Fift (nouvelle présentation)

Il existe un exercice de pensée très fécond et pratiqué pour de vrai par des vrais mecs vraiment intelligents :
* quel serait l'état de l'univers si les constantes cosmologiques étaient "réglées" différemment ?
Par exemple si TOUT le reste étant le même la constante de gravitation K était plus grande ou plus petite

* comment fonctionnerait un univers dans lequel les lois physiques seraient différentes par exple la gravitation en 1/d et non pas en 1/d²

Des fois ça fait sens (univers en expansion ou rebond et big crunch) parfois on arrive à des absurdités : ce type d'univers "n'aurait pas pu" exister !

Nan !

Ça répond pas à ma question.
(On est d’accord qu’on ne s’occupe que de la masse grave, l’inerte on verra plus tard).
Tiens, imaginons une planète identique à la nôtre mais dont le diamètre est deux fois plus petit.
Si la gravitation n’est due qu’aux interactions entre nos bosons de Higgs, alors on devrait avoir une pesanteur relativement similaire à la nôtre, tout au moins pour ce qui concerne les corps de faible dimensions comme un Confiteor ou un Fift - tout ceci parce que la force gravitationnelle diminue avec la carré de la distance et que donc très rapidement l’influence d’une particule sur mon poids devient négligeable.

Or, selon toute vraisemblance ce n’est pas le cas.

Donc what ?

Merci quand même Confiteor hein , c’est super bien résumé ! Et j’adore le dernier exercice « et si ? ». Je crois que je me serais éclaté là-dedans.

(J’ai peut-être oublié de préciser que j’ai une formation universitaire en matériaux, donc qu’il y a quand même une base qui reste - meme si elle est lointaine !).

Scuz je te croyais litteraire

Pas de souci !
Mais sinon, y a un truc que j'ai totalement loupe ou pas ?

Parce que j'ai beau faire, je n'arrive pas a faire coïncider l'interaction a l’échelle des particules avec l'interaction a l’échelle macro.

Confiteor a écrit:Il existe un exercice de pensée très fécond et pratiqué pour de vrai par des vrais mecs vraiment intelligents

Des fois ça fait sens (univers en expansion ou rebond et big crunch) parfois on arrive à des absurdités : ce type d'univers "n'aurait pas pu" exister !

C''est pas en oubliant la variable féminine que tu vas sortir quelque chose qui puisse être sensé.

Tu sais, celle qui a bouffé la pomme par la grâce de laquelle vous avez eu accès à la connaissance de ce que Dieu voulait vous cacher...
Namého !

Confiteor a écrit:Scuz je te croyais litteraire

Ah steuplé : tu n'insultes pas Fift !
Il est le seul par la plume duquel j'arrive à retrouver mon goût pour les trucs scientifiques.

Rhoo t'es vache (meuh) quand meme : l'explication de Confit (de canard) est quand meme vachement bien foutue.

(sinon, c'est gentil pour moi)

Certains disent que c'est les rayonnements des étoiles qui nous poussent sur terre qui créent ce que l'on appelle habituellement la gravitation.
Les particules subissent-elles la force de gravitation ? Cette force existe-t-elle au niveau sub-atomique ? Très trèès bonnne quesssssstiiiiion .... Quant à l'unification des 4 forces fondamentales, l'équation fabuleuse n'est toujours pas trouvée, ni le modèle qui va avec. Les supercordes sont un bel essai.
Il reste aussi à évoquer le centre de gravité, qui sur Terre est assez proche du centre de la Terre, donc où que tu sois à la surface tu subis presque (la surface n'est pas régulière) la même attraction.

siamois93 a écrit:Certains disent que c'est les rayonnements des étoiles qui nous poussent sur terre qui créent ce que l'on appelle habituellement la gravitation.
.

Ca j'ai du mal a le comprendre, car ca sous-entendrait que la force qui nous "colle" a la Terre est independante de la masse de cette derniere. Or, depuis Newton (?), on sait que ce n'est pas le cas.

fift a écrit:Rhoo t'es vache (meuh) quand meme : l'explication de Confit (de canard) est quand meme vachement bien foutue.

