Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
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david50- Messages : 5185
Date d'inscription : 16/09/2013
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Ne disparais pas
Petite fille aux yeux bruns
Viens avec moi
Je remplirai ton cœur de joie
Et en dansant nous vaincrons la solitude
Cherchant consolation dans notre sagesse partagée
Nous tournant vers le présent et l’éternité
Brûlant la peur dans nos auras féériques
Dis ce que tu penses
Penses ce que tu dis
J’ai entendu dire que l’innocence
Nous a tous égarés
Mais ne les laisse pas te définir et te briser
Le monde est jonché des ruines de leurs rêves creux
Le silence est leur seule vertu
Enfermés dans leurs cris muets
Mais pour l’instant
Partons, dansons
Toute cette nuit étoilée
Remplie de la lueur d’astres magiques
Et à l’aube
Notre soleil se lèvera
Apportant une symphonie de chants d’oiseaux
Ne me repousse pas maintenant
Laisse moi rester là un moment
Tu sais que la vie est trop courte
Laisse moi me baigner dans ton sourire
Je transcende
La chute du jardin d’Eden
Don't Fade Away>Ne disparais pas
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Don't fade away, my brown-eyed girl
Come walk with me, i'll fill your heart with joy
And we'll dance through our isolation.
Seeking solace in the wisdom we bestow
Turning thoughts to the here and ever after
Consuming fears in our fiery halos
Say what you mean, mean what you say
I've heard that innocence has led us all astray
But don't let them make you and break you
The world is filled with their broken empty dreams
Silence is their only virtue
Locked away inside their silent screams
But for now, let us dance away this starry night
Filled with the glow of fiery stars
And with the dawn our sun will rise
Bringing a symphony of bird cries
Don't bring me down now, let me stay here for awhile
You know life's too short, let me bathe here in your smile
I'm transcending the fall from the garden
Goodnight
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Motel 25 et la Grande Maison un jour, avant, quelque part par là, dans le passé, je pogote sur les slows quand je veux et surtout au Palais des Glaces... comment je faisais Nouvel an dans un Nouvel endroit pour voir... j'ai baroudé, j'ai barres où t'es ?, et dans quel état toujours en fait je gère ! Ca suffit les grés de l'insu des messages sub dominos
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
You're poking to me ?david50 a écrit:
Je préfère largement ta version de "Poke Aimons"
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
- Spoiler:
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Il faut tout faire soi même ici pfff
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Au jardin, près de la rue, gisent les tomates
Franc boisé
- Spoiler:
- LE LION AUTOMATE DE LÉONARD DE VINCI REVIT
Près de cinq siècles après son invention, le lion automate de Léonard de Vinci revit dans la dernière demeure du génie de la Renaissance, sur les bords de la Loire. Le félin mécanique original a été perdu mais un double a été conçu au château du Clos Lucé, à Amboise, où le maître vécut les trois dernières années de sa vie, à l'invitation de François 1er, avant d'y mourir, en 1519. /Photo non datée/REUTERS/HO/Renato Boaretto/Château du Clos Lucé
Tous droits réservéspar Estelle ShirbonAMBOISE, Indre-et-Loire (Reuters) - Près de cinq siècles après son invention, le lion automate de Léonard de Vinci revit dans la dernière demeure du génie de la Renaissance, sur les bords de la Loire.Le félin mécanique original a été perdu mais un double a été conçu au château du Clos Lucé, à Amboise, où le maître vécut les trois dernières années de sa vie, à l'invitation de François 1er, avant d'y mourir, en 1519."Nous aimons cette idée que Léonard n'était pas seulement un ingénieur, un peintre, mais qu'il était aussi un fabuleux metteur en scène, un maître des effets spéciaux", explique François Saint Bris, président du château privé, mais ouvert au public."Il savait satisfaire un public avec des créations absolument admirables, des créations fantastiques. C'était un George Lucas de son époque", ajoute-t-il, par allusion au créateur de la saga de la "Guerre des étoiles".Connu dans le monde entier comme le peintre de La Joconde ou de La Cène, Léonard de Vinci fut également un inventeur prolifique, dont certains travaux préfiguraient l'hélicoptère ou l'automobile.Selon les témoignages de l'époque, le lion automate conçu par de Vinci fut présenté en 1515 à François 1er par les marchands et les banquiers de Florence installés à Lyon, pour célébrer une alliance entre la France et la cité toscane, qui avait le lion pour symbole.Grâce à un mécanisme interne, le poitrail de l'animal mécanique s'ouvrait pour faire apparaître une fleur de lys, symbole de la monarchie française.Sans que l'on sache s'il s'agissait du même appareil ou d'une version plus récente, un lion similaire fit sensation deux ans plus tard lors d'une soirée de gala donnée en l'honneur de François 1er, à Argentan.REMONTÉ COMME UNE PENDULELéonard de Vinci n'a laissé ni plan ni esquisse de son invention mais on a retrouvé des dessins assez détaillés de mécanismes permettant de comprendre comment il fonctionnait.A l'aide de ces documents et de descriptions écrites du lion, Renato Boaretto, créateur et restaurateur d'automates, a construit un nouvel animal pour les besoins de l'exposition "Léonard de Vinci et la France", qui se tient jusqu'au 31 janvier 2010 au château du Clos Lucé.Remonté à la main comme une montre ancienne, le lion de Boaretto, grandeur nature, fait une dizaine de pas, secoue la tête, ouvre et ferme sa gueule et secoue la queue.Quand on attrape une mèche de sa crinière, qui dissimule un mécanisme, une trappe s'ouvre dans son flanc droit, laissant s'échapper des fleurs de lys artificielles."Pour cette époque-là, c'est grandiose!", s'émerveille Bénédicte, après avoir découvert le lion en action en compagnie de son mari et de ses enfants. "Arriver à faire des choses de cette envergure, exceptionnelles comme ca, automatisées, c'est formidable", ajoute la touriste française.Léonard de Vinci fut nommé "premier peintre ingénieur et architecte du roi" François 1er, fasciné par la Renaissance italienne.Le souverain installe l'artiste dans le manoir de Cloux, aujourd'hui le Clos Lucé, en 1516 à quelques centaines de mètres du château d'Amboise où il vit. Un souterrain secret reliait les deux édifices.Léonard de Vinci se consacre alors à des projets d'architecture et d'urbanisme et organise des fêtes royales.En 1518, il impressionne le public avec une pièce de théâtre jouée à Amboise en recréant une nuit étoilée, constellations comprises, à l'aide d'un drap bleu et de candélabres.Avec Laure Bretton, édité par Gérard Bonhttp://www.capital.fr/a-la-une/actualites/le-lion-automate-de-leonard-de-vinci-revit-427926
Franc boisé
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
https://books.google.fr/books?id=Dzuluq9DSrsC&pg=PT29&lpg=PT29&dq=La+conscience+est+le+r%C3%A9sultat+de+notre+nullit%C3%A9&source=bl&ots=kdgqmrtsJe&sig=nxtWhpmYwgTC_lx-0uNALyP6kk8&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjYmN7-7oXQAhWFPBQKHc1-BeMQ6AEIPjAG#v=onepage&q=La%20conscience%20est%20le%20r%C3%A9sultat%20de%20notre%20nullit%C3%A9&f=false
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Ajoutée le 19 avr. 2016
Mon z'héros
RAFRAICHISSEUR MAN, le super héro qui te rafraichit.
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Ajoutée le 16 juil. 2015
"La conscience n’est qu’un réseau de communications entre les hommes; c’est en cette seule qualité qu’elle a été forcée de se développer: l’homme qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s'en passer. Si nos actions, pensées, sentiments et mouvements parviennent — du moins en partie — à la surface de notre conscience, c’est le résultat d’une terrible nécessité qui a longtemps dominé l’homme, le plus menacé des animaux: il avait besoin de secours et de protection, il avait besoin de son semblable, il était obligé de savoir dire ce besoin, de savoir se rendre intelligible; et pour tout cela, en premier lieu, il fallait qu’il eût une "conscience", qu’il "sût" lui-même ce qui lui manquait, qu’il "sût" ce qu’il sentait, qu’il "sût" ce qu’il pensait. Car comme toute créature vivante, l’homme pense constamment, mais il l’ignore. La pensée qui devient consciente ne représente que la partie la plus infime, disons la plus superficielle, la plus mauvaise, de tout ce qu’il pense : car il n’y a que cette pensée qui s’exprime en paroles, c’est-à-dire en signes d’échanges, ce qui révèle l’origine même de la conscience."
Nietzsche Le Gai savoir. Paragraphe 354
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J'avais trouvé des faiseurs de ponts et ce fut le pompom, il m'avait dit que j'étais particulière au milieu de ces pom pom girls tout genre con fondus
Je lui avais dit J tu es un branleur
Ajoutée le 19 avr. 2016
L'activité du génie ne paraît pas le moins du monde quelque chose de foncièrement différent de l'activité de l'inventeur en mécanique, du savant astronome ou historien, du maître en tactique. Toutes ces activités s'expliquent si l'on se représente des hommes dont la pensée est active dans une direction unique, qui utilisent tout comme matière première, qui ne cessent d'observer diligemment leur vie intérieure et celle d'autrui, qui ne se lassent pas de combiner leurs moyens. Le génie ne fait rien que d'apprendre d'abord à poser des pierres, ensuite à bâtir, que de chercher toujours des matériaux et de travailler toujours à y mettre la forme. Toute activité de l'homme est compliquée à miracles, non pas seulement celle du génie, mais aucune n'est un "miracle". D'où vient donc cette croyance qu'il n'y a de génie de chez l'artiste, l'orateur et le philosophe ? qu'eux seuls ont une « intuition » ? Les hommes ne parlent intentionnellement de génie que là où les effets de la grande intelligence leur sont le plus agréables et où ils ne veulent pas d'autre part éprouver d'envie. Nommer quelqu'un « divin », c'est dire "ici nous n'avons pas à rivaliser". En outre, tout ce qui est fini, parfait, excite l'étonnement, tout ce qui est en train de se faire est déprécié. Or, personne ne peut voir dans l'oeuvre de l'artiste comment elle s'est faite ; c'est son avantage, car partout où l'on peut assister à la formation, on est un peu refroidi...
NIETZSCHE (Friedrich) : Humain, trop humain, I, Chap. IV, aph. 162.
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J'ai toujours raison mais pas queue et parfois je ne sais pas que je sais reconnaître un branleur.
Ajoutée le 17 mai 2016
Variations sur la répétition 2/4 : Nietzsche, l’Eternel retour, avec Patrick Wotling (professeur à l'université de Reims, et spécialiste de la pensée de Nietzsche. Fondateur et directeur du Groupe International de Recherches sur Nietzsche (GIRN)
Et si un jour, un démon se glissait furtivement dans votre plus solitaire solitude et vous disait : « Cette vie, telle que tu la vis et l’a vécue, il te faudra la vivre encore d’innombrables fois", que répondriez-vous? Pour tenter de répondre à cette question nous recevons Patrick Wotling.
TEXTES :
- Nietzsche, Le Gai savoir, livre III, §341, Œuvres complètes, 1997, p. 251-252
- Nietzsche, Fragments posthumes
- Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, Livre III, « De la vision et de l’énigme »
- Camus, Le Mythe de Sisyphe, 1942, dans Œuvres complètes, tome I, Gallimard, la Pléiade, 2006, pp.303-304.
EXTRAITS :
- Un jour sans fin, de Harold Ramis, 1993
- Batman begins, de Christopher Nolan, 2005
- Léon Morin prêtre, de Jean-Pierre Melville, 1961
RÉFÉRENCES MUSICALES : - Nietzsche, Eine sylvesternacht - Maurice Jarre, Sculptures - Rihanna, reprise de Tame Impala Same old mistakes - Beethoven, Sonate numéro 8 - Marilyn Monroe, Do it again
La lectures des Nouveaux chemins par Georges Claisse : -Nietzsche, Le Gai savoir, livre III, §341, Œuvres complètes, 1997, p. 251-252
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2013 j'aurai pu devenir cardiaque avec un gars qui parlait cardio et brossage dedans 3 fois par jour mais HP, je me serais fait détartrer ?
NIETZSCHE (Friedrich) : Humain, trop humain, I, Chap. IV, aph. 162.
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J'ai toujours raison mais pas queue et parfois je ne sais pas que je sais reconnaître un branleur.
Ajoutée le 17 mai 2016
Variations sur la répétition 2/4 : Nietzsche, l’Eternel retour, avec Patrick Wotling (professeur à l'université de Reims, et spécialiste de la pensée de Nietzsche. Fondateur et directeur du Groupe International de Recherches sur Nietzsche (GIRN)
Et si un jour, un démon se glissait furtivement dans votre plus solitaire solitude et vous disait : « Cette vie, telle que tu la vis et l’a vécue, il te faudra la vivre encore d’innombrables fois", que répondriez-vous? Pour tenter de répondre à cette question nous recevons Patrick Wotling.
TEXTES :
- Nietzsche, Le Gai savoir, livre III, §341, Œuvres complètes, 1997, p. 251-252
- Nietzsche, Fragments posthumes
- Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, Livre III, « De la vision et de l’énigme »
- Camus, Le Mythe de Sisyphe, 1942, dans Œuvres complètes, tome I, Gallimard, la Pléiade, 2006, pp.303-304.
EXTRAITS :
- Un jour sans fin, de Harold Ramis, 1993
- Batman begins, de Christopher Nolan, 2005
- Léon Morin prêtre, de Jean-Pierre Melville, 1961
RÉFÉRENCES MUSICALES : - Nietzsche, Eine sylvesternacht - Maurice Jarre, Sculptures - Rihanna, reprise de Tame Impala Same old mistakes - Beethoven, Sonate numéro 8 - Marilyn Monroe, Do it again
La lectures des Nouveaux chemins par Georges Claisse : -Nietzsche, Le Gai savoir, livre III, §341, Œuvres complètes, 1997, p. 251-252
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2013 j'aurai pu devenir cardiaque avec un gars qui parlait cardio et brossage dedans 3 fois par jour mais HP, je me serais fait détartrer ?
Mon z'héros
RAFRAICHISSEUR MAN, le super héro qui te rafraichit.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
J'avais dit que je résumerai tous mes fils
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Mates moi la sensualité du move du body de la pièce, ça me rappelle des souvenirs so sexy et sans souci, comment il la retourne avec délicatesse, ça finit en mélange mais bon il en faut pour tous les goûts....:
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Mates moi la sensualité du move du body de la pièce, ça me rappelle des souvenirs so sexy et sans souci, comment il la retourne avec délicatesse, ça finit en mélange mais bon il en faut pour tous les goûts....:
- Spoiler:
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Jacky quand il se pose trop de questions sur 4 ailes
et puis le reste on s'en fout
C'est une distraction il aime les potirons ?
Et la fourmi d'Ambert dit à la scie râle qu'elle est mal froumi ?
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je ne cautionne pas le Reiki mais le kiki oui mais ça j'aime bien j'ai l'impression que mon iris me regarde .... ça me fait tripper ailleurs là bas je vais voir si j'y suis et je me sens comme un pneu tueur qui court derrière les voitures .... rectal vers sale
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Numéro ICQ : alors il faut multiplier ou diviser son Qi avec son numéro de sécu ? moi et les maths, hein, c'est plutôt après 2h, deezer
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://www.lemonde.fr/livres/article/2016/09/25/francois-begaudeau-je-ne-crois-pas-a-votre-modele-de-vie_5003037_3260.html
la carte sim... en mode recharge de batterie... et je fais la poule....
François Bégaudeau : « Je ne crois pas à votre modèle de vie »
L’écrivain publie un roman, « Molécules », et une bande dessinée, « Wonder ». Cet ancien enseignant revient sur son parcours marqué par la littérature et la politique.
LE MONDE | 25.09.2016 à 07h43 • Mis à jour le 27.09.2016 à 13h51 |Propos recueillis par Sandrine Blanchard
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Je ne serais pas arrivé là si…
… Si je n’avais pas contracté une passion pour l’écrit à l’adolescence. J’ai commencé à beaucoup lire et cela a déterminé mon envie, un jour, de goûter à ces plaisirs-là. Cette passion est venue lorsque j’ai découvert, vers l’âge de 15 ans, que la littérature pouvait explorer des questions qui me touchaient. Banalement, j’ai lu Camus, Sartre, Giono, Racine, Bernanos. Je puisais allégrement. Il y a eu, dans un segment très court de ma vie, beaucoup de lectures éblouissantes.
RIEN NE PEUT ÉGALER LE SOLEIL AUTOMNAL CROATE.
Savez-vous de quelle ville Hitchcock parlait lorsqu’il évoquait le plus beau coucher de soleil au monde ?
Ces lectures étaient-elles disponibles chez vous ?
Par forcément. En tant qu’instituteurs devenus profs, mes parents valorisaient bien sûr la lecture, mais ils ne lisaient pas plus que cela ; il n’y avait pas de conditionnement à la littérature. C’est plutôt parce que ces textes brassaient des questions politiques et métaphysiques que je m’étais toujours posées qu’ils m’ont été immédiatement familiers. Malgré mon éducation laïcarde, les extraits de Pascal, par exemple, m’ont tout de suite parlé.
De quel ordre étaient ces questions politiques et métaphysiques ?
Métaphysique, c’est simple : cela s’ordonnait autour d’une perplexité devant la condition humaine. Qu’est-ce qu’on fait là ? Comment peut-on mettre du sens alors qu’on est voué à la poussière ? Des questions de base, mais il ne faut pas avoir peur d’être primitif. Enfant, j’étais déjà très angoissé. Quant à la question politique, elle était très largement conditionnée par mon milieu. Mon père et ma mère étaient au Parti communiste. J’ai baigné dans la politique très tôt et notamment dans le paradigme de la gauche radicale.
Quels souvenirs gardez-vous des discussions politiques familiales ?
Quand des amis de mon père, souvent des copains profs de gauche, venaient à la maison, il y avait toujours un moment du repas où ils se mettaient à parlerpolitique. Je retardais le moment d’aller jouer parce que j’aimais bien les écouter. Je ne comprenais pas tout mais ce verbe-là me plaisait.
Vous dites avoir été « programmé pour être premier de la classe ». Vous êtes allé jusqu’à l’agrégation de lettres modernes. Vous n’étiez pas rebelle ?
Si. Et c’est bien cela le problème. On vivait dans un milieu où l’on contractait assez vite le pli de mettre en doute l’état de la société. En même temps, nous étions des parfaits petits soldats de cette société. C’est l’ambiguïté de mes parents, que je ne trouve pas du tout répréhensible : trouver à la fois que cette société est très inique et à la fois tout faire pour que la progéniture s’y intègre.
C’est peut-être la contradiction de tous les parents de gauche. J’avais une fibre contestataire. Je jouais le jeu scolaire, faisais ce pour quoi j’étais conditionné mais je n’étais pas dupe de ce système. Je savais que l’école était inégalitaire, qu’il n’y avait pas de mérite à y être bon, que c’était très largement préprogrammé. Mais il y avait une incitation à jouer le jeu puisqu’on savait faire. Cette contradiction, chez moi, s’est arrêtée en hypokhâgne.
Que s’est-il passé à ce moment-là ?
Je m’en fous d’aller à Normale-Sup. Je vais y être admissible mais cela ne m’intéresse pas. J’aurais pu aussi entrer à Sciences Po après le bac parce que j’avais eu mention très bien. Mais les grandes écoles, ce n’était pas mon truc. J’ai passé l’agrégation, non pas à titre de gratification individuelle ou pour aller plus loin, mais pour avoir moins d’heures de cours. Ni plus ni moins. A l’époque, je commençais à faire du punk rock. Je savais où était mon camp.
