ?
D'autres diagnostics peuvent relever d'un score élevé de QI dans un domaine sans pour autant que cela s'inscrive dans un diagnostic de surdoué. C'est une démarche clinique complexe pour poser un diagnostic et cela doit intégrer un grand nombre de facteurs.
- J’ai 45 ans et je me suis senti très concerné par le sujet, larme à l’appui. Quelle démarche effectuer et vers qui puis-je me tourner pour lever le doute ?
Merci pour votre témoignage. Il me semble important que vous rencontriez un psy spécialisé avec qui vous pourriez en parler ! Bonne route.
- Beaucoup de questions pour les enfants, mais qu’en est-il des adultes, les psys spécialisés pour enfants sont-ils également compétents pour les adultes ?
Les psys pour les enfants ne sont pas forcément compétents pour les adultes. Il est important de consulter ceux qui ont l'habitude de voir des adultes et de passer des tests pour adultes. la démarche diagnostique n'est pas la même que pour les enfants.
- Que faire avec un ado 16 ans surdoué qui refuse tout et se laisse vivre ?
Il est important de comprendre ce qui se passe et l'aider à aller mieux. Se laisser vivre correspond souvent à "peur d'être confronté à la complexité du monde".
- Notre fille a été suivie longuement par un pédo-psy, suite a de gros problèmes d’angoisse, d’autorité etc... Parallèlement, suite à la demande de son institutrice (CP), elle a fait des tests avec la psy scolaire (QI de 139). Le pédo-psy a méprisé ces résultats, pouvant expliquer son comportement, pourquoi ?
De nombreux professionnels ne savent pas encore prendre en compte ces caractéristiques dans leur suivi psychologique. Il est important alors d'alller voir un spécialiste.
- J’ai lu avec énormément d’attention et d’émotions votre second ouvrage, je vous en remercie. En bref si j’y arrive : agé de 20 ans, assez isolé socialement, j’ai beaucoup consulté mais je n'ai jamais passé de test, je culpabilise à l'idée d'en passer, que faire ?
Avoir le courage de vous confronter à vous même ! C'est un cadeau que vous vous ferez en considérant que c'est important de vous comprendre mieux !
- Nous avons été confrontés à beaucoup d'incompréhension pour mon fils de 17 ans qui a été testé à 6 ans. J'ai 55 ans et je me demande si moi aussi... Je l’élève seule et ça a été encore plus difficile. Comment rencontrer d’autres personnes ?
Vous pouvez aussi consulter pour vous. Si vous le souhaitez vous pouvez aussi venir nous rejoindre dans le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués.
- Maladroit, inattentif, tête en l’air, ces termes correspondent-ils aussi aux enfants précoces ?
Oui, mais peuvent correspondent à d'autres tableaux cliniques.
- Toujours 57 ans depuis tout à l’heure ! Pas malheureux, mais curieux de savoir. Je suis à Nice ! Est-ce idiot de vouloir passer le test à Marseille dans votre service pour ne pas attendre jusqu’à 87 ans ! Votre livre m’a donné confiance en vous après avoir galéré avec un fils surdoué.
Oui, bien sûr, Nice n'est pas si loin...
- Je me demande si je ne suis pas précoce moi aussi (comme 2 de mes enfants) mais redoute de passer les tests (peur de l’échec et du ridicule...) Qu’en pensez-vous ?
Il est légitime, lorsque l'on est adulte d'avoir peur de cette démarche de bilan. Un bilan c'est une rencontre avec soi même. Mais c'est essentiel pour avancer. Malgré la peur. Avec la peur...
- Existe t-il un centre de dépistage pour surdoués ? Quelles adresses fiables et pouvez-vous recommander ?
Vous pouvez venir nous voir ! Centre Cogito'Z : www.cogitoz.com.
- Je n'arrive jamais à faire passer mes idées à la hiérarchie. Souvent, je les vois réapparaître 10 ans plus tard, émanant d’autres personnes. Je stagne professionnellement. Mais j’ai appris à lire en autodidacte à 4 ans. Je me soigne pour Trouble Déficit de l'Attention (TDA). Suis-je dans l’erreur ?
Ce que vous décrivez est l'intelligence intuitive et souvent visionnaire du surdoué. On comprend, à l'avance, certaines situations, on sait comment mener un projet, résoudre un problème, mais il est souvent bien difficile de l'expliquer car "rationnellement" on n'a pas d'arguments ! La résultante de l'activation du cerveau droit, de la fulgurance et de la clairvoyance, typique des surdoués et qui se traduit chez les adultes par des difficultés dans l'entreprise car on "sait" avant...
- Ma fille de 12 ans a un QI de 152. Elle est violente est-ce normal ?
L'extrême intelligence associée à l'immense sensibilité crée parfois des turbulences émotionnelles si fortes que l'adolescent peut faire des crises de violence importantes. Il s'agit souvent d'un sentiment d'incompréhension, d'un besoin de faire passer ses idées, d'une peur de ne pas être compris, EXACTEMENT, comme on le voudrait,... C'est en tout cas un signe de souffrance et de difficulté dans la régulation émotionnelle. Cela peut être apaisé par un accompagnement psychologique adapté.
- 20 ans, étudiant en médecine, j’ai été diagnostiqué surdoué à l’âge de 8 ans et j’ai souvent des problèmes affectifs et émotionnels avec les gens. Avec mon futur métier, j’ai peur de trop m’impliquer émotionnellement. De ce fait, comment puis-je maitriser mon émotivité ? Faut-il consulter ?
Oui Thomas. On reste hypersensible toujours mais il faut faire de cette particularité une force en particulier l'empathie qui dans votre métier est importante masi il faut aussi apprendre à mieux gérer ses émotions pour par que ce soient elles qui prennent le contrôle.
- Je serais apparemment ce qu’on appelle un HP. Je rencontre des difficultés dans ma vie professionnelle. J’ai un autre rythme et je dois souvent contenir mon entrain face à mes collègues. J’ai aussi un comportement qui passe pour puéril. Dois-je me résigner à fonctionner tout en retenue ?
Non surtout pas ! Il faut accepter la vie telle qu'elle est mais continuer à avoir envie de la changer ! Dans votre cas, mieux vous connaitre, mieux comprendre votre fonctionnement pourrait vous aider à vous appuyer sur vos grandes forces sans renoncer à la sensibilité, qui est, aussi, une force lorsqu'on sait s'en servir.
- Un QI élevé comme 145 peut-il conduire au suicide, en étant adulte, tant cela se révèle handicapant sur le plan relationnel ?
Etre surdoué est une force mais aussi une grande vulnérabilité. En particulier la quête de sens constante, la lucidité, le regard acéré que l'on porte sur le monde, l'analyse en continu que l'on fait de l'environnement, le sentiment d'injustice... peuvent parfois entraver la vie et rendre le parcours difficile et douloureux. Les relations peuvent s'en trouver compliquées quand on ressent ce décalage. Mais il y toujours des issues et la force de vie des surdoués doit permettre de trouver les appuis pour se sentir sur un chemin qui est le sien.
- Michel Cymes a posé une bonne question. Peut-on n’être surdoué qu’en maths ?
On peut être talentueux en maths sans être surdoué, comme champion de tennis ou premier prix de piano.
- Garde-t-on le même QI toute sa vie ?
Oui, le QI est stable de 7 à 77 ans... et après ! Cependant des difficultés psychologiques sévères ou des traumatismes crâniens peuvent évidemment modifier la donne.
- J’ai été aussi diagnostiqué à 43 ans lors d’un test d’embauche, la psy n’avait jamais vu de QI aussi élevé. Je fais tout à la perfection, et anticipe les faits et évènements, cela agace mon entourage et m’isole car je donne l’impression de tout savoir. Y a-t-il des cercles d’écoute dans le 76 ?
Je n'en connais pas personnellement mais vous pouvez venir me rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués. Vous y rencontrerez probablement d'autres surdoués de votre région.
- Peut-on avoir des listes d’adresses plutôt que des réponses à des cas personnels !
Pour des listes de contacts vous pouvez nous joindre sur le site Cogito'Z : www.cogitoz.com.
- Ca serait bien de faire une émission, « on est surdoué, comment s’en sortir ? »... Vivre avec ça c’est souvent un enfer pour soi et pour les autres...
Bonne idée ! Avec des conseils pour vivre mieux ! Vous pouvez venir nous rejoindre sur le groupe que j'ai créé sur facebook : Jeanne Siaud Facchin Zebra Adultes Surdoués
- La précocité intellectuelle peut-elle s’accompagner d’une précocité physique (taille, puberté précoce) ? Est-ce corrélatif ?
Il a en effet été récemment montré qu’on retrouvait parfois une précocité pubertaire chez les adolescents surdoués.
- Il semble que votre page facebook ne soit plus valable ?
Si, si, il y en deux et l'une est opérationnelle.
- Possible surdoué, j’ai un cerveau qui réfléchit rapidement mais je suis lent pour tout faire (ce qu’on me reproche tout le temps). Est-ce que le 1er peut être la cause du 2 second ?
Oui, de façon paradoxale, une hyperactivité cérébrale peut conduire à une forme de lenteur idéatoire (c'est à dire le fait de construire une pensée) car il faut "trier" dans la multitude de pensées qui s'activent simultanément
- D’un besoin de faire passer ses idées, d’une peur de ne pas être compris, EXACTEMENT, comme on le voudrait,... Effectivement... vue la réponse à nos questions, nous éprouvons une certaine frustration...
Bien difficile derrière un écran d'être au plus près de chacun et des questions possibles. La frustration est liée à l'exercice. Mais vous avez mes coordonnées vous ! Vous pouvez donc me poser des questions dans un autre contexte. A bientôt.
- Cette vision sombre du zèbre condamné au malheur et à l'inadaptation n'est-elle pas aussi toxique que celle du génie à qui tout réussit que vous combattez et qui était installée jusqu’ici ?
Bien sûr, on peut avoir l'impression dans une émission aussi courte que l'on ne parle que des difficultés mais c'est aussi pour combattre un mythe largement répandu qu'un surdoué a tout pour réussir ! Alors, oui, on peut être surdoué, bien dans sa vie, dans sa tête, et pouvoir s'appuyer sur cette immense puissance de la pensée et de la sensibilité pour être les personnes tellement illumineuses que chaque surdoué est en lui même ! Merci pour la question.
- J’ai été diagnostiquée enfant précoce et mon mari l’était très certainement aussi. Quelle est la probabilité que nos filles soient aussi précoces, sachant qu’elles présentent des signes de précocité ?
Il est assez fréquent de trouver plusieurs surdoués dans une même famille en raison des composantes génétiques.
- Je ne saurai pas s’il y a des professions plus adaptées que d’autres aux surdoués... Jeanne S-F ayant cru que je cherchais un psy !
Oups, pardon de m'être trompée... Je pense que toutes les professions qui donnent la place à l'initiative personnelle, à la créativité (au sens large), à la nouveauté, avec un rythme soutenu, ou encore avec une composante d'aide aux autres, à l'environnement, c'est à dire un métier qui comporte en soi un sens, sont des voies plus adaptées. Mais ensuite on peut considérer qu'il y a mille et une façon de faire son métier ! Et de l'adapter à ce que l'on est.
- N’avez-vous pas l’impression que les adultes surdoués finissent tous par devenir des artistes pour satisfaire ce besoin permanent de créativité et pour exprimer leur sensibilité ?
C'est vrai que l'on trouve beaucoup d'artistes car le besoin d'innover, de créer, d'ouvrir de nouveaux chemins, mais aussi la grande sensibilité, appartiennent souvent au monde des artistes et correspondent souvent bien au profil de surdoué.
- Peut-on trouver les réponses et adresses pour les adultes surdoués dans votre livre ?
Plutôt via Cogito'Z : www.cogitoz.com.
- Quelle est la différence avec un résultat de test en âge et un autre en chiffre ?
Normalement on ne doit pas avoir de résultat en âge dans un test de QI. Certains psys adoptent cette méthodologie qui n'est plus vraiment d'actualité.
- On a fait faire un test de QI (demandé par les maîtresses) à notre fils de 4 ans et demi : 155. Ne peut-il pas sauter une classe (il est en MS)? Est-ce qu’en maternelle c’est trop tôt ? Nous trouvons qu’il y a un grand décalage avec ses camarades de classe. D’ailleurs il joue plus avec les CP.
Si le test a été, en plus, proposé par al maitresse, c'est bien qu'elle percevait un décalage avec les autres. En avez-vous parlé avec elle ? Il semblerait en effet important qu'il puisse accélérer son cursus.
- Je vois souvent les concepts s’articuler sous forme d’images lorsque je réfléchis. Pour moi, les prénoms ont une texture particulière par exemple ? Je n'ose pas (plus) trop en discuter. Est-ce lié au haut potentiel ?
Les surdoués sont souvent synthètes, c'est à dire que plusieurs sens sont mobilisés sur un même stimulus : voir les lettres en couleur, donner une forme à un son, sentir une texture à une phrase...
- Vous savez pourquoi vous avez choisi le terme Zèbre ? Mon fils a une explication. Parce que les rayures du zèbre lui permettent d'éloigner les nuisibles !