Voui mais faut pas lui dire... il doit être un super bon prof comme on a la chance d'en croiser quand on a fait un bac math...

fift a écrit:

siamois93 a écrit:Certains disent que c'est les rayonnements des étoiles qui nous poussent sur terre qui créent ce que l'on appelle habituellement la gravitation.
.

Ca j'ai du mal a le comprendre, car ca sous-entendrait que la force qui nous "colle" a la Terre est indépendante de la masse de cette dernière. Or, depuis Newton (?), on sait que ce n'est pas le cas.

Ça je te l'accorde bien volontiers le modèle Newtonien est très satisfaisant. Je crois plutôt qu'historiquement la masse et le poids ont été inventés pour expliquer la chute des corps, que quand tu lâches une connerie en l'air elle ne reste pas en l'air idem pour un objet. Mais l'apesanteur ? On pourrait imaginer que les étoiles poussent depuis tous les endroits de l'espace, et que la masse terrestre fait obstacle ? C'est très fantaisiste n'est-ce-pas ? Imaginer une théorie assez réaliste c'est intéressant, pour me reposer l'esprit ou pour écrire un bouquin de SF.

siamois93 a écrit:

fift a écrit:

siamois93 a écrit:Certains disent que c'est les rayonnements des étoiles qui nous poussent sur terre qui créent ce que l'on appelle habituellement la gravitation.
.

Ca j'ai du mal a le comprendre, car ca sous-entendrait que la force qui nous "colle" a la Terre est indépendante de la masse de cette dernière. Or, depuis Newton (?), on sait que ce n'est pas le cas.

Ça je te l'accorde bien volontiers le modèle Newtonien est très satisfaisant. Je crois plutôt qu'historiquement la masse et le poids ont été inventés pour expliquer la chute des corps, que quand tu lâches une connerie en l'air elle ne reste pas en l'air idem pour un objet. Mais l'apesanteur ? On pourrait imaginer que les étoiles poussent depuis tous les endroits de l'espace, et que la masse terrestre fait obstacle ? C'est très fantaisiste n'est-ce-pas ? Imaginer une théorie assez réaliste c'est intéressant, pour me reposer l'esprit ou pour écrire un bouquin de SF.

Tout le monde sait que les étoiles ne poussent que les nuits de treizième lune quand il a plu et que les femmes font office sous le dolmen du rite de la Bella Dona.

fift a écrit:Nan !

Ça répond pas à ma question.
(On est d’accord qu’on ne s’occupe que de la masse grave, l’inerte on verra plus tard).
Tiens, imaginons une planète identique à la nôtre mais dont le diamètre est deux fois plus petit.
Si la gravitation n’est due qu’aux interactions entre nos bosons de Higgs, alors on devrait avoir une pesanteur relativement similaire à la nôtre, tout au moins pour ce qui concerne les corps de faible dimensions comme un Confiteor ou un Fift - tout ceci parce que la force gravitationnelle diminue avec la carré de la distance et que donc très rapidement l’influence d’une particule sur mon poids devient négligeable.

Or, selon toute vraisemblance ce n’est pas le cas.

Donc what ?

Hihihi !
C'était rigolo que je te la fasse façon CM2 !
Ce qui est bien c'est que tu ne te sois pas fâché !

En fait je comprends pas trop bien ta question.
Depuis que les grands délirants ont fait fuir Hobb et Badak, reste un mec ici qui est vraiment capable de te répondre c'est tim9.5.
cherche le ici

wiki a écrit:Masse de la matière usuelle
Seulement 1 % de la masse de la matière usuelle peut être considérée comme causée par le boson de Higgs. En effet, la matière usuelle est faite d'atomes, eux-mêmes composés d'électrons et de nucléons (protons et neutrons). Or la masse des électrons est très faible, et 99 % de la masse des nucléons vient de l'énergie de liaison (par la force forte) entre quarks, eux-mêmes également très légers. 32

Les miennes de conneries partent dans les airs qd je les lâche...

Comme mes prouts quoi !

Veillez à ne pas vivre en zone étanche à l'air, vous pourriez finir par réagir comme une mongole fière !

Salut à tous !
Je vais rafraîchir un peu l'ambiance .