Le goût pour le punk rock s’est construit de quelle manière ?
Le goût du rock a débuté grâce à mon frère. Il avait sept ans de plus que moi, on était dans la même chambre. A 14 ans, il écoute Téléphone, et là, boum, j’adore ça. J’attrape à 7 ans quelque chose de la rébellion de mon frère. Ensuite, la découverte du punk rock va être fondamentale. Et notamment une émission à la télé où il y avait cette image d’Iggy Pop. C’est quinze secondes que j’ai regardées deux mille fois au magnétoscope parce que j’avais l’impression que dans ce corps-là, il y avait magie.
Qu’est-ce qui vous fascinait ?
Je n’aurais pas su le formuler à l’époque. Mais le corps d’Iggy Pop résume tout ce que j’aime dans le rock : un corps androgyne, contestataire, iconoclaste, féminin, et en même temps très puissant, gracile et brutal. Il y a quelque chose d’animal chez lui. J’en dirais autant des Sex Pistols et de tous les pionniers du punk. Je n’avais pas envie d’être comme cela, mais l’envie que ma vie se passe dans la périphérie de cela.
Avec des amis, vous fondez à Nantes le groupe punk rock Zabriskie Point. Vous êtes le parolier et chanteur. Que racontaient les chansons ?
C’était des paroles plutôt contestataires et politiques. Mais le punk rock a beaucoup à voir aussi avec la potacherie, le côté fondamentalement clownesque et farcesque. Le truc n’était pas de dénoncer la société, c’était plutôt de s’en moquer. Cela change tout. C’est dire : Je ne crois pas à votre modèle de vie, vous êtes pathétique. Le slogan des Sex Pistols ce n’est pas « No future », c’est « No future for you ». Vous, les gens normés, conformistes.
Quand vous embrassez le métier d’enseignant avec cet état d’esprit de ne pas être dupe du système, vous y allez avec quelle envie ?
Dans la bande que je fréquentais dans les années 1990, l’alternative était : on y va ou on n’y va pas. Y aller, cela voulait dire être enseignant, car il n’y avait pas beaucoup d’autres perspectives pour nous, les intellos inutiles absolument décidés à ne pas entrer sur le marché libéral. Ceux qui n’y sont pas allés sont devenus précaires et le sont toujours.
J’ai choisi d’y aller parce que je ne voulais pas que l’argent devienne un problème. J’avais envie d’avoir la tête sereine pour me consacrer à ce qui m’importait : lire, écrire, voir des films, écouter de la musique. En y allant, j’ai d’abord été très triste. Le travail, c’était un peu la fin de la fête. Pendant les dix années où j’ai enseigné, mon obsession était que cela ne bouffe pas tout mon temps. La critique est l’activité qui m’a pris le plus d’heures dans ma vie. J’ai commencé à écrire aux Cahiers du cinéma en 1995 et, encore maintenant, je continue à pondre énormément de critiques dans Transfuge.
Avez-vous quand même pris du plaisir à être enseignant ?
Bien sûr. Comme dans toute activité, même subie, il y a des vertus incidentes. Des moments de plaisir, de joie. Et cela a été important dans ma réflexion.
Quand vous repensez à cette période, qu’est-ce qui vous revient ?
Quand un prof arrive, il n’a qu’une obsession : ne pas être bordélisé, tenir sa classe. Mon événement fondateur sera l’inverse : je me rends compte qu’une classe qui suit docilement ça me panique, me tétanise. Tous ces gens qui enregistrent passivement le cours, cela me désespère. Je vois là l’absurdité de l’école. Une caisse enregistreuse.
Mais vous, en tant qu’élève, vous étiez pourtant comme cela ?
Oui, j’étais un très bon fonctionnaire du métier d’élève. Quand ça fonctionne, on n’a pas de recul critique, sauf si on a lu Bourdieu, mais on ne le vit pas dans son corps. Par contre, le prof, lui, est au cœur des dysfonctionnements. Enseignerdans les quartiers populaires n’a fait que radicaliser ma position sur l’école.
J’avais repéré, dès 18-20 ans, qu’il y avait un moment exceptionnel de la pensée française qui croisait mes problématiques : Foucault, Deleuze, Rancière, Derrida. Je suis entré dans une boulimie de lectures. C’est dans Rancière, qui déteste les positions d’autorité, que je me reconnais le mieux. Ayant lu tout cela trois ans avant de devenir prof, je savais à quoi m’en tenir. J’avais peu d’espoir de transformer d’un seul coup cette machine inégalitaire en machine égalitaire. Tout le monde devrait lire Bourdieu à l’école.
En 2003, vous publiez votre premier livre « Jouer juste »…
J’ai toujours eu l’idée très banale, très conditionnée chez les petits Français de la petite bourgeoisie intellectuelle, de me mettre un jour à un roman. J’avais parmi mes collègues à Dreux un dénommé Philippe Adam, qui a publié en 2002 un premier roman aux éditions Verticales. Je lui ai fait lire mon livre, et il l’a fait lire à son éditeur. Est-ce que j’en serais arrivé là sans lui ? On ne saura jamais. Je considère que j’ai eu de la chance.
« Entre les murs », votre livre inspiré de votre expérience d’enseignant, va être primé, puis adapté au cinéma et obtenir, en 2008, la Palme d’or à Cannes. Quel est le moment le plus important de cette période ?
Je suis un mec très concret. Ce qui m’intéresse, c’est ce qui arrive à mon corps : d’abord écrire le livre, ça, ce n’est pas rien. Pour le film, ce qui m’arrive est d’être acteur pendant sept semaines. Pour moi, tout se termine en août 2007, à la fin du tournage. Ce qui va suivre n’est plus mon affaire. Entre les murs n’a pas changé ma vie, cela a changé le regard sur moi. Mais c’est tout. Qu’est-ce que je faisais avant ? Je lisais, j’écrivais. Qu’est-ce que je fais depuis : je lis, j’écris.
Le film a suscité beaucoup de débats sur l’école. Vous vous y attendiez ?
Dans la vieille et longue histoire de l’hystérie scolaire française, c’était prévisible. Mais il ne faut pas confondre la visibilité de quelque chose et la proportion d’intérêt de la part de l’auteur. Le contenu des débats sur l’école m’intéresse peu, parce qu’ils sont toujours dans le même paradigme éducatif. Je suis plutôt du côté d’Ivan Illich, une société sans école. Mais ceux qui parlent de l’école ne lisent pas Illich. C’est dommage, ce serait un vrai beau débat.
Beaucoup d’autres questions, notamment sociales, m’intéressent. Le grand sujet est comment le champ social s’imprime sur nos corps. Par exemple, la scène du film La Loi du marché dans laquelle une caissière est prise la main dans le sac et emmenée par un vigile me bouleverse, m’a fait tomber en larmes. La caissière ne se défend pas.
Quand vous êtes-vous détaché du métier d’enseignant ?
En 2005. Je n’ai travaillé que parce qu’il fallait que je mange. A partir du moment où j’ai pu manger sans travail salarié, j’ai arrêté. Je n’ai aucun état d’âme à ne plus prendre le RER à 6 heures du matin.
Etre libertaire, en 2016, cela signifie quoi ?
Je me considère comme marxiste et libertaire. Je me sens toujours très constitué par ces deux grandes lignées à la fois idéologiques, philosophiques, esthétiques. L’analyse économique marxiste est encore pertinente aujourd’hui, moyennant son renouvellement par des gens comme Frédéric Lordon, par exemple, que je suis assidûment.
En ce moment, Geoffroy de Lagasnerie renouvelle magnifiquement la pensée libertaire dans le champ public. Je me sens très proche de lui. Il fait bien le lien entre Bourdieu et Foucault. Toutes mes fascinations, mes intérêts politiques et philosophiques sont dans cette constellation, y compris les propositions de modede vie portées par les anarchistes. Tout cela m’intéresse profondément.
Ce mélange marxiste libertaire s’est-il construit à partir des discussions que vous pouviez entendre chez vous ?
Mon axe paternel était plutôt PCF. J’ai grandi là-dedans, mais cela a très vite été entaché par une fibre plus anarchisante, plus potache aussi. Très méfiante vis-à-vis de l’Etat. Mais le grand fait de ma vie, c’est d’avoir rencontré des amis formidables en hypokhâgne. Cela fait trente ans qu’on pense ensemble. Ce groupe, c’est ma vie, il y a une tendresse immense, ce sont des gens qui m’ont beaucoup profité.
Pourquoi sont-ils si importants pour vous ?
Ils me font du bien. Je crois beaucoup à l’autoéducation des égaux. Dans un groupe d’amis, on s’entre-éduque, on s’entre-émancipe. Je sais ce que je leur dois. Ils contribuent à ma radicalité politique. Ils viennent tous de la petite bourgeoisie, sont fils ou filles de profs et sont devenus soit profs, soit précaires. Dès lors que vous n’êtes pas dans l’allégeance au monde du travail tel qu’il s’est « managérisé » depuis quarante ans, eh bien il ne reste que la fonction publique ou la culture. Mais dans ce dernier milieu, il y a un système d’héritage et de reproduction très fort.
Pourquoi vous intéressez-vous depuis longtemps au sport ?
Le sport, c’est un conditionnement de petit garçon dès l’âge de 5 ans, c’est l’école des petits garçons virils. Alors que mon goût pour le rock, c’est la contestation. Je prends de plus en plus le sport comme un symptôme social et politique. Il donne une parfaite entrée sur le fonctionnement du libéralisme. En analysant l’économie du sport, on comprend le capitalisme.
Ensuite, le sport est souvent traversé de débats qui sont le symptôme de l’état de la société, des mentalités. Quant à l’adrénaline sportive, elle a plus à voir avec la sauvagerie concurrentielle qu’avec des pseudos « valeurs » ; je ne supporte pas ce mot. Il me fait le même effet que quelqu’un qui débarquerait sur un champ de bataille et qui dirait : « ouais ce qui est bien c’est qu’on fait du vivre ensemble ».
Allez-vous voter à la présidentielle de 2017 ?
Non.
Vous n’avez jamais voté ?
Si, entre 2001 et 2007. Je venais de la pensée révolutionnaire : « Elections, piège à cons », reproduction de l’élite bourgeoise. Et je continue à le penser. Mais en 2001, lors des élections municipales, j’espérais vraiment que Tiberi s’en aille de Paris. Je me suis dit, par honnêteté intellectuelle : « Puisque ton corps désire cela, va au bout, ne fais pas ton malin. » Pour la première fois, j’ai voté. Puis en 2002, j’ai voté Besancenot, plutôt par adhésion. Après cette parenthèse, j’ai arrêté.
Vous ne pensez pas qu’en 2017 l’abstention peut être dangereuse ?
Non. Avec la classe politique républicaine autoritaire libérale qu’on a depuis trente ans, on n’a pas besoin de Marine Le Pen. Ça ne changera rien, ils ont déjà fait tout le boulot. Ceux qui ont peur de Marine Le Pen ont une pensée politique très faible. Ils devraient lire Marx.
Hitler n’a pu arriver au pouvoir que parce que la grande bourgeoisie, notamment financière, était de son côté. Marine Le Pen n’arrivera au pouvoir que le jour où elle aura dit qu’elle ne veut pas sortir de l’euro. Lorsqu’on demande actuellement aux gens de droite ce qui les sépare de Marine Le Pen, ils disent « Economiquement, son programme est absurde ». Rien d’autre. C’est mal connaître une société que de croire que le grand capital laissera Marine Le Pen prendre le pouvoir. On la voit actuellement mettre de l’eau dans son vin, dire « On fera un référendum. » Donc, il n’y a rien à craindre. Pour moi, c’est une ultrarépublicaine.
Propos recueillis par Sandrine Blanchard
« Molécules », éditions Verticales
« Wonder », dessins d’Elodie Durand, Delcourt, collection « Mirages »
François Bégaudeau tient une chronique mensuelle dans le supplément Sports du « Monde »
la carte sim... en mode recharge de batterie... et je fais la poule....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://www.comediedebethune.org/wp-content/uploads/2014/08/jai20ans-090714.pdf
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comédie de bête thunes, j'ai 45 ans qu'est ce qui m'attend ? je devrai peut être alors voir un voyant (qui clignote)
mauvais comportements, bad girl,
mode girafare
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comédie de bête thunes, j'ai 45 ans qu'est ce qui m'attend ? je devrai peut être alors voir un voyant (qui clignote)
mauvais comportements, bad girl,
mode girafare
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
23 septembre 2016
Le diable joue sur une Gibson… raconte Grégoire Hervier
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Parmi les légendes urbaines que le rock a générées, il y a en une qui bénéficie d’une aura particulière et continue à alimenter les fantasmes de tous les guitaristes de la planète. C’est celle de la « Moderne », une guitare électrique créée par Gibson, en 1957, en même temps que la Flying V et l’Explorer. Elle n’a jamais été mise en vente et seule en existe un dessin réalisé par Ted McCarty, le célèbre concepteur de tous les modèles de Gibson. L’histoire veut que vingt-deux exemplaires en auraient été réalisés à titre expérimental. Personne n’en a jamais vu l’ombre d’un, mais régulièrement, des collectionneurs, comme le guitariste barbu de ZZ Top, affirme, contre toute évidence, en posséder un.
Est-ce à cause de sa forme étrange et de sa tête de manche triangulaire, toujours est-il que la Moderne jouit d’une réputation de guitare au son diabolique et envoûtant. Jimi Hendrix et Jimmy Page, le guitariste de Led Zeppelin, l’auraient utilisée secrètement sur bon nombre de leurs morceaux.
À partir de cette rumeur un peu folle, Grégoire Hervier a conçu avec le bien nommé « Vintage » un des polars les plus passionnants du moment. Son héros, Thomas Dupré, guitariste improbable d’Agathe the Blues and the Impostors, pigiste guère flamboyant dans des fanzines de rock et vendeur par intérim dans un magasin de musique, se retrouve chargé par un mystérieux Lord écossais de retrouver un exemplaire de la Moderne. Elle lui aurait été volée à Boleskine House, le manoir, près du Loch Ness, où, autrefois, vivaient Jimmy Page et Aleister Crowley, le pape britannique de l’occultisme. Son enquête va le mener jusqu’au fin fond du Sud des Etats-unis, là où un certain Robert Johnson posa les bases du blues actuel. Il y recherche le mystérieux Li Grand Zombi, albinos génial mais totalement inconnu, qui, grâce à la Moderne, aurait inventé une musique inouïe… Dans ce roman, qu’il faut lire en écoutant Muddy Waters ou Albert King, Grégoire Hervier mélange, avec maestria, faits réels (la vie de Robert Johnson, les élucubrations ésotériques de Jimmy Page…) et fiction absolue, d’une façon telle, que l’on se demande si la Moderne n’est pas en fait le secret le mieux gardé de l’histoire du rock. À vous de voir.
. Grégoire Hervier, « Vintage », Au Diable Vauvert, 400 p., 18,50 euros.
http://polar.blog.lemonde.fr/2016/09/23/le-diable-joue-sur-une-gibson-raconte-gregoire-hervier/
Quand j'avais vintage, je faisais des herbiers....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[size=53]Tahar Rahim : ""Réparer les vivants" est un film sur le don du cœur, au propre comme au figuré"
Par Marilyne Letertre | Le 01 novembre 2016[/size]
Ce fut d’abord un best-seller de Maylis de Kerangal. C’est aujourd’hui un grand film de cinéma, pédagogique et intime, de Katell Quillévéré. Dans Réparer les vivants, la réalisatrice rend hommage à l’abnégation d’une équipe médicale œuvrant au bon déroulement du don d’organes. Emmanuelle Seigner, Anne Dorval et Kool Shen incarnent la douleur et l’espoir des familles confrontées à cette problématique.
Madame Figaro. – Qui est votre personnage dans cette équipe médicale ?
Tahar Rahim. – Un trait d’union entre la vie et la mort, ou plutôt entre la vie et la vie. C’est un ange sur terre, un passeur entre le donneur et le receveur. Mais ce n’est qu’un maillon d’une grande chaîne d’intervenants que Katell filme avec beaucoup de réalisme et d’humanité.
Avez-vous fait un stage d’observation en hôpital ?
Je suis allé trois fois par semaine pendant un mois à l’hôpital Necker, dans le service de Régis Quéré, l’infirmier coordinateur qui a inspiré mon personnage. Il m’a expliqué son travail d’accompagnement avec les familles, qu’elles optent ou non pour le don d’organes. J’ai pu observer comment tout cela est orchestré et la façon dont le corps médical vit la chose. Il fallait que je comprenne comment ils se protègent de la charge émotionnelle à laquelle ils sont confrontés. Cette immersion, essentielle pour moi, vous rend très humble.
C’est-à-dire ?
On remet les choses à leur place. On a tendance à oublier que l’on n’est pas éternel et qu’il faut chérir la vie et mieux considérer l’autre.
Vous étiez déjà sensibilisé au don d’organes ?
Pas plus que ça. Sans doute car je n’avais pas envie de me projeter à ma dernière heure. Aujourd’hui, j’ai conscience que c’est un sujet à aborder avec ses proches. Je ne sais pas si je le ferai, mais je m’interroge. L’objectif de Katell n’est pas de convaincre les gens de donner leurs organes, mais de poser la question du choix.
Et au-delà des vertus pédagogiques du film ?
C’est du vrai cinéma ! Une histoire émouvante sur l’humanité, la générosité, mais tout en délicatesse. C’est un film sur le don du cœur, au sens propre comme au figuré. Il m’a donné envie de vivre.
[size=49]Play Video
"Réparer les vivants", la bande-annonce
La bande-annonce du film "Réparer les vivants" de Katell Quillévéré avec Tahar Rahim, Emmanuelle Seigner, Anne Dorval, Bouli Lanners. En salles le 1er novembre.
[/size]
Réparer les vivants, de Katell Quillévéré, avec Emmanuelle Seigner, Anne Dorval, Kool Shen…
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Par Marilyne Letertre | Le 01 novembre 2016[/size]
Tahar Rahim joue l’un des acteurs hospitaliers chargés de réparer les maux du cœur dans le nouveau film de Katell Quillévéré. Rencontre
Ce fut d’abord un best-seller de Maylis de Kerangal. C’est aujourd’hui un grand film de cinéma, pédagogique et intime, de Katell Quillévéré. Dans Réparer les vivants, la réalisatrice rend hommage à l’abnégation d’une équipe médicale œuvrant au bon déroulement du don d’organes. Emmanuelle Seigner, Anne Dorval et Kool Shen incarnent la douleur et l’espoir des familles confrontées à cette problématique.
Madame Figaro. – Qui est votre personnage dans cette équipe médicale ?
Tahar Rahim. – Un trait d’union entre la vie et la mort, ou plutôt entre la vie et la vie. C’est un ange sur terre, un passeur entre le donneur et le receveur. Mais ce n’est qu’un maillon d’une grande chaîne d’intervenants que Katell filme avec beaucoup de réalisme et d’humanité.
Avez-vous fait un stage d’observation en hôpital ?
Je suis allé trois fois par semaine pendant un mois à l’hôpital Necker, dans le service de Régis Quéré, l’infirmier coordinateur qui a inspiré mon personnage. Il m’a expliqué son travail d’accompagnement avec les familles, qu’elles optent ou non pour le don d’organes. J’ai pu observer comment tout cela est orchestré et la façon dont le corps médical vit la chose. Il fallait que je comprenne comment ils se protègent de la charge émotionnelle à laquelle ils sont confrontés. Cette immersion, essentielle pour moi, vous rend très humble.