Alors pour quoi Zèbre ? Voilà plusieurs de mes raisons : d'abord l'expression "drôle de zèbre" lorsqu’on parle de quelqu'un d'atypique, puis le zèbre est le seul équidé qui ne se fait pas domestiqué par l'homme, ses rayures lui permettent en courant vite d'échapper aux prédateurs et chaque zèbre est unique, comme les empreintes digitales...
- J’ai 43 ans et je dessine et peins depuis l’âge de 5 ans, aujourd’hui la connexion avec le monde extérieur me devient de plus en plus difficile, comment rejoindre le groupe de parole décrit dans l’émission ?
Vous pouvez nous contacter au centre Cogito'Z : www.cogitoz.com.
- Au sujet de cette hypersensibilité et empathie... peuvent-elles expliquer des phénomènes de clairvoyance chez une personne surdouée ? Mais le sujet est sans doute tabou !
Merci pour cette question, oui, je susi d'accord sur la clairvoyance, elle est la résultante de la fulgurance intellectuelle et de l'hypersensitivité. Pour moi, pas tabou du tout !
- Ce tchat ne vous permet pas de donner des réponses à tous. Si on vous écrit un mail, expliquant notre vie et nos interrogations, y répondrez vous ? Je comprendrais que la aussi vous n'ayez pas le temps, mais il est rare de croiser des personnes compétentes à ce sujet.
Oui, vous pouvez nous écrire : cogitoz@cogitoz.com et le tchat peut continuer sur leFORUM. Nous y serons présentes régulièrement
- Peut-on vous demander un nom de confrère compétent pour une ville donnée ?
Oui, bien sûr, si j'en connais un je vous communiquerai son nom volontiers.
- Enfant dyslexique, testé 142 à l’adolescence, artiste aux succès intermittents, je suis aujourd’hui isolé, seul, énervé contre la médiocrité du monde, et en échec, que puis-je faire s’il vous plait ?
C'est bien déjà là, vous exprimer votre colère et votre besoin d'être entendu ! Il me semble qu'il faut consulter pour vous apaiser. Et bien vivre avec ce que vous êtes.
- Merci à vous tous pour votre émission et merci pour le temps que vous consacré à ce chat.
MERCI à vous tous pour ce tchat passionnant. Désolée de ne pas avoir pu répondre à tous.
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-ch-t-surdoues_2875.html
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[ltr]Être fainéant serait un signe d'intelligence[/ltr]
[ltr]The Huffington Post Canada | Par Chloe Tejada
[/ltr]
[/ltr]
[ltr]Publication: 12/08/2016 18h24 CEST Mis à jour: 12/08/2016 18h33 CEST[/ltr]
[ltr][/ltr]
SCIENCE - Une étude publiée en août 2016 dans le Journal of Health Psychology et citéz par nos confrères du HuffPost américain semble valider la théorie selon laquelle les gens plus intelligents passent plus de temps à ne rien faire que les personnes plutôt attirées par l'activité physique.
L'étude conclut que les personnes au quotient intellectuel plus élevé s'ennuient moins facilement, ce qui leur permet de passer plus de temps à réfléchir, au lieu d'agir, alors que les personnes plus actives ont tendance à être moins fainéantes parce qu'elles ont besoin de stimuler leur esprit avec des activités physiques, soit parce qu'elles veulent moins réfléchir, soit parce qu'elles s'ennuient rapidement.
60 personnes suivies pendant une semaine
Les chercheurs d'une université de Floride ont fait passer un test à un groupe d'étudiants afin de trouver 30 participants qui aiment réfléchir et 30 autres qui préfèrent éviter toute tâche qu'ils considèrent comme trop intellectuelle. Le test demandait notamment aux étudiants d'accorder une note à des affirmations telles que "j'aime les tâches qui requièrent de trouver de nouvelles solutions" ou "je ne réfléchis que lorsque c'est nécessaire".
Une fois que 30 "penseurs" et 30 "faiseurs" ont été désignés, leur ont été remis un accéléromètre à porter au poignet pendant sept jours pour mesurer leur activité physique. Les résultats montrent que le groupe des "penseurs" était "bien moins actif" pendant la semaine que le groupe des "faiseurs". Et on ne parle pas ici d'activité sportive, mais d'activité tout court. Cependant, pendant le week-end, les résultats n'ont pas montré de grande différence d'activité entre les deux groupes, ce que les chercheurs n'arrivent pas à expliquer.
Mode de vie sédentaire
Cependant, Todd McElroy, le directeur de l'étude, explique que la fainéantise, même si vous êtes intelligents, peut conduire à un mode de vie sédentaire, et donc à des effets négatifs sur la santé. Il précise aussi dans l'étude que tout le monde devrait faire le plus d'activité physique possible pour améliorer sa santé.
"Au bout du compte, ce qui est important pour les individus qui réfléchissent plus, c'est qu'ils réalisent leur faible niveau d'activité, indique Todd McElroy, interrogé par la société britannique de psychologie. Les personnes plus intellectuelles, si elles se rendent compte de leur tendance à être moins actives, ainsi que des conséquences que cela implique, peuvent en conséquence choisir d'être plus actives tout au long de la journée."
La fainéantise n'est pas le seul marqueur d'un QI plus élevé. D'après d'autres études, les personnes intelligentes utilisent plus d'insultes, se couchent tard et sont très désordonnées.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Peut on écrire l'intensité ?
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Quand on écrit une idée, est ce que de la lire, on la trouve conne ? ou n'y a t il pas assez de mots ou les bons mots pour l'écrire ?
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Peut on écrire ? décrire ? le fond vert ? (ben oui tu viens de le faire, ben non...)
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Ajoutée le 19 déc. 2012
Un Aigle royal attrape un enfant dans un parc à Montréal. L'aigle royal est une espèce rapace qui fait partie des plus grands oiseaux d'Amérique du Nord avec une envergure de plusieurs mètres et sa vitesse en descente peut avoisiner les 320 km/h. Il est plutôt habitué à chasser les lapins, les écureuils, les souris et les marmottes, mais pas les petits enfants.
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Comme quoi dans le Lot quand je regardais en l'air en disant : vous êtes sûrs ? qu'ils vont pas descendre ?
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Même les volent (le pigeon cherche et se fait capter à la fin, âmes sensibles s'abstenir ?)
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je t'ecris, une chanson ecrite par Marc Levy pour Grégory Lemarchal.
je t'écris des trottoirs de nos villes habillées en noël
de quelques nuits d'hiver
aux saveurs douces amères
je t'écris de ces soirs de lumière
des yeux émerveillés de cette petite fille
au pied d'un grand sapin sur la Cinquième Avenue...
je t'écris d'un départ, d'une valise oubliée
je t'écris d'un lac blanc
où ce couple patine
je t'écris d'un désert
où l'épave d'un bateau se souvient de la mer
je t'écris d'une terre où des maisons s'écroulent...
je t'écris de Venise
où les amants s'éveillent aux sons de vieux clochers
il y neigera peut-être encore cette année
Je t'écris de la mer au large de Gibraltar
Le regard vers Tanger
Je t'écris de l'Afrique où l'on meurt par milliers
Des 4 coins de la Terre
Je t'écris des tranchées de guerre abandonnées
Je t'écris d'un baiser, de ce banc de paris où deux
amants s’enlacent dans leur éternité et que rien n'y personne ne pourrait déranger
Je t'écris d'un café, de l'aile d'un avion où nos mémoires s’enlacent dans ton éternité et que rien n'y personne ne pourrait m'enlever
Je t'écris de ces ciels de quart monde où les corps si légers d'enfants trop peu nourris s'élèvent sans faire de bruit
Je t'écris de la rue où l'on danse et l'on chante
Je t'écris du plumier d'un vieillard solitaire à la chambre oubliée
Je t'écris de la part de ses dieux impuissants au nom des quels on tue
Je t'écris de la main de ses hommes de paix qui n'ont pas renoncés
Je t'écris de la seine, la tour Eiffel y brille dans des reflets passés
je t'écris des souvenirs d'un baiser par milliers
Des 4 coins de la terre, je ferai le tour du monde un jour très ordinaire
Je t'écris de ce rêve de t'avoir tant aimé
Je t'écris ébloui par tant d'humanité
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:36, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Demain, on ne sait jamais
Si c'est encore loin ou bien trop près
On se dit qu'on aura tout le temps
Demain on s'attend à tout
Devenir quelqu'un ou devenir fou
Aujourd'hui c'est moi qui grandis
Ça me plaît de plus en plus
Ça me blesse de moins en moins
Comme si l'amour avait fait le saut de l'ange
Je suis en vie
Ça n'a pas de prix
Ça n'est pas a vendre
Je suis en vie
Je respire et j'espère
Que tu seras tendre
Demain entrer dans la ronde
Sur la planète terre
Être un homme du monde
Ça parait si proche tous ces cris
Demain il sera trop tard
Comment demander de l'aide
A chaque idée noire
Je le sais
Enfin
Aujourd'hui
Ça me plaît de plus en plus
Et j'en laisse de moins en moins
Comme si mon âme avait saisi le mélange
Je suis en vie
Ça n'a pas de prix
Ça n'est pas a vendre
Je suis en vie
Je respire et j'espère
Que tu seras tendre
Je suis en vie
Je suis en vie
Je suis en vie
Je respire et j'espère
Que tu seras tendre
Paroliers : Alana Filippi / Remi Lacroix
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Douceur ferme, pimousse, mini lions, toussa toussa
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://nayazyke.ru/wp-content/uploads/2012/03/marc_levy_et_si_c_etait_vrai.pdf
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Paul Anka – The Best of Paul Anka (Full Album / Album complet)
Seniorsmusik
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Alors ça pourrait venir du choix de modèles ? Ceux qui ne m'ont pas comprise sont loin derrière et n'ont pas d'impact sur ma vie ou ma pensée. Leur expliquer ? pour quoi faire ? ne pas avoir l'air con ? Perte de temps, de mon temps.
Le gars qui se repointe 2/3 ans après pour dire : ah ben je me suis trompé, ça m'attriste mais c'est trop tard.
Et cette histoire de voir les gens comme des enfants pour certains. Ca ressemblerait plutôt à les voir dans des schémas non résolus, ce qui leur donne une attitude parfois enfantine.
Si sénior, je prenais déja de l'avance à écouter des trucs de vieux, comme ça tu vois je suis déjà prête aujourd'hui.
Nico avait dit : Iamsosure a des problèmes, restant sur l'impression de son ex, c'est vrai que les gens collent leurs problèmes ou fixent sur ceux des autres, ça doit leur éviter de regarder les leurs. Ben oui je sais moi je suis bizarre, trop sensible, si on m'avait dit que je suis enceinte d'un petit loulou qui aura peut être 125 pathologies, je l'imagine à 20 ans avant même qu'il soit là me disant que c'était lourd ces opérations du coeur dès la naissance et je file me faire avorter direct Mais bon moi je suis ceci cela.
La sensation de vide, en fait c'est pas ça. Je me souviens allant marcher, de ce truc à un moment, cette sensation de malaise, d'intense solitude, et à mon avis c'est quand j'ai laissé mon esprit réfléchir tout seul trop longtemps alors je reprends le contrôle et je vais faire un truc chouette.
L'affirmation de soi oui mais pas constamment, ça serait épuisant. Donc la question des modèles, je n'ai eu que des modèles qui se marrent Ca doit aider. Ca doit rassurer.
Mais tout ça est tout de même une organisation pleine de subtilités. Comme sur le toucher. Ben oui mais bon codes sociaux ou pas, si j'aime pas quelqu'un, j'aime pas qu'il me touche. Du coup j'ai des fois fait la bise en précisant bien parce que je suis obligée hein !!!
Peut être que ce qui inquiète des personnes dans mon regard sur eux, c'est qu'ils savent alors eux aussi qu'un truc cloche chez eux ! mais contrairement à moi ils ne savent pas quoi. Et alors là moi je m'en fous d'avoir raison, vu le paquet de problèmes et de contradiction que sont certaines personnes, je limite les dégâts pour moi de suite : tu es parfait, j'ai tort salut Surtout que parfois c'est triste. En fonction de calculs de paramètres, je vois un peu près un niveau que quelqu'un peut atteindre ou pas. Ce que j'ai du faire pour moi d'ailleurs du coup. Ben oui. Un quelqu'un ça n'est pas qu'un moteur ou de l'essence. Ma fameuse histoire de corps aux pieds. Y'a la carrosserie, éventuellement les passages à l'arrière et tout ce que l'on peut trouver sur une voiture.
Comme le fait d'aller boire parfois un café à l'hosto. Avoir du visuel. Sur ce qui peut faire peur, sinon c'est la méga flippe. Je pourrais pas me dire toute seule isolée enfermée chez moi un jour j'aurai besoin de vilains normaux pensants. C'est un truc à tomber malade avant l'heure.