Il est 10h ce dimanche matin. La température peine à atteindre les zéros degrés même en plein centre de Paris. Je me suis équipé le mieux possible pour résister au froid et me sens totalement engoncé dans les diverses couches qui constituent ma tenue.
Le bagster est plein à craquer, les pressions des pneus sont faites et la chaîne est graissée.
Je vérifie une dernière fois que l'essentiel (clefs, carte bleue) est accessible car une fois parti, pas question de devoir tout déballer.
Je grimpe sur la moto. Elle démarre péniblement, ça fait plusieurs semaines qu'elle n'a pas servi. Les premiers mètres sont délicats, je suis gêné par l'épaisseur de mes vêtements, raidi par le froid et le manque de roulage récent.
Une dizaine de minutes en ville, pas un chat, ça m'arrange. Un dernier feu, puis les quais de Seine et enfin l'autoroute. C'est parti pour 520 kilomètres.
Une espèce de brume s'étend sur l'autoroute dès qu'on sort des zones denses. Des gouttelettes d'eau se déposent sur ma visière. Je passe le doigt pour les évacuer, ce ne sont pas des gouttes d'eau, c'est du givre.
La route risque d'être plus difficile que prévu. La chaleur que j'ai emmagasinée en me préparant commence à s'évacuer. Je me recroqueville pour offrir le moins de surface à l'air.
Clac, clac, clac. Qu'est-ce que c'est ? Un bruit sur la droite du casque. Pas besoin de chercher longtemps : ma jugulaire, que j'ai attachée en gardant mes sous-gants, commence à se détacher. Je n'ai pas d'autre choix que de m'arrêter. Je prends la première sortie, enlève les gants, les sous-gants et rattache ma jugulaire. Ca ne prend que quelques dizaines de secondes, mais c'est suffisant : mes mains sont définitivement froides.
Limitation à 130, j'approche de la sortie de l'Ile de France. Le vent rappelle cruellement à mes doigts qu'ils auraient mieux fait de rester au chaud.
Et le chargement sur mon bagster commence à se faire la malle, je suis obligé de le retenir avec mon bras droit. Ca attendra le péage, qui ne tarde pas. A nouveau, les mains directement au froid pour sortir la carte bleue, récupérer le ticket, ranger tout ça comme je le peux. J'en profite pour refaire le chargement qui, cette fois, ne bougera plus.

Je repars, les mains sont cette fois-ci définitivement froides. La buée fait son apparition malgré le pinlock. J'entre-ouvre la visière, le vent chasse la buée mais me glace le cou et le menton. Je suis calé entre 120 et 130km/h, sur la file de droite. Pas un chat. Heureusement, car je suis tellement raide que j'imagine mal faire une manoeuvre d'urgence dans ces conditions.
Le paysage défile, le givre recouvre une bonne partie des champs. Quelques plaques de neige sont visibles dans les zones ombragées. Dans ma tête, je me remémore le parcours : un arrêt vers Châlons pour déjeuner, une pause à Metz, une troisième en Allemagne.
Il reste 150 bornes avant le premier arrêt.
Je ne tiendrai pas.
Un panneau annonce une aire d'autoroute à 50 kilomètres. J'y stoppe.
Il est midi, j'ai fait 100 bornes. Le thermomètre de la station annonce -2°C.
Je décide de me contenter d'un chocolat chaud, et reprend la route dès que je me suis suffisamment réchauffé. Cette fois-ci, pas question d'enlever les gants avant le prochain arrêt.
Cette pause m'a fait énormément de bien. Ma tenue de cosmonaute est parfaitement étanche, je ne sens pas le moindre courant d'air. Un soleil pâle commence même à faire son apparition. Dans ces conditions, j'enquille et hausse un peu le rythme. La neige dans les champs, illuminé pas la lumière diffuse donne un paysage sublime. Le froid recommence à s'infiltrer dans ma poitrine, mais gentiment, doucement. C'est encore tout à fait supportable.
Je passe Reims, Châlons.
Je trompe l'ennui en comptant les kilomètres entre les stations service ou en jouant avec les différentes fonctions du tableau de bord. Curieusement, la pression de l'air ne me gêne pas plus que ça.
ll est 13h, je devrais m'arrêter pour déjeuner mais j'ai déjà perdu pas mal de temps. Prochaine station à 45 km. Je teste mes doigts : ok, ça tiendra.
Peut-être.
La température chute brutalement alors qu'on approche les contreforts des Ardennes.
Le froid gentil que je ressentais dans les doigts se transforme en gel mordant. Je me recroqueville sur la moto, je ne pense plus qu'à une chose, m'arrêter. 35km. Encore 35km.
30km.
27km.
Ca n'avance pas.
J'essaie de me focaliser sur autre chose. En haut des cotes, je vise le haut de la cote suivante et me concentre dessus.
15km.
J'ai les doigts gelés. Je teste, c'est bon, j'arrive encore à attraper le levier d'embrayage ou de frein.
5km.
La forêt de Verdun fait encore chuter la température. La neige couvre jusqu'à la bande d'arrêt d'urgence.
L'aire d'autoroute, enfin !
La voie de décélération n'est pas déneigée. Pas plus que le reste de la station, d'ailleurs.
Je m'arrête pour faire le plein. L'absence de vent fait soudainement remonter la température de mes mains. Ca me brûle, je suis incapable de saisir le pistolet à la pompe. Seule solution pour bloquer ça : enlever les gants histoire de limiter l'apport de chaleur. Ca marche. Je fais le plein, pousse la moto dans la neige jusqu'au bâtiment dans lequel je m'engouffre.