C’est-à-dire ?
On remet les choses à leur place. On a tendance à oublier que l’on n’est pas éternel et qu’il faut chérir la vie et mieux considérer l’autre.
Vous étiez déjà sensibilisé au don d’organes ?
Pas plus que ça. Sans doute car je n’avais pas envie de me projeter à ma dernière heure. Aujourd’hui, j’ai conscience que c’est un sujet à aborder avec ses proches. Je ne sais pas si je le ferai, mais je m’interroge. L’objectif de Katell n’est pas de convaincre les gens de donner leurs organes, mais de poser la question du choix.
Et au-delà des vertus pédagogiques du film ?
C’est du vrai cinéma ! Une histoire émouvante sur l’humanité, la générosité, mais tout en délicatesse. C’est un film sur le don du cœur, au sens propre comme au figuré. Il m’a donné envie de vivre.
[size=30]"Réparer les vivants", la bande-annonce[/size]
[size=49]Play Video
"Réparer les vivants", la bande-annonce
La bande-annonce du film "Réparer les vivants" de Katell Quillévéré avec Tahar Rahim, Emmanuelle Seigner, Anne Dorval, Bouli Lanners. En salles le 1er novembre.
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Réparer les vivants, de Katell Quillévéré, avec Emmanuelle Seigner, Anne Dorval, Kool Shen…
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Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[size=35]QUAND L’ENFANT À HAUT POTENTIEL N’EST PAS CELUI QU’ON PENSE…[/size]
Celui que l’on appelle encore élève intellectuellement précoce (EIP) dans l’éducation nationale n’est pas toujours le « surdoué » de la classe. Ce simple constat a justifié l’abandon du terme « surdoué » dans la littérature officielle. Il est même si peu représentatif que le concept de« haut potentiel » lui a été préféré ces dernières années. Nous avons en moyenne un EIP par classe, et une fois sur trois, cet enfant sera en difficulté, voire en échec.
[size=36]Pourquoi est-ce un enfant à haut potentiel ?[/size]
Parce que le fonctionnement cognitif du HP (haut potentiel) est différent. Il fait partie des enfants à besoins particuliers, des « pas comme tout le monde ». Avec une « pensée en arborescence« , une lucidité angoissante, un perfectionnisme frustrant, un sens de la justice acéré, une hypersensibilité difficile à gérer, une empathie naturelle mais envahissante, une « rage de tout maîtriser« … ce n’est pas toujours facile de rentrer dans le cadre scolaire conçu pour les 80% de « normaux pensant ». Souvent, la capacité d’adaptation est si forte que l’enfant sera en grande réussite. Mais pas toujours. Et savoir qu’un tiers des enfants ayant un quotient intellectuel supérieur à 98% de la population se retrouvent en échec scolaire, c’est difficile à admettre.
[size=36]Comment reconnaître un enfant à haut potentiel ?[/size]
L’EIP est « hyper tout« , souvent excessif, d’un côté ou de l’autre mais rarement modéré. Il préfère parfois ne pas faire plutôt que de risquer une erreur. Il croit que savoir, c’est apprendre et possède rarement le sens de l’effort : ce qui peut provoquer une brusque chute des résultats en 5ème ou en 2nde, sans que personne ne comprenne pourquoi. Jean-François Laurent les nomme les APIES : personnes atypiques dans l’intelligence et l’émotion. Il explique qu’ils ont souvent le coeur tailladé car une banale remarque qui ne blessera personne…pourra les atteindre eux, profondément. On dira donc qu’ils sont susceptibles, immatures mais ce n’est qu’une sensibilité extrême qui peut aussi les conduire à se couper de leurs émotions. C’est tout ou rien.
On lit souvent sur son bulletin : « veut savoir sans apprendre », « n’exploite pas ses capacités » , « rêveur », « doit apprendre à développer », « ne lis pas les consignes », « manque d’organisation », « doit s’appliquer davantage », « quand il veut, il peut »…
L’enfant à haut potentiel a du mal à rentrer dans la norme et peut être fâché avec l’écriture qui représente une structure à intégrer, des règles à appliquer pour suivre scrupuleusement un cadre imposé. Avez-vous remarqué que les élèves qui s’adaptent ou se « sur-adaptent » ont souvent une écriture très lisible, ronde, calligraphique ? Ce n’est pas le cas de la plupart des HP ! D’autres explications rentrent aussi en jeux en ce qui concerne l’écriture. Pour en savoir plus sur l’écriture du HP
Les règles et les apprentissages doivent avoir du sens pour lui. Sinon, il les discute. Et il est très fort pour argumenter ! Mais dans la classe, il est difficile d’instaurer un dialogue sans fin avec un seul élève! Alors il peut finir pas se refermer, se taire. Ou se révolter et devenir l’élève indiscipliné. Pour lutter contre l’ennui, pour être reconnu, ou juste pour avoir le sentiment d’exister, c’est bien de bouger un peu trop en classe !
La difficulté d’intégration, les soucis relationnels font parfois de lui le vilain petit canard, le bouc-émissaire ou le SAF (sans ami fixe). Pour se défendre, il s’isole, fait le clown ou développe une capacité d’adaptation hors norme pour se fondre dans la masse. Pas facile de choisir le respect de ce que l’on est s’il faut s’exclure pour rester intègre. Soit je me désintègre pour m’intégrer, soit je reste « moi » mais je m’exclus !
Le haut potentiel s’accompagne aussi parfois de DYS ou de TDA/H. L’un cache l’autre et parfois on ne voit plus rien, qu’un malaise qu’on ne saurait expliquer. La compensation joue à plein régime mais peut finir par épuiser l’enfant. Le Docteur Michel Habib, explique parfaitement ce phénomène.
[size=36] Que faire pour un enfant à haut potentiel ?[/size]
Bien sûr, la première étape est la détection de la précocité, auprès d’un professionnel qui connaisse bien les particularités du haut potentiel. Le diagnostic permet de mieux comprendre, de déculpabiliser les parents autant que l’enfant de ce sentiment étrange d’être un peu extra-terrestre, un Harry Potter qui ne comprend pas ce qui lui arrive, petit sorcier au pays des moldus…
Une fois qu’on a les « références du modèle », on peut obtenir le « mode d’emploi » et savoir ce qu’il faudra travailler : lutter contre l’ennui, chercher le sens, approfondir et enrichir l’enseignement traditionnel pour ne pas voir fuir la motivation, apprendre la méthode, l’effort, relever des défis. Tous ces conseils se trouvent dans l’ excellent document, très riche et complet, pour les enseignants, sur eduscol.
Enfin, comme pour tous les enfants, mais plus encore pour le jeune EIP, le cadre ferme et bienveillant sera rassurant, et l’aidera à sortir ce potentiel du champ des possibles pour le réaliser, l’accomplir et s’épanouir.
Des blogs incontournables : les tribulations d’un petit zèbre et le cheval à rayures
Des associations pour guider les parents et les enseignants : l’ANPEIP et l’AFEP
Et dans chaque académie, un référent EIP.
http://www.lepetitjournaldesprofs.com/blog/2015/02/15/quand-l-enfant-a-haut-potentiel-n-est-pas-celui-qu-on-pense/
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[size=35]100 EXPÉRIENCES À FAIRE POUR DES SÉANCES DE SCIENCES PASSIONNANTES[/size]
Bonjour à tous,
On se retrouve souvent démunis face à certaines notions à développer avec nos élèves. On aimerait leur proposer des expériences faciles, ludiques et passionnantes, mais où les trouver ? Comment ne pas perdre un temps fou dans de vaines recherches. Cette chronique s’attache à vous donner l’envie et les moyens de faire des expériences de sciences dans vos classes ou à la maison.
J’allai vous dresser un annuaire exhaustif des sites et blogs qui regorgent de ressources et d’expériences à mener avec vos élèves, mais je me suis dit autant organiser et structurer un peu cela pour vous faire gagner du temps.
1. Des expériences sur l’eau
Pour la notion flotte/coule il convient de montrer 4 critères de flottaison ou de coulée : le poids, la matière, la présence d’air et la forme de l’objet (poussée d’Archimède). Pour cette dernière, une expérience super facile avec de la pâte à modeler La barque en pâte à modeler
L’eau est une force : fabrication d’une roue à aube
L’eau est précieuse et elle est difficile à nettoyer : fabrication de totems de filtration
Sur le site de la main à la pâte, vous trouverez une séquence de 8 x 1 heure très bien faite avec des expériences sur la notion flotte-coule : Flotte coule de la map
Le cycle de l’eau: Fabriquer de la pluie en classe par l’Académie de Grenoble
2. Des expériences sur les végétaux
Les végétaux sont vivants : expérience pour prouver que les végétaux boivent : Les feuilles avaient soif
Les végétaux se nourrissent et absorbent ce qu’il y a dans l’eau et la terre: Changer la couleur des fleurs
Les végétaux ont besoin de lumière : Comment une plante va zigzaguer jusqu’à la lumière Le haricot magique
Un site intéressant sur le partage d’expériences sur le jardinage à l’école
3. Des expériences sur l’air
L’air existe il occupe même de la place : expérience du papier sec
L’air est une force : fabrication d’un moulin à vent solide avec une bouteille en plastique
Une expérience pour montrer que l‘air chaud est porteur : expérience de la bougie et de la bande de papier
Une séquence géniale sur l’air (matérialité de l’air / air chaud air froid) avec une dizaine d’expériences à faire sur le site de l’académie de Reims
Le document complet : Séquence sur l’Air Académie de Reims
4. Des expériences sur l’électricité ou montages électriques
Pour découvrir l’électricité que recèle notre corps : Transformer un citron en pile électrique
Une expérience pour en mettre plein les yeux de vos élèves sur l’électricité statique : Le filet d’eau dévié
Un défi génial sur l’électricité statique de l’émission « On n’est pas des cobayes » sur France 5
D’autres ressources et sites très bien faits :
- 15 expériences à faire en classe et fiches techniques sur le site Tarajunior.org
- Des expériences scientifiques pour enfants sur l’étonnant site Organiser un anniversaire.com
- 32 expériences faciles à faire sur le site Educapoles.org
- 9 expériences sur l’eau sur le site de la Lyonnaise des eaux
- La mine d’or : 50 expériences à réaliser avec peu de matériel sur le site espace sciences.org
Voilà j’espère vous avoir donné quelques pistes et surtout beaucoup d’envie alors laissez vous tenter et EXPÉRIMENTEZ en classe
Bonnes expériences et bonnes sciences
Monsieur Mathieu
copy right : MJC Pont du Sonnant (38400)
http://www.lepetitjournaldesprofs.com/blog/2016/01/03/100-experiences-a-faire-pour-des-seances-de-sciences-passionnantes/
Alors il m'a dit pourquoi en niquer une alors qu'on peut en niquer plusieurs.... Notes et Fred
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je suis H.I.F.Idèle...
A tous les faiseurs de châteaux de cymbales en Espagne ou ailleurs.
Quand j'écoute Miossec, curieusement je ne me sens pas tout à fait mise au sec...
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
- Spoiler:
Ajoutée le 21 sept. 2016
Thoughtcrimes, ou Clairvoyance. Considérée comme une schizophrène violente, elle fut internée à l'hôpital psychiatrique pendant huit ans jusqu'au jour Docteur arrive et lui déclare qu'elle est télépathe et lui propose de lui apprendre comment maîtriser sa télépathie, afin de transformer ce qui est un calvaire en un don puissant Mais ce qu'il ne lui dévoile pas qu'il travaille ........
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
On change de cavalier
On change de partenaire
Mais on ne sait plus danser
Que comme des solitaires
On nous sent à plein nez
Ça se voit à notre air
Qu'on est un peu paumé
Qu'on est célibataire
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous aime
Qui nous lave de nos peines
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
On ne fait qu'y penser
On retourne tous nos travers
Qu'est ce qui peut clocher
Qu'est ce qu'on ne sait plus faire
On ose plus s'approcher
Trop près de la lumière
Pour pas faire remarquer
Qu'on est solitaire
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous aime
Qui nous lave de nos peines
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
On est vraiment un peu largué
On a plus les repères
Pour se faire consoler
De ce qu'on avait encore hier
On veut pas pleurer
On ne sait plus comment faire
On ne sait plus embrasser
Que des courants d'air
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous lave
Quand on saigne
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Ici bas
Ici même
On s'égare
On se parsème
On ne sait plus à qui dire je t'aime
On s'égare
On se parsème
On ne sait plus à qui dire je t'aime
Ici bas
Ici même
On change de partenaire
Mais on ne sait plus danser
Que comme des solitaires
On nous sent à plein nez
Ça se voit à notre air
Qu'on est un peu paumé
Qu'on est célibataire
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous aime
Qui nous lave de nos peines
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
On ne fait qu'y penser
On retourne tous nos travers
Qu'est ce qui peut clocher
Qu'est ce qu'on ne sait plus faire
On ose plus s'approcher
Trop près de la lumière
Pour pas faire remarquer
Qu'on est solitaire
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous aime
Qui nous lave de nos peines
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
On est vraiment un peu largué
On a plus les repères
Pour se faire consoler
De ce qu'on avait encore hier
On veut pas pleurer
On ne sait plus comment faire
On ne sait plus embrasser
Que des courants d'air
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Qui nous lave
Quand on saigne
Qui nous aime
Ici bas
Ici même
Ici bas
Ici même
On s'égare
On se parsème
On ne sait plus à qui dire je t'aime
On s'égare
On se parsème
On ne sait plus à qui dire je t'aime
Ici bas
Ici même
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je t'ai dans la peau
Je t'ai dans mon âme
Comme un souffle le soir
La braise sous les flammes
Je t'ai dans la peau
Comme un homme sur terre
Croit que c'est pour bientôt
La toute fin de l'univers
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
Je t'ai dans la peau
Comme on est pris de fièvre
Et trempé jusqu'au os
On réclame tes lèvres
Je t'ai dans le sang
Je t'ai dans ma chaire
Je t'ai de toute façon
C'est la seule chose qui est clair
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
Il y a une vie avant
Y'a-t-il une vie après
Moi c'est la vie pendant
Que je veux me taper
J'y tiens tellement
Je n'aurais jamais pensé
Y planter mes dents
Jusqu'à en saigner
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Je t'ai dans mon âme
Comme un souffle le soir
La braise sous les flammes
Je t'ai dans la peau
Comme un homme sur terre
Croit que c'est pour bientôt
La toute fin de l'univers
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
Je t'ai dans la peau
Comme on est pris de fièvre
Et trempé jusqu'au os
On réclame tes lèvres
Je t'ai dans le sang
Je t'ai dans ma chaire
Je t'ai de toute façon
C'est la seule chose qui est clair
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
A l'attaque
A l'attaque
A l'attaque
Même en vrille
Même en vrac
Il y a une vie avant
Y'a-t-il une vie après
Moi c'est la vie pendant
Que je veux me taper
J'y tiens tellement
Je n'aurais jamais pensé
Y planter mes dents
Jusqu'à en saigner
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Touché mais pas coulé
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Tout ce qu'on aurait dû se dire
Tout ce qu'on a cru bien faire
Tout ce qu'au aurait dû maudire
Tout ce qui devait rester derrière
Tout ce qu'on n'a pas vu venir
Tout ce qu'on a laissé faire
Tout ce qu'on aurait dû nous endurcir
Tout ce que nous ont appris nos pères
Tout ce qui ne devait pas se trahir
Tout ce qui n'était pas dans nos manières
Tout ce qui aurait dû nous assouvir
Quand on a fait le nécessaire
Tout ce qu'on aurait dû saisir
Tout ce qui flottait dans l'air
Tout ce qui aurait dû nous attendrir
Tout ce que nous ont appris nos mères
Tout ce qui aurait dû surgir
Mais qui est resté sous terre
Tout ce qui nous faisait plaisir
Tout ce qui relevait de la chair
Tout ce qui était de l'ordre du désir
Mais qui est tombé en poussière
Tout ce qui peut advenir
Quand on ne fait plus de prières
Tous les matins où l'on veut vomir
Tout ce qui nous rendait si fiers
Tout ce qui devait nous faire rire
Et qui nous fait tomber par terre
Tout ce qu'on veut maudire
Tout ce pourquoi on jette des pierres
Tous les regrets qui veulent salir
Qui vous rejettent à la mer
Tout ce qu'on aurait dû se dire
Tout ce qu'on a cru bien faire
Tout ce qu'on aurait dû maudire
Tout ce qui devait rester derrière
Tout ce qu'on n'a pas vu venir
Tout ce qu'on a laissé faire
Tout ce qui aurait dû nous endurcir
Tout ce que nous ont appris nos pères
Désolé pour la poussière
Désolé pour la poussière
Désolé pour la poussière
Tout ce qu'on a cru bien faire
Tout ce qu'au aurait dû maudire
Tout ce qui devait rester derrière
Tout ce qu'on n'a pas vu venir
Tout ce qu'on a laissé faire
Tout ce qu'on aurait dû nous endurcir
Tout ce que nous ont appris nos pères
Tout ce qui ne devait pas se trahir
Tout ce qui n'était pas dans nos manières
Tout ce qui aurait dû nous assouvir
Quand on a fait le nécessaire
Tout ce qu'on aurait dû saisir
Tout ce qui flottait dans l'air
Tout ce qui aurait dû nous attendrir
Tout ce que nous ont appris nos mères
Tout ce qui aurait dû surgir
Mais qui est resté sous terre
Tout ce qui nous faisait plaisir
Tout ce qui relevait de la chair
Tout ce qui était de l'ordre du désir
Mais qui est tombé en poussière
Tout ce qui peut advenir
Quand on ne fait plus de prières
Tous les matins où l'on veut vomir
Tout ce qui nous rendait si fiers
Tout ce qui devait nous faire rire
Et qui nous fait tomber par terre
Tout ce qu'on veut maudire
Tout ce pourquoi on jette des pierres
Tous les regrets qui veulent salir
Qui vous rejettent à la mer
Tout ce qu'on aurait dû se dire
Tout ce qu'on a cru bien faire
Tout ce qu'on aurait dû maudire
Tout ce qui devait rester derrière
Tout ce qu'on n'a pas vu venir
Tout ce qu'on a laissé faire
Tout ce qui aurait dû nous endurcir
Tout ce que nous ont appris nos pères
Désolé pour la poussière
Désolé pour la poussière
Désolé pour la poussière
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
J'ai perdu ton joli goût ma chère
Cette nuit sous les étoiles
Et je ne sais plus trop quoi faire
Je me sens seul, je me sens sale
Et ça me fout un peu en l'air
D'être bon que pour les râles
Titubant sous les réverbères
Qui me rendent encore plus pâle
Toute la nuit bière sur bière
A la recherche d'un animal
Qui se laisserait faire
Pour qui ce serait égal
D'avoir un homme droit et fier
Ou un qui s'étale
Et qui jure contre la terre
Et la mer et les étoiles
Sans un regret, sans un adieu
Sans un soupir, sans un remords
J'ai perdu le goût de la chair
Cette nuit après le bal
Et ça me fout le cul par terre
Dans les endroits un peu sales
Qui sentent si bon la bière
La bonne chaleur de l'animal
Qui se demande qui a salé la mer
Qui a sali la terre, ça t'est égal
Sans un regret, sans un adieu
Sans un soupir, sans un remords