Parler c'est lancer des balles. Et on voit sur quoi l'autre rebondit. Du coup on sait rapidement si on a des choses à se dire, ou à faire ensemble. Et parfois oui il me semble le fait de regarder un objectif, permet de mieux se voir. Une réflexion à l'équerre ? Je ne mets jamais les pieds dans une conversation quand je vois que c'est pas la peine et que ça va servir à rien ou alors juste à avoir raison ou rendre quelqu'un moins con surtout si le fait qu'il devienne moins con ne me sert pas en tant qu'humain ou ne sert pas l'humanité.
Comme en psycho, pour petite, on aurait dit que je voulais me supprimer ? mettre du blanco sur ma tronche sur toutes mes photos ! ou écrire des lettres à 17 ans comme si j'allais mourir pour voir ce que je dis à qui pour classer ! J'ai retrouvé à cette découverte plein de choses comme ça, du passé, mais c'est enfoui là bas dans le passé, pas refoulés, derrière quoi.
Philippe avait dit non quand je lui avais dit je suis juste moi plus tous les gens que j'ai rencontrés.
D'ailleurs je pense que ma doudouille a repris certains de mes propos, il faudra que je lui demande. Et je n'ai pas compris. Bon il faut dire que tout urgeait de tout coté sur l'essentiel. Avoir pensé à avoir pris mes "titres" comme un bouquin, sans les développer. Ca fait du codage J'avais pas l'habitude. C'était super mignon. Et donc tenir compte de mon fonctionnement et du fait que je vais arborer à ma façon sur ce "titre".
Comme ne pas finir mes phrases mais exprès chez moi. Voir ce que l'autre met dans mes points de suspension ou pas. Mardi. Octobre. Et dire toi tu les as toutes eues.
Et cette approche de moi différente sur ce trottoir, comme sachant mon état du moment et les limites de ma bulle. Phénoménal cet instant en fait. Comme les retours d'expérience. Faire du retour d'expériences pour aider avec que du perso ça sert à rien à l'autre.
Les amis se retrouvent au même endroit. C'était alors effectivement rare et il faudra que j'en tienne compte, je demanderais. Des personnes peuvent vivre et à un moment convergeaient vers une même idée, un même but, et se retrouver à l'endroit où ils deviennent amis.
Je suis con. Il est vrai que si t'es une fille, penser comme un gars. Moi ça ne me surprend pas mais forcément à un moment pour d'autres ça doit être une grosse surprise Ca doit faire du genre passage d'une voix fluette à une grosse voix
Tout mettre dans une grosse connerie rigolote
Et tout mettre dans des gens Si si le classement d'idées dans les autres Une espèce de système de délégations improbables et donc inexplicables.
Ils ont fait du pack associatif qui convient, c'est génial et très rassurant.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
EFFICACITÉ PERSONNELLE
A voir :
- Vie pro / vie perso: un équilibre est-il possible?Gestion du temps
Sept paradoxes décapants de philosophes à appliquer au travail
Pas facile d'avouer ses lacunes dans un monde rempli d'experts. "Je sais que je ne sais rien", professait Socrate pour qui l'ignorance a un côté savant. Ne rien savoir est le point de départ... du véritable savoir.
istock
"Le désordre est de l'ordre", "le superflu est essentiel"... A rebours des idées reçues, et du bon sens populaire, penseurs et sages nous opposent la force de leurs observations. Pétillant.
Sortir du conformisme, penser "out of the box", c'est ce que nous propose Sophie Chaussat, auteure de "Pourquoi penser comme tout le monde? 50 paradoxes loufoques de philosophes pour voir le monde autrement" (éd. Marabout, 2015). Voici sept exemples commentés.
1. Ne pas agir augmente l'efficacité, selon Lao-tseu
Qui n'a jamais voulu forcer son destin, prendre les choses en main? Une attitude loin de l'une des idées centrales du fondateur du taoïsme (Vème siècle av. J.-C.). Cette sagesse chinoise invite à penser l'efficacité, non pas comme le résultat d'une intervention résolue pour infléchir le cours des choses, mais comme l'accompagnement d'un processus naturel, d'une transformation à l'oeuvre. Ne pas agir consiste non pas à se désengager, mais à observer et à repérer le ying et le yang, en mouvement.
Au travail. Identifiez tout le potentiel d'une situation, repérez les forces en présence - opposants/alliés ; avantages/inconvénients -. Imaginez les orientations possibles, même les plus infimes, vous pourrez ensuite agir de manière souple et adaptée.
2. Le désordre est de l'ordre, selon Henri Bergson
Le désordre est "l'absence de l'ordre que met consciemment dans sa vie une personne rangée (...)", écrit le philosophe dans L'Evolution créatrice. Le désordre est en fait l'ordre que nous ne cherchons pas ; il y a de l'ordre dans le chaos. Simplement, celui-là n'est pas celui que nous escomptions, et déçus, nous l'appelons désordre. Un désappointement subjectif!
Au travail. Prenez en considération tout(e) sujet ou idée qui vous semble "foutraque", il (elle) peut receler des pépites ; acceptez que des collaborateurs (ou vous) aient une façon décousue d'organiser leurs dossiers et tâches.
3. Le superflu est l'essentiel, selon Gaston Bachelard
"La conquête du superflu donne une excitation intellectuelle plus grande que la conquête du nécessaire. L'homme est une création du désir et non pas une création du besoin", écrit le philosophe poète dans La Psychanalyse du Feu. Le feu n'était pas indispensable à l'homme pour sa survie, explique-t-il, mais sa maîtrise de l'élément l'a conduit au bien-être, à la gourmandise, à l'esthétique... et à la spiritualité. Ce sont les instants et les choses superflues qui permettent de magnifier le réel.
Au travail. Ne négligez pas les moments "perdus" à discuter à bâtons rompus avec vos collaborateurs, ni les gestes gratuits. Ils motivent et dopent les neurones. De votre côté, faites-vous plaisir.
4. L'ignorance a un côté savant, selon Socrate
Pas facile d'avouer ses lacunes dans un monde rempli d'experts. "Je sais que je ne sais rien", professait le père de la philosophie occidentale. Ne rien savoir libère le désir, l'appétit de connaitre. Cette "docte ignorance" est alors le point de départ du véritable savoir, lequel doit, pour reposer sur de solides fondations, affronter le vertige du doute.
LIRE AUSSI >> Cinq leçons de Confucius pour gagner en efficacité
Au travail. Efforcez-vous de remettre en cause vos certitudes, préjugés, croyances, afin d'accueillir d'autres vérités et de rester ouvert au dialogue ; cherchez à comprendre et à vous cultiver.
5. Le bricolage, c'est du sérieux, selon Claude-Lévi Strauss
Faire avec des bouts de ficelle relève de l'amateurisme. Et pourtant ! Cet esprit bricoleur ressemble à la "Pensée sauvage" explorée par le philosophe-ethnologue auprès des "peuples premiers". A l'inverse de notre pensée domestiquée qui conçoit d'abord, puis cadre le strict protocole d'exécution, la pensée sauvage ne suit aucune règle prédéfinie, et n'assigne aucune fonction précise à des objets de bric et le broc qui peuvent tout devenir. Quand on leur donne du sens.
Au travail. Laissez libre cours à votre créativité, prenez des chemins de traverse, vous allez innover, et/ ou enrichir le projet. Et agissez avec les moyens du bord, quand les ressources manquent. Ce sera différent mais aussi solide.
6. Mentir n'est pas juste un vilain défaut, selon Benjamin Constant
Dire la vérité est un devoir, reconnaît le philosophe, mais un devoir n'existe que là où il y a un droit réciproque. En clair, si votre interlocuteur n'a pas droit à la vérité, vous n'aurez aucun devoir de vérité.
Au travail. Autorisez-vous à mentir, envers des gens qui ne le méritent pas : les mal intentionnés, les médisants, les retors, etc.
7. Les apparences ne sont jamais trompeuses, selon Merleau-Ponty
A contre-courant de l'adage, le phénoménologue assure que la perception d'un objet ou d'un individu suffit pour accéder à son "style". Chacune de ses apparences révèle un aspect de la réalité, et chacune d'elles dit la vérité. A vous de croiser vos perceptions, et de les confronter avec celles des autres. Ainsi, d'esquisse en esquisse le tableau se dessine.
Au travail. Face à un tiers - client, visiteur, candidat - ou à un événement, fiez-vous à votre première impression, sachant que celle-ci restera à compléter et à affiner par d'autres intuitions ou sensations.
http://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/efficacite-personnelle/sept-paradoxes-decapants-de-philosophes-a-appliquer-au-travail_1Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:28, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://congres-douance.com/interview-nathalie-alsteen/
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http://congres-douance.com/interview-thierry-janssen/
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http://congres-douance.com/interview-thierry-janssen/
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
La limonade coule à flot, dans mon auberge au bord de l'eau Les enfants boivent de l'eau et du sirop La rigolade prend d'assaut les bécassines au bord de l'eau La vie est suave, la vivre la peine vaut Dans mon épicerie, Jean qui pleure Jean qui rit Dans mon bar sans tabac goujat Je m'y voyais déjà tavernier d'opéra Créateur d'apéros bios La limonade coule à flot, dans mon auberge au bord de l'eau Les enfants boivent de l'eau et du sirop La rigolade prend d'assaut les bécassines au bord de l'eau La vie est suave, la vivre la peine vaut Dans mon estaminet il y a des mets pour gourmets Des menus pour enfants gourmands De ma timonerie je vois passer la vie De petits et de grands clients La limonade coule à flot, dans mon auberge au bord de l'eau Les enfants boivent de l'eau et du sirop La rigolade prend d'assaut les bécassines au bord de l'eau La vie est suave, la vivre la peine vaut Dans ma petite famille, il y a de la mélancolie Y a de l'alcoolémie aussi Dans mon latifundia du raffut de loufiat Du grabuge de vieux rat ingrat La limonade coule à flot, dans mon auberge au bord de l'eau Les enfants boivent de l'eau et du sirop La rigolade prend d'assaut les bécassines au bord de l'eau La vie est grave, la vivre il bien faut.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tu seras parfois une bécasse ma fille ? parce que parfois mieux le gain de temps, plier
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Alors puisqu'on en est là. Ben non si toi t'en es dans ta tête et ton programme à toi, j'y suis pas forcément surtout si tu me le dis pas
Rhoooo les marzoums
Rhoooo les marzoums
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Ils ont fait des métiers de comment je pense parfois. Bon ça va plus vite mais on rencontre du coup moins de monde
Deux divers gens pour converger. Assez surprenant que je dis : verge, mieux .
Faire un effet c'est chouette, sentir un effet c'est chouette mais alors pouvoir l'expliquer, ça c'est cool.
Franck m'avait dit : quand tu envoies, tu envoies et aussi je sais comment tu fonctionnes. C'est sûr que savoir comment un autre fonctionne ne veut pas dire avoir vécu sa vie. Combler des vides n'est pas les faire disparaître. Je suis contente que des choses soient bien rangées. Paradoxe du coup de réjouir de ne pas déranger. Oui mais non, parce que c'est plus drôle de déranger parfois quand c'est bien rangé.
S'apprivoiser. Et apprivoiser le sujet. Tu m'étonnes que si deux parlent en images, le troisième il comprend que dalle. C'est comme lui demander de jouer à la bataille sans lui avoir donner les cartes !!!!
C'est comme les fous rires inexplicables. Le fou rire associatif d'idées. La fulgurance de rires
Si je corrige en mode mise en page !!! forcément.
Rejeter la norme totalement, c'est risquer de ne jamais trouver un mode de classement pour soi.
Jeter aussi des pavés dans ses amarres. Des sensibilités en plus y'en a pas qu'une seule. Hyper, hyper marchés de ses rayons du sensible, je verserai quand même ma petite larme non de tristesse mais d'émotions devant mon fond de veau au supermarché, y'a des gens qui sont vite dérangés.
Se perdre dans ses raisonnements. Choper un mot au vol. Trouver comment résoudre en un instant tous ces conflits internes. Bon ça suffit là dedans, on se calme.
Pour ma part ça n'est pas vrai que le doué est naze dans les trucs routiniers mais efficace dans les urgences.
De toute façon selon l'angle de vue, on est en état d'urgence ou pas. Tu imagines cette petite pensée qui au lieu de regarder le scénario se met dans le scénario, alors plus d'intérêt à savoir faire le scénario tout en sachant qu'il ne se déroulera peut être pas.
Quand j'avais dit à christophe dans le couloir : poses toi avant de m'expliquer, là tu revis la scène, on y est plus, c'est fini, tout va bien.
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 21:37, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je n'aurai pas aimé non, consacré toute ma vie à avoir raison et à tout chercher pour me convaincre que j'ai raison. Où comment rester à vie tout seul sur mon piédestal. Là c'est du gâchis pour soi et pour les autres.
Qu'as tu fait de ta vie ? ben j'ai eu raison dans mon coin. Où comment se "gourrer" total dans son raisonnement puisqu'on y inclut donc pas le fait que les autres soient différents. Donc penser que tout est expliqué à soi, rien qu'à soi. Donc penser qu'on est pris pour des cons. Ca rejoint ce qui est écrit sur le fait de ne pas prendre des choses pour une attaque personnelle. Il faut avoir un énorme problème de prétention pour penser que le monde tourne uniquement dans le but de remettre en question l'intelligence d'une seule personne qui de plus estime qu'elle n'a pas à s'abaisser à en faire partie du monde
Oui oui tous les gens qui font des choses dans la vie et pour la vie, en fait ils ne le font que pour me donner tort et attaquer ma très grande intelligence. .