Je profite de la pause pour prendre un plat chaud et un café, bien chaud aussi. Je me force à prendre le temps, à me reposer et reprendre des calories. Pas de réseau, je fais ça à l'ancienne, en prenant le temps de laisser vagabonder mon esprit et de regarder les quelques personnes qui se sont arrêtées. Quelques employés de la station sont également en train de déjeuner, l'ambiance a l'air sympa. La neige occupe l'essentiel de leurs discussions, entrecoupées de vannes sur tel ou tel collègue.
Bon, il est temps de repartir ... sans oublier de payer mon plein, ce que me fait gentiment remarquer la serveuse quand elle me voit me ré-équiper.

Je manoeuvre délicatement sur le parking enneigé, amorce la voie d'insertion ... et c'est reparti. A peine sorti de la station, la route amorce une déclivité, la forêt s'arrête, le soleil paraît ... et la température remonte. En moins d'un kilomètre, la neige a totalement disparu des bas-côtés. Sans thermomètre, j'estime néanmoins que le thermomètre est enfin repassé au-dessus de zéro.
Incroyable ! La route défile comme dans un rêve, l'autoroute est suffisamment vallonnée pour ne pas être (trop) monotone. Les kilomètres défilent à toute vitesse, la circulation se densifie un peu autour de Metz, puis c'est quasiment tout de suite Forbach et l'embranchement vers l'Allemagne. Ralentissement obligé au passage de la frontière, je me recale au rythme des autres usagers pour prendre un peu le pouls des habitudes locales.
L'autoroute allemande est un exercice particulier. L'état du bitume n'est pas exceptionnel, loin s'en faut, merci les suspensions "sportives" de la Triumph ... Surtout, impossible de me caler sur un rythme régulier. Le trafic est trop dense et les différences de vitesses trop importantes. Et évidemment, la forêt bloque tout panorama un tant soit peu sympathique. Je sens que j'aborde ici la partie la moins intéressante du trajet. Un coup d'oeil sur la jauge à essence : j'ai de quoi atteindre Kaiserslautern mais pas plus. Une station se présente, la prochaine est à 70 bornes. Je m'arrête et décide de jeter un coup d'oeil à une carte. Heureusement, le réseau passe ici. Après Kaiserslautern, il me reste encore environ 110 bornes. Si je coupe par les montagnes, je gagne 20 kilomètres et surtout je quitte l'autoroute. Je me sens encore assez en forme, la moto reste agile malgré son chargement et il est un peu moins de 16h, j'ai donc encore une bonne heure devant moi avant que le soleil ne se couche. La décision est prise.
Une fois l'autoroute quittée, je me retrouve absolument seul sur la route. Je rejoins un petit cours d'eau qui serpente au fond d'une vallée un peu encaissée. Le bitume est impeccable, j'ai le soleil couchant dans le dos, le paysage est magnifique. Je n'ai même pas besoin de me préoccuper de la direction, il suffit de suivre le fond de la vallée. La route virevolte joyeusement, suffisamment large pour être prévenante. Le bonheur motocycliste complet. J'ai totalement oublié le froid subi le matin, j'ai l'impression d'avoir juste changé de planète. Un arrêt chrono à Frankenstein pour prendre le bon embranchement, et ça recommence pendant une vingtaine de kilomètres. Avec un peu de déception, je vois arriver la vallée du Rhin, ses grandes étendues plates, ses voies rapides et ses zones industrielles. Bienvenue à Mannheim ! Je traverse la ville, les quartiers se font familiers. Tiens, le tram n°5 ! Je suis la ligne, conscient désormais que ce n'est plus qu'une question de minutes avant d'arriver à destination. Je tourne à droite, un dernier carrefour, je file cent mètres. Me voilà arrivé. Je monte la moto sur le trottoir, me stationne auprès d'un scooter.
Je sors les clefs de mon appartement, comme si de rien n'était.
Je ne suis presque pas fatigué.