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Les surdoués dans l’histoire de la musique Résume de la conférence du 8 juin 2015 donnée par M. André Peyregne, Directeur du Conservatoire à rayonnement régional de la ville de Nice. Le sujet des enfants surdoués est une nouveauté qui apparaît dans les années 1970 en termes de pédagogie dans différents pays dont la Russie et le Canada. La France, baignée dans l’ambiance post révolution 68, reste réfractaire à ce qu’elle considère comme de l’élitisme. Un premier congrès se tiendra en 1970 à Londres. Il sera mis en évidence que ces enfants, bien que très doués, sont parfois en échec scolaire et tombent ensuite dans la délinquance, faute d’un encadrement adapté. Beaucoup de parents sont persuadés qu’ils ont un enfant surdoué, mais peu d’enfants le sont réellement. Certains enfants sont hors du commun jusqu’à l’adolescence puis disparaissent complètement du monde musical. Tout l’intérêt d’un pédagogue est de trouver quelle étape précise a été ratée et par qui dans la prise en charge de ces enfants. Isaac Albeniz est un de ces surdoués voyous dont on a failli rater l’éducation. 2 Lors d’une interview de Paul Paray, grand chef d’orchestre, M. Peyregne lui demandait de raconter l’évènement le plus marquant de sa longue carrière. Il répondit : « Quand j’ai rencontré Yéhudi Ménuhin ». Des parents viennent le voir des Etats-Unis à Paris pour auditionner leur enfant qu’ils qualifient, à l’instar de nombreux parents, de surdoué. M. Paray, fatigué d’avance donne malgré tout son accord pour une audition à l’entracte d’une répétition. Arrive un enfant de 10 ans. A la question « que veux-tu jouer ? » il répondit « « Tout ce que vous voulez ». Ce fut le cas, il pouvait tout jouer de façon éblouissante et fut engagé sur le champ. Il avait plus qu’une connaissance innée de la musique. On peut améliorer sa technique, on peut cultiver son talent, mais un don ne s’apprend pas. Tous les compositeurs connus étaient, chacun à leur façon, surdoués, à l ‘instar de Piotr Tchaïkovsky qui composa à 3 ans sa première chanson. A 5 ans, il lit mieux la musique que son professeur de piano. A/ Les musiciens surdoués 1/Mozart C’est le premier auquel tout le monde pense en terme de surdoué. Son père l’exhibe devant toutes les cours européennes. A 5 ans, en représentation à la cour de Vienne, il glisse sur le parquet devant une jeune fille qui l’aide à se relever. Il tombe sous le charme et lui demande de l’épouser. Celle-ci aura un autre destin en épousant Louis XVI, il s’agissait de Marie-Antoinette ! A 8 ans, il compose sa première symphonie en do majeur parfait en début d’œuvre. Ses musiques composées jusqu’à sa mort auraient pu être composées par d’autres et être qualifiées d’ordinaires sans ce trait de génie qui les illumine et qui transcrit son génie. 3 Les circonstances de la création à Prague de Don Juan sont exceptionnelles. La veille de la représentation, il n’a pas encore composé l’ouverture. Il la compose dans la nuit et réalise les parties d’orchestre pour chaque instrument directement et de façon séparée. Seul un ordinateur pourrait y arriver. A 14 ans il est invité en Italie. La Pape lui fait visiter la chapelle Sixtine dans laquelle est joué le Miserere d’Allegri. Cette œuvre à 9 voix ne devait être interprétée que dans la chapelle Sixtine. Elle n’était pas retranscrite pour la rendre impossible à reproduire ailleurs. Mozart l’écoute et la retranscrit voix par voix dans le plus grand secret plus tard à Londres. A la différence de Chopin qui était un génie du piano, de Paganini qui était un génie du violon, Mozart était un génie de la musique dans son intégralité et non d’un seul instrument. D’autres hommes ont marqué par leur géni : - Blaise Pascal était un pur génie des mathématiques et a créé la première calculatrice, la « Pascaline ». - M. Gauss dont la courbe éponyme est toujours utilisée en probabilité, corrigeait les comptes de son père à l’âge de 2 ans. - Sir William Hamilton, mathématicien et astronome, lisait la Bible à 3 ans et parlait 5 langues (grec, latin, chinois, hindou et hébreu) à 5 ans pour en parler 15 à 13 ans. - Idem pour Goethe 2/Rossini Le 2ème repère dans l’histoire des surdoués de la musique est ce compositeur italien issu d’une famille de musiciens. Il apprend seul la musique en suivant ses parents dans leurs tournées. A la différence de Mozart, dont les œuvres de jeunesse (8 ans) ne sont plus jouées, les œuvres de Rossini composées à 12 ans sont encore jouées dans le monde entier. En particulier ses sonates pour Orchestre. 4 3/ Chopin A 8 ans, il éblouit l’aristocratie polonaise et en particulier la cour de Russie et le Grand Duc Konstantin qui est lui même pianiste. A 15 ans il compose ses variations dont Robert Schumann dira « chapeau bas messieurs, c’est un génie ». 4/ Liszt Il apprit le piano seul et retranscrit au piano un concerto que son père interprétait au violon. Il suivra les cours de Czerny, ancien élève de Beethoven. 5/ Mendelssohn A la différence des autres musiciens précédemment cités, il a eu la chance d’évoluer dans un milieu très favorisé. Il s’intéressait à tous les arts et aurait pu être plus que le compositeur de la « marche nuptiale » s’il n’avait pas souffert d’une fragilité psychologique. Il est pour M. Peyregne le compositeur qui a composé le plus grand chef d’œuvre de jeunesse (il avait 15 ans) de l’histoire de la musique. 6/ Camille Saint Sens Ce musicien à la longévité exceptionnelle (il est mort à 86 ans en 1921) a eu le parcours caractéristique d’un enfant précoce. A 3 ans et demi il se met au piano et absorbe la technique d’apprentissage de l’époque (la méthode Le Carpentier) en 3 mois. A 4 ans et demi il joue en concert une sonate de Beethoven. A 10 ans il joue du Beethoven et du Mozart en concert salle Pleyel. 7/ Paganini En 1782, ce fils de docker à Gênes est encore dans le ventre de sa mère quand celle-ci, la veille de son accouchement, voit le diable qui lui demande ce qu’elle veut que son fils devienne. Elle répond « violoniste ». 5 Il révolutionnera le violon avec la technique du pizzicato et du jeu en double corde. De passage à Nice pour un concert, un aveugle assistant à sa représentation demanda combien il y avait de musiciens sur scène. « Ils sont 1 » lui répondit-on. « S’ils sont 1, c’est le Diable, partons » répondit l’aveugle. 8/ Schubert Sa première symphonie écrite à l’âge de 13 ans dénote, dans son passage lent, une maturité et une émotion incroyable. B/ Le devenir de ses jeunes surdoués Si tous ces compositeurs ont été des enfants précoces, certains se sont éteints après l’adolescence, tombant dans un oubli total. Le problème majeur auquel tout pédagogue est confronté face à ces enfants est de savoir comment prendre en charge leur éducation. Qui se souvient de Pilar Osario, de Maria Brochard et de tant d’autres petits génies. WilliamCrotch, le plus précoce, harmonisait le God Save The King à l’âge de 2 ans et 3 semaines. Son nom n’est pas tombé dans l’oubli total car il devint directeur de la Royal Académy de Londres en 1822. La solution à ce problème se trouve sans doute dans l’exemple du parcours d‘Isaac Albeniz. Cet espagnol joue à 3 ans du piano. Sa scolarité est chaotique tant il s’ennuie. A13 ans il embarque clandestinement sur un bateau en partance pour l’Amérique du Sud. Découvert en cour de traversée, il est mis au piano durant le trajet. Il jouera ensuite dans des bars et des cabarets. Lassé, c’est un voyou qui rentre en Europe jusqu’à ce moment capital de son existence : sa rencontre avec un professeur de musique qui saura guider son talent en le 6 comprenant. Il s’agit de Frantz Liszt qui le réinstallera dans sa vie et dans son art. De nombreux jeunes talents n’ont pas eu cette chance ou cette opportunité. Il est donc fondamental pour tout pédagogue de trouver une place et un référent pour ces enfants particuliers. C/Questions posées par les participants à cette conférence. - Qu’est–ce que l’oreille absolue ? Il s’agit de l’aptitude à reconnaître chaque note. Mais le plus important est l’oreille relative qui permet de jouer juste par rapport aux autres dans une formation. Dans un orchestre philharmonique, le hautbois donne le la, repris par le 1er violon solo qui le donne pour l’orchestre. Aujourd’hui, les cordes de piano sont accordées à 445 hertz alors qu’elles l’étaient à 440 hertz auparavant et les nouveaux matériaux utilisés permettent de tendre encore plus les cordes. Les chanteurs ont de plus en plus de mal à suivre car le diapason a monté. - Quels enfants surdoués avez vous rencontré ? M. Peyregne nous parle de son expérience personnelle avec Jean Dubé, David Kaddouch et Lionel Bringuier. Discographie : Symphonie N°1 de Mozart Miserere d’Allegri Sonate N°2 pour Orchestre de Rossini 1ère Symphonie de Schubert Tango d’Albeniz
http://aopmc.com/wp-content/uploads/2015/06/RESUME-CONFERENCE-8-juin-2015.pdf
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Les profils de Betts George Betts et Maureen Neihart (Canada) en 1988 ont mis au point des profils d’élèves doués.
Les élèves doués sont répartis en six profils. Les types 2, 3, 4 et 5 sont des profils caractérisés par des traits qui peuvent occulter les possibilités élevées de ces élèves. Voici un aperçu des six profils (Tiré de : Autonomous learner model: optimizing ability, (édition révisée, augmentée et mise à jour), (p. 32–34), G. T. Betts et J. K. Kercher, 1999, Greeley, Colorado, Autonomous Learning Publications and Specialists).
Type 1 — L’élève doué qui réussit bien : Ces élèves apprennent bien et obtiennent de très bons résultats aux tests d’intelligence. Ils recherchent ardemment l’approbation des personnes qui jouent un rôle dans leur vie, sont conformistes, dépendants et perfectionnistes. Il leur arrive rarement d’éprouver des troubles de comportement à l’école.
Type 2 — L’élève doué hardi et divergent : Ces élèves sont extrêmement créatifs. Toutefois, ils peuvent sembler obstinés, manquer de tact ou être sarcastiques. Ils ne se conforment pas au système scolaire. Souvent, leurs interactions peuvent être à la source de conflits, car ils ont tendance à corriger les adultes, à mettre les règles en doute, à exercer une mauvaise maîtrise d’eux-mêmes et à défendre leurs convictions, tant à l’école qu’à la maison.
Type 3 — L’élève doué effacé : Ces élèves refusent d’admettre leurs talents parce qu’ils veulent être acceptés par les autres. Souvent, il s’agit de filles en fin d’études primaires ou en début d’études secondaires qui veulent être acceptées par leurs pairs. Ces élèves résistent aux défis, manquent d’assurance, sont frustrés et souvent, ont une mauvaise estime de soi.
Type 4 — L’élève doué décrocheur : Ces élèves en veulent aux adultes, à la société et à eux-mêmes, car ils estiment que le système n’a pas su répondre à leurs besoins depuis un certain nombre d’années. Ils ont une mauvaise estime de soi, se sentent rejetés et souvent, sont amers et ont de la rancœur. Il peut s’agir d’élèves qui dérangent et exploitent les autres ou encore, d’élèves effacés. Ils ne font pas leurs travaux scolaires, donnent un rendement qui n’est pas uniforme et semblent posséder des aptitudes moyennes ou inférieures.
Type 5 — L’élève doué à double étiquette : Malgré leurs possibilités élevées, ces élèves ont soit des troubles d’apprentissage, soit des troubles affectifs. En général, ils produisent du travail de qualité inférieure ou incomplet parce que l’échec peut présenter une source d’anxiété. Souvent, ils affichent des comportements perturbateurs et ne sont considérés que comme des élèves moyens. Ils sont tendus, découragés, frustrés ou désespérés.
.../...LES SITUATIONS
Luc ou la reconnaissance scolaire Luc est un enfant de CE2 qui s'est révélé tôt, en GS, à fort potentiel et qui a un an d'avance. Il était l'année précédente en difficulté. Les difficultés étaient scolaires, il était mauvais élève, il lisait mal. Il était estimé difficile, il n'écoutait pas et se traînait dans les allées pendant la classe. Après examens et concertations avec les parents et l'école, les constats suivants sont faits : Points faibles modifiables : écriture, motricité fine, n'aime pas lire. non modifiables : hypersensibilité, désordonné, distrait Points forts apparents : langage, attention, curiosité, bon nageur, endurant à la course, altruiste. non apparents : intérêts sélectifs , invente, ne ment pas, très autonome. Ces constats sont partagés avec l'enseignante. Groupe EIP 74 17 Deux types d'action sont donc envisagées: • L’enseignante privilégie des expressions d'intérêts et de communications non verbales avec l'élève (regards de connivence, sourire, etc.). • L’enseignante valorise la présence de Luc au sein de la classe, ses interventions, pour permettre la multiplication des liens avec les autres élèves, la manifestation d'échanges généreux et le partage de connaissances diverses. Bilan des actions : L'enfant prend la parole souvent et enrichit les moments d'échanges. Par les liens établis lors des moments de réussite dans la classe, l'enfant est devenu populaire d'autant qu'il aime les autres. Le sentiment d'équité créé amplifie ses capacités à être présent dans la classe. Ses intérêts en secteur sont valorisés, les engins à moteur par exemple mais aussi d'autres activités comme des pliages très sophistiqués. Le lien avec l'enseignante est très fort. Conséquences : Les parents constatent des modifications à la maison très positives confirmées par les amis de la famille. Il est plus heureux de vivre. En classe, l'enfant est devenu un excellent élève, il occupe même une partie de ses temps libres en lisant.
Jasmine ou la reconnaissance familiale Jasmine est une petite fille maghrébine de CM1, elle est à l'âge normal. Elle ne parait pas heureuse en classe, elle s'estime en échec scolaire, toutes ses copines sont meilleures qu'elle. Elle pense qu'elle a des difficultés scolaires partout. Les examens montrent que l'enfant a un fort potentiel. Après examens et entretiens avec la famille et l'enseignante, les constats suivants sont faits : Points forts apparents: langage, curieuse. non apparents: connaissances étendues,modestie non feinte, gratitude qui dure, ambition altruiste. Points faibles modifiables: évaluation de ses capacités, estime de soi, qualité des liens. difficilement modifiables : sensibilité invalidante, orthographe. Groupe EIP 74 18 Les parents dévalorisent cette enfant, elle est estimée en difficulté scolaire, elle a vu une orthophoniste, l'enfant accuse ces constats qu'elle accepte. En fait, elle est excellente en mathématique, au niveau moyen de CM1 en lecture, se montre curieuse mais cette curiosité est estimée drolatique, « pourquoi la parole est venue ... à quoi ça sert les arbres? » Elle a des difficultés en grammaire et orthographe d'usage. La famille définit l'enfant par ce qu'elle ne sait pas faire et non l'inverse. L'enfant fait de même. Ces constats sont partagés avec le maître E et l’enseignante. Au niveau de la classe, seule l'attention de la maîtresse est invitée à se modifier (reconnaissance et valorisation) Avec le maître E, le nombre des séances d'aide est augmenté dans la semaine. Avec la famille, des conseils sont donnés afin que le travail en grammaire soit soutenu. Bilan des actions: La révélation de la précocité a généré l'incrédulité familiale, la fierté enfantine, l'intérêt des enseignants. Maintenant, l'enfant a changé, la famille aussi, le maître E s'occupe de l'enfant, des exercices spécifiques se feront à la maison, le fort intérêt très contrôlé de l'enfant pour les ordinateurs valorisé et réorienté. L'enfant s'est remise au travail avec l'idée qu'une difficulté pouvait ne pas empêcher que le reste soit bon et tout le monde autour d'elle l'admet.
Mathieu ou la souffrance de la vie Mathieu est un petit garçon de CP à fort potentiel ayant un talent, le dessin. Il est hypersensible et ne supporte pas les conséquences des variations minimes des contextes. Il ne peut exprimer ses possibilités que dans des lieux connus, là ses possibilités qui sont grandes peuvent se voir. Un rien le dérange, un chat, une araignée, une porte, il peut s'insurger contre des événements, en éprouver du désespoir et vouloir mourir. Expert en puzzles, le cerveau en ébullition fréquemment mais qui se met en veille lors d'excès de sensations, il peut paraître absent, ne rien comprendre, savoir peu, se mettre en échec scolaire, arrêté par un événement scolaire qui peut sembler mineur. Après examens de l'enfant et entretiens avec les enseignants et les parents, les constats suivants sont faits : Groupe EIP 74 19 Points forts apparents : dessine comme un adulte doué non apparents : intelligent, langage, mémoire, intérêt pour les animaux Points faibles modifiables : n’apprend pas non modifiables : hypersensibilité, sentiment d'injustice, n'aime pas les autres, n'aime pas les collectifs, n'aime pas l'école, besoin de secours, d'assistance. Une discussion s'est faite avec la maîtresse de la classe et la directrice. Il s'agissait de savoir comment installer Mathieu dans la classe et l'école, comment pourrait-il y trouver une place. Avec les parents, leur collaboration a été requise pour engager à la maison une méthode familiarisant l'enfant avec les apprentissages de la lecture. Des aménagements matériels ont été réalisés à la maison pour que les obstacles rencontrés par l'enfant à l'école se règlent aisément. L'enfant parait envahi en classe et à l'école par ses peurs. II a peur en fait de lui. Mais il est aussi apparu qu'il peut apprendre. II est donc probable que s'il se met dans les apprentissages, l'école ne sera plus un lieu de peur mais aussi un lieu de plaisir par le succès. C'est ce qui s'est passé. Mathieu en ce moment n'a plus très peur et apprend, le travail des parents à la maison s'est combiné avec celui entrepris en classe. Sa peur reste présente mais elle est maitrisée, elle réapparaitra évidemment plus tard, ce sera alors l'occasion d'autres interventions pour d'autres événements
.../...
Des besoins
Besoin de reconnaissance : porter sur eux (comme sur tous les élèves « un peu plus différents que les autres ») un regard bienveillant et compréhensif. Ceci impose, en amont, un repérage précoce et une analyse juste de leur situation, si complexe soit-elle. Besoin de prévention, de remédiation et, parfois, de soin.
Besoin de motivation : qu’ils puissent trouver en classe des réponses aux questions qu’ils se posent, des connaissances, mais aussi une aide et des stimulations. Il convient qu’ils soient heureux d’aller à l’école.
Besoin d’équilibre : l’école doit aussi compenser leur tendance à surinvestir les domaines intellectuels. Pas à pas, ils doivent être accompagnés dans leur éducation sociale, physique, affective, morale. Ils ont à aller vers les autres, à apprendre à travailler avec eux, à découvrir l’importance de l’intelligence du geste, à passer par le détour des méthodes et de l’organisation pour être efficaces, à se montrer capables de bien dessiner, de remettre aux autres des travaux propres et bien présentés.
.../...
Ce guide est fait aussi pour les enseignants du terrain qui, chaque jour dans
« les petits héroïsmes cachés du quotidien »
http://www.ac-grenoble.fr/ecole/74/directeurs74/IMG/pdf_pdf_Guide_enseignant_mai_10.pdf
[Couplet 1 : Mitoff]
Aussi, si t'es sensible et né sans ciel bleu
Tu t'sentais invincible, t'en devenais sérieux
T'as pas la fin des sigles, t'aimes pas la fin des Six
C'est pas la fin du film, ne pars pas, ne fais pas l'imbécile
Ne te cache pas, ton pote est là, montre tes larmes
T'as plus l'choix, t'es pas faible si t'as pas les armes
Ouvre-toi si on t'enferme, ne reste pas qu'dans l'erreur
Tu stresses pendant des heures, incapable de l'affirmer
Coupable de la fermer ; pourquoi t'enfouis tes sentiments ?