En théorie on peut vivre et se croire plus intelligent que tout le monde, mais on reste très con de ne jamais avoir pratiqué le monde. Si j'étais dedans je ferai comme ça, ben vas y dedans on va te regarder faire Whaou.
Beurk aussi du coup
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tout est expérience.
Les échecs et les réussites sont deux facettes d’une même chose : l’expérience. Si nous avions évité les erreurs (ou si on nous avait empêché d’en faire), nous n’aurions jamais appris, par exemple, à marcher. Nous apprenons à chaque instant. Profitons de cet enseignement et progressons chaque jour.
Le bonheur ne dépend que de moi.
Des personnes passent leur vie à chercher leur bonheur autour d’eux. La vraie source du bonheur est pourtant en nous. Nous avons les ingrédients pour construire notre propre bonheur et non celui que nous offre/vende les autres.
La perfection n’existe pas.
La perfection est un mythe. Ce qui prime est la satisfaction personnelle relative à l’aboutissement d’efforts en utilisant nos forces et celles des autres. Viser la perfection est donc plus décourageant qu’autre chose. Oublions ce concept trop subjectif et contraignant.
La vie mérite d’être vécue.
Si la vie ne méritait pas d’être vécue, l’homme ne connaitrait pas les émotions agréables. Il n’y aurait que souffrance. Donc, oui, la vie mérite d’être vécue, c’est un cadeau. Chacun a sa place et a un rôle à jouer pour être heureux et contribuer au bonheur des autres le plus longtemps possible dans chaque journée.
Les échecs sont des étapes du succès.
On ne peut réussir sans échouer. Et un échec est toujours temporaire. On se relève et on avance en tirant enseignement de nos actions. Avec de l’entrainement, de l’imagination, de l’optimisme et de l’aide, nous dépasserons les échecs et réussirons.
Le succès est synonyme de travail.
On ne peut réussir sans travailler. Ceux qui vendent des recettes magiques sont des menteurs. Certes, il y a des raccourcis, que nous pouvons nommer « chance », mais on ne les voit qu’en oeuvrant avec persévérance.
Tout ce que nous avons aujourd’hui, nous l’avons espéré un jour.
Nos pensées dictent nos actes conscients et inconscients. Faisons donc attention à ce que nous voulons ou espérons nous pourrions bien l’avoir. De plus, il est essentiel de prendre conscience de ce que nous avons et de s’en satisfaire.
Tout est éphémère.
Nous vivons dans un monde en mouvement et nous produisons nous-même une partie de ces mouvements. Rien n’est figé. C’est pourquoi, tout espoir est permis. Aucun échec n’est définitif.
Les émotions aussi sont éphémères pour peu que nous les acceptions.
On est ce que l’on fait.
Ainsi, on peut faire différemment pour devenir ce que l’on est vraiment. Et on peut en prendre la décision à n’importe quel moment de notre vie. Maintenant par exemple.
Le bonheur est dans l’action (et la décision).
On ne peut prétendre être heureux sans agir. Donc, décidons d’être heureux et mettons en place des actions bénéfiques pour les autres et pour soi.
Les jugements et critiques sont une perte de temps.
Jugements et critiques dégradent notre moral, celui des autres et nous figent dans l’inaction. Mieux vaut faire preuve d’humour, d’amour et de clairvoyance et supprimer ces habitudes qui ne mènent pas à des objectifs concrets et positifs.
Ce que pensent les autres de moi n’a pas d’influence sur ma vie.
Les jugements négatifs ne peuvent vous atteindre que si vous y prêtez attention. Refusez d’être affecté et comprenez deux choses :
- que tout jugement est le reflet d’un besoin insatisfait
- qu’on juge en fonction de ce qu’on est
On peut rendre le monde meilleur.
Oui, nous pouvons aider, sourire, encourager, donner, bref, être le changement que nous voulons pour le monde et nous avons à notre disposition une boite à outils qui n’a de limite que notre imagination. Et chaque geste compte.
La bienveillance et l’empathie sont des forces.
La violence entraine la violence : c’est un cercle vicieux. Alors que l’empathie et la bienveillance créent un cercle vertueux. Il est toujours temps de casser le premier cercle pour démarrer le second.
Nous avons plusieurs intelligences, talents et forces et notre cerveau est évolutif.
Oui, nous possédons tous des forces, intelligences et talents à découvrir et à développer. Trouvons-les et utilisons-les au maximum afin de nous sentir mieux dans nos vies. Comment sait-on qu’on utilise une force ou un talent ? nous n’avons plus conscience du temps qui passe quand nous nous y appuyons. Nous sommes alors dans le flux (ou notre élément).
Nos pensées influencent nos actes.
A tout moment, de manière consciente ou inconsciente, nos pensées influencent nos actes. Alors, abreuvons-nous de citations inspirantes et de pensées positives pour nous rapprocher du bonheur en gérant des actes qui donnent du sens et apportent du bonheur à nos vies.
On peut se débarrasser des croyances qui nous limitent.
Pour se débarrasser des croyances qui limitent notre vie, prenons-en conscience : « quelle croyance m’empêche de faire cela ? Le faire me rendrait-il heureux ? Allez, je tente ma chance. Ok, la croyance était erronée, en voici une nouvelle qui me correspond mieux. »
Le résultat de nos actions n’est souvent pas immédiat.
La patience est un atout. Le temps joue pour nous. Chaque action est une graine qu’il est nécessaire d’arroser et de laisser pousser. Semez du positif et attendez-vous à le récolter.
Dire « non » est une façon d’avancer ensemble.
Paradoxalement, un « non » n’est pas une porte fermée mais l’opportunité de proposer une solution qui convienne à deux personnes au lieu d’une.
Dire « oui » est un mot de passe pour de nouvelles expériences.
On ne peut pas savoir si on va aimer tant que nous n’avons pas essayé. Alors disons « oui » aux propositions et faisons-nous notre propre idée. Rappelez-vous : tout est expérience.
Nos faiblesses nous rapprochent des autres.
C’est par nos défauts et nos faiblesses que nous nous rapprochons des autres. Alors, bas les masques et soyons fiers de ce que nous sommes en totalité. De plus, si nous cachons nos « faiblesses » nous ne pourrons jamais les travailler…pour en faire des forces.
Donner l’exemple vaut mille mots
Parlons moins, agissons plus !
Le passé ne dicte pas le futur.
Le passé ne dicte pas le futur si on en décide ainsi et surtout si on cesse d’y penser. Car, pour notre cerveau, toute pensée est un objectif. Donc, faisons la paix avec notre passé (en pardonnant par exemple) et vivons au présent, c’est là que se trouve la fabrique à bonheurs.
http://anti-deprime.com/2015/12/15/plus-de-20-puissantes-croyances-positives-a-adopter/Avoir l'intelligence pour penser comment on vivrait mieux la vie des autres à leur place...c'est être alors le pantin de la non utilisation à bon escient de son intelligence....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
La critique est la puissance des impuissants.
Faire face à la critique : un réflexe au service de votre relationnel
Par Jean-Baptiste
« La critique est la puissance des impuissants » disait Alphonse de Lamartine.
Clairvoyance ? Exagération ? Si la citation concernait très certainement le critique littéraire, la pensée mise en valeur semble coller à notre sujet du jour.
Quand on s’attaque à l’étude du relationnel, on comprend rapidement qu’une vision manichéiste ou trop simpliste de nos échanges avec autrui ne peut que nous emplir d’illusions et concourir à l’apparition de préjugés.
Il est en effet intéressant de noter que la nature même de l’interaction sociale rend ses parties prenantes concernées par le jugement d’autrui.
Et s’il peut totalement être relativisé, il affecte malgré tout les codes et les règles informelles régissant un environnement.
Nous basant sur nos expériences et nos systèmes de pensées et de valeurspour analyser la portée d’un échange, nous sommes influencés et pouvons considérer le comportement d’une autre personne comme critiquable, inadapté et incohérent.
Le paradoxe, c’est qu’on sait au fond de nous que notre regard et nos préconçus n’ont de valeur que celle qu’on leur accorde, alors même que le fait de faire face à la critique challenge notre psychologie, nous déstabilise.
On parlera alors de critique constructive ou de « conseils d’amis »… n’en reste pas moins que de voir son positionnement déconstruit, remis en cause, peutnous atteindre profondément, entraînant des réactions plus ou moins intenses (déception, colère, agressivité, tristesse, isolement…).
Le débat auquel Réussite Personnelle prendra part à travers mes écrits porte donc inéluctablement sur les moyens à notre disposition pour faire face à la critique.
Quels réflexes adopter ? Comment éviter des réactions excessives ?
1. Faire face à la critique en limitant l’excessivité
Très impulsif, j’avais énormément de difficultés, lorsque j’ai commencé à travailler, à m’accommoder de l’autorité.
Fierté personnelle largement développée et faible tolérance pour les critiques, j’ai vécu de nombreuses situations s’étant soldées par des conflits, voire des démissions (ou non-renouvellement de contrats).
Mon problème ? Une incapacité à me taire et à ingurgiter ce qu’on pouvait me dire avant de réagir. Je vous laisse imaginer ce que cela peut donner quand on a une vingtaine d’années…
Faire face à la critique est quelque chose de fondamentalement difficile, en ce que cette dernière est plus chargée de sens qu’un simple jugement de valeur.
Elle s’attaque à votre construction personnelle, met en lumière votre inadaptation à votre environnement.
Pas étonnant dans ce contexte de parfois littéralement « péter les plombs ». Quoi qu’il en soit, vous vous devez aussi à vous-même d’assumer la construction d’une personnalité mature, affirmée, sereine.
Démonstration de votre confiance en vous et capacité à apprécier chaque minute qui passe sont des dispositions qu’il semble falloir mettre à l’épreuve du terrain !
L’excessivité est votre ennemie lorsque votre comportement passe sur le grill de l’appréciation extérieure.
Elle se matérialise de différentes manières et peut être insidieuse… d’où la réflexion suivante, qui vous permettra d’assimiler les premiers réflexes à adopter pour faire face à la critique, avant de la rendre constructive.
Faire face à la critique en gardant le silence à tout prix
Aussi « bouillant » que l’on puisse –t-être quand l’un de nos interlocuteurs semble ouvertement faire état d’un de nos manquements, il convient de laisser ce sentiment s’alléger avant de formuler quelque réponse que cela soit.
Le but est d’éviter d’envenimer les choses, même si notre inconscient nous pousse parfois à ne pas accorder d’importance aux éventuelles conséquences d’un conflit (détérioration de l’ambiance de travail, disputes, altercations physiques…).
Si l’affirmation personnelle est tiraillée de par la blessure de l’egoengendrée par la critique, le fait de garder le silence permet de faire preuve d’humilité, d’empathie et d’un certain sang froid qui tempèrent la remise en cause de votre légitimité.
Et puis matériellement, une réaction à froid, après mûre réflexion, permettra à votre argumentation d’être plus solide et rationnelle. De quoi défaire les attaques infondées, en somme.
Faire face à la critique en poussant vers l’objectivité
Lorsqu’un jugement négatif envers votre comportement est émis, vous pouvez après l’« altercation », en porter le contenu sur un morceau de papier.
Pas question ici de vous torturer en relisant les mots blessants prononcés à votre encontre, la manœuvre réside simplement sur une volonté de prise de conscience.
Une relecture à froid, là encore, permettra en effet de creuser l’avis ainsi relevé et d’essayer d’en analyser l’objectivité : y-a-t-il à la base de la remarque personnelle une véritable déviance ? Où s’arrête la légitimité et où commence l’agressivité ?
Le double avantage de ce « brainstorming », c’est d’une part d’habituer votre psychologie à tirer des enseignements de chaque situation (même celles relevant de l’adversité), et d’autre part de nourrir votre raisonnementvisant à déconstruire des insinuations ou autres affirmations infondées.
Vous le comprenez, la première nécessité pour faire face à la critique repose sur une capacité à ne pas se montrer affecté, à ne pas jouer sur les mots ou à vouloir se défendre bec et ongles.
La critique fait mal, mais y réagir peut nettement remettre en cause l’état de votre relationnel…
La démonstration de votre aisance à interagir dans votre environnement prend donc son essor avec votre aptitude à éviter la confrontation quand cela s’avère possible.
2. Faire face à la critique : comment évoluer à son contact ?
Étant la seule personne apte à comprendre vos émotions, votre ressenti et l’effet d’une critique sur votre psychologie, vous êtes le mieux placé pourl’interpréter de manière à en limiter l’impact sur votre affirmation personnelle.
Constructive ou non, la critique reste une interjection soulevant un problème, quelle que soit sa nature. Si elle peut découler d’une claire volonté de nuire, ce n’est pas toujours le cas.
Il nous revient de chercher plus loin que la simple formulation.