Juste une envie : recommencer.

Jobard !
Tim Jobard !
Je vais t'appeler Tim Jobard !

J'ai bien aimé !

Souvenirs.

Longtemps c'était plutôt les 48° et le soleil délirant.
Yam' 500 XT puis Ténéré puis BM 80 GS préparée et Sahel ou Sahara.

Puis rien.

Puis 750 GSXR pendant 5 ou 6 ans !
des AR Romans-Lyon à 200 (et plus...) 3 fois par semaine
puis des AR Romans-Annonay en optimisant dans la montée entre quels pointillés je passe en coupant les courbes !

Y'a 9 ans j'ai acheté une vieille Suzuk 500 GSE pour aller à la fac en zappant les bouchons.
Elle traine au garage faudrait que je m'en débarrasse

Dis au fait, c'est quoi le format de ton livre ?

Tu devrais acheter une moto cui² ...

J'ai une 125...

Cui² a écrit:Jobard !
Tim Jobard !
Je vais t'appeler Tim Jobard !

j’ai mis un moment à percuter

Sinon c’est du 20x25 je crois.


Confit’, c’est marrant comme je t’imagine bien au guidon d’un 500 XT ou d’une R80GS au milieu de nulle part, de préférence dans un désert.

Et avec ça ?

fift a écrit:Confit’, c’est marrant comme je t’imagine bien au guidon d’un 500 XT ou d’une R80GS au milieu de nulle part, de préférence dans un désert.

Un soir je raconterai un peu !
J'en ai des bonnes.

C'est fou j'ai des photos argentiques de ce temps (81 - 88).
Mais c'est un secret, personne n'a le droit de les regarder.
Pas même moi.
Nos enfants le savent et parfois (tous les 3 ou 4 ans) en parlent.
Ils savent où elles sont mais je sais qu'ils n'ont jamais triché.
C'est bien le respect. Faut dire, je les ai beaucoup tapé, ça éduque.

Ça viendra mais je ne suis pas encore prêt.

Très souvent une moto avec rien autour (mais y'a aussi d'autres choses).
Toujours seul et si possible hors piste.

Cui² a écrit:
Et avec ça ?

Ça c’était ce soir : me suis fait surprendre par la neige en montant un col. Et la descente n’etait pas salée. 15 bornes de descente à suivre une bagnole encore plus lente que moi (mais avec des phares qui éclairent au moins !), le pied sur le frein arrière. Pour un peu, j’aurais attrapé une suée ...

'lut à tou(te)s !

Certains paquets sont déjà livrés ! Dites moi si vous avez bien reçu.

Ouiiiiii !

Ah bon ?

Bah non....
Déjà la factrice ne me dépose pas mes colis habituellement... en plus là, ma maison est isolée de toute voie praticable à cause de la neige, je crains de ne pas voir de si tôt la couleur de ton noir et blanc illustré...

Ach, pas de bol ...

Mais ça fond à grosses gouttes, demain peut-être.

Ayé ! Bien arrivé ! Merci !

Le rendu est très sympa, et cela va sans dire ! :-p

Youpi youpi !