Tu t'entêtes à faire n'imp', pour moi, tu t'enfuis gentiment
Tu fais l'dur pour la société, besoin de stabilité
Manque de sensibilité, personne n'est sensibilisé
C'est sans civilité que j'm'en vais cracher sur leur tombe
[XXX] s'est fait à l'idée ; pour la cible, j'n'ai pas la bombe
Pour la suite, c'n'est pas la peine, on verra bien où ça mène
Si l'Homme est sensé, il montrera aux autres sa peine
[Couplet 2 : Sans E]
Pas d'place pour les timides, pas d'ça dans ton monde
Et, si l'erreur est humaine, la connerie est immonde
"Articule ; tiens-toi bien ; tu fais aucun effort
Réfléchis, la prochaine fois", t'as raté ton effet
Il faut être fort, il faut être fier, il faut pas baisser les bras
Faut d'l'assurance, faut rassurer s'tu veux pas baiser les draps
Faut être un sale type, à court terme, j'crois qu'c'est ça, l'top
Un seul pitre tout au fond d'la salle avec ses cinq potes
Pas d'place pour le doute, faut pas hésiter
Ou bien, en classe comme au foot, poto, tu vas déguster
Et, quand tes larmes coulent, prends bien soin de les cacher
Car la grande foule aura tôt fait de te bâcher
T'es triste, t'es gay, t'es geek, t'es laid
De la com', t'es handicapé et, les risques, ça te plaît
Si t'as du mal à porter ce masque social, c'est normal
Les sensibles se feront une place à coups d'lame
[Couplet 3 : Krunch]
Drôle d'époque où les crocs sont d'sortie
Les crans d'arrêt [?en sang?], les crasses dans les orties
L'ego ne s'en sort que s'il s'endurcit
À tort, j'ai placé le sensible en sursis
J'ai paradé sans cœur juste pour faire comme
Craché, pissé sur mes pleurs pour devenir un homme
Un vrai, un dur, un golgot en béton
Un pur gogole que plus rien ne fait 'ber-tom'
Disques en main, ça disque et cogne
Coupent court aux discours mais disent qu'ils donnent
Peu c'qu'ils pensent, pense c'qu'il peut
Pestent, questionnent lorsqu'il pleut
Erreur système ou bug de la matrice
Lourd fist si j't'aime, excusez si ça m'attriste
Esquiver la peine est devenu rentable
Le sensible bien au fond de mon cartable
[Couplet 4 : H-Tône]
Ça joue les rudes, s'veut [?l'écoulé loup des rues?]
Affolé d'rue, joue des coudes, suis les codes et loue les durs
[?Bois-la, là, qu'une?] gueule au goulot voit l'écume
Et, si l'œil dégueule, c'est que la goule écoulait d'ssus
Les sentiments se troquent contre des centimes, [?des cracks, comprend?]
Le ciment colmate, contemple [?un grime?] de sales cons
Ça voue des cultes à des brutes à l'affût
V'là les cas d'étude au goût de roue, de bêtes en rûte
Marquer les territoires monarques et lutter
[XXX] t'es ridé, des rites et retards réitérés
L'air s'y perd, y croit, terre-à-terre, l'idée pourrie périt
Mais [?il paraît?] d'plaire? aux fiers, en vérité
Si les hommes, les vrais, ne versent jamais une larme
Deviens un homme, un vrai, deviens une arme
Si les pleurs ne peuvent couler sur les joues des hommes vrais
Alors, homme, tu l'es comme un tabouret
Aussi, si t'es sensible et né sans ciel bleu
Tu t'sentais invincible, t'en devenais sérieux
T'as pas la fin des sigles, t'aimes pas la fin des Six
C'est pas la fin du film, ne pars pas, ne fais pas l'imbécile
Ne te cache pas, ton pote est là, montre tes larmes
T'as plus l'choix, t'es pas faible si t'as pas les armes
Ouvre-toi si on t'enferme, ne reste pas qu'dans l'erreur
Tu stresses pendant des heures, incapable de l'affirmer
Coupable de la fermer ; pourquoi t'enfouis tes sentiments ?
Tu t'entêtes à faire n'imp', pour moi, tu t'enfuis gentiment
Tu fais l'dur pour la société, besoin de stabilité
Manque de sensibilité, personne n'est sensibilisé
C'est sans civilité que j'm'en vais cracher sur leur tombe
[XXX] s'est fait à l'idée ; pour la cible, j'n'ai pas la bombe
Pour la suite, c'n'est pas la peine, on verra bien où ça mène
Si l'Homme est sensé, il montrera aux autres sa peine
[Couplet 2 : Sans E]
Pas d'place pour les timides, pas d'ça dans ton monde
Et, si l'erreur est humaine, la connerie est immonde
"Articule ; tiens-toi bien ; tu fais aucun effort
Réfléchis, la prochaine fois", t'as raté ton effet
Il faut être fort, il faut être fier, il faut pas baisser les bras
Faut d'l'assurance, faut rassurer s'tu veux pas baiser les draps
Faut être un sale type, à court terme, j'crois qu'c'est ça, l'top
Un seul pitre tout au fond d'la salle avec ses cinq potes
Pas d'place pour le doute, faut pas hésiter
Ou bien, en classe comme au foot, poto, tu vas déguster
Et, quand tes larmes coulent, prends bien soin de les cacher
Car la grande foule aura tôt fait de te bâcher
T'es triste, t'es gay, t'es geek, t'es laid
De la com', t'es handicapé et, les risques, ça te plaît
Si t'as du mal à porter ce masque social, c'est normal
Les sensibles se feront une place à coups d'lame
[Couplet 3 : Krunch]
Drôle d'époque où les crocs sont d'sortie
Les crans d'arrêt [?en sang?], les crasses dans les orties
L'ego ne s'en sort que s'il s'endurcit
À tort, j'ai placé le sensible en sursis
J'ai paradé sans cœur juste pour faire comme
Craché, pissé sur mes pleurs pour devenir un homme
Un vrai, un dur, un golgot en béton
Un pur gogole que plus rien ne fait 'ber-tom'
Disques en main, ça disque et cogne
Coupent court aux discours mais disent qu'ils donnent
Peu c'qu'ils pensent, pense c'qu'il peut
Pestent, questionnent lorsqu'il pleut
Erreur système ou bug de la matrice
Lourd fist si j't'aime, excusez si ça m'attriste
Esquiver la peine est devenu rentable
Le sensible bien au fond de mon cartable
[Couplet 4 : H-Tône]
Ça joue les rudes, s'veut [?l'écoulé loup des rues?]
Affolé d'rue, joue des coudes, suis les codes et loue les durs
[?Bois-la, là, qu'une?] gueule au goulot voit l'écume
Et, si l'œil dégueule, c'est que la goule écoulait d'ssus
Les sentiments se troquent contre des centimes, [?des cracks, comprend?]
Le ciment colmate, contemple [?un grime?] de sales cons
Ça voue des cultes à des brutes à l'affût
V'là les cas d'étude au goût de roue, de bêtes en rûte
Marquer les territoires monarques et lutter
[XXX] t'es ridé, des rites et retards réitérés
L'air s'y perd, y croit, terre-à-terre, l'idée pourrie périt
Mais [?il paraît?] d'plaire? aux fiers, en vérité
Si les hommes, les vrais, ne versent jamais une larme
Deviens un homme, un vrai, deviens une arme
Si les pleurs ne peuvent couler sur les joues des hommes vrais
Alors, homme, tu l'es comme un tabouret
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je n'ai retenu le pseudo du chat du chat qui m'a fait trouvé ça Merci !!!
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Présentation
Le nombre de demandes de consultations pour le motif « est-il surdoué ? » ne fait qu’augmenter. Les praticiens confrontés aux pièges de cette question ont parfois du mal à garder leur regard clinique devant cette interrogation qui vient implicitement valider l’existence de cette prétendue nouvelle nosographie. Mais que cache donc l’inflation actuelle du signifiant surdoué ? D’où vient donc cet attachement récurrent et obstiné à la valeur de l’intelligence ? Est-ce une fois de plus un moyen d’éluder la question du désir et des théories sexuelles infantiles ? Que vient masquer la reprise dans la dynamique familiale de ce signifiant érigé dans le social ? Ne peut-on craindre que ces enfants, à faire ces économies, n’en paient ultérieurement et diversement le prix, selon ce qu’il leur est demandé de soutenir ou de mimer comme objet au regard de l’idéal ? Cet ouvrage se propose de soutenir une démarche clinique et thérapeutique face à ce signifiant « surdoué » qui a l’art d’arrêter la pensée et de provoquer en chacun le sentiment d’être éjecté de sa place symbolique (parents, enseignants, professionnels et bien sûr l’enfant en premier lieu). Se peut-il que ce ne soit pas le signifiant « surdoué » lui-même qui provoque ces embarras, mais la manière dont actuellement il est articulé et manipulé par le social ? Ce livre montre les tentatives de praticiens pour redonner une dynamique à ce signifiant dictatorial. Il poursuit la réflexion entamée avec le numéro 18 du Journal français de psychiatrie.
https://www.cairn.info/la-culture-des-surdoues--2749206677.htm
https://www.cairn.info/la-culture-des-surdoues--2749206677.htm#summary
----------------------------------------------------------------------------------------------------------Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2015/06/sintomas.jpg
5 symptômes de l’intoxication émotionnelle
Je me sens vulnérable, je m’énerve facilement et je ressens régulièrement le besoin de m’éloigner et laisser les choses en plan. Je passe en quelques millièmes de secondes de l’intérêt à l’indifférence, un projet me passionne aussi rapidement qu’il m’ennuie terriblement.
Je vis sur une montagne russe perpétuelle, le rire et les larmes m’accompagnent et me déstabilisent aux moments les plus inattendus. Il m’est difficile de laisser de côté mes préoccupations actuelles et passées et l’insécurité règne dans ma vie.
Je réagis souvent de façon disproportionnée et je n’arrive pas à expliquer clairement mes pensées et mes émotions, et cela m’apporte beaucoup de problèmes. Je ne me sens pas non plus à l’aise avec quoique ce soit ou qui que ce soit, je sens que je me noie et que j’ai constamment besoin de quelqu’un qui me tienne par la main…
Vous identifiez-vous ou identifiez-vous quelqu’un dans ces mots ? Cela pourrait parfaitement être le discours d’une personne sous les effets de l’intoxication émotionnelle.
Mais sommes-nous capables d’interpréter l’intoxication émotionnelle ?
Si vous passez ou vous êtes passés par des moments de lourde charge émotionnelle, il est probable que vous soyez intoxiqué.
Les causes en sont nombreuses, car nous sommes des êtres émotionnels dans notre totalité, mais, quelque soit le cas, l’intoxication émotionnelle est la conséquence de ne pas accorder suffisamment de temps pour cultiver notre intérieur.
1- Vos perceptions ne sont plus claires
Vous êtes en train de regarder le monde au travers des lunettes des émotions, et vous n’ écoutez ni vous-même ni les autres, car cela vous semble une perte de temps, bien que rien ne soit plus loin de la réalité.
Cela peut occasionner de la nervosité et de l’impatience ou bien des réactions émotives inattendues, hors de votre contrôle, puisque vous ne savez pas comment gérer ce qui arrive.
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2- Vos peurs font surface
Vos peurs et tout ce qui est lié à votre sentiment d’insécurité remontent à la surface et dirigent votre vie. Vous êtes devenu plus réactif et vous êtes bien souvent sur la défensive.
Votre estime personnelle est au ras des pâquerettes et vous vous sentez vulnérable face à n’importe quel événement.
Vos forces flanchent, et vos émotions vous empêchent de voir clairement ce que vous valez et ce que vous êtres capable de faire. Cela développe votre dépendance émotionnelle, à tel point que parfois vous pensez ne rien pouvoir faire seul.
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3- Votre blocage émotionnel vous empêche d’avancer
Laissez le champ libre à nos réactions émotionnelles sans les passer par le filtre mental, limite notre capacité de communication et d’action.
Il est fréquent que des personnes dans cette situation se retrouvent dans des schémas face auxquels elles ne savent pas répondre à cause de leur intoxication.
On peut dire qu’être intoxiqué émotionnellement empêche de penser avant de parler et de prendre les choses avec du recul.
Vous devez toujours avoir la tête froide, le coeur chaud et la main longue disait Confucius. Une réaction à chaud montre que ce sont nos émotions qui nous contrôlent et qui explosent selon nos impulsions. Agir ainsi, c’est agir en n’étant pas soi même.
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4- Un vertige émotionnel vous empêche de laisser de côté ce qui vous fait du mal
Le peur de lâcher peut se définir comme un vertige émotionnel, car ce n’est pas juste de la peur à l’état pur, c’est la peur d’affronter le vide laissé par la perte de quelque chose. C’est la peur du deuilpour la perte de notre amour pour le sacrifice, et de notre faiblesse pour le masochisme.
Vous vous sentez irritable si les choses ne se passent pas comme vous l’aviez imaginé, et vous sentez que si vous vous déviez un tant soit peu, s’ensuivra une hécatombe qui détruira votre vie.
Vous ne vous sentez pas capable de continuer votre vie si vous abandonnez ces habitudes ou ces personnes qui sont à vos côtés mais qui, vous le savez bien, ne sont pas tout à fait positives.
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5- Une paresse mentale dirige votre vie et votre capacité d’effort
Si vous êtes intoxiqué, il est probable que vous sentiez que vous n’avez pas écouté ce que les autres ont pu vous dire et que non seulement votre attention, mais aussi votre mémoire ont été sélectives de façon excessive.
Cela s’aggrave lorsque vous vous trouvez face à une discussion, vous commencez à déformer les mots entendus et à en tirer vos propres conclusions selon vos frustrations et problèmes.
Ce n’est pas que vous ne voulez pas bien faire, mais c’est pour vous un effort surhumain de considérer les choses selon différentes perspectives à propos de n’importe quel sujet. Vous n’avez pas la force nécessaire pour faire face à ces défis quotidiens.
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Comment agir face à l’intoxication émotionnelle ?
Il faut bien comprendre que lorsque quelqu’un est sous l’influence de ses émotions et de ses peurs, il se détériore énormément.
Il n’interprète pas les choses avec précision et il est enclin à faire ou à dire des choses qu’il pourrait ensuite regretter.
Face à ces problèmes, l’important est d’être conscient que nous sommes envahis d’émotions et que nous devons nous octroyer du temps pour nous en dépurer et les accepter.
Si nous apprenons à identifier ces 5 symptômes rapidement, nous nous rendrons compte à temps de notre état d’ébriété, et nous nous permettrons de réagir à temps pour rééquilibrer ces émotions.
Image principale : crédits de Little
En savoir plus sur http://nospensees.fr/5-symptomes-de-lintoxication-emotionnelle/#gx2GupcAv7mMTMyy.99
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Oh oui oh oui, fais moi Tétris, débloques moi le niveau supérieur, qu'on s'emboîte enfin !
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Abstraction (philosophie)
[ltr] Pour les articles homonymes, voir Abstraction.
[size=11]Cet article est une ébauche concernant la philosophie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2016).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?).
En philosophie, la notion d’abstraction renvoie à une opération de l'esprit par laquelle les propriétés générales, universelles, ou nécessaires et contingentes d'un objet sont distinguées de ses propriétés particulières, relatives. Elle peut également renvoyer aux produits de cette opération.
L'opération d'abstraction permet de distinguer entre l'abstrait et le concret. Ceux-ci forment une opposition conceptuelle qui est inscrite au programme de philosophie des classes de terminale, en France, pour les séries L, ES, et S, dans la catégorie « repères ».[/ltr][/size]
2Problèmes fondamentaux de l'abstraction
2.1Opposition de l'abstrait et du concret
2.2De l'abstraction aux abstractions
3Différentes théories de l'abstraction en philosophie
4Abstraction et science
5Notes et références
6Bibliographie
6.1Passage de l'abstrait au concret
7Voir aussi
[ltr]
L'abstraction peut consister à simplifier une réalité trop complexe pour être pensée. Il s'agit alors de négliger ce qui n'a pas d'importance ou de pertinence au profit de ce qui en a. Au sens de l'abstraction par simplification l'abstrait est nécessairement plus simple que le concret.
L'abstraction peut consister à remonter d'un ensemble d'éléments particuliers vers ce qui leur est commun. Elle se fonde sur la logiquedes classes. L'abstraction consiste alors à remonter d'éléments particuliers vers des classes toujours plus englobantes. Au sens de l'abstraction par généralisation l'abstrait est nécessairement plus général que le concret.
L'abstraction peut consister à isoler une propriété particulière de ses déterminations ou de ses relations. Au sens de l'abstraction par analyse l'abstrait est toujours plus pur ou mieux isolé que le concret.
L'opposition entre l'abstrait et le concret est le plus couramment comprise comme absolue. Tout ce qui est abstrait n'est pas concret et inversement. Mais l'opposition de ces termes ouvre plusieurs problèmes classiques en philosophie : [/ltr]
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]L'abstrait et le concret renvoient-ils à des réalités distinctes ou constituent-ils deux manières de voir une même réalité ?
[*]N'existe-t-il pas des degrés d'abstraction et de concrétude ?
[*]Peut-on penser ces termes d'une manière indépendante ou toute abstraction suppose-t-elle une contrepartie concrète et inversement ?
[*]Faut-il dire que seules les réalités abstraites existent absolument ? Ou faut-il au contraire affirmer que n'existent que les seules réalités concrètes ?
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[ltr]
Le terme d'abstraction renvoie en un premier sens à une opération de l'esprit, un processus, par lequel des propriétés abstraites sont mises en évidences. C'est ce que l'on appelle "l'abstraction" lorsque l'on parle, par exemple, des capacités d'abstraction d'un philosophe ou d'un mathématicien. Mais ce terme peut également renvoyer à ces propriétés elles-mêmes. On peut en effet considérer que des idées abstraites comme l'Être ou la liberté, mais aussi la blancheur ou le poids, constituent "des abstractions".
Cette distinction permet de formuler un problème classique :
- Faut-il considérer que les abstractions résultent du processus d'abstraction lui-même, et que celui-ci les construit voire les invente, ou dire au contraire que ce processus d'abstraction nous permet de retrouver des abstractions qui existent préalablement au fait que nous en prenions connaissance ?
On peut également tenir pour problématique l'unité même du concept de processus d'abstraction :
- N'existe-t-il pas plusieurs types d'abstraction différents et peut-être irréconciliables comme l'abstraction philosophique, mathématique, ou logique, ou encore des abstractions par simplification, généralisation ou sélection ?
Inversement la pluralité du concept d'abstraction lorsque l'on parle des abstractions particulières, comme la blancheur, le poids ou le bien, est également problématique :
- Affirmer qu'il existe une pluralité de réalités conceptuelles, véritablement indépendantes, ne permet pas de comprendre ce qui fait que l'on nomme chacune de ces abstractions une abstraction. Ne faudrait-il pas pour cela encore abstraire ce qui forme l'unité de ces abstractions afin d'atteindre à une abstraction absolue ?
La théorie des Idées, formulée par Platon, affirme l'existence réelle des Idées (abstraites), au détriment du sensible (concret).
La théorie de l'hylémorphisme, formulée par Aristote, considère que tout objet est formé de manière indissociable d'une matière (concrète) et d'une forme (abstraite[réf. nécessaire]).
La théorie purement analytique de l'abstraction formulée par Condillac. L'abstraction serait intégralement compréhensible à partir du concept d'analyse.