Et si nous savons que notre émotivité est touchée de plein fouet lorsqu’on est victime d’un jugement, on sait aussi que la personne qui émet cet avis, estelle-même soumise à d’autres enjeux et conflits propres à son inconscient.
Ce que cela signifie ? C’est que la portée d’une critique peut être relativisée, tant elle est influencée par des facteurs extérieurs à votre volonté (pression professionnelle ou mauvaise humeur de vos interlocuteurs, pour ne citer qu’eux).
Sachant cela, et sans jamais s’éloigner de la nécessité de conserver un degré d’objectivité, il devient plus facile de faire face à la critique.
Elle apparaît alors comme un élément qu’on peut sortir de son contexte,mettre à nu, pour effectivement en retirer un enseignement ou un élément nous poussant à nous améliorer (sous condition de conserver son calme et de ne pas laisser le sentiment de frustration et d’injustice prendre le dessus).
3. Faire face à la critique en comprenant son timing
Contrairement à ce que notre ego tente de nous faire croire, la critique n’est pas un phénomène étendu dans le temps, qui serait relié à la notion de définition personnelle.
Elle n’est qu’une observation à un instant figé, d’un manque de cohérence de votre comportement. Rien à voir avec un fardeau, une tare psychologique que vous traîneriez continuellement.
S’en rendre compte, c’est s’éviter d’évoluer au cœur de sentiments comme la rancune, l’agressivité et la méfiance, jamais bien utiles quand il s’agit de s’épanouir au contact d’autrui.
Puissante ou ignorée, la critique n’est qu’un point fixe, une observation quiperd toute sa valeur au fil du temps. Pourquoi alors s’y référer pour baser votre appréciation de son émetteur ?
Ne vous arrive-t-il pas d’être en colère ou fatigué, au point qu’une personne ne cherchant à vous faire du tort vous agace malgré tout ? N’avez-vous jamais exprimé votre point de vue dans cette situation ? Détestez-vous la victime du processus pour autant ?
Seule l’introspection peut nous doter de ce réflexe permettant d’apprendre et de réagir en toute rationalité face à notre environnement, quand celui-ci semble remettre en cause notre comportement.
Faire face à la critique, c’est d’abord se faire face à soi même, assumer ses erreurs et comprendre que certaines des remarques entendues peuvent en réalité entrer dans le cadre d’une amélioration personnelle.
Et pour ce qui est de faire face à la critique quand cette dernière est simplement le fruit d’une volonté destructrice… le mieux reste de l’ignorer, tout simplement !
Qu’en est-il pour vous ? Comment considérez-vous qu’on puisse faire face à la critique ? Votre point de vue à de l’importance, n’hésitez pas à l’exprimer !
https://www.reussitepersonnelle.com/faire-face-a-la-critique/
Donner son avis est différent d'un jugement vu de sa maison ou de son QI et différent aussi d'une attaque personnelle à un individu Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 21:44, édité 2 fois (Raison : Théorie à "retourner" ...)
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Mais qui sont donc tes concitoyens ? ah ben je sais pas je les fréquente pas, ils sont tous cons.
Vivre sa vie en imaginant celle des autres Vivre sa vie à imaginer comment les autres sont cons C'est passer à coté de sa vie.
Vivre sa vie en imaginant celle des autres Vivre sa vie à imaginer comment les autres sont cons C'est passer à coté de sa vie.
Non j'aurai pas su. Je suis un survivant à coté de cons !!! avoir le syndrome du monde est con, ça doit être lourd à porter, ça fait du monde, un très grand monsieur très intelligent et de plus très grand a eu un jour l'intelligence de .... s'asseoir juste à coté de moi à mon niveau. Quel talent, quel QH !
C'est sûr que certaines normo pensants où de la chance, ils ont moins haut à descendre parfois du coup.
Je comprends oui où se situe mon : "si t'es con c'est parce que t'es intelligent".
Y'a donc des doués qui se déplacent le cerveau Et qu'as tu fait pour ton voisin de palier ? ben rien j'étais trop occupé à souffrir du fait que le monde ne reconnaisse pas mon intelligence ? que je ne mesure tellement pas que je ne suis jamais allée la confronter à rien. On m'a dit que seule moi j'étais intelligente..... donc je peux rester chez moi à contempler ma connerie.... ben oui t'imagines le drame ? ça serait d'un intelligent qui découvre à la fin de sa vie que celui qui le trouvait intelligent en fait était con !!! ça serait con.
Une intelligence de certains doués mal gérée ressemble vraiment à l'égo mal placé de certains normo pensants. C'était ça la similitude que je voyais.
Le travail sur soi ça n'est pas se regarder le nombril, je te montre le monde au travers de mon nombril et avoir la côte en hausse à walltige...
la des couverte de soie, la découverte de soi. donc des fois un t'es con même à un très haut qi, ça colle tout à fait., si l'intelligence est utilisée pour corriger ce coté con, y'a du QH. Avoir du QI dans un seul domaine et une seule direction. Aucun intérêt non à essayer de faire raisonner comme soi, plus intéressant d'essayer de comprendre comment l'autre raisonne, inaccessible de fait si on ne conçoit que le fait que son raisonnement soit le bon et le plus intelligent.
J'ai raison. Ah bon pourquoi ? parce qu'on m'a mesurait le QI en me faisant rentrer des cubes ! Mouaaahhhfffff moi aussi j'ai joué à ça quand j'avais 4 ans, ça veut pas dire que j'ai raison sur tout.
Ton champ de fraises est nul. t'as déjà planté des fraises ? non. !!!!!!
Je vais combler tes failles. oui ben descends déjà de ta falaise pour vérifier tes connaissances sur les fossiles et la sédimentation
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
PETITE ASTUCE POUR NE PLUS CRIER (AVEC DE L’AMOUR À L’INTÉRIEUR)
Jeff | octobre 3, 2016 | Bonne idée !, Parentalité | Pas de commentaire
Jeff | octobre 3, 2016 | Bonne idée !, Parentalité | Pas de commentaire
Je vous propose de reprogrammer votre cerveau aujourd’hui. Lorsque l’envie de crier monte en vous, faites une pause, regardez votre enfant dans les yeux et dites-lui :
« je t’aime ».
Pourquoi ?
Car l’amour calme le stress (côté enfant et parent).
Car l’amour déconnecte la colère.
Car l’amour est une émotion puissante qui booste les capacités d’apprentissage et la confiance en soi.
Car crier fait l’inverse de tout cela.
Car on crie plusieurs fois (c’est donc que cela n’est pas très efficace)
Car crier ne devrait être acceptable que pour exprimer la joie.
Et enfin, car on peut commander nos pensées et émotions en « faisant comme si ». En effet, le corps influence l’esprit autant que l’esprit influence le corps. Alors profitons-en. Disons « je t’aime » et observons ce qui se passe en nous et à l’extérieur de nous.
Alors ?
http://papapositive.fr/petite-astuce-ne-plus-crier-de-lamour-a-linterieur/
--------------------------------------------------------------------------------------------
Avec ton père va jusqu'au rivage, avec ton mari traverses l'océan
Avec ton repère, repères les rivages, avec tes repères traverses l'océan.
Mettre son pas dans les pas de son repère choisi.
Maman est en haut, qui fait du lolo
Papa est en bas qui fait du chocolat.
Et moi je suis là, à me croiser les bras,
A attendre que ça aille, et puis ça va pas.
Je n'ai pas ma place où on me laisse la place.
Je me fonds dans la masse,
Comme un sucre dans une tasse
Refrain
Mais qu'est-ce que j'peux faire ?
J'sais pas quoi faire.
Qu'est ce que je peux faire ?
J'sais pas quoi faire.
Oui, je sais glander, boire des pots au café,
Passer des week ends entiers devant la télé
Tout ça pour qu'on me dise à l'agence pour l'emploi,
Des gens dans votre cas, ça n'existe pas.
Je n'ai pas ma place où on me laisse la place.
Souvent ça passe mais des fois ça lasse,
Ou ça casse.
J'sais pas quoi faire
Qu'est ce que je peux faire ?
J'sais pas quoi faire
Qu'est ce que je peux faire ?
Rien à dire, rien à faire
Rien à dire, rien à faire
Ah ah ! ah ah ! ah ah !
Ah ah ! ah ah ! ah ah !
Refrain
Votre passé, c'est dépassé,
Notre futur est bien bouché.
Le présent, laissez nous l'aimer.
S'il vous plait, s'il vous plait.
Je n'ai pas ma place où on me laisse de la place
Je me fonds dans la masse,
Comme un sucre, c'est la tasse !
Refrain
Qu'est ce que j'peux faire ?
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 21:41, édité 2 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Du coup c'est très con, à vérifier mais j'aurai passé des tests en commun, petite, de fait comme on m'a sûrement pas expliqué pourquoi si c'était un jour où j'avais envie de déconner, j'ai du répondre des trucs à la con.... !
Du coup c'est très con 2 : s'embêter à s'imaginer une nouvelle écriture manuelle pour venir se faire dire qu'on a une écriture scripturale reconnaissable entre 1000.... !
Un jour quelqu'un a pris le temps de prendre mes mots pour me parler ensuite avec eux whaou ou l'histoire de l'ourson cajolé qui se fit instrumentalisé de son plein gré par une serviette qui se fit éponge ?
On ne mélange pas les torchons et les serviettes. Mais le cas où la serviette éponge ? il est où ?
Si le Qi était vital, y'a longtemps que tous les cons seraient morts ? non ?
Quotient
[ltr]Voir aussi : quotient, quotiënt[/ltr]
Sommaire
- [-] Allemand
- [×] Étymologie
- [×] Nom commun
- [×] Prononciation
Allemand[modifier]
Étymologie[modifier]
Du latin quotiens.
Nom commun[modifier]
Quotient \kvoˈʦi̯ɛnt\ masculin
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]Quotient.
[/list]
Prononciation[modifier]
- (Autriche) : écouter « Quotient [kvoˈʦi̯ɛnt] »
https://fr.wiktionary.org/wiki/Quotient
-----------------------------------------------------------------------------------------
On sait pas ce que c'est mais on sait d'où ça vient et comment ça se prononce
----------------------------------------------------------------------------------------
quotient
[ltr]Voir aussi : Quotient, quotiënt[/ltr]
Sommaire
[masquer]
- [-] Français
- [×] Étymologie
- [+] Nom commun
- [×] Prononciation
Français[modifier]
Étymologie[modifier]
Du latin quotiens (« combien de fois »).
Nom commun[modifier]
quotient | quotients |
\kɔ.sjɑ̃\ |
quotient \kɔ.sjɑ̃\ masculin
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]
(Mathématiques) Résultat de la division d’un nombre (le dividende) par un autre (le diviseur).
- Le quotient de douze divisé par trois est quatre; et celui du même nombre divisé par quatre est trois.
- Le dividende, le diviseur et le quotient.
- Le quotient de six par deux est trois.
[*](Mathématiques) Ensemble des classes pour une relation d'équivalence définie sur un ensemble donné.
[*]
D’une manière générale, ratio ou coefficient utilisé comme indice dans un domaine spécifique.
- Le quotient intellectuel permet d’estimer l’intelligence d’un individu.
[/list]
Synonymes[modifier]
- rapport
- ratio
Dérivés[modifier]
- quotient intellectuel
Vocabulaire apparenté par le sens[modifier]
- différence
- produit
- somme
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Donc le Qi c'est un quotient qui a divisé et dérivait
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*](Mathématiques) Ensemble des classes pour une relation d'équivalence définie sur un ensemble donné.
[/list]
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 21:43, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Suggestions de phrases à dire à un enfant anxieux
PAR JEFF · PUBLICATION SEPTEMBRE 8, 2015 · MIS À JOUR SEPTEMBRE 8, 2015
Les enfants peuvent facilement s’inquiéter à propos de nombreux sujets : nouveau lieu de vie, apparence physique, travail des parents, arrivée d’une petite soeur ou d’un petit frère, argent, relations sociales,…
Une part non négligeable de ces sources d’inquiétude provient des messages conscients et inconscients des parents. Par exemple, si le manque d’argent est un thème fréquent dans les discussions, les enfants ressentiront cette peur. Surtout si les discussions ne laissent pas apparaître d’actions ou de solutions.
Il est également important de veiller à la communication non-verbale qui alertera les enfants : se ronger les ongles, sembler sans cesse préoccupé, répondre sèchement, pester, etc.
La première étape de la réassurance est donc de mener un travail sur soi.
Passons maintenant à la communication.
Le point central de cette communication est l’écoute active de l’enfant. Cela lui permettra de mettre des mots sur ce qu’il ressent (cela en diminue l’intensité), de donner du sens à ses pensées et d’ainsi minimiser ses ruminations mentales.
Notons que certaines activités permettent de diminuer l’anxiété (le jeu, le sport, le yoga, la méditation, etc.) mais que le dialogue est essentiel.
Les jeux à base de personnages et de marionnettes sont très efficaces pour aider à l’expression des enfants.