L'est bien arrivé !!!
Vraiment beau!
Bravo!

Merci les tou(te)s !

Grosse semaine neuro-psychologico-médicale chez les fift :
- vendredi dernier, rdv pour moi chez une neurologue (qui me dit grosso modo, faites du sport et de la gestion du stress - ok merci, je n'y avais jamais pensé ! )
- mercredi WPPSI pour mini fift 2
- vendredi prochain rdv SED pour madame.

Et mini fift 1 est en train de nous faire une grippe à plus de 40,5°C.

Bonne chance !
Bon courage !

Moi j'm'en fous, quand je m'emmerde en ce moment, j'ai un livre à feuilleter !

Ouaich ! bon courage !

Confit'> si c'est celui auquel je pense, il va être feuilleté rapidement

Merci pour le courage, mais c'est plutôt madame fift qui en a besoin, puisque moi je m'exile lâchement du lundi matin (quel journal !) au vendredi soir ...

Ah, alors bon courage à Madame, surtout, on va dire.

Sport et gestion du stress, ça peut aider, certes mais ça ne fait pas tout. Ou quand les toubibs ne savent pas trop quoi dire, en fait...

Ouais, rdv expédié en 1/4h top chrono.
Je lui ai parlé de mes zones de peau sans sensibilité, réponse "oh vous savez plus on s'observe, plus on trouve des trucs" ...

Bref ...

Hier soir, en rentrant de mon travail, un paquet dans ma boîte !
Merci !!!!! (je ne sais toujours pas qui remercier mais quand même !)
Trop beau

Merci !
C'est pas moi qu'il faut remercier, c'est quelqu'un du forum que je laisse se dénoncer .

"oh vous savez plus on s'observe, plus on trouve des trucs" ...

La prochaine fois, tu pourras lui faire remarquer que tu observes en lui la profondeur de son ignorance mais que tu ne lui en veux pas...
Cela aurait été tellement plus simple de répondre : je n'ai pas de réponse à ce problème que vous soulevez là...
Arf ! mais que rêve-je donc là ! Avouer ses limites est si peu docte...

Cuicui a écrit:

"oh vous savez plus on s'observe, plus on trouve des trucs" ...

Cela aurait été tellement plus simple de répondre : je n'ai pas de réponse à ce problème que vous soulevez là...

Encore eût-il fallu qu'elle m'examine un minimum ...

Bah non pourquoi ?
C'est un vieux truc qui ne se fait plus... ^^

Faut arrêter le sucre. Y'a que ça de vrai, ça résout tout.

Un médecin qui avouerait qu'il ne sait pas tout ? Ca sert à quoi de faire autant d'années d'études si on ne sait pas tout après ça.

Si le médecin ne peut pas te soigner, c'est de ta faute, tu n'avais qu'à choisir une maladie qu'il connaissait. Non mais.

Salut à tou(te)s,

Bon, bah, une bonne chose de faite : SED confirmé pour madame Fift sans l'ombre d'un doute. Il faut 5 critères sur les 9 indiqués, elle coche les 9 cases.
Le moins drôle par contre, ce sont les traitements pour alléger les douleurs : 3x 20 minutes d'oxygénation tous les jours, kiné 3x par semaine, sans parler des vêtements de contention, du sport et des médocs ...
Tant que les douleurs restent gérables, elle va donc se contenter des médocs et de vêtements de contention, le reste ça n'est juste pas jouable au quotidien pour le moment. On tentera l'oxygénothérapie pendant les vacances, pour voir si ça allège.

Et puis il reste encore 5 ou 6 rendez-vous avec toutes sortes de médecins pour aller jusqu'au bout du protocole.

Entre notre HPI, mon simili-autisme et le SED de madame, on balaie une bonne partie des bizarreries neurologiques du spectre "trop de connections dans le cerveau" . Pour nous, y a plus grand chose à faire, mais au moins pour les enfants on se posera moins de questions s'il s'avèrent qu'eux aussi tombent dans ces bizarreries.
Et puis, avec un peu de chances, la recherche aura fait des progrès qui leur rendront la vie plus facile (bon, faut pas déconner quand même, on n'est pas à plaindre, hein).

arf, quand même,..
*envoi de bonnes ondes*