La théorie de la connaissance par esquisses d'Edmund Husserl, considère que les essences (abstraites) sont construites par l'abstraction d'une série de perceptions (concrètes).
En science, l'abstraction n'est pas l'opposition entre l'abstrait et le concret. Abstrait et concret sont dialectiquement liés. L'abstraction permet de s'éloigner de la réalité concrète, réduite à nos sens (empirisme, observation), afin de définir les phénomènes globaux constituant ainsi un cadre théorique. L'abstraction peut se définir comme un processus mental de décomposition/classification mais de telle manière que chaque partie du tout (unité de base ou cellule) soit significative et représentative au tout (sphère) et vice-versa. L'abstraction est une méthode du passage de l'abstrait au concret. Ou pour dire autrement, selon Paul Langevin, « Le concret est l'abstrait rendu familier par l'usage. »1.
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[ltr] Pour les articles homonymes, voir Abstraction.
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Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2016).
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En philosophie, la notion d’abstraction renvoie à une opération de l'esprit par laquelle les propriétés générales, universelles, ou nécessaires et contingentes d'un objet sont distinguées de ses propriétés particulières, relatives. Elle peut également renvoyer aux produits de cette opération.
L'opération d'abstraction permet de distinguer entre l'abstrait et le concret. Ceux-ci forment une opposition conceptuelle qui est inscrite au programme de philosophie des classes de terminale, en France, pour les séries L, ES, et S, dans la catégorie « repères ».[/ltr][/size]
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Sommaire
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- 1Différents types d'abstraction
- 1.1L'abstraction par simplification
- 1.2L'abstraction par généralisation
- 1.3L'abstraction par analyse ou par sélection
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Différents types d'abstraction[modifier | modifier le code]
L'abstraction par simplification[modifier | modifier le code]
L'abstraction peut consister à simplifier une réalité trop complexe pour être pensée. Il s'agit alors de négliger ce qui n'a pas d'importance ou de pertinence au profit de ce qui en a. Au sens de l'abstraction par simplification l'abstrait est nécessairement plus simple que le concret.
L'abstraction par généralisation[modifier | modifier le code]
L'abstraction peut consister à remonter d'un ensemble d'éléments particuliers vers ce qui leur est commun. Elle se fonde sur la logiquedes classes. L'abstraction consiste alors à remonter d'éléments particuliers vers des classes toujours plus englobantes. Au sens de l'abstraction par généralisation l'abstrait est nécessairement plus général que le concret.
L'abstraction par analyse ou par sélection[modifier | modifier le code]
L'abstraction peut consister à isoler une propriété particulière de ses déterminations ou de ses relations. Au sens de l'abstraction par analyse l'abstrait est toujours plus pur ou mieux isolé que le concret.
Problèmes fondamentaux de l'abstraction[modifier | modifier le code]
Opposition de l'abstrait et du concret[modifier | modifier le code]
L'opposition entre l'abstrait et le concret est le plus couramment comprise comme absolue. Tout ce qui est abstrait n'est pas concret et inversement. Mais l'opposition de ces termes ouvre plusieurs problèmes classiques en philosophie : [/ltr]
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]L'abstrait et le concret renvoient-ils à des réalités distinctes ou constituent-ils deux manières de voir une même réalité ?
[*]N'existe-t-il pas des degrés d'abstraction et de concrétude ?
[*]Peut-on penser ces termes d'une manière indépendante ou toute abstraction suppose-t-elle une contrepartie concrète et inversement ?
[*]Faut-il dire que seules les réalités abstraites existent absolument ? Ou faut-il au contraire affirmer que n'existent que les seules réalités concrètes ?
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De l'abstraction aux abstractions[modifier | modifier le code]
Le terme d'abstraction renvoie en un premier sens à une opération de l'esprit, un processus, par lequel des propriétés abstraites sont mises en évidences. C'est ce que l'on appelle "l'abstraction" lorsque l'on parle, par exemple, des capacités d'abstraction d'un philosophe ou d'un mathématicien. Mais ce terme peut également renvoyer à ces propriétés elles-mêmes. On peut en effet considérer que des idées abstraites comme l'Être ou la liberté, mais aussi la blancheur ou le poids, constituent "des abstractions".
Cette distinction permet de formuler un problème classique :
- Faut-il considérer que les abstractions résultent du processus d'abstraction lui-même, et que celui-ci les construit voire les invente, ou dire au contraire que ce processus d'abstraction nous permet de retrouver des abstractions qui existent préalablement au fait que nous en prenions connaissance ?
On peut également tenir pour problématique l'unité même du concept de processus d'abstraction :
- N'existe-t-il pas plusieurs types d'abstraction différents et peut-être irréconciliables comme l'abstraction philosophique, mathématique, ou logique, ou encore des abstractions par simplification, généralisation ou sélection ?
Inversement la pluralité du concept d'abstraction lorsque l'on parle des abstractions particulières, comme la blancheur, le poids ou le bien, est également problématique :
- Affirmer qu'il existe une pluralité de réalités conceptuelles, véritablement indépendantes, ne permet pas de comprendre ce qui fait que l'on nomme chacune de ces abstractions une abstraction. Ne faudrait-il pas pour cela encore abstraire ce qui forme l'unité de ces abstractions afin d'atteindre à une abstraction absolue ?
Différentes théories de l'abstraction en philosophie[modifier | modifier le code]
La théorie des Idées, formulée par Platon, affirme l'existence réelle des Idées (abstraites), au détriment du sensible (concret).
La théorie de l'hylémorphisme, formulée par Aristote, considère que tout objet est formé de manière indissociable d'une matière (concrète) et d'une forme (abstraite[réf. nécessaire]).
La théorie purement analytique de l'abstraction formulée par Condillac. L'abstraction serait intégralement compréhensible à partir du concept d'analyse.
La théorie de la connaissance par esquisses d'Edmund Husserl, considère que les essences (abstraites) sont construites par l'abstraction d'une série de perceptions (concrètes).
Abstraction et science[modifier | modifier le code]
En science, l'abstraction n'est pas l'opposition entre l'abstrait et le concret. Abstrait et concret sont dialectiquement liés. L'abstraction permet de s'éloigner de la réalité concrète, réduite à nos sens (empirisme, observation), afin de définir les phénomènes globaux constituant ainsi un cadre théorique. L'abstraction peut se définir comme un processus mental de décomposition/classification mais de telle manière que chaque partie du tout (unité de base ou cellule) soit significative et représentative au tout (sphère) et vice-versa. L'abstraction est une méthode du passage de l'abstrait au concret. Ou pour dire autrement, selon Paul Langevin, « Le concret est l'abstrait rendu familier par l'usage. »1.
Notes et références[modifier | modifier le code]
[/ltr][ltr]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Passage de l'abstrait au concret[modifier | modifier le code]
[/ltr]- Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Qui pense abstrait?, Hermann, 160 p., 2007
- Karl Marx, Le Capital
- Alexandre Zinoviev, Method visxoždenija ot abstraktnogo k konkretnomu : avtoreferat dissertaci (La Méthode du passage de l'abstrait au concret : sujet de thèse), Moscou, 1954
- Bertell Ollman, La dialectique mise en œuvre - Le processus d'abstraction dans la méthode de Marx, syllepse, 140p, 2005.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
[/ltr]Sur les autres projets Wikimedia :
- abstraction, sur Wikiquote
- Concept (philosophie)
- Notion
- Pensée abstraite
- Théorie
- Virtuel, Virtualité
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D'ailleurs laissant de coté ma capacité d'abstraction (rien à voir avec le tracteur, encore que on pourrait trouver mais bon), le fait de dire que les doués répondent par des citations, peut être que c'est juste le fait de sortir le premier truc qui vient en tête ? et si on a l'esprit plein de citations ça par là ? Y'a rien sur le normo pensant est bizarre, il se passionne de la météorologie ? il en parle tout le temps ?
Oh Sandy sur l'affaire Harry, rouge, ça me fait Boom Boom comme un Dany,
avec Dany la vie est belle
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
♪ A Quoi ça Sert? ♪
Axelle Red
Miscellaneous
À Quoi ça Sert
bien souvent je me demande
le but de ces efforts
le but de tout vouloir apprendre
de bouleverser mon sort
je cours après la perfection
mais je n' peux plus avancer
non plus m'arrêter
à quoi ça sert
ces sentiments profonds, oh non
je me sens de travers
à force de voir mon monde à l'envers
faut qu' je cesse de m'inventer des questions
non
à quoi ça sert
toutes ces nuits je me tourmente
je me culpabilise
des visions d' bonheur qui me hantent
les gens me stigmatisent
cette soif d'autodéfense me grise
mais je n'arrive pas à dessoûler
ni à me défouler
à quoi ça sert
ces sentiments profonds, oh non
à quoi ça sert
de me gaver de ces goûts éphémères
de vouloir me redorer le blason
non
à quoi ça sert
a quoi ça sert
saisis ta chance
me dit ma conscience
faut qu' je fasse quelque chose
avant que je n'explose
à quoi ça sert
mes sentiments profonds, oh non
je me sens de travers
à force de voir mon monde à l'envers
faut qu' je cesse de m'inventer des questions
non
à quoi ça sert
je n'ai plus de repère
à quoi ça sert
euh : serre tête ?
Axelle Red
Miscellaneous
À Quoi ça Sert
bien souvent je me demande
le but de ces efforts
le but de tout vouloir apprendre
de bouleverser mon sort
je cours après la perfection
mais je n' peux plus avancer
non plus m'arrêter
à quoi ça sert
ces sentiments profonds, oh non
je me sens de travers
à force de voir mon monde à l'envers
faut qu' je cesse de m'inventer des questions
non
à quoi ça sert
toutes ces nuits je me tourmente
je me culpabilise
des visions d' bonheur qui me hantent
les gens me stigmatisent
cette soif d'autodéfense me grise
mais je n'arrive pas à dessoûler
ni à me défouler
à quoi ça sert
ces sentiments profonds, oh non
à quoi ça sert
de me gaver de ces goûts éphémères
de vouloir me redorer le blason
non
à quoi ça sert
a quoi ça sert
saisis ta chance
me dit ma conscience
faut qu' je fasse quelque chose
avant que je n'explose
à quoi ça sert
mes sentiments profonds, oh non
je me sens de travers
à force de voir mon monde à l'envers
faut qu' je cesse de m'inventer des questions
non
à quoi ça sert
je n'ai plus de repère
à quoi ça sert
euh : serre tête ?
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2015/03/article_13701078904.jpg
Le potentiel d’un esprit ouvert
L’ouverture d’esprit, c’est quoi ?
Nous aimons tous penser que nous sommes ouverts d’esprit, mais qu’est-ce que cela signifie exactement ?
Cela veut dire que nous sommes réceptifs à de nouvelles idées, à des opinions différentes ou encore à des points de vue différents du moment qu’ils semblent raisonnables. Toutefois, le problème apparaît lorsque nous recevons trop d’opinions de la part d’autrui, et que nous leur donnons de la valeur à toutes.
Avoir un esprit ouvert implique que nous sommes disposés à écouter les propositions d’autrui, même si elles sont contraires à nos critères. Ensuite, il est important de savoir donner à ces opinions la valeur qu’elles méritent, et décider si elles nous semblent pertinentes, et si oui ou non nous souhaitons les appliquer à notre mode de vie.
Les personnes qui manquent d’ouverture d’esprit sont très peu conciliantes, voire pas du tout, et ont généralement peur du changement, car elles ont peur de l’inconnu. Elles se refusent à changer d’opinion et à accepter les idées des autres. En d’autres termes, elles sont «fermées».
Comment ouvrir son esprit ?
Si nous désirons profiter au maximum de notre potentiel de réussite dans nos relations personnelles, dans les affaires, ou dans la vie en général, il est important d’avoir l’esprit ouvert et flexible. Le mieux est de ne pas se limiter à soi-même, car il existe une infinité de choses que nous pouvons faire ou atteindre si nous ouvrons les yeux pour enfin apercevoir tout ce qui est à notre portée.
Nous sommes tous plus ou moins habitués à certains petits rituels, à une routine ce qui nous amène à ne percevoir les choses qu’en noir et blanc, car nous sommes à l’aise avec notre façon de pensée.
Cependant, le monde est rempli de couleur, de nuances, et les possibilités sont infinies. Mais évidemment, nous ouvrir à un monde inconnu est un défi, c’est pourquoi nous avons parfois peur.
Si nous faisons preuve d’ouverture d’esprit face à toutes les possibilités qui s’offrent à nous, nous verrons que la vie a bien plus à nous apporter que nous le pensions, car les opportunités abondent réellement de partout. Nous devons apprendre à penser différemment, et suivre les conseils suivants :
– Se tester soi-même. De temps en temps, il est bon pour nous de sortir de notre «zone de confort».
– Remettre un peu plus les choses en question. Qui a dit que nous devions accepter les choses telles que le système et les autres les présentent ? Si quelque chose vous dérange ou vous intrigue, n’hésitez pas à le remettre en question.
– Appendre à penser plus loin que le bout de votre nez. Il est indispensable de comprendre que tout est connecté, et votre capacité à anticiper et à penser au futur peut vous être d’une grande aide.
– Ne pas avoir peur de se tromper. Nous devons tous prendre des risques de temps en temps, car c’est bon pour nous. Si vous êtes trop exigeants envers vous-même, ou si vous peur de commettre des erreurs, vous ne ferez jamais rien.
– Permettre aux autres de nous servir d’inspiration. L’ouverture d’esprit est très liée à l’humilité. Ceux qui pensent tout savoir n’apprendront jamais des autres, et ne remettent jamais en question leurs idées ou leurs croyances.
En bref, il est nécessaire de penser différemment pour se libérer de ses propres limites. Les personnes qui sont ouvertes d’esprit ont plus de chances d’atteindre tout leur potentiel dans la vie, car elles osent prendre des risques, elles se lancent, elles explorent, et ne se contentent jamais de la solution de facilité.
Les personnes ouvertes d’esprit sont des explorateurs invétérés, des non-conformistes dans le bon sens du terme, et sont toujours prêtes à apprendre des autres.
N’oubliez pas que la plupart des avancées et des réussites de l’humanité ont été menées à bien par des personnes qui jouissaient de la force d’un esprit ouvert, qui questionnaient le monde sans limite.
Photographie avec l’aimable autorisation de samuiblue – freedigitalphotos.net
En savoir plus sur http://nospensees.fr/le-potentiel-dun-esprit-ouvert/#5mTceOpEmHOE4VvO.99
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Femme-fleurs-sur-la-tete.jpg
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PARTAGÉS
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Je suis cette femme qui n’a rien besoin de démontrer à personne
Je suis une femme qui n’a rien besoin de démontrer à personne. Cela fait longtemps que j’ai arrêté de vouloir plaire, de me justifier face aux oreilles sourdes, de bouger des montagnes pour qui ne m’octroyait même pas son respect.
Je suis tout ce que vous voyez : franchise, entièreté, courage et dignité.
Ces idées résument très bien ce que nous connaissons sous le nom de réalisation personnelle.
Ce sont de petits défis quotidiens à résoudre pour finalement, se défaire de toutes ces «couches d’oignon» qui nous ont éloigné non seulement de notre bonheur mais également des opportunités qui nous auraient permis d’atteindre un rêve. Un objectif.
Je me trouve à cette étape de la vie où pour m’offenser, il faut que vous m’importiez. Je ne donne plus d’explications à ceux qui ont les oreilles bouchées et le cœur froid.
Je suis une femme sans masque et à l’âme humble qui n’a rien besoin de démontrer à personne.
Les femmes qui luttent chaque jour pour cette réalisation personnelle sont nombreuses, même si elle est difficile à obtenir.
Des faits comme l’inégalité des salaires, la discrimination au travail et même le fait de devoir faire face à des phrases telles que «tu ne peux pas, tu ne sais pas, tu ne dois pas» de la part de proches ou du conjoint fait qu’elles doivent livrer une double bataille.
La bataille extérieure et la plus intime : l’émotionnelle, la psychologique…
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/gif-fille-et-fleur.gif
Le besoin continu de devoir démontrer des choses pour se sentir «légitime»
L’amour doit être «validé» chaque jour, sans aucun doute, mais parfois, nous tombons dans des situations où la tendresse devient quasiment une extorsion.
Bien sûr, cela peut arriver chez les deux genres de la même manière, mais il est plus fréquent que les femmes soient obligées de démontrer qu’elles sont capables de tout faire pour leur conjoint, à savoir laisser de côté leurs besoins et leurs désirs pour obéir aux attentes d’autrui.
Nous devons être de bonnes filles avec nos parents, avec notre famille, même si celle-ci nous a un jour trahi ou découragé, ou même à chaque fois que nous sautions une étape ou que nous évoquions un rêve.
Leur réponse, systématique : «ce n’est pas pour toi». Nous avons acquiescé pendant longtemps et même, nous leur avons offert des sourires alors que ce nous ressentions était tout simplement du désespoir.
Malgré tout, il y a toujours un jour où nous ouvrons les yeux, où nous allumons cette lumière intérieure qui se connecte directement à nos émotions et qui dit «Stop».
C’est alors que nous nous rendons compte que la seule personne à laquelle nous devons démontrer quelque chose, ce n’est pas les autres, c’est nous-même.
Car lorsque nous sommes capables de nous connecter à nos besoins, le monde commence à tourner au son d’une nouvelle et douce musique, bien plus jolie.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Femme-et-cheval.jpg
Se débarrasser pour se retrouver
Quand nous nous retrouvons avec nous-même après ces périodes de complexité personnelle, nous ne sommes plus la même personne.
Nous ne sommes plus cette petite fille au regard plein de rêves qui dessinait ses initiales dans le ciel.
Vous n’êtes pas non plus cet adolescent qui aspirait à un amour romantique. Vous n’êtes plus non plus cette jeune femme qui confond être heureux et rendre les autres heureux.
Je suis tout ce que vous voyez, sans magie ni artifices. Si je ne te plais pas, c’est pareil. Je ne vis pas pour plaire aux autres.
Quand vous vous aurez trouvé vous-même, vous vous rendrez compte de toutes les choses qui vous plombaient, des artifices, du bruit mental et de toutes ces relations caduques qui arrachaient des plumes à vos ailes.
Pour être cette femme que n’a plus besoin de démontrer à personne de quoi elle est capable, il est nécessaire de mettre en pratique les dimensions suivantes.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/10/Femme-et-arbre.jpg
Clés pour la réalisation personnelle
Il faut savoir que nous ne pouvons pas être des «personnes complètes» si l’on reste en marge des autres.
Chacun d’entre nous a des compromis sociaux et émotionnels très importants : travail, couple, famille. Est-ce possible d’aspirer à cette réalisation personnelle en combinant toutes ces sphères ?
- La réalisation personnelle s’inscrit précisément dans le besoin que toutes nos sphères, la professionnelle, l’affective et la personnelle nous offrent le maximum de plénitude et d’équilibre. Nous avons besoin d’harmonie.
- Si nous sommes chaque jour dans l’obligation de démontrer certaines choses, pour être «légitimes» en tant que personne dans chacun de nos contextes, c’est que quelque chose ne va pas bien.
La personne qui met toujours en doute nos capacités au travail ou un conjoint qui nous demande par exemple que nous restions à la maison pour lui montrer à quel point nous l’aimons sont des personnes qui finiront forcément par altérer gravement notre auto-estime.
- Nous devons comprendre qu’avant de démontrer quoi que ce soit à quelqu’un, nous devons nous le démontrer à nous-même. Ne cherchez pas la complaisance ou l’approbation chez les autres ou ils s’imposeront comme des juges et des bourreaux, comme les artisans d’un chemin que vous devriez construire vous-même.