Les phrases à dire à un enfant anxieux :
- « Tu sembles préoccupé. Souhaites-tu en parler ? Un problème partagé devient immédiatement moins effrayant. »
Si votre enfant refuse, dites-lui que vous l’écouterez dès qu’il sera prêt à s’exprimer :
- « je vois que tu n’as pas envie pour le moment. Je t’écouterai dès que tu te sentiras prêt à en parler. »
- « Imaginons que ton problème soit un ballon. Serait-il aussi gros que la Terre ? que le Soleil ? Et si nous trouvions une aiguille pour le faire éclater ? »
- « Les problèmes sont comme des ballons. Au plus tu les gardes pour toi, au plus ils grossissent. »
- « Ecrivons tes craintes sur un papier et voyons quelles sont les chances que ce que tu crains se réalise. »
- « Que dirais-tu à un enfant qui aurait la même inquiétude que toi pour l’aider à la surmonter ? »
- « Te souviens-tu de la peur que tu avais avant de rentrer dans ta nouvelle école ? Es-tu satisfait du nombre de copains/copines que tu as maintenant ? »
- « Cela doit être difficile de te détendre avec ce problème que tu as en tête. »
- « Trouvons un surnom à ton problème. Peux-tu me le présenter ? Demandons-lui comment lui redonner le sourire. «
- « Quelles sont les preuves que ce que tu crains arrive ? »
- « Imaginons que ton inquiétude se concrétise, que se passerait-il vraiment ? Serait-ce si grave ? Comment pourrais-tu réagir ? »
- « Quels sont d’après toi les 3 premiers sujets d’inquiétude de tes camarades. Prenons Paul pour commencer. »
- « Il est normal de s’inquiéter. »
- « Les super-héros aussi doutent. »
- « Et si tout se passait bien ? »
- « Tu étais inquiet avant de monter pour la première fois sur un vélo. Depuis, tu as fait beaucoup de kilomètres ! »
- « L’inquiétude est une pensée. Tu peux l’observer et la laisser partir. Il te suffit, à chaque fois qu’elle vient, de te concentrer sur ta respiration. Le truc est de respirer par le nez et de sourire lors de l’expiration. Je te montre. »
- « Dessine ton inquiétude sur un papier, écris son nom en dessous du dessin, puis déchire-le en des centaiens de morceaux. Comment te sens-tu ? »
- « Imagine que tu dessines ton inquiétude sur un papier puis que tu le désintègres avec un puissant laser. Que ressens-tu ? «
- « Maintenant que nous voyons le problème, écrivons les solutions possibles. »
Une fois qu’une inquiétude est surmontée, il est intéressant de la noter dans une liste de réussites avec les méthodes utilisées. Ainsi, l’enfant et vous aurez sous la main des outils efficaces.
Les phrases à absolument éviter :
Nier : « Mais non, voyons, il n’y a pas lieu de s’inquiéter ! »
Dévaloriser : « Il faut être complètement idiot pour s’inquiéter de cela. »
Comparer : « Ta soeur, elle, n’a jamais eu peur de cela. »
Etiqueter et généraliser « Tu es tout le temps inquiet. C’est dans ta nature. »Nous travaillons en ce moment sur un ebook à propos de la parentalité « épanouie ».
Pour être informé de sa disponibilité, n’hésitez pas à vous abonner à cette newsletter dédiée aux parents :
http://anti-deprime.com/2015/09/08/suggestions-de-phrases-a-dire-a-un-enfant-anxieux/
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Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je te remercie pour la qualité et la richesse de ton espace personnel ; que je "dévore" au fur et à mesure de mes interrogations.
Merci pour toutes ces informations, constructives, Bienveillantes et évolutives auxquelles tu nous donnes accès.
Merci pour toutes ces informations, constructives, Bienveillantes et évolutives auxquelles tu nous donnes accès.
Invité- Invité
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Cygne Ethéréa a écrit:Je te remercie pour la qualité et la richesse de ton espace personnel ; que je "dévore" au fur et à mesure de mes interrogations.
Merci pour toutes ces informations, constructives, Bienveillantes et évolutives auxquelles tu nous donnes accès.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je suis seule parce que...
« Ils sont tous nuls », « Mes enfants d’abord », « Je suis très bien comme ça »… Huit mauvaises raisons de choisir la vie en solo, et autant de façons d’en sortir.
Violaine Gelly
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Sommaire
- La résignée
- La guerrière
- L'indépendante
- La romantique
- La platonique
- La femme blessée
- La mère souffrante
- L'infirmière
- Témoignage : « Comment j’ai lâché ma peur »
La résignée
Ce qu’elle dit : « Je ne rencontre jamais personne »
Ce que ça cache : c’est la vérité, elle ne rencontre jamais personne. Aucun risque. Elle préfère s’avouer vaincue avant d’avoir livré bataille, et ne pas affronter l’éventuel danger de la rencontre. Sa négation est un blindage sécurisant contre un total manque de confiance en elle. D’ailleurs, pour peu qu’on la pousse, elle finira très vite par avouer: « De toute façon, je suis nulle.» Quelle mère se cache derrière cette incessante dévalorisation ? Une mère qui lui répète encore régulièrement : « Tu pourrais rencontrer quelqu’un si seulement tu maigrissais/cessais de couper tes cheveux/étais plus féminine/sortais plus… », et qui commence deux phrases sur trois par « Ma pauvre fille» ? Pour combattre la souffrance de se sentir si mal avec elle-même, la résignée risque de passer du « Je suis nulle » au « Les mecs sont tous des nuls ». Ça tombe bien, c’est également ce que disait maman !
Comment vaincre sa peur ? En apprenant à avoir confiance en soi ; en prenant conscience de sa propre valeur. En lisant Imparfaits, libres et heureux, pratiques de l’estime de soi de Christophe André (Odile Jacob).
La guerrière
Ce qu’elle dit : «Je fais peur aux hommes»
Ce que ça cache : bien sûr qu’elle fait peur aux hommes, cette amazone forte et sûre d’elle. Et dont personne ne voit qu’à l’intérieur pleure une enfant blessée. Quelle souffrance de la petite fille répare la grande ? De qui se venge-t-elle ? De son père, de son grand-père, de son frère, de son patron, d’un ex… ? Ou est-ce sa mère qu’elle a vue humiliée, en se promettant: « Moi, jamais ! » ? Comme elle refuse d’être en contact avec son envie ou son besoin de couple, elle s’en coupe et surinvestit son autonomie. Elle veut être actrice de sa vie et estime qu’il n’y a personne à sa mesure. Certains disent d’elle qu’elle se trouve trop bien. En fait, elle ne cesse d’osciller entre complexe d’infériorité et de supériorité.
Comment vaincre sa peur ? En prenant conscience que l’on peut être victime de soi-même avant d’être bourreau des hommes. En se réconciliant avec sa propre histoire. En lisant Femmes qui courent avec les loups de Clarissa Pinkola Estés (Le Livre de poche).
L'indépendante
Ce qu’elle dit : « J’aime trop ma liberté »
Ce que ça cache : elle bosse beaucoup, fait du sport, de la musique, court les expos et les concerts, voit ses copines et part en vacances, bref, elle n’a pas une minute à elle. Où donc coller un Post-it « homme » dans cet agenda-là ? En fait, elle a pris le problème à l’envers : sa vie n’est pas trop remplie pour que s’y glisse un homme, elle l’a saturée pour qu’un homme n’y trouve pas sa place. D’où vient ce besoin de contrôle absolu, cette peur de lâcher prise et de s’abandonner ? Sans doute, dans son histoire, de la présence d’un parent intrusif et autoritaire, toujours à juger ce qu’elle faisait, toujours à critiquer, toujours à porter un regard inquisiteur. Comme la petite fille n’a pas su dire « non » à ce regard inquisiteur, la grande craint de ne pas savoir le faire face à un homme. Donc, elle verrouille et ne laisse aucune place vacante.
Comment vaincre sa peur ? En comprenant qu’une relation n’est pas une épreuve de force. En apprenant à dire non. En lisant Les Renoncements nécessaires de Judith Viorst (Pocket).
La romantique
Ce qu’elle dit : « J’attends le bon »
Ce que ça cache : la romantique n’a pas grandi. Elle est cantonnée dans la toute-puissance de l’enfant qui croit qu’il peut tout avoir. Cette femme qui peut être brillante, performante, lucide dans une multitude de domaines, est totalement aveugle dès qu’il s’agit de se confronter à la réalité affective ! Elle reste en haut de sa tour d’ivoire et attend le prince charmant. Elle pare sa peur de tous les atours du romanesque et de l’amour sublime, mais elle vit dans un total déni du quotidien. Mauvaise nouvelle : elle peut attendre longtemps, car si elle ne va pas vers l’autre, l’autre ne viendra pas vers elle. Surtout si elle n’accepte pas l’éventualité que le prince charmant ne sera jamais qu’un être humain, c’est-à-dire faillible et rempli de défauts… comme elle.
Comment vaincre sa peur ? En se confrontant au réel : aller au cinéma toute seule ou chatter sur Meetic. En lisant La Princesse qui croyait aux contes de fées de Marcia Grad (Ambre).
La platonique
Ce qu’elle dit : « Je n’aime pas le sexe »
Ce que ça cache : elle adore son boulot, elle est entourée d’amis, bref, elle a d’excellentes relations avec les autres. Tant que le sexe n’est pas en cause. Elle n’a pas peur de l’amour, mais de la sexualité – c’est d’ailleurs le propre de toutes les femmes qui la connaissent peu ou mal. Avant, pour le meilleur ou pour le pire, elles affrontaient cette peur dans les bras de leur mari. Aujourd’hui, elles utilisent un célibat parfaitement admis par tous pour la camoufler sous la forme d’une libido absente. Mais plus le temps passe, plus la peur s’enkyste. D’autant que notre société hypersexualisée n’est pas faite pour les rassurer. S’ajoute, en effet, la peur de ne pas savoir répondre à ces diktats de jouissance, qui enferment nos platoniques dans une « anormalité ».
Comment vaincre sa peur ? En travaillant sur son corps et ses sensations physiques par la danse, le sport ou des thérapies corporelles. En lisant Femme désirée, femme désirante de Danièle Flaumenbaum (Payot).
Ce qu’elle dit : « Je ne veux plus souffrir »
Ce que ça cache : qu’elle ait perdu un homme, qu’elle l’ait quitté ou qu’elle ait été abandonnée, la victime associe amour et souffrance. Ou alors, à l’inverse, elle n’arrive pas à faire le deuil d’une histoire magnifiée. Ou encore, elle garde en tête un homme idéalisé, un père, un frère, un ami… Dans tous les cas, elle n’a pas su faire le travail de deuil nécessaire. En restant la victime, elle n’est pas actrice de sa vie et ne peut pas se rendre disponible pour une nouvelle histoire. En restant prisonnière d’une histoire magnifiée, elle repousse la rencontre pour ne pas rompre avec son imaginaire. Elle est célibataire, mais elle n’est pas seule, en tout cas pas disponible.
Comment vaincre sa peur ? En travaillant sur ses histoires ratées. En admettant sa part de responsabilité dans leur échec. En lisant Le Couple brisé, de la rupture à la reconstruction de soi de Christophe Fauré (Albin Michel).
Ce qu’elle dit : « Mes enfants n’accepteront jamais »
Ce que ça cache : en s’abritant derrière ses enfants, elle cache son refus de l’engagement, sa peur de la rencontre. On trouve en elle de l’infirmière et de la platonique : être mère lui sert d’alibi pour ne pas être femme. Le drame, c’est que ses enfants risquent de ressentir, plus tard, une immense culpabilité à vivre et à aimer ailleurs, puisqu’elle-même n’aura pas su. Il sera alors très difficile pour eux de se rebeller contre ce qu’ils prennent pour de l’amour, et risquent de se réfugier dans la violence pour tenter de couper plus vite ce cordon qui les étouffe.
Comment vaincre sa peur ? En combattant ses bonnes intentions et sa bonne conscience maternelle. En apprenant à revenir à soi. En comprenant, avec Pourquoi l’amour ne suffit pas, aider l’enfant à se construire de Claude Halmos (Nil), qu’aimer ses enfants c’est les pousser dans la vie. Loin de soi.
Ce qu’elle dit : « Je ne tombe que sur des loosers »
Ce que ça cache : le pire, c’est que c’est vrai. Mais elle y est pour beaucoup puisqu’elle pense ne pouvoir être aimée que lorsqu’elle est utile. A tous les coups, elle va être attirée par un homme avec une blessure narcissique qu’elle va vouloir réparer. Or, c’est un binôme fondé sur la souffrance. Car en aimant l’autre, elle croit s’aimer elle. Mais l’autre est un vampire : il va l’aspirer jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à donner. Et la jeter. Elle pourra alors se morfondre en disant : « Avec tout ce que j’ai fait pour lui… » Cette idée de l’amour vient souvent des injonctions parentales. N’entend-elle pas toujours sa mère lui dire : « Je ne comprends pas que tu sois seule, tu as tout pour rendre un homme heureux » ? Mais on ne parle pas d’amour, ici. On parle de dévouement.