L’éternel besoin de démontrer quelque chose que nous ne sommes pas ou de rechercher la complaisance d’autrui est rien de plus qu’une lente torture qui peut ne jamais se terminer.
Ne le permettez pas, soyez authentique, soyez toujours vous-même et ne négociez pas votre «pseudo-intégrité» au prix de la perte du bonheur.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/je-suis-cette-femme-qui-na-rien-besoin-de-demontrer-a-personne/#ipOlKwswJYzYdUwp.99
A adapter à l'envie en mais moi je suis une
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
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Trop intelligent
- Ah t'es intelligent ? et tu as découvert quoi ? l'infériorité des autres sans plus les côtoyer et j'ai fait une grande recherche sur le mouvement circulaire que font les mouches..... pendant que je procès suce
© Jupiter
Sommaire
- Trop sexy
- Trop riche
- Trop intelligent
- Trop douée
- L’avis de l'expert : « Le complexe de supériorité repose toujours sur un sentiment d’infériorité”
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Sommaire
- Trop sexy
- Trop riche
- Trop intelligent
- Trop douée
- L’avis de l'expert : « Le complexe de supériorité repose toujours sur un sentiment d’infériorité”
Nous sommes nombreux à craindre d’être moins. Tout en rêvant d’être plus. "Plus", tels que nos parents le voulaient, "plus" comme l’adulte exceptionnel que nous projetions de devenir, "plus", aussi, comme ces "people" qui font la une des magazines… "Etre plus", mais jusqu’à quel poin ? Puisqu’elles évoquent des rêves de bonheur, nos exigences de "mieux" sont sans limites. Et pourtant…
Sandrine a la séduction, Salomé, la richesse, Xavier, des capacités intellectuelles hors normes, Barbara, tous les dons… Mais ce "plus" qu’ils possèdent et qui les différencie est pour eux source de souffrance. Présomptueux, arrogants, affabulateurs ? Le jugement de l’autre est souvent sans appel. Et entraîne le rejet.
Sans fausse pudeur, ils se dévoilent, émouvants. Et si le complexe banal du "pas assez" et celui, plus excentrique, du "trop" étaient les deux faces d’une même réalité ? Dans les deux cas, il y a le désir d’être différent de soi. Pour ne plus se sentir si différent des autres.
Trop sexy
Sandrine, 26 ans, secrétaire.
Adolescente, elle découvrait sa beauté dans le regard des autres et acceptait de poser comme mannequin. Quelques années plus tard, son physique est devenu son "fardeau" : harcèlement sexuel au travail, discrimination… Sandrine nous confie son incapacité à assumer.
Adolescente, elle découvrait sa beauté dans le regard des autres et acceptait de poser comme mannequin. Quelques années plus tard, son physique est devenu son "fardeau" : harcèlement sexuel au travail, discrimination… Sandrine nous confie son incapacité à assumer.
« Je ne sais pas comment aborder ce sujet pour que l’on me prenne au sérieux. Je ne sais pas comment faire comprendre à quel point les regards insistants des hommes dans la rue me pèsent, et les remarques sur mon “joli” visage et sur mon corps me vexent… Ado, j’en étais plutôt fière. C’est agréable, à cet âge-là, de sentir que l’on plaît. Mais cet “avantage” est devenu un fardeau quand j’ai réalisé que, pour les autres, je n’étais qu’un physique. Ce que j’ai à dire, ce que je pense, tout le monde s’en moque. Avec le temps, c’est devenu de plus en plus difficile à assumer, surtout dans le cadre du travail. Quelques semaines après m’avoir recrutée, mon premier patron m’a fait cette remarque : “De toute façon, si on vous a embauchée, c’est d’abord pour votre physique.”
Bien sûr, j’ai eu droit à ses avances. J’ai refusé… et il m’a fallu chercher un autre emploi. J’ai essayé de travailler avec des femmes : c’était presque pire ! Les relations étaient perverties par la jalousie. Ces expériences ont transformé ma personnalité, je me suis renfermée sur moi-même, n’osant plus parler en public. Je me suis convaincue que ce qui intéresse les gens, c’est seulement ce que je montre, pas ce que je dis. J’ai perdu toute confiance en moi. Je me sens stupide… C’est comme si, après avoir tenté de me défendre, j’avais finalement adhéré à l’image de la jolie blonde : rien dans la tête, tout dans le physique. Le pire, c’est que je me trouve moche. Je déteste mon physique qui, depuis des années, m’empêche de vivre comme une personne normale. »
Trop riche
Salomé, 39 ans, employée dans une société de communication.
Issue d’une famille d’intellectuels sans argent, elle a été élevée suivant les principes de la méritocratie. Ainsi, lorsqu’en 1998 son mari fait fortune, elle refuse la vie de rentière et continue de travailler. Pourtant, sa nouvelle situation a transformé le regard des autres. Salomé est devenue une personne "différente".
Issue d’une famille d’intellectuels sans argent, elle a été élevée suivant les principes de la méritocratie. Ainsi, lorsqu’en 1998 son mari fait fortune, elle refuse la vie de rentière et continue de travailler. Pourtant, sa nouvelle situation a transformé le regard des autres. Salomé est devenue une personne "différente".
« Au début, j’assumais très bien. On a acheté une très grande demeure dans une banlieue huppée de Paris, engagé du personnel, puis on a beaucoup voyagé. Ma première erreur a été d’inviter mes amies et collègues à la maison. Très vite, j’ai senti un fossé se creuser. On m’a surnommée “la châtelaine” et les remarques ont fusé : “Tu piques la place de quelqu’un qui a vraiment besoin de travailler”… Ma chef de service m’a empoisonné l’existence. Je suis la seule à n’avoir jamais été augmentée. Et même les primes me sont passées sous le nez. J’ai bien pensé changer de travail. Mais les gens sont médisants et les informations circulent vite…
Alors, j’ai appliqué les conseils que ma mère me donnait quinze ans plus tôt : “Fais profil bas.” Je suis devenue très secrète et j’ai commencé à mentir. D’où vient mon bronzage ? De la campagne où j’ai jardiné… Mon tailleur ? Une marque de moyenne gamme… Quand j’entends les gens évoquer leurs problèmes d’argent, je me sens bien sûr moins concernée. Mais quand je suis entourée de personnes de “mon” milieu, je me sens tout aussi exclue : ils ne comprennent pas pourquoi je travaille. Je n’ai pas non plus tellement de points communs avec les femmes qui, pour beaucoup, ont toujours vécu entre manucure, coiffeur et chauffeur. Coincée entre ces deux mondes, je me suis vite sentie isolée et déprimée. Pourtant un compte en banque bien approvisionné n’évite ni les deuils, ni les angoisses. En revanche, les évoquer fait apparaître comme la “pauvre petite fille riche”. Alors, je me tais. Et j’apprends à parler de la pluie ou du beau temps. »
Trop intelligent
Xavier, 24 ans, docteur en psychologie expérimentale.
A 3 mois, il passait un test qui révélait une capacité de développement intellectuel hors normes. Adolescent, il était reconnu "surdoué", avec un QI de 222 (1). Il a obtenu son doctorat à 23 ans. Depuis six mois, Xavier travaille à Marseille comme docteur en psychologie expérimentale, spécialisé dans les tests et le suivi des enfants surdoués.
A 3 mois, il passait un test qui révélait une capacité de développement intellectuel hors normes. Adolescent, il était reconnu "surdoué", avec un QI de 222 (1). Il a obtenu son doctorat à 23 ans. Depuis six mois, Xavier travaille à Marseille comme docteur en psychologie expérimentale, spécialisé dans les tests et le suivi des enfants surdoués.
« Dès la petite enfance, je ne me suis senti bien qu’avec les adultes. Mais c’est à partir du collège que ma différence m’a vraiment posé problème. L’enseignement scolaire ne m’intéressait pas. En revanche, je me suis très tôt découvert une passion pour l’aviation militaire de la Première Guerre mondiale. Plus tard, pour la philosophie du temps… Des centres d’intérêt qui me marginalisaient par rapport aux jeunes de mon âge. Cette sensation de ne pas pouvoir partager ses passions est très douloureuse pour un enfant. Quand j’ai su, à l’adolescence, que j’avais des capacités intellectuelles hors normes, je n’en ai pris que les aspects négatifs. Je me suis mis en marge et me suis tourné vers les mauvais élèves. Je me complaisais dans un état d’infériorité, pour ne pas paraître prétentieux.
Paradoxalement, ces fréquentations renforçaient mon sentiment d’être “différent”. Aujourd’hui, je vis reclus dans mon bureau. Cette existence ascétique s’impose malgré moi, car je me sens différent et incapable d’y remédier. Je n’ai que deux ou trois amis, fidèles depuis le primaire. Mais, même avec eux, je prends de plus en plus de distance, parce que mes intérêts et les leurs sont trop éloignés. C’est dramatique à dire, plus encore à vivre ! Bien souvent, je refuse d’exprimer ce que je pense, car, soit ils comprendront mal, soit ils me percevront comme quelqu’un qui veut avoir raison sur tout. Or, malheureusement, j’ai souvent raison… »
1- Sur l’échelle de Cattell, destinée au calcul des quotients intellectuels dépassant le seuil maximal de 155 sur l’échelle de Wechsler, traditionnellement utilisée.
Trop douée
Barbara, 32 ans, hôtesse de l’air.
A 4 ans, elle savait lire et écrire. A 6 ans, elle s’initiait à la harpe et parlait couramment trois langues. Diplômée du Conservatoire de musique, licenciée en langues étrangères appliquées, en musicologie et bientôt en psychologie, elle se passionne pour tout. Et réussit tout. Mais au lieu d’en être fière, Barbara cache ses dons.
A 4 ans, elle savait lire et écrire. A 6 ans, elle s’initiait à la harpe et parlait couramment trois langues. Diplômée du Conservatoire de musique, licenciée en langues étrangères appliquées, en musicologie et bientôt en psychologie, elle se passionne pour tout. Et réussit tout. Mais au lieu d’en être fière, Barbara cache ses dons.
« Née en Italie, j’avais 6 ans quand on est parti vivre en Amérique latine et 13 quand on s’est installés en Espagne. J’ai longtemps pensé que ma “différence” venait de ces déplacements, qui ont fait de moi une enfant ouverte au monde et très vite mature. Dès mon plus jeune âge, j’ai eu ce besoin de faire trente-six choses à la fois et de les faire très bien. C’est à ce tempérament perfectionniste que je dois mes “dons”… et mes premières humiliations. A l’école, j’étais le bouc émissaire. Au collège, je me souviens de cette pique d’une enseignante : “Il faut toujours que vous vous fassiez remarquer !” J’étais juste curieuse de tout et je cherchais constamment à en savoir plus.
Depuis, je suis obnubilée par l’idée de trop me mettre en avant et je me retiens sans cesse. Je vis ces dons presque comme un handicap qui m’empêche de communiquer. C’est une partie de moi que je ne dois pas dévoiler si je veux me faire accepter. Paradoxalement, ils ne m’ont pas permis d’acquérir la moindre confiance en moi. Quand je cherchais du travail, par exemple, j’enlevais des références sur mon CV. Le plus souvent, je ne citais qu’un diplôme. Quant à mes capacités de polyglotte, je me garde bien de les montrer ! Même si c’est en partie pour cela que j’ai choisi le métier d’hôtesse de l’air. Et aussi pour l’uniforme, qui me permet de me fondre dans la masse. Quant aux études de psychologie que je poursuis en parallèle, hors de question d’en parler à mes collèges. J’ai trop peur d’être accusée d’en faire trop. »
L’avis de l'expert : « Le complexe de supériorité repose toujours sur un sentiment d’infériorité”
Comme Sandrine, Salomé, Xavier et Barbara, certains voient en leurs atouts un objet de honte, jusqu’à les juger responsables de tous leurs déboires. Un psychothérapeute revient sur les ressorts de ce fonctionnement. Entretien avec Yannick Le Jan, psychothérapeute. Il est également secrétaire général de la Société française de psychologie adlérienne, fondée en 1946. Rens. sur www.psy-adler.net.
Psychologies : Qu’est-ce que le complexe de supériorité ?
Yannick Le Jan : Pour reprendre la définition d’Alfred Adler (1), ce complexe « apparaît dessiné dans l’attitude, les traits de caractère et l’opinion de l’individu persuadé de ses propres dons et capacités supérieures à la moyenne de l’humanité ». Mais, toujours selon Adler, il est indissociable du sentiment d’infériorité inhérent à chacun. Ce jugement porté sur soi-même apparaît d’abord chez l’enfant qui, face à son entourage et face au monde, se sent « tout petit ».
Yannick Le Jan : Pour reprendre la définition d’Alfred Adler (1), ce complexe « apparaît dessiné dans l’attitude, les traits de caractère et l’opinion de l’individu persuadé de ses propres dons et capacités supérieures à la moyenne de l’humanité ». Mais, toujours selon Adler, il est indissociable du sentiment d’infériorité inhérent à chacun. Ce jugement porté sur soi-même apparaît d’abord chez l’enfant qui, face à son entourage et face au monde, se sent « tout petit ».
L’enfant parvient-il à compenser ce sentiment ?
Oui, bien sûr, en fonction de son expérience de la vie. Il se rassure et, ainsi, trouve la force d’avancer malgré son inquiétude originelle. Cette volonté de puissance est saine puisqu’elle permettra à l’individu qu’il deviendra de trouver les moyens de s’adapter, puis de négocier entre ses exigences particulières et les contraintes sociales et environnementales… Or, parfois, les seuls moyens à sa disposition pour compenser son sentiment d’infériorité seront de revendiquer « fortement » sa volonté de puissance, ou bien par l’arrogance, ou bien au contraire, par la plainte.
Oui, bien sûr, en fonction de son expérience de la vie. Il se rassure et, ainsi, trouve la force d’avancer malgré son inquiétude originelle. Cette volonté de puissance est saine puisqu’elle permettra à l’individu qu’il deviendra de trouver les moyens de s’adapter, puis de négocier entre ses exigences particulières et les contraintes sociales et environnementales… Or, parfois, les seuls moyens à sa disposition pour compenser son sentiment d’infériorité seront de revendiquer « fortement » sa volonté de puissance, ou bien par l’arrogance, ou bien au contraire, par la plainte.
Que se passe-t-il pour ceux qui sont effectivement “supérieurs” dans un domaine, à l’instar des hommes et des femmes qui ont témoigné pour nous ?
Il y a toujours, au fond, un sentiment d’infériorité, c’est-à-dire une croyance en son incapacité à résoudre les problèmes de la vie. Objectivement, on ne peut pas être « trop intelligent ». En revanche, ces personnes se sont focalisées de façon très subjective sur cette particularité de leur personnalité, parce que c’est, à l’origine, le seul mode de fonctionnement qu’elles ont trouvé. Ensuite, mais trop tard, elles se sont rendu compte, en intégrant la vie sociale, que cette « différence » était difficile à vivre.
Il y a toujours, au fond, un sentiment d’infériorité, c’est-à-dire une croyance en son incapacité à résoudre les problèmes de la vie. Objectivement, on ne peut pas être « trop intelligent ». En revanche, ces personnes se sont focalisées de façon très subjective sur cette particularité de leur personnalité, parce que c’est, à l’origine, le seul mode de fonctionnement qu’elles ont trouvé. Ensuite, mais trop tard, elles se sont rendu compte, en intégrant la vie sociale, que cette « différence » était difficile à vivre.
Peut-on dépasser ce complexe ?
Cela n’est possible qu’en se heurtant à la réalité, ce qui nécessite de passer par une étape souvent douloureuse, parfois même de dépression. Entre cette logique intérieure que l’on s’est constituée et ce qui nous est demandé par la société et l’entourage, il va s’agir de trouver un autre mode de compensation, dans la créativité, les œuvres caritatives… Ce qui entretient le complexe de supériorité, c’est une difficulté à se « décentrer » pour tenir compte de l’autre. Donc, plus on s’efforcera de se tourner vers des activités utiles socialement, et vers le monde, plus il sera possible de sortir de ce processus.
Cela n’est possible qu’en se heurtant à la réalité, ce qui nécessite de passer par une étape souvent douloureuse, parfois même de dépression. Entre cette logique intérieure que l’on s’est constituée et ce qui nous est demandé par la société et l’entourage, il va s’agir de trouver un autre mode de compensation, dans la créativité, les œuvres caritatives… Ce qui entretient le complexe de supériorité, c’est une difficulté à se « décentrer » pour tenir compte de l’autre. Donc, plus on s’efforcera de se tourner vers des activités utiles socialement, et vers le monde, plus il sera possible de sortir de ce processus.
1- Dissident de Freud, Alfred Adler est le fondateur d’une doctrine psychologique, la psychologie individuelle et comparée, et d’une technique psychopédagogique.
------------------------------------------------------------------------------------ Ah t'es intelligent ? et tu as découvert quoi ? l'infériorité des autres sans plus les côtoyer et j'ai fait une grande recherche sur le mouvement circulaire que font les mouches..... pendant que je procès suce
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
http://www.reussirmavie.net/Mieux-se-connaitre-pour-reussir-sa-vie_a1402.html
http://www.reussirmavie.net/Amour-et-vie-affective_r107.html
http://www.reussirmavie.net/Cerner-son-profil_r12.html
http://www.reussirmavie.net/Quel-sens-pour-ma-vie_r6.html
http://www.reussirmavie.net/Amour_r9.html
http://www.reussirmavie.net/Temoignages_r89.html
http://www.reussirmavie.net/Coin-philo_r30.html
http://www.reussirmavie.net/Quel-est-le-sens-de-mon-travail_a2190.html
.../.....
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http://www.reussirmavie.net/Quel-sens-pour-ma-vie_r6.html
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http://www.reussirmavie.net/Temoignages_r89.html
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.../.....
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
LM elle adore, c'est beau comme LM....
Fumer tue, carburer trop du cerveau aussi ....
Qui reste trop à l'étroit, ne trouves pas les trois singes....
Fourmidableuh, elle était fourmidableuh, tu vas me faire un truc chouette de ce trauma ? ou bien tu attends le dégel ?
Montes d'un cran, te fous pas à cran, fais pas toujours ton gratte ciel. (punaise la voix )
- Spoiler:
Penser à acheter un short en jean
et des épingles à nourrice roses
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Mon premier spoiler en mauve le 02 novembre 2016 à 20h25, ben quoi on fait bien des carnets pour les petits, pourquoi pas pour les grands ? C'est du sectarisme en fait ? je vais faire un fil...
[size=13][size=10]SPOILER:
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IamsosureZébré et vacciné
Messages : 1421
Date d'inscription : 06/09/2016
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https://www.zebrascrossing.net/t28602-medecine-de-comptoir
Signé de con oui mais de con notoire
[size=13][size=10]SPOILER:
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IamsosureZébré et vacciné
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Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
[size=30]Se distraire à en mourir (BD : Aldous Huxley & George Orwell par Neil Postman)
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- Mots-clefs : Fabrique du consentement, Média, Propagande
Source : Partage-le.com, traduit par Jessica Aubin, le 26 Août 2016.
http://www.les-crises.fr/se-distraire-a-en-mourir-bd-aldous-huxley-george-orwell-par-neil-postman/
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Quand je serai grande, je serai un émoticône qui a les idées qui fusent et ça fera de la lumière dans les couloirs sombres
Spéciale dédicace à Babar, Doudouille, Buzz l'éclair, et Mr Racine Carrée. Qui fait carnaval depuis toute petite au rythme des battements du coeur et des tambours n'attend bas les masques .