Comment vaincre sa peur ? En retrouvant la capacité à être actrice de sa vie. En apprenant à servir la relation et non l’autre. En lisant Ces Femmes qui aiment trop, tomes I et II de Robin Norwood (J’ai lu).
Témoignage : « Comment j’ai lâché ma peur »
Gaëlle, 42 ans, médecin, a été célibataire pendant vingt ans. Jusqu’au jour où…
« Pendant des années, j’ai postulé avec ferveur au titre de “miss Célibat”. De 18 à 38 ans, j’ai vécu seule, avec une volonté farouchement affichée de le rester. Tous les alibis étaient bons : boulot passionnant, cercle d’amis très présents, agenda extrêmement rempli… En fait, une trouille bleue de l’invasion, de l’intrusion, du débordement. Je n’envisageais pas d’octroyer à quiconque le droit d’exiger le plus petit renoncement à quoi que ce soit. Quand le désir de cet homme-là a commencé à me mettre en danger, j’ai revêtu ma cuirasse d’amazone, affûté mes armes, prête à en découdre avec celui qui s’apprêtait à saboter ma jolie vie. Avec les autres, cela avait très bien marché. Lui, il a souri et m’a dit:“Tu sais, moi aussi j’ai peur.” Par ces mots, il m’a délivrée de la mienne.
Quatre ans plus tard, quand je réfléchis à tout ce que j’ai dû abandonner pour vivre cette belle aventure qui dure, un paradoxe me vient en tête : celui d’un aller-retour incessant entre contrôle et laisser-aller. Du côté du laisser-aller, il m’a fallu abandonner le propre du bonheur célibataire : les dimanches en pyjama à regarder des séries débiles, les “pas envie de me laver les cheveux” ou “pas le courage de sortir”. Du côté du contrôle, j’ai dû céder celui du quotidien pour partager : le temps et ce que l’on en fait, mais également l’espace.
Il a été très douloureux, par exemple, de quitter mon appartement, lieu protecteur et bienfaisant. L’autre concession, ç’a été d’arrêter l’expression, immédiate et brutale, des sentiments – peur, colère, agacement – qui m’animent, au moment où ils m’animent. Par respect pour lui, il m’a fallu, non pas les taire, mais apprendre à attendre le moment idéal pour les lui faire entendre. Bref, apprendre une autre forme de contrôle… Et quand je reviens sur tous ces “sacrifices”, je découvre que le vrai renoncement a été de croire que mon monde tournait autour de moi.
En vrai, dans l’amour, aucune des abdications du quotidien ne s’avère être un renoncement, aucune ne met en péril ce que nous sommes vraiment. Bien au contraire : une relation heureuse nous fortifie. Ainsi, cette belle liberté que je revendiquais haut et fort non seulement n’a pas disparu, mais elle est confortée par la sécurité que m’assure l’amour de l’autre. Comme un navire qui peut tranquillement braver la tempête, sûr de son port d’attache. »
http://www.psychologies.com/Couple/Seduction/Celibat/Articles-et-Dossiers/Je-suis-seule-parce-que/12Temoignage-Comment-j-ai-lache-ma-peur
Ce qu’elle dit : « Je n’aime pas le sexe »
Ce que ça cache : elle adore son boulot, elle est entourée d’amis, bref, elle a d’excellentes relations avec les autres. Tant que le sexe n’est pas en cause. Elle n’a pas peur de l’amour, mais de la sexualité – c’est d’ailleurs le propre de toutes les femmes qui la connaissent peu ou mal. Avant, pour le meilleur ou pour le pire, elles affrontaient cette peur dans les bras de leur mari. Aujourd’hui, elles utilisent un célibat parfaitement admis par tous pour la camoufler sous la forme d’une libido absente. Mais plus le temps passe, plus la peur s’enkyste. D’autant que notre société hypersexualisée n’est pas faite pour les rassurer. S’ajoute, en effet, la peur de ne pas savoir répondre à ces diktats de jouissance, qui enferment nos platoniques dans une « anormalité ».
Comment vaincre sa peur ? En travaillant sur son corps et ses sensations physiques par la danse, le sport ou des thérapies corporelles. En lisant Femme désirée, femme désirante de Danièle Flaumenbaum (Payot).
La femme blessée
Ce qu’elle dit : « Je ne veux plus souffrir »
Ce que ça cache : qu’elle ait perdu un homme, qu’elle l’ait quitté ou qu’elle ait été abandonnée, la victime associe amour et souffrance. Ou alors, à l’inverse, elle n’arrive pas à faire le deuil d’une histoire magnifiée. Ou encore, elle garde en tête un homme idéalisé, un père, un frère, un ami… Dans tous les cas, elle n’a pas su faire le travail de deuil nécessaire. En restant la victime, elle n’est pas actrice de sa vie et ne peut pas se rendre disponible pour une nouvelle histoire. En restant prisonnière d’une histoire magnifiée, elle repousse la rencontre pour ne pas rompre avec son imaginaire. Elle est célibataire, mais elle n’est pas seule, en tout cas pas disponible.
Comment vaincre sa peur ? En travaillant sur ses histoires ratées. En admettant sa part de responsabilité dans leur échec. En lisant Le Couple brisé, de la rupture à la reconstruction de soi de Christophe Fauré (Albin Michel).
La mère souffrante
Ce qu’elle dit : « Mes enfants n’accepteront jamais »
Ce que ça cache : en s’abritant derrière ses enfants, elle cache son refus de l’engagement, sa peur de la rencontre. On trouve en elle de l’infirmière et de la platonique : être mère lui sert d’alibi pour ne pas être femme. Le drame, c’est que ses enfants risquent de ressentir, plus tard, une immense culpabilité à vivre et à aimer ailleurs, puisqu’elle-même n’aura pas su. Il sera alors très difficile pour eux de se rebeller contre ce qu’ils prennent pour de l’amour, et risquent de se réfugier dans la violence pour tenter de couper plus vite ce cordon qui les étouffe.
Comment vaincre sa peur ? En combattant ses bonnes intentions et sa bonne conscience maternelle. En apprenant à revenir à soi. En comprenant, avec Pourquoi l’amour ne suffit pas, aider l’enfant à se construire de Claude Halmos (Nil), qu’aimer ses enfants c’est les pousser dans la vie. Loin de soi.
L'infirmière
Ce qu’elle dit : « Je ne tombe que sur des loosers »
Ce que ça cache : le pire, c’est que c’est vrai. Mais elle y est pour beaucoup puisqu’elle pense ne pouvoir être aimée que lorsqu’elle est utile. A tous les coups, elle va être attirée par un homme avec une blessure narcissique qu’elle va vouloir réparer. Or, c’est un binôme fondé sur la souffrance. Car en aimant l’autre, elle croit s’aimer elle. Mais l’autre est un vampire : il va l’aspirer jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à donner. Et la jeter. Elle pourra alors se morfondre en disant : « Avec tout ce que j’ai fait pour lui… » Cette idée de l’amour vient souvent des injonctions parentales. N’entend-elle pas toujours sa mère lui dire : « Je ne comprends pas que tu sois seule, tu as tout pour rendre un homme heureux » ? Mais on ne parle pas d’amour, ici. On parle de dévouement.
Comment vaincre sa peur ? En retrouvant la capacité à être actrice de sa vie. En apprenant à servir la relation et non l’autre. En lisant Ces Femmes qui aiment trop, tomes I et II de Robin Norwood (J’ai lu).
Témoignage : « Comment j’ai lâché ma peur »
Gaëlle, 42 ans, médecin, a été célibataire pendant vingt ans. Jusqu’au jour où…
« Pendant des années, j’ai postulé avec ferveur au titre de “miss Célibat”. De 18 à 38 ans, j’ai vécu seule, avec une volonté farouchement affichée de le rester. Tous les alibis étaient bons : boulot passionnant, cercle d’amis très présents, agenda extrêmement rempli… En fait, une trouille bleue de l’invasion, de l’intrusion, du débordement. Je n’envisageais pas d’octroyer à quiconque le droit d’exiger le plus petit renoncement à quoi que ce soit. Quand le désir de cet homme-là a commencé à me mettre en danger, j’ai revêtu ma cuirasse d’amazone, affûté mes armes, prête à en découdre avec celui qui s’apprêtait à saboter ma jolie vie. Avec les autres, cela avait très bien marché. Lui, il a souri et m’a dit:“Tu sais, moi aussi j’ai peur.” Par ces mots, il m’a délivrée de la mienne.
Quatre ans plus tard, quand je réfléchis à tout ce que j’ai dû abandonner pour vivre cette belle aventure qui dure, un paradoxe me vient en tête : celui d’un aller-retour incessant entre contrôle et laisser-aller. Du côté du laisser-aller, il m’a fallu abandonner le propre du bonheur célibataire : les dimanches en pyjama à regarder des séries débiles, les “pas envie de me laver les cheveux” ou “pas le courage de sortir”. Du côté du contrôle, j’ai dû céder celui du quotidien pour partager : le temps et ce que l’on en fait, mais également l’espace.
Il a été très douloureux, par exemple, de quitter mon appartement, lieu protecteur et bienfaisant. L’autre concession, ç’a été d’arrêter l’expression, immédiate et brutale, des sentiments – peur, colère, agacement – qui m’animent, au moment où ils m’animent. Par respect pour lui, il m’a fallu, non pas les taire, mais apprendre à attendre le moment idéal pour les lui faire entendre. Bref, apprendre une autre forme de contrôle… Et quand je reviens sur tous ces “sacrifices”, je découvre que le vrai renoncement a été de croire que mon monde tournait autour de moi.
En vrai, dans l’amour, aucune des abdications du quotidien ne s’avère être un renoncement, aucune ne met en péril ce que nous sommes vraiment. Bien au contraire : une relation heureuse nous fortifie. Ainsi, cette belle liberté que je revendiquais haut et fort non seulement n’a pas disparu, mais elle est confortée par la sécurité que m’assure l’amour de l’autre. Comme un navire qui peut tranquillement braver la tempête, sûr de son port d’attache. »
http://www.psychologies.com/Couple/Seduction/Celibat/Articles-et-Dossiers/Je-suis-seule-parce-que/12Temoignage-Comment-j-ai-lache-ma-peur
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Cerveau surdoué
Écrit par les experts Ooreka
lightwise/123RF
Le cerveau des surdoués ne fonctionne pas comme celui des autres individus. Nous vous présentons, dans cette asutuce, les différences.
Cerveau surdoué : vitesse neuronale supérieure chez les surdoués
Les informations circulent dans les neurones, en moyenne, à 2 mètres/seconde.
Chez un surdoué, la vitesse est plus élevée, environ 0,05 mètre de plus par seconde pour chaque point de QI supplémentaire :
- Une personne avec un QI de 130 fait donc l'expérience d'une vitesse neuronale de 1,5 mètre/seconde de plus qu'une autre avec un QI de 100. La vitesse est presque doublée.
- Cela explique en partie cettesensation qu'ont les surdoués d’en avoir toujours « plein la tête ».
Cerveau de surdoué : difficulté à mettre de côté les informations secondaires
De nombreux surdoués souffrent ainsi d'un déficit de l’inhibition latente qui est une incapacité à filtrer les informations pour ne pas retenir celles qui ne sont pas importantes :
- Le cerveau du surdoué ne fait pas de tri et prend toutes les informations de son environnement sans les niveler, en leur accordant la même importance.
- Cela induit une surcharge d'informations qui l’oblige à mobiliser plus de connexions neuronales pour en tirer une conclusion.
Traitement multispacial d'un cerveau de surdoué
Un cerveau ordinaire utilise une zone du cerveau ciblée pour traiter une information. Le cerveau des surdoués utilise, pour le traitement d’une même information, plusieurs zones du cerveau de façon simultanée.
Conséquences logiques :
- D'une part, les surdoués ont du mal à se concentrer sur la bonne information puisqu'ils en reçoivent plusieurs de diverses sources parfois divergentes.
- D'autre part, ils sont « suralimentés » en informations, à la fois du fait de leur vitesse neuronale et aussi parce que leurs sens hyper-développés captent encore plus d'informations.
Pensée en arborescence des surdoués
Il faut savoir que :
- Le cerveau gauche est le cerveau de la logique et de l'analyse, celui qui est le plus mis en œuvre à l'école. Il induit un traitement linéaire de l'information.
- Le cerveau droit est celui de l'intuition, de la créativité, du traitement global des informations.
Les surdoués ont une pensée en arborescence, ils utilisent plus facilement leur cerveau droit et réfléchissent par association d'idées, ce qui implique :
- une pensée sans fin,
- une difficulté à prendre du recul parfois,
- une difficulté à voir les choses de manière simple.
Bon à savoir : cela explique aussi que les enfants surdoués aient des difficultés avec les énoncés des problèmes à l'école. Si tous les paramètres ne sont pas explicités, ils ne vont pas partir du principe qu'ils se situent dans un cas « normal », « convenu », ils vont imaginer de multiples possibilités auquel l'évaluateur/le professeur n'a pas du tout pensé et vont se retrouver face à un problème complexe. Malheureusement, les adultes et autres enfants risquent de ne pas comprendre la complexité qu'a perçue l'enfant surdoué, qu'ils vont critiquer, en se moquant de lui et en le faisant passer pour un idiot. Et le surdoué va se penser d'autant plus idiot que son intelligence lui fait voir ses limites.
Cerveau des surdoués à l'IRM
Une étude sur 80 enfants âgés de 8 à 12 ans a permis d'étudier le cerveau des enfants surdoués. Après un test de QI, les enfants ont été répartis en quatre groupes : ceux dotés d'un QI "normal" (aux environs de 100), un deuxième avec des enfants au QI élevé homogène, un troisième groupe avec les QI élevés hétérogènes et un quatrième avec des enfants souffrant de troubles de déficit d’attention (TDA).
À noter : le test de QI de l'échelle de Wisc distingue en effet des profils homogènes et hétérogènes. Si l'enfant présente des scores élevés sur chacun des indices, son QI est qualifié d'homogène. En revanche, si des écarts supérieurs à 15 points sont constatés entre un indice et un autre, il s'agit de résultats hétérogènes. Un QI homogène correspond à un profil "laminaire" tandis qu'un QI hétérogène correspond à un profil "complexe".
Les analyses réalisées sur les enfants en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), une technique non-invasive qui permet d'enregistrer des images quand le cerveau est en activité « ont permis de valider l'intuition clinique dont on se sert pour déterminer deux types de profils : les laminaires qui ne rencontrent que peu de difficultés et les complexes qui sont plus souvent en échec scolaire.
En réalité, les différences qu'on visualisait sur le papier ont coïncidé avec les observations à l'IRMf », analyse le Pr Olivier Revol, neuropsychiatre, pédopsychiatre, chef du Centre des troubles des apprentissages à l'hôpital neurologique de Lyon. Il est spécialisé dans l'hyperactivité et la précocité intellectuelle.
Les chercheurs ont ainsi pu constater des différences dans l'activation des régions cérébrales entre les profils.
Les enfants à haut potentiel intellectuel du groupe des « complexes » « possèdent certaines capacités [intellectuelles] très élevées et d'autres normales, ce qui crée des troubles psychiques internes. Ces enfants souffrent souvent d'un décalage entre la sphère intellectuelle très mature et la sphère émotionnelle plus fragile », explique Fanny Nusbaum, docteure en psychologie et directrice du Centre Psyrene.
Pour en savoir plus :
- Votre enfant est surdoué ? Sachez en repérer les signes et lisez nos conseils pour réagir à cette sitation.
- Intelligence : découvrez les 6 compétences à booster.
- Qu'est-ce que le QI ? Toutes les infos dans notre page dédiée.
https://soutien-scolaire.ooreka.fr/astuce/voir/431501/cerveau-surdoue
Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 21:55, édité 2 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
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http://www.lefigaro.fr/cinema/2009/11/09/03002-20091109ARTFIG00434-un-invraisemblable-fait-divers-.php
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
- La résolution de conflits
Outils éducatifs / Apprentissages
La résolution de conflits
Si je vous demandais de compter le nombre de conflits que vous gérez en une journée, le nombre serait probablement assez important. L’enfant entre tôt dans la microsociété qu’est la garderie et est donc en contact avec les autres. Que ce soit avec les conflits de territoire ou les conflits de possession, l’enfant apprend très rapidement que la vie en société est certes agréable, mais aussi qu’elle comporte bien des inconvénients. Négocier pour l’obtention d’un jouet, attendre pour parler à l’éducatrice, perdre « la » place qu’il voulait tant… tout cela peut devenir frustrant pour l’enfant, mais ces situations sont inévitables. Il devra apprendre à gérer les conflits à 2 ans, mais aussi à l’âge adulte. Comme nous travaillons très fort avec l’enfant pour l’aider à devenir un adulte épanoui, apprendre à gérer les conflits de façon « gagnant-gagnant » fait partie des apprentissages.
Les enfants règlent souvent leurs conflits par des cris, des pleurs, des coups ou des morsures parce qu’ils ne connaissent pas d’autres façons de le faire. Il faut donc leur apprendre à régler leurs conflits de façon pacifique. Oui, cela risque de demander du temps et de l’énergie à l’adulte. Par contre, un énorme bagage leur sera transmis et celui-ci les aidera à s’épanouir, c’est-à-dire devenir des enfants et des futurs adultes avec qui il sera intéressant de passer du temps. Les enfants habiles socialement sont plus souvent approchés par les autres enfants.
Dès l’âge de 2 ans, les enfants peuvent être guidés pour régler leurs conflits de façon pacifique. Quand un conflit éclate…
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; line-height: 1.6; list-style-position: outside;"][*]
Vous approcher rapidement et calmement et signifier aux enfants votre désaccord. Cesser tous gestes et toutes paroles agressifs.
[*]Reconnaitre et nommer les émotions vécues par les enfants impliqués dans le conflit.
[*]Demander ce qui s’est passé, comment cela a débuté.
[*]Reformuler le problème.
[*]Regarder les solutions possibles avec les enfants.
[*]Appliquer une solution.
[*]Féliciter les enfants de leurs efforts. Les encourager à poursuivre.
[/list]Dès l’âge de 3 ans, il est possible de tranquillement amener les enfants à régler leurs conflits seuls. Les habiletés des enfants se développeront avec de la pratique, mais ils auront besoin de votre aide au début. Lentement, les enfants pourront développer leurs habiletés à régler leurs conflits. Certaines situations ou certains conflits plus difficiles à régler pourront quand même nécessiter une intervention de votre part. Educatout.com a créé un outil visuel, l’arc-en-ciel de la résolution de conflits. Cet outil pourrait vous aider à appliquer la résolution de conflits étape par étape dans le but de trouver une solution gagnant-gagnant. Il pourra aussi, une fois les habiletés développées, guider les enfants à trouver une solution équitable pour les deux parties.
Vous diriger dans le club et imprimer l’arc-en-ciel de la résolution de conflits. Plastifier le document et l’afficher à la vue des enfants.
Comment l’arc-en-ciel fonctionne-t-il?
L’arc-en-ciel présente les différentes étapes de la résolution conflits :
Étape 1 (rouge) : Je m’arrête, je m’éloigne du conflit
À cette étape, vous approcher des enfants et cesser le conflit.
Étape 2 (orange) : Je me calme, je respire
Permettre aux enfants de se calmer. Mettre à leur disposition un coin calme et douillet ainsi que du matériel libérateur d’énergie (pâte à modeler, balles molles, coussin, etc.).
Étape 3 (jaune) : J’écoute, je pense
Inviter les enfants à réfléchir au conflit qui vient de survenir.
Étape 4 (vert) : J’en parle
Inviter les enfants à revenir pour discuter. Donner le droit de parole à chaque enfant pour…
- Donner sa version de ce qui s’est passé et comment tout cela a commencé.
- Nommer les émotions vécues par les enfants pendant le conflit.
Étape 5 (bleu) : Trouver une solution
Énumérer avec les enfants toutes les solutions envisageables pour régler le conflit. En choisir une et vérifier que chaque enfant impliqué est satisfait de la solution envisagée. Évaluer les résultats ensuite.
Familiariser les enfants avec l’arc-en-ciel
On peut, une fois l’outil mis à leur disposition, expérimenter diverses activités qui fera appel à l’arc-en-ciel. De cette manière, lorsqu’un conflit éclatera entre les enfants, l’outil leur sera familier et ils pourront plus facilement l’utiliser avec vous.
- Utiliser des marionnettes et leur faire vivre des conflits. Passer une à une les étapes pour trouver une solution gagnante pour tous.
- Le jeu des conflits. Décrire divers conflits qui peuvent survenir ou qui sont déjà survenus avec les enfants. Passer une à une les étapes et trouver une solution gagnante.
- Inviter les enfants à identifier des conflits qui peuvent être vécus quotidiennement. Les aider à trouver des solutions.
- Lire des histoires dans lesquelles des conflits surviennent. Utiliser l’arc-en-ciel pour aider les personnages à régler leurs conflits.
Expérimenter
Dès qu’un conflit éclate dans votre groupe, vous approcher des enfants avec l’arc-en-ciel. Commencer par la première étape et poursuivre jusqu’à la dernière étape. Voici un exemple :
Pendant les jeux libres, William et Jacob s’approchent tous les deux du gros camion de pompiers rouge. Pendant que William s’agrippe à l’échelle pour le prendre, Jacob attrape les roues du camion et crie très fort : « C’est à moi, c’est moi qui le voulais! » William réplique en tirant très fort sur l’échelle, tellement fort que celle-ci se brise. Jacob, très fâché, crie à William : « C’est de ta faute, c’est toi qui as brisé le camion! » Tout cela se déroule en quelques secondes, sous vos yeux. Vous vous approchez des deux enfants, tenant l’arc-en-ciel dans vos mains. Vous les invitez à aller s’assoir sur une chaise pour respirer un peu (étape 1). Une fois assis, vous leur donnez une balle molle pour les aider à passer leur colère (étape 2). Ensuite, vous invitez les deux enfants à réfléchir à leur conflit pendant 5 minutes (étape 3). Après 5 minutes, vous vérifiez que les deux enfants sont calmes et aptes à régler le conflit ensemble. Vous vérifiez de chaque côté ce qui s’est passé (étape 4). Chacun raconte la même version des faits. Jacob dit qu’il a eu beaucoup de peine de voir William prendre le camion qu’il voulait avoir. De son côté, William mentionne qu’il était fâché de voir que Jacob tirait très fort sur le camion et que c’est pour cela qu’il tenait l’échelle tellement fort que celle-ci s’est brisée. Vous regardez avec eux de quelles façons vous pouvez résoudre le problème (étape 5). Jacob propose d’aider William à recoller l’échelle, mais William dit qu’ils ne pourront pas jouer avec le camion une fois l’échelle réparée. Il propose d’ailleurs de partager le bac de voitures et de jouer ensemble pendant que la colle sèche. Vous félicitez ensuite les deux enfants!!! |
Impliquer les parents
Peu importe ce que vous travaillez avec les enfants, il est primordial d’en informer les parents et de les impliquer dans le processus. Les conflits surviennent aussi à la maison avec la fratrie. Expliquer aux parents la méthode que vous utilisez pour aider les enfants à régler leurs conflits. Au besoin, leur remettre l’arc-en-ciel et une courte explication pour chacune des étapes. Lorsqu’un enfant réussit à régler un conflit pendant la journée, inscrire un message dans le cahier de celui-ci. Par exemple, vous pourriez écrire : William a vécu un conflit avec un copain, mais il a réussi à le régler. Il a trouvé une belle solution… Cela fera plaisir aux parents et en plus, ils verront les avantages d’utiliser cette méthode à la maison. Plus vous travaillerez ensemble, plus les enfants développeront leurs habiletés.
Maude Dubé, éducatrice spécialisée
http://www.educatout.com/outils/utilitaires-educatifs/apprentissages/la-resolution-de-conflits.htm
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
psychanalyse jungienne
Blowin' In The Wind (Soufflé Dans Le Vent)
How many roads must a man walk down
Combien de routes un homme doit-il parcourir
Before you call him a man ?
Avant que vous ne l'appeliez un homme ?
Yes, 'n' how many seas must a white dove sail
Oui, et combien de mers la colombe doit-elle traverser
Before she sleeps in the sand ?
Avant de s'endormir sur le sable ?
Yes, 'n' how many times must the cannon balls fly
Oui, et combien de fois doivent tonner les canons
Before they're forever banned ?
Avant d'être interdits pour toujours ?
The answer, my friend, is blowin' in the wind,
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
The answer is blowin' in the wind.
La réponse est soufflée dans le vent.
How many years can a mountain exist
Combien d'années une montagne peut-elle exister
Before it's washed to the sea ?
Avant d'être engloutie par la mer ?
Yes, 'n' how many years can some people exist
Oui, et combien d'années doivent exister certains peuples
Before they're allowed to be free ?
Avant qu'il leur soit permis d'être libres ?
Yes, 'n' how many times can a man turn his head,
Oui, et combien de fois un homme peut-il tourner la tête
Pretending he just doesn't see ?
En prétendant qu'il ne voit rien ?
The answer, my friend, is blowin' in the wind,
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
The answer is blowin' in the wind.
La réponse est soufflée dans le vent.
How many times must a man look up
Combien de fois un homme doit-il regarder en l'air
Before he can see the sky ?
Avant de voir le ciel ?
Yes, 'n' how many ears must one man have
Oui, et combien d'oreilles doit avoir un seul homme
Before he can hear people cry ?
Avant de pouvoir entendre pleurer les gens ?
Yes, 'n' how many deaths will it take till he knows
Oui, et combien faut-il de morts pour qu'il comprenne
That too many people have died ?
Que beaucoup trop de gens sont morts ?
The answer, my friend, is blowin' in the wind,
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
The answer is blowin' in the wind.
La réponse est soufflée dans le vent.
Bob Dylan - Blowin' In The Wind [Take 1] (1962 Freewheelin' Outtake)
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Dernière édition par Iamsosure le Jeu 6 Oct 2016 - 22:00, édité 1 fois
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Comment Woody Allen peut changer votre vie/Eric Vartzbed
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