Logique du pire Lyrics
Logique du pire
J'suis p'têt du genre malin mais j'me sens méchamment
plus intelligent quand je pense le pire
le désordre du monde m'inspire une tendresse amusée
au moins le malheur y est d'une criante sincérité
Rien ne me manque désirer rien je suis comblé
pour moi donc j'aime la vie je suis un ogre de pitié
une chance sur un milliard
je veux ce hasard
la pire des réalités
alimente ma joie d'exister
Notre vie c'est l'atrocité, la guerre, la maladie
d'ailleurs même le moi est haïssable comme disait l'autre
mais toi tu cherches un bonheur ? dis moi lequel tu réponds rien
tu te connais t'y pense parfois tu n'as besoin de rien
Rien ne me manque
C'est la vie telle qu'on la soupire quand les faits n'ont plus rien à dire
tragique et silence, on devrait s'arrêter ici
Mon coté punk, oui mais lequel ? où ?
L'Âge des possibles / En vérité Lyrics
Tous ces jeunes gens en étaient à la fin du repas
on avait parlé de la bouffe, de la guerre, et du chat
quand Claude a fait entendre une voix mélancolique
racontant qu'elle avait retrouvé une vieille boîte à musique
et alors elle s'est mise à chanter
Angélique elle s'est mise à chanter :
"Ou sont tous nos espoirs passés?"
Alors on s'est souvenu la naïveté de l'enfance
les utopies, les folies de l'adolescence
on s'est souvenu Goldorak et Casimir
on s'est écrié "pourquoi pas tout plaquer et partir?"
et alors ils ont tous entonné
tous ensemble tous en chœur entonné :
"Ou sont tous nos espoirs passés?"
une chanson c'est tellement bien
ça vous parle de douleur pour le temps d'un refrain
C'est à ce moment là que j'suis arrivé
comme quand dans une chanson tout commence à speeder
comme j'avais vu faire au ciné
Eastwood en bout d'table, impitoyer
j'ai dit : "en vérité je vous le dis,
vous êtes de ceux qui disent qui y ont cru
mais qu'ils n'y croient plus
En vérité je vous le dis, vous n'y avez jamais cru
voulez que j'vous dise où sont vos espoirs passés?
Dans vos caleçons, dans vos bibelots, dans vos métiers
espoirs passés laissez-moi rire
tout plaquer arrêter donc de vous mentir
en vérité vous avez toujours été de l'autre côté
---------------------------------------------------------------------------------------------------
"Où sont les cons?"
-Eh t'as pas vu hier au soir à la télé,
toute cette violence quel voyeurisme
cette petite fille violée sur le chemin de l'école
je l'ai vu six fois c'est un peu trop je crois.
-Mais moi tu vois je ne l'ai pas regardée
mais ça ne m'inquiète pas
car je vois que tu t'es consacré à le faire pour moi.
-Mais t'as vu maintenant à la télé,
y a plus qu'du cul, d'la décadence
y en à 20h30, à 22h00, à 23h00
quand je vais me coucher je suis secoué.
-Mais moi tu sais je n'ai pas la télé
j'l'ai vendu en 29
avec l'argent j'ai acheté
un dictionnaire tout neuf.
OU SONT LES CONS?
Mais t'as pas vu tous ces jeux à la télé
et tout ces shows de la réalité
et tout ces cons qui les regardent
si on en faisait une armée
que de conquêtes; la patrie retrouvée.
Mais à ce que je vois tu as tout regardé
il faut y croire au fond
que tu te pose en unité de ton armé de cons
mais à ce que je vois tu as tout regardé
et j'en déduis qu'au fond
tu n'es jamais qu'une unité de ton armée de cons.
-Mais où sont les cons?
s'ils sont partout les cons
dis-moi c'est qui les cons?
si tout le monde est con?
-Moi les cons je n'y crois pas
je n'y ai jamais cru
moi je ne crois qu'en la loi
mais la loi nous a eus
OU SONT LES CONS?
-----------------------------------------------------------------------------------
"Marx et Hegel"
-On sirotait une bière en silence entre homme toi et moi
puis t'as parlé et tout c'est cassé entre toi et moi.
T'as dit "à l'aube du troisième millénaire
on devrait pas voir ça;
tous ces SDF sans domicile fixe
on devrait pas voir ça".
T'avais déjà dit des conneries
des conneries t'en avait déjà dit
des conneries
mais là t'as fait très fort.
-A la terrasse en silence
on contemplait la beauté de l'été
et puis tu as parlé et l'harmonie
du jour s'est déchirée.
T'as dit "dans le pays des droits de l'homme
on devrait plus voir ça tous ces chômeurs
sans travail on devrait plus voir ça."
T'avais déjà dit des conneries
des conneries t'en avait déjà dit
des conneries
mais là t'as fait très fort.
-Dans les ruines de l'harmonie du jour
je n'avais plus rien à perdre
dans les rots de la bière sirotée avec amour
je n'avais plus qu'a te dire merde
j'ai dit : "dans un pays à 3 millions
de chômeurs on devrait plus dire ça
dire que ce pays est le pays des
droits de l'homme on devrait plus".
J'avais déjà eu du génie
du génie j'en avais toujours eu
mais là j'ai fait très fort.
-----------------------------------------------------------------------------------
Les doués ça se recolle l'image quand on en fait des gomettes.
Je mange des Mars et je suis un Angel sous tous les Angles.
Queue Pompom d'un jour, Queue Pompom toujours 3 novembre 2016 16h46.
Comment je vais faire pour mettre mon nombre de QI sur mon string ? Il va bien en avoir assez de tissu ?
Je me regarde parfois en bleu, en face :
Je ne cotoîlles que les duchesses, Anne, pas de traumas chez moi, que des trois mâts, et pourquoi tu agrafes ton écharpe ? parce que c'est du cachemire
Qu'est ce que je vais encore pouvoir faire comme style que je n'ai pas encore fait ? pour m'occuper les années restantes ?
Moi je n'ai pas changé, c'est le monde qui a changé de trottoir quand il m'a rencontrée
J'fais pas Zorro comme il faudrait
j'arrive jamais quand il faudrait
toujours zéro, toujours tricard
toujours trop tôt, toujours trop tard
héritier déchu
véhiculeur de futurs ringards
J'étais pas là quand à Moscou
tout a commencé à merder
j'étais pas là quand Drucker est né
j'étais pas là quand t'as commencé à faiblir
à vieillir
à trahir
au bout du compte je ne suis qu'une menace mineure
We're just a minor threat
j'suis jamais là où ça s'décide
j'suis jamais là où ça s'passe
téléspectateur provincial
j'voudrais bien pénétrer
mais j'ai pas d'passes
dans les bureaux des directions des multinationales
moi je n'ai pas changé
c'est le monde qui a changé
de trottoir quand il m'a rencontré
et depuis j'parle tout seul
personne écoute
tout l'monde s'en fout
tout l'monde s'écoute
tout l'monde se fout
de moi
https://www.flashlyrics.com/lyrics/zabriskie-point/menace-mineure-48
j'arrive jamais quand il faudrait
toujours zéro, toujours tricard
toujours trop tôt, toujours trop tard
héritier déchu
véhiculeur de futurs ringards
J'étais pas là quand à Moscou
tout a commencé à merder
j'étais pas là quand Drucker est né
j'étais pas là quand t'as commencé à faiblir
à vieillir
à trahir
au bout du compte je ne suis qu'une menace mineure
We're just a minor threat
j'suis jamais là où ça s'décide
j'suis jamais là où ça s'passe
téléspectateur provincial
j'voudrais bien pénétrer
mais j'ai pas d'passes
dans les bureaux des directions des multinationales
moi je n'ai pas changé
c'est le monde qui a changé
de trottoir quand il m'a rencontré
et depuis j'parle tout seul
personne écoute
tout l'monde s'en fout
tout l'monde s'écoute
tout l'monde se fout
de moi
https://www.flashlyrics.com/lyrics/zabriskie-point/menace-mineure-48
Est ce que tu préfères plutôt un ou deux grains dans ton café ? Je vais au distributeur parler du dégel ...
Spéciale dédicace à Babar, Doudouille, Buzz l'éclair, et Mr Racine Carrée. Qui fait carnaval depuis toute petite au rythme des battements du coeur et des tambours n'attend bas les masques .
Logique du pire Lyrics
Logique du pire
J'suis p'têt du genre malin mais j'me sens méchamment
plus intelligent quand je pense le pire
le désordre du monde m'inspire une tendresse amusée
au moins le malheur y est d'une criante sincérité
Rien ne me manque désirer rien je suis comblé
pour moi donc j'aime la vie je suis un ogre de pitié
une chance sur un milliard
je veux ce hasard
la pire des réalités
alimente ma joie d'exister
Notre vie c'est l'atrocité, la guerre, la maladie
d'ailleurs même le moi est haïssable comme disait l'autre
mais toi tu cherches un bonheur ? dis moi lequel tu réponds rien
tu te connais t'y pense parfois tu n'as besoin de rien
Rien ne me manque
C'est la vie telle qu'on la soupire quand les faits n'ont plus rien à dire
tragique et silence, on devrait s'arrêter ici
Mon coté punk, oui mais lequel ? où ?
- ZABRISKIE POINT
L'Âge des possibles / En vérité Lyrics
Tous ces jeunes gens en étaient à la fin du repas
on avait parlé de la bouffe, de la guerre, et du chat
quand Claude a fait entendre une voix mélancolique
racontant qu'elle avait retrouvé une vieille boîte à musique
et alors elle s'est mise à chanter
Angélique elle s'est mise à chanter :
"Ou sont tous nos espoirs passés?"
Alors on s'est souvenu la naïveté de l'enfance
les utopies, les folies de l'adolescence
on s'est souvenu Goldorak et Casimir
on s'est écrié "pourquoi pas tout plaquer et partir?"
et alors ils ont tous entonné
tous ensemble tous en chœur entonné :
"Ou sont tous nos espoirs passés?"
une chanson c'est tellement bien
ça vous parle de douleur pour le temps d'un refrain
C'est à ce moment là que j'suis arrivé
comme quand dans une chanson tout commence à speeder
comme j'avais vu faire au ciné
Eastwood en bout d'table, impitoyer
j'ai dit : "en vérité je vous le dis,
vous êtes de ceux qui disent qui y ont cru
mais qu'ils n'y croient plus
En vérité je vous le dis, vous n'y avez jamais cru
voulez que j'vous dise où sont vos espoirs passés?
Dans vos caleçons, dans vos bibelots, dans vos métiers
espoirs passés laissez-moi rire
tout plaquer arrêter donc de vous mentir
en vérité vous avez toujours été de l'autre côté
---------------------------------------------------------------------------------------------------
"Où sont les cons?"
-Eh t'as pas vu hier au soir à la télé,
toute cette violence quel voyeurisme
cette petite fille violée sur le chemin de l'école
je l'ai vu six fois c'est un peu trop je crois.
-Mais moi tu vois je ne l'ai pas regardée
mais ça ne m'inquiète pas
car je vois que tu t'es consacré à le faire pour moi.
-Mais t'as vu maintenant à la télé,
y a plus qu'du cul, d'la décadence
y en à 20h30, à 22h00, à 23h00
quand je vais me coucher je suis secoué.
-Mais moi tu sais je n'ai pas la télé
j'l'ai vendu en 29
avec l'argent j'ai acheté
un dictionnaire tout neuf.
OU SONT LES CONS?
Mais t'as pas vu tous ces jeux à la télé
et tout ces shows de la réalité
et tout ces cons qui les regardent
si on en faisait une armée
que de conquêtes; la patrie retrouvée.
Mais à ce que je vois tu as tout regardé
il faut y croire au fond
que tu te pose en unité de ton armé de cons
mais à ce que je vois tu as tout regardé
et j'en déduis qu'au fond
tu n'es jamais qu'une unité de ton armée de cons.
-Mais où sont les cons?
s'ils sont partout les cons
dis-moi c'est qui les cons?
si tout le monde est con?
-Moi les cons je n'y crois pas
je n'y ai jamais cru
moi je ne crois qu'en la loi
mais la loi nous a eus
OU SONT LES CONS?
-----------------------------------------------------------------------------------
"Marx et Hegel"
-On sirotait une bière en silence entre homme toi et moi
puis t'as parlé et tout c'est cassé entre toi et moi.
T'as dit "à l'aube du troisième millénaire
on devrait pas voir ça;
tous ces SDF sans domicile fixe
on devrait pas voir ça".
T'avais déjà dit des conneries
des conneries t'en avait déjà dit
des conneries
mais là t'as fait très fort.
-A la terrasse en silence
on contemplait la beauté de l'été
et puis tu as parlé et l'harmonie
du jour s'est déchirée.
T'as dit "dans le pays des droits de l'homme
on devrait plus voir ça tous ces chômeurs
sans travail on devrait plus voir ça."
T'avais déjà dit des conneries
des conneries t'en avait déjà dit
des conneries
mais là t'as fait très fort.
-Dans les ruines de l'harmonie du jour
je n'avais plus rien à perdre
dans les rots de la bière sirotée avec amour
je n'avais plus qu'a te dire merde
j'ai dit : "dans un pays à 3 millions
de chômeurs on devrait plus dire ça
dire que ce pays est le pays des
droits de l'homme on devrait plus".
J'avais déjà eu du génie
du génie j'en avais toujours eu
mais là j'ai fait très fort.
-----------------------------------------------------------------------------------
Les doués ça se recolle l'image quand on en fait des gomettes.
Je mange des Mars et je suis un Angel sous tous les Angles.
Queue Pompom d'un jour, Queue Pompom toujours 3 novembre 2016 16h46.
Comment je vais faire pour mettre mon nombre de QI sur mon string ? Il va bien en avoir assez de tissu ?
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Les trois mages au troisième age C'est trop génial dirait Castiel ici Comme quoi les jeunes ça a toujours raison Je suis contente d'avoir tort
Un jour j'irai sur Zb avec toi..... ça sera mieux que le Téléphone
On aura même un
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Menaceuh en la mineur
Y'a pas à s'inquiéter à plus de 4000, ils sont perchés
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Je ne m'échangerais pour rien au monde Sans moi je m'ennuie
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Moi quand on évalue mon intelligence (interdit au + 18 ans ) :
Donnez moi les saucisses, personne ne sera grillée.
- Spoiler:
Donnez moi les saucisses, personne ne sera grillée.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
La réponse en citation serait alors une synthèse du propos de l'interlocuteur d'en face ?
Le mimétisme de l'interlocuteur d'en face (double sens lol) une façon de se déglobaliser ? des glos baliser, des plots, balisée ?
Passer pour complexe et indéchiffrable.... là où il n'y a rien à comprendre.
Je vois pas du tout en quoi je ressemblerais à une boule à facettes.
Plus simple que moi tu meurs. Dans la vie mieux vaut avoir des facultés d'adaptation, c'est tout de même la base de la survie.
Vivre c'est quand même pas dur à comprendre comme concept ? Tu dors, tu manges, tu ris, tu souris, tu pleures, tu ressens, on te décomposes, tu te recomposes, ect.
C'est quand même pas un gros reflet d'intelligence de savoir écrire ZB au Nesquik, le gros quick de l'univers, sur une crêpe ? et c'est pas le summun de la créativité non plus.
Les gens en majorité sont tout de même très bizarres mais bon je les aime bien quand même.
Et en conclusion ? pas de conclusion aujourd'hui. Si des gens mettent une vie complète à se poser les questions de base pour aller bien chaque jour.... moi je reste une fille stupide. Ca fait moins de questions en moins de temps et du coup il reste du temps pour faire des choses plus intéressantes.
Quand je serais grande, je serais grande mais au fond petite, la taille ça compte
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Un jour, plein de jour, j'ai donne un sou pour la science, c'est déjà pas mal comme résultat, j'ai eu combien ? sur 20 ?
Pourquoi tourner en rond, alors qu'on peut jouer en carré ? pour pas que le loose ange....
Tonnerre étrange.
et alors tu vas faire quoi ?
Des croques monsieur, je fais toujours des croque monsieur le jeudi.
Pourquoi tourner en rond, alors qu'on peut jouer en carré ? pour pas que le loose ange....
Tonnerre étrange.
et alors tu vas faire quoi ?
Des croques monsieur, je fais toujours des croque monsieur le jeudi.
Re: Les rocks et aussi les slows (mode radio radieuse)
Et qu'est ce que tu fais dans la vie ?
Je soutiens les manchots, tu savais les manchots mangent pas de chocolat ?
Ah bon ?
Ben oui, pas de bras, pas de chocolat
Donc con du coup ça j'ai compris, mais alors fidentiel, c'est qui ? si on perd fide en ciel ? on va se perdre non ? ou on attend la nuit ? la grande ourse ? histoire de s'y retrouver dans ces casseroles ? mode cuisine on ? en tout cas le con kiss t'adore
Je soutiens les manchots, tu savais les manchots mangent pas de chocolat ?
Ah bon ?
Ben oui, pas de bras, pas de chocolat
Cher-ère adhérent-e, C’est une belle victoire que je tiens à partager avec vous aujourd’hui. Après plusieurs années de campagne menée par Greenpeace aux côtés de l’Alliance pour l’océan Antarctique (AOA), le plus grand sanctuaire marin du monde va être créé dans la mer de Ross, en Antarctique ! Sans relâche, année après année, nous avons interpellé les gouvernements, leur demandant d’agir pour protéger cette mer, en vain. Mais cette année aura été la bonne !Les baleines, les manchots et la magnifique biodiversité de cette zone vont enfin connaître un peu de répit. Merci à tous d’avoir contribué à cette victoire ! et veiller à préserver la santé des océans à très long terme. Néanmoins, il nous reste encore un long chemin à parcourir avant d’obtenir 40% de réserves marines en 2030. Les scientifiques sont clairs : les sanctuaires marins sont vitaux pour protéger la biodiversité, reconstituer les stocks de poissons, augmenter la résilience face aux changements climatiques. Mais pour obtenir des victoires comme celle de la mer de Ross, il faut plus que des études scientifiques. Sans vous, sans votre mobilisation, les plus grands spécialistes de la question ne feront jamais le poids face à l’appétit des lobbies de la pêche industrielle. Faisons de cette décennie celle de la protection des océans ! -------------------------------------------------------------------------------------------------- Je devrais peut être m'acheter un camion marqué balises qui s'occupent des livres Et oui je déplace aussi les camionnettes à l'endroit où je veux pour suivre avec ma conversation du moment et augmenter la résilience des poissons face au changement ça fait ça les rémiettes sans famille à la boris sire ul nick l'art sonne : J'ai des pouvoirs de petit beurre qui a lu Mais alors à quoi ça sert tout ça ? à faire des croques monsieur le jeudi. Le jet d'ail, ça nourrit pas son homme dans la star wars. Alors le premier jour du reste de la vie c'est tous les jours ? ça va être routine non ? Un matin comme tous les autres Un nouveau Paris Rechercher un peu de magie Dans cette inertie morose Clopin clopan sous la pluie Jouer le rôle de sa vie Puis un soir le rideau tombe C´est pareil pour tout l´monde Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus essentielles Mais tout peut changer aujourd’hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel Pourquoi vouloir toujours plus beau Plus loin plus haut Et vouloir décrocher la lune Quand on a les étoiles Quand les certitudes s´effondrent En quelques secondes Sache que du berceau à la tombe C´est dur pour tout l´monde Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus confidentielles Mais tout peut changer aujourd’hui Et le premier jour du reste de ta vie C´est providentiel Debout peu importe le prix Suivre son instinct et ses envies Les plus essentielles Tu peux exploser aujourd’hui Et le premier jour du reste de ta vie Non accidentel Oui tout peut changer aujourd’hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel |
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